Apple Color_1.0_User_Manual_F
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1 Table des matières
Préface 9 Color Documentation et ressources
9 Nature de Color ?
10 Utilisation de la documentation de Color
11 Sites web Color
11 Site web de service et d’assistance Apple
Chapitre 1 13 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs)
13 Définition de l’étalonnage
17 Quand se déroule le processus d’étalonnage ?
24 Étalonnage dans Color
26 Normes d’encodage des images
31 Concepts de base liés aux couleurs et à l’imagerie
Chapitre 2 39 Flux de production de l’étalonnage
40 Aperçu du flux de production Color
42 Limitations de Color
44 Flux de production pour la finalisation de la vidéo à l’aide de Final Cut Pro
53 Importation de projets à partir d’autres applications de montage vidéo
57 Utilisation de Color dans un flux de production intermédiaire numérique
66 Utilisation des listes de montage, du timecode et des numéros d’images pour la conformation des projets
Chapitre 3 69 Utilisation de l’interface Color
70 Configuration d’une surface de contrôle
70 Utilisation des contrôles d’écran
75 Navigateurs et chutiers pour organiser les fichiers
82 Utilisation de Color avec un ou deux écrans
Chapitre 4 83 Importation et gestion de projets et de données
84 Création et ouverture de projets
85 Enregistrement de projets et d’archives
89 Transfert de projets entre Final Cut Pro et Color
94 Reconformation de projets
95 Importation de listes de montage (EDL)4 Table des matières
97 Exportation de listes EDL
98 Rétablissement du lien avec les données QuickTime
99 Importation de données directement dans le plan de montage
99 Formats de données compatibles
104 Conversion de séquences d’images Cineon et DPX au format QuickTime
105 Importation des corrections de couleurs
106 Exportation d’images JPEG
Chapitre 5 107 Setup (Configuration)
108 Le navigateur de fichiers
109 Le navigateur de plans
115 Chutier des jeux d’étalonnage
115 Onglet Project Settings
121 Onglet Messages
122 Onglet User Preferences
Chapitre 6 133 Contrôle
133 Fenêtre Scopes
135 Contrôle de la sortie vidéo de diffusion
138 Utilisation des tables de conversion d’affichage
143 Contrôle du magasin d’images fixes (Still Store)
Chapitre 7 145 Lecture, navigation et modification du plan de montage
146 Principaux éléments de l’interface utilisateur du plan de montage (Timeline)
148 Personnalisation de l’interface du plan de montage
149 Utilisation des pistes
151 Sélection du plan actuel
151 Lecture dans le plan de montage
154 Navigation à l’intérieur du plan de montage
156 Sélection de plans dans le plan de montage
157 Utilisation des jeux d’étalonnage dans le plan de montage
158 Onglets de réglages
160 Contrôles et procédures de montage
Chapitre 8 167 Vidéoscopes
168 Quels sont les vidéoscopes disponibles ?
171 Options des vidéoscopes
173 Analyse d’images par le biais de vidéoscopes
Chapitre 9 191 Primary In
192 Objectifs de l’utilisation du studio Primary In
195 Utilisation des commandes de contraste Primary
197 Réglage du contraste dans les zones d’ombres, de tons intermédiaires et de hautes
lumièresTable des matières 5
209 Utilisation des commandes Color Balance
213 Description détaillée des corrections des ombres, des tons intermédiaires et des hautes
lumières
220 Commandes Curves
233 Onglet Basic
237 Onglet Advanced
239 Auto Balance
Chapitre 10 241 Secondaries
242 Fonctions du studio Secondaries
243 Premiers pas
244 Choix de la région à corriger à l’aide des qualificateurs HSL
252 Onglet Previews
254 Isolement d’une zone à l’aide des commandes de vignette
261 Ajustement des parties interne et externe de la sélection
263 Utilisation des courbes secondaires
268 Commandes de réinitialisation
Chapitre 11 269 Color FX
270 L’interface Color FX
270 Utilisation de Color FX
272 Création et connexion de nœuds
274 Ajustement des paramètres des nœuds
276 Omission de nœuds
276 Création d’effets dans le studio Color FX
282 Utilisation de Color FX avec des plans entrelacés
283 Enregistrement des effets préférés dans le chutier Color FX
284 Guide de référence des nœuds
Chapitre 12 295 Primary Out
296 Utilisation du studio Primary Out
296 Apport de corrections supplémentaires à l’aide du studio Primary In
297 Présentation du processus de traitement de l’image
298 Utilisation des commandes de plafonnement
Chapitre 13 299 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage
300 Différence entre les corrections et les jeux d’étalonnage
300 Enregistrement et utilisation de corrections et de jeux d’étalonnage
305 Application de corrections et de jeux d’étalonnage enregistrés à des plans
306 Gestion des jeux d’étalonnage dans la Timeline
309 Utilisation des boutons « Copy to » dans les studios Primary
311 Utilisation des commandes Copy Grade et Paste Grade
312 Définition d’un jeu d’étalonnage parfait dans la Timeline
312 Désactivation de tous les jeux d’étalonnage6 Table des matières
313 Gestion des jeux d’étalonnage dans le navigateur de plans
320 Utilisation de tous les studios Primary, Secondary et Color FX pour gérer les corrections
de chaque plan
Chapitre 14 323 Images clés
323 Objectifs de l’animation d’un effet avec des images clés
324 Fonctionnement de l’animation avec des images clés dans les différents studios
326 Utilisation d’images clés dans la Timeline
329 Interpolation d’images clés
Chapitre 15 331 Studio Geometry
332 Navigation dans l’aperçu d’image
332 Onglet Panscan
337 Onglet Shapes
345 Onglet Tracking
Chapitre 16 355 Magasin d’images fixes (Still Store)
356 Enregistrement d’images dans le Still Store
357 Enregistrement des images du Still Store dans de sous-répertoires
358 Retrait d’images du Still Store
358 Rappel d’images du Still Store
359 Personnalisation de la vue du Still Store
359 Contrôles du chutier Still Store
Chapitre 17 361 File d’attente de rendu
361 À propos du rendu dans Color
362 Quels effets sont rendus par Color ?
363 L’interface de la file d’attente de rendu
365 Mode de rendu des plans dans votre projet
367 Rendu de plusieurs jeux d’étalonnage pour chaque plan
368 Commande Gather Rendered Media
Annexe A 371 Étalonnage de votre moniteur
371 À propos de la mire
371 Étalonnage des moniteurs avec la mire
Annexe B 375 Raccourcis clavier
375 Raccourcis clavier relatifs aux projets
376 Changement de studio et de fenêtre
376 Lecture et navigation
377 Raccourcis liés aux jeux d’étalonnage
377 Raccourcis clavier relatifs à la Timeline
378 Raccourcis clavier de montage
378 Raccourcis clavier relatifs aux images clésTable des matières 7
378 Raccourcis relatifs au navigateur de plans
379 Raccourci disponible dans le studio Geometry
379 Raccourcis relatifs au magasin d’images fixes
379 Raccourcis relatifs à la file d’attente de rendu
Annexe C 381 Configuration d’une surface de contrôle
382 Surfaces de contrôle JLCooper MCS-3000, MCS-Spectrum, MCS-3400 et MCS-3800
387 Surface de contrôle Tangent Devices CP100
389 Surface de contrôle Tangent Devices de la gamme CP200
394 Personnalisation de la sensibilité des surfaces de contrôle
Index 395 9
Préface
Documentation et ressources
de Color
Bienvenue dans le monde de l’étalonnage professionnel
de film et de vidéo à l’aide de Color.
Nature de Color ?
Color a été conçu dès le départ comme un environnement d’étalonnage (ou de
« correction de couleurs ») riche en fonctionnalités, à même de s’intégrer de façon
idéale dans une large gamme de flux de post-production, que votre projet relève
de la définition standard, de la haute définition ou de l’intermédiaire numérique 2K.
Si vous avez déjà monté un programme à l’aide de Final Cut Pro, il est extrêmement
simple de l’envoyer à Color pour étalonnage, puis de le renvoyer à Final Cut Pro pour
la sortie finale. Mais il est également tout à fait faisable de reconformer des projets
dont les sources sont des listes de points de montage (listes EDL, Editing Decision List)
issues d’autres environnements de montage.
Color dispose de tous les outils dont les professionnels de la couleur ont besoin, à savoir :
 Étalonnage primaire par balance des couleurs et action sur le contraste au travers
des ombres, des tons intermédiaires et des hautes lumières
 Utilisation de courbes pour ajustement fin des canaux de luminance et de chrominance
 Jusqu’à huit opérations d’étalonnage secondaire par plan, avec qualificateurs HSL,
vignettes, formes utilisateur et réglage séparé des parties interne et externe de chaque cache secondaire
 Effets Color FX à nœuds arborescents pour la création d’effets de couleur personnalisés
 Effets de panoramique Panscan
 Suivi d’animation permettant d’animer vignettes, formes utilisateur et d’autres effets
 Application de contraintes légales de diffusion pour garantir le respect de la
réglementation
 Prise en charge de surfaces de contrôle propres à l’étalonnage
 Et de nombreuses autres fonctionnalités10 Préface Documentation et ressources de Color
Tous ces outils sont répartis dans huit « studios » de l’interface utilisateur de Color,
qui sont présentés dans l’ordre correspondant à la façon de travailler de la plupart des
coloristes. Vous pourrez utiliser Color pour étalonner, équilibrer et « habiller » d’effet
stylisés chaque plan de votre programme, dans le cadre de la dernière étape de votre
flux de post-production. Vous pourrez ainsi donner donnerez ainsi à vos programmes
un aspect finalisé et professionnel qui n’était jusqu’ici accessible qu’au travers de maté-
riels très coûteux.
Utilisation de la documentation de Color
La documentation fournie avec Color se compose d’un Guide de configuration imprimé
et d’un manuel de l’utilisateur électronique.
Guide de configuration de Color
Le Guide de configuration de Color contient des extraits du manuel de l’utilisateur électronique, qui vous feront comprendre de quelle façon Color s’intègre à différents flux de
post-production et qui vous aideront à configurer les paramètres de projet et les préfé-
rences utilisateur de Color en fonction de vos besoins. Si vous venez d’installer Color et
si vous voulez savoir comment configurer votre système pour l’utiliser de façon efficace,
commencez par lire ce guide.
Color Manuel de l’utilisateur à l’écran
Le manuel de l’utilisateur de Color, accessible via le menu Aide, contient toutes les
informations utiles sur le logiciel. Il est destiné aux utilisateurs de tous niveaux.
 Les monteurs et spécialistes d’autres aspects de la post-production qui n’ont pas
d’expérience du processus d’étalonnage pourront, grâce à ces informations, mettre
le pied à l’étrier et consulter des explications détaillées sur le fonctionnement et la
justification de toutes les commandes.
 Les coloristes venant à Color en ayant déjà l’expérience d’autres environnements
d’étalonnage peuvent sauter les premiers chapitres pour aller directement aux informations détaillées sur le fonctionnement de Color et sur chaque paramètre accessible dans chaque studio de l’interface utilisateur de Color.
Remarque : le manuel de l’utilisateur à l’écran reprend toutes les informations fournies
dans le Guide de configuration de Color, sous une forme permettant toutes les recherches et avec des illustrations en couleur.
Guides d’initiation
Vous disposez aussi d’une collection de guides d’initiation sur DVD-ROM qui vous permettront d’être rapidement opérationnel dans votre utilisation de Color. Ces guides d’initiation vous initient à chaque grande zone de l’interface utilisateur et constituent un bon
moyen d’avoir une vue d’ensemble de toutes les fonctions avant de vous plonger dans le
manuel de l’utilisateur.Préface Documentation et ressources de Color 11
Sites web Color
Les sites web ci-après proposent des informations générales, des mises à jour et des
informations techniques sur Color, ainsi que les nouvelles, ressources et supports de
formation les plus récents.
Pour en savoir plus sur Color, consultez le site suivant :
 http://www.apple.com/fr/finalcutstudio/color
Pour en savoir plus sur le programme Apple Pro Training, consultez le site (en anglais) :
 http://www.apple.com/fr/software/pro/training
Pour nous faire parvenir vos commentaires sur Color, consultez la page suivante :
 http://www.apple.com/fr/feedback/color.html
Site web de service et d’assistance Apple
Le site web de service et d’assistance Apple propose des mises à jour de logiciels et
des réponses aux questions le plus fréquemment posées sur tous les produits Apple,
y compris Color. Sur ce site, vous aurez aussi accès aux caractéristiques techniques
complètes des produits, aux documentations de référence et à des articles techniques
sur les produits Apple :
 http://www.apple.com/fr/support
Pour une assistance propre à Color, consultez la page suivante :
 http://www.apple.com/fr/support/color1
13
1 Notions élémentaires relatives à
l’étalonnage (ou correction de
couleurs)
Pour mieux vous familiariser avec le fonctionnement du logiciel Color, il est important de cerner le processus d’étalonnage
(ou correction de couleurs) global et la façon dont les images
sont travaillées en postproduction, dans le cours des flux de
travaux appliqués aux films et vidéos SD et HD.
Si vous êtes nouveau dans l’étalonnage, la première partie de ce chapitre va vous fournir des informations générales sur les flux d’étalonnage pour vous aider à mieux comprendre le mode d’exécution de Color. La deuxième partie explique les concepts clés de
couleur et d’imagerie qui sont importants pour le fonctionnement de l’interface Color.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 Définition de l’étalonnage (p. 13)
 Quand se déroule le processus d’étalonnage ? (p. 17)
 Étalonnage dans Color (p. 24)
 Normes d’encodage des images (p. 26)
 Concepts de base liés aux couleurs et à l’imagerie (p. 31)
Définition de l’étalonnage
Dans tout travail de postproduction, l’étalonnage constitue généralement l’une des dernières étapes de finalisation d’un programme monté. Le logiciel Color a été créé pour
vous permettre de contrôler précisément l’apparence de chaque plan de votre projet. Il
fournit en effet des outils flexibles et un espace de travail performant servant au réglage
du contraste, de la couleur et de la géométrie de chaque plan de votre programme.14 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs)
Objectifs de l’étalonnage
Lorsque vous étalonnez un programme donné, vous êtes amené à effectuer une grande
partie, voire la totalité, des tâches décrites dans cette section. Color fournit un ensemble
de fonctions extrêmement complètes vous permettant d’accomplir toutes ces opérations et bien d’autres encore. Chaqun sait que la quantité de travail consacrée à une session d’étalonnage est généralement limitée par le temps et, pour vous permettre d’aller
aussi loin que possible dans ce processus, l’interface d’étalonnage dédiée de Color permet un travail rapide et efficace.
Concepts de base
Tout contenu (ou « programme ») requiert que vous exécutiez au moins les opérations pré-
sentées ci-dessous. Avec de l’entraînement, vous pourrez accomplir la plupart d’entre elles
au moyen des principaux outils d’étalonnage (pour en savoir plus, consultez le chapitre 1,
« Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) », à la
page 13).
 S’assurer que les éléments clés de votre programme ont l’apparence souhaitée : chaque
scène de votre programme possède des éléments clés auxquels le spectateur prête
une attention toute particulière. Dans une vidéo narrative ou documentaire, l’attention va vraisemblablement se porter sur les individus présents dans chaque plan. Dans
une publicité, l’élément clé sera sans aucun doute le produit (par exemple, l’étiquette
figurant sur une bouteille ou la couleur d’une voiture). Quels que soient ces éléments
clés, il est très possible que vous-même ou votre public ayez certaines attentes quand
à leur apparence et c’est à vous de faire en sorte que les couleurs du programme correspondent à celles du plan d’origine.
Lorsque vous utilisez des plans de personnes, un des principes de base de l’étalonnage
est de veiller à ce que leur teint dans le programme ait le même aspect (ou une meilleure
apparence) que dans la réalité. Quel que soit l’ethnie ou le teint, les couleurs de peau des
êtres humains mesurées objectivement avec un oscilloscope vectoriel sont plus ou
moins comprises dans la même plage (même si la saturation et la luminosité varient).
Color fournit les outils permettant d’apporter toutes les retouches nécessaires pour que
les couleurs de peau des personnages de votre montage final aient l’aspect souhaité.
 Corriger les erreurs de balance des couleurs et d’exposition : tout d’abord, l’exposition
ou la balance des couleurs des images obtenues numériquement (qu’elles soient
tournées sur une caméra vidéo analogique ou numérique, ou bien encore transfé-
rées à partir d’une pellicule) n’est souvent pas optimale. Par exemple, un grand nombre de caméscopes et de caméras de cinéma numériques enregistrent délibérément
les noirs ne correspondant pas tout à fait à un taux de 0 pour cent de façon à éviter
d’écraser inutilement des données de façon intempestive. Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 15
En outre, des accidents peuvent se produire lors de n’importe quel tournage. Par exemple, la balance des couleurs du film utilisé par l’équipe de tournage n’était peut-être
pas adaptée aux conditions de tournage ou un membre de l’équipe a peut-être oublié
de régler la balance des blancs de la caméra vidéo avant de filmer un entretien dans
un bureau éclairé par des lumières fluorescentes, ce qui produit des images aux teintes
verdâtres. Color permet de corriger facilement ces types d’erreurs.
 Harmoniser tous les plans d’une scène : la plupart des programmes montés incorporent des données provenant de sources diverses, dont le tournage a eu lieu en diffé-
rents endroits et sur plusieurs jours, semaines ou mois de production. Même avec
une excellente équipe de cadreurs et d’éclairagistes, il est très possible que des diffé-
rences de couleurs et d’exposition se produisent, et ce parfois entre des plans d’une
même scène.
Une fois ces plans montés, ces changements de couleurs et d’éclairage risquent de
faire ressortir certains plans par rapport aux autres, ce qui donne un aspect peu harmonieux au montage. Grâce à un étalonnage soigné, tous les plans d’une même
scène peuvent être harmonisés pour sembler se dérouler au même moment et au
même endroit, avec un éclairage identique. Ce processus est couramment appelé
étalonnage de scène à scène.
 Créer un contraste : l’étalonnage peut également servir à créer un contraste entre
deux scènes pour obtenir un effet plus frappant. Imaginez l’enchaînement d’une
scène tournée dans la jungle luxuriante dans les tons de vert avec une autre scène
filmée dans un désert aride, riche en rouges et en jaunes. Grâce à l’étalonnage, vous
pouvez accentuer ces différences de façon subtile.
 Créer une ambiance : le processus d’étalonnage ne se limite pas uniquement à l’harmonisation des données vidéo de votre œuvre selon un modèle objectif d’exposition.
Tout comme le son, la couleur, lorsqu’elle est maniée avec subtilité, est une propriété
qui procure une intéressante marge de contrôle supplémentaire sur votre programme.
Grâce à l’étalonnage, vous pouvez décider d’attribuer à votre vidéo des couleurs
riches et saturées ou, à l’inverse, plus discrètes. Vos plans peuvent prendre un aspect
plus chaleureux si vous poussez leurs tonalités vers les rouges ou, au contraire, plus
froid si vous privilégiez les bleus. Vous pouvez extraire les détails des ombres ou les
écraser de façon à augmenter le contraste de l’image et lui donner une apparence
plus nette. Ces modifications subtiles influent sur la façon dont les spectateurs per-
çoivent une scène et peuvent changer l’atmosphère d’un programme. Après avoir
choisi l’apparence souhaitée pour votre œuvre, ou pour une scène isolée, vous pouvez recourir à l’étalonnage pour vous assurer que tous les plans des scènes appropriées sont harmonisés afin de s’enchaîner avec cohérence.16 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs)
 Se conformer aux recommandations pour assurer la légalité des diffusions : si un programme est destiné à la télédiffusion, une série de recommandations de contrôle
qualité vous est généralement fournie, indiquant les limites « légales » définies pour
le niveau de noir minimum et le niveau de blanc maximum, ainsi que les valeurs
minimales et maximales fixées pour la saturation chromatique et les images RVB
composites. Il est important de se conformer à ces recommandations pour s’assurer
que le programme peut être diffusé, car les valeurs « illégales » peuvent causer des
problèmes lors de l’encodage du programme pour la transmission. Étant donné que
les normes de contrôle qualité varient, il est essentiel de prendre connaissance au
préalable des recommandations applicables. Color dispose de réglages de seuil de
diffusion intégrés (parfois désignés sous le terme de légaliseur) qui empêchent automatiquement le dépassement des limites fixées pour les niveaux vidéo. Pour en
savoir plus, consultez la section « Réglages de seuils de diffusion (Broadcast Safe) » à
la page 119.
Tâches détaillées
Si vous disposez du temps nécessaire, les outils Color vous permettent de régler plus
précisément l’apparence de votre programme :
 Réglage séparé d’éléments spécifiques : il est parfois nécessaire de cibler de façon
sélective une plage étroite de couleurs dans le but de ne corriger ou remplacer que
la série correspondante de valeurs de couleur. Il peut s’agir, par exemple, de transformer une voiture rouge en voiture bleue ou de neutraliser un peu un vêtement de
couleur trop vive. Ces tâches composent ce qu’on appelle étalonnage secondaire et
Color met à votre disposition de nombreux outils qui vous permettent de les mener
à bien. Pour en savoir plus, consultez la section chapitre 10, « Secondaries », à la
page 241.
 Procéder à des réglages numériques de l’éclairage : parfois, les réglages de l’éclairage
qui paraissaient appropriés lors du tournage ne s’avèrent pas aussi performants lors
du processus de postproduction. Les changements intervenant dans la vision du réalisateur, les modifications apportées aux tons de la scène montée ou les suggestions
émises par le directeur de la photographie lors de la postproduction peuvent nécessiter l’ajustement de l’éclairage d’une scène au-delà des simples réglages du contraste
global de l’image. Color fournit des options puissantes de masquage définissable par
l’utilisateur qui, conjointement avec des options d’étalonnage secondaires, permettent
d’isoler plusieurs régions d’une image et d’affiner l’éclairage. Ce processus est parfois
appelé rectification numérique de l’éclairage. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 10,
« Secondaries », à la page 241 et la section « Onglet Shapes » à la page 337.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 17
 Création d’effets spéciaux : une scène requiert parfois des effets plus extrêmes, comme
la manipulation intensive des couleurs et de l’exposition pour l’obtention d’un effet de
« nuit américaine », de façon à créer un état étrange pour une séquence de retour en
arrière ou d’hallucination ou simplement une ambiance bizarre pour un clip vidéo. Le
« studio » Color FX du logiciel Color vous offre une palette d’outils organisée de façon
arborescente et extensible, qui permet de créer efficacement des images composites
en profondeur, conjointement avec les autres outils principaux et secondaires à votre
disposition. Pour en savoir plus, consultez la section chapitre 11, « Color FX », à la
page 269.
Si ces tâches semblent exiger beaucoup de travail, ce n’est pas une impression, c’est
vraiment le cas. Heureusement, l’interface Color vous aide à assurer l’organisation de
ces tâches.
Quand se déroule le processus d’étalonnage ?
La fidélité des couleurs d’un programme ne doit pas être négligée jusqu’à l’étape d’étalonnage du processus de postproduction. Dans l’idéal, chaque projet débute avec une philosophie de gestion des couleurs qui est appliquée durant le tournage, maintenue pendant
les diverses phases de transfert et de montage survenant au cours de la postproduction et
se termine par la phase d’étalonnage finale mise en œuvre dans Color. Cette section explique la façon dont les images de vidéo et de film sont habituellement traitées lors du processus de postproduction.
Début de la gestion des couleurs lors du tournage
Qu’un programme soit créé à l’aide d’images numériques de vidéo ou de film, ou bien
encore de toute autre application d’imagerie numérique haute résolution, il est important
de noter que le processus de détermination de l’apparence générale d’un programme commence lorsque chaque scène est éclairée et tournée lors de la production. Pour optimiser le
contrôle et la flexibilité de vos plans en phase de postproduction, l’idéal serait de travailler
avec des séquences tournées en fonction de l’objectif final. L’étalonnage en phase de postproduction ne peut pas remplacer un bon éclairage.
Le processus d’étalonnage peut être considéré comme le prolongement et l’amélioration de la vision de départ du producteur, du réalisateur et du directeur de la photo.
Souvent, le directeur de la photographie participe directement au processus d’étalonnage pour s’assurer de l’obtention du résultat recherché.
Dans d’autres cas, c’est le réalisateur ou le producteur qui peut changer d’avis quant
à l’apparence finale souhaitée. L’étalonnage permet alors de modifier l’apparence globale (en rendant, par exemple, plus chaleureuses des images tournées initialement
pour donner un résultat froid). Bien que Color offre un niveau de contrôle exceptionnel
sur vos données, il est néanmoins essentiel d’avoir comme base de travail des images
correctement exposées.18 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs)
En outre, les choix effectués au cours de la postproduction et du tournage, et notamment le format de vidéo ou de film et les réglages de caméra utilisés, peuvent avoir
une incidence considérable sur la latitude dont on dispose lors du processus d’étalonnage final.
Étalonnage initial lors du transfert du film
Lorsqu’un projet a été tourné sur pellicule, les négatifs de la caméra doivent d’abord être
transférés vers le format de bande vidéo ou de vidéo numérique choisi avant les phases
de montage et de postproduction numérique à l’aide d’un équipement de télécinéma
ou de cinéma numérique. Un système de télécinéma est une machine permettant de
transférer un film sur bande vidéo alors qu’un équipement de cinéma numérique est
configuré pour transférer les films directement vers un format numérique, c’est-à-dire
généralement vers une séquence d’images.
Habituellement, le coloriste exécutant la session de transfert de film procède à un étalonnage pour s’assurer que le monteur dispose de l’image la plus appropriée pour son
travail. Les objectifs de l’étalonnage à ce stade dépendent généralement de la longueur du projet et du flux de postproduction qui a été choisi.
 Pour les projets courts, les publicités et toutes les vidéos de courte durée, un étalonnage détaillé peut être appliqué immédiatement. Le coloriste commencera par calibrer le propre correcteur colorimétrique du télécinéma afin d’équilibrer correctement
les blancs, les noirs et les couleurs. Ensuite, en accord avec le directeur de la photographie, le réalisateur ou le producteur, il travaillera plan par plan pour déterminer
l’apparence de chaque plan par rapport aux besoins du projet. Le monteur disposera
ainsi d’images déjà corrigées.
 Les projets, tels que les films long métrage et les programmes télévisés de longue
durée, ne bénéficieront probablement pas d’emblée d’une phase d’étalonnage. Les
séquences qui sont transmises via le télécinéma seront équilibrées pour obtenir une
exposition et des couleurs relativement satisfaisantes, l’objectif étant uniquement de
fournir une image de bonne qualité au monteur. Un étalonnage détaillé est ensuite
effectué à un autre stade.
Négatif de la caméra Télécinéma Bandes vidéoChapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 19
 Les projets de toute longueur qui sont traités en postproduction sous forme d’intermé-
diaire numérique sont transférés avec une phase d’étalonnage conçue pour conserver
une quantité maximale de données d’image. Étant donné qu’un deuxième (et dernier)
étalonnage numérique est prévu à la fin du processus de postproduction, il est essentiel que les données d’image soient de bonne qualité et conservent un maximum de
détails des tons clairs et des tons foncés. Il faut noter que le but étant de préserver les
données d’image et non pas de créer l’apparence finale du programme, l’image de
qualité optimale utilisée pour l’étalonnage ne sera peut-être pas celle qui est visuellement la plus attractive.
Toutefois, l’étalonnage est effectué lors du transfert initial au moyen du télécinéma ou
du système de cinéma numérique. Une fois cette opération terminée, les images sont
traitées par les processus habituels de postproduction, dans le cadre de la gestion éditoriale hors ligne et en ligne.
Étalonnage de film et de vidéo
Color a été conçu pour s’intégrer à des flux de traitement intermédiaires numériques de
vidéo et de film. Étant donné que toutes les images doivent d’abord être transférées
vers un format de séquence d’images ou QuickTime pour être importées dans Color,
les images de vidéo et de film sont corrigées au moyen des mêmes outils et méthodes.
Trois attributs principaux, qui ont tous été déterminés lorsque les images ont été initialement capturée ou transférées avant l’importation dans Color, ont une incidence
sur la qualité des données utilisées dans un programme :
 Le type et le niveau de compression appliqué aux données
 La profondeur de bits à laquelle l’encodage est effectué
 Le rapport de sous-échantillonnage chromatique utilisé
Pour l’étalonnage, la compression spatiale et temporelle doit être limitée, car les artefacts de compression peuvent compromettre la qualité de vos réglages. Par ailleurs, il
est généralement préférable d’utiliser des données dont la profondeur de bits est élevée (voir la section « Profondeur de bits » à la page 30).
Point essentiel à noter : des rapports de sous-échantillonnage chromatique élevés,
tels que 4 :4 :4 ou 4 :2 :2, sont recommandés pour optimiser la qualité et la flexibilité
de vos corrections. Rien ne vous empêche de travailler avec des images sous-échantillonnées à 4 :1 :1 ou 4 :2 :0, mais vous constaterez peut-être que les réglages de contraste extrêmes et les sélections secondaires homogènes sont plus difficiles à effectuer
avec des espaces colorimétriques hautement compressés.
Pour en savoir plus, consultez la section « Sous-échantillonnage chromatique » à la
page 27.20 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs)
Méthodes traditionnelles d’étalonnage final
Une fois le montage terminé et l’image verrouillée, l’étalonnage (appelé étalonnage
colorimétrique dans le monde cinématographique) commence. Ce processus était
habituellement accompli via une session de calibrage des couleurs pour un film ou
d’étalonnage bande à bande pour une vidéo.
Calibrage des couleurs d’un film
Les programmes dont la finalisation et l’étalonnage ont été réalisés sur pellicule sont habituellement soumis à un processus de mise en conformité des négatifs avant le calibrage des
couleurs. Une fois le processus éditorial terminé, le négatif original de la caméra est mis en
conformité avec la copie de travail ou le passage vidéo du programme monté à l’aide d’une
liste de conformation ou liste des épreuves (si le programme a été monté avec Final Cut Pro,
cette liste peut être obtenu au moyen de l’application Cinema Tools). Cette liste répertorie
chacun des plans utilisés dans le programme monté et montre comment ces derniers
s’intègrent les uns aux autres. Ce processus est long et minutieux. Il faut savoir par ailleurs
que la correction des erreurs commises pendant la coupe du négatif est très onéreuse.
Une fois que le négatif de la caméra a été mis en conformité et les différents plans ont
été physiquement collés les uns aux autres sur les rouleaux A et B en alternance, le calibrage de couleurs peut lui être appliqué par le biais d’une imprimante optique conçue
pour ce processus. Ces machines envoient une lumière filtrée à travers les négatifs originaux de façon à exposer une copie positive intermédiaire, créant ainsi une seule
bobine de film qui correspond à la copie étalonnée.
Le processus permettant de contrôler chaque plan et de corriger la couleur scène par
scène est réalisé à l’aide de trois commandes permettant d’ajuster séparément la proportion de lumière rouge, verte et bleue à laquelle le film est exposé, grâce à une série
de filtres et d’obturateurs optiques. Chacun des cadrans rouge, vert et bleu est réglé
par incréments discrets, appelés points d’impression (chaque point étant une fraction
d’ouverture de diaphragme, qui correspond à l’échelle utilisée pour mesurer l’exposition d’une pellicule). En général, une plage totale de 50 points est utilisée, dans laquelle
le point 25 représente l’état neutre d’origine de ce canal de couleur. Le fait d’augmenter ou de réduire la valeur des trois canaux de couleur en même temps assombrit ou
éclaircit l’image, tandis que l’application de réglages disproportionnés aux trois canaux
modifie la balance des couleurs de l’image en fonction des ajustements.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 21
Les réglages de la machine utilisés pour chaque plan peuvent être enregistrés (en une
seule fois, au moyen de la technologie des bandes papier) et rappelés à tout moment,
pour faciliter les opérations de recalibrage et de réglage ultérieures, le processus
d’impression étant automatisé une fois le calibrage manuel terminé. Une fois la copie
intermédiaire exposée, il est possible de la développer et de projeter les résultats finaux.
Bien que ce système d’étalonnage puisse paraître peu pratique comparativement
aux outils numériques actuels utilisés pour la manipulation des images, il représente
un moyen d’étalonnage extrêmement efficace pour les utilisateurs qui le maîtrisent.
Remarque : Color inclut des options de réglage des points d’impression destinées
aux coloristes qui sont familiarisés avec cette méthode d’étalonnage. Pour en savoir
plus, consultez la section « Onglet Advanced » à la page 237.
Étalonnage bande à bande
Pour les projets tournés sur bande vidéo (et ceux tournés sur pellicule qui n’autorisent pas
une deuxième phase de télécinéma), le processus d’étalonnage s’intègre au flux de travaux
en ligne/hors ligne vidéo traditionnel. Une fois le montage verrouillé, la bande maître finale
est assemblée, soit par une remise en conformité sur le système initialement utilisé pour le
montage hors ligne, soit par l’intégration de la liste EDL et des bandes source d’origine dans
une suite en ligne compatible avec les formats des bandes source.
Si l’assemblage en ligne a lieu dans une suite en ligne haut de gamme, l’étalonnage
peut être effectué lors de l’assemblage de la bande maître ou après l’assemblage en
soumettant la bande maître à une session d’étalonnage.
Négatif
de la caméra
Conformation
du négatif
Calibrage optique
des couleurs
Impression
du film final
Bandes vidéo Télécinéma Montage off line Bande du
master final
Série de bandes22 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs)
Remarque : si la bande maître finale est étalonnée, le coloriste doit effectuer avec soin
un fondu et un balayage sur les opérations d’étalonnage en fonction des fondus et
balayages vidéo du programme.
Dans les deux cas, le signal vidéo est traité par du matériel et des logiciels d’étalonnage vidéo dédiés et le coloriste utilise le timecode principal de la bande afin de configurer et de conserver les réglages d’étalonnage pour chaque plan de chaque scène.
Tandis que l’étalonnage vidéo s’appuyait au départ sur des options aussi simples que
celles utilisées par les coloristes de film, l’évolution de la suite d’étalonnage en ligne a
intégré de nombreux outils supplémentaires dans le processus, parmi lesquels des corrections séparées pour les zones tonales discrètes, un étalonnage secondaire de sujets
spécifiques au moyen d’options d’incrustation et de réglage de formes, ainsi que bien
d’autres options créatives dont les coloristes de film ne disposaient pas auparavant.
Étalonnage au moyen d’une deuxième phase de télécinéma
Les programmes tournés sur pellicule qui sont destinés à la masterisation vidéo (par exemple, pour une série télévisée à épisodes) peuvent être renvoyés dans la suite de télécinéma
pour leur étalonnage final. Une fois le montage terminé et l’image verrouillée, une liste de
conformation ou liste des épreuves (semblable à celle utilisée pour la conformité des négatifs) correspondant à la liste EDL du programme monté est créée.
Grâce à la liste de conformation, le responsable de la postproduction tire uniquement
le négatif effectivement utilisé pour le montage. Étant donné que cela ne représente
qu’une minorité des séquences initialement tournées, le coloriste dispose maintenant
de plus de temps (selon le budget alloué au projet, bien entendu) pour effectuer un
étalonnage plus détaillé sur les séquences sélectionnées qui vont être assemblées
pour constituer le programme vidéo final lors de cette phase de télécinéma finale.
Même si ce processus semble redondant, le fait d’effectuer directement l’étalonnage à
partir du négatif présente plusieurs avantages distincts. La pellicule possédant plus de
nuances que la vidéo entre le noir et le blanc, un coloriste qui s’appuie sur le procédé
de télécinéma dispose d’un choix plus large en termes de couleur et d’exposition que
s’il travaillait uniquement à partir d’une vidéo.
En outre, l’équipement d’étalonnage disponible pour le coloriste de télécinéma a évolué pour correspondre (et parfois être identique) aux outils à la disposition des coloristes de vidéo en ligne, lui permettant en outre de travailler directement sur les images
non compressées qui sont fournies par le télécinéma.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 23
Une fois le second étalonnage terminé, les passages retenus sont à nouveau assemblés
pour correspondre au montage d’origine et le projet est matricé sur bande.
Même si vous n’avez pas l’intention d’étalonner votre programme dans la suite de
télécinéma, vous pouvez envisager de retransférer des plans spécifiques pour effectuer
des modifications qui sont plus faciles à exécuter ou de meilleure qualité si elles sont
apportées directement à partir du négatif original de la caméra. Par exemple, après
avoir identifié les plans à retransférer dans votre séquence Final Cut Pro, vous pouvez
utiliser l’application Cinema Tools pour créer une liste de passages choisis (par exemple, uniquement pour les plans que vous souhaitez élargir optiquement), de façon à
accélérer le processus de transfert.
Négatif
de la caméra
Télécinéma
peu coûteux
à lumière unique Multimédia
off line Reconformation
du master final
Montage off line Télécinéma
à la meilleure
lumière
Autre avantages des transferts télécinéma
Outre l’étalonnage, un coloriste travaillant avec un télécinéma dispose de plusieurs
options pour les problèmes éventuels rencontrés lors du montage.
 En utilisant un télécinéma pour extraire l’image du négatif, le coloriste peut repositionner l’image afin d’intégrer les parties qui se trouvent hors de la zone d’action
sécurisée vidéo.
 Grâce au procédé de télécinéma, l’image peut également être agrandie optiquement, éventuellement jusqu’à 50 %, sans déformation visible.
 La possibilité de recadrer les plans au télécinéma permet au réalisateur ou au producteur d’apporter des modifications significatives à une scène, de transformer un
plan moyen en gros plan pour conférer un effet dramatique ou de déplacer l’image
entière vers le haut afin de rogner un micro ayant été malencontreusement placé
dans le champ.24 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs)
Étalonnage dans Color
Vous avez découvert comment l’étalonnage est effectué dans d’autres environnements
de postproduction. Cette section décrit comment Color s’intègre à un processus de
postproduction standard de film ou de vidéo.
Color met à votre disposition sur votre bureau un grand nombre d’outils d’étalonnage
avancés qui étaient auparavant disponibles dans les suites d’étalonnage bande à bande
et télécinéma haut de gamme. En outre, Color offre dans le studio Color FX des outils
supplémentaires qui sont plus couramment présents dans des applications de compositing dédiées et vous permettent de contrôler encore plus en détail les images de votre
programme (pour en savoir plus, consultez le chapitre 11, « Color FX », à la page 269).
Le logiciel Color a été conçu comme un environnement d’étalonnage de film ou de
vidéo. Indépendant de la résolution, il prend en charge aussi bien les vidéos de définition standard que les numérisations de films en 2K. Il supporte également plusieurs formats de données et est compatible avec des données d’image utilisant divers formats
de séquences d’images et les codecs QuickTime.
Color a aussi été conçu pour être incorporé à un flux de travaux intermédiaire numérique. Un intermédiaire numérique correspond à une version numérique haute qualité
de votre programme qui peut être montée, étalonnée et manipulée numériquement
d’une autre façon à l’aide de matériel informatique et de logiciels, et non pas de
magnétophones ou d’imprimantes optiques.
Les monteurs, les spécialistes des effets visuels et les coloristes qui procèdent à la finalisation des programmes vidéo sans utiliser de bande travaillent depuis des années avec des
intermédiaires numériques, mais le terme décrit généralement le processus consistant à
balayer numériquement des images de film, dans le but d’effectuer toutes les opérations
liées à la mise en conformité du montage, aux effets et à l’étalonnage de façon numérique. Les données d’image numériques sont ensuite imprimées directement sur la pellicule ou compilées sous forme de fichier pour la projection numérique.
La finalisation numérique des programmes de film ou de vidéo libère les coloristes des
restrictions imposées par les mécanismes de transport sur pellicule ou sur bande, accé-
lérant ainsi leur travail en leur permettant de naviguer dans un projet aussi rapidement
que s’ils se trouvaient dans une application de montage non linéaire. En outre, le fait de
travailler avec les données d’image numériques fournit une marge de sécurité en éliminant le risque de détérioration du négatif ou d’altération des bandes source.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 25
Quand se déroule le processus d’étalonnage dans Color ?
L’étalonnage à l’aide de Color est généralement effectué à la fin (ou vers la fin) du montage
en ligne ou de la mise en conformité du projet, souvent en même temps que le mixage
audio final. Même s’il est toujours préférable d’attendre que l’image soit verrouillée, cela
n’est pas essentiel car Color fournit des outils permettant de synchroniser des projets qui
sont en cours de montage via des fichiers XML ou des listes EDL.
Color a été conçu pour fonctionner conjointement avec des applications de montage
telles que Final Cut Pro, qui prend en charge les données d’entrée, le montage et les
données de sortie, tandis que Color vous permet de vous concentrer sur l’étalonnage
et les effets connexes.
Importation de projets et de données dans Color
Pour travailler sur un programme dans Color, vous devez disposer de deux séries
de fichiers :
 Le fichier de projet monté (ou les fichiers, si le programme couvre plusieurs bobines)
dans un format pouvant être importé dans Color. Les formats compatibles incluent
les fichiers EDL et les fichiers XML Final Cut Pro de presque tout environnement de
montage. Les données de séquences Final Cut Pro peuvent également être envoyées
à Color directement si vous avez installé Final Cut Pro sur le même ordinateur, à l’aide
de la commande « Send to Color ».
 Vous devez également disposer de versions numériques haute qualité des données
source originales, dans un format de séquence d’image ou compatible QuickTime.
La flexibilité des formats de projets et de données signifie que Color peut être incorporé dans une grande variété de flux de postproduction. Pour obtenir une présentation de différents flux d’étalonnage disponibles avec Color, consultez le chapitre 2,
« Flux de production de l’étalonnage », à la page 39.
Quelles images sont utilisées par Color ?
Color fonctionne avec des plans de film ou de vidéo, comme des fichiers QuickTime
ou des séquences d’images, à divers taux de compression et résolutions. Cela signifie
que vous avez la possibilité de travailler aussi bien sur des plans QuickTime DV-25
hautement compressés que sur des séquences d’images .tif 2K non compressées,
en montage 8 ou 10 bits (linéaire ou chronologique), quelles que soient les données
fournies par vos clients.26 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs)
Exportation de projets à partir de Color
Comme indiqué ci-dessus, Color ne gère pas seul la capture ou la sortie sur bande
des données vidéo. Une fois que l’étalonnage de votre projet dans Color est terminé,
vous devez procéder au rendu de chaque plan du projet sur disque sous la forme
d’une autre série de fichiers de données étalonnés, puis renvoyer votre projet Color
dans Final Cut Pro ou le transférer dans un autre équipement pour la mise sur bande
ou la sortie sur film. Pour en savoir plus, consultez la section chapitre 17, « File d’attente
de rendu », à la page 361.
Normes d’encodage des images
Cette section fournit des informations importantes sur les normes d’encodage des images prises en charge par Color. Les données d’image que vous allez étalonner sont en
général encodées au format RVB ou Y´CB
CR
(désigné parfois par le signe plus simple de
YUV). Color est extrêmement flexible et accepte les données d’image de tout type.
Modèle à couleurs additives RVB
Dans le modèle à couleurs additives RVB, trois canaux de couleur sont utilisés pour
enregistrer les valeurs de rouge, de vert et de bleu en différentes quantités et représenter chaque couleur disponible pouvant être reproduite. Le réglage de la balance relative des valeurs dans ces canaux de couleur permet d’ajuster la couleur représentée.
Lorsque les trois valeurs sont égales, vous obtenez un ton neutre, allant du noir au
blanc, en passant par le gris.
Plus généralement, vous noterez que ces rapports sont exprimés sous forme de pourcentages numériques dans l’oscilloscope des parades ou l’histogramme de Color. Par
exemple, si les trois canaux de couleur correspondent à 0 pour cent, le pixel est noir.
Ou si les trois canaux de couleur sont à 50 pour cent, le pixel est gris neutre. Si les trois
canaux de couleur ont la valeur 100 pour cent (valeur maximale), le pixel est blanc.
Bien que quelques codecs QuickTime de haute qualité encodent les données vidéo
à l’aide du modèle RVB (Animation est l’un des plus couramment utilisés), les images
encodées selon ce modèle sont généralement enregistrées sous forme de séquences
d’images non compressées.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 27
Modèle de couleurs Y’CB
CR
Les données vidéo sont généralement enregistrées à l’aide du modèle de couleurs
Y´CB
CR
. Le codage de couleurs Y´CB
CR
utilise également trois canaux ou composantes.
Une image est divisée en une composante luminance (luminance d’une image dont la
valeur gamma a été modifiée) et deux composantesdifférence de couleurs qui encodent
la chromie (chrominance). Ces trois composantes forment l’image que vous voyez lors
de la lecture de votre vidéo.
 La composante Y´ représente la partie en noir et blanc de la gamme de tons d’une
image. L’œil ayant une sensibilité différente aux parties rouges, vertes et bleues du
spectre, la « clarté » de l’image que la composante Y´ reproduit résulte d’un rapport
pondéré entre les canaux de couleur R, V et B (auxquels la correction gamma a été
appliquée). Considérée de façon isolée, la composante Y’ est l’image monochrome.
 Les deux composantes traitant la différence de couleurs, CB
et CR
, sont utilisées pour
encoder les informations de couleur de façon à ce que les trois canaux de couleur
des données d’image soient réduits à deux canaux. Quelques calculs mathématiques
permettent de tirer parti du fait que la composante Y’ enregistre également les informations de vert de l’image. L’opération utilisée pour obtenir chaque composante de
couleur est en fait CB
= B’ – Y’, tandis que CR
= R’ – Y’.
Remarque : ce modèle a été initialement créé pour rendre les anciennes télévisions en
noir et blanc compatibles avec les méthodes de transmission plus récentes des télévisions en couleurs.
Sous-échantillonnage chromatique
Dans une vidéo encodée au format Y´CB
CR
, les canaux de couleur sont généralement
échantillonnés avec un rapport inférieur à celui employé pour le canal de luminance.
L’œil humain étant plus sensible aux différences de luminosité que de couleur, cette
caractéristique a été utilisée pour réduire les besoins en termes de taux de transfert
des données vidéo (ou débit) sans perte perceptible au niveau de l’image.
Le rapport d’échantillonnage entre les canaux Y´, CB
et CR
est représenté sous la forme
d’une suite de trois valeurs. Les rapports de sous-échantillonnage chromatique courants sont les suivants :
 La vidéo à sous-échantillonnage chromatique 4 :4 :4 encode la couleur sans aucune
compression, avec le plus haut niveau de qualité possible, car les canaux de différence
de couleurs sont échantillonnés avec le même rapport que le canal de luminance. Les
données d’image sous-échantillonnées au format 4 :4 :4 sont généralement obtenues
au moyen d’un équipement de télécinéma ou de cinéma numérique dans un format
de masterisation vidéo ou de séquence d’images capable de les contenir. Les images
encodées au format RVB sont toujours échantillonnées en 4 :4 :4.28 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs)
Peu de formats d’acquisition vidéo permettent l’enregistrement des données vidéo
au format 4 :4 :4, mais parmi ceux-ci, citons le système HDCAM SR et certaines camé-
ras de cinéma numériques, telles que la caméra Viper FilmStream de Thomson et le
système de caméra numérique de Genesis.
 4 :2 :2 est un rapport de sous-échantillonnage chromatique couramment utilisé pour
les formats vidéo de haute qualité, parmi lesquels Beta SP, Digital Betacam, Beta SX,
IMX, DVCPRO 50, DVCPRO HD et HDCAM.
 4 :1 :1 est habituellement employé pour les formats vidéo destinés aux consommateurs
et aux professionnels, et notamment DVCPRO 25 (NTSC et PAL), DV et DVCam (NTSC).
 4 :2 :0 est un autre rapport de sous-échantillonnage orienté consommateur, qui est
utilisé par les formats DV et DVCAM (PAL), HDV, XDCAM HD et MPEG-2.
Remarque : comme leur nom le laisse entendre, les formats Apple sans compression
8 bits 4:2:2, Apple sans compression 10 bits 4:2:2, Apple ProRes 422 (SQ) et Apple ProRes
422 (HQ) font tous appel à un sous-échantillonnage de chromie 4:2:2.
Il est important de connaître les avantages des rapports de sous-échantillonnage chromatique plus élevés dans le processus d’étalonnage. Lorsque vous êtes en position de
spécifier le format de transfert qui s’appliquera à un projet fini, veillez à demander le
format de la plus haute qualité que puisse gérer votre système (pour en savoir plus sur
les codecs de haute qualité de finalisation, consultez « Flux de production impliquant
une bande » à la page 45).
Comme vous pouvez l’imaginer, il vaut mieux disposer de davantage d’informations de
couleur lors de l’étalonnage. Ainsi, lorsque vous apportez des corrections de contraste
importantes à de la vidéo sous-échantillonnée au format 4:1:1 ou 4:2:0, le grain du film
ou le bruit de la vidéo s’en trouvent multipliés. C’est notamment le cas lorsqu’on est en
présence d’une séquence sous-exposée. Vous aurez l’occasion de vous rendre compte
qu’en effectuant les mêmes modification sur de la vidéo sous-échantillonnée à 4:2:2,
vous obtiendrez beaucoup moins de grain et de bruit. un contraste plus marqué, associé à moins de bruit, cela donne une image globale plus riche.
De plus, on fait couramment appel à des opérations de sélection sur chrominance pour
isoler des parties spécifiques de l’image pour correction. Pour cela, on utilisera les qualificateurs HSL du studio Secondaries. Ces opérations de sélection de régions génèrent
des bords plus lisses et moins « bruyants » lorsque vous travaillez sur de la vidéo sous-
échantillonnée à 4:2:2. La compression de chrominance utilisée dans les formats de
sous-échantillonnage 4:1:1 et 4:2:0 entraîne un effet d’escalier lors de l’isolation de la
composante chromie, ce qui affecte les caches créés à l’aide des qualificateurs HSL.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 29
Toutefois, il faut garder à l’esprit qu’il reste tout à fait possible de corriger de façon
importante de la vidéo très compressée. En surveillant l’évolution du bruit de l’image
lorsque vous montez le contraste d’une séquence sous-exposée, vous pouvez concentrer vos corrections sur les zones de l’image où le bruit est le moins élevé. Lorsque vous
effectuez des opérations d’étalonnage secondaire ciblées sur des parties spécifiques de
l’image, vous constaterez qu’il faut en général passer un peu plus de temps à effectuer
des incrustations lissées. Mais avec un peu de patience et d’attention, vous pouvez tout
de même obtenir de bons résultats.
Film, vidéo et sous-échantillonnage chromatique
En général, les images de film sont transférées avec le maximum de données d’image
possible, en particulier lorsqu’elles sont transmises sous forme de séquence d’images
sans aucune compression (4 :4 :4) dans le cadre d’un flux de travaux intermédiaire
numérique soigneusement géré. C’est une des raisons qui expliquent la qualité supé-
rieure du flux de travaux.
Par ailleurs, les données vidéo standard et haute définition sont généralement enregistrées avec des rapports de sous-échantillonnage chromatique moins élevés (4 :2 :2 est
couramment utilisé même avec des formats vidéo de qualité supérieure, tandis que
4 :1 :1 et 4 :2 :0 sont habituellement employés avec les formats destinés aux professionnels) et des taux de compression supérieurs, tout cela dépendant intégralement des formats d’enregistrement et de capture vidéo utilisés. Étant donné que le format vidéo
sélectionné détermine la qualité de la compression lors du tournage, vous n’avez pas la
possibilité de remédier à la perte des données d’image, si ce n’est de tirer parti au maximum des moyens dont vous disposez.
Cela étant dit, vous pouvez avec un peu d’application étalonner presque n’importe
quel format d’image vidéo compressée ou de séquence d’images avec d’excellents
résultats et Color vous donne la possibilité de travailler avec de nombreux formats
sources hautement compressés, parmi lesquels DV, HDV et DVCPRO HD.30 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs)
Profondeur de bits
La profondeur de bits des données source avec lesquelles vous travaillez est un autre
facteur pouvant influer sur la qualité des images vidéo et de vos réglages d’image. Avec
les données encodées aux formats RVB et Y´CB
CR
, plus la profondeur de bits est élevée,
plus il y a de données d’image et plus l’image et vos corrections seront homogènes.
La profondeur de bits de vos données source dépend largement de leur mode d’acquisition initial.
La plupart des données que vous recevrez correspondront à l’une des profondeurs
de bits suivantes, qui sont toutes prises en charge par Color :
 8-bit : la plupart des formats vidéo numériques grand public et professionnels standard et haute définition capturent les données d’image sur 8 bits (y compris DV et
DVCPRO-25, DVCPRO 50, HDV, DVCPRO HD, HDCAM, etc.).
 10-bit : de nombreuses interfaces de capture vidéo permettent la capture sans compression de données vidéo analogiques et numériques à une résolution de 10 bits.
 10 bits logarithmiques : en enregistrant les données sous forme logarithmique, plutôt
que linéaire, il est possible de faire correspondre un rapport de contraste plus grand
(comme celui d’un film) avec un espace de données de 10 bits. Les fichiers d’historique 10 bits sont souvent enregistrés à partir des balayages de l’équipement de
cinéma numérique à l’aide des formats de séquence d’images Cineon et DPX.
 16-bit : 16 bits de données linéaires sont nécessaires pour obtenir le même rapport
de contraste qu’en mode 10 bits logarithmiques. Les ordinateurs traitant plus facilement les données linéaires, cela représente un autre espace de données disponible
dans certains formats d’image.
Des profondeurs de bits plus élevées produisent plus de données d’images en utilisant
une plage de valeurs plus grande pour représenter la gamme tonale disponible. Cela
est évident lorsqu’on examine les plages numériques employées par les deux profondeurs de bits les plus couramment associées à la vidéo.
 Les images 8 bits utilisent une plage complète de valeurs, de 0 à 255, pour enregistrer
chaque canal de couleur (la vidéo Y´CB
CR
emploie une plage plus étroite de 16 à 235
pour prendre en charge le super noir et le super blanc). 255, ce n’est pas un nombre
de valeurs important et au final, il est possible que des effets d’escalier soit légèrement visibles dans les zones de l’image contenant des dégradés très progressifs (par
exemple les cieux).
 De leur côté, les images 10 bits utilisent une plage complète de 0 à 1023 pour enregistrer chaque canal de couleur (là encore, la vidéo Y´CB
CR
emploie une plage plus
étroite de 64 à 940 pour prendre en charge le super noir et le super blanc). La plage
numérique quatre fois plus large autorise des dégradés plus homogènes et élimine
virtuellement les artefacts liés à la profondeur de bits.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 31
Même si vous n’êtes pas toujours en mesure de régler la profondeur de bits de vos données source, vous pouvez contrôler celle à laquelle vous travaillez dans Color indépendamment. Cela signifie que vous pouvez travailler à une profondeur de bits supérieure
à celle des données source pour optimiser la qualité de vos corrections. En particulier,
de nombreux effets et corrections secondaires ont une bien meilleure apparence lorsque Color est réglé pour que la fonction de rendu s’exécute à des profondeurs de bits
plus élevées. Pour en savoir plus, consultez la section « Réglages relatifs à la lecture, au
traitement et à la sortie » à la page 126.
Concepts de base liés aux couleurs et à l’imagerie
L’étalonnage implique le réglage du contraste d’une image, de même que de sa couleur (en exerçant un contrôle séparé sur la teinte et la saturation). Cette section explique ces concepts d’imagerie importants pour que vous puissiez mieux comprendre
comment les outils Color vous permettent de modifier l’image.
Contraste
Les réglages de contraste sont les plus fondamentaux et correspondent généralement
aux premiers ajustements effectués. Le contraste est une façon de décrire la tonalité
d’une image. Si vous éliminez toutes les couleurs d’une image, de façon à la réduire à
une série de nuances de gris, le contraste se traduit par la distribution des tons sombres, moyens et clairs dans l’image.
Le contrôle du contraste implique le réglage de trois aspects de la tonalité d’une image :
 Le point noir est le pixel le plus sombre de l’image.
 Le point blanc est le pixel le plus clair de l’image.
 Les tons intermédiaires correspondent à la distribution de toutes les valeurs tonales
existant entre les points noir et blanc.
Blanc
Noir
Gris32 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs)
Le rapport de contraste est la différence entre les valeurs tonales les plus sombres et les
plus claires de l’image. En général, il est préférable d’utiliser un rapport de contraste élevé
augmentant la différence entre ces valeurs. Si vous ne recherchez pas spécifiquement à
obtenir une image à faible contraste, sachez que les rapports de contraste élevés permettent généralement de produire des images plus claires et plus nettes. Les deux images
ci-après, avec leurs histogrammes de distributions des ombres, des tons intermédiaires
et des hautes lumières (de gauche à droite), illustrent cela.
En outre, le fait de maximiser le rapport de contraste d’une image facilite les autres opé-
rations d’étalonnage en distribuant de façon plus homogène la couleur de l’image dans
les trois zones tonales réglées au moyen des trois options de réglage de la balance des
couleurs des studios Primary In, Secondaries et Primary Out. Cela permet d’apporter plus
aisément des corrections individuelles aux ombres, aux tons intermédiaires et aux hautes lumières.
Pour en savoir plus sur le réglage du contraste d’une image, consultez la section
« Utilisation des commandes de contraste Primary » à la page 195.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 33
Luminance
La luminance (qui correspond en termes techniques au paramètre de luminance avec
correction gamma) décrit l’exposition (luminosité) d’un plan vidéo, depuis le noir absolu,
jusqu’au blanc le plus éclatant en passant par toute la distribution des tonalités de gris.
La luminance peut être séparée de la couleur d’une image. En fait, si vous désaturez
complètement une image, l’image à niveaux de gris restante est la luminance.
La luminance est mesurée par Color sous la forme d’un pourcentage numérique compris
entre 0 et 100, 0 correspondant au noir absolu et 100 au blanc absolu. Color prend également en charge les niveaux de super blanc (de 101 à 109 pour cent), s’ils existent dans
votre plan. Bien que les niveaux de super blanc ne soient pas considérés comme adaptés à la télédiffusion, de nombreuses caméras enregistrent quand même à ces niveaux.
Remarque : les niveaux de super blanc sont limités par le filtre Broadcast Safe s’il est
activé avec ses réglages par défaut, de sorte que les pixels de l’image ayant une luminance supérieure à 100 pour cent seront ramenés à 100 pour cent.
Qu’est-ce que le palier du noir ?
Les coloristes débutants confondent parfois le niveau de noir de la vidéo numérique
avec le palier du noir (Setup). Le palier du noir correspond au niveau de noir d’un signal
vidéo analogique et concerne uniquement la vidéo analogique. Si vous exportez sur
une bande analogique à l’aide d’une interface vidéo analogique de tierce partie, nous
vous conseillons de vous reporter à la documentation fournie avec l’interface pour
savoir comment configurer cette dernière pour la norme nord-américaine relative
au palier du noir (7.5 IRE) ou la norme japonaise (0 IRE). La plupart des fournisseurs
d’interfaces vidéo analogiques incluent un tableau de contrôle logiciel qui vous permet de sélectionner le niveau de noir à appliquer. Ils désignent cette fonction sous
l’appellation « 7.5 Setup » ou « 0 Setup », ou dans certains cas, « NTSC » ou « NTSC-J ».
Les données vidéo envoyées numériquement via SDI n’ont pas de palier du noir. Le niveau
de noir Y´CB
CR
reste simplement à la valeur numérique appropriée correspondant à la
profondeur de bits du signal vidéo (représentée par 0 pour cent sur un vidéoscope).
Noir
0% de luminosité 100% 109%
Blanc
Ultra-blanc34 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs)
Gamma
Gamma fait référence à deux concepts différents. Pour un signal vidéo, le terme « gamma »
désigne la représentation non linéaire de la luminance dans une image affichée sur un
moniteur de diffusion ou d’ordinateur. La réponse de l’œil à la lumière n’étant pas linéaire
(voir la section « Modèle de couleurs Y’CB
CR
» à la page 27), le fait d’appliquer un réglage
gamma pendant l’enregistrement d’une image maximise les détails enregistrés perceptibles dans les signaux vidéo avec une bande passante limitée. Lors de la lecture, un téléviseur ou un moniteur applique une fonction gamma inversée pour rétablir l’état « original »
de l’image.
Il faut éviter d’effectuer des corrections gamma imprévues avant d’envoyer des données
de Final Cut Pro à Color. il est important de garder trace des corrections gamma qui sont
effectuées lors de l’exportation et de l’importation de plans dans Final Cut Pro dans le
cours du processus de montage, de sorte que toutes les corrections soient consignées et
évitées lors de l’aller-retour entre Final Cut Pro et Color. Pour en savoir plus sur les traitements gamma dans Final Cut Pro, consultez le Manuel de l’utilisateur de Final Cut Pro.
Le terme « gamma » sert également à décrire un réglage non linéaire appliqué à la distribution des tons intermédiaires dans une image. Par exemple, un réglage gamma ne
modifie pas le point noir et le point blanc d’une image, mais éclaircit ou assombrit les
tons intermédiaires en fonction du type d’ajustement effectué. Pour en savoir plus sur
les réglages gamma et l’ajustement des tons intermédiaires, reportez-vous au chapitre 9,
« Primary In », à la page 191.
Chromie (chrominance)
La chromie (également appelée chrominance) décrit les canaux de couleur de vos
plans, depuis l’absence de couleur jusqu’au niveau maximum de couleur pouvant
être représenté. Des valeurs chromatiques spécifiques peuvent être décrites à l’aide
des deux propriétés suivantes : teinte et saturation.
Hue
La teinte désigne la couleur elle-même, qu’il s’agisse de rouge, de vert ou de jaune.
La teinte est mesurée comme un angle sur une roue de couleurs.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 35
Saturation
La saturation décrit l’intensité de la couleur (par exemple, rouge clair ou rouge pâle).
Une image totalement désaturée ne comporte aucune couleur et se compose de nuances de gris. La saturation se mesure également sur une roue de couleurs, selon la distance entre le centre et le bord.
Vous remarquerez que la roue de couleurs est un mélange des trois couleurs primaires
(rouge, vert et bleu) qui forment la vidéo. Entre ces trois couleurs viennent s’insérer les
couleurs secondaires (jaune, cyan et magenta) qui sont des mélanges à proportions
identiques de couleurs primaires.
Relations entre les couleurs
La compréhension des interactions de la roue de couleurs va vous aider à identifier
comment les options de Color affectent réellement les couleurs d’une image.
Couleurs primaires
Dans tout modèle de couleurs additives, les couleurs primaires sont le rouge, le vert
et le bleu. Il s’agit des trois couleurs les plus pures pouvant être représentées par le
réglage d’un canal de couleur sur 100 pour cent et des deux autres canaux de couleur
sur 0 pour cent.
Couleurs secondaires
L’ajout de deux des couleurs primaires produit une couleur secondaire. En d’autres termes, vous pouvez créer une couleur secondaire en réglant deux des canaux de couleur
sur 100 pour cent et le troisième sur 0 pour cent.
 Rouge + vert = jaune
 Vert + bleu = cyan
 Bleu + rouge = magenta
Autre équation du modèle à couleurs additives :
 Rouge + vert + bleu = blanc36 Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs)
Toutes ces combinaisons sont illustrées par les trois cercles colorés ci-dessous. Aux
zones d’intersection de deux couleurs primaires, la couleur secondaire apparaît, et à
l’intersection des trois couleurs, c’est le blanc qui apparaît.
Couleurs complémentaires
Deux couleurs placées à 180 degrés l’une de l’autre sur la roue sont appelées couleurs
complémentaires.
L’ajout de deux couleurs complémentaires de même saturation neutralise les couleurs,
produisant des nuances de gris. c’est ce que l’on constate sur les deux roues de couleurs
qui se chevauchent de l’illustration ci-dessous. Là où le rouge et le cyan se chevauchent,
les deux couleurs sont neutralisées.
Il est essentiel de comprendre la relation des couleurs avec leurs couleurs complémentaires
pour savoir comment éliminer ou introduire des dominantes de couleur dans une image
à l’aide des options d’étalonnage des couleurs primaires et secondaires de Color.Ainsi, pour
éliminer un reflet bleuté dans les hautes lumières d’une lumière du jour non corrigée, on
ajoute un peu d’orange pour neutraliser un peu toutes ces couleurs. Ces principes sont
décrits de façon plus détaillées au chapitre 9, « Primary In », à la page 191.Chapitre 1 Notions élémentaires relatives à l’étalonnage (ou correction de couleurs) 37
Le modèle de couleurs HSL
Le modèle de couleurs HSL est une autre méthode de représentation de la couleur, qui
est généralement utilisée au niveau des options de l’interface utilisateur vous permettant de choisir ou de régler les couleurs. HSL signifie « Hue, Saturation and Lightness »
(ou en français « Teinte, Saturation et Luminosité ou Luminance »). Ce modèle permet
de visualiser les relations entre la luminance, la teinte et la saturation.
Le modèle de « l’espace colorimétrique » HSL peut être illustré graphiquement sous
la forme d’un cône à trois dimensions. La teinte est représentée par un angle à la base
du cône, comme illustré ci-dessous, tandis que la saturation est représentée par la distance entre le centre et le bord du cône, le centre étant complètement désaturé et le
bord étant saturé à une intensité maximale. La luminosité d’une couleur peut alors être
représentée par la distance entre la base et le sommet du cône.
Color offre en fait un vidéoscope à trois dimensions permettant d’afficher les couleurs
d’une image dans un espace HSL extrudé, à des fins d’analyse d’image. Pour en savoir
plus, consultez la section « Vidéoscope d’espace colorimétrique 3D » à la page 185.2
39
2 Flux de production
de l’étalonnage
Pour tirer le meilleur parti de Color, il est nécessaire de
gérer soigneusement le flux de production. Ce chapitre
explique brièvement comment Color s’intègre à votre
flux de postproduction.
Color a été conçu pour travailler de concert avec des applications de montage telles que
Final Cut Pro grâce à la prise en charge des données multimédias QuickTime et XML ou
avec d’autres environnements de montage grâce à la prise en charge des listes de points
de montage (EDL, Edit Decision List) et des séquence d’images. Alors que d’autres dispositifs se chargent de la capture de l’entrée vidéo et film et de son montage, Color offre
un environnement dédié permettant de se concentrer sur l’étalonnage (ou « correction
de couleurs ») et sur les effets connexes.
Ce chapitre donne un rapide aperçu de la façon dont vous pouvez guider votre projet
d’un bout à l’autre d’un flux de production dans lequel Color est utilisé pour la correction des couleurs. Il fournit des informations sur les flux de production pour la vidéo
professionnelle haute définition et de définition standard et sur les flux de production
intermédiaires numériques au format 2K.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 Aperçu du flux de production Color (p. 40)
 Limitations de Color (p. 42)
 Flux de production pour la finalisation de la vidéo à l’aide de Final Cut Pro (p. 44)
 Importation de projets à partir d’autres applications de montage vidéo (p. 53)
 Utilisation de Color dans un flux de production intermédiaire numérique (p. 57)
 Utilisation des listes de montage, du timecode et des numéros d’images pour la conformation des projets (p. 66)40 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage
Aperçu du flux de production Color
Les contrôles Color se répartissent sur huit studios qui disposent chacun de leur propre
onglet et correspondent à des étapes différentes d’un flux de production de correction
de couleurs typique. Chaque studio que vous sélectionnez remappe les boutons, les
cadrans et les boules de commande de votre palette de commande (si vous en avez
une) de sorte qu’ils correspondent aux contrôles de ce studio.
Chaque studio rassemble en un seul écran tous les contrôles relatifs à une étape particulière du processus de correction de couleurs. L’ordre dans lequel les studios sont organisés
correspond à celui d’un flux de production de correction de couleurs typique. Vous pouvez ainsi utiliser successivement les contrôles des onglets Primary (primaires), Secondary
(secondaires), Color FX (effets de couleur), Primary Out (primaires sur sortie) et finalement
Geometry (géométrie) au cours de votre travail sur chaque plan du projet.
 Setup : le studio Setup (configuration) est le point de départ de tous les projets. C’est
l’endroit dans lequel vous importez et gérez les plans de votre programme et où se
trouvent la zone d’étalonnage, les réglages du projet et les préférences de l’application.
Dans la zone des réglages du projet qui se trouve dans le studio Setup, les coloristes
vidéo trouveront les contrôles de seuils de diffusion (Broadcast Safe) leur permettant
d’appliquer des restrictions de gamme de couleurs à l’ensemble du programme.
 Primary In : les corrections de couleurs primaires ont eu une incidence sur l’ensemble
de l’image. C’est donc dans ce studio que vous effectuez les réglages généraux de la
couleur et du contraste de chaque plan. Les contrôles des courbes et de la balance
de couleurs permettent d’ajuster les couleurs dans les ombres, les tons intermédiaires et les tons clairs de l’image. Les contrôles de prélèvement, de gamma et de gain
permettent d’ajuster le contraste de façon précise afin de modifier la luminosité de
différentes parties de l’image. Ce studio comprend aussi des contrôles pour la saturation de l’ensemble de l’image, celle des tons clairs et celle des ombres, ainsi que des
contrôles pour la valeur de tirage (ou lumière de tirage) que les coloristes peuvent
utiliser pour étalonner un film.
 Secondaries : les corrections de couleurs secondaires sont des ajustements ciblés réalisés sur certaines parties spécifiques de l’image. Ce studio propose de nombreuses
méthodes pour isoler, ou qualifier, les parties de l’image que vous souhaitez corriger.
Il comprend des contrôles permettant d’isoler une partie de l’image à l’aide de masques de formes différentes. D’autres contrôles vous offrent la possibilité d’isoler certaines parties de l’image à l’aide d’un masque d’effets chromatiques permettant de
spécifier la teinte, la saturation et la luminance. Il est possible de soumettre chaque
plan à huit types de corrections secondaires. En outre, des courbes secondaires spécifiques permettent de régler la teinte, la saturation et la luminance à l’intérieur de
segments particuliers du spectre.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 41
 Color FX : le studio Color FX vous permet de créer vos propres effets personnalisés grâce à
une interface arborescente à « nœuds » dont ne disposent généralement que les applications de compositing haut de gamme telles que Shake. Chacun de ces nœuds destinés
aux effets peut être lié aux autres en des milliers de combinaisons pour créer rapidement
de nombreux types différents d’effets de couleur. Ils est possible d’enregistrer les effets
personnalisés dans la zone d’étalonnage Color FX en vue d’une utilisation ultérieure.
Vous pourrez ainsi appliquer le même type d’effets de couleur à vos futurs projets.
 Primary Out : le studio Primary Out est identique au studio Primary In si ce n’est que
ses corrections de couleurs s’appliquent aux plans après le traitement de ces derniers
par tous les autres studios d’étalonnage de couleurs. Ceci vous permet de traiter vos
images a posteriori, une fois que toutes les autres corrections ont été effectuées.
 Geometry : le studio Geometry permet de recadrer, faire pivoter, retourner et renverser les plans selon les besoins. Il fournit également des outils permettant de créer des
masques personnalisés et d’effectuer des analyses du suivi de l’animation et de gérer
ces dernières. L’utilisation du studio Geometry dépend du flux de production :
 Dans le cas des projets convertis en boucle à partir de Final Cut Pro, les transformations relevant du studio Geometry ne sont pas rendues par Color lors de la sortie
des données du projet étalonné. Au lieu de cela, toutes les transformations géomé-
triques effectuées dans Color sont converties en réglages d’animation Final Cut Pro
lorsque le projet est renvoyé à Final Cut Pro. Si vous le souhaitez, vous pourrez personnaliser davantage ces effets dans Final Cut Pro avant le rendu et la sortie.
 Dans le cas des projets intermédiaires numériques au format 2K, les transformations effectuées dans le studio Geometry sont traitées par Color lors du rendu
des données de sortie.
Remarque : lorsque vous envoyez un projet de Final Cut Pro à Color, les effets
de l’onglet Motion (animation) compatibles sont convertis en réglages de studio
Geometry, ce qui vous permet d’afficher un aperçu et d’ajuster ces transformations
lors de la correction des couleurs. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 15,
« Studio Geometry », à la page 331.
 Still Store : ce studio permet d’enregistrer des images de n’importe quel plan figurant
dans le plan de montage et de créer ainsi, à partir de votre programme, une bibliothèque d’images fixes de référence que vous pourrez ensuite consulter pour faire
une comparaison avec d’autres plans sur lesquels vous essayez d’apporter le même
type de corrections. Vous pouvez à tout moment charger en mémoire une image
du magasin d’images fixes (Still Store), puis basculer entre celle-ci et celle sur laquelle
se trouve actuellement la tête de lecture à l’aide des contrôles du menu Still Store.
Le magasin d’images fixes comprend aussi des contrôles permettant de créer et de
personnaliser des écrans multiples (split-screen) dont vous pouvez vous servir pour
équilibrer un plan par rapport à un autre. Toutes les comparaisons Still Store sont
envoyées aux sorties preview et moniteur broadcast.42 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage
 Render Queue : lorsque vous avez terminé d’étalonner votre programme dans Color,
vous utilisez la file d’attente de rendu (Render Queue) pour gérer le rendu des plans
de votre projet.
Limitations de Color
Color a été conçu pour fonctionner de concert avec des applications de montage telles
que Final Cut Pro, qui se charge de l’entrée, du montage et de la sortie alors que Color
vous permet de vous concentrer sur la correction des couleurs et sur les effets connexes. Toutefois, malgré ses nombreuses fonctionnalités, Color ne permet pas de réaliser
certaines tâches particulières :
 Enregistrement : Color ne permet pas de numériser ou de capturer des images vidéo
ou film. Ceci signifie que vous devez importer dans Color des projets et des données
créés avec une autre application.
 Montage : Color n’est pas une application de montage. Les outils de montage mis
à votre disposition sont principalement destinés aux coloristes qui travaillent sur des
flux de production au format 2K dans lesquels le projet Color constitue la version
finale qui deviendra le master numérique. Par défaut, les pistes des fichiers du projet
XML importé sont verrouillées pour éviter l’introduction d’erreurs lors de montages
ultérieurs une fois le projet renvoyé à Final Cut Pro.
Afin de tenir compte des modifications apportées lors du montage, des outils
de reconformation sont prévus pour synchroniser une liste de montage ou une
séquence Final Cut Pro avec la version du projet en cours d’étalonnage dans Color.
Pour en savoir plus, consultez la section « Reconformation de projets » à la page 94.
 Filtres : il n’est pas possible d’obtenir un rendu ou un aperçu des filtres FXScript ou
FXPlug de Final Cut Pro dans Color. Toutefois, ces filtres se trouvent toujours dans
votre projet, et ils apparaîtront à nouveau une fois le projet renvoyé à Final Cut Pro.
Remarque : en règle générale, il n’est pas recommandé de laisser les filtres de correction de couleurs dans votre projet Final Cut Pro lorsque vous l’envoyez à Color. Même
s’ils n’ont aucune effet lorsque vous travaillez avec Color, leur réapparition soudaine
lorsque le projet est renvoyé à Final Cut Pro peut donner lieu à des résultats inattendu.
 Transitions : Color conserve les donnés de transition que peuvent éventuellement
contenir une liste de montage ou un fichier XML importés, mais ne lit pas les transitions lors des aperçus. Leur rendu dépend de la façon dont le projet est traité :
 Dans le cas des projets convertis en boucle à partir de Final Cut Pro, les transitions
ne sont pas rendues dans Color lors de la sortie. Au lieu de cela, après le renvoi
du projet, Final Cut Pro est chargé de rendre ces effets.
 Dans le cas des intermédiaires numériques en 2K, toutes les transitions vidéo
sont ignorées.
 Superpositions : les plans superposés apparaissent dans le plan de montage, mais
les opérations de compositing impliquant l’opacité ne sont ni affichées ni rendues.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 43
 Effets de vitesse : Color ne fournit aucune interface pour l’ajout d’effets de vitesse et
laisse cette tâche à l’application de montage dans laquelle le projet a été créé à l’origine. Il est possible de voir les effets de vitesse linéaire et de vitesse variable que contient déjà votre projet, tels que ceux qui ont été ajoutés dans Final Cut Pro lors de la
lecture des aperçus, mais ils ne sont pas rendus dans Color lors de la sortie. On compte
en effet sur Final Cut Pro pour rendre ces effets dans le cas des flux de production
avec conversion en boucle.
 Générateurs Final Cut Pro et plans de projets Motion ou LiveType : les générateurs
Final Cut Pro, les projets Motion et les projets LiveType sont totalement ignorés
par Color. La façon dont vous traitez ce type d’effets dépend également de votre
flux de production :
 Si vous convertissez un projet en boucle entre Final Cut Pro et Color et souhaitez
étalonner ces effets dans Color, vous devriez rendre ces effets en tant que fichiers
vidéo QuickTime (.mov) autonomes. Insérez ensuite ces nouveaux fichiers vidéo
dans votre séquence pour remplacer les plans correspondant aux effets originaux
avant d’envoyer votre projet à Color.
 Si le projet est converti en boucle entre Final Cut Pro et Color et si ces effets
ne nécessitent aucun étalonnage, il n’est pas nécessaire de faire quoi que ce soit.
Même si ces effets ne s’affichent pas dans Color, ils conservent leur position dans
le plan de montage, de sorte qu’ils réapparaîtront dans Final Cut Pro lorsque vous
y renverrez le projet. Les titres sont un bon exemple d’effets qui, en général, n’ont
pas besoin d’être étalonnés.
 Si vous travaillez sur un projet intermédiaire numérique au format 2K, vous devrez
vous servir d’une application de compositing telle que Shake ou Motion pour composer tous les effets qui utilisent les données de la séquence d’images.
Important : lorsque vous envoyez des images faisant partie de vos données multimé-
dias à une application de compositing, il est crucial de ne pas modifier leur numéro dans
les noms de fichiers de la nouvelle séquence d’images que vous générez. Le numéro
d’image de chaque fichier image permet de connaître sa position dans le plan de montage du programme. Tous les effets créés au cours d’un flux de production intermé-
diaire numérique au format 2K exigent donc une gestion méticuleuse des fichiers.
 Plans Freeze Frame et fichiers d’images fixes : les images fixes utilisées dans les projets
Final Cut Pro, y compris les images .tiff, .jpg, ou les plans Freeze Frame d’arrêt sur image
créés par Final Cut Pro, sont également ignorées par Color. Si vous souhaitez étalonner
des images fixes dans Color, vous devez les rendre en tant que séquences QuickTime
(fichiers .mov) autonomes, puis les réinsérer dans votre séquence Final Cut Pro pour
remplacer le plan original avant d’envoyer le projet à Color.44 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage
 Sortie vidéo ou film : bien que Color fournisse une sortie normalisée de la lecture de
votre projet à des fins de visionnage, celle-ci n’est pas destinée à être utilisée comme
sortie sur bande de votre programme. Ceci signifie que lorsque vous avez terminé de
corriger les couleurs de votre projet dans Color, la sortie rendue doit être envoyée à
Final Cut Pro où la sortie sur bande sera créée ou à un autre environnement si une
sortie sur film est requise.
Flux de production pour la finalisation de la vidéo à l’aide de
Final Cut Pro
Si un programme a été monté avec Final Cut Pro, son envoi à Color est relativement
simple. Une fois le montage du programme effectué dans Final Cut Pro, si cela est
nécessaire, vous devez reconformer le programme de façon à pouvoir utiliser les
données source originales à leur plus haute qualité possible.
Ceci fait, vous pouvez envoyer les données et les fichiers du projet à Color pour y corriger leurs couleurs. Lorsque la correction de couleurs sera terminée, vous devrez rendre
le résultat puis renvoyer le projet à Final Cut Pro afin de créer la sortie finale, soit sur
bande, soit sous la forme d’un fichier QuickTime.
La façon exacte dont vous conformez vos données source dans Final Cut Pro dépend
du type de données utilisées.
Sortie
du master
final
XML XML
Nouveaux
multimédia
Color corrigées
Multimédia
online
Correction
de Color
Rendu
Effets
de fin
et sortie
Color Final
Cut Pro
Multimédia source
Final
Cut Pro
Montage
Transfert vers
Color
Transfert vers
Final Cut Pro
Multimédia
DonnéesChapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 45
Flux de production impliquant une bande
Dans le cas d’un flux de production off line / on line traditionnel impliquant une bande,
le processus est simple. Les bandes sont capturées avec Final Cut Pro, éventuellement à
une résolution off line de moindre qualité afin de faciliter le montage initial puisque, dans
ce cas, les données utilisées requièrent moins d’espace disque et sont plus faciles à traiter étant donné qu’elles permettent l’utilisation d’une plus grande gamme d’ordinateurs.
Une fois le montage off line terminé, les données utilisées par le programme monté
doivent être recapturées à partir des bandes source à la qualité maximale. Les données
on line qui en résultent seront celles qui seront utilisées pour la conversion en boucle
entre Final Cut Pro et Color.
La procédure ci-dessous décompose ce processus de façon plus explicite.
Sortie
du master
final
XML XML
Nouveaux
multimédia
Color corrigées
Multimédia
online
Correction
de Color
Rendu
Effets
de fin
et sortie
Color Final
Cut Pro
Final
Cut Pro
Montage
offline
Transfert vers
Color
Transfert vers
Final Cut Pro
Multimédia source
Multimédia
Données
Doublons
offline
Reconformation
online46 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage
Étape 1 : Capturez les données source à une résolution off line ou on line
La façon dont vous abordez la capture de vos données avant le montage dépend de
leur format. Les formats avec compression, tels que DV, DVCPRO-50, DVCPRO HD et
HDV, peuvent être capturés à leur plus haute qualité sans besoin d’énormes ressources
de stockage. Dans ce cas, le fait de capturer les données et d’effectuer leur montage en
utilisant la résolution et le codec natifs permet d’éliminer l’étape ultérieure de la recapture de ces données (parfois appelée conformation) qui prend du temps.
La recapture à une résolution plus basse ou à l’aide d’un codec de plus forte compression peut s’avérer intéressante pour les formats vidéo sans compression ou les projets
qui comptent un très grand nombre de bobines de données source. Elle permet en
effet non seulement d’économiser de l’espace disque mais aussi d’effectuer le montage sur des équipements moins coûteux. Vous devrez ultérieurement recapturer les
données avant la correction des couleurs.
Étape 2 : Effectuez le montage du programme dans Final Cut Pro
Effectuez le montage du programme dans Final Cut Pro comme vous le feriez pour
n’importe quel autre projet. Si vous comptez utiliser un grand nombre d’effets dans
votre programme lors du montage, familiarisez-vous avec les thèmes couverts dans
la section « Limitations de Color » à la page 42.
Étape 3 : Au besoin, recapturez les données source à une résolution on line
Si, à l’origine, vos données source ont été capturées à un format off line, vous devrez
recapturer les données utilisées dans votre projet à la plus haute qualité disponible
possible avant de les envoyer à Color.
 Si vos données ont été initialement enregistrées à un format comprimé (par exemple,
DV, DVCPRO-50, DVCPRO HD ou HDV), vous pouvez vous contenter de les recapturer
avec la résolution et le codec source d´’origine. En effet, Color est capable de traiter les
données comprimées et de convertir automatiquement les données d’image à une
profondeur de bits sans compression plus élevée pour une meilleure qualité d’image
lors du monitoring et du rendu.
 Si vous capturez des données à un format vidéo de plus haute définition (par exemple
Betacam SP, Digital Betacam, HDCAM et HDCAM SR) et si vous recherchez une qualité
élevée mais devez recourir à la compression pour économiser votre espace disque et
favoriser les performances, vous pouvez effectuer la nouvelle capture à l’aide du codec
Apple ProRes 422 ou du codec de qualité plus élevée Apple ProRes 422 (HQ).
 Si vous capturez des données à un format vidéo de haute définition et si vous voulez
disposer de la plus haute qualité vidéo sans compression, sans considération pour les
questions d’espace disque, effectuez la nouvelle capture de vos données au format
Apple sans compression 8 bits 4:2:2 ou Apple sans compression 10 bits 4:2:2.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 47
Il se peut également qu’avant la recapture, vous souhaitiez profiter de l’occasion pour
supprimer les données non utilisées à l’aide du Gestionnaire de données de Final Cut Pro
afin d’économiser de l’espace disque, notamment si vous recapturez des données sans
compression. Pour plus d’informations, consultez la documentation Final Cut Pro.
Remarque : certains codecs, tels que HDV, peuvent solliciter le processeur plus que
d’autres. Dans un tel cas, la capture ou la recompression des données à l’aide d’un codec
sollicitant moins le processeur, par exemple Apple ProRes 422 ou Apple ProRes 422 (HQ),
améliore les performances de l’application Color, tout en fournissant une qualité élevée
et en occupant un espace de stockage mesuré.
Étape 4 : Effectuez un pré-rendu de toute image fixe ou de tout effet à étalonner
dans Color
Color ne peut pas afficher ni traiter les images fixes, certains réglages d’animation, les filtres FXScript ou FxPlug, les générateurs Final Cut Pro (y compris les titres), les fichiers de
projet Motion ou les fichiers de projet LiveType. Si vous souhaitez étalonner des plans
qui contiennent certains de ces effets avec Color, vous devez les rendre en tant que
séquences QuickTime (fichiers .mov) autonomes dans Final Cut Pro, puis les réinsérer
dans votre séquence Final Cut Pro pour remplacer les plans originaux avant d’envoyer le
projet à Color. Pour en savoir plus sur les effets et les fonctionnalités qui ne sont pas
compatibles avec Color, reportez-vous à la section « Limitations de Color » à la page 42.
Étape 5 : Préparez votre séquence Final Cut Pro
Pour préparer votre séquence montée pour un flux de production efficace dans Color,
suivez la procédure décrite dans la section « Avant d’exporter votre projet
Final Cut Pro » à la page 89.
Étape 6 : Envoyez la séquence à Color ou exportez un fichier XML
Lorsque vous avez terminé la préparation de votre séquence montée, vous pouvez
l’envoyer à Color de deux façons différentes.
 Si Color est installé sur le même ordinateur que Final Cut Pro, vous pouvez vous servir de la commande « Envoyer à Color » pour envoyer l’intégralité d’une séquence
montée à Color et créer ainsi automatiquement un nouveau fichier de projet.
 Si vous envoyez le projet à une autre installation, il se peut que vous souhaitiez
exporter la séquence montée en tant que fichier XML de sorte que le destinataire
puisse l’importer dans Color. Dans ce cas, vous devriez également vous servir du
Gestionnaire de données de Final Cut Pro pour copier les données du projet sur
un disque dur portable de sorte que la livraison soit plus facile.48 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage
Étape 7 : Étalonnez votre programme avec Color
Utilisez Color pour étalonner votre programme. Lorsque vous travaillez sur un projet
converti en boucle à partir de Final Cut Pro, il est crucial d’éviter le déverrouillage des
pistes ou un nouveau montage des plans dans le plan de montage. Ceci pourrait en
effet vous empêcher de renvoyer le projet à Final Cut Pro.
Si le client nécessite un nouveau montage alors que le processus d’étalonnage a déjà
commencé, vous devriez effectuer ce montage dans Final Cut Pro, puis exporter une
version XML de la séquence mise à jour que vous pouvez ensuite utiliser pour actualiser rapidement le projet Color en cours à l’aide de la commande Reconform. Pour en
savoir plus, consultez la section « Reconformation de projets » à la page 94.
Étape 8 : Rendez les nouvelles données source, puis envoyez le projet mis à jour
à Final Cut Pro
Une fois l’étalonnage terminé, vous utiliserez la file d’attente de rendu (Render Queue)
de Color pour rendre tous les plans du projet sous la forme d’un nouvel ensemble distinct de fichiers de données étalonnées.
Ceci fait, vous devrez envoyer le projet mis à jour à Final Cut Pro à l’aide de l’une des
deux méthodes suivantes :
 Si Color est installé sur le même ordinateur que Final Cut Pro, vous pouvez vous servir de la commande Send to Final Cut Pro.
 Si vous renvoyez le projet étalonné à l’installation d’origine, vous devez exporter le
projet Color sous la forme d’un fichier XML de sorte qu’il puisse ensuite être importé
dans Final Cut Pro.
Important : certains réglages de l’onglet Project Settings du studio Setup ont une incidence sur la façon dont les données rendues par Colorsont rendues dans Final Cut Pro.
Ces réglages sont Deinterlace Renders, QuickTime Export Codec, Broadcast Safe et Handles. Assurez-vous de vérifier ces réglages et les autres avant de rendre la sortie finale.
Étape 9 : Ajustez les transitions, les superpositions et les titres dans Final Cut Pro
Pour produire la sortie de votre projet, vous devez réimporter les données du projet
XML dans Final Cut Pro. Cette opération est automatique si vous utilisez la commande
Send to Final Cut Pro. À ce stade, vous pouvez ajouter ou ajuster les autres effets que
vous aviez appliqués précédemment dans Final Cut Pro avant de créer le master final
du programme. Il se peut alors que vous souhaitiez tenir compte d’un certain nombre
de considérations lors de la préparation du programme, notamment les suivantes :
 Avez-vous d’un master « sans texte » du programme ou d’un master dans lequel
les titres sont rendus en même temps que l’image ?
 Y-a-t-il encore des plans correspondant à des effets qui doivent être importés et
dont les couleurs doivent être corrigées dans Final Cut Pro ?Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 49
Étape 10 : Enregistrez la sortie du master vidéo final sur bande ou créez le rendu
du master sous la forme d’un fichier QuickTime
Une fois tous les derniers ajustements effectués dans Final Cut Pro, vous pouvez créer
la version finale de votre programme à l’aide des commandes Print to Video, Edit to
Tape ou Export QuickTime Movie.
Reconformation des données on line dans un flux de production de
vidéo numérique sans bande
Si un programme exploite un format vidéo sans bande, les étapes du processus sont
similaires à celles décrites précédemment. Toutefois, elles peuvent concerner plusieurs
jeux de fichiers QuickTime : les données originales à résolution on line, et peut-être un
second jeu de fichiers de données converties à une résolution off line plus basse pour
faciliter les opérations de montage. Après le montage off line, la conformation on line
suppose un rétablissement du lien aux données source originales avant la conversion
en boucle entre Final Cut Pro et Color.
Vous trouverez ci-dessous une explication plus détaillée de la procédure de ce flux
de production permettant de passer du format off line au format on line.
Sortie
du master
final
XML XML
Nouveaux
multimédia
Color corrigées
Multimédia
online
Correction
de Color
Rendu
Effets
de fin
et sortie
Color Final
Cut Pro
Final Cut Pro
Montage
offline
Transfert vers
Color
Transfert vers
Final Cut Pro
Multimédia
Donées
Reconformation
online
Multimédia source
Doublons
offline50 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage
Étape 1 : Filmez et sauvegardez toutes les données source
Filmez le projet en l’enregistrant au format sans bande que vous avez choisi. Lors du
tournage, veillez à faire des copies de sauvegarde de toutes vos données et à les conserver au cas où un problème surviendrait avec le dispositif de stockage principal.
Étape 2 : Créez des doubles à une résolution off line et archivez les données à la
résolution originale
Au besoin, faites une copie des données source à une résolution off line en utilisant le
format le plus approprié à votre système. Ensuite, archivez les données source originales de telle sorte que rien ne puisse leur arriver.
Important : lors de la création des doubles off line des données sans bande, il est crucial de dupliquer et de respecter le timecode et les noms de fichiers originaux utilisés
lors de la création des fichiers source. Dans le cas contraire, vous ne serez pas en mesure
de rétablir aisément le lien aux fichiers source originaux en haute résolution une fois le
montage off line terminé.
Étape 3 : Effectuez le montage du programme dans Final Cut Pro
Effectuez le montage du programme dans Final Cut Pro comme vous le feriez pour
n’importe quel autre projet. Si vous comptez utiliser un grand nombre d’effets dans
votre programme lors du montage, familiarisez-vous avec les thèmes couverts dans
la section « Limitations de Color » à la page 42.
Étape 4 : Rétablissez le lien entre votre séquence montée et les données source
originales
Une fois le montage off line terminé, vous devrez rétablir les données source originales
de qualité on line et rétablir le lien entre votre projet et les fichiers en haute résolution.
Étape 5 : Effectuez un pré-rendu des effets, envoyez la séquence à Color et procé-
dez à son étalonnage
À ce stade, le flux de production est identique à celui qui est décrit dans l’étape 7 de la
section « Flux de production impliquant une bande » à la page 45.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 51
Reconformation des données on line dans un flux de production de
vidéo numérique avec télécinéma
Si vous travaillez sur un projet tourné sur pellicule mais qui sera masterisé sur vidéo, il
doit être transféré du film sur une bande à l’aide d’un télécinéma (numérisation) avant
sa capture et son montage dans Final Cut Pro. Ensuite, le reste du montage off line et
on line est le même que pour tout autre format reposant sur l’utilisation d’une bande.
Vous trouverez ci-dessous une explication plus détaillée de la procédure de ce flux
de production permettant de passer du format off line au format on line.
XML
Multimédia
online
Final Color
Cut Pro
Transfert vers
Color
Négatif de la caméra
Multimédia vidéo transférés
Télécinéma
Montages
offline
et online
Sortie
du master
final
XML
Nouveaux
multimédia
Color corrigées
Effets
de fin
et sortie
Final
Cut Pro
Transfert vers
Final Cut Pro
Correction Rendu
de Color
Multimédia
Données52 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage
Étape 1 : Tournez votre film
Filmez le projet tout comme vous le feriez pour n’importe quel autre projet enregistré
sur pellicule.
Étape 2 : Numérisez les rushes à l’aide d’un télécinéma
Une fois le tournage du film terminé, développez les rushes et passez-les au télécinéma pour les numériser à un format vidéo approprié à votre flux de production.
 Certains producteurs préfèrent faire des économies dès le départ en effectuant un transfert « à lumière unique » de toutes les images vers un format vidéo off line bon marché
destiné au montage off line initial (un transfert à lumière unique désigne le transfert de
scènes entières avec un seul réglage de correction de couleurs). Ceci peut se traduire par
une réduction des coûts et un gain de temps au début, mais un deuxième télécinéma
peut être requis pour retransférer uniquement les images utilisées au cours du montage
à une qualité supérieure sur le plan visuel.
 D’autres producteurs choisissent de transférer tous les rushes (ou tout du moins
les prises de vue sélectionnées par le réalisateur) en recourant à un transfert « à la
meilleure lumière » dans lequel chacun des réglages de correction de couleurs est
ajusté individuellement pour chaque plan à numériser, ce qui permet d’optimiser la
couleur et l’exposition au cas par cas. Les images sont transférées à un format vidéo
de haute qualité capable de conserver la plus grande quantité possible de données
d’images. Cette option peut s’avérer beaucoup plus chère dans un premier temps,
mais elle permet de faire des économies par la suite puisqu’il n’est pas nécessaire
d’effectuer un deuxième télécinéma.
Étape 3 : Capturez les données source à une résolution off line ou on line
La méthode utilisée pour la capture des données avant le montage dépend du flux de
production. Si vous avez numérisé des données de qualité off line avec un télécinéma,
vous pouvez vous contenter de les capturer à l’aide d’un codec de qualité off line.
En revanche, si vous avez numérisé des données de qualité on line avec un télécinéma,
vous pouvez soit suivre un flux de production impliquant une conversion « off line / on
line », soit capturer les données à l’aide d’un codec on line, puis travailler sur votre programme en qualité on line jusqu’à la fin.
Étape 4 : Effectuez le montage du programme dans Final Cut Pro
Effectuez le montage du programme dans Final Cut Pro comme vous le feriez pour
n’importe quel autre projet. Si vous comptez utiliser un grand nombre d’effets dans
votre programme lors du montage, familiarisez-vous avec les thèmes couverts dans
la section « Limitations de Color » à la page 42.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 53
Étape 5 : Recapturez ou retransférez les données à une résolution on line
(si nécessaire)
La méthode utilisée pour la conformation du projet off line en données de qualité
on line dépend de la façon dont vous avez effectué le transfert initial sur vidéo.
 Si à l’origine vous avez converti vos images à un format vidéo on line à l’aide d’un télé-
cinéma de haute qualité, mais qu’ensuite vous avez capturé vos données source à un
format off line pour le montage, vous devrez recapturer les données à partir des bandes source originales issues du télécinéma au format QuickTime sans compression de
la plus haute qualité possible que votre ordinateur peut prendre en charge (par exemple, Apple ProRes 422 ou Apple sans compression), puis il vous faudra rétablir le lien
entre les nouvelles données et votre projet.
 Si en revanche vous avez utilisé un télécinéma peu coûteux à lumière unique pour
convertir vos images à un format vidéo off line, vous devrez effectuer à nouveau une
numérisation avec un autre télécinéma pour transférer uniquement les données que
vous avez utilisées dans le programme à un format de haute qualité. Cinema Tools
permet de générer une liste d’épreuves dont vous pouvez ensuite vous servir pour
retransférer méticuleusement les images nécessaires à un format vidéo de qualité
on line. Vous devrez ensuite recapturer les nouvelles données on line issues de ce
transfert au format QuickTime sans compression de la plus haute qualité possible
que votre ordinateur peut prendre en charge.
Important : ne vous servez pas du Gestionnaire de données pour renommer ou supprimer les données non utilisées de votre projet lorsque vous travaillez sur des données
off line correspondant au négatif de la caméra. En effet, vous n’auriez plus la possibilité
de créer des listes d’épreuves précises dans Cinema Tools.
Étape 6 : Effectuez un pré-rendu des effets, envoyez la séquence à Color et procé-
dez à son étalonnage
À ce stade, le flux de production est identique à celui qui est décrit dans l’étape 7 de
la section « Flux de production impliquant une bande » à la page 45.
Importation de projets à partir d’autres applications
de montage vidéo
Color peut également importer des projets d’autres environnements de montage par le
biais des listes de montage (EDL, Edit Decision Lists). Une liste de montage est une liste
d’événements qui répertorie toutes les coupes et les transitions dont le programme est
composé.
Une fois que vous avez importé votre fichier de projet dans Color et copié les données
du programme sur un dispositif de stockage offrant des performances appropriées,
vous pouvez lier les plans qui se trouvent dans le plan de montage de Color avec les
données qui leur correspondent.54 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage
Importation des listes de montage dans le cas d’une conversion
en boucle entre Final Cut Pro et Color
Si une liste de montage correspondant au programme monté et une boîte de données
source vous ont été fournies, vous pouvez importer la liste de montage dans Final Cut Pro
pour capturer les données du projet et préparer ce dernier en vue de l’envoyer à Color.
Outre le fait de permettre la recapture des images, Final Cut Pro est compatible avec un
plus grand nombre de formats de listes de montage que Color. Par ailleurs, outre les montages vidéo, Final Cut Pro est capable de lire les montages audio et les superpositions.
Remarque : Color permet d’importer directement les listes de montage mais ne peut
lire que la partie vidéo des montages, dans la piste V1. Les transitions vidéo, l’audio et
les surimpositions sont ignorées.
Étape 1 : Importez le projet dans Final Cut Pro
Importez la liste de montage du projet monté dans Final Cut Pro.
Étape 2 : Capturez les données à une résolution on line
Vous devez recapturer la séquence créée lors de l’importation de la liste des points de
montage en recourant au format QuickTime de la plus haute qualité que puisse traiter
votre ordinateur (comme Apple ProRes 422 ou Apple sans compression).
Étape 3 : Effectuez un pré-rendu des effets, envoyez la séquence à Color et procé-
dez à son étalonnage
À ce stade, le flux de production est identique à celui qui est décrit dans l’étape 7
de la section « Flux de production impliquant une bande » à la page 45.
Final
Cut Pro
XML
Multimédia
online
Multimédia source
et fichier EDL
Color
Transfert vers
Color
Sortie
du master
final
XML
Nouveaux
multimédia
Color corrigées
Effets
de fin
et sortie
Final
Cut Pro
Transfert vers
Final Cut Pro
Correction Rendu
de Color
Multimédia
Données
Importation
des listes
de montage
pour créer
un projet
Nouvelle
capture
de multimédiaChapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 55
Importation et marquage des masters prémontés du programme
Il existe une autre façon courante d’obtenir un programme en vue de la correction de
couleurs qui consiste à recevoir un master monté, soit sur bande, soit sous la forme d’une
séquence QuickTime ou d’une séquence d’images, accompagné d’une liste de montage.
Vous pouvez utiliser la liste de montage pour ajouter automatiquement les coupes au
fichier de données du master dans Color (ce qui s’appelle « marquer » ou « encocher »
les données) pour faciliter l’étalonnage individuel de chaque plan du programme.
Étape 1 : Importez le projet dans Final Cut Pro
Importez la liste de montage du projet monté dans Final Cut Pro.
Étape 2 : Capturez le master du programme (si nécessaire)
Si on vous a confié le master du programme sur bande, vous devez recapturer entièrement ledit programme en recourant au format QuickTime de la plus haute qualité que
puisse traiter votre ordinateur (comme Apple ProRes 422 ou Apple sans compression).
Si le master du programme vous est fourni sous la forme d’un fichier QuickTime, vous
devriez également demander à la personne qui vous remet les données de vous envoyer
ce fichier QuickTime à la plus haute qualité que votre ordinateur est capable de traiter.
Pour que ce processus se déroule correctement, il est préférable que le timecode de la
première image des données corresponde au premier timecode de la liste de montage.
Étape 3 : Importez la liste de montage dans Color, puis rétablissez le lien au fichier
de données du master
Sélectionnez la liste de montage dans la zone de dialogue Projects qui apparaît lorsque vous ouvrez Color pour la première fois ou utilisez la commande File > Import >
EDL. Lorsque la zone de dialogue EDL Import Settings apparaît, choisissez le format
de la liste de montage, le projet, la liste de montage et la fréquence d’images des
données source.
Capture de
l'intégralité
du programme
Final Cut Pro
Multimédia
online
Bande
Master
Color
Sortie
du master
final
XML
Nouveaux
multimédia
Color corrigées
Effets
de fin
et sortie
Final
Cut Pro
Transfert vers
Final Cut Pro
Rendu
Multimédia
Données
Création d'un
projet Color
à partir d'une liste
de montage (EDL)
pour « encoder »
le multimédia online
Correction
de Color56 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage
Pour marquer (« encocher ») correctement le fichier de données du master, vous devez
vous assurer d’activer Use as Cut List, puis choisir le fichier de données du master que
vous avez capturé ou que l’on vous a remis. Pour en savoir plus, consultez la section
« Importation de listes de montage (EDL) » à la page 95.
Étape 4 : Étalonnez votre programme avec Color
Utilisez Color pour étalonner votre programme.
Étape 5 : Rendez les nouvelles données source, puis envoyez le projet mis à jour
à Final Cut Pro
Une fois l’étalonnage terminé, vous utiliserez la file d’attente de rendu (Render Queue)
de Color pour rendre tous les plans du projet sous la forme d’un nouvel ensemble distinct de fichiers de données étalonnées.
Ceci fait, vous devrez envoyer le projet mis à jour à Final Cut Pro à l’aide de l’une des
deux méthodes suivantes :
 Si Color est installé sur le même ordinateur que Final Cut Pro, vous pouvez vous servir de la commande Send to Final Cut Pro.
 Si vous renvoyez le projet étalonné à l’installation d’origine, vous devez exporter le
projet Color sous la forme d’un fichier XML de sorte qu’il puisse ensuite être importé
dans Final Cut Pro.
Remarque : lorsque vous envoyez à Final Cut Pro un projet initialement importé dans
Color, vous n’envoyez en fait que les plans qui sont disponible dans Color, qui se limitent généralement à ceux qui se trouvent sur la piste V1. En effet, Color ne prend pas
en charge les pistes audio ni les effets de superposition.
Étape 6 : Ajustez les transitions, les superpositions et les titres dans Final Cut Pro
Pour produire la sortie de votre projet, vous devez réimporter les données du projet
XML dans Final Cut Pro. Cette opération est automatique si vous utilisez la commande
Send to Final Cut Pro. À ce stade, vous pouvez ajouter d’autres effets dans Final Cut Pro
avant de créer le master final du programme.
Étape 7 : Enregistrez la sortie du master vidéo final sur bande ou créez le rendu du
master sous la forme d’un fichier QuickTime
Une fois tous les derniers ajustements effectués dans Final Cut Pro, vous pouvez créer
la version finale de votre programme à l’aide des commandes Print to Video, Edit to
Tape ou Export QuickTime Movie.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 57
Utilisation de Color dans un flux de production intermédiaire
numérique
Color prend en charge l’étalonnage pour les flux de production intermédiaires numériques
au format 2K. Pour parler simplement, les termes intermédiaire numérique décrivent le processus qui consiste à créer tous les effets et à corriger les couleurs sur les versions numériques en haute résolution du négatif original de la caméra. Color permet de travailler avec
des séquences d’images logarithmiques 10 bits au format 2K obtenues à l’aide d’un télécinéma avec stockage sur disques durs, et ce grâce au traitement des données d’image à une
qualité extrêmement haute et au rendu du résultat sous la forme d’une séquence d’images
à partir de laquelle il est possible de créer une sortie sur film.
Les sections ci-dessous décrivent différents flux de production au format 2K que vous
pouvez suivre et vous indique comment ne pas perdre la trace de vos données d’image
d’une étape à l’autre.
Flux de production intermédiaire numérique sans bande impliquant
des doubles numériques à une résolution on line / off line
Les flux de production intermédiaires numériques les plus simples sont ceux dans lesquels vous numérisez toutes les images nécessaires pour le montage off line puis créez
un double des données off line que vous utiliserez pour monter votre projet. Une fois
le montage off line terminé, vous rétablissez le lien entre le programme et les images
source originales au format 2K dans Color.58 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage
La création des données off line à partir des données numériques originales permet
d’assurer la simplicité du flux de production et d’éliminer la nécessité de retransférer le
film source ultérieurement. Le seul inconvénient de cette méthode est qu’elle requiert
une énorme quantité d’espace de stockage, qui dépend de la longueur du projet et de
son ratio de tournage.
La procédure ci-dessous décompose ce processus de façon plus explicite.
Color
Regroupement
du multimédia
de rendu
Conformation
Correction
de Color
Rendu
Négatif de la caméra
Transferts télécinéma
haute définition
Séquence
d'images DPX
avec résolution de 2k
Séquence
de sortie finale
Enregistreur de film Impression de film
Conversion
QuickTime
off line
Multimédia
Données
Final Cut Pro
Montage
offlineChapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 59
Étape 1 : Tournez votre film
L’idéal serait que de faire quelques essais avant la photographie principale pour voir
comment le transfert du scanneur de film à Color puis à l’enregistreur de film fonctionne avec les formats de film et les pellicules que vous avez choisis. Il est toujours
préférable de consulter à l’avance le laboratoire de films avec lequel vous travaillerez
pour obtenir le maximum d’informations possible.
Étape 2 : Numérisez l’intégralité du film pour convertir ce dernier en séquences
d’images DPX de résolution 2K
Selon la façon dont le tournage a été mené, vous pouvez numériser à la meilleure
lumière à l’aide d’un télécinéma avec stockage sur disques durs uniquement les plans
sélectionnés ou l’intégralité du négatif de la caméra, si vous pouvez vous le permettre.
Les données source numériques au format 2K résultant de la numérisation devraient
être enregistrées sous la forme de séquences d’images DPX ou Cineon.
Pour ne pas perdre de vue la correspondance entre les images fixes originales et les
fichiers QuickTime off line que vous créerez pour le montage, procédez de la façon
suivante :
 demandez l’enregistrement dans l’en-tête de chaque image numérisée du numéro
absolu de cette image, obtenue à partir du timecode non-drop frame (qui figure
dans le nom de fichier de cette image) ;
 il peut aussi être utile d’organiser toutes les images numérisées dans des répertoires
distincts, c’est-à-dire d’enregistrer toutes les images de chaque pellicule de négatif
dans un répertoire à part (dont le nom correspondra à la pellicule en question).
Étape 3 : Convertissez les séquences d’images DPX en fichiers QuickTime à une
résolution off line
Créez des doubles des données source à une résolution off line en utilisant le format le
plus approprié à votre système de montage. Ensuite, archivez les données source originales de telle sorte que rien ne puisse leur arriver.
Lorsque vous convertissez les fichiers DPX en fichiers QuickTime à une résolution off line :
 le numéro de pellicule de chaque séquence d’images devrait être utilisé comme
numéro de bobine pour chaque fichier .mov correspondant ;
 les valeurs de timecode stockées dans l’en-tête de chaque fichier d’image devraient
être utilisées comme timecode pour chaque fichier .mov correspondant.
Vous pouvez vous servir de Color pour effectuer cette conversion à une plus basse résolution en créant un nouveau projet après avoir défini le type de fichier de rendu (Render File
Type) à QuickTime et choisi le codec que vous souhaitez utiliser pour l’exportation dans
Export Codec. Ensuite, il vous suffit de monter tous les plans que vous souhaitez convertir
dans le plan de montage, de les ajouter à la file d’attente de rendu (Render Queue), puis de
cliquer sur Start Render. Pour en savoir plus, consultez la section « Conversion de
séquences d’images Cineon et DPX au format QuickTime » à la page 104.60 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage
? Conseil : si vous pouvez convertir les données à un format comprimé haute définition,
tel que Apple ProRes 422 ou Apple ProRes 422 (HQ), vous serez en mesure de monter
les données off line de votre projet sur un équipement informatique peu coûteux tout
en conservant la possibilité, pendant le processus de montage, de générer la sortie ou
exporter le projet à une résolution suffisamment élevée permettant d’assurer la haute
qualité de la projection privée du client ou de la projection publique.
Étape 4 : Effectuez le montage off line dans Final Cut Pro
Effectuez le montage de votre projet dans Final Cut Pro en prenant soin de ne pas
modifier le timecode ou la durée des plans off line de quelque façon que ce soit.
Étape 5 : Préparez votre séquence Final Cut Pro
Pour préparer votre séquence montée pour un flux de production efficace dans Color,
suivez la procédure décrite dans la section « Avant d’exporter votre projet
Final Cut Pro » à la page 89.
Étape 6 : Exportez une liste de montage
Lorsque vous aurez terminé le montage, vous devez générer une liste de montage
au format CMX 340, CMX 3600 ou GVG 4 Plus.
Important : vous ne pouvez pas utiliser la commande Send to Color pour envoyer
des projets au format 2K à Color.
Étape 7 : Importez la liste de montage dans Color, puis rétablissez le lien aux données DPX originales
Utilisez la commande File > Import > EDL pour importer la liste de montage. Dans la
zone de dialogue Import EDL, vous spécifiez également le répertoire dans lequel se
trouvent les données source originales en haute résolution de sorte que l’importation
de la liste de montage et le rétablissement du lien aux données source se fassent en
une seule étape.
Étape 8 : Étalonnez votre programme avec Color
Étalonnez votre programme avec Color comme vous le feriez pour n’importe quel
autre projet.
Important : lors de l’étalonnage des images d’un film numérisé, il est essentiel d’utiliser systématiquement des tables de correspondance (LUT) soigneusement profilées
pour le calibrage du moniteur et d’émuler l’apparence finale qu’aura le projet une fois
tiré sur film lorsque vous faites des ajustements dans Color. Pour en savoir plus, consultez la section « Utilisation des tables de conversion d’affichage » à la page 138.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 61
Étape 9 : Conformez les transitions, les effets et les titres
Dans le cadre d’un flux de production 2K, vous devez aussi recourir à une application
de compositing telle que Shake pour créer les transitions et les effets en couche, dont
les surimpositions, les titres et les autres images composites, en utilisant les données
de la séquence d’images au format 2K.
Important : le numéro d’image de chaque fichier image indique la position de ce dernier dans le plan de montage du programme. C’est la raison pour laquelle il est crucial
que les numéros d’images qui apparaissent dans les noms de fichiers des données nouvellement rendues soient identiques à ceux des données source originales lorsque vous
envoyez des images à une application de compositing. Il est donc nécessaire de gérer
les fichiers avec soin.
Étape 10 : Effectuez le rendu de vos données dans une application autre que Color
Une fois que vous avez terminé d’étalonner votre programme dans Color, utilisez la
file d’attente de rendu (Render Queue) pour rendre les données finales. La file d’attente
de rendu a été conçue pour vous permettre de rendre aisément votre projet de façon
progressive. Par exemple, vous avez la possibilité de rendre tous les plans d’un programme étalonnés pendant la journée au cours de la nuit suivante de sorte que vous
ne soyez pas obligé de rendre l’ensemble du projet immédiatement.
Toutefois, lorsque vous travaillez sur un projet dans lequel des séquence d’images
numérisées au format 2K sont utilisées, le rendu des données n’est que la première
étape. La sortie rendue est enregistrée dans le répertoire de rendu spécifié de manière
à faciliter la gestion et la génération d’un nouveau rendu des données pour votre projetColor, mais elle ne sera prête pour la livraison au laboratoire chargé de l’enregistrement du film qu’après la prochaine étape.
Étape 11 : Utilisez la commande Gather Rendered Media pour assembler la
séquence d’images finale destinée à la livraison
Une fois que tous les plans de votre programme ont été rendus, vous devez utiliser la
commande Gather Rendered Media command pour regrouper toutes les images qui
ont été rendues, en éliminant les poignées, en copiant toutes les images utilisées par
le programme dans un seul répertoire et en les renumérotant de façon à créer une
séquence d’images de numérotation continue. Lorsque ceci est fait, les données rendues seront prêtes à être livrées au laboratoire chargé de l’enregistrement du film.62 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage
Flux de production intermédiaire numérique impliquant des données
à une résolution on line / off line obtenues à l’aide d’un télécinéma
Il existe une méthode plus traditionnelle pour effectuer le montage et la correction
des couleurs d’un projet. Elle consiste à effectuer un montage off line avec des données obtenues après un transfert des rushes à l’aide d’un télécinéma, ce qui s’avère
plus économique, puis à numériser avec un télécinéma haute définition avec stockage
sur disques durs (datacine) uniquement les plans utilisés lors du montage pour créer
les données on line.
La procédure ci-dessous décompose ce processus de façon plus explicite.
Négatif de la caméra
Exportation de la
liste d'épreuves
Télécinéma haute définition
Télécinéma
Séquence
d'images DPX
Multimédia
Ddonnées
Color
Regroupement
du multimédia
de rendu
Séquence
de sortie finale
Enregistreur de film Impression de film
Cinema Tools
Création de la
base de données
Capture
Final Cut Pro
Montage
offline
Conformation
Correction
de Color
RenduChapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 63
Étape 1 : Tournez votre film
L’idéal serait que de faire quelques essais avant la photographie principale pour voir
comment le transfert du scanneur de film à Color puis à l’enregistreur de film fonctionne avec les formats de film et les pellicules que vous avez choisis. Il est toujours
préférable de consulter à l’avance le laboratoire de films avec lequel vous travaillerez
pour obtenir le maximum d’informations possible.
Étape 2 : Numérisez les rushes à l’aide d’un télécinéma
Une fois le tournage du film terminé, passez les rushes au télécinéma pour les numériser à un format vidéo approprié pour le montage off line. Vous déciderez si ce format
vidéo destiné au montage off line doit être en haute définition ou non en fonction de
la configuration du système de montage avec lequel vous travaillerez et de la quantité
d’espace dont vous disposez sur le disque dur.
Ce qui est plus important, c’est la fréquence d’images à laquelle vous choisissez de
numériser les rushes.
 Pour éliminer toute une étape de gestion de données, il est recommandé de numériser le film avec un télécinéma directement à un format vidéo dont la fréquence
d’images est de 23,98 ips.
 Vous pouvez aussi le numériser à un format vidéo dont la fréquence d’images est
de 29,97 ips et utiliser ensuite Cinema Tools pour supprimer le 3:2 pulldown.
Pour maintenir plus facilement la correspondance entre la vidéo issue du télécinéma
et les images du film au format 2K qui seront numérisées ultérieurement, vous devriez
spécifier que vous souhaitez ce qui suit :
 le timecode enregistré sur la bande au cours de la numérisation par télécinéma à la
résolution off line doit être un timecode non-drop frame ;
 chaque pellicule de négatif devrait être numérisée sur une bobine différente. Ainsi,
les bobines spécifiées par la liste de montage correspondront aux pellicules de négatif de la caméra à partir desquelles les plans sont numérisés.64 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage
Étape 3 : Utilisez Cinema Tools et Final Cut Pro pour effectuer le montage off line
Comme pour tout autre montage de film, générez une Cinema Tools base de données
à partir des fichiers FLEx fournis par la personne chargée du télécinéma, puis capturez
les données correspondantes et montez le programme.
Important : lorsque vous travaillez sur des données off line correspondant au négatif
de la caméra, ne vous servez pas du Gestionnaire de données pour renommer ou supprimer les données non utilisées de votre projet. En effet, vous n’auriez plus la possibilité de créer des listes d’épreuves précises dans Cinema Tools.
Étape 4 : Préparez votre séquence Final Cut Pro
Pour préparer votre séquence montée pour un flux de production efficace dans Color,
suivez la procédure décrite dans la section « Avant d’exporter votre projet
Final Cut Pro » à la page 89.
Étape 5 : Exportez une liste de montage destinée à Color et une liste d’épreuves
pour le télécinéma haute définition
Une fois le montage off line terminé, une liste d’épreuves est générée en vue du transfert final à une résolution 2K à l’aide d’un télécinéma haute définition, et l’intégralité
du projet est exportée sous la forme d’une liste de montage destinée à être importée
et conformée dans Color.
 La liste d’épreuves indique les plans qui ont été utilisés dans la version finale du montage (qui est généralement formée d’une partie seulement de toutes les images initialement tournées). L’idéal serait que vous exportiez une liste d’épreuves contenant
également les points d’entrée et de sortie du timecode qui correspondent à chaque
plan du projet monté. De cette façon, les données du timecode peuvent être enregistrées sur chaque image numérisée lors du transfert à l’aide du télécinéma haute définition, ce qui facilite la conformation dans Color.
 La liste de montage permet d’envoyer les données du montage à Color. Elle contient
les données du timecode qui sont nécessaires pour conformer les images des séquences numérisées dans le bon ordre.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 65
Étape 6 : Numérisez les plans sélectionnés du négatif en séquences DPX à l’aide
d’un télécinéma haute définition
À l’aide de la liste d’épreuves générée par Cinema Tools, numérisez chaque plan utilisé
dans le projet avec un télécinéma haute définition (datacine).
Lors de ce transfert à l’aide du télécinéma haute définition, spécifiez que le timecode de
chaque image du négatif doit être converti en images et utilisé pour nommer chaque
fichier DPX issu de la numérisation, et qu’il doit aussi être enregistré dans l’en-tête DPX de
chaque plan. Le nom des séquence d’images obtenues devrait avoir la forme suivante :
bobine_numéro.0632368.dpx
Chaque séquence d’images issue de la numérisation du film devrait être placée dans un
répertoire de même nom que la pellicule de négatif de la caméra à partir de laquelle
elle a été numérisée. Il est judicieux d’utiliser une répertoire distinct pour chaque pellicule de négatif caméra numérisée.
Étape 7 : Importez la liste de montage dans Color, puis rétablissez le lien aux données DPX originales
Utilisez la commande File > Import > EDL pour importer la liste de montage. Dans la
zone de dialogue Import EDL, vous spécifiez également le répertoire dans lequel se
trouvent les données source originales en haute résolution de sorte que l’importation
de la liste de montage et le rétablissement du lien aux données source se fassent en
une seule étape.
Étape 8 : Étalonnez votre programme avec Color
Étalonnez votre programme avec Color comme vous le feriez pour n’importe quel
autre projet.
Important : lors de l’étalonnage des images d’un film numérisé, il est essentiel d’utiliser systématiquement des tables de correspondance (LUT) soigneusement profilées
pour le calibrage du moniteur et d’émuler l’apparence finale qu’aura le projet une fois
tiré sur film lorsque vous faites des ajustements dans Color. Pour en savoir plus, consultez la section « Utilisation des tables de conversion d’affichage » à la page 138.
Étape 9 : Conformez les transitions, les effets et les titres, rendez les données, puis
rassemblez les données rendues
À ce stade, le processus est le même que celui décrit dans la section « Flux de production intermédiaire numérique sans bande impliquant des doubles numériques à une
résolution on line / off line » à la page 57.66 Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage
Utilisation des listes de montage, du timecode et des numé-
ros d’images pour la conformation des projets
Si vous gérez méticuleusement vos fichiers, le timecode vous permet de ne pas perdre
de vue la relation entre le négatif original de la caméra et les données numériques ou
vidéo créées par transfert en vue du montage off line.
Rétablissement du lien entre les images DPX/Cineon et une liste de
montage dans Color
Pour réussir une conformation dans Color, il est essentiel de veiller à ce que les données
du timecode qui se trouvent dans la liste de montage soient mises en miroir dans les
images DPX or Cineon numérisées avec lesquelles vous rétablissez le lien. Color tente de
rétablir le lien aux données de la séquence d’images de plusieurs façons différentes en
fonction des informations disponibles dans le fichier :
 Tout d’abord, Color recherche une valeur de timecode dans l’en-tête du fichier de
l’image DPX ou Cineon. Si cette valeur s’y trouve, vous pourrez utiliser la méthode
la plus fiable en matière de rétablissement de lien.
 Si les données d’en-tête ne contiennent aucune valeur de timecode correspondante,
Color recherche alors la valeur de timecode dans le nom du fichier et essaie également de trouver le numéro de bobine correspondant dans le répertoire où se trouve
ce fichier.
 Si ce répertoire ne contient aucun numéro de bobine, Color tente alors de rétablir
le lien de tous les plans uniquement à l’aide de leur valeur de timecode.
Analyse des listes de montage pour la conformation des projets
intermédiaires numériques
Cette section explique comment Color établit la correspondance entre les valeurs de
timecode d’une liste de montage et les numéros d’images utilisés dans l’en-tête du
timecode ou dans le nom de fichier de chaque image d’une séquence.
Voici un échantillon d’une ligne de liste de montage :
001 004 V C 04:34:53:04 04:35:03:04 00:59:30:00 00:59:40:00
Dans toutes les listes de montage, l’information est divisée en huit colonnes :
 La première colonne correspond au numéro de la coupe. Il s’agit de la première
coupe de la liste de montage, c’est pourquoi elle porte le numéro 001.
 La deuxième colonne contient le numéro de bobine, à savoir 004. C’est aussi de cette
façon que devrait être nommé le répertoire dans lequel se trouvent les fichiers de
l’image numérisée au format 2K correspondant au plan en question.
 Les deux colonnes suivantes contiennent des informations relatives au montage et
aux pistes vidéo/audio. Ces informations sont utilisées par Color par ailleurs mais ne
participent pas à la conformation des données.Chapitre 2 Flux de production de l’étalonnage 67
Les quatre dernières colonnes correspondent au timecode et sont formées par des
paires de points d’entrée et de sortie.
 La première paire de valeurs de timecode correspond aux points d’entrée et de sortie des données source originales (dans le cas d’un montage on line ordinaire, il s’agit
généralement de la bande issue du télécinéma). Dans un flux de production intermé-
diaire numérique, ces valeurs de timecode sont utilisées pour nommer et identifier
les images numérisées résultant du télécinéma haute définition.
 La deuxième paire de points d’entrée et de sortie indique la position du plan dans le
programme monté. Ces valeurs de timecode sont utilisées pour insérer les données à
l’endroit adéquat dans le plan de montage.
Attribution de noms de fichiers aux séquences d’images pour la conformation des projets intermédiaires numériques
Voici un exemple de ce que pourrait être le nom du premier fichier de séquence
d’image correspondant à la coupe de la liste de montage indiquée plus haut :
nom_de_fichier.0494794.dpx
La première partie du nom de fichier de chaque image numérisée (c’est-à-dire les caractères correspondant aux lettres de l’alphabet) est ignorée, mais l’extension numérique
qui spécifie le numéro d’image du fichier doit être égale à la conversion du timecode
(non-dropframe) qui figure dans la liste de montage en numéro d’image absolu.
Par exemple, une image dont le timecode non-drop NTSC est 05:51:18:28 serait munie
de l’extension numérique 632368. Les extensions numériques devraient toujours être
complétées de sorte qu’elles soient composées de sept chiffres ; dans l’exemple donné,
un 0 serait donc ajouté au début, comme suit :
nom_de_fichier.0632368.dpx
Seules l’extension numérique et l’extension .dpx ou .cin sont absolument nécessaires étant
donné que les caractères alphabétiques situés au début du nom du fichier sont ignorés
par Color. Le nom de fichier ci-dessus pourrait, par exemple, aussi bien être le suivant :
0632368.dpx
Vous pouvez aussi vous servir de la première partie du nom du fichier pour spécifier
le numéro de la bobine à partir de laquelle le fichier de l’image a été créé :
bobine_004.0632368.dpx3
69
3 Utilisation de l’interface Color
Dans Color, vous avez le choix de travailler dans l’interface
à l’écran à l’aide de votre souris ou d’utiliser une surface de
contrôle dédiée plus directe, conçue pour les travaux professionnels d’étalonnage colorimétrique.
Ce chapitre traite des conventions générales reprises dans l’interface Color. Il décrit
l’utilisation des commandes partagées par plusieurs zones de l’interface, ainsi que
les commandes spécialisées propres aux applications d’étalonnage.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 Configuration d’une surface de contrôle (p. 70)
 Utilisation des contrôles d’écran (p. 70)
 Navigateurs et chutiers pour organiser les fichiers (p. 75)
 Utilisation de Color avec un ou deux écrans (p. 82)70 Chapitre 3 Utilisation de l’interface Color
Configuration d’une surface de contrôle
Dès l’origine, Color a été développé pour prendre en charge les surfaces de contrôle
tout spécialement dédiées à l’étalonnage et commercialisées par des fabricants tels que
Tangent et JL Cooper Designs. En règle générale, ces surfaces de contrôle comportent
trois trackballs (ou « boules de commande ») qui correspondent aux trois zones tonales
en chevauchement des commandes de balance des couleurs primaires et secondaires
(ombres, tons intermédiaires et hautes lumières), trois commandes rotatives (ou « roues »,
ou « couronnes ») pour les trois commandes de contraste (niveau de noir, gamma et
point blanc), ainsi qu’un certain nombre de commandes rotatives et de boutons pour
diverses fonctions complémentaires dépendant du studio que vous avez sélectionné.
Vous pouvez choisir la surface de contrôle à utiliser lors du démarrage de Color ou cliquez sur « Show Control Surface Dialog » dans l’onglet User Prefs du studio Setup pour
choisir à tout moment l’une des surfaces de contrôle disponibles. Pour en savoir plus
sur la configuration d’une surface de contrôle, consultez l’annexe C, « Configuration
d’une surface de contrôle ». Pour en savoir plus sur la configuration d’une surface de
contrôle depuis Color, consultez le paragraphe « Réglages de la surface de contrôle » à
la page 122.
Utilisation des contrôles d’écran
Même si vous ne disposez d’aucune surface de contrôle, vous pouvez utiliser toutes
les fonctions de Color grâce aux contrôles d’écran. Hormis les boutons, cases à cocher
et menus locaux habituels communs à la majorité des applications, Color affiche certaines commandes personnalisées décrites dans cette section.
F1 F2 F3
F4 F5 F6
F7 F8 F9
MEM
ALT
GRACE DELETE
MARK IN OUT
CUE
DO UNDO
MORE
REDO 7
4
1
00 0
2 3 -
5 6 +
8 9
PREV NEXT
MODE
CLEAR
R3 B3
B2
R1 B1
R2
PAGE 5
PAGE 6
PAGE 8
PAGE 7
PAGE 1
PAGE 2
PAGE 4
PAGE 3
F1
M1
W1
W2
W3
W4
W5
W6
W7
JOG SHUTTLE
M2 M3
1 2 3 4 5 6 7 8 BANK 1
BANK 2
HOURS MINUTES SECONDS FRAMES
BANK 4
BANK 4
PAGE
ASSIGN
UTILITY
M4 M5
TIME CODE DISPLAY
F2
F3
F4
F5
F6
F7
F8Chapitre 3 Utilisation de l’interface Color 71
Utilisation de la souris
Color prend en charge les souris à trois boutons qui vous permettent d’accéder rapidement aux menus contextuels et aux divers raccourcis de navigation. Color autorise également l’utilisation de la molette ou la de boule centrale de défilement des souris à
trois boutons pour défiler ou comme s’il s’agissait d’un bouton.
Accélération des commandes grâce à la touche Option
Il est possible de multiplier par 10 la vitesse normale de nombreuses commandes
en maintenant enfoncée la touche Option alors que vous faites glisser le pointeur.
Onglets
Les onglets servent à naviguer entre les huit différents « studios » de Color. Chacun de
ces studios correspond à une partie distincte de l’interface, contenant toutes les commandes nécessaires à l’exécution d’une tâche spécifique. Si vous changez de studio,
vous modifiez l’interface affichée, les raccourcis clavier disponibles et le mappage des
commandes des surfaces de contrôle.
Qui plus est, certains studios comportent d’autres fonctions affichées lorsque vous utilisez des ensembles d’onglets supplémentaires disponibles.
Champs de texte et curseurs virtuels
Dans Color, les champs modifiables peuvent contenir quatre types de données :
 Timecode
 Texte (noms de fichiers, chemins, etc.)
 Nombres entiers (les champs affichant des nombres entiers ne prennent pas
en charge les valeurs décimales ni les fractions)
 Pourcentages et fractions (0,25 ou 1/873, par exemple)
Vous disposez de trois méthodes pour modifier les champs de texte.
Bouton de la souris Référence dans cette documentation
Bouton gauche de la souris Clic
Bouton central de la souris Clic avec le bouton central de la souris
Bouton droit de la souris Clic avec le bouton droit de la souris (identique au clic tout en
maintenant la touche Contrôle enfoncée dans le cas d’une souris
à un seul bouton)72 Chapitre 3 Utilisation de l’interface Color
Pour saisir du texte dans un champ à l’aide du clavier :
1 Cliquez dans le champ de texte que vous souhaitez modifier.
Le texte présent dans ce champ apparaît alors en surbrillance.
2 Saisissez un nouveau texte.
3 Appuyez sur la touche retour pour confirmer votre modification.
Pour modifier la valeur numérique ou le pourcentage affiché par un champ à l’aide
d’un curseur virtuel :
1 Placez le pointeur sur le champ que vous souhaitez modifier.
2 Cliquez avec le bouton central de la souris, puis faites glisser le pointeur vers la gauche
pour diminuer la valeur ou vers la droite pour l’augmenter.
3 Relâchez le bouton de la souris lorsque vous avez terminé votre réglage.
Pour modifier la valeur numérique ou le pourcentage affiché par un champ à l’aide
de la molette de défilement :
1 Placez le pointeur sur le champ que vous souhaitez modifier.
2 Sans cliquer dans le champ, faites tourner la molette ou la boule de défilement vers
le haut pour augmenter la valeur ou vers le bas pour la diminuer.
Pour modifier un champ à l’aide d’un menu contextuel :
m Cliquez sur n’importe quel champ tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée
ou avec le bouton droit de la souris, puis choisissez l’une des options suivantes dans
le menu contextuel qui apparaît :
 Reset : réinitialise le champ correspondant.
 Min : choisit la valeur minimale disponible pour ce champ.
 Max : choisit la valeur maximale disponible pour ce champ.
 Set as Default : règle ce paramètre à sa valeur par défaut.
Champs de timecode
Les champs de timecode affichent des informations sur la synchronisation, tels que
les points d’entrée et de sortie des médias et la position de la tête de lecture. Dans
Color, les valeurs temporelles peuvent prendre deux formats :
 Au sein de ces champs, la plupart des valeurs temporelles sont représentées par
un timecode SMPTE standard. Ce type de timecode correspond à une série de quatre paires de chiffres séparées par deux-points : hh:mm:ss:ii, où hh exprime les heures, mm les minutes, ss les seconds et ii les images.
 Les valeurs temporelles présentes dans la Timeline Ruler peuvent être affichées sous
forme de timecodes Non-Drop Frame, Drop Frame ou Frames.
Remarque : dans un timecode Drop-Frame timecode, les secondes et les images sont
séparées par un point-virgule.Chapitre 3 Utilisation de l’interface Color 73
Navigation à l’aide des timecodes
Voici quelques indications pour saisir des valeurs dans les positions réservées aux
heures, minutes, secondes et images des champs de timecode :
 Les valeurs temporelles sont saisies de gauche à droite (comme pour programmer
une durée sur un micro-ondes). Toutefois, la dernière valeur saisie est considérée
comme étant le dernier chiffre de la position réservée aux images.
 Appuyez sur la touche Retour afin de confirmer la valeur que vous venez de saisir
pour un timecode.
 Si vous entrez un nombre incomplet, la paire de chiffres la plus à droite est interprétée
comme correspondant aux images. En partant de ce principe, chaque paire de chiffres
la précédant (plus à gauche) sert à remplir les positions des secondes, des minutes,
puis des heures. Les paires de chiffres omises sont remplacées d’office par 00.
Par exemple, si vous saisissez 1419, Final Cut Pro interprète cette valeur comme
00:00:14:19.
 Lorsque vous entrez un timecode dans un champ, vous n’êtes pas obligé de les séparateurs (comme les deux-points). En effet, ils sont automatiquement ajoutés entre
chaque paire de chiffres.
 Vous pouvez également entrer un point pour représenter deux zéros lors de la saisie
de durées importantes.
Par exemple, saisissez « 3. » (le chiffre 3 suivi d’un point) pour entrer le timecode
00:00:03:00. Color interprète automatiquement le point comme la valeur 00.
 Pour entrer 00:03:00:00, saisissez « 3.. » (le chiffre 3 suivi de deux points).
Ces points provoquent l’insertion de deux zéros dans les positions réservées aux
secondes et aux images.
 Saisissez « 3... » pour entrer 03:00:00:00.
 Utilisez le signe plus (+) pour entrer une série de valeurs à un seul chiffre dans
chaque position temporelle.
Par exemple, saisissez « 1+5+8 » pour entrer le timecode 00:01:05:08.74 Chapitre 3 Utilisation de l’interface Color
Commandes de couleur
Les commandes de couleur sont utilisées dans plusieurs studios de Color, afin de
vous permettre de sélectionner et de modifier des couleurs grâce au modèle HSL.
 Si vous faites glisser le pointeur dans la roue principale des couleurs, vous réglez
simultanément la teinte et la saturation de la couleur sélectionnée.
La croix affichée sur la roue des couleurs indique la valeur de couleur en cours de sélection.
Les autres commandes dépendent du type de commande de couleur actuellement affiché.
 Faites glisser le curseur multicolore Hue vers le haut ou le bas pour ajuster la teinte.
 Faites glisser le curseur unicolore Saturation vers le haut ou le bas pour respectivement
augmenter ou diminuer la saturation de la teinte actuelle.
 Faites glisser le curseur unicolore Brightness vers le haut ou le bas pour respectivement
augmenter ou diminuer la luminosité de la couleur actuelle.
Personnalisation des commandes de couleur
Vous avez la possibilité de personnaliser l’angle selon lequel les couleurs apparaissent
dans la roue affichée par les commandes de couleur, de telle sorte qu’il corresponde
à l’interface d’autres systèmes d’étalonnage utilisés. Vous pouvez également régler
la vitesse à laquelle les manettes de la surface de contrôle ajustent les commandes
de couleur correspondantes dans Color. Pour en savoir plus, consultez la section
« Réglages de la surface de contrôle » à la page 122.Chapitre 3 Utilisation de l’interface Color 75
Navigateurs et chutiers pour organiser les fichiers
Color met à votre disposition plusieurs navigateurs et chutiers pour organiser vos plans,
médias et jeux d’étalonnage partageant des commandes communes. Tous ces navigateurs et chutiers servent à gérer les fichiers sur votre disque dur, plutôt que les données
stockées au sein d’un fichier de projet Color proprement dit. Par conséquent, utilisez
leurs commandes pour parcourir et organiser la structure des répertoires sur votre disque dur, comme vous le feriez dans le Finder.
Le navigateur de fichiers
Occupant la moitié gauche du studio Setup, ce navigateur vous permet de naviguer
au sein de la structure des répertoires sur les disques durs de votre ordinateur (et par
extension, sur tout volume RAID, DAS et SAN actuellement monté), afin de rechercher
et importer des fichiers de données QuickTime et d’image compatibles.
Il est important de vous rappeler que le navigateur de fichiers n’est en aucun cas un
chutier de projets. Les fichiers qu’il affiche ne sont pas associés à votre projet Color,
sauf si vous les faites glisser manuellement dans la Timeline ou que vous reliez des
plans d’un projet importé aux fichiers de données associés sur le disque par le biais
des commandes Relink Media ou Reconnect Media.
Remarque : le navigateur de fichiers affiche uniquement les répertoires et les fichiers
de données compatibles avec Color.
Lorsque vous sélectionnez un fichier de données dans ce navigateur, un panneau apparaît
à droite pour afficher la première image de ce fichier ainsi que les informations suivantes :
 Shot Name : le nom du fichier
 Duration : sa durée totale
 Codec : le codec utilisé pour encoder le fichier
 Resolution : la taille d’image du fichier, exprimée selon sa largeur fois sa hauteur
 Frame Rate : la fréquence d’images du fichier
 Timecode : la valeur du timecode correspondant à la première image du fichier
Situé en bas de ce panneau, un bouton Importer vous permet de modifier le plan
actuellement sélectionné dans la Timeline au niveau de la position en cours de la
tête de lecture.
Réduction du navigateur de fichiers
Si vous le souhaitez, vous pouvez réduire le navigateur de fichiers, afin que la zone
des onglets située à droite occupe toute la fenêtre de Color.76 Chapitre 3 Utilisation de l’interface Color
Pour masquer le navigateur de fichiers :
m Placez le pointeur sur le diviseur situé à l’extrême droite du navigateur de fichiers. Une
fois qu’il apparaît en surbrillance bleue, cliquez dessus une fois pour réduire le navigateur.
Pour développer le navigateur de fichiers :
m Placez le pointeur sur le diviseur situé à l’extrême gauche de la fenêtre du navigateur
de fichiers. Une fois qu’il apparaît en surbrillance bleue, cliquez dessus une fois pour
développer le navigateur.
Pour en savoir plus sur le studio Setup, consultez le chapitre 5, « Setup
(Configuration) », à la page 107.
Le navigateur de plans
Le deuxième navigateur disponible dans le studio Setup est accessible via l’onglet
Shots. Ce navigateur vous affiche tous les plans utilisés dans le projet en cours sous
forme de liste ou d’icônes.
La présentation sous forme d’icônes vous permet de créer des groupes de plans que
vous pouvez utiliser pour copier et coller des jeux d’étalonnage dans plusieurs plans
à la fois. Pour en savoir plus, consultez la section « Gestion des jeux d’étalonnage dans
le navigateur de plans » à la page 313.Chapitre 3 Utilisation de l’interface Color 77
Quant à la présentation sous forme de liste, elle vous permet de trier tous les plans sur
la base de divers champs d’information. Pour en savoir plus sur l’utilisation du navigateur de plans, consultez « Le navigateur de plans » à la page 109.
Chutier de jeux d’étalonnage
Situé dans le studio Setup, le chutier de jeux d’étalonnages, vous permet d’enregistrer
et d’organiser des jeux d’étalonnage regroupant des corrections primaires, secondaires
et Color FX en une seule unité.
Vous pouvez utiliser ce chutier pour appliquer des jeux d’étalonnage enregistrés à d’autres
plans dans la Timeline. Le contenu du chutier de jeux d’étalonnages est disponible à partir
de tous les projets Color ouverts alors que vous êtes connecté sous un compte utilisateur
particulier. Pour en savoir plus sur l’enregistrement et l’application des jeux d’étalonnages,
consultez la section « Enregistrement de jeux d’étalonnage dans le chutier des jeux » à
la page 302.
Chutiers de corrections
Les studios Primary, Secondaries et Color FX vous permettent d’enregistrer les corrections effectuées dans leur environnement respectif sous forme de préréglages individuels que vous pouvez par la suite appliquer à des plans. Le contenu des chutiers de
corrections est disponible à partir de tous les projets Color ouverts alors que vous êtes
connecté sous un compte utilisateur particulier.
 Primary In et Out : ces deux studios vous permettent d’enregistrer et d’organiser les
corrections primaires. Elles partagent le même groupe de corrections enregistrées.
 Secondaries : ce studio vous permet d’enregistrer et d’organiser les corrections
secondaires
 Color FX : ce studio vous permet d’enregistrer et d’organiser les corrections Color FX.78 Chapitre 3 Utilisation de l’interface Color
Still Store
Bien que le Still Store ne soit pas un chutier de jeux d’étalonnage ou de corrections,
il est géré exactement de la même façon. Ce studio est en fait un très grand chutier
conçu pour conserver les images fixes d’une multitude de plans, afin de les comparer avec d’autres plans de votre programme. Pour en savoir plus sur l’utilisation du
Still Store, reportez-vous au chapitre 16, « Magasin d’images fixes (Still Store) », à la
page 355.
Commandes disponibles dans les navigateurs et les chutiers de jeux
d’étalonnage et de corrections
Tous les navigateurs et les chutiers mettent à votre disposition les commandes suivantes :
Commandes d’affichage
Tous les navigateurs et les chutiers disposent de commandes d’affichage qui vous permettent de choisir la présentation et l’organisation de leur contenu.
 Bouton List View : affiche le contenu du répertoire en cours sous la forme d’une liste
de noms de fichiers.
 Bouton Icon View : affiche le contenu du répertoire en cours sous la forme d’icônes.
 Curseur Icon Size : ce curseur n’apparaît que dans la présentation sous forme d’icônes.
Il permet de définir la taille des icônes.
Comparaison entre les jeux d’étalonnage et les corrections
Il existe une distinction entre les jeux d’étalonnage et les corrections dans Color.
Les corrections font référence aux modifications apportées au sein d’un seul studio.
Vous avez la possibilité d’enregistrer des corrections individuelles au sein des studios
Primary, Secondaries ou Color FX, puis de les appliquer séparément à des plans.
Un jeu d’étalonnage peut réunir plusieurs corrections au sein de divers studios. Il s’agit
de l’enregistrement groupé d’une ou plusieurs corrections primaires, secondaires et
Color FX. Si vous enregistrez un groupe de corrections sous forme de jeu d’étalonnage,
vous pouvez les appliquer d’un seul coup comme s’il s’agissait d’un seul préréglage.Chapitre 3 Utilisation de l’interface Color 79
Commandes de navigation au sein des répertoires
Le navigateur de fichiers ainsi que les chutiers de jeux d’étalonnage et de corrections
comportent également des commandes de navigation qui vous permettent d’organiser
et de parcourir les jeux d’étalonnages et les corrections enregistrés sur votre disque dur.
 Go Up : déplace la sélection et affiche le contenu du répertoire parent.
 Go Home : accède au répertoire de départ de ce navigateur ou de ce chutier. Il ne s’agit
pas de votre répertoire de départ d’utilisateur Mac OS X :
 Navigateur de fichiers : le bouton Home vous permet d’accéder directement au répertoire de données actuellement sélectionné pour Color.
 Primary, Secondaries, Color FX et Primary Out : le bouton Home vous permet d’accé-
der directement au répertoire /Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/Color. Chaque studio dispose de son propre sous-répertoire qui
contient toutes les corrections enregistrées pour un usage ultérieur.
 Still Store : le bouton Home vous permet d’accéder directement au répertoire StillStore
dans la structure de répertoires du projet en cours.
Commandes relatives aux fichiers
La partie inférieure du navigateur de fichiers ainsi que des chutiers de jeux d’étalonnages et de corrections comporte des commandes de création et d’accès aux répertoires.
 Champ File : affiche le chemin d’accès du répertoire actuellement affiché.
 Menu local Directory : offre une méthode rapide pour naviguer vers le haut ou le bas
de l’arborescence de répertoires actuellement affichée ou pour accéder directement
au répertoire Color par défaut du studio concerné.
 Bouton New Directory : vous permet de créer un nouveau répertoire dans le chemin
actuellement indiqué. Vous pouvez créer autant de répertoires que vous le souhaitez
pour organiser les jeux d’étalonnages et les corrections d’un studio.
 Bouton Save : enregistre les réglages du jeu d’étalonnage ou de la correction appliqué au plan au niveau de la position actuelle de la tête de lecture dans le répertoire
indiqué dans les champs de texte affichés au-dessus.
 Bouton Load : applique le jeu d’étalonnage ou la correction sélectionné au plan situé
au niveau de la position actuelle de la têtes de lecture (si aucun autre plan n’est sélectionné) ou à plusieurs plans (en ignorant dans ce cas le plan au niveau de la tête de
lecture s’il n’est pas sélectionné). Comme dans tous les chutiers de Color, vous pouvez faire glisser les éléments affichés dans ce chutier et les déposer dans la Timeline.80 Chapitre 3 Utilisation de l’interface Color
Méthode d’enregistrement des jeux d’étalonnage et des corrections
Lorsque vous enregistrez des jeux d’étalonnage et des corrections via les chutiers correspondants dans Color, ils sont stockés dans le répertoire des préférences de Color, dans
votre répertoire /Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/Color.
Les jeux d’étalonnage et corrections enregistrés dans ces chutiers sont disponibles
dans tous les projets que vous ouvrez.
Les corrections individuelles stockées dans les répertoires mentionnés ci-dessus sont sauvegardées sous la forme de deux fichiers : un fichier .lsi qui contient une vignette permettant
d’identifier visuellement le jeu d’étalonnage et un fichier spécifique au type de correction
qui définit ses réglages. Sauf modifications personnelles, ces deux fichiers portent le même
nom, suivi d’un point, puis de la date (jour mois année heure.minute.secondeFuseauHoraire) et d’une extension qui permet d’identifier le type de correction qu’ils contiennent.
 Nom_étalonnage.date.lsi : vignette utilisée pour symboliser cet étalonnage dans
la présentation sous forme d’icônes
 Nom_Jeu_étalonnage.date.pcc : fichier de correction primaire
 Nom_étalonnage.date.scc : fichier de correction secondaire
 Nom_Jeu_étalonnage.date.cfx : fichier de correction Color FX
En réalité, un jeu d’étalonnage enregistré correspond à un groupe de fichiers qui contient tous les fichiers de correction constituant ce jeu d’étalonnage. Par exemple, un jeu
d’étalonnage combinant des corrections primaires, secondaires et Color FX correspond
à un répertoire portant le nom du jeu d’étalonnage, « Nom_Jeu_étalonnage.date.grd »,
et contenant les fichiers suivants :
 Nom_Jeu_étalonnage.date.lsi
 Nom_Jeu_étalonnage.date.pcc
 Nom_Jeu_étalonnage.date.scc
 Nom_Jeu_étalonnage.date.cfx
Catégorie de corrections
enregistrées Emplacement sur le disque
Jeux d’étalonnages /Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/
Color/Grades/
Corrections primaires /Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliotèque/Application Support/
Color/Primary/
Corrections secondaires /Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/
Color/Secondary/
Corrections Color FX /Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/
Color/Effects/Chapitre 3 Utilisation de l’interface Color 81
Réorganisation des corrections et jeux d’étalonnage enregistrés dans
le Finder
Chaque chutier de corrections de Color est simplement le miroir du contenu du sous-répertoire correspondant, dans le répertoire /Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/Color. Vous pouvez passer par le Finder pour réorganiser vos corrections et
jeux d’étalonnage enregistrés, en créant de nouveaux sous-répertoires et en les y plaçant.
Lorsque vous déplacez un jeu d’étalonnage enregistré d’un répertoire à un autre, il est
important de veiller à copier sa vignette .lsi et son fichier .pcc, .scc ou .cfx (qui contient
les informations réelles de ce jeu d’étalonnage).
Si vous réorganisez des jeux d’étalonnage et des corrections enregistrés dans le Finder
alors que Color est ouvert, vous devez actualiser manuellement le contenu des chutiers
de jeux d’étalonnage et de corrections que vous avez modifiés, afin qu’ils affichent correctement leur contenu actuel.
Pour mettre à jour le contenu du chutier de corrections actuellement affiché :
m Cliquez sur le bouton Home.
Le contenu du chutier de corrections est mis à jour pour refléter l’état actuel du Finder.
Déplacement de corrections et de jeux d’étalonnage enregistrés vers
d’autres ordinateurs
Si vous disposez de corrections et de jeux d’étalonnage enregistrés que vous souhaitez
déplacer vers des installations de Color situées sur d’autres ordinateurs, il vous suffit
de copier les dossiers décrits à la page 80 sur un support de stockage mobile, puis de
copier leur contenu dans les dossiers correspondants sur les nouveaux systèmes. À la
prochaine ouverture de Color, les corrections et jeux d’étalonnage enregistrés apparaissent comme à l’accoutumée.82 Chapitre 3 Utilisation de l’interface Color
Utilisation de Color avec un ou deux écrans
Vous avez la possibilité d’utiliser Color dans des configurations avec un seul ou deux
écrans. La majorité des utilisateurs optent pour le mode double affichage de Color
en recourant à deux écrans, car ce mode permet de bénéficier d’une surface utile plus
importante, de prévisualisations offrant une plus grande flexibilité et des instruments
vidéo affichés par la fenêtre Scopes sur le deuxième écran.
Vous pouvez toutefois opter pour le mode d’affichage simple de Color et exploiter toutes
les fonctionnalités Color alors que vous ne disposez pas de deuxième écran. Ce mode est
recommandé uniquement dans les cas où vous disposez d’un écran Cinéma de 30 pouces.
Remarque : Color exige une résolution minimale de 1 680 x 1 050 aussi bien en mode
double affichage que simple.
Pour passer du mode d’affichage simple au mode double affichage (et inversement),
effectuez l’une des opérations suivantes :
m Cliquez sur Window > Single Display Mode ou Dual Display Mode.
m Appuyez simultanément sur Maj + 0 pour basculer d’un mode à l’autre.
Vous devez quitter Color et le relancer pour que cette modification entre en vigueur.4
83
4 Importation et gestion de projets
et de données
Color vous propose des outils puissants pour la gestion
des projets et des données lors de votre travail.
Comme il est indiqué dans le chapitre 2, « Flux de production de l’étalonnage », à la
page 39, il existe trois méthodes principales pour importer un projet et ses données.
Vous pouvez soit importer (ou envoyer) les données d’un projet XML depuis Final Cut Pro,
soit importer une liste de points de montage (EDL, Edit Decision List) et reconnecter ses
données, soit insérer manuellement les données elles-mêmes directement dans le plan
de montage chronologique (Timeline).
Ce chapitre décrit les commandes et les méthodes qui permettent de créer et à d’enregistrer des projets, d’importer un projet et ses données depuis d’autres applications et
de gérer un projet dans Color.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 Création et ouverture de projets (p. 84)
 Enregistrement de projets et d’archives (p. 85)
 Transfert de projets entre Final Cut Pro et Color (p. 89)
 Reconformation de projets (p. 94)
 Importation de listes de montage (EDL) (p. 95)
 Exportation de listes EDL (p. 97)
 Rétablissement du lien avec les données QuickTime (p. 98)
 Importation de données directement dans le plan de montage (p. 99)
 Formats de données compatibles (p. 99)
 Conversion de séquences d’images Cineon et DPX au format QuickTime (p. 104)
 Importation des corrections de couleurs (p. 105)
 Exportation d’images JPEG (p. 106)84 Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données
Création et ouverture de projets
Lorsque vous exécutez Color pour la première fois, une zone de dialogue apparaît pour
vous permettre d’ouvrir un projet existant ou d’en créer un nouveau.
Pour créer un nouveau projet la première fois que vous ouvrez Color :
1 Ouvrez Color.
2 Lorsque la fenêtre Projects s’ouvre, choisissez un emplacement pour le projet en question.
Lorsqu’elle s’ouvre, la zone de dialogue Create Project indique par défaut le répertoire
par défaut des projets (Default Project Directory) que vous avez sélectionné la première
fois que vous avez exécuté Color.
3 Saisissez un nom pour le projet dans le champ File, puis cliquez sur Save.
Un nouveau projet est créé dans le répertoire que vous avez choisi et il s’ouvre
automatiquement.
Pour créer un nouveau projet à un moment autre que lors de l’ouverture de Color :
1 Au besoin, enregistrez le projet actuel.
En effet, il n’est pas possible d’avoir plusieurs projets ouverts en même temps dans
Color, si bien que la création d’un nouveau projet entraînera la fermeture de celui
qui est ouvert.
2 Choisissez File > New (Commande + N).
3 Dans la zone de dialogue Create Project, choisissez un nom et un emplacement pour
le projet, puis cliquez sur Save.
Un projet vierge prêt à l’emploi s’affiche.
Pour ouvrir un projet existant, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Dans le Finder, double-cliquez sur un fichier de projet Color.
m Choisissez File > Open (Commande + O), sélectionnez un projet dans la fenêtre
Projects, puis cliquez sur Open.
Il n’est pas possible d’avoir plusieurs projets ouverts en même temps dans Color.
En conséquence, l’ouverture d’un deuxième projet entraîne la fermeture de celui
qui se trouve déjà ouvert.Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données 85
Enregistrement de projets et d’archives
Le processus fondamental d’enregistrement de fichiers a été divisé en deux tâches :
enregistrement des mises à jour dans le fichier de projet même et enregistrement
des archives de ce dernier.
L’enregistrement d’un projet s’effectue de la même façon dans Color que dans toute
autre application que vous avez pu utiliser auparavant. Et comme dans toute autre
application, vous devriez enregistrer presque dès le début et fréquemment au cours
de votre travail.
Pour enregistrer un projet :
m Choisissez File > Save (Commande + S).
Remarque : chaque fois que vous enregistrez un projet manuellement, une archive est
également automatiquement enregistrée avec un nom de fichier formé par l’heure et la
date de sa création.
Pour rétablir le projet à son dernier état enregistré :
m Choisissez File > Revert (Commande + R).
Enregistrement et ouverture d’archives
Une archive est un double comprimé du projet qui est stocké à l’intérieur même du
paquet du projet. À des fins d’efficacité, le fichier d’archives est dénué de la vignette
et des fichiers image du magasin d’images fixes (Still Store) dont dispose la version
complète du projet, et seuls sont enregistrés l’état du fichier de projet interne, le plan
de montage (Timeline), les réglages de plans, les jeux d’étalonnage, les corrections,
les images clés et les réglages du Pan and Scan, qui sont faciles à comprimer et qui
n’occupent que peu d’espace.
Chaque fois que vous enregistrez votre projet manuellement, une archive est automatiquement créée, à laquelle un nom composé de l’heure et de la date de l’enregistrement
est attribué. Si vous souhaitez enregistrer une archive de votre projet lorsque celui-ci se
trouve dans un état particulier et lui attribuer un nom qui permettra de l’identifier plus
facilement, vous pouvez utiliser la commande Save Archive As.86 Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données
Pour enregistrer une archive du projet en lui attribuant un nom particulier :
1 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Choisissez File > Save Archive As.
 Appuyez sur Commande + Option + S.
2 Saisissez un nom dans le champ Archive Name, puis cliquez sur Archive.
Le nombre d’archives que vous pouvez enregistrer est illimité, de sorte que la liste
d’archives peut devenir assez longue. Les archives sont comprimées à la fois à l’aide de
la compression .tar et de la compression .gzip (le résultat étant une archive de distribution appelée « tarball » en anglais, littéralement « boule de goudron ») afin de n’occuper que peu d’espace. Tous les fichiers d’archives d’un projet particulier sont enregistrés
dans le sous-répertoire Archives à l’intérieur du paquet de ce projet.
Si, par la suite, un problème quelconque survenait en ce qui concerne les réglages de
votre fichier de projet ou si vous souhaitez revenir à l’état du projet tel qu’il a été archivé
à un moment antérieur, vous avez la possibilité de charger l’un des fichiers d’archives.
Pour ouvrir une archive :
1 Choisissez File > Load Archive (Commande + Option + O).
2 Dans la fenêtre Load Archive, sélectionnez une archive à ouvrir, puis cliquez sur
Load Archive.
L’ouverture d’une archive provoque l’écrasement de l’état actuel du projet qui sera
remplacé par celui de l’archive chargée.
Enregistrement automatique
Lorsqu’il est activé, le mécanisme d’enregistrement automatique de Color a pour effet
d’enregistrer le projet actuel selon une fréquence dont l’intervalle est défini par le paramètre Auto Save Time (Minutes) dans l’onglet User Prefs du studio Setup. Lorsqu’un projet est automatiquement enregistré, aucune archive n’est créée afin d’éviter que votre
liste d’archives ne comporte un nombre excessif d’entrées. Par défaut, l’enregistrement
automatique est activé et l’intervalle est défini à 5 minutes.
Pour en savoir plus, consultez la section « Réglages d’enregistrement automatique » à la
page 131.Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données 87
Qu’est-ce qu’un projet Color ?
Les seuls plans qui se trouvent dans votre projet sont ceux qui figurent dans le plan de
montage (et qui apparaissent également dans le navigateur de plans). Les projetsColor
ne contiennent qu’une seule séquence de plans. En outre, les projets Color, d’un point
de vue de l’organisation, ne tiennent absolument pas compte des plans qui ne se trouvent pas dans le plan de montage. Par conséquent, ils ne contiennent pas de données
non utilisées.88 Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données
Contenu des projets Color
Les projets Color sont en fait des paquets. À l’intérieur de chaque paquet de projet
Color se trouve une série hiérarchique de répertoires qui contiennent chacun des
composants particuliers appartenant à ce projet, à savoir des fichiers XML ou des
fichiers image. Il est possible d’ouvrir un paquet Color à l’aide de la commande
Show Package Contents du Finder. Cette section présente la structure de répertoire
et le contenu de ces paquets dans leurs grandes lignes.
 Répertoire Archives : ce répertoire contient toutes les archives enregistrées du projet
concerné. Chaque archive est comprimée à la fois à l’aide de la compression .tar et
de la compression .gzip (le résultat étant une archive de distribution appelée « tarball »
en anglais, littéralement « boule de goudron ») et est identifiée par l’extension .tgz.
 Fichier .Isi : il s’agit d’un fichier image qui contient l’image sur laquelle se trouvait
la tête de lecture la dernière fois que vous avez enregistré le projet.
 Fichier .pdl : il s’agit du fichier de projet XML qui contient toutes les informations
organisant les plans, le contrôle du temps et les jeux d’étalonnage utilisés pour
le projet concerné.
 Répertoire Shots : à chaque plan qui se trouve dans le plan de montage de votre
projet correspond un sous-répertoire à l’intérieur de ce répertoire. Chaque sousrépertoire contient un ou plusieurs des éléments suivants :
 Sous-répertoires Grade1 (à 4) : ces répertoires contiennent tous les fichiers de
corrections associés au jeu en question.
 Fichier NomDuPlan.lsi : ce fichier correspond à la vignette du plan affiché dans
plan de montage.
 Fichier NomDuPlan.si : ce fichier contient le nom du plan, le chemin d’accès aux
données et les informations relatives au contrôle du temps.
 Nom_Jeu_étalonnage.date.pcc : description des corrections primaires.
 Nom_étalonnage.date.scc : description des corrections secondaires.
 Nom_Jeu_étalonnage.date.cfx : description des corrections relatives aux effets
de couleur.
 Sous-répertoire PanAndScan : ce répertoire contient un fichier .kfd dans lequel
sont stockées les données des images clés et un fichier .pns dans lequel se trouvent les données relatives au Pan and Scan.
 Fichier shot_notes.txt : s’il existe une note pour le plan concerné, elle est enregistrée dans ce fichier.
 Répertoire StillStore : ce répertoire contient toutes les images du magasin d’images
fixes (Still Store) que vous avez enregistrées à l’intérieur du projet en question en
tant que références. À chaque référence correspondent deux fichiers, un fichier .lsi
qui constitue la vignette de l’image et un fichier .sri qui est l’image en pleine résolution (enregistrée au format d’image DPX).
Important : il n’est pas recommandé de modifier le contenu des fichiers de projet
Color à moins que vous ne sachiez exactement ce que vous faites. Les modifications
manuelles pourraient donner lieu à des problèmes inattendus.Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données 89
Transfert de projets entre Final Cut Pro et Color
L’une des méthodes les plus simples pour importer un projet consiste à envoyer
une séquence Final Cut Pro à Color en utilisant l’un des deux flux de production
XML. Cette section explique comment préparer vos projets dans Final Cut Pro et
comment les envoyer au format XML.
Pour obtenir des informations plus générales sur les flux de production en boucle de
Final Cut Pro à Color, reportez-vous à la section « Flux de production pour la finalisation de la vidéo à l’aide de Final Cut Pro » à la page 44.
Avant d’exporter votre projet Final Cut Pro
Que vous travailliez sur votre propre projet ou que vous prépariez le projet d’un client
pour une séance d’étalonnage Color, vous devriez consacrer un certain temps à la pré-
paration de la séquence Final Cut Pro que vous allez envoyer pour garantir des résultats
optimaux et le meilleur déroulement possible du flux de production. Voici quelques étapes recommandées.
Déplacez les plans en cours de compositing jusque sur la piste V1 du plan de
montage (Timeline)
Les monteurs utilisent souvent plusieurs pistes vidéo pour assembler des scènes et tirent
donc parti des règles dont dispose Final Cut Pro concernant l’ordre des pistes pour savoir
quels plans sont actuellement visibles. Il est généralement beaucoup plus rapide et plus
facile de naviguer et de travailler sur un projet dont tous les plans se trouvent sur une
seule piste vidéo. Il est recommandé de déplacer jusque sur la piste V1 tous les plans
vidéo qui ne sont pas superposés en raison d’une opération de compositing.
Divisez votre projet en bobines
Les projets qui comptent un grand nombre de points de montage peuvent ralentir
vos performances dans Color. L’expérience montre qu’en règle générale, les projets
envoyés à Color ne devraient pas comprendre plus de 200 points de montage si l’on
souhaite obtenir des performances optimales.
Pour maximiser les performances lors de votre travail, vous pouvez envisager de découper vos projets longs en bobines d’environ 22 minutes avant de les envoyer à Color. Cette
longueur est arbitraire, mais 22 minutes, c’est la longueur standard d’une bobine de film
et elle convient bien en l’espèce, sauf si votre projet comporte de nombreuses coupes,
auquel cas vous pouvez envisager de le diviser en segments plus courts (certains monteurs préfèrent travailler sur des segments de 10 minutes seulement). Chaque segment
devrait commencer et se terminer par un point de coupure adéquat, tel que le point
d’entrée du premier plan ou le point de sortie du dernier plan d’une scène, ou encore
la fin de la dernière image d’un fondu au noir.
Important : veillez à ne pas omettre accidentellement des images entre deux bobines
lorsque vous créez ces dernières.90 Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données
Exportez des fichiers QuickTime autonomes des plans avec effets que vous
voulez étalonner.
Color ne peut ni afficher ni traiter les types de plans mentionnés ci-après.
 Générateurs
 Projets Motion
 projets LiveType
 Images figées (créées à partir d’un plan depuis Final Cut Pro)
 Fichiers d’image fixe (tels que les fichiers .tiff, .jpg, ou .bmp)
Si vous souhaitez étalonner ce type de plans dans Color, vous devez tout d’abord les
exporter sous la forme de fichiers QuickTime autonomes, puis les monter à nouveau
dans le plan de montage de votre séquence Final Cut Pro afin de remplacer les effets
originaux avant d’envoyer la séquence à Color.
Si aucun étalonnage de ces effets dans Color n’est nécessaire, il vous suffit alors d’envoyer
le projet avec ces plans dans leur format actuel et d’ignorer tous les vides qui apparaissent dans Color à la place de ces types de plans. Même s’ils n’apparaissent pas dans Color,
ces effets sont préservés dans le code XML du projet Color et ils seront à nouveau visibles lorsque vous renverrez le projet à Final Cut Pro.
? Conseil : avant d’exporter un projet depuis Final Cut Pro, vous pouvez aussi exporter
une seule séquence QuickTime autonome correspondant à l’intégralité du programme,
puis la réimporter dans votre projet et la superposer à tous les autres plans de votre
séquence modifiée. Ensuite, lorsque vous exportez le projet vers Color, vous pouvez
activer et désactiver cette version de « référence » du programme à l’aide de la visibilité des pistes chaque fois que vous souhaitez examiner les effets off line ou les corrections de couleurs créés lors du montage off line.
Gérez les données de votre projet
Si vous envoyez un projet Final Cut Pro à une suite Color qui se trouve dans une autre
installation, il se peut que vous souhaitiez supprimer les données non utilisées pour
économiser de l’espace disque (notamment si vous comptez recapturer des données
sans compression) et pour regrouper toutes les données source utilisées par votre projet dans un seul répertoire afin de faciliter leur transport et le rétablissement des liens.
Il s’agit là d’une mesure utile à prendre avant de recapturer vos données.
Recapturez les données off line à une qualité on line
Si le montage du projet a été effectué avec une résolution off line, vous devez recapturer toutes les données source à la qualité disponible la plus haute possible. Assurez-vous
de choisir un codec haute qualité, c’est-à-dire soit le codec natif avec lequel les images
source ont été enregistrées, soit l’un des codecs sans compression pris en charge. Pour
en savoir plus sur les codecs pris en charge par Color, reportez-vous à la section
« Formats de données compatibles » à la page 99.Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données 91
Important : si vous recapturez des plans vidéo enregistrés à l’origine à un format
Y´CB
CR
, assurez-vous que le codec dont vous vous servez pour la recapture et les
méthodes d’exportation que vous utilisez pour l’exportation ou le regroupement
de vos données ne bloquent pas les composants super-blanc et haute chrominance
des données originales non étalonnées. Il est généralement préférable de corriger ce
type de plans dans Color plutôt que de bloquer ces niveaux à l’avance et de risquer
de perdre ainsi des données d’image importantes.
Utilisation de la commande Send to Color de Final Cut Pro
Si Final Cut Pro et Color sont installés sur le même ordinateur, vous pouvez vous servir
de la commande Send to Color de Final Cut Pro pour transférer automatiquement votre
séquence à Color.
Pour envoyer une séquence de Final Cut Pro à Color :
1 Ouvrez le projet dans Final Cut Pro.
2 Sélectionnez une séquence dans le Navigateur pour l’envoyer dans son intégralité.
3 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Choisissez Fichier > Envoyer à > Color.
 Cliquez sur la sélection tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Send To > Color dans le menu contextuel.
4 Donnez un nom au projet à créer dans Color, puis cliquez sur OK.
Un nouveau projet Color est automatiquement créé dans le répertoire par défaut des
projets spécifié dans User Preferences. Les plans qui apparaissent dans le plan de montage devraient correspondre à la séquence Final Cut Pro originale envoyée.
Importation d’un fichier XML dans Color
Si vous devez faire parvenir une séquenceFinal Cut Pro et ses données à une autre installation pour qu’elle y soit étalonnée à l’aide de Color, vous pouvez aussi vous servir
de la commande Export XML de Final Cut Pro pour l’exporter. Pour en savoir plus sur
l’exportation de fichiers XML depuis Final Cut Pro, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Final Cut Pro.
Il vous suffit ensuite d’utiliser la commande Import XML de Color pour convertir le
fichier XML en un projet Color. Pour aller plus vite, vous pouvez copier le fichier XML
que vous souhaitez importer dans le répertoire par défaut des projets spécifié parColor.92 Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données
Pour importer un fichier XML dans Color :
1 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Ouvrez Color.
 Choisissez File > Import > XML.
2 Dans la fenêtre Projects, choisissez un fichier XML.
3 Cliquez sur Load.
Un nouveau projet Color est automatiquement créé dans le répertoire par défaut des
projets spécifié dans User Preferences. Les plans qui apparaissent dans le plan de montage devraient correspondre à la séquence Final Cut Pro originale exportée.
Renvoi du projet à Final Cut Pro
Si vous effectuez une conversion en boucle entre Final Cut Pro et Color, vous devrez
rendre les données étalonnées dans une application autre que Color (ce sujet est traité
dans le chapitre 17, « File d’attente de rendu », à la page 361), puis exporter à nouveau
le projet Color vers Final Cut Pro.
Important : les projets qui ont recours à des séquences d’images Cineon ou DPX ne
peuvent pas être renvoyés à Final Cut Pro.
Pour utiliser la commande Send to Final Cut Pro de Color :
1 Examinez le plan de montage et choisissez le jeu d’étalonnage à utiliser pour chacun
des plans de votre projet.
Étant donné que chaque plan de votre programme peut disposer de jusqu’à quatre
versions des données rendues séparément dans le répertoire de rendu, les données
rendues auxquelles est lié chaque plan du fichier de projet XML exporté sont déterminées par le jeu d’étalonnage actuellement sélectionné pour le plan en question.
N’effectuez pas un nouveau montage des projets XML importés dans
Color
Par défaut, toutes les pistes vidéo des projets XML importés sont verrouillées. Lorsque vous étalonnez un projet, il est important d’éviter de déverrouiller ces pistes ou
d’apporter des modifications aux plans dans le plan de montage de Color si vous
avez l’intention de renvoyer le projet à Final Cut Pro sans problème.
Si des modifications sont nécessaires, effectuez un nouveau montage de la séquence
originale dans Final Cut Pro, exportez un nouveau fichier XML, puis servez-vous de la
commande Reconform pour mettre à jour le plan de montage de Color de sorte qu’il
tienne compte des modifications.Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données 93
2 Choisissez Fichier > Envoyer à > Final Cut Pro.
Remarque : si vous n’avez pas rendu chaque plan dans Color à ce stade, ceci vous sera
signalé. Il est judicieux de cliquer sur No pour annuler l’opération et rendre tous vos
plans avant de renvoyer le projet à Final Cut Pro.
Une nouvelle séquence est automatiquement créée et ajoutée au projet d’origine
Final Cut Pro duquel le programme est issu. Toutefois, si le projet Final Cut Pro depuis
lequel le programme a été envoyé a été renommé, ou s’il a été déplacé à un autre
emplacement, alors un nouveau projet Final Cut Pro est créé pour accueillir la nouvelle
séquence. Dans un cas comme dans l’autre, chaque plan de la nouvelle séquence est
automatiquement lié aux données étalonnées que vous avez rendues dans une application autre que Color.
Exportation de fichiers XML en vue de leur importation dans
Final Cut Pro
Si vous exportez un projet destiné à une personne qui se trouve dans une autre
installation, vous devrez exporter une version XML de votre projet Color.
Pour réexporter un fichier XML vers Final Cut Pro en vue de créer un fichier
de sortie final :
1 Examinez le plan de montage et choisissez le jeu d’étalonnage à utiliser pour chacun
des plans de votre projet.
Étant donné que chaque plan de votre programme peut disposer de jusqu’à quatre
versions des données rendues séparément dans le répertoire de rendu, les données
rendues auxquelles est lié chaque plan du fichier de projet XML exporté sont déterminées par le jeu d’étalonnage actuellement sélectionné pour le plan en question.
2 Choisissez File > Export > XML.
3 Lorsque la zone de dialogue Export XML Options apparaît, cliquez sur Browse.
a Dans le champ File de la zone de dialogue Export XML File, saisissez un nom pour
le fichier XML que vous exportez.
b Choisissez un emplacement pour le fichier, puis cliquez sur Save.
4 Cliquez sur OK.
Un nouveau fichier de projet XML est créé, et les plans qu’il contient sont automatiquement liés au répertoire de données spécifié dans l’onglet des réglages du projet (Project
Settings) du studio Setup.
Remarque : si vous n’avez pas encore exporté les données rendues de votre projet
Color, le fichier XML est lié aux données du projet original.94 Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données
Reconformation de projets
Si votre projet a été importé à partir d’un fichier XML ou EDL généré par Final Cut Pro,
vous avez la possibilité de reconformer automatiquement votre projet Color de sorte
qu’il tienne compte de toutes les modifications apportées à la séquence Final Cut Pro
originale, ce qui annule la nécessité de nombreuses heures d’un travail fastidieux.
Pour reconformer un projet Color XML :
1 Exportez un fichier XML mis à jour correspondant à la séquence Final Cut Pro remontée depuis Final Cut Pro.
2 Ouvrez le projet Color que vous devez mettre à jour, puis choisissez File > Reconform.
3 Servez-vous de la zone de dialogue Reconform XML pour sélectionner le fichier XML
exporté au cours de l’étape 1, puis cliquez sur Load.
Une mise à jour des plans qui se trouvent dans le plan de montage devrait se produire
pour refléter l’importation des modifications. Par ailleurs, l’état de chacun des plans sur
lesquels l’opération de reconformation a eu une incidence est mis à jour dans la colonne
Reconform du navigateur de plans.
Vous pouvez aussi reconformer des projets qui ont été importés à l’origine à l’aide
de listes de montage (EDL).
Pour reconformer un projet Color à base de listes de points de montage :
1 Exportez un fichier EDL mis à jour correspondant à la séquence remontée depuis
l’application d’origine.
2 Ouvrez le projet Color que vous devez mettre à jour, puis choisissez File > Reconform.
3 Servez-vous de la zone de dialogue Reconform pour sélectionner le fichier EDL exporté
au cours de l’étape 1, puis cliquez sur Load.
Tout comme dans le cas de la reconformation d’un projet XML, l’état de chacun des plans
modifiés par l’opération de reconformation est mis à jour dans la colonne Reconform du
navigateur de plans du studio Setup. Ceci vous permet d’identifier les plans qui peuvent
nécessiter un réajustement à cause de ces modifications. Vous pouvez les trier par type
afin de naviguer rapidement. Pour en savoir plus, consultez la section « En-têtes de
colonnes » à la page 111.Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données 95
Importation de listes de montage (EDL)
Vous pouvez importer une liste de montage directement dans Color. Il existe deux bonnes raisons de se servir des listes de montage plutôt que des fichiers XML :
 Pour corriger les couleurs d’un fichier vidéo original : vous pouvez effectuer une correction des couleurs s’approchant d’un flux d’étalonnage de bande à bande en important un liste de montage et en vous servant de l’option Use As Cut List pour établir
un lien entre celle-ci et le fichier de données original qui lui correspond (c’est-à-dire
un fichier .mov QuickTime ou une séquence d’images DPX).
Remarque : si vous allez procéder de la sorte, il est préférable de travailler avec des
données sans compression et d’utiliser des bobines de 20 200 minutes ou moins
pour éviter les éventuels goulots d’étranglement et baisses de performances résultant de la présence de plus de 200 points de montage dans le plan de montage.
 Pour importer un projet numérique intermédiaire au format 2K : les listes de montage
sont aussi le seul moyen d’importer un projet dans un flux de production numérique
intermédiaire au format 2K lorsque vous liez le projet en question à des séquences
d’images DPX résultant de la numérisation de films. Pour en savoir plus, consultez la
section « Utilisation de Color dans un flux de production intermédiaire numérique » à
la page 57.
Color peut importer les formats de liste de montage (EDL) suivants :
 Générique
 CMX 340
 CMX 3600
 GVG 4 Plus
Pour importer plus rapidement une liste de montage, vous pouvez copier tous les
fichiers EDL et les coller dans le répertoire par défaut des projets spécifié par Color.
Pour importer une liste de montage :
1 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Ouvrez Color.
 Choisissez Importer dans le menu Fichier, puis choisissez EDL.
2 Dans la fenêtre Projects, choisissez un fichier EDL.96 Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données
La zone de dialogue EDL Import Settings s’ouvre avec comme destination par défaut
le répertoire par défaut des projets spécifié dans l’onglet User Prefs du studio Setup.
3 Dans les listes et les menus locaux disponibles, choisissez les propriétés du projet suivantes :
 EDL Format : format du fichier EDL que vous importez.
 Project Frame Rate : fréquence d’images du projet Color que vous êtes sur le point de
créer. Dans la plupart des cas, cette fréquence doit être la même que celle de la liste
de montage que vous importez.
 EDL Frame Rate : choisissez la fréquence d’images de la liste de montage que vous
importez. Si la fréquence d’images de la liste de montage est de 29,97 ips mais que
vous avez défini la fréquence d’images du projet (Project Frame Rate) à 24 ips, Color
effectue automatiquement les conversions nécessaires pour supprimer le pulldown
3:2 des plans du projet.
Remarque : ceci a l’avantage de permettre le traitement des flux de production dont
la liste de montage importée a été générée grâce au montage off line d’un projet
créé à partir d’une vidéo à 29,97 ips obtenue par télécinéma, mais dans lequel les
séquences d’images numérisées au format 2K résultantes ont été réimportées à la
fréquence d’images native du film, c’est-à-dire 24 ips.
 Source Frame Rate : fréquence d’images des données source qui se trouvent sur
le disque et avec lesquelles vous établissez le lien.
 Use As Cut List : cette case permet de spécifier que la liste de montage devrait être
utilisée comme liste de conformation pour « marquer » un fichier vidéo original
auquel elle correspond.Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données 97
 Project Resolution : résolution du projet Color que vous créez. En général, cette résolution doit être la même que celle des données source avec lesquelles vous établissez
le lien.
 Width : largeur de la taille d’image sélectionnée.
 Height : hauteur de la taille d’image sélectionnée.
 Source Directory : le répertoire spécifié ici définit le parseur de la liste de montage
au chemin exact qui permet d’accéder à l’emplacement dans lequel se trouvent
les fichiers numérisés DPX ou les fichiers QuickTime associés au projet.
4 Vous devez spécifier l’emplacement des données source auxquelles le projet doit être
lié en procédant de l’une des manières suivantes :
 Dans le champ Source Directory, saisissez le chemin d’accès au répertoire.
 Cliquez sur Browse, sélectionnez un répertoire à l’aide de la zone de dialogue Source
Directory, puis cliquez sur Choose.
Remarque : le répertoire source que vous choisissez peut être un volume local, un
réseau de stockage SAN ou un réseau local (LAN) dont les performances sont suffisantes pour satisfaire le débit des données du projet.
5 Lorsque vous avez terminé de sélectionner tous les réglages nécessaires, cliquez sur Import.
Un nouveau projet est créé, et la liste de montage est convertie en une séquence de
plans qui apparaissent dans le plan de montage. Ces plans devraient correspondre aux
plans de montage du projet original.
Exportation de listes EDL
Vous pouvez exporter les listes de montage vers des applications autres que Color, ce
qui peut constituer une bonne méthode pour renvoyer des projets vers d’autres applications de montage. Si vous exportez une liste de montage, ce sera l’application dans
laquelle la liste de montage sera importée qui devra se charger de rétablir correctement le lien aux données rendues hors de Color.
Remarque : pour faciliter le rétablissement du lien aux données, le chemin d’accès à ces
dernières est écrit dans la colonne de commentaires de la liste de montage exportée. Toutefois, toutes les applications de montage ne prennent pas en charge cette convention.
Pour exporter une liste de montage :
1 Choisissez File > Export > EDL.
2 Lorsque la zone de dialogue Export EDL apparaît, cliquez sur Browse.
3 Dans le champ File de la zone de dialogue Export EDL File, saisissez un nom pour la
liste de montage que vous exportez, puis choisissez un emplacement pour le fichier
et cliquez sur Save.98 Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données
4 Si vous n’avez modifié aucun des noms des plans lorsque vous avez exporté les données rendues finales pour ce projet, activez « Use Original Media Name ».
5 Cliquez sur OK.
Un nouveau fichier EDL est créé et les plans qu’il contient sont liés au répertoire de
données que vous avez spécifié.
Rétablissement du lien avec les données QuickTime
Au besoin, vous pouvez rétablir manuellement le lien des données à un projet Color.
Lorsque vous utilisez la commande de rétablissement de lien (Relink), Color relie chaque plan qui se trouve dans le plan de montage au fichier de données qui lui correspond en fonction des critères suivants :
 timecode initial
 nom de fichier
Si aucun de ces critères ne correspond, vous recevez l’avertissement suivant :
Si vous cliquez sur Yes et établissez le lien avec un autre fichier, les valeurs originales
de la source à l’intérieur (Source In) et de la source à l’extérieur (Source Out) de ce
plan seront écrasées par celles du nouveau plan.
Pour rétablir le lien de chaque plan figurant dans le plan de montage :
1 Choisissez Relier les données dans le menu Fichier.
2 Dans la zone de dialogue Choose Media Path, sélectionnez le répertoire dans lequel
les données du projet sont enregistrées, puis cliquez sur Choose.
Si ce répertoire contient toutes les données utilisées par le projet, le lien de chaque
plan figurant dans le plan de montage est automatiquement rétabli. S’il manque toujours des fichiers de données, vous recevrez un avertissement et ces plans resteront
déconnectés. Vous devrez à nouveau utiliser la commande Reconnect Media pour rétablir leurs liens.
Pour rétablir le lien d’un seul plan :
1 Cliquez sur un plan se trouvant dans le plan de montage tout en maintenant la touche
Contrôle enfoncée ou cliquez sur ce plan avec le bouton droit de la souris, puis, dans le
menu contextuel, choisissez Relink Media.
2 Dans la zone de dialogue Select Media To Relink, choisissez un plan dont le lien doit
être rétabli, puis cliquez sur Load.Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données 99
Si le nom et le timecode de début du fichier de données correspondent à ceux du plan
qui se trouve dans le plan de montage, le lien aux données est rétabli.
Importation de données directement dans le plan de montage
Vous avez également la possibilité d’importer les fichiers de données directement dans
le plan de montage, bien que ceci ne soit généralement utile que lors des cours de formation ou pour visionner les rushes numériques.
Pour importer un plan dans le plan de montage :
1 Cliquez sur l’onglet Setup ou choisissez File > Import > Clip qui a pour effet d’ouvrir
l’onglet Setup.
2 Servez vous des contrôles de navigation dans la partie supérieure gauche du Navigateur pour rechercher le répertoire contenant les données que vous souhaitez importer.
3 Cliquez sur le fichier de données que vous souhaitez importer dans le plan de montage
pour le sélectionner.
4 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Dans le Navigateur, double-cliquez sur le plan pour l’insérer dans le plan de montage
à l’endroit où se trouve la tête de lecture.
 Faites glisser le plan directement dans le plan de montage.
 Cliquez sur le bouton Import qui se trouve en dessous de l’aperçu du plan pour insé-
rer ce dernier dans le plan de montage à l’endroit où se trouve la tête de lecture.
Une fois les plans placés dans le plan de montage, enregistrez votre projet.
Formats de données compatibles
Color est compatible avec une grande variété de fichiers QuickTime et de séquences
d’images.100 Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données
Codecs QuickTime compatibles pour l’importation
La liste des codecs pris en charge par Color se limite aux codecs de qualité élevée adaptés
à l’échange et au mastering de données. Ces codecs se répartissent en trois catégories :
 Les codecs QuickTime qui sont pris en charge par Color lors de l’importation de projets et de données.
 Un sous-ensemble des codecs qui peuvent être utilisés pour rendre votre copie finale, si
vous avez sélectionné l’option Original Format dans le menu contextuel Export Codec
de l’onglet Prjct Settings tab du studio Setup. L’option Original Format n’est disponible
que si vous avez utilisé la commande « Send to Color » dans Final Cut Pro, ou si vous
avez importé un fichier Final Cut Proqui a été exporté sous forme de fichier XML.
 Par défaut, seuls quatre codecs sont disponibles dans le menu contextuel Export Codec
pour convertir vos données sources à un format de qualité supérieure. Il s’agit des
codecs Apple ProRes 422 et Apple ProRes 422 (HQ), et des codecs Apple sans compression 8 bits 4:2:2 et Apple sans compression 10 bits 4:2:2.
Remarque : si vous avez installé une interface vidéo provenant d’AJA, vous devez
voir une option supplémentaire, AJA Kona 10-bit RGB.
Pris en charge à l’importation
Pris en charge comme format original
Pris en charge comme
codec d’exportation
Animation Non Non
Codec intermédiaire Apple Oui Non
Pixlet d’Apple Oui Non
Apple ProRes 422 (HQ) Oui Oui
Apple ProRes 422 (SQ) Oui Oui
DVCPRO 50 - NTSC Oui Non
DVCPRO 50 - PAL Oui Non
DV - PAL Oui Non
DV/DVCPRO - NTSC Oui Non
DVCPRO - PAL Oui Non
DVCPRO HD 1080i50 Oui Non
DVCPRO HD 1080i60 Oui Non
DVCPRO HD 1080p25 Oui Non
DVCPRO HD 1080p30 Oui Non
DVCPRO HD 720p50 Oui Non
DVCPRO HD 720p60 Oui Non
DVCPRO HD 720p Oui Non
H.264 Non Non
HDV 720p24 Non Non
HDV 720p25 Non NonChapitre 4 Importation et gestion de projets et de données 101
Codecs QuickTime tiers compatibles pour l’importation
Color prend également en charge les codecs de tiers suivants pour l’importation :
 AJA Kona 10 bits Logarithmique RVB
 AJA Kona 10 bits RVB
Remarque : les codecs AJA Kona ne sont pas installés par QuickTime par défaut.
Ils ne peuvent être obtenus qu’auprès d’AJA.
HDV 720p30 Non Non
HDV 1080p24 Non Non
HDV 1080p25 Non Non
HDV 1080p30 Non Non
HDV 1080i60 Non Non
HDV 1080i50 Non Non
Photo - JPEG Oui Non
MPEG IMX 525/60 (30 Mo/s) Non Non
MPEG IMX 525/60 (40 Mo/s) Non Non
MPEG IMX 525/60 (50 Mo/s) Non Non
MPEG IMX 625/50 (30 Mo/s) Non Non
MPEG IMX 625/50 (40 Mo/s) Non Non
MPEG IMX 625/50 (50 Mo/s) Non Non
Sans compression 8 bits 4:2:2 Oui Oui
Sans compression 10 bits 4:2:2 Oui Oui
XDCAM HD 1080i50 (35 Mbit/s VBR) Non Non
XDCAM HD 1080i60 (35 Mbit/s VBR) Non Non
XDCAM HD 1080p24 (35 Mbit/s VBR) Non Non
XDCAM HD 1080p25 (35 Mbit/s VBR) Non Non
XDCAM HD 1080p30 (35 Mbit/s VBR) Non Non
Pris en charge à l’importation
Pris en charge comme format original
Pris en charge comme
codec d’exportation102 Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données
Codecs QuickTime compatibles pour la sortie
Color sert à créer des images étalonnées de haute qualité qu’il est possible de réimporter
dans Final Cut Pro pour générer une sortie sur bande, les convertir au format QuickTime ou
les comprimer afin de pouvoir les utiliser dans DVD Studio Pro. C’est la raison pour laquelle
la liste des codecs pris en charge pour le rendu dans des applications autres que Color est
limitée aux codec haute qualité conçus pour la masterisation et l’échange des données.
 Apple ProRes 422 : Codec bas débit avec compression de qualité élevée, pour la capture et la sortie. Il encode la vidéo sur 10 bits par canal avec un sous-échantillonnage
de la couleur de 4:2:2. Il fonctionne à un débit binaire variable (VBR) de 35 à 50 Mbit/s,
ce qui convient au mastering vidéo en définition standard. Il prend en charge
n’importe quelle dimension d’image.
 Apple ProRes 422 (HQ) : Version à plus haut débit du codec Apple ProRes 422. Il fonctionne à un débit binaire variable de 145 à 220 Mbit/s, ce qui convient au mastering
vidéo en haute définition. Il prend en charge n’importe quelle dimension d’image.
 Sans compression 8 bits 4:2:2 : Codec sans aucune compression, avec encodage sur
8 bits par canal et sous-échantillonnage de la chromie à 4:2:2. Il prend en charge
n’importe quelle dimension d’image. Il convient au mastering vidéo de n’importe
quel format.
 Sans compression 10 bits 4:2:2 : Codec sans aucune compression, avec encodage sur
10 bits par canal et sous-échantillonnage de la chromie à 4:2:2. Il prend en charge
n’importe quelle dimension d’image. Il convient au mastering vidéo de n’importe
quel format.
Color prend également en charge le codec de tierce partie suivant pour le rendu :
 AJA Kona 10 bits RVB
Remarque : les codecs AJA Kona ne sont pas installés par QuickTime par défaut.
Ils ne peuvent être obtenus qu’auprès d’AJA.
Vous pouvez effectuer le rendu de votre projet dans Color à l’aide d’un de ces codecs
de mastering de qualité supérieure, quel que soit le codec ou le niveau de compression utilisé par les données sources. Cela vous permet de mettre en œuvre un flux de
production dans le cadre duquel vous importez des données compressées dans Color,
puis exportez la sortie étalonnée sous forme de données non compressées avant de
renvoyer votre projet à Final Cut Pro. Vous pouvez ainsi économiser de l’espace disque
et éviter la multiplication des opérations de rendu. Vous préservez, par ailleurs, la qualité des corrections effectuées à une profondeur de bits élevée lorsque vous effectuez
le rendu de vos données de sortie avant de renvoyer votre projet à Final Cut Pro.Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données 103
Formats d’image compatibles
Les formats d’image à encodage RVB suivants sont compatibles avec Color pour
l’importation des séquences d’images : seuls les formats Cineon et DPX sont pris
en charge pour le rendu des séquences d’images.
 Cineon (importation et exportation) : format d’image de haute qualité mis au point par
Kodak utilisé pour la numérisation, la manipulation et l’impression numériques des images enregistrées initialement sur film. Développé sous la forme d’un format logarithmique 10 bits pour mieux reproduire la plus grande amplitude d’exposition de la pellicule.
 DPX (importation et exportation) : le format DXP (Digital Picture eXchange, Échange d’images numériques) est un dérivé du format Cineon. Il est également utilisé pour les flux de
production numériques intermédiaires de haute qualité sans compression. Color prend
en charge les fichiers image DPX et Cineon logarithmiques 8 bits et 10 bits.
 TIFF (importation uniquement) : le format TIFF (Tagged Image File, Fichier image
balisé) est un format d’image couramment utilisé sur diverses plates-formes pour
les graphismes RVB. Color est compatible avec les séquences TIFF 16 bits.
Choix du codec QuickTime à utiliser pour l’exportation
Lorsque vous choisissez le codec à utiliser pour effectuer le rendu de la sortie finale,
trois points doivent être pris en considération :
 Si vous comptez générer la sortie à un format vidéo à haut débit (tel que Betacam
SP, Digital Betacam, HDCAM ou HDCAM SR) et si vous recherchez la plus haute qualité vidéo possible, sans considération pour l’espace disque ou la puissance de l’ordinateur, exportez vos données à l’aide du codec Apple sans compression 10 bits 4:2:2.
 Si vous comptez générer votre sortie dans un des formats vidéo mentionnés ci-dessus, mais si vous devez recourir à un format compressé pour économiser l’espace
disque et favoriser les performances de votre ordinateur, vous pouvez exporter à
l’aide des codecs Apple ProRes 422 (définition standard) ou Apple ProRes 422 (HQ)
codec (haute définition), qui sont tous deux des codecs 10 bits et 4:2:2.
 Si votre système n’est pas configuré pour générer en sortie de la vidéo à un
débit aussi élevé, et si votre programme est à un format original compatible avec
l’option Original Format du menu contextuel QuickTime Export Codecs de l’onglet
Prjct Settings tab du studio Setup, vous pourrez effectuer le rendu avec le codec
correspondant au format original de la séquence Final Cut Pro. Si le codec en question n’est pas pris en charge, le menu contextuel QuickTime Export Codecs pré-
sente par défaut le codec Apple ProRes 422.104 Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données
 JPEG (importation uniquement) : format d’image à haute compression créé par le Joint
Photographic Experts Group (Groupe mixte d’experts photographiques). L’ampleur de
la compression applicable peut varier. Toutefois, les rapports de compression plus élevés produisent des défauts visuels qui se manifestent sous la forme de blocs de même
couleur. On se sert généralement du format JPEG pour les versions off line des séquences d’images, mais dans certains cas (lorsque la compression est minimale), il peut être
utilisé dans un flux de production on line. Le format JPEG se limite à l’encodage 8 bits.
 JPEG 2000 (importation uniquement) : mis au point en tant que format comprimé de
haute qualité à des fins de production et d’archivage, le format JPEG 2000 recourt à
la compression par ondelettes qui permet de réduire la taille de l’image tout en évitant les défauts visibles. Parmi ses avantages, on peut citer une plus haute qualité sur
le plan visuel malgré des rapports de compression plus élevés, la possibilité de choisir entre des méthodes de compression avec ou sans perte de données, la prise en
charge de l’encodage couleur linéaire 8 bits et 16 bits, le contrôle des erreurs et la
normalisation des en-têtes de métadonnées pour les espaces colorimétriques et
d’autres données.
Conversion de séquences d’images Cineon et DPX au format
QuickTime
Vous pouvez vous servir de Color pour convertir des séquences d’images Cineon
et DPX en fichiers QuickTime pour rendre plus faciles divers flux de production.
 Si le point de départ de votre projet est constitué par des films numérisés en haute
résolution au format 2K à l’aide d’un télécinéma avec stockage sur disques durs, vous
pouvez convertir les fichiers ainsi obtenus en fichiers de données QuickTime équivalents de plus faible résolution que vous utiliserez pour le montage off line.
 Si les données de votre projet sont déjà au format QuickTime mais que vous souhaitez obtenir une série de séquences d’images Cineon ou DPX, vous pouvez également
effectuer cette conversion à une plus faible résolution.
Lors de la conversion de séquences d’images Cineon et DPX en vidéo QuickTime haute
définition ou définition standard (et vice versa), Color effectue automatiquement tous
les conversions nécessaires d’espaces colorimétriques. Les données logarithmiques
seront converties en données linéaires et il sera tenu compte des espaces colorimétriques Rec. 701 et 601.Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données 105
Pour convertir des séquences d’images Cineon ou DPX au format QuickTime :
1 Créez un projet vierge.
2 Ouvrez l’onglet Prjct Settings du studio Setup et suivez la procédure ci-dessous :
a Cliquez sur Project Render Directory, choisissez un répertoire de rendu pour les
données converties, puis cliquez sur Choose.
b Dans le menu local Render File Type, choisissez QuickTime.
c Dans le menu local Resolution Presets, choisissez une résolution.
d Dans le menu local Export Codec, choisissez le codec auquel vous souhaitez convertir les séquences d’images.
3 À l’aide du Navigateur, insérez tous les plans que vous souhaitez convertir dans le plan
de montage.
4 Au besoin, étalonnez les plans pour apporter toutes les corrections souhaitées aux données off line que vous générerez.
Les données source issues de caméras ou de processus de transfert particuliers disposent
parfois d’un ajustement spécifique de la correction des couleurs ou du contraste qui doit
absolument leur être appliqué pour que leur affichage soit acceptable lors du montage.
Si c’est le cas, vous pouvez vous servir d’une seule correction pour ajuster tous les plans
à convertir (ce qui équivaut à un transfert avec une seule lumière). Dans d’autres cas, il
sera préférable de corriger chaque plan de manière individuelle avant la conversion afin
de disposer de données de la plus haute qualité possible sur le plan visuel pour le processus de montage (ce qui équivaut à un transfert avec la meilleure lumière).
? Conseil : pour appliquer rapidement une seule correction à chacun des plans qui
se trouvent dans le plan de montage, étalonnez un plan représentatif dans le studio
Primary In, puis cliquez sur Copy to All.
5 Ouvrez la file d’attente de rendu (Render Queue), puis cliquez sur Add All.
6 Cliquez sur Start Render.
Tous les plans sont convertis et la sortie rendue est enregistrée dans le répertoire
de rendu actuellement spécifié.106 Chapitre 4 Importation et gestion de projets et de données
Importation des corrections de couleurs
La commande Import > Color Corrections permet d’appliquer les jeux d’étalonnage et
les corrections de couleurs utilisées pour les plans d’un fichier de projet à ceux d’un autre
projet. Cette commande est destinée à être utilisée sur les projets Color qui reposent sur
la même source. Ainsi, si vous importez une nouvelle version d’un projet sur lequel vous
avez déjà travaillé, vous pouvez la mettre à jour avec tous les jeux d’étalonnage appliqués au projet précédent.
Pour importer les corrections de couleurs d’un projet dans un autre :
1 Ouvrez le projet Color dans lequel vous voulez importer les corrections.
2 Choisissez File > Import > Color Corrections.
3 Dans la zone de dialogue Projects, sélectionnez le projet Color contenant les corrections
que vous voulez importer, puis cliquez sur Load.
Les plans du projet qui se trouve ouvert sont mis à jour avec les corrections de couleurs
de l’autre fichier de projet.
Exportation d’images JPEG
Color offre également la possibilité d’exporter un fichier JPEG correspondant à l’image
sur laquelle se trouve la tête de lecture.
Pour exporter un fichier JPEG correspondant à l’image sur laquelle se trouve actuellement la tête de lecture :
1 Placez la tête de lecture sur l’image à exporter.
2 Choisissez Export > JPEG Still.
3 Saisissez un nom dans le champ File, puis sélectionnez un répertoire à l’aide de la zone
de dialogue Save Still As.
Remarque : cette zone de dialogue indique par défaut le sous-répertoire Still Store
à l’intérieur du paquet du projet.
4 Cliquez sur Save.
L’image est enregistrée au format JPEG à l’emplacement que vous avez sélectionné.5
107
5 Setup (Configuration)
Avant de commencer à travailler sur votre projet, prenez
quelques instants pour configurer votre environnement de
travail et vos réglages de projet Color dans le studio Setup.
Le studio Setup remplit de nombreuses fonctions. Il permet d’importer des fichiers
de données, de trier et de gérer les jeux d’étalonnage enregistrés, d’organiser les plans
utilisés dans votre programme et d’effectuer des recherches parmi ceux-ci, de choisir
le rendu et les réglages de seuils de diffusion de votre projet, ou bien encore d’ajuster
les préférences d’utilisateur.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 Le navigateur de fichiers (p. 108)
 Le navigateur de plans (p. 109)
 Chutier des jeux d’étalonnage (p. 115)
 Onglet Project Settings (p. 115)
 Onglet Messages (p. 121)
 Onglet User Preferences (p. 122)108 Chapitre 5 Setup (Configuration)
Le navigateur de fichiers
Le navigateur de fichiers (File Browser), qui occupe la moitié gauche du studio Setup,
vous permet de naviguer directement dans la structure de répertoires de votre disque
dur. C’est comme si vous disposiez d’un Finder miniature ici même dans le studio Setup.
Il est important de ne pas oublier que le navigateur de fichiers n’est pas un chutier. Les
fichiers qu’il affiche ne sont pas associés à votre projet Color aussi longtemps que vous
ne les faites pas glisser manuellement dans la timeline ou que vous ne rétablissez pas le
lien entre les plans d’un projet importé et les fichiers de données associés figurant sur
disque au moyen des commandes Relink Media ou Reconnect Media.
Par défaut, il affiche le contenu du répertoire de données par défaut au démarrage de Color.
 Bouton Up Directory : permet de passer dans le répertoire parent du chemin d’accès
en cours.
 Bouton Home Directory : permet de passer dans le répertoire de données par défaut
actuellement défini.
Pour en savoir plus sur l’utilisation du navigateur de fichiers, consultez la section
« Importation de données directement dans le plan de montage » à la page 99.
Pour plus d’informations sur l’importation des données de projet à partir d’autres
applications, consultez le chapitre 4, « Importation et gestion de projets et de
données », à la page 83.Chapitre 5 Setup (Configuration) 109
Le navigateur de plans
Le navigateur de plans (Shots browser) affiche chaque plan utilisé par le programme
en cours qui apparaît dans la timeline. Vous pouvez employer ce chutier pour trier les
plans de votre programme au moyen de différents critères, sélectionner un groupe de
plans auxquels une opération doit être appliquée ou choisir un plan quel que soit
l’endroit où il apparaît dans la timeline.
 Bouton Icon View : cliquez sur ce bouton pour afficher sous forme d’icône la zone de plan.
 Bouton List View : cliquez sur ce bouton pour afficher sous forme de liste la zone de plan.
 Shots Browser : chaque plan de votre projet s’affiche dans ce navigateur, sous la forme
d’une vignette ou d’une entrée (dans la vue sous forme de liste).
Plan en cours et plans sélectionnés
Les icônes ou les entrées du navigateur de plans ont une certaine couleur selon l’état
qui leur a été affecté.
 Gris foncé : le plan n’est actuellement ni affiché, ni sélectionné.
 Gris clair : le plan se trouvant actuellement au niveau de la tête de lecture est considéré comme le plan en cours. Il est mis en évidence en gris dans la timeline globale
et celle du navigateur de plans. Le plan en cours est celui qui est affiché et corrigé
lorsque les commandes d’un studio sont réglées.
 Cyan : vous pouvez sélectionner des plans autres que celui en cours. Les plans sélectionnés sont mis en évidence en cyan dans la timeline et le navigateur de plans. Pour
gagner du temps, vous pouvez appliquer en même temps des jeux d’étalonnage et
des corrections à plusieurs plans sélectionnés.110 Chapitre 5 Setup (Configuration)
Champs Goto et Find
Les champs Goto Shot et Find vous permettent d’atteindre et de rechercher des plans
spécifiques de votre projet. Ces champs s’affichent dans le navigateur de plans en mode
Icône ou Liste.
Pour atteindre un plan spécifique :
m Saisissez une valeur dans le champ Goto Shot, puis appuyez sur Entrée.
La liste défile vers le bas pour afficher le plan correspondant à cette valeur et ce dernier
est automatiquement sélectionné. La tête de lecture se place sur la première image du
plan dans la timeline.
Pour rechercher un plan spécifique :
1 Cliquez sur l’en-tête de la colonne de données dans laquelle vous souhaitez effectuer
la recherche.
2 Saisissez un nom dans le champ Search.
Dès que vous commencez à taper, le contenu du navigateur de plans est supprimé, à
l’exception des éléments correspondant aux critères de recherche. À mesure que vous
continuez la saisie, le navigateur de plans est mis à jour de façon dynamique pour afficher la liste actualisée des éléments correspondants.
Remarque : toutes les recherches sont effectuées à partir du premier caractère de données de la colonne sélectionnée, de la gauche vers la droite. La fonction de recherche
ne distingue pas les majuscules des minuscules.
Pour afficher tous les plans après une opération de recherche :
m Sélectionnez l’intégralité du texte dans la zone Find, puis appuyez sur Suppr.
Tous les plans doivent réapparaître dans le navigateur de plans.Chapitre 5 Setup (Configuration) 111
En-têtes de colonnes
Lorsque le navigateur de plans est en mode d’affichage Liste, jusqu’à neuf colonnes
d’information sont visibles.
 Number : affiche la position d’un plan dans le montage. 1 correspond au premier plan,
2 au deuxième, etc.
 Shot Name : nom du plan, basé sur le nom de fichier correspondant.
 Colorist : affiche le nom présent dans le champ Colorist des réglages du projet
lorsque le plan a été corrigé pour la dernière fois. Cette colonne permet de garder
la trace des personnes ayant travaillé sur tel ou tel plan lorsque plusieurs coloristes
sont affectés à un projet.
 Status : affiche l’état du rendu du plan. Vous pouvez cliquer avec le bouton droit de
la souris sur cette colonne pour tout plan sélectionné et choisir un nouvel état dans
le menu contextuel. Les cinq états possibles d’un plan sont les suivants :
 Queued : le plan a été ajouté à la file d’attente de rendu.
 Rendering : un rendu est actuellement appliqué au plan.
 Rendered : le rendu a été correctement appliqué au plan.
 To Do : le plan n’a pour l’instant été corrigé dans aucun studio.
 Aborted : le rendu de ce plan a été arrêté.
 Reconform : indique si le plan a été concerné par une opération de reconformation
(remise en conformité). Vous pouvez par exemple effectuer un tri en fonction de
cette colonne pour identifier et atteindre rapidement les nouveaux plans qui, ayant
été ajoutés à la timeline à la suite d’une opération de reconformation, n’ont pas
encore été étalonnés. Pour en savoir plus sur la reconformation d’un projet, consultez la section « Reconformation de projets » à la page 94. Les messages de reconformation possibles sont les suivants :
 Shorten : le plan a été raccourci.
 Content Shift : la durée et la position du plan dans la timeline sont identiques, mais
son contenu a été décalé.
 Moved : le plan a été déplacé dans la timeline.
 Added : le plan a été ajouté au projet.
 Time Spent : cette colonne apparaît uniquement lorsque le bouton Show Time figurant sous le navigateur de plans est activé. Elle indique le temps consacré à l’étalonnage de ce plan particulier. Color enregistre le temps que vous avez passé sur chacun
des plans de chaque programme de façon à vous permettre de contrôler l’efficacité
de votre travail.
 Notes : la colonne Notes fournit une interface permettant d’enregistrer et de rappeler les notes textuelles relatives à des plans spécifiques. Les plans associés à des notes
s’affichent avec une coche dans cette colonne.112 Chapitre 5 Setup (Configuration)
Personnalisation du navigateur de plans
Les procédures ci-dessous montrent comment vous pouvez trier et modifier le contenu du navigateur de plans.
Pour trier le contenu du navigateur de plan en fonction d’une de ses colonnes :
m Cliquez sur l’en-tête d’une colonne pour trier les données en fonction de cette dernière.
Les plans sont triés dans l’ordre décroissant uniquement. Les nombres ont la priorité
sur les lettres, tout comme les majuscules sur les minuscules.
Pour redimensionner une colonne dans le navigateur de plans :
m Faites glisser la bordure droite de la colonne à redimensionner.
Pour afficher ou masquer la colonne Time Spent :
m Cliquez sur le bouton Show Time figurant sous le navigateur de plans.Chapitre 5 Setup (Configuration) 113
Ajout de notes aux plans
Color offre une interface permettant de conserver les notes des clients ou des responsables
techniques concernant des plans spécifiques à mesure que vous travaillez sur un projet.
Pour ajouter une note à un plan ou bien encore pour lire ou modifier une note
existante :
1 Ouvrez le navigateur de plans dans le studio Setup.
2 Cliquez tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée (ou cliquez avec le bouton
droit de la souris) sur la colonne Notes du navigateur de plans, puis choisissez Edit File
dans le menu contextuel.
Une fenêtre d’édition de texte normal s’affiche.
3 Entrez le texte de votre choix.
4 Pour enregistrer et fermer la note, effectuez une des opérations suivantes :
 Appuyez sur la touche S tout en maintenant la touche Commande enfoncée et fermez la fenêtre.
 Fermez la fenêtre et cliquez sur Save à partir de la feuille de dépôt.
Lorsqu’une note a été ajoutée à un plan, une coche apparaît dans la colonne Notes.
Pour supprimer une note d’un plan :
m Cliquez tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée (ou cliquez avec le bouton
droit de la souris) sur la colonne Notes du navigateur de plans, puis choisissez Delete
File dans le menu contextuel.
Remarque : les notes sont enregistrées dans le sous-répertoire de ce plan particulier
(dans le sous-répertoire /shots/ de cet ensemble de projets). Lors de la suppression
d’une note, le fichier associé est également supprimé.
Sélection de plans et navigation dans la timeline à l’aide du navigateur de plans
Vous pouvez utiliser le navigateur de plans pour rechercher et sélectionner efficacement des plans spécifiques (par exemple, pour appliquer simultanément un même jeu
d’étalonnage à un groupe de plans). Il vous permet également d’atteindre rapidement
un plan particulier dans la timeline. Ces procédures fonctionnent que le navigateur de
plans soit en mode d’affichage Icône ou Liste.114 Chapitre 5 Setup (Configuration)
Pour sélectionner un ou plusieurs plans, effectuez une des opérations suivantes :
m Cliquez sur un plan du navigateur de plans pour le sélectionner.
m Cliquez sur un groupe de plans tout en appuyant sur la touche Commande pour sélectionner un groupe de plans non contigu.
m Cliquez sur un plan, puis cliquez sur un second tout en appuyant sur la touche Maj pour
sélectionner un ensemble contigu de plans depuis la première sélection jusqu’à la seconde.
Les plans sélectionnés s’affichent avec une incrustation de couleur cyan.
Pour atteindre un plan spécifique de la timeline à l’aide du navigateur de plans :
m Double-cliquez sur un plan.
m Saisissez une valeur dans la zone Goto Shot.
Le nouveau plan en cours s’affiche en gris dans le navigateur de plans et la tête de
lecture se positionne sur la première image de ce plan dans la timeline. Ce plan peut
maintenant être corrigé à l’aide de l’un des studios de Color.Chapitre 5 Setup (Configuration) 115
Chutier des jeux d’étalonnage
Le chutier des jeux d’étalonnage (Grades) vous permet d’enregistrer et de gérer les jeux
d’étalonnage utilisables dans vos programmes. Comme indiqué au chapitre 3, un jeu
d’étalonnage peut contenir une ou plusieurs des corrections individuelles suivantes :
 Primary
 Secondary
 Color FX
 Primary Out
L’application d’un jeu d’étalonnages à un ou plusieurs plans permet d’apporter simultanément de nombreuses corrections. Les jeux d’étalonnage enregistrés dans le chutier
sont disponibles pour tous les projets Color ouverts alors que la connexion à ce compte
d’utilisateur était établie. Ce chutier permet d’afficher les jeux d’étalonnage sous forme
d’icône ou de liste. Comme les autres chutiers de Color, il offre des commandes qui permettent son organisation à l’aide de sous-répertoires et grâce auxquelles vous pouvez
naviguer dans le structure de fichiers ainsi obtenue. Pour en savoir plus sur l’utilisation
des commandes du chutier des jeux d’étalonnage, consultez la section « Navigateurs et
chutiers pour organiser les fichiers » à la page 75.
Pour en savoir plus sur l’enregistrement et l’application des jeux d’étalonnages, consultez
la section « Enregistrement de jeux d’étalonnage dans le chutier des jeux » à la
page 302.
Onglet Project Settings
Les options de l’onglet Project Settings sont enregistrées individuellement pour chaque projet. Elles vous permettent de consigner des informations supplémentaires sur
le projet, ainsi que de régler son affichage et le mode de rendu de ses plans.116 Chapitre 5 Setup (Configuration)
Réglages relatifs aux informations sur le projet et au répertoire de rendu
Ces réglages fournissent des informations sur Color et sur votre projet. Ils vous permettent en outre de définir le répertoire dans lequel les données générées par le projet
sont enregistrées.
 Project Name : nom du projet. Par défaut, ce nom correspond à celui du fichier de
projet figurant sur le disque, mais vous pouvez le remplacer par le nom de votre
choix. Le changement du nom du projet n’affecte pas le nom du fichier de projet.
 Render Directory : le répertoire de rendu est le répertoire par défaut où sont stockés
les fichiers de données du projet auxquels le rendu a été appliqué. Pour en savoir
plus sur le rendu des projets Color, consultez le chapitre 17, « File d’attente de
rendu », à la page 361.
 Bouton Project Render Directory : ce bouton vous permet de sélectionner un nouveau
répertoire de rendu pour le projet au moyen de la zone de dialogue Choose Project
Render Directory.
 Colorist : ce champ vous permet d’enregistrer le nom du coloriste travaillant actuellement sur le projet. Cette information est utile pour savoir qui travaille sur tel ou tel
projet dans des installations de postproduction à plusieurs suites ou pour déterminer quand un fichier de projet est transféré d’une installation vers une autre.
 Client : ce champ vous permet d’enregistrer le nom du client auquel le projet appartient.
Réglages de la résolution et du codec
Ces réglages vous permettent de configurer les propriétés d’affichage et de rendu de
votre projet. Ils modifient la façon dont le rendu du projet est effectué à des fins d’affichage et le moment où le rendu est appliqué à la sortie finale.
 Display LUT : une table de correspondance d’affichage est un fichier contenant des
informations de réglage de la couleur qui est généralement utilisé pour modifier
l’image contrôlée s’affichant sur les écrans d’aperçu et de diffusion. Les tables de
correspondance peuvent être générées pour calibrer votre affichage à l’aide de
sondes matérielles et permettent également de le mettre en correspondance avec
d’autres supports d’imagerie caractérisés, parmi lesquels les systèmes de projection
numériques et les flux d’impression de film. Si vous avez chargé une table de correspondance d’affichage dans le cadre d’un flux de gestion des couleurs, ce champ vous
indique le fichier de table de correspondance utilisé. Pour en savoir plus sur la gestion des tables de correspondance, consultez le chapitre 6, « Contrôle », à la page 133.
 Frame Rate : ce champ affiche la fréquence d’images définie pour le projet. La fréquence
d’images de votre projet est définie lors de la création de ce dernier et peut être modifiée par le biais d’un menu local à condition qu’aucun plan n’apparaisse dans la timeline.
Après l’ajout d’un ou de plusieurs plans dans la timeline, la fréquence d’images du projet ne peut pas être modifiée.Chapitre 5 Setup (Configuration) 117
 Menu local Resolution Presets : ce menu affiche toutes les résolutions de projet prises
en charge par Color, parmi lesquelles les tailles d’image 2K, haute définition et de
définition standard PAL et NTSC. Les options disponibles dans ce menu sont parfois
limitées par le codec d’exportation QuickTime sélectionné.
Si le codec d’exportation QuickTime sélectionné autorise les tailles d’image personnalisées, les champs de largeur et de hauteur présentés ci-dessous peuvent être
modifiés. Si tel n’est pas le cas, ces champs ne sont pas modifiables. Si ces champs
sont réglés sur une taille d’image définie par l’utilisateur, le menu local Resolution
Presets affiche la mention « custom » (personnalisé).
 Width : largeur actuellement sélectionnée pour la dimension de l’image.
 Height : hauteur actuellement sélectionnée pour la dimension de l’image.
 Printing Density : ce menu local apparaît uniquement lorsque le projet en cours est
réglé pour utiliser les séquences d’images Cineon ou DPX. Il vous permet de choisir
explicitement la plage numérique des valeurs qui sont utilisées pour traiter la couleur de façon à assurer la compatibilité avec votre flux de données (« pipeline ») de
postproduction. Ces options déterminent le réglage des points noir et blanc dans
les données dont le rendu est effectué par Color. Trois options sont disponibles :
 Film (95 Black – 685 White : Logarithmic)
 Video (65 Black – 940 White : Linear)
 Linear (0 Black – 1023 White)
 Render File Type : ce paramètre est automatiquement réglé en fonction du type de
donnée utilisé par votre projet. Si vous envoyez un projet à partir de Final Cut Pro, il
est défini sur QuickTime et ne peut pas être modifié. Si vous créez un projet Color à
partir de zéro, ce menu local vous permet de choisir le format de rendu des données
finales. Si vous travaillez sur des projets de film 2K utilisant des séquences d’images,
vous choisirez probablement Cineon ou DPX, tandis que vous effectuerez très vraisemblablement le rendu des projets vidéo sous la forme de fichiers QuickTime.
 Deinterlace Renders : lorsque cette option est activée, tous les plans affichés sur les
écrans d’aperçu et de diffusion sont désentrelacés, de même que les données dont
le rendu est effectué par Color.118 Chapitre 5 Setup (Configuration)
 Deinterlace Previews : lorsque cette option est activée, tous les plans affichés sur les
écrans d’aperçu et de diffusion sont désentrelacés, mais les données dont le rendu
est effectué à partir de Color restent entrelacées.
 Menu local QuickTime Export Codecs : si QuickTime est sélectionné dans le menu
local Render File Type, ce menu vous permet de choisir le codec que vous allez utiliser pour effectuer le rendu des données à partir de votre projet. Si on sélectionne
Original Format, le codec d’exportation est automatiquement le codec spécifié dans
les réglages de la séquence Final Cut Pro d’origine (cette option n’est disponible que
lorsqu’on utilise la commande « Send to Color », ou lorsqu’on importe un fichier XML
exporté depuis Final Cut Pro).
Le codec d’exportation QuickTime ne doit pas nécessairement correspondre au
codec employé par les données source. Vous pouvez vous en servir pour convertir
données à un format très peu compressé ou non compressé. Ce menu local affiche
une liste limitée aux codecs QuickTime actuellement pris en charge pour le rendu
des données à partir de Color.
À propos du désentrelaçage
Le désentrelaçage dans Color s’effectue très simplement, en faisant la moyenne
des deux champs de façon à créer une image unique. L’image qui en résulte peut
sembler estompée.
Remarque : un paramètre de désentrelaçage est également disponible pour chaque
plan de l’onglet Shot Settings en regard de la Timeline. Il vous permet de désentrelacer
de façon sélective des plans individuels sans appliquer cette opération à tout le programme. Pour en savoir plus, consultez la section « Onglet Settings 2 » à la page 159.
Choix du codec QuickTime à utiliser pour l’exportation
Vous pouvez effectuer le rendu de votre projet dans Color à l’aide d’un de ces codecs
de mastering de qualité supérieure, quel que soit le codec ou le niveau de compression utilisé par les données sources. Vous pouvez faire appel au menu local QuickTime
Export Codecs pour simplifier un flux de production dans lequel vous importez des
données compressées dans Color, puis exportez la sortie corrigée sous forme de données non compressées pour le renvoi du projet à Final Cut Pro. Vous pouvez ainsi économiser de l’espace disque et éviter la multiplication des opérations de rendu. Vous
préservez, par ailleurs, la qualité des corrections effectuées à une profondeur de bits
élevée lorsque vous effectuez le rendu de vos données de sortie avant de renvoyer
votre projet à Final Cut Pro.
Les codecs les plus indiqués pour le mastering sont les codecs Apple sans compression
8 bits 4:2:2, Apple sans compression 10 bits 4:2:2, Apple ProRes 422 et Apple ProRes 422
(HQ).Pour en savoir plus, consultez la section « Codecs QuickTime compatibles pour la
sortie » à la page 102.Chapitre 5 Setup (Configuration) 119
Réglages de seuils de diffusion (Broadcast Safe)
Ces réglages de seuils de diffusion vous permettent de configurer Color de façon à limiter les valeurs minimale et maximale de la luminance, de la chrominance et des signaux
composites des plans de votre programme. Ils sont tous intégralement personnalisables en fonction de toute norme de contrôle qualité et empêchent la violation de ce
type de norme.
 Bouton Broadcast Safe : l’activation des réglages Broadcast Safe permet la légalisation
des diffusions pour l’ensemble du projet, modifiant à la fois la façon dont le projet
s’affiche sur votre écran secondaire et votre écran de diffusion et la façon dont son
rendu est effectué pour la sortie finale. Ce bouton permet d’activer et de désactiver
les réglages suivants :
 Ceiling IRE : indique le niveau de luminance maximum autorisé, en unités IRE analogiques. Les signaux dont la luminance est supérieure à cette limite seront réglés
en fonction de cette valeur maximale.
 Floor IRE : indique le niveau de luminance minimum autorisé, en unités IRE analogiques. Les signaux dont la luminance est inférieure à cette limite seront réglés en
fonction de cette valeur minimale.
 Amplitude : cette fonction n’est pas restrictive. Elle permet au contraire d’appliquer un réglage à l’amplitude de la chrominance. La valeur par défaut 0 n’entraîne
aucune modification.
 Phase : vous permet d’ajuster la phase de chrominance. Si l’amplitude est réglée
sur 0, aucune modification n’est effectuée.
 Offset : permet d’ajuster le décalage d’un réglage de la chrominance. Si l’amplitude est réglée sur 0, aucune modification n’est effectuée.
 Chroma Limit : définit la saturation maximale autorisée. La chrominance des
signaux dont la saturation est supérieure à cette limite sera réglée en fonction
de cette valeur maximale.
 Composite Limit : définit la combinaison maximale autorisée pour la luminance
et la chrominance. Les signaux dépassant cette limite seront réglés en fonction
de cette valeur maximale.
Les réglages de seuils de diffusion limitent la plage de données source non corrigées
de votre projet et vous empêchent par ailleurs d’introduire par inadvertance des
valeurs non autorisées lorsque vous effectuez des corrections. Vous pouvez limiter
les niveaux de diffusion de trois façons différentes dans votre programme.120 Chapitre 5 Setup (Configuration)
Activer les réglages Broadcast Safe et les maintenir activés pendant toute la durée
de votre travail
La façon la plus sûre de travailler (et le comportement par défaut des nouveaux projets)
consiste simplement à activer les réglages Broadcast Safe lorsque vous commencez à
travailler et à les maintenir activés pendant toute la phase d’étalonnage. Avec un peu de
pratique, vous pourrez déterminer si un ton clair ou une ombre est trop écrasé en visualisant l’image sur le moniteur et en vérifiant si des valeurs ne sont pas accumulées en
haut et en bas des graphiques affichés sur l’oscilloscope Waveform. Si l’image est coupée de façon excessive, vous pouvez effectuer une correction pour ajuster le signal.
Désactiver les réglages Broadcast Safe pendant la correction, puis les activer de
nouveau pour la sortie
Si vous activez tout de suite les réglages Broadcast Safe, les parties non autorisées
du signal sont immédiatement restreintes et il peut être difficile de déterminer exactement la quantité de données coupées. Lorsque vous étalonnez des données qui ont
été enregistrées de façon homogène avec des niveaux de super blanc et une chrominance élevée, il peut être préférable de désactiver les réglages Broadcast Safe lors de
la phase d’étalonnage initiale, de façon à identifier plus facilement les parties du signal
hors limites et à déterminer plus judicieusement comment ce dernier doit être légalisé.
Une fois la phase initiale terminée, vous pourrez réactiver les réglages Broadcast
Safe pour faire obstacle aux niveaux parasites. Vous serez ainsi sûr de ne pas trop
restreindre l’image.
Activer le bouton Enable Clipping pour des plans individuels de votre programme
Le bouton Enable Clipping de l’onglet Basic du studio Primary Out vous permet de définir
des valeurs plafonds pour les canaux rouge, vert et bleu des différents plans de votre programme. Vous pouvez ainsi empêcher la présence de valeurs de diffusion non autorisées
dans les plans auxquels vous appliquez des corrections Primary, Secondary ou Color FX
extrêmes, sans activer les réglages Broadcast Safe pour tout le programme. Si les réglages
Enable Clipping et Broadcast Safe sont tous les deux activés, la norme de niveau inférieur
s’applique. Pour en savoir plus, consultez la section « Utilisation des commandes de
plafonnement » à la page 298.Chapitre 5 Setup (Configuration) 121
Important : le processus de légalisation des diffusions employé par Color a pour but de
conserver les détails de l’image tout en empêchant les niveaux de diffusion non autorisés. Comme dans tout système d’étalonnage, le fait de pousser les réglages au-delà
d’un certain point entraîne des couleurs noires uniformément écrasées, des couleurs
blanches éclatées et des zones de couleur ternes. Il convient toutefois de préciser que
cette opération est souvent utilisée pour obtenir un effet stylistique.
Réglages de rendu
Ce réglage modifie la façon dont le rendu des données est effectué à partir de Color.
 Handles : ce champ vous permet d’indiquer une durée pour les données supplémentaires à ajouter au début et à la fin de chaque fichier de données dont le rendu est
effectué à partir de Color. Lorsqu’un projet est renvoyé dans Final Cut Pro, les poignées permettent aux monteurs d’effectuer de petits ajustements et de continuer
à disposer de données corrigées. La valeur par défaut est 00 :00 :01 :00.
Onglet Messages
L’onglet Messages contient la liste courante de tous les avertissement et messages
d’erreur générés par Color pendant son fonctionnement. Les messages affichés en
jaune sont des avertissements. Les messages affichés en rouge indiquent qu’une
erreur est survenue (par exemple, « Directory not writable trying to re-save a project »).
L’onglet Messages ne comporte pas de commande.
À propos des seuils de diffusion (Broadcast Safe)
Lorsque vous procédez à l’étalonnage de tout programme devant être diffusé, il est
important d’obtenir auprès de l’organisme de diffusion les recommandations de contrôle qualité spécifiques à votre travail. Diverses normes existent pour les niveaux
maximum et minimum autorisés pour les valeurs IRE, la chrominance et l’amplitude
des signaux composites, et certains organismes de diffusion sont plus conservateurs
que d’autres.
Les paramètres associés aux seuils de diffusion peuvent être réglés de façon à correspondre aux recommandations de contrôle qualité requises. Lorsqu’ils sont activés,
ils garantissent le respect de ces normes par votre programme lors du contrôle de
ce dernier et du rendu des données corrigées finales. 122 Chapitre 5 Setup (Configuration)
Onglet User Preferences
L’onglet User Preferences contient des réglages ayant une incidence sur le fonctionnement
de Color pour tout projet ouvert. Il inclut des options permettant de personnaliser la sensibilité de la surface de contrôle, l’affichage de la timeline, le fonctionnement de la lecture,
la sortie vidéo, de même que la profondeur de bits utilisée pour l’affichage et le rendu.
L’état de chacun de ces réglages est automatiquement enregistré chaque fois qu’ils
sont modifiés. Si nécessaire, vous pouvez restaurer leur valeur d’origine.
Pour redéfinir les préférences d’utilisateur par défaut :
m Cliquez sur Revert en bas de l’onglet User Preferences.
Répertoires de données et de projets
Les répertoires de données et de projets vous permettent de contrôler l’emplacement
où les nouveaux fichiers sont enregistrés par défaut.
 Default Project Dir. : répertoire par défaut où sont enregistrés tous les nouveaux projets Color. Il s’agit également du répertoire par défaut figurant dans les zones de dialogue associées aux commandes Import EDL et Import XML. Cliquez sur le bouton
Browse pour choisir un nouveau répertoire.
 Default Media Dir. : répertoire par défaut du navigateur de fichiers. Il s’agit également
de l’emplacement de données par défaut qui est utilisé par les commandes Import
EDL et Import XML. Cliquez sur le bouton Browse pour choisir un nouveau répertoire.
 Default Render Dir. : répertoire par défaut des données dont le rendu est effectué
par Color pour l’exportation. Cliquez sur le bouton Browse pour choisir un nouveau
répertoire.
Réglages de la surface de contrôle
Si vous utilisez une surface de contrôle avec Color, les paramètres ci-dessous vous permettent de régler la correspondance entre le mouvement appliqué à une commande
particulière et le réglage effectif qui en résulte.
 Hue Wheel Angle : ce paramètre indique l’angle selon lequel les couleurs apparaissent sur la roue des couleurs des commandes de couleur de l’interface Color et
l’angle correspondant selon lequel ces couleurs sont ajustées lors de l’utilisation des
dispositifs de commande (boules de commande) d’une surface de contrôle. Il est personnalisable de façon à s’adapter aux exigences des coloristes familiarisés avec diffé-
rents systèmes :
 122 est l’angle par défaut de la couleur rouge pour les systèmes d’étalonnage
DaVinci. Il correspond à l’angle d’affichage du rouge sur un vecteurscope. Il s’agit
du réglage Color par défaut.Chapitre 5 Setup (Configuration) 123
 0 est l’angle par défaut de la couleur rouge pour les systèmes d’étalonnage Pogle ;
il correspond à l’orientation des commandes de l’ancien équipement de télécinéma Mk III.
 Encoder Sensitivity : ce paramètre contrôle la vitesse à laquelle la valeur des commandes Color est modifiée suite à la rotation des potentiomètres d’une surface de contrôle.
 Jog/Shuttle Sensitivity : ce paramètre contrôle la vitesse à laquelle la tête de lecture
se déplace par rapport à l’amplitude de la rotation appliquée à la roue Jog/Shuttle
d’une surface de contrôle.
 Joyball Sensitivity : ce paramètre contrôle la vitesse de réglage des commandes de couleur Shadows, Midtones et Highlights dans les studios Primary In, Secondary et Primary
Out lorsque vous utilisez les dispositifs de commande (boules de commande) d’une
surface de contrôle. Le réglage par défaut 1 correspond à une vitesse très lente. Augmentez cette valeur pour effectuer plus rapidement les corrections en appliquant le
même mouvement au dispositif de commande.
Réglages de l’interface utilisateur
Les réglages ci-dessous vous permettent de personnaliser l’interface Color.
 UI Saturation : cette valeur contrôle le niveau de saturation des commandes affichées dans l’interface utilisateur Color. De nombreux coloristes la réduisent pour
éliminer la fatigue visuelle et empêcher toute altération éventuelle de leur perception des couleurs lors des sessions. La saturation de l’interface utilisateur modifie
également l’intensité des couleurs affichées par la fenêtre Scopes lorsque l’option
Monochrome Scopes est désactivée.
 Frames/Seconds/Minutes/Hours : ces boutons vous permettent de choisir le mode
d’affichage de l’heure dans la réglette de la timeline. Ils n’ont pas d’incidence sur
la façon dont l’heure est représentée dans les autres champs de timecode de Color.
 Show Shots Name : si vous activez cette option, le nom de chaque plan s’affiche dans
le plan de montage.
Angle de la roue des couleurs à 122° Angle de la roue des couleurs à 0°124 Chapitre 5 Setup (Configuration)
 Show Shots Number : l’activation de ce réglage permet d’afficher le numéro de chaque plan dans la timeline.
 Show Shots Beauty Frame : si vous activez cette option, des vignettes à image unique
apparaissent à l’intérieur de chacun des plans qui se trouvent dans le plan de montage.
 Loop During Playback : l’activation de ce réglage permet la lecture en boucle depuis
le point d’entrée en cours jusqu’au point de sortie de la timeline. L’effet de ce réglage
sur la lecture dépend de la façon dont le mode de lecture est défini. Pour en savoir
plus, consultez la section « Choix du mode de lecture » à la page 152.
 Maintain Framerate : ce réglage détermine si des images sont abandonnées pour
maintenir la fréquence d’images du projet lors de la lecture.
 Si le réglage Maintain Framerate est activé (par défaut), la fréquence d’images du plan
actuel est respectée quel que soit la charge de travail supportée par le processeur. Si
le jeu d’étalonnage choisi pour le plan en cours de lecture requiert une grande quantité de ressources processeur, certaines images seront ignorées pendant la lecture afin
de maintenir la fréquence d’images du projet. Dans le cas contraire, la lecture a lieu en
temps réel.
 Si le réglage Maintain Framerate est désactivé, chaque image est systématiquement lue. Si le niveau de lecture consomme beaucoup de ressources processeur,
le processus de lecture ralentit pour éviter la perte d’images. Dans le cas contraire,
la lecture peut en fait s’effectuer plus rapidement qu’en temps réel.
 Synchronize Refresh (slower) : l’activation de cette option permet d’éliminer les artefacts d’actualisation vidéo de l’image contrôlée (ceux-ci peuvent se présenter sous
la forme de « déchirures » de l’image vidéo). Cette option ne réduit que légèrement
les performances de lecture, ce qui résulte en une pénalité d’environ 1 ips.
Les paramètres ci-dessous utilisent des commandes de couleur miniatures qui fonctionnent comme celles décrites dans la section « Utilisation des commandes Color
Balance » à la page 209.
 Commande de couleur Grade Complete : couleur affichée dans la barre de rendu de
la timeline pour les plans auxquels le rendu a été appliqué. La couleur par défaut
est le vert.
 Commande de couleur Grade Cued : couleur affichée dans la barre de rendu de la
timeline pour les plans qui ont été ajoutés à la file d’attente de rendu, mais dont
le rendu n’a pas encore été effectué. La couleur par défaut est le jaune.
 Commande de couleur Grade Aborted : couleur affichée dans la barre de rendu de la
timeline pour les plans dont le rendu a été arrêté. La couleur par défaut est le rouge.Chapitre 5 Setup (Configuration) 125
 Monochrome Scopes : l’activation de cette option permet de tracer les graticules
du vidéoscope avec une seule couleur (indiquée par l’option Scope Color ci-dessous). La plupart des coloristes préfèrent cet affichage pour éviter la fatigue visuelle.
Par ailleurs, cette option supprime l’affichage en couleur du vecteurscope. Ceux qui
souhaitent disposer d’un affichage en couleur dans les oscilloscopes ont également
la possibilité de définir le réglage UI Saturation sur une intensité moins élevée.
 Scope Color : cette commande de couleur vous permet de régler la couleur utilisée pour
tracer les graticules du vidéoscope lorsque l’option Monochrome Scopes est activée.
 Limit Shadow Adjustments : lorsque cette option est activée, une atténuation est
appliquée à la couleur Shadows et les réglages de contraste tels que les valeurs de
0 pour cent (noir pur) reçoivent 100 pour cent de la correction, tandis que les valeurs
de 100 pour cent (blanc pur) reçoivent 0 pour cent de la correction. Lorsque cette
option est désactivée, les réglages de la couleur Shadows et des commandes de contraste sont appliqués de façon uniforme à toute l’image.
 Show Control Surface Dialog : lorsque vous activez cette option, la zone de dialogue
Control Surface Startup s’ouvre immédiatement, vous permettant de choisir une surface de contrôle compatible avec Color pour votre travail. Tant qu’elle reste activée,
la zone de dialogue Control Surface Startup apparaît chaque fois que vous ouvrez
Color. Si vous ne disposez d’aucune surface de contrôle, désactivez cette option.
Utilisation des images de substitution
Si vous travaillez sur un projet utilisant des séquences d’images Cineon ou DPX, vous
pouvez faire appel à un mécanisme d’images de substitution pour améliorer l’efficacité
de votre travail à des résolutions élevées. Le mécanisme des images de substitution
dans Color n’est pas disponible pour les projets utilisant des données QuickTime.
 Enable Proxy Support : l’activation de ce bouton permet d’utiliser des données de
remplacement de résolution inférieure, appelées images de substitution, à la place
des données source de votre projet. L’emploi des images de substitution augmente
les performances de lecture, d’étalonnage et de rendu, même si les plans de votre
projet s’affichent avec un niveau de qualité inférieure. Les images de substitution
ne peuvent être utilisées qu’après avoir été générées. Pour en savoir plus sur la géné-
ration des images de substitution, consultez la section « Génération et suppression
d’images de substitution » à la page 126.
 Render Proxy : permet de choisir une résolution d’image de substitution pour le
rendu des données de sortie. Cette option peut être utile si vous souhaitez effectuer rapidement le rendu d’un ensemble de données pour tester la phase de
retour d’un flux de travaux « aller-retour ». La valeur par défaut de ce menu, qui
correspond à « Full Resolution », doit être conservée dans la plupart des cas.126 Chapitre 5 Setup (Configuration)
 Grading Proxy : permet de choisir une résolution d’image de substitution à utiliser
lors du réglage des commandes dans l’un des studios. Cette option augmente l’interactivité de l’interface utilisateur et la vitesse à laquelle l’image sur laquelle vous travaillez est mise à jour lorsque vous réglez les différentes commandes d’étalonnage.
Lorsqu’un réglage est terminé, l’image s’affiche de nouveau en pleine résolution.
 Playback Proxy : permet de choisir une résolution d’image de substitution à utiliser lors de la lecture, ce qui augmente la fréquence d’images tout en réduisant
la qualité de l’image. Lorsque la lecture s’arrête, l’image s’affiche de nouveau en
pleine résolution.
Réglages relatifs à la lecture, au traitement et à la sortie
Les réglages ci-dessous ont une incidence sur la qualité et la vitesse de la lecture.
 Video Output : les options de ce menu local correspondent aux options de sortie
vidéo disponibles pour l’interface vidéo de diffusion installée sur votre ordinateur.
Choisissez Disabled pour désactiver toutes les options de sortie vidéo.
Remarque : actuellement, les aperçus Digital Cinema Desktop et les sorties Apple
FireWire ne sont pas disponibles pour contrôler les données de sortie provenant
de Color.
 Force RGB : Cette option est désactivée dans le cas des projets en définition standard.
ce réglage est conçu pour être utilisé lorsque vous travaillez avec des données source
Y´CB
CR
haute définition que vous contrôlez sur un moniteur de diffusion externe via
une interface vidéo de diffusion prise en charge. Il détermine comment les données
d’image RVB calculées en interne par Color sont converties en données d’image
Y´CB
CR
pour l’affichage :
 Si le réglage Force RGB est désactivé, cette conversion est effectuée par Color
dans le logiciel. Ce processus consomme des ressources processeur et peut aboutir à une réduction sensible des performances en temps réel.
 Si le réglage Force RGB est activé, Color envoie les données d’image RVB directement à l’interface vidéo de diffusion installée sur votre ordinateur et charge cette
dernière de la conversion à l’aide du matériel dédié. Ce processus allège la charge
de traitement de votre ordinateur. Il est recommandé pour optimiser les performances en temps réel.
Génération et suppression d’images de substitution
Pour utiliser des images de substitution pendant que vous travaillez sur votre projet,
vous devez d’abord générer pour ce dernier un ensemble de données d’images de
substitution dont la résolution est deux ou quatre fois inférieure.
 Pour générer un ensemble de données d’images de substitution pour votre projet,
choisissez File > Proxies > Generate Proxies.
 Pour supprimer toutes les images de substitution générées pour un projet, choisissez File > Proxies > Delete Proxies.Chapitre 5 Setup (Configuration) 127
Lors du contrôle de données vidéo légalisées entre 0 et 100 IRE, il doit y avoir une différence minimale entre l’image affichée avec le réglage Force RGB activé et celle affichée avec ce même réglage désactivé.
Important : si le réglage Force RGB est activé, les valeurs chromatiques de super
blanc et hors gamme ne seront pas affichées par votre écran de diffusion et n’apparaîtront pas sur les vidéoscopes externes analysant la sortie de votre interface vidéo
de diffusion. Cette restriction affecte uniquement le processus de contrôle. Le traitement interne de l’image effectué par Color conserve ces données.
Par conséquent, les données d’image de super blanc seront toujours visibles sur
les oscilloscopes logiciels Color lorsqu’elles existent et les niveaux chromatiques
hors gamme et de super blanc non corrigés seront systématiquement conservés
lorsque vous exportez des données finales.
Si l’option Broadcast Safe est activée dans les réglages du projet, nous ne constaterez peut-être pas de différence dans l’affichage de ces valeurs « non autorisées »,
étant donné qu’elles sont limitées par Color.
 Disable Vid-Out During Playback : l’activation de cette option désactive la sortie vidéo
via votre interface de diffusion lors de la lecture. Lorsque la lecture est interrompue,
la sortie vidéo de l’image située au niveau de la tête de lecture est quand même assurée. Cela est utile si votre projet fait appel à un nombre d’effets tel que la lecture vidéo
est trop lente pour être efficace. Lorsque cette option est activée, vous pouvez effectuer des ajustements et contrôler l’image pendant que la lecture est interrompue, puis
visualiser le programme en mouvement via l’écran d’aperçu, qui permet généralement une lecture plus rapide.
 Update UI During Playback : l’activation de cette option permet la mise à jour dynamique des fenêtres sélectionnées de l’interface Color pendant la lecture du projet.
Elle actualise les commandes et les oscilloscopes lors de la lecture d’un niveau à un
autre, mais peut diminuer les performances de lecture. C’est pour cette raison qu’elle
est désactivée par défaut. Deux options sont disponibles :
 Update Primary Display : met à jour les principales commandes d’interface des
studios Primary, Secondaries, Color FX, Primary Out et Geometry. L’activation de
cette option vous permet de visualiser la modification des commandes d’un
niveau à un autre et la façon dont elles s’animent dans le cas de niveaux animés
avec des images clés.
 Update Secondary Display : met à jour la fenêtre Scopes. Cette option permet
de mettre à jour les vidéoscopes lors de la lecture. Lorsqu’elle est désactivée,
la lecture de l’aperçu vidéo se poursuit, mais les vidéoscopes disparaissent.128 Chapitre 5 Setup (Configuration)
 Radial HSL Interpolation : ce réglage modifie la façon dont les ajustements de couleurs animés avec des images clés sont interpolés d’une teinte à une autre.
 Lorsque ce réglage est désactivé (état par défaut), les modifications de teinte associées à des images clés sont animées de façon linéaire, directement à partir d’un
point de la roue des couleurs vers un autre. Cela permet d’obtenir des réglages animés très directs et limite les cycles de couleurs non souhaités. Il s’agit de la méthode
utilisée par les systèmes DaVinci et Pogle pour l’animation des réglages de couleur.
 L’activation de ce réglage permet d’animer les modifications de teinte associées à
des images clés de façon radiale, les cycles de couleurs couvrant toutes les teintes
de la roue des couleurs comprises entre la teinte en cours et la teinte cible. Vous
obtenez ainsi des cycles de couleurs visibles si vous animez le remplacement d’une
teinte par une autre qui n’est pas directement adjacente sur la roue des couleurs.
Il s’agit de la méthode utilisée par Final Cut Pro lors de l’animation des réglages de
couleur dans les filtres Color Corrector standard et à trois voies.
Ajustement de la commande de couleurs
avec interpolation radiale activée
Ajustement de la commande de couleurs
avec interpolation radiale désactivéeChapitre 5 Setup (Configuration) 129
 Internal Pixel Format : l’option choisie dans ce menu local détermine la profondeur de
bits utilisée parColor pour le traitement interne de la couleur, à la fois lors de la lecture en temps réel et lors de la réalisation du rendu de la sortie finale. La profondeur
de bits correspond au nombre de bits par canal de couleur et décrit le nombre total
de valeurs utilisées pour afficher la plage de couleurs au moyen de chaque pixel d’une
image. Des profondeurs de bits plus élevées résultent en une image de qualité supé-
rieure, mais requièrent davantage de ressources processeur pour la lecture et le rendu.
 8-bit : profondeur de bits la plus faible à laquelle Color peut fonctionner et consommant le moins de ressources processeur.
 10-bit : profondeur de bits minimale recommandée pour les projets incorporant un
étalonnage secondaire et l’utilisation de vignettes, indépendamment de la source.
 12-bit : profondeur de bits supérieure qui est prise en charge par certaines cartes vidéo.
 16-bit : profondeur de bits de qualité optimale. Certains spécialistes jugent que le
format 16 bits en linéaire fournit une qualité équivalente au format 10 bits logarithmiques pour le travail effectué sur des images issues de la numérisation d’un film.
 Float : niveau optimal de qualité de traitement de l’image disponible dans Color.
Ce réglage fait appel à des opérations mathématiques en virgule flottante pour
enregistrer et calculer des données fractionnaires. Cela signifie que les valeurs
supérieures à 1 peuvent être utilisées pour enregistrer des données qui seraient
autrement arrondies vers le bas dans le cas des formats 8 bits, 10 bits, 12 bits et
16 bits donnant lieu à des opérations sur entiers uniquement. Étant donné que
le réglage Float correspond à une profondeur de bits consommant beaucoup
de ressources processeur, des délais de rendu plus longs sont à prévoir.
Remarque : le réglage Float n’est pas disponible lorsqu’on utilise une carte graphique NVidia.130 Chapitre 5 Setup (Configuration)
? Conseil : selon les performances de votre système, il sera peut-être préférable de travailler à une profondeur de bits moins élevée pour optimiser les performances en
temps réel. Vous pourrez ensuite sélectionner la profondeur de bits souhaitée avant
d’effectuer le rendu de la sortie finale pour optimiser la qualité de l’image.
Correspondance entre la profondeur de bits et les données de canal
La plage réelle de valeurs utilisée par chaque canal pour chaque pixel à une profondeur de bits donnée se calcule en élevant le chiffre 2 à la puissance n, où n correspond à la profondeur de bits elle-même. Par exemple, la plage de valeurs utilisée
pour la couleur en 8 bits correspond à 2 à la puissance 8, soit 256 valeurs par canal.
La plage de valeurs correspondant à la couleur en 16 bits correspond à 2 à la puissance 10, soit 65 536 valeurs par canal.
Toutefois, cette explication n’est pas suffisante. La partie de la plage numérique disponible réellement utilisée dépend de l’encodage des données d’image.
 Full Range : les données d’image utilisant l’espace colorimétrique RVB encodent
chaque canal de couleur en faisant appel à toute la plage numérique disponible.
Cela signifie que les canaux de couleur vidéo 8 bits emploient une valeur comprise
dans la plage de 0 à 255 et que les canaux 10 bits utilisent une plage de 1 à 1 023.
 Studio Range : les données d’image vidéo 8 et 10 bits enregistrées au moyen de
l’espace colorimétrique Y´CB
CR
utilisent une plage de valeurs Studio Range pour
chaque canal. Cela signifie qu’un sous-ensemble de la plage réelle de valeurs disponibles est utilisé, de façon à laisser de la place pour le super noir et le super blanc
requis par la norme vidéo.
Par exemple, la luminance des données Y´CB
CR
8 bits utilise la plage de valeurs allant
de 16 à 236, de façon à ce que les plages 1 à 15 et 235 à 254 restent disponibles dans
le signal. La luminance des données Y´CB
CR
10 bits emploie la plage 64 à 940, laissant
disponibles les plages 4 à 63 et 941 à 1019.
En outre, les valeurs les plus faibles et les plus élevées sont réservées pour les données ne correspondant pas à des images, et les composants chromatiques (CB
et CR
)
utilisent des plages de valeurs plus étendues (16 à 240 pour la vidéo 8 bits et 64 à
960 pour la vidéo 10 bits).Chapitre 5 Setup (Configuration) 131
Réglages d’enregistrement automatique
Deux réglages vous permettent d’activer ou de désactiver l’enregistrement automatique dans Color.
 Auto Save Projects : cette option active l’enregistrement automatique.
 Auto Save Time (Minutes) : indique le délai en minutes s’écoulant avant le prochain
enregistrement du projet. Ce délai est réglé par défaut sur 5 minutes.
L’option d’enregistrement automatique enregistre uniquement le projet en cours. Elle
ne crée pas de copie archivée du projet. Pour en savoir plus sur la création et le rappel
d’archives, consultez la section « Enregistrement de projets et d’archives » à la page 85.6
133
6 Contrôle
Le matériel et les méthodes employés pour contrôler votre
travail sont essentiels à la production d’un résultat précis.
On n’insistera jamais assez sur l’importance d’un contrôle adéquat pour la correction
des couleurs. Ce chapitre traite des options de contrôle disponibles dans Color, notamment la configuration de la fenêtre Scopes, les options relatives à la sortie vidéo de diffusion, la génération et l’utilisation de tables de conversion en vue du calibrage et de la
simulation, ainsi que de la façon dont la sortie vidéo du studio Still Store est effectuée
pour le contrôle et l’évaluation.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 Fenêtre Scopes (p. 133)
 Contrôle de la sortie vidéo de diffusion (p. 135)
 Utilisation des tables de conversion d’affichage (p. 138)
 Contrôle du magasin d’images fixes (Still Store) (p. 143)
Fenêtre Scopes
La façon la plus simple de contrôler votre travail dans Color est d’utiliser la fenêtre Scopes.
L’interface Color est constitué de deux fenêtres, celle-ci est la seconde. Vous pouvez configurer le logiciel Color pour qu’il utilise un ou deux écrans.
Si vous utilisez deux écrans, la fenêtre Scopes est visible sur le second, qu’elle occupe
à part entière. Si vous n’utilisez qu’un écran, celui-ci est partagé entre la fenêtre Scopes
et la fenêtre Color.134 Chapitre 6 Contrôle
Pour passer du mode d’affichage simple au mode double affichage (et inversement),
effectuez l’une des opérations suivantes :
m Cliquez sur Window > Single Display Mode ou Dual Display Mode.
m Appuyez simultanément sur Maj + 0 pour basculer d’un mode à l’autre.
La fenêtre Scopes offre un écran d’aperçu de l’image sur laquelle vous travaillez et
peut également afficher deux ou trois vidéoscopes supplémentaires pour faciliter
l’évaluation de cette image.
Écran d’aperçu
L’écran d’aperçu affiche soit l’image au niveau actuel de la tête de lecture dans la timeline,
telle qu’elle apparaît avec toutes les corrections apportées dans les différents studios (sauf si
vous avez sélectionné Grade > Disable Grade), soit l’image Still Store actuellement activée.
Quelle que soit l’image affichée dans l’écran d’aperçu, elle est reflétée dans l’écran
de diffusion connecté à la sortie vidéo de votre ordinateur. L’écran d’aperçu est également affecté par les tables de conversion que vous importez dans votre projet Color.
Remarque : la seule autre fois où l’image en cours n’est pas affichée, c’est lorsque
l’une des autres méthodes d’affichage secondaire est activée dans l’onglet Previews
du studio Secondaries. Pour en savoir plus, consultez la section « Onglet Previews » à la
page 252.
L’écran d’aperçu de la fenêtre Scopes peut être affiché en mode plein écran ou
écran partiel.
Pour basculer entre l’affichage plein écran et l’affichage partiel de l’image d’aperçu :
m Double-cliquez sur l’aperçu dans la fenêtre Scopes.
m Toujours dans la fenêtre Scopes, cliquez sur l’image d’aperçu tout en maintenant
la touche Contrôle enfoncée ou bien cliquez sur cette image avec le bouton droit
de la souris, puis sélectionnez Full Screen dans le menu contextuel.Chapitre 6 Contrôle 135
Lorsque l’écran d’aperçu est en mode plein écran, tous les vidéoscopes sont masqués.
Vidéoscopes
Le nombre d’oscilloscopes pouvant être affichés dépend de la disposition utilisée pour
les fenêtres. Vous pouvez afficher deux vidéoscopes en mode d’affichage unique et trois
en mode double affichage. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 8, « Vidéoscopes »,
à la page 167.
Contrôle de la sortie vidéo de diffusion
Pour garantir un contrôle optimal des programmes de diffusion, Color produit des
vidéos standard et haute définition à partir d’interfaces vidéo tierces prises en charge.
Les pilotes installés pour l’interface déterminent les résolutions, les profondeurs de bits
et les fréquences d’images disponibles pour créer une sortie sur un moniteur externe.
Pour activer le contrôle vidéo externe :
m Sélectionnez une option dans le menu local Video Output, depuis l’onglet User Prefs
du studio Setup.
Pour désactiver le contrôle vidéo externe :
m Sélectionnez l’option Disabled dans le menu local Video Output.
Choix de combinaisons de résolutions de programme et d’affichage
Idéalement, il est préférable de contrôler un programme dans sa résolution native (en
d’autres termes, dans la résolution de ses données source). Toutefois, Color s’efforce de
produire des sorties vidéo quelle que soit la résolution définie dans le menu local Video
Output de l’onglet User Prefs. Si la résolution définie dans le menu local Video Output
est différente de celle sélectionnée via l’option Resolution Preset, Color modifie automatiquement l’échelle de l’image de façon à adapter cette dernière à la taille de l’écran.
Utilisation de l’écran d’aperçu comme moniteur d’évaluation
Un certain nombre de facteurs détermine si l’écran d’aperçu de la fenêtre Scopes est
adapté à une utilisation en tant que moniteur d’évaluation, le plus important étant la
confiance que vous accordez à la qualité de votre écran d’aperçu.
Bon nombre d’utilisateurs choisissent d’utiliser l’écran d’aperçu comme moniteur d’évaluation, en particulier lors de l’étalonnage d’un film numérisé dans un flux de travaux 2K.
Vous devez toutefois veiller à utiliser un moniteur capable d’afficher la gamme de contrastes et de couleurs garantissant le niveau de précision requis par les normes applicables à votre installation. De plus, la réussite dépend d’un bon calibrage du moniteur,
associé à un profilage de couleur et à une simulation de la sortie de film éventuelle via
la gestion des tables de conversion, traitée ultérieurement dans ce chapitre.136 Chapitre 6 Contrôle
Profondeur de bits et contrôle
La profondeur de bits utilisée peut avoir un impact significatif sur la qualité de l’image
contrôlée. La profondeur de bits contrôlée dépend de trois facteurs :
 La profondeur de bits des données source
 La profondeur de bits sélectionnée dans le menu local Video Output
 La profondeur de bits sélectionnée dans le menu local Internal Pixel Format
La profondeur de bits des données source sur le disque est prédéterminée (en général
8 bits, 10 bits ou 10 bits log), ce qui évite de spécifier ou de sélectionner le format de
tournage ou de transfert initial. Dans la mesure où une faible profondeur de bits risque
d’entraîner un effet de bande et d’autres artefacts lors du processus de correction des
couleurs (en particulier lorsqu’il existe des dégradés), il est souvent préférable de traiter la vidéo avec une profondeur de bits plus élevée que celle des données source originales. Cette démarche est particulièrement bénéfique si vous utilisez des vignettes
et appliquez des corrections secondaires.
Color traite la vidéo et produit la sortie quelle que soit la profondeur de bits sélectionnée.
Néanmoins, la plupart des interfaces vidéo de diffusion ont une résolution maximale de
10 bits. Pour garantir une qualité optimale lors du contrôle, il convient de définir le réglage
Internal Pixel Format sur la profondeur de bits la plus élevée avec laquelle vous souhaitez
travailler, puis de s’assurer que le menu local Video Output est défini sur une option de
type 10 bits.
Remarque : le bruit de la vidéo et le grain de la pellicule réduisent souvent les types
d’artefacts causés par les opérations de correction des couleurs à des profondeurs de
bits faibles, c’est pourquoi les avantages liés à l’utilisation de profondeurs de bits plus
élevées ne sont pas toujours évident à l’œil nu.
Un contrôle effectué à une profondeur de bits élevée consomme une grande quantité
de ressources processeur et est susceptible de réduire vos performances en temps réel.
C’est pour cette raison que vous avez la possibilité de réduire la profondeur de bits lorsque vous travaillez, puis de la réaugmenter une fois que vous êtes prêt à afficher le
rendu de la sortie vidéo finale du projet.
Pour en savoir plus sur les options de contrôle disponibles dans l’onglet User Prefs, reportezvous à la section « Réglages relatifs à la lecture, au traitement et à la sortie » à la
page 126.Chapitre 6 Contrôle 137
Méthode de sélection d’un moniteur
Il est essentiel de choisir un moniteur adapté à l’évaluation critique du type d’image
étalonnée. Parmi le large éventail d’écrans de qualité proposés, vous pouvez choisir
entre des écrans CRT, une nouvelle génération d’écrans plats LCD et des vidéoprojecteurs haut de gamme utilisant diverses technologies.
Votre choix doit être effectué de façon réfléchie, en fonction de votre budget et de vos
besoins, mais les caractéristiques importantes à prendre en compte pour obtenir une
bonne évaluation des couleurs sont les suivantes :
 Compatibilité avec les formats vidéos à contrôler
 Compatibilité avec le signal vidéo à contrôler, tel que Y’PB
PR
, SDI, HD-SDI ou HDMI
 Niveaux de noir appropriés (c’est-à-dire que le noir uni ne doit pas ressembler à du gris)
 Une large gamme de contrastes
 Une luminosité adéquate
 Une température de couleur définissable par l’utilisateur
 Respect des normes d’espace colorimétrique Rec. 601 (SD) or 709 (HD) selon le cas
 Gamma correct (également défini par la norme Rec. 709)
 Commandes adaptées à un calibrage et un ajustement de qualité professionnelle
Remarque : pour toutes ces raisons, les téléviseurs et écrans grand public ne sont
généralement pas adaptés à un travail professionnel, même s’ils peuvent servir à prévisualiser l’aspect de votre programme sur le téléviseur de monsieur Tout le monde.
Méthode de configuration de l’environnement d’affichage
L’environnement dans lequel se trouve votre moniteur a lui aussi une incidence significative sur votre capacité à évaluer correctement l’image.
 L’écran ne doit pas être exposé à une source de lumière directe.
 L’éclairage ambiant de la pièce doit être tamisé et indirect et vous ne devez pas avoir
de source de lumière directe dans votre champ de vision.
 L’éclairage ambiant de la pièce doit correspondre à la température de couleur de
votre moniteur (6500K en Amérique du Nord, en Amérique du Sud et en Europe,
9300K en Asie).
 Vous devez disposer d’un éclairage indirect derrière le moniteur d’affichage, équivalente à 10 à 25 % de la luminosité du moniteur lorsqu’il affiche un blanc pur.
 La distance de visualisation idéale pour un moniteur est d’environ cinq fois la hauteur
verticale de l’écran.
 La couleur de la partie de la pièce qui fait partie de votre champ de vision doit être
d’un gris neutre.138 Chapitre 6 Contrôle
Ces précautions permettent d’éviter la fatigue visuelle et l’utilisation involontaire
de mauvaises couleurs. Elles ont également pour but d’optimiser la qualité de l’image
perçue à l’écran.
Calibrage régulier du moniteur
Pour finir, calibrez votre moniteur à intervalles réguliers. Pour obtenir une précision
maximale, certains moniteurs sont dotés d’une sonde intégrée capable de procéder
à un calibrage automatique. Sinon, vous pouvez faire appel à des sondes et des logiciels de calibrage de tierce partie pour réaliser les mêmes mesures. Dans un environnement consacré exclusivement à la diffusion, vous pouvez également avoir recours aux
procédures associées aux barres de couleurs standard auxquelles vous êtes habituées.
Ajustement de l’interface Color par rapport à l’environnement
de contrôle
L’interface Color est volontairement obscurcie de façon à réduire la quantité de lumière diffusée sur votre bureau. Pour atténuer encore davantage l’interface, le réglage UI Saturation,
disponible dans l’onglet User Prefs du studio Setup, vous permet de réduire la saturation de
la plupart des commandes des studios Primary In, Secondaries et Primary Out, ainsi que de
la couleur affichée par les vidéoscopes.
Utilisation des tables de conversion d’affichage
Color prend en charge l’utilisation de tables de conversion 3D pour le calibrage de votre
écran, de façon à ce qu’il respecte une norme de diffusion appropriée ou à simuler les
caractéristiques d’un appareil de sortie cible (par exemple, la façon dont l’image en cours
de correction apparaîtra une fois imprimée sur pellicule).
Color est représenté sur les écrans CRT, les écrans plats LCD, les vidéoprojecteurs et
les projecteurs de cinéma à l’aide de technologies très différentes. Si vous affichez une
image test identique sur deux types d’écrans (un écran de diffusion et un vidéoprojecteur, par exemple), vous pouvez être sûr que la couleur sera différente de l’un à l’autre.
Cette variation ne sera probablement pas visible pour un spectateur moyen mais, en
tant que coloriste, vous devez disposer d’un environnement d’affichage sans surprise
qui respecte les normes requises par le format utilisé. Vous devez également faire en
sorte que les changements demandés par un utilisateur qui visualise le programme
sur un écran affichant des couleurs incorrectes ne soient pas impossibles à résoudre.
Pour couronner le tout, il existe également des variations au sein d’une même catégorie d’appareils :
 Les moniteurs CRT de chaque fabricant utilisent des couches fluorescentes différentes.
 Les projecteurs numériques disponibles utilisent de nombreux types de systèmes
d’imagerie.
 Le film projeté est produit au moyen de diverses méthodes d’impression et pellicules.Chapitre 6 Contrôle 139
Tout cela résulte inévitablement en des variations de couleur importantes pour toute
image passant d’un environnement d’affichage à un autre. L’une des solutions à ce
problème est le calibrage à l’aide de tables de conversion.
Définition d’une table de conversion
Pour faire simple, une table de conversion est un ensemble précalculé de données qui
permet d’ajuster la couleur d’une image affichée avec la gamme et la chromaticité d’un
appareil A de façon à ce que cette image corresponde à ce à quoi elle ressemblerait
avec la gamme et la chromaticité d’un appareil B.
La gamme d’un appareil représente l’éventail complet de couleurs pouvant être affichées sur cet appareil. Certains types d’écrans sont capables d’afficher une gamme de
couleurs plus vaste que d’autres. Par ailleurs, chaque norme de vidéo et de film correspond à une gamme de couleurs différente. En conséquence, les couleurs facilement
représentées par un appareil d’imagerie ne le seront pas forcément par un autre appareil. Un film, par exemple, est capable de représenter bien plus de valeurs de couleurs
que la norme vidéo de diffusion.
La chromaticité fait référence aux valeurs exactes utilisées par un écran pour représenter chacune des trois couleurs primaires. Chaque écran utilise des valeurs primaires différentes. Celles-ci sont visibles dans un diagramme de chromaticité sur lequel les trois
couleurs primaires sont placées sous forme de points, par rapport à un graphique en
deux dimensions représentant la teinte et la saturation au sein du spectre visible. Étant
donné que toutes les couleurs représentées par un écran spécifique sont un mélange
des trois couleurs primaires, si les trois points primaires varient d’un écran à l’autre, la
gamme de couleurs entière est différente.
Même si le diagramme de chromaticité affiché ci-dessus est utile pour comparer des
écrans sur papier, pour vraiment représenter la teinte (couleur), la saturation (intensité
de la couleur) et la luminosité (luminance du noir au blanc) qui définissent une gamme
complète, vous devez utiliser un espace colorimétrique 3D.140 Chapitre 6 Contrôle
Lorsqu’elles sont extrudées en 3D, la gamme et la chromaticité des différents appareils
créent des formes différentes. Par exemple, l’espace colorimétrique RVB standard peut
être représenté par un simple cube (comme on peut le voir dans l’application ColorSync
Utility) :
Chaque angle du cube représente une combinaison différente des valeurs tristimulus R,
V et B qui correspondent à chaque couleur. L’angle de noir équivaut à (0,0,0), l’angle
de blanc opposé à (1,1,1), l’angle de bleu à (0,0,1), l’angle de rouge à (1,0,0), et ainsi
de suite. Toutefois, le cube de couleur RVB reste une abstraction idéalisée. Les appareils
d’affichage proprement dits présentent des formes bien différentes, définies par leur
propre gamme et chromaticité.
Transformer de façon précise la gamme d’un appareil pour l’adapter à celle d’un autre
appareil implique littéralement de projeter cette gamme dans une représentation 3D,
puis de modifier sa forme de façon mathématique jusqu’à ce qu’elle corresponde à
celle de l’autre appareil. Ce processus, appelé caractérisation d’un appareil, constitue
la méthode standard utilisée par le secteur de la colorimétrie. Une fois les données
calculées, la méthode de transformation est stockée sous la forme d’une table de
conversion 3D.
Une fois que vous avez effectué la caractérisation d’un appareil et calculé la table
de conversion nécessaire, vous avez fait la plus grosse partie du travail informatique.
La table de conversion peut alors être utilisée dans Color pour modifier l’image de
sortie sans que cela n’ait d’impact significatif sur les performances en temps réel.Chapitre 6 Contrôle 141
Cas d’utilisation d’une table de conversion
Les exemples suivants illustrent des cas où il est vivement conseillé d’utiliser des tables
de conversion :
 Si vous mettez en correspondance plusieurs écrans d’une même installation : les tables
de conversion peuvent être utiles pour calibrer plusieurs écrans de façon à ce qu’ils
répondent à un standard visuel commun, garantissant ainsi qu’un programme restera inchangé s’il est déplacé dans un autre studio.
 Si vous affichez une vidéo SD ou HD sur un moniteur de non-diffusion : vous pouvez
utiliser une table de conversion pour émuler l’espace colorimétrique Rec. 601 (SD)
or 709 (HD) et le réglage gamma adapté au standard vidéo affiché.
 Si vous affichez des images de vidéo ou de film à l’aide d’un vidéoprojecteur : vous pouvez utiliser une table de conversion pour calibrer votre appareil de façon à ce qu’il
corresponde, du mieux possible, à la gamme du standard de diffusion ou de film sur
lequel vous travaillez.
 Si vous étalonnez des images destinées à être imprimées sur pellicule : vous pouvez utiliser une table de conversion pour profiler les caractéristiques de l’appareil d’impression
et de la pellicule sur laquelle vous allez imprimer les données finales, afin d’obtenir une
image approximative du résultat projeté final pendant que vous travaillez.
Important : les tables de conversion ne remplacent pas un affichage haute qualité. En
particulier, elles n’améliorent en rien les noirs ternes, un intervalle de contrastes faibles
par nature ou une gamme trop étroite.
Cas où une table de conversion n’est pas utile
Si vous corrigez les couleurs d’une vidéo et contrôlez celle-ci à l’aide d’un écran de diffusion correctement calibré compatible avec le standard vidéo affiché, il n’est généralement pas nécessaire d’avoir recours à une table de conversion.
Génération de tables de conversion
Il existe plusieurs méthodes permettant de générer une table de conversion.
En créer une vous-même à l’aide d’un logiciel tiers
Il existe des applications tierces capables de « collaborer » avec les sondes du moniteur
pour analyser les caractéristiques d’écrans individuels, puis générer une table de conversion afin de parvenir à un rendu des couleurs le plus fidèle possible. Dans la mesure où les
réglages et les caractéristiques d’un moniteur varient au fil du temps, il est recommandé
d’effectuer un recalibrage régulier des écrans, toutes les semaines ou deux fois par mois.
Si vous créez une table de conversion pour ajouter un autre type d’écran doté de standards de diffusion (comme un projecteur numérique), vous devrez faire appel à des
logiciels supplémentaires pour modifier la table de conversion de calibrage afin qu’elle
corresponde aux caractéristiques requises par l’écran cible.142 Chapitre 6 Contrôle
Demander à quelqu’un d’en créer une pour vous
En amont de la chaîne numérique intermédiaire des flux de travaux de film, vous pouvez collaborer avec le laboratoire qui sera chargé de l’impression sur pellicule et avec
la société ayant conçu le logiciel de calibrage de votre moniteur pour créer des tables
de conversion personnalisées à partir des profils des appareils enregistreurs et pellicules utilisés spécifiquement pour votre projet.
Globalement, ce processus implique l’impression d’une image test sur pellicule au laboratoire, puis l’analyse de l’image obtenue en vue de générer une table de conversion cible
qui, associée à la table de conversion de calibrage de votre écran (créée à l’aide d’une
sonde de moniteur et d’un logiciel sur votre système), est utilisée pour générer une troisième table de conversion, celle employée par Color pour contrôler votre programme
pendant que vous travaillez.
Création de tables de conversion dans Color
Si nécessaire, vous pouvez faire correspondre deux moniteurs à l’œil nu à l’aide des
commandes du studio Primary In, puis générer une table de conversion pour émuler
le résultat directement en dehors de Color.
Vous pouvez également exporter une catégorie d’étalonnage sous forme d’une table
de conversion d’« aspect » pour voir de quelle façon une correction spécifique va affecter
une image enregistrée au format numérique alors qu’elle est filmée. Pour ce faire, l’équipe
doit utiliser un moniteur de proximité capable de charger des tables de conversion au
format .mga.
Pour créer votre propre table de conversion :
1 Disposez l’écran d’aperçu Color et le moniteur cible de façon à ce que les deux soient
visibles en même temps.
2 Chargez une image d’évaluation de bonne qualité (un graphique Macbeth, par exemple) dans la Timeline.
3 Affichez la même image sur l’écran cible à l’aide d’une deuxième source vidéo fiable.
4 Ouvrez le studio Primary In et ajustez les commandes de façon appropriée pour faire
correspondre les deux images.
5 Cliquez sur Export > Display LUT.
6 Quand la zone de dialogue Save LUT As s’affiche, saisissez un nom pour la table de
conversion dans le champ File, sélectionnez l’emplacement où enregistrer le fichier,
puis cliquez sur Save.
Par défaut, les tables de conversion sont enregistrées dans le répertoire /Utilisateurs/
nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/Color/LUTs.
Important : si votre projet utilise déjà une table de conversion lorsque vous en exportez
une nouvelle, la table actuellement chargée est concaténée à partir des ajustements apportés et la combinaison obtenue est exportée en tant que nouvelle table de conversion.Chapitre 6 Contrôle 143
Utilisation de tables de conversion
Toutes les tables de conversion utilisées et générées par Color sont des tables 3D. Color
utilise le format de table de conversion .mga (initialement développé par Pandora), qui
est compatible, entre autres, avec les logiciels Rising Sun Research et Kodak. Si nécessaire, il existe également des applications capables de convertir les tables de conversion
d’un format vers un autre.
Les tables de conversion n’ont aucune incidence sur les performances de traitement.
Pour utiliser une table de conversion :
1 Cliquez sur File > Import > Display LUT.
2 Sélectionnez un fichier de table de conversion dans la zone de dialogue Load LUT,
puis cliquez sur Load.
Remarque : par défaut, les tables de conversion sont enregistrées dans le répertoire
/Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/Color/LUTs.
La table de conversion prend immédiatement effet, elle modifie l’image telle qu’elle
apparaît sur les écrans d’aperçu et de diffusion. Une table de conversion chargée est
enregistrée dans les réglages du projet jusqu’à ce que vous la supprimiez spécifiquement de ce projet.
Pour ne plus utiliser une table de conversion :
m Cliquez sur File > Clear Display LUT.
Pour partager une table de conversion avec d’autres utilisateurs de Color, vous devez
leur fournir une copie du fichier de table de conversion. Pour plus de commodité, il est
préférable de placer tous les fichiers de table de conversion dans le répertoire /Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/Color/LUTs.
Contrôle du magasin d’images fixes (Still Store)
Le Still Store vous permet d’enregistrer et de rappeler des images de différentes parties d’un projet, afin de les utiliser pour comparer des plans sur lesquels vous travaillez.
En fait, le Still Store est une mémoire tampon d’images grâce à laquelle vous pouvez
basculer entre l’image Still Store chargée et l’image actuelle au niveau de la tête de lecture. Vous pouvez soit afficher l’image entière, soit opter pour un écran divisé personnalisable par le biais duquel vous pouvez voir les deux images à la fois.
Lorsque vous activez le Still Store, l’image en plein écran ou en écran divisé est envoyée
à l’écran d’aperçu et à l’écran de diffusion. Pour revenir à un affichage contenant uniquement l’image située au niveau de la tête de lecture, vous devez désactiver le Still Store.
Les images Still Store activées sont analysées par les vidéoscopes et affectées par les
tables de conversion. Pour en savoir plus sur l’utilisation du Still Store, reportez-vous
au chapitre 16, « Magasin d’images fixes (Still Store) », à la page 355.7
145
7 Lecture, navigation et modification
du plan de montage
Le plan de montage fournit une interface qui permet de naviguer à l’intérieur du projet, de sélectionner les plans à
étalonner et de réaliser un montage limité.
Le plan de montage et le navigateur de plans (qui se trouve dans le studio Setup)
offrent tous deux la possibilité de visualiser les plans du projet. Toutefois, le navigateur
de plans permet de trier et d’organiser les plans de façon non linéaire, alors que le plan
de montage, lui, offre un affichage séquentiel correspondant à la chronologie des plans
de votre programme. Dans ce chapitre, vous apprendrez à vous servir du plan de montage pour lire les plans de votre programme et naviguer à l’intérieur de ce dernier et à
effectuer des montages simples.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 Principaux éléments de l’interface utilisateur du plan de montage (Timeline) (p. 146)
 Personnalisation de l’interface du plan de montage (p. 148)
 Utilisation des pistes (p. 149)
 Sélection du plan actuel (p. 151)
 Lecture dans le plan de montage (p. 151)
 Navigation à l’intérieur du plan de montage (p. 154)
 Sélection de plans dans le plan de montage (p. 156)
 Utilisation des jeux d’étalonnage dans le plan de montage (p. 157)
 Onglets de réglages (p. 158)
 Contrôles et procédures de montage (p. 160)146 Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage
Principaux éléments de l’interface utilisateur du plan
de montage (Timeline)
Le plan de montage (ou « Timeline ») se divise en un certain nombre de pistes qui contiennent les plans, les jeux d’étalonnage et les images clés utilisés par votre programme.
 Barre de rendu : les barres de rendu ci-dessus indiquent si un plan a été rendu
(en vert) ou non (en rouge).
 Règle du plan de montage : elle fournit une échelle de temps pour le plan de montage (timeline). Si vous faites glisser le curseur à l’intérieur de la règle du plan de
montage, vous déplacez la tête de lecture et faites défiler le programme.
 Tête de lecture : elle indique la position de l’image actuellement affichée dans le plan
de montage. La position de la tête de lecture détermine également le plan sur lequel
le travail est actuellement effectué.
 Pistes vidéo et plans : chaque plan du programme est représenté à l’intérieur de l’une
des pistes vidéo qui se trouvent juste en dessous de la règle du plan de montage. Color
vous autorise à créer cinq pistes vidéo au maximum lorsque vous assemblez un projet
de nouvelle création. Toutefois, si vous travaillez sur un projet importé, toutes les pistes
vidéo superposées de ce dernier apparaîtront, quel que soit leur nombre.
Remarque : à l’heure actuelle, Color ne prend pas en charge les opérations de compositing. Lors de la lecture, les plans superposés sont prioritaires pour l’affichage par
rapport aux plans situés dans les pistes inférieures.
 Poignées de redimensionnement des pistes : il est possible de réduire ou d’augmenter
la taille des pistes en faisant glisser leurs poignées de redimensionnement vers le
haut ou vers le bas.
 Icône de verrouillage : l’icône de verrouillage indique si une piste a été verrouillée ou non.
 Piste des jeux d’étalonnage : il est possible d’appliquer jusqu’à quatre jeux d’étalonnage (grades) primaires à chaque plan. Color vous autorise à passer de l’une à l’autre.
Elles permettent d’obtenir un rapide aperçu des différents aspects que peut avoir un
même plan en fonction des jeux d’étalonnage appliqués, sans pour autant perdre le
résultat du travail effectué jusqu’alors. Les jeux d’étalonnage sont numérotés de 1 à 4.Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage 147
Chacun de ces quatre jeux d’étalonnage peut comprendre une ou plusieurs corrections Primary (primaires), Secondary (secondaires), Color FX (effets de couleur) et
Primary Out (primaires sur sortie). Par défaut, chacun d’entre eux apparaît avec une
seule barre d’étalonnage primaire, mais des barres de correction supplémentaires
s’affichent plus bas si vous avez effectué des ajustements dans l’un des autres studios qui correspondent au jeu d’étalonnage en question. Chaque barre est d’une
couleur différente.
 Barre P(rimary) : elle indique si une correction primaire a été appliquée.
 Barre S(econdary) : elle indique si une ou plusieurs corrections secondaires ont
été appliquées.
 Barre CFX (Color FX) : elle indique si une correction d’effet de couleur a été appliquée.
 Barre PO (Primary Out) : elle indique si une correction primaire a été appliquée sur
la sortie.
 Zone de suivi de l’animation : si vous ajoutez un marqueur de suivi de l’animation
à un plan et en faites le traitement, les points d’entrée et de sortie du marqueur de
suivi apparaissent dans cette zone, avec une barre verte figurant quelle proportion
du marqueur de suivi sélectionné a déjà été traitée. Si aucun suivi d’animation n’est
sélectionné sous l’onglet Tracking du studio Geometry, rien ne s’affiche dans cette
zone. Pour en savoir plus, consultez la section « Onglet Tracking » à la page 345.
 Graphique d’image clé : cette piste contient à la fois les images clés et les courbes qui
interpolent le changement de la valeur d’une image clé à une autre. Pour en savoir
plus sur la conversion des corrections et des effets en images clés, reportez-vous au
chapitre 14, « Images clés », à la page 323.148 Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage
Personnalisation de l’interface du plan de montage
Il existe plusieurs façons de personnaliser l’interface visuelle du plan de montage.
Pour changer les unités de la réglette de la Timeline, effectuez l’une des opérations
suivantes :
m Cliquez sur l’onglet du studio Setup, puis sur l’onglet User Prefs. Ensuite, cliquez sur
le bouton Frames (images), Seconds (secondes), Minutes ou Hours (heures) correspondant aux unités que vous souhaitez utiliser.
m Appuyez sur l’une des touches suivantes :
 Appuyez sur F pour modifier l’affichage de sorte qu’il indique les images.
 Appuyez sur S pour modifier l’affichage de sorte qu’il indique les secondes.
 Appuyez sur M pour modifier l’affichage de sorte qu’il indique les minutes.
 Appuyez sur H pour modifier l’affichage de sorte qu’il indique les heures.
Par ailleurs, l’onglet User Prefs du studio Setup contient d’autres options qui permettent de changer le mode d’affichage des plans dans le plan de montage.
Pour personnaliser le mode d’affichage des plans dans le plan de montage :
1 Cliquez sur l’onglet du studio Setup, puis sur l’onglet User Prefs.
2 Activez ou désactivez les options suivantes :
 Show Shot’s Name : si vous activez cette option, le nom de chaque plan s’affiche dans
le plan de montage.
 Show Shot’s Number : si vous activez cette option, le numéro de chaque plan s’affiche
dans le plan de montage.
 Show Shot’s Beauty Frame : si vous activez cette option, des vignettes à image unique
apparaissent à l’intérieur de chacun des plans qui se trouvent dans le plan de montage.
Vous pouvez aussi redimensionner les pistes du plan de montage, c’est-à-dire les agrandir ou les réduire, selon vos préférences. Il est possible de redimensionner les pistes vidéo,
la piste des jeux d’étalonnage et le graphique des images clés de façon individuelle.Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage 149
Pour redimensionner toutes les pistes vidéo, la piste des jeux d’étalonnage ou
le graphique des images clés :
m Faites glisser la poignée centrale de la barre de couleur grise située au bas de n’importe
laquelle des pistes du plan de montage jusqu’à ce que la hauteur de toutes les pistes
soient celle que vous souhaitez.
Pour redimensionner une piste particulière :
m Appuyez sur la touche Maj et maintenez-la enfoncée, puis faites glisser la poignée centrale de la barre de couleur grise située au bas de la piste que vous voulez redimensionner jusqu’à ce que cette dernière ait la hauteur souhaitée.
Remarque : la prochaine fois que vous redimensionnerez toutes les pistes vidéo en
même temps, la taille des pistes redimensionnées individuellement sera modifiée
afin de correspondre à celle qui viendra d’être ajustée.
Utilisation des pistes
Cette section décrit les différentes façons de changer l’état des pistes dans le plan
de montage lorsque vous travaillez.
Pour verrouiller ou déverrouiller une piste :
m Cliquez n’importe où à l’intérieur d’une piste tout en maintenant la touche Contrôle
enfoncée ou cliquez n’importe où à l’intérieur d’une piste avec le bouton droit de la
souris, puis choisissez l’une des options suivantes :
 Lock Track : cette option verrouille tous les plans pour empêcher leur déplacement
ou leur modification.
 Unlock Track : cette option autorise le déplacement et le montage des plans.
Remarque : les pistes des projets XML importés sont automatiquement verrouillées.
Si l’on souhaite obtenir des résultats optimaux lors d’une conversion en boucle, il est
préférable de ne pas déverrouiller ces pistes.
m150 Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage
Pour afficher ou masquer les pistes :
m Cliquez n’importe où à l’intérieur d’une piste tout en maintenant la touche Contrôle
enfoncée ou cliquez n’importe où à l’intérieur d’une piste avec le bouton droit de la
souris, puis choisissez l’une des options suivantes :
 Hide Track : cette option désactive la piste en question de sorte que les plans superposés ne se voient pas et ne puissent pas être sélectionnés lors du passage de la tête
de lecture.
 Show Track : cette option rétablit la visibilité de la piste. Les plans superposés sont
affichés en priorité par rapport aux plans situés dans les pistes inférieures et sont
sélectionnés par défaut chaque fois que la piste est visible.
Remarque : le réglage Reverse Track Ordering de l’onglet Prjct Settings du studio Setup
détermine si les pistes et les plans superposés apparaissent au premier plan ou se situent
à des niveaux inférieurs. Si vous activez l’option Reverse Track Ordering, le mode d’affichage des pistes vidéo superposées est le même que celui utilisé par Final Cut Pro.
? Conseil : avant d’exporter un projet depuis Final Cut Pro, vous pouvez exporter une
séquence QuickTime autonome correspondant à l’ensemble du programme et la
superposer aux autres plans de votre séquence montée. Ensuite, une fois le projet
exporté dans Color, vous pouvez activer ou désactiver cette version « de référence »
du programme à l’aide de la visibilité des pistes chaque fois que vous souhaitez examiner les effets ou les corrections de couleurs qui ont été créés lors du montage off line.
Pour ajouter une piste :
m Cliquez n’importe où à l’intérieur d’une piste tout en maintenant la touche Contrôle
enfoncée ou cliquez n’importe où à l’intérieur d’une piste avec le bouton droit de la
souris, puis choisissez New Track dans le menu contextuel.
Pour supprimer une piste :
m Cliquez n’importe où à l’intérieur d’une piste tout en maintenant la touche Contrôle
enfoncée ou cliquez n’importe où à l’intérieur d’une piste avec le bouton droit de la
souris, puis choisissez Remove Track dans le menu contextuel.
Remarque : il n’est pas possible de supprimer la piste du bas.Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage 151
Sélection du plan actuel
Le plan sur lequel se trouve la tête de lecture devient le plan actuel. Le plan actuel est
celui qui est ajusté chaque fois que vous manipulez l’un des contrôles qui se trouvent
dans les studios Primary In, Secondary, Color FX, Primary Out ou Geometry. Il ne peut y
avoir qu’un seul plan actuel à la fois. Le plan actuel est le seul plan mis en surbrillance
en gris clair.
Lors du déplacement de la tête de lecture le long du plan de montage, les contrôles et
les paramètres de tous les studios sont automatiquement mis à jour pour refléter le jeu
d’étalonnage utilisé pour le plan actuel déterminé par la position de la tête de lecture.
Pour qu’un plan particulier du plan de montage devienne le plan actuel, effectuez
l’une des opérations suivantes :
m Double-cliquez sur ce plan dans le plan de montage.
m Déplacez la tête de lecture jusqu’à ce plan.
Remarque : lorsque vous double-cliquez sur un plan, le plan de montage se déplace
de sorte que le plan sélectionné se trouve en son centre et devienne le plan actuel.
Lecture dans le plan de montage
En général, la lecture dans Color sert à obtenir un aperçu des répercussions des diverses corrections sur l’apparence du plan lorsque celui-ci est animé ou à connaître l’effet
de plusieurs jeux d’étalonnage appliqués à un groupe de plans lorsque ceux-ci sont lus
en séquence. C’est la raison pour laquelle le fonctionnement de la lecture dans Color
diffère quelque peu de celui d’autres applications telles que Final Cut Pro.
Dans Color, la lecture se limite toujours à la zone du plan de montage située entre le point
d’entrée et le point de sortie. Si la tête de lecture se trouve dans cette zone, la lecture commence à partir du plan sur lequel la tête de lecture est située et se termine au point de sortie. Si la tête de lecture se trouve hors de cette zone, elle vient automatiquement se placer
sur le point d’entrée lorsque vous commencez la lecture. Ceci permet d’accélérer le processus de lecture en boucle de scènes ou de plans particuliers du plan de montage, qui
se répète souvent lors de la correction de couleurs.152 Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage
Démarrage et arrêt de la lecture
Les contrôles ci-dessous permettent de commencer et d’interrompre la lecture
du programme.
Pour lire le programme, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Cliquez sur le bouton Play Forward (lecture avant) ou sur le bouton Play Backward
(lecture arrière).
m Appuyez sur la barre d’espace.
m Appuyez sur la touche J pour lire le programme en arrière ou sur la touche L pour
le lire vers l’avant.
Important : à partir du moment où la lecture a commencé, vous vous trouvez dans
un mode dans lequel il n’est pas possible de travailler avec les contrôles de Color,
et ce jusqu’à l’arrêt de la lecture.
Pour interrompre la lecture du programme, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Appuyez sur la barre d’espace lors de la lecture du programme.
m Appuyez sur la touche Échap.
m Appuyez sur la touche K.
Choix du mode de lecture
Le mode de lecture permet de choisir entre deux possibilités : soit les points d’entrée
et de sortie changent automatiquement de façon à correspondre à la durée du plan
actuel chaque fois que vous déplacez la tête de lecture, soit leur écart reste fixe et
représente une plus grande partie de votre programme.
Mode Shot
Le mode Shot (plan) est le mode de lecture par défaut. Chaque fois que la tête de lecture se déplace sur un nouveau plan, les points d’entrée et de sortie qui apparaissent
dans le plan de montage changent automatiquement de façon à correspondre aux
points d’entrée et de sortie définis dans le projet pour le plan sélectionné. Par consé-
quent, la lecture se limite uniquement à ce plan. Si l’option Loop Playback est activée,
la tête de lecture se déplacera en boucle sur le plan actuel tant que la lecture ne sera
pas interrompue.
Color et JKL
Color comprend une implémentation partielle des contrôles de lecture JKL qui sont si
utiles dans certaines autres applications de montage. Toutefois, les avantages les plus
significatifs de JKL, tels que le ralenti et la lecture image-par-image, ne sont pas pris
en charge.Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage 153
Remarque : vous avez toujours la possibilité de cliquer sur d’autres plans dans le plan
de montage pour les sélectionnez, mais les points d’entrée et de sortie ne changent
pas tant que vous ne déplacez pas la tête de lecture jusqu’à un autre plan.
Mode Movie
Lorsque vous entrez pour la première fois dans le mode Movie (film), le point d’entrée qui
apparaît dans le plan de montage correspond à la première image du premier plan du
plan de montage, et le point de sortie à la dernière image du dernier plan. Ceci vous permet de lire autant de plans que vous le souhaitez et donc de visionner des scènes entiè-
res de votre projet. Lorsque vous êtes dans le mode Movie, vous pouvez aussi définir vos
propres points d’entrée et de sortie de sorte qu’ils soient placés où bon vous semble et
qu’ils ne soient pas actualisés lorsque vous déplacez la tête de lecture sur un autre plan.
Placement de vos propres points d’entrée et de sortie
Quel que soit le mode de lecture que vous ayez choisi, vous avez toujours la possibilité
de définir manuellement de nouveaux points d’entrée et de sortie où que vous le souhaitiez. Si vous définissez vos propres points d’entrée et de sortie, le mode de lecture
passe automatiquement au mode Movie.
Pour basculer d’un mode de lecture à l’autre, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Choisissez Timeline > Toggle Playback Mode.
m Appuyez sur Maj + Contrôle + M.
Pour personnaliser la durée de la lecture :
1 Déplacez la tête de lecture jusqu’au point d’entrée souhaité, puis appuyez sur la touche I.
2 Déplacez la tête de lecture jusqu’au point de sortie souhaité, puis appuyez sur la touche O.
Lecture en boucle
Si l’option Loop Playback (lecture en boucle) est activée, la tête de lecture revient automatiquement au point d’entrée chaque fois qu’elle atteint le point de sortie lors de la lecture.
Pour activer la lecture en boucle :
1 Cliquez sur l’onglet du studio Setup, puis sur l’onglet User Prefs.
2 Cliquez sur le bouton Loop Playback pour activer la lecture en boucle.154 Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage
Respect de la fréquence d’images
Le réglage Maintain Framerate qui se trouve dans l’onglet User Prefs du studio Setup
permet de spécifier si une perte d’images doit ou non avoir lieu afin de maintenir la
fréquence d’images du projet pendant la lecture.
 Si le réglage Maintain Framerate est activé (par défaut), la fréquence d’images du plan
actuel est respectée quel que soit la charge de travail supportée par le processeur. Si le
jeu d’étalonnage choisi pour le plan en cours de lecture requiert une grande quantité
de ressources processeur, certaines images seront ignorées pendant la lecture afin de
maintenir la fréquence d’images du projet. Sinon, la lecture se déroule en temps réel.
 Si Maintain Framerate est désactivé, toutes les images sont lues dans tous les cas. Si
le jeu d’étalonnage en cours de lecture requiert une grande quantité de ressources
processeur, la lecture sera ralentie pour éviter la perte d’images. Sinon, il est possible
que la lecture soit plus rapide que la normale.
Navigation à l’intérieur du plan de montage
Les contrôles indiqués ci-dessous permettent de naviguer à l’intérieur du programme
qui se trouve dans le plan de montage, en le faisant défiler, en effectuant des zooms
avant et des zooms arrière et en déplaçant la tête de lecture d’un plan à un autre.
Pour effectuer un zoom avant ou un zoom arrière sur un plan se trouvant dans le
plan de montage :
1 Déplacez la tête de lecture jusqu’à l’endroit du plan de montage que vous souhaitez
agrandir.
2 Placez le curseur à l’intérieur du plan de montage, puis effectuez l’une des opérations
suivantes :
 Pour effectuer un zoom avant, choisissez Timeline > Zoom In ou appuyez simultané-
ment sur la touche Commande et sur la touche – (moins).
 Pour effectuer un zoom arrière, choisissez Timeline > Zoom Out ou appuyez simultanément sur la touche Commande et sur la touche = (égal).
Remarque : vous pouvez aussi vous servir des touches + et – du pavé numérique pour
faire un zoom sur le plan de montage.
L’ampleur maximale du zoom avant dépend de l’unité définie pour l’affichage de la règle
du plan de montage. Inversement, plus l’unité définie pour l’affichage dans le plan de
montage est grande, plus les possibilités de zoom arrière sont importantes. Par exemple,
vous pouvez obtenir davantage de recul avec le zoom arrière, afin de voir un plus grand
nombre de plans en même temps dans le plan de montage, lorsque la règle du plan de
montage est définie à Minutes que lorsqu’elle est définie à Frames.Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage 155
Lorsque le nombre de pistes qui peuvent être affichées est supérieur au nombre de pistes qu’il est possible de visualiser en même temps dans le plan de montage, des petites flèches blanches apparaissent en haut, en bas, ou en haut et en bas pour montrer
qu’il y a d’autres pistes dans la direction indiquée qui n’apparaissent pas pour l’instant.
Dans ce cas, vous pouvez faire défiler le plan de montage verticalement à l’aide
du bouton central de la souris.
Pour faire défiler le plan de montage horizontalement ou verticalement sans déplacer la tête de lecture :
m Cliquez sur le plan de montage avec le bouton central de la souris, puis faites glisser
vers la gauche, vers la droite, vers le haut ou vers le bas.
m Pour un défilement plus rapide, appuyez sur la touche Option et maintenez-la enfoncée,
puis cliquez sur le plan de montage avec le bouton central de la souris et faites glisser.
Pour déplacer la tête de lecture d’un plan à un autre, effectuez l’une des opérations
suivantes :
m Faites-la glisser à l’intérieur de la règle du plan de montage pour faire défiler les plans.
m Appuyez sur la touche Flèche vers le haut pour déplacer la tête de lecture jusqu’à la première image du plan suivant situé à sa gauche.
m Appuyez sur la touche Flèche vers le bas pour déplacer la tête de lecture jusqu’à la première image du plan suivant situé à sa droite.
m Cliquez sur le bouton Next Shot (plan suivant) ou sur le bouton Previous Shot (plan
précédent).
Il est également possible de déplacer la tête de lecture d’une seule image à la fois.
Pour déplacer la tête de lecture d’une image à l’image suivante, effectuez l’une des
opérations suivantes :
m Appuyez sur la touche Flèche gauche pour aller à l’image précédente.
m Appuyez sur la touche Flèche droite pour passer à l’image suivante.
Pour aller à la première image du projet :
m Appuyez sur la touche Début.
Pour aller à la dernière image du projet :
m Appuyez sur la touche Fin.156 Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage
Sélection de plans dans le plan de montage
Il existe certaines opérations, telles que la copie des corrections Primary, qui peuvent
être effectuées sur des groupes sélectionnés de plans. Color a recours à des méthodes
standard pour sélectionner un ou plusieurs plans dans le plan de montage.
Remarque : vous pouvez également sélectionner des plans à l’aide du navigateur de
plans. Pour en savoir plus, consultez la section « Le navigateur de plans » à la page 109.
Pour sélectionner un plan dans le plan de montage :
m Cliquez sur le plan souhaité.
Les plans sélectionnés apparaissent dans le plan de montage avec une mise en surbrillance
de couleur cyan.
Pour sélectionner plusieurs plans successifs :
1 Cliquez sur le premier plan de la plage de plans que vous souhaitez sélectionner.
2 Appuyez sur la touche Maj et maintenez-la enfoncée, puis cliquez sur un autre plan
choisi en tant que dernier plan de la plage à sélectionner.
Tous les plans qui se trouvent entre le premier et le second plans sélectionnés sont
eux aussi sélectionnés.
Pour sélectionner plusieurs plans qui ne se suivent pas dans le plan de montage :
m Appuyez sur la touche Contrôle et maintenez-la enfoncée, puis cliquez sur autant
de plans que vous le souhaitez dans le plan de montage.Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage 157
Pour désélectionner des plans dans le plan de montage :
m Sélectionnez un plan non sélectionné auparavant pour annuler la sélection actuelle.
m Cliquez sur une zone vide du plan de montage.
Utilisation des jeux d’étalonnage dans le plan de montage
Il est possible d’appliquer à chacun des plans qui se trouvent dans le plan de montage
l’un des quatre jeux d’étalonnage qui apparaissent dans la piste des jeux d’étalonnage.
Ces quatre jeux d’étalonnage vous permettent de stocker différents aspects pour un
même plan. Par exemple, si vous avez créé un jeu d’étalonnage satisfaisant, mais que
vous ou votre client souhaitez essayer « autre chose », vous pouvez faire des essais pour
obtenir jusqu’à trois autres aspects différents, tout en sachant que vous pouvez instantanément revenir à l’aspect initial si c’est finalement celui que vous préférez.
Un plan ne peut être modifié que par un seul jeu d’étalonnage à la fois. Le jeu d’étalonnage sélectionné dans le plan de montage est celui que vous verrez dans l’affichage
Preview (aperçu) ou dans l’affichage Broadcast (diffusion). Tous les jeux d’étalonnage
qui ne sont pas sélectionnés sont désactivés. Pour en savoir plus sur la création et la
gestion des jeux d’étalonnage, reportez-vous au chapitre 13, « Gestion des corrections
et des jeux d’étalonnage », à la page 299.
Par défaut, chaque plan d’un nouveau projet n’est muni au départ que d’un seul jeu
d’étalonnage vide, mais vous pouvez en ajouter un autre à tout moment.
Pour ajouter un nouveau jeu d’étalonnage à un plan, effectuez l’une des opérations
suivantes :
m Déplacez la tête de lecture jusqu’au plan auquel vous souhaitez ajouter un nouveau
jeu d’étalonnage, puis appuyez sur Contrôle + 1 à 4.
m Cliquez tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée ou cliquez avec le bouton
droit de la souris sur le jeu d’étalonnage auquel vous souhaitez passer, puis choisissez
Add New Grade dans le menu contextuel.158 Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage
S’il n’existe pas déjà un jeu d’étalonnage portant le même numéro que celui que vous
avez saisi, un nouveau jeu est créée. Chaque fois qu’un nouveau jeu d’étalonnage est
ajouté, la taille de la piste des jeux d’étalonnage augmente et le nouveau jeu est sélectionné. Les nouveaux jeux d’étalonnage sont dénués de tout réglage et permettent de
commencer à travailler à partir de l’état original du plan non étalonné.
Pour sélectionner le jeu d’étalonnage en vigueur :
1 Déplacez la tête de lecture jusqu’au plan dont vous souhaitez changer le jeu d’étalonnage.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Cliquez sur le jeu d’étalonnage auquel vous souhaitez passer.
 Appuyez sur Contrôle + 1 à 4.
 Cliquez tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée ou cliquez avec le bouton
droit de la souris sur le jeu d’étalonnage auquel vous souhaitez passer, puis choisissez Select Grade X dans le menu contextuel, X étant le numéro du jeu d’étalonnage
que vous sélectionnez.
Le plan qui est affiché dans le plan de montage est mis à jour avec le jeu d’étalonnage
qui vient d’être sélectionné.
Pour réinitialiser un jeu d’étalonnage du plan de montage :
1 Déplacez la tête de lecture jusqu’au plan dont vous souhaitez changer le jeu d’étalonnage.
2 Dans la piste des jeux d’étalonnage du plan de montage, cliquez tout en maintenant
la touche Contrôle enfoncée ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le jeu
d’étalonnage que vous souhaitez réinitialiser, puis choisissez Reset Grade X dans le
menu contextuel (X étant le numéro du jeu d’étalonnage).
Lorsque vous réinitialisez un jeu d’étalonnage, tous les studios qui lui sont associés
sont également réinitialisés, y compris les studios Primary In, Secondary, Color FX, et
Primary Out. Le studio Geometry, lui, reste inchangé.
Pour en savoir plus, consultez le chapitre 13, « Gestion des corrections et des jeux
d’étalonnage », à la page 299.
Onglets de réglages
Les onglets de réglages (Settings) indiquent les propriétés du plan sur lequel se trouve
actuellement la tête de lecture. Certaines de ces propriétés peuvent être modifiées,
d’autres non.Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage 159
Onglet Settings 1
Les relatives au chronométrage répertoriées dans cet onglet ne peuvent pas être modifiées. Elles dépendent en effet de la position de chaque plan dans le plan de montage
et des propriétés des données source auquel chaque plan est lié.
 Project In et Project Out : ces réglages définissent l’emplacement du plan dans le plan
de montage.
 Trim In et Trim Out : ces réglages définissent la partie des données source qui est effectivement utilisée dans le projet par rapport à la durée totale disponible du fichier de
données source qui se trouve sur le disque. Les timecodes Trim In et Trim Out ne peuvent pas être en dehors de la plage des paramètres Source In et Source Out.
 Source In et Source Out : ces réglages définissent le point de début et le point de fin
des données source originales qui se trouvent sur le disque. Si la valeur de Trim In
est égale à celle de Source In et que la valeur de Trim Out est égale à celle de Source
Out, il n’y a aucune poignée non utilisée disponible dans les données source du disque. Vous utilisez toutes les données disponibles.
 Menu local de Frame Rate : le menu local vous permet de définir la fréquence d’images de chaque plan. Ce réglage annule le réglage de fréquence d’images de l’onglet
Project Settings. Pour la plupart des projets qui utilisent des données source au format QuickTime, le réglage par défaut ne devrait pas être modifié. Dans le cas des
projets qui utilisent des séquences d’images DPX comme données source, le menu
local vous permet de modifier une fréquence d’images incorrecte dans les données
d’en-tête des fichiers DPX.
Onglet Settings 2
Ce deuxième onglet contient des réglages supplémentaires permettant de modifier
les données d’en-tête des fichiers image DPX.
 Override Header Settings : s’il est activé, ce réglage annule les réglages suivants relatifs à l’en-tête DPX du plan actuel.
 Log : ce réglage vous permet d’activer ou de désactiver la conversion des images
du mode logarithmique au mode linéaire que Color effectue automatiquement
pour les fichiers DPX et Cineon logarithmiques 10 bits.
 Printing Density : ce menu local ne peut être sélectionné que lorsque le projet en
cours est réglé pour utiliser les séquences d’images Cineon ou DPX. Il vous permet
de choisir explicitement la plage numérique des valeurs qui sont utilisées pour traiter la couleur de façon à assurer la compatibilité avec votre flux de données (« pipeline ») de postproduction. Ces options déterminent le réglage des points noir et
blanc dans les données dont le rendu est effectué par Color. Trois options sont
disponibles :
 Film (95 Black – 685 White : Logarithmic)
 Video (65 Black – 940 White : Linear)
 Linear (0 Black – 1023 White)160 Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage
Important : le point noir par défaut, pour les numérisations de films DPX, est en
général de 95, tandis que le point blanc par défaut dans le même cas est en général
de 685. Il est important de vérifier que les réglages de point noir et de point blanc ne
contiennent pas des valeurs aberrantes. Consultez le laboratoire pour vérifier que les
réglages sont appropriés.
 DeInterlace : si vous activez cette option à l’aide du bouton correspondant, vous avez
la possibilité de désentrelacer chaque plan séparément. Ce réglage annule les réglages Deinterlace Renders et Deinterlace Previews de l’onglet Project Settings. Lorsque
DeInterlace est activé, la moyenne des deux champs vidéo est utilisée pour leur union
en une seule image.
Contrôles et procédures de montage
Color n’a pas été conçu en tant qu’environnement de montage. C’est la raison pour
laquelle le jeu d’outils de montage mis à votre disposition n’est pas aussi complet que
celui d’une application telle que Final Cut Pro. D’ailleurs, dans la plupart des cas, il est
recommandé de veiller à n’apporter absolument aucune modification au montage de
votre projet dans Color, et ce pour plusieurs raisons :
 Le déverrouillage des pistes des projets qui ont été importés au format XML ou
envoyés depuis Final Cut Pro et qui doivent ultérieurement retourner à Final Cut Pro
risque de bouleverser les données du projet et d’empêcher un renvoi réussi de ce
dernier à Final Cut Pro.
 Si vous modifiez le montage d’un projet envoyé depuis Final Cut Pro, vous ne pourrez
renvoyer à Final Cut Pro qu’une version simplifiée de ce projet contenant uniquement les
plans et les transitions de la piste V1 et les réglages Pan and Scan du studio Geometry.
 Si vous importez une liste de montage et modifiez le montage, vous pouvez exporter depuis Color une autre liste de montage reflétant vos modifications. Toutefois,
celle-ci contiendra uniquement les plans et les transitions de la piste V1.
 Si le projet que vous importez est synchronisé avec un mixage audio, toutes les modifications que vous apportez au montage risquent de rompre la synchronisation audio.
Toutefois, si vous travaillez sur un projet pour lequel les questions ci-dessus n’ont
aucune importance, vous pouvez vous servir des commandes et des outils indiqués
ci-dessous pour monter des plans une fois les pistes correspondantes déverrouillées
dans le plan de montage.
? Conseil : si vous devez modifier le montage, vous avez toujours la possibilité de monter
à nouveau la séquence originale dans Final Cut Pro, d’exporter un nouveau fichier XML,
puis de vous servir de la commande Reconform pour mettre à jour le plan de montage
de Color de sorte qu’il tienne compte des modifications apportées.Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage 161
Outil Select
L’outil Select (sélection) est l’état par défaut du pointeur dans Color. Comme son nom
l’indique, cet outil permet de sélectionner des plans dans le plan de montage, de les
déplacer jusqu’à un autre endroit du montage ou de les supprimer.
Il est recommandé de sélectionner à nouveau l’outil de sélection immédiatement après
avoir fait une coupe avec tout autre outil pour être sûr de ne pas continuer à apporter
des modifications au plan de montage sans le vouloir.
Pour modifier la position d’un plan dans le plan de montage :
m Faites glisser le plan jusqu’à un autre endroit du plan de montage.
Lorsque vous déplacez un plan à l’intérieur du plan de montage, sa position finale
dépend de la relation entre son point d’entrée et les plans qui se trouvent déjà à la
position souhaitée. Dans Color, les plans déplacés n’écrasent jamais d’autres plans.
Au lieu de cela, ces derniers sont déplacés dans le plan de montage pour laisser suffisamment de place au plan à insérer, ce qui produit une mise à jour automatique de
tous les points de montage du programme.
 Si vous positionnez le point d’entrée du plan déplacé dans la première moitié d’un
autre plan, le plan que vous déplacez sera inséré au point d’entrée de cet autre plan,
ce qui aura pour effet de déplacer tous les autres plans qui se trouvent dans le plan
de montage vers la droite pour lui faire de la place.
 Si vous positionnez le point d’entrée du plan déplacé dans la seconde moitié d’un
autre plan, le plan que vous déplacez sera inséré après le point de sortie de cet autre
plan, ce qui aura pour effet de déplacer tous les autres plans qui se trouvent dans
le plan de montage vers la droite pour lui faire de la place.
 Si vous déplacez le plan jusqu’à un endroit du plan de montage de telle sorte qu’il
ne chevauche aucun autre plan, il se retrouve tout simplement à l’endroit souhaité
sans qu’aucun déplacement des autres plans ne se produise.
Pour supprimer un plan du plan de montage :
1 Sélectionnez un ou plusieurs plans dans le plan de montage.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Appuyez sur la touche Supprimer.
 Appuyez sur Forward Delete.
Le résultat est un montage par élimination qui laisse un vide dans le plan de montage à
l’endroit où se trouvait le plan. La suppression d’un plan n’entraîne aucun déplacement
des autres plans.162 Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage
Roll, outil
L’outil Roll permet d’ajuster en même temps le point de sortie et le point d’entrée
de deux plans consécutifs. Vous pouvez vous servir de l’outil Roll si vous êtes satisfait
de l’endroit où se trouvent deux plans dans le plan de montage, mais que vous souhaitez changer la position du point de montage correspondant à la coupe. L’utilisation de
l’outil Roll n’entraîne aucun déplacement des plans à l’intérieur du plan de montage ;
seul le point de montage entre les deux plans est déplacé. Il s’agit d’un montage des
deux côtés puisqu’il concerne simultanément les points de montage de deux plans
différents ; le point de sortie du premier plan et le point d’entrée du plan suivant sont
tous deux ajustés par le montage Roll. Toutefois, ce montage n’a aucune incidence
sur les autres plans de la séquence.
Remarque : lorsque vous effectuez un montage Roll, la durée globale de la séquence
reste la même, mais celle des deux plans change. L’un s’allonge alors que l’autre rétrécit
en compensation. Ceci signifie que vous n’avez pas à vous préoccuper d’un quelconque
risque de provoquer d’éventuels problèmes de synchronisation entre des éléments reliés
aux plans qui se trouvent dans d’autres pistes.
Dans l’exemple ci-dessus, le plan B est raccourci et le plan C devient plus long, mais
la durée d’ensemble des deux plans ne change pas.
Pour effectuer un montage Roll :
1 Effectuez l’une des opérations suivantes afin de sélectionner l’outil Roll :
 Choisissez Timeline > Roll Tool.
 Appuyez sur Contrôle + R.
2 Déplacez le pointeur jusqu’au point de montage situé entre deux plans que vous souhaitez unir par un montage Roll, puis faites-le glisser vers la gauche ou vers la droite.
Le plan de montage est mis à jour pour refléter le montage effectué.
A B C
A B C
Avant montage
Après montageChapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage 163
Ripple, outil
Un montage Ripple ajuste le point d’entrée ou le point de sortie d’un plan, en augmentant ou réduisant la durée de ce dernier, de sorte qu’il n’y ait pas de vide dans le plan de
montage. La modification de la durée du plan entraîne une mise à jour automatique des
points de montage de tout le reste du programme et provoque un déplacement de tous
les plans qui se trouvent à droite de celui que vous avez ajusté vers la droite ou vers la
gauche à l’intérieur du plan de montage.
Un montage Ripple est un montage sur un seul côté, c’est-à-dire que vous ne pouvez
l’utiliser que pour ajuster le point d’entrée ou le point de sortie d’un seul plan. Tous les
plans qui viennent après celui que vous avez ajusté sont déplacés, vers la gauche si vous
l’avez raccourci, vers la droite si vous l’avez allongé. Il s’agit d’une opération très importante qui peut éventuellement avoir une incidence sur le chronométrage de l’ensemble
de votre programme.
Important : les montages Ripple peuvent présenter des risques si vous essayez de
maintenir la synchronisation entre votre programme dans Color et le son original
de la séquence Final Cut Pro ou de la liste de montage source dont tout le mixage
est effectué dans une autre application. En effet, les plans de votre projet Color peuvent se déplacer vers le début ou vers la fin du programme alors que le son avec
lequel ils sont censés être synchronisés, lui, reste en place.
Pour faire un montage Ripple :
1 Effectuez l’une des opérations suivantes afin de sélectionner l’outil Ripple :
 Choisissez Timeline > Ripple Tool.
 Appuyez sur Contrôle + T.
2 Déplacez le pointeur jusqu’au point d’entrée ou jusqu’au point de sortie du plan que
vous souhaitez raccourcir ou allonger, puis faites-le glisser vers la gauche ou vers la droite.
Le plan de montage est mis à jour pour refléter le montage effectué et tous les plans qui
viennent après celui que vous avez ajusté se déplacent vers la gauche ou vers la droite
pour compenser le changement du chronométrage.
A B C
A B C
Avant montage
Après montage164 Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage
Coulissement, outil
Un montage par coulissement ne change ni la position ni la durée du plan dans le plan
de montage, mais il modifie la partie des données du plan qui apparaît dans le plan de
montage en vous permettant de déplacer simultanément ses points d’entrée et de sortie.
Ceci signifie que la partie du plan qui est lue dans le plan de montage n’est plus la
même, bien que la position du plan à l’intérieur du plan de montage ne change pas.
Un montage par coulissement n’a aucune incidence sur les autres plans qui se trouvent dans le plan de montage, et la durée globale du projet reste inchangée.
Dans l’exemple ci-dessus, le montage par coulissement change les points d’entrée
et de sortie du plan B, mais pas sa durée ni sa position dans la séquence. Lors de la
lecture de la séquence, la partie affichée des données du plan B sera différente.
Pour effectuer un montage par coulissement :
1 Déplacez la tête de lecture jusqu’au plan à ajuster pour pouvoir voir ce que vous faites
lors de la modification.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes afin de sélectionner l’outil Slip :
 Choisissez Timeline > Slip Tool.
 Appuyez sur Contrôle + Y.
3 Déplacez le pointeur jusqu’au plan que vous souhaitez faire coulisser, puis faites-le
glisser vers la gauche ou vers la droite.
Contrairement à Final Cut Pro, Color ne montre pas les images correspondant aux nouveaux points d’entrée et de sortie que vous choisissez avec cet outil. La seule image affichée est celle sur laquelle se trouve la tête de lecture, qui est mise à jour lorsque vous
faites glisser le plan dans un sens ou dans l’autre. C’est la raison pour laquelle il est utile
de déplacer la tête de lecture jusqu’au plan à ajuster avant de commencer un montage
par coulissement.
A B C
A B C
Avant montage
00:00:10:00 00:00:30:00
00:00:17:00 00:00:37:00
Après montageChapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage 165
Outil Split
L’outil Split (division) permet d’ajouter un point de montage à un plan en le coupant
en deux. Ce point de montage est ajouté au niveau de l’image sur laquelle vous cliquez dans le plan de montage. Cet outil peut s’avérer utile pour supprimer une section
d’un plan ou pour appliquer un effet à une partie précise d’un plan.
Pour diviser un plan en deux plans distincts :
1 Effectuez l’une des opérations suivantes afin de sélectionner l’outil Split :
 Choisissez Timeline > Split Tool.
 Appuyez sur Contrôle + X.
2 Déplacez le pointeur jusque sur la règle du plan de montage, puis, lorsque la ligne de
chevauchement de la division apparaît (il s’agit d’une ligne blanche verticale qui indique l’intersection des plans dans le plan de montage), faites-la glisser jusqu’à l’image
du plan sur laquelle vous souhaitez placer un point de montage.
3 Cliquez pour ajouter un point de montage.
Le plan de montage est mis à jour pour refléter le montage effectué et un nouveau
point de montage apparaît au niveau de l’image sur laquelle vous avez cliqué.
Outil Splice
Chaque fois que vous coupez un plan avec l’outil Split, le plan original est divisé en deux
plans séparés par un point de montage correspondant à une coupe. Les coupes ne se
voient pas dans le plan de montage de Color, mais tout point de montage qui divise une
plage d’images successives qui formeraient un tout en son absence est considéré comme
une coupe. L’outil Splice (raccord) permet de relier ces images pour rétablir l’unité du plan.
Le fait de relier deux plans que sépare une coupe a pour effet de les fusionner à nouveau
en un seul plan. Vous ne pouvez pas relier deux plans qui ne sont pas séparés par une
coupe. Si vous tentez de le faire, vous obtiendrez simplement un message d’avertissement.
Important : lorsque vous raccordez deux plans dont les jeux d’étalonnage et les corrections sont différents, les jeux d’étalonnage et les corrections du plan situé à gauche
annulent celles du plan de droite.
Pour raccorder deux plans de sorte qu’ils n’en forment plus qu’un :
1 Effectuez l’une des opérations suivantes afin de sélectionner l’outil Splice :
 Choisissez Timeline > Splice Tool.
 Appuyez sur Contrôle + Z.
2 Déplacez le pointeur jusque sur la règle du plan de montage, puis, lorsque la ligne de
chevauchement du raccord apparaît (il s’agit d’une ligne blanche verticale qui indique
l’intersection des plans dans le plan de montage), faites-la glisser jusqu’au point de
montage correspondant au raccord à effectuer.
3 Cliquez pour faire de ce point de montage un raccord.166 Chapitre 7 Lecture, navigation et modification du plan de montage
Le plan de montage est mis à jour pour refléter le montage effectué et les deux plans qui
étaient auparavant séparés par une coupe sont raccordés de façon à n’en faire plus qu’un.
Commande Create an Edit (Création d’un point de coupe)
La commande Create an Edit du menu Timeline (Contrôle + V) est semblable à l’outil
Split. Elle permet de couper en deux un plan du plan de montage à l’endroit où se
trouve la tête de lecture. Cette commande permet de ne pas avoir à choisir un outil.
Pour créer un point de montage :
1 Déplacez la tête de lecture jusqu’à l’image sur laquelle vous souhaitez ajouter un point
de montage.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Choisissez Timeline > Create an Edit.
 Appuyez sur Contrôle + V.
Le plan de montage est mis à jour pour refléter le montage effectué et un nouveau
point de montage apparaît à l’endroit où se trouve la tête de lecture.
Commande Merge Edits (Fusion d’un point de coupe)
La commande Merge Edits (Contrôle + B) est semblable à l’outil Splice. Elle permet
de relier deux plans séparés par une coupe, à l’endroit où se trouve la tête de lecture,
en un seul. Cette commande permet de ne pas avoir à choisir un outil.
Pour fusionner deux plans en un seul à un point de montage correspondant à une
coupe :
1 Déplacez la tête de lecture jusqu’à l’image qui correspond à la coupe que vous souhaitez fusionner.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Choisissez Timeline > Merge Edits.
 Appuyez sur Contrôle + B.
Le plan de montage est mis à jour pour refléter le montage effectué et les deux plans
qui étaient auparavant séparés par une coupe sont fusionnés de façon à n’en faire plus
qu’un.
Important : lorsque vous raccordez deux plans dont les jeux d’étalonnage et les corrections sont différents, les jeux d’étalonnage et les corrections du plan situé à gauche
annulent celles du plan de droite.
Magnétisme
Lorsque le magnétisme est activé les plans se calent sur la valeur temporelle
00:00:00:00 de la Timeline.
Pour activer ou désactiver le magnétisme :
m Choisissez Timeline > Snapping pour activer ou désactiver le magnétisme.8
167
8 Vidéoscopes
Outre un écran de diffusion bien calibré, les vidéoscopes
offrent un moyen rapide et précis d’évaluation et de comparaison quantitatives des images.
Color propose la plupart des écrans de vidéoscopes disponibles dans les autres suites
de vidéo en ligne et d’étalonnage plus quelques-uns qui sont propres à l’analyse des
images par logiciel. Ces vidéoscopes fournissent conjointement des mesures graphiques des niveaux de luminance, de chrominance et RVB de l’image contrôlée, vous permettant d’évaluer clairement les qualités différentiant un plan d’un autre. Vous pouvez
ainsi prendre des décisions en connaissance de cause lors de la légalisation ou de la
comparaison de plans dans Color.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 Quels sont les vidéoscopes disponibles ? (p. 168)
 Options des vidéoscopes (p. 171)
 Analyse d’images par le biais de vidéoscopes (p. 173)168 Chapitre 8 Vidéoscopes
Quels sont les vidéoscopes disponibles ?
Les vidéoscopes suivants figurent dans la fenêtre Scopes :
 Waveform Monitor avec les options suivantes :
 Vue RGB Parade
 Overlay de canaux rouge, vert et bleu
 CanalRed, Green ou Blue en isolement
 Luma uniquement
 Chroma uniquement
 Y´CB
CR
présenté en vue parade
 Vectorscope
 Histogram avec les options suivantes :
 RGB présenté simultanément
 CanalRed, Green ou Blue en isolement
 Luma uniquement
 Analyse de couleur 3D avec les options d’espace colorimétrique suivantes :
 RGB
 HSL
 Y´CB
CR
 IPT
L’emplacement des vidéoscopes dépend du mode d’affichage de Color (simple ou
double) :Chapitre 8 Vidéoscopes 169
 En mode d’affichage simple : deux vidéoscopes sont affichés sous l’aperçu vidéo dans
la fenêtre Scopes, qui est positionnée sur la gauche de la fenêtre d’interface Color.170 Chapitre 8 Vidéoscopes
 En mode d’affichage double : jusqu’à trois vidéoscopes sont affichés dans la fenêtre
Scopes, outre l’aperçu vidéo.
Précision des vidéoscopes
Pour créer une analyse en temps réel du signal vidéo (même durant l’ajustement et la
lecture), Color effectue un sous-échantillonnage de l’image en cours à une résolution
de 384 x 192. L’image sous-échantillonnée est alors analysée et les données résultantes sont affichées par les vidéoscopes sélectionnés. La même résolution sous-échantillonnée est utilisée quelle que soit la résolution d’origine des données source.
Dans le cadre de cette méthode, chaque pixel contribue à l’analyse finale de l’image.
Dans les tests, les graphiques générés par les vidéoscopes Color sont très proches de
ceux générés par les vidéoscopes dédiés et sont extrêmement utiles dans l’évaluation et la mise en correspondance des plans lorsque vous utilisez Color. Cependant,
notez bien que l’analyse de Color reste une approximation des données totales. Les
vidéoscopes dédiés restent utiles pour une évaluation critique.
Remarque : si vous souhaitez intercepter des pixels perdus en dehors de la gamme lors
de la réalisation d’ajustements pour le QC, vous pouvez activer les réglages Broadcast
Safe pour vous protéger des violations QC. Pour en savoir plus, consultez la section
« Réglages de seuils de diffusion (Broadcast Safe) » à la page 119.Chapitre 8 Vidéoscopes 171
Options des vidéoscopes
Vous pouvez modifier l’affichage et le comportement des vidéoscopes des façons suivantes.
Pour activer la mise à jour des vidéoscopes en temps réel :
1 Ouvrez l’onglet User Preferences dans le studio Setup.
2 Sélectionnez Update UI During Playback.
3 Pour que les vidéoscopes se mettent à jour au cours de la lecture, sélectionnez Update
Secondary Display.
? Conseil : vous pouvez désactiver Update Primary Display pour améliorer les performances de lecture.
Certains vidéoscopes disposent de plusieurs modes.
Pour faire passer un vidéoscope dans un mode différent :
m Cliquez sur le bouton correspondant au mode voulu en haut du vidéoscope.
Tout quadrant contenant un vidéoscope peut aussi en utiliser de différents types.
Pour modifier le type de vidéoscope affiché dans une région particulière de la fenê-
tre Scopes :
m Cliquez tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée sur un vidéoscope ou cliquez
dessus avec le bouton droit de la souris et choisissez-en un autre dans le menu contextuel.
Il est possible d’effectuer un zoom dans tous les vidéoscopes pour mieux voir le graphique.172 Chapitre 8 Vidéoscopes
Pour effectuer un zoom sur l’écran d’un vidéoscope, procédez de l’une des manières
suivantes :
m Faites rouler la molette de défilement ou la boule de défilement de votre souris vers
le bas pour effectuer un zoom avant sur un écran d’un vidéoscope et vers le haut pour
effectuer un zoom arrière.
m Cliquez sur l’un des boutons de pourcentage en haut à gauche du Vectorscope pour
mettre à l’échelle l’écran du vidéoscope.
Il est également possible d’effectuer une rotation dans l’espace des vidéoscopes 3D
afin que vous puissiez consulter l’analyse sous différents angles.
Pour repositionner un vidéoscope 3D, procédez de l’une des manières suivantes :
m Faites glisser le modèle de vidéoscope horizontalement ou verticalement afin qu’il
effectue une rotation dans cette direction.
m Maintenez le bouton du milieu enfoncé et faites glisser pour repositionner le modèle
de vidéoscope dans cette direction.
Pour réinitialiser l’échelle et l’orientation d’un vidéoscope :
m Cliquez tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée sur un vidéoscope ou cliquez
dessus avec le bouton droit de la souris et choisissez Reset dans le menu contextuel.
Certains vidéoscopes peuvent être affichés en couleurs.
Pour activer ou désactiver l’affichage en couleurs d’un vidéoscope :
1 Ouvrez l’onglet User Preferences dans le studio Setup.
2 Cliquez sur Monochrome Scopes pour désactiver ou activer les couleurs.
Les couleurs du vidéoscope sont affectées par les paramètres personnalisables suivants :
 Lorsque Monochrome Scopes est désactivé, le paramètre UI Saturation détermine
le degré d’intensité des couleurs du vidéoscope.
 Lorsque Monochrome Scopes est activé, le contrôle Scope Color directement en
dessous contrôle la couleur des graticules du vidéoscope.Chapitre 8 Vidéoscopes 173
Analyse d’images par le biais de vidéoscopes
La section suivante décrit l’utilisation de chaque vidéoscope fournit par Color.
Waveform
Le vidéoscope Waveform est en fait une famille de vidéoscopes fournissant différentes
analyses de la luminance et de la chrominance via des formes d’onde.
Description d’une forme d’onde
Pour créer une forme d’onde, Color analyse les lignes d’une image de gauche à droite,
les valeurs résultantes sont tracées verticalement sur la graticule de la forme d’onde
relative à l’échelle utilisée (par exemple, –20 à 110 IRE sur le graphique de luminance).
Dans l’image suivante, une ligne de l’image est analysée et tracée de cette façon.
Pour générer l’analyse globale de l’image, les graphiques de chaque ligne de celle-ci
sont superposés.174 Chapitre 8 Vidéoscopes
Les valeurs de la forme d’onde étant tracées dans la même position horizontale que
la partie de l’image analysée, la forme d’onde la reflète, dans une certaine mesure. Cela
peut être constaté lorsqu’un sujet bouge de gauche à droite dans une image, alors que
la forme d’onde est lue en temps réel.
Dans tous les vidéoscopes de type oscilloscope, les niveaux de luminance ou de chrominance élevés sont représentés comme des crêtes sur la forme d’onde et les niveaux
faibles comme des chutes. Il est ainsi facile de lire les niveaux mesurés de hautes lumiè-
res ou d’ombres de l’image.
Parade
Le vidéoscope Parade affiche des formes d’onde distinctes pour les composants rouge,
vert et bleu de l’image côte à côte. Si Monochrome Scopes est désactivé, les formes
d’onde sont de couleur rouge, verte et bleue afin qu’elles soient facilement identifiables.
Remarque : pour mieux illustrer le rôle du vidéoscope Parade, les exemples de cette
section sont fournis avec filtre Broadcast Safe désactivé, de sorte que les valeurs
d’image supérieures à 100 pour cent et inférieures à 0 pour cent ne soient pas écrêtées.Chapitre 8 Vidéoscopes 175
Le vidéoscope Parade facilite la distinction des dominantes de couleurs dans les hautes
lumières et les ombres d’une image, en comparant les contours de la partie supérieure
et inférieure de chaque forme d’onde. Les blancs, les gris et les noirs étant caractérisés
par des niveaux exactement égaux de rouge, de vert et de bleu, les zones neutres de
l’image doivent afficher trois formes d’onde d’une hauteur à peu près égale dans le
vidéoscope Parade. Si ce n’est pas le cas, il est aisé d’effectuer une correction en apportant des ajustements pour mettre à niveau les trois formes d’onde.
Avant l’étalonnage
Après étalonnage176 Chapitre 8 Vidéoscopes
Parade est aussi très utile pour comparer les niveaux relatifs de rouges, de verts et de
bleus de deux plans. Si un plan comporte plus de rouge qu’un autre, la différence se
traduit par une forme d’onde rouge plus élevée pour l’un et une forme d’onde rouge
abaissée pour l’autre, par rapport aux autres canaux. Dans la première illustration,
l’image globale comporte une quantité nettement plus importante de rouge. En comparaison, le second plan comporte beaucoup moins de bleu et des niveaux bien plus
élevés de vert, ce qui se voit immédiatement dans Parade. Si vous avez besoin d’uniformiser les couleurs de ces plans, vous pouvez vous baser sur ces mesurer pour calculer
les corrections.
Parade permet aussi d’identifier des canaux de couleurs dépassant la limite de chrominance pour la légalité de diffusion, si les paramètres Broadcast Safe sont désactivés. En
effet, leurs formes d’onde sont soit trop élevées soit trop basses.
Un canal rouge présentant une courbe de niveau plus élevé
Un canal vert plus élevé conduira à une autre correctionChapitre 8 Vidéoscopes 177
Overlay
Le vidéoscope Overlay présente des informations identiques à celles de Parade,
à l’exception du fait que les formes d’onde représentant les canaux rouge, vert et
bleu sont superposées directement les unes sur les autres.
Cela peut permettre l’identification des différences ou des similarités relatives dans
les zones se chevauchant des trois canaux de couleurs censés être identiques, comme
les blancs, les gris et les noirs neutres.
Une autre caractéristique de cet écran réside dans le fait que lorsque les vidéoscopes sont
définis sur l’affichage des couleurs (en désactivant le paramètre Monochrome Scopes), les
zones du graticule où les formes d’onde rouge, verte et bleue se chevauchent précisément
apparaissent blanches. Cela permet de visualiser facilement où vous avez éliminé des dominantes de couleur dans les ombres et les hautes lumières en équilibrant les trois canaux.
Red/Green/Blue Channels
Ces vidéoscopes montrent des formes d’onde isolées pour chacun des canaux de couleur. Ils sont utiles si vous voulez étudier de plus près les valeurs d’un canal.178 Chapitre 8 Vidéoscopes
Luma
Le vidéoscope Luma indique les niveaux de luminosité relatifs dans l’image. Les crêtes
et chutes des formes d’onde affichées permettent de localiser facilement les tâches
lumineuses et les zones sombres de votre image.
La différence entre la crête la plus élevée et la chute la plus basse du graticule du vidéoscope Luma indique le rapport de contraste total du plan et l’épaisseur moyenne de la
forme d’onde indique son exposition moyenne. Les formes d’onde trop basses indiquent
des images sombres et si elles sont trop élevées, elles peuvent signifier une surexposition.
Si vous effectuez une inspection QC d’un programme, les réglages Broadcast Safe étant
désactivés, vous pouvez aussi utiliser l’échelle pour identifier facilement des niveaux
vidéo supérieurs ou inférieurs aux limites recommandées.
Forme d’onde de surexposition
forme d’onde de sous-exposition Forme d’onde de bonne expositionChapitre 8 Vidéoscopes 179
Chroma
Ce vidéoscope montre les composants différentiels combinées de couleur CB
et CR
de
l’image. Il s’avère utile pour vérifier si la chrominance globale est trop élevée et aussi
si elle est trop limitée, car il permet de voir le résultat du réglage Chroma Limit imposé
quand Broadcast Safe est activé.
Par exemple, le graphique suivant représente une chrominance extrêmement saturée
dans l’image :
Lorsque vous activez Broadcast Safe avec une valeur Chroma Limit par défaut de 50,
vous constatez que les crêtes de chrominance élevées ont été limitées à 50.
Y’CB
CR
Ce vidéoscope présente les composants du signal encodé Y´CB
CR
dans une vue parade.
La forme d’onde la plus à gauche est le composant de luminance (Y’), la forme d’onde
du milieu est le composant de différence de couleur CB
et celle la plus à droite est le
composant de différence de couleur CR
.180 Chapitre 8 Vidéoscopes
Vectorscope
Le Vectorscope indique la distribution globale de la couleur dans l’image par rapport à une
échelle circulaire. L’image vidéo est représentée par un graphique constitué d’une série de
points connectés figurant autour du centre de cette échelle. Pour chaque point du graphique analysé, son angle autour de l’échelle indique sa teinte (qui peut être comparée aux
cibles de couleur fournies) alors que sa distance du centre de l’échelle représente la saturation de la couleur affichée. Le centre du Vectorscope représente la saturation zéro et plus
un point est loin du centre, plus la saturation est élevée.
Si l’option Monochrome Scopes est désactivée dans l’onglet User Prefs du studio Setup,
les points du graphique tracés par le Vectorscope utiliseront la couleur de cette partie
de l’image source. Il est ainsi plus facile de voir quelles zones du graphiques correspondent à celles de l’image.Chapitre 8 Vidéoscopes 181
Le Vectorscope permet de connaître la teinte et l’intensité des différentes couleurs de
l’image. Lorsque vous aurez appris à identifier les couleurs de vos plans sur le graphique dans le Vectorscope, il sera plus facile de rapprocher deux images car vous pourrez voir leurs différences. Si, par exemple, une image est plus saturée qu’une autre, le
graphe du Vectorscope sera plus grand.
Vous pouvez aussi utiliser le Vectorscope afin de constater si une dominante de couleur
affecte des parties de l’image devant être neutres (ou désaturées). Les zones désaturées
de l’image devant être parfaitement centrées, un graphique Vectorscope décentré repré-
sentant une image avec des parties de blanc, de gris et de noir indique clairement un
déséquilibre colorimétrique.
Les cibles de couleur
Les cibles de couleur de l’échelle du Vectorscope correspondent aux couleurs des contrô-
les Color Balance des filtres d’étalonnage de Final Cut Pro. Si les teintes de deux plans à
harmoniser ne correspondent pas, la direction et la distance de leur décalage sur l’échelle
du Vectorscope indiquent dans quel sens déplacer l’indicateur de contrôle de la balance.
Image moins saturée Image plus saturée182 Chapitre 8 Vidéoscopes
La façon dont les cibles de couleur du Vectorscope sont liées à la saturation de son
graphique dépend de l’échelle définie pour celui-ci :
 Si l’échelle du Vectorscope est 75 pour cent, les barres de couleur de ce pourcentage
atteindront les cibles.
 Si l’échelle du Vectorscope est 100 pour cent, les barres de couleur de ce pourcentage atteindront les cibles.
Remarque : toutes les couleurs sont converties par Color en RVB via la norme Rec. 709
avant l’analyse. Par conséquent, les vidéos source NTSC et PAL atteindront les mêmes cibles.
Barre I
La barre –I indique l’angle correct auquel la teinte de la case bleu foncé de la séquence
de test des barres de couleur doit apparaître. Cette case bleu foncé qui se trouve à gauche du carré de référence blanc 100 pour cent est appelée le signal Inphase (I).
L’incrustation de la barre I (barre I positive) dans le Vectorscope est aussi identique
à la courbe de teint dans Final Cut Pro. Elle permet d’identifier et de corriger les teints
des acteurs dans un plan. Les différents teints, une fois enregistrés sur bande vidéo et
mesurés à l’aide d’un Vectorscope, se recoupent plus ou moins (même si la saturation
et la luminosité varient). Lorsqu’un acteur se trouve dans un plan, pour savoir si son
teint est reproduit fidèlement, vérifiez s’il existe une zone de couleur plus ou moins
proche de la barre I.
Si les teints de vos acteurs sont franchement incorrects, le décalage entre la zone de
couleur probable la plus proche dans le Vectorscope et la cible du teint vous indiqueront approximativement la modification à apporter.Chapitre 8 Vidéoscopes 183
Barre Q
La barre Q indique l’angle correct auquel la teinte de la case violette de la séquence
de test des barres de couleur doit apparaître. Cette case violette qui se trouve à droite
du carré de référence blanc 100 pour cent est appelée le signal +Quadrature (Q).
Lors du dépannage d’un signal vidéo, la correspondance entre les composants Inphase
et +Quadrature du signal des barres de couleur et de la position des barres –I et Q indique si les composants du signal vidéo sont démodulés correctement.
histogramme
L’histogramme fournit un type d’analyse très différent de celle des vidéoscopes basés
sur les formes d’onde. Les formes d’onde ont une correspondance intégrée entre la
position horizontale de l’image analysée et celle du graphique de forme d’onde alors
que les histogrammes fournissent une analyse statistique de l’image.
Les histogrammes calculent le nombre total de pixels de chaque jeu d’étalonnage ou de
luminance dans l’image et tracent un graphique indiquant le nombre de pixels à chaque
pourcentage. Dans ce graphique en barres, chaque incrément de l’échelle de gauche à
droite représente un pourcentage de luminance ou de couleur et la hauteur de chaque
segment de l’histogramme indique le nombre de pixels correspondant à ce pourcentage.
RGB
L’histogramme RGB indique des analyses d’histogramme distinctes pour chaque canal
de couleur. Vous pouvez ainsi comparer le distribution relative de chaque canal de couleur sur la plage tonale de l’image.184 Chapitre 8 Vidéoscopes
Par exemple, des images à dominante rouge ont un histogramme rouge beaucoup plus
important ou inversement, des histogrammes verts et bleus plus faibles. Dans l’exemple suivant, la dominante rouge des hautes lumières est clairement visible.
R, G et B
Les histogrammes R, G et B sont simplement des versions isolées de l’histogramme
de chaque canal.
Luma
L’histogramme Luma indique la force relative de toutes les valeurs de luminance
de l’image vidéo, de noir à super blanc. La hauteur du graphique à chaque degré
de l’échelle représente le nombre de pixels de l’image pour ce pourcentage de luminance, par rapport à toutes les autres valeurs. Si, par exemple, vous avez une image
avec peu de hautes lumières, vous pouvez vous attendre à voir une concentration
importante de valeurs autour des tons intermédiaires sur l’histogramme.Chapitre 8 Vidéoscopes 185
L’histogramme Luma peut s’avérer très utile pour effectuer des comparaisons de luminance rapides entre deux plans afin d’harmoniser les ombres, les tons intermédiaires et
les hautes lumières. Si, par exemple, vous harmonisez une plan de coupe avec le plan
illustré ci-dessus, vous pouvez conclure d’un simple regard que l’image ci-dessous est
sous-exposée, mais l’histogramme vous renseigne plus précisément sur l’aspect quantitatif de cette sous-exposition.
La forme de l’histogramme permet également de déterminer le contraste dans une
image. Une image à faible contraste, comme celle illustrée ci-dessus, possède une distribution des valeurs concentrée au centre de l’histogramme. Au contraire, une image
très contrastée affiche une distribution plus répartie des valeurs sur toute la largeur
de l’histogramme.
Vidéoscope d’espace colorimétrique 3D
Ce type de vidéoscope affiche une analyse de la couleur de l’image projetée dans
une zone 3D. Vous pouvez sélectionner l’un des quatre espaces colorimétriques avec
lesquels représenter les données de couleur.186 Chapitre 8 Vidéoscopes
RGB
L’espace colorimétrique RGB distribue la couleur dans l’espace d’un cube représentant
la plage totale de couleur pouvant être affichée :
 Le noir et le blanc absolus figurent dans deux coins diagonalement opposés du cube, le
centre de cette diagonale étant la plage de niveaux de gris désaturés du noir au blanc.
 Les trois couleurs primaires, rouge, vert et bleu figurent aux trois coins liés au noir.
 Les trois couleurs secondaires, jaune, cyan et magenta figurent aux trois coins liés
au blanc.
Ainsi, chaque couleur pouvant être représentée dans Color peut se voir affecter un
point dans trois dimensions en utilisant la teinte, la saturation et la luminosité pour
définir chaque axe d’espace.
Les côtés du cube représentent la couleur de la saturation 100 %, la diagonale centrale
allant du coin noir au coin blanc représente une saturation de 0 %. Les couleurs plus
sombres sont plus proches du coin noir du cube et les couleurs plus claires plus proches du coin blanc diagonalement opposé.Chapitre 8 Vidéoscopes 187
HSL
L’espace colorimétrique HSL (Hue, Saturation et Luminance) distribue un graphique
de points dans un cône à deux pointes représentant la plage de couleurs pouvant être
affichée.
 Le noir et le blanc absolus figurent à deux points opposés en haut et en bas de la forme.
 Les couleurs primaires et secondaires sont distribuées autour de la roue des couleurs
habituelle, la saturation de 100 %étant représentée par le bord externe de la forme et
la saturation à 0 % représentée au centre.
Ainsi, les couleurs plus sombres se trouvent à l’intérieur en bas et les couleurs plus claires en haut. Les couleurs plus saturées se trouvent plus près des bords externes de la
forme et les couleurs moins saturées plus proches du centre interne.
Y’CB
CR
L’espace colorimétrique Y´CB
CR
est similaire à l’espace colorimétrique HSL à ceci près
que la limite externe de saturation est représentée par une structure à six côtés de
forme spécifique indiquant les limites générales de la couleur dans la vidéo de diffusion.
La limite externe n’indique pas les limites légales de diffusion de la vidéo, mais illustre
la plage de couleurs générale disponible. Par exemple, l’image suivante a une saturation et une luminosité illégales.188 Chapitre 8 Vidéoscopes
Si vous activez les réglages Broadcast Safe, la distribution de la couleur dans l’espace
colorimétrique Y´CB
CR
devient limitée.
IPT
L’espace colorimétrique IPT est pondéré perceptuellement, le but de cette pondération
étant de représenter plus précisément les teintes d’une image distribuée sur une échelle
semblant uniformément linéaire.
Si les espaces colorimétriques RGB, HSL et Y´CB
CR
présentent des analyses tridimensionnelles de l’image mathématiquement exactes et vous permettent de voir comment les
couleurs d’une image sont transformées d’une gamme à une autre, ils ne montrent pas
forcément la distribution des couleurs telle que l’œil la perçoit. Il peut s’agir par exemple d’une roue des teintes calculée conventionnellement. Notez combien la partie verte
de la roue des teintes présentée ci-dessous semble beaucoup plus grande que la partie jaune ou rouge.
Les cônes de l’œil sensibles à la couleur ont des sensibilités différentes par rapport à
chacune des couleurs primaires (rouge, vert et bleu). Donc, une distribution mathématiquement linéaire de la couleur analysée n’est pas nécessairement la façon la plus précise
de représenter ce que l’œil voit. L’espace colorimétrique IPT rectifie cela en redistribuant
l’emplacement des teintes dans l’espace colorimétrique en fonction de tests où des personnes ont choisi et ordonné une distribution égale de teintes d’une couleur à une
autre, pour définir un spectre qui leur semblait correct.Chapitre 8 Vidéoscopes 189
Dans l’espace colorimétrique IPT, I correspond à l’axe vertical de lumière (noir à blanc
désaturé) traversant le centre de l’espace colorimétrique. Le plan horizontal est défini
par l’axe P, qui est la distribution du rouge au vert et l’axe T, qui est la distribution du
jaune au bleu.
Voici une analyse de l’image test dans cet espace colorimétrique.
Échantillonnage de couleur
Le vidéoscope 3D fournit aussi des contrôles pour l’échantillonnage et l’analyse de
la couleur de l’image affichée. Trois échantillons au bas du vidéoscope permettent
d’échantillonner trois couleurs différentes pour l’analyse.
Remarque : ces contrôles sont visibles uniquement lorsque le vidéoscope 3D occupe
une zone de la fenêtre Scopes.
Pour échantillonner et analyser une couleur :
1 Cliquez sur l’un des trois boutons d’échantillons de couleurs au bas du vidéoscope 3D.
2 Faites glisser dans la zone d’aperçu de l’image pour placer la cible de couleur dans
la zone à analyser, puis relâchez le bouton de la souris.190 Chapitre 8 Vidéoscopes
Lorsque vous faites glisser la cible de couleur sur l’aperçu de l’image, trois événements
se produisent :
 L’échantillon de couleur adopte cette couleur.
 Les valeurs H, S et L du pixel analysé sont affichées à droite de l’échantillon sélectionné.
 Un curseur en croix identifie l’emplacement de cette valeur dans la représentation
en 3D de la couleur du vidéoscope 3D.
Chaque cible de couleur est numérotée afin d’identifier son échantillon correspondant.9
191
9 Primary In
Le studio Primary In constitue l’interface principale dédiée à
la correction colorimétrique des plans. C’est dans ce studio
que vous commencerez votre travail et, bien souvent, c’est le
seul dont vous aurez besoin.
Pour parler plus simplement, les corrections primaires sont des étalonnages qui affectent
l’intégralité d’une image. D’ailleurs, le studio Primary In propose une multitude de commandes familières à quiconque a l’habitude de travailler avec d’autres modules et applications
de traitement des images et d’étalonnage colorimétrique. Chacune de ces commandes permet de manipuler le contraste et la couleur d’une image de façon différente.
Remarque : plusieurs des commandes disponibles dans le studio Primary In apparaissent également dans les studios Secondaries et Primary Out, où elles offrent les mêmes
fonctions.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 Objectifs de l’utilisation du studio Primary In (p. 192)
 Utilisation des commandes de contraste Primary (p. 195)
 Réglage du contraste dans les zones d’ombres, de tons intermédiaires et de hautes
lumières (p. 197)
 Utilisation des commandes Color Balance (p. 209)
 Description détaillée des corrections des ombres, des tons intermédiaires et des
hautes lumières (p. 213)
 Commandes Curves (p. 220)
 Onglet Basic (p. 233)
 Onglet Advanced (p. 237)
 Auto Balance (p. 239)192 Chapitre 9 Primary In
Objectifs de l’utilisation du studio Primary In
En règle générale, le studio Primary In vous permet de réaliser des tâches variées,
telles que les suivantes :
 Régler le contraste de l’image, afin que les ombres soient suffisamment foncées,
les zones de hautes lumières suffisamment claires et la luminosité globale de l’image
appropriée à la scène.
 Ajuster le couleur dans les zones de hautes lumières et de tons intermédiaires, afin
de corriger des dominantes de couleur involontaires dues à des réglages incorrects
de balance des blancs d’une caméra vidéo ou à un éclairage inapproprié au type de
pellicule utilisé.
 Apporter des modifications à la couleur et au contraste d’ensemble d’une image,
afin de donner l’impression qu’elle correspond à une autre heure de la journée. Vous
serez sans doute amené à modifier un plan photographié en fin d’après-midi pour
qu’il semble avoir été pris en plein midi.
 Adapter la couleur et le contraste de chaque plan d’une scène, afin d’éliminer
la moindre irrégularité dans l’exposition ou la couleur d’un plan à l’autre.
Vous pouvez effectuer toutes ces tâches et bien d’autres grâce aux outils mis à votre
disposition dans le studio Primary In. Lorsque vous travaillez sur des programmes
nécessitant des corrections relativement simples, il se peut même que vous appliquiez
toutes vos corrections dans ce studio, y compris un léger ajustement supplémentaire
en vue de réchauffer ou refroidir l’image à des fins purement esthétiques.
D’un autre côté, vous pouvez également choisir d’effectuer les diverses étapes de ces corrections nécessaires dans les différents studios proposés et ce, à des fins purement organisationnelles. Pour en savoir plus sur les diverses méthodes de répartition et d’organisation
des corrections, consultez la section « Utilisation de tous les studios Primary, Secondary
et Color FX pour gérer les corrections de chaque plan » à la page 320.
Le studio Primary In vous permet d’apporter des corrections spécifiques
Même si le studio Primary In applique les corrections à l’intégralité de l’image, il n’est
pas impossible de cibler des corrections sur certains de ses aspects. Nombre des commandes présentes dans le studio Primary In sont conçues pour appliquer des ajustements à des zones d’une tonalité particulière. Autrement dit, certaines commandes
modifient la couleur des zones les plus claires de l’image, alors que d’autres n’affectent
que les plus sombres.
Qui plus est, d’autres types de commandes s’appliquent à des canaux de couleur particuliers. Vous pouvez ainsi diminuer ou augmenter la valeur du canal vert, sans affecter
les canaux rouge et bleu.Chapitre 9 Primary In 193
Premiers pas
Ce chapitre est consacré à l’ensemble des commandes d’ajustement d’images disponibles dans le studio Primary In. De nombreux coloristes recourent à ces outils dans un
ordre particulier. Cette séquence permet d’organiser chaque partie du travail, afin de
définir une méthodologie. En règle générale, vous travaillerez sur la plupart des images
en vous conformant aux étapes suivantes.
Étape 1 : Réglage du contraste de l’image
La majorité des coloristes commencent toujours leur travail par la correction du contraste d’une image avant de passer au traitement de sa couleur proprement dite. Il est
possible d’appliquer cette correction grâce aux commandes primaires de contraste,
ainsi qu’aux commandes Luma Curve, Master Lift, Master Gain et Master Gamma de
l’onglet Basic.
Étape 2 : Ajustement de la balance des couleurs de l’image
Il suffit de déterminer les points blanc et noir de l’image pour fixer sa balance des couleurs.
Les commandes primaires de balance des couleurs permettent d’effectuer rapidement ses
ajustements dans les ombres, les tons intermédiaires et les zones de hautes lumières. Pour
apporter des corrections plus précises, utilisez les commandes des courbes rouge, verte et
bleue. Vous pouvez également recourir aux commandes Red, Green et Blue Lift, Gamma et
Gain de l’onglet Advanced pour saisir des valeurs numériques d’ajustement.194 Chapitre 9 Primary In
Étape 3 : Réglage de la saturation de l’image
Dès que la qualité de la couleur vous convient, apportez des modifications pour augmenter ou diminuer la saturation, encore appelée l’intensité des couleurs de l’image. Les
commandes Saturation, Highlight Sat. et Shadow Sat. de l’onglet Basic vous permettent
de régler la saturation d’ensemble ou de certaines régions d’une tonalité particulière.
Étape 4 : Modifications plus spécifiques
Si vous pensez que certains aspects de l’image nécessitent de plus amples corrections
après avoir suivi les étapes 1 à 3, accédez aux commandes des courbes qui vous permettent de cibler vos modifications liées à la couleur et au contraste de l’image sur
des zones présentant une tonalité définie. Néanmoins, il est plus simple d’accéder à
le studio Secondaries au-delà d’un certain point (décrit au chapitre 10, « Secondaries »,
à la page 241).Chapitre 9 Primary In 195
Utilisation des commandes de contraste Primary
Si vous retirez toute couleur d’une image (il vous suffit de régler le paramètre Saturation sur 0), vous obtenez une image en niveaux de gris qui représente le composant
Luma de cette image, à savoir la partie qui contrôle sa luminosité. Comme l’explique
la section « Modèle de couleurs Y’CB
CR
» à la page 27, le composant Luma d’une image
correspond au rapport pondéré des canaux rouge, vert et bleu de l’image (la sensibilité de l’œil à chaque couleur).
Même si le composant Luma était à l’origine un concept lié à la vidéo, vous pouvez le
manipuler à l’aide des commandes de contraste disponibles dans Color, quel que soit
le format d’origine des images. Ces commandes vous permettent d’ajuster la luminosité d’une image de manière de plus ou moins indépendante de sa couleur.
Remarque : des ajustements importants du contraste de l’image peuvent avoir un effet
sur la saturation.
Étendue du contraste
L’une des modifications majeures que vous pouvez appliquer à une image concerne
l’étendue de son contraste. En effet, cette étendue correspond à la différence entre le
pixel le plus sombre des zones ombrées (le point noir) et le pixel le plus clair des zones
de hautes de lumières (le point blanc). L’étendue du contraste d’une image est très facile
à quantifier en observant le graphique de l’oscilloscope ou de l’histogramme réglé sur
Luma. La répartition des valeurs des images à fort contraste est très étendue du point
noir au point blanc.196 Chapitre 9 Primary In
En revanche, les images à faible contraste présentent des valeurs extrêmement rapprochées entre le point noir et le point blanc.
Les curseurs de réglage du contraste Shadow, Midtone et Highlight vous permettent
d’appliquer des corrections distinctes à chacune de ces trois caractéristiques du contraste.
Remarque : les réglages effectués à l’aide des curseurs de contraste du studio Primary In
peuvent affecter la saturation de l’image. D’ailleurs, l’augmentation considérable du composant Luma peut entraîner la réduction de la saturation, alors que sa diminution peut
accroître la saturation de l’image. Ce comportement diffère du filtre Étalonnage à 3 voies
de Final Cut Pro, qui modifie le contraste de l’image sans aucun effet sur sa saturation.
Utilisation des curseurs de réglage du contraste avec une surface
de contrôle
Les trois curseurs de réglage du contraste présents dans les studios Primary In, Secondaries
et Primary Out correspondent généralement à trois contrôles rotatifs, molettes ou boutons
sur les surfaces de contrôle compatibles. Alors que vous ne pouvez régler qu’un seul de ces
curseurs à la fois avec votre souris via les contrôles d’écran, vous pouvez les ajuster simultanément si vous êtes équipé d’une surface de contrôle.
Lorsque vous utilisez une surface de contrôle, le paramètre Encoder Sensitivity affiché
par l’onglet User Prefs du studio Setup vous permet de personnaliser la vitesse à laquelle
les commandes agissent. Pour en savoir plus, consultez la section « Réglages de la surface de contrôle » à la page 122.Chapitre 9 Primary In 197
Réglage du contraste dans les zones d’ombres, de tons intermédiaires et de hautes lumières
Les curseurs Primary Contrast sont divisés en trois curseurs verticaux, dont vous vous
servez pour régler le point noir, la répartition des tons intermédiaires et le point blanc
d’une image.
Chacun de ces curseurs est en fait un dégradé vertical. Le faire glisser vers le haut ou
le bas augmente ou réduit respectivement sa valeur. Une barre bleue indique le niveau
actuel auquel chaque curseur est réglé. Quant au troisième nombre affiché dans la pré-
sentation Output (intitulé « L ») en dessous de chaque commande de couleur, il indique la valeur numérique du curseur.
Réglage du point noir avec le curseur Shadow
Le comportement de ce curseur de réglage du contraste dépend de l’activation ou de
la désactivation de la préférence Limit Shadow Adjustments (pour en savoir plus, consultez la section « Réglages de l’interface utilisateur » à la page 123).
Ajustements de point noir Ajustements de la répartition des gris Ajustements de point blanc
Sortie: 0.00h 0.00s 0.001 Sortie: 0.00h 0.00s 0.501 Sortie: 0.00h 0.00s 1.001
Ombres Gris Surbrillance198 Chapitre 9 Primary In
 Si la préférence Limit Shadow Adjustments est désactivée : les réglages du contraste
effectués avec le curseur Shadow sont appliqués comme s’il s’agissait d’une seule et
même opération de soustraction. La correction obtenue éclaircit ou assombrit uniformément l’intégralité de l’image, modifiant les zones d’ombres, de tons intermédiaires
et de hautes lumières dans les mêmes proportions. On s’en rend compte clairement
lorsqu’on règle le point noir d’un dégradé linéaire du noir au blanc, qui apparaît sur
l’oscilloscope sous forme d’une ligne droite diagonale. Notez que toute la courbe du
dégradé se déplace vers le haut sur l’oscilloscope.Chapitre 9 Primary In 199
 Si la préférence Limit Shadow Adjustments est activée : la valeur du point noir est augmentée, mais le point blanc reste à 100 pour cent. Autrement dit, si vous apportez
des modifications avec le curseur de réglage du contraste Shadow, toutes les zones
de tons intermédiaires de l’image sont échelonnées entre le nouveau point noir et
100 pour cent. Notez que le haut de la courbe, sur l’oscilloscope, reste en place lorsque le point noir change.
Vous allez très certainement conserver la préférence Limit Shadow Adjustments activée pour la plupart de vos projets, car elle vous assure un plus grand contrôle sur
le contraste de l’image (et donc sur sa couleur, comme vous le découvrirez plus tard)
dans vos programmes.200 Chapitre 9 Primary In
Le réglage du contraste dans les zones d’ombres est l’une des tâches les plus fréquentes que vous serez amené à exécuter. En effet, réduire les noirs de telle sorte que les
ombres les plus foncées avoisinent 0 pour cent (ce qui est visible en bas du graphique
de l’oscilloscope ou à gauche du graphique de l’histogramme lorsque l’un ou l’autre est
réglé sur Luma) rend les ombres de l’image plus profondes. De telles ombres peuvent
enrichir l’image et accentuer des détails qui étaient précédemment imprécis.
Si vous réduisez davantage les noirs, ce qui s’appelle écraser les ombres (car aucun pixel
ne peut être plus sombre que 0 pour cent), vous obtenez un contraste encore plus fort.
Cet écrasement se fait au détriment des détails dans les zones d’ombres, parce que de
grandes parties de l’image deviennent uniformément noires à 0 pour cent. On le voit
bien dans la partie noire du dégradé, en bas de l’image.
Remarque : même si la préférence Limit Shadow Adjustments est activée, vous pouvez
toujours apporter des corrections de soustraction à l’image grâce au paramètre Master
Lift présent dans l’onglet Basic. Consultez la section « Commandes Master Contrast » à
la page 236.Chapitre 9 Primary In 201
Réglage des tons intermédiaires
Le curseur de réglage du contraste Midtone vous permet d’ajuster de manière non
linéaire la répartition des tons intermédiaires de l’image (procédé auquel il est souvent
fait référence sous le nom de correction gamma). En d’autres termes, vous êtes en
mesure de régler les tons moyens de l’image sans modifier l’obscurité de ses zones
d’ombres, ni la clarté de ses zones de hautes lumières.
Voici deux exemples d’utilisation du curseur de réglage du contraste Midtone. Dans
l’image suivante, les tons intermédiaires ont été réduits. Vous remarquez que l’ensemble de l’image s’est assombri, les zones d’ombres couvrant une plus grande surface.
Toutefois, les zones de hautes lumières sont toujours aussi claires et le détail des zones
ombrées n’a pas été perdu. Le haut et le bas de la courbe du dégradé sur l’oscilloscope
restent à peu près en place, tandis que la courbe s’incurve vers le bas, ce qui illustre
bien la nature non linéaire de ce réglage.202 Chapitre 9 Primary In
Le curseur Midtone est ensuite réglé sur une valeur plus élevée. L’image est nettement
plus claire et les zones de hautes lumières couvrent une plus grande surface. Pourtant,
les ombres les plus profondes restent riches et sombres, alors que les détails des zones
de hautes lumières sont toujours bien visibles, car ces zones sont restées à leur niveau
d’origine. Là encore, le haut et le bas de la courbe, sur l’oscilloscope restent à peu près
en place, mais cette fois, la courbe s’incurve vers le haut.
Quelle que soit l’étendue du contraste que vous avez décidé d’utiliser pour un plan, le curseur Midtone est l’un des principaux outils vous permettant de corriger la clarté globale
de l’image en vue de créer une ambiance, de donner l’impression d’une autre heure de la
journée ou plus simplement, de s’assurer que le public verra clairement les personnages.
Remarque : même si la correction des tons intermédiaires ne modifie en rien le point
noir et le point blanc (respectivement à 0 et 100 pour cent), leur ajustement extrême
écrase les ombres et aplatit les blancs, ce qui provoque l’élimination des détails au profit d’un contraste plus fort.
Réglage du point blanc avec le curseur Highlight
Le curseur Highlight fonctionne à l’opposé du curseur Shadow. Il vous permet d’augmenter ou de réduire la valeur du point blanc de l’image, tout en conservant le point
noir à une valeur quasiment inchangée. Toutes les zones de tons intermédiaires de
l’image sont alors échelonnées entre le nouveau point blanc et 0 pour cent.Chapitre 9 Primary In 203
Si l’image est trop sombre et les zones de hautes lumières semblent atones, remontez
le niveau du curseur Highlight pour éclaircir les zones de hautes lumières, tout en maintenant les zones d’ombres à leur niveau actuel. Notez que le point noir de la courbe du
dégradé, sur l’oscilloscope, reste à 0 pour cent après le réglage.
Remarque : dans cet exemple, le filtre Broadcast Safe a été désactivé, et l’on peut voir
que le niveau de blanc du dégradé se situe au maximum de 109 pour cent.
Si les zones de hautes lumières sont trop claires, abaissez le niveau du curseur Highlight
pour les assombrir, sans vous soucier d’écraser les ombres. 204 Chapitre 9 Primary In
Les zones de hautes lumières trop claires sont fréquentes dans les images tirées de
vidéos. En effet, des niveaux de super-blanc situés au-dessus de la limite légale pour la
diffusion, à savoir 100 pour cent, sont souvent présentes dans le média source (comme
dans l’exemple précédent). Faute de correction, les zones de hautes lumières au-delà
de 100 pour cent sont écrêtées en cas d’activation des réglages Broadcast Safe, ce qui
entraîne la perte des détails de ces zones, car tous les pixels au-dessus de 100 pour cent
sont ramenés à 100 pour cent.
La réduction de la valeur du point blanc peut vous permettre de restaurer dans l’image
les détails écrêtés.
Remarque : les valeurs écrêtées ou limitées par Color sont conservées en interne et
peuvent donc être récupérées pour des corrections ultérieures. Ce fonctionnement
est différent de l’écrêtage des valeurs surexposées dans le média source au moment
de l’enregistrement, lesquelles sont définitivement perdues.Chapitre 9 Primary In 205
Alors que les corrections mineures effectuées à l’aide du curseur Highlight n’affectent pas
le point noir, elles ont un impact sur les tons intermédiaires, proportionnel à leur degré.
L’influence du curseur Highlight s’affaiblit en direction des zones d’ombres. Toutefois, il
est nécessaire de savoir que les corrections appliquées par ce biais ont un effet progressivement décroissant sur près de 80 pour cent des zones les plus claires de l’image.
C’est la raison pour laquelle vous risquez d’être amené à compenser l’effet sur les tons
intermédiaires de l’image d’une correction effectuée à l’aide du curseur Highlight en
appliquant une légère correction inverse avec le curseur Midtone.
La définition du point blanc d’une image est très subjective. En fait, la « blancheur »
d’un objet n’est pas un critère suffisant pour le régler sur 100 pour cent. Les objets
naturellement très clairs, comme les brillants spéculaires, les scintillements réfléchis
ou les sources lumineuses exposées sont bien évidemment de bon choix pour le
réglage Luma à 100 % (comme il existe des risques que ces zones soient déjà à des
niveaux de super-blanc, il vous faut réduire leur luminosité si vous devez faire face
aux limites légales pour la diffusion).
En revanche, si vous travaillez sur une scène d’intérieur ne comportant aucun des exemples mentionnés ci-dessus, les objets les plus clairs de votre scène risquent d’être un mur
de la pièce ou les zones de hautes lumières du visage d’une personne, ce qui ne correspond pas forcément à une niveau de clarté suffisant pour les régler sur 100 pour cent.
Dans de tels cas, la luminosité que vous choisissez pour régler les zones de hautes lumiè-
res dépend en grande partie du type d’éclairage utilisé. Avec un éclairage tamisé, vous
opterez pour des zones de hautes lumières à des valeurs plus faibles que dans le cas
d’un éclairage volontairement cru.206 Chapitre 9 Primary In
Augmentation et réduction du contraste de l’image
Il existe un grand nombre de raisons qui peut vous pousser à augmenter l’étendue
du contraste d’une image, afin d’obtenir la plus grande plage de valeurs possibles,
sans pour autant introduire du bruit (ce qui peut parfois survenir avec des images
sous-exposées nécessitant des corrections importantes du contraste).
La plupart des images ne sont pas réglées dès le départ avec l’étendue de contraste
la plus large possible. Même dans le cas de plans avec une bonne exposition, les camé-
ras vidéo n’enregistrent pas systématiquement le noir à 0 pour cent, mais plutôt à des
niveaux avoisinant 3 à 4 pour cent. Pour cette simple raison, vous devez souvent apporter de légères corrections de réduction du point noir, mais pas grand chose de plus.
Dans d’autres cas, une image légèrement sur ou sous-exposée peut paraître délavée ou
boueuse et vous devez alors appliquer des corrections simples pour réduire les pixels
les plus sombres de l’image et augmenter les pixels les plus clairs en vue d’étendre le
contraste (ce qui a un effet similaire à « essuyer une couche de poussière sur l’image »).
Ces corrections constituent souvent la première étape d’optimisation d’un plan.Chapitre 9 Primary In 207
Dans d’autres cas encore, vous pouvez décider d’augmenter délibérément l’étendue du
contraste pour modifier à l’extrême le contraste de l’image. Vous pouvez procéder de la
sorte dans le cas d’une image vraiment sous-exposée. Vous devez alors régler les curseurs Highlight et Midtone, afin d’obtenir que les personnages soient simplement plus
visibles. Vous pouvez également étendre à l’extrême le contraste d’un plan bien exposé,
ce qui provoque l’écrasement des ombres et l’écrêtage des zones de hautes lumières
pour un effet à très fort contraste.
Important : lorsque vous augmentez le contraste des plans sous-exposés, ou lorsque vous
effectuez des réglages de contraste extrêmes, cela peut entraîner le grain du film et le bruit
vidéo de l’image. Cela constitue plus particulièrement un problème lorsqu’on étalonne des
programmes à des formats vidéo associés à des taux faibles de sous-échantillonnage de
chromie. Pour en savoir plus, consultez « Sous-échantillonnage chromatique » à la
page 27.
Vous avez évidemment la possibilité de réduire l’étendue du contraste d’une image.
Procédez de la sorte pour donner l’impression d’une autre heure du jour (en ternissant
les ombres tout en conservant des zones de hautes lumières claires pour le plein midi)
ou pour créer une certaine ambiance d’ordre stylistique dans votre programme (avec
des ombres très légères et des lumières atténuées pour une ambiance plus douce).208 Chapitre 9 Primary In
Impact du contraste de l’image sur le fonctionnement des commandes Color Balance
Il existe une autre raison pour augmenter ou fixer l’étendue du contraste d’une image
avant de lui appliquer la moindre correction colorimétrique. En effet, toute correction
apportée au contraste d’une image modifie les parties de l’image assignées aux trois
zones tonales en chevauchement qui sont affectées par les commandes de balance des
couleurs (pour en savoir plus, consultez la section suivante). Si, par exemple, vous avez
une image de faible contraste avec peu d’ombres, et si vous corrigez cet état de fait
à l’aide de la commande de balance de couleurs Shadow, la correction résultante sera
faible, comme on peut le constater sur le dégradé ci-après.
Définition exacte du détail de l’image
Le détail de l’image est un thème fréquemment abordé dans ce chapitre ainsi que
dans d’autres. Il est principalement traité dans le contexte des opérations effectuées
pour améliorer les détails perçus, comme des opérations provoquant leur perte dans
l’image. Pour parler simplement, le détail de l’image fait référence à la variation naturelle de la tonalité, de la couleur et du contraste entre des pixels adjacents.
Les zones d’ombres et de hautes lumières d’une image apparaissant aux limites exté-
rieures du signal vidéo, elles sont les plus susceptibles de subir une perte de détail lors
des corrections du contraste. Cette perte se traduit par un « aplatissement » des zones
d’ombres et de hautes lumières, car des groupes très importants de pixels de l’image
se voient attribuer la même valeur (0 pour les ombres et 100 pour les hautes lumières).
Il est important de préserver un certain degré de détail dans l’image afin de lui conserver un aspect naturel. Toutefois, rien ne vous empêche de supprimer des détails de
l’image pour obtenir une ambiance particulière, comme des ombres légèrement écrasées ou un contraste extrêmement fort avec des ombres écrasées et des blancs écrê-
tés. Gardez simplement à l’esprit les modifications exactes subies par l’image lorsque
vous effectuez ce type de corrections.Chapitre 9 Primary In 209
Par la suite, si vous réglez le curseur de contraste Shadow ou Midtone pour réduire les
zones d’ombres, une plus grande partie de l’image est affectée par la même correction
colorimétrique, bien que vous n’ayez apporté aucune autre modification à cette commande de couleur.
Il n’est bien sûr pas interdit de modifier le contraste après avoir appliqué des corrections colorimétriques, mais vous devez vous souvenir des interactions qui en découlent si vous procédez de la sorte.
Utilisation des commandes Color Balance
Une dominante de couleur correspond à une teinte involontaire dans l’image, due à l’éclairage, à la balance des blancs de la caméra vidéo ou à la pellicule utilisée en fonction des
conditions d’éclairage au cours du tournage. Ces dominantes sont le fait de la force ou
de la faiblesse inappropriée d’un ou de plusieurs canaux de couleur. De plus, elles ne sont
généralement pas uniformes à l’échelle de l’image. En fait, elles sont souvent plus fortes
dans une partie de l’image (les zones de hautes lumières, par exemple) et plus faibles,
voire inexistantes, dans d’autres parties (les ombres, par exemple).
Si vous observez une image avec une dominante de couleur dans le graphique de
l’oscilloscope réglé sur Parade, vous pouvez souvent constater les niveaux disproportionnés de chaque canal, qui provoquent cette dominante. Il vous suffit de regarder
les pics des formes d’ondes (représentant les zones de hautes lumières) et leurs creux
(représentant les ombres).
Remarque : pour plus de clarté, l’oscilloscope Parade est illustré avec les formes d’onde
teintés en rouge, vert et bleu qui apparaissent lorsque Monochrome Scopes est désactivé sous l’onglet des préférences.210 Chapitre 9 Primary In
Les commandes Color Balance (auxquelles il est souvent fait référence sous l’appellation de Hue Wheels) fonctionnent comme des trackballs virtuels à l’écran. Toutefois,
elles ont constituées de trois commandes distinctes.
 Boule de commande Color Balance : boule de commande virtuelle qui vous permet
de régler la teinte (définie par l’angle de la poignée par rapport au centre) et la saturation (définie par la distance de la poignée par rapport au centre) de la correction
que vous utilisez pour rééquilibrer les canaux rouge, vert et bleu de l’image vis-à-vis
d’une autre image. Une poignée située au centre de la croix vous indique la correction en cours. Lorsque la poignée est centrée, aucune modification n’est apportée.
 Curseur Hue : ce curseur vous permet de modifier la teinte de la correction, sans
affecter sa saturation.
 Curseur Saturation : ce curseur vous permet de modifier la saturation de la correction, sans affecter sa teinte. Faites-le glisser vers le haut ou la bas pour augmenter
ou réduire la saturation.
 Bouton Reset : cliquez sur ce bouton pour réinitialiser la commande Color Balance et
le curseur Contrast de cette zone tonale. Si vous utilisez une surface de contrôle, vous
disposez de commandes de réinitialisation séparées pour les corrections de couleur
et de contraste de chaque zone (sur la surface de contrôle proprement dite).
 Présentation Output : cette présentation située en dessous de chaque commande de
couleur vous indique les valeurs de teinte et de saturation actuelles de la commande
Color Balance, ainsi que la valeur de luminosité du curseur Contrast pour cette zone.
Remarque : il est possible de multiplier par 10 la vitesse normale des commandes
Color Balance en maintenant enfoncée la touche Option alors que vous faites glisser
le pointeur.
Curseur Saturation
Curseur Hue :
Bouton Présentation Output :Chapitre 9 Primary In 211
Faites glisser la poignée d’une commande Color Balance pour rééquilibrer la force des
canaux rouge, vert et bleu d’une image en vue de manipuler la qualité de la lumière. Vous
pouvez ainsi corriger des dominantes de couleur ou en introduire à des fins créatives. Les
commandes Color Balance règlent toujours les trois canaux de couleur simultanément.
Dans l’exemple précédent, l’image présente une dominante rouge dans les zones de
hautes lumières, ce qui est confirmé par la hauteur du pic du canal rouge dans le graphique de l’oscilloscope réglé sur Parade.
Pour corriger ce problème, vous devez simultanément réduire le canal rouge et augmentez le canal bleu. Il vous suffit de faire glisser la commande Highlight Color Balance. Pour
vous rappeler très simplement comment appliquer une correction de ce type, faites glisser la poignée de la commande Color Balance en direction de la couleur secondaire qui est
trop accentuée. Dans le cas présent, la dominante de couleur est rouge/orangé. Si vous faites glisser la commande Color Balance dans la direction opposée, vers le bleu/turquoise,
vous rééquilibrez les canaux de couleur de manière appropriée. La commande Color
Balance des tons intermédiaires est utilisée, car la majeure partie de l’image à ajuster se
situe entre 8à et 20 pour cent.212 Chapitre 9 Primary In
Si vous observez le graphique de l’oscilloscope réglé sur Parade alors que vous effectuez votre modification, vous pouvez constater le rééquilibrage des canaux de couleur,
tout en regardant la correction appliquée à l’image dans la présentation Broadcast.
Les studios Primary In, Secondaries et Primary Out mettent à votre disposition trois
commandes Color Balance. Chacune vous permet de corriger des régions d’une certaine tonalité dans l’image.
Utilisation des commandes Color Balance avec une surface de contrôle
Les trois commandes Color Balance correspondent aux trois trackballs ou manettes
disponibles sur les surfaces de contrôle compatibles. Alors que vous ne pouvez régler
qu’une seule de ces commandes à la fois avec votre souris via les contrôles d’écran,
vous pouvez les ajuster simultanément si vous êtes équipé d’une surface de contrôle.
Lorsque vous utilisez une surface de contrôle, les paramètres Hue Wheel Angle et Joyball
Sensitivity affichés par l’onglet User Prefs du studio Setup vous permettent de personnaliser le fonctionnement de ces commandes. Pour en savoir plus sur le réglage de ces paramètres, consultez la section « Réglages de la surface de contrôle » à la page 122.
Dominante de couleur, toujours synonyme d’ambiance créative ?
Il est important se souvenir qu’une dominante de couleur n’est pas toujours involontaire. Si le directeur de la photographie, notamment, utilise la lumière à des fins créatives, l’image obtenue peut comporter des dominantes de couleur dans la plage de
tonalités. Vous devez alors faire la distinction entre les dominantes accidentelles ou
liées aux conditions de tournage, et les choix stylistiques opérés grâce à l’éclairage
de chaque scène. Dans tous les cas, une communication claire entre le directeur de
la photographie et les coloristes est impérative.Chapitre 9 Primary In 213
Description détaillée des corrections des ombres, des tons
intermédiaires et des hautes lumières
Comme de nombreux autres environnements d’étalonnage colorimétrique, Color propose un ensemble de trois commandes de balance des couleurs. Chacune est dédiée à
des ajustements particuliers de la couleur au sein des trois zones tonales en chevauchement dans chaque image. Ces zones tonales correspondent aux zones d’ombres, de tons
intermédiaires et de hautes lumières décrites dans la section précédente sur le contraste.
Si vous décidez de réduire la tonalité d’une image au sein de ces trois zones, elle risque
de ressembler à l’illustration suivante.
Image couleur originale Zones tonales, d’ombres, de tons intermédiaires
et de hautes lumières simulées
Zones les plus affectées par l’ajustement des
tons intermédiaires
Zones les plus affectées par l’ajustement des
ombres
Zones les plus affectées par l’ajustement des hautes lumières214 Chapitre 9 Primary In
Ces commandes différenciées par zone vous permettent d’apporter des corrections
ciblées à la couleur des zones de hautes lumières d’une image, sans affecter la couleur
de ses zones d’ombres. De même, elles vous permettent d’appliquer des modifications
distinctes à des parties différemment éclairées d’une image, soit pour les améliorer, soit
pour créer des ambiances particulières.
Pour prévenir tout effet de bande évident ou d’autres imperfections, les corrections
appliquées aux trois zones tonales se chevauchent largement, l’influence de chaque
commande Color Balance sur l’image diminuant progressivement sur les bords de
chaque zone. Ce chevauchement est illustré dans le graphique suivant.
Ces zones se chevauchent conformément au standard OpenCDL et leur comportement
est décrit ci-après.
Important : si vous êtes habitué au fonctionnement du filtre Étalonnage à 3 voies de
Final Cut Pro, vous aurez certainement besoin d’un peu de temps pour vous familiariser avec les commandes du studio Primary In, car leur résultat est quelque peu diffé-
rent. Contrairement aux modifications effectuées à l’aide du filtre Étalonnage à 3 voies
de Final Cut Pro, les corrections apportées avec la commande Color Balance modifie le
composant Luma de l’image, ce qui affecte l’étendue de son contraste.
Influence du contrôle de l’ombre
Influence du contrôle de surbrillance
Influence des grisChapitre 9 Primary In 215
Corrections de la couleur des ombres
Le comportement de la commande de balance des couleurs Shadows dépend de l’activation ou de la désactivation de la préférence Limit Shadow Adjustments (pour en
savoir plus, consultez la section « Réglages de l’interface utilisateur » à la page 123).
 Si la préférence Limit Shadow Adjustments est désactivée : les ajustements de couleur
effectués à l’aide de la commande Shadows sont exécutées comme une simple opération d’addition (la couleur sélectionnée dans cette commande est ajoutée à la couleur de
chaque pixel de l’image). La correction résultante affecte l’intégralité de l’image (elle est
visible sur le dégradé qui se trouve en bas de l’image), produisant un effet de nuance.216 Chapitre 9 Primary In
 Si la préférence Limit Shadow Adjustments est activée : une atténuation linéaire est
appliquée aux ajustements de couleur effectués à l’aide de la commande Shadows, de
telle sorte que le noir reçoive 100 pour cent de la correction et le blanc 0 pour cent.
Vous devez recourir à cette méthode si vous souhaitez corriger les ombres sans modifier les zones de hautes lumières.
Remarque : pour mieux illustrer l’effet de la commande Shadow, les précédents exemples ont été montrés avec le filtre Broadcast Safe désactivé, de sorte que les valeurs
d’image inférieures à 0 pour cent ne soient pas corrigées.
Corrections de la couleur des tons intermédiaires
Les corrections apportées à l’aide de la commande de balance des couleurs Midtones
s’appliquent via une opération de puissance (nouvelle valeur du pixel = ancienne valeur
du pixel ^ correction). Les ajustements des tons intermédiaires ont alors un effet plus
important sur les valeurs de couleur à 50 pour cent de luminosité et s’atténuent au
niveau des valeurs proches de 0 et de 100 pour cent de luminosité.Chapitre 9 Primary In 217
Vous pouvez ainsi apporter des modifications à la couleur, sans affecter les zones
d’ombres et de hautes lumières de l’image. Par exemple, vous avez la possibilité d’ajouter un peu de bleu aux tons intermédiaires pour neutraliser un peu le grain de peau
d’un acteur, tout en conservant des ombres profondes et sans teinte, et des zones de
hautes lumières claires et pures.
Corrections de la couleur des zones de hautes lumières
Les corrections apportées à l’aide de la commande de balance des couleurs Highlight
s’appliquent à l’image via une opération de multiplication (la couleur sélectionnée dans
cette commande est multipliée par la couleur de chaque pixel de l’image). Par définition, ce type d’opérations par multiplication s’atténuent dans les parties les plus sombres de l’image et n’ont aucun effet sur les parties noires à 0 pour cent.218 Chapitre 9 Primary In
Cette commande Highlight est extrêmement utile pour corriger les problèmes de
balance des couleurs liés à la source lumineuse prépondérante qui génère les zones
de hautes de lumière, sans appliquer la moindre teinte accidentelle aux ombres. Dans
l’exemple ci-après, un peu de bleu est ajouté aux hautes lumières pour neutraliser
l’orange dû à l’éclairage au tungstène.
Chevauchement des commandes Color Balance
Le large chevauchement des corrections de couleur effectuées à l’aide des trois commandes Color Balance est nécessaire pour assurer une transition sans à-coups entre
les ajustements apportés d’une zone tonale à l’autre et éviter ainsi les effets de bande
et autres imperfections. En règle générale, les corrections appliquées à une zone tonale
modifient les autres zones tonales de la manière suivante :
 Les ajustements effectués à l’aide de la commande Shadow se superposent aux zones
de tons intermédiaires et à la partie la plus sombre des zones de hautes lumières, mais
excluent les zones de l’image dotées des pourcentages les plus élevés.
 Les ajustements appliqués aux tons intermédiaires affectent la plus grande partie
de l’image, mais ne modifient pas les ombres avec les pourcentages les plus faibles
et les zones de hautes lumières avec les pourcentages les plus élevés.
 Les ajustements appliqués aux zones de hautes lumières affectent également les tons
intermédiaires, mais ne modifient pas les ombres avec les pourcentages les plus faibles.Chapitre 9 Primary In 219
Contrôle du chevauchement des commandes Color Balance
Bien que les zones tonales affectées par les trois commandes Color Balance soient pré-
déterminées par les opérations mathématiques appliquées, il est possible d’exercer un
certain contrôle sur les zones de l’image modifiées par les corrections liées à une commande Color Balance particulière. Pour ce faire, il vous suffit d’appliquer des corrections
opposées avec les autres commandes Color Balance.
Ce principe est concrétisé dans l’exemple suivant. Si vous réglez la balance de couleur des
hautes lumières pour ajouter du bleu à un dégradé linéaire, l’aperçu suivant est affiché.
Comme vous pouvez le constater, cette modification affecte les blancs et les tons intermédiaires. Si vous souhaitez limiter l’effet sur les tons intermédiaires, tout en conservant
cette correction sur la partie supérieure des blancs, vous pouvez recourir à la méthode
décrite précédemment et utiliser des couleurs complémentaires pour qu’elles se neutralisent, ainsi qu’appliquer une correction opposée moins extrême avec la commande de
balance des couleurs Midtone.220 Chapitre 9 Primary In
La correction des zones de hautes lumières qui affectait les tons intermédiaires est
désormais neutralisée dans la partie inférieure de ces tons intermédiaires.
Même si l’application de plusieurs commandes Color Balance opposées peut sembler
un non-sens, il s’agit d’une technique puissante. Au fil du temps, vous appliquerez
d’instinct de plus en plus de corrections de ce type pour limiter les effets de vos
corrections préalables sur les zones tonales avoisinantes.
Commandes Curves
Situées en dessous des commandes de couleur dans le studio Primary In, ces commandes vous offrent une méthode supplémentaire pour corriger la couleur et le contraste
de vos images. Si vous êtes habitué aux applications de traitement d’image comme
Photoshop, vous avez très certainement déjà utilisé des courbes.
Il existe deux différences majeures entre les commandes Curves et Color Balance :
 Les commandes Curves vous permettent d’apporter des modifications à un nombre
illimité de zones tonales (autant que vous avez décidé d’en définir), alors que les
commandes Color Balance modifient seulement trois plages tonales prédéfinies.
 Chaque commande Curves affecte uniquement un seul canal de couleur, alors
que les commandes Color Balance vous permettent de corriger rapidement les
trois canaux de couleur simultanément.
 Les courbes ne peuvent pas être animées à l’aide d’images clés, mais tout autre
paramètre des studios Primary In et Primary Out peut l’être.Chapitre 9 Primary In 221
En règle générale, les commandes Color Balance sont plus rapides à utiliser lorsque vous
appliquez des modifications importantes aux zones d’ombres, de tons intermédiaires et
de hautes lumières d’une image. Quant aux commandes Curves, elles nécessitent souvent plus de temps, mais elles permettent des corrections extrêmement précises au sein
de zones tonales très restreintes de l’image, très proches du type d’opérations normalement réalisées par le biais de corrections secondaires de la couleur.
Important : quel que soit le pouvoir de séduction des courbes, soyez attentif à ne passer
trop de temps à peaufiner vos plans à l’aide des commandes Curves, tout spécialement
lors de rendez-vous avec le client, car dans ces situations, le temps passé se résume à une
histoire d’argent. Il n’est pas rare de se laisser noyer dans la correction minutieuse d’un
seul plan alors que l’horloge ne cesse de tourner. Gardez à l’esprit que d’autres outils
vous permettent d’accomplir ce travail de détail bien plus vite.
Impact des courbes sur l’image
Les courbes fonctionnent en mettant en correspondance les valeurs de couleur et
Luma d’origine avec les nouvelles valeurs choisies. Pour ce faire, il suffit de changer leur
hauteur. L’axe X du graphique représente les valeurs source comprises dans l’ensemble
de la plage tonale de l’image d’origine, du noir (à gauche) au blanc (à droite). Quant à
l’axe Y, il représente la plage tonale disponible pour la correction, du noir (en bas) au
blanc (en haut).
En l’absence de la moindre correction, chaque commande de courbe est une ligne
droite en diagonale. Autrement dit, chaque valeur source étant égale à sa valeur de
correction, aucune modification n’est effectuée.
Valeur source
Valeur d’ajustement222 Chapitre 9 Primary In
Si une partie de la courbe est rehaussée par le biais d’un ou de plusieurs de ses points
de contrôle, les valeurs source représentées sur la courbe et correspondant à la zone
tonale de l’image sont remplacées par une valeur plus élevée. Cette partie de l’image
devient donc plus claire.
Si une partie de la courbe est abaissée par le biais d’un ou de plusieurs de ses points
de contrôle, les valeurs source représentées sur la courbe et correspondant à la zone
tonale de l’image sont remplacées par une valeur plus faible. Cette partie de l’image
devient donc plus sombre.
Modification des points de contrôle et des courbes B-Splines
Par défaut, chaque courbe comporte deux points de contrôle. Les points situés en bas
à gauche et en haut à droite correspondent respectivement au point noir et au point
blanc de ce canal. Ces deux point de contrôle ancrent chaque courbe en bas et en haut.
Effets d’une augmentation des tons intermédiaires via la courbe de luminance
Effets d’une réduction des tons intermédiaires via la courbe de luminanceChapitre 9 Primary In 223
Dans Color, les courbes sont modifiées à l’aide de courbes B-splines, qui utilisent des
points de contrôle qui ne sont pas réellement fixés sur la courbe, afin de l’« attirer »
selon différentes formes, comme agirait un aimant sur un fil de fer. Voici, par exemple,
une courbe comportant un seul point de contrôle et entraînant une augmentation
disproportionnée des hautes lumières par rapport aux tons intermédiaires :
Le point de contrôle surplombant la courbe attire l’ensemble de la courbe vers le haut,
alors que ses extrémités restent en place.
La complexité d’une courbe est déterminée par le nombre de points de contrôle qui
exercent une influence sur cette courbe. Si vous ajoutez deux points de contrôle de
chaque côté, puis que vous les déplacez vers le bas, la courbe est modifiée comme
illustré ci-dessous.
Pour accentuer les courbes, rapprochez leurs points de contrôle les uns des autres. En
revanche, pour des courbes plus douces, il vous suffit d’éloigner les points de contrôle
les uns des autres.
Les procédures suivantes décrivent la création, la suppression et la modification de
points de contrôle en vue de modifier les paramètres d’une courbe.224 Chapitre 9 Primary In
Pour ajouter des points de contrôle à une courbe :
m Cliquez n’importe où sur la courbe.
Pour modifier un point de contrôle :
m Faites-le glisser n’importe où dans la zone de la courbe.
Pour supprimer un point de contrôle d’une courbe :
m Faites-le glisser vers le haut ou le bas, n’importe où en dehors de la zone de la courbe.
Pour supprimer tous les points de contrôle d’une courbe :
m Cliquez sur le bouton Reset (dans le coin supérieur gauche du graphique de chaque
courbe) de la courbe dont vous souhaitez supprimer tous les points de contrôle.
Utilisation des courbes pour régler le contraste
L’une des méthodes les plus simples pour comprendre l’utilisation des courbes consiste à régler le contraste d’une image avec sa courbe Luma. La courbe Luma permet
de modifier simultanément les canaux rouge, vert et bleu de l’image (comme vous
pouvez le constater si vous observez le graphique de l’oscilloscope réglé sur Parade
tout en modifiant la courbe Luma). L’effet obtenu est une modification de la luminosité de l’image.
Remarque : si vous apportez des corrections à la courbe Luma d’une image, vous risquez d’affecter sa saturation. En effet, l’augmentation considérable de la valeur Luma
d’une image peut réduire sa saturation.
Il existe une correspondance d’ordre général entre les commandes décrites dans la
section précédente « Utilisation des commandes de contraste Primary » et le point
noir, les tons intermédiaires et le point blanc de la courbe Luma. Ainsi, le déplacement vers le haut du point noir de la courbe entraîne une augmentation de la valeur
du point noir.Chapitre 9 Primary In 225
Le déplacement vers le bas du point blanc de la courbe réduit la valeur du point blanc
de l’image.
Ces deux points de contrôle correspondent plus ou moins aux commandes de contraste
Shadow et Highlight. Si vous ajoutez un troisième point de contrôle vers le milieu de la
courbe Luma, vous pouvez modifier la répartition des tons intermédiaires compris entre
les points noir et blanc. Cette correction est similaire à l’utilisation de la commande de
contraste Midtones. Si vous déplacez ce point de contrôle central vers le haut, vous augmentez la répartition des tons intermédiaires, ce qui éclaircit l’image tout en conservant
les points noir et blanc à leur place.
En revanche, si vous déplacez ce point de contrôle central vers le bas, vous réduisez
la répartition des tons intermédiaires, ce qui assombrit l’image tout en conservant
les points noir et blanc à leur place.226 Chapitre 9 Primary In
Même si ces trois points de contrôle offrent des fonctionnalités à peu près identiques
aux commandes de contraste Shadow, Midtone et Highlight, tout l’intérêt des courbes
réside dans la possibilité d’ajouter d’autres points de contrôle, en vue d’apporter des
corrections de luminosité ciblées sur certaines zones tonales de l’image.
Exemple d’utilisation d’une courbe Luma
L’exemple suivant illustre l’utilisation de la courbe Luma pour apporter des modifications très particulières au contraste d’une image. Si vous observez la forme d’onde sur
l’illustration suivante, vous constatez que le ciel est nettement plus clair que le reste de
l’image. Pour attirer immédiatement l’attention du spectateur sur le personnage assis à
son bureau, vous souhaitez assombrir le ciel à l’arrière de la fenêtre, sans affecter la luminosité du reste de l’image.
1 Avant de procéder aux modifications elles-mêmes, paramétrez les tons intermédiaires
et les ombres de l’image en ajoutant un point de contrôle à la courbe sans la déplacer
vers le haut ou vers le bas.
L’ajout de points de contrôle auquel vous ne toucherez pas sur une partie d’une courbe
que vous ne souhaitez pas modifier est une méthode efficace pour réduire l’effet d’autres
corrections que vous serez amené à faire sur des zones particulières d’une image. Si vous
ajoutez ensuite des points de contrôle supplémentaires pour corriger la courbe, les points
de contrôle non modifiés vous aident à limiter l’effet de vos corrections.Chapitre 9 Primary In 227
? Conseil : lors de l’ajout de plusieurs points de contrôle supplémentaires à une courbe,
utilisez la grille pour identifier l’emplacement des parties de la courbe que vous souhaitez conserver à l’état d’origine (neutre) de l’image. Lorsqu’elle ne comporte aucune correction, une courbe coupe en diagonale les intersections de la grille d’arrière-plan.
2 Pour procéder à la modification, faites glisser le point blanc qui se trouve au coin
supérieur droit, afin d’assombrir le ciel.
Veillez à ne pas faire glisser ce nouveau point de contrôle trop bas, car si l’on n’y prend
pas garde, il est très facile d’appliquer des corrections produisant un effet peu naturel
ou solarisé avec les courbes, tout spécialement si une partie de la courbe est inversée.
Il s’agissait d’une correction très ciblée, mais vous pouvez aller plus loin. Maintenant
que le ciel est plus atténué, vous avez envie d’éclaircir les hautes lumières du visage
de l’homme en augmentant le contraste de cette partie de l’image.228 Chapitre 9 Primary In
3 Ajoutez un point de contrôle en dessous du premier point créé, puis faites-le glisser
vers le haut jusqu’à ce que le visage de l’homme s’éclaircisse.
Le visage de l’homme est désormais plus clair, mais les ombres semblent quelque
peu délavées.
4 Ajoutez un tout dernier point de contrôle en dessous du dernier créé, puis faites-le
glisser très légèrement vers le bas pour foncer les ombres sans affecter les parties
plus claires de l’image.
Comme vous pouvez vous en rendre compte, la courbe Luma est un outil puissant
pour appliquer des corrections très ciblées.
La courbe Luma limite la plage des curseurs Primary Contrast
L’un des aspects importants des commandes Curves est qu’il leur arrive de limiter la
plage des réglages ultérieurs avec les curseurs Primary Contrast situés dans le même
studio. Cet aspect devient évident si vous abaissez le point blanc d’une image avec sa
courbe Luma. Vous serez par la suite dans l’incapacité d’utiliser le curseur de contraste
Highlight pour augmenter la luminosité de cette image au-delà du niveau défini par
la courbe Luma. Vous pourrez néanmoins apporter d’autres corrections au contraste
dans les autres studios.Chapitre 9 Primary In 229
Utilisation des courbes pour ajuster la couleur
Contrairement aux commandes Color Balance qui modifient les trois canaux de couleur simultanément, chaque commande Color Curve affecte un seul canal. De plus, les
courbes de couleur rouge, verte et bleue vous permettent d’appliquer des corrections
au sein de zones tonales particulières définies par les points de contrôle ajoutés aux
courbes. Vous pouvez ainsi effectuer des ajustements de couleur très précis, limités à
des zones de l’image aussi restreintes ou étendues que vous l’avez défini.
Exemple d’utilisation de courbes de couleur
Dans l’exemple suivant, vous allez apprendre à appliquer une correction ciblée pour
éliminer une dominante de couleur des tons intermédiaires les plus bas, des ombres
et des zones de hautes lumières extrêmes d’une image, tout renforçant la même dominante dans les zones de hautes lumières les plus basses.
L’image suivante présente une dominante rouge distincte des ombres jusqu’aux zones
de hautes lumières, ce qui est confirmé par la forme d’onde élevée du canal rouge dans
le graphique de l’oscilloscope réglé sur Parade.
Remarque : pour plus de clarté, le filtre Broadcast Safe a été désactivé afin que vous
distinguiez mieux le bas des formes d’onde sur l’oscilloscope réglé en mode Parade.
Dans le cadre de ce plan, vous souhaitez conserver la lumière rouge qui éclaire le
visage de la femme, comme s’il s’agissait d’un effet intentionnel faisant partie de
l’ambiance de la scène. Toutefois, vous aimeriez supprimer une partie du rouge
dans les zones d’ombres, afin qu’elles semblent plus foncées et que le personnage
ressorte mieux sur l’arrière-plan.
1 Ajoutez un point de contrôle à la courbe rouge à proximité de son niveau inférieur,
puis faites-le glisser vers le bas jusqu’à ce que la dominante de couleur s’atténue. 230 Chapitre 9 Primary In
Le niveau du point de contrôle doit normalement faire coïncider le bas de la forme
d’onde rouge dans le graphique de l’oscilloscope réglé sur Parade avec le bas des
formes d’ondes verte et bleue.
Cette opération a sans aucun doute neutralisé le rouge dans les zones d’ombres. Comme
cet unique point de contrôle a un impact sur l’intégralité de la courbe, la correction a malheureusement supprimé beaucoup du rouge d’origine au sein des tons intermédiaires.
? Conseil : si vous vous demandez où placer les points de contrôle sur une courbe en
vue de modifier une zone particulière de l’image, utilisez la hauteur des graphiques
correspondants dans l’oscilloscope réglé sur Parade (si vous réglez la couleur) ou sur
Luma (si vous ajustez la courbe Luma). Si vous souhaitez, par exemple, corriger les
zones de hautes lumières de l’image, vous serez sans doute amené à placer un point
de contrôle sur la courbe à la même hauteur approximative que les zones de hautes
lumières apparaissent sur le graphique de la forme d’onde.Chapitre 9 Primary In 231
2 Ajoutez un autre point de contrôle à proximité du sommet de la courbe rouge, puis
faites-le glisser vers le haut jusqu’à ce qu’une partie du « remplissage » rouge réapparaisse sur le côté du visage de la femme.
Vous avez ainsi ajouté du rouge sur le visage de la femme. Par la même occasion, vous
avez ajouté du rouge aux zones de hautes lumières de la source lumineuse principale.
Comme la principale source de lumière de ce plan est le soleil visible au travers de
la fenêtre, ce rouge supplémentaire est inapproprié et doit donc être corrigé.
3 Faites glisser le point de contrôle correspondant au point blanc sur la courbe rouge
vers le bas jusqu’à ce que le rouge soit neutralisé dans les zones de hautes lumières
les plus claires du visage, mais arrêtez-vous avant que l’éclairage ne vire au turquoise.232 Chapitre 9 Primary In
Une fois cette étape réalisée, la correction est terminée. Du rouge est présent dans la
lumière éclairant le visage de la femme, alors que les ombres et les zones de hautes
lumières très claires du soleil semblent naturelles, ce qui augmente d’autant le contraste des couleurs de l’image.
Voici une comparaison avant/après pour que vous puissiez voir la différence.Chapitre 9 Primary In 233
Onglet Basic
Cet onglet met à votre disposition les commandes Saturation, ainsi que les paramètres
Master lift, Gamma et Gain qui vous permettent d’apporter des modifications supplé-
mentaires au contraste de votre image.
Commandes Saturation
La saturation décrit l’intensité de la couleur d’une image. Elle est contrôlée par trois
paramètres qui, comme d’autres commandes du studio Primary In, vous permettent
d’effectuer des ajustements distincts sur les différentes zones tonales d’une image.
Comme les commandes de contraste et de couleur, les corrections de saturation appliquées à une certaine tonalité s’atténuent progressivement sur les bords de chaque correction pour garantir des transitions fluides.
Définition du contraste des couleurs
Dans cette documentation, le terme « contraste » fait généralement référence aux différences entre les tons clairs et sombres de l’image. Toutefois, ce terme recouvre également le contraste entre les différentes couleurs d’une image. Le contraste des couleurs
est un vaste sujet qui nécessite d’aborder la teinte, la température de couleur, la luminosité et la saturation. Pour simplifier à l’extrême, le contraste des couleurs correspond à la différence entre les couleurs présentes dans les diverses zones de l’image.
Dans l’exemple précédent, l’image était à l’origine baignée dans une dominante de
couleur uniforme. Autrement dit, vous y trouviez du rouge aussi bien dans ses zones
d’ombres, de tons intermédiaires que de hautes lumières : les différentes zones de
l’image ne présentaient que très peu de contraste des couleurs. En supprimant la
dominante de couleur de certaines zones et en la conservant dans d’autres, vous
avez augmenté le contraste des couleurs entre le personnage principal et l’arrièreplan. Dans le cas de certaines images, le contraste des couleurs peut ajouter une certaine sophistication visuelle à un résultat qui serait plutôt fade.234 Chapitre 9 Primary In
 Saturation : ce paramètre contrôle la saturation de l’intégralité de l’image. Sa valeur
par défaut, égale à 1, n’applique aucune modification à la saturation de l’image. Si
vous réduisez cette valeur, vous diminuez l’intensité de la couleur de chaque pixel
de l’image. À 0, l’image devient une image monochrome en niveaux de gris, n’affichant que son composant Luma. Vous pouvez augmentez la valeur du paramètre
Saturation jusqu’à 4 pour accroître l’intensité de la couleur.
Faites attention à ne pas trop augmenter la saturation d’une image, car les couleurs
commencent à se « fondre » les unes aux autres et le signal obtenu n’est pas admis
pour la diffusion.
Saturation réduite de plus de la moitié
Image d’origine
Image beaucoup trop saturéeChapitre 9 Primary In 235
Si les paramètres Broadcast Safe sont activés, la conformité légale de l’image est proté-
gée, mais certaines parties extrêmement colorées vont sembler aplaties, car la valeur
Chroma de l’image est limitée par la valeur que vous avez définie. L’effet est visible sur
le Vectorscope par une concentration aux bords du graphe. Même si vous ne travaillez
pas sur un projet de diffusion vidéo, des couleurs trop saturées peuvent provoquer des
problèmes et ne correspondent, de toute façon, à aucun critère professionnel.
 Highlight Sat. : ce paramètre contrôle la saturation des zones de hautes lumières
de l’image. Vous pouvez ainsi désaturer séparément les zones de hautes lumières
de votre image, ce qui peut vous aider à garantir la conformité légale de plans
posant des problèmes et à restaurer du blanc dans les zones de hautes lumières
les plus claires d’une image.
Saturation des hautes lumières complètement abaissée
Saturation des hautes lumières augmentée236 Chapitre 9 Primary In
 Shadow Sat. : ce paramètre contrôle la saturation des ombres de l’image. Vous pouvez
ainsi désaturer séparément les zones d’ombres de votre image, afin de créer des noirs
donnant une impression de plus grande profondeur et d’éliminer une couleur inappropriée dans les ombres de vos images pour une ambiance plus cinématographique.
Commandes Master Contrast
Ces trois paramètres supplémentaires permettent également d’affecter le contraste
d’une image. Pour en savoir plus sur les réglages du contraste, consultez la section
« Utilisation des commandes de contraste Primary » à la page 195.
 Master Lift : contrairement au curseur de contraste primaire Shadow, le paramètre
Master Lift fonctionne uniquement comme un opérateur d’addition ou de soustraction. Il applique une correction globale au composant Luma de toute l’image, quel
que soit le réglage de la préférence Limit Shadow Adjustments. Pour en savoir plus
sur les corrections par soustraction, consultez la section « Réglage du point noir avec
le curseur Shadow » à la page 197.
 Master Gain : ce paramètre fonctionne exactement comme le curseur de contraste
primaire Highlight. Il ajuste le point blanc tout en conservant le point noir à son
niveau actuel et il échelonne tous les points intermédiaires entre ces deux points.
 Master Gamma : ce paramètre fonctionne exactement comme le curseur de
contraste primaire Midtone. Il ajuste la répartition des tons intermédiaires entre
0 et 100 pour cent.
Image d’origine
Saturation des ombres complètement abaisséeChapitre 9 Primary In 237
Onglet Advanced
Cet onglet comporte un autre ensemble de paramètres servant à régler chacun des
trois canaux de couleur primaire au sein de chacune des trois zones tonales. Il affiche
également un jeu de commandes Printer Points pour les coloristes habitués à utiliser
l’étalonnage colorimétrique optique pour les films.
Commandes RGB
Ces paramètres permettent de contrôler le contraste et la couleur par canal. Il ne s’agit
en aucun cas des représentations numériques des autres commandes du studio Primary
In. Comme les paramètres de l’onglet Basic, ils sont mis à disposition en supplément.
En règle générale, ces paramètres sont réglés lorsque le bouton Auto Balance est utilisé pour corriger automatiquement un plan (pour en savoir plus, consultez la section
« Auto Balance » à la page 239). Toutefois, vous pouvez y recourir selon vos besoins.
 Red, Green et Blue Lift : ces paramètres fonctionnent exactement comme le paramètre
Master Lift, mais ils modifient les canaux de couleur séparément.
 Red, Green et Blue Gain : ces paramètres fonctionnent exactement comme le paramètre
Master Gain, mais ils modifient les canaux de couleur séparément.
 Red, Green et Blue Gamma : ces paramètres fonctionnent exactement comme le paramètre Master Gamma, mais ils modifient les canaux de couleur séparément.
Commandes Printer Points
Ces paramètres sont mis à la disposition des coloristes habitués à travailler avec le système
Printer Points pour la synchronisation des couleurs des films. Employé par les appareils
d’impression des films, le système Printer Points permet de procéder à un étalonnage colorimétrique optique, en émettant une lumière filtrée au travers des négatifs afin de révéler
une impression positive intermédiaire et en créant au cours du processus un seule bobine
du film dont la couleur est déjà corrigée.
Le processus permettant de contrôler chaque plan et de corriger la couleur scène par
scène est réalisé à l’aide de trois commandes permettant d’ajuster séparément la proportion de lumière rouge, verte et bleue à laquelle le film est exposé, grâce à une série
de filtres et d’obturateurs optiques. Cette méthode peut être reproduite de manière
numérique par le biais des paramètres Printer Points.
? Conseil : vous pouvez contrôler ces paramètres à l’aide des boutons disponibles sur
la plupart des surfaces de contrôle compatibles.238 Chapitre 9 Primary In
Définition d’un point d’impression (Printer Point)
Chacun des paramètres rouge, vert et bleu est réglé par incréments discrets, appelés des
points d’impression (chaque point étant une fraction d’un rapport focal ƒ-stop, l’échelle
utilisée pour mesurer l’exposition d’un film). Color met en œuvre un système standard
employant un nombre total de 50 points par canal, où le point 25 correspond à l’état
neutre d’origine de ce canal de couleur. D’un point de vue technique, chaque point
représente 1/4 d’un ƒ-stop d’exposition (alors qu’un ƒ-stop représente un doublage
de la lumière). Chaque point complet d’exposition équivaut donc à 12 Printer Points.
Corrections à l’aide de points d’impression
Contrairement à la quasi-totalité des commandes disponibles dans le studio Primary In,
les paramètres Printer Points Red, Green et Blue appliquent une correction uniforme à
l’ensemble du canal de couleur correspondant, quelle que soit la tonalité de l’image.
Par ailleurs, la méthode utilisée pour les corrections est tout à fait unique. Pour émuler
le caractère spécifique des filtres utilisés dans ce type d’appareils, l’augmentation de la
valeur d’un paramètre, tel que Printer Points Red, n’accentue en rien la présence du
rouge. En fait, elle supprime le rouge, provoquant le décalage de l’image vers le cyan
(la valeur secondaire du vert et du bleu). Pour accentuer le rouge, vous devez donc
réduire la valeur du paramètre Printer Points Red.
L’augmentation ou la réduction simultanée des trois paramètres Printer Points assombrit l’image (en cas d’augmentation des trois) ou l’éclaircit (en cas de réduction des
trois). Si vous appliquez des modifications inconsidérées aux trois canaux, vous modifiez la balance des couleurs de l’image, ce qui modifie sa couleur et autorise la correction ou l’introduction de dominantes de couleur.
Paramètres Printer Points
 Printer Points Calibration : cette valeur calibre le système Printer Points en fonction du
standard Gamma du film que vous souhaitez utiliser. La valeur par défaut, égale à 7,8,
est le résultat de la multiplication de la valeur 12 (points par ƒ-stop) par la valeur 0,65
(le standard Gamma par défaut du film utilisé). 0,65 * 12 = 7,8. Pour recalibrer le système en vue d’utiliser une valeur Gamma de film différente, insérez votre propre
valeur Gamma value dans cette équation.
 Printer Points Red : valeur à ajouter ou supprimer du canal rouge.
 Printer Points Green : valeur à ajouter ou supprimer du canal vert.
 Printer Points Blue : valeur à ajouter ou supprimer du canal bleu.
Remarque : le studio Color FX affiche également un nœud Printer Points, qui fonctionne
comme les paramètres décrits dans cette section.Chapitre 9 Primary In 239
Auto Balance
Ce bouton vous permet d’effectuer une analyse automatique du plan en cours, en se
basant sur l’image située à la position de la tête de lecture. Cette méthode s’avère utile
pour restaurer rapidement l’état neutre d’un plan problématique avec une dominante
de couleur peu apparente, avant de procéder à d’autres corrections colorimétriques.
Lorsque vous cliquez sur ce bouton, Color échantillonne automatiquement les cinq
pour cent les plus sombres et les plus clairs de l’image, ainsi que les pixels de tons
intermédiaires les plus neutres compris entre les deux précédents échantillons, afin
de déterminer comment appliquer des corrections sur les zones d’ombres, de tons
intermédiaires et de hautes lumières pour neutraliser toute dominante de couleur
présente dans l’image. De plus, le contraste de l’image est étendu au maximum pour
occuper toute la plage disponible entre 0 et 100.
Remarque : contrairement aux commandes Balance automatique du filtre Étalonnage
à 3 voies de Final Cut Pro, la commande Auto Balance est totalement automatique et né
nécessite aucune sélection préalable de certaines zones de l’image pour lancer l’analyse.
Pour utiliser le bouton Auto Balance :
1 Dans la Timeline, placez la tête de lecture sur une image représentative du plan dont
vous souhaitez automatiser la balance des couleurs.
2 Cliquez sur Auto Balance.
Une fois l’analyse effectuée, les paramètres Red, Green et Blue Lift et Gain affichés par
l’onglet Advanced dans le studio Primary In sont réglés automatiquement avec les
valeurs obtenues pour ces corrections. Le rendu des blancs, des gris et des noirs dans
l’image résultante doit être totalement neutre.240 Chapitre 9 Primary In
Comme les corrections nécessaires sont apportées au moyen des paramètres Lift et
Gain de l’onglet Advanced, les commandes principales Shadow, Midtone, Highlight
et Curves ne sont pas utilisées et restent à votre disposition pour appliquer d’autres
corrections à l’image.
Informations sur la copie, l’enregistrement et la gestion des jeux
d’étalonnage
Pour en savoir plus sur l’activation d’autres jeux d’étalonnage disponibles, l’utilisation
des commandes Copy to, ainsi que l’intérêt des chutiers de corrections et de jeux
d’étalonnages pour enregistrer et appliquer des réglages à d’autres plans de votre
projet, consultez le chapitre 13, « Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage », à
la page 299.10
241
10 Secondaries
L’étalonnage secondaire vous permet d’isoler une partie
de l’image et de l’ajuster de façon sélective sans que cela
n’affecte le reste de l’image.
Après avoir apporté les premières corrections à une séquence à l’aide du studio Primary In,
l’étape suivante consiste à passer au studio Secondaries afin de réaliser des ajustements
plus ciblés.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 Fonctions du studio Secondaries (p. 242)
 Premiers pas (p. 243)
 Choix de la région à corriger à l’aide des qualificateurs HSL (p. 244)
 Onglet Previews (p. 252)
 Isolement d’une zone à l’aide des commandes de vignette (p. 254)
 Ajustement des parties interne et externe de la sélection (p. 261)
 Utilisation des courbes secondaires (p. 263)
 Commandes de réinitialisation (p. 268)242 Chapitre 10 Secondaries
Fonctions du studio Secondaries
Le studio Secondaries a été conçu de façon à offrir une flexibilité optimale. Si son
objectif premier est de faciliter l’apport de corrections ciblées à des caractéristiques
précises d’une image, il peut également être utilisé pour réaliser diverses tâches.
 Isolement de zones en vue d’y apporter des corrections ciblées : il s’agit de la fonction
principale du studio Secondaries. Grâce à diverses techniques, vous pouvez exécuter
des fonctions permettant par exemple d’isoler les hautes lumières d’une image pour
modifier la qualité globale de la lumière, de cibler la couleur d’un vêtement trop
voyant pour la désaturer sans affecter le reste de l’image ou bien de sélectionner le
visage d’un acteur de façon à créer un effet « coup de soleil » via un flux de postproduction. Une fois que vous maîtrisez les techniques d’ajustement sélectif de l’image,
les possibilités sont infinies.
 Création d’effets de vignettes : habituellement les vignettes utilisées à des fins créatives ont pour effet d’assombrir les bords de l’image initialement créée à l’aide de
caches ou de filtres d’objectif. Vous pouvez créer n’importe quel type de vignette
à partir de formes prédéfinies ou personnalisées, afin d’assombrir (ou du moins de
marquer) certaines zones l’image. Les vignettes permettent d’attirer l’attention du
spectateur en mettant en évidence un sujet au premier plan ou en ombrant des élé-
ments de l’arrière-plan que vous ne souhaitez pas voir ressortir.
Avant Après
Avant AprèsChapitre 10 Secondaries 243
 Rectification numérique de l’éclairage sur des zones de l’image : la même fonctionnalité
peut être utilisée différemment, en dessinant des formes personnalisées pour isoler
des portions de l’image et ajouter des faisceaux ou des zones de lumières là où il n’y
en avait pas. Cela s’avère particulièrement utile lorsque la luminosité est trop faible et
que vous souhaitez rendre un élément de la scène plus intéressant.
 Apport de modifications ayant pour effet de changer la correction Primary In : le studio
Secondaries offre une fonctionnalité quelque peu originale, qui consiste à appliquer
une correction supplémentaire à l’ensemble de l’image, par-dessus la correction originale effectuée à l’aide du studio Primary In. Si vous n’utilisez aucun qualificateur secondaire, les ajustements effectués à l’aide des commandes de balance des couleurs, de
contraste et de saturation sont appliqués à l’ensemble de l’image, tout comme dans
le studio Primary In. Vous pouvez faire appel à cette fonctionnalité pour distinguer les
ajustements d’effets stylisés des corrections de base apportées dans le studio Primary In.
Pour en savoir plus sur ce type de flux de travaux, reportez-vous à la section « Utilisation
de tous les studios Primary, Secondary et Color FX pour gérer les corrections de
chaque plan » à la page 320.
Premiers pas
Le processus d’étalonnage secondaire, relativement simple, implique les étapes ci-après.
Étape 1 : Isoler la zone de l’image à ajuster
Il existe trois méthodes de base vous permettant d’isoler (on dit aussi qualifier) des élé-
ments ou zones d’une image dans le studio Secondaries :
 Sélection d’une gamme de couleurs, de degrés de saturation et de niveaux de luminosité.
 Utilisation d’une forme comme masque.
 Utilisation de l’une des courbes secondaires pour ajuster de façon sélective une partie du spectre.
Toutes ces méthodes sont expliquées dans le présent chapitre. Une fois que vous avez
sélectionné la zone de l’image à retravailler, le menu local Control vous permet d’appliquer des opérations distinctes sur la partie intérieure de cette zone et sur la partie exté-
rieure à celle-ci.
Avant Après244 Chapitre 10 Secondaries
Étape 2 : Effectuer des ajustements relatifs à la balance des couleurs, au contraste
et à la saturation
Après avoir sélectionné la zone à corriger, vous pouvez utiliser les mêmes commandes
de balance des couleurs, les mêmes curseurs primaires de contraste et les mêmes paramètres Lift/Gain/Gamma dans l’onglet Basic, ainsi que les paramètres RGB de l’onglet
Advanced, disponibles dans le studio Primary In. Pour en savoir plus sur ces commandes, reportez-vous au chapitre 9, « Primary In », à la page 191.
Remarque : le studio Secondaries propose un paramètre de correction supplémentaire,
non disponible dans les studios Primary In et Primary Out : le paramètre Global Hue.
Grâce à ce paramètre, vous pouvez faire pivoter la teinte de chaque couleur présente
dans l’image en une seule opération. À l’inverse des autres paramètres de l’onglet
Secondaries, le paramètre Global Hue affecte chaque pixel de l’image et n’est pas
limité par les qualificateurs HSL ou les commandes Vignette.
Étape 3 : Passer à l’onglet suivant (parmi les huit disponibles) pour apporter
d’autres corrections
Après avoir effectué les corrections de base, vous pouvez passer à l’opération secondaire
suivante. Le studio Secondaries permet d’effectuer jusqu’à huit opérations secondaires distinctes (ou seulement sept en mode simple affichage).
Dans les prochaines sections, vous allez apprendre à isoler des zones de l’image de
différentes façons.
Choix de la région à corriger à l’aide des qualificateurs HSL
L’une des méthodes les plus courantes permettant d’isoler un élément en vue de lui appliquer une correction ciblée consiste à utiliser les qualificateurs HSL (appelés ainsi car ils qualifient la partie de l’image à corriger) pour définir la clé de couleur sur la zone à étalonner.
Les initiales HSL correspondent aux termes anglais Hue, Saturation et Lightness, c’est-à-
dire Teinte, Saturation et Luminosité, les trois propriétés de couleur qui, réunies, définissent l’ensemble de la gamme de couleurs pouvant être représentée de façon numérique.
La qualification HSL est souvent l’un des moyens les plus rapides pour isoler les élé-
ments aux formes irrégulières ou les sujets en mouvement de l’image. Toutefois, comme
avec toute autre clé de chrominance ou de luminance, le sujet que vous tentez d’isoler
doit présenter une couleur ou un niveau de luminosité différent de celui de l’image qui
l’entoure. Fort heureusement, cela est assez fréquent et les teints de peau rougeâtres, le
ciel bleu, les vêtements ou objets à la saturation excessive et les zones d’ombres et de
hautes lumières sont souvent des sujets parfaitement adaptés à la correction secondaire.Chapitre 10 Secondaries 245
Si vous êtes habitué aux commandes d’effets de limite du filtre Étalonnage à 3 voies de
Final Cut Pro, vous verrez que les commandes HSL du studio Secondaries fonctionnent
plus ou moins de la même façon.
Les commandes HSL jouent le rôle de manipulateur de chrominance. En sélectionnant
des gammes de teinte, de saturation et de luminosité, vous créez un cache alors utilisé
pour définir la zone sur laquelle les corrections seront appliquées. Tout ce qui se trouve
en dehors du cache reste inchangé (vous pouvez néanmoins préciser quelle portion du
cache vous souhaitez ajuster, la partie interne ou externe).
Les commandes de qualificateurs HSL échantillonnent toujours les données à partir de
l’image d’origine non corrigée. Cela signifie que, quels que soient les ajustements effectués dans le studio Primary In, ce sont les valeurs de l’image d’origine qui sont utilisées
pour définir la clé. Par exemple, même si vous désaturez complètement l’image dans le
studio Primary In, vous pouvez quand même appliquer une clé chromatique dans le
studio Secondaries.
Image d’origine Paramètres du qualificateur HSL
Cache Image corrigée246 Chapitre 10 Secondaries
? Conseil : il n’est pas nécessaire d’utiliser les trois qualificateurs lorsque vous définissez
une clé de couleur pour une zone de l’image. Chaque qualificateur est associé à une
case à cocher pouvant être activée ou désactivée individuellement. Ainsi, si vous désactivez les commandes H et S (teinte et saturation), vous pouvez utiliser la commande L
(luminosité) en tant que manipulateur de luminance. Cette technique, très performante, vous permet d’isoler des zones d’une image uniquement en fonction de la
luminosité de celle-ci.
Création rapide de clés secondaires à l’aide de la pipette HSL
La pipette (outil Eyedropper), située dans la partie supérieure gauche de l’onglet Basic,
permet un échantillonnage facile et rapide de valeurs de couleur à partir des images
que vous corrigez.
Pour utiliser la pipette afin de définir une clé secondaire :
1 Cliquez sur la pipette.
Elle est alors mise en surbrillance et un curseur en croix apparaît au-dessus de l’image,
dans les moniteurs Preview et Broadcast. Ce curseur vous permet d’échantillonner les
valeurs HSL de pixels de l’image.
2 Déplacez la souris pour positionner le curseur en croix sur un pixel doté de la couleur
sur laquelle vous souhaitez définir la clé, puis cliquez une fois pour échantillonner la
couleur de ce pixel unique.Chapitre 10 Secondaries 247
Le curseur en croix disparaît et les commandes HSL sont ajustées de façon à inclure
les valeurs échantillonnées, afin de créer le cache de clé. En outre, le bouton Enabled
s’active automatiquement (ce qui active l’effet de l’opération secondaire dans cet
onglet). L’onglet Previews est sélectionné au milieu du studio Secondaries, affichant
le cache de clé créé par les qualificateurs HSL (pour en savoir plus, reportez-vous à la
section « Onglet Previews » à la page 252).
Une fois le cache de clé créé, l’étape suivante consiste à utiliser les commandes d’étalonnage situées dans la partie supérieure du studio Secondaries pour appliquer la correction proprement dite. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 9, « Primary In », à la
page 191.
En plus d’échantillonner des valeurs de couleur individuelles, vous pouvez également
utiliser la pipette pour échantillonner toute une plage de valeurs.
Pour utiliser la pipette pour échantillonner une plage de valeurs :
m Cliquez sur la pipette, puis faites glisser le curseur en croix sur l’étendue de pixels à
échantillonner.
Les commandes HSL se développent pour inclure la gamme complète des teintes, degrés
de saturation et niveaux de luminosité présents dans les pixels échantillonnés. Par consé-
quent, le cache de clé figurant dans l’onglet Previews est beaucoup plus complet.
Vous pouvez également utiliser la pipette pour développer un intervalle existant
de valeurs HSL.248 Chapitre 10 Secondaries
Pour développer la sélection HSL à l’aide de la pipette :
m Cliquez sur la pipette, puis maintenez la touche Maj enfoncée et cliquez sur un pixel
unique ou faites glisser le curseur en croix sur un intervalle de pixels.
Le curseur en croix disparaît et les commandes HSL sont développées de façon
à inclure l’intervalle des valeurs échantillonnées que vous avez sélectionnées, afin
de développer le cache de clé dans l’onglet Previews.
Remarque : lorsque vous sélectionnez un intervalle de plusieurs valeurs HSL, il peut
uniquement s’agir de valeurs adjacentes. Ainsi, vous ne pouvez pas exclure le jaune si
vous avec inclus le rouge et le vert (en supposant que vous deviez également exclure
le bleu, comme illustré dans la capture d’écran ci-dessous). Pour sélectionner des intervalles HSL non adjacents, vous devez utiliser plusieurs opérations secondaires.
Commandes HSL
Il n’est pas nécessaire d’utiliser la pipette pour sélectionner une plage de valeurs HSL.
Vous pouvez également utiliser les commandes HSL situées dans la partie supérieure
de l’onglet Basic pour sélectionner directement des gammes spécifiques de teinte, de
saturation et de luminosité.
Chacun de ces qualificateurs peut être activé ou désactivé individuellement. Un qualificateur activé participe à la création du cache de clé. La désactivation d’un qualificateur
implique que l’aspect de couleur associé ne sera pas utilisé.
À chaque qualificateur sont associés trois jeux de poignées, qui correspondent à trois
potentiomètres sur les surfaces de contrôle compatibles. Ces poignées peuvent également
être manipulées directement à l’écran à l’aide de la souris. Il s’agit des éléments suivants :
Plage
Centre
ToléranceChapitre 10 Secondaries 249
 Center : une poignée unique définit le milieu de l’intervalle de valeurs sélectionné.
 Range : une paire interne de poignées, situées de part et d’autre de la poignée centrale, définissent l’intervalle de valeurs initial participant à la création du cache de clé.
Il s’agit des pixels blancs unis visibles dans le cache.
 Tolerance : une paire externe de poignées définit une gamme qui entoure les valeurs
de l’intervalle pour créer une atténuation, donnant ainsi au cache de clé un contour
estompé. Il s’agit des pixels gris clair visibles dans le cache.
Pour régler le point central d’un qualificateur :
m Faites glisser le curseur vers l’intérieur des deux poignées Range.
Pour effectuer un réglage symétrique des poignées Range :
m Faites glisser directement les poignées Range ou faites glisser le curseur entre les poignées Range et Tolerance (si la tolérance est suffisamment large) afin d’élargir ou de
réduire l’intervalle.
Pour réaliser un ajustement asymétrique des poignées Range :
m Maintenez la touche Maj enfoncée et faites glisser la poignée à ajuster, tandis que
la poignée opposée reste en place.250 Chapitre 10 Secondaries
Lorsque vous effectuez un ajustement asymétrique, le point central se réajuste également en fonction du nouvel intervalle.
Remarque : il n’est pas possible d’effectuer un ajustement asymétrique à l’aide des
potentiomètres d’une surface de contrôle.
Pour ajuster les poignées Tolerance :
m Faites glisser le curseur vers l’extérieur des poignées Center, Range et Tolerance pour
élargir ou réduire le niveau de tolérance.
Vous pouvez également réaliser des ajustements asymétriques sur la tolérance
en maintenant la touche Maj enfoncée tout en faisant glisser le curseur.
Description des qualificateurs
 H (teinte) : définit la gamme de couleurs participant à la création de la clé. L’utilisation
du paramètre Hue seul pour définir un cache de clé peut renvoyer des résultats similaires à l’utilisation des courbes secondaires Hue, Sat et Lum. Étant donné que le spectre visible est représenté par un dégradé à ajustement automatique, les poignées H
sont les seules qui permettent de régler automatiquement les valeurs extrêmes de
cette commande, vous donnant ainsi la possibilité de sélectionner une gamme complète allant du bleu au vert, si nécessaire.
 S (saturation) : définit la gamme de niveaux de saturation participant à la création
de la clé. L’utilisation de la saturation seule pour définir un cache de clé peut être
efficace pour limiter manuellement les couleurs trop saturées. Si vous utilisez la saturation et la teinte mais excluez la luminosité, vous pouvez limiter manuellement des
couleurs spécifiques dans toute l’image.
 L (luminosité) : définit la gamme de niveaux de luminosité participant à la création
de la clé. L’utilisation de la luminosité seule pour définir un cache de clé constitue
une technique extrêmement performante, qui vous permet d’isoler rapidement des
zones des hautes lumières, des tons intermédiaires ou des ombres pour effectuer des
ajustements spécifiques, comme augmenter ou réduire la luminosité des ombres ou
bien encore manipuler la couleur au sein des hautes lumières.
 Bouton Reset : réinitialise les trois qualificateurs à leur état par défaut, qui correspond
à une sélection intégrale.Chapitre 10 Secondaries 251
Échantillons de couleurs
Un ensemble de six échantillons, présents sous les qualificateurs HSL, vous permettent
de définir automatiquement le qualificateur Hue sur une gamme étroite centrée sur
l’une des couleurs primaires bleu, rouge et vert, ainsi que sur l’une des couleurs secondaires cyan, magenta et jaune.
Les échantillons sont particulièrement utiles lorsque vous devez rapidement sélectionner des teintes pour un élément de l’image correspondant à l’une de ces couleurs. Lorsque vous choisissez un de ces échantillons, les commandes de saturation et de
luminosité restent totalement inchangées.
Pour ajuster le qualificateur Hue à l’aide de l’un des échantillons de couleurs :
m Cliquez sur un échantillon tout en appuyant sur la touche Maj.
Le qualificateur Hue est réinitialisé de façon à sélectionner la gamme de couleurs
correspondante.
Key Blur
Le paramètre Key Blur vous permet d’appliquer un flou uniforme sur le cache de clé,
afin d’estomper ce dernier. Cela peut grandement contribuer à rendre utilisable une
clé par ailleurs source de bruit ou difficile à exploiter. Par défaut, ce paramètre a la
valeur 0 et sa valeur maximale est de 8.
Remarque : vous pouvez définir manuellement le paramètre de flou de clé sur des
valeurs encore plus élevées en saisissant directement celles-ci dans le champ Key Blur.
Sans flou de clé Avec flou de clé252 Chapitre 10 Secondaries
L’un des intérêts de l’incrustation en vue de l’étalonnage réside dans le fait que, contrairement à l’incrustation visant à la création d’effets visuels, vous n’êtes pas toujours
obligé de créer des caches de clé dotés de bords parfaitement lisses ou de surfaces
intérieures totalement unies. Souvent, une clé apparemment médiocre fonctionnera
sans problème, en particulier lorsque l’ajustement est subtil, dans la mesure où l’effet
lui-même n’attire pas trop l’attention.
Par ailleurs, il est important de noter que parfois, le vide observé dans le cache de clé
qui vous préoccupe peut en fait correspondre à une ombre du sujet isolé, que vous ne
souhaitez pas inclure dans la correction.
Onglet Previews
L’onglet Previews est une fenêtre en deux parties qui vous guide à travers les étapes
d’ajustement lorsque vous utilisez les qualificateurs HSL et les commandes de vignette
décrits dans ce chapitre. Deux images basse résolution vous présentent différentes
vues de l’opération effectuée.
Vérification des clés secondaires lors de la lecture
Lors de la lecture, il est conseillé de vérifier l’aspect des clés secondaires que vous avez
définies. Parfois, une opération secondaire qui semblait parfaite lors de l’étalonnage pré-
sente des tremblements sur les bords ou des « claquements » résultant de bruits ou de
l’intégration d’un intervalle de valeurs marginales situées juste à l’extrémité de l’intervalle sélectionné (cela se produit souvent pour les éléments d’une image dont la clé est
difficile à définir). Dans ce cas, des ajustements supplémentaires peuvent être nécessaires pour éliminer le problème.
Par ailleurs, les clés secondaires qui fonctionnent correctement dans une partie d’une
séquence peuvent ne pas fonctionner de la même façon quelques secondes plus
tard, si la luminosité change. Avant de passer à l’étape suivante, il est toujours préfé-
rable de vérifier comment se présente une opération secondaire sur toute la durée
d’une séquence.Chapitre 10 Secondaries 253
Remarque : les options Matte Preview Mode et Vignette Outline n’apparaissent dans l’affichage Preview de la fenêtre Scopes que lorsque l’onglet Previews du studio Secondaries
est sélectionné.
 Vignette Previews : l’image de gauche illustre la position et la taille de la forme de vignette
actuellement sélectionnée, si cette option est activée. Lorsque vous utilisez les vignettes
de type Square ou Circle, cette fenêtre contient également une commande à l’écran qui
permet de déplacer, de redimensionner et d’estomper la vignette. En revanche, si vous
avez sélectionné une forme User Shape dans le studio Geometry, vous verrez un contour
non modifiable de cette forme. Pour en savoir plus sur les vignettes, reportez-vous à la
section suivante.
 HSL qualifier previews : l’image de droite illustre le cache généré par les qualificateurs
HSL. Cette fenêtre n’inclut pas le masque généré par les commandes de vignette et
n’affiche pas le cache HSL tel qu’il apparaît lorsque le paramètre Key Blur est utilisé.
(Le cache HSL final, tel qu’il a été modifié par les vignettes et le flou de clé, est uniquement visible dans l’écran Preview lorsque le mode Matte Preview Mode est défini
sur Matte Only.)
Les zones blanches du masque indiquent les portions de l’image sélectionnées par
les paramètres de qualification en cours, qui seront eux-mêmes affectés par les ajustements apportés. Les zones noires de l’image représentent les portions de l’image
qui restent inchangées.
 Boutons Matte Preview Mode : ces boutons déterminent quels éléments sont visibles
dans l’affichage Preview de la fenêtre Scopes. Trois modes sont disponibles :
 Final Image : affiche un aperçu de l’effet final. Celui-ci est semblable à l’aperçu
standard affiché dans la fenêtre Scopes, à ceci près qu’il affiche également le
contour des vignettes, si l’option correspondante est activée.
 Desaturated Preview : les zones de l’image qui sont sélectionnées avec les paramè-
tres de qualification en cours apparaissent en couleur, tandis que les zones inchangées sont désaturées et apparaissent en monochrome.
Boutons de
mode d’aperçu
du cache
Contour de
la vignette
Aperçu de la vignette Aperçu du cache généré par le qualificateur HSL254 Chapitre 10 Secondaries
 Matte Only : affiche le cache utilisé pour limiter l’effet. Celui-ci est semblable à
l’image affichée dans l’écran d’aperçu des qualificateurs HSL, si ce n’est qu’il affiche le cumul du masque de vignette et du masque HSL, ainsi que les résultats
du masque modifié par le paramètre Key Blur.
 Vignette outline : lorsque le bouton Vignette est activé, ce bouton vous permet
d’activer ou de désactiver le contour des vignettes présentes dans la fenêtre Preview.
Isolement d’une zone à l’aide des commandes de vignette
Les commandes de vignette constituent un moyen extrêmement rapide d’isoler des
zones de l’image dotées d’une géométrie arrondie ou rectangulaire, comme le visage
d’une personne en gros plan ou une fenêtre en arrière-plan. Les vignettes sont également utiles pour isoler des sujets dont la clé est trop difficile à définir à l’aide des qualificateurs HSL.
D’un autre côté, si le sujet auquel vous voulez associer une vignette bouge, vous devez
soit animer la forme avec des images clés de façon à bouger avec le sujet (reportezvous au chapitre 14, « Images clés », à la page 323), soit utiliser le suivi de l’animation
pour créer automatiquement un chemin que la forme devra suivre (Pour en savoir
plus, consultez le paragraphe « Onglet Tracking » à la page 345).
Option Final Image : Option Desaturated preview
Option Matte onlyChapitre 10 Secondaries 255
Les vignettes servent également à sélectionner des zones vastes dans l’image, en vue
de les éclaircir ou de les assombrir. Un exemple courant consiste à utiliser une forme
pour entourer une zone de l’image sur laquelle vous souhaitez attirer l’attention du
spectateur. Basculez vers le menu local Outside, puis assombrissez l’arrière-plan en
dehors de cette forme à l’aide des curseurs de contraste afin de faire « ressortir »
davantage le sujet, visuellement parlant.
Pour finir, si les vignettes rondes ou carrées ne suffisent pas à isoler un sujet aux formes irrégulières, vous pouvez créer une forme User Shape personnalisée dans l’onglet
Shapes du studio Geometry, puis utiliser cette forme pour limiter l’étalonnage. Vous
pouvez même créer des sujets complexes par rotoscopie (processus qui consiste à
retoucher une animation image par image), afin de créer des ajustements très précis,
trop difficiles à isoler à l’aide des seuls qualificateurs HSL.
Les formes personnalisées peuvent uniquement être éditées et animées dans le studio
Geometry, mais les caches créés peuvent servir à isoler des ajustements dans n’importe
lequel des huit onglets Secondaries.
Avant Après ajustement par vignette256 Chapitre 10 Secondaries
Commandes de vignette
Les commandes de vignette sont situées sous l’onglet Previews. Certaines peuvent également être manipulées à l’aide des contrôles d’écran de l’onglet Previews, au-dessus.
Remarque : si vous disposez d’une surface de contrôle compatible, vous pouvez également faire appel aux commandes associées pour personnaliser la vignette.
 Bouton Vignette : ce bouton active ou désactive la vignette pour l’onglet en cours.
 Use Tracker : si vous avez analysé un ou plusieurs outils de suivi de l’animation dans
le projet en cours, vous pouvez spécifier quel outil utiliser, par numéro, pour animer
automatiquement la position de la vignette. Pour détacher une vignette de l’influence
de l’outil de suivi, définissez cette valeur sur 0.
Remarque : lorsque l’option Use Tracker fait référence à un marqueur de suivi de
votre projet, la position de la vignette (sa poignée centrale) est automatiquement
déplacée pour correspondre à la position des images clés, le long du chemin d’animation du marqueur. Cela a pour conséquence de transformer immédiatement votre
vignette et vous pouvez continuer à faire des ajustements de position pour amener
la vignette précisément au bon endroit. C’est à noter plus particulièrement si le personnage auquel est appliquée la vignette n’est pas celui qui fait l’objet du suivi.
 Menu local Shape : permet de choisir la forme à utiliser pour la vignette.
 Square : rectangle personnalisable par l’utilisateur. Vous pouvez utiliser les contrô-
les d’écran de l’onglet Previews ou les autres paramètres de vignette cités ci-après
pour modifier sa position et sa forme.
 Circle : ovale personnalisable par l’utilisateur. Vous pouvez utiliser les contrôles
d’écran de l’onglet Previews ou les autres paramètres de vignette cités ci-après
pour modifier sa position et sa forme.
 User Shape : lorsque vous sélectionnez une forme User Shape dans le menu local
Shape, vous êtes automatiquement redirigé vers l’onglet Shapes du studio Geometry,
où vous pourrez cliquer pour ajouter des points et ainsi dessiner une forme personnalisée à utiliser comme vignette. Une fois que vous avez terminé, cliquez sur le bouton
Attach, puis revenez au studio Secondaries pour apporter des ajustements supplé-
mentaires. Lorsque vous utilisez une forme personnalisée comme vignette, le reste
des paramètres de vignette n’est pas disponible. Vous pouvez simplement modifier et
animer cette forme depuis l’onglet Shapes du studio Geometry. Pour en savoir plus,
consultez la section « Onglet Shapes » à la page 337.
Les paramètres suivants sont uniquement disponibles lorsque vous utilisez les options
Square ou Circle du menu local Shape.Chapitre 10 Secondaries 257
 Angle : fait pivoter la forme actuelle. Il n’existe aucune commande à l’écran pour
ce paramètre.
 X Center : ajuste la position horizontale de la forme.
 Y Center : ajuste la position verticale de la forme.
 Softness : applique un effet de flou au contour de la forme.
 Size : agrandit ou rétrécit la forme.
 Aspect : ajuste le rapport hauteur/largeur de la forme.
Utilisation des contrôles d’écran pour ajuster les formes de vignette
Les paramètres X Center, Y Center, Softness, Size et Aspect peuvent tous être ajustés via
les contrôles d’écran disponibles dans l’image de gauche de l’onglet Preview.
Remarque : bien qu’il soit également possible de visualiser les contours correspondant aux
contrôles d’écran dans la zone Preview de la fenêtre Scopes lorsque le bouton Vignette
Outline est activé, ces contours de commande ne sont pas activés dans cette zone. Vous
ne pouvez effectuer ces ajustements que dans l’onglet Previews.
Pour déplacer la vignette :
m Faites glisser le curseur à l’intérieur ou à l’extérieur de la forme dans l’onglet Previews
pour déplacer la vignette dans cette direction.
Les paramètres X Center et Y Center sont ajustés simultanément. Color utilise le même
système de coordonnées que Final Cut Pro pour définir une position.258 Chapitre 10 Secondaries
Pour redimensionner la vignette :
m Faites glisser l’un des quatre angles de la vignette pour la redimensionner par rapport
à l’angle opposé qui, lui, reste verrouillé.
m Tout en appuyant sur la touche Option, faites glisser le curseur pour redimensionner
la vignette par rapport à son centre, représenté par un curseur en croix vert.
m Tout en appuyant sur la touche Maj, faites glisser le curseur pour redimensionner la
vignette tout en verrouillant son aspect, en agrandissant ou en réduisant la forme sans
modifier son rapport hauteur/largeur.
En fonction de l’opération effectuée, les paramètres X Center, Y Center, Size et Aspect
peuvent également être ajustés.
Pour ajuster l’atténuation de la vignette :
m Cliquez sur la molette de la souris et faites glisser pour appliquer un effet de flou au
contour de la vignette.
Cela a pour effet d’ajuster le paramètre Softness. Le degré d’atténuation est représenté
dans l’onglet Previews par une paire de cercles concentriques. Le cercle interne indique où commence le flou, le cercle externe où il se termine, ainsi que la forme.
Animation de vignettes
L’une des opérations les plus courantes consiste à placer un ovale sur le visage d’une
personne, puis d’éclairer cet ovale ou d’obscurcir tout le reste pour attirer davantage
l’attention sur le visage du sujet. Si le sujet reste immobile, cette opération est facile à
réaliser. En revanche, s’il commence à bouger ou à se déplacer, vous devrez animer la
vignette à l’aide d’images clés, de façon à ce que l’effet d’éclairage suive le sujet. Pour
en savoir plus sur l’animation à l’aide d’images clés, reportez-vous au chapitre 14,
« Images clés », à la page 323.
Une autre possibilité consiste à utiliser l’outil de suivi de l’animation pour suivre automatiquement les mouvements du sujet, puis appliquer le mouvement analysé à la
vignette. Pour en savoir plus, consultez la section « Onglet Tracking » à la page 345.Chapitre 10 Secondaries 259
Utilisation d’une forme personnalisée pour appliquer une vignette
La procédure suivante explique comment utiliser l’option User Shape du menu local
Shape associé aux commandes de vignette.
1 Ouvrez le studio Secondaries, cliquez sur l’un des huit onglets pour sélectionner l’opé-
rateur secondaire à utiliser, puis activez les cases à cocher Enabled et Vignette pour
activer les commandes de vignette.
2 Sélectionnez l’option User Shape dans le menu local Shape.
L’onglet Shapes du studio Geometry s’ouvre immédiatement. La liste des formes qu’il
contient, disponible sur la droite, comporte une nouvelle forme prête à être modifiée.
3 Cliquez dans la zone d’aperçu Geometry pour ajouter des points de contrôle autour de
l’élément que vous souhaitez isoler, puis cliquez sur le premier point de contrôle créé
pour fermer la forme et mettre fin à l’ajout de points.
Par défaut, les formes tracées dans le studio Geometry sont des B-splines, qui utilisent
les points de contrôle non associés à la forme créée pour mettre cette dernière en
place (de la même façon que les B-splines utilisées par les commandes de courbe
dans les studios Primary In et Primary Out). Vous pouvez également transformer ces
formes en polygones simples si vous avez besoin d’une forme dotée d’angles plutôt
que de courbes. Pour cela, cliquez sur le bouton Polygon de l’onglet Shapes.
Remarque : si vous n’êtes pas sûr du nombre de points de contrôle à ajouter pour créer
la forme souhaitée, n’hésitez pas à en créer plus que le nombre apparemment requis.
Une fois la forme créée, il est très facile de modifier ses points. En revanche, vous ne
pouvez pas ajouter ou supprimer des points de contrôle pour une forme déjà créée.260 Chapitre 10 Secondaries
4 Si nécessaire, modifiez la forme pour qu’elle soit mieux adaptée à l’élément que vous
tentez d’isoler. Pour cela, faites glisser les points de contrôle pour manipuler la forme.
5 Pour adoucir les bords de la forme, augmentez la valeur du paramètre Softness.
Deux formes modifiables supplémentaires apparaissent à l’intérieur et à l’extérieur de
la forme que vous avez tracée. La forme interne indique où commence l’adoucissement des bords, tandis que la forme externe indique l’extrémité de la forme adoucie.
Si nécessaire, vous pouvez ajuster chaque bordure indépendamment.
6 Si vous le souhaitez, vous pouvez saisir un nom identifiant la forme dans le champ
Shape Name, puis appuyer sur Entrée pour valider la modification.
7 Cliquez sur Attach, en haut de l’onglet Shapes, pour associer la forme que vous venez
de créer à l’onglet du studio Secondaries dans lequel vous vous trouviez à l’instant (le
numéro de l’onglet secondaire doit être affiché dans le champ Current Secondary, en
haut de l’onglet Shapes).Chapitre 10 Secondaries 261
8 Au besoin, vous pouvez également ajouter des images clés ou la fonction de suivi
de l’animation pour animer la forme en fonction des mouvements de la caméra ou
du sujet. Ainsi, la forme créée suit parfaitement l’action de la séquence.
9 Une fois la forme terminée, ouvrez le studio Secondaries.
La forme créée est ensuite visible à l’intérieur de la zone de vignette de l’onglet Previews.
À ce stade, le cache créé par la forme peut servir à limiter les corrections apportées,
comme c’est le cas pour tout autre cache secondaire.
Lorsque vous utilisez une forme personnalisée, les commandes de vignette de l’onglet
secondaire auquel la forme est assignée sont désactivées. Si, à un moment donné, vous
devez modifier la forme, vous devez procéder dans le studio Geometry. Les corrections
secondaires qui utilisent cette forme seront automatiquement mises à jour pour reflé-
ter les modifications apportées.
Utilisation simultanée de l’incrustation secondaire et des vignettes
Lorsque vous activez les commandes de vignette tout en utilisant les qualificateurs HSL
pour créer une clé secondaire, la vignette limite le cache créé par la clé. Cela peut s’avé-
rer extrêmement utile lorsque le meilleur cache de clé que vous arrivez à produire pour
isoler un élément de l’image entraîne des sélections non souhaitées en arrière-plan,
que vous ne parvenez pas à éliminer sans réduire la qualité du cache. Dans ce cas, vous
pouvez utiliser la vignette comme cache patate, pour éliminer les sections du cache de
clé qui se situent en dehors de la forme de vignette.
Ajustement des parties interne et externe de la sélection
Pour spécifier si les commandes de couleur, de contraste et de saturation s’appliquent
à la partie interne ou à la partie externe de l’élément isolé, vous devez utilisez le menu
local Control. L’une des fonctionnalités les plus intéressantes du studio Secondaries est
sa capacité à appliquer des corrections séparées aux parties interne et externe d’un
cache secondaire dans le même onglet. Cela signifie que chacun des huit onglets
secondaires peut comporter deux corrections distinctes.262 Chapitre 10 Secondaries
Dès que vous sélectionnez une autre zone à retravailler, les commandes se mettent
à jour pour refléter ces réglages.
Le menu local Control fournit également des options supplémentaires permettant
de modifier ces réglages.
 Inside : réglage par défaut. Lorsque l’option Inside est définie, tous les ajustements
effectués s’appliquent à la partie intérieure du cache secondaire (la zone en blanc,
lorsque vous regardez le masque lui-même).
 Outside : lorsque l’option Outside est définie, tous les ajustements effectués dans
l’onglet en cours s’appliquent à la partie externe du cache secondaire (la zone en
noir). Réaliser un ajustement par assombrissement sur la partie externe d’un cache
circulaire qui entoure l’intégralité de l’image et auquel un adoucissement des bords
a été appliqué constitue l’une des façons de créer un effet de vignette traditionnel.
 Copy Inside to Outside : copie la correction actuellement appliquée à la partie interne
du cache sur la partie externe. Cette opération est pratique si vous souhaitez copier
la même correction sur la partie externe, avant d’effectuer une petite modification.
Ainsi, la différence entre les corrections appliquées à la partie interne et la partie
externe reste minime.
 Copy Outside to Inside : copie la correction appliquée à la partie externe sur la partie
interne.
Avant l’ajustement intérieur Après
Avant l’ajustement extérieur AprèsChapitre 10 Secondaries 263
 Swap : permute les corrections appliquées aux parties interne et externe du cache
secondaire, de sorte qu’elles se retrouvent inversées.
Utilisation des courbes secondaires
Contrairement à ce que leur nom semble suggérer, les courbes secondaires sont en
fait un ensemble de commandes très performantes qui vous permettent de réaliser
des ajustements spécifiques aux paramètres de teinte, de saturation et de luminance
d’une image, uniquement à partir des zones de teinte spécifiées à l’aide de points de
contrôle placés sur une courbe.
Important : les courbes ne peuvent pas être animées à l’aide d’images clés, mais quasiment tout autre paramètre des studios Primary In et Secondaries peut l’être.
Le fonctionnement de ces courbes est très différent de celui des commandes de
courbe disponibles dans le studio Primary In. Par défaut, chaque courbe secondaire est
une ligne plane horizontale qui passe au milieu de la zone graphique.
Le spectre visible est représenté le long de la surface de la courbe par un dégradé à
ajustement automatique, dont les extrémités sont automatiquement renvoyées de
l’autre côté de la courbe. Les points de contrôle situés sur la gauche et sur la droite
de cette courbe sont liés de sorte que, lorsque vous en déplacez un, l’autre bouge
en même temps. Cela garantit une transition en douceur si vous apportez des ajustements au niveau de la couleur rouge.264 Chapitre 10 Secondaries
L’ajout de points à la surface de cette courbe vous permet de définir les zones de
teinte à ajuster. Si vous faites monter la courbe dans ces zones, la valeur de l’aspect
de couleur modifié par une courbe donnée augmente. Si vous faites descendre la
courbe, la valeur diminue.
Par exemple, si vous ajoutez quatre points de contrôle à la courbe de saturation pour
réduire la gamme allant du vert au bleu, vous pouvez sans problème désaturer tous
les éléments bleus et verts de l’image, tout en laissant intactes les autres couleurs.
Avant Après
Réglage de la courbe de saturationChapitre 10 Secondaries 265
L’un des aspects les plus appréciables de ces commandes vient du fait qu’elles permettent des ajustements très spécifiques visant à rétrécir ou élargir des zones de couleur,
avec des transitions extrêmement douces entre les zones corrigées et les zones non
corrigées de l’image. Dans de nombreux cas, les résultats seront bien meilleurs que
ce qu’auraient permis les qualificateurs HSL.
Un autre atout dont bénéficient ces commandes par rapport aux qualificateurs HSL
est qu’ils permettent de réaliser des ajustements simultanés sur des gammes de teintes non adjacentes. En d’autres termes, vous pouvez amplifier ou réduire les valeurs
des zones de rouge, de vert et de bleu d’une image, tout en minimisant l’effet de cet
ajustement sur les zones de jaune, de cyan et de magenta.
Les courbes secondaires utilisent des B-splines, tout comme les commandes des courbes primaires. En fait, vous pouvez ajouter et modifier des contrôles de point sur les
courbes secondaires exactement de la même façon. Pour en savoir plus, consultez la
section « Modification des points de contrôle et des courbes B-Splines » à la page 222.
Important : les ajustements réalisés à partir des courbes secondaires s’appliquent toujours aux teintes animées avec des images clés de l’image entière et ne sont pas limités par les commandes Vignette ou HSL.266 Chapitre 10 Secondaries
Onglet Hue Curve
Lorsque vous augmentez ou diminuez une partie de la courbe de teinte secondaire, vous
réalisez un ajustement de teinte semblable à ce que vous faites lorsque vous utilisez la
commande Global Hue, à ceci près que vous ne faites pivoter que la valeur de teinte de
la gamme de teintes sélectionnée spécifiée par la courbe. Si vous faites monter la courbe,
la valeur s’approche du rouge, si vous la faites descendre, la valeur s’approche du bleu.
Cette commande peut être utile pour réaliser de petits ajustements superficiels à la
section rouge/orange du spectre qui concerne les teints de peau, afin d’ajouter ou
de supprimer rapidement des couleurs chaudes.
Avant
Réglage de la courbe des teintes
AprèsChapitre 10 Secondaries 267
Onglet Sat Curve
Faire monter la courbe de saturation augmente le degré de saturation dans la portion
du spectre concernée, alors que le fait de la faire descendre diminue le degré de saturation. Cet outil est très performant pour créer des thèmes stylisés qui rehaussent ou
atténuent des couleurs spécifiques de l’image.
Avant
Réglage de la courbe de saturation
Après268 Chapitre 10 Secondaries
Onglet Lum Curve
Faire monter la courbe de luminance augmente la luminosité des couleurs dans la portion du spectre concernée, alors que le fait de la faire descendre assombrit les couleurs.
Faites appel à cet outil lorsque vous devez ajuster le contraste dans des zones de couleur spécifiques.
Commandes de réinitialisation
Le studio Secondaries est doté de deux boutons de réinitialisation.
 Bouton Reset Secondary : réinitialise uniquement l’onglet secondaire actuellement
ouvert.
 Bouton Reset All Secondaries : réinitialise tous les onglets secondaires du studio
Secondaries. Utilisez ce bouton avec précaution.
Avant
Réglage de la courbe de luminance
Après11
269
11 Color FX
Lorsque les contrôles d’étalonnage principal et secondaire
ne suffisent pas à créer l’aspect voulu, Color FX permet de
créer des effets sophistiqués via une interface utilisateur
arborescente.
Le studio Color FX est un environnement d’effets structuré de façon arborescente. Il a
été conçu comme une boîte à outils extensible que vous pouvez utiliser pour créer des
aspects personnalisés en traitant une image par le biais de combinaisons d’opérations
prenant la forme de nœuds. Chaque nœud est une opération de traitement d’image individuelle et en connectant ces nœuds, constituant ainsi des combinaisons ou arborescences
de nœuds, vous pouvez créer des effets sophistiqués de plus en plus complexes.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 L’interface Color FX (p. 270)
 Utilisation de Color FX (p. 270)
 Création et connexion de nœuds (p. 272)
 Ajustement des paramètres des nœuds (p. 274)
 Omission de nœuds (p. 276)
 Création d’effets dans le studio Color FX (p. 276)
 Utilisation de Color FX avec des plans entrelacés (p. 282)
 Enregistrement des effets préférés dans le chutier Color FX (p. 283)
 Guide de référence des nœuds (p. 284)270 Chapitre 11 Color FX
L’interface Color FX
Le studio Color FX est divisé en quatre zones principales :
 Liste Node : liste sur la gauche du studio Color FX contenant chaque opération de
traitement d’image pouvant être ajoutée. Certains de ces nœuds sont à entrée simple, effectuant cette opération sur chaque image insérée, tandis que d’autres sont à
entrée multiple, utilisant plusieurs copies de travail de l’image et les combinant via
différentes méthodes. Tous les nœuds sont ordonnés alphabétiquement.
 Vue Node : il s’agit d’une zone située au centre du studio Color FX, où les nœuds que
vous créez sont affichés, interconnectés et disposés en arborescences de nœuds qui
créent l’effet.
 Onglet Parameters : lorsque vous sélectionnez un nœud dans la vue Node, ses paramè-
tres s’affichent dans cet onglet afin que vous puissiez les ajuster et les personnaliser.
 Chutier Color FX : ce chutier fonctionne de façon similaire aux chutiers Correction et
Grades, vous permettant d’enregistrer les effets créés à des fins d’utilisation ultérieure.
Utilisation de Color FX
Le studio Color FX n’est pas un environnement de mixage dans lequel vous pouvez
combiner plusieurs images. La seule image que vous pouvez insérer dans ce studio
pour traitement est celle du plan en cours.
Fonctionnement des arborescences de nœuds
Dans la chaîne de traitement des images Color, le studio Color FX traite l’image telle
qu’elle apparaît après que des corrections aient été appliquées dans les studios Primary
et Secondaries. Les entrées de nœud non liées se connectent automatiquement à l’état
de l’image affecté par les studios Primary et Secondaries. Chaque arborescence de nœuds
débute ainsi, avec une entrée vide automatiquement connectée à l’image corrigée.
Remarque : la seule exception est le nœud Color, qui génère une image de couleur
unie que vous pouvez utiliser avec des nœuds mathématiques à entrée multiple pour
nuancer une image de différentes façons.Chapitre 11 Color FX 271
Pour effectuer plus d’opérations sur une image, il suffit simplement d’ajouter d’autres
nœuds, en connectant les sorties des nœuds précédemment ajoutés aux entrées de
nouveaux nœuds via des boucles (noodles).
Vous pouvez considérer une arborescence de nœuds comme une cascade de données
de traitement d’image. Les opérations de traitement d’image commencent en haut,
puis descendent en cascade, de nœud en nœud. Chaque nœud applique son effet sur
l’image sortant du nœud situé au-dessus, jusqu’à ce que le bas de l’arborescence soit
atteint, où l’image est à son état final.
Le dernier nœud de toute arborescence doit être le nœud Output. Il s’agit du nœud qui
renvoie l’image ayant été traitée par le studio Color FX dans la chaîne de traitement des
images Color. S’il n’existe pas de nœud Output ou s’il est déconnecté, l’arborescence de
nœuds n’aura aucun effet sur le plan et son effet ne sera pas rendu par la file d’attente
de rendu.
Remarque : la barre CFX n’apparaît que dans la piste des jeux d’étalonnage, pour
les plans pour lesquels ont été créés des nœuds de sortie.272 Chapitre 11 Color FX
Entrées et sorties de nœuds
Les nœuds à entrée simple appliquent une opération à l’image. Ils ne peuvent traiter
qu’une seule image entrante à la fois et vous ne pouvez donc connecter qu’une seule
boucle à une entrée.
Les nœuds à entrée multiple sont conçus pour combiner plusieurs variations de l’image
de différentes façons, afin de ne générer qu’un seul effet combiné. Ces nœuds fournissent plusieurs entrées afin que vous puissiez connecter plusieurs boucles.
Par contre, toute sortie de nœud peut être connectée à plusieurs nœuds ce qui permet
d’intégrer plusieurs copies de travail identiques de l’image à ce stade dans l’arborescence, afin d’y appliquer plusieurs opérations.
Création et connexion de nœuds
Dans cette section, vous allez apprendre les méthodes utilisées pour ajouter, supprimer et disposer des nœuds dans une arborescence et ce, afin de créer des effets.
Pour ajouter un nœud à la vue Node, procédez de l’une des manières suivantes :
m Double-cliquez sur un nœud de la liste.
m Sélectionnez un nœud dans liste, puis cliquez sur Add.
m Faites-glisser un nœud depuis la liste dans la vue Node.
Les nouveaux nœuds apparaissent toujours déconnectés dans la vue Node.Chapitre 11 Color FX 273
Pour supprimer un ou plusieurs nœuds de la vue Node :
m Sélectionnez un ou plusieurs nœuds dans la vue Node, puis cliquez sur Delete ou
Forward Delete.
Le nœud disparaît et les boucles connectées à celui-ci sont déconnectées.
Pour connecter la sortie d’un nœud à l’entrée d’un autre :
m Faites-glisser une boucle depuis la sortie d’un nœud vers l’entrée d’un autre.
Les boucles sont vertes lorsqu’elles sont créées, mais deviennent grises lorsqu’elles
sont connectées.
Remarque : lorsque vous positionnez le pointeur sur l’entrée d’un nœud, une petite
bulle d’aide s’affiche, indiquant son nom.
Si vous voulez que l’effet d’un nœud ne s’applique pas, vous pouvez cliquer sur son
bouton Bypass, en haut de l’onglet Parameters.
Pour déconnecter un nœud de celui du dessus :
m Faites glisser une boucle depuis l’entrée du nœud que vous voulez déconnecter vers
une zone vide de la vue Node.
Lorsque vous travaillez sur des arborescences volumineuses, il est judicieux de bien
les structurer afin qu’elles soient claires.274 Chapitre 11 Color FX
Pour réorganiser des nœuds dans la vue Node, procédez de l’une des manières
suivantes :
m Faites glisser un nœud dans une direction.
m Faites glisser une zone de sélection sur un groupe de nœuds, puis faites glisser l’un
des nœuds sélectionnés dans une direction pour les déplacer ensemble.
Ajustement des paramètres des nœuds
Le fonctionnement de la plupart des nœuds peut être personnalisé via des paramètres
variant d’un nœud à un autre, selon sa fonction. Tous les paramètres des nœuds figurent
dans l’onglet Parameters, sur la droite du studio Color FX.
Pour afficher les paramètres d’un nœud dans l’onglet Parameters :
m Cliquez une fois sur le nœud à modifier.
Le nœud sélectionné s’affiche en cyan et s’il a des paramètres, ils s’affichent à droite
et peuvent être modifiés. Vous pouvez modifier les paramètres du nœud de la même
façon que dans d’autres studios.
Vous pouvez aussi choisir à quel stade d’une arborescence de nœuds vous voulez
visualiser l’image.
Pour afficher l’image traitée au niveau d’un nœud dans la vue Node :
m Double-cliquez sur le nœud à afficher.
Le nœud visualisé apparaît en jaune et l’image telle qu’elle apparaît au niveau de celuici dans l’arborescence figure dans les affichages Preview et Broadcast.Chapitre 11 Color FX 275
Remarque : étant donné que le double clic sur un nœud entraîne le chargement de
l’image correspondante et l’ouverture des paramètres correspondants sous l’onglet
Parameters, il apparaît également encadré de bleu.
Lorsque vous créez des effets multinœuds, il est souvent utile de visualiser un nœud
figurant au bas de l’arborescence lorsque vous ajustez un nœud situé plus haut. Ainsi,
vous pouvez ajuster n’importe quel paramètre tout en visualisant son effet sur l’ensemble de l’arborescence.
Dans l’exemple ci-après, on crée un aspect vaporeux mais très contrasté à l’aide d’une
série de nœuds composée des nœuds B&W, Curve et Blur d’un côté (pour créer la couche vaporeuse) et le nœud Bleach Bypass de l’autre (qui apporte un fort contraste), les
deux côtés étant reliés par un nœud Multiply pour créer la combinaison.
En peaufinant cet effet, vous souhaiterez ajuster le degré d’inclusion de l’image originale en noir et blanc à l’effet final en ajustant le nœud Curve, mais vous devez voir la
sortie du nœud Multiply pour savoir quel niveau d’ajustement vous devez effectuer.
Pour cela, double-cliquez sur le nœud Multiply afin d’en faire le nœud visualisé (surligné en jaune).
Puis cliquez une fois sur le nœud Curve pour charger ses paramètres sous l’onglet
Parameters (le nœud est alors encadré en cyan).276 Chapitre 11 Color FX
Omission de nœuds
Chaque nœud est doté d’un bouton Bypass figurant en haut de sa liste de paramètres.
Cliquez dessus pour désactiver l’effet qu’a ce nœud sur l’arborescence sans supprimer
le nœud de la vue Node.
Les nœuds ignorés sont soulignés d’une ligne pointillée orange.
Si vous voulez suspendre l’effet d’une arborescence de nœuds entière sans la supprimer ou activer le bouton Bypass de chaque nœud, vous devez déconnecter entièrement le nœud Output.
Création d’effets dans le studio Color FX
Cette section présente certaines des opérations les plus courantes effectuées dans
le studio Color FX.
Utilisation des nœuds à entrée simple
L’utilisation la plus simple de ce studio consiste à appliquer un ou deux nœuds à entrée
simple pour créer un effet stylisé. Dans ce cas, il vous suffit d’ajouter les nœuds à utiliser, de les connecter dans l’ordre dans lequel vous voulez qu’ils soient appliqués, puis
d’ajouter un nœud Output à la fin.Chapitre 11 Color FX 277
Dans l’exemple suivant, un nœud Bleach Bypass (qui modifie la saturation et le contraste d’une image pour simuler un traitement de film chimique) est suivi d’un nœud
Curve (pour modifier plus avant le contraste de l’image), suivi par le nœud Output qui
doit être ajouté à la fin de toutes les arborescences de nœuds.
Utilisation des nœuds de surimposition
Une utilisation plus sophistiquée des nœuds consiste à faire appel à des nœuds à
entrée multiple pour combiner au moins deux copies de travail de l’image traitées
séparément afin d’obtenir un effet combiné.
Dans l’un des exemples les plus simples, vous pouvez nuancer une image en connectant un nœud Color (qui génère une couleur définissable par l’utilisateur) à une entrée
d’un nœud de surimposition Multiply.278 Chapitre 11 Color FX
Ceci multiplie la couleur avec l’image corrigée (rappelez-vous que les entrées déconnectées se lient toujours aux données de l’image corrigée). En raison du mode de fonctionnement de la multiplication des images, les zones les plus claires de l’image sont
nuancées, alors que les zones progressivement plus sombres sont moins nuancées et
les zones noires restent inchangées.
Dans un exemple légèrement plus complexe, l’image est traitée via trois nœuds : un
nœud Duotone (qui désature l’image et mappe de nouveau le noir et blanc en deux
couleurs personnalisables), un nœud Curve (pour assombrir les tons intermédiaires) et
un nœud Blur. Le résultat est connecté à une entrée d’un nœud Add (les deux paramè-
tres BIas étant définis sur 1).
Les nœuds Duotone, Curve et Blur nuancent, assombrissent et rendent floue l’image
avant de l’ajouter à l’image corrigée (provenant de l’entrée 2). Le résultat obtenu est
un effet de diffusion avec des hautes lumières chaudes et éclatantes.Chapitre 11 Color FX 279
Explication sur les nœuds de surimposition mathématiques
Les nœuds de surimposition présentés dans l’exemple précédent font appel à des calculs simples pour combiner deux copies de travail de l’image modifiées différemment.
Ces opérations mathématiques reposent sur la méthode numérique suivante de repré-
sentation des tonalités dans chacun des trois canaux de couleur d’une image :
 Noir = 0 (donc noir pour RVB = 0, 0, 0)
 Les valeurs de tons intermédiaires dans chaque canal sont fractionnaires, de .00001
à .999999
 Blanc = 1 (donc blanc pour RVB = 1, 1, 1)
Gardez ces valeurs à l’esprit en lisant les sections suivantes.
Add
Les pixels de chaque image d’entrée sont ajoutés. Les pixels noirs ont la valeur 0, donc
l’ajout de noir à une autre couleur ne provoque aucun changement de l’image. Toutes
les autres valeurs sont augmentées de la somme des deux valeurs. L’ordre dans lequel
les entrées sont connectées n’a pas d’importance.
Les opérations d’ajout conviennent particulièrement bien à la création d’effets éclatants
agressifs, car elles ont tendance à augmenter les niveaux très rapidement en fonction des
images d’entrée. Notez que la meilleure façon d’agir sur les zones de l’image qui sont
affectées lors de l’utilisation d’une opération d’ajout est de régler de façon « agressive » le
contraste de l’une des images d’entrée. Plus une zone est sombre, moins elle aura d’effet.
Remarque : par défaut, les paramètres Bias du nœud Add divisent les valeurs de chaque image d’entrée par deux avant de les ajouter. Si les résultats ne sont pas aussi vifs
que vous le souhaitez, définissez les paramètres Bias Source 1 et Source 2 sur 1.
Difference
Les pixels de l’image connectée à Source 1 sont soustraits de ceux de l’image connectée à Source 2. Les pixels noirs ont la valeur 0, donc toute couleur à laquelle est soustrait du noir ne change pas par rapport à l’image Source 1. L’ordre dans lequel les
entrées sont connectées est important.
Ce nœud est utile pour assombrir l’image Source 1 basée sur la luminosité de l’image
Source 2.280 Chapitre 11 Color FX
Multiply
Les pixels de chaque image d’entrée sont multipliés. Les pixels blancs ont la valeur 1,
donc la multiplication du blanc avec une autre couleur ne provoque aucun changement de l’image. Cependant, lorsque le noir (0) est multiplié avec une autre couleur,
le résultat est noir.
Lors de la multiplication de deux images, leurs parties les plus sombres restent inchangées, alors que leurs parties les plus claires sont les plus affectées. Ceci est utile pour
les opérations de nuançage, comme indiqué précédemment, ainsi que pour les opérations où vous voulez combiner les parties les plus sombres de deux images.
Isolement de parties d’une image
Une autre méthode courante de création d’un effet de surimposition consiste à utiliser
un cache en niveaux de gris pour contrôler à quel endroit d’une image deux entrées
sont ajoutées. Le nœud Alpha Blend a trois entrées qui sont combinées pour créer
exactement cet effet.
Ce nœud fusionne l’entrée Source 2 avec l’entrée Source 1 dans toutes les zones où
l’image d’entrée Source 3 Alpha est blanche. Quand l’image d’entrée Alpha est noire,
seule l’entrée Source 1 est affichée.Chapitre 11 Color FX 281
Toute image à niveaux de gris peut être utilisée afin de créer un cache que vous pouvez connecter à l’entrée Alpha, pour obtenir divers effets. Dans l’exemple suivant, un
nœud Curve est utilisé pour manipuler le contraste de l’image de sorte qu’un nœud
Edge Detector puisse plus aisément isoler les bords de l’image pour créer un cache en
niveaux de gris, un nœud Blur est utilisé pour adoucir le cache des bords et un nœud
Invert est utilisé pour inverser les zones noires et blanches du cache de sorte que les
bords de la face deviennent les zones du cache qui sont transparentes, ou qui ne doivent pas être ajustées.
Ce cache est connecté à l’entrée Alpha du nœud Alpha Blend (la troisième entrée).
Un nœud Blur est alors connecté à l’entrée Source 2. 282 Chapitre 11 Color FX
Le nœud Blur rend floue l’image corrigée, mais l’image du cache connectée à l’entrée
Alpha limite son effet aux zones de l’image n’incluant pas le détail autour des bords qui
étaient isolés via le nœud Edge Detector.
Comme vous pouvez le voir, l’image connectée à l’entrée Alpha du nœud Alpha Blend
limite la façon dont les entrées Source 1 et Source 2 sont combinées. Il ne s’agit que
d’un exemple de la puissance du nœud Alpha Blend. Vous pouvez utiliser ce nœud
pour limiter un grand nombre d’effets différents.
Utilisation de Color FX avec des plans entrelacés
L’une des limites du studio Color FX est que de nombreux effets doivent être spécialement assemblés lorsque vous travaillez sur une vidéo entrelacée.
Lorsque vous créez un effet pour un plan entrelacé, vous devez séparer chaque trame
au début de l’arborescence de nœuds avec deux nœuds Deinterlace, l’un défini sur
Even et l’autre sur Odd. Une fois ceci fait, vous devez traiter chaque trame via des arborescences de nœuds identiques.
Lorsque vous avez obtenu l’effet, vous devez réassembler les trames en images via le
nœud Interlace, en connectant la branche Even de l’arborescence de nœuds à l’entrée
Even sur la gauche et la branche Odd à l’entrée Odd sur la droite. Enfin, le nœud Output
est connecté au nœud Interlace.Chapitre 11 Color FX 283
Si vous ne traitez pas chaque trame séparément, vous risquez de rencontrer des effets
d’image inattendus, particulièrement lors de l’utilisation de nœuds de filtrage et de
transformation comme Blur, Sharpen, Stretch et Translate.
Enregistrement des effets préférés dans le chutier Color FX
Lorsque vous avez créé un effet Color FX que vous aimez, vous pouvez l’enregistrer
pour vous en servir ultérieurement via le chutier Color FX. Ce chutier fonctionne
comme les chutiers de correction des autres studios.
Pour enregistrer un effet dans le studio Color FX :
1 Placez la tête de lecture sur un plan ayant une arborescence de nœuds que vous
voulez enregistrer.
2 Tapez un nom pour l’effet dans la zone File sous le chutier (cette étape est facultative,
mais recommandée).
3 Cliquez sur Save.
L’effet est enregistré avec une vignette extraite du plan depuis lequel il a été enregistré. L’indication d’un nom personnalisé est facultative, mais recommandée, pour vous
aider à effectuer un suivi de toutes vos corrections. Si vous n’indiquez pas de nom, les
corrections et les jeux d’étalonnage enregistrés sont automatiquement nommés de la
façon suivante.
Pour appliquer un effet ou un jeu d’étalonnage enregistré à un plan :
1 Placez la tête de lecture sur le plan auquel appliquer l’effet.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Double-cliquez sur l’effet à appliquer.
 Sélectionnez un effet et cliquez sur le bouton Load sous le chutier.
 Faites glisser l’effet sur le plan auquel vous voulez l’appliquer.
L’effet sélectionné est appliqué au plan à la position de la tête de lecture. Vous pouvez
également appliquer une correction enregistrée à plusieurs plans.284 Chapitre 11 Color FX
Pour appliquer un effet enregistré à plusieurs plans :
1 Sélectionnez tous les plans auxquels vous voulez appliquer la correction dans le plan
de montage.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Double-cliquez sur l’effet dans le chutier.
 Sélectionnez un effet enregistré et cliquez sur le bouton Load sous le chutier.
L’effet est alors appliqué à tous les plans sélectionnés dans le plan de montage.
Pour en savoir plus sur l’enregistrement et la gestion des corrections, reportez-vous
au chapitre 13, « Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage », à la page 299.
Guide de référence des nœuds
Cette section présente une brève description de chaque nœud qui figure dans la liste
de nœuds.
Nœuds en couche
Les nœuds suivants ont plusieurs entrées et sont utilisés pour combiner de différentes
façons au moins deux copies de travail traitées différemment de l’image corrigée.
Add
Ajoute mathématiquement chaque pixel des deux images d’entrée. Les opérations
d’ajout conviennent particulièrement bien à la création d’effets éclatants agressifs, car
elles ont tendance à augmenter les niveaux très rapidement en fonction des images
d’entrée. Notez que la meilleure façon d’agir sur les zones de l’image qui sont affectées
lors de l’utilisation d’une opération d’ajout est de régler de façon « agressive » le contraste de l’une des images d’entrée. Plus une zone est sombre, moins elle aura d’effet. Chapitre 11 Color FX 285
L’ordre dans lequel les entrées sont connectées n’a pas d’importance. Le nœud Add a
deux paramètres.
 Source 1 Bias : contrôle dans quelle mesure l’image Source 1 est ajoutée pour créer le
résultat final en multipliant la valeur de chaque canal par la valeur spécifiée. La valeur
par défaut est 0,5.
 Source 2 Bias : contrôle dans quelle mesure l’image Source 2 est ajoutée pour créer le
résultat final en multipliant la valeur de chaque canal par la valeur spécifiée. La valeur
par défaut est 0,5.
Alpha Blend
Ce nœud fusionne (comme le nœud Blend) l’entrée Source 2 avec l’entrée Source 1
dans toutes les zones où l’image d’entrée Source 3 Alpha est blanche. Quand l’image
d’entrée Alpha est noire, seule l’entrée Source 1 est affichée. L’ordre dans lequel les
entrées sont connectées affecte la sortie.
Blend
Ce nœud mélange deux entrées en fonction du paramètre Blend. L’ordre dans lequel
les entrées sont connectées n’a pas d’importance. Blend a un paramètre :
 Blend : lorsque sa valeur est 0, seule l’entrée 1 utilisée pour générer un résultat.
Lorsque sa valeur est 0,5, les entrées 1 et 2 sont fusionnées en parts égales et sont
utilisées pour générer un résultat. Lorsque sa valeur est 1, seule l’entrée 2 est utilisée
pour générer un résultat.
Darken
Favorise les parties les plus sombres de chaque entrée. Les pixels de chaque image se
chevauchant sont comparés et les plus sombres sont conservés. Les zones blanches de
chaque entrée ne donnent aucun résultat. L’ordre dans lequel les entrées sont connectées n’a pas d’importance.
Difference
Les pixels de l’image connectée à Source 1 sont soustraits de ceux de l’image connectée à Source 2. Les pixels noirs ont la valeur 0, donc toute couleur à laquelle est soustrait
du noir ne change pas par rapport à l’image Source 1. Puisqu’il s’agit d’une soustraction,
l’ordre dans lequel les entrées sont connectées est important.
Interlace
Les images connectées à chaque entrée sont entrelacées. L’entrée de gauche concerne
la trame Even, celle de droite la trame Odd. Ce nœud est utilisé à la fin des arborescences de nœuds commençant par des nœuds Deinterlace afin de traiter les effets des projets faisant appel à des données entrelacées.286 Chapitre 11 Color FX
Lighten
Le nœud Lighten accentue les parties les plus claires de chaque entrée. Les pixels de
chaque image se chevauchant sont comparés et les plus clairs sont conservés. L’ordre
dans lequel les entrées sont connectées n’a pas d’importance.
Multiply
Les pixels de chaque image d’entrée sont multipliés. Les pixels blancs ont la valeur 1,
donc la multiplication du blanc avec une autre couleur ne provoque aucun changement de l’image. Cependant, lorsque le noir (0) est multiplié avec une autre couleur,
le résultat est noir.
Lors de la multiplication de deux images, leurs parties les plus sombres restent inchangées, alors que leurs parties les plus claires sont les plus affectées. Ceci est utile pour
les opérations de nuançage, comme indiqué précédemment, ainsi que pour les opérations où vous voulez combiner les parties les plus sombres de deux images.
RGB Merge
Les trois entrées sont utilisées pour insérer des canaux individuels dans les canaux
rouge, vert et bleu. Vous pouvez séparer ces trois canaux de couleur via le nœud RGB
Split, traiter chaque canal à niveaux de gris individuellement, puis les réassembler dans
une image en couleurs avec ce nœud.
Nœuds d’effets
Les nœuds suivants ont une seule entrée et sont utilisés pour appliquer une correction
ou un effet à l’image.
B&W
Désature l’image pour générer une image monochrome à niveaux de gris constituée
uniquement du composant Luma.
Bleach Bypass
Augmente le contraste et désature l’image. Simule le processus de rétention de l’argent
en laboratoire photo, qu’on utilise pour augmenter le contraste des images dans les
films : omission de l’étape de blanchiment du développement du film, qui laisse des
grains d’argent exposés sur le négatif ce qui amplifie le contraste, augmente le grain
et réduit la saturation.
Blur
Rend l’image floue. Blur a un paramètre :
 Spread : Niveau de flou. Peut avoir une valeur comprise entre 0 (pas de flou) et 40
(flou maximal).Chapitre 11 Color FX 287
Clamp
Deux paramètres fixent les valeurs minimale et maximale dans l’image. Le nœud Clamp
a deux paramètres :
 Min : niveau minimal dans l’image. Les niveaux inférieurs à cette valeur sont définis
sur celle-ci.
 Max : niveau maximal dans l’image. Les niveaux supérieurs à cette valeur sont ramenés à cette valeur plafond.
Curve
Courbe affectant le contraste de l’image, similaire à la courbe Luma dans le studio Primary
In. La sélection de ce nœud révèle un contrôle des courbes dans l’onglet Parameters qui
fonctionne de façon identique à celui du studio Primary In.
Duotone
Désature l’image, en mappant ses points noir et blanc en deux couleurs personnalisables par l’utilisateur pour créer des images nuancées ayant deux nuances, du blanc au
noir. Duotone a deux paramètres :
 Light Color : couleur avec laquelle le point blanc est mappé.
 Dark Color : couleur avec laquelle le point noir est mappé.
Edge Detector
Filtre de convolution qui amplifie le contraste de l’image de sorte à réduire celle-ci à ses
contours les plus sombres. Edge Detector a deux paramètres :
 B&W : désature l’image résultante. utile pour générer des caches.
 Scale : ajuste le point blanc. Baisser cette valeur augmente le contraste et compresse
les valeurs de ton intermédiaire pour mettre l’accent sur les contours.
 Bias : ajuste le contraste global. Baisser cette valeur augmente le contraste et l’augmenter le baisse.
Exposure
Augmente les hautes lumières ou compresse les ombres, selon que vous augmentez
ou baissez la valeur du paramètre Exposure. Ce nœud a un paramètre :
 Exposure : l’augmentation ce paramètre accroît les hautes lumières tout en laissant
le point noir inchangé. La valeur 0 n’entraîne à aucune modification. Une baisse de la
valeur de ce paramètre réduit l’image, en compressant les ombres tout en baissant
les hautes lumières moins fortement.288 Chapitre 11 Color FX
Film Grain
Ajoute du bruit aux parties plus sombres d’une image pour simuler le grain du film ou
le bruit vidéo dus à une sous-exposition. Les hautes lumières dans l’image ne sont pas
affectées. Ce nœud est utile si vous devez mettre en correspondance un insert propre
et bien exposé dans une scène perturbée en raison d’une sous-exposition. Il est également utile pour donner un aspect austère à un film. Ce nœud a trois paramètres :
 Grain Intensity : rend le bruit plus visible en augmentant son facteur de contraste (en
insérant des pixels de bruit clairs et foncés) ainsi que la saturation du bruit.
 Grain Size : augmente la taille de chaque grain de bruit ajouté. Notez que la taille du
grain d’un film dépend de la résolution de votre projet. Un grain de film d’une taille
particulière appliqué à un plan de définition standard semblera plus granuleux qu’un
grain de la même taille appliqué à un plan haute définition.
 Monochrome : l’activation de ce bouton aboutit à la création de bruit monochrome
ou à niveaux de gris, sans couleur.
Film Look
Nœud « tout en un » relatif à l’aspect d’un film. Combine l’opération Film Grain décrite
ci-dessus avec un ajustement d’exposition de « Courbe en S » qui compresse légèrement les ombres et amplifie les hautes lumières. Le contraste dans les tons intermédiaires est étiré, mais leur distribution reste centrée, il n’y a donc aucun éclaircissement ou
assombrissement global. Ce nœud a trois paramètres :
 Grain Intensity : rend le bruit plus visible en augmentant son facteur de contraste (en
insérant des pixels de bruit clairs et foncés) ainsi que la saturation du bruit.
 Grain Size : augmente la taille de chaque grain de bruit ajouté. Notez que la taille du
grain d’un film dépend de la résolution de votre projet. Un grain de film d’une taille
particulière appliqué à un plan de définition standard semblera plus granuleux qu’un
grain de la même taille appliqué à un plan haute définition.
 Contrast : effectue un ajustement de « Courbe en S » au niveau du contraste qui
compresse les ombres et amplifie les hautes lumières. les tons intermédiaires restant
centrés. La valeur 0 conserve le contraste d’origine de l’image corrigée et la valeur 1
est l’expansion de contraste maximale possible avec ce nœud.Chapitre 11 Color FX 289
Gain
Ajuste le contraste en augmentant ou en baissant le point blanc de l’image sans déplacer le point noir et en adaptant les tons intermédiaires au nouveau point blanc et au
point noir. Ce nœud a quatre paramètres :
 Gain : ajuste les canaux rouge, vert et bleu simultanément, pour obtenir une modification globale des hautes lumières et des tons intermédiaires de l’image.
 Red Gain : ajuste uniquement le canal rouge, permettant un étalonnage basé sur
un ajustement de point blanc pour ce canal.
 Green Gain : ajuste uniquement le canal vert, permettant un étalonnage basé sur
un ajustement de point blanc pour ce canal.
 Blue Gain : ajuste uniquement le canal bleu, permettant un étalonnage basé sur
un ajustement de point blanc pour ce canal.
Gamma
Effectue un ajustement gamma standard ce qui aboutit à un ajustement non linéaire
pour augmenter ou baisser la distribution de tons intermédiaires de l’image sans déplacer les points noirs et blancs. Il s’agit d’une fonction de puissance, (f(x) = xa
). Ce nœud a
quatre paramètres :
 Gamma : ajuste les canaux rouge, vert et bleu simultanément, pour obtenir une
modification globale des tons intermédiaires de l’image.
 Red Gamma : ajuste uniquement le canal rouge, permettant un étalonnage basé
sur un ajustement gamma pour ce canal.
 Green Gamma : ajuste uniquement le canal vert, permettant un étalonnage basé
sur un ajustement gamma pour ce canal.
 Blue Gamma : ajuste uniquement le canal bleu, permettant un étalonnage basé
sur un ajustement gamma pour ce canal.
Grain Reduction
Réduit le grain et le bruit dans une image en effectuant une moyenne des pixels adjacents dans cette image en fonction des valeurs spécifiées dans les paramètres Master,
Red, Green et Blue Scale. La détection des contours peut être utilisée pour conserver
la netteté dans des zones de détails très contrastés via le paramètre Edge Retention
et une opération d’augmentation de la netteté peut être appliquée après la réduction
du grain pour amplifier les détails. Certains plans ayant un bruit plus apparent dans certains canaux de couleurs spécifiques, vous pouvez apporter des ajustements indépendants à chaque canal. Ce nœud a six paramètres :
 Master Scale : effectue une moyenne des pixels adjacents de chaque canal de couleur dans l’image pour réduire le grain et le bruit, au dépend d’un certain degré
d’atténuation de l’image.
 Red Scale : effectue sélectivement une moyenne des pixels dans le canal rouge.
 Green Scale : effectue sélectivement une moyenne des pixels dans le canal vert.
 Blue Scale : effectue sélectivement une moyenne des pixels dans le canal bleu.290 Chapitre 11 Color FX
 Edge Retention : utilise la détection des contours pour isoler des zones de détails très
contrastés dans l’image (comme les cheveux, les yeux et les lèvres d’un acteur filmé
en gros plan) et exclut ces zones de l’image de l’opération de réduction du grain
pour empêcher l’atténuation des détails les plus importants de l’image. Des valeurs
plus élevées préservent plus de l’image d’origine dans ces zones.
 Post Sharpening : applique un filtre de convolution de renforcement de la netteté
après l’opération de réduction de grain pour tenter de restaurer des détails perdus
une fois le grain atténué. Utilisez ce paramètre avec modération. Si vous indiquez
une valeur trop élevée, vous réintroduirez le grain que vous tentez de réduire.
Hue
Effectue une rotation de la teinte de chaque pixel dans la totalité de l’image. Ce nœud
a un paramètre :
 Shift : degré de modification de la teinte. Cette opération n’est pas effectuée en
degrés, comme cela est représenté dans le Vecteurscope. Une valeur de –1 à 1
est utilisée, –1, 0 et 1 plaçant la teinte aux valeurs d’origine.
Invert
Inverse l’image. Utile pour créer des « positifs » à partir du négatif d’une image. Aussi
utile pour inverser une image à niveaux de gris utilisée comme cache avec le nœud
Alpha Blend, pour inverser les parties du cache qui seront unies et transparentes.
Lift
Éclaire ou assombrit de façon uniforme la totalité de l’image, modifiant dans la même
mesure les ombres, les tons intermédiaires et les hautes lumières. Ce nœud a quatre
paramètres :
 Lift : ajuste les canaux rouge, vert et bleu simultanément, pour obtenir une modification globale de la luminosité de l’image.
 Red Lift : ajuste uniquement le canal rouge, permettant un étalonnage basé sur
un ajustement d’élévation pour ce canal.
 Green Lift : ajuste uniquement le canal vert, permettant un étalonnage basé sur
un ajustement d’élévation pour ce canal.
 Blue Lift : ajuste uniquement le canal bleu, permettant un étalonnage basé sur
un ajustement d’élévation pour ce canal.Chapitre 11 Color FX 291
Maximum
Effectue une moyenne des pixels adjacents (leur nombre étant défini dans le paramè-
tre Brush Size), pour générer un seul pixel plus important basé sur la valeur la plus
claire de ce groupe de pixels. Les valeurs les plus élevées aboutissent à des copies de
travail de l’image aplaties, presque semblables à des aquarelles. Ce nœud est aussi utile
pour étendre les zones blanches et lisser les images à niveaux de gris que vous utilisez
comme caches. Ce nœud a un paramètre :
 Brush Size : définit le nombre de pixels utilisés pour effectuer une moyenne afin
d’aboutir à un seul pixel plus grand. Des valeurs extrêmement importantes génèrent
des pixels carrés progressivement plus importants et se chevauchant d’une couleur
uniforme, amplifiant les tons pastels plus clairs de l’image.
Minimum
Effectue une moyenne des pixels adjacents (leur nombre étant défini dans le paramè-
tre Brush Size), pour générer un seul pixel plus grand basé sur la valeur la plus foncée
de ce groupe de pixels. Des valeurs plus importantes génèrent des copies de travail
aplaties et plus sombres de l’image. Ce nœud est aussi utile pour étendre les zones
noires et lisser les images à niveaux de gris que vous utilisez comme caches. Ce nœud
a un paramètre :
 Brush Size : définit le nombre de pixels utilisés pour effectuer une moyenne afin
d’aboutir à un seul pixel plus grand. Des valeurs très élevées génèrent des pixels
carrés progressivement plus importants et se chevauchant d’une couleur uniforme,
amplifiant les tons plus sombres et terreux de l’image.
Printer Lights
Fournit des paramètres Red, Green et Blur pour l’étalonnage qui fonctionnent de façon
identique aux contrôles Printer Points dans l’onglet Advanced du studio Primary In.
Pour en savoir plus, consultez la section « Commandes Printer Points » à la page 237.
Saturation
Augmente ou baisse la saturation de l’image globale, rendant l’image plus ou moins
colorée. Ce nœud a un paramètre :
 Saturation : la valeur par défaut 1 n’entraîne aucun changement. 0 aboutit à une
image complètement désaturée et la valeur maximale, 10, produit une copie de travail excessivement saturée, hyper stylisée de l’image.292 Chapitre 11 Color FX
Scale RGB
Étend ou réduit le facteur de contraste d’un plan, du point noir au point blanc, en centrant le point intermédiaire de cette opération à un pourcentage de tonalité d’image
que vous spécifiez. Ce nœud a deux paramètres :
 Scale : degré d’extension ou de réduction du facteur de contraste global dans le
plan. Il s’agit d’une opération à multiplicative, donc la valeur 1 ne provoque aucun
changement alors que des valeurs plus élevées augmentent le facteur de contraste
et des valeurs plus faibles le réduisent.
 Center : spécifie le pourcentage de tonalité d’image sur lequel l’extension et la réduction sont centrées, de sorte que les valeurs de l’image d’origine à ce pourcentage y
restent. La valeur par défaut (0,5) ajuste de façon égale les points blanc et noir dans
les deux directions (le point blanc va vers le haut et le point noir vers le bas, les valeurs
étant à 50 pour cent y restent). La valeur 0 fixe le point noir tout en appliquant la totalité de l’ajustement au point blanc, et la valeur 1 fixe le point blanc tout en appliquant
la totalité de l’ajustement au point noir.
Sharpen
Applique un filtre de convolution d’augmentation de la netteté qui améliore sélectivement le contraste dans des zones de détail de l’image afin de donner l’illusion de netteté. Doit être utilisé avec précautions car cette opération augmente aussi la netteté
du grain de film et du bruit vidéo. Ce nœud a un paramètre :
 Sharpen : des valeurs élevées augmentent le contraste des détails de l’image. La valeur
0 n’augmente pas la netteté.
Smooth Step
Applique un ajustement de type « Courbe en S » non ajustable pour compresser légè-
rement les noirs et amplifier les blancs, tout en fixant les points noir et blanc à 0 et 100
pour cent. Conçu pour émuler les tendances d’exposition d’un film au niveau « pied »
et « épaule » de l’image. Cet ajustement de contraste est similaire à celui effectué par
le nœud Film Look.Chapitre 11 Color FX 293
Stretch
Fournit des opérations de mise à l’échelle verticale et horizontale distinctes permettant
de compresser ou d’étirer l’image. Vous pouvez modifier le pixel central au niveau
duquel cette mise à l’échelle est effectuée. Ce nœud a quatre paramètres :
 Horizontal Center : pixel au niveau duquel la mise à l’échelle horizontale est centrée. Le
pixel central ne bouge pas, mais la mise à l’échelle de l’image est relative à sa position.
 Vertical Center : pixel au niveau duquel la mise à l’échelle verticale est centrée. Le pixel
central ne bouge pas, mais la mise à l’échelle de l’image est relative à sa position.
 Horizontal Scale : degré d’étirement horizontal de l’image. Des valeurs élevées étirent l’image vers l’extérieur et des valeurs faibles la compressent vers l’intérieur.
Lorsque la valeur par défaut (1) est utilisée, l’image est inchangée.
 Vertical Scale : degré d’étirement vertical de l’image. Des valeurs élevées étirent
l’image vers l’extérieur et des valeurs faibles la compressent vers l’intérieur. Lorsque
la valeur par défaut (1) est utilisée, l’image est inchangée.
Translate
Décale l’image relativement au coin supérieur droit. Ce nœud a deux paramètres :
 Horizontal Offset : déplace l’image vers la gauche.
 Vertical Offset : déplace l’image vers le bas.
Nœuds Utility
Les nœuds suivants ne combinent pas d’images et ne créent pas d’effets. Ils génèrent
des informations sur les canaux de couleurs ou extraient l’imagerie de cache de diffé-
rentes façons. Tous ces nœuds doivent être utilisés avec d’autres nœuds de surimposition et d’effet pour créer des interactions plus complexes.
Color
Génère une image de couleur unie. Peut être utilisé avec différents nœuds de surimposition pour ajouter des couleurs à diverses opérations. Ce nœud a un contrôle :
 Color : paramètre de couleur standard permettant de choisir la teinte, la saturation et
la luminosité de la couleur générée.
Deinterlace
Supprime l’entrelacement d’un plan de trois façons, correspondant à trois boutons.
Vous pouvez utiliser ce nœud pour supprimer l’entrelacement en fusionnant les trames ou utiliser deux nœuds Deinterlace pour séparer les trames Even et Odd d’un
plan entrelacé avant de traiter chaque trame séparément et les réassembler via le
nœud Interlace. Ce nœud a trois boutons :
 Merge : génère la combinaison fusionnée des deux trames.
 Even : génère uniquement la trame Even, ligne doublée pour préserver la résolution
en cours.
 Odd : génère uniquement la trame Odd, en doublant les lignes pour préserver la
résolution en cours.294 Chapitre 11 Color FX
HSL Key
Incrustateur HSL qui génère un cache en niveaux de gris que vous pouvez utiliser pour
isoler des effets via le mode Alpha Blend ou simplement pour effectuer une combinaison avec d’autres nœuds de surimposition de différentes façons. Cet incrustateur fonctionne de façon identique à celui du studio Secondaries. Pour en savoir plus, consultez
la section « Choix de la région à corriger à l’aide des qualificateurs HSL » à la page 244.
Output
Il doit s’agir du dernier nœud d’une arborescence de nœuds. Il génère l’effet créé dans
le studio Color FX pour la chaîne de traitement des images Color principale dans le
cadre du rendu. Si un nœud Output n’est pas connecté à l’arborescence, cet effet ne
sera pas rendu par la file d’attente de rendu.
RGB Split
Génère les canaux rouge, vert et bleu individuellement, en fonction du bouton sur lequel
vous cliquez. Chaque canal à niveaux de gris peut alors être manipulé indépendamment
avec différentes branches de l’arborescence de nœuds avant d’être réassemblé via le
nœud RGB Merge. Ce nœud a trois boutons :
 Red : génère le canal rouge.
 Green : génère le canal vert.
 Blue : génère le canal bleu.
Vignette
Crée une vignette carrée ou ronde. Cette vignette s’affiche en tant que couleur sur
l’aperçu de niveaux de gris si le nœud Vignette est visualisé directement. Lorsque les
résultats sont examinés en aval, par la visualisation d’un autre nœud traitant ses données
de sortie, la véritable image à niveaux de gris est présentée. Ce nœud a neuf paramètres :
 Use Tracker : si vous avez analysé un ou plusieurs outils de suivi de l’animation dans
le projet en cours, vous pouvez spécifier quel outil utiliser, par numéro, pour animer
automatiquement la position de la vignette. Pour détacher une vignette de
l’influence de l’outil de suivi, définissez cette valeur sur 0.
 Zone Type : permet de choisir la forme à utiliser pour la vignette. 1 correspond à
un cercle, 2 à un carré.
 Invert : cliquez sur ce bouton pour que la zone blanche devienne noire et vice versa.
 X Center : ajuste la position horizontale de la forme.
 Y Center : ajuste la position verticale de la forme.
 Size : agrandit ou rétrécit la forme.
 Aspect : ajuste le rapport hauteur/largeur de la forme.
 Angle : fait pivoter la forme actuelle. Il n’existe aucune commande à l’écran pour
ce paramètre.
 Softness : applique un effet de flou au contour de la forme.12
295
12 Primary Out
Le studio Primary Out offre un ensemble de commandes supplémentaires pour la correction globale des couleurs, mais
il peut également être utilisé comme outil afin d’effectuer
un Trim sur les jeux d’étalonnage appliqués à un groupe de
séquences sélectionné.
Ce chapitre décrit les différentes utilisations du studio Primary Out, qui dispose des
mêmes commandes que le studio Primary In. Pour en savoir plus sur les commandes
primaires de correction des couleurs, reportez-vous au chapitre 9, « Primary In », à la
page 191.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 Utilisation du studio Primary Out (p. 296)
 Apport de corrections supplémentaires à l’aide du studio Primary In (p. 296)
 Présentation du processus de traitement de l’image (p. 297)
 Utilisation des commandes de plafonnement (p. 298)296 Chapitre 12 Primary Out
Utilisation du studio Primary Out
Le studio Primary Out est une réplique du studio Primary In en termes de commandes
et de fonctionnalités. Cela inclut notamment le partage des corrections enregistrées
(les studios Primary In et Primary Out ont accès aux mêmes corrections enregistrées
dans leurs chutiers).
L’intérêt du studio Primary Out se résume en trois points essentiels :
 Il constitue un studio supplémentaire par le biais duquel vous pouvez apporter de
nouvelles modifications au jeu d’étalonnage d’une séquence, sans pour autant modifier celui qui se trouve dans le studio Primary In.
 Dans le cadre du processus de traitement de l’image, le studio Primary Out vient
après les studios Primary In, Secondaries et Color FX, de sorte que vous pouvez appliquer des ajustements à l’image globale après avoir ajouté des corrections et des
effets dans les autres studios.
 Outre celles déjà disponibles dans le studio Primary In, le studio Primary Out dispose
de trois commandes supplémentaires. Les paramètres Ceiling constituent un moyen
supplémentaire de limiter les valeurs de couleur dans une séquence, afin de les légaliser ou de les styliser.
Apport de corrections supplémentaires à l’aide du
studio Primary In
L’interface Color a été conçue de façon à garantir une flexibilité optimale. Les fonctionnalités des divers studios de correction se recoupent largement et, bien que chaque
studio ait été arrangé en vue d’optimiser certains types d’opérations, vous pouvez
choisir d’effectuer des corrections à l’aide de vos commandes favorites.
Souvent, les coloristes aiment répartir les différentes étapes du processus de correction des
couleurs sur les différents studios. Ce point est expliqué en détail à la section « Utilisation
de tous les studios Primary, Secondary et Color FX pour gérer les corrections de chaque
plan » à la page 320.
En adoptant cette approche, vous pouvez effectuer la correction principale d’une
séquence à l’aide du studio Primary In, faire appel au studio Secondaries pour les
ajustements d’« aspect » stylisés, puis appliquer l’une de vos « combinaisons maison »
d’effets précédemment enregistrées dans le studio Color FX pour donner à la séquence
son jeu d’étalonnage définitif.
Dès que votre client aura la possibilité de visualiser le programme, il n’hésitera sans
doute pas à vous faire part de commentaires et de remarques supplémentaires. C’est
à ce moment-là que le studio Primary Out prend toute sa dimension.Chapitre 12 Primary Out 297
Jusqu’à présent, nous ne l’avons pas utilisé. Mais c’est précisément pour cela que vous
allez l’apprécier : vous pourrez appliquer très aisément toutes ces petites touches finales. Bénéficier d’un studio totalement à part pour pouvoir apporter ces corrections finales permet de revenir facilement dessus si jamais le client change d’avis.
Par ailleurs, il est très facile d’utiliser le studio Primary Out pour appliquer des modifications concernant une scène entière à plusieurs plans à la fois (on parle alors parfois
d’appliquer un Trim à d’autres jeux d’étalonnage).
Pour appliquer un Trim à un ou plusieurs jeux d’étalonnage sélectionnés à l’aide
du studio Primary Out :
1 Placez la tête de lecture sur la séquence que vous souhaitez ajuster, puis cliquez sur
le studio Primary Out.
2 Apportez les ajustements requis au moyen des commandes de couleur et de contraste.
3 Sélectionnez toutes les séquences de la timeline auxquelles vous souhaitez appliquer
ces ajustements.
4 Cliquez sur Copy To Selected.
La correction apportée à la séquence en cours dans le studio Primary Out est répercutée dans toutes les séquences sélectionnées.
Remarque : la commande Copy To Selected écrase les réglages antérieurs qui existent
dans le studio Primary Out. Par conséquent, si vous devez effectuer un autre ajustement, il vous suffit de répéter la procédure décrite ci-dessus pour appliquer cet ajustement à chaque séquence sélectionnée.
Présentation du processus de traitement de l’image
Le studio Primary Out permet également d’appliquer des corrections aux plans vidéo
après avoir effectué des ajustements dans les studios précédents.
Alors que l’image traitée passe de studio en studio (Primary In, Secondaries, puis Color
FX), les corrections apportées dans chacun d’eux sont appliquées lors du transfert de
l’image dans le studio suivant. Color FX étant le dernier studio de correction pour chaque jeu d’étalonnage, il traite l’image qu’il a lui-même produite. Vous pouvez tirer parti
de cet aspect pour appliquer des corrections globales à l’image post-traitée.
Dans l’exemple ci-après, une série d’ajustements hautement saturés sont effectués
dans chacun des studios, mais le studio Primary Out est utilisé pour réduire la saturation du résultat final, correction qui a pour effet de modifier de façon collective la sortie de tous les autres studios.298 Chapitre 12 Primary Out
Utilisation des commandes de plafonnement
Pour finir, le studio Primary Out dispose d’un groupe de commandes unique non disponible dans Primary In. Le bouton Enable Clipping de l’onglet Basic vous permet d’activer des valeurs de plafonnement individuelles pour les canaux de rouge, de vert et de
bleu associés à la séquence en cours.
Ainsi, si vous ne souhaitez pas activer l’option Broadcast Safe pour l’ensemble du programme, cela vous évite d’engendrer des valeurs de diffusion non autorisées dans les
séquences auxquelles vous appliquez des corrections Primary, Secondary ou Color FX
extrêmes.
Remarque : si les réglages Enable Clipping et Broadcast Safe sont tous les deux activés,
la norme de niveau inférieur s’applique.
 Bouton Enable Clipping : active les commandes Ceiling Red/Green/Blue afin qu’elles
prennent effet.
 Ceiling Red : définit le niveau chromatique maximal autorisé dans le canal de rouge.
Toutes les valeurs trop élevées seront ramenées à ce niveau.
 Ceiling Green : définit le niveau chromatique maximal autorisé dans le canal de vert.
Toutes les valeurs trop élevées seront ramenées à ce niveau.
 Ceiling Blue : définit le niveau chromatique maximal autorisé dans le canal de bleu.
Toutes les valeurs qui le dépassent seront ramenées à ce niveau.13
299
13 Gestion des corrections et des
jeux d’étalonnage
Color met à votre disposition de nombreux outils de gestion
des corrections et jeux d’étalonnage précédemment appliqués. En effet, vous pouvez gagner du temps en enregistrant,
copiant et appliquant des corrections et jeux d’étalonnage
déjà créés à plusieurs plans en une seule fois.
Il y a trois endroits de l’interface utilisateur de Color où vous pouvez enregistrer, organiser, copier, appliquer et plus généralement gérer les corrections et les jeux d’étalonnage :
le chutier des corrections de chaque studio, le chutier des jeux d’étalonnage et le navigateur de plans du studio Setup, et la piste des jeux d’étalonnage de la Timeline. Ce chapitre détaille l’utilisation de chacune de ces zones de l’interface.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 Différence entre les corrections et les jeux d’étalonnage (p. 300)
 Enregistrement et utilisation de corrections et de jeux d’étalonnage (p. 300)
 Application de corrections et de jeux d’étalonnage enregistrés à des plans (p. 305)
 Gestion des jeux d’étalonnage dans la Timeline (p. 306)
 Utilisation des boutons « Copy to » dans les studios Primary (p. 309)
 Utilisation des commandes Copy Grade et Paste Grade (p. 311)
 Définition d’un jeu d’étalonnage parfait dans la Timeline (p. 312)
 Désactivation de tous les jeux d’étalonnage (p. 312)
 Gestion des jeux d’étalonnage dans le navigateur de plans (p. 313)
 Utilisation de tous les studios Primary, Secondary et Color FX pour gérer les corrections de chaque plan (p. 320)300 Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage
Différence entre les corrections et les jeux d’étalonnage
Il existe une différence majeure entre les corrections et les jeux d’étalonnage dans
Color. Comprendre cette différence est essentiel pour gérer correctement vos divers
ensembles de modifications.
Les corrections sont les modifications apportées au sein d’un seul studio. Vous avez
la possibilité d’enregistrer des corrections individuelles dans les chutiers disponibles
au sein des studios Primary In et Out, Secondaries et Color FX. Après les avoir enregistrées, vous pouvez appliquer ces corrections à un ou plusieurs plans de votre projet
sans modifier les réglages des autres studios. Par exemple, si vous souhaitez appliquer
une correction secondaire précédemment enregistrée à cinq plans d’une scène, vous
pouvez procéder sans affecter les corrections primaires déjà apportées à ces plans.
Bien que les studios Primary In et Primary Out contiennent les mêmes corrections enregistrées, chaque studio dispose de ces propres chutiers de corrections. Ils servent à
enregistrer et appliquer des corrections individuelles.
Quant au jeu d’étalonnage, il réunit plusieurs corrections effectuées au sein de divers studios, en enregistrant toutes les corrections primaires, secondaires et Color FX sous forme
d’une seule unité. Lorsque vous enregistrez un groupe de corrections sous forme de jeu
d’étalonnage, vous pouvez toutes les appliquer comme s’il s’agissait d’un seul préré-
glage. L’application d’un jeu d’étalonnage enregistré à un ou plusieurs plans écrase
toute correction précédemment appliquée à ces plans. Les jeux d’étalonnage enregistrés sont gérés à l’aide du chutier de jeux d’étalonnage situé dans le studio Setup.
Enregistrement et utilisation de corrections et de jeux
d’étalonnage
Vous pouvez enregistrer n’importe quel jeu d’étalonnage ou correction afin d’appliquer par la suite les réglages d’un plan à d’autres plans. Voici des exemples d’utilisation
de corrections et de jeux d’étalonnage enregistrés :
 Enregistrement du jeu d’étalonnage finalisé d’un plan de votre programme afin
de l’appliquer à d’autres plans partageant le même angle de couverture
 Enregistrement d’une correction apportée à un plan d’une bande posant un problème spécifique (par exemple, une bande avec une balance des blancs incorrecte
sur toute sa longueur) pour l’appliquer à tous les autres plans de la même bande
 Enregistrement d’une correction stylistique correspondant à une « ambiance » particulière dans le studio Primary, Secondaries ou Color FX pour l’appliquer à d’autres
scènes ou programmesChapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage 301
Enregistrement de corrections dans les chutiers correspondants
Les studios Primary In, Secondaries, Color FX et Primary Out disposent de chutiers
de corrections dans lesquels vous pouvez enregistrer des corrections propres à ces studios pour un usage ultérieur. Lorsque vous enregistrez des corrections dans l’un de ces
studios, elles sont disponibles dans tous les projets ouverts dans Color.
Pour enregistrer des corrections individuelles dans le chutier d’un de ces studios :
1 Déplacez la tête de lecture au niveau du plan comportant la correction que vous
souhaitez enregistrer.
2 Attribuez un nom à la correction enregistrée dans le champ File situé en bas du
chutier de corrections (cette étape est facultative).
3 Cliquez sur Save.
La correction est enregistrée dans le chutier du studio sélectionné, accompagnée
d’une vignette du plan depuis lequel elle est enregistrée.
L’indication d’un nom personnalisé est facultative, mais recommandée, pour vous aider
à effectuer un suivi de toutes vos corrections. Si vous ne saisissez aucun nom, les corrections enregistrées (et les jeux d’étalonnage) se voient automatiquement attribuer
un nom selon la convention suivante :
TypeCorrection.Jour Mois Année Heure.Minute.Seconde FuseauHoraire.extension302 Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage
La date et l’heure indiquées correspondent à la seconde près à l’heure d’enregistrement de la correction. Par exemple, il est possible qu’une correction secondaire enregistrée se voit attribuer le nom suivant :
Secondaire.01 Mai 2007 10.31.47EST.scc
Les corrections de chaque studio sont enregistrées dans le sous-répertoire correspondant du répertoire /Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/
Color. Pour en savoir plus, consultez la section « Méthode d’enregistrement des jeux
d’étalonnage et des corrections » à la page 80.
Enregistrement de jeux d’étalonnage dans le chutier des jeux
Les jeux d’étalonnage enregistrés stockent en les regroupant toutes les corrections
appliquées dans les studios Primary In, Secondaries, Color FX et Primary Out. Il vous
faut donc suivre une étape supplémentaire.
Pour enregistrer un jeu d’étalonnage :
1 Cliquez sur l’onglet Grades dans le studio Setup.
2 Déplacez la tête de lecture au niveau du plan comportant le jeu d’étalonnage que vous
souhaitez enregistrer.
3 Faites en sorte que le jeu d’étalonnage à enregistrer soit le jeu d’étalonnage actuellement sélectionné pour ce plan.
4 Attribuez un nom à la correction enregistrée dans le champ File situé en bas du
chutier de corrections (cette étape est facultative).
5 Cliquez sur le bouton Save (tout en bas à droite du chutier de jeux d’étalonnage).Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage 303
L’étalonnage est alors enregistré dans le chutier de jeux d’étalonnage.
L’étalonnage est sauvegardé avec une vignette du plan à partir duquel il a été enregistré. Après avoir enregistré des jeux d’étalonnage, vous pouvez les supprimer, les organiser et les appliquer comme vous le feriez avec des corrections enregistrées (consultez la
section précédente).
Les jeux d’étalonnage sont enregistrés dans le répertoire /Utilisateurs/nom d’utilisateur/
Bibliothèque/Application Support/Color/Grades.
Suppression de corrections et de jeux d’étalonnage enregistrés
Vous pouvez supprimer des corrections enregistrées dont vous n’avez plus besoin.
Pour supprimer une correction ou un jeu d’étalonnage enregistré :
1 Sélectionnez une correction dans l’un des chutiers.
2 Appuyez sur la touche Suppr ou Effacement vers l’avant.
3 Si une zone de dialogue d’avertissement apparaît, cliquez sur Yes.
La correction sélectionnée est supprimée de Color et du disque. Il est impossible
d’annuler cette opération.
Organisation des corrections et jeux d’étalonnage enregistrés à l’aide
des dossiers de Color
Les corrections enregistrées sont disponibles dans tous les projets que vous ouvrez.
C’est la raison pour laquelle vous trouverez certainement pratique d’enregistrer vos
corrections dans des dossiers situés au sein du chutier de chaque studio. Vous disposez
d’un certain nombre de méthodes pour utiliser les dossiers en vue d’organiser vos corrections enregistrées :
 Vous pouvez créer un dossier pour chaque nouveau projet sur lequel vous travaillez,
puis enregistrer toutes les corrections propres à un projet dans le dossier correspondant.
 Vous pouvez également créer des dossiers pour les jeux d’étalonnage que vous avez
enregistrés en vue de les utiliser avec n’importe quel projet. Par exemple, vous avez
la possibilité de créer une bibliothèque de vos propres « ambiances stylistiques »
afin de les appliquer rapidement et présenter ainsi différentes options à vos clients.
Remarque : vous ne pouvez enregistrer des corrections dans un dossier que si vous
l’avez créé au préalable.304 Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage
Pour créer un nouveau dossier dans un chutier :
1 Cliquez sur New Folder.
2 Donnez un nom au nouveau dossier dans la zone de dialogue Nouveau dossier, puis
cliquez sur Create.
Un nouveau dossier portant le nom indiqué est créé au sein du chutier de corrections
de ce studio.
À chaque fois que vous créez un dossier dans un chutier, vous créez également un
sous-répertoire dans le répertoire des corrections enregistrées pour ce studio, dans
le répertoire /Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/Color.
Pour enregistrer une correction ou un jeu d’étalonnage dans un dossier :
1 Déplacez la tête de lecture au niveau du plan comportant la correction ou le jeu
d’étalonnage que vous souhaitez enregistrer.
2 Double-cliquez sur un dossier du chutier de corrections ou de jeux d’étalonnage
pour l’ouvrir.
Le menu local Directory est mis à jour pour afficher le chemin dans le Finder du
dossier actuellement ouvert.
3 Attribuez un nom à la correction ou au jeu d’étalonnage enregistré dans le champ
File situé en bas du chutier de corrections (cette étape est facultative).
4 Cliquez sur Save.Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage 305
La correction ou l’étalonnage est alors enregistré dans ce dossier.
Important : il est impossible de déplacer une correction stockée dans un dossier une
fois qu’elle a été enregistrée à l’aide de l’interface Color.
Application de corrections et de jeux d’étalonnage enregistrés à des plans
Après avoir enregistré des corrections ou des jeux d’étalonnage, vous pouvez les
appliquer très simplement à un ou plusieurs plans de votre projet.
Pour appliquer une correction ou un jeu d’étalonnage enregistré à un seul plan :
1 Déplacez la tête de lecture au niveau du plan auquel vous souhaitez appliquer la correction.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Double-cliquez sur la correction ou l’étalonnage à appliquer.
 Sélectionnez la correction ou l’étalonnage à appliquer, puis cliquez sur le bouton
Load situé en bas du chutier.
 Faites glisser la correction ou l’étalonnage sur le plan auquel vous souhaitez l’appliquer.
L’étalonnage sélectionné est appliqué au plan au niveau de la position de la tête de
lecture. Vous pouvez également appliquer une correction enregistrée à plusieurs plans.
Pour appliquer une correction ou un jeu d’étalonnage enregistré à plusieurs plans :
1 Dans la Timeline, sélectionnez tous les plans auxquels vous souhaitez appliquer
la correction.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Double-cliquez sur une correction ou un jeu d’étalonnage dans le chutier.
 Sélectionnez la correction ou l’étalonnage enregistré, puis cliquez sur le bouton
Load situé en bas du chutier.
La correction ou l’étalonnage est alors appliqué à tous les plans sélectionnés dans
la Timeline.
Réorganisation des corrections et jeux d’étalonnage enregistrés
dans le Finder
Comme chacun des chutiers de corrections reflète simplement le contenu du sousrépertoire correspondant dans le répertoire /Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothè-
que/Application Support/Color vous pouvez utiliser le Finder pour réorganiser les corrections et jeux d’étalonnage que vous avez enregistrés. Pour en savoir plus, consultez
la section « Réorganisation des corrections et jeux d’étalonnage enregistrés dans le
Finder » à la page 81.306 Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage
Gestion des jeux d’étalonnage dans la Timeline
Chaque plan peut comporter jusqu’à quatre jeux d’étalonnage représentés avec des
couleurs différentes dans les pistes de jeux d’étalonnage situées en dessous de la piste
vidéo. L’étalonnage actuellement sélectionné de chaque plan est affiché en bleu, alors
que les jeux d’étalonnage non sélectionnés apparaissent en gris. Les barres indiquant les
corrections individuelles des studios préalablement modifiés pour l’étalonnage actuellement sélectionné sont affichées dans d’autres couleurs, en dessous des barres d’étalonnage de chaque plan.
Vous pouvez utiliser ces barres de jeux d’étalonnage et de correction présentes dans la
piste de jeux d’étalonnage pour ajouter, basculer et copier des jeux d’étalonnage directement dans la Timeline.
Ajout et sélection de jeux d’étalonnage parmi plusieurs jeux
d’étalonnage
Dans la Timeline, chaque plan peut être réglé de façon à utiliser un à quatre jeux
d’étalonnage. Seul l’étalonnage sélectionné affecte réellement le plan. Les jeux d’étalonnage inutilisés vous permettent de stocker d’autres corrections et ambiances, afin
de tester des réglages différents sans modifier l’original.
Par défaut, un seul jeu d’étalonnage primaire est appliqué à chaque plan d’un projet,
bien que vous puissiez en ajouter d’autres à tout moment.
Pour ajouter un nouveau jeu d’étalonnage à un plan, effectuez l’une des opérations
suivantes :
m Déplacez la tête de lecture au niveau du plan auquel vous souhaitez ajouter un nouvel
étalonnage, puis appuyez sur les touches Contrôle + 1, 2, 3 ou 4.
m Cliquez sur un jeu d’étalonnage tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée ou avec
le bouton droit de la souris, puis choisissez Add New Grade dans le menu contextuel.Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage 307
S’il n’existe pour l’instant aucun jeu d’étalonnage correspondant au numéro que vous
avez saisi, un nouveau jeu d’étalonnage est créé. Chaque fois qu’un nouveau jeu d’étalonnage est ajouté, la taille de la piste des jeux d’étalonnage augmente et le nouveau
jeu est sélectionné. Les nouveaux jeux d’étalonnage sont dénués de tout réglage et
permettent de commencer à travailler à partir de l’état original du plan non étalonné.
Pour changer le jeu d’étalonnage sélectionné :
1 Déplacez la tête de lecture au niveau du plan dont vous souhaitez changer l’étalonnage.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Cliquez sur le jeu d’étalonnage auquel vous souhaitez passer.
 Appuyez sur les touches Contrôle + 1, 2, 3 ou 4.
 Cliquez sur un jeu d’étalonnage tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée ou
avec le bouton droit de la souris, puis choisissez Select Grade X dans le menu contextuel (X représente le numéro de l’étalonnage sélectionné).
Le plan est mis à jour pour utiliser le nouveau jeu d’étalonnage sélectionné.
Réinitialisation des jeux d’étalonnage dans la Timeline
En cas de besoin, vous pouvez réinitialiser n’importe lequel des quatre jeux d’étalonnage d’un plan.
Pour réinitialiser un jeu d’étalonnage du plan de montage :
1 Déplacez la tête de lecture jusqu’au plan dont vous souhaitez changer le jeu d’étalonnage.
2 Dans le piste de jeux d’étalonnage de la Timeline, cliquez sur l’étalonnage à réinitialiser tout
en maintenant la touche Contrôle enfoncée ou avec le bouton droit de la souris, puis choisissez Reset Grade X dans le menu contextuel (X représente le numéro de l’étalonnage).
La réinitialisation d’un jeu d’étalonnage efface tous les réglages des studios Primary In,
Secondaries, Color FX et Primary Out. Le plan revient donc à son état d’origine. Toutefois, les réglages Panscan du studio Geometry restent intacts.
Copie de corrections et de jeux d’étalonnage dans la Timeline
La Timeline vous permet de copier des corrections individuelles ou des jeux d’étalonnage entiers d’un plan à l’autre.308 Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage
Pour copier une correction d’un plan à l’autre :
m Faites glisser une seule barre de correction présente dans la piste de jeux d’étalonnage
de la Timeline vers le plan au niveau duquel vous souhaitez la copier.
Le plan vers lequel vous faites glisser la correction est mis en surbrillance, et lorsque
vous déposez celle-ci, le jeu d’étalonnage indiqué pour ce plan est représenté par la
même barre de jeu d’étalonnage.
Remarque : lorsque vous copiez individuellement une correction, les corrections secondaires écrasent celles précédemment déclarées et portant le même numéro.
Pour copier un jeu d’étalonnage d’un plan à l’autre :
m Faites glisser la barre du jeu d’étalonnage d’un plan qui se trouve sur la piste de jeux
d’étalonnage de la Timeline vers le plan au niveau duquel vous souhaitez copier le jeu.
Le plan vers lequel vous faites glisser le jeu d’étalonnage est mis en surbrillance, et lorsque vous déposez celui-ci, toutes les corrections regroupées dans le jeu d’étalonnage
déjà affecté au plan sont remplacées par celles du nouveau jeu d’étalonnage que vous
venez de copier.
Vous pouvez également copier des jeux d’étalonnage dans d’autres jeux d’étalonnage
au sein du même plan. Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage 309
Pour copier un jeu d’étalonnage dans un autre au sein du même plan :
m Faites glisser la barre d’étalonnage présente dans la piste de jeux d’étalonnage de
la Timeline vers une autre barre d’étalonnage du même plan.
Le jeu d’étalonnage copié écrase tous les précédents réglages.
? Conseil : il s’agit d’une méthode efficace pour enregistrer l’étalonnage d’un plan qui vous
convient avant de procéder à d’autres essais. Si vos dernières modifications ne correspondent pas à vos attentes, vous pouvez facilement revenir au jeu d’étalonnage dupliqué.
Utilisation des boutons « Copy to » dans les studios Primary
Les boutons « Copy to Selected » et « Copy to All » affichés dans les studios Primary In
et Primary Out sont des outils très performants : ils vous permettent d’appliquer à
d’autres plans de votre projet des corrections effectuées dans le studio Primary In
ou Primary Out.
Pour copier une correction primaire dans tous les plans actuellement sélectionnés
dans la Timeline :
1 Déplacez la tête de lecture au niveau du plan comportant l’étalonnage que vous souhaitez copier dans d’autres plans de votre programme.
2 Définissez l’étalonnage utilisé par ce plan comme celui que vous souhaitez copier.
3 Dans la Timeline, sélectionnez tous les plans vers lesquels vous souhaitez copier l’étalonnage en cours, en faisant bien attention à ne pas déplacer la tête de lecture vers
un autre plan.310 Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage
4 Cliquez sur Copy to Selected.
L’étalonnage situé au niveau de la position actuelle de la tête de lecture est copié dans
tous les plans sélectionnés.
Vous pouvez également copier l’étalonnage actuellement sélectionné dans le moindre
plan de votre programme.
Pour copier une correction primaire dans tous les plans dans la Timeline :
1 Déplacez la tête de lecture au niveau du plan comportant l’étalonnage que vous
souhaitez copier dans d’autres plans de votre programme.
2 Définissez l’étalonnage utilisé par ce plan comme celui que vous souhaitez copier.
3 Cliquez sur Copy to All.
Le jeu d’étalonnage situé au niveau de la position actuelle de la tête de lecture est
copié dans tous les plans de votre programme.Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage 311
Remarque : les studios Secondaries et Color FX ne proposent pas les boutons « Copy to
Selected » et « Copy to All ». Vous pouvez néanmoins exécuter la même opération en
enregistrant une correction secondaire ou Color FX dans le chutier du studio Secondaries, en sélectionnant les plans auxquels vous souhaitez appliquer cette correction, puis
en faisant glisser cette correction vers l’un des plans sélectionnés. Pour en savoir plus,
consultez la section « Application de corrections et de jeux d’étalonnage enregistrés à
des plans » à la page 305.
Utilisation des commandes Copy Grade et Paste Grade
Vous pouvez utiliser les commandes Copy Grade et Paste Grade pour copier des jeux d’étalonnage d’un plan et les coller dans d’autres. Vous disposez de cinq zones de mémoire pour
copier et coller des jeux d’étalonnage. En d’autres termes, vous pouvez copier jusqu’à cinq
jeux d’étalonnage différents, chacun occupant une zone de mémoire, puis les coller dans
différents plans en fonction de vos besoins.
Pour copier un jeu d’étalonnage dans l’un des cinq zones de mémoire :
1 Déplacez la tête de lecture au niveau du plan à partir duquel vous souhaitez copier
un étalonnage.
2 Faites en sorte que l’étalonnage à copier soit l’étalonnage actuellement sélectionné.
3 Choisissez Grade > Copy Grade > Mem-Bank 1 à 5 (ou appuyez sur les touches
Maj + Contrôle + Option + 1 à 5).
Dès que vous avez copié un jeu d’étalonnage dans l’une des zones de mémoire
disponibles, vous pouvez le coller.
Pour coller un jeu d’étalonnage à partir de l’une des cinq zones de mémoire :
1 Déplacez la tête de lecture au niveau du plan vers lequel vous souhaitez copier
un étalonnage.
2 Définissez l’étalonnage actuellement sélectionné comme l’étalonnage vers lequel
vous souhaitez effectuer le collage.
3 Choisissez Grade > Copy Grade > Mem-Bank 1 à 5 (ou appuyez sur les touches
Maj + Option + 1 à 5).
L’étalonnage est appliqué au plan au niveau de la position de la tête de lecture.312 Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage
Définition d’un jeu d’étalonnage parfait dans la Timeline
Dès lors que chaque plan de votre projet comporte plusieurs jeux d’étalonnage, vous
pouvez éprouver quelques difficultés à vous souvenir de l’étalonnage le plus intéressant pour un plan donné. Le fait de marquer un jeu d’étalonnage particulier comme
l’étalonnage parfait vous permet de garder une trace de l’étalonnage que vous préfé-
rez pour chaque plan.
La définition de l’étalonnage parfait se limite à un marqueur visuel utilisé à des fins
de référence uniquement. L’étalonnage parfait ne correspond pas au jeu d’étalonnage
actuellement sélectionné.
Pour marquer un jeu d’étalonnage comme l’étalonnage parfait :
1 Déplacez la tête de lecture au niveau du plan pour lequel vous souhaitez définir
l’étalonnage parfait.
2 Sélectionnez l’étalonnage à définir comme l’étalonnage parfait.
3 Choisissez Grade > Set Beauty Grade (ou appuyez sur Contrôle + B).
L’étalonnage actuellement sélectionné est affiché en rouge pour indiquer qu’il s’agit
de l’étalonnage parfait.
Vous pouvez sélectionner un autre étalonnage parfait à tout moment.
Désactivation de tous les jeux d’étalonnage
Il est souvent intéressant de désactiver toutes les corrections appliquées à un plan,
afin de disposer d’une vue « avant » et « après » de l’état actuel de votre étalonnage.
Pour désactiver temporairement tous les jeux d’étalonnage :
m Appuyez sur les touches Contrôle + G.
Toutes les corrections effectuées dans les studios Primary In, Secondaries, Color FX et
Primary Out sont alors désactivées. Toutefois, les réglages Panscan du studio Geometry
restent activés.Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage 313
Gestion des jeux d’étalonnage dans le navigateur de plans
Le navigateur de plans vous offre une autre méthode pour parcourir et organiser les
plans de votre programme. En effet, il fonctionne de manière beaucoup moins linéaire
que la Timeline. Par exemple, vous pouvez utiliser le champ Find de la présentation
sous forme de liste pour rechercher des groupes de plans portant le même nom.
Vous pouvez également recourir à la présentation sous forme d’icônes comme s’il s’agissait d’un outil d’organisation et rassembler certains plans dans des groupes en fonction
de leur position dans votre programme, à savoir leur angle de couverture ou le type de
jeu d’étalonnage que vous souhaitez leur appliquer, par exemple. Pour en savoir plus,
consultez la section « Le navigateur de plans » à la page 109.
Sélection de plans et déplacement dans le navigateur de plans
(en présentation sous forme d’icônes)
Si vous avez choisi la présentation sous forme d’icônes, vous pouvez sélectionner
un ou plusieurs plans dans la Timeline, comme vous le feriez dans la présentation
sous forme de liste. De plus, vous pouvez sélectionner le jeu d’étalonnage utilisé
par un plan en développant ce plan pour consulter tous ses jeux d’étalonnage.
Pour présenter sous forme d’icône le plan en cours :
m Cliquez sur la flèche située à droite de la barre de nom d’un plan.
La barre de nom du plan en cours apparaît en gris et la tête de lecture se déplace
vers la première image de ce plan dans la Timeline.314 Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage
Pour sélectionner un plan :
m Cliquez sur la barre de nom d’un plan, en dessous de son icône.
La barre de nom du plan sélectionné est affichée en surbrillance turquoise et ce plan
est sélectionné dans la Timeline.
Pour sélectionner plusieurs plans :
m Cliquez sur les barres de noms des plans que vous souhaitez sélectionner tout en maintenant la touche Commande enfoncée.
Si vous travaillez sur un projet contenant de nombreux plans, il peut s’avérer utile
d’effectuer un zoom arrière, puis de défiler pour trouver les plans que vous recherchez.
Pour effectuer un zoom avant ou arrière sur le navigateur de plans présenté sous
forme d’icônes, procédez de l’une des manières suivantes :
m Appuyez sur la touche Contrôle, puis faites glisser le pointeur tout en maintenant
enfoncé le bouton gauche de la souris.
m Cliquez avec le bouton droit de la souris, puis faites glisser le pointeur vers le haut
pour un zoom arrière et vers le bas pour un zoom avant.
Pour défiler dans le navigateur de plans présenté sous forme d’icônes :
m Cliquez n’importe où dans le navigateur de plans avec le bouton central de la souris,
puis faites glisser le pointeur dans la direction dans laquelle vous souhaitez défiler.
Vous pouvez réorganiser à votre gré les plans dans le navigateur de plans lorsque
la présentation sous forme d’icônes est activée. Toute réorganisation effectuée dans
cette présentation n’affecte en rien l’ordre des plans dans la Timeline.
Pour déplacer un plan dans la présentation sous forme d’icônes :
m Faites glisser la barre de nom d’un plan vers un autre emplacement dans le navigateur
de plans.Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage 315
Sélection de jeux d’étalonnage dans la présentation sous forme
d’icônes
Vous pouvez afficher les différents jeux d’étalonnage disponibles pour un plan,
puis sélectionner l’étalonnage actuellement utilisé.
Pour afficher tous les jeux d’étalonnage disponibles pour un plan :
m Double-cliquez sur la barre de nom d’un plan, en dessous de son icône.
Tous les jeux d’étalonnage disponibles pour ce plan sont alors affichés sous forme de
barres situées en dessous et reliées au plan par des lignes bleues. Une fois qu’ils sont
tous affichés, vous pouvez changer l’étalonnage sélectionné.
Pour sélectionner l’étalonnage utilisé par un plan :
m Double-cliquez sur l’étalonnage que vous souhaitez sélectionner.
Le jeu d’étalonnage sélectionné devient bleu, tandis que les jeux d’étalonnage non
sélectionnés restent gris foncé.
Remarque : les jeux d’étalonnage déjà rendus apparaissent en vert.316 Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage
Regroupement et dissociation de plans
Un groupe est une structure organisationnelle disponible dans le navigateur de plans
uniquement lorsqu’il est présenté sous forme d’icônes. L’objectif des groupes est très
simple. Il s’agit de cibles grâce auxquelles vous pouvez copier un jeu d’étalonnage dans
plusieurs plans à la fois.
Voici quelques exemples illustrant l’intérêt d’utiliser des groupes :
 Vous pouvez organiser tous les plans d’une scène particulière dans un seul groupe,
afin de faciliter l’application et la mise à jour simultanées des corrections stylisées
appliquées à chaque plan de cette scène.
 Vous pouvez organiser certains plans d’une scène pris selon le même angle de couverture (et partageant éventuellement les mêmes corrections), afin d’appliquer simultané-
ment le même jeu d’étalonnage à ces plans et les mettre à jour.
 Vous pouvez regrouper tous les plans d’un certain type (par exemple, tous les plans
du visage d’un orateur), afin d’appliquer simultanément les mêmes corrections ou
jeux d’étalonnage à tous ces plans.
L’utilisation des groupes est sans limite. Pour résumer, dès que vous avez envie d’appliquer la même correction ou le même jeu d’étalonnage à une série de plans, envisagez
sérieusement d’utiliser des groupes.
Remarque : un plan ne peut être intégré qu’à un seul groupe à la fois.
Pour créer un groupe :
1 Ouvrez le navigateur de plans dans le studio Setup.
2 Réglez la présentation du navigateur de plans sous forme d’icônes.
3 Réorganisez les plans que souhaitez grouper dans le navigateur de plans (cette étape
est facultative).
Même si cette étape n’est pas strictement nécessaire, elle peut s’avérer utile pour visualiser tous les plans que vous souhaitez grouper sous la forme d’un ensemble d’icônes
regroupées dans l’espace.Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage 317
4 Sélectionnez tous les plans que vous souhaitez grouper en cliquant sur leur barre
de nom tout en maintenant la touche Commande enfoncée.
5 Appuyez sur la touche G.
Un groupe est créé. Un nœud de groupe apparaît avec des lignes de liaison bleues
indiquant les plans intégrés à ce groupe.
Pour ajouter un plan à un groupe existant :
m Cliquez n’importe où sur la barre de nom d’un plan avec le bouton droit de la souris,
puis tracez une ligne de liaison vers le nœud du groupe auquel vous souhaitez l’ajouter.
Dès lors que vous avez créé un groupe, vous pouvez le dissocier à tout moment.318 Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage
Pour dissocier un groupe de plans :
m Sélectionnez le nœud de groupe à supprimer, puis appuyez sur la touche Suppr
ou Effacement vers l’avant.
Le nœud et ses lignes de liaison disparaissent. Les plans sont alors dissociés.
Pour supprimer un seul plan d’un groupe :
m Cliquez n’importe où sur la barre de nom d’un plan avec le bouton droit de la souris,
puis tracez une ligne de liaison vers une zone vide du navigateur de plans.
Sitôt que vous relâchez le bouton de la souris, ce plan n’est plus relié au groupe.
Utilisation des groupes
Dès que vous avez créé un ou plusieurs groupes de plans, vous pouvez utiliser le nœud
d’un de ces groupes pour afficher et masquer les plans qui y sont reliés, ainsi que copier
des jeux d’étalonnage et des corrections vers chacun de ces plans.
Pour réduire et développer un groupe :
m Double-cliquez sur le nœud de n’importe quel groupe.
Lorsqu’un groupe est réduit, les plans qui y sont reliés sont masqués.Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage 319
Double-cliquez sur un groupe réduit pour afficher tous les plans précédemment masqués.
Une fois que vous créé un groupe, vous pouvez y copier très simplement une correction ou un étalonnage.
Pour copier un jeu d’étalonnage dans un groupe :
m Faites glisser la barre d’un jeu d’étalonnage de la Timeline vers le nœud d’un groupe.
L’étalonnage que vous venez de faire glisser remplace l’étalonnage actuellement
sélectionné de tous les plans de ce groupe. Leurs jeux d’étalonnage non sélectionnés
ne sont pas affectés.
Vous pouvez également copier une correction d’un studio particulier vers le même
studio de tous les autres plans d’un groupe.320 Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage
Pour copier une correction individuelle vers un groupe :
m Faites glisser la barre de correction du studio que vous souhaitez copier de la Timeline
vers le nœud d’un groupe.
La correction que vous venez de faire glisser remplace les réglages du même studio de
tous les plans de ce groupe.
Important : il est uniquement possible de copier des corrections et des grades de la
Timeline vers les groupes affichés dans le navigateur de plans.
Utilisation de tous les studios Primary, Secondary et Color FX
pour gérer les corrections de chaque plan
L’interface Color offre une grande flexibilité lors de la correction et de la manipulation
de la couleur de vos plans. Même si chaque studio dispose de ses propres commandes
adaptées à des types d’opérations bien particuliers, certaines fonctions présentent des
parties communes. Les studios Primary In, Secondaries, Color FX et Primary Out contribuent donc ensemble à l’apparence finale obtenue. Vous avez toute latitude pour utiliser ces studios à votre convenance.
Au minimum, l’étalonnage d’un projet requiert les étapes suivantes :
Étape 1 : Optimisation de l’exposition et de la couleur de chaque plan
Étape 2 : Balance de chaque plan d’une scène afin d’obtenir un contraste et une
balance des couleurs similaires
Étape 3 : Application d’une ambiance créative à la scène
Étape 4 : Modifications liées aux commentaires du client
Vous pouvez réaliser toutes ces étapes dans un seul studio ou les diviser entre
divers studios.Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage 321
Réalisation complète dans un seul studio
À l’exception de certaines opérations spéciales, comme les étalonnages secondaires
et Color FX, il est possible d’exécuter chacune de ces étapes du processus d’étalonnage via un seul jeu de modifications dans le studio Primary In. Pour les programmes
simples ne nécessitant que peu de corrections, vous n’utiliserez d’ailleurs que ce studio.
Dans le cadre de projets où le directeur de la photographie et l’équipe ont fait en sorte
d’obtenir l’ambiance désirée au cours du tournage, il ne vous reste plus qu’à effectuer la
balance des plans de chaque scène et à apporter les modifications nécessaires à l’amé-
lioration du contraste et de la couleur des éléments qui vont été fournis.
Étalonnage au sein de plusieurs studios
D’un autre côté, il n’existe aucune raison qui vous empêche de répartir les étapes mentionnées ci-dessus entre plusieurs studios. Cette approche vous permet de concentrer
tous vos efforts sur chaque étape du processus d’étalonnage et met à votre disposition
une méthode simple pour organiser les modifications que vous effectuez, rendant ainsi
chaque changement plus simple à ajuster par la suite.
Cette section se limite à suggérer l’une des innombrables méthodes d’utilisation des
divers studios de Color pour réaliser les étapes nécessaires à l’étalonnage de vos projets.
Étape 1 : Optimisation de l’exposition et de la couleur de chaque plan
Il est recommandé de commencer par l’optimisation de l’exposition et de la couleur de
chaque plan dans le studio Primary In. Comme il s’agit d’une préparation du projet en
vue d’une session de travail avec le client, il est conseillé de vous restreindre lors de vos
corrections à rendre chaque plan aussi bon que possible, en optimisant son exposition
et sa balance des couleurs, sans même penser aux étapes ultérieures.
Étape 2 : Balance de chaque plan d’une scène afin d’obtenir un contraste et une
balance des couleurs similaires
Suite à cette optimisation, vous pouvez effectuer la balance du contraste et des couleurs
de chaque plan, afin d’assurer la cohérence de tous les plans d’une scène particulière,
grâce au premier onglet du studio Secondaries. Si vous cliquez sur le bouton Enable affiché dans le studio Secondaries sans limiter les réglages par défaut des qualificatifs HSL,
les modifications apportées sont identiques à celles que vous avez effectuées dans l’un
des studios Primary.
Important : si vous utilisez un onglet secondaire pour affecter l’intégralité de l’image,
assurez-vous que l’onglet Previews n’est pas sélectionné au cours de votre travail. En
effet, si l’onglet Previews est sélectionné, l’image contrôlée est modifiée en fonction du
Matte Preview Mode sélectionné, ce qui peut provoquer un léger décalage de couleur
lorsque l’onglet Secondaries est sélectionné. Cliquez sur l’onglet Hue, Sat ou Lum Curve
(même si vous n’avez pas besoin de l’utiliser) pour contrôler correctement l’image.322 Chapitre 13 Gestion des corrections et des jeux d’étalonnage
Étape 3 : Application d’une ambiance créative à la scène
Les plans sont dorénavant optimisés et la balance des scènes finalisée. Vous pouvez
donc vous concentrer sur les questions d’ordre créatif à l’aide des onglets deux à huit
du studio Secondaries. Recourez à ces onglets si vous souhaitez appliquer une ambiance
créative ou aller plus loin en opérant des modifications spécifiques de retouche numérique de l’éclairage. À cette étape du processus, vous pouvez également utiliser le studio
Color FX pour étendre vos possibilités de création.
Étape 4 : Modifications liées aux commentaires du client
Dès que votre client aura eu l’opportunité de visualiser l’étalonnage quasiment finalisé
du programme, nul doute qu’il vous fera part de remarques et commentaires sur votre
travail. Accédez alors au studio Primary Out (que vous n’aviez pas encore eu l’occasion
d’utiliser) pour appliquer très simplement ces retouches finales.
Comme vous avez réalisé chaque étape du processus d’étalonnage dans un studio différent de l’interface Color, il sera également beaucoup plus simple pour vous d’identifier quelle remarque du client correspond à la correction requérant des ajustements.
Les étapes décrites ci-dessus ne sont que des simples suggestions. Au fil du temps,
vous allez très certainement développer votre propre méthode pour gérer des diffé-
rents processus nécessaires à l’étalonnage des programmes dans Color.14
323
14 Images clés
Vous pouvez créer des jeux d’étalonnage animés et d’autres
effets à l’aide d’images clés dans la Timeline.
Dans Color, l’animation avec des images clés est un mécanisme simple, mais efficace. Il a
été conçu pour vous permettre d’animer en quelques étapes des étalonnages, des vignettes, des nœuds Color FX, des effets Panscan et des formes créées par des utilisateurs.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 Objectifs de l’animation d’un effet avec des images clés (p. 323)
 Fonctionnement de l’animation avec des images clés dans les différents
studios (p. 324)
 Utilisation d’images clés dans la Timeline (p. 326)
 Interpolation d’images clés (p. 329)
Objectifs de l’animation d’un effet avec des images clés
Vous allez souvent travailler sur des projets entiers sans avoir besoin d’animer le moindre de vos étalonnages avec des images clés. Toutefois, recourir à des étalonnages primaires animés avec des images clés va souvent vous permettre de compenser les
changements dynamiques appliqués à l’exposition ou à la couleur de plans qui auraient
été inutilisables si vous n’aviez pas procédé de la sorte. Les images clés vont également
vous servir à créer un éclairage ou des effets de couleur animés, en vue d’augmenter
l’éclairage d’origine d’une scène.
Voici quelques exemples courants d’utilisation d’images clés animées :
 Correction d’un changement accidentel d’exposition au milieu d’un plan.
 Création d’un effet d’éclairage animé, tel qu’une lumière successivement allumée,
puis éteinte.
 Correction d’une modification accidentelle de la balance des blancs au milieu d’un plan.
 Déplacement d’une vignette afin qu’elle suive le mouvement d’un objet/personnage.
 Animation d’une forme créée par un utilisateur de telle sorte qu’elle traite par rotoscopie un objet/sujet en vue d’une correction intensive.324 Chapitre 14 Images clés
Fonctionnement de l’animation avec des images clés dans
les différents studios
Vous pouvez animer des effets avec des images clés dans les studios Primary In, Secondaries, Color FX, Primary Out et Geometry. Chaque studio dispose de son propre ensemble
d’images clés, stocké dans les diverses pistes du graphique des images clés de la Timeline.
Ces pistes sont masquées jusqu’à ce que vous commenciez à ajouter des images clés dans
un studio particulier. Dès lors, la piste d’images clés de cet studio devient visible.
Toutes les images clés créées dans chaque studio sont affichées simultanément dans
la Timeline, mais vous ne pouvez modifier ou supprimer que les images clés du studio
actuellement ouvert. Les autres images clés sont verrouillées tant que vous n’ouvrez
pas le studio correspondant.
Bien que vous puissiez créer, modifier et supprimer des images clés de la même
manière dans tous les studios, leur effet est différent selon le studio.
Animation de corrections avec des images clés dans les studios
Primary In et Out
Les studios Primary In et Out vous permettent d’animer avec des images clés l’ensemble
des commandes et des paramètres. Vous pouvez ainsi corriger un éclairage inapproprié
du fait d’un décalage et la couleur due à des réglages automatiques de caméra, ainsi que
créer vos propres effets animés. Deux limitations de l’animation des corrections dans les
studios Primary In et Primary Out doivent toutefois être mentionnées et gardées à l’esprit :
 Les images clés ajoutées dans les studios Primary enregistrent l’état de toutes les
commandes simultanément. Il est impossible d’animer des paramètres individuels
avec des images clés.
 Les courbes ne peuvent pas être animées à l’aide d’images clés, mais tout autre
paramètre des studios Primary In et Primary Out peut l’être.
Remarque : l’animation des modifications de couleur dépend du réglage Radial HSL
Interpolation dans l’onglet User Prefs du studio Setup. Dans la majorité des cas, vous
obtenez de bien meilleurs résultats en laissant cette option désactivée. Pour en savoir
plus, consultez la section « Onglet User Preferences » à la page 122.Chapitre 14 Images clés 325
Animation de corrections secondaires avec des images clés
Tout comme les paramètres et les commandes des studios Primary In et Out, vous avez
la possibilité d’animer la plupart des commandes et des paramètres d’étalonnage. Chacun des huit onglets secondaires dispose de sa propre piste d’images clés. D’ailleurs, les
réglages Inside et Outside de chaque onglet secondaire peuvent être animés individuellement avec des images clés.
Outre les commandes de couleur et de contraste, les commandes secondaires suivantes peuvent également être animées avec des images clés :
 Le bouton Enable qui active et désactive les corrections secondaires.
 Les qualificatifs du manipulateur secondaire.
 Le bouton Vignette qui active et désactive le vignetage.
 Tous les paramètres de forme des vignettes.
Remarque : les courbes secondaires ne peuvent pas être animées à l’aide d’images clés.
Puisque vous pouvez animer avec des images clés toutes ces commandes, vous avez
la possibilité d’automatiser avec beaucoup de latitude les opérations secondaires d’étalonnage. Par exemple, vous pouvez régler les qualificatifs du manipulateur secondaire
pour compenser un changement d’exposition dans le plan d’origine provoquant une
modification involontaire de la zone d’isolation.
L’animation des paramètres de forme des vignettes avec des images clés vous permet
d’animer les vignettes de façon à ce qu’elles suivante un objet/personnage en mouvement ou à créer d’autres effets animés de projecteur.
Animation de Color FX avec des images clés
Vous pouvez animer les paramètres des nœuds avec des images clés dans le studio Color
FX afin de créer toute sorte d’effets. Même si le studio Color FX ne dispose que d’une seule
piste d’images clés, chaque nœud de votre arborescence comporte ses propres images
clés. Vous pouvez enregistrer l’état de chaque paramètre au sein d’un nœud à l’aide d’un
seul ensemble d’images clés. Toutefois, il est impossible d’animer individuellement chaque paramètre d’un nœud avec des images clés.
Les seules images clés affichées sur la piste d’images clés du studio Color FX sont celles
du nœud actuellement sélectionné pour être modifié. Les images clés de tous les autres
nœuds sont masquées. Cet affichage peut provoquer une certaine confusion au début,
car les images clés apparaissent et disparaissent de la Timeline en fonction du nœud en
cours de modification.326 Chapitre 14 Images clés
Animation des effets Panscan avec des images clés
Vous pouvez animer avec des images clés tous les réglages que vous avez effectués
à l’aide des paramètres Panscan et des contrôles d’écran du studio Geometry, afin de
créer des effets Panscan animés et des transformations géométriques. Sachez alors
que tous les paramètres sont animés ensemble avec des images clés.
Animation de formes créées par des utilisateurs avec des images clés
Vous pouvez animer avec des images clés des formes créées par des utilisateurs dans
l’onglet Shapes du studio Geometry, afin de traiter par rotoscopie (les isoler en les contourant image par image) des objets/personnages et des zones de l’image en mouvement dans le but de les corriger en détail dans le studio Secondaries.
Remarque : vous pouvez animer des formes avec des images clés uniquement après
qu’elles aient été affectées à un onglet du studio Secondaries.
Utilisation d’images clés dans la Timeline
Vous devez créer au moins deux images clés pour animer un effet, quel que soit son type.
Chaque image clé créée stocke l’état du studio dans lequel vous vous trouvez au niveau
de cette image. Dès que vous avez ajouté deux images clés avec deux corrections diffé-
rentes à un studio, Color animé automatiquement la correction appliquée à l’image, en
passant de la correction de la première image clé à la correction de la dernière.Chapitre 14 Images clés 327
Une fois que vous avez ajouté une image clé à un plan dans un studio particulier, vous
ne pouvez modifier les commandes et les paramètres de ce studio que lorsque la tête
de lecture est positionnée directement au-dessus d’une image clé. Si vous souhaitez
apporter d’autres modifications au plan animé avec des images clés, vous devez déplacer la tête de lecture sur l’image à modifier et ajouter une autre image clé. Effectuez
tous les ajustements nécessaires alors que la tête de lecture est positionnée au-dessus
de la nouvelle image clé.
Pour ajouter une image clé dans le studio actuellement ouvert :
m Choisissez Timeline > Add Keyframe (ou appuyez sur Contrôle + 9).
Dès que vous avez ajouté une ou plusieurs images clés, vous pouvez utiliser deux commandes pour déplacer rapidement la tête de lecture vers l’image clé suivante, à droite
ou à gauche.
Pour déplacer la tête de lecture d’une image clé à la suivante dans le studio actuellement ouvert, procédez de l’une des manières suivantes :
m Appuyez sur les touches Option + Flèche gauche pour la positionner sur l’image clé
suivante sur la gauche.
m Appuyez sur les touches Option + Flèche droite pour la positionner sur l’image clé
suivante sur la droite.
m Cliquez sur le graphique des images clés de la Timeline tout en maintenant la touche
Contrôle enfoncée, puis choisissez Next Keyframe ou Previous Keyframe dans le menu
contextuel.
Les images clés situées à l’emplacement actuel de la tête de lecture sont affichées
en surbrillance.
Vous pouvez supprimer des images clés dont vous n’avez pas besoin.
Pour supprimer une seule image clé :
1 Déplacez la tête de lecture au niveau de l’image comportant l’image clé que vous
souhaitez supprimer.
2 Choisissez Timeline > Remove Keyframe (ou appuyez sur Contrôle + 0).
Vous pouvez également supprimer simultanément toutes les images clés appliquées
à un plan dans un studio particulier.328 Chapitre 14 Images clés
Pour supprimer toutes les images clés dans un seul studio :
1 Cliquez sur l’onglet correspondant au studio contenant les images clés que vous
souhaitez supprimer.
2 Déplacez la tête de lecture au niveau de l’image où la correction ou l’effet est dans
l’état que vous souhaitez appliquer à l’intégralité du plan.
3 Dans la Timeline, cliquez sur l’image clé à supprimer tout en maintenant la touche
Contrôle enfoncée, puis choisissez Remove All Keyframes dans le menu contextuel.
Chaque image clé appliquée à ce studio ou à l’onglet secondaire est supprimée et le
graphique des images clés de ce studio disparaît de la Timeline. Lorsque vous supprimez d’un seul coup toutes les images clés d’un plan, les réglages de correction ou
d’effets de l’image située à l’emplacement de la tête de lecture deviennent les réglages de l’ensemble du plan.
Important : la commande Remove All Keyframes vous permet de supprimer toutes les
images clés du studio actuellement sélectionné, quelle que soit la zone du graphique
des images clés de la Timeline sur laquelle vous avez cliqué tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée.
Le réglage de la synchronisation des images clés précédemment créées est un jeu d’enfant.
Pour déplacer une image clé et modifier sa synchronisation :
m Faites-la glisser vers la gauche ou la droite.
Vous pouvez également régler la synchronisation d’une image clé tout en prévisualisant l’image vers laquelle vous la déplacer.
Pour déplacer une image clé tout en mettant à jour l’image prévisualisée :
m Appuyez sur la touche Option alors que vous faites glisser l’image clé vers la gauche
ou la droite.
En cas de besoin, vous pouvez également redimensionner à la verticale le graphique
des images clés de la Timeline, afin de mieux voir ce que vous êtes en train de faire.
Pour en savoir plus, consultez la section « Personnalisation de l’interface du plan de
montage » à la page 148.
Vous pouvez également utiliser le graphique des images clés pour accéder à un studio
comportant des effets animés avec des images clés.
Pour ouvrir le studio correspondant à une piste d’images clés :
m Double-cliquez sur n’importe quelle piste d’images clés dans la Timeline.Chapitre 14 Images clés 329
Interpolation d’images clés
La méthode d’interpolation choisie pour une image clé détermine le mode d’animation des réglages d’une image clé à la suivante. Il existe trois types d’interpolation :
 Smooth : les images clés de ce type commencent lentement leur transition vers l’état
suivant d’animation, atteignent leur vitesse normale au milieu de la transition, puis
ralentissent jusqu’à s’arrêter au niveau de l’image clé suivante. Ce « lissage » d’une
image clé à la suivante crée des transitions entre les étalonnages, les paramètres de
nœuds Color FX animés, les réglages Panscan et les formes animées créées par des
utilisateurs, qui se déplacent alors avec fluidité et naturel. Toutefois, si vous avez
ajouté plus de deux images clés, votre effet donne l’impression de faire une pause
d’une image au moment où la tête de lecture passe au-dessus de chaque image clé,
ce qui peut être contraire au résultat recherché.
 Linear : les images clés de ce type opèrent une transition régulière d’un état d’animation au suivant, sans accélération ni ralentissement. Si vous utilisez des images
clés linéaires pour animer un effet survenant à un endroit quelconque au milieu
d’un plan, l’effet animé risque de donner l’impression de commencer et se terminer
de manière abrupte. D’un autre côté, si vous animez avec des images clés un effet
commençant au niveau de la première image et se terminant sur la dernière, son
aspect semble évoluer à une vitesse uniforme.
 Constant : les images clés constantes n’opèrent aucune sorte d’interpolation. Tous
les effets passent de manière abrupte au prochain état d’animation au moment où
la tête de lecture atteint l’image clé constante suivante. Ce type d’images clés est très
pratique lorsque vous souhaitez qu’un effet passe soudainement à un autre état,
comme la modification du contraste pour simuler un éclair au travers d’une fenêtre.330 Chapitre 14 Images clés
Par défaut, toutes les images clés créées sont de type « smooth », mais vous pouvez
modifier leur interpolation à tout moment. La modification de l’interpolation d’une
image clé affecte uniquement la façon dont les valeurs sont animées entre cette image
clé et la suivante sur la droite.
Pour modifier l’interpolation d’une image clé :
1 Déplacez la tête de lecture au niveau de l’image clé que vous souhaitez modifier.
2 Choisissez Timeline > Change Keyframe (ou appuyez sur Contrôle + 0).15
331
15 Studio Geometry
Le studio Geometry vous permet d’effectuer des zooms
avant/arrière sur des plans, de créer des effets Panscan, de
dessiner des caches personnalisés pour les opérations secondaires sur des vignettes, ainsi que suivre des objets/
personnages en mouvement en vue d’automatiser l’animation des vignettes et des formes.
Ce studio comporte un aperçu d’image sur la gauche (qui contient tous les contrôles
d’écran de l’ensemble des fonctions disponibles dans ce studio) et trois onglets sur la
droite. Chaque onglet propose des outils différents dédiés à des fonctions spécifiques.
L’onglet Panscan vous permet de redimensionner, faire pivoter, retourner et renverser
des plans en fonction de vos besoins. L’onglet Shapes vous sert à créer des masques
personnalisés pour vos corrections secondaires. Quant à l’onglet Tracking, il vous offre
une interface de création et d’application de suivi de l’animation sur des vignettes et
des formes personnalisées de votre projet.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 Navigation dans l’aperçu d’image (p. 332)
 Onglet Panscan (p. 332)
 Onglet Shapes (p. 337)
 Onglet Tracking (p. 345)332 Chapitre 15 Studio Geometry
Navigation dans l’aperçu d’image
Chacun des onglets du studio Geometry est basé sur des contrôles d’écran disponibles
dans la zone d’aperçu d’image située à gauche des onglets. Vous pouvez effectuer un zoom
avant ou arrière sur cette zone, ainsi que la faire défiler, afin d’obtenir une meilleure visibilité de l’image sur laquelle vous êtes en train de travailler. Vous pouvez même effectuer un
zoom et afficher un panoramique alors que vous êtes en train de dessiner une forme.
Pour effectuer un zoom avant ou arrière sur l’aperçu d’image :
m Cliquez avec le bouton droit de la souris dans l’aperçu d’image, puis faites glisser
le pointeur vers le haut pour un zoom arrière et vers le bas pour un zoom avant.
Pour obtenir un panoramique de l’aperçu d’image :
m Cliquez avec le bouton central de la souris dans l’aperçu d’image, puis faites-le glisser
dans n’importe quelle direction.
Pour recadrer l’aperçu d’image afin qu’il s’adapte à la taille actuelle de l’écran :
m Appuyez sur F.
Onglet Panscan
L’onglet Panscan vous permet d’appliquer des transformations de base aux plans de
vos projets. Vous pouvez utiliser ces transformations pour agrandir des images, les repositionner afin de rogner les zones inutiles et faire pivoter des plans en vue de créer des
angles de prise de vue. Vous avez également la possibilité d’animer ces effets avec des
images clés afin de créer des effets Panscan animés lors de la conversion d’un projet à
haute résolution pour écran large vers une définition standard d’image à 4:3.
Importation et exportation de paramètres Geometry depuis/vers
Final Cut Pro
Lorsque vous transférez une séquence de Final Cut Pro vers Color, les paramètres d’animation suivants sont convertis en paramètres équivalents dans Color.
Lors de l’étalonnage de votre programme, vous pouvez prévisualiser l’effet de ces transformations sur chaque plan et apporter, le cas échéant, des modifications supplémentaires.
Paramètres présents dans
l’onglet Animation de
Final Cut Pro Paramètres Panscan dans Color
Scale Scale
Rotation Rotation
Centre Position X, Position Y
Aspect Ratio Aspect RatioChapitre 15 Studio Geometry 333
Dès que vous avez terminé votre travail sur votre projet dans Color, le fait que Color
traite ou non les modifications Panscan lors du rendu de chaque plan à partir de la
Render Queue dépend de la méthode choisie pour l’importation de votre projet :
 Si des projets sont transférés de Color vers Final Cut Pro ou importés sous forme
de fichiers XML, toutes les transformations géométriques appliquées aux plans
dans Color sont à nouveau converties en réglages d’animation équivalents dans
Final Cut Pro lors de la réexpédition du projet vers Final Cut Pro. Vous avez alors
la possibilité de personnaliser davantage ces effets dans Final Cut Pro avant d’effectuer leur rendu et leur sortie.
 Dans le cas d’intermédiaires numériques en 2K avec des séquences d’images Cineon
et DPX, les transformations Panscan sont traitées dans Color en même temps que vos
étalonnages lors du rendu du média de sortie.
Utilisation de l’onglet Panscan
Vous pouvez transformer les plans de votre programme grâce à deux ensembles de
commandes. À gauche, la zone d’aperçu d’image met à votre disposition les contrôles
d’écran, alors qu’à droite, des paramètres numériques reflètent vos modifications.334 Chapitre 15 Studio Geometry
Utilisation des contrôles d’écran
Les contrôles d’écran disponibles dans l’onglet Panscan sont constitués d’un cadre de
sélection externe muni d’une poignée à chacun de ses quatre angles (représentant la
sortie mise à l’échelle) et de deux indicateurs d’opération sur les blancs et de titre sécurisé. Par défaut, ce cadre et ces commandes adoptent la même taille que la résolution
de votre projet.
Les contrôles d’écran fonctionnent conjointement avec l’image affichée dans les pré-
sentations Preview et Broadcast. Autrement dit, vous utilisez les contrôles d’écran pour
isoler la partie de l’image que vous souhaitez obtenir au final, puis vous visualisez la
transformation en cours dans les présentations Preview et Broadcast.
Pour redimensionner un plan :
m Faites glisser l’un des quatre angles de la commande à l’écran pour redimensionner
le plan autour de son centre.
Cette commande à l’écran permet de réduire ou d’agrandir l’image de façon à en
inclure plus ou moins. Les présentations Preview et Broadcast affichent le résultat
obtenu. Le paramètre Scale est également modifié.Chapitre 15 Studio Geometry 335
Pour faire pivoter un plan :
m Faites glisser le pointeur de la souris à proximité des quatre poignées d’angle, mais à
l’extérieur, vers la droite pour une rotation vers la gauche et vers la gauche pour une
rotation vers la droite.
Comme la commande à l’écran fonctionne en sélectionnant une partie de l’image
source statique, elle pivote en sens inverse de l’effet, mais les présentations Preview
et Broadcast affichent le résultat correct.
Pour repositionner un plan :
m Faites glisser le pointeur n’importe où dans le cadre de sélection rouge.
La commande à l’écran se déplace pour sélectionner une autre partie du plan, puis
les présentations Preview et Broadcast affichent le résultat.
Remarque : les paramètres Aspect Ratio, Flip et Flop ne disposent d’aucune commande
à l’écran.
Utilisation des paramètres Panscan
Toute modification apportée à l’aide des contrôles d’écran se reflète dans les paramè-
tres numériques de l’onglet Panscan affiché à droite et est enregistrée. Si vous le souhaitez, vous pouvez modifier directement ces paramètres numériques. Il vous suffit
de saisir une nouvelle valeur dans le champ correspondant ou de faire glisser le bouton Middle d’un des champs pour l’ajuster avec son curseur virtuel.
 Position X et Y : déterminent la partie de l’image affichée lorsque vous repositionnez
la commande à l’écran. Ces paramètres correspondent aux deux dimensions du paramètre Centre dans Final Cut Pro.
 Scale : détermine la taille de l’image.
 Aspect Ratio : vous permet de modifier les proportions du plan (sa largeur par rapport à sa hauteur) afin de l’étirer ou de le compresser. Ce paramètre ne dispose
d’aucune commande à l’écran.336 Chapitre 15 Studio Geometry
 Rotation : vous permet de faire pivoter le plan autour du centre de la commande
à l’écran.
 Flip Image : vous permet d’inverser l’image à l’horizontale. Droite et gauche sont
alors inversées.
 Flop Image : vous permet d’inverser l’image à la verticale. Haut et bas sont alors inversés.
Important : les paramètres Flip et Flop sont désactivés lorsque vous travaillez sur un
projet XML provenant de Final Cut Pro, car ils n’ont aucun équivalent parmi les réglages de l’onglet Animation.
Animation des paramètres Panscan avec des images clés et des marqueurs de suivi
En cas de besoin, vous avez la possibilité d’animer les effets Panscan selon deux
méthodes :
 Avec des images clés : vous pouvez animer avec des images clés toutes les commandes de transformation Panscan. Pour en savoir plus sur l’animation avec des images
clés dans Color, consultez le chapitre 14, « Images clés », à la page 323.
 Avec un marqueur de suivi : vous pouvez également utiliser le suivi de l’animation
pour animer automatiquement un effet Panscan, comme le bouger pour suivre le
déplacement d’un personnage traversant l’écran, par exemple.
Après avoir créé un marqueur de suivi et analysé le plan (dans l’onglet Tracking), il vous
suffit d’indiquer le numéro du marqueur de suivi à utiliser dans le champ Use Tracker
pour que les paramètres Position X et Y soient automatiquement animés. Si le champ
Use Tracker contient la valeur 0, aucun marqueur de suivi n’est appliqué. Pour en savoir
plus, consultez la section « Onglet Tracking » à la page 345.
Copie et réinitialisation des paramètres Panscan
Situés en bas de l’onglet Panscan, trois boutons vous permettent de copier et de réinitialiser les modifications apportées à ces commandes.
 Bouton Copy to Selected : sélectionnez un ou plusieurs plans dans la Timeline, puis
cliquez sur ce bouton pour copier les réglages Panscan actuels dans tous les plans
sélectionnés.
 Bouton Copy to All : permet de copier les réglages Panscan dans tous les plans du
programme. Cette fonction est utile lorsque vous apportez une modification globale
lors du changement de format d’un programme.
 Bouton Reset Geometry : réinitialise tous les paramètres Panscan à l’échelle par défaut
de votre projet.Chapitre 15 Studio Geometry 337
Onglet Shapes
L’onglet Shapes vous permet de dessiner des formes personnalisées que vous pouvez
utiliser comme des vignettes dans le studio Secondaries pour les fonctions d’isolation,
de vignetage ou de retouche numérique de l’éclairage. Cet onglet n’offre aucun intérêt
s’il est utilisé seul et vous ne devez pas y commencer votre travail. En fait, vous devez
tout d’abord créer des formes en choisissant l’option User Shape dans le menu local
Shape des commandes Vignette disponibles dans le studio Secondaries.
Lorsque vous choisissez cette option, vous accédez directement à l’onglet Shapes du
studio Geometry, qui met à votre disposition toutes les commandes nécessaires pour
dessiner et modifier vos propres formes personnalisées. Pour en savoir plus sur ce processus, consultez la section « Utilisation d’une forme personnalisée pour appliquer une
vignette » à la page 259.
Remarque : les formes personnalisées ne s’utilisent qu’avec des opérations secondaires
dans le studio Secondaries. Il est impossible de les utiliser dans le studio Color FX.
Commandes disponibles dans l’onglet Shapes
L’onglet Shapes comporte les commandes suivantes :
 Current Secondary : indique lequel des huit onglets affichés dans le studio Secondaries
est l’opération secondaire actuellement sélectionnée. Si vous cliquez sur le bouton
Attach, la forme actuellement sélectionnée est associée à cet onglet.
 Attached Shape : si vous sélectionnez une forme préalablement associée à l’onglet secondaire d’un plan, ce champ vous indique le nom de cette forme et le jeu d’étalonnage
auquel elle est reliée conformément au format suivant : nomForme.numéroJeuÉtalonnage
 Bouton Attach : une fois que vous avez dessiné une forme à utiliser pour limiter une
opération secondaire, cliquez sur ce bouton pour l’associer à l’onglet secondaire actuellement ouvert dans le studio Secondaries (indiqué dans le champ Current Secondary).
 Bouton Detach : cliquez sur ce bouton pour rompre la relation unissant une forme et
l’onglet secondaire auquel elle était précédemment affectée. Une fois détachée, une
forme n’a plus aucun effet de limitation sur une opération secondaire.
 Shapes List : cette liste répertorie toutes les formes non associées disponibles dans
un projet, ainsi que les formes affectées au plan actuel. Cette liste est décrite de
façon plus détaillée ci-après.
 Hide Shape Handles : cliquez sur ce bouton pour masquer les points de contrôle
des formes dans l’aperçu d’image. Leur contour reste visible.338 Chapitre 15 Studio Geometry
 Reverse Normals : lorsque les bords d’une forme sont adoucis à l’aide du paramètre
Softness, ce bouton permet d’inverser quelle forme définit les bords intérieur et exté-
rieur de l’adoucissement.
 Use Tracker : si vous avez analysé un ou plusieurs marqueurs de suivi d’animation
dans le projet en cours, vous pouvez indiquer le numéro du marqueur de suivi à utiliser pour animer automatiquement la position de la forme actuelle. Pour qu’une forme
ne soit plus sous l’influence du marqueur de suivi associé, réglez cette valeur sur 0.
 Softness : adoucit globalement tous les bords de la forme. Si vous réglez ce paramè-
tre sur 0, le contour de la forme est abrupt (mais anticrénelé). Si vous optez pour une
valeur supérieure à 0, les formes adoucies intérieure et extérieure apparaissent avec
leurs propres points de contrôle. La forme interne indique où commence l’adoucissement des bords, tandis que la forme externe indique l’extrémité de la forme adoucie. Si nécessaire, vous pouvez ajuster chaque bordure indépendamment.
 Shape Name : par défaut, ce champ affiche « sans titre ». Toutefois, vous pouvez attribuer le nom de votre choix à la forme actuellement sélectionnée, afin d’organiser plus
facilement la liste des plans.
 New : cliquez sur ce bouton pour créer une nouvelle forme affectée à aucune opération.
 Remove : sélectionnez une forme, puis cliquez sur ce bouton pour la supprimer de
la Shapes List.
 Close Shape/Open Shape : cliquez sur ce bouton pour basculer la forme actuellement
sélectionnée de l’état ouvert à fermé (et inversement).
 Bouton Save : enregistre la forme actuellement sélectionnée dans le répertoire des
formes favorites.
 Bouton Load : charge toutes les formes enregistrées dans le répertoire des formes
favorites dans la Shapes List du plan actuel.
 Boutons B-spline/polygon : fait passer la forme actuellement sélectionnée du mode
B-spline (qui autorise des formes courbes) au mode polygone (dans lequel les formes sont uniquement angulaires) et inversement.
 Boutons Main/Inner/Outer : ces boutons vous permettent de choisir quels points vous
souhaitez sélectionner pour faire glisser le cadre de sélection dans l’aperçu d’image,
sans pour autant verrouiller les autres points contrôle. Vous pouvez toujours modifier un point de contrôle, quel que soit son réglage.Chapitre 15 Studio Geometry 339
Liste des formes
La Shapes List répertorie toutes les formes non associées dans le projet en cours, ainsi
que toutes les formes associées utilisées par le plan au niveau de la position actuelle
de la tête de lecture. Si vous cliquez sur une forme dans cette liste, elle apparaît dans
la zone d’aperçu d’image et tous les paramètres de l’onglet Shapes sont mis à jour avec
les réglages de la forme sélectionnée.
 Colonne Name : nom de la forme modifiable dans le champ Shape Name.
 Colonne ID : numéro d’identification de la forme. Ces numéros commencent à 0 pour
la première forme et sont incrémentés de 1 à chaque fois que vous créez une nouvelle forme.
 Colonne Grade : si une forme est associée, cette colonne indique le jeu d’étalonnage
à laquelle elle est reliée.
 Colonne Sec : si une forme est associée, cette colonne indique auquel des huit
onglets secondaires elle est reliée.
Dessin de formes
Pour dessiner et modifier des formes, vous allez procéder quasiment de la même
manière que dans d’autres applications de compositing. Color utilise des courbes
B-splines pour tracer des formes courbes, qu’il est possible de dessiner et modifier
rapidement. Ces courbes B-splines fonctionnent de façon similaire aux courbes des
studios Primary et Secondaries.
Enregistrement et chargement de formes favorites
Vous pouvez créer une collection des formes personnalisées afin de les utiliser dans
d’autres projets grâce aux boutons Save et Load. Lorsque vous sélectionnez une forme
non associée dans la Shapes List, puis cliquez sur Save, elle est enregistrée dans le
répertoire suivant :
/Utilisateurs/nom_utilisateur/Bibliothèque/Application Support/Color/
BShapes/
Cliquez sur Load pour charger toutes les formes enregistrées dans ce répertoire dans
la Shapes List du plan actuel. Dès que vous avez choisi la forme à utiliser, vous pouvez supprimer toutes les autres.340 Chapitre 15 Studio Geometry
Les courbes B-splines utilisent des points de contrôle qui ne sont pas réellement fixés à la
surface de la forme, afin d’« attirer » la forme dans différentes directions, comme agirait un
aimant sur un fil de fer. Voici par exemple une courbe dotée d’un seul point de contrôle :
Le point de contrôle surplombant la forme attire l’ensemble de la forme dans sa direction, alors que les points de contrôle voisins permettent aux autres parties de la forme
de rester en place.
La complexité d’une forme est déterminée par le nombre de points de contrôle qui exercent une influence sur cette forme. Si vous ajoutez deux points de contrôle de chaque côté,
puis que vous les déplacez vers le bas, la courbe est modifiée comme illustré ci-dessous.
Pour accentuer les courbes d’une forme, rapprochez ses points de contrôle les uns des
autres. En revanche, pour des courbes plus douces, il vous suffit d’éloigner les points de
contrôle les uns des autres.
Les procédures suivantes décrivent la création, la suppression et la modification
de points de contrôle en vue de modifier les paramètres d’une courbe.
Pour dessiner une forme :
1 Cliquez sur l’un des huit onglets de le studio Secondaries afin de l’utiliser pour effectuer une correction secondaire, activez les boutons Enable et Vignette, puis choisissez
User Shape dans le menu local Shape.
Vous accédez alors directement à l’onglet Shapes de le studio Geometry où vous
pouvez dessiner une forme.Chapitre 15 Studio Geometry 341
2 Cliquez n’importe où dans la zone d’aperçu d’image afin d’ajouter le premier point
de contrôle.
3 Continuez à cliquer dans cette zone pour ajouter d’autres points de contrôle.
4 Lorsque vous avez terminé, fermez la forme en cliquant sur le premier point de
contrôle créé.
5 Attribuez un nom à la forme dans le champ Shape Name, puis appuyez sur Entrée
(cette étape est facultative).
6 Cliquez sur le bouton Attach pour utiliser cette forme dans l’onglet secondaire.
Un double de la forme apparaît dans la liste, qui montre le jeu d’étalonnage et l’onglet
d’étalonnage secondaire auquel il est lié (la forme originale dessinée demeure dans la
liste ci-dessus, prête à être recyclée ultérieurement). Une fois cette étape franchie, vous
êtes prêt à utiliser cette forme dans l’onglet secondaire auquel elle est associée.
Pour modifier une forme :
m Faites glisser l’un de ses points de contrôle dans n’importe quelle direction.
Contrairement aux courbes de Bézier, les courbes B-splines ne comportent pas de tangentes à ajuster. Les seules modifications que vous êtes autorisé à apporter nécessitent
de jouer sur le nombre de points de contrôle et leur position relative.
Pour repositionner une forme :
m Faites glisser sa poignée centrale verte dans n’importe quelle direction.
Cette poignée centrale correspond au point autour duquel les transformations liées
aux images clés et au suivi de l’animation sont appliquées.342 Chapitre 15 Studio Geometry
Pour redimensionner une forme :
1 Assurez-vous que la case Main est cochée dans l’onglet Shapes.
2 À l’aide du pointeur de la souris, tracez un cadre de sélection autour de chaque point
de contrôle à redimensionner.
Les points de contrôle sélectionnés apparaissent en vert.
Il n’est pas nécessaire de sélectionner tous les points de contrôle de la forme. Vous pouvez en sélectionner quelques uns pour redimensionner uniquement une partie de la
forme dans son ensemble. Le centre de tous les points de contrôle sélectionnés affiche
un petit signe + vert, qui indique la position des points de contrôle sélectionnés par
rapport à la poignée centrale.
3 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Faites glisser l’un des quatre angles du cadre de sélection pour redimensionner
la forme par rapport au coin opposé (qui reste alors à sa place).
 Faites glisser le cadre de sélection tout en maintenant la touche Option enfoncée pour
redimensionner la forme par rapport à son centre, représenté par une croix verte.
 Faites glisser le cadre de sélection tout en maintenant la touche Maj enfoncée pour
redimensionner la forme en respectant ses proportions d’origine, à savoir l’agrandir
ou la rétrécir sans changer le rapport existant entre sa largeur et sa hauteur.
Pour transformer la forme d’une courbe B-Spline en un polygone angulaire (et
inversement) :
m Cliquez sur B-Spline ou Polygon dans l’onglet Shapes pour changer le type de rendu
de la forme.Chapitre 15 Studio Geometry 343
Pour adoucir les bords d’une forme :
1 Augmentez la valeur de son paramètre Softness.
Ce paramètre applique un adoucissement uniforme tout le long des bords de la forme.
Il affiche également deux formes, l’une intérieure, l’autre extérieure, qui représentent
les limites internes et externes de l’effet d’adoucissement appliqué à la forme.
2 Si nécessaire, modifiez ces formes intérieure et extérieure pour obtenir l’effet d’adoucissement du contour le plus approprié pour la forme.
Vous pouvez ainsi créer des contours adoucis de manière irrégulière, avec un bord
accentué et un bord adouci, par exemple.344 Chapitre 15 Studio Geometry
Pour ajouter des points de contrôle à une forme existante :
1 Sélectionnez la forme à modifier dans la Shapes List.
2 Cliquez sur Open Shape.
3 Cliquez au sein de la zone d’aperçu d’image pour ajouter des points de contrôle à la fin
de la forme sélectionnée.
4 Cliquez sur le premier point de contrôle de la forme lorsque vous fini d’en ajouter.Chapitre 15 Studio Geometry 345
Animation des formes avec des images clés et des marqueurs de suivi
En cas de besoin, vous avez la possibilité d’animer les formes selon deux méthodes :
 Avec des images clés : vous pouvez animer les formes à l’aide d’images clés. Pour en
savoir plus sur l’animation avec des images clés dans Color, consultez le chapitre 14,
« Images clés », à la page 323.
 Avec un marqueur de suivi : vous pouvez également utiliser le suivi de l’animation
pour animer automatiquement une forme, comme la bouger pour suivre le déplacement d’un personnage à cause d’un panoramique de la caméra.
Après avoir créé un marqueur de suivi et analysé le plan (dans l’onglet Tracking), il
vous suffit de sélectionner une forme dans la Shapes List, puis d’indiquer le numéro
du marqueur de suivi à utiliser dans le champ Use Tracker pour que la forme soit animée automatiquement. Si le champ Use Tracker contient la valeur 0, aucun marqueur
de suivi n’est appliqué. Pour en savoir plus, consultez la section suivante.
Onglet Tracking
Le suivi de l’animation est le processus d’analyse automatique d’un plan qui permet de
suivre le mouvement d’un personnage particulier à l’image afin de créer une trajectoire
d’animation. Une fois cette analyse terminée, vous pouvez utiliser le suivi des trajectoires de la caméra pour animer des vignettes, des effets Panscan, des formes personnalisées, voire certains nœuds Color FX en suivant les trajectoires d’animation. De cette
façon, les corrections que vous avez apportées semblent suivre les objets/personnages
en mouvement ou le mouvement de la caméra.
Remarque : Color autorise uniquement le suivi de l’animation basé sur un seul point.
Le suivi de deux ou quatre points n’est pas pris en charge.
Le suivi de l’animation est réalisé en créant un marqueur de suivi dans l’onglet Tracking
du studio Geometry. La Tracker List répertorie tous les marqueurs de suivi créés et analysés pour un plan donné. Chacun de ces marqueurs est identifié par un numéro ID (ils
sont numérotés dans l’ordre selon lequel ils ont été créés). 346 Chapitre 15 Studio Geometry
Chaque marqueur de suivi dispose d’une seule commande à l’écran représentée
par deux cadres avec une croix au milieu.
Lorsque vous traitez un marqueur de suivi, Color analyse la zone de pixels déterminée
par le cadre extérieur de recherche de la commande à l’écran, dans la plage d’images
définie à l’aide des boutons Mark In et Mark Out. Le marqueur de suivi tente de « suivre »
le personnage que vous avez identifié (à l’aide du cadre intérieur du motif de référence
de la commande à l’écran) alors qu’il se déplace dans l’image.
? Conseil : les objets/personnages angulaires à fort contraste constituent des motifs
de référence idéaux.
Utilisation du suivi de l’animation
Sitôt le traitement d’un marqueur de suivi terminé, vous pouvez utiliser son analyse pour
animer une vignette, une forme personnalisée ou un paramètre Panscan. Lorsqu’elle est
appliquée à une vignette ou une forme personnalisée, l’animation du marqueur de suivi
est ajoutée au positionnement d’origine de la forme. Par exemple, si vous utilisez un marqueur pour suivre le mouvement du regard d’un personnage et que vous souhaitez
appliquer l’animation analysée à une vignette qui illumine son visage, vous devez positionner le centre, l’angle et l’atténuation d’une vignette en forme de cercle sur le visage
de ce personnage au niveau de la première image du plan, puis choisir le numéro du
marqueur de suivi dans le champ Use Tracker. La vignette commence ainsi son déplacement à partir d’une position correcte et continue à suivre la trajectoire définie par le marqueur de suivi. Comme ce marqueur utilise une transformation supplémentaire, vous
pouvez encore repositionner la vignette par le biais des paramètres Center X et Y ou de
la commande à l’écran disponible dans l’onglet Previews.Chapitre 15 Studio Geometry 347
Si vous souhaitez limiter le suivi à une partie de la durée totale d’un plan (en positionnant les points d’entrée et de sortie du marqueur de suivi à une distance plus courte
que la longueur du plan), la vignette reste à la position d’origine sur laquelle vous l’avez
fait glisser jusqu’à ce que la tête de lecture atteigne le point d’entrée du marqueur, puis
elle commence à suivre la trajectoire d’animation du marqueur. Dès que la tête de lecture atteint le point de sortie, la vignette s’arrête et reste à la même position jusqu’à la
fin du plan.
Commandes disponibles dans l’onglet Tracking
L’onglet Tracking comporte les commandes suivantes :
 Tracker List : liste de tous les marqueurs de suivi créés pour le plan au niveau
de la position actuelle de la tête de lecture. Cette liste comporte trois colonnes :
 Name : nom du marqueur. Tous les marqueurs de suivi sont nommés conformé-
ment à la convention suivante : marqueur.numéroID
 ID : numéro d’identification correspondant à un marqueur de suivi particulier. Il
s’agit du numéro à saisir dans le champ Use Tracker pour indiquer quel marqueur
de suivi utiliser pour animer cette modification.
 Status : barre de progression indiquant si un marqueur de suivi a été traité. Une
barre rouge signifie que le marqueur de suivi n’a pas été traité, alors qu’une barre
verte indique le contraire.
 Manual Tracker : cliquez pour activer le mode de suivi manuel. Vous pouvez alors
utiliser votre souris pour cliquer sur le personnage que vous souhaitez suivre dans
la zone d’aperçu. Chaque clic positionne manuellement le marqueur de suivi à
l’écran pour créer une image clé de suivi, puis avance la tête de lecture d’une image
et ce, jusqu’à la fin du plan. Grâce à ce mode, vous pouvez rapidement et manuellement suivre des personnages que le suivi automatique ne parvient pas à suivre.
Suivi de l’animation : la solution à tous vos problèmes ?
Dans les plans où la cible est clairement définie (de préférence, un élément à fort
contraste et présentant des angles), le suivi de l’animation représente souvent la
méthode la plus rapide pour animer un effet de telle sorte qu’il suive le mouvement
du plan. Toutefois, ce n’est pas toujours le cas.
Il suffit que des acteurs ou des objets du plan passent devant la cible que vous souhaitez suivre, que le mouvement du plan soit tellement rapide qu’il provoque un flou
d’animation, que le bruit soit excessif ou, tout simplement, qu’aucun personnage ne
soit suffisamment clair pour déterminer le suivi, pour que votre meilleure option reste
encore l’animation manuelle avec des images clés, même si vous pouvez aussi tenter
l’opération avec un marqueur de suivi manuel. Pour en savoir plus sur l’animation à
l’aide d’images clés, reportez-vous au chapitre 14, « Images clés », à la page 323.348 Chapitre 15 Studio Geometry
 Tracking Curve Smoothness : lisse les données de suivi afin d’éliminer tout mouvement saccadé ou irrégulier. Plus les valeurs sont élevées, plus la trajectoire du suivi
de l’animation est lissée. Vous pouvez lisser aussi bien les données en suivi automatique que les données en suivi manuel.
Remarque : les données d’origine du marqueur de suivi de l’animation sont conservées sans être jamais modifiées par ce lissage.
 Process : dès que vous avez réglé les contrôles d’écran pour identifier un motif de
référence et une zone de recherche, cliquez sur Process afin d’effectuer l’analyse.
 New : crée un nouveau marqueur de suivi dans la Tracker List.
 Remove : supprime le marqueur de suivi actuellement sélectionné dans la Tracker List.
 Mark In : définit le point d’entrée dans le plan actuel à partir duquel le traitement
doit commencer. Si vous ne définissez aucun point d’entrée, la première image du
plan est utilisée par défaut.
 Mark Out : définit le point de sortie dans le plan actuel à partir duquel le traitement
doit s’arrêter. Si vous ne définissez aucun point de sortie, la dernière image du plan
est utilisée par défaut.
Utilisation de l’onglet Tracking
Cette section décrit la procédure à suivre pour réaliser le suivi de l’animation.
Pour suivre automatiquement un personnage :
1 Déplacez la tête de lecture au niveau du plan que vous souhaitez suivre.
2 Ouvrez l’onglet Tracker du studio Geometry, puis cliquez sur New.
Un nouveau marqueur de suivi non traité apparaît dans la Tracker List et ses contrôles
d’écran sont alors disponibles dans la zone d’aperçu d’image.
3 Déplacez la tête de lecture au niveau de la première image de la plage que vous souhaitez suivre, puis cliquez sur Mark In.
Un point d’entrée vert apparaît sur une nouvelle piste dans la Timeline.
Dans de nombreux cas, il s’agit de la première image du plan. Toutefois, si le personnage n’est pas visible ou ne se déplace pas dans le plan avant plusieurs images, réglez
le point d’entrée au niveau de la première image où il apparaît ou juste avant qu’il ne
commence à sa déplacer.Chapitre 15 Studio Geometry 349
4 Alors que la tête de lecture est positionnée sur cette image initiale, faites glisser le
pointeur au sein du cadre central de la commande à l’écran, afin de le déplacer de telle
sorte que la croix soit centrée sur le personnage que vous souhaitez suivre, puis ajustez les poignées du cadre intérieur (le cadre du motif de référence) pour les placer
autour de ce personnage.
5 Ajustez le cadre extérieur en vue d’y inclure autant d’éléments environnants du plan
que vous jugez nécessaires pour analyser le plan.
? Conseil : pour réussir le suivi, le personnage identifié à l’aide du cadre du motif de réfé-
rence ne doit jamais sortir de la zone de recherche définie, car le plan est traité une image
après l’autre. Si le mouvement du plan est rapide, agrandissez le cadre extérieur, même si
l’analyse exige alors plus de temps. À l’inverse, si le mouvement est lent, vous pouvez
réduire le cadre de la zone de recherche afin d’accélérer l’analyse.
6 Déplacez la tête de lecture au niveau de la dernière image de la plage que vous souhaitez suivre, puis cliquez sur Mark Out.
Un point de sortie vert apparaît dans la Timeline.350 Chapitre 15 Studio Geometry
Dans de nombreux cas, il s’agit de la dernière image du plan. Toutefois, si le personnage que vous suivez disparaît peu à peu, réglez le point de sortie au niveau de la
dernière image où il est bien visible.
7 Cliquez sur Process.
Color lance l’analyse du plan en commençant au niveau du point d’entrée. Une barre
de progression verte avance du point d’entrée vers le point de sortie pour indiquer
l’état d’avancement de l’analyse du plan.
Lorsque le traitement est terminé, le marqueur de suivi correspondant apparaît avec une
barre de progression verte dans la colonne Status de la Tracker List. Vous pouvez désormais
utiliser ce marqueur de suivi dans votre projet. D’ailleurs, la trajectoire d’animation de ce
marqueur de suivi est affichée dans la zone d’aperçu d’image dès que vous le sélectionnez.
Si le mouvement d’un plan est trop difficile à suivre automatiquement, vous pouvez
tenter de réaliser un suivi manuel.
Pour suivre manuellement un personnage :
1 Déplacez la tête de lecture au niveau du plan que vous souhaitez suivre.
2 Ouvrez l’onglet Tracker du studio Geometry, puis cliquez sur New.
Un nouveau marqueur de suivi non traité apparaît dans la Tracker List et ses contrôles
d’écran sont alors disponibles dans la zone d’aperçu d’image.
3 Amenez la tête de lecture sur la première image de la plage que vous voulez suivre.
Remarque : il n’est pas nécessaire de marquer des points d’entrée et de sortie en mode
Suivi manuel.Chapitre 15 Studio Geometry 351
4 Cliquez sur Manual Tracker pour passer en mode de suivi manuel.
La commande à l’écran du marqueur de suivi disparaît dès que vous activez le mode
de suivi manuel.
5 Dans la zone d’aperçu d’image, cliquez sur le personnage que vous souhaitez suivre.
Par exemple, si vous souhaitez suivre le visage d’une personne pour lui appliquer un
vignetage ultérieurement, cliquez sur son nez.
Chaque clic positionne manuellement le marqueur de suivi à l’écran, puis avance la tête
de lecture d’une image.
6 Cliquez sur le même personnage que précédemment au fur et à mesure que les images défilent, jusqu’à ce que vous ayez atteint la fin de la durée du mouvement à suivre ou la fin du plan.
Alors que vous ajoutez de plus en plus de points de suivi manuel, une trajectoire d’animation se dessine lentement selon le parcours du personnage que vous suivez.
7 Lorsque le suivi manuel est terminé, arrêtez de cliquer.
Ce marqueur de suivi est prêt à être affecté à un autre paramètre de votre projet.
Important : ne désactivez pas le bouton Manual Tracker, sauf si vous voulez supprimer
toutes vos images clés de suivi manuel.352 Chapitre 15 Studio Geometry
Il peut arriver que le suivi du mouvement soit une réussite, mais que la trajectoire
d’animation obtenue soit trop approximative pour être utilisée en l’état. Dans d’autres
cas, c’est un mouvement irrégulier qui peut mettre en avant un effet animé que vous
tentiez de rendre invisible. On parle alors de trajectoires d’animation crénelées.
Si le cas se présente, utilisez le curseur Tracking Curve Smoothness pour lisser la trajectoire d’animation créée par le marqueur de suivi.
Pour lisser un suivi :
1 Sélectionnez un marqueur de suivi dans la Tracker List.
2 Réglez le curseur Tracking Curve Smoothness jusqu’à ce que la trajectoire de suivi
de l’animation soit suffisamment lisse pour répondre à vos besoins.
Le réglage du curseur Tracking Curve Smoothness n’est pas définitif. En d’autres termes,
les données de suivi d’origine sont conservées et vous pouvez donc augmenter ou
réduire le lissage qui leur est appliqué à tout moment pour effectuer d’autres modifications. Si vous réglez le curseur Tracking Curve Smoothness sur 0, vous restaurez les données de suivi analysées à l’origine.Chapitre 15 Studio Geometry 353
Utilisation des marqueurs de suivi dans les studios Secondary,
Color FX et Geometry
Un champ Use Tracker est affiché pour toute correction effectuée dans un studio qu’il
est possible d’animer avec un marqueur de suivi. Une fois le marqueur de suivi correspondant traité, il vous suffit de saisir son numéro ID dans ce champ pour animer automatiquement cette correction en fonction de la trajectoire d’animation du marqueur.
Si vous saisissez la valeur 0 dans le champ Use Tracker, la correction est réinitialisée et
aucun marqueur de suivi n’est utilisé.16
355
16 Magasin d’images fixes
(Still Store)
Il s’agit d’une interface utilisateur permettant de comparer
des plans lors de l’étalonnage plan par plan.
Via cette interface, vous pouvez enregistrer des images de différents plans d’un projet
afin de les utiliser comme images de référence dans le cadre de la comparaison avec
des plans en cours d’étalonnage. Il s’agit d’une opération courante dans l’étalonnage
plan par plan, lorsque vous équilibrez tous le plans d’une scène pour qu’ils soient cohé-
rents en matière d’exposition et de couleur, afin qu’ils semblent tous avoir été pris au
même endroit et au même moment.
Via le Still Store, vous pouvez enregistrer des images de référence de tout plan de votre
projet, à des fins de comparaison avec d’autres plans. Cela signifie que si vous travaillez
sur un documentaire où un style particulier de plan très serré est intercalé dans le programme, vous pouvez enregistrer une image de référence du plan très serré principal étalonné et le réutiliser pour comparaison avec les autres plans très serrés du programme.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 Enregistrement d’images dans le Still Store (p. 356)
 Enregistrement des images du Still Store dans de sous-répertoires (p. 357)
 Retrait d’images du Still Store (p. 358)
 Rappel d’images du Still Store (p. 358)
 Personnalisation de la vue du Still Store (p. 359)
 Contrôles du chutier Still Store (p. 359)356 Chapitre 16 Magasin d’images fixes (Still Store)
Enregistrement d’images dans le Still Store
Pour utiliser le Still Store, vous devez d’abord enregistrer une ou plusieurs images afin
de les rappeler ultérieurement.
Pour ajouter une image au Still Store :
1 Positionnez la tête de lecture sur une image à enregistrer dans le Still Store.
Choisissez une image étalonnée contenant les sujets requis pour la comparaison
et représentative de l’éclairage et de la couleur que vous voulez homogénéiser.
2 Si le Still Store est activé, désactivez-le afin de vous assurer que vous n’enregistrez
pas accidentellement une image de l’image composite affichée.
3 Facultativement, si vous voulez enregistrer l’image avec un nom personnalisé, vous
pouvez cliquer sur l’onglet Still Store et taper un nom dans le champ File sous le chutier Still Store.
Si vous n’entrez pas de nom personnalisé, chaque image enregistrée sera automatiquement nommée comme suit :
Image.Jour_Mois_Année_Heure_Minute_SecondeFuseauhoraire.sri
La date et l’heure indiquent l’horodatage exact de l’enregistrement de l’image.
Remarque : si vous chargez une image dans le Still Store immédiatement avant d’en
enregistrer une autre, l’image nouvellement enregistrée utilisera le nom de l’image
chargée, en écrasant l’image précédemment enregistrée.
4 Pour enregistrer une image, procédez de l’une des manières suivantes :
 Depuis un studio, choisissez Still Store > Store (Ctrl + I).
 Cliquez sur l’onglet Still Store, puis sur Save.
Une image de celle à la position de la tête de lecture est enregistrée sous la forme
d’un fichier DPX non compressé dans le sous-répertoire /StillStore/ dans l’ensemble
de projets. Elle apparaît aussi dans Color comme un élément du chutier Still Store.
Lorsque Still Store est en mode d’affichage des icônes, chaque image enregistrée est
dotée d’un vignette pour référence.Chapitre 16 Magasin d’images fixes (Still Store) 357
Les images du Still Store sont enregistrées à la résolution native du média source d’où
elles proviennent, mais elles ne sont pas enregistrées avec la correction de la table de
conversion appliquée. Ainsi, si votre projet utilisait une table de conversion lorsque vous
avez enregistré les images dans le Still Store et que vous la supprimez de votre projet,
les images enregistrées continueront à correspondre aux plans d’où elles provenaient.
Important : les images du Still Store ne sont pas mises à jour si le plan d’où elles proviennent est de nouveau étalonné. Donc, si vous enregistrez une image du Still Store
depuis un plan, puis réeffectuez un étalonnage de ce dernier afin d’obtenir un aspect
différent, l’image du Still Store enregistrée ne sera plus représentative de ce plan et
devra être supprimée. Si vous n’êtes pas sûr qu’une image reflète correctement l’étalonnage en cours d’un plan, l’horodatage de l’enregistrement de l’image peut vous aider.
Enregistrement des images du Still Store dans de sousrépertoires
Par défaut, une image est enregistrée dans le sous-répertoire StillStore interne de votre
projet et figure dans le chutier Still Store avec toutes les autres images enregistrées.
Toutes les images du chutier Still Store apparaissent dans l’ordre dans lequel elles ont
été créées, les plus récentes étant placées en dernier.
Vous pouvez aussi organiser vos images enregistrées dans des sous-répertoires. Vous
pouvez créer des sous-répertoires individuels basés sur la date d’un travail, les plans
depuis lesquels les images sont enregistrées ou tout autre type de catégorisation de
votre choix.
Pour créer un sous-répertoire personnalisé dans le chutier Still Store :
1 Cliquez sur l’onglet Still Store.
2 Cliquez sur New Folder.
3 Lorsque la boîte de dialogue New Folder s’ouvre, entrez un nom dans le champ « Name
of new folder », puis cliquez sur Create.
Un nouveau sous-répertoire apparaît dans le répertoire StillStore dans votre ensemble
de projets et devient le répertoire ouvert dans lequel toutes les nouvelles images sont
enregistrées.
Raison pour laquelle un projet peut devenir très volumineux
Toutes les images étant enregistrées dans le sous-répertoire StillStore dans votre
ensemble de projets, vous constaterez peut-être que la sauvegarde de votre projet
est plus longue qu’avant si vous enregistrez beaucoup d’images. Si vous avez besoin
de réduire la taille du fichier projet, supprimez le plus possible des images du Still
Store inutilisées.358 Chapitre 16 Magasin d’images fixes (Still Store)
Important : vous ne pouvez pas déplacer des images dans des sous-répertoires à l’issue
de leur création. Pour enregistrer de nouvelles images dans un sous-répertoire, vous
devez y accéder dans le chutier Still Store avant d’enregistrer de nouvelles images.
Retrait d’images du Still Store
Les images enregistrées peuvent s’accumuler assez rapidement dans le Still Store, il est
donc nécessaire de supprimer régulièrement toutes les images inutiles.
Pour supprimer une image du Still Store :
1 Cliquez sur l’onglet Still Store.
2 Sélectionnez l’image à supprimer.
3 Cliquez sur Delete ou Forward Delete.
4 Cliquez sur Yes dans la boîte de dialogue d’avertissement qui s’affiche, pour confirmer
que vous voulez supprimer l’image sélectionnée.
La suppression d’une image ne peut pas être annulée dans Still Store.
Rappel d’images du Still Store
Lorsqu’une image a été ajoutée au Still Store, elle peut être rappelée à tout moment.
Pour afficher une image enregistrée, vous devez la charger dans le Still Store, puis activer ce dernier pour la visualiser.
Pour charger une image dans le Still Store :
1 Cliquez sur l’onglet Still Store.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Sélectionnez l’image à charger, puis cliquez sur Load.
 Double-cliquez sur l’image à charger.
Une fois une image chargée, vous devez activer Display Loaded Still pour la rendre visible.
Pour afficher une image chargée dans le Still Store, procédez de l’une des manières
suivantes :
m Choisissez Still Store > Display Loaded Still (Ctrl + U).
m Cliquez sur l’onglet Still Store, puis sélectionnez Display Loaded Still.
L’image chargée s’affiche dans l’aperçu et sur votre moniteur broadcast. Par défaut,
les images apparaissent sous forme de comparaison d’image composite de gauche
à droite, mais cela peut être personnalisé.Chapitre 16 Magasin d’images fixes (Still Store) 359
Personnalisation de la vue du Still Store
Chaque coloriste utilise le Still Store à sa façon. Certains préfèrent passer d’une image
plein écran à une autre lors de leur comparaison, alors que d’autres créent une image
composite afin de comparer, côte à côte, le Still Store et le plan étalonné. Color vous
permet d’utiliser les deux méthodes.
Chaque image a ses propres réglages quant à l’aspect qu’elle aura lors de son rappel.
Ils figurent sur la droite du studio Still Store.
 Enable : rend l’image Still Store chargée visible dans l’aperçu et les moniteurs de sortie vidéo. Identique à Still Store > Enable (Ctrl + U).
 Transition : ce paramètre détermine dans quelle mesure l’image chargée est affichée
à l’écran. Lorsque la valeur indiquée est 0, l’image chargée n’est pas du tout visible.
S’il s’agit de la valeur 1, l’image chargée remplit la totalité de l’écran. Les autres valeurs
intermédiaires créent une vue d’image composite.
 Angle : modifie l’angle le long duquel la bordure d’une image composite est orientée. Les boutons d’orientation ci-dessous modifient automatiquement le paramètre
Angle, mais le seul moyen de créer une image composite diagonale consiste à personnaliser ce contrôle.
 Left to Right : affecte la valeur 180 degrés au paramètre Angle, pour créer une image
composite verticale avec l’image sur la gauche.
 Right to Left : affecte la valeur 0 degrés au paramètre, pour créer une image composite verticale avec l’image sur la droite.
 Top to Bottom : affecte la valeur -90 degrés au paramètre Angle, pour créer une image
composite horizontale avec l’image en haut.
 Bottom to Top : affecte la valeur 90 degrés au paramètre Angle, pour créer une image
composite horizontale avec l’image en bas.
Contrôles du chutier Still Store
Le chutier Still Store est doté des contrôles suivants :360 Chapitre 16 Magasin d’images fixes (Still Store)
 Up Directory : cliquer sur ce bouton permet d’accéder au répertoire précédent du
chemin d’accès en cours. Vous ne pouvez pas quitter l’ensemble de projets. Afin que
votre projet soit bien organisé, assurez-vous d’enregistrer toutes vos images dans
le répertoire /StillStore/ de votre ensemble de projets.
 Home Directory : sélectionne le chemin d’accès au répertoire StillStore dans votre
ensemble de projets.
 Icon View : le chutier Still Store passe en mode d’affichage des icônes. Chaque image
enregistrée est représentée par une vignette et toutes les images sont organisées
en fonction de la date et de l’heure de leur sauvegarde, les images le plus anciennes
apparaissant en premier (de gauche à droite).
 List View : en mode liste, toutes les images et tous les répertoires sont représentés
par deux colonnes. Le nom du fichier d’images figure à gauche et la date de sa création à droite. Toutes les images sont organisées en fonction de la date et de l’heure
de leur sauvegarde, les images le plus anciennes apparaissant en haut et les plus
récentes en bas.
 Curseur Icon Size : lorsque le chutier Still Store est en mode d’affichage des icônes,
ce curseur permet d’augmenter et de réduire la taille des vignettes affichées pour
chaque image.
 Champ File : ce champ est à double emploi. Lorsque vous chargez une image, ce champ
affiche son nom. Cependant, si vous entrez un nom personnalisé, puis enregistrez une
autre image, la nouvelle image sera créée avec le nom entré.
 Menu local Directory : ce menu local affiche le chemin d’accès au répertoire en cours
et vous permet de remonter la structure de répertoires, si vous le voulez.
 Bouton New Directory : crée un sous-répertoire dans le répertoire StillStore de votre
ensemble de projets.
 Bouton Save : enregistre l’image à la position en cours de la tête de lecture afin d’être
rappelée ultérieurement.
 Bouton Load : charge une image afin qu’elle puisse être comparée via le bouton Enable
ou la commande Enable dans le menu Still Store (Ctrl + -U).17
361
17 File d’attente de rendu
Lorsque vous avez terminé l’étalonnage de votre programme, les contrôles de la file d’attente de rendu vous
permettent de rendre l’ensemble approprié de fichiers
de données pour la sortie finale de votre programme,
vers Final Cut Pro, ou vers d’autres systèmes compatibles.
Les rubriques suivantes seront abordées au cours de ce chapitre :
 À propos du rendu dans Color (p. 361)
 Quels effets sont rendus par Color ? (p. 362)
 L’interface de la file d’attente de rendu (p. 363)
 Mode de rendu des plans dans votre projet (p. 365)
 Rendu de plusieurs jeux d’étalonnage pour chaque plan (p. 367)
 Commande Gather Rendered Media (p. 368)
À propos du rendu dans Color
Le rendu dans Color a une finalité différente de celle qu’il peut avoir dans une application comme Final Cut Pro. Dans Color, la totalité du traitement des effets pour la lecture
est réalisé à la volée, en abandonnant des images ou en ralentissant de façon à afficher
votre sortie étalonnée à un niveau de qualité élevé à des fins d’évaluation. Les données
lues dans Color ne sont pas mise en mémoire vive et il n’existe aucun moyen d’effectuer
un prérendu de votre projet pour la lecture pendant que vous travaillez.
Dans Color, le rendu est traité comme l’étape finale dans la validation de vos corrections sur disque par la génération d’un nouvel ensemble de fichiers de données. La file
d’attente de rendu permet d’effectuer un rendu de tout ou partie des plans dans votre
projet lorsqu’ils ont été corrigés dans Color.362 Chapitre 17 File d’attente de rendu
Vous pouvez utiliser la file d’attente de rendu pour rendre votre projet de façon incré-
mentielle ou intégrale. Par exemple, si vous travaillez sur un projet à haute résolution avec
une planification sur plusieurs jours ou semaines, vous pouvez choisir d’ajouter les plans
de chaque scène à la file d’attente de rendu au fur et à mesure de leur approbation, en
les préparant à un rendu durant la nuit à la fin de chaque session quotidienne. La charge
de travail est ainsi répartie sur plusieurs jours et évite la longue session de rendu nécessaire à la génération de la totalité du programme.
Vous pouvez cependant souhaiter effectuer un rendu de la totalité du programme d’un
seul coup, par exemple, si vous avez besoin de générer un autre ensemble de données
dans un autre format ou si la petite taille du projet ne nécessite pas de réaliser le rendu
en plusieurs fois.
Quels effets sont rendus par Color ?
Les projets importés depuis des fichiers de projets XML et EDL peuvent être dotés de
beaucoup plus d’effets que Color n’est capable d’en traiter. Notamment des transitions,
des transformations géométriques, des superpositions, des effets de vitesse et des images. Lors du rendu de votre programme terminé, votre flux d’importation/d’exportation détermine les effets rendus par Color.
En particulier, si vous importez un EDL pour étalonner et exporter des séquences
d’images 2K DPX à imprimer sur film, Color permet d’effectuer un rendu des plans de
votre projet très différent de celui obtenu si vous aviez importé un fichier XML et que
vous procédiez au rendu de fichiers QuickTime devant être renvoyés à Final Cut Pro.
Dans tous les cas, les corrections effectuées via les studios Primary In, Secondary, Color FX
et Primary Out sont toujours rendues.
La carte graphique que vous utilisez affecte le rendu en sortie
Color utilise le processeur graphique installé dans votre ordinateur pour rendre les ajustements d’étalonnage et de géométrie appliqués aux plans de votre programme. Les
capacités des processeurs graphiques des différentes cartes vidéo sont variables, il est
donc possible que le même projet Color soit légèrement différent lorsqu’il est rendu
sur des ordinateurs n’ayant pas les mêmes cartes graphiques. Pour garantir l’exactitude
du rendu des couleurs, il est préférable de rendre votre projet sur un ordinateur doté
de la même carte graphique que celle utilisée lors de l’étalonnage du programme.Chapitre 17 File d’attente de rendu 363
Effets rendus pour la sortie 2K
Une fois que vous avez importé une liste de décisions de montage (EDL) et lorsque vous
générez les séquences d’images 2K DPX en sortie, toutes les transformations que vous
avez effectuées au niveau de l’onglet Pan & Scan du studio Geometry sont rendues.
Les effets à créer dans le cadre de la finalisation du projet et qui ne sont pas rendus par
Color comprennent les transitions vidéo, les effets de vitesse, les effets composites et les
titres. Ces effets doivent être créés à l’aide d’une autre application, par exemple Shake.
Les effets ne sont pas rendus lors de l’envoi à Final Cut Pro
Lorsqu’un projet passe de Final Cut Pro XML à Color, toutes les transitions, tous les filtres, images, générateurs, effets de vitesse, paramètres de superposition et autres effets
non compatibles avec Color provenant du projet Final Cut Pro d’origine sont conservés
dans votre projet Color, même si ces effets ne sont pas visibles.
Lorsque vous avez étalonné votre programme dans Color et avez rendu ce projet sous
la forme d’une série de séquences QuickTime en préparation du retour à Final Cut Pro,
les effets précédemment mentionnés qui ont été conservés de façon invisible ne sont
pas rendus. Cependant, lorsque vous renvoyez le projet Color terminé à Final Cut Pro,
ces effets réapparaissent dans la séquence Final Cut Pro résultante. À ce stade, vous
pouvez effectuer d’autres ajustements et effectuer un rendu du projet Final Cut Pro
avant de le mettre sur bande ou de le générer en tant que fichier de séquence principal QuickTime.
Informations supplémentaires sur les réglages de mouvement et les ajustements
Pan & Scan
Un sous-ensemble des réglages de mouvement depuis Final Cut Pro est traduit en réglages Pan & Scan équivalents dans Color lors de la première importation du projet. Ces
réglages ont un effet visible sur votre projet Color et peuvent être ajustés lors de l’affinage de votre programme. Cependant, ces effets ne sont pas rendus par Color. Ils sont
transférés de Color à Final Cut Pro afin d’y être rendus. Pour en savoir plus, consultez la
section « Importation et exportation de paramètres Geometry depuis/vers
Final Cut Pro » à la page 332.
L’interface de la file d’attente de rendu
Les plans du programme devant être rendus sont spécifiés via la liste de la file d’attente
de rendu. Lorsque vous ajoutez des plans à cette liste, ils sont organisés par numéro
de plan. L’ordre dans lequel les plans apparaissent dans cette colonne dicte celui dans
lequel ils sont rendus ; le plan non rendu situé en haut de la liste est rendu en premier,
puis c’est le tour du plan non rendu suivant dans la liste jusqu’à la fin de celle-ci.364 Chapitre 17 File d’attente de rendu
 Colonne Number : identifie la position numérique du plan dans la Timeline. Tous les
plans de la file d’attente de rendu sont listés par ordre décroissant en fonction de leur
numéro d’identifiant.
 Colonne Shot Name : affiche une vignette et le nom du plan.
 Colonne In : la première image des données qui sera rendue pour ce plan. Ce timecode
est égal au point Project In plus la valeur Handles en cours spécifiée dans l’onglet Project
Settings du studio Setup.
 Colonne Out : la dernière image des données qui sera rendue pour ce plan. Ce timecode
est égal au point Project Out plus la valeur Handles en cours spécifiée dans l’onglet
 Project Settings du studio Setup.
Remarque : si aucune donnée supplémentaire n’est disponible sur disque pour
les poignées au début ou à la fin de plans, aucune poignée ne sera ajoutée.
 Colonne Grade ID : affiche le jeu d’étalonnage sélectionné pour ce plan. Vous pouvez
mettre en file d’attente le même plan jusqu’à quatre fois, différents jeux d’étalonnage
étant activés, afin de rendre les données de chaque jeu d’étalonnage associé à ce plan.
 Colonne Progress : cette colonne est dotée d’une barre de rendu indiquant la durée
que prend le rendu d’un plan. Si le plan n’est pas en cours de rendu, cette colonne
indique son état de rendu (en file d’attente, en cours de rendu ou rendu).
Contrôles de la file d’attente de rendu
Les boutons suivants sous la liste de la file d’attente de rendu permettent d’ajouter
des plans à la file d’attente, de les supprimer et de lancer le rendu.
 Add Selected : ajoute tous les plans sélectionnés à la file d’attente de rendu.
 Add All : ajoute chaque plan de la Timeline à la file d’attente de rendu. Les plans
ayant déjà été rendus sont aussi placés dans la file d’attente et seront de nouveau
rendus sauf s’ils sont supprimés. Les plans rendus de nouveau remplacent les données rendues précédentes.
 Clear Queue : supprime tous les plans de la file d’attente de rendu.
 Remove Selected : supprime uniquement les plans sélectionnés de la file d’attente
de rendu.
 Start Render : lance le rendu pour tous les plans ayant été placés dans la file d’attente de
rendu. Ce bouton a la même fonction que la commande du menu Render > Start Render.
Important : lorsque vous avez lancé le rendu, vous pouvez le suspendre en appuyant
sur Echap ou sur Ctrl + point.Chapitre 17 File d’attente de rendu 365
Mode de rendu des plans dans votre projet
La file d’attente de rendu est conçue pour que vous puissiez gérer le rendu de votre projet à votre gré. Vous pouvez ajouter chaque plan du programme dans la file d’attente
afin d’effectuer un rendu intégral ou vous pouvez n’ajouter que les plans terminés ce
jour-là dans le cadre d’un processus de rendu incrémentiel de votre projet.
Quelle que soit la façon dont vous décidez d’effectuer le rendu des données de votre
projet, le processus est similaire ; vérification des réglages du projet et des plans, ajout
des plans à la file d’attente de rendu, puis utilisation de la commande Start Render.
Pour effectuer un rendu d’un ou de plusieurs plans de votre programme :
1 Dans la Timeline, choisissez le jeu d’étalonnage pour le rendu de chaque plan.
2 Procédez de l’une des manières suivantes pour ajouter des plans à la liste de la file
d’attente de rendu :
 Cliquez sur Add All.
 Choisissez Render > Add All (Ctrl + Maj + Option + A).
 Sélectionnez un ou plusieurs plans, puis cliquez sur Add Selected ou choisissez Render >
Add Selected (Commande + Maj + A) pour ajouter les plans sélectionnés.
Lorsque vous avez ajouté des plans à la liste de la file d’attente de rendu, l’état de
chacun des plans ajouté devient Queued dans le navigateur Shots. Dans la Timeline,
chacun des plans ajoutés s’affiche, une barre d’état jaune figurant au-dessus du jeu
d’étalonnage utilisé pour chaque plan mis en file d’attente, afin d’indiquer quel jeu
d’étalonnage est rendu.
Remarque : vous pouvez ajouter un plan à la file d’attente de rendu avec un jeu d’étalonnage activé, puis choisir un autre niveau pour ce plan et l’ajouter de nouveau à la
file afin de rendre les deux jeux d’étalonnage pour ce plan.
3 Revérifiez les réglages de votre projet avant d’effectuer le rendu afin de vous assurer
que vous utilisez le répertoire de rendu, le réglage d’interfaçage, le codec d’exportation
et les réglages Broadcast Safe corrects.366 Chapitre 17 File d’attente de rendu
4 Si vous effectuez un rendu de données Cineon ou DPX, revérifiez le menu local Render
Proxy dans l’onglet User Prefs pour vous assurer que vous effectuez le rendu à la résolution requise.
5 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Cliquez sur le bouton Start Render dans l’onglet Render Queue.
 Choisissez Render > Start Render.
Le rendu des plans de la file d’attente de rendu commence. Une barre de progression
verte s’affiche dans la colonne Progress du premier plan non rendu de la liste, indiquant la durée de son rendu.
Simultanément, la barre de rendu figurant au-dessus de la réglette de la Timeline pour le
plan rendu dans la Timeline reflète la barre de progression dans la file d’attente de rendu.Chapitre 17 File d’attente de rendu 367
Lorsque le rendu du premier plan de la file d’attente de rendu est terminé, le prochain
est lancé et le rendu se poursuit du haut vers le bas de la liste jusqu’à ce que le dernier
plan soit rendu. Tous les plans rendus dans la Timeline apparaissent avec une barre de
rendu verte au-dessus de la réglette de la Timeline et une barre d’état verte au-dessus
du jeu d’étalonnage rendu.
Important : pour suspendre le rendu, appuyez sur Echap. Vous pouvez cliquer de nouveau sur Start Render pour reprendre le rendu.
Toutes les données rendues sont écrites dans le répertoire de rendu du projet, spécifié
dans l’onglet Project Settings du studio Setup. Le répertoire de rendu est organisé en
sous-répertoires numérotés correspondant chacun à un plan de la Timeline de votre
projet. Le numéro de chaque sous-répertoire correspond au numéro de chaque plan
dans la colonne Number de la file d’attente de rendu. Chacun de ces sous-répertoires
contient jusqu’à quatre ensembles de données rendus correspondant à chaque jeu
d’étalonnage rendu.
Rendu de plusieurs jeux d’étalonnage pour chaque plan
Chaque plan de votre projet Color utilise un des quatre jeux d’étalonnage (maximum).
En travaillant, vous pouvez modifier librement le jeu d’étalonnage utilisé par un plan,
en passant d’un aspect à un autre selon vos besoins durant le développement de
l’esthétique du programme.
Vous pouvez aussi rendre chacun des jeux d’étalonnage d’un plan individuellement ou
collectivement. Ainsi, s’il existe une scène où le client peut préférer un des quatre aspects
différents, vous pouvez parer à toute éventualité en rendant toutes les copies de travail.
Color a connaissance du jeu d’étalonnage sélectionné lorsque vous renvoyez ce projet
à Final Cut Pro, ou lorsque vous utilisez la commande Gather Rendered Media et
s’assure que le fichier de rendu approprié est utilisé.
Chaque jeu d’étalonnage rendu est numéroté. Par exemple, si vous avez rendu deux
jeux d’étalonnage différents dans un projet QuickTime pour le plan numéro 1, le sousrépertoire de ce dernier contient deux plans appelés 1_g1.MOV et 1_g2.MOV, le numéro
suivant immédiatement le g indiquant à quel jeu d’étalonnage correspond ce fichier.368 Chapitre 17 File d’attente de rendu
Afin de rendre plusieurs jeux d’étalonnage pour un plan :
1 Placez la tête de lecture sur un plan à rendre et choisissez le premier jeu d’étalonnage
à utiliser pour ce plan.
2 Sélectionnez ce plan, cliquez sur l’onglet Render Queue, puis cliquez sur Add Selected
pour ajouter ce plan à la file d’attente de rendu.
3 Passez au jeu d’étalonnage suivant que vous voulez utiliser pour ce plan.
4 Cliquez de nouveau sur Add Selected pour ajouter ce plan à la file d’attente de rendu
une seconde fois.
Chaque jeu d’étalonnage en file d’attente pour rendu apparaît avec une barre de rendu
jaune au-dessus de la barre de jeux d’étalonnage de la Timeline.
La colonne ID du jeu d’étalonnage dans la file d’attente de rendu indique les jeux d’étalonnage sélectionnés pour rendre chaque plan.
Commande Gather Rendered Media
Cette commande ne peut être utilisée que lorsque vous avez rendu des données de
séquence d’images pour un projet importé via EDL. Elle est utilisée pour organiser vos
données de séquence d’images rendues afin de les préparer pour l’imprimante de films.
Elle organise vos séquences d’images rendues de deux façons :
 Elle place chaque image des données de votre projet dans un seul répertoire.
 Elle renomme chaque image des données pour votre projet afin de créer un éventail
d’images continu de la première à la dernière image du projet rendu.
Important : vous ne pouvez pas rassembler des données dans une boucle XML.Chapitre 17 File d’attente de rendu 369
Pour rassembler les données rendues :
1 Choisissez File > Gather Rendered Media.
2 Choisissez l’une de ces trois options pour rassembler les données rendues de votre projet :
 Copy Files : effectue des doubles des fichiers de séquences d’images, mais laisse
les fichiers originellement rendus dans le répertoire de rendu.
 Move Files : copie les fichiers de séquences d’images, puis supprime les fichiers
originellement rendus du répertoire de rendu.
 Link Files : crée des alias des fichiers originellement rendus dans le répertoire de
rendu. Ceci est utile si vous voulez traiter les images via une application sur votre
ordinateur et que vous ne voulez pas dupliquer les données inutilement. Par contre,
cela ne présente pas d’intérêt si vous envisagez de transporter les données vers un
autre emplacement, car les fichiers d’alias ne pointent que sur les données d’origine
dans le répertoire de rendu et ne contiennent aucune donnée d’image.
3 Cliquez sur Create New Directory si vous voulez placer les données rassemblées dans
un nouveau répertoire.
4 Cliquez sur Gather.
Toutes les images rendues de chaque plan de votre projet sont renommées, renumérotées et placées dans le répertoire spécifié, prêtes à être traitées plus avant ou transmises. 371
A Annexe
A Étalonnage de votre moniteur
Lorsque vous utilisez des périphériques analogiques, veillez
à ce qu’ils soient bien étalonnés du point de vue de la couleur et de la luminosité pour que vous puissiez étalonner avec
précision votre vidéo.
À propos de la mire
La mire est un signal vidéo généré électroniquement qui obéit à des caractéristiques
spécifiques très strictes. Les niveaux de luminance et de chrominance étant standard,
vous pouvez utiliser la mire pour passer en revue les différents composants d’un maté-
riel vidéo pour vous rendre compte de la façon dont chacun restitue le signal.
Les formats NTSC et PAL possèdent chacun leurs standards de mire, et il existe même
plusieurs standards au sein de chacun des formats. Lorsque vous analysez la mire sur
un instrument vidéo, il est essentiel que vous sachiez à quel standard vous rapporter
pour éviter les impairs dans votre échantillonnage. La « mire SMPTE » est le standard
couramment utilisé.
Étalonnage des moniteurs avec la mire
Les monteurs et les concepteurs d’émissions ne doivent pas se fier à un moniteur non
étalonné pour les ajustements majeurs de couleur et de luminosité de leurs programmes. Il est très important d’utiliser un moniteur de diffusion bien étalonné afin d’assurer des ajustements corrects d’exposition et de couleurs.
Quand utiliser la mire ?
Les périphériques analogiques ont sans cesse besoin d’être étalonnés et réajustés
même pour de légers décalages. En effet, la chaleur, le temps, le bruit, la longueur de
câbles et bien d’autres facteurs jouent de façon subtile sur le voltage du signal vidéo
électronique analogique, ce qui a un effet sur la luminosité et la couleur de l’image
vidéo. La mire offre un signal de référence que vous pouvez utiliser pour étalonner
les niveaux de sortie d’un appareil analogique.372 Annexe A Étalonnage de votre moniteur
Étalonnage de votre moniteur de diffusion
Pour étalonner un moniteur, utilisez la mire standard SMPTE. La luminosité et le contraste sont ajustés à vue d’œil au moyen de la mire à l’écran. Pour l’ajustement de chrominance et de phase, utilisez le bouton Fond bleu dont sont dotés les moniteurs vidéo
professionnels. Tous les moniteurs doivent être étalonnés, qu’ils soient à l’extérieur ou
dans le studio de montage.
Pour étalonner votre moniteur :
1 Connectez un générateur de mire ou de motifs de test au moniteur utilisé ou utilisez
la sortie de l’un des générateurs de mires intégrés dans Final Cut Pro.
Important : évitez d’utiliser des images fixes de mires. Pour en savoir plus, consultez
la section « Rendu Y´CB
CR
et mire » à la page 374.
2 Allumez le moniteur et attendez environ 30 minutes pour qu’il « chauffe » et atteigne
une température stable.
3 Sélectionnez l’entrée appropriée sur le moniteur pour que la mire apparaisse à l’écran.
Trois barres noires de différentes intensités sont affichées près du coin inférieur droit de
la mire. Chacune d’elles correspond à une valeur de luminosité différente, mesurée en
IRE. (IRE vient de Institute of Radio Engineers (Institut des ingénieurs radio), qui fait désormais partie de l’organisme IEEE. Il s’agit d’une unité de tension spécifique à la vidéo.) Il
s’agit des barres de réglage dites PLUGE (Picture Lineup Generation Equipment), qui permettent d’ajuster la luminosité et le contraste d’un moniteur vidéo en vous aidant à établir le noir absolu.
4 Abaissez au minimum la chrominance du moniteur.
Il s’agit d’un réglage temporaire qui va vous permettre d’ajuster plus précisément la luminance. Le contrôle de chrominance peut également être appelé couleur ou saturation.
5 Ajustez le contrôle de luminosité de votre moniteur jusqu’à ne plus pouvoir distinguer
les deux barres Pluge de gauche et le carré noir adjacent.
À ce stade, la plus lumineuse des barres (11,5 IRE) ne doit plus être qu’à peine visible
et les deux barres Pluge de gauche (5 et 7,5 IRE respectivement) doivent présenter le
même niveau de noir.
6 Augmentez alors le contraste au maximum jusqu’à ce que cette barre devienne claire,
puis diminuez à nouveau.Annexe A Étalonnage de votre moniteur 373
Le point où cette barre est presque invisible correspond au réglage de contraste correct pour votre moniteur (l’exemple indiqué ci-dessous est volontairement exagéré).
Lorsque vous réglez le contraste, gardez un œil sur le carré blanc en bas à gauche.
Si le contraste est trop fort, le carré blanc doit donner l’impression de déborder sur
les carrés d’à côté. Réglez alors le contraste jusqu’à ne plus avoir cette impression.
Important : le contraste ne doit être ajusté qu’après la luminosité
7 Lorsque vous avez terminé les réglages de luminance, remettez le contrôle de
la chrominance dans la position du milieu (détente).
Remarque : certains boutons s’arrêtent en une position par défaut très précise.
C’est ce que l’on appelle la position de détente.
Si vous réglez un moniteur PAL, vous avez terminé. Les prochaines étapes traitent
de réglages de la couleur qui ne concernent que les moniteurs NTSC.
8 Appuyez sur le bouton « Fond bleu » à l’avant de votre moniteur pour préparer
le réglage des contrôles Chroma et Phase.
Remarque : ce bouton n’est généralement disponible que sur les moniteurs professionnels.
9 Effectuez les réglages suivants en fonction du type de signal vidéo que vous contrôlez :
 Si vous contrôlez un signal Y´CB
CR
SDI ou par composantes, n’ajustezl que le contrôle
Chroma de sorte que les parties supérieures et inférieures des barres grises alternatives correspondent. Il s’agit du seul réglage que vous devez effectuer, car le contrôle
Phase n’a aucun effet avec les signaux SDI ou par composantes.
 Si vous contrôlez un signal Y/C (aussi appelé S-vidéo), il est exécuté via un décodeur
RVB intégré au moniteur. Dans ce cas, réglez les contrôles Chroma et Phase. La chrominance affecte l’équilibre des deux barres grises externes. La phase affecte l’équilibre des deux barres grises internes. Les réglages effectués pour l’un de ces contrôles
affectant l’autre, vous devez continuer à les régler jusqu’à ce que toutes les barres
grises soient d’une luminosité uniforme en haut et en bas.
Lorsque la luminosité
et le contraste sont correctement
réglés, cette bande ne doit pas être
visible au-delà du noir.374 Annexe A Étalonnage de votre moniteur
Remarque : le second point s’applique aussi au contrôle des signaux composites, mais
il n’est vraiment pas recommandé de contrôler de tels signaux lors de l’étalonnage.
Lorsque votre moniteur est correctement étalonné, la couleur des barres grises et noires sera homogène.
Rendu Y´CB
CR
et mire
Si le rendu Y´CB
CR
doit être pris en charge par le codec utilisé dans une séquence
pour que Final Cut Pro effectue un rendu de la mire via une zone PLUGE (Picture
Lineup Generation Equipment) incluant un signal super noir (4 IRE dans NTSC, 2 IRE
dans PAL) pour l’étalonnage. La partie PLUGE du signal test ne peut pas être rendue
via un codec RVB.
Lorsque la phase (équivalent de la teinte)
du moniteur est correctement ajustée,
des barres alternativement grises et
noires doivent s’afficher. 375
B Annexe
B Raccourcis clavier
Raccourcis clavier dans Color
Les tableaux ci-après illustrent les différents raccourcis clavier disponibles dans Color.
Raccourcis clavier relatifs aux projets
Les raccourcis clavier suivants sont communs à de nombreuses applications et vous
permettent de gérer vos projets Color.
Commande Description
Commande + N Nouveau projet
Commande + O Ouvrir un projet
Commande + R Revenir à la version sauvegardée du projet en cours
Commande + S Enregistrer le projet
Option + Commande + S Enregistrer une copie archivée sous un autre nom
Option + Commande + A Ouvrir une version archivée du projet
Commande + I Importer un plan (ouvre le navigateur de fichiers dans le studio
Setup
Option + Commande + G Rassembler les données rendues (uniquement pour les projets
Cineon ou DPX)
Commande + Z Annuler ; appuyez sur Commande + Z une seconde fois pour réinstaurer la modification précédemment annulée
Commande + X Couper
Commande + C Copier
Commande + V Coller
Commande + A Tout sélectionner
Commande + ? Ouvrir le manuel de l’utilisateur376 Annexe B Raccourcis clavier
Changement de studio et de fenêtre
Les raccourcis clavier ci-après vous permettent de naviguer dans l’interface utilisateur
de Color, de passer d’un studio à l’autre ou d’une fenêtre à une autre.
Lecture et navigation
Les raccourcis clavier ci-après vous permettent de commander la lecture de votre projet et la navigation dans celui-ci en déplaçant la tête de lecture le long de la Timeline.
Commande Description
Commande + 1 Ouvrir le studio Setup
Commande + 2 Ouvrir le studio Primary In
Commande + 3 Ouvrir le studio Secondaries
Commande + 4 Ouvrir le studio Color FX
Commande + 5 Ouvrir le studio Primary Out
Commande + 6 Ouvrir le studio Geometry
Commande + 7 Ouvrir le magasin des images fixes
Commande + 8 File d’attente de rendu
Commande + 9 Ouvrir l’onglet Project Settings dans le studio Setup
Commande + 0 Ouvrir le navigateur de plans dans le studio Setup.
Maj + 1 Sélectionner la fenêtre Color
Maj + 2 Sélectionner la fenêtre Scopes
Maj + 0 Passer du mode simple écran au mode double écran ou vice versa
au prochain lancement de Color
Commande Description
Barre d’espace Alterner entre la lecture et l’arrêt
J Lire en arrière
K Arrêter
L lire vers l’avant
Flèche vers le bas Amener la tête de lecture sur le plan suivant
Flèche vers le haut Amener la tête de lecture sur le plan précédent
Flèche gauche Faire reculer la tête de lecture d’une image
Flèche droite Faire avancer la tête de lecture d’une image
Début Aller au début de la Timeline
Fin Aller à la fin de la Timeline
Maj + Contrôle + M Changer de mode de lecture
I Définir un point d’entrée de lecture sur la Timeline
O Définir un point de sortie de lecture sur la TimelineAnnexe B Raccourcis clavier 377
Raccourcis liés aux jeux d’étalonnage
Les raccourcis clavier ci-après vous permettent de créer, de sélectionner, de copier et
de coller des jeux d’étalonnage à appliquer aux plans sur lesquels est positionnée la
tête de lecture.
Raccourcis clavier relatifs à la Timeline
Les raccourcis clavier ci-après vous permettent de changer l’affichage de la Timeline ;
elles ne peuvent être utilisées que lorsque le pointeur se trouve dans la partie Timeline
de l’interface utilisateur.
Commande Description
Contrôle + 1 Créer un jeu d’étalonnage/Sélectionner le jeu d’étalonnage 1
Contrôle + 2 Créer un jeu d’étalonnage/Sélectionner le jeu d’étalonnage 2
Contrôle + 3 Créer un jeu d’étalonnage/Sélectionner le jeu d’étalonnage 3
Contrôle + 4 Créer un jeu d’étalonnage/Sélectionner le jeu d’étalonnage 4
Contrôle + G Activer/désactiver le jeu d’étalonnage sélectionné
Contrôle + Option + Maj + 1
(1 à 5)
Copier le jeu d’étalonnage sélectionné dans la mémoire 1 à 5
Option + Maj + 1 (1 à 5) Coller le jeu d’étalonnage stocké dans la mémoire 1 à 5
Contrôle + B Désigner le jeu d’étalonnage sélectionné comme le jeu d’étalonnage parfait
Commande Description
Commande + – Zoom arrière
– (pavé numérique) Zoom arrière
Command + + Zoom avant
+ (pavé numérique) Zoom avant
F Graduer la réglette de la Timeline en images
S Graduer la réglette de la Timeline en secondes
M Graduer la réglette de la Timeline en minutes
H Graduer la réglette de la Timeline en heures
Tab Alterner les graduations de la réglette de la Timeline entre images/
secondes/minutes/heures378 Annexe B Raccourcis clavier
Raccourcis clavier de montage
Les raccourcis clavier ci-après permettent de sélectionner des outils de montage lorsque vous travaillez sur des projets comportant des pistes vidéo non verrouillées.
Raccourcis clavier relatifs aux images clés
Les raccourcis clavier ci-après permettent de commander des opérations d’image clé
dans tous les studios.
Raccourcis relatifs au navigateur de plans
Les raccourcis clavier ci-après ne fonctionnent que lorsque le pointeur est dans le navigateur de plans du studio Setup.
Commande Description
Contrôle + S Choisir l’outil Sélection
Contrôle + R Choisir l’outil Roll
Contrôle + T Choisir l’outil Ripple
Contrôle + Y Choisir l’outil Coulissement
Contrôle + X Choisir l’outil Split
Contrôle + Z Choisir l’outil Splice
Contrôle + V Créer un point de montage à la position de la tête de lecture
Contrôle + B Fusionner un point de montage à la position de la tête de lecture
Commande Description
Contrôle + 8 Changer de type d’interpolation d’image clé à la position de la tête
de lecture
Contrôle + 9 Ajouter une image clé à la position de la tête de lecture
Contrôle + 0 Supprimer une image clé à la position de la tête de lecture
Option + Flèche gauche Amener la tête de lecture sur l’image clé précédente du plan sélectionné dans le studio sélectionné
Option + Flèche droite Amener la tête de lecture sur l’image clé suivante du plan sélectionné dans le studio sélectionné
Commande Description
G Affecter les plans sélectionnés à un même groupe
F Centrer le navigateur de plansAnnexe B Raccourcis clavier 379
Raccourci disponible dans le studio Geometry
Le raccourci clavier ci-après ne fonctionne que lorsque le pointeur est dans le studio
Geometry.
Raccourcis relatifs au magasin d’images fixes
Les raccourcis clavier ci-après vous permettent d’enregistrer et d’activer des images
fixes sans avoir besoin d’ouvrir le magasin Still Store.
Raccourcis relatifs à la file d’attente de rendu
Les raccourcis clavier ci-après vous permettent d’ajouter des plans à la file d’attente
de rendu et de lancer l’opération de rendu sans avoir besoin d’ouvrir la file d’attente.
Commande Description
F Encadrer l’image précédente dans le studio Geometry
Commande Description
Contrôle + U Activer les images fixes actuellement chargées
Contrôle + I Enregistrer l’image qui se trouve à la position de la tête de lecture
dans le magasin d’images fixes
Commande Description
Maj + Commande + A Ajouter les plans sélectionnés à la file d’attente de rendu
Option + Maj + Commande + A Ajouter tous les plans de la Timeline à la file d’attente de rendu
Commande + P Lancer l’opération de rendu 381
C Annexe
C Configuration d’une surface
de contrôle
Color est compatible avec les surfaces de contrôle
de marques JLCooper et Tangent Devices.
Une surface de contrôle vous permet d’effectuer simultanément des corrections de plusieurs paramètres dans le cours de votre travail. Vous y gagnez non seulement en rapidité, mais cela vous permet d’appliquer des réglages de couleur complexes en une seule
fois à différentes zones de l’image. Cette annexe explique comment raccorder à votre
ordinateur et configurer des surfaces de contrôle compatibles avec Color et aborde les
points suivants :
 Surfaces de contrôle JLCooper MCS-3000, MCS-Spectrum, MCS-3400 et MCS-
3800 (p. 382)
 Surface de contrôle Tangent Devices CP100 (p. 387)
 Surface de contrôle Tangent Devices de la gamme CP200 (p. 389)
 Personnalisation de la sensibilité des surfaces de contrôle (p. 394)382 Annexe C Configuration d’une surface de contrôle
Surfaces de contrôle JLCooper MCS-3000, MCS-Spectrum,
MCS-3400 et MCS-3800
JLCooper fabrique tout un ensemble de surfaces de contrôle compatibles aussi bien
avec Color qu’avec Final Cut Pro. La gamme de surfaces de contrôle MCS dispose à la
fois de commandes de navigation et de commandes propres à la correction de couleurs, dans différentes configurations.
Pour pouvoir utiliser les surfaces de contrôle MCS de JL Cooper avec Color, vous devez
disposer des éléments suivants et satisfaire aux conditions suivantes :
 un MCS-3000, MCS-3400 ou MCS-3800 avec surface de contrôle MCS-Spectrum
 une carte Ethernet dans le logement 1 de votre contrôleur
 un concentrateur, un routeur ou un commutateur multiport
 des câbles Ethernet Cat-5
La connexion Ethernet de la surface de contrôle MCS-Spectrum est établie avec
le contrôleur MCS-3000 à l’aide d’un câble d’extension Le contrôleur/surface de
contrôle MCS-3000 est lui-même raccordé à votre ordinateur par Ethernet.
Important : les surfaces de contrôle JLCooper ne peuvent pas être raccordées à un
second port Ethernet de l’ordinateur Mac Pro. Elles doivent être raccordées au port
Ethernet principal, si nécessaire au travers d’un concentrateur ou d’un commutateur
si ce port doit être partagé avec une connexion à Internet.
R3 B3
B2
R1 B1
R2
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F1
M1
W1
W2
W3
W4
W5
W6
W7
JOG SHUTTLE
M2 M3
1 2 3 4 5 6 7 8 BANK 1
BANK 2
HOURS MINUTES SECONDS FRAMES
BANK 4
BANK 4
PAGE
ASSIGN
UTILITY
M4 M5
TIME CODE DISPLAY
F2
F3
F4
F5
F6
F7
F8Annexe C Configuration d’une surface de contrôle 383
Configuration des surfaces de contrôle MCS-3000 et MCS-Spectrum
Les marches à suivre proposées ci-après expliquent comment configurer et utiliser
ces surfaces de contrôle avec Color.
Pour configurer les MCS-3000 et MCS-Spectrum pour utilisation avec Color :
1 Mettez le MCS-3000 sous tension et patientez jusqu’à la fin de son initialisation.
Le MCS-3000 fonctionne de la même façon que n’importe quel ordinateur de réseau. Vous
devez donc configurer ses réglages IP pour qu’il puisse être en réseau avec votre ordinateur.
2 Maintenez les touches SHIFT et ASSIGN/UTILITY enfoncées simultanément.
Les réglages d’adresse IP en vigueur s’affichent sur l’écran qui se trouve en haut de
l’appareil.
3 En utilisant le pavé numérique du MCS-3000, tapez les valeurs suivantes :
a Tapez une adresse IP, puis appuyez sur ENTER pour la valider et passer à l’étape suivante :
Vous pouvez, par exemple, lui attribuer l’adresse IP : 192.168.001.010
Remarque : les trois premiers groupes de chiffres de l’adresse doivent être les mêmes
que ceux des autres adresses IP utilisées sur votre réseau local. Si vous n’êtes pas sûr
des valeurs à utiliser, contrôlez l’adresse IP de votre ordinateur (elle se trouve dans
les réglages Réseau de vos Préférences Système) et créez l’adresse IP du MCS-3000
sur cette base, en ne changeant que le dernier groupe de chiffres de sorte que cette
adresse soit propre, c’est-à-dire non utilisée par un autre périphérique du réseau.
b Tapez une adresse de passerelle, puis appuyez sur ENTER pour la valider et passer
à l’étape suivante :
Remarque : les trois premiers groupes de chiffres de cette adresse doivent être
les mêmes que l’adresse IP que vous venez de créer.
c Tapez un masque de sous-adresse, puis appuyez sur ENTER pour la valider et passer
à l’étape suivante :
Dans l’exemple que nous avons pris, où les trois premiers groupes de chiffres des
adresses IP sont identiques pour toutes les adresses de votre réseau local, le masque
à indiquer est le suivant : 255.255.255.000
d Tapez un numéro de port par lequel communiquera l’appareil, puis appuyez sur
ENTER pour la valider et passer à l’étape suivante :
Vous pouvez, par exemple, taper : 49153
Remarque : pour éviter les conflits de numéros de port, choisissez une valeur comprise dans la plage définie par la norme comme celle des « Ports dynamiques et/ou
privés », c’est-à-dire entre 49152 et 65535.
4 Mettez hors tension le MCS-3000 et le MCS-Spectrum.
Maintenant que votre surface de contrôle est configurée, vous devez la paramétrer
dans Color.384 Annexe C Configuration d’une surface de contrôle
Pour utiliser les MCS-3000 et MCS-Spectrum avec Color :
1 Mettez d’abord sous tension le MCS-Spectrum, puis mettes sous tension le MCS-3000.
2 Ouvrez Color.
Si vous ouvrez Color pour la première fois, la zone de dialogue Control Surface Startup
vous est présentée. Si ce n’est pas la première fois que vous ouvrez Coloret si vous avez
demandé à ce que cette zone de dialogue n’apparaisse plus systématiquement au
démarrage, vous devez cliquer sur le bouton Show Control Surface Dialog de l’onglet
User Prefs du studio Setup.
3 Lorsque la zone de dialogue Control Surface Startup apparaît :
a Choisissez « JLCooper - MCS3000/Spectrum » dans le menu contextuel Control Surface.
b Tapez l’adresse IP que vous avez définie pour le MCS-3000 dans le champ Adresse IP,
puis appuyez sur Entrée.
c Tapez le numéro de port que vous avez défini pour le MCS-3000 dans le champ Port,
puis appuyez sur Entrée.
4 Cliquez sur Yes.
Les MCS-3000 et MCS-Spectrum sont en principe maintenant prêts à être utilisés avec Color.
Commandes des MCS-3000 et MCS-Spectrum
La plupart des commandes (ou « contrôles ») des MCS-3000 et MCS-Spectrum sont
identifiées par des libellés. Vous trouverez ci-après des indications sur ces commandes
et fonctions et sur celles dont l’emploi est moins immédiatement clair.Annexe C Configuration d’une surface de contrôle 385
MCS-3000
 Page 1-8 : Sélectionner l’un des huit studios de Color.
 F1 : Supprimer l’image clé
 F2 : Ajouter une image clé
 F3 : Modifier l’interpolation de l’image clé
 Retour arrière : Revenir au début du plan ou au plan précédent
 Avance rapide : Passer à la fin du plan ou au plan suivant
 Arrêt : Arrêter la lecture
 Lecture : Lancer la lecture
 Molette Jog Shuttle : Commande fine de la tête de lecture
 Pavé numérique : Commandes de navigation
 Locate : Aller à un timecode ou à un identifiant de plan
 Mode : Alterner la fonction de la touche Locate entre recherche de timecode et
recherche d’identifiant de plan
 Last : Retourner au dernier emplacement
 Enter : Valider une valeur de navigation
 M1 : Contrôle de vitesse
 M2 : Lecture en pouces [???]
 Bank1 : Sélectionner/Copier/Coller la mémoire d’étalonnage 1
 Bank2 : Sélectionner/Copier/Coller la mémoire d’étalonnage 2
 Bank3 : Sélectionner/Copier/Coller la mémoire d’étalonnage 3
 Bank4 : Sélectionner/Copier/Coller la mémoire d’étalonnage 4
 Assign : Alterner entre Sélectionner/Copier/Coller la mémoire d’étalonnage.
(L’afficheur LCD vous indique quelle opération est sélectionnée.)
F1
M1
W1
W2
W3
W4
W5
W6
W7
JOG SHUTTLE
M2 M3
1 2 3 4 5 6 7 8 BANK 1
BANK 2
HOURS MINUTES SECONDS FRAMES
BANK 4
BANK 4
PAGE
ASSIGN
UTILITY
M4 M5
TIME CODE DISPLAY
F2
F3
F4
F5
F6
F7
F8386 Annexe C Configuration d’une surface de contrôle
Utilisation des contrôles de navigation
Il y a deux façons possible de naviguer sur la timeline à l’aide du pavé numérique
du MCS-3000.
Pour alterner entre navigation par saisie du timecode et par saisie du numéro de plan :
1 Appuyez sur Mode Locate ou sur Set Locate sur le MCS-3000.
2 Maintenez enfoncée la touche Shift (la touche bleue sous la série de touches F-), puis
appuyez sur Mode Locate.
Les indicateurs du MCS-3000 affichent 00 00 00 00 (Timecode) ou 0 (Numéro de plan)
pour vous indiquer dans quel mode vous êtes.
Pour vous déplacer sur la Timeline à l’aide du timecode (mode Timecode) :
1 Appuyez sur Mode Locate ou sur Set Locate sur le MCS-3000.
2 Tapez le timecode que vous voulez atteindre, puis appuyez sur Enter.
La tête de lecture passe à cet emplacement de timecode.
Pour vous déplacer sur la Timeline à l’aide des numéros de plan (mode Numéro
de plan) :
1 Appuyez sur Mode Locate ou sur Set Locate sur le MCS-3000.
2 Tapez le numéro de plan que vous voulez atteindre, puis appuyez sur Enter.
La tête de lecture se déplace vers le plan correspondant à ce numéro sur la Timeline.
Contrôles du MCS-Spectrum
R3 B3
B2
R1 B1
R2
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PAGE 3Annexe C Configuration d’une surface de contrôle 387
 R1 : Réinitialiser le curseur de contraste des ombres
 B1 : Réinitialiser le contrôle de couleur des ombres
 Boule de commande gauche : Réglage du contrôle de couleur des ombres
 Couronne gauche : Réglage du curseur de contraste des ombres (point noir)
 R2 : Réinitialiser le curseur de contraste des tons intermédiaires
 B2 : Réinitialiser le contrôle de couleur des tons intermédiaires
 Boule de commande centrale : Réglage du contrôle de couleur des tons intermédiaires
 Couronne centrale : Réglage du curseur de contraste des tons intermédiaires (gamma)
 R3 : Réinitialiser le curseur de contraste des hautes lumières
 B3 : Réinitialiser le contrôle de couleur des hautes lumières
 Boule de commande droite : Réglage du contrôle de couleur des hautes lumières
 Couronne droite : Réglage du curseur de contraste des hautes lumières (point blanc)
Surface de contrôle Tangent Devices CP100
Le Tangent Devices CP100 est une grande surface de contrôle intégrée combinant
toutes les fonctionnalités utiles en une seule console.
Configuration de la surface de contrôle CP100
Les marches à suivre proposées ci-après expliquent comment configurer et utiliser
cette surface de contrôle avec Color.
Remarque : vous devez avoir ouvert une session d’administrateur pour pouvoir
configurer le Tangent Devices CP100.
Pour configurer et utiliser le CP100 avec Color :
1 Raccordez le CP100 à votre ordinateur à l’aide d’un câble Ethernet.
Important : le CP100 ne peut pas être raccordé à un second port Ethernet de l’ordinateur Mac Pro. Elles doivent être raccordées au port Ethernet principal, si nécessaire au
travers d’un routeur ou d’un commutateur si ce port doit être partagé avec une connexion à Internet.
2 Mettez le CP100 sous tension et patientez jusqu’à la fin de son initialisation.
3 Ouvrez Color.388 Annexe C Configuration d’une surface de contrôle
Si vous ouvrez Color pour la première fois, la zone de dialogue Control Surface Startup
vous est présentée. Si ce n’est pas la première fois que vous ouvrez Coloret si vous avez
demandé à ce que cette zone de dialogue n’apparaisse plus systématiquement au
démarrage, vous devez cliquer sur le bouton Show Control Surface Dialog de l’onglet
User Prefs du studio Setup.
4 Lorsque la zone de dialogue Control Surface Startup apparaît :
a Choisissez « Tangent Devices - CP100 » dans le menu contextuel Control Surface.
b Lorsque le système vous demande votre mot de passe d’administrateur, tapez ce
dernier dans le champ correspondant, puis cliquez sur OK.
Le CP100 est maintenant en principe prêt à fonctionner avec Color.
Commandes du CP100
 Do : Copier le jeu d’étalonnage (Mémoire 1)
 Undo : Coller le jeu d’étalonnage (Mémoire 1)
 Redo : Copier le jeu d’étalonnage de la correction précédente sur la Timeline
 Cue : Commander la navigation (modes Timecode ou Numéro de plan)
 Mark : Créer une image fixe
 In : Définir le point d’entrée de lecture
 Out : Définir le point de sortie de lecture
 Select : Changer de mode de lecture
 Mix : Afficher/masquer l’image fixe
 Grade : Afficher/masquer le jeu d’étalonnage
 Delete : Reprendre le jeu d’étalonnage identique ou de la mémoire de base
 |< : Événement précédent
 >|- Événement suivant
 < : Lecture en arrière
 [] : Arrêter la lecture
 > : Lecture vers l’avant
 Touche adjacente à la molette jog/shuttle : Faire passer la vitesse de lecture à x10
Compressor 3
Manuel de
l’utilisateurK Apple Inc.
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Vos droits sur le logiciel sont régis par l’accord de
licence qui l’accompagne. Le propriétaire ou l’utilisateur
autorisé d’une copie valide du logiciel Final Cut Studio
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d’apprendre à utiliser ce logiciel. Aucune parte de la pré-
sente publication ne peut être reproduite ni transmise à
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aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation du logo
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versions et des mises à jour de son logiciel d’exploitation,
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Photos de plateau du film « Koffee House Mayhem »
reproduites avec l’aimable autorisation de
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© 2004 Jean-Paul Bonjour. Tous droits réservés.
http://www.jbonjour.com
Photos de plateau du film « A Sus Ordenes » reproduites avec l’aimable autorisation de Eric Escobar.
« A Sus Ordenes » © 2004 Eric Escobar. Tous droits
réservés.
http://www.kontentfilms.com 3
1 Table des matières
Préface 9 Introduction à Compressor
10 À propos du Manuel de l’utilisateur de Compressor
11 Scénarios standard de Compressor
12 Fonctions de Compressor
14 Formats de sortie pour transcodage
16 Utilisation du Manuel de l’utilisateur de Compressor
17 Sites web d’Apple
Chapitre 1 19 Premiers contacts rapides
19 Terminologie utilisée par Compressor
20 Flux de travaux Compressor rapide et facile
26 Tâches optionnelles disponibles avant l’envoi d’un lot
Chapitre 2 29 Flux de production de transcodage de base
32 Concepts et terminologie de Compressor
32 Préparation de Compressor au transcodage
34 Choix d’un format de sortie
35 Création d’un lot Compressor
37 Visualisation de l’état du transcodage
38 Raccourcis optionnels de Compressor
39 Configuration des préférences de Compressor
Chapitre 3 43 Interface de Compressor
44 Les fenêtres Compressor et le flux de transcodage
45 Création et gestion des modèles Compressor
48 Utilisation des fenêtres de Compressor
51 Fenêtre Lot
55 Onglet Réglages
56 Onglet Destinations
57 Fenêtre Inspecteur
68 Fenêtre Historique
69 Fenêtre Preview
70 Batch Monitor
71 Fenêtres Droplet4 Table des matières
72 À propos du changement des valeurs et des entrées de timecode
74 Raccourcis clavier généraux de Compressor
75 Raccourcis clavier de la fenêtre Preview
Chapitre 4 77 Importation de fichiers multimédia sources
78 À propos de la fenêtre Lot
79 Ajout de fichiers multimédia sources à un lot pour créer des tâches
87 Utilisation de l’Inspecteur avec des fichiers multimédia sources
90 Astuces pour l’importation de fichiers multimédia sources
Chapitre 5 93 Création, aperçu et modification des réglages
94 À propos de l’onglet Réglages
98 Utilisation de l’Inspecteur avec les réglages
99 Duplication des réglages
100 Création d’un réglage entièrement nouveau
102 Aperçu d’un réglage
104 Suppression de réglages
104 Création de groupes de réglages
106 Distribution et partage de réglages
106 Exemple : Création de réglages et de groupes personnalisés pour un DVD
Chapitre 6 109 Finalisation de tâches et soumission de lots
110 Affectation de réglages à des fichiers multimédia sources
113 Remplacement d’un réglage affecté par un autre réglage
114 Modification d’un réglage affecté
115 Affectation de destinations aux fichiers multimédia sources
117 Réglage du nom de fichier de sortie
117 À propos des cibles
118 À propos de l’ajout et de la copie de tâches
119 À propos de l’enchaînement de tâches
120 Soumission d’un lot
123 Astuce relative au test du transcodage
123 À propos de la fenêtre Historique
124 Nouvelle soumission d’un lot
125 Enregistrement et ouverture d’un lot
126 Envoi d’un projet Final Cut Pro pour transcodage
127 Renvoi d’un projet Final Cut Pro
127 Exportation à partir de Final Cut Pro et traitement distribué
131 Transcodage de différents plans à partir d’un fichier multimédia source
Chapitre 7 133 Création de fichiers AIFF
133 Création de fichiers de sortie AIFF
134 À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder
135 À propos de la zone de dialogue Réglages audio
136 Configuration des réglages AIFFTable des matières 5
Chapitre 8 139 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional
140 À propos de la sous-fenêtre Encodeur Dolby Digital Professional
147 Informations générales sur la création de fichiers Dolby Digital Professional
148 Conversion de fichiers audio stéréo au format Dolby Digital Professional
149 Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode manuelle)
152 Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthodes automatiques)
154 Affectation de fichiers à des canaux audio Surround à l’aide de droplets
154 Options de mixage spatial
Chapitre 9 157 Création de fichiers de sortie pour flux DV
157 À propos de la sous-fenêtre Encodeur DV
158 Processus de transcodage DV
Chapitre 10 159 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple
160 À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour appareils Apple
164 Processus H.264 pour iPod et Apple TV
Chapitre 11 165 Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro
165 À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour DVD Studio Pro
171 Flux de production H.264 pour DVD
Chapitre 12 173 Création de fichiers de séquence d’images
173 Création de fichiers de sortie de séquence d’images
174 À propos de la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images
175 Définition de réglages de séquence d’images
Chapitre 13 177 Création de fichiers de sortie MP3
177 Utilisations courantes du format MP3
178 À propos de la sous-fenêtre Encodeur MP3
180 Processus de transcodage MP3
Chapitre 14 181 Création de fichiers de sortie MPEG-1
181 Utilisations courantes de MPEG-1
182 Spécifications de la norme MPEG-1
183 À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1
186 À propos des flux système et élémentaires
186 Flux de production de transcodage MPEG-1
188 Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation Web
189 Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation DVD6 Table des matières
Chapitre 15 195 Création de fichiers de sortie MPEG-2
195 À propos du format MPEG-2 en définition standard
196 À propos des sources haute définition et de MPEG-2
197 À propos des flux élémentaires, des flux de transport et des flux de programme
198 À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2
213 Informations supplémentaires sur les GOP et les marqueurs
216 Flux de production de transcodage MPEG-2
Chapitre 16 225 Création de fichiers de sortie MPEG-4
226 À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-4
230 Processus de transcodage MPEG-4 Partie 2
Chapitre 17 237 Création de fichiers de sortie QuickTime
237 Création de fichiers de sortie QuickTime
238 À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder QuickTime
246 Flux de production de transcodage QuickTime
250 Compréhension des codecs
250 Codecs vidéo QuickTime
251 Codecs audio QuickTime
Chapitre 18 253 Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime
253 Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime
254 Installation des modules de composant d’exportation QuickTime
254 À propos du module iPod
255 À propos de la sous-fenêtre Encodeur Composants d’exportation au format QuickTime
256 Configuration des réglages de composant d’exportation
Chapitre 19 257 Ajout de filtres à un réglage
257 Utilisation des filtres
260 À propos de la sous-fenêtre Filtres
261 Filtres disponibles
271 Ajout de filtres à un réglage
Chapitre 20 273 Ajout de contrôles d’images à un réglage
273 Utilisation des contrôles d’images
274 À propos de la sous-fenêtre Contrôles d’images
279 Ajout de contrôles d’images à un réglage
280 Utilisation du télécinéma inverse
283 Utilisation des contrôles de resynchronisation
Chapitre 21 287 Ajout de réglages de géométrie
287 Utilisation du rognage, de la mise à l’échelle et du remplissage
290 À propos de la sous-fenêtre Géométrie
294 Ajustements de géométrie pour un réglageTable des matières 7
Chapitre 22 297 Ajout d’actions à un réglage
297 Utilisation des actions de post-transcodage
299 Ajout d’actions
301 Déclenchement des droplets AppleScript
Chapitre 23 303 Utilisation de la fenêtre Preview
304 À propos de la fenêtre Preview
310 Prévisualisation d’un plan
315 Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Preview
317 Ajout de marqueurs à un plan
323 Raccourcis clavier de la fenêtre Preview
Chapitre 24 325 Création et changement de destinations
326 À propos de l’onglet Destinations
327 Utilisation de l’Inspecteur avec l’onglet Destinations
328 Création d’une destination
332 Triangles d’avertissement
333 Suppression et duplication d’une destination
335 Création de destinations à utiliser avec DVD Studio Pro
Chapitre 25 337 Utilisation de droplets
338 À propos de la fenêtre Droplet
340 Création d’une droplet
341 Vérification des réglages de droplets et des options AppleScript
342 Utilisation d’une droplet pour transcoder des fichiers multimédia sources
344 Conseils à propos des droplet
Annexe A 345 Dépannage et assistance client
346 Contacter l’assistance AppleCare
347 Astuces de dépannage
Annexe B 349 Utilisation de la ligne de commande
349 Utilisation de la ligne de commande
349 Commandes de shell pour la configuration des nœuds de service et des contrôleurs de
cluster
350 Commandes de shell pour l’envoi de travaux Compressor
353 Commandes de shell pour le contrôle des lots
Index 355 9
Préface
Introduction à Compressor
Compressor constitue une partie essentielle du processus
de compression vidéo. Il rend la compression rapide, efficace
et pratique et vous offre des options supplémentaires pour
les paramètres et formats de sortie de compression.
Avec la multiplication des modes de visualisation et de découverte de contenus multimédia, tels que les sites web, Apple TV, l’iPod, les CD-ROM et les DVD, les créateurs de
contenus ont besoin de moyens de conversion simples et rapides pour que leurs création puissent être facilement lues par un grand nombre d’appareils.
Que vous souhaitiez créer une bande-annonce de haute qualité pouvant être ouverte
et visualisée sur le web en quelques secondes ou juste transférer un plan sur CD ou
DVD, il est nécessaire de compresser les fichiers multimédia afin de limiter leur espace
de stockage et de les rendre disponibles à la lecture. Compressor est un outil d’encodage audio et vidéo à grande vitesse qui offre un moyen efficace de convertir des contenus, quelle que soit le mode de lecture utilisé.
De plus, outre les différents modes de génération de visualisation, il faut également
considérer les nombreux formats de sortie. Vous pouvez être amené à compresser
le même fichier multimédia dans différents formats de sortie, afin de vous adapter aux
différents usages et lecteurs multimédia. Avec Compressor, vous pouvez sélectionner
différents formats de sortie pour une utilisation avec les divers modèles de distribution.10 Préface Introduction à Compressor
À propos du Manuel de l’utilisateur de Compressor
Cette préface, « Introduction à Compressor, » contient des informations générales
qui présentent la plupart des concepts et termes élémentaires liés à l’utilisation
de Compressor.
Les autres chapitres de ce manuel traitent des sujets suivants :
 Le chapitre 1, « Premiers contacts rapides », vous aidera à découvrir les procédures
élémentaires vous permettant d’utiliser Compressor pour la première fois.
 Le chapitre 2, « Flux de production de transcodage de base », contient des procédures plus détaillées pour la configuration de Compressor.
 Le chapitre 3, « Interface de Compressor », est une présentation rapide des fenêtres
et fonctionnalités de Compressor.
 Le chapitre 4, « Importation de fichiers multimédia sources », traite des types de
fichier que Compressor peut accepter, ainsi que comment les importer.
 Le chapitre 5, « Création, aperçu et modification des réglages », traite des réglages,
une composante essentielle du flux de production de Compressor.
 Le chapitre 6, « Finalisation de tâches et soumission de lots », est une explication
détaillée du flux de production élémentaire de Compressor.
 Les chapitres 7 à 18 expliquent chacun des types de fichier de sortie. Pour plus
d’informations sur ces chapitres, consultez la section « Formats de sortie pour
transcodage » à la page 14.
 Les chapitres 19 à 22 vous expliquent comment ajouter des réglages et ajuster de
manière plus précise les effets visuels de vos tâches de transcodage Compressor
pour obtenir un résultat de meilleure qualité en termes d’images et de son.
 Le chapitre 23, « Utilisation de la fenêtre Preview », explique comment utiliser la fenê-
tre Preview de Compressor de façon à pouvoir examiner les fichiers multimédia sources, ainsi que l’effet des réglages Compressor que vous pouvez appliquer aux fichiers.
 Le chapitre 24, « Création et changement de destinations », explique comment configurer et enregistrer les destinations fréquemment utilisées pour les fichiers de sortie
transcodés.
 Le chapitre 25, « Utilisation de droplets », traite des applications glisser-déposer
que vous pouvez créer avec Compressor et qui vous feront gagner du temps.Préface Introduction à Compressor 11
Scénarios standard de Compressor
Voici quelques scénarios pouvant généralement être mis en œuvre avec Compressor :
 Conversion d’un fichier multimédia source en un ou plusieurs formats de sortie
différents : vous pouvez utiliser Compressor pour convertir un ou plusieurs fichiers
multimédia source en un ou plusieurs formats de sortie de fichiers multimédia diffé-
rents. Consultez la section « Flux de travaux Compressor rapide et facile » à la page 20
pour plus d’informations.
 Exportation de séquences ou de plans vers un ou plusieurs formats directement à partir
d’autres applications : vous pouvez utiliser Compressor pour convertir des séquences
ou des plans vers un ou plusieurs formats de fichier à partir d’autres applications
telles que Final Cut Pro. Ce flux de production est identique à celui décrit en détail
à la section « Envoi d’un projet Final Cut Pro pour transcodage » à la page 126.
Cette intégration à Final Cut Pro et à d’autres applications accélère et facilite le transcodage (processus de conversion des fichiers de leur format d’origine en fichiers de
sortie prêts pour la distribution dans un autre format) et permet également d’économiser de l’espace disque en évitant d’avoir à exporter les fichiers de données avant
leur traitement. Compressor tire aussi parti de la technologie de traitement vidéo des
autres applications pour dépasser les limites des tâches qui lui sont confiées (et donc
optimiser la qualité des images encodées) et éviter les dégradations pouvant survenir après les multiples étapes de compression et de décompression.
Périphériques Apple Vidéo DVD CD-ROM
Apple TV
iPod
iTunes
Application
Compressor
H.264
MP3
MP3
MPEG-1
MPEG-4
QuickTime
AC-3
AIFF
H.264
MPEG-1
MPEG-2
AIFF
MP3
QuickTime
Média source ou
projet Final Cut Pro
Sur le Web
Séquence
QuickTime
(pour bas débit et
pour haut débit)12 Préface Introduction à Compressor
 Création de fichiers compatibles DVD à utiliser avec DVD Studio Pro : avant de pouvoir
convertir vos fichiers multimédia existants en projets DVD Studio Pro, vous devez
convertir la vidéo en fichiers MPEG-1 (projets SD uniquement), MPEG-2 (projets SD
et HD) ou H.264 (projets HD uniquement). En effet, avant d’importer un ou plusieurs
fichiers multimédia dans DVD Studio Pro, Compressor les transcode dans le format
approprié. Compressor peut encoder l’audio au format Dolby Digital Professional
(également appelé AC-3). Dolby Digital Professional est un format audio compressé
très courant pour les disques DVD-Vidéo. Compressor gère également deux situations spécialisées :
 Lorsque vous éditez des sources haute définition (HD) dans Final Cut Pro et que
vous souhaitez créer un DVD en définition standard (DS) à partir de ces sources,
Compressor offre une fonctionnalité de conversion. Les sources HD qui utilisent
des résolutions de 1080i ou 720p utilisent un processus de transcodage haute qualité pour créer des fichiers de sortie vidéo DS MPEG-2.
 Si vous devez faire tenir un maximum de vidéo sur un DVD et que vous n’avez pas
besoin de la qualité de diffusion, Compressor permet d’exporter les fichiers au format MPEG-1 compatible DVD-Vidéo.
Fonctions de Compressor
Compressor peut fonctionner en tant qu’application autonome et être intégré au flux de
production d’autres applications telles que Final Cut Pro. Pour cela, Compressor accepte
le même éventail de types de fichiers multimédia que Final Cut Pro. Compressor cible
les professionnels de la postproduction et de la compression vidéo, qui requièrent de
hautes performances et un contrôle maximum du contenu numérique final pour la création de DVD, les serveurs de contenu multimédia et les dispositifs sans fil. Outre les possibilités de redimensionnement, de rognage, de traitement des images, d’encodage et
de distribution, Compressor offre les fonctions suivantes :
 Traitement par lot : ce processus simplifié permet de créer plusieurs fichiers de sortie
à partir d’un seul fichier multimédia source.
 Options VBR : à l’aide de l’encodeur MPEG-2, vous pouvez définir pour vos fichiers de
sortie un encodage VBR (Variable Bit Rate - débit variable) en une seule ou en deux
passes, ce qui a une incidence sur la qualité de l’image des fichiers vidéo.
 Encodage H.264 : le format H.264 génère de la vidéo de qualité supérieure à des
débits inférieurs, pour tout type de périphériques allant des téléphones portables à
la haute définition (HD). Le format H.264 est particulièrement bien adapté au lecteur
Apple QuickTime 7. Compressor inclut les formats H.264 conçus particulièrement
pour les DVD HD, iTunes, l’iPod et Apple TV.
 Droplets : ces applications autonomes peuvent être utilisées pour des opérations de
transcodage par glisser-déposer, directement depuis le bureau. Après leur création,
les Droplets simplifient et automatisent le processus de transcodage et peuvent être
utilisées sans que Compressor ne soit lancé.Préface Introduction à Compressor 13
 Réglages : les réglages contiennent tous les outils nécessaires au transcodage
(format de fichier, filtre et réglages géométriques). Vous pouvez personnaliser et
modifier les réglages fournis par Apple ou en créer de nouveaux et développer
une bibliothèque de réglages spécialisés pouvant être réutilisés.
 Des filtres : la sélection de filtres Compressor disponibles vous confère un contrôle
artistique dynamique pendant la conversion de vos fichiers multimédia sources
dans d’autres formats et vous permet de créer un produit final conforme à vos spécifications. Les filtres disponibles sont les suivants : fondu entrant/sortant, incrustations de timecode, correction gamma, suppression du bruit, letterbox, filigranes,
ajustement de couleur, etc. Il existe en outre des filtres audio permettant de contrô-
ler la plage dynamique, les niveaux de pics, l’égalisation et le fondu entrant/sortant.
 Prévisualisation : vous pouvez prévisualiser vos réglages de filtres en temps réel dans
la fenêtre Preview tout en les modifiant dans la fenêtre Inspecteur. Cela vous permet
de modifier légèrement les paramètres à votre convenance avant le transcodage du
fichier multimédia source.
 Destinations : vous pouvez créer et enregistrer différentes destinations pour vos
fichiers de sortie, qui peuvent ensuite être associées à la cible de chaque fichier de sortie. Ces destinations peuvent être des sites FTP ou des emplacements iDisk. Une destination peut également spécifier la convention d’appellation de fichier à utiliser.
 Géométrie : vous pouvez régler les dimensions de l’image à l’aide des contrôles de
géométrie de la fenêtre Inspecteur et des contrôles graphiques de la fenêtre Preview.
Ces fonctionnalités permettent de rogner les zones des images que vous souhaitez
supprimer de votre fichier multimédia source, et de réduire ainsi la taille du fichier.
Compressor permet aussi de redimensionner l’image aux proportions suivantes : 4:3,
16:9 et 2,35:1 pour une utilisation sur d’autres plateformes, comme le DVD ou iPod.
 Publication : vous pouvez utiliser Compressor pour télécharger vos fichiers de sortie
sur un serveur de contenu multimédia, de type QuickTime Streaming Server, ou sur
d’autres supports pour la création de DVD.
 Utilisation d’AppleScript : vous pouvez ajouter des informations AppleScript spécialisées à n’importe quel fichier de sortie, ce qui vous confère la souplesse nécessaire
pour automatiser et personnaliser les opérations de post-encodage.
 Interopérabilité : Compressor est un élément fondamental des applications vidéo
professionnelles Apple, tout comme Final Cut Pro et DVD Studio Pro. À partir de
Final Cut Pro, vous pouvez exporter des séquences directement dans Compressor
pour les transcoder, et déplacer des fichiers MPEG-2 transcodés de Compressor à
DVD Studio Pro pour simplifier le processus de création de DVD.
 Activité de transcodage en arrière-plan : grâce à Compressor, il est possible de commencer le transcodage d’un lot, puis de laisser celui-ci se dérouler en arrière-plan,
ce qui vous permet d’exécuter d’autres tâches en même temps. 14 Préface Introduction à Compressor
 Notification par message électronique : Compressor peut être configuré de manière à
vous envoyer des notifications par message électronique pour vous avertir de la fin
du transcodage d’un lot, quelle que soit l’adresse électronique spécifiée.
 Traitement distribué : Compressor fournit le traitement distribué qui répartit le travail
sur plusieurs ordinateurs choisis pour offrir une puissance de traitement supplémentaire. La fonctionnalité de traitement distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels est installé Final Cut Studio ou DVD Studio Pro. Pour plus d’informations,
consultez le guide Configuration du traitement distribué.
 Fonctionnalités de ligne de commande : Compressor comporte désormais un certain
nombre d’options de ligne de commande pour l’envoi de tâches, l’activation et
la désactivation des services de contrôle de nœuds et de clusters, ainsi que la surveillance des lots.
Formats de sortie pour transcodage
La sélection de la plate-forme de lecture appropriée (dispositifs Apple, web, CD, DVD et
borne interactive) est le premier choix à faire avant de compresser un fichier multimé-
dia source dans un format de sortie différent. Après avoir sélectionné une plate-forme,
vous pouvez choisir le format de sortie qui lui convient le mieux.
Quel que soit le format vidéo numérique de votre fichier multimédia source, ce dernier
peut être transcodé à l’aide de l’un des encodeurs suivants, fournis avec Compressor :
 AIFF : destiné à une utilisation audio (création de DVD ou de CD). Pour plus de détails
sur le format AIFF, consultez le chapitre 7, « Création de fichiers AIFF », à la page 133.
 Flux de vidéo numérique (DV) : le format DV est devenu extrêmement populaire à
cause de son prix réduit et de sa grande disponibilité lorsque l’on travaille sur des
projets SD.
 Dolby Digital Professional : également appelé AC-3. Format destiné à la création de
DVD. Pour plus de détails sur le format AC-3, consultez la section « Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional » à la page 139.Préface Introduction à Compressor 15
 H.264 : nouvelle génération de technologie de compression vidéo à la norme
MPEG-4. Également appelée MPEG-4 Partie 10. Adapté aux DVD HD et à de
nombreuses autres utilisations, le format H.264 peut atteindre la qualité MPEG-2
maximale avec un débit inférieur de moitié. H.264 est actuellement obligatoire dans
les deux nouvelles spécifications DVD haute définition (DVD HD et Blu-Ray). Pour
plus d’informations sur le format H.264, particulièrement sur son utilisation dans le
cadre de projets DVD HD, consultez la section « Création de fichiers de sortie H.264
pour DVD Studio Pro » à la page 165. Pour plus d’informations sur la création de
fichiers H.264 pour les utiliser dans iTunes, sur un iPod ou avec Apple TV, consultez
le chapitre 10, « Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple », à la
page 159. Pour obtenir des informations sur la création de fichiers H.264 en vue
d’une utilisation dans un autre contexte (comme par exemple la vidéo diffusée sur
le web), voir « Création de fichiers de sortie QuickTime » à la page 237.
 Séquence d’images : destiné aux autres programmes qui importent les données sous
la forme d’une série d’images fixes au format TIFF ou TARGA. Pour plus de détails sur
le format Séquence d’images, consultez le chapitre 12, « Création de fichiers de
séquence d’images », à la page 173.
 MPEG-1 : destiné à une utilisation Internet ou DVD spécialisée. Pour plus de détails sur
le format MPEG-1, consultez le chapitre 14, « Création de fichiers de sortie MPEG-1 », à
la page 181.
 MPEG-2 : destiné à la lecture de DVD. Pour plus de détails sur le format MPEG-2,
consultez le chapitre 15, « Création de fichiers de sortie MPEG-2 », à la page 195.
 MPEG-4 : spécification très évolutive, avec différentes utilisations, de la vidéo web aux
périphériques sans fil en passant par la HD. Pour plus de détails sur le format MPEG-4,
consultez le chapitre 16, « Création de fichiers de sortie MPEG-4 », à la page 225.
 Séquence QuickTime : QuickTime est une technologie multimédia interplateforme.
Elle permet à des applications Mac OS et Windows de lire des fichiers vidéo et audio,
ainsi que des fichiers d’images fixes. Pour plus de détails sur le format QuickTime,
consultez le chapitre 17, « Création de fichiers de sortie QuickTime », à la page 237.
 Composants d’exportation QuickTime : exploitant l’architecture à modules de
QuickTime, Compressor peut désormais générer un large éventail de formats supplé-
mentaires, tels que Windows Media, RealPlayer, 3G et AVI. Pour plus de détails sur
les composants d’exportation de QuickTime, consultez la section « Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime » à la page 253.16 Préface Introduction à Compressor
Utilisation du Manuel de l’utilisateur de Compressor
Le Manuel de l’utilisateur de Compressor décrit étape par étape l’utilisation de
Compressor, un outil de compression de fichiers multimédia sources, et contient des
informations générales et conceptuelles sur la compression. Il a été conçu pour fournir
les informations dont vous avez besoin pour rentrer rapidement en matière et tirer au
mieux parti de Compressor.
Le Manuel de l’utilisateur de Compressor vous permet d’accéder aux informations directement à l’écran lorsque vous travaillez dans Compressor. Pour afficher ces informations, choisissez Aide > Manuel de l’utilisateur de Compressor. Ce manuel comporte
des liens hypertextes et présente un grand nombre de fonctionnalités facilitant la
recherche d’informations.
 La page d’accueil vous permet d’accéder rapidement à différentes fonctions,
parmi lesquelles l’index, ainsi que d’autres documents et sites web importants.
 Une liste détaillée de signets vous permet de choisir rapidement ce que vous voulez
voir et vous emmène à la section correspondante d’un simple clic sur le lien.
Outre ces outils de navigation, le Manuel de l’utilisateur de Compressor propose d’autres
méthodes d’accès rapide aux informations :
 Toutes les références croisées du texte sont liées à l’aide de l’hypertexte. Vous pouvez cliquer sur n’importe quelle référence croisée et atteindre immédiatement son
emplacement. Vous pouvez ensuite cliquer sur la flèche arrière de la fenêtre Preview
pour retourner là où vous étiez avant de cliquer sur la référence croisée.
 La table des matières et l’index sont également constitués de liens hypertexte.
Si vous cliquez sur une entrée dans l’une ou l’autre de ces sections, vous atteignez
directement la section de l’aide correspondante.
 Vous pouvez également utiliser la zone de dialogue Recherche pour trouver une portion de texte à l’aide de mots ou d’une phrase.
Pour accéder à l’aide en ligne, procédez comme suit :
m Choisissez Aide > Manuel de l’utilisateur de Compressor.
m Appuyez sur les touches Commande + virgule.
Outre l’accès au Manuel de l’utilisateur de Compressor, le menu Aide contient également
une option de création d’un profil d’assistance. Dans certains cas d’assistance technique, AppleCare peut vous demander des informations autant sur l’ordinateur que sur la
configuration de l’application en question. Sélectionnez Aide > Créer un profil d’assistance pour créer un fichier contenant les informations nécessaires et pouvant être
envoyé par courrier électronique à AppleCare. Vous devez normalement utiliser cette
fonction, à moins qu’un représentant de AppleCare ne vous indique le contraire.Préface Introduction à Compressor 17
Sites web d’Apple
Différents sites web Apple vous donnent accès à des informations complémentaires.
Site web de Compressor
Visitez ce site pour obtenir des informations générales et des mises à jour et pour
consulter les dernières actualités concernant Compressor.
Pour accéder au site web de Compressor, accédez au site suivant :
 http://www.apple.com/fr/finalcutpro/compressor.html
Vous trouverez sur Internet une grande variété d’espaces de discussion, de forums
et de ressources éducatives dédiés à Compressor.
Site web de support et d’assistance d’Apple
Accédez à ces sites pour obtenir des mises à jour logicielles et trouver les réponses
que vous cherchez dans la foire aux questions, consacrée à tous les produits Apple,
y compris Compressor. Vous pourrez aussi y consulter les spécifications des produits,
des documents de référence et des articles techniques sur des produits Apple et tiers.
Pour accéder au site web de support et d’assistance d’Apple :
 http://www.apple.com/fr/support
Pour accéder au site web d’assistance de Compressor, accédez au site suivant :
 http://www.apple.com/fr/support/compressor
Pour accéder aux pages de discussion Apple, allez à l’adresse :
 http://discussions.info.apple.com (en anglais)
Autres sites web d’Apple
Commencez par la page d’accueil principale du site web d’Apple pour rechercher
les plus récentes informations sur les produits Apple.
 http://www.apple.com/fr
QuickTime est une technologie devenue standard dans l’industrie pour la gestion de
la vidéo, du son, de l’animation, des graphiques, du texte, de la musique et des scènes
de réalité virtuelle (VR) à 360 degrés. QuickTime offre un niveau élevé de performances, de compatibilité et de qualité pour la sortie de vidéo numérique. Consultez le site
web de QuickTime pour obtenir des informations sur les types de données gérés,
vous familiariser avec l’interface QuickTime, connaître les caractéristiques, etc.
 http://www.apple.com/fr/quicktime18 Préface Introduction à Compressor
FireWire est l’un des systèmes standard de périphériques les plus rapides jamais développés, ce qui en fait un moyen idéal pour utiliser des périphériques multimédia tels
que les caméscopes et les disques durs à grande vitesse les plus récents. Visitez ce site
web pour connaître les caractéristiques et les avantages de la technologie FireWire,
consulter des informations sur les logiciels FireWire et savoir quels sont les produits
FireWire tiers disponibles.
 http://www.apple.com/fr/firewire
Pour plus d’informations sur les séminaires, événements et autres outils tiers utilisés
pour l’édition sur le web, le design et l’impression, la musique et l’audio, les films assistés par ordinateur, l’imagerie numérique et les arts médiatiques, consultez :
 http://www.apple.com/fr/pro
Pour des références, des commentaires et des informations sur des projets développés
par des utilisateurs pour la formation à l’aide de logiciels d’Apple, notamment
Compressor, consultez :
 http://www.apple.com/fr/education
Accédez au magasin Apple Store pour acheter des logiciels, du matériel et des accessoires directement auprès d’Apple. Vous pourrez aussi y trouver des offres spéciales
portant sur du matériel et des logiciels tiers.
 http://store.apple.com/Apple/WebObjects/francestore/1
19
1 Premiers contacts rapides
Compressor comprend un certain nombre de réglages
préexistants qui vous permettent de commencer à
transcoder immédiatement.
Si vous disposez d’un ou plusieurs fichiers multimédia sources et que les destinations
et les réglages existants de Compressor conviennent à vos besoins de transcodage,
vous pouvez commencer le transcodage des fichiers de média dès l’installation de
Compressor.
Ce chapitre contient les sections suivantes :
 Terminologie utilisée par Compressor (p. 19)
 Flux de travaux Compressor rapide et facile (p. 20)
 Tâches optionnelles disponibles avant l’envoi d’un lot (p. 26)
Terminologie utilisée par Compressor
Compressor utilise quelques termes avec lesquels vous devriez vous familiariser avant
de commencer à vous servir de l’application.
Un lot est l’élément central du processus de transcodage. Il contient un ou plusieurs
fichiers multimédia sources, qui sont les fichiers que vous souhaitez transcoder,
c’est-à-dire convertir, dans un autre format. Chaque fichier multimédia source crée
sa propre tâche. Cela signifie qu’un lot peut contenir plusieurs tâches et que chacune
de ces tâches repose sur le fichier multimédia source auquel elle est associée.
Chaque tâche possède également au moins une cible. Les cibles déterminent le type de
fichier de sortie qui doit être créé par le processus de transcodage. Vous avez la possibilité d’affecter plusieurs cibles à une tâche, ce qui signifie que vous pouvez facilement
créer plusieurs fichiers de sortie ayant chacun un format différent.
Chaque cible est formée de trois parties :
 Le réglage : la partie réglage d’une cible détermine le format d’encodage utilisé,
ainsi qu’un certain nombre d’autres aspects, notamment divers filtres et attributs
de géométrie.20 Chapitre 1 Premiers contacts rapides
 La destination : la partie destination d’une cible détermine l’endroit où le fichier de
sortie est enregistré. Elle définit également les règles utilisées pour créer le nom du
fichier de sortie. Compressor comprend un réglage de préférence qui vous permet
de spécifier une destination par défaut.
 Le nom du fichier de sortie : vous pouvez modifier la partie de la cible relative au nom
du fichier de sortie si, pour une raison ou une autre, vous ne souhaitez pas utiliser
le nom créé automatiquement en fonction de la destination.
Remarque : vous ne pouvez transcoder une tâche que si au moins un réglage lui
a été affecté.
Si vous devez créer vos propres réglages ou modifier ceux qui sont fournis avec
Compressor, reportez-vous au chapitre 2, « Flux de production de transcodage de
base », à la page 29 et au chapitre 5, « Création, aperçu et modification des réglages »,
à la page 93.
Flux de travaux Compressor rapide et facile
Les flux de travaux suivants décrivent la façon la plus simple d’utiliser Compressor :
 Ajout de fichiers multimédia sources à Compressor (p. 20)
 Affectation de réglages et de destinations aux tâches (p. 22)
 Envoi d’un lot (p. 25)
Étape 1 : Ajout de fichiers multimédia sources à Compressor
1 Double-cliquez sur l’icône Compressor dans le dossier Applications.
Compressor s’ouvre en affichant un lot vide sans titre contenant une tâche fictive.
Fenêtre Preview
Fenêtre Historique
Onglets Réglages et
Destinations
Fenêtre de lot sans titre
avec tâche fictive
Fenêtre InspecteurChapitre 1 Premiers contacts rapides 21
Remarque : sélectionnez une présentation standard dans le menu Fenêtre > Présentation
pour afficher une configuration de l’interface Compressor semblable à celle qui apparaît
dans la figure ci-dessus.
2 Faites glisser les fichiers source du Finder ou du bureau jusque dans la fenêtre Lot.
Remarque : si vous faites glisser plusieurs fichiers sur la zone réservée à la vignette
(indiquée par une flèche dans cet exemple), seul le dernier fichier est ajouté à la tâche
et tous les autres fichiers sont ignorés.
De nouvelles tâches sont créées chaque fois que vous faites glisser un fichier source
sur le lot.
Consultez la section « À propos de la fenêtre Lot » à la page 78 pour plus d’informations sur les contrôles de la fenêtre globale.
Zone de vignette
de la tâche
Chaque fichier source
crée une tâche
dans le lot.
Zone cible (vide dans
ce cas) d’une tâche22 Chapitre 1 Premiers contacts rapides
Étape 2 : Affectation de réglages et de destinations aux tâches
Vous devez affecter au moins un réglage à chaque tâche de fichier multimédia source
avant de pouvoir envoyer le lot à traiter, mais vous pouvez également ajouter plusieurs
réglages à une même tâche afin de transcoder plusieurs versions du fichier multimédia.
Dans Compressor, chaque paire formée par un réglage et une destination est appelée
une cible.
1 Sélectionnez un réglage pour vos tâches de fichier multimédia source de l’une des
façons suivantes :
 Pour affecter différents réglages à différentes tâches : faites glisser les réglages de
l’onglet Réglages sur chaque tâche concernée dans la fenêtre Lot.Chapitre 1 Premiers contacts rapides 23
 Pour affecter un seul réglage à plusieurs tâches sélectionnées : sélectionnez les tâches
(fichiers multimédia sources) dans la fenêtre Lot, puis choisissez Cible > Nouvelle
cible avec réglage. Une zone de dialogue de sélection de réglages est affichée pardessus la fenêtre Lot.
Choisissez un ou plusieurs réglages, en utilisant le triangle d’affichage pour faire
apparaître chacun d’entre eux, puis cliquez sur Ajouter. Les réglages choisis sont
affectés à toutes les tâches sélectionnées.
Vous pouvez aussi choisir Édition > Tout sélectionner pour sélectionner toutes
les tâches avant d’appliquer les réglages. Reportez-vous au chapitre 5, « Création,
aperçu et modification des réglages », à la page 93 pour obtenir de plus amples informations sur les réglages et au chapitre 6, « Finalisation de tâches et soumission de
lots », à la page 109 pour en savoir plus sur l’utilisation des tâches et des cibles.
L’étape suivante consiste à définir la destination. Cette destination est réglée par défaut
sur Source, ce qui signifie que les fichiers de sortie sont stockés dans le dossier d’origine des fichiers source. Vous pouvez, pour des raisons de classement ou pour tirer
parti de disques durs plus grands ou plus rapides, changer la destination.
Dans la fenêtre Lot,
sélectionnez les tâches
concernées.
Sélectionnez les réglages
à appliquer aux tâches
sélectionnées.
Cliquez sur Ajouter pour
affecter les réglages aux
tâches sélectionnées.
Les réglages choisis
sont affectés comme
cibles aux tâches
sélectionnées.24 Chapitre 1 Premiers contacts rapides
Remarque : vous pouvez choisir une destination par défaut dans la fenêtre Préférences
de Compressor. Consultez la section « Configuration des préférences de Compressor » à
la page 39 pour plus d’informations.
Vous pouvez définir la destination de chaque cible ou d’un groupe sélectionné de cibles.
2 Choisissez une destination pour les cibles de votre tâche de l’une des façons suivantes :
 Ne faites rien. Acceptez la destination par défaut nommée Source (le même dossier
que celui dans lequel ont été créés les fichiers multimédia sources), indiquée dans
la colonne Destination.
 Utilisez le menu contextuel de la cible pour modifier un réglage à la fois. Cliquez sur
la cible que vous souhaitez modifier tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez l’une des destinations préexistantes disponibles dans le sousmenu Destination.
Vous pouvez aussi sélectionner Autre dans le menu contextuel, afin d’ouvrir
une zone de dialogue permettant de choisir comme destination tout emplacement
accessible depuis votre ordinateur.
Remarque : si vous sélectionnez l’option Autre, vous pouvez choisir n’importe quel
emplacement accessible depuis votre ordinateur, y compris un volume monté
ouvert. Toutefois, ce disque doit rester ouvert jusqu’à l’achèvement du transcodage
du lot.
La même méthode permet également de sélectionner plusieurs cibles et de changer
toutes leurs destinations d’un seul coup. Vous pouvez également utiliser le menu
Cible > Destination pour choisir une destination ou faire glisser une destination de
l’onglet Destinations sur la cible.
Consultez le chapitre 24, « Création et changement de destinations », à la page 325
pour obtenir plus d’informations sur les destinations.
3 Vous pouvez attribuer un nom au lot, puis l’enregistrer en choisissant
Fichier > Enregistrer.
Utilisez le menu contextuel
de la cible pour changer
la destination des
cibles sélectionnées.Chapitre 1 Premiers contacts rapides 25
Étape 3 : Envoi d’un lot
Lorsqu’au moins un réglage et une destination sont associés à chaque fichier multimé-
dia, ce dernier devient une tâche et votre lot est prêt à être soumis. Cliquez sur le bouton Soumettre pour envoyer votre lot.
Une zone de dialogue est affichée pour vous permettre d’attribuer un nom à cette soumission, de définir sa priorité et de spécifier si le traitement distribué doit être utilisé.
Dans la plupart des cas, vous pouvez laisser les réglages tels qu’ils sont et vous contenter de cliquer sur Soumettre.
Après avoir envoyé un lot, vous pouvez ouvrir Batch Monitor pour visualiser l’état du
transcodage de votre lot. Vous pouvez configurer Batch Monitor pour qu’il s’ouvre
automatiquement dans la fenêtre Préférences de Compressor.
Remarque : vous pouvez toujours ouvrir Batch Monitor en double-cliquant sur l’icône
Batch Monitor dans le dossier Utilitaires situé à l’intérieur du dossier Applications ou en
cliquant sur son icône dans la fenêtre Lot.26 Chapitre 1 Premiers contacts rapides
Il est possible de surveiller la progression de l’encodage depuis la fenêtre Historique.
Consultez le chapitre 6, « Finalisation de tâches et soumission de lots », à la page 109
pour obtenir plus d’informations sur les tâches et les lots.
Tâches optionnelles disponibles avant l’envoi d’un lot
Les trois étapes décrites dans la section précédente montrent le moyen le plus rapide
de transcoder des fichiers de média. Bien que vous ayez la possibilité de modifier
les réglages existants, vous ne pouvez pas prévisualiser vos fichiers ou optimiser
les différents réglages.
Les chapitres suivants décrivent les modifications optionnelles que vous pouvez apporter au réglage de n’importe quelle tâche avant son envoi :
 chapitre 5, « Création, aperçu et modification des réglages », à la page 93
 chapitre 6, « Finalisation de tâches et soumission de lots », à la page 109
 chapitre 19, « Ajout de filtres à un réglage », à la page 257
 chapitre 20, « Ajout de contrôles d’images à un réglage », à la page 273
 chapitre 21, « Ajout de réglages de géométrie », à la page 287
 chapitre 22, « Ajout d’actions à un réglage », à la page 297
 chapitre 23, « Utilisation de la fenêtre Preview », à la page 303
 chapitre 24, « Création et changement de destinations », à la page 325 Chapitre 1 Premiers contacts rapides 27
Les chapitres suivants décrivent plus en détail les paramètres des formats de sortie
et les différentes options de transcodage :
 chapitre 7, « Création de fichiers AIFF », à la page 133
 chapitre 8, « Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional », à la page 139
 chapitre 9, « Création de fichiers de sortie pour flux DV », à la page 157
 chapitre 11, « Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro », à la
page 165
 chapitre 10, « Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple », à la
page 159
 chapitre 12, « Création de fichiers de séquence d’images », à la page 173
 chapitre 13, « Création de fichiers de sortie MP3 », à la page 177
 chapitre 14, « Création de fichiers de sortie MPEG-1 », à la page 181
 chapitre 15, « Création de fichiers de sortie MPEG-2 », à la page 195
 chapitre 16, « Création de fichiers de sortie MPEG-4 », à la page 225
 chapitre 17, « Création de fichiers de sortie QuickTime », à la page 237
 chapitre 18, « Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime », à la page 2532
29
2 Flux de production de transcodage
de base
Avec Compressor, le transcodage de médias en de multiples
formats est d’une grande facilité.
Compressor est en outre intégré à d’autres applications, telles que Final Cut Pro,
et génère des fichiers de haute qualité, compatibles avec DVD Studio Pro, grâce à
un transcodage transparent, réalisé directement en une seule application, entre les
différents formats multimédia.
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 Concepts et terminologie de Compressor (p. 32)
 Préparation de Compressor au transcodage (p. 32)
 Création d’un lot Compressor (p. 35)
 Visualisation de l’état du transcodage (p. 37)
 Raccourcis optionnels de Compressor (p. 38)
 Configuration des préférences de Compressor (p. 39)
Le diagramme suivant illustre le mode de fonctionnement du processus de transcodage de Compressor. Le principal élément du transcodage est le lot. Un lot représente
tous les composants nécessaires au transcodage d’un média. Il doit contenir une ou
plusieurs tâches. Une tâche se compose d’au moins un fichier multimédia source avec
une ou plusieurs cibles, chacune étant associée à un réglage et une destination. Quand
le processus de transcodage est terminé, le fichier résultant est connu sous le nom de
fichier multimédia de sortie. Chaque réglage attribué à un fichier multimédia source
donne lieu à la création d’un fichier multimédia de sortie. 30 Chapitre 2 Flux de production de transcodage de base
Dans l’illustration ci-dessous, le lot contient deux fichiers multimédia sources, chacun
d’eux constituant une tâche contenant deux cibles (comprenant un réglage et une
destination). Les fichiers de sortie créés par le transcodage de ce lot seront au nombre
total de quatre. Tâche 1 donnera lieu à la création de deux fichiers multimédia de
sortie, tout comme Tâche 2.
Dans Compressor, un processus de transcodage typique inclut les composants suivants :
 Un fichier multimédia source : le processus de transcodage commence toujours par
un fichier multimédia source, qui est le fichier destiné à être transcodé dans sa forme
d’origine. Les fichiers multimédia sources sont toujours du type suivant :
 Un film : contenant des données audio, vidéo et autres (des marqueurs par
exemple).
 Des images fixes : utilisées comme partie d’une séquence d’images fixes pour
certaines productions vidéo.
 Réglage : une fois que vous avez importé votre fichier multimédia source, vous
devez lui affecter un ou plusieurs réglages. Un réglage est une combinaison
d’attributs de transcodage, comme le format de sortie, les filtres et les réglages
de géométrie, qui vont être appliqués au fichier multimédia source pendant le
processus de transcodage.
Fichier média
de sortie
2
Lot
Tâche 2
Fichier média de sortie
(Tâche 2, Cible 2)
Cible 2
Réglage Destination
Fichier média de sortie
(Tâche 2, Cible 1)
CIble 1
Réglage Destination
Fichier média
de sortie
1
Tâche 1
Fichier média de sortie
(Tâche 1, Cible2)
Cible 2
Réglage Destination
Fichier média de sortie
(Tâche 1, Cible1)
Cible 1
Réglage DestinationChapitre 2 Flux de production de transcodage de base 31
 Format (du fichier) de sortie : dépend de l’encodeur que vous choisissez pour convertir votre fichier source. Choisissez l’un des formats suivants selon l’environnement et la méthode de lecture visés pour vos fichiers multimédia transcodés :
AIFF, Dolby Digital Professional, Flux DV, H.264 pour DVD Studio Pro, H.264 pour
périphériques Apple (qui contient des réglages pour un iPod ou une Apple TV),
Séquence d’images (qui prend en charge les images TIFF et TARGA), MPEG-1,
MPEG-2, MPEG-4, Séquence QuickTime ou Composants d’exportation au format
QuickTime.
 Des filtres : ils vous permettent de paramétrer différentes caractéristiques de votre
vidéo, comme la couleur, la luminosité et la résolution dans le but d’optimiser à
la fois la qualité et la compression du fichier.
 Des paramètres géométriques : permet de rogner l’image et d’ajuster sa taille.
 Des paramètres d’action : permettent d’envoyer des notifications par message
électronique et d’exécuter des tâches de post-transcodage à l’aide de scripts
AppleScript.
 Une destination : un fichier multimédia source doit aussi être associé à une destination. Il s’agit de l’emplacement de stockage de votre fichier multimédia transcodé.
Vous pouvez soit utiliser la destination par défaut, nommée Source (dossier de stockage identique à celui du fichier multimédia source), soit désigner un autre emplacement auquel vous avec un accès total. Vous pouvez également modifier la destination
par défaut dans les Préférences Compressor. La destination détermine également
la manière dont le fichier multimédia transcodé est nommé.
 Cible : sorte de plan permettant de créer un fichier multimédia de sortie contenant
un réglage, une destination et un nom de fichier de sortie.
 Tâche : une fois que vous avez attribué une ou plusieurs cibles au fichier multimédia
source, il devient une tâche prête à être transcodée.
 Un lot : un lot se compose d’une ou de plusieurs tâches qui sont traitées simultané-
ment. Toutes les tâches du lot sont envoyées simultanément lorsque vous cliquez sur
le bouton Soumettre.
 Un fichier multimédia de sortie : les fichiers multimédia transcodés créés après l’envoi
et le traitement d’un lot sont appelés des fichiers multimédia de sortie. Un fichier multimédia de sortie est le résultat du transcodage réussi d’un fichier multimédia source
(associé à un réglage et une destination). Il y a autant de fichiers multimédia de sortie créés que de réglages appliqués aux différents fichiers multimédia sources du lot.32 Chapitre 2 Flux de production de transcodage de base
Concepts et terminologie de Compressor
 Codec : contraction de COmpression/DÉCompression, modèle mathématique de
réduction des données d’un fichier multimédia source.
 Format de fichier : format de sortie utilisé pour transcoder le fichier multimédia
source.
 Groupe : contient des réglages définis placés dans un dossier de l’onglet Réglages.
Les groupes vous permettent d’organiser vos réglages et de simplifier le processus
de création de tâches.
 Transcodage : processus de conversion de fichiers dans leur format d’origine en
fichiers de sortie prêts à être distribués dans un autre format. Parmi les termes étroitement liés, citons la compression, qui fait référence à la réduction des données,
ainsi que l’encodage, terme synonyme de transcodage mais sans mettre l’accent sur
l’aspect conversion.
Préparation de Compressor au transcodage
Compressor est fourni avec un certain nombre de réglages préconfigurés qui permettent de commencer immédiatement le transcodage. Si vous souhaitez transcoder
immédiatement des fichiers multimédia sources et que vous n’avez pas besoin de créer
de réglages, suivez plutôt les étapes décrites à la section « Flux de travaux Compressor
rapide et facile » à la page 20.
Cependant, si vous souhaitez créer vos réglages et destinations, et personnaliser d’autres
attributs, comme les filtres, le rognage, le redimensionnement des images et les actions,
veuillez suivre les étapes décrites ci-après. Si les réglages personnalisés que vous créez ici
peuvent être utilisés pour tous vos besoins de transcodage, vous n’aurez plus à utiliser
cette procédure. En revanche, si vous devez créer des réglages et des destinations pour
chaque projet de transcodage, vous devez répéter chaque fois ces étapes.
Étape 1 : Création d’un réglage
Si vous n’utilisez pas un réglage préexistant fourni avec Compressor, vous devez créer
vos réglages. Pour cela, utilisez l’onglet Réglages et commencez par choisir un format
de sortie dans le menu Format de fichier qui s’ouvre lorsque vous cliquez sur le bouton
Ajouter (+). Consultez la section « Choix d’un format de sortie » à la page 34 pour plus
d’informations. En outre, vous avez aussi la possibilité d’ajouter des filtres, des paramè-
tres géométriques et des actions de post-transcodage, puis de prévisualiser le réglage
afin de vous assurer que vous être satisfait du résultat.
Consultez la section « Création d’un réglage entièrement nouveau » à la page 100 pour
plus d’informations.
Vous pouvez également rationaliser le flux de production en plaçant vos réglages dans
des groupes. Consultez la section « Création de groupes de réglages » à la page 104
pour plus d’informations.Chapitre 2 Flux de production de transcodage de base 33
Après avoir créé un réglage, vous pouvez le personnaliser en lui apportant des
modifications supplémentaires telles que des filtres (pour régler la qualité de l’image
ou ajouter des effets comme le « letterboxing »), une taille de pixel donnée (valeurs
géométriques) et des actions de post-transcodage. Ces ajustements supplémentaires
sont tous gérés dans la fenêtre Inspecteur. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 19,
« Ajout de filtres à un réglage », à la page 257, le chapitre 20, « Ajout de contrôles
d’images à un réglage », à la page 273, le chapitre 21, « Ajout de réglages de
géométrie », à la page 287 et le chapitre 22, « Ajout d’actions à un réglage », à la
page 297.
Étape 2 : Prévisualisation du réglage à l’aide de la fenêtre Preview
La prévisualisation de votre réglage avant l’envoi du lot est un bon moyen pour gagner
du temps. Pour cela, utilisez la fenêtre Preview et assurez-vous que la qualité du fichier
multimédia de sortie vous convient. La fenêtre Preview consiste en un écran divisé en
deux, qui affiche à gauche le fichier multimédia source sous sa forme originale, et à
droite le contenu du fichier multimédia de sortie.
La fenêtre Preview vous permet d’effectuer différentes opérations :
 Lire le fichier multimédia.
 Prévisualiser de manière dynamique les effets (en temps réel).
 Modifier les effets des filtres et des réglages de géométrie de votre réglage.
 Comparer les versions source ou les versions de sortie.
 Rogner la taille d’image du fichier de sortie.
 Changer les proportions.
 Ajouter divers marqueurs (de compression, de chapitre ou de podcast).
Pour plus d’informations, consultez la section « Aperçu d’un réglage » à la page 102 ou
le chapitre 23, « Utilisation de la fenêtre Preview », à la page 303.
Étape 3 : Création d’une destination
Par défaut, le fichier transcodé est enregistré dans le même dossier que celui du fichier
multimédia source (dossier Source). Cependant, si vous souhaitez enregistrer
les fichiers transcodés dans un autre emplacement, vous pouvez créer une destination
sous l’onglet Destinations. À l’aide de cet onglet, vous pouvez définir comme destination un dossier, un volume ou un serveur distant dont vous avez les autorisations et
les accès, et ajouter d’utiles identificateurs à votre fichier de sortie transcodé. Une fois
que vous avez créé suffisamment de destinations, il n’est plus nécessaire d’ouvrir
l’onglet Destinations.
Pour plus d’informations, consultez le chapitre 24, « Création et changement
de destinations », à la page 325.34 Chapitre 2 Flux de production de transcodage de base
Choix d’un format de sortie
Le choix d’un format de sortie est le premier pas à faire après avoir décidé de transcoder un fichier multimédia source. Choisissez un format de sortie en rapport avec
la méthode de lecture prévue pour le public. Compressor vous permet d’accéder aux
formats standard suivants, chacun d’entre eux présentant ses attributs spécifiques :
 QuickTime : destiné à être utilisé avec QuickTime dans une grande variété d’environnements de lecture. Étant donné que QuickTime est une technologie multimédia
multiplateforme, elle permet aux applications Mac OS et Windows de capturer et de
lire des fichiers vidéo et audio, ainsi que des fichiers d’images fixes. Pour plus de
détails sur le format QuickTime, consultez le chapitre 17, « Création de fichiers de sortie QuickTime », à la page 237.
 MPEG-1 : destiné à Internet et aux CD-ROM, ainsi que pour utilisation spécialisée sur
DVD. Pour plus de détails sur le format MPEG-1, consultez le chapitre 14, « Création
de fichiers de sortie MPEG-1 », à la page 181.
 MPEG-2 : destiné à une utilisation DVD standard et haute définition. Pour plus de
détails sur le format MPEG-2, consultez le chapitre 15, « Création de fichiers de sortie
MPEG-2 », à la page 195.
 MPEG-4, Partie 2 : destiné à un large éventail d’utilisations, notamment le web ou
les périphériques sans fil. Pour plus de détails sur le format MPEG-4, consultez
le chapitre 16, « Création de fichiers de sortie MPEG-4 », à la page 225.
 MP3 : destiné à la compression audio. Le format MP3 crée des fichiers audio
compatibles avec une grande variété de dispositifs de lecture. Pour plus de
détails sur le format MP3, consultez le chapitre 13, « Création de fichiers de sortie
MP3 », à la page 177.
 H.264 pour DVD Studio Pro : destiné à un large éventail d’usages, notamment les DVD
HD. Pour plus d’informations sur le format H.264, en particulier pour la création de
DVD HD, consultez le chapitre 11, « Création de fichiers de sortie H.264 pour
DVD Studio Pro », à la page 165.
 H.264 pour les dispositifs Apple : destiné à créer des fichiers vidéo adaptés à la lecture
via iTunes, un iPod et Apple TV. Pour plus de détails sur le format H.264 pour les dispositifs Apple, consultez le chapitre 10, « Création de fichiers de sortie H.264 pour
appareils Apple », à la page 159.
 Dolby Digital Professional : également appelé AC-3. Format destiné à la création de
DVD. Pour plus de détails sur le format AC-3, consultez le chapitre 8, « Création de
fichiers de sortie Dolby Digital Professional », à la page 139.
 AIFF : destiné à un usage audio (y compris la création de DVD et de CD). Pour plus de
détails sur le format AIFF, consultez le chapitre 7, « Création de fichiers AIFF », à la
page 133.
 Séquence d’images : compatible avec une grande variété d’applications de composition et de traitement d’images. Pour plus de détails, consultez le chapitre 12,
« Création de fichiers de séquence d’images », à la page 173.Chapitre 2 Flux de production de transcodage de base 35
 Flux DV : format courant utilisé pour les projets SD. Pour plus d’informations,
consultez le chapitre 9, « Création de fichiers de sortie pour flux DV », à la page 157.
Remarque : Compressor et QuickTime peuvent également être étendus afin de prendre
en charge des options de codec et formats tiers supplémentaires. La fonctionnalité
Composants d’exportation QuickTime vous permet de contrôler le moteur d’encodage
tiers sans avoir à ouvrir une autre application. Pour plus d’informations, consultez la section « Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime » à la page 253.
Création d’un lot Compressor
Une fois que les réglages et les destinations nécessaires sont disponibles, vous pouvez
commencer à créer un lot pour transcodage. Un lot contient une ou plusieurs tâches,
Une tâche se compose d’au moins un fichier multimédia de sortie associé à une ou plusieurs cibles contenant les réglages et les destinations.
Vous ne pouvez soumettre un lot au transcodage qu’après avoir affecté au moins
une cible (réglage et destination) à chaque tâche (fichier multimédia source) du lot.
Toutes les tâches du lot sont soumises simultanément au transcodage. Les lots sont
similaires à des documents qu’il est possible d’enregistrer, de fermer et de rouvrir.
À l’instar des onglets de projet Final Cut Pro, chaque lot de Compressor est contenu
dans un onglet indépendant qui peut être détaché.
Étape 1 : Importation de fichiers multimédia sources dans Compressor
Pour importer des fichiers multimédia sources dans un lot, vous pouvez utiliser la zone
de dialogue de sélection de fichiers ou faire glisser les fichiers du Finder vers la fenêtre
Lot de Compressor. Vous pouvez importer des fichiers multimédia sources de n’importe
quel dossier dont vous avez les droits d’accès.
Pour plus d’informations, consultez le chapitre 4, « Importation de fichiers multimédia
sources », à la page 77.
Étape 2 : Affectation d’un réglage
Après l’importation de votre fichier multimédia source dans la fenêtre Lot, vous devez
lui attribuer un ou plusieurs réglages. Ce processus le convertit alors en tâche.
Un fichier multimédia source ne peut être transcodé que s’il est associé à au moins
un réglage, et cela n’est possible que si vous avez sélectionné un réglage préexistant
ou que vous en avez créé un. Un format de fichier de sortie doit être associé à votre
réglage.
 Si vous choisissez un réglage existant, celui-ci est déjà associé à un format de fichier
de sortie.
 Si vous créez votre réglage, vous devez choisir un format de fichier de sortie dans
le menu Format de fichier qui s’ouvre lorsque vous cliquez sur le bouton «Créer
un réglage » (+) sous l’onglet Réglages.36 Chapitre 2 Flux de production de transcodage de base
Vous pouvez ajouter un réglage à plusieurs tâches en une seule étape, soit en sélectionnant les tâches dans la fenêtre Lot et en choisissant un réglage dans la zone de dialogue qui apparaît lorsque vous choisissez Cible > « Nouvelle cible avec réglage », soit
en cliquant sur l’une des tâches tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et en
choisissant un réglage dans le sous-menu « Nouvelle cible avec réglage » du menu
contextuel qui apparaît.
Si vous avez un réglage favori (existant ou personnalisé), vous pouvez simplifier votre
flux de production en créant une application autonome, appelée droplet, contenant
plusieurs réglages et servant à envoyer des lots sans ouvrir Compressor. Consultez la
section « Création d’une droplet » à la page 340 pour plus d’informations.
Remarque : vous pouvez également créer des groupes de réglages, une manière simple et efficace d’associer plusieurs réglages à un fichier multimédia source. Consultez
la section « Création de groupes de réglages » à la page 104 pour plus d’informations.
Étape 3 : Prévisualisation du réglage à l’aide de la fenêtre Preview
Vous pouvez soit prévisualiser un fichier multimédia seul, soit le prévisualiser avec
les réglages qui lui ont été associés. La fenêtre Preview permet de prévisualiser dynamiquement (en temps réel) votre réglage et d’en modifier les effets des filtres et des ajustements géométriques, de lire le fichier multimédia, de visualiser les versions source ou de
sortie, de rogner le cadre de l’image du fichier de sortie, de changer ses proportions,
et d’ajouter divers marqueurs aux formats de fichier MPEG-1, MPEG-2 H.264 pour
DVD Studio Pro et H.264 pour les dispositifs Apple.
Consultez la section « Aperçu d’un réglage » à la page 102 ou « Prévisualisation d’un
plan » à la page 310 pour plus d’informations.
Étape 4 : Attribution d’une destination
Vous pouvez choisir l’emplacement de destination des fichiers multimédia de sortie en
affectant une destination à chaque cible. La destination définit également divers aspects
de nommage du fichier multimédia de sortie. L’onglet Destination propose plusieurs destinations, mais vous pouvez également créer vos propres destinations personnalisées. Pour
affecter une destination existante à une tâche, vous pouvez soit faire glisser une destination de l’onglet Destinations vers la cible d’une tâche, soit sélectionner Destination dans
le menu Cible ou dans le menu contextuel qui apparaît lorsque vous cliquez sur une cible
tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée. Vous avez également la possibilité de
choisir un emplacement qui n’a pas été défini comme destination, en choisissant l’option
Autre dans l’un des deux menus ci-dessus.
Consultez la section « Affectation de destinations aux fichiers multimédia sources » à la
page 115 pour plus d’informations.Chapitre 2 Flux de production de transcodage de base 37
Étape 5 : Envoi du lot en transcodage
Dès que le lot contient toutes les tâches que vous souhaitiez créer et que vous êtes
satisfait des réglages et de la qualité des fichiers de sortie (grâce à leur prévisualisation),
son envoi est prêt à être effectué. Pour cela, cliquez sur le bouton Soumettre dans
la fenêtre Lot.
Remarque : si vous souhaitez transcoder un lot volumineux, il est conseillé de désactiver l’écran de veille de votre ordinateur. Ceci augmente la vitesse du transcodage, car
aucune ressource n’est réservée à l’écran de veille.
Consultez la section « Soumission d’un lot » à la page 120 pour plus d’informations.
Visualisation de l’état du transcodage
Utilisez Batch Monitor et la fenêtre Historique pour afficher l’état d’un lot envoyé
et de toutes les tâches qu’il comporte. Batch Monitor est une application autonome,
qui peut donc fonctionner avec Compressor et les droplets, que Compressor soit ouvert
ou fermé, indépendamment du fait que vous ayez ou non envoyé un lot en transcodage. Consultez la section « Création d’une droplet » à la page 340 pour plus d’informations sur les droplets.
Étape 1 : Visualisation de l’état du transcodage d’un lot
Après avoir soumis un lot, vous pouvez ouvrir Batch Monitor pour vous permettre de
visualiser l’état du transcodage de votre lot. Cette possibilité s’avère utile pour savoir
quand le transcodage de votre lot est terminé et surveiller l’apparition d’éventuels problèmes pendant toute la durée du processus. Vous pouvez configurer Batch Monitor
pour qu’il s’ouvre automatiquement dans la fenêtre Préférences de Compressor.
Pour plus de détails, consultez le Manuel de l’utilisateur de Batch Monitor.
Sinon vous pouvez consulter la fenêtre Historique de Compressor. Elle contient
une barre de progression et, à l’instar de Batch Monitor, elle indique si le lot a été correctement transcodé.
Étape 2 : Confirmation de la fin du transcodage
Une fois le transcodage terminé, il est conseillé d’ouvrir le dossier de destination du
fichier multimédia transcodé afin de vous assurer que celui-ci a été transcodé avec
succès et enregistré au bon endroit. 38 Chapitre 2 Flux de production de transcodage de base
Raccourcis optionnels de Compressor
Compressor a été conçu en tenant compte du flux de production. Suivant vos besoins,
plusieurs méthodes vous permettent d’accélérer le flux de production de transcodage
de Compressor.
Utilisation des réglages existants
Compressor est livré avec un certain nombre de réglages préconfigurés qui permettent de commencer immédiatement le transcodage. Si ceux-ci répondent à vos
besoins, vous pouvez immédiatement procéder au transcodage de vos fichiers multimédia sources.
Consultez la section « Flux de travaux Compressor rapide et facile » à la page 20 pour
plus d’informations.
Même si vous devez créer des réglages personnalisés, vous pouvez les regrouper
pour les appliquer plus facilement aux cibles. Pour plus d’informations, consultez
le chapitre 5, « Création, aperçu et modification des réglages », à la page 93.
Utilisation des réglages et des destinations par défaut
Si vous découvrez que vous appliquez toujours les mêmes réglages et destinations à chaque fichier multimédia source, vous pouvez configurer les Préférences de Compressor
pour qu’il applique automatiquement ces réglages et destinations. Consultez la section
« Configuration des préférences de Compressor » à la page 39 pour plus d’informations.
Utilisation de droplets
Les droplets constituent un moyen de transcodage rapide et pratique qui ne nécessite
pas l’ouverture de Compressor. La création d’une droplet consiste à enregistrer
un réglage ou un groupe de réglages et des destinations sous forme d’une icône
active. Lorsque vous faites glisser un ou plusieurs fichiers multimédia sur cette icône,
la droplet lance automatiquement le processus de transcodage.
Consultez la section « Création d’une droplet » à la page 340 pour plus d’informations.Chapitre 2 Flux de production de transcodage de base 39
Configuration des préférences de Compressor
Vous pouvez utiliser la fenêtre Préférences de Compressor pour configurer plusieurs
aspects de Compressor.
Pour ouvrir les Préférences de Compressor, procédez comme suit :
m Sélectionnez les préférences de Compressor.
m Appuyez sur les touches Commande + virgule.
La fenêtre Préférences s’ouvre.
Pour configurer les préférences de notification par courrier électronique :
1 Saisissez l’adresse électronique par défaut à utiliser lors de l’activation de la notification
par courrier électronique.
Vous pouvez modifier cette adresse dans la sous-fenêtre Actions de la fenêtre Inspecteur.
2 Saisissez le nom du serveur de messagerie utilisé par cet ordinateur pour les messages
sortants.
Pour plus d’informations sur la notification par courrier électronique, consultez la section « Utilisation des actions de post-transcodage » à la page 297.
Pour spécifier si Batch Monitor doit s’ouvrir automatiquement, effectuez l’une des
opérations suivantes :
m Cochez la case « Lancer automatiquement Batch Monitor » pour que Batch Monitor
s’ouvre automatiquement lorsque vous soumettez un lot.
m Décochez la case « Lancer automatiquement Batch Monitor » pour empêcher l’ouverture automatique de Batch Monitor. Vous pouvez toujours lancer Batch Monitor
manuellement à partir de la fenêtre Lot.40 Chapitre 2 Flux de production de transcodage de base
Pour contrôler si Content Agent s’ouvre automatiquement, effectuez l’une des opé-
rations suivantes :
m Cochez la case « Lancer automatiquement Content Agent » pour que Content Agent
s’ouvre automatiquement au démarrage de l’ordinateur.
m Décochez la case « Lancer automatiquement Content Agent » pour empêcher
Content Agent de s’ouvrir tant que Compressor n’est pas ouvert.
Content Agent est un processus d’arrière-plan utilisé par Compressor pour transférer des
fichiers sources vers d’autres nœuds d’un cluster Apple Qmaster et recevoir les fichiers
transcodés depuis ces nœuds. En règle générale, Content Agent n’est nécessaire que si
vous êtes prêt à utiliser le traitement distribué pour soumettre un lot au transcodage.
L’ouverture automatique de Content Agent au démarrage de l’ordinateur peut toutefois
faciliter le processus de transcodage dans certains cas.
Par exemple, si un ordinateur redémarre automatiquement en raison d’un problème
quelconque alors qu’un lot volumineux est en cours de traitement, le redémarrage
automatique de Content Agent permet de poursuivre le processus de transcodage.
Pour déterminer si Compressor doit rester ouvert après avoir été utilisé par
une autre application (telle que Final Cut Pro) pour envoyer un lot :
m Sélectionnez « Quitter après la soumission de lots d’autres applications » pour fermer
Compressor après l’envoi du lot.
m Désélectionnez « Quitter après la soumission de lots d’autres applications » pour laisser
Compressor ouvert après l’envoi du lot.
Pour contrôler les options de cluster (pour les réglages du stockage de travail du
traitement distribué) :
1 Cliquez sur le menu local « Options de cluster ».
2 Choisissez l’une des options suivantes :
 « Copier la source vers le cluster si nécessaire » pour que Compressor copie les fichiers
source vers l’emplacement de stockage de travail d’un cluster, si nécessaire.
 « Ne jamais copier la source vers le cluster » afin d’empêcher Compressor de copier
les fichiers source.
 « Toujours copier la source vers le cluster » pour que Compressor copie toujours
les fichiers source vers l’emplacement de stockage de travail d’un cluster.
Remarque : cette préférence s’applique uniquement à certaines copies de Compressor
pour lesquelles le traitement distribué est activé. La fonctionnalité de traitement
distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels est installé Final Cut Studio ou
DVD Studio Pro.Chapitre 2 Flux de production de transcodage de base 41
Pour contrôler si Compressor transfère immédiatement les fichiers source vers
le cluster de traitement, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Sélectionnez « Copier lors de la soumission (haute priorité) » pour que Compressor
transfère immédiatement les fichiers source.
m Désélectionnez « Copier lors de la soumission (haute priorité) » pour éviter que
Compressor ne transfère immédiatement les fichiers source.
Remarque : cette préférence s’applique uniquement à certaines copies de Compressor
pour lesquelles le traitement distribué est activé. La fonctionnalité de traitement
distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels est installé Final Cut Studio ou
DVD Studio Pro.
Pour contrôler le réglage par défaut :
m Utilisez le menu local « Réglage par défaut » pour choisir un réglage dans la liste.
Le réglage que vous choisissez apparaît en tant que réglage par défaut lorsque vous
importez un nouveau fichier source dans la fenêtre Lot.
Pour changer de destination par défaut :
m Utilisez le menu local « Destination par défaut » pour choisir une destination dans la liste.
La destination que vous choisissez apparaît en tant que destination par défaut lorsque
vous importez un nouveau fichier source dans la fenêtre Lot.
Pour contrôler si Compressor peut parcourir les clusters d’un réseau étendu,
effectuez l’une des opérations suivantes :
m Sélectionnez « Parcourir le réseau WAN » pour que Compressor utilise les ordinateurs
au-delà du sous-réseau local et indique un domaine DNS dans le champ « Nom de
domaine DNS ».
m Désélectionnez « Parcourir le réseau WAN » pour que Compressor se limite aux ordinateurs du sous-réseau local.
Remarque : toute modification apportée aux préférences de Compressor ne prend
effet que lorsque vous cliquez sur Appliquer. Si vous apportez des modifications,
mais que vous décidez finalement de ne pas les utiliser, cliquez sur Annuler.3
43
3 Interface de Compressor
L’interface de Compressor consiste en une série de fenêtres
de base qui vous permettent d’effectuer la majeure partie
du travail de préparation du transcodage.
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 Les fenêtres Compressor et le flux de transcodage (p. 44)
 Création et gestion des modèles Compressor (p. 45)
 Utilisation des fenêtres de Compressor (p. 48)
 Fenêtre Lot (p. 51)
 Personnalisation de la barre d’outils (p. 52)
 Onglet Réglages (p. 55)
 Onglet Destinations (p. 56)
 Fenêtre Inspecteur (p. 57)
 Fenêtre Historique (p. 68)
 Fenêtre Preview (p. 69)
 Batch Monitor (p. 70)
 Fenêtres Droplet (p. 71)
 À propos du changement des valeurs et des entrées de timecode (p. 72)
 Raccourcis clavier généraux de Compressor (p. 74)
 Raccourcis clavier de la fenêtre Preview (p. 75)44 Chapitre 3 Interface de Compressor
Les fenêtres Compressor et le flux de transcodage
Chaque fenêtre Compressor représente une étape du flux de transcodage.
 Fenêtre Lot : cette fenêtre vous permet d’importer des fichiers multimédia sources,
d’ajouter des réglages et des destinations et de donner un nom au lot.
 Onglets Réglages et Destinations : l’onglet Réglages vous permet de centraliser la gestion des réglages personnalisés et Apple. L’onglet Destinations permet de créer,
de modifier ou de supprimer vos réglages de destination, de définir une destination
par défaut et d’ajouter des identificateurs aux noms de vos fichiers de média de sortie.
 Fenêtre Inspecteur : permet d’accéder facilement aux contrôles de transcodage courants, et à une table de résumé complète contenant tous les détails de chaque
réglage. Vous pouvez également utiliser la fenêtre Inspecteur afin de collecter des
informations sur les plans source, ainsi que pour apporter des modifications dynamiques avec la fenêtre Preview.
 Fenêtre Preview : vous permet de lire votre fichier multimédia source dans son format original ou de le prévisualiser avec les réglages qui lui ont été attribués. Vous
pouvez voir les effets des réglages comme les filtres et le redimensionnement d’images, et faire des ajustements à ces attributs pendant la prévisualisation en temps réel
du fichier média. Vous pouvez également utiliser la fenêtre Preview pour ajouter et
visualiser plusieurs sortes de marqueurs.
 Fenêtre Historique : la fenêtre Historique vous permet de voir l’historique complet
de tous les lots soumis depuis votre ordinateur, ainsi que les barres de progression
de ceux qui sont encore en cours de transcodage. Vous pouvez également faire
une pause et soumettre à nouveau n’importe quel lot répertorié dans l’historique.
Fenêtre Preview
Fenêtre Historique
Onglets Réglages
et Destinations
Fenêtre Lot sans titre
avec tâche fictive
Fenêtre InspecteurChapitre 3 Interface de Compressor 45
 Fenêtre Droplet (pas illustré) : permet d’enregistrer un ou plusieurs réglages ou groupes de réglages dans une Droplet, un préréglage autonome intégré dans une application glisser-déposer et enregistré en tant qu’icône.
 Batch Monitor (pas illustré) : permet d’afficher l’état de tous les lots traités. (Pour plus
d’informations, consultez le Manuel de l’utilisateur de Batch Monitor.)
La barre d’outils de Compressor, située dans la partie supérieure de la fenêtre Lot,
facilite la navigation dans les fenêtres principales de Compressor et dans Batch Monitor.
Création et gestion des modèles Compressor
À l’usage de Compressor, vous remarquerez qu’en fonction de la tâche d’encodage que
vous configurez, la façon dont sont disposées les différentes fenêtres de Compressor
peut jouer sur sa simplicité d’utilisation. Pour vous faciliter la tâche, Compressor permet de configurer et de sauvegarder des modèles. Ils définissent les fenêtres visibles,
leur taille, leur position et les icônes présentes dans la barre d’outils de la fenêtre Lot.
Compressor propose deux modèles que vous pouvez utiliser comme point de départ
à la création de vos propres modèles.
Remarque : chaque modèle existe en plusieurs tailles, ce qui vous permet de choisir
celle qui convient le mieux à votre moniteur. Vous pouvez modifier n’importe lequel
de ces modèles et les sauvegarder comme modèles personnalisés.
Modèle standard
Dans le modèle standard, toutes les fenêtres de Compressor sont affichées et
les onglets Réglages et Destinations partagent la même fenêtre. Ce modèle est optimisé pour le transcodage d’un seul fichier multimédia source.46 Chapitre 3 Interface de Compressor
Modèle Lot
Ce modèle met l’accent sur la fenêtre Lot. Il est optimisé pour le transcodage de
plusieurs fichiers multimédia source similaires.
Choix, enregistrement et gestion des modèles
Compressor vous permet de choisir aisément un modèle.
Pour choisir un modèle :
m Choisissez Fenêtre > Modèles, puis sélectionnez un modèle dans la liste affichée.
Une que vous avez choisi votre modèle, l’interface de Compressor change pour refléter
ce choix.
Vous pouvez également créer et enregistrer vos propres modèles.
Pour enregistrer un modèle :
1 Configurez l’interface de Compressor comme vous souhaitez qu’elle soit enregistrée.
Reportez-vous à la rubrique « Utilisation des fenêtres de Compressor » à la page 48 pour
de plus amples informations sur la manière de travailler avec les différentes fenêtres.
2 Sélectionnez Fenêtre > Enregistrer comme modèle.
3 Dans la zone de dialogue qui apparaît, saisissez un nom pour le modèle et cliquez sur
Enregistrer.
Le modèle est enregistré et apparaît dans la liste Fenêtre > Modèles.
Vous pouvez organiser la liste des modèles en supprimant ou en renommant des
modèles existants. Chapitre 3 Interface de Compressor 47
Pour organiser vos modèles :
1 Choisissez Fenêtre > Organiser les modèles.
La zone de dialogue d’organisation des modèles est alors affichée.
2 Pour renommer un modèle, double-cliquez dessus et saisissez un nouveau nom.
3 Pour supprimer un modèle, sélectionnez-le, puis cliquez sur le bouton de
suppression ( – ).
4 Pour enregistrer la configuration de l’interface comme nouveau modèle, cliquez sur
le bouton d’ajout ( + ) et saisissez un nom pour le modèle.
5 Pour choisir un modèle et l’appliquer à l’interface de Compressor, sélectionnez-le,
puis cliquez sur le bouton Appliquer.
La fenêtre d’organisation se ferme et l’interface de Compressor est modifiée pour reflé-
ter le modèle sélectionné.
6 Cliquez sur Terminé lorsque vous avez fini d’organiser vos modèles. La liste des modè-
les est divisée en deux parties : les modèles fournis par Apple et ceux que vous avez
créés. Les modèles que vous avez créés sont rangés par ordre alphabétique. Pensez-y
lorsque vous donnez un nom à un modèle afin de pouvoir le retrouver facilement.
À propos des fichiers de modèle
Si vous disposez de plusieurs stations de travail utilisant Compressor, il est conseillé
d’avoir les mêmes modèles sur l’ensemble des ordinateurs.
Pour cela, vous pouvez copier les fichiers de modèle d’un système à l’autre, en prenant
garde de les placer dans l’emplacement adéquat. Les modèles sont stockés dans
l’emplacement suivant : Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application Support/Compressor/Layouts. Tous les modèles ont la même extension « .moduleLayout ».
Important : n’ajoutez ou ne retirez jamais de fichiers de modèle manuellement tant que
Compressor est ouvert. Compressor vérifie les modèles disponibles dans cet emplacement lors de son processus de démarrage. Vous devez donc redémarrer Compressor
pour qu’il reconnaisse les modifications effectuées sur ces fichiers.48 Chapitre 3 Interface de Compressor
Utilisation des fenêtres de Compressor
Bien que les modèles Standard et Lot présentent l’interface de Compressor comme
un seul grand élément, cette interface est en fait composée de plusieurs fenêtres que
vous pouvez repositionner ou redimensionner suivant vos besoins.
Pourquoi certaines fenêtres sont-elles cachées ?
L’interface de Compressor étant composée de plusieurs fenêtres indépendantes,
lorsque vous passez de Compressor à une autre application, puis que vous cliquez de
nouveau sur une fenêtre de Compressor, seule cette dernière s’affiche et les autres restent cachées par les fenêtres ouvertes d’autres applications.
Il y a trois façons d’éviter cette situation ou de faire apparaître toutes les fenêtres :
 Lorsque vous passez d’une application à l’autre, utilisez la fonctionnalité de basculement intégrée à Mac OS X. Appuyez sur la touche de tabulation en maintenant
la touche Commande enfoncée pour faire apparaître une zone de dialogue de sélection d’applications. Tant que vous maintenez la touche Commande enfoncée,
vous pouvez appuyer sur la touche de tabulation pour parcourir les différentes applications en cours d’exécution, puis relâcher la touche Commande lorsque vous avez
sélectionné l’icône de Compressor. Cela permet de s’assurer que toutes les fenêtres
de Compressor sont visibles.
 Choisissez Fenêtre > Tout ramener au premier plan.
 Cliquez sur l’icône de l’application Compressor dans le Dock.
Redimensionnement des fenêtres de Compressor
Vous pouvez redimensionner toutes les fenêtres de Compressor à l’exception de celle
de l’Inspecteur qui a une taille fixe.
Chaque fenêtre possède une taille minimum, horizontalement ou verticalement,
qui influence le redimensionnement.
Pour redimensionner une fenêtre :
m Faites glisser le coin inférieur droit de la fenêtre pour l’agrandir ou la réduire horizontalement ou verticalement.
Faites glisser ce coin
pour redimensionner
la fenêtre.Chapitre 3 Interface de Compressor 49
Remarque : lorsque vous repositionnez une fenêtre ou que vous la redimensionnez,
elle se colle à la fenêtre la plus proche. Cela permet d’avoir une présentation de fenê-
tres nette, sans interstices ni chevauchements.
À propos des onglets
La fenêtre Lot et la fenêtre des onglets Réglages et Destinations peuvent comporter plusieurs onglets.
 La fenêtre Lot : lorsque vous travaillez sur grand écran et que plusieurs lots sont
ouverts, il est parfois utile d’afficher chacun d’eux dans sa propre fenêtre.
 Les onglets Réglages et Destinations : par défaut, les onglets Réglages et Destinations
se trouvent dans la même fenêtre. Vous pouvez néanmoins choisir de leur attribuer
une fenêtre chacun ou de fermer l’un de ces onglets. Vous pouvez même y ajouter
n’importe quelle autre fenêtre (à l’exception de la fenêtre Lot) sous forme d’onglet
supplémentaire.
Dans tous les cas, vous avez la possibilité de contrôler l’ordre des onglets.
Pour placer un onglet dans sa propre fenêtre par glissement :
1 Faites glisser l’onglet hors de son emplacement actuel.50 Chapitre 3 Interface de Compressor
2 Relâchez l’onglet pour le faire apparaître dans sa propre fenêtre.
Pour placer un onglet dans sa propre fenêtre à l’aide du menu contextuel :
m Cliquez sur l’onglet tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et sélectionnez
Extraire l’onglet dans le menu contextuel.
Il s’ouvre alors dans sa propre fenêtre.
Pour ajouter un onglet d’une fenêtre à une autre par glissement :
1 Faites glisser l’onglet dans la zone d’onglet de la fenêtre à laquelle vous voulez l’ajouter.
La zone d’onglet apparaît alors en surbrillance.Chapitre 3 Interface de Compressor 51
2 Relâchez l’onglet.
Il se place automatiquement dans la zone d’onglet et sa fenêtre d’origine se referme.
Pour ajouter un onglet d’une fenêtre à une autre à l’aide du menu contextuel :
m Cliquez sur la zone d’onglet tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée à l’endroit
où vous voulez voir apparaître la fenêtre et choisissez l’onglet dans la liste proposée par
le menu contextuel.
Remarque : c’est la seule méthode qui permette d’ajouter les onglets Historique,
Preview ou Inspecteur à la fenêtre.
Pour modifier l’ordre des onglets dans leur fenêtre actuelle :
m Faites glisser l’onglet vers la gauche ou la droite suivant l’emplacement souhaité.
Les autres onglets sont déplacés pour lui laisser une place.
Lorsque vous avez configuré l’interface de Compressor selon vos besoins, vous pouvez
l’enregistrer en tant que modèle. Cela vous permet de facilement restaurer un modèle
ou de passer de l’un à l’autre. Consultez la section « Création et gestion des modèles
Compressor » à la page 45 pour plus d’informations.
Fenêtre Lot
Quand vous ouvrez Compressor pour la première fois, la fenêtre Lot apparaît. Cette dernière vous permet d’importer des fichiers média source à compresser, d’ajouter des
réglages et des destinations, de nommer le lot et de choisir le dossier dans lequel vous
souhaitez l’enregistrer. C’est là que vous devez placer vos fichiers multimédia sources
en préparation du transcodage.
Remarque : en général, la fenêtre Lot est toujours visible. Si vous la fermez, elle s’ouvre
de nouveau lorsque vous créez un nouveau lot (Fichier > Nouveau lot) ou que vous
ouvrez un lot existant (Fichier > Ouvrir).52 Chapitre 3 Interface de Compressor
Vous pouvez utiliser la barre de menus de Compressor ou la barre d’outils située en
haut de la fenêtre Lot pour ouvrir toutes les autres fenêtres. Si la barre d’outils n’est pas
visible lorsque vous ouvrez Compressor, cliquez sur le bouton dans l’angle supérieur
droit de la fenêtre Lot afin de l’ouvrir.
En plus de la barre d’outils Compressor et du bouton Soumettre, la fenêtre Lot comprend des onglets représentant les lots ouverts et une zone permettant d’afficher et de
configurer les tâches d’un lot. Pour plus d’informations sur l’ajout de fichiers multimédia
sources à un lot, consultez la section « Ajout de fichiers multimédia sources à un lot
pour créer des tâches » à la page 79. Pour savoir comment utiliser les tâches et les cibles,
reportez-vous au chapitre 6, « Finalisation de tâches et soumission de lots », à la
page 109.
Personnalisation de la barre d’outils
La fenêtre Lot contient une barre d’outils que vous pouvez personnaliser pour répondre au mieux à vos besoins.
Remarque : si la barre d’outils n’est pas visible lorsque vous ouvrez Compressor,
cliquez sur le bouton dans l’angle supérieur droit de la fenêtre Lot afin de l’ouvrir.
Zone Tâche
Barre d’outils
Onglets Lot
État du lot Bouton de soumission de lot
Bouton « Afficher/Masquer la barre d’outils »Chapitre 3 Interface de Compressor 53
Pour personnaliser la barre d’outils de la fenêtre Lot :
1 Utilisez l’une des étapes suivantes pour ouvrir la palette de personnalisation de la
barre d’outils :
 Choisissez Présentation > Personnaliser la barre d’outils.
 Cliquez dans la barre d’outils tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée
et choisissez « Personnaliser la barre d’outils » dans le menu contextuel.
 Cliquez sur l’icône « Personnaliser la barre d’outils » (si elle est présente).
La palette de la barre d’outils s’ouvre.
2 Pour supprimer des éléments de la barre d’outils, faites-les glisser hors de cette dernière.
3 Pour ajouter des éléments, faites-les glisser de la palette vers la barre d’outils en
les plaçant à l’endroit souhaité.
4 Pour réorganiser les éléments de la barre d’outils, faites-les glisser de leur emplacement
actuel vers la position souhaitée.
5 Pour restaurer la barre d’outils par défaut, faites glisser l’ensemble d’outils par défaut
(situé en bas de la palette) dans la barre d’outils.
6 Pour configurer la façon dont les éléments sont affichés dans la barre d’outils,
choisissez un réglage dans le menu local Afficher.
Vous pouvez choisir d’afficher l’icône et le texte, uniquement l’icône ou uniquement
le texte.
7 Cliquez sur Terminé lorsque vous avez fini.54 Chapitre 3 Interface de Compressor
Remarque : la configuration de la barre d’outils est enregistrée comme élément d’un
modèle. Consultez la section « Création et gestion des modèles Compressor » à la
page 45 pour de plus amples informations sur les modèles.
À propos des éléments de la barre d’outils
La plupart des éléments ne peuvent être ajoutés qu’une seule fois à la barre d’outils.
Certains, comme le séparateur, l’espace ou l’espace flexible peuvent être ajoutés plusieurs fois.
 Nouveau lot : crée un nouveau lot sans nom.
 Lot ouvert : ouvre une zone de dialogue permettant de localiser et de sélectionner
un lot enregistré pour l’ouvrir.
 Fermer : ferme le lot sélectionné.
Remarque : vous ne pouvez pas fermer un lot s’il est le seul ouvert.
 Ajouter un fichier : ouvre une zone de dialogue permettant de localiser et de sélectionner un ou plusieurs fichiers multimédia sources à importer dans le lot actuel.
 Ajouter un son Surround : ouvre la zone de dialogue d’affectation de fichier audio permettant d’affecter manuellement des fichiers à chaque canal audio d’une configuration Surround.
 Soumettre avec les réglages précédents : soumet le lot en utilisant les réglages utilisés
lors des dernières soumissions de lot, sans ouvrir la zone de dialogue de soumission.
 Historique : ouvre la fenêtre Historique.
 Inspecteur : ouvre la fenêtre Inspecteur.
 Réglages : ouvre l’onglet Réglages.
 Destinations : ouvre l’onglet Destinations.
 Aperçu : ouvre la fenêtre Preview.
 Batch Monitor : ouvre l’application Batch Monitor.
 Séparateur : ajoute une ligne verticale à la barre d’outils permettant ainsi de regrouper divers éléments.
 Espace : ajoute un espace à largeur fixe à la barre d’outils.
 Espace ajustable : ajoute un espace à largeur flexible à la barre d’outils. Cet espace
permet de forcer le placement d’éléments sur les bords gauche et droit de la barre
d’outils en agrandissant cette dernière de façon à remplir les zones inutilisées.
 Personnaliser : ouvre la palette de personnalisation de la barre d’outils.Chapitre 3 Interface de Compressor 55
Il est possible d’ajouter plus d’éléments à la barre d’outils qu’elle ne peut en contenir.
Lorsque cela arrive, une double flèche, sur laquelle vous pouvez cliquer pour accéder
aux icônes non affichées, apparaît sur le bord droit de la barre.
Onglet Réglages
L’onglet Réglages permet de gérer de manière centralisée les réglages Apple et
les réglages personnalisés. Utilisez l’onglet Réglages avec la fenêtre Inspecteur pour
créer et modifier des réglages, décider exactement des réglages à utiliser pour transcoder votre fichier multimédia source et choisir le format de sortie dans lequel vous voulez convertir le fichier transcodé.
Pour ouvrir l’onglet Réglages, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Sélectionnez Fenêtre > Réglages.
m Appuyez sur Commande + 3.
m Cliquez sur l’icône Réglages dans la barre d’outils de la fenêtre Lot (si elle s’y trouve).
m Cliquez sur l’onglet Réglages (s’il est présent).
Cliquez sur cette flè-
che pour afficher
les éléments qui ne
tiennent pas dans
la barre d’outils visible.56 Chapitre 3 Interface de Compressor
L’onglet Réglages contient la liste des réglages existants et les boutons nécessaires à
l’ajout, à la suppression et à la duplication d’un réglage, ainsi qu’à la création de groupes et de droplets.
Pour plus de détails sur l’utilisation de l’onglet Réglages pour créer, organiser et choisir
des réglages, reportez-vous au chapitre 5, « Création, aperçu et modification des
réglages », à la page 93.
Onglet Destinations
L’onglet Destinations permet de créer, de modifier ou de supprimer vos réglages de
destination, de définir une destination par défaut et d’ajouter des identificateurs aux
noms de vos fichiers de média de sortie.
Pour ouvrir l’onglet Destinations, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Sélectionnez Fenêtre > Destinations.
m Appuyez sur Commande + 4.
m Cliquez sur l’icône Destinations dans la barre d’outils de la fenêtre Lot (si elle s’y
trouve).Chapitre 3 Interface de Compressor 57
 Cliquez sur l’onglet Destinations (s’il s’y trouve).
Consultez le chapitre 24, « Création et changement de destinations », à la page 325
pour en savoir plus sur la configuration de destinations afin de simplifier votre flux de
production Compressor.
Fenêtre Inspecteur
La fenêtre Inspecteur permet d’accéder facilement aux commandes de transcodage courantes (pour créer et modifier des réglages et des destinations) et propose un tableau de
résumé complet contenant tous les détails de chaque réglage, ainsi que des informations sur les fichiers multimédia sources, y compris les attributs A/V, les données de soustitres codés et autres annotations.
Pour ouvrir la fenêtre Inspecteur, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Sélectionnez Fenêtre > Afficher l’inspecteur.
m Appuyez sur Commande + Option + I.
m Cliquez sur l’icône Inspecteur dans la barre d’outils de la fenêtre Lot.
Remarque : contrairement aux autres fenêtres Compressor, la fenêtre Inspecteur ne
peut pas être redimensionnée.58 Chapitre 3 Interface de Compressor
À propos des réglages automatiques
Plusieurs éléments des sous-fenêtres de réglages proposent un mode automatique
facultatif. Lorsque ce mode est activé, Compressor détermine la valeur optimale pour
le réglage.
De façon générale, lorsque le mode automatique est activé, l’élément correspondant est
estompé et ne peut pas être modifié.
 Si le réglage n’a pas été affecté à un fichier multimédia source, « Automatique » apparaît à côté de l’élément. La sous-fenêtre « Contrôles d’image » de la fenêtre Inspecteur constitue toutefois une exception, puisque son état reste indéterminé tant que
vous n’avez pas appliqué le réglage à un fichier multimédia source.
 Si le réglage a été affecté, l’élément reste estompé, mais la valeur utilisée s’affiche.
Lorsque le mode automatique est désactivé, son bouton est estompé et vous pouvez
choisir des valeurs pour les éléments.
Vous pouvez activer le bouton Automatique (le bouton s’obscurcit) ou le désactiver
(le bouton s’éclaircit).
Le bouton automatique
est noir lorsqu’il est
activé et l’élément correspondant est estompé.
Le bouton automatique
est estompé lorsqu’il est
désactivé et l’élément
correspondant peut alors
être sélectionné.Chapitre 3 Interface de Compressor 59
? Astuce : il peut être intéressant de vérifier dans les Inspecteurs les valeurs des réglages
automatiques. Compressor peut généralement déterminer correctement les valeurs
appropriées, mais il se peut que dans certains cas le fichier multimédia source ne contienne pas suffisamment d’informations pour cela. Par exemple, certaines séquences
QuickTime peuvent ne pas comporter les bonnes métadonnées ou peuvent être incorrectes. De plus, si le fichier multimédia source utilise des réglages non standard (pour
les dimensions d’image ou la fréquence d’images), Compressor choisit la valeur standard la plus proche.
Fichiers multimédia sources et fenêtre Inspecteur
Lorsque vous sélectionnez une tâche de lot, la fenêtre Inspecteur affiche des informations au sujet du fichier multimédia source de la tâche.
La fenêtre Inspecteur comprend deux onglets : Attributs A/N et Informations
supplémentaires.60 Chapitre 3 Interface de Compressor
Attributs A/N
L’onglet Attributs A/N contient des informations générales sur le fichier multimédia
source et se divise en trois parties.
 Informations de fichier : cette partie indique le nom du fichier, son emplacement et
son format.
 Informations vidéo : cette partie affiche, s’il y a lieu, toutes les informations vidéo du
fichier. Cela comprend les dimensions de l’image, la fréquence d’images et les informations de timecode.
 Informations audio : cette partie affiche, s’il y a lieu, toutes les informations audio du
fichier. Cela comprend la taille d’échantillon et la fréquence d’échantillonnage.
Informations supplémentaires
L’onglet Informations supplémentaires vous permet de visualiser et de modifier divers
éléments de métadonnées ayant pu être ajoutés dans d’autres applications telles que
Final Cut Pro, Soundtrack Pro ou QuickTime. Vous pouvez également ajouter des élé-
ments de métadonnées au fichier multimédia de sortie. Cela inclut la possibilité d’associer un fichier de sous-titres codés au fichier.
Consultez la section « Utilisation de l’Inspecteur avec des fichiers multimédia sources »
à la page 87 pour en savoir plus sur la gestion des fichiers de sous-titres codés et des
annotations.Chapitre 3 Interface de Compressor 61
À propos des sous-fenêtres Réglages
Lorsque vous sélectionnez un réglage dans l’onglet Réglages ou une cible dans
une tâche par lot, l’Inspecteur affiche une des six sous-fenêtres.
Sous-fenêtre Résumé
La sous-fenêtre Résumé contient le tableau Résumé, qui décrit tous les réglages
(audio, vidéo, géométrie et filtrage) associés au réglage sélectionné sous l’onglet Réglages. Les informations du tableau Résumé sont automatiquement mises à jour à chaque
modification d’un réglage.
Le tableau Résumé inclut les renseignements suivants :
 Nom : nom du réglage sélectionné sous l’onglet Réglages.
 Description : description du réglage sélectionné sous l’onglet Réglages.
 Extension de fichier : l’extension attribuée au fichier multimédia transcodé. Cette
extension identifie le format dans lequel est converti votre fichier multimédia source.
 Taille estimée du fichier : lorsqu’on attribue cette option au fichier multimédia source,
elle affiche une estimation de la taille totale du fichier. Si vous ne l’attribuez pas à un
fichier multimédia source, elle affiche une estimation de taille par heure de données
sources.
Remarque : la taille totale estimée du fichier n’est pas disponible pour tous les
formats de sortie.62 Chapitre 3 Interface de Compressor
 Encodeur audio : indique le format du fichier de sortie audio et d’autres réglages de
transcodage, comme la fréquence d’échantillonnage, les canaux, le nombre de bits
par échantillon et le type de codec.
 Encodeur vidéo : fournit des détails sur le format de fichier de sortie vidéo et d’autres
réglages de transcodage tels que la largeur et la hauteur d’image, le rognage (en
pixels), la fréquence d’images, les proportions, le type de codec, la profondeur de
pixel, la qualité spatiale, la qualité spatiale minimale, l’intervalle entre les images clés,
la qualité temporelle, la qualité temporelle minimale et le débit des données (en bits
par seconde).
 Filtre : détaille le ou les filtres (selon le nombre de filtres sélectionnés dans la sousfenêtre Filtres) sélectionnés parmi ceux disponibles dans Compressor.
Sous-fenêtre Encodeur
Utilisez la sous-fenêtre Encodeur pour sélectionner et configurer le format du fichier de
sortie et les autres réglages. Les options et attributs du format de fichier sont différents
pour chaque format.
 Format de fichier : utilisez ce menu local pour choisir un format de fichier de sortie.
Pour plus d’informations sur les formats de sortie disponibles, consultez la section
« Choix d’un format de sortie » à la page 34.Chapitre 3 Interface de Compressor 63
 Champ Extension de fichier : les extensions de fichier suivantes apparaissent automatiquement dans ce champ en fonction du format que vous choisissez dans le menu
local « Format de fichier », et si les pistes vidéo et audio sont activées. Ne modifiez
pas ce champ sans bonne raison, car le fichier pourrait alors ne pas être reconnu.
 aiff : représente le format AIFF.
 ac3 : représente Dolby Digital Professional.
 dv : représente la vidéo au format Digital Video (DV).
 mpg : représente le flux MPEG-1 multiplexé (vidéo et audio).
 m1v : représente le flux élémentaire vidéo MPEG-1.
 m1a : représente le flux élémentaire audio MPEG-1.
 m2v : représente le flux vidéo élémentaire MPEG-2.
 m2t : représente le flux de transport MPEG-2.
 mpeg : représente le flux de programme MPEG-2.
 m4v : représente le format H.264 pour appareils Apple.
 mp4 : représente le format MPEG-4.
 mov : représente le format QuickTime et H.264 pour DVD Studio Pro.
 tga : représente le format TARGA.
 tiff : représente le format TIFF.
 Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation des tâches. Elle n’est importante que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué et avec l’encodage à deux passes ou multipasse. La fonctionnalité de
traitement distribué de Compressor est limitée aux ordinateurs sur lesquels est installé Final Cut Studio ou DVD Studio Pro. Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.64 Chapitre 3 Interface de Compressor
Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse)
Si vous choisissez le mode deux passes ou multipasse et que le traitement distribué est
activé, vous devrez peut-être faire un choix entre rapidité de traitement et garantie de
la meilleure qualité possible.
Le système Apple Qmaster de traitement distribué accélère le traitement en distribuant le travail sur plusieurs nœuds de traitement (ordinateurs). L’un des moyens pour y parvenir consiste
à diviser la quantité totale d’images d’un travail en segments plus petits. Chacun des ordinateurs de traitement opère alors sur un segment différent. Étant donné que les nœuds fonctionnent en parallèle, le travail est terminé plus vite qu’il ne le serait sur un ordinateur unique. Mais
avec l’encodage VBR 2 passes et multipasse, chaque segment est traité de manière individuelle, ainsi l’allocation de débit généré dans la première passe pour n’importe quel segment
ne comprend pas d’informations sur les segments traités sur d’autres ordinateurs.
Commencez par évaluer la difficulté d’encodage (complexité) de vos données source. Ensuite
décidez si vous souhaitez ou non autoriser la segmentation de tâche (à l’aide de la case
« Autoriser la segmentation de la tâche » en haut de la sous-fenêtre Encodeur). Si la répartition des zones simples et complexes des données est similaire à travers tout le fichier multimédia source, vous pouvez obtenir la même qualité, que la segmentation soit activée ou non.
Dans ce cas, il est utile d’autoriser la segmentation afin de réduire le temps de traitement.
Cependant, il se peut qu’un fichier multimédia source présente une distribution inégale des
scènes complexes. Par exemple, un programme sportif dans lequel la première heure correspond à l’entraînement, avec des présentateurs relativement statiques, et la deuxième heure
correspondant à l’action sportive. Si ces données source sont fractionnées en deux segments, le plan d’allocation de débit du premier segment ne pourra pas « donner » certains
de ses bits au deuxième segment, car les segments seront traités sur des ordinateurs distincts. La qualité du métrage d’action plus complexe du second segment en pâtira. Dans ce
cas, si votre objectif est de garantir la meilleure qualité possible sur les deux heures de programme, il serait judicieux de ne pas autoriser la segmentation des travaux, en désactivant
la case en haut de la sous-fenêtre de l’encodeur. Cela a pour effet de forcer le traitement du
travail (et donc l’allocation de débit) sur un ordinateur unique.
Remarque : la case « Autoriser la segmentation de la tâche » n’affecte que la segmentation
des tâches individuelles (fichiers source). Si vous envoyez des lots avec plusieurs tâches,
le système de traitement distribué continue d’accélérer le traitement en distribuant
les tâches (non segmentées), même lorsque la segmentation des tâches est désactivée.
Pour plus d’informations sur l’encodage à débit variable (VBR), consultez la section « Onglet
Qualité » à la page 204. Pour plus d’informations sur le système de traitement distribué
Apple Qmaster, consultez le guide Configuration du traitement distribué.Chapitre 3 Interface de Compressor 65
Sous-fenêtre Contrôles d’images
Cette sous-fenêtre de l’Inspecteur propose des réglages automatiques et personnalisés
pour l’analyse d’image avancée et la resynchronisation d’image.
Le redimensionnement d’image peut s’avérer nécessaire lorsque vous transcodez d’un
format haute définition tel que le 1080i vers un format de définition standard comme
le DV-NTSC. La resynchronisation d’image quant à elle est nécessaire lorsque vous
transcodez entre formats vidéo de fréquences d’images différentes comme le NTSC
(29,97 images par seconde) et PAL (25 images par seconde). Pour plus d’informations
sur la sous-fenêtre Contrôles d’images, consultez la section « À propos de la sousfenêtre Contrôles d’images » à la page 274.
Sous-fenêtre Filtres
Utilisez la sous-fenêtre Filtres pour ajouter des filtres à votre réglage. Parmi les tâches
disponibles, vous pouvez effectuer une correction gamma et supprimer le bruit. 66 Chapitre 3 Interface de Compressor
Cochez la case située en regard du filtre que vous souhaitez associer à un réglage
donné. Utilisez les curseurs de défilement ou les flèches de contrôle pour ajuster
les paramètres de filtrage selon vos besoins.
Les filtres sont appliqués au fichier multimédia source en fonction de leur ordre d’organisation dans la liste des filtres. Vous pouvez réorganiser les filtres en les déplaçant vers
le bas ou le haut dans la liste.
Pour de plus amples informations sur la sous-fenêtre Filtres, consultez la section « À propos de la sous-fenêtre Filtres » à la page 260.
Sous-fenêtre Géométrie
Vous devez utiliser la sous-fenêtre Géométrie pour rogner et dimensionner le fichier
multimédia à compresser et définir ses proportions.
La sous-fenêtre Géométrie comporte trois parties :
 Cadre de source (rognage) : utilisez n’importe lequel des quatre champs pour saisir
le nombre de pixels par lequel vous voulez réduire la taille du fichier multimédia
source ou cliquez sur la case « Détecter automatiquement les réglages de rognage
pour le format Letterbox » pour que Compressor choisisse les valeurs de rognage en
fonction du contenu vidéo du fichier multimédia source.
 Dimensions (pixels encodés) : utilisez le menu local « Dimension de l’image » ou ces
champs pour créer une dimension d’image et des proportions de sortie correspondant à votre fichier multimédia source. Utilisez le menu local « Aspect des pixels »
pour définir les valeurs de largeur et de hauteur, afin qu’elles soient conformes à des
proportions déterminées.
 Cadre de l’image de sortie (remplissage) : utilisez le menu local Remplissage pour
calculer les valeurs de hauteur et de largeur de sortie. Si vous sélectionnez
Personnaliser, vous pouvez saisir des valeurs dans les champs.Chapitre 3 Interface de Compressor 67
Pour de plus amples informations sur la sous-fenêtre Géométrie, consultez le chapitre 21,
« Ajout de réglages de géométrie », à la page 287.
Sous-fenêtre Actions
Utilisez la sous-fenêtre Actions pour activer les envois par message électronique des notifications de fin de transcodage et exécuter les actions AppleScript de post-transcodage.
 Case à cocher et champs « Notification par courrier électronique à » : utilisez ce champ
pour introduire l’adresse électronique à laquelle vous souhaitez que la notification
soit envoyée après le transcodage du fichier multimédia ou en cas d’erreur.
 Case à cocher « Exécuter AppleScript sur la sortie » : cochez cette case pour activer
les scripts AppleScript attribués au réglage après le transcodage du fichier multimédia.
 Bouton Choisir : cliquez pour sélectionner le script AppleScript que vous voulez affecter au réglage.
 Destination par défaut : choisissez dans ce menu local la destination que ce réglage
doit utiliser.
Pour de plus amples informations sur la sous-fenêtre Actions, consultez le chapitre 22,
« Ajout d’actions à un réglage », à la page 297.68 Chapitre 3 Interface de Compressor
Fenêtre Historique
La fenêtre Historique vous donne rapidement accès aux lots soumis précédemment,
ainsi qu’aux informations qui les concernent. Vous pouvez l’utiliser pour mettre en pause
une opération de transcodage, soumettre à nouveau des lots en les faisant glisser dans
la fenêtre Lot ou visualiser les détails de la soumission de lots particuliers. Vous pouvez
également l’utiliser pour localiser les fichiers multimédia de sortie des lots préalablement
envoyés.
La fenêtre Historique contient également une barre de progression que vous pouvez
utiliser pour contrôler l’état des lots soumis au préalable.
Pour ouvrir ou fermer la fenêtre Historique, procédez de l’une des manières
suivantes :
m Sélectionnez Fenêtre > Historique.
m Appuyez sur Commande + 1.
m Cliquez sur le bouton Historique dans la barre d’outils de la fenêtre Lot.
Remarque : la fenêtre Historique s’ouvre automatiquement si elle est fermée lorsque
vous envoyez un lot en vue de le transcoder.
La fenêtre Historique contient des entrées qui affichent des informations sur le nom du
lot et la date et l’heure auxquelles il a été transcodé au départ. Les entrées sont classées par date, en commençant par la plus ancienne. Lorsque vous faites glisser un lot
dans une fenêtre Lot pour une nouvelle soumission, un nouveau lot sans nom est créé
à cet effet (les lots existants ne s’en trouvent pas affectés).
Pour plus d’informations sur les commandes et réglages dans la fenêtre Historique,
consultez la section « À propos de la fenêtre Historique » à la page 123.Chapitre 3 Interface de Compressor 69
Fenêtre Preview
La fenêtre Preview consiste en un écran partagé en deux, qui affiche à gauche le fichier
multimédia source sous sa forme originale, et à droite ce à quoi ressemblerait votre
fichier de média de sortie. Cela vous permet de comparer l’original et la version transcodée et, le cas échéant, d’ajuster vos réglages. En utilisant les options de cette fenê-
tre, vous pouvez rogner l’image, ajouter des images clés et modifier les proportions.
Pour ouvrir la fenêtre Preview, procédez comme suit :
m Sélectionnez Fenêtre > Preview.
m Cliquez sur le bouton Preview dans la barre d’outils de la fenêtre Lot.
m Appuyez sur Commande + 2.
La fenêtre Preview propose d’autres fonctionnalités et notamment un menu local de
gestion de marqueurs. Le menu local de gestion des marqueurs vous permet d’importer
des listes de chapitre ou d’ajouter manuellement marqueurs de chapitres (et de podcasts) et des marqueurs de compression (pour améliorer la qualité de la compression
d’un fichier média). Vous pouvez également modifier/couper les marqueurs de compression générés dans d’autres applications comme Final Cut Pro. Si vous exportez un projet
Final Cut Pro vers Compressor, ces paramètres ou ces marqueurs sont aussi transférés
avec votre projet. Ces marqueurs sont également exportés vers DVD Studio Pro. Consultez les sections « Utilisation d’images I MPEG-2 » à la page 223 et « À propos des marqueurs MPEG-2 et de DVD Studio Pro » à la page 215 pour de plus amples informations.
Pour plus d’informations sur les contrôles et les paramètres de la fenêtre Preview,
consultez la section « À propos de la fenêtre Preview » à la page 304.
Bouton de menu local
Marqueur70 Chapitre 3 Interface de Compressor
Batch Monitor
Utilisez Batch Monitor pour surveiller la progression de l’activité de tous les transcodages des lots, y compris les estimations du temps de transcodage restant pour l’ensemble des tâches. Batch Monitor est une application distincte pouvant être ouverte sans
ouvrir Compressor. Pour plus de détails sur Batch Monitor, consultez le Manuel de l’utilisateur de Batch Monitor.
Pour ouvrir Batch Monitor, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Cliquez sur le bouton Batch Monitor dans la barre d’outils de la fenêtre Lot.
m Double-cliquez sur l’icône Batch Monitor dans le dossier Utilitaires.
Vous pouvez aussi définir les préférences de Compressor de façon à ce que
Batch Monitor s’ouvre automatiquement lorsque vous soumettez un lot. Pour plus
d’informations, consultez la section « Configuration des préférences de Compressor » à
la page 39.
Batch Monitor affiche l’état de tous les lots soumis et notamment leur nom et d’autres
informations. Vous pouvez visualiser des rapports sur les tâches réussies ou échouées
dans Batch Monitor ou la fenêtre Historique.
Pour plus d’informations sur les contrôles et les réglages de Batch Monitor, consultez
le Manuel de l’utilisateur de Batch Monitor.Chapitre 3 Interface de Compressor 71
Fenêtres Droplet
Vous pouvez enregistrer un ou plusieurs réglages ou groupes de réglages dans
une Droplet, un préréglage autonome, intégré dans une application glisser-déposer
et enregistré en tant qu’icône. Vous pouvez ensuite transcoder les fichiers multimédia
sources (sans même ouvrir Compressor) en les faisant tout simplement glisser sur
une icône Droplet. Consultez le chapitre 25, « Utilisation de droplets », à la page 337
pour plus d’informations sur la création et l’utilisation de Droplets.
Vous pouvez ouvrir n’importe quelle Droplet et afficher sa fenêtre pour voir tous
les détails la concernant.
Pour ouvrir une fenêtre Droplet :
m Double-cliquez sur une icône Droplet.
Pour plus d’informations sur les contrôles et réglages de la fenêtre Droplet,
consultez la section « À propos de la fenêtre Droplet » à la page 338.
Faites glisser les fichiers
multimédia sources
sélectionnés dans
une Droplet pour
les transcoder.72 Chapitre 3 Interface de Compressor
À propos du changement des valeurs et des entrées de
timecode
Compressor propose plusieurs types de méthodes de saisie de valeurs. La plupart
ont des fonctions permettant de simplifier la modification des champs de valeur ou
de timecode.
Utilisation des curseurs de valeur
Deux méthodes sont utilisées pour saisir des valeurs numériques générales : les curseurs traditionnels avec champs d’entrée numérique séparés, qui allient le curseur et
le champ d’entrée numérique.
Les curseurs de valeur permettent de saisir un nombre spécifique dans le champ de
valeur ou de faire glisser le pointeur dans le champ pour définir une valeur. Vous pouvez les utiliser en même temps qu’une touche de modification pour procéder à des
modifications de valeurs importantes, réduites ou normales. Faire glisser le pointeur
dans la partie centrale (où se trouve le nombre) fonctionne de la même façon qu’un
curseur ordinaire : faire glisser vers la droite augmente la valeur et faire glisser vers
la gauche réduit la valeur. De plus, vous pouvez cliquer sur la flèche gauche ou droite
pour modifier la valeur d’un cran à la fois. Vous pouvez également double-cliquer sur
le nombre lui-même et saisir une nouvelle valeur dans le champ de valeur.
Pour modifier les valeurs d’incréments normaux, procédez de l’une des manières
suivantes :
m Faites glisser le pointeur vers la gauche ou la droite dans le champ de valeur.
m Cliquez sur la flèche de gauche pour réduire la valeur et sur la flèche de droite pour
l’augmenter.
m Si vous disposez d’une souris à trois boutons avec molette de défilement, cliquez dans
le champ de valeur et utilisez la molette de la souris.
Pour modifier les valeurs de façon précise, procédez de l’une des manières
suivantes :
m Faites glisser le champ de valeur en maintenant la touche Option enfoncée.
m Maintenez la touche Option enfoncée et cliquez sur la flèche de gauche pour réduire
la valeur et sur la flèche de droite pour l’augmenter.
m Si vous disposez d’une souris à molette de défilement, utilisez-la dans le champ de
valeur tout en maintenant la touche Option enfoncée.
Curseur de valeur avec
curseur et champ d’entrée
numérique combinés
Curseur et champ d’entrée
numérique séparésChapitre 3 Interface de Compressor 73
Pour modifier les valeurs de façon moins précise, procédez de l’une des manières
suivantes :
m Faites glisser le champ de valeur en maintenant la touche Maj enfoncée.
m Maintenez la touche Maj enfoncée et cliquez sur la flèche de gauche pour réduire
la valeur et sur la flèche de droite pour l’augmenter.
m Si vous disposez d’une souris à molette de défilement, utilisez-la dans le champ valeur
tout en maintenant la touche Maj enfoncée.
Lorsqu’un curseur ou un champ de valeur est actif (mis en surbrillance), appuyez sur
la touche Tab pour passer au champ suivant.
Utilisation des curseurs de valeur de timecode
Compressor utilise des curseurs de valeur de timecode pour tous les champs de
timecode. Outre la possibilité de saisir directement des valeurs de timecode, vous
pouvez « faire défiler » le timecode par glissement.
Si vous positionnez le pointeur sur un segment de timecode, de petites flèches
apparaissent au-dessus et en dessous de ce segment.
Vous pouvez faire glisser le pointeur vers le haut ou vers la droite pour augmenter
la valeur de ce segment (les valeurs des segments de gauche augmentent également
si votre glissement dépasse la valeur maximale). En faisant glisser le curseur vers
la gauche, la valeur est réduite. Vous pouvez maintenir la touche Option enfoncée pour
faire des modifications de valeur plus lentes ou utiliser la touche Maj pour des modifications plus rapides.
Vous pouvez également cliquer sur les flèches haut et bas de chaque côté de la valeur de
timecode ou appuyer sur les touches Flèche vers le haut et Flèche vers le bas du clavier
pour augmenter ou réduire la valeur de timecode.
Vous pouvez contrôler le segment affecté par les flèches haut et bas en sélectionnant
un segment, afin de faire apparaître un signe d’insertion en dessous du segment. Vous
pouvez également utiliser les flèches gauche et droite du clavier pour sélectionner
d’autres segments.74 Chapitre 3 Interface de Compressor
Raccourcis clavier généraux de Compressor
Commande clavier Fonction
Passe la fenêtre Inspecteur au premier plan.
Passe la fenêtre Historique au premier plan.
Passe la fenêtre Preview au premier plan.
Passe l’onglet Réglages au premier plan.
Passe l’onglet Destinations au premier plan.
Enregistre le lot actuel.
Enregistre le lot actuel comme nouveau lot.
Crée un nouveau lot sans nom.
Ouvre un lot enregistré.
Ouvre la fenêtre Préférences.
Importe une ressource source pour créer une nouvelle tâche dans
le lot.
Crée une nouvelle tâche de groupe de son Surround dans le lot.
Soumet le lot actuel.
Envoie un lot à partir d’une Droplet ouverte.
Supprime un élément sélectionné de la fenêtre Lot, Preview ou
Destinations.
Permet de se déplacer vers le haut dans les listes Lot, Destinations,
Réglages et Filtres.
Permet de se déplacer vers le bas dans les listes Lot, Destinations,
Réglages et Filtres.
Permet de passer d’un champ de texte à un autre dans toutes les
sous-fenêtres.
Ouvre la zone de dialogue « Monter le stockage du cluster ».
Ouvre l’Aide Compressor.
option I
1
2
3
4
S
Maj S
N
O
,
l
Maj I
option S
retour
suppr.
Maj M
Maj ? Chapitre 3 Interface de Compressor 75
Raccourcis clavier de la fenêtre Preview
Commande clavier Fonction
Démarre une animation arrière rapide.
Démarre une animation avant rapide.
Lecture arrière du plan image par image.
Lecture avant du plan image par image.
Démarre ou arrête la lecture d’un plan.
Ajoute ou supprime un marqueur.
Lorsque la tête de lecture se trouve sur un marqueur, ouvre la zone
de dialogue Modifier le marqueur.
Définit un point d’entrée pour le plan.
Définit un point de sortie pour le plan.
J
L
espace
M
E
l
O4
77
4 Importation de fichiers multimédia
sources
La première étape du processus de transcodage dans
Compressor consiste à importer au moins un fichier
multimédia source dans la fenêtre Lot.
L’importation d’un ou plusieurs fichiers multimédia sources dans un lot crée des tâches
(une par fichier multimédia source). Il s’agit de la première étape pour pouvoir transcoder les fichiers multimédia sources en fichiers de sortie souhaités.
Vous pouvez importer des fichiers multimédia sources pour créer des tâches à partir de
n’importe quel dossier auquel vous avez accès. Compressor prend en charge une large
gamme de formats multimédia sources allant des formats QuickTime les plus populaires au Dolby Digital Professional (AC-3), en passant par le MPEG-1, le MPEG-2 et
le MPEG-4.
Consultez la section « Ajout de fichiers multimédia sources à un lot pour créer
des tâches » à la page 79 pour de plus amples informations.
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 À propos de la fenêtre Lot (p. 78)
 Ajout de fichiers multimédia sources à un lot pour créer des tâches (p. 79)
 Utilisation de l’Inspecteur avec des fichiers multimédia sources (p. 87)
 Astuces pour l’importation de fichiers multimédia sources (p. 90)78 Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources
À propos de la fenêtre Lot
La fenêtre Lot permet de centraliser l’organisation des tâches de transcodage et d’attribuer rapidement des réglages. Lorsque vous ouvrez Compressor pour la première fois,
une fenêtre Lot sans nom apparaît. Imaginez les lots comme des documents pouvant
être enregistrés, fermés puis ouverts de nouveau. Utilisez la barre de menus située en
haut de la fenêtre Lot pour ouvrir toutes les autres fenêtres de tâche.
Informations générales sur la fenêtre Lot
Les lots sont le cœur même de votre flux de production Compressor et c’est dans
la fenêtre Lot que vous traitez les lots. Cette fenêtre prend en charge l’ouverture de
plusieurs lots à la fois et les affiche dans des onglets séparés.
Pour créer un nouveau lot :
m Choisissez Fichier > Nouveau lot (ou appuyez sur Commande + N).
Un nouveau lot sans nom est ajouté à la fenêtre.
Consultez la section « Enregistrement et ouverture d’un lot » à la page 125 pour en
savoir plus sur les fichiers de lot.
Vous pouvez même ouvrir plusieurs fenêtres Lot, contenant chacune un lot différent en
faisant glisser un onglet de lot dans un nouvel emplacement. Consultez la section « À
propos des onglets » à la page 49 pour en savoir plus sur le déplacement d’onglets par
glisser-déposer pour ouvrir ou fermer des fenêtres de lot.
Zone Tâches
Barre d’outils
Onglets Lot
État du lot Bouton d’envoi de lot
Bouton « Afficher/Masquer la barre d’outils »
Nom du lot actuellement
sélectionné
Chaque onglet
correspond
à un lot différent
L’onglet du nouveau lotChapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources 79
La fenêtre Lot comprend un bouton Soumettre, situé dans le coin inférieur droit,
que vous pouvez utiliser pour commencer le transcodage du lot actuellement sélectionné. Le coin inférieur gauche affiche l’état du lot actuel (le nombre de tâches qu’il
contient et s’il a été soumis).
À propos de la barre d’outils de la fenêtre Lot
Dans la partie supérieure de la fenêtre Lot se trouve une barre d’outils personnalisable.
Vous pouvez choisir de l’afficher ou de la masquer en cliquant sur le bouton situé dans
le coin supérieur droit de la fenêtre.
Vous disposez d’un large choix d’éléments à intégrer à la barre d’outils, tels que des
éléments permettant d’ouvrir, d’enregistrer et de fermer un lot. Pour plus de détails
sur les éléments que vous pouvez ajouter et la façon de procéder, consultez la section
« Personnalisation de la barre d’outils » à la page 52.
Ajout de fichiers multimédia sources à un lot pour créer
des tâches
Vous devez importer les fichiers multimédia sources dans le lot de la fenêtre Lot avant
de pouvoir leur ajouter tout réglage de transcodage. Lorsqu’ils sont importés dans
un lot, les fichiers multimédia sources créent une tâche (première étape pour le transcodage des fichiers). Il existe quelques méthodes spéciales à utiliser lors de l’importation des fichiers multimédia sources avec son Surround.
Bouton « Afficher/Masquer la barre d’outils » (la
barre d’outils est cachée
dans cet exemple)80 Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources
Ajout de fichiers multimédia sources standard aux lots
Vous trouverez ci-après les instructions d’ajout de fichiers multimédia sources standard
(n’utilisant pas le son Surround) à un lot.
Pour ajouter des fichiers multimédia sources à un lot :
1 Ouvrez Compressor.
La fenêtre Lot s’ouvre avec un onglet de lot vide intitulé Sans titre.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Choisissez Tâche > « Nouvelle tâche avec fichier » (ou appuyez sur Commande + I),
naviguez jusqu’au dossier de fichiers multimédia souhaité, sélectionnez un ou plusieurs fichiers multimédia sources, puis cliquez sur Ouvrir.
Remarque : choisissez Tâche > « Nouvelle tâche avec fichiers son Surround » (ou
appuyez sur Commande + Maj + I) pour créer une tâche utilisant un ensemble de
fichiers audio pour une sortie son Surround. Consultez la section « Ajout de fichiers
multimédia sources avec son Surround aux lots » à la page 83 pour obtenir plus
d’informations.
 Cliquez sur le bouton « Ajouter fichier » (dans la barre d’outils Lot, s’il est visible),
naviguez jusqu’au dossier de fichiers multimédia souhaité, sélectionnez un ou
plusieurs fichiers multimédia sources, puis cliquez sur Ouvrir.
 Cliquez sur une zone vide du lot tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée
et choisissez « Nouvelle tâche avec fichier » dans le menu contextuel. Vous pouvez
alors naviguer vers le dossier de fichiers multimédia souhaité, sélectionner un ou
plusieurs fichiers multimédia sources, puis cliquer sur Ouvrir.
Onglet lot sans titre
Zone de lot vide contenant une tâche fictiveChapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources 81
 Ouvrez votre dossier de fichiers multimédia sources et faites glisser un ou plusieurs
fichiers dans le lot.
Remarque : vous pouvez combiner les étapes précédentes en sélectionnant tous
les fichiers multimédia sources que vous souhaitez transcoder avant d’ouvrir
Compressor, puis en les faisant glisser sur l’icône de l’application Compressor.
Compressor s’ouvre alors et ajoute en même temps les fichiers multimédia au lot
sans titre par défaut.
3 Enregistrez le lot au moyen de l’une des méthodes suivantes :
 Choisissez Fichier > Enregistrer sous.
 Appuyez sur Commande + Maj + S.
4 Saisissez un nom pour le lot et choisissez, dans la zone de dialogue qui apparaît,
l’emplacement dans lequel vous voulez l’enregistrer. Cliquez sur Enregistrer une fois
terminé.
L’onglet de la fenêtre Lot change pour correspondre au nom du fichier.
Remarque : si vos préférences de Finder sont réglées pour afficher les extensions,
l’extension « .compressor » apparaît dans l’onglet à côté du nom.
Vous n’avez aucune obligation de nommer et d’enregistrer vos lots ; il est parfois préfé-
rable de ne pas le faire par souci de rapidité. Cependant, lorsque vous nommez et enregistrez un lot, il est plus facile par la suite d’y revenir et de le soumettre à nouveau si
les fichiers de sortie ne correspondent pas à vos attentes ou si vos besoins ont changé.
Cela permet également de savoir plus facilement ce qui se trouve dans la fenêtre Historique et dans Batch Monitor si vous soumettez plusieurs lots en peu de temps. 82 Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources
Le lot contient maintenant vos fichiers multimédia sélectionnés, chacun dans sa propre tâche. Les fichiers multimédia sources à contenu vidéo comprennent également
une vignette et un curseur que vous pouvez utiliser pour parcourir la vidéo.
Vous pouvez modifier le fichier multimédia source affecté à une tâche.
Pour modifier le fichier multimédia source affecté à une tâche :
1 Sélectionnez la tâche dont vous souhaitez modifier le fichier multimédia source.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Choisissez Tâche > Source > Fichier, naviguez jusqu’au dossier de fichiers multimédia
souhaité, sélectionnez un ou plusieurs fichiers multimédia sources, puis cliquez
sur Ouvrir.
 Cliquez sur la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez
Source dans le menu contextuel. Vous pouvez alors naviguer vers le dossier de
fichiers multimédia souhaité, sélectionner un ou plusieurs fichiers multimédia
sources, puis cliquer sur Ouvrir.
 Faites glisser un nouveau fichier multimédia source dans la tâche.
Toutes les cibles déjà configurées sont conservées et sont maintenant appliquées au
nouveau fichier multimédia source. Vous pouvez également supprimer un fichier multimédia source d’une tâche si nécessaire.
Pour supprimer un fichier multimédia source d’une tâche :
m Cliquez sur la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez
Effacer la source dans le menu contextuel.
Pour supprimer une tâche d’un lot, procédez de l’une des manières suivantes :
m Sélectionnez la tâche et appuyez sur la touche de suppression.
m Cliquez sur une partie vide du lot tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée
et choisissez « Supprimer toutes les tâches » dans le menu contextuel.
Faites glisser ce curseur
pour parcourir les images des fichiers vidéo.
Cliquez à n’importe quel
endroit de la tâche pour
voir les attributs du
fichier dans la fenêtre
Inspecteur.
Chaque fichier
multimédia source crée
une tâche.
Les cibles de cette tâche
apparaissent à cet endroit.Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources 83
Ces tâches sont maintenant prêtes à recevoir une nouvelle cible. Les cibles comprennent les réglages et destinations nécessaires pour en faire une tâche que vous pouvez
soumettre au transcodage. Consultez le chapitre 6, « Finalisation de tâches et
soumission de lots », à la page 109 pour de plus amples informations sur l’ajout de
cibles aux tâches. Lisez également le chapitre 5, « Création, aperçu et modification des
réglages », à la page 93 pour apprendre comment créer vos propres réglages.
Ajout de fichiers multimédia sources avec son Surround aux lots
Il existe deux méthodes permettant d’ajouter des fichiers audio à un lot pour créer
une tâche avec son Surround : la méthode automatique, qui s’appuie sur le nom de
fichier pour mapper les fichiers audio sur les canaux audio appropriés, et la méthode
manuelle qui vous permet d’affecter manuellement les fichiers audio aux canaux.
Chaque méthode produit une tâche à laquelle vous pouvez ajouter un réglage prenant en charge les sorties audio Surround, comme le Dolby Digital Professional,
l’AIFF et d’autres codecs audio du format de sortie de séquence QuickTime.
Important : certains formats de sortie ont plusieurs configurations pour les canaux audio
Surround. Veillez à connaître la configuration requise par le périphérique de lecture souhaité. Par exemple, le format de sortie AIFF propose quatre configurations différentes
pour les sorties audio 5.1 (6 canaux), la différence provenant de l’ordre des canaux.
Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode automatique)
Compressor offre des techniques rationalisées d’affectation de canaux, qui vous permettent de gagner du temps.
Pour afficher des fichiers à des canaux Surround avec des codes d’identificateur
de canal :
1 Ajoutez le code d’identificateur du canal Surround cible au nom de chaque fichier
audio source. Reportez-vous au tableau ci-dessous pour la liste des codes d’identificateur de canal appropriés.
Affectation de canaux Code d’identificateur de canal
Canal avant gauche -G
Canal avant droit -D
Canal avant central -C
Canal Surround gauche -Gs
Canal Surround droit -Ds
Canal Surround central -S
Canal basse fréquence (subwoofer, LFE) -LFE84 Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources
Par exemple, pour affecter un fichier AIFF au canal Surround gauche,
renommez le fichier comme suit nomdefichier-Gs.aiff (nomdefichier représentant
le nom de votre fichier).
Remarque : Mac OS X peut rajouter une extension de fichier de type .aiff. Cela n’interfère pas avec la méthode d’affectation de ce canal.
Cette procédure ne fonctionne que lorsque vous glissez-déposez des fichiers dans
la fenêtre Lot. Si vous faites glisser les fichiers sur l’icône de l’application Compressor,
ils apparaissent comme fichiers sources séparés, chacun dans sa propre tâche.
Remarque : si vous créez des flux audio Surround Dolby Digital Professional (AC-3),
vous n’utiliserez pas immédiatement tous les canaux répertoriés dans le tableau.
Consultez la section « Réglages de l’onglet Audio » à la page 141 pour un schéma des
modes de codage audio Dolby.
2 Faites glisser vers la fenêtre Lot les fichiers audio source renommés.
Si les conditions suivantes sont réunies, Compressor réduit automatiquement le groupe
entier de fichiers en ce qui apparaît comme un fichier multimédia source Surround unique dans la fenêtre Lot :
 Les fichiers du groupe doivent être nommés correctement (voir tableau ci-dessus).
 Le nombre total de fichiers du groupe doit être inférieur à sept.
Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode manuelle)
Suivez ces étapes pour utiliser la méthode manuelle d’affectation de fichiers audio
individuels aux canaux audio Surround.
Pour affecter manuellement des fichiers audio source aux canaux d’un flux audio
Surround :
1 Pour importer les fichiers audio source, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Cliquez sur le bouton « Ajouter son Surround » dans la fenêtre Lot.
 Choisissez Tâche > « Nouvelle tâche avec groupe Surround » (ou appuyez sur
Commande + Maj + I).
 Cliquez dans le lot tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez
« Nouvelle tâche avec groupe Surround » dans le menu contextuel. L’interface
d’affectation des canaux s’ouvre.Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources 85
2 Effectuez l’une des opérations suivantes pour affecter un fichier audio source
à un canal particulier.
 Faites glisser le fichier audio source du Finder vers l’icône d’un canal spécifique
(par exemple « G »).
 Cliquez sur l’icône d’un canal spécifique (par exemple « L ») et utilisez la zone de
dialogue Ouvrir afin de localiser le fichier audio source destiné à ce canal.
Le fichier est désormais affecté au canal « G » (avant gauche).
3 Répétez l’étape 2 pour chacun des fichiers audio source que vous prévoyez d’inclure
dans le flux Surround.
Remarque : si vous créez des flux audio Surround Dolby Digital Professional (AC-3),
vous n’utiliserez pas immédiatement tous les canaux répertoriés dans le tableau.
Consultez la section « Réglages de l’onglet Audio » à la page 141 pour un schéma des
modes de codage audio Dolby.
4 Une fois que vous avez terminé l’ajout des fichiers audio source à l’interface d’affectation des canaux, cliquez sur OK.
Le groupe de fichiers Surround apparaît comme une tâche unique de fichier multimé-
dia source Surround dans la fenêtre Lot.86 Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources
À propos des tâches audio Surround
Lorsque vous avez créé une tâche audio Surround, la fenêtre Lot affiche l’icône de son
Surround dans la vignette du fichier multimédia source et la fenêtre Inspecteur affiche
les canaux et les fichiers correspondants.
Vous pouvez modifier n’importe quelle affectation de fichier dans la fenêtre Inspecteur.
Pour modifier l’affectation d’un fichier audio Surround :
1 Cliquez sur l’icône de haut-parleur du canal que vous voulez modifier.
Une zone de dialogue de sélection de fichiers s’ouvre.
2 Localisez le fichier à affecter à ce canal et cliquez sur Ouvrir.
Pour des informations sur la création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional,
consultez le chapitre 8, « Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional », à la
page 139. Consultez le Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro pour obtenir des informations détaillées sur la création de fichiers audio Surround. Si vous prévoyez de créer
des DVD à l’aide de DVD Studio Pro, consultez le Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro
pour plus d’informations sur le flux de production pour la création de DVD.
Cliquez sur l’icône d’un
canal pour changer le
fichier qui lui est affecté.Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources 87
Utilisation de l’Inspecteur avec des fichiers multimédia
sources
Lorsque vous sélectionnez une tâche de lot, la fenêtre Inspecteur affiche des informations au sujet du fichier multimédia source de la tâche.
La fenêtre Inspecteur comprend deux onglets : Attributs A/N et Informations
supplémentaires.
Onglet Attributs A/N
L’onglet Attributs A/N contient des informations générales sur le fichier multimédia
source et se divise en trois parties.
 Informations de fichier : cette section indique le nom du fichier, son emplacement
et son format.
 Informations vidéo : cette partie, s’il y a lieu, affiche toutes les informations du fichier
concernant la vidéo. Cela comprend la dimension de l’image, la fréquence d’images
et les informations de timecode.
 Informations audio : cette partie, s’il y a lieu, affiche toutes les informations du fichier
concernant l’audio. Cela comprend la taille d’échantillon et la fréquence d’échantillonnage.88 Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources
Onglet informations supplémentaires
L’onglet Informations supplémentaires vous permet de visualiser et de modifier divers
éléments de métadonnées ayant pu être ajoutés dans d’autres applications telles que
Final Cut Pro ou QuickTime. Cela inclut la possibilité d’associer un fichier de sous-titres
codés au fichier.
Pour associer un fichier de sous-titres codés à un fichier multimédia source :
1 Cliquez sur la tâche pour afficher les attributs du fichier dans la fenêtre de l’Inspecteur.
2 Cliquez sur l’onglet des informations complémentaires.
3 Cliquez sur Choisir, localisez le fichier de sous-titres codés (un fichier au format de soustitres codés Scenarist portant généralement l’extension « .scc »), puis cliquez sur Ouvrir.
Remarque : les données de sous-titres codés sont prises en charge par les formats de
sortie H.264 pour appareils Apple, MPEG-2 et séquence QuickTime.
Suivant le format de sortie de la cible de la tâche, Compressor applique le fichier de
sous-titres codés aux fichiers multimédia de sortie.
 Pour les sorties QuickTime : Compressor ajoute le fichier de sous-titres codés comme
piste de sous-titres codés au fichier de sortie QuickTime. Vous pouvez visualiser
les sous-titres codés à l’aide du lecteur QuickTime (version 7.2 ou ultérieure).
 Pour les sorties de flux élémentaire MPEG-2 : Compressor incorpore les données de soustitres codés à un flux vidéo élémentaire MPEG-2 pour qu’elles puissent être utilisées
pour la création de DVD. DVD Studio Pro retient ces données de sous-titres codés lorsque le flux vidéo est utilisé sur une piste dans un projet DVD NTSC de définition standard. Vous pouvez utiliser Apple DVD Player pour lire les fichiers de construction de
DVD Studio Pro et vérifier que les données de sous-titres codés sont bien présentes.Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources 89
 Pour les sorties de flux de transport et de programmation MPEG-2 : Compressor incorpore
les données de sous-titres codés aux flux de programmation et de transport MPEG-2 à
l’aide du protocole EIA-708 ATSC.
Important : les valeurs de timecode du fichier de sous-titres codés doivent être directement liées au timecode du fichier multimédia source. Vous pouvez ouvrir le fichier de
sous-titres codés dans TextEdit pour voir les valeurs de timecode qu’il contient (le texte
proprement dit est codé et n’est pas lisible de cette façon).
Pour ajouter une annotation :
1 Cliquez sur la tâche pour afficher les attributs du fichier dans la fenêtre de l’Inspecteur.
2 Cliquez sur l’onglet des informations supplémentaires.
3 Utilisez le menu local « Ajouter une annotation » pour choisir le type d’annotation.
4 Double-cliquez sur le champ de valeur correspondant et saisissez le texte d’annotation.90 Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources
Remarque : cette fonctionnalité Ajouter annotation est prise en charge par les formats
de sortie H.264 pour DVD Studio Pro, H.264 pour appareils Apple, MP3 et séquence
QuickTime.
Astuces pour l’importation de fichiers multimédia sources
Voici quelques astuces complémentaires pour l’importation de fichiers multimédia
sources.
Fichiers sources hautement compressés
Il est fortement recommandé de ne pas utiliser de fichiers sources hautement compressés, comme les fichiers MPEG, en guise de fichiers sources, car ils peuvent engendrer
des artefacts indésirables dans la vidéo encodée.
Séquences QuickTime de référence et traitement distribué
À proprement dit, seules les séquences QuickTime (et non les séquences QuickTime
de référence) sont prises en charge pour le traitement distribué. Si vous soumettez
une séquence de référence en vue d’un traitement distribué, assurez-vous alors que
les fichiers média spécifiés dans ladite séquence sont bel et bien disponibles à chacun
des nœuds de cluster Apple Qmaster. En d’autres termes, placez les données dans
le volume partagé (du stockage de cluster). Pour plus d’informations, consultez le guide
Configuration du traitement distribué.
Importation de fichiers MPEG-2
Lorsque vous importez un fichier MPEG-2, Compressor doit analyser le fichier avant que
vous ne puissiez le lire dans la fenêtre Preview. L’analyse du fichier implique la détermination de sa structure d’images et d’autres informations nécessaires le concernant. Comme
la structure d’images peut varier à travers le fichier, Compressor doit analyser l’intégralité
du fichier, ce qui peut prendre plusieurs minutes pour les fichiers les plus longs.
Cela n’arrive pas avec les fichiers élémentaires MPEG-2 encodés à l’aide de Compressor
lorsque la case « Ajouter les métadonnées DVD Studio Pro » est cochée. Consultez
la section « Onglet Compléments » à la page 211 pour obtenir plus d’informations.
À propos des fichiers multimédia sources Dolby Digital Professional
Vous pouvez utiliser des fichiers audio AC-3 Dolby Digital Professional comme fichiers
multimédia sources pour vos tâches. Il peut y avoir deux raisons à cela :
 Pour tester un fichier que vous venez d’encoder. Puisque vous ne pouvez pas prévisualiser les réglages de sortie Dolby Digital Professional, l’importation d’un fichier encodé
dans une tâche vous permet de le lire et d’en vérifier les réglages.
 Pour convertir un fichier audio Dolby Digital dans un autre format. Puisque tous les lecteurs multimédia ne sont pas équipés de décodeurs Dolby Digital, vous pouvez avoir
besoin de transcoder le fichier dans un autre format.Chapitre 4 Importation de fichiers multimédia sources 91
Compressor comprend un décodeur Dolby Digital qu’il utilise chaque fois que vous
lisez ou transcodez des fichiers audio Dolby Digital. Cela vous permet de vérifier
les réglages de sortie Dolby Digital Professional d’un fichier préalablement encodé sur
votre système sans devoir recourir à un décodeur Dolby Digital externe. Pour entendre
le son Surround, il vous faut un périphérique audio Surround connecté à la sortie USB
ou FireWire de votre ordinateur. L’audio est sous-mixé dans deux canaux si vous le lisez
à l’aide des haut-parleurs stéréo de votre système.
Important : la sortie audio étant déjà décodée sans être au format Dolby Digital, il est
impossible d’utiliser la sortie optique pour lire les fichiers Dolby Digital à partir de
Compressor.
? Astuce : ajoutez une extension « .ac3 » au nom de fichier si Compressor ne vous permet pas de l’ajouter à une tâche.
Valeurs automatiques et fichiers QuickTime non standard
Compressor utilise plusieurs tactiques pour déterminer les valeurs appropriées des
réglages en mode Automatique. Dans la plupart des cas, les fichiers QuickTime contiennent des métadonnées qui spécifient les nombreux attributs du fichier, comme la fré-
quence d’images et la dimension de l’image. Dans certains cas, les métadonnées ne
sont pas présentes, ce qui oblige Compressor à essayer de déterminer ces informations.
Il arrive également que ces métadonnées soient incorrectes et entraînent Compressor à
générer des valeurs incorrectes pour les réglages en mode Automatique.
De plus, certains fichiers QuickTime utilisent des réglages non standard qui obligent
Compressor à choisir une valeur automatique qui n’est pas forcément appropriée.
C’est pour toutes ces raisons qu’il vaut mieux utiliser les Inspecteurs pour vérifier
les valeurs des réglages en mode Automatique. Consultez la section « À propos des
réglages automatiques » à la page 58 pour obtenir plus d’informations.5
93
5 Création, aperçu et modification
des réglages
Un réglage est une combinaison d’attributs de transcodage,
comme le format de sortie, les filtres et les paramètres géométriques, que vous appliquez au fichier multimédia source
pendant le processus de transcodage.
Avant de pouvoir transcoder un fichier multimédia source, vous devez au moins lui
associer un réglage. Lorsqu’un fichier multimédia source se trouve dans la fenêtre Lot,
vous pouvez soit sélectionner un réglage préexistant, soit créer un réglage personnalisé à l’aide de l’onglet Réglages.
Une fois que vous disposez de tous les réglages dont vous pensez avoir besoin, il n’est
pas nécessaire d’ouvrir à nouveau l’onglet Réglages. Vous pouvez en effet sélectionner
les réglages directement dans la fenêtre Lot.
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 À propos de l’onglet Réglages (p. 94)
 Utilisation de l’Inspecteur avec les réglages (p. 98)
 Duplication des réglages (p. 99)
 Création d’un réglage entièrement nouveau (p. 100)
 Aperçu d’un réglage (p. 102)
 Suppression de réglages (p. 104)
 Création de groupes de réglages (p. 104)
 Distribution et partage de réglages (p. 106)
 Exemple : Création de réglages et de groupes personnalisés pour un DVD (p. 106)
Remarque : un réglage est simplement un type de préréglage Compressor. Vous pouvez également créer, modifier, enregistrer ou supprimer des préréglages de destination.
Pour en savoir plus sur les destinations, reportez-vous à la section « Création et changement de destinations » à la page 325. 94 Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages
À propos de l’onglet Réglages
L’onglet Réglages vous permet de gérer vos réglages. Conjointement avec la fenêtre
Inspecteur, l’onglet Réglages fournit également des détails concernant tous
les réglages, avec accès facile aux commandes de transcodage courantes.
L’onglet Réglages (utilisé conjointement avec la fenêtre Inspecteur) sert à créer,
modifier ou supprimer des réglages et à créer des dossiers de groupe destinés aux
réglages multiples. Il permet également de créer des droplets.
L’onglet Réglages contient la liste des réglages existants et les boutons nécessaires
à l’ajout, à la suppression et à la duplication d’un réglage, ainsi qu’à la création de
groupes et de droplets.
Boutons de l’onglet Réglages
Les boutons suivants sont situés dans le haut de l’onglet Réglages.
 Créer un groupe de réglage : cette option crée un dossier pour grouper des réglages
existants. Utilisez ce bouton comme un moyen d’organiser vos réglages dans un certain ordre logique, afin de conserver un onglet Réglages facile à parcourir. Une fois
les réglages créés, vous pouvez affecter un groupe entier de réglages à un fichier
multimédia source (en le faisant glisser sur le fichier source dans la fenêtre Lot),
ou vous pouvez créer une droplet contenant plusieurs réglages. Consultez la section
« Création de groupes de réglages » à la page 104 pour plus d’informations.
Cliquez sur les triangles
d’affichage pour afficher
ou masquer le contenu
d’un groupe de réglages.
Enregistrer la sélection
comme droplet
Créer un groupe
de réglage
Bouton « Dupliquer le
réglage sélectionné »
Bouton « Supprimer les
réglages sélectionnés »
Liste Réglages
Bouton « Créer
un réglage »
Exemple de réglageChapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages 95
 Enregistrer la sélection comme droplet : cliquez pour créer une droplet à partir d’un
réglage ou d’un groupe de réglages existant. Les droplets permettent de transcoder
un fichier de données en faisant glisser un ou plusieurs fichiers de données source
sur l’icône de la droplet. Une fois que vous avez sélectionné votre réglage ou votre
groupe de réglages et cliqué sur le bouton « Enregistrer la sélection comme
droplet », la zone de dialogue Enregistrer vous invite à attribuer un nom à votre droplet, à choisir un emplacement où l’enregistrer ainsi qu’un dossier de destination
pour les fichiers multimédias de sortie pertinents. Lorsque toutes ces opérations
ont été effectuées, votre droplet est prête et vous pouvez faire glisser sur son icône
autant de fichiers que vous le souhaitez. Consultez le chapitre 25, « Utilisation de
droplets », à la page 337 pour plus d’informations sur les droplets.
 Dupliquer le réglage sélectionné : cliquez sur cette option pour dupliquer un réglage
sélectionné dans l’onglet Réglages. Le bouton Dupliquer copie dans l’onglet Réglages exactement les paramètres du réglage actuellement sélectionné. Au lieu de créer
un réglage à partir d’un brouillon, utilisez cette fonction pour en créer un à partir
d’un réglage préexistant, que vous pouvez ensuite paramétrer selon vos besoins.
 Créer un réglage (+) : cette option ajoute un nouveau réglage à l’onglet Réglages.
Lorsque vous cliquez sur ce bouton, une zone de dialogue apparaît pour vous permettre de choisir le format du fichier de sortie (H.264 pour les appareils Apple,
MPEG-2, MPEG-4, etc.).
 Supprimer les réglages sélectionnés (–) : cette option supprime un réglage de l’onglet
Réglages. Aucune confirmation ne vous est demandée, soyez donc sûr de vouloir
supprimer le réglage avant de cliquer sur ce bouton.
Remarque : il n’est pas possible de supprimer les réglages Apple.96 Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages
Liste Réglages
Lorsque vous ouvrez l’onglet Réglages pour la première fois, il contient un jeu de réglages (Apple) préexistants fournis avec Compressor. L’onglet Réglages affiche le nom et
la description de tous les réglages et groupes existants stockés sur votre ordinateur.
De nouveaux réglages apparaissent dans le dossier de groupe Personnalisé avec
le nom par défaut « Sans titre ___ », où « ___ » est le format de fichier que vous avez
choisi dans le menu local (+). Il est judicieux de remplacer le nom du réglage par
une appellation plus significative, par exemple le nom du réglage ou de la méthode
de distribution associée au réglage. Cliquez sur le réglage dans l’onglet Réglages pour
l’ouvrir dans la fenêtre Inspecteur.
Groupe de réglages
Apple et ses
sous-groupes
Nouveau réglage
« Sans titre »
Cliquez sur un réglage
pour l’afficher dans
la fenêtre Inspecteur.
Saisissez le nom du
réglage sélectionné et
sa description dans
la fenêtre Inspecteur.Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages 97
Saisissez un nom dans le champ Nom de la fenêtre Inspecteur. Utilisez le champ
Description pour saisir plus d’informations sur chaque réglage. Ces informations apparaissent uniquement dans l’onglet Réglages et peuvent vous aider à identifier vos
fichiers lorsque vous disposez de nombreux réglages.
L’organisation des réglages dans des dossiers de groupe est une autre des possibilités
qui vous sont offertes. Pour cela, après avoir créé et nommé un dossier de groupe,
faites-y glisser n’importe quel réglage personnalisé existant. Lorsque vous faites glisser
un réglage sur un groupe, vous le supprimez de son emplacement courant. Vous pouvez également sélectionner des réglages individuels d’un groupe, puis les faire glisser
sur un fichier multimédia source. Consultez la section « Création de groupes de
réglages » à la page 104 pour plus d’informations.
Sélection d’une cible
Lorsque vous sélectionnez la cible d’un lot, son réglage apparaît immédiatement dans
la fenêtre Inspecteur et le champ Nom indique « Cible sélectionnée ». Il s’agit d’une
copie temporaire du réglage, mais pas du réglage en soi, ce qui vous permet d’y apporter des modifications temporaires, uniquement pour cet envoi du lot.
Dans la fenêtre Lot,
sélectionnez une cible
pour afficher ses réglages dans la fenêtre
Inspecteur.
Le nom du réglage
est affiché comme
« Cible sélectionnée ».
Cliquez sur le bouton
Enregistrer sous afin
d’enregistrer le nouveau réglage qui
contiendra toutes
les modifications
apportées.98 Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages
Lorsque vous modifiez le réglage de la cible, le bouton Enregistrer sous en bas de
la fenêtre Inspecteur devient actif. Cliquez sur Enregistrer sous afin d’attribuer un nouveau nom au réglage modifié. La copie enregistrée s’affiche dans l’onglet Réglages sous
le nom Copie de Nom du réglage et devient immédiatement le réglage sélectionné dans
l’onglet Réglages.
Utilisation de l’Inspecteur avec les réglages
La fenêtre Inspecteur contient les sous-fenêtres suivantes, lesquelles permettent de créer
et de modifier tous les réglages liés à votre fichier de données multimédias de sortie,
comme les filtres, la géométrie ou le format de sortie.
 Sous-fenêtre Résumé : offre un résumé détaillé d’un réglage sélectionné. Consultez
la section « Sous-fenêtre Résumé » à la page 61 pour de plus amples informations sur
cette sous-fenêtre.
 Sous-fenêtre Encodeur : permet de sélectionner un format de sortie de sortie et
d’autres réglages audio et vidéo connexes. Consultez les sections spécifiques ci-dessous pour de plus amples informations sur les différentes sous-fenêtres Encodeur :
 « À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder » à la page 134
 « À propos de la sous-fenêtre Encodeur Dolby Digital Professional » à la page 140
 « À propos de la sous-fenêtre Encodeur DV » à la page 157
 « À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour appareils Apple » à la page 160
 « À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour DVD Studio Pro » à la page 165
 « À propos de la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images » à la page 174
 « À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 » à la page 183
 « À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 » à la page 198
 « À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 » à la page 226
 « À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder QuickTime » à la page 238
 « À propos de la sous-fenêtre Encodeur Composants d’exportation au format
QuickTime » à la page 255
 Sous-fenêtre « Contrôles d’images » : permet de personnaliser les modifications relatives à la taille des images, à leur fréquence ou à la priorité de trame. (Pour plus
d’informations, reportez-vous à la section « Utilisation des contrôles d’images » à la
page 273.)
 Sous-fenêtre Filtres : permet d’ajouter des filtres aux réglages afin d’améliorer la
qualité des fichiers de sortie. (Pour plus d’informations, reportez-vous à la section
« À propos de la sous-fenêtre Filtres » à la page 260.)
 Sous-fenêtre Géométrie : permet de rogner et de définir la taille du cadre du fichier de
données multimédias de sortie. (Pour plus d’informations, reportez-vous à la section
« Ajout de réglages de géométrie » à la page 287.)Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages 99
 Sous-fenêtre Actions : permet d’exécuter des scripts AppleScript et d’envoyer des
notifications par message électronique. (Pour plus d’informations, reportez-vous à
la section « Ajout d’actions à un réglage » à la page 297.)
La fenêtre Inspecteur permet aussi d’attribuer un nom à vos réglages et d’ajouter des
descriptions qui vous permettront ultérieurement de vous rappeler plus facilement des
modifications personnalisées que vous avez effectuées.
Duplication des réglages
S’il existe un réglage qui contient des attributs que vous souhaitez utiliser dans un autre
réglage, au lieu de créer un nouveau réglage, vous pouvez dupliquer le réglage existant
et apporter les modifications nécessaires à la copie. La méthode la plus pratique pour
créer des réglages personnalisés consiste à dupliquer un réglage prédéfini Apple et à
adapter la copie de sorte qu’elle réponde à vos besoins.
Pour dupliquer un réglage :
1 Sélectionnez sous l’onglet Réglages le réglage que vous souhaitez dupliquer.
2 Cliquez sur le bouton Dupliquer le réglage sélectionné.
Un nouveau réglage apparaît dans le dossier Personnalisé et la mention Sans titre est
ajoutée au début du nom original.
3 Sélectionnez le nouveau réglage dans le dossier Personnalisé.
4 Ouvrez les sous-fenêtres Inspecteur suivantes afin de modifier les éléments suivants :
 Nom et description du réglage : permet de modifier le nom et la description du réglage
de sorte que vous puissiez vous rappeler plus facilement pourquoi vous avez créé ce
réglage personnalisé.
 Sous-fenêtre Encodeur : permet de modifier le format de sortie et les codecs vidéo et
audio, ainsi que les attributs qui y sont associés.
 Sous-fenêtre Contrôles d’images : permet de changer les attributs souhaités dans
la sous-fenêtre Contrôles d’images.
Sélectionnez le réglage
à dupliquer
Cliquez sur le bouton « Dupliquer
le réglage sélectionné » pour
dupliquer le réglage sélectionné100 Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages
 Sous-fenêtre Filtres : permet la modification des attributs des filtres. Pour ajouter ou
supprimer un filtre d’un réglage, cochez ou décochez respectivement la case située
en regard du filtre concerné.
 Sous-fenêtre Géométrie : permet de modifier n’importe quel attribut de la sous-fenê-
tre Géométrie.
 Sous-fenêtre Actions : permet de modifier n’importe quel attribut de la sous-fenêtre
Actions.
5 Si vous avez modifié le réglage d’une façon ou d’une autre, vous pouvez effectuer l’une
des opérations suivantes pour enregistrer les modifications :
 Cliquez sur le bouton Enregistrer en bas de la fenêtre de l’Inspecteur afin d’enregistrer les modifications.
 Essayez de sélectionner n’importe quel autre réglage.
Une zone de dialogue vous demande si vous souhaitez enregistrer les attributs
modifiés.
Cliquez sur OK pour enregistrer les modifications, ou sur Revenir pour annuler
les modifications et retourner à l’Inspecteur.
Consultez la section « Affectation de réglages à des fichiers multimédia sources » à la
page 110 pour plus d’informations sur l’attribution de réglages.
Création d’un réglage entièrement nouveau
Si les réglages préexistants ne répondent pas à vos besoins en matière de transcodage
ou que vous souhaitez simplement en ajouter de nouveaux, vous pouvez créer vos
réglages.
Remarque : la procédure recommandée pour créer des réglages personnalisés consiste à dupliquer un réglage prédéfini Apple, puis à adapter la copie de sorte qu’elle
réponde à vos besoins. Pour en savoir plus sur la duplication de réglages, reportez-vous
à la section « Duplication des réglages » à la page 99.Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages 101
Pour créer un réglage :
1 Dans l’onglet Réglages, cliquez sur le bouton Ajouter (+), puis choisissez un format de
sortie dans le menu local.
Un nouveau réglage nommé Sans titre suivi du format de fichier de sortie (par exemple, Sans titre MPEG-2) apparaît dans le dossier Personnalisé de l’onglet Réglages.
La fenêtre Inspecteur change également pour afficher les paramètres de ce réglage.
Remarque : vous pouvez toujours changer le format du fichier de sortie de ce réglage
dans la sous-fenêtre Encodeur de l’Inspecteur, mais prenez soin de changer le nom du
réglage afin de refléter son format de fichier de sortie.
Nouveau réglage
sans titre102 Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages
2 Saisissez un nom et une description appropriés dans les champs Nom et Description
de la fenêtre Inspecteur.
3 Configurez le réglage selon vos besoins dans la fenêtre Inspecteur.
4 Cliquez sur Enregistrer pour enregistrer le réglage.
Consultez la section « Affectation de réglages à des fichiers multimédia sources » à la
page 110 pour plus d’informations sur l’attribution de réglages.
Remarque : il est possible de créer des groupes de réglages, que vous pouvez ensuite
appliquer à un fichier de données multimédias en une seule étape. Consultez la section « Création de groupes de réglages » à la page 104 pour plus d’informations.
Aperçu d’un réglage
La fenêtre Preview de Compressor permet de voir les effets de votre réglage (par exemple, les filtres et le redimensionnement du cadre) et d’ajuster ces attributs pendant
la prévisualisation du fichier de données multimédia en temps réel.
Remarque : il n’est pas possible de prévisualiser un réglage seul. Il faut tout d’abord
qu’il ait été affecté à une tâche avec un fichier multimédia source.
Important : il n’est pas possible de prévisualiser les réglages des sous-fenêtres
« Contrôles d’images » et Encodeur. Si vous souhaitez voir les effets de vos réglages
dans ces deux sous-fenêtres, vous pouvez utiliser la fenêtre Preview pour sélectionner
une petite partie du fichier multimédia source à transcoder, puis afficher le fichier de
sortie pour voir les résultats. Consultez la section « Soumission d’un lot » à la page 120
pour plus d’informations.
Pour visualiser votre réglage dans la fenêtre Preview :
1 Appliquez le réglage à une tâche faisant partie d’un lot. Consultez la section
« Affectation de réglages à des fichiers multimédia sources » à la page 110 pour
plus d’informations.
2 Sélectionnez la cible avec le réglage que vous souhaitez prévisualiser dans la fenêtre Lot.
3 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Dans la fenêtre Lot, cliquez sur le réglage.
 Cliquez sur le bouton Preview. Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages 103
La première image du fichier multimédia source sélectionné s’affiche dans la fenêtre
Preview et le titre du réglage sélectionné apparaît dans le menu local « Élément de lot ».
La moitié gauche de l’écran affiche le fichier multimédia source sous sa forme originale
(vue Source), alors que la moitié droite affiche l’image de sortie telle qu’elle apparaîtrait
en lui appliquant les filtres et les paramètres de réglage sélectionnés (vue Sortie).
4 Le cas échéant, ajustez tous les paramètres de votre réglage pendant la prévisualisation du fichier de données multimédia dans la fenêtre Preview.
Vue Source Vue Sortie
Bouton de
sélection Élément
Menu local Élément
Cette moitié de la
fenêtre Preview
montre les effets
des modifications
apportées dans la
fenêtre Inspecteur.
Apportez les modifications pendant la prévisualisation du fichier de
données multimédias
dans la fenêtre Preview.
Sélectionnez l’élément
que vous souhaitez
modifier.104 Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages
Remarque : pour prévisualiser les effets de vos filtres sur votre fichier multimédia,
prenez soin de sélectionner les filtres que vous souhaitez appliquer en cochant leur
case respective dans la liste Filtres. Dans le cas contraire, les filtres non sélectionnés ne
sont pas reconnus par la fenêtre Preview et ils n’entrent pas en compte dans les paramètres de transcodage de cette tâche. Consultez le chapitre 23, « Utilisation de la
fenêtre Preview », à la page 303 pour plus d’informations sur la prévisualisation de vos
réglages, et la section « À propos de la sous-fenêtre Filtres » à la page 260 pour plus
d’informations sur les filtres.
Suppression de réglages
Pour supprimer des réglages personnalisés, cliquez sur le bouton « Supprimer le
réglage sélectionné ».
Remarque : il n’est pas possible de supprimer les réglages Apple.
Pour supprimer un réglage :
1 Sélectionnez le réglage que vous souhaitez supprimer.
2 Cliquez sur le bouton « Supprimer le réglage sélectionné » (–) ou appuyez sur la touche
Suppr. de votre clavier.
Création de groupes de réglages
La création d’un groupe de réglages permet d’associer rapidement plusieurs réglages
à un fichier multimédia source.
Pour créer un groupe de réglages :
1 Cliquez sur le bouton Grouper de l’onglet Réglages.
Avertissement : aucun avertissement n’est affiché si vous supprimez un réglage,
et cette opération est irréversible.Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages 105
Un dossier nommé Sans titre apparaît sous l’onglet Réglages et la colonne Description indique 0 réglages. Vous ne pouvez pas modifier ce champ, qui affiche le nombre de réglages
que le groupe contient.
2 Saisissez un nom de groupe pertinent dans le champ Nom de l’Inspecteur.
3 Sous l’onglet Réglages, faites glisser les réglages appropriés dans le dossier de groupe.
Remarque : vous pouvez aussi créer des hiérarchies de groupes (c’est-à-dire d’autres
groupes à l’intérieur des groupes). Pour ce faire, il suffit de faire glisser un dossier de
groupe dans un autre dossier de groupe.
Le champ Description indique le nombre de réglages contenus par le groupe. Après
avoir placé au moins un réglage dans le dossier de groupe, cliquez sur le triangle situé
à gauche du dossier pour afficher ou cacher les détails concernant le groupe de réglages. Enfin, pour connaître en détail les réglages que contient chaque groupe,
sélectionnez-en un, puis consultez la sous-fenêtre Résumé de la fenêtre Inspecteur.
Cliquez sur
le bouton Grouper.
Un nouveau groupe
intitulé « sans titre »
et contenant
0 réglages est créé.
Tapez un nom pour
le nouveau groupe.
Ce groupe personnalisé
contient trois autres
groupes personnalisés
disposant chacun de
leurs propres réglages.106 Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages
Remarque : vous pouvez également faire glisser les réglages d’un groupe vers
un autre.
Pour ajouter le même réglage à plusieurs groupes :
1 Sélectionnez le réglage.
2 Cliquez sur le bouton Dupliquer pour en créer une copie, puis renommez le réglage
dupliqué.
3 Faites glisser le réglage dupliqué dans le dossier d’un autre groupe.
Distribution et partage de réglages
Les réglages préexistants et les nouveaux réglages sont stockés en tant que fichiers
XML dans le dossier de départ /Utilisateurs/nom d’utilisateur/Bibliothèque/Application
Support/Compressor et portent l’extension de fichier .setting. Vous pouvez distribuer et
partager ces réglages en les plaçant dans le même emplacement dans le dossier principal de l’ordinateur sur lequel vous les distribuez. Vous pouvez aussi transférer ces
fichiers au moyen de la méthode que vous utiliseriez pour distribuer tout autre fichier,
c’est-à-dire en les envoyant par message électronique comme pièce jointe ou en
les téléchargeant sur un serveur.
Exemple : Création de réglages et de groupes personnalisés
pour un DVD
Dans cet exemple, vous travaillez sur un projet HD qui sera finalement enregistré sur
un DVD HD et sur un DVD SD. Vous devez pour cela fournir d’abord les DVD SD contenant les rushes.
Une méthode aisée pour ce faire consiste à créer deux groupes de réglages :
 Réglages pour les rushes : ces réglages devraient comprendre un encodeur audio AIFF
(étant donné que vous souhaitez une réalisation rapide et que l’espace disque ne
posera probablement aucun problème) et un encodeur MPEG-2 dont la taille
d’image SD utilise les réglages les plus rapides (puisque la qualité n’est pas votre pré-
occupation première). Il pourrait aussi s’agir d’un encodeur HD si vous disposez
d’un appareil vous permettant de lire facilement les DVD HD.
 Réglages pour le disque final : ces réglages devraient comprendre un encodeur audio
AC-3, un encodeur vidéo HD H.264 pour DVD et un encodeur MPEG-2 utilisant
les contrôles d’images pour garantir une vidéo de sortie HD de qualité supérieure.
 Vous devrez très probablement créer un troisième groupe de réglages portant
le même nom que ce projet et contenant les deux groupes ci-dessus.Chapitre 5 Création, aperçu et modification des réglages 107
Pour créer les groupes destinés aux rushes et aux sorties finales :
1 Dans l’onglet Réglages, cliquez trois fois sur le bouton Grouper pour créer trois nouveaux groupes sans titre.
2 Sélectionnez le premier des nouveaux groupes et, à l’aide de la fenêtre Inspecteur,
attribuez-lui le même nom que le projet.
3 Sélectionnez le deuxième des nouveaux groupes et nommez-le Rushes.
4 Sélectionnez le troisième des nouveaux groupes et nommez-le Disques finaux.
5 Dans l’onglet Réglages, faites glisser les groupes Rushes et Disques finaux vers le haut
jusqu’à ce qu’une zone de couleur noire entoure le groupe portant le même nom que
le projet, puis relâchez-les.
Remarque : il est possible de sélectionner plusieurs groupes ou réglages en appuyant
sur la touche Maj et en la maintenant enfoncée lorsque vous cliquez sur ces éléments.
Cette manipulation a pour effet de placer les deux groupes à l’intérieur du groupe
du projet.
6 Recherchez parmi les réglages Apple ceux dont la fonction correspond le mieux
à la fonction souhaitée de chaque réglage au sein des nouveaux groupes.
7 Faites une copie de chaque réglage en cliquant sur le bouton « Dupliquer le réglage
sélectionné ».
8 Sélectionnez chaque réglage copié, renommez-le, puis faites-le glisser jusque dans
le dossier approprié.
Vous pouvez ensuite sélectionner chaque réglage et lui apporter toute modification
nécessaire.
Une fois les fichiers multimédias sources importés et leurs tâches créées, il vous suffit
d’affecter le groupe approprié (Rushes ou Disques finaux) pour que tous les réglages
appropriés soient appliqués aux cibles.
Ce groupe personnalisé
contient les autres groupes personnalisés qui disposent chacun de leurs
propres réglages.
Ce groupe personnalisé
contient les réglages utilisés pour créer les rushes.
Ce groupe personnalisé
contient les réglages
utilisés pour créer le
disque final.6
109
6 Finalisation de tâches et
soumission de lots
Une tâche consiste en un fichier multimédia source et au
moins une cible (constituée d’un réglage et d’une destination) qui lui est affectée. Vous avez créé les tâches en
important des fichiers multimédia sources. L’ajout de cibles
les prépare pour la soumission au transcodage.
Vous avez créé une tâche en important des fichiers multimédia sources dans un lot.
Pour que la tâche soit terminée et prête à être soumise au transcodage, vous devez lui
ajouter une ou plusieurs cibles. Chaque cible contient un réglage qui détermine toutes
les informations concernant ce que doit devenir le fichier une fois transcodé,
ainsi qu’une destination déterminant l’emplacement d’enregistrement du fichier transcodé et le mode de création de son nom. Chaque cible permet également de saisir
manuellement le nom du fichier de sortie.
Compressor vous propose toute une gamme d’options destinées à affecter des réglages et des destinations à vos cibles et à soumettre des lots.
Remarque : consultez les sections « À propos de l’onglet Réglages » à la page 94 et
« À propos de l’onglet Destinations » à la page 326 pour plus d’informations sur la création de préréglages dans ces fenêtres.
Concernant l’attribution de réglages et de destinations et l’envoi de lots, veuillez aussi
consulter les sections suivantes :
Affectation de réglages
 Affectation de réglages à des fichiers multimédia sources (p. 110)
 Remplacement d’un réglage affecté par un autre réglage (p. 113)
 Modification d’un réglage affecté (p. 114)110 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots
Attribution de destinations
 Affectation de destinations aux fichiers multimédia sources (p. 115)
 Réglage du nom de fichier de sortie (p. 117)
Informations générales sur les cibles et les tâches
 À propos des cibles (p. 117)
 À propos de l’ajout et de la copie de tâches (p. 118)
 À propos de l’enchaînement de tâches (p. 119)
Soumission de lots
 Soumission d’un lot (p. 120)
 Nouvelle soumission d’un lot (p. 124)
 Envoi d’un projet Final Cut Pro pour transcodage (p. 126)
 Transcodage de différents plans à partir d’un fichier multimédia source (p. 131)
Enregistrement et ouverture de lots
 Enregistrement et ouverture d’un lot (p. 125)
Affectation de réglages à des fichiers multimédia sources
Il existe de nombreuses méthodes permettant d’affecter des réglages à une tâche.
Certaines, comme faire glisser le réglage depuis l’onglet Réglages, conviennent mieux
pour travailler avec une tâche individuelle, tandis que d’autres, comme le recours au
menu contextuel, sont plus appropriées pour affecter les mêmes réglages à un groupe
de tâches.
Remarque : les étapes suivantes impliquent que vous avez déjà ajouté des fichiers
multimédia sources à un lot, créant ainsi les tâches auxquelles vous ajoutez les réglages. Consultez le chapitre 4, « Importation de fichiers multimédia sources », à la
page 77 pour plus de détails sur l’importation de fichiers multimédia sources.
? Astuce : vous pouvez cliquer sur le triangle d’affichage d’un groupe de réglages tout
en maintenant la touche Option enfoncée pour développer ce groupe (et tous ses
sous-groupes) et afficher tous les réglages qu’il contient.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 111
Pour affecter un réglage à une tâche par glissement :
1 Sélectionnez un ou plusieurs réglages ou groupes de réglages dans l’onglet Réglages.
2 Faites glisser les réglages sur la tâche dans la fenêtre Lot.
Une nouvelle cible est créée pour chaque réglage ajouté à la tâche du lot.
Remarque : vous ne pouvez appliquer les réglages qu’à une seule tâche si vous procé-
dez par glisser-déposer.
Tâche avec fichier multimédia source dans la
fenêtre Lot.
Sélectionnez un ou plusieurs réglages (deux
dans notre cas) à appliquer à la tâche.
De nouvelles cibles sont
ajoutées pour chaque
réglage que vous avez
fait glissé sur la tâche.112 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots
Pour affecter un réglage à une tâche à l’aide du menu Cible :
1 Sélectionnez une ou plusieurs tâches dans le lot actuel de la fenêtre Lot.
2 Choisissez Cible > Ajouter une cible avec réglage.
La zone de dialogue de sélection de réglages apparaît par-dessus la fenêtre Lot.
3 Choisissez un ou plusieurs réglages ou groupes de réglages à affecter aux tâches
et cliquez sur Ajouter.
Les réglages sont affectés à chacune des tâches sélectionnées.
Pour affecter un réglage à une tâche à l’aide du menu contextuel :
1 Sélectionnez une ou plusieurs tâches dans le lot actuel de la fenêtre Lot.
2 Cliquez sur l’une des tâches sélectionnées en maintenant la touche Contrôle enfoncée
et choisissez « Ajouter une cible avec réglage » dans le menu contextuel. Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 113
Le menu contextuel affiche la liste des réglages en fonction de leurs groupes. Vous ne
pouvez pas choisir directement un groupe à affecter, mais chacun dispose d’un élément
« Tous » qui sélectionne tous les réglages du groupe.
Remarque : cette méthode ne permet pas de sélectionner plusieurs réglages individuels.
3 Choisissez soit un réglage, soit Tous pour choisir tous les réglages d’un groupe.
Les réglages s’appliquent à toutes les tâches sélectionnées.
Remplacement d’un réglage affecté par un autre réglage
Lorsque vous avez affecté un réglage à une tâche, vous pouvez trouver un réglage plus
adéquat et décider de remplacer le réglage de la cible par un autre. Plusieurs méthodes permettent de modifier les réglages d’une cible. Elles conservent toutes les réglages de destination et le nom de fichier de sortie tels quels.
Pour remplacer un réglage déjà affecté à une cible par un autre, procédez de l’une
des manières suivantes :
m Choisissez Cible > Modifier le réglage. La zone de dialogue de sélection de réglages
s’ouvre pour vous permettre de choisir un nouveau réglage et de cliquer sur Ajouter
pour l’affecter à la cible sélectionnée.
m Cliquez sur la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez
Modifier le réglage dans le menu contextuel. La zone de dialogue de sélection de
réglages s’ouvre pour vous permettre de choisir un nouveau réglage et de cliquer sur
Ajouter pour l’affecter à la cible sélectionnée.
m Sélectionnez le nouveau réglage dans l’onglet Réglages et faites-le glisser sur la cible.
Remarque : avec toutes les méthodes ci-dessus, si vous sélectionnez plusieurs réglages,
seul celui du haut est affecté à la cible. 114 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots
Modification d’un réglage affecté
Vous pouvez modifier ou changer tout composant d’un réglage ayant déjà été affecté à
un fichier multimédia source dans la fenêtre Lot (identifié comme Cible sélectionnée
dans la fenêtre Inspecteur).
Pour modifier un réglage associé à un fichier multimédia source dans la fenêtre Lot :
1 Sélectionnez la cible dans le lot avec le réglage que vous souhaitez changer.
Le réglage apparaît dans la fenêtre Inspecteur avec « Cible sélectionnée » dans
le champ Nom. Il s’agit d’une copie temporaire du réglage, mais pas du réglage en soi,
ce qui vous permet d’y apporter des modifications temporaires, uniquement pour cet
envoi du lot.
2 Procédez aux modifications du réglage.
Lorsque vous modifiez le réglage, le bouton Enregistrer sous en bas de la fenêtre
Inspecteur devient actif.
3 Cliquez sur Enregistrer sous afin d’attribuer un nouveau nom au réglage modifié.
La copie enregistrée s’affiche dans l’onglet Réglages sous le nom Copie de Nom du
réglage et devient immédiatement le réglage sélectionné dans l’onglet Réglages.
Remarque : il n’est pas nécessaire de l’enregistrer, mais cela peut s’avérer utile au cas
où vous devriez le réutiliser plus tard.
Sélectionnez une cible
dans la fenêtre Lot pour
afficher ses réglages
dans la fenêtre
Inspecteur.
Le nom du réglage
est affiché comme
« Cible sélectionnée ».
Cliquez sur le bouton
Enregistrer sous pour
l’enregistrer comme
nouveau réglage avec
les modifications que
vous avez effectuées.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 115
Affectation de destinations aux fichiers multimédia sources
Lorsque vous affectez des réglages à vos cibles, la destination par défaut est également affectée automatiquement. Vous pouvez définir la destination par défaut dans les
préférences de Compressor. Sélectionnez Compressor > Préférences. Il peut s’agir d’une
destination fournie avec Compressor ou d’une destination personnalisée que vous avez
créé. Consultez la section « Création d’une destination » à la page 328 pour plus d’informations sur l’utilisation des destinations.
Vous pouvez remplacer la destination par défaut par une autre ou même modifier
manuellement un emplacement dans lequel enregistrer le fichier de sortie. Il existe différents moyens permettant d’affecter une destination à un fichier source. Comme pour
l’affectation de réglages, les différentes méthodes ont toutes leurs avantages.
Pour affecter une destination en procédant par glisser-déposer :
1 Sélectionnez une destination dans l’onglet Destinations.
2 Faites glisser la destination sur la cible dans la fenêtre Lot.
Faites glisser la destination sur une tâche avec
cible dans la fenêtre Lot.
Sélectionnez une
destination à
appliquer à la cible.116 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots
La partie destination de la cible pointe vers la nouvelle destination.
Remarque : vous ne pouvez appliquer les réglages à une seule tâche que lorsque vous
les lui affectez par glissement. De plus, vous ne pouvez pas créer de destination temporaire avec cette méthode.
La méthode glisser-déposer permet également de créer une nouvelle cible
(avec un réglage vide) en faisant glisser la destination vers une partie vide de la tâche.
Pour affecter une destination à l’aide du menu contextuel ou du menu Cible :
1 Sélectionnez toutes les cibles sur lesquelles vous voulez régler la destination.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Choisissez Cible > Destination > destination.
 Cliquez sur l’une des cibles tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée et choisissez Destination > destination dans le menu contextuel.
Remarque : vous pouvez également attribuer une destination temporaire en choisissant Autre. Cela entraîne l’ouverture de la zone de dialogue Sélection de fichier,
qui vous permet de créer une nouvelle destination exclusivement destinée à l’envoi
de ce lot. Elle n’est pas enregistrée et ne s’applique qu’au lot soumis.
Lorsque vous avez affecté toutes les destinations, elles s’affichent dans la section
Destination de la cible.
Menu contextuel
DestinationChapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 117
Réglage du nom de fichier de sortie
En plus de définir l’emplacement du fichier de sortie, les destinations déterminent
la manière de créer le nom du fichier de sortie. Lorsque vous avez affecté une destination, le nom du fichier de sortie est complet. Vous pouvez choisir de l’utiliser tel quel,
de le modifier manuellement ou de saisir un nouveau nom.
Pour modifier ou saisir un nouveau nom de fichier de sortie :
m Cliquez dans la zone du nom de fichier de sortie et modifiez le nom existant ou triplecliquez sur le nom du fichier pour en saisir un nouveau.
À propos des cibles
Les cibles contiennent trois éléments :
 Le réglage
 La destination
 Le nom du fichier de sortie
Le nom du fichier
de sortie
Le réglage La destination
Le nom du fichier
de sortie
Faites glisser les séparateurs
pour agrandir la section d’une
cible et rendre l’entrée
plus visible.
Les boutons Ajouter et
Supprimer de la cible118 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots
Vous pouvez utiliser diverses méthodes pour ajouter des réglages à une tâche. La plus
courante consiste à ajouter un réglage ou une destination à la tâche. Vous pouvez également utiliser une des méthodes suivantes.
Pour ajouter une cible vide à une tâche, procédez de l’une des manières suivantes :
m Sélectionnez une ou plusieurs tâches et choisissez Cible > Ajouter une cible. Cela
ajoute une cible vide aux tâches.
m Sélectionnez une ou plusieurs tâches, cliquez sur une de ses zones vides en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Cible > Ajouter une cible. Cela ajoute
une cible vide aux tâches.
m Cliquez sur le bouton Ajouter (+) d’une cible existante.
Vous pouvez également copier une ou plusieurs cibles d’une tâche à l’autre :
Pour copier des cibles dans une autre tâche par glisser-déposer :
1 Sélectionnez les cibles à copier.
2 Appuyez sur la touche Option, puis faites glisser les cibles sur la nouvelle tâche.
Pour supprimer des cibles, procédez d’une des manières suivantes :
m Sélectionnez une ou plusieurs cibles et appuyez sur Supprimer.
m Cliquez sur le bouton Supprimer (–) dans une cible.
À propos de l’ajout et de la copie de tâches
Les tâches sont créées, la plupart du temps, en ajoutant des fichiers multimédia sources à un lot. Il existe plusieurs méthodes pour ajouter des tâches à un lot. De plus,
vous pouvez enchaîner des tâches dans un lot pour définir l’ordre dans lequel
les fichiers sont transcodés lorsqu’ils ont été soumis.
Pour ajouter une tâche vide à un lot :
m Choisissez Tâches > Nouvelle tâche.
Pour supprimer une tâche d’un lot :
m Sélectionnez la tâche et appuyez sur la touche Supprimer.
Pour copier des tâches d’un lot à l’autre, procédez d’une des manières suivantes :
m Ouvrez chaque lot dans sa propre fenêtre et faites glisser les tâches d’une fenêtre à
l’autre.
m Sélectionnez les tâches à copier, appuyez sur Commande + C, sélectionnez le lot dans
lequel copier et appuyez sur Commande + V.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 119
À propos de l’enchaînement de tâches
L’enchaînement de tâches est utile lorsque vous devez appliquer plusieurs réglages
à un fichier multimédia source mais que vous ne pouvez appliquer chaque réglage
qu’une fois que le précédent est terminé. Cela vous permet de contrôler l’ordre dans
lequel les réglages peuvent modifier le fichier multimédia source.
Pour enchaîner toutes les cibles dans une tâche à de nouvelles tâches :
1 Sélectionnez la tâche dont vous voulez enchaîner les cibles à d’autres tâches.
2 Choisissez Tâches > Nouvelle tâche avec sortie cible.
De nouvelles tâches sont ajoutées au lot avec un symbole de chaîne et le nom
du fichier de sortie des cibles auxquelles est enchaîné.
Pour enchaîner des cibles sélectionnées à d’autres tâches :
1 Sélectionnez les tâches dont vous voulez enchaîner les sorties à d’autres tâches.
2 Cliquez sur l’une des cibles sélectionnées en maintenant la touche Contrôle enfoncée
et choisissez « Nouvelle tâche avec sortie cible » dans le menu contextuel.
De nouvelles tâches sont ajoutées au lot avec un symbole de chaîne et le nom du
fichier de sortie des cibles auxquelles est enchaîné.
Vous pouvez enchaîner des tâches multiples si vous le désirez. Consultez la section
« Création de vidéo PAL lors du processus de télécinéma inverse » à la page 282 pour
voir un exemple d’enchaînement de deux tâches.
Le nom source de
la tâche enchaînée est
le fichier de sortie
de la cible à laquelle
il est enchaîné.
Ce logo de chaîne
constitue la vignette de
la tâche enchaînée.120 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots
Soumission d’un lot
Lorsque vous avez configuré les tâches et leurs cibles dans un lot, vous êtes prêt
à soumettre le lot pour le traitement.
Pour envoyer un lot :
1 Assurez-vous que le lot à envoyer est sélectionné dans la fenêtre Lot.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Choisissez Fichier > Soumettre (ou appuyez sur Commande + Option + S).
 Cliquez sur le bouton Soumettre dans la fenêtre Lot.
La zone de dialogue correspondante est affichée.
3 Vérifiez le champ Nom pour confirmer le nom du lot.
Par défaut, il s’agit du nom du premier fichier multimédia source du lot. Vous pouvez
le modifier afin qu’il reflète mieux le contenu du lot. Ce nom sera utilisé pour la soumission du lot dans Batch Monitor et dans la fenêtre Historique.
4 Utilisez le menu local Cluster pour choisir l’ordinateur ou le cluster qui doit traiter le lot.
Le réglage de cluster par défaut est « Cet ordinateur » ; Compressor n’implique donc
aucun autre ordinateur pour traiter le lot. Vous pouvez choisir n’importe quel cluster
disponible présent dans la liste. Consultez le guide Configuration du traitement distribué
pour de plus amples informations sur la configuration d’un réseau de traitement distribué Apple Qmaster.
5 Cochez la case « Inclure des services non gérés sur d’autres ordinateurs » pour créer
un cluster approprié comprenant « Cet ordinateur » et tout autre nœud de service
disponible.
Cela fait partie de la fonction AutoCluster. Consultez la section « À propos d’AutoCluster
et des services non gérés » à la page 121 pour plus d’informations.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 121
6 Utilisez le menu local Priorité pour choisir le niveau de priorité du lot.
7 Cliquez sur Soumettre ou appuyez sur Entrée pour soumettre le lot au traitement.
La fenêtre Historique affiche la progression du lot. Consultez la section « À propos de la
fenêtre Historique » à la page 123 pour plus d’informations.
Remarque : la fenêtre Historique s’ouvre automatiquement si elle n’est pas encore
ouverte.
Vous pouvez suivre la progression du transcodage à l’aide de Batch Monitor en doublecliquant sur l’icône Batch Monitor qui se trouve dans le dossier Utilitaires, dans le dossier Applications, ou en cliquant sur son icône dans la fenêtre Lot. Pour en savoir plus
sur Batch Monitor, consultez le Manuel de l’utilisateur de Batch Monitor disponible via
le menu Aide.
Vous pouvez configurer Batch Monitor pour qu’il s’ouvre automatiquement dans
la fenêtre Préférences de Compressor. Consultez la section « Configuration des
préférences de Compressor » à la page 39 pour obtenir plus d’informations.
Remarque : lors du traitement d’un lot volumineux (par exemple, neuf fichiers multimédia sources associés chacun à trois réglages), l’envoi est suivi d’un délai d’environ
dix secondes pendant lequel rien ne se passe. Soyez patient ! Compressor profite de ce
délai pour préparer le lot en question afin de pouvoir l’envoyer dans les meilleures conditions pour traitement. Si vous souhaitez transcoder un lot volumineux, il est conseillé
de désactiver l’écran de veille de votre ordinateur. Ceci augmente la vitesse du transcodage, car aucune ressource n’est réservée à l’écran de veille.
À propos d’AutoCluster et des services non gérés
Compressor comporte une fonction nommée AutoCluster qui permet de profiter facilement des capacités de traitement distribué offertes par Apple Qmaster sans devoir
disposer de beaucoup de connaissances sur la façon dont les clusters sont configurés,
sur la configuration du partage de fichiers, etc.
L’utilisation d’AutoCluster se fait en deux étapes :
 Création automatique de nœuds du service Apple Qmaster lors de l’installation de
Final Cut Studio ou Apple Qmaster.
 Sélection de la case « Inclure des services non gérés sur d’autres ordinateurs » lorsque vous envoyez un lot Compressor en vue de le traiter.
Ces deux étapes permettent de maîtriser la puissance de traitement d’un nombre
quelconque d’ordinateurs sur votre réseau sans effort ni connaissances supplémentaires de votre part.
Pour en savoir plus, consultez le Guide de configuration du traitement distribué disponible via le menu Aide de Compressor.122 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots
Lorsque le lot a été soumis, un triangle jaune avec un point d’exclamation apparaît
dans le lot.
Compressor utilise ces symboles chaque fois qu’il y a un problème dans un lot. Vous
pouvez placer le pointeur au-dessus du symbole pour afficher une bulle d’aide expliquant sa présence ou cliquer dessus pour ouvrir une zone de dialogue le concernant.
Dans la case du dessus, lorsque le lot a été soumis, cet avertissement vous permet de
savoir qu’un fichier portant ce nom existe désormais dans cet emplacement et qu’il
sera écrasé si vous soumettez à nouveau le lot.
Vous pouvez éviter la zone de dialogue de soumission de lots lorsque vous soumettez un
lot. Le lot soumis pour traitement utilise automatiquement les réglages du lot précédent.
Pour soumettre un lot en utilisant les réglages précédents, procédez d’une des
manières suivantes :
m Choisissez Fichier > Soumettre avec les réglages précédents.
m Cliquez sur l’élément « Soumettre avec les réglages précédents » dans la barre d’outils
de la fenêtre Lot (s’il s’y trouve).
Consultez la section « À propos de la fenêtre Lot » à la page 78 pour plus d’informations sur l’utilisation de la fenêtre Lot.
Cliquez sur le symbole
d’avertissement pour
recevoir des explications sur sa présence.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 123
Astuce relative au test du transcodage
Avant de vous lancer dans une longue session de transcodage, faites un test rapide en
utilisant un petit passage du fichier de données source. S’il y a un problème (comme,
par exemple, un réglage incorrect ou un fichier de référence qui ne trouve pas
les fichiers auxquels il fait référence), vous pourrez procéder à la correction sans perdre
trop de temps. De tels tests vous permettent aussi de prévisualiser les résultats de
la sous-fenêtre Encodeur et Contrôles d’image qui ne sont pas visibles dans la fenêtre
Preview. Pour sélectionner rapidement une petite partie d’un fichier multimédia source,
consultez la section « Transcodage d’une section du plan à l’aide de la
fenêtre Preview » à la page 315.
Assurez-vous que la partie test est propre au type de réglages appliqués. Par exemple,
sélectionnez une scène d’action rapide si vous effectuez une conversion de la fréquence
d’images ou de l’ordre de trame avec Contrôles d’images.
À propos de la fenêtre Historique
La fenêtre Historique propose un accès rapide à tous les lots préalablement soumis, ce qui
vous permet de soumettre à nouveau des lots en les faisant glisser dans la fenêtre Lot et de
consulter des informations concernant la date de soumission de certains lots depuis votre
ordinateur.
Le contenu de la fenêtre Historique est organisé par date de soumission. Vous pouvez
modifier l’ordre de tri du contenu en cliquant sur le bouton « Inverser l’ordre de tri » en bas
de la fenêtre. Vous pouvez également effacer le contenu de l’Historique en cliquant sur le
bouton Effacer ou en supprimant les éléments sélectionnés avec la touche Supprimer.
Cliquez sur le triangle
d’affichage pour afficher
le détail des soumissions
de la journée.124 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots
La fenêtre Historique peut également afficher la progression d’un lot en cours
de transcodage.
Remarque : si elle est fermée, la fenêtre Historique s’ouvre automatiquement lorsque
vous envoyez un lot.
Lorsque le transcodage est terminé, un nouveau bouton apparaît dans la fenêtre
Historique pour faciliter la recherche des fichiers encodés.
Nouvelle soumission d’un lot
Toutes les informations concernant la soumission de lots sont stockées dans la fenêtre
Historique. Vous y trouverez des détails sur toutes les tâches et cibles du lot et notamment les fichiers multimédia sources qui leur ont été affectés. Vous pouvez utiliser ces
informations pour envoyer à nouveau un lot en faisant tout simplement glisser
une entrée spécifique de la fenêtre Historique vers la fenêtre Lot.
Pour soumettre à nouveau un lot à partir de la fenêtre Historique :
1 Utilisez les triangles d’affichage pour localiser le lot à soumettre de nouveau.
Remarque : c’est dans ce cas que l’on comprend l’utilité de donner à la soumission
un nom reconnaissable.
2 Faites glisser la soumission de la fenêtre Historique dans la fenêtre Lot.
Cliquez sur le triangle
d’affichage pour voir
les détails concernant
chaque cible de cette
soumission.
Cliquez sur le bouton
Pause pour mettre en
pause le transcodage.
Cliquez une nouvelle
fois pour reprendre
le transcodage.
Nom de la soumission
Cliquez sur le bouton
Annuler pour mettre fin au
processus de transcodage.
Cible appartenant
au lot envoyé
Cliquez sur le bouton
« Révéler dans
le Finder » pour afficher
le fichier encodé dans
une fenêtre du Finder.
En cliquant sur le
triangle d’affichage, vous
pouvez afficher les détails
de la soumission.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 125
Lorsque vous faites glisser un lot de la fenêtre Historique vers la fenêtre Lot,
Compressor crée un nouvel onglet sans titre dans la fenêtre Lot correspondante. Le lot
apparaît dans le nouvel onglet avec tous les détails originaux (fichiers multimédia sources, cibles, réglages affectés, destinations, format de sortie et nom du lot). Vous pouvez
modifier le lot avant de le soumettre à nouveau.
Enregistrement et ouverture d’un lot
Il peut arriver que vous ne puissiez pas envoyer immédiatement un lot que vous venez
de configurer. Dans ce cas, il peut être utile d’enregistrer les paramètres du lot afin d’y
faire référence ultérieurement.
Pour enregistrer un lot :
1 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Choisissez Fichier > Enregistrer sous.
 Appuyez sur les touches Maj + Commande + S.
Une zone de dialogue s’ouvre pour vous permettre de nommer le fichier et de sélectionner sa destination. Par défaut, le nom du fichier est le même que celui du premier
fichier source.
2 Saisissez un nom pour le fichier si vous ne souhaitez pas utiliser le nom par défaut.
3 Choisissez la destination du fichier.
4 Cliquez sur Enregistrer.
L’extension « .compressor » est ajoutée au nom des fichiers de lot.
Remarque : l’extension « .compressor » apparaît dans les onglets de la fenêtre Lot si
vous avez choisi d’afficher les extensions dans les préférences du Finder.
Pour ouvrir un fichier de lot dans Compressor :
1 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Choisissez Fichier > Ouvrir.
 Appuyez sur les touches Commande + O.
Une zone de dialogue s’ouvre pour vous permettre de sélectionner le fichier de lot
à ouvrir.
2 Localisez et choisissez le fichier.
3 Cliquez sur Ouvrir.
Vous pouvez également ouvrir un fichier de lot en double-cliquant dessus dans
le Finder ou en le faisant glisser vers l’icône de l’application Compressor.
Remarque : un message d’erreur apparaît si Compressor ne parvient pas à localiser
les fichiers source répertoriés dans le fichier de lot ; seuls les fichiers source trouvés
seront affichés.126 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots
Envoi d’un projet Final Cut Pro pour transcodage
Vous pouvez utiliser Compressor pour améliorer le processus de transcodage de vos projets Final Cut Pro. Par exemple, vous pouvez transcoder un projet Final Cut Pro sans
le soumettre à un programme de rendu. Cela évite une étape qui prend potentiellement
du temps selon les transitions, les filtres et les effets vidéo que vous avez appliqués au
projet, ainsi que les dégradations du contenu des fichiers multimédia sources qui peuvent survenir après les multiples étapes de compression et de décompression. Ce processus élimine également une étape du processus d’encodage précédent qui impliquait
une exportation de Final Cut Pro vers QuickTime, puis un transcodage de cette séquence
QuickTime dans Compressor.
Selon sa taille, un projet Final Cut Pro transcodé uniquement sur votre ordinateur peut
affecter de manière significative les performances de votre ordinateur.
Remarque : le transcodage d’un projet Final Cut Pro ne crée pas de projet rendu, bien
que tous les effets rendus doivent être appliqués au fichier multimédia de sortie. Si vous
souhaitez continuer à travailler sur le projet dans Final Cut Pro, vous devez le rendre
dans Final Cut Pro.
Pour transcoder un projet Final Cut Pro :
1 Ouvrez dans Final Cut Pro le projet que vous voulez transcoder.
2 À l’aide d’une des méthodes suivantes, sélectionnez dans Final Cut Pro le projet
à transcoder :
 Dans le navigateur, sélectionnez la séquence que vous souhaitez transcoder.
 Faites de la Timeline la fenêtre active en cliquant dessus.
3 Enregistrez votre projet Final Cut Pro et nommez-le.
4 Sélectionnez Fichier > Exporter > Avec Compressor.
Compressor s’ouvre (s’il ne l’était pas déjà) et la séquence apparaît en tant que tâche
dans un lot sans titre.
La séquence et les noms
de projet Final Cut Pro
sont combinés pour
créer le nouveau nom
de tâche.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 127
5 Affectez des réglages et des destinations à la tâche comme il convient.
Consultez les sections suivantes pour plus d’informations :
 « Affectation de réglages à des fichiers multimédia sources » à la page 110
 « Affectation de destinations aux fichiers multimédia sources » à la page 115
6 Cliquez sur le bouton Soumettre dans la fenêtre Lot.
Compressor commence alors le transcodage du projet Final Cut Pro, puis se ferme.
Remarque : Final Cut Pro doit rester ouvert jusqu’à la fin de ce processus, car la préparation du transcodage des images se déroule principalement dans Final Cut Pro plutôt
que dans Compressor. De même, vous ne pouvez pas travailler avec Final Cut Pro tant
que le transcodage n’est pas terminé.
Consultez la section « Exportation à partir de Final Cut Pro et traitement distribué, »
ci-dessous pour en savoir plus sur le fonctionnement du processus si vous utilisez
le traitement distribué.
Renvoi d’un projet Final Cut Pro
Vous pouvez utiliser la fenêtre Historique pour renvoyer un projet Final Cut Pro, comme
si vous renvoyiez n’importe quel autre lot. Étant donné que Compressor reconnaît
les lots créés dans Final Cut Pro, Final Cut Pro s’ouvre automatiquement quand vous
faites glisser un lot dans la fenêtre Lot à partir de la fenêtre Historique.
Consultez la section « Nouvelle soumission d’un lot » à la page 124 pour plus de détails
sur les étapes de ce processus.
Exportation à partir de Final Cut Pro et traitement distribué
Compressor et Apple Qmaster peuvent distribuer des tâches de compression audio
et vidéo sur plusieurs ordinateurs connectés en réseau.
Remarque : cette fonctionnalité de traitement distribué de Compressor est limitée
aux ordinateurs sur lesquels Final Cut Studio est installé.
Il existe deux méthodes pour éviter d’exporter des fichiers multimédia autonomes
depuis Final Cut Pro pour un traitement distribué dans Compressor :
 Exportez directement une séquence de Final Cut Pro vers Compressor, puis soumettez cette tâche à un cluster dans un réseau de traitement distribué Apple Qmaster.
Dans ce processus, Final Cut Pro s’ouvre sur chaque nœud de traitement du cluster
pour réaliser la tâche. 128 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots
 Exportez la séquence Final Cut Pro en tant que séquence de référence QuickTime,
puis soumettez le résultat au cluster pour traitement. Bien qu’avec cette méthode il
n’est pas nécessaire que Final Cut Pro soit installé sur tous les ordinateurs du cluster
de traitement distribué, les fichiers multimédia spécifiés dans la séquence de réfé-
rence doivent être disponibles sur chacun de ces ordinateurs.
Pour exporter une séquence Final Cut Pro directement vers Compressor pour le
traitement distribué :
1 Assurez-vous que Final Cut Pro est bien installé sur chacun des ordinateurs du cluster
à utiliser pour le traitement distribué.
Chaque installation de Final Cut Pro doit disposer de son propre numéro de série.
Pour plus d’informations sur les licences en volume, rendez-vous sur
http://www.apple.com/fr/finalcutstudio/.
2 Assurez-vous que tous les fichiers multimédia sources et de rendu de votre projet
Final Cut Pro se trouvent sur un disque dur pouvant être partagé (monté) par tous
les ordinateurs du cluster qui doit traiter la tâche. (Les instructions suivantes prennent
l’exemple d’un disque de travail nommé Media1.)
Si vous copiez tous les fichiers multimédia sur un autre disque dur à cet effet, vous devrez
peut-être reconnecter les fichiers multimédia dans Final Cut Pro avant de continuer.
Important : le disque dur que vous utilisez pour stocker les fichiers multimédia ne doit
pas faire office de disque de démarrage pour un ordinateur du cluster.
3 Dans Final Cut Pro, réglez le disque de travail sur le disque dur utilisé pour le stockage
des fichiers multimédia à l’étape 2 :
a Choisissez Final Cut Pro > « Réglages système », puis cliquez sur l’onglet « Disques
de travail ».
b Cliquez sur Définir.
c Dans la zone de dialogue qui apparaît, localisez et sélectionnez le disque que vous
souhaitez utiliser (Media1 dans notre exemple).
d Cliquez sur Choisir. Le disque spécifié (Media1) apparaît à côté du bouton Définir
avec l’espace libre.
Pour plus d’informations sur les disques de travail Final Cut Pro consultez le Manuel de
l’utilisateur de Final Cut Pro.
4 Activez le partage de fichiers sur l’ordinateur contenant le disque de travail (Media1).
(Dans la sous-fenêtre Partage des Préférences système, cliquez sur Services, puis sélectionnez Partage de fichiers.)Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 129
5 Sur chacun des ordinateurs du cluster, montez le disque de travail spécifié à l’étape 3
(dans la barre latérale du Finder, cliquez sur Réseau, accédez à l’ordinateur contenant
le disque Media1, cliquez sur Se connecter, puis sélectionnez Media1).
6 Dans les Préférences Compressor, spécifiez les réglages d’options de cluster :
a Choisissez Préférences Compressor > ou appuyez sur Commande + virgule ( , ).
La fenêtre des préférences s’ouvre.
b Choisissez « Copier la source vers le cluster si nécessaire » dans le menu local
« Options de cluster ».
7 Dans Final Cut Pro, choisissez Fichier > Exporter > Avec Compressor.
Compressor s’ouvre avec le fichier multimédia sélectionné (la séquence Final Cut Pro)
dans la fenêtre Lot.
8 Dans Compressor, double-cliquez sur le fichier sélectionné et lisez-le dans la fenêtre de
prévisualisation pour en vérifier l’intégrité.
9 Dans la fenêtre Lot, affectez des réglages et destinations au fichier sélectionné
si nécessaire.
10 Cliquez sur le bouton Soumettre.
La zone de dialogue correspondante est affichée.
11 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Choisissez le cluster souhaité dans le menu local Cluster.
 Sélectionnez la case « Inclure des services non gérés sur d’autres ordinateurs » pour
utiliser la fonction AutoCluster. Consultez la section « À propos d’AutoCluster et des
services non gérés » à la page 121 pour plus d’informations.
12 Cliquez sur Soumettre.
Important : pour de meilleurs résultats, vérifiez que Final Cut Pro est déjà ouvert sur
les ordinateurs du cluster. Apple Qmaster tente d’ouvrir Final Cut Pro si nécessaire mais,
si l’avertissement relatif à l’absence de périphérique A/V externe apparaît, Final Cut Pro
ne s’ouvre pas et ne peut pas être utilisé. De plus, lorsque vous utilisez la fonction
AutoCluster, sachez que soumettre un lot provoque l’ouverture de Final Cut Pro sur
les ordinateurs qui fournissent les services non gérés, ce qui peut surprendre une éventuelle personne utilisant l’ordinateur.
Pour exporter une séquence Final Cut Pro en tant que séquence de référence
QuickTime et la soumettre à Compressor pour le traitement distribué :
1 Assurez-vous que tous les fichiers multimédia sources et de rendu de votre projet
Final Cut Pro se trouvent sur un disque dur pouvant être partagé (monté) par tous
les ordinateurs du cluster qui doit traiter la tâche. (Les instructions suivantes prennent
l’exemple d’un disque de travail nommé Media1.) 130 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots
Si vous copiez tous les fichiers multimédia sur un autre disque dur à cet effet,
vous devrez peut-être reconnecter les fichiers multimédia dans Final Cut Pro avant de
continuer.
Important : le disque dur que vous utilisez pour stocker les fichiers multimédia ne doit
pas faire office de disque de démarrage pour un ordinateur du cluster.
2 Dans Final Cut Pro, choisissez Fichier > Exporter > Séquence QuickTime.
3 Dans la zone de dialogue Enregistrer, assurez-vous que la case Film autonome n’est pas
cochée.
4 Enregistrez la séquence de référence QuickTime sur le disque dur (Media1) utilisé pour
stocker les fichiers multimédia à l’étape 1.
5 Activez le partage de fichiers sur l’ordinateur contenant le disque de travail (Media1).
(Dans la sous-fenêtre Partage des Préférences système, cliquez sur Services, puis sélectionnez Partage de fichiers.)
6 Sur chaque ordinateur du cluster, montez le disque dur (Media1) à l’endroit où se trouvent les fichiers multimédia et les séquences de référence QuickTime (dans la barre
latérale du Finder, cliquez sur Réseau, accédez à l’ordinateur contenant le disque
Media1, cliquez sur Se connecter, puis sélectionnez Media1.)
7 Dans les Préférences Compressor, spécifiez les réglages d’options de cluster :
a Choisissez Préférences Compressor > ou appuyez sur Commande + virgule ( , ).
La fenêtre des préférences s’ouvre.
b Choisissez « Ne jamais copier la source vers le cluster » dans le menu local
« Options de cluster ».
8 Importez la séquence de référence QuickTime dans Compressor (faites-la glisser du
Bureau vers la fenêtre Lot de Compressor).
9 Double-cliquez sur le fichier dans la fenêtre Lot et lisez-le dans la fenêtre de prévisualisation pour vérifier l’intégrité du plan.
10 Dans la fenêtre Lot, affectez des réglages et destinations au fichier sélectionné
si nécessaire.
11 Cliquez sur le bouton Soumettre.
La zone de dialogue correspondante est affichée.
12 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Choisissez le cluster souhaité dans le menu local Cluster.
 Sélectionnez la case « Inclure des services non gérés sur d’autres ordinateurs » pour
utiliser la fonction AutoCluster. Consultez la section « À propos d’AutoCluster et des
services non gérés » à la page 121 pour plus d’informations.
13 Cliquez sur Soumettre.Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots 131
Transcodage de différents plans à partir d’un fichier
multimédia source
Si vous avez un fichier multimédia source volumineux dont vous ne souhaitez transcoder que quelques sections, vous pouvez le faire en un seul envoi de lot.
Pour transcoder différents plans à partir d’un seul fichier multimédia source :
1 Ouvrez la fenêtre Lot.
2 Importez le fichier multimédia dans un lot autant de fois que c’est nécessaire pour
créer le nombre de plans voulu.
Une nouvelle tâche est créée à chaque importation.
3 Ajout de réglages à chaque tâche.
Un identificateur unique est automatiquement appliqué au nom des fichiers de sortie,
de manière à pouvoir facilement identifier chaque plan après son transcodage.
4 Pour ouvrir la fenêtre Preview, procédez comme suit :
 Cliquez sur le bouton Aperçu dans la fenêtre Lot.
 Cliquez sur l’une des cibles.
La fenêtre Preview s’ouvre.
5 Utilisez les boutons ou le menu local de sélection de lot pour accéder aux fichiers que
vous souhaitez transcoder.
Des identificateurs de
fichier uniques sont
automatiquement appliqués à chaque tâche.132 Chapitre 6 Finalisation de tâches et soumission de lots
Spécifiez le plan que vous voulez transcoder dans le premier fichier multimédia en pla-
çant des points d’entrée et de sortie, puis répétez l’opération pour chaque fichier multimédia suivant en définissant les plans à transcoder à l’aide de ces points. Vous pouvez
aussi utiliser les touches I (pour entrée) et O (pour sortie) du clavier pour positionner
les marqueurs là où se trouve la tête de lecture.
6 Retournez à la fenêtre Lot et cliquez sur le bouton Soumettre.
Consultez la section « À propos de la fenêtre Preview » à la page 304 pour de plus
amples informations.
Point d’entrée Point de sortie7
133
7 Création de fichiers AIFF
Vous pouvez utiliser Compressor pour produire de l’audio
au format AIFF.
Le présent chapitre décrit la production d’audio au format de fichier AIFF :
 Création de fichiers de sortie AIFF (p. 133)
 À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder (p. 134)
 À propos de la zone de dialogue Réglages audio (p. 135)
 Configuration des réglages AIFF (p. 136)
Création de fichiers de sortie AIFF
Le format de fichier AIFF (Audio Interchange File Format) a été développé par Apple
pour le stockage de données audio de haute qualité. Le format était destiné à la création de DVD et de CD et est désormais l’un des formats de fichier audio les plus couramment utilisés pour Mac OS. 134 Chapitre 7 Création de fichiers AIFF
À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder
Les options suivantes apparaissent lorsque vous choisissez le format de sortie AIFF dans
le menu local « Format du fichier » de la sous-fenêtre Encodeur de la fenêtre Inspecteur :
 Extension de fichier : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier aiff
une fois le format de sortie AIFF sélectionné dans le menu local « Format du fichier »
ou dans le menu local (+) de l’onglet Réglages. Ne modifiez pas ce champ.
 Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de tâche. Comme la segmentation de tâche n’est pas utilisée pour
les encodages purement audio, cette case n’est pas activée avec le format de fichier
AIFF. Pour plus d’informations, consultez « Segmentation de tâche et encodage 2
passes (ou multipasse) » à la page 64.
 Réglages : ce bouton ouvre la zone de dialogue Réglages audio QuickTime. Utilisez
cette zone de dialogue pour sélectionner les codecs audio appropriés et modifier les
autres paramètres de compression audio. Consultez la section « À propos de la zone
de dialogue Réglages audio » ci-après pour plus d’informations.
 Résumé QuickTime AIFF : ce tableau affiche des détails complets pour ce réglage.
Champ Extension
de fichier
Tableau Résumé
AIFF QuickTime
Cliquez sur ce bouton
pour ouvrir la zone de
dialogue Réglages audio.
Choisissez AIFF.Chapitre 7 Création de fichiers AIFF 135
À propos de la zone de dialogue Réglages audio
Utilisez la zone de dialogue Réglages audio pour modifier les réglages de compression
audio des formats de sortie QuickTime et AIFF. Pour ouvrir cette zone de dialogue,
cliquez sur le bouton Réglages audio dans la sous-fenêtre Encodeur Séquence
QuickTime ou AIFF.
Les éventuels réglages audio qui ne peuvent pas être modifiés restent inactifs. Certains
codecs audio vous permettent d’effectuer des réglages supplémentaires, qui apparaissent dans la moitié inférieure de la zone de dialogue Réglages audio. Dans certains cas,
un bouton Option devient accessible. Cliquez dessus pour procéder à des ajustements
auxiliaires.
La zone de dialogue Réglages audio contient les éléments suivants, avec différents
choix pour chacun, en fonction du codec audio que vous choisissez dans le menu
local Format.
 Format : choisissez le codec audio à ajouter à votre réglage.
 Canaux : choisissez le type de sortie de canal (mono ou stéréo) ou un type de sortie
multicanal, en fonction du codec.
 Fréquence : choisissez le taux d’échantillonnage que vous souhaitez appliquer à votre
fichier multimédia. Plus le taux d’échantillonnage est important, meilleure est
la qualité, mais plus le fichier est volumineux. Or, le téléchargement de fichiers volumineux est plus long et requiert une bande passante plus large.
 Afficher les réglages avancés : ce bouton demeure estompé, sauf si le codec sélectionné dans le menu local « Format du fichier » offre des options. Il est conseillé de
contacter directement les fabricants de ces codecs pour obtenir plus d’informations
sur les options supplémentaires offertes.
Choisissez le nombre de canaux (la
sélection varie en
fonction du codec).
Choisissez un débit
garantissant la
qualité et la taille de
fichier requises.
Choisissez un
codec audio.
Réglages propres au
format en fonction
du codec136 Chapitre 7 Création de fichiers AIFF
Tailles et fréquences d’échantillonnage audio QuickTime
Si vous disposez de l’espace disque et de la bande passante suffisants, il vaut mieux
ne pas compresser la composante audio. Les données audio non compressées utilisent
normalement des échantillons 8 bits (qualité téléphone) ou 16 bits (qualité CD).
Compressor prend en charge un maximum de 64 bits par échantillon en virgule flottante et une fréquence d’échantillonnage maximale de 192 kHz.
Choix d’un codec audio
AAC est un bon codec de diffusion audio polyvalent, compatible avec un large éventail
de périphériques de lecture. Pour de faibles bandes passantes sur des ordinateurs rapides, le codec QDesign Music (QDMC) est approprié à la plupart des cas, tandis que
le codec Qualcomm PureVoice est le meilleur choix pour les contenus exclusivement
vocaux. Concernant les ordinateurs plus lents, les CD-ROM et les bornes interactives,
le codec IMA est une meilleure option, car il fait moins appel aux ressources de l’ordinateur, ce qui permet à ce dernier de se focaliser sur le flux vidéo, plus exigeant.
Configuration des réglages AIFF
Lorsque vous choisissez le format de fichier de sortie AIFF, vous ne pouvez créer que
des réglages audio, car il s’agit d’un format exclusivement audio. Si vous souhaitez
ajouter un codec audio à votre préréglage AIFF, ouvrez la zone de dialogue Réglages
audio, puis choisissez les paramètres de votre codec audio.
Pour créer un réglage de codec audio AIFF :
1 Dans l’onglet Réglages, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Assurez-vous que le réglage correct est sélectionné.
 Créez un réglage en choisissant AIFF dans le menu local « Créer un réglage » (+).
2 Cliquez sur le bouton Réglages dans la sous-fenêtre Encodeur AIFF.
La zone de dialogue Réglages audio s’ouvre.
Choisissez un codec audio
dans le menu local Format.Chapitre 7 Création de fichiers AIFF 137
3 Choisissez un codec audio dans le menu local Format, puis acceptez ses paramètres par
défaut ou personnalisez les autres réglages du codec audio (le format, les canaux, la fré-
quence d’échantillonnage et, si possible, les options). Consultez la section « À propos
de la zone de dialogue Réglages audio » à la page 135 pour obtenir plus d’informations.
Remarque : vous pouvez consulter les détails complets des paramètres de votre préré-
glage dans le tableau Résumé AIFF QuickTime de la sous-fenêtre Encodeur.
4 Cliquez sur OK pour enregistrer vos réglages et fermer la zone de dialogue.8
139
8 Création de fichiers de sortie
Dolby Digital Professional
Compressor offre les outils dont vous avez besoin
pour encoder (par lot ou pas) les fichiers audio AC-3
(Dolby Digital Professional).
Le format Dolby Digital Professional (également appelé AC-3) est un format audio comprimé très répandu pour les disques DVD-vidéo. Compressor accepte les fichiers audio
multicanaux dans différents formats et vous donne le contrôle complet sur le processus d’encodage AC-3. Les programmes Dolby Digital peuvent diffuser du son Surround
5.1 avec cinq canaux discrets (gauche, centre, droite, gauche Surround et droite
Surround), plus un sixième canal pour les effets basse fréquence (LFE), parfois appelé
« subwoofer ». Dolby Surround est une autre option Surround, avec quatre canaux
(gauche, centre, droite, Surround). Cependant, tous les fichiers audio AC-3 ne sont pas
au format audio Surround 5.1. Dolby Digital Professional est couramment utilisé pour
encoder des fichiers stéréo afin de réduire fortement leur taille.
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 À propos de la sous-fenêtre Encodeur Dolby Digital Professional (p. 140)
 Informations générales sur la création de fichiers Dolby Digital Professional (p. 147)
 Conversion de fichiers audio stéréo au format Dolby Digital Professional (p. 148)
 Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode manuelle) (p. 149)
 Affectation de fichiers à des canaux audio Surround
(méthodes automatiques) (p. 152)
 Affectation de fichiers à des canaux audio Surround à l’aide de droplets (p. 154)
 Options de mixage spatial (p. 154)
Remarque : l’encodage Dolby Digital Professional avec Compressor est disponible uniquement sur les ordinateurs équipés de Final Cut Studio. Si vous utilisez Compressor
avec le traitement distribué, Final Cut Studio doit être installé sur chaque nœud qui
procède à l’encodage Dolby Digital Professional.140 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional
Pour obtenir des informations détaillées sur la création de fichiers audio de son
Surround, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur de Soundtrack Pro. Si vous prévoyez
de créer des DVD à l’aide de DVD Studio Pro, consultez le Manuel de l’utilisateur de
DVD Studio Pro pour plus d’informations sur le flux de création de DVD. Pour en savoir
plus sur la création de fichiers audio de son Surround à l’aide d’autres formats de sortie,
reportez-vous à la section « Ajout de fichiers multimédia sources avec son Surround aux
lots » à la page 83.
Remarque : il est important de comprendre que Compressor ne peut pas utiliser des
fichiers stéréo pour en créer du son Surround 5.1. Si vous souhaitez créer un fichier
audio AC-3 Surround 5.1, vous devez d’abord créer les six canaux audio dont il a besoin.
Pour ce faire, vous devez utiliser d’autres applications que Compressor, telles que
Soundtrack Pro.
À propos de la sous-fenêtre Encodeur Dolby Digital Professional
Cette section contient des informations détaillées sur les différents onglets de la sousfenêtre Encodeur Dolby Digital Professional (AC-3) de la fenêtre Inspecteur.
Vous devez définir vos réglages Dolby Digital Professional à l’aide des onglets décrits
ci-dessous, en modifiant un réglage existant ou en créant un nouveau réglage dans
l’onglet Réglages. La sous-fenêtre Dolby Digital Professional, qui contient les éléments
décrits ci-après, s’ouvre par défaut avec l’onglet Audio actif :
 Extension de fichier : ce champ affiche automatiquement l’extension du fichier
Dolby Digital Professional (ac3) une fois que vous avez sélectionné le format de sortie Dolby Digital Professional dans le menu local « Format du fichier » ou dans le
menu local (+) de l’onglet Réglages.Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 141
 Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de tâche. Étant donné que la segmentation de la tâche n’est pas utilisée
pour l’encodage purement audio, cette case est désactivée pour le format de fichier
Dolby Digital Professional. Pour plus d’informations, consultez la section
« Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.
 Audio, Bitstream et Prétraitement : ces boutons permettent d’ouvrir les onglets Audio,
Bitstream et Prétraitement décrits ci-après.
Réglages de l’onglet Audio
L’onglet Audio permet d’accéder aux réglages Dolby Digital Professional les plus
importants.
 Système cible : Compressor limite les réglages disponibles à ceux qui sont appropriés
pour le système cible. Si vous procédez à l’encodage pour une utilisation avec
DVD Studio Pro, choisissez DVD Vidéo. Si vous procédez à un encodage destiné à une
application de création DVD Audio, choisissez DVD audio uniquement. Pour supprimer les limites des réglages, choisissez AC-3 générique.
 Mode de codage audio : spécifie les canaux audio du flux encodé. Ce réglage dispose
également d’un bouton Automatique.
Bouton Automatique du
mode de codage audio142 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional
Par exemple, « 3/2 (G, C, D, Gs, Ds) » signifie trois canaux avant (gauche, centre,
droite) et deux canaux arrière (Surround). « 2/0 (G, D) » est essentiellement un fichier
stéréo standard. Le mode de codage audio a une incidence sur les réglages tels que
la bande passante disponible et le prétraitement des canaux Surround. Si vous cliquez sur le bouton Automatique (en regard du menu local « Mode de codage
audio »), Compressor détermine au mieux le mode de codage audio souhaité en
fonction des fichiers audio sources disponibles.
Remarque : dans le menu local « Mode de codage audio », « S » désigne un canal
« Surround » arrière unique, et dans cette illustration, « LFE » signifie Low Frequency
Effects (effets basse fréquence, également appelé « subwoofer »). Pour plus d’informations, consultez les sections « Affectation de fichiers à des canaux audio Surround
(méthode manuelle) » à la page 149 et « Affectation de fichiers à des canaux audio
Surround (méthodes automatiques) » à la page 152.
 Activer les effets de basse fréquence : cochez cette case pour inclure le canal LFE dans
le flux encodé (indisponible pour la monophonie 1/0 ou la stéréophonie 2/0).
 Échantillonnage : cette option permet de spécifier la fréquence d’échantillonnage.
Tous les fichiers destinés à la création de DVD vidéo et audio doivent être réglés sur
une fréquence d’échantillonnage de 48 kHz conformément aux spécifications du
DVD. Les fréquences d’échantillonnage de 32 kHz et 44,1 kHz ne sont disponibles
que lorsque AC-3 générique est le système cible.
canaux 3/1 canaux 3/0
canaux 2/2 canaux 2/1 canaux 2/0 canaux 1/0
(option LFE indisponible) (option LFE indisponible)
canaux 3/2
G C
LFE
LFE LFE LFE LFE
D
Gs Ds
G D
Gs Ds
G D G D
S
G C
LFE
D
S
G C
C
LFE
DChapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 143
 Débit de données : les choix dépendent du mode d’encodage et du système cible.
Plus le débit est élevé, meilleure est la qualité. Le débit des flux AC-3 est stable.
À 448 kbps, la valeur par défaut pour l’encodage 5.1, une minute d’audio AC-3 nécessite environ 3,3 Mo d’espace de stockage. Pour l’encodage stéréo, les fréquences de
192 kbps et 224 kbps sont standard et donnent de bons résultats.
 Mode BitStream : détermine la finalité des données audio encodées. Les informations
figurent dans le flux final et peuvent être lues par certains systèmes de décodage.
 Normalisation des dialogues : cette option permet de spécifier le volume moyen du
dialogue, mesuré en décibels pleine échelle (dBFS, de l’anglais « Decibels of Full
Scale »), de vos fichiers audio par rapport à la modulation maximale. Le périphérique
de lecture utilise cette information pour maintenir un volume similaire sur différents
flux AC-3. L’objectif recherché est que le niveau d’écoute soit le même pour tous
les fichiers audio encodés en AC-3, quel que soit le fichier source.
Cela est particulièrement important pour assurer une utilisation correcte de la fonction Normalisation des dialogues lorsque vous enregistrez des fichiers audio diffé-
rents (avec des niveaux de volume différents) sur un DVD. Si vous connaissez
le niveau moyen de chaque fichier, tapez sa valeur dans le champ Normalisation
des dialogues pour chaque fichier. Par exemple, si le VU-mètre indique que le niveau
moyen du dialogue de votre séquence Final Cut Pro se situe autour de –12 dB,
tapez –12 dans le champ Normalisation des dialogues.
Remarque : cette normalisation s’effectue entre les flux audio du DVD. Elle n’a
aucun effet à l’intérieur de chaque flux audio. Pour ce type de normalisation,
utilisez un outil de montage audio tel que Soundtrack Pro.
Vous pouvez saisir des valeurs comprises entre –1 dBFS et –31 dBFS. La différence
entre la valeur que vous tapez et 31 dBFS (qui représente le niveau d’écoute normal
des dialogues) constitue l’ampleur de l’atténuation du volume audio source.
 Si vous tapez –31 dBFS, l’atténuation sera de 0 dB (31 dBFS–31 dBFS), ce qui n’aura
absolument aucune incidence sur les niveaux audio sources.
 Si vous tapez –27 dBFS, l’atténuation sera de 4 dB (31 dBFS–27 dBFS).
 Si vous tapez –12 dBFS, l’atténuation sera de 19 dB (31 dBFS–12 dBFS).
Plus le volume du fichier source est élevé, plus la valeur que vous saisissez est réduite
et plus le volume du fichier encodé est atténué au cours de la lecture.
Important : si vous avez l’intention d’utiliser l’un des préréglages de compression,
une définition correcte du réglage Normalisation des dialogues est cruciale. Les pré-
réglages de compression considèrent qu’une fois le dialogue normalisé, le volume
est réglé sur un niveau d’écoute normal de 31 dBFS. Les niveaux constamment situés
au dessus de cette valeur entraînent des distorsions du son et des niveaux inégaux.144 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional
Si vous ignorez le niveau sonore du fichier source ou si, pour une raison ou
une autre, vous souhaitez vous assurer que l’encodeur Dolby Digital Professional n’a
aucune incidence sur vos niveaux sonores, saisissez –31 dans le champ Normalisation des dialogues, puis choisissez Aucun dans le menu local « Préréglage de
compression » (situé dans l’onglet Prétraitement).
Réglages de l’onglet Bitstream
Ces réglages sont stockés dans le flux terminé en vue d’une utilisation par le périphérique
de lecture. Conservez leur valeur par défaut, si vous avez une raison technique spécifique
pour les modifier.
 « Downmix du canal central », « Downmix de Surround » : si l’audio encodé dispose
de ces trois canaux, mais pas le lecteur, les canaux sont mixés dans la sortie stéréo
au niveau indiqué.
 Mode Dolby Surround : lors de l’encodage en mode 2/0 (stéréo), indique si le signal
utilise Dolby Surround (Pro Logic).
 Protégé par Copyright : cochez cette case pour spécifier que ces données audio sont
protégées par un copyright.
 Contenu original : cochez cette case pour spécifier que ces données audio proviennent de la source originale et non d’une copie.
 Informations de production audio : cochez cette case et remplissez les champs en dessous afin de spécifier la façon dont le contenu audio encodé a été mixé. Les périphé-
riques de lecture peuvent utiliser ces informations pour ajuster les réglages de sortie.
 Niveau de mixage des pics : spécifie le niveau du pic de pression sonore (SPL) (entre
80 dB et 111 dB) dans l’environnement de production où ce mixage a été masterisé.
 Type de pièce : permet d’indiquer des informations relatives au studio de mixage.Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 145
Réglages de l’onglet Prétraitement
Les options de prétraitement sont appliquées aux données audio avant l’encodage.
À l’exception du réglage Préréglage de compression, conservez les valeurs par défaut
de ces réglages, sauf si vous avez une raison technique de les modifier.
 Préréglage de compression : spécifie l’un des modes de traitement de plage dynamique intégré au format AC-3. La valeur par défaut Compression standard pour films
doit uniquement être utilisée lorsque vous encodez un mixage original destiné au
cinéma. Dans la plupart des cas, vous devez choisir Aucun.
Important : si vous avez l’intention d’utiliser l’un de ces préréglages de compression,
il essentiel que vous définissiez correctement le réglage Normalisation des dialogues
dans l’onglet Audio. Les préréglages de compression considèrent qu’une fois le dialogue normalisé, le volume est réglé sur un niveau d’écoute normal de 31 dBFS.
Les niveaux constamment situés au dessus de cette valeur entraînent des distorsions
du son et des niveaux inégaux.
Remarque : si vous créez un DVD avec un son Dolby Digital Professional Surround 5.1
canaux, vous utiliserez « Compression standard pour films ».146 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional
Général
 Désaccentuation numérique : permet de préciser si les données audio d’entrée ont
été accentuées au préalable et s’il est nécessaire d’annuler cette accentuation avant
l’encodage.
Canal LFE
 Filtre passe-bas : cochez cette case pour appliquer un filtre passe-bas 120 Hz au canal
LFE (Low Frequency Effects). Désactivez ce filtre si le signal numérique sur l’entrée
LFE ne contient pas d’informations au-delà de 120 Hz.
Canal bande pass. compl.
 Filtre passe-bas : cochez cette case pour activer un filtre passe-bas avec une coupe
près de la bande passante audio disponible qui est appliquée aux principaux canaux
d’entrée. Si le signal numérique sur les principaux canaux d’entrée ne contient pas
d’informations au-delà de la bande passante audio, vous pouvez désactiver ce filtre.
Compressor détermine automatiquement la bande passante disponible.
 Filtre CN : cochez cette case afin d’activer un filtre passe-haut CN pour tous les canaux
d’entrée, comme un moyen simple de supprimer les décalages CN. La plupart des élé-
ments audio mixés est déjà libre de décalages CN.
Canaux Surround
 Augmentation de phase de 90º : cochez cette case pour générer des flux AC-3 multicanaux pouvant être sous-mixés avec un décodeur externe à deux canaux afin de créer
une sortie compatible Dolby Surround.
 Atténuation du son de 3 dB : cochez cette case afin d’appliquer une atténuation de 3
dB aux canaux Surround d’une piste audio cinéma multicanal transférée vers un format home cinéma grand public. Les canaux Surround cinéma sont mixés à 3 dB de
plus que les canaux avant afin de tenir compte des gains des amplificateurs cinéma.Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 147
Informations générales sur la création de fichiers
Dolby Digital Professional
Vous trouverez ci-dessous certains éléments dont il convient de tenir compte lors de
la configuration et de l’encodage de fichiers Dolby Digital Professional AC-3.
À propos des fichiers multimédias sources
Il est important de tenir compte de quelques directives lors de l’encodage de fichiers
de sortie Dolby Digital Professional à partir de fichiers multimédias sources.
En fonction du format, un fichier peut contenir un canal unique (mono), des canaux doubles (stéréo) ou plusieurs canaux. Compressor prend en charge Dolby Digital Professional
dans toutes ces configurations.
Les fichiers audio destinés à l’encodage Dolby Digital Professional doivent respecter
les règles suivantes :
 Tous les fichiers sources doivent être de longueur identique. Dans le cas contraire
Compressor définit la longueur du flux AC-3 pour qu’elle corresponde à celle du
fichier le plus long.
 Tous les fichiers doivent présenter une fréquence d’échantillonnage de 48 kHz
(requise pour les DVD).
 Les flux AC-3 doivent comporter un multiple de 1536 échantillons. Si ce n’est pas
le cas des fichiers d’entrée sélectionnés, Compressor ajoute du silence numérique
à la fin des fichiers.
Remarque : Compressor peut prendre en charge tout type de fichier source pouvant
contenir du son Surround et de l’audio haute résolution jusqu’à 64 bits par échantillon
(en virgule flottante), et des fréquences d’échantillonnage jusqu’à 192 kHz.
À propos de la prévisualisation des réglages de l’encodeur
Il n’est pas possible de prévisualiser les réglages définis dans la sous-fenêtre de l’encodeur Dolby Digital Professional. Si un appareil capable de reproduire le son Surround
est connecté à un port USB ou FireWire de votre ordinateur ou à une autre sortie de ce
dernier, vous serez en mesure d’entendre le son affecté aux différent canaux, mais il ne
tiendra pas compte des réglages tels que ceux définis dans Normalisation des dialogues ou Préréglage de compression.148 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional
Important : étant donné que la sortie audio n’est pas une sortie Dolby Digital, la sortie
optique ne peut pas être utilisée pour vérifier le son affecté à chaque canal.
La seule méthode permettant de vérifier les réglages consiste à soumettre le lot et à
écouter les résultats. Si vous n’êtes pas sûr des réglages, utilisez la fenêtre Preview pour
faire un essai en encodant une partie relativement courte de la source.
Vous pouvez importer un fichier AC-3 en tant que fichier multimédia source dans un lot
Compressor. Compressor dispose d’un décodeur Dolby Digital intégré qu’il utilise pour
décoder les fichiers AC-3. Ce décodeur applique correctement tout réglage défini dans
la sous-fenêtre de l’encodeur Dolby Digital Professional, ce qui vous permet d’entendre les effets même si vous ne disposez pas d’un décodeur Dolby Digital externe. Vous
pouvez aussi transcoder les fichiers AC-3 dans un autre format.
Remarque : les fichiers AC-3 avec son Surround sont sous-mixés en stéréo si aucun
système externe reproduisant le son Surround n’est connecté à l’ordinateur.
Conversion de fichiers audio stéréo au format
Dolby Digital Professional
Suivez ces étapes pour encoder un flux Dolby Digital Professional (AC-3) stéréo (2/0 D,G)
à partir d’un fichier multimédia source stéréo.
Pour encoder un flux AC-3 :
1 Ajoutez des fichiers audio sources à la fenêtre Lot. (Pour obtenir des détails, reportezvous au chapitre 4, « Importation de fichiers multimédia sources », à la page 77.)
2 Enregistrez le lot en choisissant Fichier > Enregistrer sous (ou en appuyant sur
Commande + Maj + S), en saisissant un nom pour le lot, en sélectionnant un emplacement et en cliquant sur Enregistrer.
3 Effectuez l’une des opérations suivantes pour appliquer le réglage Apple approprié
de la catégorie Dolby Digital Professional au fichier audio source :
 Choisissez Cible > « Nouvelle cible avec réglage », sélectionnez un réglage et cliquez
sur Ajouter.
 Dans la fenêtre Lot, cliquez sur un espace vide de la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, choisissez Nouvelle cible avec réglage dans le menu local,
sélectionnez un réglage, puis cliquez sur Ajouter.
 Faites glisser un réglage de l’onglet Réglages jusque sur la tâche du fichier audio
source dans la fenêtre Lot.Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 149
4 Vous pouvez à l’occasion apporter des ajustements au réglage de la sous-fenêtre
Encodage de la fenêtre Inspecteur. Consultez la section « À propos de la sous-fenêtre
Encodeur Dolby Digital Professional » à la page 140 pour plus d’informations.
Remarque : Compressor associe les canaux de manière intelligente. Voici quelques
exemples :
 Si vous importez un fichier source stéréo et que vous lui appliquez un mode de
codage audio mono 1/0 (C), le fichier fait l’objet d’un sous-mixage.
 Si vous appliquez un mode de codage audio Surround au fichier stéréo, les canaux
gauche et droit sont mappés sur les canaux frontaux gauche (G) et droit (D) et
les autres canaux du mode de codage restent silencieux.
 Si vous affectez un fichier stéréo au canal Surround avant gauche ou (arrière) gauche, Compressor sélectionne le canal de gauche et ignore le canal de droite.
5 Cliquez sur Soumettre.
Pour obtenir des informations sur l’encodage des fichiers avec son Surround,
reportez-vous à la section « Affectation de fichiers à des canaux audio Surround (méthode manuelle), » ci-après et à la section « Affectation de fichiers à des canaux audio
Surround (méthodes automatiques) » à la page 152. Consultez également la section « À
propos de la prévisualisation des réglages de l’encodeur » à la page 147 pour en savoir
plus sur la lecture des fichiers audio AC-3 avec Compressor.
Affectation de fichiers à des canaux audio Surround
(méthode manuelle)
Suivez ces étapes pour utiliser la méthode manuelle d’affectation de fichiers audio
individuels aux canaux audio Surround.
Pour affecter manuellement des fichiers audio sources aux canaux d’un flux audio
Surround :
1 Pour importer les fichiers audio sources, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Cliquez sur le bouton « Ajouter du son Surround » de la fenêtre Lot.
 Choisissez Tâche > Nouvelle tâche avec groupe de sons Surround (ou appuyez sur
Commande + Maj + I).
 Cliquez sur le lot tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez
« Nouvelle tâche avec groupe de sons Surround » dans le menu contextuel.
L’interface d’affectation des canaux s’ouvre.150 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional
2 Effectuez l’une des opérations suivantes pour affecter un fichier audio source à un canal
particulier.
 Faites glisser le fichier audio source du Finder vers l’icône d’un canal spécifique
(par exemple « G »).
 Cliquez sur l’icône d’un canal spécifique (par exemple « G ») et utilisez la zone de dialogue Ouvrir afin de localiser le fichier audio source destiné à ce canal.
Le fichier est désormais affecté au canal « G » (avant gauche).
3 Répétez l’étape 2 pour chacun des fichiers audio sources que vous prévoyez d’inclure
dans le flux Surround.
Remarque : si vous créez des flux audio Surround Dolby Digital Professional (AC-3),
vous n’utiliserez pas immédiatement tous les canaux répertoriés dans le tableau.
Consultez la section « Réglages de l’onglet Audio » à la page 141 pour un schéma des
modes de codage audio Dolby.
4 Une fois que vous avez terminé l’ajout des fichiers audio sources à l’interface d’affectation des canaux, cliquez sur OK.Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 151
Le groupe de fichiers Surround apparaît comme un seul fichier multimédia source
Surround dans la fenêtre Lot et s’affiche également dans la fenêtre Inspecteur.
Remarque : vous pouvez cliquer sur l’icône d’un canal dans la fenêtre Inspecteur pour
changer le fichier qui lui est affecté.
5 Effectuez l’une des opérations suivantes pour appliquer le réglage Apple approprié de
la catégorie Dolby Digital Professional au fichier audio source :
 Choisissez Cible > « Nouvelle cible avec réglage », sélectionnez un réglage et cliquez
sur Ajouter.
 Dans la fenêtre Lot, cliquez sur un espace vide de la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, choisissez « Nouvelle cible avec réglage » dans le menu local,
sélectionnez un réglage, puis cliquez sur Ajouter.
 Faites glisser un réglage de l’onglet Réglages jusque sur la tâche du fichier audio source
dans la fenêtre Lot.
6 Apportez les ajustements nécessaires dans la fenêtre Inspecteur, puis cliquez sur
Soumettre.
Compressor crée un flux audio Surround AC-3. Consultez la section « À propos de la
prévisualisation des réglages de l’encodeur » à la page 147 pour en savoir plus sur la lecture de fichiers audio AC-3 avec Compressor.152 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional
Affectation de fichiers à des canaux audio Surround
(méthodes automatiques)
Compressor offre des techniques rationalisées d’affectation de canaux, qui vous permettent de gagner du temps.
Pour afficher des fichiers à des canaux Surround avec des codes d’identificateur
de canal :
1 Ajoutez le code d’identificateur du canal Surround cible au nom de chaque fichier
audio source. Reportez-vous au tableau ci-dessous pour la liste des codes d’identificateur de canal appropriés.
Par exemple, pour affecter un fichier AIFF au canal Surround gauche, renommez le
fichier comme suit : nomdefichier-Gs.aiff (où nomdefichier est le nom de votre fichier).
Remarque : il se peut que Mac OS X ajoute une extension de fichier telle que .aiff. Cela
n’interfère pas avec la méthode d’affectation de ce canal.
Cette procédure ne fonctionne que lorsque vous glissez-déposez des fichiers dans
la fenêtre Lot. Si vous faites glisser les fichiers sur l’icône de l’application Compressor,
il apparaîtront en tant que fichiers sources distincts, chacun dans sa tâche.
Remarque : si vous créez des flux audio Surround Dolby Digital Professional (AC-3),
vous n’utiliserez pas immédiatement tous les canaux répertoriés dans le tableau.
Consultez la section « Réglages de l’onglet Audio » à la page 141 pour un schéma des
modes de codage audio Dolby.
Affectation de canaux Code d’identificateur de canal
Canal avant gauche -G
Canal avant droit -D
Canal avant central -C
Canal Surround gauche -Gs
Canal Surround droit -Ds
Canal Surround central -S
Canal basse fréquence (subwoofer, LFE) -LFEChapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 153
2 Faites glisser vers la fenêtre Lot les fichiers audio sources renommés.
Si les conditions suivantes sont réunies, Compressor réduit automatiquement le groupe
entier de fichiers en ce qui apparaît comme un fichier multimédia source Surround unique dans la fenêtre Lot :
 Les fichiers du groupe doivent être nommés correctement (voir tableau ci-dessus).
 Le nombre total de fichiers du groupe doit être inférieur à sept.
Les fichiers audio affectés à chaque canal sont affichés dans la fenêtre Inspecteur.
Remarque : vous pouvez cliquer sur l’icône d’un canal dans la fenêtre Inspecteur pour
changer le fichier qui lui est affecté.
3 Effectuez l’une des opérations suivantes pour appliquer le réglage Apple approprié de
la catégorie Dolby Digital Professional à la tâche du fichier audio source :
 Choisissez Cible > « Nouvelle cible avec réglage », sélectionnez un réglage et cliquez
sur Ajouter.
 Dans la fenêtre Lot, cliquez sur un espace vide de la tâche tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, choisissez « Nouvelle cible avec réglage » dans le menu local,
sélectionnez un réglage, puis cliquez sur Ajouter.
 Faites glisser un réglage de l’onglet Réglages jusque sur la tâche du fichier audio
source dans la fenêtre Lot.154 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional
4 Apportez les ajustements nécessaires dans la fenêtre Inspecteur, puis cliquez
sur Soumettre.
Compressor crée un flux audio Surround AC-3. Consultez la section « À propos de la
prévisualisation des réglages de l’encodeur » à la page 147 pour en savoir plus sur la lecture de fichiers audio AC-3 avec Compressor.
Affectation de fichiers à des canaux audio Surround à l’aide
de droplets
Vous pouvez rationaliser davantage le processus d’affectation des canaux en encapsulant dans un droplet la méthode « automatique » décrite ci-dessus.
Pour en savoir plus sur les droplets, reportez-vous à la section « Utilisation de droplets »
à la page 337.
Options de mixage spatial
Cette section contient des perspectives et suggestions supplémentaires pour l’utilisation des canaux dans un programme Dolby Digital Professional.
Utilisation du canal central
Dans un système multicanal, il existe trois moyens de centrer une image audio :
 Créez un « centre fantôme » (mixez le son à gauche et à droite de façon équilibrée,
comme pour la stéréo). Cette méthode est couramment utilisée, mais elle suppose
que l’auditeur soit assis juste entre les haut-parleurs (ce qui est impossible dans
une voiture et pas toujours le cas dans une maison). Le timbre du son n’est pas
le même qu’en provenance d’un haut-parleur direct, en raison des effets d’annulation croisée.
 Utilisez le canal central seul. Il en résulte une image centrale stable pour les auditeurs,
quelle que soit leur position. Pour éviter que l’audio ne soit trop nette ou trop étriquée, sa réverbération peut être étalée sur les canaux de gauche et de droite.
 Utilisez les trois canaux avant de manière égale ou dans des proportions différentes.
Cette méthode permet davantage de contrôle de la plage de largeur et de profondeur spatiale. Le centre fantôme peut être renforcé par des signaux supplémentaires
dans le canal central, opération qui peut être améliorée par l’étalement du signal dans
la paire gauche/droite. Cette méthode présente toutefois un inconvénient : le son
issu des trois haut-parleurs peut ne pas être fluide ou ne pas parvenir à l’auditeur en
même temps, ce qui entraîne un filtrage en peigne, des variations de tonalité ou
autres irrégularités. Pour palier ces problèmes, les signaux supplémentaires peuvent
d’abord être traités pour en changer le caractère spatial, le timbre ou l’intensité par
rapport au signal central principal.Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional 155
Utilisation de canaux Surround
De subtils effets Surround permettent d’améliorer de façon notoire la sensation de profondeur pour l’auditeur, par rapport à la stéréo conventionnelle. La musique populaire
tire souvent parti de l’utilisation créative du son Surround. N’en abusez pas toutefois.
Le principe de l’industrie cinématographique (ne pas utiliser les effets Surround comme
distraction par rapport à l’histoire) s’applique également au monde de la musique.
Limitations du canal LFE
Le canal LFE (basse fréquence) est un signal distinct avec une plage de fréquences
limitée ; il est créé par l’ingénieur de mixage et est diffusé en plus des canaux
principaux dans le mixage. Un filtre « anti-repliement » à 120 Hz dans l’encodeur
Dolby Digital Professional limite son utilisation aux deux octaves audibles inférieures.
Dolby recommande de limiter le signal à 80 Hz lors du mixage de votre son.
Dans la plupart des productions musicales (à quelques exceptions près, notamment
les fameux coups de canon dans l’ouverture 1812 de Tchaikovsky), le canal LFE n’est pas
nécessaire. Le signal LFE est également ignoré dans le processus de sous-mixage
Dolby Digital Professional, de sorte que les signaux de basse intense ne provoquent
pas de dégâts sur les petits systèmes stéréo. Prenez soin de ne pas inclure dans le canal
LFE des informations vitales qui seraient manquantes lors d’une lecture mono, stéréo
ou Pro Logic.
Étant donné que le canal LFE est distinct des autres canaux, sa capacité à fusionner
avec les fréquences plus élevées peut être modifiée par les filtres utilisés pour générer
le signal LFE. Pour garantir un signal audio cohérent, conservez le signal entier dans
les canaux principaux.
Évitez de créer un canal LFE pour les documents créés à l’origine sans ce canal. Les cinq
canaux principaux du format Dolby Digital Professional sont tous complets et le canal
LFE n’accroît pas la réponse en fréquence. Les décodeurs Dolby Digital Professional permettent une gestion des basses en dirigeant les fréquences faibles vers un caisson de
sous-basses ou d’autres haut-parleurs adaptés. Une piste LFE peut gêner la gestion
des basses.156 Chapitre 8 Création de fichiers de sortie Dolby Digital Professional
Adaptation de la lecture stéréo
Malgré la popularité des systèmes 5.1, il est conseillé de toujours effectuer une reproduction stéréo. Vous pouvez procéder de trois façons différentes :
 Préparez un nouveau mixage stéréo à partir des éléments multipistes d’origine
(à l’aide des sessions de mixage stéréo standard).
 Préparez un sous-mixage ajusté en studio à partir du mixage multicanal. Cette
méthode tire parti du travail de mixage de la version 5.1. Elle reste flexible dans
les proportions exactes de chaque canal représenté dans le mixage stéréo final.
 Laissez le décodeur générer un sous-mixage stéréo, à partir des formules prédéfinies
du décodeur. Les options de sous-mixage et les effets de contrôle de plage dynamique peuvent être prévisualisés et ajustés dans le studio de production, et une plage
d’ajustements est possible.
Vérifiez toujours le mixage sur un système audio bas de gamme afin d’évaluer sa qualité sur les systèmes de lecture les plus modestes.
Remarque : pour plus d’informations sur Dolby Digital Professional, consultez la section « Questions fréquences sur Dolby Digital Professional », disponible sur le site Web
de Dolby Laboratories Inc. : http://www.dolby.com (en anglais).9
157
9 Création de fichiers de sortie pour
flux DV
Compressor comprend les outils dont vous avez besoin pour
créer des fichiers DV.
Parce qu’il est peu coûteux et très répandu, le format vidéo DV est très apprécié pour
la capture et la distribution de vidéo en définition standard (SD).
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 À propos de la sous-fenêtre Encodeur DV (p. 157)
 Processus de transcodage DV (p. 158)
À propos de la sous-fenêtre Encodeur DV
Cette section contient des informations détaillées sur les divers réglages qui se trouvent à l’intérieur de la sous-fenêtre Encodeur DV de la fenêtre Inspecteur. Vous devez
définir vos réglages DV en modifiant un réglage existant ou en créant un nouveau
réglage dans l’onglet Réglages.
Les boutons Automatique
pour les valeurs Format,
Proportions et « Ordre de
trame »158 Chapitre 9 Création de fichiers de sortie pour flux DV
La sous-fenêtre Encodeur de flux DV contient les réglages suivants :
 Extension : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier dv une fois
le format de sortie Flux DV sélectionné dans le menu local « Format du fichier »
ou dans le menu local (+) de l’onglet Réglages.
 Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de tâche. Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de
tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.
 Format : vous avez le choix entre NTSC et PAL pour le format vidéo de sortie.
 Proportions : vous avez le choix entre 16:9 et 4:3 pour les proportions de la vidéo
de sortie.
Remarque : le format 16:9 utilise la vidéo anamorphosée.
 Ordre de trame : sélectionnez le champ « Première trame inférieure » (obligatoire
pour la vidéo DV entrelacée) avec des sources entrelacées ou Progressive avec des
sources progressives.
Processus de transcodage DV
La méthode utilisée pour transcoder votre vidéo en fichiers au format Flux DV à l’aide
de Compressor dépend de l’utilisation que vous comptez faire de ces fichiers. Les étapes essentielles sont les suivantes :
Étape 1 : Créez un lot
Comme pour toute opération de transcodage, vous devez commencer par créer un lot.
Étape 2 : Créez des tâches avec les fichiers audio source
Importez les fichiers vidéo source en les faisant glisser depuis le Finder jusque sur le lot
ou en choisissant Tâche > Nouvelle tâche avec fichier.
Étape 3 : Ajoutez des cibles avec un réglage DV à chacune des tâches
Chacune des tâches requiert au moins une cible ; dans ce cas, les tâches nécessitent
des cibles avec réglage Flux DV. S’il existe plusieurs tâches, il est plus facile de choisir
Édition > Tout sélectionner pour sélectionner toutes les tâches, puis de sélectionner
Cible > Nouvelle cible avec réglage pour appliquer le même réglage à toutes les tâches.
Étape 4 : Envoyez le lot en transcodage
Cliquez sur le bouton Soumettre pour lancer le processus de transcodage.10
159
10 Création de fichiers de sortie
H.264 pour appareils Apple
Compressor permet de créer des fichiers H.264 compatibles
avec iTunes. Ces fichiers peuvent être lus par iTunes sur un
iPod vidéo ou avec Apple TV.
L’efficacité de l’encodeur H.264 le rend particulièrement approprié pour la création de
fichiers de média destinés à être utilisés avec iTunes et les appareils qui y sont associés,
tels que l’iPod ou l’Apple TV. Compressor comprend des réglages prédéfinis qui, grâce
à la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour appareils Apple, facilitent la création de fichiers
de média compatibles.
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour appareils Apple (p. 160)
 Processus H.264 pour iPod et Apple TV (p. 164)
Pour en savoir plus sur la création de fichiers H.264 destinés à la création de DVD,
reportez-vous au chapitre 11, « Création de fichiers de sortie H.264 pour
DVD Studio Pro », à la page 165. Pour obtenir des informations sur la création de
fichiers H.264 en vue d’une utilisation dans un autre contexte que la création de DVD
(comme par exemple la vidéo Web), voir le chapitre 17, « Création de fichiers de sortie
QuickTime », à la page 237. 160 Chapitre 10 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple
À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour
appareils Apple
Cette section comprend des informations détaillées sur les éléments de la sous-fenêtre
Encodeur H.264 pour appareils Apple de la fenêtre Inspecteur. Vous devez définir vos
réglages H.264 à l’aide de cette sous-fenêtre, soit en modifiant un réglage existant,
soit en créant un nouveau réglage dans l’onglet Réglages.
Définissez vos réglages H.264 pour appareils Apple à l’aide des contrôles décrits ciaprès, soit en dupliquant puis en modifiant un réglage existant, soit en créant un nouveau réglage dans l’onglet Réglages de la fenêtre Réglages. La sous-fenêtre Encodeur
H.264 pour appareils Apple contient les éléments suivants :
 Extension : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier propre au format H.264 pour appareils Apple (.m4v) une fois le format de sortie H.264 pour appareils Apple sélectionné dans le menu local « Format du fichier » ou dans le menu
local (+) de l’onglet Réglages qui se trouve dans la fenêtre Réglages.
 Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de la tâche. Elle n’est utile que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué et l’encodage multipasse. (La fonction Traitement distribué ne peut
être utilisée que sur les ordinateurs sur lesquels Final Cut Studio est installé.) Pour
plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2
passes (ou multipasse) » à la page 64.
 Taille : ce menu local vous permet de sélectionner l’une des options de taille
suivantes :
 iPod 640 (VGA) : cette option permet de créer des fichiers de sortie vidéo d’une largeur d’image de 640 pixels.
 iPod 320 (QVGA) : cette option permet de créer des fichiers de sortie vidéo d’une
largeur d’image de 320 pixels.Chapitre 10 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple 161
 SD Apple TV : cette option permet de créer des fichiers vidéo de sortie d’une largeur d’image de 640 pixels avec une plage de débit supérieure à celle de la taille
640 (VGA) utilisée par l’iPod.
 HD Apple TV : cette option permet de créer des fichiers de sortie vidéo d’une largeur
d’image de 1280 pixels.
 Proportions : utilisez ce menu local pour choisir la taille de pixel exacte du fichier
de données de sortie. Les options disponibles dépendent de l’option de taille (VGA,
QVGA ou 720p) que vous avez sélectionnée. Consultez la section « À propos des
proportions » à la page 163 pour plus d’informations.
Le réglage Proportions dispose également d’un bouton Automatique. Si vous cliquez
sur ce bouton, l’encodeur choisit les proportions qui correspondent au fichier vidéo
source.
Important : le mode automatique du réglage Proportions est capable de choisir
parmi une grande variété de valeurs pour mieux correspondre à la vidéo source
(avec les valeurs déterminées et affichées lorsque ce format de sortie est appliqué à
un fichier multimédia source). Pour les meilleurs résultats, il est recommandé d’utiliser le mode automatique pour le réglage Proportions.
Remarque : par défaut, la fonctionnalité « Contrôles d’images » est réglée sur
« Automatique ». Comme pour le réglage H.264 pour DVD Studio Pro, le « Contrôle
de resynchronisation » des « Contrôles d’images » ne sera activé que si le fichier
source est entrelacé.
 Fréquence d’images : utilisez ce menu local pour choisir l’une des six options suivantes :
 29.97 : utilisé pour la vidéo NTSC
 25 : utilisé pour la vidéo PAL
 24 : utilisé pour la vidéo PAL
 23.98 : utilisé pour la vidéo NTSC
 15 : utilisé pour la vidéo diffusée sur le web
Bouton Automatique
des proportions162 Chapitre 10 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple
Le réglage « Fréquence d’images » dispose également d’un bouton Automatique.
Si vous cliquez sur ce bouton, l’encodeur choisit la fréquence d’images qui correspond au fichier vidéo source.
 Débit : utilisez ce curseur pour choisir le débit à utiliser pour la vidéo de sortie ou
saisissez une valeur dans le champ de texte. les plages disponibles dépendent du
réglage Taille. Le réglage à choisir dépend de l’utilisation que vous souhaitez faire
du fichier de sortie. Les débits élevés donnent des images de meilleure qualité,
mais les fichiers de sortie sont plus volumineux.
 Synchronisation des images : également appelée intervalle entre les images clés,
la valeur « Synchronisation des images » représente la fréquence d’insertion d’images clés dans le flux H.264. Plus cette valeur est faible, plus la vidéo peut être manipulée (par défilement) de manière fluide durant la lecture (les images clés sont plus
fréquentes). Plus cette valeur est élevée, plus la compression est efficace (les images
clés sont moins fréquentes). La plage disponible va de 2 à 10 secondes ; la valeur par
défaut est de 5 secondes.
Le réglage « Synchronisation des images » dispose également d’un bouton Automatique. Si vous cliquez sur ce bouton, l’encodeur choisit une fréquence de synchronisation des images appropriée pour le fichier vidéo source.
 Multipasse : semblable à l’encodage MPEG-2 à deux passes, l’encodage multipasse
offre la meilleure qualité possible. Si vous souhaitez un encodage plus rapide
(passe unique), désélectionnez cette case.
Remarque : si vous utilisez aussi le traitement distribué, il peut être également utile
de désactiver la segmentation de tâches (consultez la section « Autoriser la segmentation de la tâche » à la page 160). Pour en savoir plus, reportez-vous à la section
« Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.
Bouton Automatique
de la fréquence d’imagesChapitre 10 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple 163
 Inclure l’audio AAC : utilisez cette case pour inclure une piste audio AAC stéréo dans
la séquence de sortie. Le débit de la piste audio sera de 128 kbps. La fréquence
d’échantillonnage sera de 44,1 kHz ou de 48 kHz, en fonction de l’audio d’entrée.
Marqueurs de chapitre et de podcast pour la sortie sur iPod
Les marqueurs de chapitre créés dans Final Cut Pro sont transférés à d’autres fichiers
de sortie qui peuvent être reconnus par QuickTime Player, iTunes (fichiers .m4v),
Final Cut Pro et DVD Studio Pro.
Vous pouvez aussi ajouter des marqueurs de podcast au fichier de sortie. Les marqueurs de podcast sont similaires aux marqueurs de chapitre (il est possible de leur
affecter une URL et une illustration), mais il n’est pas possible d’y accéder directement
avec le visualiseur. Ils sont destinés à fournir une fonction de diaporama à des podcasts audio. Pour obtenir des informations sur l’ajout de marqueurs de chapitre et de
podcast, consultez la section « Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317.
À propos des proportions
L’option que vous choisissez dans le menu local Taille détermine la largeur du fichier
encodé. Celle que vous sélectionnez dans le menu local Proportions détermine sa hauteur. Compressor redimensionne verticalement la vidéo source pour qu’elle soit adaptée à la hauteur. Cela signifie que la vidéo source doit être anamorphosée (les objets
semblent étirés verticalement) en prévision d’un redimensionnement destiné à l’adapter aux proportions souhaitées. Si une vidéo qui n’est pas anamorphosée est réglée sur
des proportions autres que ses proportions d’origine, l’image du fichier encodé apparaît déformée à l’écran.
Important : si votre vidéo source est au format Letterbox, utilisez les proportions qui
correspondent à l’intégralité de l’image vidéo, bandes noires comprises, sinon vous
obtiendrez des fichiers de sortie déformés. Vous pouvez éliminer les bandes du format
Letterbox à l’aide de la fonction de rognage automatique. Pour plus d’informations,
consultez le chapitre 21, « Ajout de réglages de géométrie », à la page 287.
Les options suivantes sont disponibles dans le menu local Proportions :
iPod 640 (VGA) iPod 320 (QVGA) Apple TV SD Apple TV HD
4:3 (640 x 480) 4:3 (320 x 240) 4:3 (640 x 480) Sans objet
16:9 (640 x 360) 16:9 (320 x 180) 16:9 (640 x 360) 16:9 (1 280 x 720)
1,85:1 (640 x 346) 1,85:1 (320 x 173) 1,85:1 (640 x 346) 1.85:1 (1 280 x 692)
2,35:1 (640 x 272) 2,35:1 (320 x 136) 2,35:1 (640 x 272) 2.35:1 (1 280 x 544)164 Chapitre 10 Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple
Si le fichier de média source est un fichier NTSC DV ou HDV et que vous n’êtes pas sûr
de ses proportions, cliquez sur le bouton Automatique. Cette option analyse les proportions du fichier multimédia source pour déterminer les proportions idéales en pixels.
Processus H.264 pour iPod et Apple TV
L’efficacité et la qualité du format H.264 offrent un certain nombre d’options aux créateurs de vidéo destinée aux iPod et à l’Apple TV :
 Compressor propose deux tailles de vidéo spécialement conçues pour la lecture sur
iPod : iPod 320 (QVGA) et iPod 640 (VGA). Quelle que soit l’option choisie, les fichiers
de média de sortie pourront être lus par l’iPod et, dans les deux cas, l’image affichée
sur l’écran de l’iPod sera de bonne qualité.
 Si vous avez l’intention de regarder les fichiers de média de sortie sur l’iPod même,
vous pouvez utiliser la taille d’encodage iPod 320 qui crée des fichiers dont l’image
correspond à environ la moitié de celle obtenue en choisissant la taille d’encodage iPod 640.
 Si vous pensez que les fichiers de média de sortie seront affichés sur des écrans de
plus grande taille, dans iTunes ou sur un moniteur connecté à un iPod, utilisez plutôt la taille d’encodage iPod 640 qui offre une meilleure qualité.
 Si vous avez ajouté des marqueurs de chapitre à la vidéo à l’aide de la fenêtre Preview, iTunes utilise automatiquement le premier marqueur comme affiche. Si vous
avez affecté une image à l’un des marqueurs à l’aide de Compressor, le premier marqueur disposant d’une image devient l’affiche dans iTunes. Vous pouvez, si nécessaire, changer d’affiche dans iTunes. Pour en savoir plus, reportez-vous à l’Aide
iTunes. Consultez la section « Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast à un
plan » à la page 320 pour obtenir d’autres informations sur l’ajout de marqueurs de
chapitre dans Compressor.
 La taille d’encodage Apple TV HD permet de créer des fichiers vidéo dont la taille
d’image est environ quatre fois celle des fichiers obtenus en choisissant la taille
d’encodage iPod 640. Il n’est pas possible de lire ces fichiers sur un iPod et il se peut
que leur lecture ne soit pas fluide sur les ordinateurs Macintosh plus anciens.11
165
11 Création de fichiers de sortie
H.264 pour DVD Studio Pro
Compressor permet de créer facilement des réglages
H.264 spécialement configurés pour la création de DVD
haute définition.
Les DVD haute définition peuvent utiliser des fichiers sources encodés en MPEG-2 HD
ou en H.264. Aux débits des données utilisés par les DVD, le format H.264 est généralement deux fois plus efficace que le format MPEG-2. Cela signifie que vous pouvez utiliser un débit de données plus faible pour le format H.264 et obtenir la même qualité
(et des fichiers de taille plus réduite) qu’avec un encodeur MPEG-2, ou même obtenir
une qualité supérieure (et des fichiers de taille semblable) si le débit de données du
format H.264 est le même que celui utilisé pour le format MPEG-2.
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour DVD Studio Pro (p. 165)
 Flux de production H.264 pour DVD (p. 171)
À propos de la sous-fenêtre Encodeur H.264 pour
DVD Studio Pro
Cette section contient des informations détaillées sur les éléments de la sous-fenêtre
Encodeur H.264 pour DVD Studio Pro de la fenêtre Inspecteur. Vous devez définir vos
réglages H.264 à l’aide de cette sous-fenêtre, soit en modifiant un réglage existant,
soit en créant un nouveau réglage dans l’onglet Réglages.
Remarque : cette sous-fenêtre Encodeur particulière est dédiée à l’encodage de fichiers
H.264 pour la création de DVD vidéo au format haute définition (HD). Pour en savoir
plus sur la création de fichiers H.264 qui seront utilisés avec des produits Apple tels
qu’iTunes, un iPod ou Apple TV, reportez-vous au chapitre 10, « Création de fichiers de
sortie H.264 pour appareils Apple », à la page 159. Pour plus d’informations sur l’utilisation de H.264 pour d’autres objectifs, consultez le chapitre 17, « Création de fichiers de
sortie QuickTime », à la page 237.166 Chapitre 11 Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro
La sous-fenêtre H.264 pour DVD Studio Pro contient les éléments suivants :
 Champ Extension de fichier : affiche automatiquement l’extension de fichier QuickTime
(mov) lorsque le format de sortie H.264 pour DVD Studio Pro est sélectionné dans
le menu local « Format du fichier ».
 Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation des tâches. Elle n’est pertinente que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué et un encodage à deux ou plusieurs passes. (La fonction Traitement
distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels Final Cut Studio est installé.) Pour
plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2
passes (ou multipasse) » à la page 64.
 Format vidéo : choisissez l’une des quatre options suivantes proposées dans ce menu
local. Ce sont tous des formats progressifs HD :
 NTSC : ce format, également appelé 480p, utilise une taille d’image de 720 x 480
et un format 16x9 anamorphosé à 59,94 ips.
 PAL : ce format, également appelé 576p, utilise une taille d’image de 720 x 576
et un format 16x9 anamorphosé à 50 ips.
 720p : ce format utilise une taille d’image de 1 280 x 720 et un format 16x9
à 59,94 ips pour le NTSC ou 50 ips pour le PAL.
 1 920 x 1 080 : ce format, également appelé 1080p, utilise une taille d’image de
1 920 x 1 080 et un format 16x9 à 59,94 ips pour le NTSC ou 50 ips pour le PAL. Chapitre 11 Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro 167
Le réglage Format vidéo dispose également d’un bouton Automatique. Si vous
cliquez sur ce bouton, l’encodeur choisit le format vidéo qui correspond au fichier
vidéo source.
 Fréquence d’images : choisissez l’une des options suivantes dans ce menu local :
 23.98 : utilisé pour la vidéo NTSC
 25 : utilisé pour la vidéo PAL
 29.97 : utilisé pour la vidéo NTSC
 50 : utilisé pour la vidéo PAL
 50.94 : utilisé pour la vidéo NTSC
Le réglage Fréquence d’images dispose également d’un bouton Automatique.
Si vous cliquez sur ce bouton, l’encodeur choisit la fréquence d’images qui correspond au fichier vidéo source.
Remarque : si vous choisissez un format dans le menu Format vidéo, le menu
Fréquence d’images est rempli automatiquement.
 Curseur et champ Débit moyen : choisissez le débit moyen à utiliser pour la vidéo de
sortie à l’aide du curseur ou saisissez directement une valeur. Bien que la plage disponible soit comprise entre 0,5 Mbps et 24,99 Mbps, les débits vidéo des DVD HD se
situent habituellement entre 7 Mbps et 15 Mbps pour le format H.264 et dépendent
du nombre de bits de votre DVD et de la nature de vos fichiers de média source.
Le format de fichier H.264 est deux fois plus efficace que le format MPEG-2 standard.
Cela signifie que vous pouvez utiliser un débit moins élevé pour obtenir la même
qualité ou obtenir une qualité supérieure au même débit. Consultez la section « À
propos des réglages Débit » à la page 170 pour plus d’informations.
Bouton Automatique
du format vidéo
Bouton Automatique
de la fréquence d’images168 Chapitre 11 Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro
 Curseur et champ Débit maximum : choisissez un débit maximum compris entre
0,59 Mbps et 29,4 Mbps. Vous pouvez aussi saisir tout nombre situé entre ces deux
valeurs dans le champ à proximité du curseur. Le débit maximum ne peut pas être
réglé sur une valeur inférieure au débit moyen. En règle générale, introduisez un
débit maximum supérieur d’au moins 1 Mbps au débit moyen, afin d’autoriser
les variations de débit et d’être ainsi conforme aux objectifs de qualité constante.
Important : pour assurer une compatibilité maximale avec les lecteurs DVD HD,
évitez de régler le débit maximum sur plus de 18 Mbps.
 Synchronisation des images : utilisez le curseur ou saisissez directement une valeur
pour choisir la vitesse de « Synchronisation des images » pour la vidéo de sortie.
Le réglage par défaut est de 2 secondes. Consultez la section « À propos du réglage
Synchronisation des images » à la page 169 pour plus d’informations.
 Multipasse : cochez cette case pour activer l’encodage multipasse. Semblable à
l’encodage MPEG-2 à deux passes, l’encodage multipasse offre une qualité optimale.
Pour des encodages plus rapides (une seule passe), désactivez cette case. Consultez
la section « Utilisation de l’encodage multipasse pour la création de DVD » à la
page 170 et la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou
multipasse) » à la page 64 pour de plus amples informations.
 Inclure l’audio PCM : cochez cette case pour ajouter une piste audio PCM stéréo 16
bits d’une fréquence de 48 kHz à la séquence QuickTime de sortie. La plupart des
producteurs de DVD utilisent un réglage Dolby Digital Professional (AC-3) pour
l’audio, beaucoup plus efficace. Dans ce cas, vous pouvez désélectionner cette case
et vous assurer qu’un réglage Dolby 2.0 est appliqué à la tâche dans la fenêtre Lot.
Si vous cochez la case, que vous encodez le film H.264, puis que vous importez
le film dans DVD Studio Pro, la piste vidéo et la piste audio apparaissent comme
deux éléments distincts sous l’onglet Ressources, comme si vous aviez importé
une ressource vidéo et une ressource audio.Chapitre 11 Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro 169
À propos du réglage Synchronisation des images
Le réglage « Synchronisation des images » permet de définir un groupe d’images
(« Group Of Pictures » en anglais ou « GOP ») H.264. L’une des différences qui existent
entre l’encodage MPEG-2 et l’encodage H.264 est le fait qu’une image faisant partie
d’un groupe d’images peut faire référence à d’autres images que celles à côté desquelles elle se trouve, ce qui signifie que le décodeur doit stocker toutes les images de réfé-
rence éventuelles afin de pouvoir y accéder. La première image d’un groupe d’images
H.264 est une image I spéciale appelée image IDR (de l’anglais « Instantaneous decoder refresh ») qui a notamment pour effet d’effacer les mémoires tampons des images
de référence du décodeur.
Cela signifie que les images qui constituent le groupe d’images défini par le réglage
Synchronisation des images peuvent faire référence à n’importe quelle autre image du
groupe, mais pas à celles qui se trouvent en dehors du groupe. Il en résulte qu’un
réglage de synchronisation d’images plus long crée un plus grand groupe d’images,
contenant plus d’images disponibles pour le référencement, alors qu’un réglage plus
court donne lieu à un groupe d’images plus petit et à un nombre plus réduit d’images
auxquelles il est possible de faire référence.
Des images I, appelées images-clés de synchronisation partielle, sont ajoutées au
groupe d’images. Ces images I standard définissent un groupe GOVU (de l’anglais
« Group of video access unit »).
Important : afin d’assurer la conformité aux spécifications des DVD HD et à leurs exigences relatives à la longueur maximale du groupe GOVU, Compressor insère automatiquement une image-clé de synchronisation partielle toutes les 0,5 secondes.
FS PS
GOP
défaut de deux secondes
GOVU
défaut de 0,5 secondes
Synchronisation partielle
image-clé
PS PS
Synchronisation
des images
image-clé170 Chapitre 11 Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro
Utilisation de l’encodage multipasse pour la création de DVD
Pour vous assurer que tous les fichiers H.264 créés avec Compressor sont correctement
compilés en fichiers compatibles avec les DVD HD dans DVD Studio Pro, veillez à ce
que l’encodage multipasse soit activé.
Pour activer cet encodage :
1 Ouvrez l’onglet Réglages.
2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier de données source
dans la fenêtre Lot.
3 Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur H.264 dans la fenêtre Inspecteur.
4 Cochez la case Multipasse.
À propos des réglages Débit
Lorsque vous déterminez les débits moyen et maximum pour la lecture de DVD,
n’oubliez pas de prendre en considération le débit de vos pistes audio ainsi que
le débit H.264.
Important : pour assurer une compatibilité maximale avec les lecteurs DVD HD,
évitez de régler le débit maximum sur plus de 18 Mbps.
Vous devez faire en sorte que la somme des débits audio et vidéo, moyens et maximum ne dépasse pas 30 Mbps, le débit maximum garanti par les lecteurs de DVD haute
définition. Étant donné que les formats audio compatibles avec les DVD utilisent
un débit constant (CBR, de l’anglais « Constant bit rate »), vous n’avez pas à vous préoccuper d’un éventuel débit audio maximum.
Par exemple, si vous utilisez de l’audio AIFF à 1,5 Mbps, vous devriez veiller à ce que
les débits vidéo moyen et maximum pour les DVD haute définition ne dépasse pas
28,5 Mbps. En règle générale, votre débit moyen sera inférieur à cette valeur (entre
7 Mbps et 15 Mbps). Le débit maximum doit toutefois être, lui aussi, inférieur à cette
valeur. Il est recommandé de ne pas dépasser 28,0 Mbps comme débit maximum afin
de conserver une marge d’erreur (par exemple, pour les flux des sous-titres).
Si vous utilisez un format audio comprimé compatible avec les DVD, tel que le format
Dolby Digital ou MPEG-1/Layer-2, il se peut que le débit audio soit relativement bas et
se situe entre 0,2 Mbps et 0,4 Mbps, auquel cas vous pouvez régler le débit maximum
sur une valeur environ 1 Mbps plus élevée. En règle générale, introduisez un débit
maximum supérieur d’au moins 1 Mbps au débit moyen, afin d’autoriser les variations
de débit et d’être ainsi conforme aux objectifs de qualité constante.Chapitre 11 Création de fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro 171
Flux de production H.264 pour DVD
L’efficacité et la qualité de H.264 donnent lieu à un certain nombre d’options pour
les créateurs de DVD :
 Étant donné que le format H.264 est capable de produire une vidéo haute définition
(HD) à un débit de définition standard (SD), vous pouvez enregistrer 90 minutes de
contenu HD sur un disque DVD-5 ordinaire lisible sur les nouveaux lecteurs DVD HD.
 Les résolutions vidéo prises en charge par les DVD SD sont également prises en
charge par les DVD HD. Cela signifie qu’un DVD haute définition peut utiliser
un fichier de résolution vidéo HD pour son contenu principal, par exemple un long
métrage, puis utiliser des fichiers de résolution vidéo SD pour les fonctionnalités supplémentaires telles que les génériques et les documentaires de tournage.
 Les ressources H.264 doivent être progressives, si bien que les fichiers vidéo SD
entrelacés doivent être convertis en fichiers progressifs. Sinon, vous pouvez encoder
des fichiers MPEG-2 à partir des fichiers vidéo SD entrelacés, puis les ajouter à votre
projet DVD.12
173
12 Création de fichiers de séquence
d’images
Vous pouvez utiliser Compressor pour produire une séquence
d’images destinée aux applications de compositing
Ce chapitre décrit les séquences d’images que Compressor peut produire à partir
de vos fichiers multimédia sources :
 Création de fichiers de sortie de séquence d’images (p. 173)
 À propos de la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images (p. 174)
 Définition de réglages de séquence d’images (p. 175)
Création de fichiers de sortie de séquence d’images
Le format de sortie Séquence d’images produit un ensemble de fichiers d’images fixes
représentant les images vidéo sources. Utilisez cet encodeur pour convertir un plan
vidéo en une séquence d’images à utiliser avec des applications de composition
incompatibles avec QuickTime.
Le format de sortie « Séquence d’images » prend en charge deux formats d’images fixes :
 TIFF (Tagged Image File Format) : le format d’image fixe TIFF est l’un des plus courants
et des plus flexibles qui soient, et a été développé pour créer un format de fichier
standard pour le stockage et l’échange d’images numériques utilisés dans la publication assistée par ordinateur. Il est compatible avec une grande variété d’applications
de composition et de traitement d’images.
 TARGA (Truevision Advanced Raster Graphics Adapter) : le format TARGA, aussi souvent
appelé simplement TGA, est un format d’infographie par quadrillage principalement
utilisé par les applications d’animation et vidéo.174 Chapitre 12 Création de fichiers de séquence d’images
À propos de la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images
La sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images contient les éléments suivants pour
vous aider à créer des fichiers de sortie TIFF ou TARGA :
 Extension de fichier : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier tiff une
fois le format de sortie TIFF sélectionné dans le menu local « Format de fichier » ou
dans le menu local (+) de l’onglet Réglages. Ne modifiez pas ce champ.
 Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de tâche. Elle n’est importante que si vous utilisez Compressor avec
le traitement distribué et avec l’encodage à deux passes ou multipasse. (Cette fonctionnalité est limitée aux ordinateurs sur lesquels Final Cut Studio est installé.)
Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage
2 passes (ou multipasse) » à la page 64.
 Type d’image : choisissez soit TIFF soit TARGA dans le menu local.
 Fréq. d’images (ips) : utilisez ce champ et le menu local pour saisir la fréquence d’images à laquelle vous souhaitez que les images fixes soient créées. Plus cette fréquence
est élevée, plus le nombre d’images créées est important et plus le fichier de sortie
est gros. Par exemple, si vous choisissez 30 images par seconde, Compressor crée
30 images pour chaque seconde de plan en cours de transcodage. Si vous choisissez
8 images par seconde, Compressor ne crée que 8 images fixes par seconde.
Choisissez Séquence d’images.
Choisissez le type d’image TIFF
ou TARGA.
Choisissez une fréquence
d’images dans le menu local
« Fréq. d’images » ou cliquez
sur le bouton Automatique.Chapitre 12 Création de fichiers de séquence d’images 175
 Créer un répertoire de sortie unique : cochez cette case pour créer un dossier de stockage des fichiers de sortie. Le nom attribué au dossier est celui du fichier multimédia
et les fichiers sont stockés dans ce dossier sous le nom image-nnn. Par exemple, si le
nom du fichier de sortie est test, le chemin d’accès est destination/test/image-nnn.
Si vous ne cochez pas cette case, les fichiers sont stockés au niveau supérieur de votre
dossier de destination et nommés nom_de_fichier-nnn au lieu de image-nnn. N’oubliez
pas que même à un faible débit de 8 images par seconde, un grand nombre de fichiers
est créé lors du transcodage dans ce format de sortie ; la création d’un répertoire de sortie s’avère donc être une bonne solution pour que vos fichiers restent organisés.
 Ajouter des zéros en tête des numéros d’images : cochez cette case pour ajouter des
zéros non significatifs aux numéros des images. Quand vous choisissez cette
méthode, tous les noms des fichiers TIFF comprennent plusieurs chiffres, comme
image-000001 (ou nom_de_fichier-000001 si ces fichiers ne sont pas stockés dans un
répertoire de sortie unique). Inversement, les fichiers TIFF adoptent des noms standard, tels que cadre-1 (ou nom_de_fichier-1 si ces fichiers ne sont pas stockés dans
un répertoire de sortie unique).
Définition de réglages de séquence d’images
Utilisez le format de sortie « Séquence d’images » pour transcoder un plan vidéo en
une série d’images fixes.
Pour créer un réglage de séquence d’images :
1 Dans l’onglet Réglages, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Assurez-vous que le réglage correct est sélectionné.
 Créez un réglage en choisissant « Séquence d’images » dans le menu local « Créer
un réglage (+) ».
2 Cliquez sur l’onglet Encodeur, puis choisissez « Séquence d’images » dans le menu local
« Format de fichier ».
La sous-fenêtre « Encodeur de séquence d’images » apparaît.
3 Choisissez le type d’image TIFF ou TARGA.
4 Saisissez une valeur dans le champ Vitesse (ips) ou choisissez une fréquence d’images
dans le menu local.
5 Cochez la case « Créer un répertoire de sortie unique » pour que vos fichiers de séquence
d’images soient stockés dans leur propre dossier à l’intérieur du dossier de destination.
6 Cochez la case « Ajouter des zéros en tête des numéros d’image » pour que les noms
de fichier de sortie de séquence d’images soient au format 0000nn.176 Chapitre 12 Création de fichiers de séquence d’images
Important : la fonction de destination distante de Compressor ne prend pas en charge
le téléchargement de séquences d’images vers une destination distante (serveur FTP).
Utilisez dans ce cas un logiciel de transfert FTP pour pouvoir télécharger la séquence
d’images vers des serveurs distants.
Consultez la section « À propos de la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images » à
la page 174 pour plus d’informations sur la sous-fenêtre Encodeur de séquence d’images.
Remarque : vous pouvez consulter le contenu actuel de votre réglage dans la sousfenêtre Résumé de la fenêtre Inspecteur.13
177
13 Création de fichiers de sortie MP3
Compressor fournit les outils nécessaires pour créer des
fichiers MP3 exceptionnels.
MP3 est un type d’encodage MPEG spécifique officiellement nommé « MPEG audio
layer 3 ». MP3 utilise le codage audio perceptif et la compression psychoacoustique
pour éliminer toutes les informations superflues (et notamment les parties de signal
sonore redondantes et inutiles que l’oreille humaine ne peut pas entendre de toute
façon). Le codage MP3 permet donc de réduire les données audio originales d’un CD
(dont le débit de données s’élève à 1 411,2 kilobits par seconde de musique stéréo) d’un
facteur de 12 (jusqu’à 112 – 128 Kbps) sans trop sacrifier la qualité sonore. Les partisans
du format MP3 prétendent que la qualité sonore n’est pas sacrifiée, toutefois les professionnels audio peuvent entendre la différence sur des équipements de qualité.
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 Utilisations courantes du format MP3 (p. 177)
 À propos de la sous-fenêtre Encodeur MP3 (p. 178)
 Processus de transcodage MP3 (p. 180)
Utilisations courantes du format MP3
MP3 est une norme de fichiers audio compressés largement adoptée qui peut être
utilisée de différentes manières. En voici quelques exemples :
Musique
Presque tous les lecteurs de musique portables prennent en charge le format audio
MP3. En utilisant des débits plus élevés (256 Kbps, par exemple), vous pouvez créer
un fichier audio d’excellente qualité et de taille largement inférieure au format audio
non compressé.
Vous pouvez également ajouter des métadonnées au fichier, afin de pouvoir afficher,
lors de l’ouverture du fichier multimédia source sur de nombreux lecteurs (y comprisiTunes), les informations courantes telles que le nom de l’artiste, de l’album, etc.178 Chapitre 13 Création de fichiers de sortie MP3
Podcasts
Le large éventail de débits pris en charge par le MP3 en font le format idéal pour diffuser des podcasts de niveaux de qualité variés, permettant ainsi aux utilisateurs de choisir la taille du fichier et le niveau de qualité qui leur convient.
Remarque : pour profiter du plus grand nombre d’options lors de la création de podcasts audio améliorés, utilisez le format de sortie MPEG-4. Vous pouvez ajouter des marqueurs de chapitre et de podcast contenant des URL et des illustrations au fichier de
sortie. Pour plus d’informations, consultez le chapitre 16, « Création de fichiers de sortie MPEG-4 », à la page 225.
À propos de la sous-fenêtre Encodeur MP3
Cette section contient des informations détaillées sur les différents réglages de la
sous-fenêtre Encodeur MP3 de la fenêtre Inspecteur. La configuration des réglages
MP3 s’effectue par l’intermédiaire de ces réglages, soit en modifiant un réglage, soit
en créant un sous l’onglet Réglages.
La sous-fenêtre Encodeur MP3 contient les réglages suivants :
 Extension : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier mp3, une fois
le format de sortie MP3 sélectionné dans le menu local « Format de fichier » ou dans
le menu local (+) de l’onglet Réglages.
 Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de tâche. Comme la segmentation de tâche n’est pas utilisée pour
les encodages purement audio, cette case n’est pas activée pour le format de fichier
MP3. Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et
encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.Chapitre 13 Création de fichiers de sortie MP3 179
 Menu local Débit stéréo : plus le nombre de kilobits par seconde (Kbps) en mono ou
en stéréo est élevé, plus la qualité des données audio est élevée et plus le fichier est
volumineux. Les débits les plus courants pour les fichiers MP3 stéréo se situent entre
128 Kbps et 192 Kbps. Les débits plus faibles sont plus adaptés aux fichiers sonores
contenant des enregistrements vocaux (plutôt que de la musique).
Voici quelques exemples de réglages et de leur utilisation :
 32 Kbps : qualité de radio AM, réglage adapté à un discours de qualité moyenne
 96 Kbps : qualité de radio FM, réglage adapté à un discours de haute qualité ou à de
la musique de qualité moyenne
 128 Kbps : adapté à de la musique de bonne qualité
 256 Kbps et 320 Kbps : adapté à de la musique de qualité proche d’un CD audio
 Utiliser le codage VBR : ce réglage fait varier le nombre de bits utilisés pour stocker
la musique en fonction de la complexité de celle-ci. Il permet de maintenir la taille du
fichier à un minimum.
 Menu local Echantillonnage : nombre de fois par seconde où les formes d’onde de
la musique sont capturées numériquement. Plus le taux d’échantillonnage est important, meilleure est la qualité, mais plus le fichier est volumineux. Ne sélectionnez pas
un taux d’échantillonnage supérieur à celui utilisé à l’origine pour stocker la musique, car vous risqueriez de gaspiller de l’espace. La qualité CD, par exemple, s’élève à
44,100 kHz, il est donc inutile de sélectionner un taux d’échantillonnage supérieur
lorsque vous effectuez un encodage à partir d’un CD.
 Menu local Canaux : si vous ne disposez pas de haut-parleurs stéréo ou si vos fichiers
audio sont monophoniques, choisissez Mono (les fichiers mono sont près de deux
fois plus petits que les fichiers stéréo). Si vous envisagez d’écouter vos fichiers MP3
sur un système stéréo, choisissez Stéréo.
 Stéréo joint : lorsque cette option est désélectionnée, vos fichiers MP3 contiennent
une piste pour le canal stéréo de droite et une piste pour le canal de gauche. Dans
de nombreux cas, les deux canaux contiennent des informations connexes. Lorsque
la case Stéréo joint est activée, un canal porte les informations qui sont identiques
sur les deux canaux, tandis que l’autre canal véhicule les informations uniques. À des
débits inférieurs ou égaux à 160 Kbps, cela peut améliorer la qualité sonore de vos
données audio converties.
 Réglages d’encodage avancé : sélectionnez cette option pour que Compressor analyse vos réglages d’encodage et la source musicale, afin d’ajuster les réglages pour
maximiser la qualité.
 Filtrer les fréquences inférieures à 10 Hz : le filtrage des fréquences inaudibles permet
de générer des fichiers moins volumineux, plus efficaces et sans perte de qualité
perceptible. 180 Chapitre 13 Création de fichiers de sortie MP3
Processus de transcodage MP3
La manière d’utiliser Compressor pour transcoder vos données audio en fichiers MP3
dépend de l’utilisation que vous souhaitez en faire. Les étapes de base sont les suivantes :
Étape 1 : Créez un lot
Comme pour tout processus de transcodage, vous devez commencer par créer un lot.
Étape 2 : Créez des tâches avec les fichiers audio sources
Importez les fichiers audio sources en les faisant glisser du Finder vers le lot ou en choisissant la commande Tâche > Nouvelle tâche avec fichier.
Étape 3 : Ajoutez des annotations (si nécessaire)
Si vous avez l’intention de lire les fichiers MP3 à l’aide d’un appareil ou d’une application telle qu’iTunes, vous pouvez ajouter diverses annotations, comme le nom de
l’artiste, le nom de l’album, le titre et d’autres, qui peuvent être lues et affichées.
Étape 4 : Ajoutez des cibles avec un réglage MP3 pour chacune des tâches
Chacune des tâches nécessite au moins une cible ; dans ce cas, les tâches ont besoin de
cibles avec un réglage MP3. S’il existe plusieurs tâches, il est plus facile de sélectionner
toutes les tâches, de choisir Édition > Tout sélectionner, puis Cible > « Nouvelle cible
avec réglage », afin d’appliquer le même réglage à toutes les tâches.
Étape 5 : Soumission du lot pour transcodage
Cliquez sur le bouton Soumettre pour lancer le processus de transcodage.14
181
14 Création de fichiers de sortie
MPEG-1
Compressor fournit les outils dont vous avez besoin pour
créer des fichiers transcodés MPEG-1 exceptionnels
MPEG-1 est une norme de compression internationale, développée par le groupe MPEG
(Motion Picture Experts Group). Elle permet de créer des fichiers vidéo de qualité VHS et
a été conçue pour prendre en charge la vidéo non entrelacée (progressive) de résolution
SIF (Standard Interface Format) en utilisant des débits relativement faibles Compressor
prend en charge des débits allant de 0,5 Mbps à 2 Mbps. Elle permet également de créer
des séquences audio compressées à un ou deux canaux.
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 Utilisations courantes de MPEG-1 (p. 181)
 Spécifications de la norme MPEG-1 (p. 182)
 À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 (p. 183)
 À propos des flux système et élémentaires (p. 186)
 Flux de production de transcodage MPEG-1 (p. 186)
 Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation Web (p. 188)
 Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une utilisation DVD (p. 189)
Utilisations courantes de MPEG-1
MPEG-1 est une norme largement adoptée, ce qui permet de nombreuses utilisations
différentes. En voici quelques exemples :
DVD, VCD et CD-ROM
MPEG-1 est le format de compression vidéo utilisé pour les titres vidéo CD (VCD) et est
compatible avec les titres DVD, car tous les lecteurs de DVD contiennent le matériel
requis pour lire les séquences MPEG-1. MPEG-1 est couramment utilisé pour la vidéo
distribuée sur CD-ROM. Son faible débit et la taille réduite de ses fichiers sont utiles
lorsque vous devez faire tenir plusieurs heures de vidéo sur un DVD et que vous n’avez
pas besoin de la qualité de diffusion fournie par le codage MPEG-2. Un DVD peut contenir un mélange de vidéo aux formats MPEG-2 et MPEG-1.182 Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1
Sur le web
Dans la mesure où MPEG-1 a été l’une des premières normes de compression standard
largement répandue, elle présente l’avantage d’être compatible avec la plupart des lecteurs. Cela rend cette norme intéressante pour une utilisation sur le Web où il est
nécessaire d’associer une compatibilité maximale avec une qualité relativement élevée.
Audio seulement
Vous pouvez utiliser la compression audio MPEG-1 couche 2 comme alternative à
la compression Dolby Digital Professional ou DTS. Bien qu’il n’y ait pas de réglage
Apple, pour les fichiers MPEG-1 audio seulement, dans cette version de Compressor,
vous pouvez toujours en créer un vous-même au besoin. Pour plus d’informations,
consultez la section « Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une
utilisation DVD » à la page 189.
Spécifications de la norme MPEG-1
Compressor prend en charge toutes les spécifications MPEG-1 pour la taille d’image,
la fréquence d’images, l’encodage vidéo et l’encodage audio.
Tailles d’images et fréquences d’images MPEG-1
Compressor peut générer de la vidéo au débit maximal (25 ips et 29,97 ips pour
les DVD, 23,976 ips, 25 ips et 29,97 ips pour le Web) avec des résolutions SIF qui dépendent de l’utilisation :
 Web : 320 x 240
 NTSC : 352 x 240
 PAL : 352 x 288
Bien que les résolutions NTSC et PAL correspondent à environ la moitié de la résolution
maximale de la vidéo MPEG-2, l’image remplit automatiquement la totalité de l’écran
lorsqu’elle est lue sur un lecteur de DVD.
Spécifications du format de fichier MPEG-1
L’encodage vidéo MPEG-1 utilise un processus très similaire à celui de l’encodage
MPEG-2 ; il applique plusieurs termes et réglages identiques. Dans Compressor,
les paramètres de codage sont définis de la façon suivante :
 Mode de codage : une passe
 Structure GOP : ouverte
 Motif GOP : BBIBBP
 Longueur GOP : 15 images pour NTSC ; 12 images pour PALChapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 183
Ces paramètres sont fixes et s’appliquent à tous les fichiers de sortie vidéo MPEG-1 de
Compressor. Consultez la section « Onglet GOP » à la page 209 pour plus d’informations sur les paramètres GOP (Group of Pictures). Consultez la section « Onglet Qualité »
à la page 204 pour plus d’informations sur le mode de codage.
Les fichiers de sortie MPEG-1 peuvent contenir des cadres flottants qui ont été forcés
sur des images spécifiques en plaçant des marqueurs de compression dessus. Ces marqueurs peuvent être soit ajoutés au fichier source à l’aide de Final Cut Pro, soit ajoutés
manuellement dans la fenêtre Preview. Consultez la section « Ajout de marqueurs à un
plan » à la page 317 pour plus d’informations.
Le format MPEG-1 ne gère pas les marqueurs de chapitre nommés.
À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1
Cette section contient des informations détaillées sur les différents onglets de la sousfenêtre Encodeur MPEG-1 de la fenêtre Inspecteur. Vous pouvez faire vos réglages
MPEG-1 avec ces onglets, en modifiant un réglage existant ou en créant un nouveau
réglage dans l’onglet Réglages.
La sous-fenêtre de l’encodeur MPEG-1 s’ouvre avec l’onglet Vidéo par défaut en haut ;
elle contient les éléments suivants :
 Extension : ce champ affiche automatiquement l’extension de fichier MPEG-1 mpg
lorsque le format de sortie MPEG-1 a été sélectionné dans le menu local « Format de
fichier » ou le menu local (+) de l’onglet Réglages. Il est remplacé par m1v si l’onglet
Audio est désactivé ou par m1a si l’onglet Vidéo est désactivé.184 Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1
 Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de tâche. Elle n’a d’intérêt que si vous utilisez le traitement distribué (cette
fonctionnalité est limitée aux ordinateurs sur lesquels Final Cut Studio est installé).
Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage
2 passes (ou multipasse) » à la page 64.
 Onglets Vidéo et Audio : ces boutons ouvrent les onglets Vidéo et Audio décrits ci-après.
Onglet Vidéo
Vous pouvez utiliser l’onglet Vidéo pour définir des réglages liés au format vidéo.
 Case Activé : assurez-vous que cette case est cochée si vous souhaitez que le format
de sortie MPEG-1 inclue les paramètres de l’onglet Vidéo.
 Menu local « Fréquence d’images » : choisissez la vitesse de défilement de la vidéo que
vous êtes en train de coder.
 Avec l’option Web, vous avez le choix entre : 23,976 ips, 25 ips (vitesse PAL),
29,97 ips (vitesse NTSC) et Automatique.
 Avec l’option DVD, vous avez le choix entre : 25 ips (vitesse PAL), 29,97 ips (vitesse NTSC)
et Automatique.
Cliquez sur le bouton Automatique pour forcer l’encodeur à déterminer la fréquence
appropriée en choisissant celle qui est la plus proche de la source.
Remarque : l’utilisation de l’option Automatique avec des vitesses de défilement
source non standard peut entraîner des vitesses de sortie qui ne correspondent pas à
la vitesse de défilement vidéo prévue. Par exemple, une vitesse de défilement source
de 15 ips avec l’option DVD entraîne la sélection automatique de 25 ips (PAL). Si vous
prévoyez d’utiliser la sortie sur un DVD NTSC, vous devez choisir 29,97 ips comme
vitesse de défilement.
 Boutons d’utilisation : choisissez l’utilisation prévue des fichiers de sortie.
Bouton AutomatiqueChapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 185
 Web : force la résolution sur 320 x 240, indépendamment de l’option « Fréquence
d’images » sélectionnée.
 DVD : permet à la fréquence sélectionnée de déterminer la résolution. Avec une
vitesse de défilement de 29,97 ips, la résolution est de 352 x 240. Avec une vitesse
de 25 ips, la résolution est de 352 x 288.
 Débit : utilisez ce curseur pour choisir le débit à utiliser pour la vidéo de sortie,
ou bien saisissez une valeur directement dans le champ. La plage disponible étant
comprise entre 0,5 Mbps et 2,0 Mbps, la valeur à utiliser dépend de la façon dont
la sortie doit être utilisée. Les débits élevés donnent des images de meilleure qualité,
mais les fichiers de sortie sont plus volumineux.
 Pour les projets Web, choisissez le meilleur compromis entre qualité de l’image,
taille du fichier et temps de téléchargement.
 Pour les projets VCD, le débit vidéo recommandé est de 1,15 Mbps, avec un débit de
flux système (vidéo et audio multiplexées dans le même fichier) inférieur à
1,3944 Mbps.
 Pour les projets DVD, le débit vidéo standard est de 1,15 Mbps, le maximum autorisé
étant de 1,856 Mbps.
Onglet Audio
Vous pouvez utiliser l’onglet Audio pour associer des réglages au format audio.
 Case Activé : assurez-vous que cette case est cochée si vous souhaitez que le format
de sortie MPEG-1 inclue les paramètres de l’onglet Audio.
 Menu local Échantillonnage : choisissez la fréquence d’échantillonnage de l’audio
de sortie.
 48 kHz : requis pour une utilisation sur des DVD.
 44,1 kHz : utilisé sur les CD audio. Il s’agit de la fréquence d’échantillonnage la plus
répandue. 186 Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1
 Boutons Canaux : indiquez si vous souhaitez créer une séquence audio de sortie sté-
réo ou mono.
 Menu local Débit : sélectionnez le débit à utiliser pour l’audio de sortie. Les options proposées sont les suivantes : 64 Kbps, 128 Kbps, 192 Kbps, 224 Kbps et 384 Kbps. Si des
débits supérieurs offrent une meilleure qualité audio, ils génèrent également des
fichiers de sortie plus volumineux.
Remarque : les valeurs 224 Kbps et 384 Kbps ne sont pas disponibles lorsque l’option
Canaux est réglée sur Mono.
À propos des flux système et élémentaires
Vous pouvez utiliser Compressor pour créer des flux MPEG-1 système ou élémentaires.
Flux système
Les flux système, également appelés flux multiplexés, associent les composants vidéo et
audio dans un même fichier. Ce type de flux est le plus souvent utilisé dans les applications Web.
Compressor crée automatiquement un flux système lorsque vous activez les onglets
Vidéo et Audio dans le même réglage.
Flux élémentaires
Dans les flux élémentaires, des fichiers distincts sont utilisés pour les composants vidéo
et audio. Certaines applications, telles que DVD Studio Pro, requièrent des flux
élémentaires.
Compressor crée automatiquement un flux élémentaire si seul l’onglet Vidéo ou Audio
est activé. Pour créer des flux élémentaires à partir de la vidéo et de l’audio, vous devez
utiliser deux réglages, un avec l’onglet Vidéo activé utilisant l’extension de fichier .m1v,
l’autre avec l’onglet Audio activé utilisant l’extension de fichier .m1a.
Flux de production de transcodage MPEG-1
Cette section vous propose des instructions de configuration de vos attributs MPEG-1
étape par étape, avant la création de fichiers de sortie MPEG-1 avec Compressor. Configurez vos réglages MPEG-1 à partir de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1, soit en modifiant un réglage existant, soit en en créant un autre. Suivez les étapes ci-après pour
savoir comment utiliser le format de fichier de sortie MPEG-1.Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 187
Exemples de paramètres MPEG-1
Les paramètres que vous utilisez varient selon que vous procédez au codage pour
le Web ou pour un projet de DVD.
Codage pour le Web
Utilisez les paramètres suivants lors du codage de flux système MPEG-1 pour le Web.
Onglet Vidéo
 Vitesse : automatique.
 Utilisation : Web.
 Débit : le plus faible possible, tout en conservant une qualité d’image acceptable.
Onglet Audio
 Échantillonnage : 44,1 kHz.
 Canaux : stéréo avec les sources à deux canaux, mono avec les sources à un
seul canal.
 Débit : le plus faible possible, tout en conservant une qualité audio acceptable ;
utilisez des débits plus élevés lors de l’encodage audio stéréo.
Codage pour un DVD
Utilisez les réglages suivants pour configurer deux réglages lorsque vous encodez
des flux élémentaires MPEG-1 destinés à la création de DVD.
Réglage de flux vidéo élémentaire : onglet Vidéo
 Vitesse : 29,97 pour NTSC ou 25 pour PAL.
 Utilisation : DVD.
 Débit : 1,15 Mbps.
Réglage de flux vidéo élémentaire : onglet Audio
 Case Activé non cochée.
Réglage de flux audio élémentaire : onglet Vidéo
 Case Activé non cochée.
Réglage de flux audio élémentaire : onglet Audio
 Échantillonnage : 48 kHz.
 Canaux : stéréo avec les sources à deux canaux, mono avec les sources à un
seul canal.
 Débit : 192 Kbps ou 224 Kbps.188 Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1
Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une
utilisation Web
La procédure qui suit vous guide à travers la configuration du format de fichier de sortie
MPEG-1 pour une utilisation Web. Ce processus crée un flux système MPEG-1 unique.
Étape 1 : Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 et choisissez les
paramètres Vidéo
1 Ouvrez l’onglet Réglages puis choisissez MPEG-1 dans le menu local « Créer un
réglage (+) ».
La sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 s’ouvre dans l’Inspecteur, avec l’onglet Vidéo qui
s’affiche par défaut.
2 Nommez le nouveau réglage « MPEG-1 pour le Web ».
3 Cochez la case Activé.
4 Cliquez sur le bouton Automatique à côté du menu local « Fréquence d’images. »
Vous pouvez aussi choisir 23,976, 29,97 ou 25 dans le menu local « Fréquence
d’images » de la vidéo source.
5 Sélectionnez le bouton Web.
Cela permet de régler la résolution de sortie sur 320 x 240.
6 Utilisez le curseur Débit pour choisir le débit à utiliser ou saisissez directement
une valeur.
Activez l’onglet Vidéo.
Cliquez sur le bouton
Automatique ou choisissez une fréquence
d’images.
Sélectionnez Web pour
régler la résolution sur
320 x 240.
Sélectionnez le débit.Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 189
Étape 2 : Sélectionnez les paramètres Audio
1 Cliquez sur le bouton Audio dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 pour ouvrir l’onglet
correspondant.
2 Cochez la case Activé.
3 Choisissez 44,1 kHz dans le menu local Échantillonnage.
4 Sélectionnez Stéréo si vous utilisez des sources audio à deux canaux et Mono pour
les sources audio à un seul canal.
5 Choisissez le débit à utiliser dans le menu local correspondant.
6 Cliquez sur le bouton Enregistrer (dans le coin inférieur droit de l’Inspecteur) pour
enregistrer ce réglage.
Configuration du format de fichier MPEG-1 pour une
utilisation DVD
La procédure qui suit vous guide à travers la configuration du format de fichier de sortie MPEG- destiné à une utilisation DVD. Ce processus crée deux réglages, un pour
la vidéo et l’autre pour l’audio, en créant des flux élémentaires.
Création du réglage Vidéo MPEG-1 pour DVD
La procédure qui suit permet de créer le réglage pour un fichier de sortie vidéo
MPEG-1 élémentaire.
Étape 1 : Créez le réglage Vidéo MPEG-1 pour DVD
1 Ouvrez l’onglet Réglages et choisissez MPEG-1 dans le menu local « Créer un réglage » (+).
Un nouveau réglage est ajouté à la liste.
2 Nommez le nouveau réglage « Vidéo MPEG-1 pour DVD ».
Consultez la section « Création d’un réglage entièrement nouveau » à la page 100 pour
plus d’informations.
Activez l’onglet Audio. Sélectionnez la fréquence
d’échantillonnage 44,1 kHz.
Sélectionnez le nombre
de canaux audio. Sélectionnez le débit.190 Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1
Étape 2 : Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 et configurez les réglages Vidéo
1 Cliquez sur l’onglet Encodeur, puis choisissez MPEG-1 dans le menu local « Format
de fichier ».
2 Cliquez sur le bouton Vidéo dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 pour ouvrir
l’onglet Vidéo.
3 Cochez la case Activé.
4 Choisissez la fréquence d’échantillonnage correspondant à votre vidéo source
(29,97 ou 25) dans le menu local Échantillonnage.
5 Sélectionnez le bouton DVD.
La résolution de sortie correspond ainsi à la vitesse de défilement sélectionnée.
6 Utilisez le curseur Débit pour choisir le débit à utiliser ou saisissez directement une
valeur.
Pour les projets DVD, la valeur standard est de 1,15 Mbps, le maximum autorisé étant
de 1,856 Mbps.
Activez l’onglet Vidéo.
Sélectionnez la vitesse de
défilement.
Sélectionnez DVD pour
que la résolution corresponde à la vitesse de
défilement.
Sélectionnez le débit.
L’extension de fichier
devient m1v dès que l’onglet
Audio est désactivé.Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 191
Étape 3 : Désactivez l’audio pour le réglage vidéo
1 Cliquez sur le bouton Audio dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 pour ouvrir l’onglet
correspondant.
2 Désactivez la case Activé.
Cela permet de régler l’extension de fichier sur m1v et de garantir que ce préréglage
crée uniquement un flux vidéo élémentaire.
3 Cliquez sur le bouton Enregistrer (dans le coin inférieur droit de l’Inspecteur) pour enregistrer ce réglage.
Le réglage « Vidéo MPEG-1 pour DVD » est enregistré.
Création du réglage Audio MPEG-1 pour DVD
La procédure qui suit permet de créer le réglage pour un fichier de sortie audio
MPEG-1 élémentaire.
Étape 1 : Création du réglage Audio MPEG-1 pour DVD
1 Ouvrez l’onglet Réglages et cliquez sur le bouton « Ajouter un préréglage » (+).
Un nouveau réglage est ajouté à la liste.
2 Nommez le nouveau réglage « Audio MPEG-1 pour DVD ».
Consultez la section « Création d’un réglage entièrement nouveau » à la page 100 pour
plus d’informations.
Désactivez l’onglet Audio.192 Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1
Étape 2 : Désactivez la vidéo pour le réglage audio
1 Cliquez sur l’onglet Encodeur, puis choisissez MPEG-1 dans le menu local « Format de
fichier ».
2 Cliquez sur le bouton Vidéo dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 pour ouvrir l’onglet
Vidéo.
3 Désactivez la case Activé.
Cela permet de garantir que ce préréglage crée uniquement un flux vidéo élémentaire,
et l’extension du fichier devient m1a.
Étape 3 : Configurez les réglages Audio
1 Cliquez sur le bouton Audio dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-1 pour ouvrir l’onglet
correspondant.
2 Cochez la case Activé.
3 Choisissez 48 kHz dans le menu local Échantillonnage.
4 Sélectionnez Stéréo si vous utilisez des sources audio à deux canaux et Mono pour
les sources audio à un seul canal.
5 Choisissez le débit à utiliser dans le menu local correspondant.
Les valeurs habituelles utilisées pour les projets DVD sont 192 Kbps et 224 Kbps.
Désactivez l’onglet Vidéo.
L’extension de fichier
devient m1a lorsque
l’onglet Vidéo est désactivé.
Activez l’onglet Audio. Sélectionnez la fréquence
d’échantillonnage 48 kHz.
Choisissez soit
Stéréo, soit Mono. Sélectionnez le débit.Chapitre 14 Création de fichiers de sortie MPEG-1 193
6 Cliquez sur le bouton Enregistrer (dans le coin inférieur droit de l’Inspecteur) pour
enregistrer ce réglage.
Le préréglage « Audio MPEG-1 pour DVD » est enregistré.
Création d’un groupe et d’une destination
Pour faciliter l’utilisation de ces deux préréglages MPEG-1 avec une source, vous pouvez les rassembler en créant un groupe de préréglages. Consultez la section « Création
de groupes de réglages » à la page 104 pour plus d’informations.
Pour faciliter l’utilisation des fichiers de sortie créés par ces préréglages dans
DVD Studio Pro, créez une destination qui garantisse que les fichiers de sortie vidéo
et audio aient le même nom, mais pas les mêmes extensions. Consultez la section
« Création de destinations à utiliser avec DVD Studio Pro » à la page 335 pour plus
d’informations.15
195
15 Création de fichiers de sortie
MPEG-2
Compressor fournit les outils dont vous avez besoin pour
créer des fichiers transcodés MPEG-2 exceptionnels
MPEG-2 est un standard international de compression, développé par le groupe MPEG
(Motion Picture Experts Group). Le format MPEG-2 vous permet de créer des fichiers vidéo
de qualité diffusion et a été conçu pour prendre en charge des vidéos à haut débit et à
haute résolution. Ce format de compression est celui utilisé pour les titres vidéo de haute
qualité sur DVD, la diffusion en haute définition et les systèmes de télévision par satellite.
Tous les lecteurs DVD disposent du matériel requis pour la lecture MPEG-2.
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 À propos du format MPEG-2 en définition standard (p. 195)
 À propos des sources haute définition et de MPEG-2 (p. 196)
 À propos des flux élémentaires, des flux de transport et des flux de
programme (p. 197)
 À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 (p. 198)
 Flux de production de transcodage MPEG-2 (p. 216)
À propos du format MPEG-2 en définition standard
La norme MPEG-2 est définie par une fréquence d’images maximale (23,98 à 29,97 images par seconde) et une résolution plein écran (720 x 480 en NTSC et 720 x 576 en PAL).
Le MPEG-2 présente les caractéristiques suivantes :
 Prise en charge de la vidéo entrelacée : MPEG-2 prend en charge aussi bien la vidéo
entrelacée que la vidéo progressive. Comme les contenus MPEG-2 sont généralement lus à partir d’un lecteur DVD local plutôt que sur un réseau (où la bande passante est variable), la fréquence d’images est habituellement constante et la vidéo
semble d’une régularité parfaite.
 Non-prise en charge de la lecture en continu : le MPEG-2 n’est pas adapté à la lecture en
continu de fichiers vidéo sur le web, car il requiert un débit élevé (de 2 à 9 Mbps) pour
maintenir une qualité d’image acceptable. 196 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2
Remarque : l’encodeur de Compressor peut créer des flux vidéo MPEG-2 pour le format DVD vidéo. La création de disques DVD vidéo requiert une application particulière, telle que DVD Studio Pro, qui doit être utilisée conjointement à Compressor.
À propos des sources haute définition et de MPEG-2
Compressor offre différentes options et différents flux de production pour le transcodage de fichiers source vidéo haute définition (HD) en fichiers MPEG-2.
HD sur DVD
Compressor peut générer des fichiers MPEG-2 pour la création de DVD HD (haute définition) à partir de données source HD ou SD (définition standard). Compressor peut
conserver les différentes tailles et fréquences d’images de la vidéo haute définition lors
du transcodage au format MPEG-2. En outre, Compressor prend en charge les débits
plus élevés requis par les formats de DVD HD. Pour plus d’informations sur la création
d’une sortie pour les DVD HD, consultez la section « À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 » à la page 198 et le Manuel de l’utilisateur de DVD Studio Pro.
Remarque : l’autre format de fichier de sortie pour les DVD HD est H.264, également
appelé MPEG-4 Partie 10. H.264 est actuellement obligatoire dans les deux nouvelles
spécifications de DVD haute définition (DVD HD et Blu-Ray). Pour plus d’informations
sur la création de fichiers H.264 pour la HD sur DVD, consultez la section « Création de
fichiers de sortie H.264 pour DVD Studio Pro » à la page 165.
Conversion de HD en SD
Lorsque vous montez des sources haute définition (HD) dans Final Cut Pro et que vous
souhaitez créer un DVD en définition standard à partir de ces sources, utilisez les
moyens de conversion fournis par Compressor. Compressor conserve le maximum de
détails possible lors de la conversion et préserve les formats progressifs ou entrelacés
lors du codage en format MPEG-2 pour les DVD.
Pour afficher la résolution des données source et la vitesse de défilement :
1 Importez le fichier multimédia source dans la fenêtre Lot.
2 Cliquez sur le nom de la source dans la fenêtre Lot.
La résolution et la vitesse de défilement du fichier source, ainsi que sa durée, apparaissent dans l’angle inférieur gauche de la fenêtre Preview.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 197
À propos des flux élémentaires, des flux de transport et des
flux de programme
Il existe trois types courants de flux MPEG-2 utilisés pour générer de la vidéo encodée
en MPEG-2 :
 Flux élémentaires : ces flux contiennent un seul canal de contenu MPEG-2 et pas de
données audio. Vous devez utiliser des flux élémentaires si vous souhaitez utiliser
votre vidéo encodée en MPEG-2 comme ressource DVD Studio Pro.
 Flux de transport : ces flux contiennent un seul canal de contenu MPEG-2 et ses données audio associées. Tous les canaux sont multiplexés, ce qui permet au destinataire de choisir le canal qu’il souhaite lire. Compressor prend en charge la création de
flux de transport à canal unique pouvant éventuellement inclure des données audio.
Les flux de transport peuvent également reprendre après une interruption, ce qui
les rend particulièrement adaptés aux applications de diffusion et de lecture en continu dans lesquelles le bruit ou l’encombrement du réseau peuvent provoquer des
interruptions.
 Flux de programme : ces flux contiennent un seul canal de contenu MPEG-2 et ses
données audio associées. Les flux de programme nécessitent une méthode de diffusion sans erreur et sont principalement utilisés pour le stockage ou le traitement au
sein d’un ordinateur.
Par défaut, l’encodeur MPEG-2 de Compressor crée des flux MPEG-2 élémentaires. Vous
pouvez cependant configurer l’encodeur MPEG-2 pour qu’il crée des flux de transport
ou de programme et décider s’ils doivent contenir ou non des données audio dans
l’onglet Compléments. Consultez la section « Onglet Compléments » à la page 211 pour
plus d’informations.
Remarque : tous les réglages d’utilisation de flux, à l’exception des réglages génériques, génèrent des flux élémentaires. Si vous sélectionnez l’un des réglages d’utilisation de flux et que vous configurez la sortie pour générer un flux de transport ou de
programme, l’utilisation de flux devient générique. Consultez la section « Utilisation de
flux » à la page 199 pour plus d’informations.198 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2
À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2
Cette section contient des informations détaillées sur les différents onglets de la sousfenêtre Encodeur MPEG-2 de la fenêtre Inspecteur. La configuration des réglages MPEG-2
s’effectue par l’intermédiaire de ces onglets, soit en modifiant un réglage, soit en créant
un sous l’onglet Réglages.
La sous-fenêtre MPEG-2, qui contient les éléments décrits ci-après, s’ouvre par défaut
sur l’onglet Format vidéo :
 Champ Extension : affiche automatiquement l’extension de fichier MPEG-2 m2v automatiquement dès que le format de sortie MPEG-2 est sélectionné dans le menu local
« Format du fichier ».
 Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation des tâches. Elle n’est importante que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué et avec l’encodage à deux passes ou multipasse. (La fonctionnalité
de traitement distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels est installé
Final Cut Studio.) Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de
tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.
 Utilisation de flux : ce menu local permet de choisir l’utilisation du flux MPEG-2.
Compressor modifie les options disponibles et la plage de débits en fonction de l’utilisation que vous choisissez dans ce menu local. Consultez la section « Utilisation de
flux, » qui suit, pour plus d’informations.
 Format vidéo, Qualité, GOP et Compléments : cliquez sur ces boutons pour ouvrir
les onglets Format vidéo, Qualité, GOP et Compléments. Les réglages de ces onglets
sont expliqués dans les sections suivantes.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 199
Utilisation de flux
Le choix d’un réglage du menu local « Utilisation de flux » permet de s’assurer que
le flux encodé en MPEG-2 sera adapté à l’utilisation que vous souhaitez en faire.
Les options du menu local « Utilisation du flux » comprennent :
 Générique : l’option générique vous donne un accès complet à tous les réglages
MPEG-2. C’est la seule option qui prend en charge le format vidéo MPEG-2 640 x 480
en plus des formats vidéo SD et HD. C’est également la seule option qui prend en
charge la création de flux de transport et de programme. Elle prend en charge
la plage de débits complète comprise entre 2,0 Mbps et 40,0 Mbps.
 DVD SD : l’option DVD SD restreint les options d’encodage aux options admises par
la spécification DVD SD. Cela inclut les formats vidéo NTSC et PAL et une plage de
débits compris entre 2,0 Mbps et 9,0 Mbps.
 Blu-ray : l’option Blu-ray restreint les options d’encodage aux options autorisées par
les disques vidéo Blu-ray. Cela inclut les formats vidéo SD et HD et une plage de
débits compris entre 10,0 Mbps et 40,0 Mbps.
 HD DVD : l’option HD DVD restreint les options d’encodage aux options admises
par la spécification HD DVD. Cela inclut les formats vidéo SD et HD et une plage de
débits qui varie en fonction du format vidéo sélectionné.
 Pour les formats vidéo HD, la plage de débits va de 10,0 Mbps à 29,4 Mbps.
 Pour les formats vidéo SD, la plage de débits va de 2,0 Mbps à 15,0 Mbps.
Onglet Format vidéo
Utilisez l’onglet Format vidéo pour configurer les réglages liés aux formats vidéo,
aux fréquences d’images, aux proportions, à la priorité de trame et au timecode. Tous
ces réglages, sauf le timecode, peuvent être définis pour une configuration automatique en fonction des données vidéo encodées. L’onglet Format vidéo contient
les contrôles suivants :200 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2
 Menu local Format vidéo : choisissez votre format de fichier de sortie vidéo parmi
NTSC, PAL, 720p, HD 1440x1080, HD 1920x1080 ou diverses versions de formats de largeur égale à 640. Les réglages « Utilisation de flux » déterminent lesquels de ces formats sont réellement disponibles. Lorsque vous choisissez un réglage Format vidéo,
les autres réglages de cet onglet sont remplis avec des valeurs par défaut ou ils sont
grisés, indiquant qu’il existe des options pour ce réglage. Les éléments NTSC et PAL
font référence aux réglages de définition standard pour les normes TV NTSC et PAL.
Concernant les principales régions d’utilisation du DVD, sachez que le format NTSC
est utilisé en Amérique du Nord et au Japon, tandis que la norme PAL est utilisée partout en Europe.
Normalement, le format vidéo de sortie devrait correspondre au format vidéo source.
Pour la vidéo entrelacée créée à partir de caméscopes traditionnels NTSC ou PAL,
choisissez NTSC ou PAL dans ce menu local. Si vous ne connaissez pas le format
vidéo de votre fichier multimédia source, vous pouvez choisir Automatique. Ce paramètre analyse la fréquence d’images d’un plan multimédia source pour déterminer
le format vidéo adéquat.
Si vous cliquez sur le bouton de format vidéo Automatique, la taille GOP est limitée à
12 ou 15 (en fonction du format de la vidéo, PAL ou NTSC) avec un modèle IBBP fermé.
Avec l’option Automatique sélectionnée, vous ne pouvez changer aucun des réglages
de fréquence d’images sous cet onglet, ou les réglages GOP sous l’onglet GOP. Consultez la section « Compréhension des types de GOP et d’images » à la page 211 pour
plus d’informations sur les GOP.
Remarque : comme le format MPEG-2 pour DVD met en œuvre des tailles d’images
vidéo fixes (cf. le tableau ci-dessous), Compressor introduit automatiquement
les dimensions de l’image de sortie dans les champs de la sous-fenêtre Géométrie
en fonction du format vidéo choisi.
Le format vidéo que vous choisissez détermine les options des caractéristiques associées, telles que la taille d’image et la fréquence d’images, les proportions et la priorité de trame.
Bouton Format vidéo
AutomatiqueChapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 201
Remarque : les dimensions normales de l’image d’une vidéo numérique NTSC en
résolution standard sont de 720 x 486. En conséquence, si vous souhaitez transcoder
un fichier source en utilisant le paramètre NTSC, celui-ci est rogné par Compressor afin
d’être conforme à la taille d’image MPEG-2 de 720 x 480, sauf si vous avez spécifié des
attributs de rognage pour votre préréglage. Dans le cas contraire, Compressor rogne
deux lignes de pixels à partir du haut et quatre lignes à partir du bas. Cet attribut de
rognage n’est que temporaire et n’est pas enregistré dans le réglage. Vous pouvez
visualiser les effets du rognage en double-cliquant sur le réglage dans la tâche pour
ouvrir la fenêtre Preview.
Format vidéo
Taille d’image
(en pixels)
Fréquence d’images
(images par
seconde) Proportions Méthode de balayage
NTSC 720 x 480 23,98 (progressive
uniquement), 29,97
4:3 ou 16:9 Entrelacée, progressive
PAL 720 x 576 25 4:3 ou 16:9 Entrelacée, progressive
720p 1280 x 720 23,98, 25, 29,97, 50,
59,94
16:9 Progressif
HD 1440x1080 1440 x 1080 23,98 (progressive
uniquement), 25,
29.97
16:9 Entrelacée, progressive
HD 1920x1080 1920 x 1080 23,98 (progressive
uniquement), 25,
29.97
16:9 Entrelacée, progressive
640x480 (1,33) 640 x 480 23,98, 25, 29,97 4:3 ou 16:9 Entrelacée, progressive
640x360 (1,78) 640 x 360 23,98, 25, 29,97 4:3 ou 16:9 Entrelacée, progressive
640x352 (1,82) 640 x 352 23,98, 25, 29,97 4:3 ou 16:9 Entrelacée, progressive
640x384 (1,67) 640 x 384 23,98, 25, 29,97 4:3 ou 16:9 Entrelacée, progressive
640x320 (2,00) 640 x 320 23,98, 25, 29,97 4:3 ou 16:9 Entrelacée, progressive202 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2
 Menu local « Fréquence d’image » : choisissez la fréquence d’image prévue pour le
fichier de sortie MPEG-2. Les films et certains caméscopes récents créent des contenus progressifs à 24 images par seconde (ou à 23,98 images par seconde avec la
variante NTSC). Bien que le terme « 24p » implique une vidéo avec une fréquence
d’images de 24 ips, la fréquence d’images est généralement de 23,976 ips (arrondie
à 23,98) ips. Pour transcoder ces sources pour la lecture de DVD sur des téléviseurs
NTSC, choisissez le réglage 23,98. Consultez la section « Environ 24p (23,98p) » à la
page 204 pour plus d’informations.
 Menu local Proportions : choisissez les proportions de votre fichier vidéo. Le paramètre
par défaut est 4:3 et l’option 16:9 est utilisée pour les DVD anamorphosés. Ces proportions déterminent la manière dont l’image remplit l’écran de la télévision. Un DVD en
16:9 (grand écran) vu sur une télévision classique 4:3 s’affiche au format boîte aux lettres (bandes noires en haut et en bas de l’écran). Au contraire, un DVD grand écran vu
sur une télévision 16:9 (grand écran) résulte en un remplissage complet de l’écran.
À propos des fréquences d’image NTSC
La fréquence de défilement généralement indiquée pour le format NTSC est de
29,97 images par seconde. De la même manière, la « version NTSC » à 24 images par
seconde est mentionnée à la place de la version à 23,98 images par seconde. Ces
deux nombres (29,97 et 23,98) sont des approximations des valeurs réelles 30/1,001
et 24/1,001, c’est-à-dire respectivement 29,97003 et 23,97602 avec plus de décimales.
Ces valeurs montrent que 29,97 est une approximation relativement bonne de
30/1,001 (décalage de 3 images seulement pour 100 000 secondes), mais que 23,976
serait nettement mieux que 23.98. En fait, même si la valeur 23,98 est utilisée par
commodité dans l’Aide Compressor et dans l’interface utilisateurde Compressor,
une précision supérieure ou égale à 23,976 est gérée en interne dans Compressor
QuickTime et généralement dans QuickTime également.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 203
 Menu local « Priorité de trame » : choisissez si ce sera la première ou la dernière trame
de votre fichier multimédia source entrelacé qui sera prioritaire (la première) dans le
fichier vidéo de sortie MPEG-2. Si vous choisissez Automatique (par défaut), Compressor
analyse la vidéo source et essaie de déterminer automatiquement quelle est la trame
prioritaire. La trame prioritaire des vidéos sources DV est la trame inférieure. Ce réglage
ne concerne pas le format vidéo 720p, car ce format doit être progressif.
Remarque : pour la vidéo entrelacée, la première trame est également appelée trame
supérieure ou impaire, tandis que la dernière trame est également appelée trame
inférieure ou paire.
 Champ et case à cocher « Choisir le timecode de départ » : si vous ne sélectionnez pas
cette case (état par défaut), Compressor incorpore le timecode existant du fichier
multimédia source au fichier multimédia de sortie. Toutefois, en cochant cette case
vous pouvez écraser le timecode existant et en introduire un nouveau dans le champ
contigu. Ce champ reste inactif tant que la case n’est pas cochée, et s’il n’est pas rempli, le fichier multimédia de sortie utilise le timecode par défaut 00:00:00:00.
 Case à cocher Drop frame : si vous avez déjà coché la case « Choisir le timecode de
départ » et que vous souhaitez un timecode Drop Frame (plutôt que Non-Drop
Frame), vous devez également cocher cette case.
Le timecode est un système de numérotation pour l’étiquetage des images dans
une séquence vidéo. Dans le cas des vidéos à 30 images par seconde, le timecode
fonctionne avec un compteur d’images, qui compte de 0 à 29 puis incrémente
le compteur de secondes avant de revenir à 0. Ce type de timecode, également connu
sous le nom de timecode 30 images, maintient dans ce cas une mesure précise du
temps écoulé. Cependant, dans le cas des vidéos NTSC, la fréquence d’images est
égale à 29,97 images par seconde. Un timecode en temps réel a donc été conçu pour
fournir des mesures plus précises du temps écoulé. Le timecode en temps réel saute
les images 0 et 1 de chaque nouvelle minute, sauf toutes les 10 minutes. Par exemple,
le timecode en temps réel 01:08:59;29 est suivi de 01:09:00;02, car les timecodes
01:09:00;00 et 01:09:00;01 ont été sautés.
Remarque : le timecode en temps réel ne s’applique que si vous utilisez des vidéos
NTSC entrelacées.204 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2
Onglet Qualité
L’onglet Qualité permet de définir le débit de votre vidéo, afin de pouvoir la transcoder
à une taille et à une qualité convenables.
Outre les contrôles, l’angle inférieur droit affiche une estimation du nombre de minutes de vidéo pouvant tenir sur un DVD de 4,7 Go en tenant compte des paramètres
actuels. Cette durée suppose l’utilisation d’un flux audio AIFF avec le flux MPEG-2.
Environ 24p (23,98p)
Pour la création et l’encodage de DVD, le format 24P se réfère à une séquence vidéo
qui contient 24 images progressives (non entrelacées) par seconde, avec une résolution d’image standard de type NTSC (720 x 480 pour le MPEG-2). La fréquence d’images naturelle des films est de 24 images par seconde, et comme le format MPEG-2 est
capable de représenter en interne des vidéos à cette fréquence, de nombreux films
DVD commerciaux sont encodés à l’aide de cette méthode. Cependant, chaque fois
que vous utilisez de la vidéo NTSC dans votre projet, la fréquence d’images des données transférées à partir d’un film est ralentie de 24 ips à 23,976 ips (arrondi à 23,98)
et un pulldown 2:3:2:3 est ajouté. Ainsi, le terme plus précis est en fait « 23,98p ».
Compressor peut également effectuer cette opération pour les fichiers vidéo sources
24p. Pour ce type de fichiers, l’option de fréquence d’images 23,98 (sous l’onglet Format vidéo) compresse une par une chaque image source, sans compresser les images ou les trames qui se répètent, dans le but d’obtenir une fréquence d’images de
29,97 images par seconde. Avec un taux de compression inférieur, le résultat obtenu
est de meilleure qualité que si le fichier avait été converti à 29,97 images par seconde
avant le transcodage. Compressor définit en outre convenablement les indicateurs
d’images MPEG-2 internes, ce qui permet aux lecteurs DVD d’appliquer de manière
appropriée le processus pulldown 3:2 pour l’affichage de 29,97 images entrelacées
par seconde sur des télévisions NTSC.
Remarque : si la fréquence d’images de votre vidéo source est de 24,00 images par
seconde au lieu de 23,98, Compressor saute une image toutes les 1000 images source.
Au contraire, lorsque la fréquence de la vidéo source 24P est de 23,98 images par
seconde, Compressor transcode toutes les images sources, sans en sauter ou en répé-
ter aucune.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 205
L’onglet Qualité contient les contrôles suivants :
 Menu local Mode : vous permet de choisir l’un des modes d’encodage MPEG-2 ciaprès. Les modes haute définition (HD) sont « VBR 1 passe optimal » et « VBR 2 passes optimal ».
 CBR une passe : si vous utilisez ce mode, le débit du flux vidéo MPEG-2 de sortie est
maintenu à un taux à peu près constant d’un GOP à l’autre. Ce mode d’encodage
MPEG-2 est le plus rapide de Compressor et permet d’obtenir une qualité finale
bonne, voire très bonne, notamment à des débits compris entre 5 et 9 Mbps.
 VBR une passe : ce mode d’encodage VBR (débit variable) a pour but d’assurer
une qualité constante (au détriment d’un débit constant) du fichier vidéo transcodé. Ainsi, dans les scènes très détaillées ou en mouvement rapide, Compressor
autorise un débit supérieur à celui des séquences moins détaillées ou fixes du flux
vidéo. Malgré cette variation de débit, Compressor veille à ce que le débit moyen
soit conforme à la valeur que vous avez spécifiée et à ce que le débit maximum ne
soit pas dépassé. Contrairement au mode à deux passes, ce mode ne permet pas
de parcourir la totalité du média source avant son transcodage, ce qui entraîne
une distribution de débit moins optimisée que celle obtenue avec un débit variable à deux passes. Néanmoins, pour la plupart des fichiers de données en définition standard (SD) à des débits de 3,5 Mbits et plus, la qualité finale est bonne ou
excellente et le transcodage est rapide.
Menu local Mode
Estimation de la durée pour un disque
de 4,7 Go avec un flux audio AIFF stéréo
Menu local « Estimation
d’animation »206 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2
 VBR 1 passe optimal : cette option est similaire au mode VBR à une passe,
mais dans ce mode, Compressor donne la priorité à ses processus décisionnels
internes. Malgré un transcodage plus lent dans ce mode qu’en VBR 1 passe, la qualité vidéo SD finale à des débits de 3 à 3,5 Mbits/s et au-delà est excellente,
voire exceptionnelle. Les débits en MPEG-2 HD peuvent aller de 10 à 29 Mbps en
moyenne, de 12 à 29 Mbps au maximum. Comparé au mode VBR 1 passe, ce mode
offre une meilleure qualité, notamment avec des données difficiles à traiter à de
faibles débits.
Remarque : pour les flux courts d’une ou deux minutes tout au plus, la précision du
débit peut être réduite de 10 à 30 % quel que soit le mode précédent utilisé.
 VBR 2 passes : dans ce mode, Compressor lit deux fois l’ensemble du fichier vidéo
source. Durant la première passe, Compressor analyse entièrement le flux vidéo
source avant de le transcoder dans le but de déterminer le degré de difficulté de
l’encodage de chaque scène. Il crée ensuite un plan de distribution de débit qui
affecte le débit le plus rapide aux scènes les plus complexes et le débit le plus lent
aux scènes les plus simples, en veillant à obtenir un débit moyen conforme
à la valeur indiquée sans dépasser le débit maximum spécifié. Lors de la deuxième
passe, Compressor procède à la compression, en créant le fichier vidéo de sortie
MPEG-2 conformément à son plan de distribution de débit. Tout comme le mode
VBR 1 passe, le but du mode VBR 2 passes est d’obtenir une qualité constante plutôt qu’un débit constant. En revanche, le mode VBR deux passes est capable de
déterminer où distribuer au mieux les bits dans le fichier multimédia source avant
de commencer son encodage. L’inconvénient de ce processus est que la durée du
transcodage est près de deux fois plus longue qu’en mode VBR une passe. Bien qu’il
soit impossible d’obtenir une qualité deux fois meilleure, la qualité finale est en
général plus régulière en mode VBR 2 passes qu’en mode VBR 1 passe, notamment
avec des fichiers de données sources dans lesquels les différences entre les scènes
les plus complexes et les scènes les plus simples sont notables.
 VBR 2 passes optimal : ce mode favorise plus ses processus décisionnels internes
que le mode VBR 2 passes. En conséquence, la durée de l’encodage est plus longue. Cependant, la qualité offerte par l’encodeur MPEG-2 de Compressor est
la meilleure possible. Ce mode offre une qualité exceptionnelle à des débits de
3 à 5,5 Mbps et au-delà pour la vidéo en définition standard (SD).
Remarque : pour plus d’informations sur l’utilisation des modes à deux passes avec
la segmentation de tâche, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 207
 Champ et curseur de défilement Débit moyen : choisissez le débit moyen en faisant glisser le curseur ou en saisissant un nombre dans le champ prévu à cet effet. La plage
dont vous disposez dépend du réglage « Utilisation de flux ». Consultez la section
« Utilisation de flux » à la page 199 pour plus d’informations.
Remarque : le réglage de débit moyen contrôle directement la taille du fichier
encodé. Le réglage de débit maximum n’affecte pas du tout la taille du fichier encodé.
 Curseur et champ Débit maximum : choisissez le débit maximum en faisant glisser
le curseur ou en saisissant un nombre dans le champ prévu à cet effet. La plage dont
vous disposez dépend du réglage « Utilisation de flux ». Consultez la section
« Utilisation de flux » à la page 199 pour plus d’informations.
Remarque : ce curseur de défilement n’est disponible qu’avec les modes VBR et ne
peut pas être placé sur une valeur inférieure au débit moyen.
À propos de la sélection des débits
Lorsque vous déterminez les débits moyen et maximum pour la lecture de DVD standard, n’oubliez pas de prendre en compte le débit de la piste audio, ainsi que le débit
MPEG2.
Vous devez faire en sorte que le total des débits audio et vidéo moyens et maximum
soit inférieur à 10,08 Mbps, vitesse maximum de transfert garantie par les lecteurs DVD
standard (Comme les formats audio compatibles DVD sont à débit constant, il ne faut
pas se soucier du débit audio maximum.)
Par exemple, si vous traitez la composante audio au format AIFF à 1,5 Mbps, vous devez
maintenir les débits vidéo maximum et moyen sous la barre des 8,5 Mbps. Généralement,
le débit moyen sera inférieur à cette valeur (par exemple, 3,5 Mbps pour deux heures de
métrage sur votre DVD). Le débit maximum doit toutefois être, lui aussi, inférieur à cette
valeur. Un débit maximum de 8,0 Mbps est recommandé pour prévoir une marge d’erreur
supplémentaire, afin de s’adapter par exemple aux flux de sous-titrage. Si vous utilisez un
format audio compressé compatible DVD comme, par exemple, Dolby Digital ou MPEG-1/
Layer-2, le débit audio peut descendre jusqu’à entre 0,2 et 0,4 Mbps, ce qui vous permet
alors de régler le débit maximum sur environ 1 Mbps plus haut.
En règle générale, réglez le débit maximum au moins 1 Mbps plus haut que le débit
moyen afin de permettre au débit de varier et d’obtenir une qualité constante.208 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2
 Menu local « Estimation d’animation » : ce menu est un autre compromis entre qualité d’image et durée de traitement, en particulier si le fichier source comporte beaucoup de mouvements. Choisissez l’un des paramètres suivants :
 Bonne : réglage d’estimation des mouvements le plus rapide. Ce mode fonctionne
bien, y compris avec d’importantes quantités de mouvement entre les images,
à condition que les images comportent une quantité minimum de mouvements
au sein des images. Par exemple, un métrage soumis à une conversion de sa fré-
quence d’images ou à d’autres processus tend à ne comporter que peu de mouvements au sein des images. De manière générale, utilisez ce paramètre avec
le mode d’encodage à une passe.
 Meilleure : ce mode est un bon compromis général pour le paramètre d’estimation
des mouvements. Il offre de bons résultats même avec des mouvements entrelacés complexes, et fonctionne bien avec la plupart des types de sources vidéo
entrelacées, y compris avec les métrages précaires réalisés avec des petits caméscopes grand public. En général, choisissez cette option avec les modes VBR
une passe et VBR deux passes.
Remarque : si vous utilisez un format vidéo progressif, l’option Meilleure n’effectue
qu’une estimation des mouvements image par image plutôt qu’une recherche de
vecteur cinétique trame par trame, qui n’est pas pertinente avec les sources progressives. Dans ce cas, le mode Meilleure est quelque peu plus rapide.
 Optimale : l’estimation des mouvements est dans ce cas de qualité optimale et ce
mode ne devrait être utilisé qu’avec des sources entrelacées dont les mouvements
sont les plus complexes et les plus exigeants. En contrepartie, il est plus lent que
le mode Meilleure. En général, utilisez ce mode pour optimiser la qualité lorsque
vous avez choisi les modes VBR une passe Optimale ou VBR deux passes Optimale.
Remarque : choisissez dans le menu local « Estimation d’animation » le mode d’estimation d’animation (EM) qui convient le mieux au mode d’encodage sélectionné
parmi les cinq possibilités décrites ci-dessus. Choisissez l’option d’estimation d’animation Bonne pour le mode une passe, Meilleure pour les modes VBR une passe et
VBR deux passes, et Optimale pour les modes VBR une passe Optimale et VBR deux
passes Optimale. Bien que les modes d’estimation d’animation fonctionnent quel
que soit le mode d’encodage choisi, il est recommandé d’utiliser ces combinaisons.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 209
Onglet GOP
Vous utilisez l’onglet GOP (groupe d’images) pour sélectionner un format, une structure et une taille de GOP. Cette sous-fenêtre contient les contrôles suivants Consultez
la section « Compréhension des types de GOP et d’images » à la page 211 pour plus
d’informations.
Remarque : si vous choisissez l’un des formats vidéo HD proposés dans l’onglet Format vidéo, vous ne pouvez pas modifier les réglages de l’onglet GOP et ces derniers
adoptent par défaut les valeurs d’une structure IBBP GOP fermée avec une taille de
12 (PAL) ou 15 (NTSC).
 Menu local Structure GOP : ce paramètre indique qu’il y aura deux, une ou aucune
image B entres les images de référence au sein d’un GOP. La structure et la taille
d’un GOP permettent de définir le nombre d’images I, P et B utilisées dans un GOP
pendant l’encodage. Choisissez l’une des options suivantes :
 IP : aucune image B n’est utilisée avec ce paramètre. Ne choisissez ce paramètre que
si votre média contient des mouvements rapides qui ne sont pas encodés avec
une qualité suffisante avec une structure IBBP ou IBP.
 IBP : dans une structure IBP, une image B est insérée entre les images de référence
(images I et images P). Ne choisissez ce paramètre que si votre média contient des
mouvements rapides qui ne sont pas encodés avec une qualité suffisante avec
une structure IBBP ou IBP.
 IBBP : vous pouvez utiliser cette option dans la plupart des cas d’encodage MPEG-2,
avec une taille de GOP de 15 pour NTSC ou de 12 pour PAL. Si vous choisissez ce
paramètre, deux images B sont insérées entre les images de référence.
Remarque : dans la plupart des situations d’encodage MPEG-2 destiné à la création
de DVD, choisissez une structure de GOP IBBP et une taille de GOP de 15 en NTSC ou
de 12 en PAL. Ces paramètres donnent de bons résultats dans la majorité des cas.
Consultez la section « Structure GOP » à la page 213 pour plus d’informations.210 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2
 Boutons Ouvert et Fermé : les GOP fermés ne contiennent aucune image faisant réfé-
rence à une image du GOP précédent ou suivant, tandis que les GOP ouverts commencent par une ou plusieurs images B faisant référence à la dernière image P du
GOP précédent. Les GOP fermés créés par l’encodeur MPEG-2 de Compressor commencent par une image I. Pour choisir un type de GOP (ouvert ou fermé), décidez si
vous allez créer et de quelle manière des marqueurs de chapitre pour la création de
DVD avec DVD Studio Pro ou si vous avez l’intention d’utiliser de multiples angles
vidéo dans votre titre. Consultez la section « GOP ouverts et fermés » à la page 214
pour plus d’informations.
 Menu local Taille GOP : choisissez le nombre d’images contenues dans votre GOP,
suivant le format de la structure GOP sélectionnée. Dans Compressor, un GOP peut
contenir au maximum 15 images (NTSC) ou 12 images (PAL et 720p). Quant au nombre minimum d’images d’un GOP, il est de 6 pour un GOP fermé et de 7 pour un
GOP ouvert, quel que soit le format vidéo. La relation entre la structure d’un GOP
et sa taille vous donnent les différents motifs d’un GOP. Consultez les sections
« Compréhension des types de GOP et d’images » à la page 211 et « Taille GOP » à la
page 213 pour de plus amples informations.
 Champ Modèle : ce champ ne peut être édité, mais il affiche le modèle GOP réel
en fonction de la structure et de la taille que vous avez choisies.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 211
.
Onglet Compléments
Utilisez l’onglet Compléments pour contrôler l’inclusion ou l’exclusion d’informations
de création MPEG-2 spécifiques. L’onglet Compléments contient les contrôles suivants :
Compréhension des types de GOP et d’images
L’une des principales fonctions de l’encodage MPEG-2 est sa capacité à supprimer
les redondances, pas seulement dans une image, mais aussi dans un groupe d’images. Le MPEG-2 utilise trois types d’image (I, P et B) pour représenter une vidéo.
Les paramètres des groupes d’images (GOP) permettent de définir le motif des trois
types d’image utilisées. Ces trois types d’image sont définis comme suit :
 Intra (I) : également connue sous le nom d’image clé. Chaque GOP contient
une image I. L’image I est le seul type d’image MPEG-2 qui peut être totalement
décompressé sans faire aucune référence aux images qui la précèdent ou la suivent.
Comme c’est aussi le type d’image le plus « lourd » en terme de données, c’est lui
qui requiert le plus d’espace disque. Si vous souhaitez placer une image I à un changement de scène ou à tout autre emplacement précis, vous devez le paramétrer
manuellement à l’aide de la fenêtre Preview. Dans ce cas, une image I est qualifiée
de forcée. Consultez la section « Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317 pour
plus d’informations.
 Prédite (P) : image encodée à partir d’une image « prédite » selon l’image I ou P
précédente la plus proche. Les images P requièrent généralement moins d’espace
disque que les images I, car elles font référence à l’image I ou P qui la précède dans
le GOP.
Remarque : les images I et P sont aussi dénommées images de référence,
car une image B peut faire référence à l’un ou l’autre type d’image.
 Bidirectionnelle (B) : image encodée à partir d’une interpolation des images de réfé-
rence suivantes et précédentes, qu’il s’agisse d’images I ou P. Les images B sont
le type d’image MPEG-2 le plus efficace en termes de stockage, car c’est celui qui
requiert le moins d’espace disque.
C’est l’utilisation d’images B et P qui permet au MPEG-2 de supprimer les redondances temporaires, contribuant ainsi à l’efficacité de la compression vidéo.212 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2
 Ajouter des métadonnées DVD Studio Pro : en cochant cette case, vous permettez à
Compressor d’analyser des informations de création MPEG-2 spécifiques pendant
le processus de transcodage, afin d’accélérer l’importation dans DVD Studio Pro.
Néanmoins, ces fichiers MPEG-2 seront incompatibles avec les versions 1.5 ou précé-
dentes de DVD Studio Pro. Si vous laissez cette case décochée, les informations
seront analysées plus tard dans DVD Studio Pro.
Remarque : les flux MPEG-2 contenant des métadonnées DVD Studio Pro supplé-
mentaires ne sont compatibles qu’avec la version DVD Studio Pro 2 (ou ultérieure).
Les flux MPEG-2 pour lesquels cette case est cochée ne sont pas compatibles avec
les versions antérieures à DVD Studio Pro 2, ou avec d’autres outils de création de
DVD. Cette case est cochée par défaut dans tous les réglages Apple. Pour que vos
fichiers MPEG-2 soient compatibles avec d’autres outils de création de DVD,
désélectionnez cette case, puis enregistrez le réglage.
 Inclure les marqueurs de chapitre uniquement : en cochant cette case, vous excluez
du flux de données les marqueurs de compression sans nom, tout en conservant
les marqueurs de chapitre. Si vous laissez cette case décochée, tous les marqueurs
sont reconnus dans le fichier multimédia de sortie. Consultez les sections « À propos
des marqueurs MPEG-2 et de DVD Studio Pro » à la page 215 et « Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast à un plan » à la page 320 pour plus d’informations
sur les marqueurs de chapitre.
 Audio couche 2/MPEG-1 multiplexé : utilisez cette option pour créer un flux multiplexé (au lieu d’un flux élémentaire). Vous pouvez ainsi transformer le fichier de sortie en flux de transport ou de programme. Consultez la section « À propos des flux
élémentaires, des flux de transport et des flux de programme » à la page 197 pour en
savoir plus sur les différences entre les différents types de flux.
L’audio de ce flux est au format couche 2/MPEG-1, avec une fréquence d’échantillonnage de 44,1 kHz ou 48 kHz (en fonction de la source) et un débit de 384 kbps. Pour
créer un flux élémentaire audio uniquement (audio couche 2/MPEG-1), consultez
la section « Création du réglage Audio MPEG-1 pour DVD » à la page 191.
Important : générique est également la seule option qui prend en charge la création
de flux de transport et de programme. En cochant la case « Audio couche 2 MPEG-1
multiplexé », vous réglez l’utilisation de votre flux sur Générique si cette utilisation
est actuellement réglée sur une autre valeur.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 213
Informations supplémentaires sur les GOP et les marqueurs
Vous trouverez ci-dessous des informations supplémentaires qui pourront vous être
utiles pour décider comment configurer les paramètres GOP et comprendre comment
les paramètres GOP affectent les marqueurs DVD Studio Pro.
Points à considérer avant de choisir les paramètres d’un GOP
Vous devez considérer les aspects suivants avant de choisir les paramètres d’un GOP :
Structure GOP
Ce paramètre indique qu’il y aura deux, une ou aucune image(s) B entre les images
de référence au sein d’un GOP. La structure et la taille d’un GOP permettent de définir
le nombre d’images I, P et B utilisées dans un GOP pendant l’encodage.
La structure que vous choisissez dépend de l’éloignement des images P. Comme
une image P est prédite à partir de l’image de référence antérieure (soit une image I,
soit une image P) et qu’il peut y avoir entre elles une ou deux images B, la prédiction
doit couvrir la distance que les objets peuvent parcourir pendant la durée de deux ou
trois images.
En principe, plus le mouvement moyen est faible d’une image à l’autre, plus les images P
peuvent être espacées, et plus la compression peut être importante. Pour la plupart des
contenus vidéo, la structure IBBP est un bon choix. Dans le cas de contenus qui ont des
séquences entières avec de rares mouvements rapides, il est possible de choisir une structure IBP ou IP, mais un débit relativement élevé (6 à 8 Mbps pour la vidéo SD) peut alors
s’avérer nécessaire pour obtenir une bonne qualité.
Taille GOP
Ce paramètre spécifie le nombre d’images contenues dans un GOP. Or, comme un GOP
ne contient exactement qu’une seule image I, une taille plus grande permet généralement d’obtenir une meilleure compression, car les images B et P occupent moins
d’espace que les images I.
Pour la plupart des médias, un espacement d’environ une demi-seconde entre chaque
image I donne de bons résultats. Cela revient à une taille de GOP contenant 15 images
en NTSC et 12 images en PAL. Les spécifications du format DVD vidéo interdisent des
GOP contenant plus d’images. Généralement, seuls les contenus dont les changements
de scènes à des intervalles inférieurs à une demi-seconde sont fréquents bénéficient de
GOP de taille plus petite.214 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2
GOP ouverts et fermés
Les GOP ouverts sont plus efficaces, car ils permettent l’insertion d’une autre image B
dans le modèle GOP. Les GOP ouverts commencent par une image B capable de consulter la dernière image P du GOP précédent ainsi que la première image I de son
propre GOP.
Par définition, les GOP fermés ne peuvent contenir aucune image faisant référence à
une image du GOP précédent, ou suivant. Au contraire, les GOP ouverts commencent
par une ou plusieurs images B qui font référence à la dernière image P du GOP anté-
rieur. Les GOP fermés créés par Compressor commencent toujours par une image I.
À structure et taille identiques, la compression obtenue est généralement meilleure
avec les GOP ouverts qu’avec les GOP fermés. En effet, l’illustration ci-dessus montre
qu’un GOP fermé contient plus d’images P qu’un GOP ouvert de même longueur.
Or, comme les images P requièrent habituellement plus de bits que les images B,
la compression des GOP ouverts est d’une qualité légèrement supérieure.
Certaines restrictions s’appliquent à l’utilisation de GOP ouverts avec des disques DVD
vidéo créés à l’aide d’une application de création de DVD de type DVD Studio Pro.
La première limite exclusivement aux GOP fermés les flux MPEG-2 utilisés pour des DVD
à angles multiples ou mixtes.
:06 :07 :08 :09
:09
:04 :05 :10 :11 :12 :13 :14 :15 :16 :17 :18 :19 :20 :21
GOP ouvert
(IBBP, 15 images)
P B B I B B P B B P B B P B B P B B I
:03
:04 :05 :06 :07 :08 :10 :11 :12 :13 :14 :15 :16 :17 :18
GOP fermé
(IBBP, 15 images)
I B B B P B B P B P B P B P B Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 215
La deuxième oblige à définir les marqueurs de chapitre des DVD au début d’un GOP
fermé. Le meilleur moment pour définir des marqueurs de chapitre est avant d’effectuer le transcodage MPEG-2. Par exemple, si vous spécifiez des marqueurs de chapitre
dans Final Cut Pro, vous pouvez paramétrer Compressor de manière à procéder au
transcodage MPEG-2 avec des GOP ouverts. Compressor forcera alors un GOP fermé
à commencer uniquement au niveau des marqueurs de chapitre spécifiés, et rendra
les autres GOP ouverts. Vous pouvez également faire cela en spécifiant « images I
forcées » dans la fenêtre Preview de Compressor, puis en leur indiquant un nom de
chapitre à utiliser par DVD Studio Pro.
Toutefois, si vous souhaitez définir des marqueurs de chapitre à chaque limite de GOP
après le transcodage de votre vidéo au format MPEG-2, vous ne devriez utiliser que des
GOP fermés. Cette liberté d’action est limitée, car vous ne pouvez définir des marqueurs
de chapitre qu’aux limites des GOP et pas à n’importe quelle image de la vidéo.
À propos des marqueurs MPEG-2 et de DVD Studio Pro
Vous pouvez trouver les marqueurs MPEG-2 suivants dans un fichier multimédia source :
 Marqueurs de chapitre : ces marqueurs identifient les images qui devraient être encodées en tant qu’images I et qui sont reconnues comme marqueurs de chapitre lors
de l’importation dans DVD Studio Pro.
 Marqueurs de compression forcée : ces marqueurs sont ajoutés durant la phase de
montage et servent à identifier les images de la vidéo qui devraient être forcées à
être des images I pour une meilleure qualité d’encodage, comme la première image
d’une nouvelle scène. Les marqueurs de compression forcée ne sont pas reconnus
comme des marqueurs de chapitre par DVD Studio Pro.
 Marqueurs de compression automatique : ces marqueurs sont insérés par Final Cut Pro
à tous les points de montage, forçant des images I là où des changements de scène
sont susceptibles de se produire. Les marqueurs de compression automatique ne
sont pas reconnus comme des marqueurs de chapitre par DVD Studio Pro. Ils ne
seront pas inclus si vous cochez la case « Inclure les marqueurs de chapitre
uniquement ».
Si la case « Inclure les marqueurs de chapitre uniquement » n’est pas cochée,
Compressor place automatiquement des images I à chaque fois qu’il détecte l’un des
trois types de marqueur. Dans la plupart des cas, cela permet d’obtenir les meilleurs
résultats. Cependant, si vous avez l’intention d’utiliser les fichiers multimédia comme
faisant partie d’un titre DVD à angles multiples ou angles mixtes, ceux-ci doivent tous
avoir les mêmes motifs d’images I.216 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2
Les marqueurs de chapitre définis dans Final Cut Pro et transcodés dans Compressor ou
directement définis dans Compressor seront absents des données MPEG-2 importées si
vous utilisez une version antérieure à DVD Studio Pro 2. Toutefois, les images I seront
définies là où les marqueurs de chapitre ont été nommés. Si vous utilisez une version
antérieure à DVD Studio Pro 2, les options suivantes sont à votre disposition :
Projets natifs Final Cut Pro
Les deux options suivantes sont disponibles pour les projets d’origine Final Cut Pro :
 Exportation à l’aide de Compressor : si les contrôles de qualité et de transcodage sont
importants pour votre projet, utilisez Compressor pour exporter votre fichier multimédia MPEG-2. Vous gagnerez du temps et éviterez les pertes dues à la génération.
L’inconvénient de ce mode est que vous ne pouvez pas utiliser Final Cut Pro au cours
de l’exportation.
 Exporter une séquence de référence QuickTime et la transcoder dans Compressor : vous
n’obtiendrez pas la haute qualité et les options d’encodage offertes par Compressor,
mais vous pourrez continuer le montage dans le plan de montage de Final Cut Pro
pendant que Compressor travaille en arrière-plan.
Projets natifs Compressor
Vous pouvez définir des marqueurs de chapitre au moyen de la fenêtre d’aperçu
Compressor, mais ceux-ci ne seront pas conservés lors de leur exportation vers des versions antérieures à DVD Studio Pro 2. Les images I sont par contre maintenues. Si vous
utilisez une version antérieure à DVD Studio Pro 2, vous pouvez définir manuellement
les marqueurs de chapitre directement dans DVD Studio Pro.
Flux de production de transcodage MPEG-2
Cette section vous propose des exemples et des instructions de configuration de vos
attributs MPEG-2 étape par étape, avant la création de fichiers de sortie MPEG-2 avec
Compressor. La configuration des réglages MPEG-2 s’effectue via la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2, soit en modifiant un réglage, soit en créant un sous l’onglet Réglages.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 217
Exemples de paramètres MPEG-2
Les réglages MPEG-2 suivants peuvent être utilisés dans la majorité des cas d’encodage MPEG-2 généraux. Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2, puis cliquez sur
le bouton approprié pour accéder à ces onglets.
Remarque : n’oubliez pas que la plupart des paramètres donnés dans cet exemple
ne sont pas adaptés à tous les formats vidéo d’entrée, ni à toutes les situations
d’encodage. Le cas échéant, quelques paramètres alternatifs sont donnés entre
parenthèses. Consultez les sections au début du présent chapitre pour obtenir plus
d’informations sur quand et comment utiliser d’autres paramètres.
Onglet Format vidéo
 Format vidéo : NTSC (PAL, 720p, HD 1440x1080, HD 1920x1080 ou l’une des options
de largeur égale à 640)
 Proportions : 4:3 (16:9 pour un grand écran anamorphosé ou haute définition)
 Priorité de trame : automatique (non disponible avec le format 720p)
Onglet Qualité
 Mode : VBR à une passe Optimale (ou d’autres réglages à une passe et à deux passes)
 Débit moyen : 5 Mbps (entre 2 et 9 Mbps) pour le format DVD standard ou 18 Mbps
pour les formats vidéo HD (plage variable)
Remarque : votre choix de débit peut être influencé par de nombreux facteurs,
comme la complexité de la vidéo source, le format et le nombre des flots audio,
ainsi que la durée totale des plans vidéo à inclure sur le DVD.
 Débit maximum : 8,0 Mbps pour le format DVD standard ou 27 Mbps pour
les formats vidéo HD
 Estimation d’animation : Optimale
Onglet GOP
 Structure GOP : IBBP
 Taille GOP : 15 (12 pour PAL et les formats HD 50i, 50p et 24p)
 Type de GOP : Ouvert (Fermé)
Remarque : pour choisir un type de GOP (ouvert ou fermé), décidez si vous allez
créer et de quelle manière des marqueurs de chapitre pour la création de DVD
avec DVD Studio Pro ou si vous avez l’intention d’utiliser de multiples angles vidéo
dans votre titre. Consultez les sections « À propos des marqueurs MPEG-2 et de
DVD Studio Pro » à la page 215 et « Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast
à un plan » à la page 320 pour de plus amples informations.218 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2
Suivez les étapes ci-après pour savoir comment utiliser le format de fichier de sortie
MPEG-2.
Étape 1 : Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 et choisissez Format vidéo
Il est important que le format vidéo, les proportions et le champ dominant concordent
avec les paramètres de votre fichier multimédia source. Consultez la section « Onglet
Format vidéo » à la page 199 pour une description plus détaillée de chacun de
ces paramètres.
Remarque : le moyen le plus facile de vous assurer que les réglages sont adaptés au
fichier multimédia source consiste à activer les boutons Automatique. Consultez la section « À propos des réglages automatiques » à la page 58 pour plus d’informations.
1 Ouvrez l’onglet Réglages, puis choisissez MPEG-2 à l’aide du bouton de menu local
« Ajouter un préréglage » (+).
La sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 s’ouvre dans l’Inspecteur, avec l’onglet Format vidéo
qui s’affiche par défaut.
2 Choisissez dans le menu local « Utilisation de flux » le réglage qui correspond à la façon
dont vous comptez utiliser la vidéo encodée. Cela garantit que les options d’encodage
MPEG-2 sont limitées au options prises en charge par l’usage escompté. Les options
sont les suivantes :
 Générique
 DVD SD
 Blu-ray
 DVD HD
Configurez ces réglages
manuellement si vous
n’avez pas l’intention de
les adapter au fichier
multimédia source.
Sélectionnez les boutons Automatique
pour que l’encodeur
adapte les réglages
au fichier multimédia
source.
Choisissez le type de
flux MPEG-2 à créer.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 219
3 Choisissez un format dans le menu local Format vidéo ou sélectionnez son bouton
Automatique :
 NTSC (par défaut)
 PAL
 720p
 HD 1440x1080
 HD 1920x1080
 640x480
 640x360
 640x352
 640x384
 640x320
4 Choisissez des proportions dans le menu local Proportions ou sélectionnez son bouton
Automatique.
Avant cela, vous devez déterminer si la forme prévue de votre vidéo source est au format 4:3 (normal) ou 16:9 (grand écran).
5 En fonction du type de votre média source, choisissez un paramètre de champ dans
le menu local « Priorité de trame ». Par exemple, pour un format DV, choisissez Première inférieure. Vous pouvez également choisir le bouton « Priorité de trame
automatique » pour laisser Compressor déterminer le réglage correct.
6 Si vous souhaitez utiliser le timecode de votre vidéo source, laissez la case « Choisir le
timecode de départ » décochée. Sinon, cochez-la et introduisez un nouveau timecode.
7 Si vous avez coché la case « Choisir le timecode de départ » et que votre format vidéo
est NTSC, cochez aussi la case Drop Frame si vous voulez utiliser le timecode en temps
réel (au lieu d’avoir un timecode 30 images).
Consultez la section « Onglet Format vidéo » à la page 199 pour plus d’informations.
Étape 2 : Choix des paramètres de qualité
Dans l’onglet Qualité, ajustez les attributs d’encodage MPEG-2 qui ont le plus
d’influence sur la qualité finale de votre fichier de sortie vidéo MPEG-2 : mode
d’encodage, débits maximum et moyen et type d’estimation d’animation.220 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2
1 Cliquez sur le bouton Qualité dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 pour ouvrir
l’onglet correspondant.
2 Faites votre choix parmi les options proposées par le menu local Mode.
Pour une qualité d’image optimale, choisissez « VBR 1 passe optimal » ou « VBR 2 passes optimal ». Si vous souhaitez obtenir l’encodage le plus rapide possible, choisissez
« VBR une passe » ou « VBR 2 passes ». Pour les sources HD, choisissez « VBR 1 passe
optimal » ou « VBR 2 passes optimal ».
Avec les modes à deux passes, le fichier multimédia source est examiné pendant la première passe, puis transcodé pendant la deuxième avec les débits adaptés au contenu
vidéo. À l’inverse, les modes à une passe transcodent plus rapidement, mais distribuent
les débits de façon moins optimale que ne le font les modes à deux passes analogues.
Remarque : si vous utilisez VBR à deux passes et que le traitement distribué est activé,
vous pouvez désactiver la case « Autoriser la segmentation des tâches » dans la sousfenêtre Encodeur. Consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes
(ou multipasse) » à la page 64 pour plus d’informations.
3 Choisissez un débit moyen à l’aide du curseur de défilement Débit moyen ou du
champ contigu.
Choisissez un débit approprié en fonction du contenu et de la longueur de votre vidéo
source, et de la taille (en octets) souhaitée pour votre fichier de sortie. En création de
DVD, l’intégralité de la vidéo doit tenir sur le disque DVD, or plus le débit est faible,
plus vous pouvez stocker de données. Cependant, plus le débit est important,
plus l’image sera de qualité.
Choisissez un mode
correspondant à vos
exigences en termes
de durée et de qualité.
Choisissez un réglage
Estimation d’animation.
Choisissez les débits
appropriés à vos exigences en termes de taille de
fichier et de qualité.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 221
Lorsque vous modifiez la valeur Débit moyen (avec le curseur ou le champ), le calculateur de débit en bas de l’onglet Qualité affiche de manière dynamique le nombre maximum de minutes de vidéo sur un DVD-5. Le calculateur suppose un débit de 1,5 Mbps
pour l’audio (AIFF deux canaux).
Le tableau ci-dessous fournit quelques débits et la durée des métrages correspondants
pour un DVD de 4,7 Go :
Remarque : lorsque vous choisissez VBR une passe ou VBR une passe Optimale pour
des plans très courts (inférieurs à une ou deux minutes), il est possible que la taille du
fichier de sortie MPEG-2 résultant ne reflète pas précisément le débit moyen que vous
avez spécifié. Si la longueur du fichier multimédia de sortie MPEG-2 ne correspond
pas à vos attentes, vous pouvez essayer de le transcoder à nouveau à un débit moyen
plus faible.
4 Si possible, spécifiez le débit maximum en introduisant une valeur dans le champ
correspondant ou en déplaçant le curseur de défilement.
Comme les lecteurs DVD prennent en charge des débits de pointe pouvant atteindre
jusqu’à 10,08 Mbps pour des composantes audio et vidéo, il est conseillé d’ajuster
le débit vidéo maximum entre 8,0 et 8,5 Mbps si vous utilisez une piste audio (AIFF
deux canaux) à 1,5 Mbps.
Remarque : pour un résultat optimal, assurez-vous que le débit maximum est supé-
rieur d’au moins 1 Mbps au réglage moyen. Des différences plus grandes peuvent donner de meilleurs résultats encore.
Débit moyen1 Durée approximative pour un DVD de 4,7 Go
3,5 Mbps 121 minutes
5,0 Mbps 94 minutes
6,0 Mbps 82 minutes
7,5 Mbps 68 minutes
8,0 Mbps 65 minutes
1
Pour un plan DVD avec composantes audio et vidéo et sous-images : suppose un débit de 1,5 Mbps pour les données audio (AIFF deux canaux).222 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2
5 Choisissez un réglage parmi ceux proposés par le menu local « Estimation d’animation » :
 Bonne : c’est le réglage d’estimation d’animation le plus rapide ; suffisant lorsque
les mouvements entre les images sont lents.
 Meilleure : il s’agit d’un bon compromis général pour le réglage d’estimation
d’animation ; il offre de très bons résultats y compris en présence de mouvements
entrelacés complexes.
 Optimale : réglage de qualité optimale pour manipuler la plupart des sources entrelacées dont les mouvements sont les plus complexes et les plus exigeants ; un peu
plus lent que le mode Meilleure.
Consultez la section « Onglet Qualité » à la page 204 pour plus d’informations.
Étape 3 : Choix des réglages de GOP
Sélectionnez la structure et la taille appropriées des GOP, puis décidez si vous souhaitez que les GOP soient ouverts ou fermés.
Remarque : ces réglages ne sont pas modifiables si vous choisissez un format vidéo HD
dans l’onglet Format vidéo.
1 Cliquez sur le bouton GOP dans la sous-fenêtre MPEG-2 Encoder pour ouvrir l’onglet
correspondant.
2 Choisissez une structure de GOP dans le menu local Structure GOP.
Pour la plupart des tâches d’encodage MPEG-2 destinées à la création de DVD,
choisissez la structure IBBP.
3 Choisissez la taille des GOP dans le menu local Taille GOP.
Dans la plupart des tâches d’encodage MPEG-2 destinées à la création de DVD,
choisissez une taille de GOP de 15 en NTSC et une taille de 12 en PAL et 24P.
Les options disponibles dans ce menu dépendent de la structure choisie pour les GOP,
et de s’ils sont ouverts ou fermés.
Choisissez une structure
GOP pour contrôler le
nombre d’images
B utilisées.
Choisissez des GOP
ouverts ou fermés.
Choisissez une taille
de GOP.Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2 223
4 Décidez si vous souhaitez que le motif des GOP soit ouvert ou fermé, puis cliquez sur
le bouton approprié.
Consultez les sections « Compréhension des types de GOP et d’images » à la page 211,
« Points à considérer avant de choisir les paramètres d’un GOP » à la page 213,
et « Onglet GOP » à la page 209 pour plus d’informations sur les GOP.
Étape 4 : Choix des paramètres supplémentaires
Vous pouvez contrôler l’inclusion ou l’exclusion d’informations de création MPEG-2
spécifiques par l’intermédiaire de l’onglet Compléments.
1 Cliquez sur le bouton Compléments dans la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 pour ouvrir
l’onglet correspondant.
Utilisation d’images I MPEG-2
La fenêtre Preview de Compressor offre une flexibilité de transcodage supplémentaire en vous permettant d’insérer manuellement des images I à n’importe quel
endroit dans le fichier MPEG-2 de sortie, indépendamment du motif et de la taille que
vous avez choisis pour les GOP. Ces images I, qualifiées de forcées peuvent être utiles
pour améliorer la qualité du fichier MPEG-2 à proximité d’un changement de scène.
Consultez la section « Compréhension des types de GOP et d’images » à la page 211
pour plus d’informations sur les images I.
En outre, l’ajout d’images I à votre plan vous permet de créer des marqueurs de chapitre pouvant être interprétés et utilisés par DVD Studio Pro. Consultez les sections
« Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317 et « Ajout de marqueurs de chapitre
ou de podcast à un plan » à la page 320 pour de plus amples informations.224 Chapitre 15 Création de fichiers de sortie MPEG-2
2 Cochez la case « Ajouter métadonnées DVD Studio Pro » si vous souhaitez que les informations de création MPEG-2 spécifiques soient analysées par Compressor et non pas
ultérieurement par DVD Studio Pro.
3 Cochez la case « Inclure les marqueurs de chapitre uniquement » si vous souhaitez
exclure les marqueurs de compression automatique du flux de données, mais conserver les marqueurs de chapitre.
4 Activez la case « Audio couche 2/MPEG-1 multiplexé » uniquement si vous devez créer
des flux de transport ou de programme. Consultez la section « À propos des flux élé-
mentaires, des flux de transport et des flux de programme » à la page 197 pour plus
d’informations.
Consultez les sections « Onglet Compléments » à la page 211 et « À propos des marqueurs MPEG-2 et de DVD Studio Pro » à la page 215 pour en savoir plus sur les réglages de l’onglet Compléments.
En outre, pour faciliter l’utilisation des fichiers de sortie créés par ces préréglages dans
DVD Studio Pro, créez une destination qui garantit que les fichiers de sortie vidéo et
audio portent le même nom, mais uniquement avec des extensions de fichier différentes. Consultez la section « Création de destinations à utiliser avec DVD Studio Pro » à la
page 335 pour de plus amples informations.
Avertissement : si vous cochez cette case, vos fichiers MPEG-2 sont incompatibles avec
les outils de création de DVD autres que DVD Studio Pro 2 (ou version ultérieure).16
225
16 Création de fichiers de sortie
MPEG-4
Compressor fournit les outils dont vous avez besoin pour
créer des fichiers transcodés MPEG-4 exceptionnels.
La norme MPEG-4 Partie 2 (également appelée vidéo MPEG-4 dans QuickTime 6) joue
un rôle important dans l’évolution des normes pour les secteurs de l’Internet et du
multimédia sans fil, qui l’ont largement adoptée.
Utilisez MPEG-4 Partie 2 lorsque vous souhaitez garantir la compatibilité avec les périphériques ou lecteurs MPEG-4 Partie 2, tels que les millions de téléphones portables
3G et d’appareils photo numériques qui capturent et lisent la vidéo MPEG-4 Partie 2.
La norme H.264, également appelée MPEG-4 Partie 10, est une technologie plus
récente que MPEG-4 Partie 2, offrant jusqu’à quatre fois la taille d’image de la vidéo
encodée avec le codec MPEG-4 Partie 2 pour un débit donné. Cependant, tout comme
les normes MPEG-1 et MPEG-2 sont toujours utilisées aujourd’hui, la norme MPEG-4
Partie 2 continuera d’être utilisée.
Remarque : MPEG-4 Partie 2 est à la fois un codec QuickTime (vidéo MPEG-4) et
un format de sortie. Dans ce chapitre, nous allons considérer MPEG-4 Partie 2 comme
un format de sortie.
MPEG-4 Partie 2 offre les avantages suivants :
 Conformité aux normes : la sortie est compatible avec les périphériques MPEG-4
Partie 2 et les autres lecteurs normalisés (ISMA), tels que les téléphones portables.
 Vidéo haute qualité : transcodeur polyvalent qui peut être réglé à un débit cible et,
avec un débit variable une passe, peut optimiser la qualité ou la vitesse de sortie
pour un transcodage le plus rapide possible.
 Codage audio avancé (AAC) : le format audio MPEG-4 accepte une grande variété
de données audio source et apporte à QuickTime un transcodage audio VBR réel.
En outre, il utilise le codec AAC, lequel, à débit égal, s’avère plus précis que le MP3
et permet d’obtenir des fichiers de taille inférieure ou des fichiers de taille identique,
mais de qualité supérieure. Vous pouvez également inclure des informations de podcasting, comme des marqueurs de chapitre accompagnés d’illustrations ou d’URL,
ainsi que diverses annotations textuelles.226 Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4
 Algorithmes d’optimisation pour la lecture en continu : les algorithmes d’optimisation
indiquent la façon dont un flux vidéo est divisé en paquets pouvant être lus en continu. Pour créer un flux vidéo, le serveur de contenu multimédia requiert des algorithmes d’optimisation pour savoir quelles données envoyer et quand. Le principe de
ces algorithmes est de définir la taille maximum d’un paquet et sa durée maximum.
Les informations nécessaires à la lecture en continu de votre fichier de sortie sont
contenues sur une piste dite piste d’algorithme. Cette piste d’algorithme est créée
pour chaque piste multimédia (vidéo et audio) pouvant être lue en continu dans
le fichier de sortie, et est utilisée par le serveur de contenu multimédia pour convertir le média en flux de données en temps réel.
À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-4
La sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 Partie 2 permet de sélectionner un large éventail de
types et d’options de flux.
La sous-fenêtre MPEG-4 Partie 2 contient les éléments suivants :
 Champ Extension de fichier : affiche automatiquement l’extension de fichier MPEG-4
Partie 2 mp4 une fois que le format de sortie MPEG-4 est sélectionné dans le menu
local « Format de fichier » ou dans le menu local (+) de l’onglet Réglages.
 Boutons Vidéo, Audio et Diffusion : cliquez sur ces boutons pour ouvrir les sous-fenê-
tres Vidéo, Audio et Diffusion décrites ci-après.Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4 227
 Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation des tâches. Elle n’est importante que si vous utilisez Compressor avec le traitement distribué et avec l’encodage à deux passes ou multipasse. (La fonctionnalité de
traitement distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels est installé
Final Cut Studio.) Étant donné que le format MPEG-4 Partie 2 utilise le mode VBR à
une seule passe, vous pouvez laisser cette case cochée dans tous les cas afin d’accé-
lérer le traitement distribué. Pour plus d’informations, consultez la section
« Segmentation de tâche et encodage 2 passes (ou multipasse) » à la page 64.
 Autoriser les informations de podcasting : activez cette case pour vous assurer que les
annotations et les métadonnées de podcasting sont enregistrées dans le fichier multimédia de sortie. Cette option s’applique uniquement aux fichiers audio. Pour que
cette option soit disponible, désélectionnez la case Vidéo activée en haut de la fenê-
tre Vidéo.
Sous-fenêtre Vidéo
La sous-fenêtre Vidéo permet de paramétrer la qualité (profil ISMA), la fréquence d’images (images par seconde), l’intervalle de création d’une image clé et le débit de votre
fichier de sortie MPEG-4 Partie 2. La sous-fenêtre contient les contrôles suivants :
 Case à cocher Vidéo activée : assurez-vous que cette case est activée si vous souhaitez que les réglages vidéo du format de sortie MPEG-4 Partie 2 soient appliqués.
 Boutons Profil ISMA : choisissez l’une des qualités MPEG-4 Partie 2 suivantes :
 Basique (0) : garantit la lecture sur tous les appareils MPEG-4 Partie 2.
 Amélioré (1) : offre une meilleure qualité de sortie, mais ce réglage n’est compatible qu’avec les appareils MPEG-4 Partie 2 les plus récents.
 Champ et menu local « Fréquence d’images » (ips) : choisissez ou saisissez une valeur
pour spécifier la vitesse générale du fichier multimédia de sortie.
 Champ « Intervalle entre les images-clés » : saisissez une valeur pour spécifier le nombre d’images clés créées dans le fichier multimédia de sortie.
 Menu local Débit : choisissez l’un des débits suivants. Quel que soit le paramètre
choisi, la qualité varie d’une image à l’autre pour maintenir le débit sélectionné
constant.
Spécifiez le débit en introduisant
une valeur dans le champ correspondant ou en déplaçant le curseur
de défilement (disponible uniquement avec l’option « Constant à »).228 Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4
 Constant à : spécifiez manuellement le débit en introduisant une valeur dans
le champ ou en déplaçant le curseur.
 VBR bas : spécifie une qualité générale basse pour toutes les images.
 VBR moyen : spécifie une qualité générale moyenne pour toutes les images.
 VBR haut : spécifie une qualité générale élevée pour toutes les images.
 Champ et curseur de défilement Débit : (disponible uniquement avec l’option
« Constant à »). Déterminez le débit vidéo général de votre fichier multimédia de
sortie (de 32 Kbps à 2048 Kbps) à l’aide du curseur de défilement ou en introduisant
une valeur spécifique dans le champ correspondant.
Sous-fenêtre Audio
La sous-fenêtre Audio vous permet de définir la qualité des pistes audio, le taux
d’échantillonnage et le débit du fichier de sortie MPEG-4. Utilisez les contrôles suivants
pour effectuer vos réglages de manière précise :
 Case à cocher Audio activé : assurez-vous que cette case est activée si vous souhaitez
que les réglages audio du format MPEG-4 Partie 2 soient appliqués.
 Boutons Canaux : indiquez si vous souhaitez que les canaux audio de votre fichier
multimédia de sortie soient en mono ou en stéréo.
 Menu local Échantillonnage : choisissez l’un des taux d’échantillonnage suivants : 8,
11,025, 12, 16, 22,05, 24, 32, 44,1 ou 48 kHz. Vous pouvez également choisir l’option
Recommandé pour que Compressor choisisse un taux d’échantillonnage adapté
aux réglages Canaux et Débit.
Remarque : si vous choisissez l’option Recommandé, le taux d’échantillonnage n’est
pas déterminé avant le lancement du transcodage.
 Menu local Qualité : choisissez l’une des qualités audio suivantes pour votre fichier
de sortie :
 Bas : permet d’obtenir un transcodage rapide au détriment de la qualité du fichier
de sortie.
 Moyen : la qualité audio est meilleure, mais la durée du transcodage augmente.
Menu local de sélection de la
fréquence d’échantillonnage
Curseur de réglage du débitChapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4 229
 Haut : il s’agit de la meilleure qualité audio disponible. Choisissez cette option
quand la qualité audio du fichier de sortie est importante, quelle que soit la durée
du transcodage.
 Champ et curseur de défilement Débit : déterminez le débit audio général de votre
fichier multimédia de sortie, dans une gamme allant de 16 Kbps (2 Ko/s) à 256 Kbps
(32 Ko/s), à l’aide du curseur de défilement ou en introduisant une valeur spécifique
dans le champ correspondant.
Sous-fenêtre Diffusion
La sous-fenêtre Diffusion permet de paramétrer les algorithmes d’optimisation,
ainsi que la taille maximum et la durée limite des paquets du fichier de sortie MPEG-4
Partie 2. Vous pouvez également configurer votre fichier multimédia de sortie pour qu’il
soit compatible avec le serveur de diffusion QuickTime, version 4.1 ou précédentes.
La sous-fenêtre Diffusion contient les contrôles suivants :
 Case à cocher « Optimisation de diffusion activée » : assurez-vous que cette case est
activée si vous souhaitez que les réglages de diffusion au format de sortie MPEG-4
Partie 2 soient appliqués.
 Case « Compatibilité QuickTime Streaming Server (pré-4.1) » : cochez cette case pour
que votre fichier de sortie soit compatible avec les anciennes versions de QuickTime
Streaming Server (4.1 et antérieures). Ne cochez pas cette case si vous utilisez une version plus récente de QuickTime, tous les problèmes de compatibilité étant automatiquement résolus.
 Champ Taille maximum de paquet : introduisez une valeur pour indiquer la taille maximum autorisée (en octets) des paquets du flux vidéo du fichier multimédia de sortie.
La taille des paquets ne doit pas dépasser le paquet le plus gros utilisé sur un réseau
quelconque entre le serveur de contenu multimédia et l’utilisateur. 230 Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4
 Champ Durée maximum de paquet : introduisez une valeur pour indiquer la durée
maximum autorisée (en millisecondes) des paquets du flux vidéo du fichier multimé-
dia de sortie. La durée a une incidence sur les paramètres audio MPEG-4 Partie 2
uniquement. Elle permet de limiter la durée maximum de la composante audio
(en millisecondes) dans chaque paquet, ce qui limite la perte d’informations audio
engendrée par la perte d’un paquet.
Processus de transcodage MPEG-4 Partie 2
Cette section contient des informations sur un processus MPEG-4 Partie 2 standard
et sur la création d’un podcast audio.
Processus MPEG-4 Partie 2
Si vous n’avez pas besoin de personnaliser les réglages audio et vidéo de votre fichier
MPEG-4 Partie 2, vous pouvez utiliser la méthode « rapide et facile » pour transcoder
vos fichiers de données source. Pour cela, acceptez les paramètres de sortie MPEG-4
Partie 2 par défaut :
Sous-fenêtre Vidéo
 Case Vidéo activée : Cochée
 Profil ISMA : Basique
 Fréquence d’images : 15 images par seconde
 Intervalle entre les images clés : 15 images
 Débit : 368 Kbps
Consultez la section « Sous-fenêtre Vidéo » à la page 227 pour plus d’informations.Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4 231
Sous-fenêtre Audio
 Case à cocher Audio activé : Cochée
 Canaux : Stéréo
 Échantillonnage : 44,1 kHz
 Qualité : Haute
 Débit : 64 Kbps
Consultez la section « Sous-fenêtre Audio » à la page 228 pour plus d’informations.
Sous-fenêtre Diffusion
 Case à cocher « Optimisation de diffusion activée » : cochée
 Taille maximum de paquet : 1 450 octets
 Durée maximum de paquet : 100 millisecondes
Consultez la section « Sous-fenêtre Diffusion » à la page 229 pour plus d’informations.
Si ces paramètres vous conviennent, le paramétrage est terminé et vous pouvez dès
à présent commencer le transcodage de vos fichiers multimédia sources.232 Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4
Si vous voulez personnaliser les réglages de format de fichier MPEG-4 Partie 2, le processus de transcodage décrit précédemment n’est pas suffisant et il est nécessaire d’en
réaliser un plus détaillé incluant les étapes suivantes :
Étape 1 : Personnalisation des paramètres vidéo MPEG-4
1 Dans la fenêtre Inspecteur, cliquez sur la sous-fenêtre Encodeur et choisissez MPEG-4
dans le menu local « Format du fichier ».
La sous-fenêtre Encodeur MPEG-4 s’ouvre. Le champ Extension indique mp4 et la sousfenêtre Vidéo est au premier plan.
2 Ajustez les réglages vidéo MPEG-4 à l’aide des contrôles disponibles.
Remarque : assurez-vous que la case Vidéo activée est cochée.
Consultez la section « Sous-fenêtre Vidéo » à la page 227 pour plus de détails sur
les réglages vidéo MPEG-4 Partie 2.
Si vous ne souhaitez pas modifier d’autres attributs, le réglage MPEG-4 peut être attribué tel quel à un fichier multimédia source selon la méthode habituelle. Consultez
la section « Préparation de Compressor au transcodage » à la page 32 pour plus d’informations. Sinon, passez à l’étape suivante pour modifier les paramètres audio MPEG-4.
Spécifiez le débit en introduisant
une valeur dans le champ
Débit ou en déplaçant le curseur
de défilement.Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4 233
Étape 2 : Personnalisation des paramètres audio MPEG-4
1 Cliquez sur le bouton Audio pour ouvrir la sous-fenêtre correspondante.
2 Ajustez les paramètres audio MPEG-4 à l’aide des contrôles disponibles.
Remarque : assurez-vous que la case Audio activé est cochée.
Consultez la section « Sous-fenêtre Audio » à la page 228 pour plus de détails sur
les réglages audio MPEG-4 Partie 2.
Si vous ne souhaitez pas modifier d’autres attributs, le réglage MPEG-4 peut être
attribué tel quel à un fichier multimédia source selon la méthode habituelle. Consultez
la section « Préparation de Compressor au transcodage » à la page 32 pour plus d’informations. Sinon, passez à l’étape suivante pour modifier les paramètres du flux vidéo.
Étape 3 : Modification des paramètres du flux vidéo MPEG-4
1 Cliquez sur le bouton Diffusion pour ouvrir la sous-fenêtre correspondante.
2 Cochez la case « Compatibilité QuickTime Streaming Server (pré-4.1) » si vous prévoyez
de distribuer vos fichiers via une version de QuickTime Streaming Server antérieure à la
version 4.1.
3 Saisissez de nouvelles valeurs dans les champs Taille maximum de paquet et Durée
maximum de paquet, et assurez-vous que la case « Optimisation de diffusion activée »
est cochée.
Spécifiez le débit en introduisant une valeur dans le champ
Débit ou en déplaçant le curseur de défilement.234 Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4
4 Consultez la section « Sous-fenêtre Diffusion » à la page 229 pour plus de détails sur
les réglages vidéo MPEG-4 Partie 2.
Processus de podcasting audio
Compressor facilite la création de podcasts audio évolués reposant sur le format de sortie MPEG-4. Un podcast audio évolué comprend des informations de podcasting telles
que des marqueurs de chapitre ou de podcast accompagnés d’illustrations et d’URL,
ainsi que diverses annotations textuelles.
Étape 1 : Configurez la sortie MPEG-4 pour une sortie audio uniquement
1 Dans la fenêtre Inspecteur, cliquez sur la sous-fenêtre Encodeur et choisissez MPEG-4
dans le menu local « Format de fichier ».
2 Cliquez sur le bouton Vidéo pour ouvrir la sous-fenêtre correspondante.
3 Désélectionnez la case Vidéo activée.
4 Cliquez sur le bouton Audio pour ouvrir la sous-fenêtre correspondante.
5 Sélectionnez la case Audio activé.
La sortie MPEG-4 est alors configurée pour l’audio uniquement. Vous pouvez également configurer d’autres réglages dans la fenêtre Audio si nécessaire.
Étape 2 : Configurez la sortie MPEG-4 pour qu’elle comprenne des informations
de podcasting
1 Activez la case « Autoriser les informations de podcasting » en bas de la fenêtre
Inspecteur.
Cette case est disponible uniquement si vous avez désélectionné l’option Vidéo activée dans la fenêtre Vidéo. L’activation de cette case garantit que toutes les annotations
et tous les marqueurs de chapitre et de podcast, ainsi que les illustrations et les URL,
sont incorporés au fichier multimédia de sortie.
Désactivez cette case
pour activer la case
« Autoriser les informations de podcasting ».
Activez cette case pour
inclure les informations
de podcasting dans
le fichier multimédia
de sortie.Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4 235
2 Enregistrez ce réglage pour pouvoir l’appliquer à la cible d’un fichier multimédia
source.
Étape 3 : Appliquez le réglage à la cible du fichier multimédia source
Vous devez appliquer le réglage à la cible d’un fichier multimédia source pour pouvoir
configurer les informations de podcasting que ce réglage vous permet d’ajouter au
fichier multimédia de sortie. Consultez la section « Affectation de réglages à des fichiers multimédia sources » à la page 110 pour plus d’informations.
Étape 4 : Saisissez les annotations destinées au fichier multimédia de sortie
1 Cliquez sur une zone non cible de la tâche créée par le fichier multimédia source.
La fenêtre Inspecteur affiche les onglets Attributs A/N et Informations complémentaires.
2 Cliquez sur l’onglet Informations complémentaires.
3 L’onglet Informations complémentaires vous permet d’ajouter des annotations,
telles que le titre ou le nom de l’artiste, au fichier multimédia de sortie.
4 Choisissez dans le menu local d’ajout d’annotations un élément à ajouter au fichier
multimédia de sortie.
L’élément sélectionné apparaît dans la colonne Annotation.
5 Double-cliquez sur la colonne Valeur de l’élément pour saisir le texte de l’annotation.
6 Répétez cette procédure pour chaque élément d’annotation à ajouter au fichier multimédia de sortie.
7 Cliquez sur Enregistrer.
Consultez la section « Utilisation de l’Inspecteur avec des fichiers multimédia sources »
à la page 87 pour plus d’informations.
Choisissez des éléments
dans ce menu local pour
les inclure comme annotations dans le fichier
multimédia de sortie.
Cliquez sur Enregistrer une
fois les annotations ajoutées.236 Chapitre 16 Création de fichiers de sortie MPEG-4
Étape 5 : Créez et configurez les marqueurs du fichier multimédia de sortie
Vous pouvez utiliser la fenêtre Preview pour ajouter et configurer des marqueurs de
chapitre et de podcast destinés au fichier multimédia de sortie. Vous pouvez ajouter
manuellement les marqueurs ou importer une liste de marqueurs de chapitre. Chaque
marqueur de chapitre et de podcast peut porter un nom, être associé à une URL ou
recevoir une image ajoutée comme illustration.
Lors de la lecture du fichier, l’illustration est affichée avec l’URL (sur laquelle l’utilisateur
peut cliquer pour l’ouvrir dans un navigateur web).
Consultez la section « Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317 pour obtenir des
détails sur l’ajout et la configuration de marqueurs dans la fenêtre Preview.
Étape 6 : Soumettez la tâche et vérifiez le fichier multimédia de sortie
Une fois que vous avez ajouté les annotations et les marqueurs au fichier, vous pouvez
le soumettre pour créer le fichier multimédia de sortie.
Une fois le processus d’encodage terminé, vous pouvez ouvrir le fichier multimédia de
sortie dans le lecteur QuickTime pour vérifier que les marqueurs, les URL et les illustrations s’affichent comme prévu.
Ajout de réglages et préréglages supplémentaires
Bien que le réglage du format de sortie constitue la partie la plus importante du processus de Compressor, vous pouvez également ajouter d’autres réglages et préréglages, tels que les filtres, le rognage, la taille des images, les actions et les destinations.
Pour plus d’instructions sur la manière d’ajouter ces paramètres, consultez les chapitres suivants :
 chapitre 19, « Ajout de filtres à un réglage », à la page 257
 chapitre 20, « Ajout de contrôles d’images à un réglage », à la page 273
 chapitre 21, « Ajout de réglages de géométrie », à la page 287
 chapitre 22, « Ajout d’actions à un réglage », à la page 297
 chapitre 24, « Création et changement de destinations », à la page 32517
237
17 Création de fichiers de sortie
QuickTime
Compressor fournit les outils nécessaires pour créer des
fichiers multimédia QuickTime.
QuickTime est une technologie multimédia multiplateforme, qui permet aux applications Mac OS de capturer et de lire des fichiers vidéo et audio, ainsi que des fichiers
d’images fixes. QuickTime prend en charge un large éventail de codecs et peut aussi
être mis à niveau pour accepter des options de codec supplémentaires, ainsi que des
codecs tiers. Consultez la section « Création de fichiers de sortie d’exportation
QuickTime » à la page 253 pour plus d’informations sur les options d’exportation
QuickTime supplémentaires.
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 Création de fichiers de sortie QuickTime (p. 237)
 À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder QuickTime (p. 238)
 Flux de production de transcodage QuickTime (p. 246)
 Compréhension des codecs (p. 250)
 Codecs vidéo QuickTime (p. 250)
 Codecs audio QuickTime (p. 251)
Création de fichiers de sortie QuickTime
QuickTime est une norme ouverte intégrant de nombreux codecs et constitue à la fois
une architecture multimédia et une architecture de diffusion de contenu largement utilisée pour la création et la distribution. Par exemple, beaucoup d’applications de composition et de montage vidéo utilisent QuickTime comme format de base, et la plupart des
créateurs de titres créent le contenu de leurs CD-ROM au format QuickTime. QuickTime
contient un grand nombre de codecs audio et vidéo appropriés à toutes les situations,
des flux vidéo aux DVD. L’architecture QuickTime peut aussi manipuler des formats de
fichier autres que les séquences QuickTime, par exemple les fichiers AVI et les flux 3G.
Pour plus d’informations sur la création de ces types de format, consultez le chapitre 18,
« Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime », à la page 253.238 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime
À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder QuickTime
Les options suivantes apparaissent lorsque vous choisissez Séquence QuickTime dans
le menu local « Format de fichier » :
 Champ Extension de fichier : indique l’extension de fichier pour ce format de fichier de
sortie. L’extension de fichier .mov représente le format QuickTime. Il est conseillé de ne
pas modifier ce champ.
Fichiers multimédia QuickTime pour le web
Vous pouvez transmettre en continu vos fichiers multimédia de sortie sur Internet à
l’aide de QuickTime, après leur compression à un débit approprié à la bande passante
supposée des utilisateurs. Pour cela, convertissez vos fichiers multimédia de sortie soit
en séquences QuickTime à lancement rapide (téléchargement placé d’avance en
mémoire tampon), soit en séquences QuickTime Streaming (téléchargement complet).
Compressor vous permet de choisir différentes options de diffusion en continu via
le menu local Diffusion dans la sous-fenêtre Encodeur QuickTime. Consultez la section du menu local Diffusion pour plus d’informations sur la diffusion en continu de
fichiers multimédia QuickTime sur Internet.
Tableau Résumé
Champ Extension
de fichier
Bouton Options (inactif)
Menu local
DiffusionChapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime 239
 Autoriser la segmentation de la tâche : cette case permet de désactiver la segmentation
des tâches. Elle n’est importante que si vous utilisez Compressor avec le traitement
distribué et avec l’encodage à deux passes ou multipasse. (La fonctionnalité de traitement distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels est installé Final Cut Studio.)
Pour plus d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2
passes (ou multipasse) » à la page 64.
 Réglages vidéo et Réglages audio : ces boutons ouvrent respectivement les zones de
dialogue Réglages de compression et Réglages audio de QuickTime. Utilisez ces zones
de dialogue pour sélectionner les codecs appropriés et modifier les autres paramètres
de compression audio ou vidéo. Consultez les sections « À propos de la zone de dialogue Réglages audio » à la page 244 et « À propos de la zone de dialogue Réglages
de compression » à la page 242 pour plus d’informations sur ces zones de dialogue.
 Passthrough activé/désactivé : utilisez ces menus locaux pour activer ou désactiver
les réglages Vidéo et Audio. Activé signifie que la piste vidéo ou audio sera incluse
dans la séquence de sortie. Désactivé signifie que la piste vidéo ou audio sera exclue
de la séquence de sortie. Passthrough (audio uniquement) signifie que Compressor
va copier les données audio dans la séquence de sortie sans les modifier. Un exemple évocateur serait celui où vous devez convertir des fichiers HD (haute définition)
incluant plusieurs pistes audio en fichiers SD (définition standard) sans pour autant
déranger les pistes audio.
Remarque : si vous exportez une séquence filmée de Final Cut Pro à Compressor
(par les menus Fichier > Exporter > Via Compressor) et que vous appliquiez
un réglage avec l’option Passthrough activée, la partie audio du réglage se change
bien alors en réglage PCM en fonction de celui de la séquence et du nombre de
canaux, mais une seule piste est alors créée au moment de l’exportation de sortie. Si
la fonction de passthrough audio est nécessaire pour une séquence filmée
Final Cut Pro, exportez une séquence QuickTime (menus Fichier > Exporter >
Séquence QuickTime), puis importer la séquence dans Compressor.
Important : si « Passthrough » est sélectionné, les filtres de la sous-fenêtre Filtre ne
sont pas disponibles. De plus, les contrôles de resynchronisation de la sous-fenêtre
« Contrôles d’image » ne corrigerons pas l’audio, ce qui peut provoquer des erreurs
de synchronisation de la vidéo.240 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime
 Diffusion : choisissez l’une des options de diffusion QuickTime suivantes dans ce
menu local :
 Aucune : si vous choisissez cette option (sélectionnée par défaut), votre fichier multimédia de sortie ne sera pas diffusé en continu sur Internet.
 Lancement rapide : grâce à cette option, votre fichier multimédia de sortie peut être
visualisé avant même qu’il ne soit complètement téléchargé depuis son serveur.
 Lancement rapide - En-tête comprimé : cette option produit le même résultat que
Lancement rapide (visualisation de votre fichier multimédia de sortie avant même
qu’il ne soit complètement téléchargé depuis le serveur), mais les fichiers multimé-
dia de sortie sont moins volumineux.
 Diffusion optimisée : cette option permet d’ajouter des pistes d’indices au fichier
multimédia de sortie, afin qu’il puisse être utilisé avec un serveur QuickTime
Streaming Server.
 Bouton Options : ce bouton reste inactif tant que l’option Diffusion optimisée n’est
pas sélectionnée dans le menu local Diffusion. Lorsque vous cliquez sur ce bouton,
la zone de dialogue Réglage d’exportation d’indications de QuickTime s’ouvre,
vous permettant de choisir des réglages supplémentaires pour les algorithmes
d’optimisation de votre flux de données.
 Tableau Résumé : affiche des détails complets pour ce réglage.
Marqueurs de chapitre et de podcast pour la sortie au format
QuickTime
Les marqueurs de chapitre de Final Cut Pro sont transférés dans d’autres fichiers
de sortie reconnaissables par QuickTime Player, iTunes (fichiers .m4v), Final Cut Pro
et DVD Studio Pro. Pour des informations sur l’ajout de marqueurs de chapitre et
de podcast, consultez la section « Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317.Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime 241
Réglages vidéo et audio QuickTime
Les boutons Réglages vidéo et Réglages audio de QuickTime apparaissent dans
la sous-fenêtre Encodeur si vous sélectionnez Séquence QuickTime comme format de
fichier de sortie. Le bouton Réglages audio apparaît également si vous choisissez AIFF
dans le menu local « Format de fichier ». Ces boutons vous permettent d’ouvrir les
zones de dialogue Réglages de compression et Réglages Audio, dans lesquelles vous
pouvez modifier l’ensemble des codecs vidéo ou audio que vous souhaitez ajouter au
réglage sélectionné sous l’onglet Réglages.
Par défaut, les boutons Réglages vidéo et Réglages audio sont actifs, mais vous pouvez les désactiver en décochant leur case respective.
Paramètres des codecs vidéo
 Pour plus d’informations sur le mode de personnalisation des paramètres des
codecs vidéo, consultez l’étape 2 de la section « Ajout d’un codec vidéo QuickTime
à un réglage » à la page 247.
 Tous les codecs sont compatibles avec QuickTime, mais il est conseillé d’utiliser
ceux indiqués ci-dessous si vous avez l’intention de lire votre fichier de sortie avec
le lecteur QuickTime :
 H.264
 Photo-JPEG
Paramètres des codecs audio
 Pour plus d’informations sur le mode de personnalisation des paramètres des
codecs audio, consultez l’étape 3 de la section « Ajout d’un codec audio QuickTime
à un réglage » à la page 249.
 Tous les codecs sont compatibles avec QuickTime, mais il est conseillé d’utiliser
ceux indiqués ci-dessous si vous avez l’intention de lire votre fichier multimédia de
sortie avec le lecteur QuickTime :
 AAC
 IMA 4:1
Consultez la section « Codecs audio QuickTime » à la page 251 pour plus d’informations sur les codecs audio.242 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime
À propos de la zone de dialogue Réglages de compression
Utilisez la zone de dialogue « Réglages de compression » pour modifier les paramètres
des codecs vidéo du format de sortie QuickTime. Pour ouvrir la zone de dialogue
« Réglages de compression », cliquez sur le bouton Réglages vidéo dans la sous-fenê-
tre Encodeur QuickTime.
Les éventuels réglages qui ne peuvent pas être modifiés restent inactifs. Certains codecs
vidéo, comme Sorenson Video 3 et Photo-JPEG, vous permettent d’effectuer des réglages supplémentaires. Dans ce cas, le bouton Options deviendrait actif. Cliquez dessus
pour procéder à des ajustements auxiliaires.
La zone de dialogue Réglages de compression contient les éléments suivants, en
fonction du codec que vous choisissez dans le menu local « Type de compression » :
 Type de compression : utilisez ce menu local pour choisir le codec vidéo à ajouter
à votre préréglage.
 Fréquence : avec ce menu local, vous pouvez réduire la fréquence d’images de votre
fichier original afin de réduire la taille du fichier compressé. En effet, des fréquences
d’images élevées rendent les mouvements plus réguliers, mais requièrent une bande
passante plus large. Utilisez le menu local Fréquence pour choisir une autre fré-
quence d’images, mais sachez que pour obtenir des résultats optimaux, la valeur
de fréquence d’images du fichier original doit être divisible par la nouvelle valeur.
Par exemple, si votre fichier original avait une fréquence d’images égale à 30 images
par seconde, vous devriez utiliser une fréquence d’images de 10 ou de 15 images
par seconde. Le choix d’une fréquence égale ou à peu près égale à 24 images par
seconde entraînerait un mouvement irrégulier, voire des images effacées, car 30
n’est pas exactement divisible par 24. Choisissez parmi les options suivantes : 8, 10,
12, 15, 23.98, 24, 25, 29.97, 30, 59.94, 60 ips, ou choisissez Personnalisé afin de saisir
une valeur manuellement.
Choisissez une
fréquence d’images
dans ce menu local.
Cliquez sur le bouton
Options pour accéder à
des réglages de configuration supplémentaires.
Sélectionnez un type
de compression
dans ce menu local.Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime 243
 Images clés : si le codec que vous avez sélectionné le permet, utilisez le champ
« Images clés Tous les » pour saisir le nombre d’images souhaité entre deux images
clés. Les codecs qui reposent sur une méthode de compression temporelle utilisent
des images clés. Celles-ci servent d’images de référence pour la séquence d’images
suivante, ce qui permet de supprimer n’importe quelle donnée redondante entre
l’image clé et les images suivantes. Les images clés sont séparées par des images
delta moins détaillées. L’insertion d’images clés dans votre fichier multimédia est
nécessaire à cause des variations de contenu. Certains codecs vidéo permettent
d’insérer une image clé toutes les X images, alors que d’autres utilisent des images
clés naturelles en analysant la totalité du fichier pour rechercher des similarités et
différences importantes, puis en insérant des images clés en fonction des résultats
obtenus.
Si votre fichier multimédia comporte beaucoup de mouvements, vous devez insérer
des images clés plus souvent que vous ne le feriez avec un contenu plus statique,
comme une séquence montrant un présentateur.
 Menu local Profondeur : utilisez le menu local Profondeur pour définir le réglage de
la couleur. Par exemple, si une séquence QuickTime est composée de millions ou de
centaines de couleurs et que l’ordinateur de lecture n’est capable d’afficher que 256
couleurs, ce paramètre est nécessaire pour résoudre cette différence de couleur.
Les options proposées par ce menu local changent en fonction du codec vidéo sélectionné dans le menu local « Type de compression ». Par exemple, si vous choisissez le
codec PNG, vous pouvez faire votre choix parmi une sélection allant des gris à plusieurs millions de couleurs, tandis que le codec Photo-JPEG ne vous permet de choisir qu’entre la couleur et une échelle de gris.
Image clé
Images delta
Image clé244 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime
 Curseur Qualité : utilisez ce curseur pour modifier la qualité générale de l’image
de votre fichier traité. Il s’agit d’un paramètre subjectif qui permet d’améliorer la
qualité en réduisant la bande passante et inversement, et confère la même qualité
à l’ensemble du fichier multimédia. Une qualité minimum signifie que les fichiers
de sortie requièrent une bande passante plus étroite et qu’ils sont diffusés plus
rapidement. Les paramètres disponibles sont Inférieure, Basse, Moyenne, Élevée
et Optimale. Vous pouvez également positionner ce curseur entre l’un de ces paramètres pour obtenir un débit plus spécifique (affiché numériquement).
 Bouton Options : ce bouton est estompé, sauf si le codec sélectionné dans le menu
local « Type de compression » propose des options. Il est conseillé de contacter directement les fabricants de ces codecs pour obtenir plus d’informations sur les options
supplémentaires offertes.
 Débit : utilisez ce champ pour définir le nombre de kilo-octets par seconde (Ko/s)
requis pour diffuser votre fichier multimédia. Ce réglage est utile si vous utilisez un
débit spécifique (tel qu’une connexion DSL) ou une quantité d’espace spécifique (sur
un DVD ou un CD-ROM). Vous devriez choisir un débit approprié pour une diffusion
moyenne et, dans la mesure du possible, le configurer au maximum dans les limites
de vos données. Ce paramètre est prioritaire sur tous les autres paramètres de qualité du codec, car ce dernier compresse le fichier autant que possible, conformément
au débit limite introduit.
N’oubliez pas que le débit ne concerne que la piste vidéo de votre fichier multimé-
dia. Si votre fichier multimédia possède également des données audio, vous devez
aussi en tenir compte.
À propos de la zone de dialogue Réglages audio
Utilisez la zone de dialogue Réglages audio pour modifier les réglages de compression
audio des formats de sortie QuickTime ou AIFF. Pour ouvrir cette zone de dialogue,
cliquez sur le bouton Réglages audio dans la sous-fenêtre Séquence QuickTime ou
Encodeur AIFF.Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime 245
Les éventuels réglages audio qui ne peuvent pas être modifiés restent inactifs. Certains
codecs audio, comme Qualcomm PureVoice et QDesign Music 2, vous permettent
d’effectuer des réglages supplémentaires. Dans ce cas, le bouton Options deviendrait
actif. Cliquez dessus pour procéder à des ajustements auxiliaires.
La zone de dialogue Réglages audio contient les éléments suivants, avec différents
choix pour chacun, en fonction du codec audio que vous choisissez dans le menu local
Format.
 Format : choisissez le codec audio à ajouter à votre réglage.
 Canaux : choisissez le type de sortie de canal, par exemple mono, stéréo ou un type
de sortie multicanal, en fonction du codec.
 Fréquence : choisissez le taux d’échantillonnage à appliquer à votre fichier multimé-
dia. Plus le taux d’échantillonnage est important, meilleure est la qualité, mais plus
le fichier est volumineux. Or, le téléchargement de fichiers volumineux est plus long
et requiert une bande passante plus large.
 Options : ce bouton demeure estompé, sauf si le codec sélectionné dans le menu
local Format propose des options. Il est conseillé de contacter directement les fabricants de ces codecs pour obtenir plus d’informations sur les options supplémentaires offertes.
Menu local Format
Champ et menu
local Fréquence
Bouton Options (inactif)246 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime
Tailles et fréquences d’échantillonnage audio QuickTime
Si vous disposez de l’espace disque et de la bande passante suffisants, il est préférable
de ne pas compresser les données audio. Une composante audio non compressée
utilise normalement des échantillons sur 8 bits (qualité téléphone) ou sur 16 bits
(qualité CD). Compressor prend en charge un maximum de 64 bits par échantillon en
virgule flottante et une fréquence d’échantillonnage maximale de 192 kHz.
Choix d’un codec audio
AAC est un bon codec de diffusion audio polyvalent, compatible avec un large éventail
de périphériques de lecture. Pour de faibles bandes passantes sur des ordinateurs rapides, le codec QDesign Music (QDMC) est approprié à la plupart des cas, tandis que
le codec Qualcomm PureVoice est le meilleur choix pour les contenus exclusivement
vocaux. Concernant les ordinateurs plus lents, les CD-ROM et les bornes interactives,
le codec IMA est une meilleure option, car il fait moins appel aux ressources de l’ordinateur, ce qui permet à ce dernier de se focaliser sur le flux vidéo, plus exigeant. Consultez la section « Codecs audio QuickTime » à la page 251 pour plus d’informations sur
les codecs audio.
Flux de production de transcodage QuickTime
Les étapes suivantes présentent le processus de transcodage nécessaire à la création
de fichiers multimédia de sortie QuickTime :
Étape 1 : Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur QuickTime
Il existe une multitude de codecs vidéo et audio QuickTime parmi lesquels vous pouvez choisir dans Compressor. Ceux-ci sont accessibles par l’intermédiaire des zones de
dialogue Réglages de compression et Réglages audio, que vous ouvrez à partir de
la sous-fenêtre Encodeur QuickTime en cliquant sur les boutons Réglages vidéo et
Réglages audio.
1 Dans l’onglet Réglages, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Assurez-vous que le réglage correct est sélectionné.
 Créez un réglage en choisissant Séquence QuickTime dans le menu local « Créer
un réglage » (+).Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime 247
2 Ouvrez la sous-fenêtre Encodeur dans la fenêtre Inspecteur.
La sous-fenêtre Encodeur QuickTime s’affiche par défaut, avec les boutons Réglages
vidéo et Réglages audio, les menus locaux Activer, le menu local Diffusion, le bouton
Options (inactif) et le tableau Résumé. Consultez la section « À propos de la sousfenêtre AIFF Encoder QuickTime » à la page 238 pour plus d’informations.
Remarque : assurez-vous que les menus locaux Activer en regard des boutons Réglages sont réglés sur Activer si vous souhaitez inclure ces réglages dans le transcodage.
Étape 2 : Ajout d’un codec vidéo QuickTime à un réglage
Pour ajouter un codec vidéo QuickTime à votre réglage, ouvrez la zone de dialogue
« Réglages de compression », puis choisissez un codec vidéo dans le menu local « Type
de compression ».
Remarque : si vous avez l’intention de n’utiliser aucun réglage vidéo, décochez la case
Activer à côté du bouton Réglages vidéo.248 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime
1 Cliquez sur le bouton Réglages vidéo dans la sous-fenêtre Encodeur QuickTime.
La zone de dialogue « Réglages de compression » s’ouvre.
2 Choisissez un codec vidéo dans le menu local « Type de compression », puis acceptez
ses réglages par défaut ou personnalisez les autres réglages (le mouvement, le mode
d’encodage, la qualité, la profondeur et, si possible, les options). Consultez les sections
ci-dessous pour de plus amples informations sur les codecs vidéo :
 « Paramètres des codecs vidéo » à la page 241
 « À propos de la zone de dialogue Réglages de compression » à la page 242
 « Codecs vidéo QuickTime » à la page 250
Remarque : vous pouvez voir le contenu actuel du réglage en affichant le tableau
Résumé.
3 Cliquez sur OK pour enregistrer les modifications et fermer la zone de dialogue.
Choisissez un codec
vidéo dans le menu local
« Type de compression ».Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime 249
Étape 3 : Ajout d’un codec audio QuickTime à un réglage
Si vous souhaitez ajouter un codec audio à votre réglage, ouvrez la zone de dialogue
Réglages audio, puis choisissez vos paramètres de codec audio.
Remarque : si vous avez l’intention de n’utiliser aucun paramètre audio, décochez la
case Activer à côté du bouton Réglages audio.
1 Cliquez sur le bouton Réglages audio dans la sous-fenêtre Encodeur QuickTime.
La zone de dialogue Réglages audio s’ouvre.
2 Choisissez un codec audio dans le menu local Format, puis acceptez ses paramètres par
défaut ou personnalisez les autres réglages du codec audio (le format, les canaux, la fré-
quence d’échantillonnage et, si possible, les options).
Consultez les sections ci-dessous pour de plus amples informations sur les codecs audio :
 « Paramètres des codecs audio » à la page 241
 « À propos de la zone de dialogue Réglages audio » à la page 244
 « Codecs audio QuickTime » à la page 251
Remarque : vous pouvez voir le détail du contenu actuel du réglage en affichant
le tableau Résumé.
3 Cliquez sur OK pour enregistrer vos réglages et fermer la zone de dialogue.
Choisissez un codec audio
dans le menu local Format.250 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime
Compréhension des codecs
Codec est issu de la contraction de compresseur (CO) et de décompresseur (DEC).
Différents codecs sont utilisés en fonction des différentes méthodes de lecture
(comme le web ou les CD-ROM). Vous pouvez choisir le codec approprié dès que vous
connaissez la méthode de lecture de votre audience cible. Pour savoir quel codec
répond le mieux à vos besoins, vous devez choisir le niveau de compression nécessaire
selon le débit limite et le niveau de qualité souhaités.
Les sections suivantes vous expliquent comment faire votre choix entre un codec audio
et un codec vidéo.
Codecs vidéo QuickTime
Chaque codec présente des avantages et des inconvénients. Certains sont plus adaptés au stockage de certains types de média, d’autres introduisent plus d’artefacts.
Certains compressent lentement et décompressent rapidement, tandis que d’autres
compressent et décompressent à la même vitesse. Certains codecs peuvent compresser un fichier à 1/100e de sa taille originale, alors que d’autres ne réduisent la taille d’un
fichier que très peu. Certains codecs ne fonctionnent qu’avec des systèmes d’exploitation donnés, d’autres requièrent un processeur particulier ou une version minimum de
QuickTime pour la lecture.
Lors du choix d’un codec, vous devez prendre en compte les points suivants :
 la configuration minimum du système de votre audience cible,
 le matériel source,
 la qualité du fichier multimédia compressé,
 la taille du fichier multimédia compressé,
Ajout de réglages et préréglages supplémentaires
Bien que le réglage du format de sortie constitue la partie la plus importante du
flux de production de Compressor, vous pouvez également ajouter d’autres réglages
et préréglages, tels que les filtres, le rognage, la taille des images, les actions et
les destinations. Pour plus d’instructions sur la manière d’ajouter ces paramètres,
consultez les chapitres suivants :
 chapitre 19, « Ajout de filtres à un réglage », à la page 257
 chapitre 20, « Ajout de contrôles d’images à un réglage », à la page 273
 chapitre 21, « Ajout de réglages de géométrie », à la page 287
 chapitre 22, « Ajout d’actions à un réglage », à la page 297
 chapitre 24, « Création et changement de destinations », à la page 325Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime 251
 la durée de compression/décompression du fichier multimédia,
 la diffusion ou non du fichier multimédia en continu.
Compressor est livré avec les codecs vidéo standard offerts par QuickTime et les options
de codec supplémentaires livrées avec QuickTime Pro. À moins d’être sûr que les ordinateurs de votre public cible sont équipés d’un codec particulier, utilisez l’un des codecs
QuickTime standard afin de garantir une compatibilité globale.
Remarque : consultez la documentation sur QuickTime pour plus d’informations sur
le choix des codec vidéo et la façon de tirer au mieux parti de leurs paramètres.
Les codecs vidéo peuvent être divisés en deux types : les codecs sans perte et
les codecs avec perte.
 Codecs sans perte : les codecs sans perte préservent intégralement les données qu’ils
compressent et sont généralement utilisés pour transférer un métrage d’une suite
d’édition à une autre. Ce type de codec peut nécessiter d’importants débits et des
ordinateurs de pointe équipés d’un matériel spécialisé. Les codecs Animation et 4:4:2
non compressés 8 bits et 10 bits sont des exemples de codecs sans perte.
 Codecs avec perte : contrairement aux codecs sans perte, les codecs avec perte ne
renvoient qu’une approximation des données et sont généralement utilisés pour
transmettre de la vidéo finalisée à un utilisateur final. Le niveau d’approximation
dépend de la qualité du codec. Généralement, il existe un compromis entre la qualité
de sortie du codec et le niveau de compression auquel il parvient. Avec certains
codecs, il est possible d’atteindre un taux de compression d’au moins 5:1 sans dégradation visible. Le codec Photo-JPEG est un exemple de codec avec perte.
Une compression avec perte de faible qualité introduit des artefacts visuels non naturels qui peuvent être visibles à l’œil nu. Si vous utilisez un codec avec perte, il est conseillé de ne compresser votre fichier multimédia qu’une seule fois, car le fait de
comprimer un fichier plusieurs fois multiplierait les défauts.
Codecs audio QuickTime
Si vous disposez de l’espace disque et de la bande passante suffisants, la meilleure
chose à faire est de ne pas compresser les données audio. Les données audio non compressées utilisent normalement des échantillons 8 bits (qualité téléphone) ou 16 bits
(qualité CD). Compressor prend en charge un maximum de 64 bits par échantillon en
virgule flottante et une fréquence d’échantillonnage maximale de 192 kHz. À l’inverse,
si l’espace disque et la bande passante dont vous disposez sont limités, la compression
des données audio est nécessaire. Toutefois, comme les données audio d’un fichier
multimédia occupent moins d’espace disque que les données vidéo, il n’est pas indispensable de les compresser autant.252 Chapitre 17 Création de fichiers de sortie QuickTime
Les principaux composants des codecs audio sont leur taille et leur taux d’échantillonnage. Le taux d’échantillonnage définit la qualité du son, tandis que la taille d’échantillonnage définit sa dynamique. Les codecs audio QuickTime permettent de définir
le taux d’échantillonnage et la dynamique de votre fichier multimédia source.
Taux d’échantillonnage audio
Le son numérique consiste en différents échantillons sonores capturés à différentes
fréquences. Plus il y a d’échantillons par seconde, plus la qualité du son est bonne.
Par exemple, les CD audio utilisent un taux d’échantillonnage de 44,1 kHz, les DVD en
utilisent un de 48 kHz et les réseaux téléphoniques échantillonnent la voix à 8 kHz.
Le taux d’échantillonnage que vous allez choisir dépend de la nature du son. En effet,
la musique requiert un taux d’échantillonnage supérieur à celui de la voix, car sa bande
de fréquences est beaucoup plus large. Étant donné que la bande de fréquences
de la voix est beaucoup plus limitée, vous pouvez choisir un taux d’échantillonnage
plus bas tout en maintenant une qualité audio acceptable. Dans la plupart des cas,
il est recommandé de toujours choisir le taux d’échantillonnage le plus élevé parmi
ceux disponibles.
La réduction du taux d’échantillonnage peut réduire la taille d’un fichier multimédia
dans un rapport de 5:1. La qualité audio en sera affectée, mais pas autant que si vous
utilisiez un échantillonnage sur 8 bits. Le tableau suivant indique des taux d’échantillonnage habituels et pour chacun, la qualité audio équivalente attendue :
Taille d’échantillonnage audio
La taille d’échantillonnage détermine la plage dynamique du son. Un son 8 bits fournit
256 valeurs possibles, tandis qu’un son 16 bits autorise plus de 65 000 valeurs.
Choisissez un son 16 bits pour de la musique avec des sections hautes et modérées,
comme de la musique orchestrale. Pour la voix ou la musique avec un niveau sonore
plus ou moins constant, un son 8 bits devrait fournir de bons résultats.
Si vous avez besoin de diminuer la taille de votre fichier multimédia, vous pouvez
réduire la taille d’échantillonnage de 16 bits à 8 bits. Cela permet de diviser la taille du
fichier par deux, mais dégrade également la qualité audio.
Taux d’échantillonnage Qualité audio équivalente
48 kHz DAT/DV/DVD
44 kHz CD
22 kHz Radio FM
8 kHz Téléphone18
253
18 Création de fichiers de sortie
d’exportation QuickTime
Vous pouvez utiliser Compressor pour produire une grande
variété de formats supplémentaires à l’aide de la fonction de
module du composant QuickTime.
Le présent chapitre décrit comment profiter fonction de module du composant
QuickTime qui donne accès à une grande variété de formats de fichier supplémentaires que Compressor peut produire à partir de vos fichiers multimédia sources :
 Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime (p. 253)
 Installation des modules de composant d’exportation QuickTime (p. 254)
 À propos du module iPod (p. 254)
 À propos de la sous-fenêtre Encodeur Composants d’exportation au format
QuickTime (p. 255)
 Configuration des réglages de composant d’exportation (p. 256)
Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime
Compressor et QuickTime peuvent également être étendus afin de prendre en charge
des options de codec et formats tiers supplémentaires. Cette section se concentre sur la
fonctionnalité de module de composant QuickTime, qui vous permet d’exporter des formats de fichier exotiques pouvant être lus sur des périphériques et systèmes d’exploitation tiers, tels que les téléphones portables. Contrairement aux séquences QuickTime,
ces fichiers exportés ne peuvent pas être lus par QuickTime Player ou d’autres applications QuickTime. Pour plus d’informations sur le format de fichier de séquence QuickTime
natif, consultez la section « Création de fichiers de sortie QuickTime » à la page 237.254 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime
Par le passé, la création de ces types de fichier nécessitait plusieurs étapes et plusieurs
systèmes d’exploitation : l’exportation du fichier, son déplacement vers un ordinateur
sur une autre plate-forme, puis l’encodage à l’aide d’une autre application logicielle.
La fonctionnalité Composants d’exportation QuickTime vous permet de contrôler
le moteur d’encodage tiers sans avoir à ouvrir une autre application. Cela permet
de rationaliser le flux de production tout en vous permettant de gagner du temps
et d’éviter de travailler avec plusieurs systèmes d’exploitation et logiciels.
Installation des modules de composant d’exportation
QuickTime
Sans aucun logiciel tiers supplémentaire, Compressor prend actuellement en
charge l’encodage 3G, AVI et iPod. La fonctionnalité de composant d’exportation de
Compressor a été développée pour permettre l’ajout de modules d’exportation supplé-
mentaires dans le futur. Il suffira d’installer le logiciel tiers, puis de choisir le format de
fichier de sortie correspondant dans le menu local « Type d’encodeur » de la sous-fenê-
tre Encodeur Composants d’exportation au format QuickTime de la fenêtre Inspecteur.
Pour en savoir plus sur les modules et mises à jour disponibles, consultez le site web
de support de Compressor : http://www.apple.com/fr/support/compressor.
À propos du module iPod
Le format « Composants d’exportation au format QuickTime » comporte un type
d’encodeur pour iPod. Cet encodeur crée un fichier de sortie qui peut être lu sur un iPod
à l’aide d’un Encodeur H.264 pour la vidéo et un encodeur AAC pour l’audio. Tous les
réglages (dimension de l’image, fréquence d’images, etc.) sont définis automatiquement.
Les inconvénients de l’utilisation de ce module (par rapport à l’utilisation du format de
sortie H.264 pour périphériques Apple) sont l’impossibilité de bénéficier du traitement
distribué, d’ajouter des marqueurs de chapitre et d’utiliser la sous-fenêtre Contrôles
d’image.
Consultez le chapitre 10, « Création de fichiers de sortie H.264 pour appareils Apple », à
la page 159 pour en savoir plus sur la création de fichiers de données de sortie iPod.Chapitre 18 Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime 255
À propos de la sous-fenêtre Encodeur Composants
d’exportation au format QuickTime
Les options suivantes apparaissent lorsque vous choisissez le format de sortie
Composants d’exportation au format QuickTime dans le menu local « Format de
fichier » de la sous-fenêtre Encodeur de la fenêtre Inspecteur :
 Extension de fichier : ce champ indique l’extension de fichier pour le format de sortie
sélectionné dans le menu Type d’encodeur.
 Autoriser la segmentation de la tâche : cette case vous permet de désactiver la segmentation de tâche. Étant donné que la segmentation n’est pas utilisée avec le format « Composant d’exportation », cette case n’est pas activée. Pour plus
d’informations, consultez la section « Segmentation de tâche et encodage 2 passes
(ou multipasse) » à la page 64.
 Type d’encodeur : utilisez ce menu local pour choisir parmi les formats de sortie
de composant d’exportation disponibles (modules).
 Options : cliquez sur ce bouton pour ouvrir la fenêtre Réglages pour le format
de fichier de sortie sélectionné dans le menu local « Type d’encodeur ».
Champ Extension
de fichier
Choisissez Composants d’exportation
au format QuickTime.
Cliquez pour afficher les
options du module
d’encodage.
Choisissez un
module d’encodage.256 Chapitre 18 Création de fichiers de sortie d’exportation QuickTime
Configuration des réglages de composant d’exportation
Lorsque vous choisissez « Composants d’exportation au format QuickTime » comme
format de sortie, vous pouvez uniquement créer des réglages pour les modules
d’exportation installés.
Pour créer des réglages « Composants d’exportation au format QuickTime » :
1 Dans l’onglet Réglages, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Assurez-vous que le réglage correct est sélectionné.
 Créez un réglage en choisissant « Composants d’exportation au format QuickTime »
dans le menu local « Créer un réglage » (+).
2 Choisissez un format de fichier de sortie dans le menu local « Type d’encodeur ».
3 Cliquez sur le bouton Options dans la sous-fenêtre Encodeur.
La fenêtre Réglages de ce format de fichier de sortie particulier apparaît.
Important : utilisez l’interface utilisateur du module d’exportation tiers pour saisir de
façon explicite la largeur, la hauteur et la fréquence d’images caractérisant le fichier de
sortie. Ne laissez pas les champs de largeur, de hauteur et de fréquence d’images dans
l’interface utilisateur de tierce partie sur leurs valeurs par défaut (c’est-à-dire leurs
valeurs « actuelles »).
4 Cliquez sur OK pour enregistrer vos réglages et fermer la zone de dialogue.
Remarque : la fonction « Contrôles d’images » de Compressor n’est pas disponible lors
de l’utilisation de la fonction Composants d’exportation au format QuickTime.
Configurez des réglages
pour le composant
d’exportation QuickTime.19
257
19 Ajout de filtres à un réglage
Compressor comprend divers filtres (tels que les filtres d’étalonnage et de suppression de bruit) dont vous pouvez vous
servir pour modifier les détails de vos projets de transcodage.
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 Utilisation des filtres (p. 257)
 À propos de la sous-fenêtre Filtres (p. 260)
 Filtres disponibles (p. 261)
 Ajout de filtres à un réglage (p. 271)
Utilisation des filtres
Vous pouvez traiter votre fichier multimédia source à l’aide de divers filtres avant de
le transcoder, afin de contribuer à l’amélioration de la qualité de sortie de la vidéo et du
son. La meilleure façon d’affecter ces réglages de filtre consiste à regarder, et écouter,
votre fichier multimédia source et à choisir ce qui est le plus approprié en fonction de
son contenu.
Filtres de prévisualisation
Vous pouvez prévisualiser un extrait contenant vos réglages de filtre actuels en cliquant sur la cible dans la fenêtre Lot afin de l’ouvrir dans la fenêtre Preview. L’écran
Preview est divisé en deux parties dans lesquelles sont affichées la version originale et
la version transcodée de votre fichier multimédia, pour que vous puissiez voir et entendre les effets de vos réglages de filtre avant de traiter le lot (à condition que la case correspondant à ce filtre particulier soit sélectionnée).
Cela peut s’avérer utile si vous utilisez plusieurs filtres, car il est parfois difficile de pré-
voir la manière dont les filtres interagissent.
Important : l’ordre des filtres dans la liste de filtres correspond à l’ordre dans lequel ils
sont appliqués à la vidéo ou au son. Essayez de changer l’ordre des filtres si vous voyez
des résultats inattendus dans la fenêtre Preview.258 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage
Lorsque vous êtes satisfait de vos paramètres, il est conseillé de parcourir la totalité du
film afin de vous assurer que les changements ne sont pas trop importants pour certaines scènes.
Remarque : selon votre système, le type de fichier multimédia source et le nombre de
filtres appliqués, il se peut que la fenêtre Preview dans laquelle les réglages de filtres
sont affichés soit actualisée à une fréquence d’images inférieure à celle de la source.
Pour plus d’informations, consultez le chapitre 23, « Utilisation de la fenêtre Preview »,
à la page 303.
Désentrelacement
La vidéo NTSC et la vidéo PAL sont entrelacées, c’est-à-dire que chaque image vidéo
consiste en deux champs (déphasés de 1/60e de seconde), l’un avec les lignes de diffusion impaires et l’autre avec les lignes paires de l’image. La différence entre ces deux
champs crée l’impression de mouvement, car nos yeux combinent ces deux images en
une seule, ce qui permet d’obtenir à 30 images par seconde (en télévision définition
standard) un mouvement régulier et réaliste. De plus, comme le taux de rafraîchissement des champs est élevé (1/60e de seconde), l’entrelacement est invisible.
Les ajustements que
vous faites peuvent être
visualisés dans
la fenêtre Preview.Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage 259
Comme l’entrelacement crée deux trames pour chaque image, les zones d’une trame
où le mouvement est rapide sont séparées par des lignes alternatives en escalier. Vous
pouvez visualiser votre média source image par image et vérifier la présence de bandes horizontales sur les bords avant et arrière des objets en mouvement. Si vous pouvez voir ces dernières, vous devez désentrelacer votre fichier multimédia source afin de
le convertir à un format image par image.
Remarque : pour le désentrelacement, l’option « Contrôles d’images » est recommandée par rapport au filtre de désentrelacement (filtre propriétaire), car elle offre toujours
une qualité très supérieure. Pour plus d’informations, consultez le chapitre 20, « Ajout
de contrôles d’images à un réglage », à la page 273.
Espaces de couleur
Compressor prend en charge les espaces colorimétriques suivants : YUV (R408), 2VUY,
RGBA, ARGB et YUV (v210). Certains filtres requièrent une conversion des espaces de
couleur, tandis que d’autres peuvent manipuler plusieurs espaces de couleur. Pour chaque fichier multimédia, Compressor choisit l’espace colorimétrique le plus approprié
pour délivrer les meilleurs résultats de sortie et de performances en fonction de
l’espace colorimétrique de ces trois attributs : le format du média source, le format
de l’encodeur et les filtres choisis.
L’entrelaçage crée un effet
de « peigne » qui doit être
supprimé.260 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage
À propos de la sous-fenêtre Filtres
Utilisez les fonctions suivantes de la sous-fenêtre Filtres de l’Inspecteur pour sélectionner et ajuster les filtres à appliquer à vos réglages.
 Liste des filtres : cochez la case située à gauche du filtre que vous souhaitez ajouter aux
préréglages. Les paramètres de filtrage que vous sélectionnez apparaissent dans le
tableau de la sous-fenêtre Résumé. Vous pouvez réorganiser les filtres en les déplaçant
vers le bas ou le haut dans la liste Filtres. Comme ces filtres sont traités un par un pendant le transcodage (en commençant par le premier de la liste), leur classement dans la
liste est très important. Par exemple, il est recommandé de placer le filtre de superposition de texte en dernier, afin que la couleur que vous avez choisie pour le texte ne soit
pas modifiée par un autre filtre.
 Contrôles du filtre : les contrôles disponibles dépendent du filtre sélectionné dans
la liste. Le curseur de défilement vous permet de modifier rapidement les valeurs
numériques de votre paramètre, tandis que les boutons fléchés n’autorisent que des
modifications incrémentielles de la valeur numérique. Le numéro du paramètre
apparaît dans le champ situé entre le curseur de défilement et les boutons fléchés.
Remarque : après avoir paramétré un filtre, sa case est automatiquement cochée.
Si vous décidez de ne plus vouloir utiliser ce filtre, assurez-vous de décocher sa case
avant de procéder au transcodage.
Liste des filtres.
Contrôles de filtre.
Choisissez des filtres
vidéo ou audio.Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage 261
Filtres disponibles
La sous-fenêtre Filtres comprend deux onglets : un pour la vidéo et un pour l’audio.
Filtres vidéo
 Rétablir BlackWhite : transforme les couleurs s’approchant du noir en noir pur et
les couleurs s’approchant du blanc en blanc pur, sans modifier les autres couleurs du
reste de l’image. Utilisez ce filtre pour mieux compresser les zones unies noires et
blanches (luminance) de l’image, par exemple les arrière-plans. Les deux curseurs de
défilement permettent de régler indépendamment les valeurs du blanc et du noir
entre 0 et 100. Consultez la section « Espaces de couleur » à la page 259 pour plus
d’informations sur la façon dont les espaces de couleur sont liés à ce filtre.
 Luminosité et Contraste : modifie la couleur générale et les valeurs de luminance de votre
fichier multimédia de sortie pour que l’image soit plus claire ou plus foncée. Certains
codecs QuickTime assombrissent votre fichier vidéo ; vous pouvez donc utiliser ce filtre
pour compenser ce phénomène. Choisissez une valeur comprise entre -100 et 100, mais il
est déconseillé d’utiliser des valeurs extrêmes pour ne pas obtenir des images délavées.262 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage
 Étalonnage des hautes lumières, Tons intermédiaires ou Ombres : en fonction de ce que
vous choisissez, cette option corrige les inexactitudes de balance des blancs et crée
des effets de couleur dans les zones de couleurs vives, de tons intermédiaires ou de
tons foncés des images de votre plan. Les valeurs de rouge, de vert et de bleu peuvent être réglées indépendamment entre -100 et 100.
 Désentrelaçage : supprime les effets de l’entrelacement. Si votre fichier multimédia
source doit être converti en un format image par image, vous devez le désentrelacer
pour supprimer les effets de l’entrelacement. L’entrelacement sur les écrans d’ordinateur peut conférer aux objets en déplacement rapide un aspect flou, ce qui rend ce
paramètre particulièrement important si vous lisez une vidéo au format QuickTime
sur votre ordinateur ou en continu sur Internet. Vous pouvez supprimer la trame
supérieure (impaire) ou inférieure (paire) d’un fichier vidéo entrelacé, mais cela aura
un impact sur la fluidité des mouvements du plan. Lors des arrêts sur image, ce filtre
peut également être utilisé pour éliminer le papillotement causé par l’entrelacement
des images qui présentent de fines lignes verticales, comme les pages de titre avec
du texte de petite taille. Les trames restantes sont interpolées pour créer une image
complète, ce qui conduit à un adoucissement général de l’image.
Consultez la section « Désentrelacement » à la page 258 pour plus d’informations.
Remarque : l’option « Contrôles d’images » est recommandée par rapport au filtre
de désentrelacement (filtre propriétaire), car elle offre toujours une qualité très supé-
rieure. Pour plus d’informations, consultez le chapitre 20, « Ajout de contrôles
d’images à un réglage », à la page 273.Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage 263
Parmi les méthodes de désentrelacement suivantes, sélectionnez dans le menu local
celle qui fonctionne le mieux avec votre métrage :
 Blur : mélange les trames paires et impaires. Ce paramètre rend les données temporaires plus importantes et préserve mieux les mouvements, mais comme
les images individuelles sont composées de deux images, leur qualité n’est pas
optimale lorsque vous suspendez la lecture.
 Pair : garde les trames paires et ignore les trames impaires, évitant ainsi les mouvements flous.
 Impair : garde les trames impaires et ignore les trames paires, évitant ainsi les mouvements flous.
 Accentué : traite les deux trames pour rendre les bords plus nets. Ce paramètre met
en valeur les données spatiales.
 Fondu entrant/sortant : ajoute un fondu partant de ou aboutissant à une couleur de
cache au début et à la fin du plan.
 Durées de fondu entrant et sortant : définit la durée du fondu.
 Opacité de fondu entrant et sortant : définit l’opacité de la première image vidéo du
plan (fondu entrant) ou de la dernière (fondu sortant). Une valeur de 0,0 signifie
que l’image vidéo concernée est complètement recouverte par la couleur de
cache. Une valeur de 0,5 détermine un plan recouvert à 50 pour cent par la couleur de cache.
 Couleur du fondu : définit la couleur de cache. Si vous cliquez sur cette option,
le sélecteur de couleurs apparaît pour vous permettre de choisir la couleur de
départ et d’arrivée du fondu. (La couleur du fondu entrant doit être la même que
celle du fondu sortant.)264 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage
 Correction Gamma : contrôle la luminosité générale d’une image telle qu’elle apparaît à l’écran en modifiant la valeur du gamma du fichier multimédia. Ce filtre peut
être utilisé pour supprimer les détails d’un plan sous-exposé ou pour réduire la saturation d’un plan surexposé à un niveau acceptable sans conduire à des images trop
délavées. Les ordinateurs fonctionnant avec différents systèmes d’exploitation pré-
sentent divers paramètres d’écran. En visualisation multi-plateforme, la correction
gamma améliore l’image quelle que soit la plate-forme utilisée. Choisissez une valeur
gamma comprise entre 0,1 et 4,0.
 Letterbox : met à l’échelle et positionne l’image entre des barres horizontales de type
« letterbox ».
 Type : ce menu local permet de choisir le type de format Letterbox à utiliser.
Échelle compresse verticalement la vidéo afin qu’elle tienne dans les barres
Letterbox. Cache rogne la vidéo dans laquelle les barres Letterbox sont placées.
 Position : ce menu local permet de choisir la position de la vidéo. L’option Au centre
place des barres noires au-dessus et en dessous de la vidéo, cette dernière restant
centrée. L’option Bas positionne la vidéo au bas de l’écran, avec une barre noire unique au-dessus. L’option Haut positionne la vidéo en haut de l’écran, avec une barre
Letterbox unique au-dessous.
 Sortie : ce menu local permet de choisir les proportions spécifiques à utiliser pour
le format Letterbox. Chaque paramètre est suivi d’une valeur qui indique le ratio
largeur/hauteur utilisé pour ce paramètre. Ainsi, le paramètre Academy indique
un ratio de 1,85 :1, ce qui signifie que la largeur de l’image est égale à 1,85 fois sa
hauteur. Le paramètre Manuelle active le curseur Manuelle que vous pouvez utiliser pour définir manuellement les proportions du format Letterbox. Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage 265
 Curseur Manuelle : utilisé lorsque l’option Manuelle est sélectionnée dans le menu
local Sortie. Cette option permet de définir manuellement les proportions Letterbox. Le curseur Manuelle n’a aucun effet lorsque l’option Manuelle n’est pas sélectionnée dans le menu local Sortie.
 Case Arrière-plan : détermine la couleur de la boîte aux lettres. Cochez cette case
pour choisir la couleur de l’arrière-plan à partir du sélecteur de couleur.
 Suppression des bruits : réduit les zones de bruit aléatoire de l’image. Certains codecs
introduisent dans les fichiers vidéo du bruit, qui peut être atténué à l’aide du filtre de
suppression du bruit. Vous pouvez améliorer la qualité de l’image et compresser
l’espace de votre contenu de manière plus efficace en réduisant les détails les plus fins.
Le filtre de réduction de bruit vous permet de rendre floues certaines zones à faible
contraste tout en gardant les bords à contraste élevé nets. Ce principe est connu
sous le nom de réduction de bruit adaptative. Les résultats ne sont pas perceptibles
à l’œil nu, mais améliorent la compression finale du média source. Il est particulièrement important d’utiliser ce filtre avec des vidéos diffusées en direct.
 Appliquer à : ce menu local permet de choisir les canaux dont vous souhaitez filtrer le bruit. L’option par défaut est « Tous les canaux », qui permet de filtrer le
bruit provenant de tous les canaux, y compris le canal alpha. L’autre option est
« Canaux de colorimétrie », qui filtre uniquement le bruit provenant des deux
canaux de colorimétrie (U et V) dans l’espace colorimétrique AYUV (ou R408 dans
la terminologie Final Cut Pro).
 Itérations : ce menu local atténue le bruit de l’image. Choisissez la fréquence
d’application (entre 1 et 4) de l’algorithme sélectionné au fichier multimédia
source. À chaque nouvelle application de l’algorithme, ce dernier utilise l’image
modifiée résultant de l’application antérieure. Plus vous utilisez d’itérations,
plus l’image devient floue.266 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage
 Algorithme : sélectionnez l’un des algorithmes suivants dans le menu local
Algorithme : Moyen (la couleur de chaque pixel est modifiée en fonction de
la couleur moyenne des pixels qui l’entourent, y compris sa propre couleur) ;
Remplacement (la couleur de chaque pixel est modifiée en fonction de la couleur
moyenne des pixels qui l’entourent, en excluant sa propre couleur) ; Fusionner (la
couleur de chaque pixel est modifiée en fonction de la moyenne pondérée des
couleurs des pixels qui l’entourent, y compris sa propre couleur).
 Accentuer contour : améliore le contraste de l’image au niveau des bords des objets.
Certains codecs rendent les images vidéo floues, ce filtre peut donc neutraliser l’effet
d’adoucissement dû à la suppression du bruit ou à un média source flou, et augmenter l’impression de netteté de l’image. Lorsque vous utilisez des valeurs extrêmes,
les images du fichier multimédia de sortie peuvent sembler granuleuses. Choisissez
n’importe quelle valeur comprise entre 0 et 100.
 Superposer texte : permet au texte d’apparaître en surimpression sur l’image. Cette
option est utile pour apposer des informations textuelles sur votre fichier multimé-
dia de sortie. Utilisez les contrôles suivants pour positionner du texte, sélectionner
la couleur et la police, et spécifier sa transparence :
 Menu local Position : détermine la position du texte dans le plan. Choisissez l’une des
13 positions (Au centre, Inférieure gauche, Inférieure gauche - Titre sécurisé, etc.).Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage 267
 Alpha : ce curseur définit l’opacité du texte. Vous pouvez choisir une valeur comprise entre 0 et 1, sachant qu’une valeur égale à 0 équivaut à une transparence
totale, tandis qu’une valeur égale à 1 correspond à une opacité complète.
 Texte : tapez le texte souhaité dans ce champ.
 Couleur du texte : cochez cette case pour choisir la couleur du texte à partir du
sélecteur de couleur.
 Sélectionner une police : cliquez sur ce bouton pour ouvrir une palette de polices
vous permettant de sélectionner la police, son style et sa taille.
 Générateur de timecode : superpose le texte du timecode du plan à l’image.
Vous pouvez aussi ajouter une étiquette au texte du timecode.
 Menu local Position : détermine la position du texte du timecode dans le plan.
Choisissez l’une des 13 positions (Au centre, Inférieure gauche, Inférieure gauche,
Titre sécurisé, etc.).
 Alpha : ce curseur définit l’opacité du texte du timecode. Vous pouvez choisir une
valeur comprise entre 0 et 1, sachant qu’une valeur égale à 0 équivaut à une transparence totale, tandis qu’une valeur égale à 1 correspond à une opacité complète.
 Intitulé : saisissez dans ce champ tout texte que vous souhaitez voir apparaître
à gauche du numéro du timecode.
 Case « Démarrer timecode à 00:00:00:00 » : cochez cette case pour que le timecode
commence à 00:00:00:00. Si cette option n’est pas sélectionnée, le timecode du
plan est utilisé.
 Couleur du texte : cochez cette case pour choisir la couleur du texte du timecode
dans le sélecteur de couleurs.
 Sélectionner la police : cliquez sur ce bouton pour ouvrir une palette de polices vous
permettant de sélectionner la police, son style et sa taille.268 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage
 Filigrane : permet de superposer un filigrane à l’image. Cette option est utile pour
apposer un logo approprié sur votre fichier multimédia de sortie. Le filtre Filigrane
peut appliquer des images fixes ou des séquences en filigrane sur votre fichier multimédia de sortie. Utilisez les menus locaux, les curseurs de défilement et les champs
ci-après pour positionner et dimensionner le filigrane, et régler sa transparence :
 Menu local Position : ce menu local positionne l’image de filigrane dans le plan
d’image. Choisissez l’une des 13 positions (Au centre, Inférieure gauche, Inférieure
gauche - Titre sécurisé, etc.).
 Échelle : ce curseur définit la taille de l’image de filigrane.
 Alpha : ce curseur définit l’opacité de l’image de filigrane. Vous pouvez choisir
une valeur comprise entre 0 et 1, sachant qu’une valeur égale à 0 équivaut à
une transparence totale, tandis qu’une valeur égale à 1 correspond à une opacité
complète.
 Case Répétitive : si vous avez choisi un plan comme filigrane, le fait de cocher
cette case permet de lire le filigrane en boucle. Si vous ne cochez pas cette case,
le filigrane est lu une fois jusqu’à la fin puis disparaît.
 Bouton Choisir : cliquez sur ce bouton pour ouvrir la zone de dialogue de sélection
de fichiers, puis sélectionnez la séquence ou l’image à utiliser comme filigrane.
Filtres audio
Important : les filtres audio ne sont pas disponibles lorsque l’audio est réglé sur
Passthrough dans les réglages QuickTime. Consultez la section « À propos de la sousfenêtre AIFF Encoder QuickTime » à la page 238 pour plus d’informations.Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage 269
 Plage dynamique : cette option permet de contrôler les niveaux audio d’un plan de
façon dynamique en augmentant le son des parties où le volume sonore est faible et
en le baissant pour les parties où le volume sonore est plus élevé. Cette option est
également appelée compression du niveau audio.
 Adoucir au-dessus : les volumes sonores supérieurs à ce niveau audio sont réduits
au niveau défini par le gain principal.
 Seuil de bruit : définit le niveau de ce qui est considéré comme bruit. Le son dont
le niveau est égal ou supérieur à ce niveau est amplifié de façon dynamique
jusqu’au niveau défini par le gain principal. Le son au dessous de ce niveau
demeure inchangé.
 Gain principal : définit le niveau moyen du son comprimé de façon dynamique.
 Écrêteur : définit le niveau maximum autorisé du son pour le plan.
 Gain (dB) : définit le niveau au dessus duquel les pics plus élevés sont réduits.
 Égaliseur graphique Apple AU : cette option vous permet d’utiliser l’égaliseur graphique AUGraphicEQ Apple pour créer un grand nombre de formes de fréquences sur
toute la plage des fréquences audibles. Vous pouvez choisir entre une version à
31 bandes et une version à 10 bandes.270 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage
 Menu local Options : ouvre l’interface de l’égaliseur graphique AUGraphicEQ Apple.
Le menu local « Nombre de bandes » de l’interface de l’égaliseur permet de choisir
la version d’égaliseur à utiliser (31 bandes ou 10 bandes).
 Fondu entrant/sortant : ajoute un mixage partant de ou aboutissant à un silence
(ou un niveau de gain que vous avez défini) au début et à la fin du plan.
 Durées de fondu entrant et sortant : définit la durée du mixage utilisé pour
la transition entre la valeur de gain et le niveau audio normal du plan au début
(fondu entrant) et à la fin (fondu sortant) du plan.Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage 271
 Gains de fondu entrant et sortant : définit le niveau auquel le mixage commence
(fondu entrant) ou se termine (fondu sortant). La valeur –100,0 correspond au
silence et la valeur 0,0 signifie que le son n’est pas modifié.
Remarque : lorsque vous utilisez à la fois le filtre Fondu entrant/sortant et le filtre
Plage dynamique, veillez à ce que le filtre Plage dynamique se trouve avant le filtre
Fondu entrant/sortant dans la liste de filtres.
Ajout de filtres à un réglage
Utilisez la sous-fenêtre Filtres dans la fenêtre Inspecteur pour ajouter des filtres à vos
réglages.
Pour ajouter des filtres à un réglage :
1 Ouvrez l’onglet Réglages.
2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier multimédia source
dans la fenêtre Lot. De cette façon, vous pouvez ouvrir la fenêtre Preview et voir
les effets de vos ajustements de filtre.
3 Cliquez sur la sous-fenêtre Filtres de l’Inspecteur.
4 Configurez selon vos souhaits les filtres que vous souhaitez ajouter à ce réglage.
Remarque : une coche apparaît automatiquement dès que vous commencez à paramé-
trer un filtre.
Le filtre est automatiquement sélectionné si vous
modifiez ses réglages.
Toute modification apportée
aux réglages d’un filtre est
appliquée au filtre sélectionné.272 Chapitre 19 Ajout de filtres à un réglage
5 Dans la liste des filtres, déplacez les filtres vers le haut ou vers le bas pour déterminer
l’ordre dans lequel vous souhaitez qu’ils soient appliqués au fichier multimédia source
pendant son transcodage.
Étant donné que ces filtres sont traités un par un pendant le transcodage (en commen-
çant par le premier de la liste), il est important que vous les classiez selon leur ordre
d’application. Par exemple, il est recommandé de placer le filtre de superposition de
texte en dernier, afin que la couleur que vous avez choisie pour le texte ne soit pas
modifiée par un autre filtre.
Si vous déplacez un filtre, assurez-vous de cocher la case pour que Compressor sache
qu’il faut l’appliquer au réglage concerné. Si vous essayez de sélectionner un autre
réglage après avoir sélectionné un filtre déplacé, la zone de dialogue Enregistrer vous
demande d’enregistrer ou d’annuler les changements apportés à ce réglage. Par défaut,
tous les filtres sélectionnés s’affichent en premier dans la liste.
Remarque : vous pouvez voir les détails des réglages dans la sous-fenêtre Résumé de
la fenêtre Inspecteur.
Consultez la section « À propos de la sous-fenêtre Filtres » à la page 260 pour obtenir
plus d’informations.
Faites glisser les filtres vers
le haut ou vers le bas pour
établir l’ordre dans lequel
vous souhaitez qu’ils soient
appliqués au fichier multimé-
dia source.20
273
20 Ajout de contrôles d’images
à un réglage
Les contrôles d’images reposent sur une analyse approfondie
de l’image et servent à resynchroniser cette dernière, à la redimensionner ou à lui appliquer des effets vidéo sophistiqués.
Ce chapitre contient les sections suivantes :
 Utilisation des contrôles d’images (p. 273)
 À propos de la sous-fenêtre Contrôles d’images (p. 274)
 Ajout de contrôles d’images à un réglage (p. 279)
 Utilisation du télécinéma inverse (p. 280)
 Utilisation des contrôles de resynchronisation (p. 283)
Utilisation des contrôles d’images
Grâce aux contrôles d’images, Compressor permet de transcoder en haute qualité
de nombreux formats sources différents dans de nombreux formats cibles en ayant
recours à une analyse approfondie de l’image. Cela signifie que vous pouvez maintenant effectuer les différentes opérations suivantes à des niveaux de qualité qui étaient
précédemment possibles uniquement avec des solutions matérielles coûteuses :
 Convertir des fichiers vidéo entre les normes de télévision internationales,
par exemple PAL vers NTSC ou NTSC vers PAL.
 Convertir des sources vidéo haute définition (HD) en sources définition standard (SD),
ou inversement.
 Convertir un flux progressif en flux entrelacé, ou inversement.
 Réaliser des ajustements de fréquence d’images de haute qualité, notamment pour
obtenir des effets de ralenti de haute qualité.
 Supprimer automatiquement le pulldown du télécinéma (télécinéma inverse).
Remarque : le groupe de réglages « Conversions de format avancées » de l’onglet
Réglages revêt une importance particulière pour l’utilisation des contrôles d’images.274 Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage
Important : il n’est pas possible de prévisualiser les réglages « Contrôles d’images »
dans la fenêtre Preview. Pour prévisualiser ces derniers, lancez un transcodage de test
sur une petite section de votre fichier multimédia source (cf. « Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Preview » à la page 315 pour plus d’informations).
À propos de la sous-fenêtre Contrôles d’images
Utilisez les fonctionnalités suivantes sous l’onglet « Contrôles d’images » de l’Inspecteur afin de sélectionner et d’ajuster les attributs de contrôle d’images que vous souhaitez affecter à vos réglages.
État des contrôles d’images
Utilisez ce menu local pour choisir parmi les options suivantes de « Contrôles d’images » :
 Désactivé : réglage par défaut pour la plupart des préréglages Apple. Choisissez
Désactivé si votre projet Compressor n’implique pas de changements en termes de
taille d’image, de fréquence d’images ou de priorité de trame.
 Activé : cette option vous permet d’ajuster manuellement tous les attributs qui se trouvent dans la sous-fenêtre Contrôles d’images.
 Sélection automatique : Compressor analyse la tâche de transcodage (le fichier multimédia source et le réglage appliqué), puis il détermine automatiquement les attributs « Contrôles d’images » appropriés.
Contrôles de
redimensionnement
Contrôles de
resynchronisation
État des contrôles
d’images
Bouton Automatique
des contrôles d’imagesChapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage 275
En mode Automatique, la technologie de « Contrôles d’images » intervient uniquement dans les deux types suivants de transcodages :
 Le transcodage de sources haute définition (HD) en fichiers de sortie MPEG-2 en
définition standard (SD)
 Le transcodage de sources entrelacées en fichiers de sortie (progressifs) H.264 pour
DVD Studio Pro et H.264 pour appareils Apple
Contrôles de redimensionnement
Utilisez les contrôles de cette section pour choisir l’algorithme avec lequel les images
sont redimensionnées.
 Filtre de redimensionnement : utilisez ce menu local pour choisir parmi les options suivantes de redimensionnement. Cette décision est un compromis entre une vitesse de
traitement plus rapide et une qualité de sortie supérieure dans les projets qui impliquent un changement de résolution.
 Rapide (pixel le plus proche)
 Avancée (filtre linéaire)
 Optimale (prédiction statistique)
 Champs de sortie : utilisez ce menu local pour choisir la méthode de balayage de sortie (soit la priorité de trame, soit une conversion en balayage progressif).
 Identique à la source : aucun changement de méthode de balayage.
 Progressive : méthode de balayage où chaque image est complète (et non divisée
en trames). Utilisez ce réglage au lieu du filtre Désentrelaçage de Compressor
(un filtre hérité de la sous-fenêtre Filtres) car il offrira toujours une qualité bien
supérieure.
 Première supérieure : priorité de trame entrelacée (ordre des trames), également
appelée trame deux, trame supérieure ou trame impaire.
 Première inférieure : priorité de trame entrelacée (ordre des trames), également
appelée trame une, trame inférieure ou trame paire.276 Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage
 Désentrelacer : utilisez ce menu local pour choisir parmi différentes techniques de
désentrelacement (ou désentrelaçage). Cette décision est un compromis entre une
vitesse de traitement plus rapide et un désentrelaçage de qualité supérieure des
zones de mouvement au sein de l’image. Dans tous les cas, toute option de désentrelaçage de qualité supérieure donne des résultats identiques ou meilleurs que l’option
immédiatement inférieure. Toutefois, si le redimensionnement vers le bas est également appliqué à l’image, il se peut que les améliorations de qualité ne se remarquent pas. Dans ces conditions, les options Rapide ou Meilleure fourniront
probablement une qualité suffisamment haute, selon l’ampleur du redimensionnement vers le bas.
 Rapide (moyenne des lignes) : cette option fait la moyenne des lignes adjacentes
d’une image.
 Avancé (filtre Motion adaptive) : cette option offre une bonne qualité de désentrela-
çage pour les zones de l’image qui sont en mouvement.
 Optimale (correction des mouvements) : cette option offre une très bonne qualité de
désentrelaçage pour les zones de l’image qui sont en mouvement.
 Télécinéma inverse : cette option supprime les trames supplémentaires ajoutées
lors du processus de télécinéma pour convertir les 24 ips du film en 29,97 ips pour
le format NTSC. La sélection de cet élément entraîne la désactivation de tous
les autres éléments de la sous-fenêtre Contrôles d’images.
Remarque : pour en savoir plus sur le pulldown 3:2 et sur l’utilisation de la fonction
Télécinéma inverse, reportez-vous à la section « Utilisation du télécinéma inverse » à
la page 280.
Alors que le menu local Désentrelacer est toujours actif, Compressor ne désentrelace
que les tâches qui en ont besoin. (Par exemple, si la source est entrelacée et que
le menu local « Champs de sortie » est défini sur Progressive, Compressor effectuera
un désentrelaçage. Si le fichier multimédia source est progressif, Compressor n’effectuera pas de désentrelaçage.)
Avertissement : l’utilisation de tous les réglages optimaux peut donner lieu à des temps
de traitement beaucoup plus longs que prévu. Si vous réduisez la taille d’image en plus
de désentrelacer l’image, les options Rapide ou Meilleure fourniront probablement
une qualité suffisamment haute, selon l’ampleur du redimensionnement vers le bas.Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage 277
 Détails de technique Adaptive : cochez cette case pour utiliser une analyser d’image
avancée afin de distinguer les zones de bruit de celles de contour.
 Anticrénelage : utilisez ce curseur pour régler un niveau d’adoucissement entre 0
et 100. Ce paramètre améliore la qualité des conversions lorsque vous augmentez
l’échelle des données. Par exemple, lorsque vous transcodez de la vidéo de définition standard en haute définition, l’option Anticrénelage lisse les contours irréguliers
pouvant apparaître dans l’image.
 Niveau de détails : utilisez ce curseur pour définir un niveau (entre 0 et 100) pour conserver les contours accentués. Il s’agit d’un contrôle d’accentuation qui vous permet
de rajouter des détails à une image agrandie. Contrairement aux autres opérations
d’accentuation, le réglage « Niveau de détails » distingue les détails de bruit et ceux
de fonction, et n’augmente généralement pas les grains non voulus. Le fait d’accroî-
tre la valeur de ce paramètre peut donner lieu à des contours irréguliers, qui peuvent cependant être éliminés en augmentant la valeur d’anticrénelage.
Remarque : les options « Détails de technique Adaptive », Anticrénelage et « Niveau
de détails » se rapportent uniquement au redimensionnement d’image (mise à
l’échelle), et non au désentrelaçage.
Contrôles de resynchronisation
Utilisez les commandes de cette section pour choisir l’algorithme avec lequel les
fréquences d’images sont ajustées.
 Conversion de fréquence : utilisez ce menu local pour choisir parmi les techniques
suivantes de resynchronisation d’images (changement de la fréquence d’images).
Cette décision est un compromis entre une vitesse de traitement plus rapide et
une qualité de sortie supérieure. Dans de nombreux cas, le réglage Meilleure fournira
une conversion d’une qualité suffisamment haute en économisant fortement du
temps de traitement par rapport au réglage Optimale.
 Rapide (image la plus proche) : aucune fusion d’images n’est appliquée ; Compressor
utilise simplement une copie de l’image disponible la plus proche pour remplir les
nouvelles images entre.278 Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage
 Bonne (fusion d’images) : rassemble les images voisines afin de créer de nouvelles
images entre.
 Meilleure (correction des mouvements) : utilise un flux optique pour interpoler des
images, avec des résultats de bonne qualité.
 Maximum (correction des mouvements de haute qualité) : utilise un flux optique
pour interpoler des images, avec des résultats de qualité supérieure ; cette option
est particulièrement utile pour les transcodages qui impliquent des augmentations de fréquences d’images (par exemple, de 23,98 ips à 59,94 ips).
 Régler la durée sur : utilisez cette option pour choisir l’une des trois méthodes proposées pour convertir la durée du plan en une nouvelle durée.
 Pourcentage de la source : utilisez cette option pour saisir une valeur exprimée en
pourcentage permettant de modifier la vitesse du plan ou choisissez un réglage
spécifique dans le menu local.
 Durée totale : servez-vous de cette option pour choisir la durée du plan.
 Pour que les images source soient lues à une fréquence de [fréquence d’images]
ips : utilisez cette option lorsque la fréquence d’images du fichier multimédia
source ne correspond pas à celle qui est indiquée dans la sous-fenêtre Encodeur
pour cet élément.
Remarque : lorsque vous modifiez la vitesse de la vidéo à l’aide des contrôles de
resynchronisation, Compressor ajuste également la partie audio du fichier multimé-
dia de sortie de sorte que le son reste synchronisé avec l’image. Les contrôles de
resynchronisation n’ont aucune incidence sur la hauteur tonale de l’audio.
Pour en savoir plus sur l’utilisation de ces options, consultez la section « Utilisation
des contrôles de resynchronisation » à la page 283.
Avertissement : l’utilisation de tous les réglages optimaux peut donner lieu à des temps
de traitement beaucoup plus longs que prévu. Le réglage Meilleure pour la conversion
de fréquence fournira une conversion d’une qualité suffisamment haute, tout en économisant fortement du temps de traitement par rapport au réglage Optimale.
Menu local de sélectionChapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage 279
Ajout de contrôles d’images à un réglage
Utilisez la sous-fenêtre « Contrôles d’images » de la fenêtre de l’Inspecteur pour ajouter
des réglages de resynchronisation et de redimensionnement d’image à vos réglages.
Pour ajouter des réglages automatiques de contrôles d’images à un réglage :
1 Ouvrez l’onglet Réglages.
2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier multimédia source
dans la fenêtre Lot.
3 Cliquez sur l’onglet « Contrôles d’images » dans la fenêtre de l’Inspecteur.
4 Cliquez sur le bouton Automatique qui se trouve à côté du menu local « Contrôles
d’images ».
Compressor analyse la tâche de transcodage (le fichier multimédia source et
le réglage appliqué), puis il détermine automatiquement les attributs « Contrôles
d’images » appropriés.
En mode Automatique, la technologie de « Contrôles d’images » intervient uniquement dans les deux types suivants de transcodages :
 Le transcodage de sources haute définition (HD) en fichiers de sortie MPEG-2 en définition standard (SD).
 Le transcodage de sources entrelacées en fichiers de sortie (progressifs) H.264 pour
DVD Studio Pro et H.264 pour appareils Apple.
Pour ajouter des réglages personnalisés de contrôles d’images à un réglage :
1 Ouvrez l’onglet Réglages.
2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier multimédia source
dans la fenêtre Lot.
3 Cliquez sur l’onglet « Contrôles d’images » dans la fenêtre de l’Inspecteur.
4 Dans le menu local « Contrôles d’images », choisissez Activé.
Le choix de l’option Activé vous permet d’ajuster manuellement tous les attributs
de la sous-fenêtre Contrôles d’images.280 Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage
5 Modifiez n’importe lequel des contrôles suivants dans la sous-fenêtre « Contrôles
d’images ». (Voir « À propos de la sous-fenêtre Contrôles d’images » à la page 274 pour
des détails concernant chacun de ces contrôles.)
 Filtre de redimensionnement
 Champs de sortie
 Désentrelacer
 Détails de technique Adaptive
 Anticrénelage
 Niveau de détails
 Conversion de fréquence
 Réglages de durée
6 Cliquez sur Enregistrer pour enregistrer les modifications.
Utilisation du télécinéma inverse
Le menu local Désentrelacer comprend un réglage permettant d’inverser le télécinéma.
À propos du télécinéma inverse
L’approche la plus courante pour distribuer un film à 24 ips destiné à la vidéo NTSC
à 29,97 ips consiste à effectuer un pulldown 3:2 (également appelé pulldown 2:3:2:3).
L’enregistrement en alternance de deux trames d’une image de film, puis de trois trames de l’image suivante permet de transformer les 24 images d’une seconde de film
en 30 images d’une seconde de vidéo.
Avant
(23,98 ips)
A B A B B C C D D D
A B C D A D A B C D A B C D A B C D A B C D B C
A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B C C D D D A A B B B D B C C D D D A B A B B C C D D
A B C D
A A B B B C C D D D
Field
1
Field
2
Field
1
Field
2
Field
1
Field
2
Field
1
Field
2
Field
1
Field
2
Pulldown 3:2
Après
(29,97 ips)
Une secondeChapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage 281
Comme le montre la figure ci-dessus, le modèle 3:2 (qui est en fait un modèle 2:3:2:3
puisque l’image A est enregistrée sur deux trames et est suivie par l’image B enregistrée sur trois trames) se répète toutes les quatre images du film. Pratiquement tous
les spots publicitaires, les films et les émissions de télévision en différé de qualité sont
soumis à ce processus avant leur diffusion.
Pour les besoins du montage et de l’ajout d’effets, il est souvent préférable de supprimer ces trames supplémentaires et de rétablir la fréquence originale de 23,98 ips de
la vidéo. Le rétablissement de la fréquence originale de 23,98 ips a en outre l’avantage
de permettre une conversion plus aisée à la fréquence de 25 ips du format PAL.
La fréquence d’images moins élevée présente également l’avantage de requérir moins
d’images par seconde de vidéo, ce qui signifie que la taille du fichier est moins importante. La fonction de télécinéma inverse facilite cette opération.
À propos de la cadence
Lorsqu’un film est transformé par télécinéma en vidéo NTSC, sa cadence est constante.
Cela signifie que le modèle 3:2 est systématique et ininterrompu. La suppression du
télécinéma sur un plan de cadence constante est une opération relativement aisée,
car il suffit de déterminer le modèle une seule fois.
Si vous montez ces plans transformés par télécinéma en tant que vidéo NTSC, vous
obtenez un fichier vidéo final avec une cadence irrégulière et un modèle 3:2 fluctuant.
La suppression du télécinéma sur ce type de plan s’avère bien plus compliquée puisque vous devez sans cesse vérifier la cadence pour ne pas choisir par mégarde des
trames incorrectes lors de la création de vidéo à 23,98 ips.
A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B C C D D D A A B B B D B C C D D D A B A B B C C D D A B A B B C C D D D
A B C D A D A B C D A B C D A B C D A B C D B C
A B C D
A A B B C C D D
Field
1
Field
2
Field
1
Field
2
Field
1
Field
2
Field
1
Field
2
D
Field
2
B
Field
1
Avant
(29,97 ips)
Après
(23,98 ips)
Une seconde
Suppression de pulldown 3:2282 Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage
La fonction de télécinéma inverse dont est muni Compressor détecte automatiquement les cadences irrégulières et adapte le traitement de façon appropriée.
Autres remarques sur la fonction de télécinéma inverse
Il convient de tenir compte de quelques autres considérations lors de l’utilisation
de la fonction de télécinéma inverse.
Tous les autres réglages de « Contrôles d’images » sont désactivés
Étant donné que l’objectif de la fonction de télécinéma inverse est de produire de
la vidéo progressive à 23,98 ips, toutes les autres options de la sous-fenêtre « Contrôles
d’images » sont désactivées lorsque Télécinéma inverse est sélectionné.
À propos du télécinéma inverse et de l’encodage segmenté
En raison de la nature imprévisible du traitement appliqué lors du télécinéma inverse,
l’encodage segmenté ne fonctionne pas de façon aussi efficace que lorsque la fonction
télécinéma inverse n’est pas utilisée.
À propos de la suspension du processus de transcodage
Si vous suspendez (pause) le processus de transcodage, vous êtes ensuite obligé de
le reprendre depuis le début.
Création de vidéo PAL lors du processus de télécinéma inverse
Convertir une vidéo à 23,98 ips ou une vidéo à 24 ips en vidéo PAL dont la fréquence
est de 25 ips en accélérant la vitesse de lecture de 4 pour cent est une pratique courante. Si votre vidéo source est une vidéo NTSC à 29,97 ips convertie par télécinéma,
vous pouvez la convertir au format PAL à l’aide de deux tâches.
 Première tâche : appliquez à la tâche un réglage qui permette d’inverser le télécinéma et d’obtenir une vidéo NTSC à 23,98 ips.
Remarque : vous pourriez appliquer un réglage convertissant également la vidéo au
format PAL, mais dans ce cas, la conversion du format ne serait pas effectuée à l’aide
des contrôles d’images et sa qualité pourrait être insatisfaisante.
 Deuxième tâche : pour créer la deuxième tâche, sélectionnez la première, puis choisissez Tâche > Nouvelle tâche avec sortie cible. Vous créez ainsi une tâche reposant
sur la sortie de la première tâche. Vous pouvez alors appliquer un réglage assurant
un format de sortie PAL et utiliser la fonction « Contrôles d’images » qui vous garantit un fichier de sortie de haute qualité.
Pour en savoir plus sur l’enchaînement de tâches, reportez-vous à la section « À propos
de l’ajout et de la copie de tâches » à la page 118.Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage 283
Utilisation des contrôles de resynchronisation
Les contrôles de resynchronisation sont couramment utilisés pour deux opérations :
 Conversion de la fréquence d’images d’une vidéo : il s’agit généralement de convertir
la fréquence d’images NTSC en fréquence d’images PAL ou inversement. Cette fonction utilise uniquement le réglage du menu local « Conversion de fréquence » et est
automatiquement configurée lorsque cela est nécessaire.
 Conversion de la vitesse d’une vidéo : cette opération consiste à lire les images existantes à une vitesse différente ou, dans le cas des effets de ralenti, à créer des images
intermédiaires si nécessaire.
Dans tous les cas, si le fichier multimédia source contient de l’audio, la vitesse de ce dernier est également modifiée et sa hauteur tonale corrigée, afin que le résultat soit identique à celui de l’audio original, mais avec une vitesse différente. Cela vous permet de
conserver la synchronisation entre l’image et le son.
Remarque : si vous prévisualisez un réglage qui utilise les contrôles de resynchronisation, la vidéo sera lue à la nouvelle fréquence d’images ou vitesse, mais elle n’aura pas
été traitée par les contrôles d’images et, par conséquent, sa qualité sera inférieure à
celle du fichier de sortie transcodé. La hauteur tonale du son est corrigée lors de la pré-
visualisation du réglage.
Important : si vous utilisez les contrôles de resynchronisation sur un réglage qui utilise
le format de sortie QuickTime Movie et que vous choisissez Passthrough comme
réglage audio, la vitesse audio n’est pas modifiée et la synchronisation avec la vidéo
n’est pas conservée. Consultez la section « À propos de la sous-fenêtre AIFF Encoder
QuickTime » à la page 238 pour plus d’informations.
Conversion de la vitesse d’une vidéo
Les contrôles de resynchronisation proposent trois options pour déterminer la vitesse
de lecture :284 Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage
 saisir un pourcentage ;
 saisir une durée ;
 forcer la lecture des images à la fréquence d’images définie dans le réglage
« Fréquence d’images » de la sous-fenêtre Encodeur.
Saisir un pourcentage
Vous disposez de deux options lorsque vous choisissez de définir la durée du plan à l’aide
de cette méthode :
 saisir une valeur en pour cent ;
 choisir une valeur prédéfinie.
Chacun des préréglages disponibles est destiné à être utilisé pour un cas de figure
particulier.
 24 @ 25 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 24 ips en vidéo à 25 ips distribuée en format PAL.
 23,98 @ 24 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 23,98 ips en vidéo à 24 ips.
 23,98 @ 25 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 23,98 ips en vidéo à 25 ips
distribuée en format PAL.
 30 @ 29,97 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 30 ips en vidéo à 29,97 ips.
 29,97 @ 30 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 29,97 ips en vidéo à 30 ips.
 24 @ 23,98 : utilisez ce réglage pour convertir une vidéo à 24 ips en vidéo à 23,98 ips
distribuée sous forme de DVD NTSC.
Aucune de ces options n’exige l’insertion d’images vidéo intermédiaires. La différence
entre les réglages correspond juste à une lecture plus ou moins rapide des images
existantes.Chapitre 20 Ajout de contrôles d’images à un réglage 285
Saisir une durée
Le champ Durée indique la durée actuelle du plan. Si vous modifiez cette durée,
la valeur exprimée en pourcentage change pour refléter cette modification.
Cette option est très utile lorsque la durée du fichier multimédia source est un peu plus
longue ou un peu plus courte que nécessaire et que vous préférez changer la vitesse
de lecture plutôt qu’ajouter ou supprimer des images vidéo.
Cette méthode donne lieu à la création d’images vidéo intermédiaires en fonction
des besoins.
Forcer la lecture des images à la fréquence d’images définie dans le réglage
« Fréquence d’images » de la sous-fenêtre Encodeur
On utilise cette option lorsque la fréquence d’images du fichier multimédia source
est différente de celle qui est indiquée dans le réglage « Fréquence d’images » de la
sous-fenêtre Encodeur.21
287
21 Ajout de réglages de géométrie
Vous pouvez ajuster vos réglages de façon plus précise à
l’aide de la sous-fenêtre Géométrie de la fenêtre Inspecteur.
Ce chapitre contient les sections suivantes :
 Utilisation du rognage, de la mise à l’échelle et du remplissage (p. 287)
 À propos de la sous-fenêtre Géométrie (p. 290)
 Ajustements de géométrie pour un réglage (p. 294)
Utilisation du rognage, de la mise à l’échelle et du
remplissage
La sous-fenêtre Géométrie propose trois méthodes différentes pour modifier l’image
de sortie.
Rognage
Lorsque vous rognez une image, vous supprimez du contenu vidéo. Ce contenu
représente souvent une partie superflue de l’image (telle que la zone de surbalayage,
nécessaire pour la télévision, mais inutile pour les ordinateurs) et sa suppression permet d’agrandir la portion restante dans une image de même taille.
La fonction Rognage comprend également un réglage automatique qui détecte
les bords de l’image et saisit automatiquement des valeurs de rognage adaptées.
Cette option s’avère particulièrement utile si vous souhaitez supprimer les bandes
noires d’un fichier multimédia source. 288 Chapitre 21 Ajout de réglages de géométrie
Lorsque vous ajustez les réglages de rognage, l’un des deux cas de figure suivants peut
se présenter en ce qui concerne la taille d’image du fichier vidéo de sortie :
 La taille d’image reste la même si vous avez choisi un réglage autre que 100 % de
la source, 50 % de la source ou 25 % de la source dans le menu local « Taille d’image »
de la section Dimensions de la sous-fenêtre Géométrie. Cela signifie que l’image vidéo
source est agrandie pour remplir l’image du fichier vidéo de sortie, ce qui provoque
une augmentation de la taille des pixels et une dégradation générale de l’image.
 La taille d’image est réduite en fonction des valeurs de rognage si vous avez choisi
les réglages 100 % de la source, 50 % de la source ou 25 % de la source dans menu
local « Taille d’image » de la section Dimensions de la sous-fenêtre Géométrie.
Cette réduction peut aboutir à des tailles d’image non standard.
Les réglages de rognage se trouvent dans la section « Cadre de source (rognage) » de
la sous-fenêtre Géométrie.
Mise à l’échelle
La mise à l’échelle permet de modifier la taille d’image du fichier vidéo de sortie sans
supprimer aucune image source. Elle implique le plus souvent une réduction de la taille
d’image du fichier multimédia de sortie pour économiser l’espace de stockage ou
réduire le débit de données.
Il existe trois méthodes simples permettant de changer l’échelle de la taille d’image de
votre fichier de sortie :
 Choisir un pourcentage de la taille source : trois réglages permettent de redimensionner l’image source en fonction d’un pourcentage (100 % de la source, 50 % de
la source et 25 % de la source). Les valeurs de rognage ont une incidence non seulement sur la taille d’image de la vidéo source, mais aussi sur celle de la vidéo de sortie.
 Choisir une taille d’image particulière : vous pouvez choisir entre plusieurs réglages de
taille d’image standard, tels que 720 x 486, 720 x 576, etc. Si vous choisissez l’une ces
options, la taille d’image du fichier vidéo de sortie correspondra à ce réglage.
 Saisir une valeur personnalisée : vous pouvez saisir une taille d’image personnalisée.
Il est en outre possible de contraindre cette taille d’image personnalisée à respecter
des proportions courantes telles que 4:3 ou 16:9. Si vous saisissez une taille d’image
personnalisée, la taille d’image du fichier vidéo de sortie correspondra à ce réglage.Chapitre 21 Ajout de réglages de géométrie 289
Vous avez également la possibilité de définir les proportions des pixels de l’image de
sortie en sélectionnant une option dans un menu local proposant des réglages courants.
Remarque : les réglages de mise à l’échelle ne sont activés que si vous utilisez les
formats d’encodage de sortie MP4EG--4, QuickTime Movie et Séquence d’images.
Les réglages de mise à l’échelle se trouvent dans la section « Dimensions (pixels encodés) »
de la sous-fenêtre Géométrie.
Remplissage
Le remplissage est une méthode qui permet de réduire la taille de l’image tout en
conservant la taille de la vidéo de sortie en remplissant les zones restantes en noir.
À la différence du rognage, le remplissage ne supprime aucune image source.
L’image est réduite en fonction des valeurs de remplissage.
Le remplissage s’avère utile lorsque la taille de l’image source est inférieure à celle de
l’image de sortie et que vous souhaitez empêcher le redimensionnement de l’image
source en fonction de la taille de l’image de sortie. Si vous ajoutez un remplissage
approprié, l’image source conservera la même taille dans l’image de sortie et les parties restantes seront remplies avec du noir.
Le remplissage est automatiquement appliqué lorsque l’image vidéo source est au format NTSC 720 x 486 sans compression et la résolution de l’image de sortie est 720 x 480.
Il existe également plusieurs réglages de remplissage courants tels que 16x9 et
Panavision. Ils facilitent la configuration puisque c’est Compressor qui saisit automatiquement les valeurs de remplissage, ce qui permet de garantir que l’image source
conserve ses proportions d’origine.
Les réglages de remplissage se trouvent dans la section « Cadre d’image de sortie
(remplissage) » de la sous-fenêtre Géométrie. 290 Chapitre 21 Ajout de réglages de géométrie
À propos de la sous-fenêtre Géométrie
Utilisez la sous-fenêtre Géométrie pour spécifier les paramètres de rognage et de
dimensionnement, la taille du fichier multimédia de sortie et les proportions de l’image
(le rapport entre sa hauteur et sa largeur) :
Réglages Cadre de source (rognage)
 Gauche, Droite, Haut et Bas : les quatre champs de rognage (Gauche, Haut, Droite et
Bas) vous permettent de rogner l’image de votre fichier multimédia source par incré-
ments exprimés en pixels. La plupart des fichiers vidéo de diffusion présentent des
zones de surbalayage. Si le fichier de sortie est destiné à n’être affiché que sur un
écran d’ordinateur plutôt que sur un écran de télévision, vous pouvez en toute tranquillité supprimer une partie de sa bordure sans que cela n’affecte la zone d’image.
Les valeurs indiquent la distance (en pixels) entre le bord du cadre original et le bord
du cadre rogné final. Par défaut, tous les champs sont remplis avec la valeur 0.
Remarque : la zone de surbalayage (« zone d’action sécurisée ») est habituellement
constituée par les 5 pour cent de l’image les plus éloignés du centre le long des quatre côtés. Si vous rognez 5 pour cent de plus, il vous reste une zone plus réduite dite
« zone de titre sécurisé ». Vous pouvez, par conséquent, rogner votre image en supprimant entre 5 à 10 pour cent de sa bordure extérieure sans risque pour le contenu
important.
Mise à l’échelle
Rognage
RemplissageChapitre 21 Ajout de réglages de géométrie 291
 Case « Détecter automatiquement les réglages de rognage pour le format Letterbox » : cette
case permet à Compressor de déterminer si le fichier multimédia source a été mis au
format Letterbox et, si c’est le cas, de saisir des valeurs de rognage pour supprimer les
bandes noires.
Remarque : si vous souhaitez transcoder un fichier multimédia source de taille normale (720 x 486) avec une résolution standard (DS) à l’aide d’un réglage MPEG-2
NTSC, votre fichier multimédia de sortie est automatiquement rogné de deux pixels
à partir du haut et de quatre à partir du bas afin d’obtenir les dimensions MPEG-2
requises de 720 x 480, sauf si vous avez déjà appliqué des attributs de rognage. Cet
attribut de rognage n’est que temporaire et n’est pas enregistré dans le réglage. Vous
pouvez visualiser le rognage automatique via la méthode habituelle en double-cliquant sur le réglage dans la tâche afin d’ouvrir la fenêtre Preview.
Pour plus d’informations sur le menu local Format vidéo, consultez la section
« À propos de la sous-fenêtre Encodeur MPEG-2 » à la page 198.
Réglages Dimensions (pixels encodés)
Les réglages de la section Dimensions ne sont actifs que lorsque vous utilisez les formats
d’encodage de sortie MPEG- 4, QuickTime Movie et Séquence d’images. Pour les autres formats, les réglages apparaissent estompés, mais il est possible de voir ceux qui seront utilisés une fois le lot envoyé.
 Taille d’image : ces champs de texte et les menus locaux qui y sont associés vous permettent de personnaliser la taille d’image et les proportions de votre fichier multimé-
dia de sortie. Choisissez l’un des réglages suivants : 100 % de la source, 50 % de la
source, 25 % de la source, 320 x 240, 640 x 480, 720 x 480, 720 x 486, 1280 x 720, 1920
x 1080 ou Personnalisé (réglage défini manuellement). Trois réglages personnalisés
avec contrainte de proportions particulières sont également disponibles : Personnalisé (4:3), Personnalisé (16:9) et Personnalisé (2.35:1). Pour les options personnalisées,
vous devez saisir dans les champs Largeur et Hauteur les dimensions adaptées à vos
besoins. Dans le cas des options personnalisées avec contrainte, vous devez saisir
une valeur dans le champ Largeur ou dans le champ Hauteur, afin que l’autre valeur
soit automatiquement déterminée.292 Chapitre 21 Ajout de réglages de géométrie
Les dimensions pertinentes de la taille de sortie sont automatiquement saisies
dans les champs Largeur et Hauteur en fonction de ce que vous choisissez dans
les menus locaux.
 Menu local « Aspect des pixels » : utilisez ce menu local pour définir les proportions
des pixels du fichier multimédia de sortie. Il force les proportions des pixels à se conformer à des formats particuliers. Cela est particulièrement important lors de l’utilisation de certains filtres. Par exemple, si le graphique que vous utilisez pour le filtre
Filigrane utilise un cercle et que vous souhaitez vous assurer qu’il ressemblera toujours à un cercle une fois l’opération terminée (et non à un ovale), vous devez choisir
le paramètre « Aspect des pixels » correspondant à votre format de sortie. Les
options sont les suivantes :
 Par défaut : les valeurs de proportions des pixels sont définies en fonction de valeurs
de largeur et de hauteur courantes. Ainsi, la valeur par défaut pour 720 x 480 ou
720 x 486 est NTSC CCIR 601/DV NTSC.
 Carré : utilisez cette option lorsque la sortie doit être affichée sur des ordinateurs.
 NTSC CCIR 601/DV : impose une proportion de 4:3 avec une résolution
de 720 x 480 pixels.
 NTSC CCIR 601/DV (anamorphosé) : impose une proportion de 16:9 avec une résolution de 720 x 480 pixels.
 PAL CCIR 601 : impose une proportion de 4:3 avec une résolution de 720 x 576 pixels.Chapitre 21 Ajout de réglages de géométrie 293
 PAL CCIR 601 (anamorphosé) : impose une proportion de 16:9 en utilisant
720 x 576 pixels.
 DVCPRO HD 720p60 (16:9) : impose une proportion de 16:9 en utilisant 1280 x 720 pixels.
 DVCPRO HD 1080i60 (16:9) : impose une proportion de 16:9 avec une résolution
de 1920 x 1080 pixels.
 HDV 1080i (16:9) : impose une proportion de 16:9 en utilisant 1440 x 1080 pixels.
Cadre d’image de sortie (remplissage)
 Remplissage : utilisez ce menu local pour choisir une configuration prédéfinie de remplissage ou le réglage Personnalisé qui vous permet de saisir manuellement des valeurs
dans les champs Gauche, Droite, En haut et En bas. Les configurations prédéfinies sont
4x3 1,33:1, 16x9 1,78:1, Panavision 2,35:1, Norme Europe 1,66:1, Norme UK 1,75:1
et Academy 1,85:1.
 Gauche, Droite, Haut et Bas : utilisez ces champs pour ajouter des pixels « de
remplissage » au pourtour d’une image. Il s’agit en fait du contraire du rognage.
Si la taille d’image du fichier multimédia de sortie est différente de celle du fichier
multimédia source, il est parfois préférable de remplir l’image plutôt que de la
redimensionner. 294 Chapitre 21 Ajout de réglages de géométrie
Ajustements de géométrie pour un réglage
Utilisez la sous-fenêtre Géométrie de la fenêtre Inspecteur pour rogner, mettre à
l’échelle et changer les proportions d’un réglage.
Pour ajouter des réglages de rognage, de dimensionnement d’image et de proportions à un réglage :
1 Ouvrez l’onglet Réglages.
2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier multimédia source
dans la fenêtre Lot.
3 Cliquez sur l’onglet Géométrie de l’Inspecteur.
4 Saisissez vos réglages de cadre de source (rognage), choisissez les dimensions de la
taille de sortie dans le menu local « Taille d’image », puis sélectionnez des réglages
de remplissage dans la section « Cadre d’image de sortie ».
Vous pouvez voir toutes les modifications apportées au réglage en consultant
le tableau de la sous-fenêtre Résumé.Chapitre 21 Ajout de réglages de géométrie 295
Remarque : vous pouvez ajuster la taille de l’image de deux façons différentes : soit vous
saisissez des valeurs dans les champs de rognage, soit vous déplacez les lignes rouges
du cadre dans la fenêtre Preview. Dans ce dernier cas, les valeurs résultantes apparaissent
dynamiquement dans les champs de rognage, ce qui vous permet d’avoir une représentation numérique du rognage du cadre. Maintenez enfoncée la touche Maj afin de forcer
le rognage aux proportions, à la hauteur ou à la largeur de la source.
Consultez la section « À propos de la sous-fenêtre Géométrie » à la page 290 ou
« Prévisualisation d’un plan » à la page 310 pour plus d’informations.
Si vous sélectionnez une cible
de lot, tout redimensionnement
effectué dans la fenêtre Preview
est reflété dans la sous-fenêtre
Géométrie. Vous pouvez aussi
saisir des valeurs directement
dans ces champs de rognage.
Déplacez les lignes
rouges du cadre (à l’aide
des poignées) pour
ajuster la taille du cadre
du fichier de sortie.22
297
22 Ajout d’actions à un réglage
Vous pouvez ajuster vos réglages de manière plus précise
à l’aide de la sous-fenêtre Actions de la fenêtre Inspecteur.
Ce chapitre contient les sections suivantes :
 Utilisation des actions de post-transcodage (p. 297)
 Ajout d’actions (p. 299)
 Déclenchement des droplets AppleScript (p. 301)
Utilisation des actions de post-transcodage
Pour chaque préréglage, Compressor peut envoyer un message électronique à un destinataire pour l’informer que le transcodage est terminé. Vous pouvez aussi ajouter un
script AppleScript par préréglage. Cela vous offre quelques options de post-transcodage
pour votre fichier multimédia de sortie, telles que la création d’un script AppleScript permettant d’ajouter des métadonnées à un fichier QuickTime, le transfert automatique
du fichier transcodé à un serveur web de diffusion ou la création d’un dossier surveillé
déclenchant automatiquement le processus de transcodage chaque fois que vous
y faites glisser de nouveaux fichiers multimédias sources.
Remarque : dans vos préférences Internet, vous devez configurer un serveur de messagerie sortant pour pouvoir bénéficier de la notification par message électronique.
Cette option n’est pas disponible pour les services de courrier nécessitant une authentification SMTP.298 Chapitre 22 Ajout d’actions à un réglage
À propos de la sous-fenêtre Actions
Utilisez la sous-fenêtre Actions de l’Inspecteur pour configurer les options liées aux
envois par message électronique de notifications de fin de transcodage ou aux options
« AppleScript de post-transcodage ».
La sous-fenêtre Actions contient les éléments suivants :
 Notification par courrier électronique à : si vous souhaitez recevoir une notification dès
qu’une tâche de transcodage particulière est terminée, sélectionnez cette case et saisissez une adresse électronique valide dans le champ de texte. (Vous ne pouvez spé-
cifier qu’une seule adresse.) Cette option est utile si le transcodage d’un fichier
multimédia source particulièrement volumineux requiert plusieurs heures. Au lieu de
vérifier de façon répétée le déroulement du transcodage, attendez simplement de
recevoir un message électronique vous en indiquant la fin.
Remarque : pour activer cette fonctionnalité de courrier électronique, vous devez
d’abord saisir une adresse électronique et un serveur de courrier sortant dans les
Préférences de Compressor. Sélectionnez Compressor > Préférences.
 Exécuter AppleScript sur la sortie : sélectionnez cette case pour activer un script choisi.
Même si vous avez choisi un script, il ne sera exécuté que si vous avez sélectionné
cette case.
 Bouton Sélectionner : cliquez sur ce bouton pour sélectionner un script existant que
vous souhaitez affecter au fichier de sortie. L’ajout d’un script constitue une méthode
utile pour appliquer des actions de post-transcodage à votre tâche, telles qu’ajouter
des métadonnées à des fichiers QuickTime ou ajouter des éléments QuickTime
interactifs.
Bouton Choisir
Case à cocher d’envoi
d’une notification par
message électroniqueChapitre 22 Ajout d’actions à un réglage 299
Ajout d’actions
Utilisez la sous-fenêtre Actions dans la fenêtre Inspecteur pour configurer les options
de post-transcodage pour le fichier multimédia de sortie, telles que l’envoi d’un message électronique, l’ajout de métadonnées à des fichiers QuickTime ou le transfert du
fichier transcodé vers un serveur Web de contenu multimédia ou vers DVD Studio Pro.
Pour ajouter une notification par courrier électronique à votre réglage :
1 Ouvrez l’onglet Réglages.
2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier de données source
dans la fenêtre Lot.
3 Cliquez sur l’onglet « Actions de l’Inspecteur ».
4 Cochez la case « Notification par courrier électronique à » et introduisez l’adresse
électronique appropriée dans le champ contigu.
Remarque : pour activer cette fonctionnalité de courrier électronique, vous devez
d’abord saisir une adresse électronique et un serveur de courrier sortant dans les
Préférences de Compressor. Sélectionnez Compressor > Préférences.
Pour ajouter un script à votre réglage :
1 Ouvrez l’onglet Réglages.
2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier de données source
dans la fenêtre Lot.
3 Cliquez sur l’onglet « Actions de l’Inspecteur ».300 Chapitre 22 Ajout d’actions à un réglage
4 Cliquez sur le bouton Choisir.
La zone de dialogue Sélection de fichier apparaît.
5 Naviguez jusqu’au fichier AppleScript souhaité, puis cliquez sur Ouvrir.
Le chemin d’accès du fichier AppleScript apparaît sous le bouton Choisir. Assurez-vous
que la case est sélectionnée. Dans le cas contraire, le script ne sera pas appliqué au
réglage.
Consultez la section « À propos de la sous-fenêtre Actions » à la page 298 pour obtenir
plus d’informations.Chapitre 22 Ajout d’actions à un réglage 301
Déclenchement des droplets AppleScript
Suivez la procédure ci-dessous pour vous assurer que votre script traitera correctement
les fichiers multimédias de sortie Compressor.
Pour créer une application droplet AppleScript en vue de traiter les fichiers créés
par Compressor :
1 Dans Éditeur de scripts, choisissez Fichier > Enregistrer sous.
2 Dans la zone de dialogue Enregistrer :
a Choisissez Application dans le menu local « Format du fichier ».
b Désactivez les options Exécutable uniquement, Écran de démarrage et Rester en
arrière-plan.
c Cliquez sur Enregistrer.
Le script est enregistré comme script applicatif. Étant donné que le script contient
un gestionnaire « activé à l’ouverture », le script applicatif est enregistré comme
application droplet, ce qui est indiqué par une flèche sur son icône.
Pour déclencher automatiquement une droplet AppleScript après avoir comprimé
des fichiers :
1 Dans Compressor, affectez un préréglage à un fichier Importé de la fenêtre Lot.
2 Dans la fenêtre Lot, sélectionnez le préréglage, puis choisissez Fenêtre > Afficher
l’Inspecteur (ou appuyez sur Commande + Option + I).
3 Dans la fenêtre Inspecteur, cliquez sur l’onglet Actions.
4 Activez l’option « Exécuter AppleScript sur la sortie », puis choisissez l’application
droplet AppleScript.
Informations supplémentaires sur AppleScript
Vous trouverez plus d’informations sur l’écriture de scripts destinés à être utilisés avec
Compressor sur les sites web suivants :
 Développeurs Apple : http://developer.apple.com/applescript/ (en anglais)
 Clients généraux Apple : http://macscripter.net/ (en anglais)23
303
23 Utilisation de la fenêtre Preview
La fenêtre Preview a deux rôles principaux : vous pouvez
l’utiliser pour lire un fichier source dans son format d’origine
ou afficher un aperçu du fichier avec les réglages qui lui ont
été affectés.
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 À propos de la fenêtre Preview (p. 304)
 Prévisualisation d’un plan (p. 310)
 Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Preview (p. 315)
 Ajout de marqueurs à un plan (p. 317)
 Raccourcis clavier de la fenêtre Preview (p. 323)
Lorsque vous utilisez la fenêtre Preview pour comparer la version originale du plan à
la version de sortie, vous pouvez effectuer et afficher les modifications en temps réel.
Cette comparaison permet de vérifier les effets des réglages sur votre fichier avant
d’engager du temps et des ressources dans le processus de transcodage. Il est conseillé de la faire pour vérifier la qualité d’un fichier multimédia de sortie.
Version du plan mise à
l’échelle, rognée et filtrée
Version originale
du plan304 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview
Vous pouvez également utiliser la fenêtre Preview pour agrandir la taille de l’écran de
prévisualisation, ajouter manuellement des images I (MPEG-1 et MPEG-2 uniquement),
et désigner une portion d’un fichier de média pour transcodage à l’aide des marqueurs
d’entrée et de sortie.
À propos de la fenêtre Preview
La fenêtre Preview permet de lire des éléments avant de les soumettre à l’étape de
transcodage, et de comparer les versions d’un plan pour vous assurer que la qualité
du fichier multimédia de sortie est acceptable.
La fenêtre Preview contient les éléments suivants :
 Sélection d’échelle Preview : permet d’adapter la taille de l’écran de prévisualisation.
Les trois paramètres sont 100%, 75% et 50%, mais vous pouvez aussi déplacer la poignée de la fenêtre Preview pour définir la taille à votre guise.
 Sélection source/réglage : utilisez ces boutons pour prévisualiser l’élément de lot
sélectionné en utilisant les proportions et la taille de la source ou de la sortie. Le bouton Vue source fournit également une limite de rognage que vous pouvez utiliser
pour définir un ou plusieurs bords à rogner. Le bouton « Vue de sortie » affiche la
version rognée du fichier en tenant compte des réglages de proportions et de taille.
Contrôles d’entrée et
de sortie
Sélection d’échelle Preview
Sélection source/réglage
Zone d’écran Preview
Contrôles de sélection
d’élément
Contrôles de Timeline Menu local Marqueur
Informations sur
la source/sortie
Contrôles de navigationChapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 305
 Informations sur la source/sortie : la taille d’image et la fréquence d’images du plan
sont illustrées dans l’angle inférieur gauche de la fenêtre Preview. La durée du
plan (depuis le point d’entrée jusqu’au point de sortie) est affichée dans le coin
inférieur droit. Lorsque le bouton Vue source est sélectionné, la taille d’image et la
fréquence d’images représentent le plan source. Lorsque le bouton « Vue de sortie »
est sélectionné, la taille d’image et la fréquence d’images représentent le réglage
de cet élément du lot.
Remarque : pour voir la durée totale d’un plan (sans les points d’entrée et de sortie),
sélectionnez le fichier source dans la fenêtre Lot et ouvrez la fenêtre de l’Inspecteur
(par les menus Fenêtre > Afficher l’Inspecteur).
Zone de contrôle de sélection d’élément
Vous pouvez utiliser la zone de sélection d’élément pour choisir dans la fenêtre Lot des
éléments spécifiques à afficher dans la fenêtre Preview.
 Boutons de sélection d’éléments : utilisez ces boutons pour avancer ou reculer dans
la liste des fichiers multimédia sources et des plans associés à leurs réglages et disponibles pour la prévisualisation. Dès que vous cliquez dans la liste, l’élément sélectionné apparaît dans le menu local Élément.
 Menu local Élément : choisissez, à l’aide de ce menu local, le fichier multimédia source
que vous souhaitez prévisualiser avec ou sans les réglages qui lui sont associés.
Contrôles d’entrée et de sortie
Une fois que vous avez sélectionné l’élément, les contrôles d’entrée et de sortie peuvent être utilisés pour afficher et ajuster les informations de timecode des points
d’entrée et de sortie.
 Champs de timecode entrée et sortie : les emplacements exacts des points d’entrée et de
sortie sont affichés dans ces champs dans le format de timecode standard : hh:mm:ss:ii.
Vous pouvez les éditer manuellement en sélectionnant un champ, puis en saisissant de
nouvelles valeurs. Si une nouvelle valeur est saisie, le point d’entrée ou de sortie approprié de la Timeline se déplace vers le point spécifié dans l’élément en cours.
Boutons de sélection
d’éléments
Menu local Élément
Règle le point d’entrée
sur la position de
lecture actuelle
Règle le point de
sortie sur la position
de lecture actuelle
Timecode du point
d’entrée
Timecode du point
de sortie306 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview
Remarque : si votre fichier multimédia source dispose d’une piste de timecode spécifique, le timecode de début et de fin du plan s’affiche dans ces deux champs. Dans
tous les autres cas, le timecode commence par 00:00:00:00.
 Boutons de point d’entrée et de sortie : faites glisser les boutons « Point d’entrée »
(flèche pointant vers la droite) ou « Point de sortie » (flèche pointant vers la gauche)
dans la Timeline afin de définir un nouveau point d’entrée ou de sortie. Vous pouvez
également utiliser les boutons Définir entrée et Définir sortie (en regard des champs
de timecode) afin de définir les points d’entrée et de sortie.
Zone d’écran Preview
La zone d’écran Preview affiche l’élément actuellement sélectionné. L’écran de prévisualisation contient aussi les éléments suivants :
 Curseur de partage de l’écran : déplacez le curseur de partage d’écran situé en haut
de l’écran de prévisualisation selon la distance souhaitée pour comparer le fichier
multimédia source (à gauche) et le fichier multimédia de sortie (à droite). La division
de l’écran est indiquée par ce curseur, mais également par une ligne verticale blanche qui coupe l’image en deux.
 Limite de rognage : la limite de rognage n’est disponible que dans la vue Source. Utilisez les poignées pour déplacer les bordures et angles de rognage rouges dans la direction dans laquelle vous souhaitez rogner votre fichier de média de sortie. Quant à la
poignée centrale, elle vous permet de déplacer l’image entière dans une direction
quelconque tout en conservant ses dimensions. Les nouvelles valeurs (gauche, haut,
droite et bas) s’affichent dynamiquement dans l’écran de prévisualisation à mesure
que vous rognez le cadre. En outre, si la fenêtre Inspecteur est ouverte et que la cible
du lot est sélectionnée, ces mêmes valeurs apparaissent aussi dans les champs de
rognage de la sous-fenêtre Géométrie. Sélectionnez la vue Sortie pour afficher
les résultats des paramètres de limite de rognage.
Limite de rognage
Dimensions de rognage
(également visibles dans les
champs Cadre de source de
la sous-fenêtre Géométrie)
Poignée de rognage pour
l’angle inférieur droit
Curseur de partage
de l’écranChapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 307
Contrôles de Timeline
Les contrôles de Timeline fournissent des informations sur le plan, notamment les marqueurs qu’il possède et les réglages actuels de point d’entrée et de sortie. Vous pouvez
également utiliser la Timeline pour positionner la tête de lecture sur une image spécifique et pour définir les points d’entrée et de sortie.
 Timecode de tête de lecture : affiche le timecode de la position de la tête de lecture
dans la Timeline à l’aide du format de timecode standard hh:mm:ss:ii. Vous pouvez
saisir une nouvelle valeur pour positionner avec précision la tête de lecture dans
la Timeline.
Remarque : si votre fichier multimédia source dispose d’une piste de timecode
spécifique, le timecode du plan s’affiche dans ce champ. Dans tous les autres cas,
le timecode commence par 00:00:00:00.
 Points d’entrée et de sortie : utilisez ces points si vous souhaitez transcoder uniquement une section de votre fichier multimédia source au lieu de la totalité du fichier.
Déplacez les points pour indiquer les points de début et de fin dans le fichier multimédia source que vous souhaitez transcoder. Les champs de timecode d’entrée et
de sortie situés en bas de la fenêtre Preview sont mis à jour à mesure que vous faites
glisser ces points. Vous pouvez également cliquer sur les boutons « Définir le point
d’entrée » et « Définir le point de sortie » afin de définir les points à l’endroit où la
tête de lecture est positionnée.
Les points d’entrée et de sortie ne sont pas conservés à la fin du transcodage,
vous devrez donc les réappliquer à votre plan si vous souhaitez resoumettre un lot
depuis le tableau Historique. Les points d’entrée et de sortie sont assignés au fichier
multimédia source et non au réglage. Ainsi, quels que soient les points d’entrée et de
sortie que vous créez, le résultat est le même pour tous les autres réglages associés à
ce fichier multimédia source dans le lot en cours.
 Tête de lecture : elle vous donne une indication visuelle de l’emplacement de l’image
affichée dans le plan. Vous pouvez déplacer la tête de lecture pour naviguer et
atteindre rapidement un point donné du plan.
 Marqueur : fournit une indication visuelle de l’emplacement où un marqueur a été
placé dans le plan. La couleur du marqueur indique son type :
 Bleu : marqueurs de compression (il s’agit des marqueurs de compression que l’on
ajoute manuellement).
 Violet : marqueurs de chapitre ou de podcast (il s’agit de marqueurs nommés destinés à servir à la navigation ou d’illustrations dans le fichier multimédia de sortie).
Timecode de tête
de lecture
Tête de lecture
Marqueur
Point d’entrée Point de sortie308 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview
 Vert : marqueurs de montage/de coupe (il s’agit de marqueurs de compression qui
sont ajoutés automatiquement aux points de montage de la séquence Final Cut Pro).
Consultez la section « Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317 pour plus
d’informations.
Contrôles de navigation
Ces contrôles positionnent la tête de lecture vers l’arrière ou l’avant là où se trouve
exactement soit le prochain marqueur, soit le prochain marqueur point d’entrée ou
de sortie, ce qui permet de naviguer facilement et rapidement entre les différents
marqueurs. Vous pouvez aussi utiliser ces boutons pour placer rapidement la tête de
lecture au début ou à la fin du plan.
 Bouton Lecture/Pause : démarre ou arrête la lecture du plan. Si vous arrêtez la lecture,
la tête de lecture reste à sa position actuelle. Pour revenir au début du plan, déplacez
la tête de lecture vers l’arrière jusqu’au début du plan ou cliquez sur le contrôle de
déplacement vers le marqueur précédent.
 Bouton de déplacement vers le marqueur précédent ou suivant : déplace la tête de lecture soit vers le marqueur précédent ou suivant, soit vers le début ou la fin du plan si
aucun autre marqueur n’est présent.
 Boutons de retour et d’avance rapide : permet de lire votre plan dans les deux directions, à deux fois la vitesse normale. Maintenez un bouton enfoncé pour poursuivre
le balayage dans la direction correspondante.
 Bouton « Lecture en boucle » : cliquez sur ce bouton pour lire le média en boucle continue.
Déplacement vers
le marqueur précédent
Lecture/pause
Retour rapide
Déplacement vers
le marqueur suivant
Avance rapide
Bouton « Lecture
en boucle »Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 309
Menu local Marqueur
Utilisez le menu local Marqueur pour gérer les marqueurs du plan. Même si vous pouvez utiliser les marqueurs avec tous les réglages, ils n’affectent vraiment le fichier de
sortie que lorsque le réglage utilise les formats MPEG-1, MPEG-2, MPEG-4 (configuré
pour le podcasting), H.264 pour DVD Studio Pro, H.264 pour appareils Apple ou
séquence QuickTime. Consultez la section « Ajout de marqueurs à un plan » à la
page 317 pour plus d’informations.
 Importer une liste des chapitres : cette option ouvre une zone de dialogue d’importation
de fichiers qui vous permet d’importer un fichier contenant la liste des marqueurs temporels de chapitre du fichier multimédia source. Consultez la section « Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast à un plan » à la page 320 pour plus d’informations.
 Ajouter/supprimer le marqueur : la fonction du bouton varie selon la position de
la tête de lecture (sur un marqueur ou non).
 Lorsqu’elle n’est pas positionnée sur un marqueur, le bouton indique Ajouter un marqueur. Si vous cliquez sur Ajouter un marqueur, un nouveau marqueur est placé
sur la Timeline, à la position actuelle de la tête de lecture.
 Lorsqu’elle est positionnée sur un marqueur, le bouton indique Supprimer
le marqueur. Si vous cliquez sur Supprimer le marqueur, le marqueur actuel
est supprimé.
 Modifier : disponible uniquement lorsque la tête de lecture est positionnée sur un
marqueur. Cliquer sur Modifier ouvre une zone de dialogue permettant de configurer le marqueur. Cette zone de dialogue vous permet de définir le type de marqueur
et de lui assigner une URL et une image. Consultez la section « Ajout de marqueurs
de chapitre ou de podcast à un plan » à la page 320 pour plus d’informations.
 Afficher les marqueurs de chapitre/podcast : contrôle si les marqueurs de chapitre et
de podcast (ceux qui possèdent un nom) sont affichés dans la Timeline. Une coche
indique s’ils sont affichés.
 Afficher les marqueurs de compression : permet de contrôler si les marqueurs de compression (ceux sans nom) sont affichés dans la Timeline. Une coche indique s’ils sont
affichés.
 Afficher marqueurs modifiés/coupés : contrôle si les marqueurs placés automatiquement à chaque point de montage par une autre application, telle que Final Cut Pro,
sont affichés dans la Timeline. Une coche indique qu’ils sont affichés.310 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview
Prévisualisation d’un plan
Vous pouvez soit prévisualiser un fichier multimédia source d’origine seul, soit le prévisualiser avec les réglages qui lui ont été associés. Les fichiers multimédia sources apparaissent dans la liste sous leurs noms de fichiers. Tous les réglages appliqués au fichier
multimédia source apparaissent immédiatement sous le nom du fichier, ce qui facilite
leur identification. Le fait de visualiser le fichier multimédia source d’origine seul ou
le fichier multimédia source avec les réglages qui lui ont été associés détermine
les options affichées dans la fenêtre Preview.
Important : il est impossible de prévisualiser les réglages effectués dans les sous-fenê-
tres Encodeur ou Contrôles d’images. Seuls les réglages effectués dans les sous-fenê-
tres Filtres et Géométrie peuvent être prévisualisés. Consultez la section « Transcodage
d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Preview » à la page 315 pour obtenir
une autre méthode de prévisualisation des réglages effectués dans les sous-fenêtres
Encodeur et Contrôles d’images.
Pour prévisualiser un fichier multimédia source :
1 Ouvrez la fenêtre Preview.
Remarque : vous pouvez ouvrir votre fichier multimédia source dans la fenêtre
Preview en une seule étape, en double-cliquant sur ses tâches dans la fenêtre Lot.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Choisissez un fichier multimédia source dans le menu local Élément (identifié par son
nom de fichier).
 Cliquez sur les boutons de sélection d’éléments jusqu’à ce que le fichier multimédia
source apparaisse dans le menu local.
 Sélectionnez le fichier multimédia source dans ses tâches au sein de la fenêtre Lot.
Seul le bouton Vue source est valide (le bouton « Vue de sortie » est inactif), car vous
avez sélectionné un fichier multimédia source normal, ce qui vous permet uniquement
de visualiser le plan original, sans les lignes de rognage ou les lignes de division d’écran.
Un réglage appliqué au
fichier multimédia source
« Nancy at table CU 5 ».
La coche indique qu’elle
est affichée dans la fenê-
tre Preview.
Le fichier multimédia source
d’origine intitulé « Nancy at
table CU 5 »
Sélectionnez l’image des barres de couleurs par défaut.Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 311
3 Choisissez la taille de l’écran de prévisualisation dans le menu local de mise à l’échelle
ou déplacez la poignée de la fenêtre Preview jusqu’à obtenir la taille souhaitée.
Cela n’affecte pas la taille du cadre d’affichage du fichier de média de sortie proprement dit. Celle-ci ne peut être définie qu’à partir de la sous-fenêtre Géométrie de
la fenêtre Inspecteur.
4 Cliquez sur le bouton Lecture pour prévisualiser le fichier multimédia source sélectionné.
Les fichiers source contenant des marqueurs, tels que les fichiers de Final Cut Pro,
les affichent dans la Timeline. Vous pouvez gérer les marqueurs si nécessaire. Consultez
la section « Ajout de marqueurs à un plan » à la page 317 pour plus d’informations.
Pour prévisualiser un plan associé à un réglage :
1 Ouvrez la fenêtre Preview.
Remarque : vous pouvez ouvrir le plan dans la fenêtre Preview en une seule étape,
en double-cliquant sur la cible (qui contient le réglage) d’une tâche dans la fenêtre Lot.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Choisissez un réglage dans le menu local Élément (les noms de réglages situés en
retrait, pas les noms de fichiers sources).
 Cliquez sur les boutons de sélection d’élément jusqu’à ce que le plan et son réglage
apparaisse dans le menu local.
 Sélectionnez le réglage du plan dans ses tâches au sein de la fenêtre Lot.
Les deux boutons Vue source et Vue réglage (sortie) sont actifs, ce qui vous permet de
passer d’une vue à l’autre. Comme vous avez sélectionné un réglage, vous pouvez utiliser le curseur de division d’écran et les lignes de rognage de la fenêtre Preview.
3 Cliquez sur le bouton Vue de réglage dans l’angle supérieur droit de la fenêtre Preview.
4 Choisissez la taille de l’écran de prévisualisation dans le menu local de mise à l’échelle
ou déplacez la poignée de la fenêtre Preview jusqu’à obtenir la taille souhaitée.
Cela n’affecte pas la taille du cadre d’affichage du fichier de média de sortie proprement dit. Celle-ci ne peut être définie qu’à partir de la sous-fenêtre Géométrie de
la fenêtre Inspecteur.
Remarque : si vous adaptez la taille de l’image d’un réglage (dans la sous-fenêtre Géométrie) en cours de prévisualisation dans la fenêtre Preview, il se peut que la taille de
l’image ne soit pas actualisée en conséquence. Si cela se produit, sélectionnez Échantillon de séquence ou une autre cible dans le menu local Élément, puis sélectionnez
cette cible à nouveau afin qu’elle affiche la taille d’image adéquate.312 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview
5 Faites glisser le curseur de partage de l’écran situé en haut de l’écran vers la gauche ou
la droite pour déplacer plus ou moins la ligne de division de l’écran sur la portion transcodée du plan.
6 Utilisez les limites de rognage pour ajuster la taille du cadre d’affichage de votre fichier
multimédia de sortie.
7 Vérifiez les résultats de votre rognage en cliquant sur les boutons Vue source et « Vue
de réglage ».
Remarque : paradoxalement, plus vous réduisez l’image d’un plan en la rognant,
plus le facteur d’échelle de l’image de sortie sera grand, car la géométrie de cadrage
est fonction des proportions de la taille de sortie, et pas des paramètres du fichier
source. Tout se passe comme si vous agrandissiez l’image, avec comme conséquence
des pixels plus grands et une dégradation générale de l’image. En conséquence, veillez
à ne pas rogner une image agrandie pour lui redonner sa taille originale par rapport à
la taille originale du cadre.
Limites de rognage
et poignées
Curseur de partage
de l’écran
Ligne de division
de l’écran Dimensions de rognage
(également visibles dans les
champs Cadre de source de
la sous-fenêtre Géométrie)
Boutons de visualisation de
Menu local Élément la source et des réglages
Boutons de visualisation de
la source et des réglagesChapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 313
8 Sélectionnez le filtre que vous voulez ajuster et effectuez les modifications jugées
nécessaires.
Remarque : dans la liste Filtres, la case située à gauche du filtre que vous sélectionnez
doit être cochée. Dans le cas contraire, le filtre ne sera pas appliqué au réglage.
Sélection de réglage
Filtres sélectionnés vus
dans la fenêtre Preview314 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview
9 Si vous souhaitez que la taille du cadre d’affichage de votre fichier de média de sortie
soit différente de celle de votre fichier multimédia source, ouvrez la sous-fenêtre
Géométrie dans la fenêtre Inspecteur, puis choisissez une valeur dans le menu local
« Taille d’image » ou introduisez des valeurs de taille de sortie différentes dans les
champs appropriés.
Remarque : conformément aux spécifications MPEG-2, la taille des cadres d’affichage
dans ce format est préétablie. Par conséquent, lorsque vous utilisez ce format, tous les
éléments qui concernent la taille de sortie sont indisponibles.
10 Dans la fenêtre Preview, cliquez sur le bouton Lecture pour visualiser le plan.
Consultez la section « À propos de la fenêtre Preview » à la page 304 pour plus de détails
sur ces paramètres.
Dimensions de
rognage (également affichées
dans la fenêtre
Inspecteur quand
les lignes de
rognage sont
déplacées)Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 315
Transcodage d’une section du plan à l’aide de la
fenêtre Preview
Alors que les options définies par Géométrie (tels que le rognage et le changement
d’échelle) et Filtres s’affichent instantanément dans la fenêtre Preview, les réglages
« Contrôles d’images » et Encodeur ne le sont pas. Pour prévisualiser ces derniers,
lancez un transcodage de test sur une petite section de votre fichier multimédia
source.
Utilisez la fenêtre Preview pour définir les points d’entrée et de sortie, afin de transcoder uniquement une section de votre fichier multimédia au lieu du fichier entier.
Lecture de fichiers Dolby Digital Professional (AC-3) dans
la fenêtre Preview
Vous pouvez utiliser la fenêtre Preview pour lire des fichiers Dolby Digital Professional
(AC-3). Compressor comprend un décodeur Dolby Digital qui vous permet, lorsque
vous ajoutez un fichier multimédia source AC-3 à un lot, de l’écouter à l’aide des hautparleurs de votre ordinateur. Il peut s’agir des haut-parleurs stéréo intégrés, qui lisent
une version sous-mixée du fichier AC-3 s’il contient plus de deux canaux, ou de hautparleurs Surround externes connectés à une sortie USB ou FireWire.
Important : pendant que Compressor décode le fichier audio Dolby Digital, vous ne
pouvez pas utiliser la sortie optique de votre ordinateur pour écouter un aperçu du
son Dolby Digital.
Cette caractéristique est importante si vous utilisez l’encodeur Dolby Digital Professional,
car vous ne pouvez pas prévisualiser les réglages de l’encodeur en temps réel dans la
fenêtre Preview. Vous pouvez cependant ajouter les fichiers AC-3 encodés à un lot et les
lire, afin de vérifier si les réglages de l’encodeur produisent de bons résultats. Consultez
la section « Transcodage d’une section du plan à l’aide de la fenêtre Preview » à la
page 315 pour plus d’informations sur la création d’un court plan test à cette fin.316 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview
Pour désigner une section de votre fichier multimédia pour transcodage :
1 Ouvrez la fenêtre Preview.
2 Choisissez un plan dans le menu local ou cliquez sur les boutons de sélection de l’élé-
ment jusqu’à ce que le plan apparaisse dans le menu local.
3 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Faites glisser le point d’entrée jusqu’à l’emplacement approprié.
 Faites glisser la tête de lecture à l’endroit où vous souhaitez que le transcodage commence, puis cliquez sur le bouton « Définir le point d’entrée ».
4 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Faites glisser le point de sortie jusqu’à l’emplacement approprié.
 Faites glisser la tête de lecture à l’endroit où vous souhaitez que le transcodage
se termine, puis cliquez sur le bouton « Définir le point de sortie ».
Le transcodage ne concerne que le segment du fichier multimédia compris entre
les deux points que vous venez de définir. Le reste du plan n’est pas transcodé.
Important : lorsque vous utilisez des marqueurs pour spécifier un segment du fichier
multimédia source à transcoder, ils s’appliquent à toutes les cibles associées à la tâche
du fichier. Vous pouvez ajouter plusieurs fois un fichier multimédia de sortie à un lot,
afin de créer plusieurs tâches, et définir des points d’entrée et de sortie différents pour
chaque tâche.
Bouton « Définir le
point d’entrée »
Tête de lecture
Point d’entrée Point de sortie
Bouton « Définir le
point de sortie »Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 317
Ajout de marqueurs à un plan
Compressor peut importer et créer différents types de marqueurs. Compressor peut
en outre importer des listes complètes de marqueurs de chapitre.
Formats de fichiers de sortie compatibles avec les marqueurs
Tous les formats de fichiers de sortie ne sont pas compatibles avec les marqueurs.
Voici une liste des formats qui les reconnaissent.
 MPEG-2
 MPEG-4 configuré pour le podcasting (audio uniquement et si la case « Autoriser
les informations de podcasting » est activée)
 Séquences QuickTime
 H.264 pour DVD Studio Pro
 H.264 pour appareils Apple
Vous pouvez définir et configurer des marqueurs pour d’autres formats de fichiers
de sortie, mais ils ne seront pas intégrés au fichier de sortie encodé.
Types de marqueurs
Compressor peut importer et créer les types de marqueurs suivants :
 Marqueurs de chapitre : les marqueurs de chapitre permettent d’accéder facilement
aux points d’index d’un DVD, d’une séquence QuickTime ou d’un podcast.
Compressor et DVD Studio Pro peuvent tous deux lire les marqueurs de chapitre
exportés depuis Final Cut Pro. QuickTime Player peut interpréter n’importe quel texte
contenant des horodatages comme piste de chapitre. Les marqueurs de chapitre
peuvent également comporter des illustrations ou une URL qui apparaissent lors de
la lecture d’un podcast.
Ces marqueurs sont affichés en violet dans la Timeline de la fenêtre Preview.
 Marqueurs de podcast : comme pour les marqueurs de chapitre, il est possible d’assigner des illustrations et une URL aux marqueurs de podcast. Les marqueurs de podcast ne peuvent toutefois pas être utilisés pour accéder à des images au sein du plan
et ils n’apparaissent pas sous la forme de marqueurs de chapitre dans
DVD Studio Pro ni QuickTime.
Vous pouvez utiliser les marqueurs de podcast pour créer un diaporama (contenant
des URL) que les utilisateurs peuvent regarder en lisant un podcast audio.
 Marqueurs de compression : également appelés marqueurs de compression manuels,
il s’agit des marqueurs que vous pouvez ajouter à une séquence Final Cut Pro (ou
dans la fenêtre Preview de Compressor) pour indiquer à quel moment Compressor
doit générer une image I MPEG au cours de la compression. Consultez la section
« Compréhension des types de GOP et d’images » à la page 211 pour plus d’informations sur les images I.318 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview
Ces marqueurs apparaissent en bleu dans la Timeline de la fenêtre Preview et sont du
type créé lorsque vous ajoutez des marqueurs manuellement à l’aide de Compressor.
Vous pouvez convertir des marqueurs de compression en marqueurs de chapitre en
choisissant l’option Modifier du menu local Marqueurs.
 Marqueurs de montage/de coupe : également appelés marqueurs de compression
automatiques, ces marqueurs sont générés automatiquement par Final Cut Pro à
chaque coupe ou point de transition d’une séquence. Au cours du transcodage,
Compressor utilise les marqueurs de montage/de coupe pour générer des images I
MPEG sur ces points, ce qui améliore la qualité de la compression.
Ces marqueurs apparaissent en vert dans la Timeline de la fenêtre Preview.
Remarque : DVD Studio Pro ignore les marqueurs de montage/de coupe, car ils risquent d’interférer avec l’alignement GOP des vidéo DVD multi-angles. Pour plus
d’informations à ce sujet, consultez la documentation incluse avec DVD Studio Pro.
Ajout et suppression manuelle de marqueurs
La fenêtre Preview intègre une prise en charge complète des marqueurs, y compris
la possibilité de gérer les marqueurs existants du fichier multimédia source, d’ajouter
ou de supprimer manuellement des marqueurs et d’importer des listes de marqueurs
de chapitre (décrit à la section « Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast à un
plan » à la page 320).
Pour ajouter un marqueur de compression à votre plan :
1 Ouvrez la fenêtre Preview.
2 Sélectionnez les éléments « Afficher les marqueurs de chapitre/podcast » et « Afficher
les marqueurs de compression » dans le menu local Marqueur.
3 Choisissez un plan dans le menu local Élément ou cliquez sur le bouton de sélection
d’élément jusqu’à ce que le plan apparaisse dans le menu local.
Remarque : en ce qui concerne les plans contenant des marqueurs, tels que ceux de
Final Cut Pro, ces marqueurs apparaissent dans la Timeline. Vous pouvez modifier ces
marqueurs de la même façon que si vous les aviez saisis manuellement.Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 319
4 Effectuez l’une des opérations suivantes pour déterminer l’emplacement du marqueur :
 Faites glisser la tête de lecture à l’endroit où vous souhaitez ajouter un marqueur.
 Saisissez une valeur de timecode dans le champ de timecode de la tête de lecture.
5 Pour ajouter un marqueur, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Cliquez sur le bouton Marqueur et choisissez Ajouter un marqueur dans le menu local.
 Appuyez sur M.
Un marqueur bleu apparaît dans la Timeline.
Il est possible de convertir les marqueurs de compression en marqueurs de chapitre à
l’aide de l’option Modifier du menu local Marqueurs. Consultez la section « Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast à un plan » à la page 320 pour plus d’informations.
Pour supprimer un marqueur du plan :
1 Cliquez sur les contrôles « Aller au marqueur précédent » ou « Aller au marqueur suivant »
pour déplacer la tête de lecture vers le marqueur que vous souhaitez supprimer.
2 Pour supprimer le marqueur, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Cliquez sur le bouton Marqueur et choisissez Supprimer le marqueur dans
le menu local.
 Appuyez sur M.
Le marqueur disparaît.
Un marqueur bleu
apparaît sous la tête
de lecture après
l’ajout du marqueur.320 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview
Ajout de marqueurs de chapitre ou de podcast à un plan
Pour ajouter manuellement un marqueur de chapitre ou de podcast à un plan,
vous devez d’abord ajouter un marqueur de compression (voir description à la section
précédente), puis modifier le marqueur.
Remarque : un podcast peut contenir des marqueurs de chapitre et des marqueurs
de podcast. La seule différence est que la personne qui visualise le plan peut naviguer
directement jusqu’à un marqueur de chapitre, mais ne peut pas naviguer jusqu’à
un marqueur de podcast. Consultez la section « Types de marqueurs » à la page 317
pour plus d’informations.
Pour ajouter manuellement un marqueur de podcast à un plan :
1 Effectuez l’une des opérations suivantes pour déterminer l’emplacement du marqueur :
 Faites glisser la tête de lecture à l’endroit où vous souhaitez ajouter un marqueur.
 Saisissez une valeur de timecode dans le champ de timecode de la tête de lecture.
2 Pour ajouter un marqueur, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Cliquez sur le bouton Marqueur et choisissez Ajouter un marqueur dans
le menu local.
 Appuyez sur M.
Un marqueur de compression bleu apparaît dans la Timeline.
3 Ouvrez le menu local Marqueurs, puis choisissez l’option Modifier (ou appuyez sur
Commande + E).
Une zone de dialogue permettant de modifier le marqueur apparaît.
4 Choisissez Chapitre ou Podcast dans le menu local Type.Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 321
5 Nommez le chapitre en remplissant le champ correspondant.
Concernant les marqueurs de chapitre, ce nom apparaît dans le fichier multimédia de
sortie où il peut être visualisé à l’aide de QuickTime Player, dans DVD Studio Pro (qui
permet également de le modifier) et dans divers appareils de lecture. Pour les marqueurs de podcast, ce nom n’est pas visible par la personne qui regarde le plan.
6 Vous pouvez également saisir une URL dans le champ URL.
Cette URL s’applique uniquement aux podcasts. Le nom du marqueur apparaît au-dessus de l’illustration et l’utilisateur peut cliquer dessus pour ouvrir le site correspondant
dans le navigateur web.
7 Vous pouvez également associer une image au marqueur en choisissant l’une des
options suivantes dans le menu Image :
 Aucun : aucune image n’est associée au marqueur.
 Image dans la source : vous choisissez une image dans le fichier multimédia source.
L’image par défaut est l’image qui se trouve 2 secondes plus loin que l’image correspondant au marqueur de chapitre.
 Depuis le fichier : cette option ouvre une zone de dialogue de sélection de fichiers
qui vous permet de sélectionner un fichier d’image fixe à associer au marqueur.
Remarque : les images associées aux marqueurs de chapitre sont ignorées par
DVD Studio Pro.
8 Clique sur OK pour fermer la zone de dialogue.
Le marqueur devient violet dans la Timeline pour indiquer qu’il s’agit désormais d’un
marqueur de chapitre ou de podcast. Vous pouvez utiliser les boutons Marqueur précé-
dent et Marqueur suivant pour sélectionner d’autres marqueurs de la Timeline à modifier.
Vous pouvez également importer une liste de marqueurs de chapitre. Ces listes sont
soit au format QuickTime TeXML (format reposant sur XML pour l’élaboration de pistes
textuelles temporelles compatibles avec 3GPP dans un fichier de séquence QuickTime),
soit au format texte des fichiers de listes de chapitres pris en charge par DVD Studio Pro.
Pour plus d’informations, consultez la section « Création de listes de marqueurs de
chapitre en texte brut, » ci-après.
Pour importer une liste de marqueurs de chapitre :
1 Ouvrez la fenêtre Preview.
2 Choisissez un plan dans le menu local Élément ou cliquez sur le bouton de sélection
d’élément jusqu’à ce que le plan apparaisse dans le menu local.
3 Dans le menu local Marqueurs, choisissez « Importer la liste des chapitres ».
Une zone de dialogue de sélection de fichiers s’ouvre et vous permet de trouver et de
sélectionner le fichier de marqueurs de chapitre correspondant au fichier multimédia
de sortie. 322 Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview
4 Sélectionnez le fichier de marqueurs de chapitre, puis cliquez sur Ouvrir.
Les marqueurs sont importés et ajoutés à la Timeline de la fenêtre Preview.
Remarque : alors que tous les marqueurs importés à l’aide de la liste des marqueurs
de chapitre sont configurés comme marqueurs de chapitre, vous pouvez utiliser la zone
de dialogue de modification des marqueurs pour les transformer en marqueurs de
podcast ou de compression. De plus, vous pouvez y ajouter des URL et des illustrations
si vous le souhaitez.
Important : les valeurs de timecode de la liste doivent être basées sur le timecode du
fichier multimédia source.
Création de listes de marqueurs de chapitre en texte brut
Vous pouvez créer une liste de points de timecode que Compressor peut importer afin
de créer des marqueurs. Les valeurs de timecode doivent correspondre aux timecode
du plan vidéo de la piste. La liste des valeurs de timecode doit se présenter sous
la forme d’un fichier en format texte brut ; vous pouvez le créer à l’aide de TextEdit
(à condition d’enregistrer le fichier en texte brut). Si vous créez la liste avec une application de traitement de texte plus évoluée, veillez à enregistrer le fichier comme fichier
texte ASCII sans aucun formatage. Le fichier doit respecter les règles suivantes :
 Chaque marqueur doit se trouver sur une nouvelle ligne qui commence avec
une valeur de timecode au format « 00:00:00:00 ». Ces valeurs identifient les positions du marqueur.
 À la suite de la valeur de timecode, vous pouvez insérer le nom du marqueur.
Vous pouvez utiliser une virgule, un espace ou une tabulation pour séparer la valeur
du timecode du nom du marqueur.
 Toutes les lignes qui ne commencent pas par une valeur de timecode sont ignorées.
Cela vous permet d’ajouter facilement des commentaires à la liste.
 Il est inutile d’établir la liste des valeurs de timecode selon l’ordre chronologique.Chapitre 23 Utilisation de la fenêtre Preview 323
Raccourcis clavier de la fenêtre Preview
Commande clavier Fonction
Démarre une animation arrière rapide.
Démarre une animation avant rapide.
Lecture arrière du plan image par image.
Lecture avant du plan image par image.
Démarre ou arrête la lecture d’un plan.
Ajoute ou supprime un marqueur.
Lorsque la tête de lecture est positionnée sur un marqueur, ouvre
la zone de dialogue Modifier marqueur.
Définit un point d’entrée pour le plan.
Définit un point de sortie pour le plan.
J
L
espace
M
E
l
O24
325
24 Création et changement
de destinations
Compressor permet de choisir l’emplacement
d’enregistrement des fichiers transcodés.
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 À propos de l’onglet Destinations (p. 326)
 Utilisation de l’Inspecteur avec l’onglet Destinations (p. 327)
 Création d’une destination (p. 328)
 Triangles d’avertissement (p. 332)
 Suppression et duplication d’une destination (p. 333)
 Création de destinations à utiliser avec DVD Studio Pro (p. 335)
Si vous ne sélectionnez aucune destination, le fichier de sortie est enregistré dans
le dossier du fichier multimédia source. Cela correspond peut-être à vos besoins,
mais s’il existe plusieurs serveurs de téléchargement distants ou que vous souhaitez
simplement obtenir un type spécifique de fichier de sortie à un emplacement donné,
vous devez définir cette destination.
Si un volume est ouvert sur votre bureau, il est traité de la même façon que s’il s’agissait
d’une destination locale et vous pouvez y enregistrer directement les fichiers multimé-
dias de sortie, sans qu’il soit nécessaire pour vous de suivre la procédure supplémentaire requise dans le cas des destinations distantes, telles que l’indication du nom d’hôte
et la saisie du nom d’utilisateur et du mot de passe. Lorsque vous utilisez l’option distante pour votre destination, vous pouvez enregistrer vos fichiers dans n’importe quel
dossier du répertoire Utilisateur de cet ordinateur distant.
Une fois que vous aurez créé toutes les destinations dont vous avez besoin, il ne sera
plus nécessaire pour vous de rouvrir l’onglet Destinations puisque vous pouvez
les sélectionner directement à partir de la fenêtre Lot.
Remarque : assurez-vous que les fichiers de sortie disposent des accès et des droits
appropriés pour les destinations distantes que vous spécifiez. 326 Chapitre 24 Création et changement de destinations
À propos de l’onglet Destinations
Utilisez l’onglet Destinations conjointement avec la fenêtre Inspecteur pour créer,
modifier ou supprimer vos réglages de destination et ajouter des identificateurs de
fichier au nom de vos fichiers multimédia de sortie. L’onglet Destinations contient
les éléments suivants :
 Liste Destinations : énumère les noms et les chemins d’accès des destinations.
Il existe quatre destinations par défaut dans le dossier Apple : Source est le dossier
dont provient le fichier multimédia source ; Bureau est le dossier « Bureau de
l’utilisateur » ; « Dossier des séquences de l’utilisateur » est le dossier « Séquences
de l’utilisateur » ; « Stockage de clusters » est l’emplacement de stockage de travail
d’un cluster.
Remarque : le stockage de clusters ne s’applique qu’aux installations de Compressor
sur lesquelles le traitement distribué est activé. La fonctionnalité de traitement distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels est installé Final Cut Studio.
 Ajouter (+) : pour créer une destination locale ou distante, cliquez sur ce bouton,
puis choisissez soit Local, soit À distance dans le menu local.
 Si vous choisissez Local, une zone de dialogue vous permet de sélectionner un dossier de destination.
 Si vous choisissez À distance, la zone de dialogue À distance apparaît. Saisissez
les informations FTP concernant le nom de l’hôte, le chemin d’accès du fichier et
le mot de passe afin d’accéder à l’emplacement distant. Vous pouvez aussi saisir
un emplacement iDisk.
Destinations par défaut
Destinations
personnalisées
Bouton Ajouter Bouton Supprimer
Bouton Dupliquer
Menu local « Modèle
de nom de fichier »
Exemple de ligne
de nom de fichier
Identificateurs de nom de fichier
par défautChapitre 24 Création et changement de destinations 327
 Bouton Dupliquer : crée une copie de la destination sélectionnée et la place dans
le dossier Personnalisé. Au lieu de créer une destination de zéro, utilisez cette fonction pour en créer une autre à partir d’une destination existante, que vous pouvez
ensuite paramétrer selon vos besoins.
 Supprimer (–) : supprime immédiatement la destination personnalisée sélectionnée
de l’onglet Destinations. Aucune confirmation ne vous est demandée, soyez donc sûr
de vouloir supprimer la destination avant de cliquer sur ce bouton.
Remarque : vous ne pouvez pas supprimer les destinations du dossier Apple.
Utilisation de l’Inspecteur avec l’onglet Destinations
Lorsque vous double-cliquez ou sélectionnez une destination sous l’onglet Destinations, la fenêtre Inspecteur s’ouvre. Elle contient les éléments suivants :
 Nom : utilisez ce champ pour modifier le nom du préréglage de destination.
 Modèle : utilisez ce menu local pour ajouter des identificateurs de fichier à votre
fichier multimédia de sortie. Ce champ peut être édité manuellement. Le fait de
sélectionner l’un des identificateurs suivants ajoute cet identificateur à la suite du
nom de votre fichier multimédia de sortie :
 Date : indique, selon le format ci-après, la date à laquelle le fichier a été transcodé :
AAAA-MM-JJ.
 Nom du réglage : nom du réglage utilisé pour la tâche de transcodage.
 Nom du média source : nom du fichier source sans son extension.
 Extension du média source : extension du fichier source.328 Chapitre 24 Création et changement de destinations
 Échantillon du modèle défini : affiche un échantillon de ce à quoi ressemblera le nom
du fichier de sortie ainsi que les identificateurs de fichier que vous avez ajoutés. Vous
ne pouvez pas éditer cette ligne, mais celle-ci est modifiée dynamiquement en fonction des identificateurs que vous ajoutez ou supprimez.
 Chemin : affiche le chemin du dossier de destination.
Création d’une destination
Vous utilisez l’onglet Destinations avec la fenêtre Inspecteur pour créer et affecter
une destination ainsi que pour ajouter des identificateurs de fichier à votre fichier de
sortie. Si vous souhaitez sauvegarder vos fichiers multimédias de sortie à un emplacement distant, vous devez saisir des informations dans la zone de dialogue À distance
pour que Compressor puisse accéder avec succès au serveur distant.
Vous pouvez créer les destinations suivantes :
 Local : tout répertoire sur votre ordinateur.
 Volume ouvert : tout volume ouvert partagé sur votre ordinateur.
 À distance : répertoire situé à l’emplacement par défaut d’un serveur FTP ou iDisk,
si vous disposez des autorisations et des droits d’accès appropriés.
Remarque : par défaut, la destination du fichier multimédia de sortie est le même dossier que celui dont proviennent les fichiers multimédias sources. Vous pouvez remplacer la destination par défaut par n’importe quel autre préréglage de destination.
Choisissez Compressor > Préférences et utilisez le menu local « Destination par défaut »
pour choisir parmi la liste des préréglages de destination.Chapitre 24 Création et changement de destinations 329
Pour créer une destination locale ou sur volume ouvert :
1 Ouvrez l’onglet Destinations.
2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) et choisissez Local dans le menu local.
La zone de dialogue Sélection de la destination apparaît.
3 Naviguez jusqu’au dossier de destination choisi ou jusqu’au volume monté ouvert,
puis cliquez sur Ouvrir.
Une nouvelle destination appelée Sans titre Local-1 apparaît dans le dossier Destinations
où est indiqué le chemin permettant d’accéder au dossier que vous venez d’affecter.
4 Dans l’onglet Destinations, double-cliquez sur la nouvelle destination.
La fenêtre Inspecteur s’ouvre, affichant les informations importantes sur la nouvelle
destination.
5 Effectuez l’une des opérations suivantes dans l’Inspecteur :
 Modifiez le nom de la nouvelle destination dans le champ Nom.
 Modifiez le chemin de la nouvelle destination en cliquant sur Choisir afin d’ouvrir
la zone de dialogue de sélection de destination et en accédant à un nouveau dossier.
6 Ajoutez des identificateurs de fichier au nom de votre fichier de sortie à l’aide du menu
local dans le champ Modèle.
Vous pouvez également modifier manuellement ce champ en effectuant l’une des
opérations suivantes :
 Faites glisser les identificateurs de fichier afin de les réorganiser.
 Cliquez de chaque côté des identificateurs de fichier afin de taper du texte
supplémentaire.
Dans le menu local, choisissez Local.
Menu local « Modèle
de nom de fichier »330 Chapitre 24 Création et changement de destinations
 Utilisez la touche Suppr. de votre clavier afin de supprimer n’importe lequel des
identificateurs de fichier.
Le champ « Échantillon du modèle défini » de la fenêtre Inspecteur affiche un échantillon
du nom du fichier de sortie ainsi que les identificateurs de fichier choisis. La combinaison
d’identificateur de fichier par défaut est « Nom du média source-Nom du réglage ».
Remarque : évitez de personnaliser vos modèles de nom de fichier en les commençant
par un point (.). Le fichier résultant ne serait visible que via la ligne de commande et
serait introuvable avec le Finder de Mac OS X.
Consultez la section « À propos de l’onglet Destinations » à la page 326 pour plus de
détails sur ces paramètres.
Pour créer une destination distante :
1 Ouvrez l’onglet Destinations.
2 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) et choisissez Distant dans le menu local.
La zone de dialogue À distance apparaît. Elle contient les champs suivants :
 Nom : utilisez ce champ pour modifier le nom du préréglage de destination.
 Modèle : utilisez ce menu local pour ajouter des identificateurs de fichier à votre
fichier multimédia de sortie. Ce champ peut être édité manuellement. Le fait de
sélectionner l’un des identificateurs suivants ajoute cet identificateur à la suite du
nom de votre fichier multimédia de sortie :
 Date : indique, selon le format ci-après, la date à laquelle le fichier a été transcodé :
AAAA-MM-JJ.
 Nom du réglage : nom du réglage utilisé pour la tâche de transcodage.
 Nom du média source : nom du fichier source sans son extension.
 Extension du média source : extension du fichier source.
Le nom de l’hôte est obligatoire.
Le chemin d’accès du fichier est
obligatoire.Chapitre 24 Création et changement de destinations 331
 Échantillon du modèle défini : affiche un échantillon de ce à quoi ressemblera le nom
du fichier de sortie ainsi que les identificateurs de fichier que vous avez ajoutés.
Vous ne pouvez pas éditer cette ligne, mais celle-ci est modifiée dynamiquement
en fonction des identificateurs que vous ajoutez ou supprimez.
 Ftp ou iDisk : sélectionnez le type de destination distante que vous souhaitez créer.
 Nom d’hôte : (requis) nom du serveur hôte. Compressor suppose que le système
d’URL utilisé est du type ftp :, de sorte qu’il n’est pas nécessaire que vous saisissiez
ce type ni aucun autre système d’URL.
 Chemin d’accès : (obligatoire) spécifie le chemin interne de l’hôte sur lequel le fichier
multimédia de sortie sera stocké. Par exemple : Volumes/Films/Media de sortie. Ne saisissez que le chemin d’accès du fichier multimédia de sortie ; il n’est pas nécessaire
d’inclure son nom.
 Utilisateur : (facultatif) ce champ n’est requis que si le serveur hôte est muni de restrictions d’accès qui exigent la saisie d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe.
Si le serveur hôte est en accès libre, laissez ce champ vide.
 Mot de passe : (facultatif) ce champ n’est requis que si le serveur hôte est muni de
restrictions d’accès qui exigent la saisie d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe.
Si le serveur hôte est en accès libre, laissez ce champ vide.
3 Le cas échéant, saisissez les informations dans les champs appropriés.
4 Cliquez ensuite sur OK.
Une fois que vous avez créé au moins une destination autre que Source dans l’onglet
Destinations, vous pouvez définir une nouvelle destination par défaut.
Pour changer de destination par défaut :
1 Sélectionnez les préférences de Compressor.
2 Utilisez le menu local « Destination par défaut » pour choisir dans la liste des préréglages de destination existants.
La destination que vous choisissez apparaît en tant que destination par défaut lorsque
vous importez un nouveau fichier source dans la fenêtre Lot.332 Chapitre 24 Création et changement de destinations
Triangles d’avertissement
Lorsque la destination choisie pose problème, un triangle jaune d’avertissement apparaît. Vous devez d’abord résoudre ce problème si vous souhaitez effectuer un transcodage avec succès. Des triangles d’avertissement apparaissent dans l’onglet Destinations
s’il n’est pas possible d’accéder à la destination ou si elle est protégée en écriture,
et dans la fenêtre Lot si :
 Un fichier identique se trouve déjà à cet emplacement.
 Deux destinations portent le même nom.
 Il est impossible d’atteindre la destination ou d’y écrire des données.
Les avertissements apparaissent quel que soit le niveau d’apparition du problème
(préréglage, tâche ou lot) et se propagent au niveau supérieur, de sorte que si le problème survient au niveau des préréglages, les triangles d’avertissement seront visibles
depuis les préréglages et les tâches.
Si vous placez le curseur sur le triangle d’avertissement, une bulle d’aide apparaît après
quelques secondes en vous indiquant la nature du problème. Dès que ce problème est
résolu, le triangle d’avertissement disparaît et vous pouvez poursuivre le transcodage.
Cliquez sur le triangle
d’avertissement dans
la fenêtre Lot pour
afficher une zone de
dialogue contenant
une explication.Chapitre 24 Création et changement de destinations 333
Suppression et duplication d’une destination
Vous pouvez gérer les destinations en supprimant celles dont vous n’avez plus besoin
et en en créant de nouvelles à partir des destinations existantes.
Pour supprimer une destination :
1 Ouvrez l’onglet Destinations.
2 Dans l’onglet Destinations, sélectionnez la destination que vous souhaitez supprimer,
puis cliquez sur le bouton Supprimer (-) ou appuyez sur Suppr.
Important : aucune confirmation ne vous est demandée au cours de cette opération,
donc assurez-vous de vouloir supprimer cette destination avant de cliquer sur ce bouton.
Bouton Supprimer334 Chapitre 24 Création et changement de destinations
Pour dupliquer une destination :
1 Ouvrez l’onglet Destinations.
2 Dans l’onglet Destinations, sélectionnez la destination que vous souhaitez copier,
puis cliquez sur le bouton Dupliquer.
Une nouvelle entrée apparaît dans l’onglet Destinations avec la mention Copie ajoutée
à son nom. Cette destination est identique en tous points à l’originale. Le cas échéant,
renommez la destination dupliquée.
Bouton Dupliquer
Destination dupliquéeChapitre 24 Création et changement de destinations 335
Création de destinations à utiliser avec DVD Studio Pro
Lorsque vous procédez à l’encodage de fichiers vidéo et audio à utiliser dans
DVD Studio Pro, vous pouvez faciliter l’importation et l’utilisation des fichiers
dans DVD Studio Pro en créant une destination personnalisée.
DVD Studio Pro est capable de localiser automatiquement et, éventuellement,
d’importer ou d’utiliser un fichier audio lorsque vous importez ou utilisez un fichier
vidéo doté du même nom racine. Ainsi, si vous affectez un fichier vidéo à l’arrière-plan
d’un menu, DVD Studio Pro recherche un fichier audio portant le même nom et
le définit automatiquement comme séquence audio du menu.
Les destinations Compressor par défaut ajoutent le nom du réglage au nom du fichier.
Étant donné que différents réglages sont nécessaires pour générer des fichiers de sortie vidéo et audio compatibles DVD, les noms de ces fichiers ne sont jamais les mêmes,
y compris lorsqu’ils proviennent du même fichier source.
Lors de la création de destinations personnalisées dans Compressor, vous pouvez
choisir de ne pas inclure l’identificateur de fichier de nom de préréglage avec le nom
de fichier de sortie.
Pour supprimer le nom du réglage d’une destination :
1 Double-cliquez sur la destination.
Le champ Modèle de la fenêtre Inspecteur répertorie les identificateurs de fichier
affectés à la destination.
2 Si « Nom du réglage » est indiqué dans le champ Modèle, supprimez-le.
Champ Modèle25
337
25 Utilisation de droplets
Compressor vous permet d’enregistrer un ou plusieurs réglages ou groupes de réglages dans une droplet. Une droplet
est un préréglage autonome créé par Compressor se présentant sous la forme d’une application glisser-déposer et
enregistré sous forme d’icône.
Lorsque vous faites glisser des fichiers de données source sur l’icône d’une droplet, ils
sont automatiquement soumis en vue de leur transcodage en tenant compte des réglages incorporés spécifiés. Le processus de transcodage est alors lancé, que Compressor
soit ouvert ou fermé.
Vous pouvez faire glisser un nombre quelconque de fichiers multimédia sur une droplet. Ensuite, pour l’ouvrir et consulter les réglages qu’elle contient, il suffit de doublecliquer dessus.
Remarque : l’utilisation des droplets requiert l’installation préalable de Compressor sur
tous les ordinateurs sur lesquels vous souhaitez les utiliser.
Ce chapitre traite des sujets suivants :
 À propos de la fenêtre Droplet (p. 338)
 Création d’une droplet (p. 340)
 Vérification des réglages de droplets et des options AppleScript (p. 341)
 Utilisation d’une droplet pour transcoder des fichiers multimédia sources (p. 342)
 Conseils à propos des droplet (p. 344)338 Chapitre 25 Utilisation de droplets
À propos de la fenêtre Droplet
Vous pouvez ouvrir n’importe quelle droplet pour la consulter en détail. Vous avez aussi
la possibilité de modifier certains réglages, comme la destination et les identificateurs
des fichiers multimédia de sortie.
La fenêtre Droplet contient les éléments suivants :
 Cluster : ce menu local permet de choisir un cluster d’ordinateurs sur votre réseau,
auquel vous pouvez soumettre des lots pour le traitement distribué. (La fonctionnalité de traitement distribué est limitée aux ordinateurs sur lesquels est installé
Final Cut Studio.) Le menu ne comporte qu’une seule option (Cet ordinateur) sauf
si toutes les conditions suivantes sont réunies :
 Le traitement distribué est activé dans Compressor.
 D’autres clusters sont disponibles sur le réseau.
 Destination : ce champ affiche le chemin d’accès au dossier de destination du fichier
multimédia de sortie. Vous pouvez modifier ce chemin en cliquant sur le bouton
Choisir afin d’ouvrir la zone de dialogue de sélection de destination et en accédant
à un nouveau dossier.
 Modèle : utilisez ce menu local pour ajouter des identificateurs de fichier à votre
fichier multimédia de sortie. Ce champ peut être édité manuellement. Le fait de
sélectionner l’un des identificateurs suivants ajoute cet identificateur à la suite du
nom de votre fichier multimédia de sortie :
 Date : indique la date de transcodage selon le format AAAA-MM-JJ.
 Nom du réglage : nom du réglage utilisé pour la tâche de transcodage.
 Nom du média source : nom du fichier source sans son extension.
 Extension du média source : extension du fichier source.
Consultez la section « À propos de l’onglet Destinations » à la page 326 pour plus
d’informations sur l’utilisation d’identificateurs de fichier.
Champ Destination
Tableau Fichiers source
Menu local Réglage
Case à cocher « Afficher
au démarrage »
Tableau Résumé
Champ Modèle
Bouton SoumettreChapitre 25 Utilisation de droplets 339
 Fichiers source : contient toutes les tâches du lot sur le point d’être soumises au transcodage. Lorsque la case « Afficher au démarrage » est cochée, la fenêtre Droplet
s’ouvre automatiquement après avoir fait glisser vos fichiers multimédia sources sur
l’icône de la droplet et tous les fichiers multimédia sources apparaissent dans le
tableau Fichiers source. Vous pouvez faire glisser un ou plusieurs fichiers multimédia
sources dans ce tableau, et ceux-ci seront tous transcodés en même temps lors de
l’envoi du lot, comme s’il s’agissait d’un envoi normal depuis la fenêtre Lot.
 Réglage : ce menu local en lecture seule affiche la liste complète des réglages associés à chaque droplet. Vous pouvez attribuer à une droplet autant de réglages que
vous le souhaitez en en créant une à partir d’un groupe de réglages (Pour plus
d’informations, consultez la section « Création d’une droplet, » ci-après.) Quel que
soit le réglage, vous pouvez voir ses détails complets en le sélectionnant dans le
menu local, puis en consultant le tableau Résumé au bas de la fenêtre.
 Résumé : ce tableau répertorie chaque composant du réglage sélectionné dans
le menu local Réglage.
 Afficher au démarrage : lorsque cette case est cochée, la fenêtre Droplet s’ouvre
dès que vous faites glisser le fichier multimédia source sur l’icône de la droplet,
avant la soumission du lot. Cela vous permet de vérifier les réglages contenus dans
la droplet. Si la case n’est pas cochée, le lot est envoyé dès que vous le faites glisser
sur l’icône de la droplet (à condition qu’il n’y ait aucune erreur), sans que la fenêtre
ne s’ouvre.
 Soumettre : cliquez sur ce bouton pour envoyer le lot. Cette action n’est nécessaire
que si la case « Afficher au démarrage » n’est pas cochée, car sinon le lot est automatiquement envoyé.
Menu local Réglage340 Chapitre 25 Utilisation de droplets
Création d’une droplet
La création d’une droplet est d’une grande simplicité, et une fois créée, il est possible
d’envoyer rapidement et facilement des fichiers multimédia sources en transcodage.
Pour créer une droplet :
1 Ouvrez l’onglet Réglages.
2 Sélectionnez le réglage ou le groupe de réglages que vous souhaitez enregistrer en
tant que droplet, puis cliquez sur le bouton Enregistrer droplet.
La zone de dialogue Enregistrer apparaît.
Remarque : vous ne pouvez pas sélectionner plusieurs réglages dans l’onglet Réglages
et les ajouter directement à une droplet. En revanche, vous pouvez placer les réglages
que vous souhaitez utiliser dans un groupe de réglages, sélectionner ce groupe,
puis cliquer sur Enregistrer. Dans ce cas, chaque fichier multimédia source est transcodé par chaque réglage de la droplet. Par exemple, si vous envoyez deux fichiers multimédia sources dans une droplet contenant trois réglages, Compressor crée six fichiers
multimédia de sortie différents. Pour plus d’informations sur la création de groupes de
réglages, consultez la section « Création de groupes de réglages » à la page 104.
3 Dans la zone de dialogue Enregistrer, nommez la droplet en remplissant le champ
« Enregistrer sous », puis utilisez le menu local Où pour naviguer jusqu’à l’emplacement de la droplet et cliquez sur Enregistrer.
Vous pouvez enregistrer votre droplet n’importe où sur votre ordinateur, mais il est
conseillé de l’enregistrer sur le bureau, afin de pouvoir facilement y faire glisser des
fichiers multimédia sources.
Vous pouvez choisir un dossier de destination autre que Source par l’intermédiaire
de la zone de dialogue Enregistrer, mais vous ne pouvez sélectionner que des destinations créées via l’onglet Destinations. Si aucune destination personnalisée n’a été
créée, seules quatre destinations Apple par défaut apparaissent dans le menu local
« Sélectionner une destination ». Consultez la section « Création d’une destination » à la
page 328 pour plus d’informations sur les destinations.
Bouton Enregistrer dropletChapitre 25 Utilisation de droplets 341
Pour choisir une destination alternative pour une droplet :
1 Choisissez une destination dans le menu local « Sélectionner une destination ».
Remarque : la droplet affiche un triangle d’avertissement lorsque la destination choisie
pose problème. Dans ce cas, changez de répertoire jusqu’à ce que l’avertissement disparaisse. Consultez la section « Triangles d’avertissement » à la page 332 pour plus
d’informations.
2 Cliquez sur Enregistrer.
La droplet que vous venez de créer apparaît sous forme d’icône à l’emplacement sélectionné. Elle est maintenant prête à être utilisée en transcodage.
Vérification des réglages de droplets et des options
AppleScript
La case « Afficher au démarrage », située en bas de la fenêtre Droplet, détermine si une
fenêtre Droplet s’ouvre ou non lorsque vous faites glisser un lot vers une icône de droplet. Si cette case est cochée, la fenêtre Droplet s’ouvre lorsque vous faites glisser un lot
sur l’icône de la droplet et vous pouvez consulter les réglages de la droplet.
Si cette case n’est pas cochée, double-cliquez sur l’icône de la droplet pour ouvrir sa
fenêtre et consulter ses réglages.
Consultez la section « À propos de la fenêtre Droplet » à la page 338 pour plus d’informations concernant les réglages de la droplet.
Vous pouvez voir une liste des options dictionnaire AppleScript pouvant être utilisées
avec une droplet en faisant glisser l’icône de la droplet sur l’éditeur de script situé dans
/Applications/AppleScript.
Case à cocher
« Afficher au démarrage »342 Chapitre 25 Utilisation de droplets
Utilisation d’une droplet pour transcoder des fichiers
multimédia sources
Une fois que vous avez créé une droplet, vous pouvez transcoder des fichiers multimé-
dia sources en les faisant glisser sur l’icône de la droplet.
Pour transcoder des fichiers multimédia sources à l’aide d’une droplet :
1 Faites glisser vos fichiers multimédia sources sur l’icône de la droplet.
Rôle de la case « Afficher au démarrage » en bas de la fenêtre :
 Si la case « Afficher au démarrage » n’est pas cochée : la droplet commence immédiatement le transcodage des fichiers multimédia sources.
 Si la case « Afficher au démarrage » est cochée : la fenêtre Droplet s’ouvre et les fichiers
multimédia sources sont affichés dans le tableau Fichiers source de la droplet. Passez
à l’étape 2 pour envoyer votre lot.
2 Si la fenêtre Droplet s’ouvre, vous pouvez vérifier et modifier les réglages de la droplet,
comme le dossier de destination et les identificateurs de fichier. Lorsque les réglages
vous conviennent, cliquez sur le bouton Soumettre.
Chaque fichier multimédia source est traité en fonction du réglage ou du groupe de
réglages contenu dans cette droplet. Chapitre 25 Utilisation de droplets 343
3 Ouvrez Batch Monitor si vous souhaitez suivre l’état du traitement de vos fichiers multimédia sources.
Pour plus d’informations, consultez le Manuel de l’utilisateur de Batch Monitor.
Si une fenêtre Droplet est ouverte, vous pouvez faire glisser vos fichiers multimédia
sources directement dans le tableau Fichiers source, puis les envoyer en transcodage.
Pour transcoder des fichiers multimédia sources à l’aide d’une droplet ouverte :
1 Double-cliquez sur l’icône d’une droplet pour l’ouvrir.
2 À l’aide du Finder, localisez les fichiers multimédia sources, puis faites-les glisser dans
le tableau Fichiers sources de la droplet.
3 Le cas échéant, modifiez les réglages de votre droplet, puis cliquez sur le bouton
Soumettre.
Chaque fichier multimédia source est traité en fonction du réglage ou du groupe de
réglages contenu dans cette droplet. Par exemple, si vous envoyez deux fichiers multimédia sources vers une droplet contenant trois réglages, Compressor crée six fichiers
multimédia de sortie différents.
4 Ouvrez Batch Monitor si vous souhaitez suivre l’état du traitement de vos fichiers multimédia sources.344 Chapitre 25 Utilisation de droplets
Conseils à propos des droplet
Voici quelques conseils supplémentaires sur l’utilisation des droplets pour le transcodage des fichiers multimédia sources.
Droplets et services de traitement Compressor
Si vous faites glisser des fichiers sur l’icône d’une droplet sans avoir ouvert l’application
ou une droplet au préalable, il se peut que Compressor vous affiche un avertissement
(« Cet ordinateur n’est pas disponible »), indiquant que les services de traitement
Compressor ne se sont pas encore lancés à l’arrière-plan. Cliquez sur le bouton Soumettre en bas de la fenêtre Droplet. Les services de traitement Compressor démarrent alors
pour transcoder les fichiers glissés.
Droplets et grand nombre de fichiers multimédia sources
Si vous soumettez un grand nombre de fichiers multimédia sources (par exemple 200
ou plus) à l’aide d’une droplet, un retard d’environ une minute peut se produire entre
le message d’alerte « Préparation au traitement » et l’apparition de la zone de dialogue
confirmant que la tâche est en cours de soumission. Vous pouvez éviter ce retard en réduisant le nombre de fichiers source que vous transmettez à la fois à l’aide d’une droplet. 345
A Annexe
A Dépannage et assistance client
Si vous rencontrez des problèmes lors de l’utilisation de Compressor, vous disposez
de plusieurs ressources pour y remédier.
 Notes commerciales : une page de notes commerciales, dans le menu Aide
Compressor, fournit des informations de dernière minute qu’il n’a pas été possible
de faire figurer dans le Manuel de l’utilisateur de Compressor. Consultez les notes
commerciales dès l’installation ou la mise à jour de Compressor.
 Page Web d’assistance de Compressor : Compressor possède sa propre page d’assistance technique consultable sur http://www.apple.com/fr/support/compressor
et sa propre page de discussions sur
http://discussions.info.apple.com/compressor (en anglais).
 Base de données « AppleCare Knowledge Base » : AppleCare offre une base de données
sur la résolution de problèmes courants, régulièrement mise à jour et enrichie pour
tenir compte des nouveaux problèmes dès leur apparition. Cette base de données
gratuite constitue une excellente ressource pour les utilisateurs de Compressor. Pour
accéder à cette base d’informations techniques AppleCare, visitez la page d’assistance
AppleCare à l’adresse suivante : http://www.apple.com/fr/support.
 Assistance AppleCare : les utilisateurs de Final Cut Pro disposent de plusieurs types
d’assistance. Pour plus d’informations, consultez le Guide d’assistance et de service
pour logiciels professionnels Apple fourni avec la documentation de Compressor.346 Annexe A Dépannage et assistance client
Contacter l’assistance AppleCare
Une documentation sur les options d’assistance proposées par Apple est fournie avec
Compressor. Selon vos besoins, plusieurs niveaux d’assistance sont disponibles.
Quel que soit votre problème, il est toujours utile de disposer immédiatement des
informations correspondantes disponibles. Plus vous avez d’informations à communiquer aux techniciens, plus vite ils seront en mesure de résoudre votre problème.
 Le numéro d’enregistrement fourni avec Compressor. Ce numéro diffère du numéro
de série logiciel utilisé pour activer votre copie de Compressor.
 Version de Mac OS X installée. Vous trouverez cette information en choisissant
l’option « À propos de ce Mac » dans le menu Pomme.
 La version de Compressor installée, en tenant compte, le cas échéant, des mises à
jour. Consultez le numéro de version en choisissant l’option Compressor > « À propos de Compressor ».
 Le modèle d’ordinateur utilisé.
 La quantité de mémoire RAM installée sur votre ordinateur et celle disponible pour
Compressor. Vous pouvez connaître la quantité de mémoire RAM installée en choisissant « À propos de ce Mac » dans le menu Pomme du Finder.
 Le matériel tiers connecté à l’ordinateur ou installé, ainsi que son fabricant. Il peut
s’agir de disques durs, cartes graphiques, etc.
 Modules de tierce partie ou autres logiciels installés avec Compressor.
Création d’un profil de support
Outre le fait qu’il propose un accès au Manuel de l’utilisateur de Compressor, le menu
Aide comprend également un élément permettant de créer un profil d’assistance.
Dans certains cas d’assistance technique, AppleCare demande des informations autant
sur l’ordinateur que sur la configuration de l’application en question. Sélectionnez
Aide > Créer un profil d’assistance pour créer un fichier contenant les informations
nécessaires et pouvant être envoyé par courrier électronique à AppleCare. Vous devez
normalement utiliser cette fonction, à moins qu’un représentant d’AppleCare ne vous
indique le contraire.
L’assistance AppleCare est accessible en ligne à l’adresse
http://www.apple.com/fr/support/compressorAnnexe A Dépannage et assistance client 347
Astuces de dépannage
Si vous rencontrez des problèmes lors de l’utilisation de Compressor, recherchez ici
la réponse à vos questions.
L’utilisation de la ligne de commande de Compressor requiert
l’ouverture d’une session
La ligne de commande permettant d’exécuter un réseau de traitement distribué
Apple Qmaster, chaque nœud du service Compressor (c’est-à-dire chaque ordinateur
fournissant des services Compressor de traitement distribué) doit avoir ouvert une session avec un nom d’utilisateur et un mot de passe Mac OS X pour pouvoir bénéficier de
toutes les fonctionnalités qu’offre ce système.
Mise à l’échelle (en couleurs 10 bits) de fichiers de données source
Si vous utilisez Compressor pour transcoder des fichiers multimédias sources utilisant
10 bits par canal de couleur et que vous avez l’intention de mettre leur image à l’échelle
(c’est-à-dire de la redimensionner), activez les contrôles d’images. Dans le cas contraire,
le fichier de sortie transcodé n’utilise alors que des couleurs sur 8 bits plutôt que 10.
Pour activer les contrôles d’images :
1 Ouvrez l’onglet Réglages.
2 Dans l’onglet Réglages, sélectionnez le réglage que vous souhaitez modifier. Vous pouvez également sélectionner un réglage déjà appliqué à un fichier de données source
dans la fenêtre Lot.
3 Cliquez sur l’onglet « Contrôles d’images » dans la fenêtre de l’Inspecteur.
4 Sélectionnez une des valeurs suivantes dans le menu local « Contrôles d’images » :
 Automatique : Compressor analyse la tâche de transcodage (le fichier de données
source et le réglage appliqué), puis il détermine automatiquement les attributs
« Contrôles d’images » appropriés.
 Personnalisé : cette option permet d’ajuster manuellement tous les attributs de
la sous-fenêtre Contrôles d’images. 349
B Annexe
B Utilisation de la ligne de
commande
Utilisation de la ligne de commande
Si vous êtes habitué à effectuer votre travail à partir de shells Terminal et que vous avez
besoin (ou préférez) exécuter Compressor à partir de la ligne de commande avec
une utilisation minimale des interfaces d’application, cette annexe vous est destinée.
L’annexe inclut les rubriques suivantes :
 Commandes de shell pour la configuration des nœuds de service et des contrôleurs
de cluster (p. 349)
 Commandes de shell pour l’envoi de travaux Compressor (p. 350)
 Commandes de shell pour le contrôle des lots (p. 353)
Commandes de shell pour la configuration des nœuds
de service et des contrôleurs de cluster
Une alternative à l’utilisation de la sous-fenêtre Apple Qmaster des Préférences Système
consiste à utiliser la commande qmasterprefs avec les options de ligne de commande destinées à activer et désactiver les services de contrôle des clusters et des nœuds de service.
Dans les descriptions de ligne de commande ci-dessous, les crochets < > indiquent un
argument obligatoire dans une commande et les crochets [ ] indiquent un argument
facultatif.
Remarque : la ligne de commande permettant d’exécuter un réseau de traitement distribué Apple Qmaster, chaque nœud du service Compressor (c’est-à-dire chaque ordinateur
fournissant des services Compressor de traitement distribué) doit avoir ouvert une session
avec un nom d’utilisateur et un mot de passe Mac OS X pour pouvoir bénéficier de toutes
les fonctionnalités qu’offre ce système.
Vue d’ensemble
Vous trouverez ci-dessous un résumé de la commande permettant d’activer et de
désactiver les services de contrôle des clusters sur un ordinateur. La commande
qmasterprefs se trouve dans le dossier /usr/sbin.
qmasterprefs -cluster [-timeout ] [-servername ]
[-list] [-help] 350 Annexe B Utilisation de la ligne de commande
Vous trouverez ci-dessous un résumé de la commande permettant d’activer et de
désactiver le traitement des nœuds de service sur un ordinateur.
qmasterprefs -service “Traitement Unix” [-instances ]
[-timeout ] [-servername ] [-list] [-help]
Options de commande
Ce tableau fournit des informations sur l’activation et la désactivation de chacun des
services de contrôle de cluster et de nœud de service.
Commandes de shell pour l’envoi de travaux Compressor
Vous pouvez exécuter l’application Compressor à partir de la ligne de commande en
tapant Compressor , avec un certain nombre d’options de ligne de commande pour
soumettre les tâches.
Dans les descriptions de ligne de commande ci-dessous, les crochets < > indiquent
un argument obligatoire dans une commande et les crochets [ ] indiquent un argument facultatif.
Option de commande
de préférence Description
[-cluster] Active ou désactive les services de contrôle de cluster.
[timeout min] [servername nom] [quickcluster on | off] [unmanagedservices on | off] [unmanagedmulticapturethreshold sec]
[networkinterface allinterfaces | ]
[-service Rendering]
Active ou désactive les services de rendu UNIX.
[timeout min] [instances n] [autorestart on | off] [unmanaged on | off]
[-list] Répertorie les réglages qmasterprefs actuels.
[-help] Affiche des informations sur les options prises en charge par
qmasterprefs.
[-restart] Redémarre les services Apple Qmaster.
[-service name options] Définit les options des services.Annexe B Utilisation de la ligne de commande 351
Vue d’ensemble
Voici une vue d’ensemble de la commande permettant d’envoyer un travail à un cluster.
La commande Compressor se trouve dans le dossier /Applications/Compressor.app/
Contents/MacOS.
Compressor [-clustername ][-clusterid ] [-batchfilepath ] [-batchname ] [-priority ] [-jobpath
] [-settingpath ] [-destinationpath ] [-info
] [-timeout ] [-help] [-show]
Dans cet exemple, il est possible de répéter -jobpath, -settingpath et
-destinationpath autant de fois que nécessaire, selon le nombre de tâches
à « soumettre ».
Remarque : les options ne sont pas toutes nécessaires. Vous pouvez, par exemple,
indiquer le cluster soit par son nom (-clustername), oit par son identifiant (-clusterid).
Vous n’avez pas besoin d’indiquer les deux. Dans le cas où les deux valeurs sont indiquées, seul -clusterid est utilisé.
De plus, si vous indiquez une valeur -batchfilepath, les valeurs -jobpath,
-settingpath, et -destinationpath ne sont alors pas nécessaires car le fichier de lot
précédemment enregistré contient déjà les informations concernant la tâche, les réglages et la destination.
Exemple de valeur -batchfilepath:
Compressor -clustername "Cet ordinateur" -batchfilepath "/Volumes/Hermione/
SavedCompressorBatches/FreeChampagne.compressor"
Une fois que la tâche a bien été envoyée, cette commande affiche l’identifiant (ID)
du lot et celui de la tâche dans le shell. Vous pouvez également surveiller la progression du lot dans Batch Monitor.352 Annexe B Utilisation de la ligne de commande
Options de commande
Ce tableau contient des informations sur chacune des options de commande pour
l’envoi de travaux.
Option de commande d’envoi Description
[-clustername ] Utilisez-la pour spécifier le nom du cluster auquel vous souhaitez
envoyer le travail. Avec le nom du cluster, Compressor recherche
le cluster sur le réseau afin de l’utiliser.
[-batchname ] Utilisez-la pour spécifier un nom pour le lot, de façon à pouvoir
le reconnaître facilement dans Batch Monitor.
[-clusterid ]
Vous pouvez aussi vous servir de -clusterid pour saisir l’ID et l
e numéro du port du cluster au lieu d’utiliser -clustername. Lorsque vous saisissez l’ID de cluster et le port, moins de temps est
nécessaire pour rechercher le cluster sur le réseau.
Si vous avez utilisé -clustername et que le cluster nécessite
un mot de passe, utilisez -clusterid pour spécifier le nom d’utilisateur et le mot de passe (vous devez également inclure l’adresse
IP : numéro du port chaque fois que vous utilisez -clusterid).
Astuce : utilisez la commande Compressor -show pour afficher
l’adresse IP et le numéro de port d’un cluster.
[-priority ] Spécifie le niveau de priorité d’un travail.
[-jobpath ] Spécifie l’emplacement du fichier source.
[-settingpath ] Spécifie l’emplacement des réglages pour le travail.
[-destinationpath ] Spécifie l’URL du fichier de destination pour le travail.
[-info ] Fournit des informations détaillées pour un lot ou un travail.
[-timeout ] Utilisez cette commande pour spécifier le nombre de secondes
avant que Compressor n’interrompe la recherche d’un cluster.
La valeur par défaut est de 0, ce qui signifie qu’il n’y a pas de limite
pour l’expiration, impliquant que Compressor parcourt le réseau
jusqu’à ce qu’il ait trouvé le cluster.
[-show] Affiche les informations relatives à l’identification du cluster spécifié avec -clustername ou -clusterid ou celles qui concernent tous les clusters si aucun d’entre eux n’est spécifié.
[-help] Affiche les informations relatives aux paramètres obligatoires
de la commande Compressor.Annexe B Utilisation de la ligne de commande 353
Exemple de code XML de commande Compressor
Le code ci-dessous est un exemple de code XML pour l’envoi d’une commande
Compressor. Remarquez qu’étant donné que ce code doit être saisi en tant que ligne
de commande, chaque caractère non alphanumérique venant après -options doit être
précédé d’une barre oblique inverse (\).
./Compressor -clusterid tcp://127.0.0.1:51737 -batchname myBatch -jobpath /
Volumes/Source/ShortClips/NTSC24p.mov -settingpath /Utilisateurs/
stomper10/Bibliothèque/Application\ Support/Compressor/
PhotoJPEG.setting -destinationpath /Utilisateurs/nomdemachine/Séquence/
NomFichierdeDestination.mov.
Cette commande comporte les éléments suivants :
 L’adresse IP du cluster est tcp://127.0.0.1:51737.
 Le nom du lot est myBatch.
 Le chemin du travail est /Volumes/Source/ShortClips/NTSC24p.mov.
 Le chemin d’accès des réglages est /Utilisateurs/stomper10/Bibliothèque/
Application/Support/Compressor/PhotoJPEG.setting.
 Le chemin d’accès de destination est /Utilisateurs/nomdemachine/Séquence.
Commandes de shell pour le contrôle des lots
Vous pouvez utiliser la commande Batch Monitor, Batch\ Monitor, avec un certain
nombre d’options de ligne de commande pour le contrôle des tâches.
Dans les descriptions de ligne de commande ci-dessous, les crochets < > indiquent
un argument obligatoire dans une commande et les crochets [ ] indiquent un argument facultatif.
Vue d’ensemble
Voici une vue d’ensemble de la commande pour le contrôle de lots. La commande
Batch\ Monitor se trouve dans /Applications/Utilitaires/Batch Monitor.app/Contents/
MacOS.
Batch\ Monitor [-clustername ] [-clusterid ] [-jobid -batchid
] [-timeout ] [-query ] [-help]354 Annexe B Utilisation de la ligne de commande
Pour annuler un travail ou un lot :
Batch\ Monitor [-clustername ] [-clusterid
] -kill -jobid
-batchid
Options de commande
Ce tableau contient des informations sur chacune des options de commande pour
le contrôle de lots.
Option de commande
de contrôle Description
[-clustername ] Utilisez-la pour spécifier le nom du cluster auquel le travail a été
envoyé.
[-clusterid ]
Vous pouvez aussi vous servir de -clusterid pour saisir l’ID
et le numéro du port du cluster au lieu d’utiliser -clustername.
Si vous avez utilisé -clustername et que le cluster nécessite
un mot de passe, utilisez -clusterid pour spécifier le nom d’utilisateur et le mot de passe (vous devez également inclure l’adresse
IP : numéro du port chaque fois que vous utilisez -clusterid).
Astuce : utilisez Apple\ Qmaster -show ou Compressor -
show pour afficher l’adresse IP et le numéro de port d’un cluster.
[-jobid
-batchid ]
Utilisez-la pour spécifier le travail que vous souhaitez contrôler.
Lorsque vous utilisez l’option -jobid, vous devez également spé-
cifier -batchid sous la forme du nom qui a été attribué au lot lors
de sa soumission. Les paramètres batchid et jobid sont affichés
après l’envoi d’un lot.
Si vous n’utilisez pas l’option -jobid, tous les travaux envoyés
au cluster spécifié sont répertoriés.
[-timeout ] Utilisez cette commande pour spécifier le nombre de secondes
avant que Batch Monitor n’interrompe la recherche d’un cluster.
La valeur par défaut est de 0, ce qui signifie qu’il n’y a pas de limite
pour l’expiration, impliquant que Batch Monitor parcourt le réseau
jusqu’à ce qu’il ait trouvé le cluster.
[-query ] Utilisez cette option pour spécifier la fréquence, en secondes,
selon laquelle l’état du travail doit être mis à jour.
[-kill -jobid -batchid ]
Annule le travail ou lot spécifié.
[-help] Affiche des informations sur les options prises en charge
par Batch\ Monitor. 355
Index
Index
A
AAC 136
actions
activation de la notification par message
électronique 299
ajout d’AppleScripts 299–300
paramètres 31, 67
post-transcodage 299–300
affichage Échantillon du modèle défini 328
aide
en ligne 16
profils d’assistance 16
AIFF (Audio Interchange File Format)
choix de formats de sortie 34
description 133–137
encodeur 14
paramètres 134–137
réglages audio 244–245
réglages QuickTime 241
algorithmes d’optimisation 226, 229, 231, 233, 240
animation dans les séquences 208
annotations 89
AppleCare
base de connaissances 345
profils d’assistance 16
Apple Qmaster
alternatives 349
traitement distribué 64
AppleScripts
activation 67
choix 67
exécution 298
options dictionnaire 341
ressources 301, 347
site Web 301, 347
Apple Store 18
Apple TV
proportions 163
taille pour encodeur 164
vidéo H.264 pour 159
assistance client 345–347
atténuation de 3 dB 146
audio
activation de pistes 239
audio PCM 168
canaux 141, 186
CD 246
codes d’identificateur de canaux 83, 152
débits maximum 170, 207
format Dolby Digital AC-3 12, 139, 148
liste des filtres 268–271
mixage spatial 154–156
MPEG-1/couche 2 212
PCM 168
qualité des périphériques 252
réglage Passthrough 239, 283
réglages MPEG-1 185
règles 142, 147
sans compression 136, 246, 251
son Surround 83–86, 149–154
stéréo. Voir audio stéréo
taille d’échantillonnage 252
taux d’échantillonnage 252
8 bits 246, 252
16 bits 246, 252
Audio Interchange File Format. Voir AIFF
audio stéréo
canaux 228
débit de données 143
lecture stéréo 156
son Surround 140
sous-mixage 149
authentification SMTP 297
autorisations 328
avertissements, destinations 332
B
balance des blancs 262
barre d’outils 52
configuration 52
éléments 54
vue d’ensemble 52–55
barre de menus 52
Batch Monitor
état d’un lot 37
dans le flux de travaux 25356 Index
options de ligne de commande 353
ouverture 70
ouverture automatique 39
présentation 70
bouton
Ajouter 95
d’utilisation 184
de balayage 308
Définir le point d’entrée 316
Définir le point de sortie 316
de retour et d’avance rapide 308
Dupliquer 95, 99
Enregistrer droplet 95, 340
Grouper 94, 104
Lecture 308, 311
Lecture en boucle 308
Pause 308
Soumettre 339
Supprimer 95, 104
Vue de sortie 304
Vue source 304
C
cache Letterbox 264
canal central 154
canaux
affectation avec des codes d’identificateur 83,
152
Alpha 265
application de filtres 265
audio mono 228
bande passante complète 146
centre 154
de colorimétrie 265
Dolby Digital 141
LFE 146, 155
réglages MPEG-1 186
réglages QuickTime 245
sortie AIFF 135
sortie MPEG-4 228
Surround 146, 155
utilisation dans les programmes Dolby
Digital 139, 154–156
case à cocher Afficher au démarrage 339, 341, 342
CBR (débits constants) 170, 207
CD audio 185, 252
CD-ROM
contenu QuickTime 237
fréquences d’échantillonnage 252
sortie MPEG-1 181
CD vidéo. Voir VCD
centres fantômes 154
champ
de flou 263
de netteté 263
de rognage 290
Description 105
Destination 338
de timecode de tête de lecture 307
durée maximum de paquet 230
extension de fichier 63
intervalle entre les images-clés 227
modèle 210, 327, 338
taille maximum de paquet 229
chemins vers les destinations 328, 331
cibles
ajout à une tâche 118
à propos de 117
copie 118
description 19, 31
suppression 118
clusters
choix pour le traitement distribué 338
copie d’options 40
envoi de tâches 351
sélection d’emplacements de stockage 326
codage audio avancé (AAC) 225
code
d’identificateur pour les canaux 83, 152
XML 353
codecs
AAC (codage audio avancé) 136, 225
AIFF 136–137
audio 251–252
avec perte 251
choix 250
description 32
IMA 136
photo JPEG 242, 243
PNG 243
présentation 250–252
QDesign Music 136
QDesign Music 2 135, 245
QDMC 136
Qualcomm PureVoice 135, 136, 245
QuickTime 241, 247–252
sans perte 251
Sorenson Vidéo 3 242
codecs audio
Voir aussi codecs
AAC 225
AIFF 136–137
choix 135, 136, 246
MP3 177
codecs audio QuickTime 251–252
ajout aux préréglages 249–250
choix 136, 246, 251–252
paramètres 241
codecs vidéo
Voir aussi codecs, noms des codecs spécifiques
avec perte 251Index 357
considérations 250
sans perte 251
codecs vidéo QuickTime
ajout aux préréglages 247–248
choix 250–251
paramètres 241
commande qmasterprefs 349
commandes
Batch Monitor 353–354
de shell 349–354
de shell Terminal 349–354
compatibilité de la sortie MPEG-2 212
composante audio
taux d’échantillonnage 147, 185
composants d’exportation
au format QuickTime 256
de QuickTime 15
compression
audio 145
audio sans compression 136, 246, 251
Compressor
flux de travaux. Voir flux de travaux
interface 43–75
introduction 9–15
mémoire allouée 346
modèles 45–47
préférences 39–41
premiers contacts avec 19–27
quitter après la soumission des lots 40
raccourcis 38
scénarios 11
site web 17
terminologie 32
vue d’ensemble des fonctionnalités 12–14
configuration
contrôleurs de cluster 349–350
nœuds de service 349–350
Content Agent
définition de préférences 40
description 40
contrôles
de navigation 308
de Timeline 307
du filtre 260
contrôles de resynchronisation
conversion de la vitesse vidéo 283
usages 283
contrôleurs de cluster
activation/désactivation 349, 350
configuration de commandes de shell 349–350
conversions 196
de fréquences d’images vidéo 283
de la vitesse vidéo 283
copie d’éléments
destinations 327, 334
réglages 95, 99
correction gamma 264
couleur
d’arrière-plan 265
de marqueur 307
de pixel 266
espaces colorimétriques 259
filtres 262
incrustations de texte 267
réglages 243
curseur
Débit maximum 168, 207, 221
Débit moyen 207, 220
de partage de l’écran 306
de réglage du débit 228, 229
manuel 265
qualité 244
D
dates
transcodages 327
débits 143, 244
constants 170, 207
maximum 168, 207, 221
moyens 207, 220–221
MPEG-1 185
MPEG-2 204–207
MPEG-4 227, 229
QuickTime 244
sortie au format H.264 pour DVD Studio Pro 167
variable. Voir VBR
décodeur
Dolby Digital 90, 315
lecture stéréo 155
défauts dans les fichiers de sortie 90, 251
dépannage
ressources 345
déplacement de la tête de lecture 308
désentrelacement vidéo 258–259, 262
destinations 325–334
Voir aussi réglages
affectation 22, 24, 36, 115–116
avertissements 332
changement des paramètres par défaut 41, 331
comparaison avec les réglages 93
création 33, 328–331
description 31
distantes 326, 328, 330, 331
droplets 340, 341
duplication 327, 334
DVD Studio Pro 193, 335
identificateurs de fichier 327
locales 326, 328, 329–330
par lots 29
sortie de la séquence d’images 175
suppression 327, 333358 Index
suppression de noms 335
temporaires 116
types de 328
volume ouvert 329–330
distribution de réglages 106
dossier
Bureau 326
de groupes 97, 105
fichiers transcodés 33
Séquences 326
downmix 144, 156
droplets 337–344
ajout d’identificateurs de fichier 338
création 38, 95, 340–341
description 38
destinations 340
enregistrement 95, 340
réglages 341, 342
réglages audio Surround 154
transcodage avec des 342–343
utilisation 38
duplication d’éléments
destinations 327, 334
réglages 95, 99
DVD
débits 185
DVD résolution HD 196
fréquences d’échantillonnage 185, 252
marqueurs de chapitre 215
minutes de vidéo 204
réglages MPEG-1 187, 189–193
sortie MPEG-1 181
vidéo SD 196
DVD-5 171
DVD HD
prise en charge SD et HD 171
DVD Studio Pro
configuration MPEG-1 189–193
destinations 193, 335
format MPEG-2 12
métadonnées 212, 224
options d’encodage Dolby 141
E
échelle Letterbox 264
écrans de veille 37, 121
Éditeur de script 341
effets basse fréquence. Voir LFE
enchaînement de tâches 119
encodage
1 passe 168, 205
à deux passes 63–64
de fichiers audio 148–149
multipasse 63–64, 168
VBR 1 passe optimal 205
VBR 2 passes optimal 205, 206
VBR 2 passes 206
VBR une passe 225
1 passe 205, 225
à 2 passes. Voir encodage à deux passes
encodeur
Dolby Digital 155
Dolby Digital Professional 34
MPEG-4 15
enregistrement d’éléments
droplets 340
lots 125
en-têtes comprimés 240
envoi
des réglages par courrier électronique 106
envoi de lots 37
options de ligne de commande 350
renvoi 123, 124–125
espaces de couleur 259
état des lots soumis 37
exportation d’éléments
marqueurs de chapitre 216
média avec images I 69
modules Composants d’exportation au format
QuickTime 254
projets Final Cut Pro 126
extensions
.ac3 63, 140
.aiff 63
.compressor 125
.dv 63
.m1a 63, 186
.m1v 63
.m2t 63
.m2v 63, 198
.m4v 63
.mov 63, 238
s.mov 166
.mp4 63, 226
.mpeg 63
.mpg 63
Voir aussi les noms des extensions de fichier
spécifiques
dans le champ Extension de fichier 63
fichiers Dolby Digital 140
identificateurs de canal 84, 152
tableau Résumé 61
.setting 106
.tga 63
.tiff 63
F
fenêtre
Droplet 71, 338–339
Préférences 39–41Index 359
fenêtre Historique 44
état du transcodage 37
ouverture/fermeture 68
renvoi de lots 125
resoumettre des lots 124
vue d’ensemble 68, 123–124
fenêtre Inspecteur
à propos des réglages automatiques 58
description 44
Destinations 327
présentation 57–67, 98–99
fenêtre Lot
avertissements de destination 332
barre d’outils 52–55
droplets et 339
dans le flux de production 35, 44
importation de fichiers multimédia sources 79–
86
onglets 78
présentation 51–52, 78–79
fenêtre Preview 303–323
agrandissement de la taille de l’écran de
prévisualisation 304
ajout d’images I à des fichiers MPEG-2 223
contrôles 304–309
description 33, 44
fichiers Dolby Digital 315
ouverture 69
présentation 69, 304–309
prévisualisation des plans 310–315
prévisualisation des réglages 33, 36, 44, 102–104
raccourcis clavier 75, 323
rôles 303
transcodage de sections de plans 315–316
fenêtres. Voir fenêtres de Compressor
fenêtres de Compressor
à propos des onglets 49–51
pourquoi elles sont parfois masquées 48
redimensionnement 48
utilisation 48–51
fichiers
chemins 331
de sous-titres codés 88
média. Voir fichiers multimédia sources
script AppleScript 300
source compressés 90
fichiers de données source
fréquences d’images 196
haute définition 196
résolution 196
fichiers de séquence QuickTime
encodeur 15
extension .mov extension 166
fichiers de séquence QuickTime 238
marqueurs de chapitre 240
séquences à lancement rapide 238, 240
fichiers de sortie
Voir également les noms des formats spécifiques
choix du format 31, 34
description 29, 31
destinations. Voir destinations
formats, description 32
noms 117
qualité 303
réglages. Voir réglages
transcodage 14
fichiers de sortie QuickTime
création 237–238
fichiers web 238
flux de production de transcodage 246–250
réglages audio 135, 244–245
fichiers multimédia. Voir fichiers multimédia sources
fichiers multimédia sources
ajout à des lots 20–21, 79–83
attribution de destinations aux 22, 24, 36, 115–
116
attribution de réglages 22–23, 35, 110–113
confirmation de la fin du transcodage 37
dans la fenêtre Inspecteur 59
description 29, 30
diffusion en continu sur Internet 238
extensions des 61
fenêtre Droplet 339
fichiers audio 148
fichiers hautement compressés 90
importation 35, 77–83, 196
longueur 147
présentation 69, 310–315
processus de conversion 11
redimensionnement 66
transcodage. Voir transcodage
transfert vers les clusters de traitement 41
films, description 30
filtres
accentuer contour 266
ajout aux réglages 271–272
application 66, 313
CN 146
contraste de luminosité 261
de correction gamma 264
de filigrane 268
description 31
désentrelaçage 262
de suppression de bruit 265
égaliseur graphique Apple AU 269
étalonnage des hautes lumières 262
fondu entrant/sortant (audio) 270
fondu entrant/sortant (vidéo) 263
générateur de timecode 267
letterbox 264
limiteur de pics 269
ordre 257360 Index
paramètres 65, 104, 261–271
passe-bas 146
passe-haut 146
plage dynamique 269
prévisualisation 104, 257, 313
réorganisation 66
rétablir BlackWhite 261
superposer texte 266
types de 261–271
utilisation 257–259, 260–272
Final Cut Pro
marqueurs de chapitre 216
quitter Compressor après les lots 40
renvoi de projets 127
traitement distribué 127–130
transcodage de projets 126–127
flux
de programme 197, 212
de transport 197, 212
élémentaires 186, 197, 212
multiplexés 186
système 186
flux de production
fenêtres et flux de production Compressor 44
format Flux DV 158
format H.264 pour périphériques Apple 164, 171
MP3 180
MPEG-1 186–187
MPEG-2 216–224
podcasting avec MPEG-4 234–236
QuickTime 246–250
transcodage de base 29–38
flux de travaux
rapides et faciles 20–26
forcer au format 66
format
080i 200
1080i 293
1920x1080 166
AVI 237, 254
Dolby Digital Professional 139
H.264 15
MPEG comme fichier source 90
rés HDV 200
VCPRO HD 293
vidéo anamorphosés 293
4p 204
720p 166, 200, 293
format AC-3
Voir aussi format Dolby Digital Professional
débits de données 143
encodage 12, 63, 140
fréquences d’échantillonnage 147
longueur des flux 147
format Dolby Digital Professional 139–140, 154–156
à propos du 14
comme sources 90
conversion audio 148
description 12
prévisualisation 90, 147
prévisualiser 315
réglages de l’onglet Audio 141–144
réglages de l’onglet Bitstream 144
réglages de l’onglet Prétraitement 145–146
format DVD-Vidéo
flux vidéo MPEG-2 196
GOP ouverts 214
format Flux DV
à propos de 157
flux de production 158
réglages 157–158
format H.264 pour DVD Studio Pro
sélection de formats de sortie 34
format H.264 pour périphériques Apple
flux de production 164, 171
groupes GOVU 169
introduction 159
sélection de formats de sortie 34
sous-fenêtre Encodeur 160–164, 165–168
synchronisation des images 169
synchronisation partielle 169
utilisation de l’encodage multipasse 170
vidéo progressive 171
format MP3
flux de production 180
introduction 177
podcasts 178
sélection de formats de sortie 34
sous-fenêtre Encodeur 178
utilisations courantes du 177
format MPEG-1
ajout d’images I 318–319
choix de formats de sortie 34
configuration pour les DVD 189–193
configuration pour le web 188–189
description 15
exemples de réglages 187
exportation 12
comme fichiers source 90
flux de production de transcodage 186–187
flux élémentaires et système 186
fréquences et tailles d’images 182
introduction 181–182
plates-formes 181
spécifications d’encodeur 182
format MPEG-2
ajout d’images I 223, 318–319
analyse des sources 90
Blu-ray 199
choix de formats de sortie 34
description 15
DVD HD 196, 199Index 361
DVD SD 199
fichiers de sortie 195–215
comme fichiers source 90
flux de production de transcodage 216–224
générique 199
marqueurs 215
paramètres de création 211–224
prise en charge de la lecture en continu 195
projets DVD Studio Pro 12
réglages 217
réglages complémentaires 223–224
réglages de qualité 204–208, 217, 219–222
réglages GOP 209–215, 222–223
réglages vidéo 199–219
réglage Utilisation de flux 199
tailles d’image 314
types de flux 197
format MPEG-4
avantages 225
choix de formats de sortie 34
et podcasting 227
fichiers de sortie 225–236
comme fichiers source 90
flux de production de podcasts 234–236
processus de transcodage 230–236
réglages audio 228, 228–233
réglages d’enchaînement 229–230
réglages vidéo 227–228, 230, 232
format NTSC
fréquence d’images 182, 202
proportions pixel 292
rognage 201
sortie MPEG-2 200
taille d’image SIF 182
taille GOP 210
format PAL
proportions pixel 292
sortie MPEG-2 200
sortie MPEG SIF 182
taille GOP 210
formats. Voir formats spécifiques
format
3G 237, 254
formats de fichier
Voir aussi le nom des formats de fichier spécifiques
description 32
extensions 63
format Séquence d’images
encodeurs 15, 34
sorties 173–176
format Vidéo DVD
DVD Studio Pro et le 141
fréquence d’images
affichage 196
MPEG-1 182, 184
MPEG-2 202
MPEG-4 227
NTSC 202
QuickTime 242
réglages 277
resynchronisation d’images 65
séquences d’images 174
sortie au format H.264 pour DVD Studio Pro 167
synchronisation 168
fréquences d’échantillonnage
audio DVD 142
audio QuickTime 136, 245
DAT 252
flux AC-3 147
présentation 252
réglages MPEG-1 185
réglages MPEG-4 228
son Surround 147
sortie AIFF 135
DV 252
G
géométrie
paramètres 31, 66, 290–295
gestion des basses 155
GOP (groupe d’images)
ajout d’images I à des plans 223
fermé 210, 214–215
fichiers de sortie MPEG-2 222–223
ouvert 210, 214–215
paramètres 183, 209–211, 213–215
présentation 211–215
structure 209, 213
taille 200, 210, 213
GOP fermés 210, 214, 223
GOP ouverts 210, 214, 223
groupe d’images. Voir GOP
groupes
d’images H.264 169
description 32
GOVU 169
réglages 94, 104
I
identificateurs de fichier 327, 338
illustration
ajout au marqueur de chapitre 321
images
bidirectionnelles 211
delta 243
fixes 30
mise à l’échelle 287, 291–293
numérotation 175
prédites 211
qualité des 244, 265
redimensionnement 65362 Index
remplissage 289
resynchronisation 65
rognage 287, 290–291, 312
sortie de séquence 173
sortie TARGA 173
sortie TIFF 173
types 211–215
B 209, 211, 213
images clés
description 211
de synchronisation partielle 169
H.264 168
MPEG-4 227
QuickTime 243
images I
forcées 211, 215, 223
ajout à des plans 318–319
ajout aux fichiers MPEG-2 223
description 211, 215
forcées 215, 223
marqueurs 69
structures GOP 209, 213
suppression dans des plans 319
images P
209, 211, 213
importation d’éléments
fichiers multimédia sources 35, 77–83
projets Final Cut Pro 126
indications 240
installation de modules QuickTime 254
Internet. Voir web
intervalle entre les images clés (Fréquence de
synchronisation des images) 168
intra image. Voir images I
iPod
format Composants d’exportation au format
QuickTime 254
marqueurs de chapitre 163
marqueurs de podcast 163
proportions 163
tailles pour encodeurs 164
vidéo H.264 pour 159
iTunes
marqueurs de chapitre 163
marqueurs de podcast 163
proportions 163
vidéo H.264 pour 159
L
lecture
commandes de lecture 308
en boucle 308
plates-formes 14
stéréo 156
vidéo en continu 195, 226, 229–230
LFE (effets basse fréquence)
activation 142
canal 146, 155
interférence 155
limitations 155
ligne de commande 349–354
commandes de shell 349
contrôle de lots 353
envoi de tâches 350
limite de rognage 306
liste
des filtres 260
des marqueurs de chapitre TeXML 321
lots 109–132
Voir aussi Batch Monitor
affectation de destinations 36, 115–116
annulation 354
changement de fichier multimédia source 82
contrôle 353
contrôle à l’aide de commandes de shell 353–354
copie de tâches entre 118
création 35–37
description 19, 29, 31
destinations. Voir destinations
destinations temporaires 116
enregistrement 125
envoi 25–26, 37, 120–121, 339
envoi à l’aide de commandes de shell 350–353
historique des. Voir fenêtre Historique
importation de fichiers multimédia sources dans
des 35, 79–83
noms 81
options de ligne de commande 350
ouverture de fichiers de lot 125
prévisualisation 304–309
quitter après la soumission 40
réglages. Voir réglages
renvoi 123, 124–125, 127
sélections 97
tâches. Voir tâches
tâches optionnelles 26–27
transcodage de différents éléments 131–132
visualisation de l’état 37
M
marqueurs
ajout de marqueurs de chapitre 320–322
ajouter à un plan de sortie 317
appellation 309
compression automatique 215
compression forcée 215
de montage/de coupe 308, 309, 318
formats qui les prennent en charge 317
images I 69
manipulation 309Index 363
marqueurs de chapitre 212, 215
MPEG-2 215
points d’entrée et de sortie 307
types 307, 317
marqueurs de chapitre 215, 224, 307, 309, 317
absence de prise en charge dans MPEG-1 183
affichage 309
ajout 320–322
ajout d’une image 321
ajout d’une URL 321
conservation 212, 224
création d’une liste au format Texte 322
définition 215
description 215
importer la liste des marqueurs 309, 321
indicateurs visuels 307
MPEG-1 183
URL 321
marqueurs de compression 212, 307, 309, 317, 318
automatique 215
forcée 215
marqueurs de podcast 317
définition 317
sortie H.264 163
mémoire allouée à Compressor 346
menu local
algorithme 266
aspect des pixels 292
cluster 338
conversion de fréquence 277
débit 227
de sélection de la fréquence
d’échantillonnage 228
désentrelacer 276
destination par défaut 41, 331
diffusion 240
élément 305
estimation d’animation 208, 222
filtre de redimensionnement 275
format vidéo 166, 200
GOP Structure 209, 222
itérations 265
marqueur 309
mode 205, 220
position 264
priorité de trame 203
profondeur 243
proportions 202
qualité 228
réglage par défaut 41
sortie 264
taille d’image 291
taille GOP 210, 222
type de compression 242
menu local Utilisation de flux 199
générique 212
métadonnées 212, 224
minutes de vidéo, DVD 204
mise à l’échelle des images 287, 291–293
mixage
audio 144, 154–156
spatial 154–156
mode Estimation d’animation 208
modèles
à propos des fichiers 47
configuration 45–47
enregistrer 46
gestion 46–47
lot 46
sélection 46
standard 45
modules 254
de tierce partie 346
mots de passe 331
MPEG-2 Blu-ray 199
MPEG-4 partie 10. Voir format H.264
musique 252
N
niveaux de voix 252
nœuds de service
activation/désactivation 350
configuration à l’aide de commandes de
shell 349–350
noms
d’utilisateur 331
des destinations 335
du réglage Cible sélectionnée 305
notification par courrier électronique
activation 67, 299
description 297
préférence 39
numéros d’images 175
numérotation des images fixes 175
O
onglet
attributs A/N 59, 87
Audio 141–144, 185
Bitstream 144
Compléments 211–216, 223, 224
Format vidéo 199–204, 217
Géométrie 294
GOP 209–211, 217, 222
informations complémentaires 60, 88
Prétraitement 145–146
Qualité 204–208, 217
Vidéo 184
onglet Destinations 44, 56, 326–327, 333–334
à propos de 326–327
onglet Informations supplémentaires364 Index
annotations 89
fichier de sous-titres codés 88
onglet Réglages 32, 44, 55, 94–98
à propos de 94–98
création de réglages 32
opacité du texte 267
option
Atténuation du son de 3 dB 146
Augmentation de phase de 90° 146
Autoriser la segmentation des travaux 63
Correction des mouvements 276
Démarrage rapide 240
Désaccentuation numérique 146
DVD 185
Enchaînement à indications 240
Exécuter AppleScript sur la sortie 298
Exportation QuickTime 216
Filtre CN 146
Filtre linéaire 275
Filtre passe-bas 146
Format 135, 245
IBBP 209, 213
IBP 209
Image clé toutes les 243
Inclure l’audio PCM 168
IP 209
Lancer automatiquement Batch Monitor 39
Motion adaptive 276
Moyenne des lignes 276
Notification par courrier électronique à 298
Pixel le plus proche 275
Prédiction statistique 275
Volume ouvert 328
Web 185
ouverture de fichiers de lot 125
P
paquets d’enchaînement 229
paramètres audio
AIFF 134–137
fichiers MPEG-2 207
fichiers MPEG-4 228, 228–233
QuickTime 135, 244–245
paramètres vidéo
fichiers MPEG-2 199–204, 218–219
fichiers MPEG-4 227–228, 230, 232
partage de préréglages 106
passthrough
filtres audio 268
multipiste 239
réglage 239
performances, écrans de veille 37, 121
pistes
activation de pistes audio ou vidéo 239
d’algorithme 226
d’indices 240
LFE 155
pixels carrés 292
plans
ajout d’images I 223
ajout de marqueurs 318–319
exportation 11
lecture 307
prévisualisation 310–315
suppression d’images I 319
surexposés 264
transcodage à partir de différents fichiers
multimédia 131–132
transcodage de sections de 315–316
plates-formes, lecture 14
podcasts 225
MPEG-4 227, 234–236
URL 321
utilisation du format Composants d’exportation
au format QuickTime 254
utilisation du format MP3 178
vidéo au format H.264 164
points d’entrée et de sortie 306, 307–308, 315–316
polices 267
préréglages
Voir destinations, droplets, réglages
prévisualisation des éléments
fichiers multimédia sources 310
plans 310–315
préréglages 257
réglages 33, 36, 44, 102–104
privilèges 325
d’accès 328
processus
MPEG-4 230–236
processus pulldown 3:2 204
profils
d’assistance 16
de support 346
ISMA 227
projets, Final Cut Pro 126
proportions
options MPEG-2 219
périphériques Apple 163
pixels 292
réglages 202, 294–295
valeurs par défaut 202
pulldown 2:3:2:3 204
Q
qualité
fichiers MPEG-2 219–222
prévisualisation de la sortie 303
réglages QuickTime 244
segmentation des travaux 64Index 365
QuickTime
encodeur 34
site web 17
quitter Compressor
définition de préférences 40
R
raccourcis
Voir aussi raccourcis clavier
flux de production 38
transcodage à l’aide de droplets 337–344
raccourcis clavier
Voir aussi raccourcis
contrôles généraux 74
fenêtre Preview 75, 323
RAM 346
redimensionnement d’images. Voir taille d’image
réduction de bruit adaptative 265
reference frames 211
réglages
actions de notification par courrier
électronique 299
activer les effets de basse fréquence 142
affectation 22–23, 35, 110–113
affectation à plusieurs groupes 106
affectation à plusieurs tâches 36
affectation de destinations. Voir destinations
ajout à l’onglet Réglages 95
anticrénelage 277
Apple 96
Audio Coding Mode 141
canal bande pass. compl. 146
codecs AIFF 136–137
codecs audio QuickTime 249–250
codecs de séquence d’images 175
codecs vidéo QuickTime 247–248
comparaison avec les destinations 93
composants d’exportation au format
QuickTime 256
compression standard pour films 145
contenu original 144
création 32–33, 35, 100–102
débit de données 143
de domaine DNS 41
définition de réglages par défaut 41
description 29, 30
de sous-réseau 41
destinations. Voir destinations
détails de technique Adaptive 277
distribution 106
Downmix du canal central, Downmix de
Surround 144
droplets 36, 154
duplication 95, 99–100
emplacement 106
envoi par courrier électronique 106
estimation d’animation 208
filtres 271–272
fréquences d’images 277
général, onglet Prétraitement 146
géométrie 290–295
groupes 94, 104
identificateurs de fichier 327
informations de production audio 144
mode BitStream 143
mode Dolby Surround 144
modification 114
MPEG-1 191
MPEG-2 217
niveau de détails 277
niveau de mixage des pics 144
nombre dans les groupes 105
nom de fichier de sortie 117
noms 96, 102
normalisation des dialogues 143
organisation 97
partage 106
personnalisation 33
préexistants 35, 38
préréglage de compression 145
prévisualisation 33, 36, 44, 102–104
prévisualisation des plans et 311–315
proportions 294–295
protégé par Copyright 144
réglages de rognage 294–295
régler la durée sur 278
remplacement dans une tâche 113
reverse Telecine 276
scripts AppleScript 299–300
sous-fenêtre Résumé 61
stockage 106
suppression 95, 104
taille d’image 275, 294–295
Target System 141
type de pièce 144
utilisation 93–106
valeur Description 105
vidéo DVD 141
réglages Apple
Voir aussi réglages
réglages audio
MP3 178
QuickTime 241
réglages automatiques 58
fichiers QuickTime non standard 91
réglages de stockage de travail
emplacements 326
options de cluster 40
réglages vidéo
QuickTime 241
remplissage366 Index
à propos de 289
réglages 293
rendu, processus de transcodage 126
renvoi de lots 123, 124–125, 127
renvoi de projets Final Cut Pro 127
réseaux
étendus 41
recherche de fichiers source 41
résolution 196
résolution des problèmes
défauts dans les fichiers de sortie 90
suppression de réglages 104
triangles d’avertissement de destination 332
resynchronisation d’images 65
rognage d’éléments
images 66, 294–295, 312
tailles d’images 201
S
saturation 264
scintillement, suppression 262
scripts AppleScript
actions 31
ajout aux réglages 297, 299–300
fichiers 300
segmentation des tâches
options H.264 166
options MPEG-2 198
options MPEG-4 227
options QuickTime 239
sortie Composant d’exportation au format
QuickTime 255
séquences
d’images 173
de référence QuickTime 90
exportation 11
séquences QuickTime
réglages audio 241
serveurs
de courrier 297
hôtes 331
QuickTime Streaming Server 229, 233
SIF (Standard Interface Format) 181
sites web
Apple 17, 18
AppleScripts 301, 347
Apple Store 18
assistance AppleCare 345, 346
assistance Compressor 17
Compressor 17, 345
Dolby Laboratories 156
FireWire 18
QuickTime 17
service et assistance Apple 17
son. Voir audio
son Surround
affectation de codes d’identificateur 83, 152
affectation manuelle de canaux 84, 149
audio stéréo 140
débits de données 143
description 139
lecture stéréo 156
mixage spatial 154–156
son Surround 5.1 83–86, 139, 140, 143, 149–154
soumission de lots 120–122
processus 25
sous-fenêtre
Actions 67, 99, 100, 298–300
Apple Qmaster 349
Audio 228–229, 231, 233
Diffusion 229, 231, 233
Géométrie 66–67, 98, 100, 290–295
Résumé 61, 98
Vidéo 227, 230, 232
sous-fenêtre Contrôles d’image
ajout automatique de réglages 279
ajout de réglages personnalisés 279
contrôles de resynchronisation 283
introduction 273
modification des réglages 99
présentation 65, 274
prévisualisation 274
télécinéma inverse 280
vue d’ensemble 278
sous-fenêtre Encodeur
Voir aussi les noms des sous-fenêtres Encodeur
spécifiques
AIFF 134
composants d’exportation au format
QuickTime 255
de séquence d’images 174–175
Dolby Digital Professional 140–146
modification des réglages 99
MPEG-1 183–186, 188
MPEG-2 198–215
MPEG-4 232
MPEG-4 Partie 2 226–230
présentation 62, 98
QuickTime 238–241
sous-fenêtre Filtres 65, 98, 100, 260–271
ajout aux réglages 271
sous-fenêtres Réglages
à propos des 61–67
sous-fenêtre Actions 67
sous-fenêtre Contrôles d’images 65
sous-fenêtre Encodeur 62
sous-fenêtre Filtres 65
sous-fenêtre Géométrie 66
sous-fenêtre Résumé 61
Standard Interface Format (SIF) 181
Structures IBBP 200Index 367
suppression d’éléments
destinations 327, 333
images I 319
marqueurs 309
noms de destinations 335
réglages 95, 104
suppression des bruits 265
synchronisation
(resynchronisation) 65
partielle 169
T
Tableau Résumé 339
tâches
Voir aussi lots
configuration 22
copie 118
description 19, 29, 31
destinations 115–116
enchaînement 119
importation de fichiers multimédia sources dans
des 79–83
lots 35
options de ligne de commande 350
Tagged Image File Format. Voir TIFF
taille
d’échantillonnage, son 252
de l’écran de prévisualisation 304
taille des cadres
MPEG-1 182
MPEG-2 314
taille des images
mise à l’échelle et 287, 291–293
réglages 275
rognage et 201, 290–291
TARGA (Truevision Advanced Raster Graphics
Adapter)
description 173
encodeur 15, 34
fichiers de sortie 173–176
téléchargement
de films 238, 240
préchargé en mémoire tampon (QuickTime) 238
télécinéma inverse
à propos de 280
cadence 281
problèmes de 282
téléphones
fréquences d’échantillonnage 252
qualité audio 246
terminologie 32
tête de lecture 307
texte, superposition 267
TIFF (Tagged Image File Format)
description 173
encodeur 15, 34
fichiers de sortie 173–176
timecode
contrôles d’entrée et de sortie 305
de départ 203
description 203
en temps réel 203
Non-Drop Frame 203
options MPEG-2 203, 219
tête de lecture 307
traitement distribué
choix de clusters 338
Final Cut Pro 127–130
réglages de stockage de travail 40
segmentation des tâches 198, 227, 239
segmentation des travaux 63–64
séquences de référence QuickTime 90
sortie H.264 166
stockage de clusters 326
trames
de cadre de source 66, 290
impaires 203, 262
inférieures 203, 262
paires 203, 262
prioritaire 203, 219
supérieures 203, 262
trames, sortie
types 203
transcodage
actions de post-transcodage 299–300
aperçu de réglages 33, 36
choix d’un format de sortie 34
composants typiques du 30–31
confirmation de la fin du 37
contrôles d’image 274–278
de lots. Voir lots
description 32
destinations 33
différents plans à partir d’un seul fichier
multimédia 131–132
droplets 337–344
économiseurs d’écran et 37, 121
fenêtres et flux de production Compressor 44
flux de production de base 29–38
formats de sortie 14
notifications par courrier électronique 297
options de post-transcodage 297–300
préparation de Compressor 32–33
projets Final Cut Pro 126–127
réglages 32–33
sections de fichiers multimédia 315–316
tâches facultatives 26–27
visualisation de l’état du 37
travaux
segmentation 63–64368 Index
V
valeurs de luminance 261
VBR (débit variable)
AAC et 225
options MPEG-2 205
segmentation des travaux 64
VBR (Variable Bit Rate - débit variable)
deux passes 206–208
paramètres 228
une passe 205
VCD
débits 185
sortie MPEG-1 181
Version Mac OS 346
vidéo
activation de pistes 239
à définition standard Voir vidéo SD
bruit 265
compression. Voir transcodage
désentrelacement 258–259
entrelacement 195, 258–259
haute définition. Voir vidéo HD
lecture en continu 195, 226
liste des filtres 261–268
minutes, sur DVD 204
non entrelacée 181
progressive 181, 195, 208
vidéo entrelacée
création 195, 258–259
vidéo HD
conversion 12, 196
disques DVD-5 171
options MPEG-2 196, 200, 205
redimensionnement d’image 65
source haute définition 196
vidéo progressive
animation 208
MPEG-1 181
MPEG-2 195
vidéo SD
conversion de vidéo HD 12, 196
dimension d’image 201
réglage des options MPEG-2 200
rognage de la sortie 291
volumes
iDisk 326
normalisation 143
partagés 328
vue
Sortie 103
Source 103
W
WAN (réseaux étendus) 41
web
diffusion en continu de fichiers multimédia 238
fréquences et tailles d’images 182
résolution 185
sortie MPEG-1 182, 187, 188–189
Z
zéros de début 175
zone
d’écran Preview 306
de surbalayage 290
sûres 290
zone de dialogue
à distance 330
Enregistrer 340
QuickTime Réglage d’exportation
d’indications 240
Réglages audio 135, 241, 244–250
Réglages audio QuickTime 134
Réglages de compression 242–244
Sélection de fichier 300
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ici sont des marques de leurs détenteurs respectifs.
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fins informatives et ne constitue en aucun cas une
approbation ni une recommandation. Apple n’assume
aucune responsabilité vis-à-vis des performances ou
de l’utilisation de ces produits. 3
1 Table des matières
Chapitre 1 7 Introduction à MainStage
7 Qu’est-ce que MainStage ?
8 Utilisation de MainStage avec des contrôleurs MIDI
9 Utilisation de MainStage avec des guitares et autres instruments
9 Ajout de MainStage dans votre configuration musicale
11 Utilisation MainStage lors de représentation en direct
12 Ressources pour en savoir plus sur MainStage
12 Manuel de l’utilisateur à l’écran de MainStage
13 Sites web d’Apple
Chapitre 2 15 Configuration de votre système
15 Utilisation de matériels MIDI avec MainStage
16 Utilisation de matériels MIDI avec MainStage
17 Utilisation de modules d’effets avec MainStage
Chapitre 3 19 L’interface MainStage
19 La fenêtre MainStage
21 Mode Disposition
22 Mode Édition
23 Mode Exécution
24 Mode Plein écran
Chapitre 4 25 Premiers contacts avec MainStage
25 Avant de commencer
25 Choix d’un modèle de concert
27 Sélection et lecture de patchs
28 Ajout de patchs
29 Modification du nom d’un patch
29 Ajout d’une tranche de console à un patch
31 Modification d’un réglage de tranche de console
32 Apprentissage d’assignations de contrôleur
33 Mappage de contrôles d’écran à des paramètres
36 Familiarisation avec les modes Plein écran et Exécution
36 Personnalisation de la fenêtre MainStage4 Table des matières
Chapitre 5 41 Utilisation de concerts
41 Ouverture et fermeture de concerts
42 Enregistrement de concert
43 Conséquences de l’enregistrement sur les valeurs des paramètres
43 Utilisation du Tempo dans un concert MainStage
45 Désactivation du son de la sortie audio
46 Notes MIDI en muet
47 Manipulations par concert
Chapitre 6 53 Utilisation du mode Édition
53 Utilisation de patchs en mode Édition
57 Utilisation de tranches de console en mode Édition
68 Mappage de contrôles d’écran
70 Utilisation de sets en mode Édition
72 Manipulations par set
73 Substitution de mappages portant sur un concert ou un set entier
74 Partage de patchs et de sets entre concerts
Chapitre 7 77 Utilisation du mode Disposition
78 Changement de la résolution de grille
78 Modification de la disposition d’un concert
78 Utilisation des contrôles d’écran
88 Assignation de contrôles matériels à des contrôles d’écran
90 Modification des paramètres des contrôles d’écran
94 Transition de messages dans le canal MIDI Thru avec MainStage
94 Exportation d’une disposition
95 Importation d’une disposition
Chapitre 8 97 Représentation en direct avec MainStage
97 Avant de commencer à jouer
97 Utilisation des modes Plein écran et Exécution
99 Sélection de patchs pendant la représentation
100 Utilisation des contrôles d’écran pendant l’interprétation
101 Gestion des changements de tempo pendant l’interprétation
101 Utilisation de guitares et autres instruments
102 Utilisation du syntoniseur
103 Conseils pour la configuration complexe de matériel
Annexe A 105 Raccourcis clavier
105 Concerts et dispositions
105 Patchs et sets (mode Édition)
106 Édition
106 Actions
106 Mappage de paramètres(mode Édition)Table des matières 5
106 Tranches de console (mode Édition)
107 Contrôles d’écran (mode Disposition)
107 Fenêtre et présentation
107 Aide et assistance
Annexe B 109 Réglage des préférences MainStage
109 Préférences générales
110 Préférences Audio/MIDI
Index 1111
7
1 Introduction à MainStage
MainStage transforme votre ordinateur en puissant instrument
de musique personnalisable, optimisé pour l’utilisation en
représentation.
L’avènement d’ordinateurs portables puissants et rapides a permis aux musiciens de
les utiliser lors de performance en direct, leur ouvrant ainsi de nouvelles possibilités.
Désormais les musiciens exploitant l’informatique peuvent conserver toute une bibliothèque de sons sur leur ordinateur et les utiliser pour jouer en live. Mais ils ont surtout
besoin d’un moyen leur permettant d’accéder, d’organiser et de manipuler ces sons
alliant les avantages de la composition musicale assistée par ordinateur au contrôle
tactile et intuitif du matériel musical adapté.
Qu’est-ce que MainStage ?
MainStage est une nouvelle application conçue pour les représentations en live.
MainStage transforme votre ordinateur en un puissant instrument multiple et processeur d’effets exploitable sur scène. Si vous jouez du clavier, de la guitare, de tout autre
instrument ou que vous chantez, vous pouvez utiliser MainStage avec vos instruments,
micros et autres appareils musicaux lors de vos performances.
MainStage vous permet d’utiliser des instruments et des effets Logic Studio de qualité
professionnelle pendant vos représentations. Vous pouvez accéder aux instruments
et effets et les modifier à l’aide de l’interface déjà familière en tranches de console de
Logic. Si vous jouez du clavier MIDI ou USB, vous pouvez jouer et contrôler toute une
gamme d’instruments logiciels et notamment du piano, du clavier, du synthétiseur,
des cordes, des cuivres, des percussions, etc. Si vous jouez de la guitare ou d’un autre
instrument de musique, vous pouvez vous produire sur scène en utilisant des effets
issus de Logic Studio, notamment la simulation d’ampli de basse, de la réverbération,
de la compression ou de l’égalisation. Les chanteurs peuvent aussi utiliser des effets
sur leur voix ;il en va de même pour les instruments acoustiques joués dans un micro.8 Chapitre 1 Introduction à MainStage
MainStage est une interface simple et adaptable permettant d’organiser et d’accéder
aux sons inclus dans des concerts. Ces concerts sont des documents MainStage :
ils permettent de stocker tous les sons que vous comptez utiliser lors d’une représentation. Dans un concert MainStage, chaque son est stocké sous forme de patch contenant chacun des tranches de console audio ou d’instruments logiciels. Vous pouvez
ajouter des tranches de console, choisir leurs réglages, ajouter des instruments et des
effets et modifier leurs paramètres pour personnaliser vos sons. Vous pouvez même
mixer des tranches de console audio et d’instrument logiciel dans un même patch.
Chaque concert comprend une interface visuelle appelée Disposition avec des contrôles
permettant de modifier vos patchs en pleine représentation. Les dispositions disposent
de contrôles d’écran pouvant comprendre des claviers, des curseurs, des potentiomètres,
des boutons, des pédales, des pads de batterie et autres objets. Vous pouvez établir des
connexions entre les matériels MIDI et le concert en assignant des commandes matérielles aux contrôles d’écran dans l’espace de travail MainStage. Après avoir procédé aux assignations de contrôleur, vous devez mapper les contrôles d’écran à une tranche de
console et aux paramètres de module, terminant ainsi la connexion de façon à pouvoir
facilement accéder et manipuler les paramètres voulus pour chacun des patchs du concert. Vous pouvez aussi mapper des contrôles d’écran pour sélectionner des patchs et
avoir un retour visuel en temps réel sur les patchs, les paramètres et autres informations.
MainStage vous permet de créer rapidement et facilement des assignations de contrô-
leur et des mappages de paramètres pour accélérer votre travail. Vous pouvez personnaliser votre Disposition pour l’adapter à votre matériel MIDI et optimiser l’utilisation de
l’espace disponible à l’écran ou l’adapter à vos besoins particuliers.
Utilisation de MainStage avec des contrôleurs MIDI
Si vous jouez sur votre clavier contrôleur USB ou MIDI, vous pouvez lire et contrôler
des patchs MainStage à l’aide de votre contrôleur. Vous pouvez assigner des curseurs,
des ports, des boutons et autres commandes du clavier à des contrôles d’écran dans
votre concert puis les mapper à des paramètres de vos patchs. Vous pouvez choisir
exactement les paramètres que vous voulez pour avoir sous la main chacun des
patchs et y accéder à partir du contrôleur pendant la représentation.
MainStage prend en charge les claviers et autres matériels capables d’envoyer des
messages MIDI standard, notamment les pédales Sustain et expression et les interrupteurs à pied MIDI. Vous pouvez aussi utiliser MainStage avec d’autres contrôleurs
comme des guitares MIDI ou des contrôleurs à souffle.Chapitre 1 Introduction à MainStage 9
Utilisation de MainStage avec des guitares et autres
instruments
Si vous jouez de la guitare électrique ou d’un autre instrument de musique, MainStage
se comporte alors comme un puissant processeur d’effets configurable. Après avoir
branché votre instrument sur l’ordinateur à travers une interface audio, vous deves
sélectionner l’entrée audio de votre instrument dans les tranches de console audio
de vos patchs où vous pouvez ajouter des effets, notamment de la simulation d’ampli,
de l’égalisation, de la compression et de la réverbération. Vous pouvez alors contrôler
le volume, le mélange d’effets ou l’expression avec une pédale d’expression et utiliser
un interrupteur à pied pour sélectionner les patchs.
Les chanteurs et les musiciens jouant d’un instrument acoustique peuvent utiliser
MainStage de la même façon, en raccordant l’entrée audio de leur micro sur les tranches
de console de leurs patchs. Vous pouvez utiliser MainStage avec des périphériques audio
compatibles Core Audio, comme des interfaces audio, pour l’entrée d’instruments et
de micros, et la sortie sur des haut-parleurs, des moniteurs, une table de mixage ou
un système de sonorisation.
Ajout de MainStage dans votre configuration musicale
Si vous jouez du clavier MIDI, de la guitare, que vous chantez ou que vous jouez d’un
autre instrument, vous pouvez ajouter MainStage à votre équipement en suivant les
étapes suivantes :
 personnalisez la configuration de vos sons et de vos effets ;
 organisez vos patchs dans votre concert ;
 personnalisez votre disposition ;
 réalisez les connexions entre MainStage et votre matériel musical.
Pour faciliter la configuration, MainStage divise ses tâches en deux groupes avec des
modes distincts pour chaque groupe de tâches. Vous pouvez personnaliser et organiser
vos patchs en mode Édition, personnaliser votre disposition et établir des connexions
avec votre matériel en mode Disposition. Cette répartition a l’avantage de séparer des
tâches que vous n’exécutez normalement qu’une seule fois, comme la configuration de la
disposition (tâches du mode Disposition), de celles que vous risquez de répéter plus souvent, comme la modification de sons (tâches du mode Édition).10 Chapitre 1 Introduction à MainStage
Mode Édition :utilisation de sons
Vous pouvez modifier et organiser les patchs en mode Édition. Ils sont alors « en direct »
ce qui vous permet d’écouter instantanément le résultat de vos modifications.Vous pouvez
sélectionner et lire des patchs, choisir des réglages et modifier des paramètres de tranche
de console.Vous avez la possibilité de définir rapidement des plages de notes pour les
tranches de console afin de créer des couches et des scissions de clavier, des expressions
de gamme et autres paramètres à l’aide de transformations, et en filtrant les messages
MIDI entrants.
MainStage comprend de nombreux modèles de concerts adaptés à différents instruments
de musique,styles et usages.Vous pouvez utiliser un modèle de concert en tant que
« multi-instrument » prêt à l’emploi ou comme point de départ pour créer votre propre
concert personnalisé.
Lorsque vous ouvrez un concert en mode Édition, ses patchs apparaissent dans la Liste
de patchs où vous pouvez les sélectionner et lancer la lecture. Vous pouvez modifier
des paramètres de patch, ajouter des tranches de console aux patchs existants ou en
créer de nouveaux et réorganiser des patchs pour construire une collection de sons
personnalisés à utiliser en représentation.
Vous pouvez aussi organiser les patchs en sets pour une plus grande flexibilité. Les sets
sont des dossiers pouvant accueillir des groupes de patchs que vous voulez associer, ce qui
peut s’avérer utile. Par exemple, vous pouvez stocker tous vos patchs de synthé préférés
dans un set ou plusieurs patchs que vous avez l’intention d’utiliser dans un seul et même
morceau pour pouvoir facilement les sélectionner lors de la représentation.
Le mode Édition vous permet de mapper des contrôles d’écran à des paramètres de
tranche de console. Vous pouvez mapper n’importe quel paramètre à modifier pour
chaque patch à un contrôle d’écran afin de le manipuler facilement à partir de votre
matériel lorsque vous êtes en représentation. Vous pouvez également mapper des
contrôles d’écran à des actions spécifiques de MainStage, comme la sélection du
patch suivant que vous voulez lire.Chapitre 1 Introduction à MainStage 11
Mode Disposition :connexion avec votre équipement
Chaque concert comprend une disposition dont le but est de représenter vos contrô-
les matériels à l’écran. En mode Disposition, vous pouvez organiser les contrôles d’écran
dans l’espace de travail MainStage et établir la connexion entre MainStage et votre
matériel musical.
En mode Disposition, vous pouvez connecter vos matériels MIDI aux contrôles d’écran de
votre concert MainStage en assignant des commandes matérielles comme les potentiomètres, les curseurs, les pédales et les pads de batterie aux contrôles d’écran correspondants. MainStage propose une large gamme de contrôles d’écran, dont des claviers, des
potentiomètres, des curseurs, des interrupteurs, des molettes de modulation et de hauteur (pitch bend), des pédaliers et des pads de batterie. Des contrôles d’écran sont également fournis pour afficher du texte et des images et un sélecteur de patch que vous
pouvez utiliser pour visualiser et sélectionner des patchs pendant l’exécution sur scène.
Vous pouvez déplacer ou redimensionner les contrôles d’écran et personnaliser la repré-
sentation visuelle des paramètres et autres informations.Vous n’avez à effectuer les assignations matérielles qu’une fois pour tout le concert, ce qui réduit considérablement le
travail de connexion du matériel à l’ordinateur.
Utilisation MainStage lors de représentation en direct
Lorsque vous avez créé et organisé vos sons, personnalisé votre disposition et effectué
les assignations matérielles, vous êtes prêt à vous produire. Lors de la représentation
en direct, vous pouvez utiliser un ordinateur comme module de son et boîte d’effets
finals. Vous avez la possibilité de sélectionner un patch et de le lire instantanément.
MainStage passe d’un patch à l’autre sans coupure et peut tenir des notes du patch
précédent tout en commençant à jouer celui qui vient d’être sélectionné. La représentation de vos patchs se fait en temps réel, incluant notamment le nom, la valeur des
paramètres et les niveaux de sortie audio. Vous avez également la possibilité de régler
des effets portant sur tout le concert et contrôler d’autres réglages de même portée.
MainStage propose deux modes pour la représentation en direct :le mode Plein écran et
le mode Exécution. En mode Plein écran, l’espace de travail occupe tout l’écran, optimisant
ainsi l’espace disponible pour la disposition de l’écran. En mode Exécution, l’espace de travail occupe toute la fenêtre MainStage mais vous permet encore l’accès au Finder et autres
applications.Vous pouvez utiliser l’un ou l’autre suivant votre préférence.
Vous pouvez utiliser MainStage avec plusieurs contrôleurs MIDI, micros, instruments et
autres équipements de musique. Pour les effets temporels, comme la réverbération ou
le retard, vous avez la possibilité d’utiliser un tempo prédéfini, d’utiliser l’entrée MIDI
pour les changements de tempo ou de taper le tempo lors de la représentation.12 Chapitre 1 Introduction à MainStage
Ressources pour en savoir plus sur MainStage
Ce manuel décrit l’interface, les commandes et les menus de MainStage et vous propose un guide pas à pas pour créer des concerts MainStage et réaliser des tâches plus
spécifiques. Vous y trouverez également des informations pour la configuration de
votre système. Il a été conçu pour vous fournir les informations dont vous avez besoin
pour mettre rapidement à profit l’interface intuitive et les puissantes fonctionnalités
de MainStage.
Si vous voulez commencer par savoir comment installer votre matériel audio et MIDI
pour l’utiliser avec MainStage, lisez chapitre 2, « Configuration de votre système » à la
page 15. Si vous voulez en savoir plus sur les fonctionnalités et les commandes de
l’interface MainStage, reportez-vous au chapitre 3, « L’interface MainStage » à la
page 19. Si vous voulez faire le grand saut et commencer tout de suite à utiliser l’application, passez directement au chapitre 4, « Premiers contacts avec MainStage » à la
page 25. Si vous voulez en savoir plus sur l’utilisation de MainStage en représentation,
consultez le chapitre 8, « Représentation en direct avec MainStage » à la page 97.
En plus de ce manuel, MainStage vous propose d’autres sources d’assistance.
Manuel de l’utilisateur à l’écran de MainStage
Le Manuel de l’utilisateur à l’écran de MainStage vous permet d’accéder aux informations
directement pendant que vous travaillez dans MainStage. Pour visualiser ces informations,
choisissez Aide > Manuel de l’utilisateur de MainStage. Le Manuel de l’utilisateur à l’écran
de MainStage est une version du Manuel de l’utilisateur de MainStage incluant des liens et
des fonctionnalités vous permettant de retrouver facilement et rapidement les informations que vous cherchez.
 La page d’accueil vous permet d’accéder rapidement à différentes fonctionnalités,
comme les Informations de dernière minute et le manuel Instruments et effets Logic Studio.
 Une liste exhaustive de signets vous permet de choisir rapidement ce que vous voulez
consulter et la rubrique voulue s’ouvre en un clic.
En plus des outils de navigation, le Manuel de l’utilisateur à l’écran de MainStage vous
propose d’autres moyens de retrouver rapidement les informations :
 Toutes les références croisées du texte font l’objet de liens. Vous pouvez cliquer sur
n’importe quelle référence pour y accéder directement. Vous pouvez ensuite utiliser
le bouton Retour pour revenir où vous étiez avant de consulter la référence.
 La table des matières et l’index fonctionnent aussi avec des liens. Si vous cliquez
sur une entrée de ces sections, vous vous retrouvez directement à la rubrique correspondante du manuel.
 Vous pouvez également utiliser la zone de dialogue Rechercher pour trouver
des mots ou une expression spécifique dans le texte.Chapitre 1 Introduction à MainStage 13
Sites web d’Apple
Il existe plusieurs sites web d’Apple sur lesquels vous trouverez des informations
complémentaires.
Site web Logic Studio
Pour des informations d’ordre général et les dernières mises à jour Logic Studio,
notamment MainStage, consultez :
 http://www.apple.com/fr/logicstudio
Site web de service et d’assistance Apple
Pour les mises à jour logicielles et trouver des réponses aux questions les plus
fréquentes sur les produits Apple, consultez :
 http://www.apple.com/fr/support
Vous aurez également accès aux spécifications des produits, à la documentation
de référence et aux articles techniques sur les produits Apple et tiers.
Autres sites web d’Apple
Commencez par la page d’accueil Apple pour trouver les dernières informations
les plus fiables sur les produits Apple :
 http://www.apple.com/fr
QuickTime est une technologie standard reconnue dans l’industrie, permettant
de traiter de la vidéo, du son, de l’animation, de l’image, du texte, de la musique et
des scènes de réalité virtuelle à 360 degrés (VR). QuickTime propose un haut niveau
de performances, de compatibilité et de qualité en termes de vidéo numérique.
Visitez le site web QuickTime pour en savoir plus sur les types de supports pris en
charge, suivre une visite guidée de l’interface et des spécifications de QuickTime, etc. :
 http://www.apple.com/fr/quicktime
FireWire est une des normes de périphérique les plus rapides développées à ce jour,
d’une grande utilité pour les périphériques multimédia comme les caméscopes vidéo
et les derniers disques dur à haut débit. Consultez ce site web pour en savoir plus sur
la technologie FireWire et les produits FireWire tiers disponibles (en anglais) :
 http://www.apple.com/fr/firewire
Pour en savoir plus sur les séminaires, les événements et les utilitaires tiers utilisés
dans la publication, la conception web, l’impression, la musique et l’audio, les films,
l’imagerie numérique et les arts multimédia, consultez :
 http://www.apple.com/fr/pro14 Chapitre 1 Introduction à MainStage
Pour consulter des ressources, des récits et des informations sur les projets développés
grâce aux logiciels Apple en milieu éducatif, consultez :
 http://www.apple.com/fr/education
Rendez-vous dans l’Apple Store pour acheter des logiciels, du matériel ou des accessoires
directement d’Apple et découvrir des promotions et offres spéciales sur des produits logiciels et matériels tiers :
 http://www.apple.com/francestore2
15
2 Configuration de votre système
Vous pouvez utiliser MainStage avec un large éventail de
contrôleurs MIDI et d’appareils audio compatibles Core Audio.
La génération et le traitement en temps réel de l’audio numérique requièrent une
puissance de traitement importante de la part de votre ordinateur. Si vous envisagez
de travailler sur des projets volumineux ou complexes, vous pouvez améliorer votre
productivité en dotant votre ordinateur d’un processeur plus rapide et de mémoire
RAM supplémentaire. De la RAM supplémentaire est particulièrement utile lorsque
l’on a recours à un grand nombre de modules d’effets et à des instruments logiciels
s’appuyant sur des échantillons. Nous vous recommandons de ne pas exécuter d’autres
applications mettant à rude épreuve le processeur ou la mémoire en même temps que
MainStage, particulièrement si vous jouez en direct.
Utilisation de matériels MIDI avec MainStage
MainStage fonctionne avec de nombreux claviers contrôleurs USB et MIDI et autres
périphériques MIDI tels que des pédales et des interrupteurs au pied. Pour que les
périphériques MIDI fonctionnent avec MainStage, ils doivent pouvoir envoyer des
messages de contrôle MIDI standard. MainStage reçoit les messages MIDI standard
mais n’est pas capable d’en envoyer, et n’est pas conçu pour piloter des appareils MIDI
externes. Pour en savoir plus sur l’utilisation de matériels MIDI, consultez le chapitre
« Configuration de votre système » dans le Manuel de l’utilisateur de Logic Pro 8.
Utilisation de périphériques MIDI envoyant des types de message
MIDI particuliers
Certains types de contrôles matériels, tels que des potentiomètres (contrôles rotatifs)
et des boutons, peuvent envoyer des messages MIDI de plusieurs types. Lorsque vous
assignez ces contrôles aux contrôles d’écran MainStage à l’aide du processus Apprendre,
MainStage analyse les données MIDI entrantes afin de déterminer le type de message
envoyé par le contrôle matériel. Pour que MainStage puisse assimiler ces contrôles correctement, veillez à tourner les potentiomètres sur toute leur course et à appuyer exactement
trois fois sur les boutons pendant le processus d’apprentissage.16 Chapitre 2 Configuration de votre système
Certains contrôleurs MIDI peuvent envoyer des messages MIDI non standard ou des
messages en format propriétaire. MainStage ne peut ni traiter ni répondre aux messages
MIDI non standard, aux messages de paramètres « enregistrés » ou « non enregistrés »
et aux messages System Exclusive (SysEx).
Certains matériels présentent des boutons qui envoient des messages de changement
de programme. Vous pouvez utiliser ces boutons pour envoyer des messages de changement de programme à MainStage mais vous ne pouvez pas les assigner pour contrôler
d’autres paramètres à l’aide des contrôles d’écran de MainStage.
Sélection d’un préréglage de contrôleur
Certains contrôleurs de clavier permettent de choisir divers préréglages ou « scènes »
qui reconfigurent les messages envoyés par les contrôles de l’appareil. Dans la plupart
des cas, choisissez un préréglage générique qui envoie des messages MIDI standard
plutôt que des messages System Exclusive ou des messages destinés à une application
en particulier. Après avoir assigné des commandes matérielles à des contrôles d’écran
dans MainStage, ne modifiez pas le préréglage de l’appareil MIDI sous peine de perdre
vos assignations.
Dans certains cas, il est possible de modifier le type de message que le contrôleur envoie
en choisissant un autre préréglage ou en reprogrammant le matériel. Certains appareils
intègrent des logiciels utilisables pour reprogrammer potentiomètres, boutons et autres
contrôles. Pour en savoir plus sur la reprogrammation d’un matériel MIDI, reportez-vous
à la documentation l’accompagnant.
Utilisation de matériels MIDI avec MainStage
MainStage fonctionne avec les matériels audio compatibles Core Audio, dont les interfaces audio FireWire, USB et PCI. Pour en savoir plus sur l’utilisation de matériels audio,
consultez le chapitre « Configuration de votre système » du Manuel de l’utilisateur de
Logic Pro 8.
MainStage peut nécessiter une grande quantité de mémoire RAM, particulièrement avec
les instruments logiciels s’appuyant sur des échantillons. Avant toute représentation en
direct avec MainStage, il est recommandé de tester votre système et les concerts que
vous envisagez d’utiliser afin de vous assurer que la mémoire dont vous disposez est
suffisante pour jouer les patchs et passer de l’un à l’autre sans provoquer de pertes du
signal audio ou de distorsion. Contrairement à Logic Pro 8, MainStage permet de choisir
plusieurs gestionnaires d’entrée et de sortie audio. Pour en savoir plus sur la sélection
de gestionnaires audio, consultez « Réglage des préférences MainStage » à la page 109.Chapitre 2 Configuration de votre système 17
Utilisation de modules d’effets avec MainStage
Vous pouvez utiliser un grand nombre des modules d’effets de Logic Studio dans
les tranches de console MainStage. Certains modules Logic Studio, dont les modules
Surround et ceux entraînant une latence notable, ne sont pas disponibles dans MainStage.
Pour en savoir plus sur les modules d’effets inclus, reportez-vous au manuel Instruments
et effets Logic Studio.Vous pouvez aussi utiliser des effets Audio Units Apple et de tierce
partie dans les tranches de console MainStage de la même façon que dans les tranches
de console Logic Pro 8.
Certains modules Audio Units peuvent entraîner un effet de latence. L’utilisation
d’effets générant de la latence, tels que les compresseurs et les limiters, peut produire
des résultats indésirables ou imprévisibles sur scène.3
19
3 L’interface MainStage
Dans MainStage, vous ne travaillez que dans une seule
fenêtre :celle de MainStage.
La fenêtre MainStage est organisée de façon à faciliter l’utilisation de vos patchs et
votre disposition lorsque vous modifiez vos concerts. L’espace de travail occupe le centre de la fenêtre, les inspecteurs et autres zones de modification se trouvant sur les
côtés gauche et droite. Au moment de la performance en direct, deux modes adaptés
à la représentation vous sont proposés pour optimiser la disposition de l’écran et vous
faciliter la visualisation sur scène.
La fenêtre MainStage
Certaines fonctionnalités de l’interface MainStage sont communes à tous les modes
alors que d’autres ne sont disponibles que dans certains.
Moniteur d’activité
Inspecteur
Barre d’outils
Espace de
travail avec
contrôles
d’écran20 Chapitre 3 L’interface MainStage
Parmi les fonctionnalités principales de MainStage, on trouve :
 La barre d’outils : comprend des boutons pour les commandes et les outils courants.
Vous pouvez la personnaliser pour rendre plus accessibles les commandes que vous
utilisez le plus souvent.
 Le moniteur d’activité :indique l’utilisation du processeur et de la mémoire de votre
ordinateur ainsi que les données entrantes des matériels MIDI pendant l’édition et la
représentation.
 L’espace de travail :c’est le « canevas » à partir duquel vous pouvez personnaliser la
disposition de l’écran, assigner des commandes matérielles et visualiser vos concerts.
 Les contrôles d’écran :objets à l’écran qui correspondent aux commandes de vos
matériels. Vous pouvez ajouter ou modifier des contrôles d’écran dans l’espace de
travail, assigner des commandes matérielles aux contrôles d’écran puis les mapper
à des paramètres à contrôler pour chacun des patchs de votre concert.
 Les tranches de console : c’est dans ces tranches de console que vous construisez
et personnalisez vos sons. Les tranches de console de MainStage sont similaires à
celles de Logic Pro 8, prévoyant des Insertions, des Envois, des menus E/S ainsi que
des VU-mètres, des curseurs, des potentiomètres de balance et autres commandes.
 Les inspecteurs : les inspecteurs apparaissent sur la gauche de la fenêtre MainStage
lorsque vous sélectionnez des éléments à l’écran. Il en existe plusieurs proposés dans
les différents modes. Ils vous permettent de modifier des paramètres et des attributs
pour les patchs, les sets, les contrôles d’écran, les tranches de console, le concert et
la disposition.
Pour faciliter son utilisation, MainStage propose quatre modes, chacun étant adapté
à une tâche distincte. Vous pouvez écouter, modifier et organiser des sons ainsi que
mapper des contrôles d’écran en mode Édition. La personnalisation de l’agencement
de vos contrôles d’écran et les assignations des contrôleurs se font en mode Présentation. Les modes Exécution et Plein écran servent, quant à eux, à la représentation
sur scène.Chapitre 3 L’interface MainStage 21
Mode Disposition
En mode Disposition, vous pouvez personnaliser la disposition de l’écran et établir des
liens entre le matériel MIDI et les contrôles d’écran dans votre concert. Vous pouvez
faire glisser des contrôles d’écran dans l’espace de travail et les réorganiser à l’écran
pour personnaliser la disposition, puis procéder à des assignations de contrôleur entre
le matériel MIDI et les contrôles d’écran.
Dans l’inspecteur de disposition, vous pouvez modifier les paramètres de disposition
pour personnaliser les assignations de matériel et modifier l’apparence des
contrôles d’écran.
 L’inspecteur de disposition :visualisez et modifiez les paramètres des contrôles d’écran
dans l’espace de travail, et notamment les paramètres d’assignation de matériel
et d’apparence.
 Les palettes de contrôles de panneau et de tablette :faites glisser des contrôles d’écran
d’une de ces palettes dans l’espace de travail pour les ajouter à la disposition de
l’écran. Les contrôles de panneau sont entourés par un panneau plat dans l’espace
de travail alors que les contrôles de tablette s’affichent sur une tablette ajustable en
3D.
En mode Disposition, contrairement aux autres modes de MainStage, vous pouvez
sélectionner ou modifier des patchs individuellement. Vous pouvez lire et écouter
le dernier patch sélectionné lorsque vous travaillez en mode Disposition.
Inspecteur de disposition
Palette de contrôles
de panneau
Palette de contrôles
de tablette22 Chapitre 3 L’interface MainStage
Mode Édition
C’est dans le mode Édition que vous créez, personnalisez et organisez vos sons.
Vous pouvez ajouter des patchs, ajouter et modifier des tranches de console, créer des
couches et des scissions de clavier et modifier des paramètres de tranches de console.
C’est aussi dans ce mode que vous pouvez sélectionner et mapper des contrôles
d’écran à des paramètres de tranches de console et des actions, et que vous pouvez
modifier des patchs, des sets et des paramètres portant sur l’intégralité du concert.
 Liste de patchs:affiche les patchs et les sets du concert.Vous pouvez ajouter des patchs
et des sets à la Liste de patchs, puis les renommer, les sélectionner et les réorganiser.
Cette liste comprend un menu Action où vous pouvez créer des patchs et des sets,
réinitialiser les numéros de changement de programme, passer des éléments et
importer et exporter des patchs et des sets pour les utiliser dans d’autres concerts.
 Inspecteurs de concert, de jeu, de sons, de tranche de console et de contrôle
d’écran :visualisez et modifiez les paramètres de l’élément sélectionné.
Le nom de l’inspecteur change pour refléter le type d’élément sélectionné.
 Navigateur Réglages de tranche de piste (s’affiche lorsqu’une tranche de console
est sélectionnée) :choisissez un réglage pour la tranche de console sélectionnée.
Vous pouvez rechercher des réglages par nom, choisir les réglages à afficher
et définir le réglage de tranche de console par défaut des nouvelles tranches
de console.
Liste de patchs
Inspecteur de
contrôle d’écran
(évolue en fonction
de la sélection)
Navigateur de mappage
de paramètres
Zone Tranches
de consoleChapitre 3 L’interface MainStage 23
 Navigateur Mappage de paramètres (s’affiche lorsqu’un contrôle d’écran est
sélectionné) :choisissez des paramètres et des actions de tranche de console
à mapper au contrôle d’écran sélectionné dans l’espace de travail.
 Zone Tranches de console :visualisez et modifiez les tranches de console dans vos
patchs ou portant sur l’intégralité du concert ou du set. Les tranches de console
s’affichent dans un format vertical similaire aux tranches de console de Logic Pro 8,
avec sensiblement les mêmes commandes. Vous pouvez aussi ajouter des tranches
de console et enregistrer des réglages de tranches de console.
Les deux modes restants, le mode Exécution et le mode Plein écran,sont tous les deux
optimisés pour un usage sur scène. Vous pouvez utiliser l’un ou l’autre en représentation.
Mode Exécution
En mode Exécution, l’espace de travail occupe toute la fenêtre MainStage. La barre
d’outils est visible de façon à passer d’un mode à l’autre à l’aide des boutons Mode,
à utiliser les boutons Panique et Silence Master et à visualiser les niveaux d’utilisation
du processeur et de la mémoire, ainsi que des entrées MIDI dans le moniteur d’activité.
Les navigateurs et les inspecteurs sont cachés pour optimiser l’espace de travail,
ce qui permet des contrôles d’écran plus grands et plus faciles à lire lorsque vous
êtes sur scène. Vous pouvez toujours accéder au Finder et activer d’autres applications
en mode Exécution.24 Chapitre 3 L’interface MainStage
Mode Plein écran
En mode Plein écran, l’espace de travail occupe tout l’affichage de l’ordinateur,
les contrôles d’écran sont donc aussi grands que possible pour une meilleure lisibilité.
Le mode Plein écran optimise l’affichage en représentation lorsque vous ne voulez
utiliser que MainStage pendant que vous jouez.4
25
4 Premiers contacts avec MainStage
Vous pouvez rapidement commencer à travailler dans
MainStage en choisissant un modèle de concert et en
testant les patchs qui y sont inclus. Ce chapitre se veut un
« tour d’horizon » guidé que vous pouvez suivre lorsque
vous lancez MainStage pour la première fois.
Avant de commencer
Avant de commencer à travailler dans MainStage, nous vous recommandons de brancher
le matériel, par exemple un clavier contrôleur, une interface audio, des instruments ou des
micros, que vous avez l’intention d’utiliser sur votre ordinateur. Pour utiliser des claviers
contrôleurs et autres appareils MIDI avec MainStage, ils doivent être en mesure d’envoyer
des messages MIDI standard. Si vous ne savez pas exactement si c’est le cas, consultez le
manuel ou le site Internet du produit. Pour en savoir plus, consultez « Configuration de
votre système » à la page 15.
Choix d’un modèle de concert
MainStage comprend des modèles de différents styles, pour différents usages et instruments de musique. Vous pouvez choisir un modèle de concert dans la zone de dialogue
Sélectionner le modèle qui apparaît lorsque vous ouvrez MainStage pour la première fois
ou à chaque création de concert.26 Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage
Pour choisir un modèle de concert :
1 Choisissez Fichier > Nouveau concert (ou appuyez sur Commande + N).
La zone de dialogue Sélectionner le modèle apparaît alors. Sur la gauche se trouve la
liste Collection reprenant des collections pour différents types d’instruments. Sur la
droite, la liste Modèle indique les modèles disponibles pour la collection sélectionnée.
2 Cliquez sur une collection de la liste du même nom pour voir les modèles qu’elle contient.
3 Cliquez sur un modèle de concert dans la liste du même nom pour créer un concert
à partir de ce modèle.
Le nouveau concert s’ouvre alors en mode Édition. L’espace de travail apparaît au centre
de la fenêtre MainStage et affiche les contrôles d’écran dans le concert. À gauche de
l’espace de travail se trouve la Liste de patchs qui indique les patchs et les sets du concert. Les tranches de console du patch sélectionné s’affichent dans la zone Tranches de
console,sur la droite de l’espace de travail.
Lorsque vous ouvrez un concert pour la première fois, le patch le plus haut est sélectionné. Vous pouvez ainsi commencer à jouer immédiatement à l’aide d’un clavier
contrôleur (si le patch a une tranche de console d’instrument logiciel), d’un instrument
ou d’un micro connecté à votre ordinateur (si le patch dispose d’une tranche de
console audio). Lorsque vous rouvrez un concert enregistré, c’est le patch choisi
au moment de la fermeture qui est à nouveau sélectionné.
Pour en savoir plus sur l’ouverture, l’édition et l’enregistrement de concerts, consultez
« Utilisation de concerts » à la page 41.
Choisissez une collection
dans la colonne pour
visualiser les modèles
disponibles.
Choisissez un modèle pour
un nouveau concert dans
cette colonne.Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage 27
Sélection et lecture de patchs
Les patchs d’un concert apparaissent dans la Liste de patchs du côté gauche de la
fenêtre MainStage. Vous pouvez test rapidement des patchs pour savoir ceux que
vous pouvez utiliser.
Si vous utilisez un contrôleur MIDI, vous pouvez lire des patchs avec des tranches de
console d’instrument logiciel à l’aide de votre contrôleur. Si vous jouez de la guitare
électrique ou tout autre instrument, ou que vous utilisez un micro branché sur une
interface audio, vous pouvez jouer ou chanter à l’aide des patchs possédant une
tranche de console. Avant de lire une tranche de console audio, vérifiez qu’elle est
bien configurée pour recevoir une entrée à travers le canal (ou à travers la paire
stéréo de canaux) auquel est branché l’instrument ou le micro.
Pour sélectionner un patch :
1 Dans la Liste de patchs située à gauche de l’espace de travail, cliquez sur le patch.
2 Lorsque le patch est sélectionné, vous pouvez lancer la lecture immédiatement.
Vous pouvez aussi sélectionner des patchs dans la Liste de patchs à l’aide du clavier.
Pour cela :
m Appuyez sur la Flèche vers le bas pour sélectionner le patch suivant (celui en dessous)
dans la liste.
m Appuyez sur la Flèche vers le haut pour sélectionner le précédent (celui au-dessus).
Lorsque le patch est sélectionné, changez certaines commandes du contrôleur MIDI
pour vérifiez que les contrôles d’écran répondent aux commandes dans l’espace de
travail. Certains contrôles, et notamment la pédale Sustain, la molette de modulation/
pitch bend et le clavier, répondent aux messages MIDI correspondants sans avoir à les
assigner ou les mapper.
Cliquez sur un patch de la Liste
de patchs pour le sélectionner
et commencez la lecture.28 Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage
Sélectionnez et lisez d’autres patchs dans le concert pour trouver des sons que vous
voulez interpréter ou utiliser comme point de départ pour la création de patchs personnalisés. Vous pouvez aussi ajouter de nouveaux patchs et modifier le réglage de
leurs tranches de console pour créer des sons uniques et personnels.
Ajout de patchs
Vous pouvez ajouter des patchs à un concert et les organiser dans la Liste de patchs.
Le nombre de patchs n’est limité que par la mémoire disponible de votre système.
Lorsque vous ajoutez un patch à un concert, vous devez choisir s’il est créé avec une
tranche de console audio ou d’instrument logiciel.
Pour ajouter un nouveau patch :
1 Cliquez sur le bouton d’ajout d’un patch (+), situé dans le coin supérieur droit de la
Liste de patchs.
La zone de dialogue « Nouvelle tranche de console » s’affiche en haut de la fenêtre.
2 Sélectionnez le type de tranche de console pour le patch.
Si vous voulez lire le patch en utilisant le clavier contrôleur, cliquez sur le bouton
Instrument logiciel. Si vous voulez que le patch reçoive une entrée audio à partir
d’un instrument ou d’un micro, cliquez sur le bouton Audio.
3 Choisissez la sortie audio de la tranche de console dans le menu local Sortie.
4 Pour les tranches de console, choisissez Mono ou Stéréo dans le menu local Format,
et l’entrée audio dans le menu local Entrée.
Important :les tranches de console audio peuvent générer un retour sonore, plus particulièrement si vous utilisez un micro en entrée audio. Lorsque vous ajoutez une tranche
de console audio,son volume est coupé par défaut. Pour éliminer rapidement ce retour
a posteriori, vous pouvez cliquer sur le bouton Muet de la tranche de console ou appuyer
sur Contrôle + M pour activer Silence Master.
5 Cliquez sur Créer.
Un nouveau patch apparaît dans la Liste de patchs, et la tranche de console correspondante s’affiche dans la zone Tranches de console.
6 Pour les tranches de console, augmentez progressivement le curseur de volume jusqu’à
entendre le son sur le canal.
Cliquez sur le bouton
du type de tranche de
console que vous voulez
utiliser dans le patch.Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage 29
Modification du nom d’un patch
Lorsque vous ajoutez un patch, par défaut, il prend le nom de la tranche de console
que vous lui ajoutez. Vous pouvez rapidement renommer des patchs afin de mieux
les différencier.
Pour renommer un patch :
1 Double-cliquez sur le patch dans la Liste de patchs.
Un champ apparaît autour du nom du patch sélectionné.
2 Saisissez un autre nom dans le champ du nom du patch.
Pour en savoir plus sur la modification et l’organisation de patchs, consultez
« Utilisation de patchs en mode Édition » à la page 53.
Ajout d’une tranche de console à un patch
Vous pouvez ajouter des tranches de console à un patch pour créer des sons en couches
et des scissions de clavier. Pour cela, vous devez choisir entre une tranche de console
audio ou d’instrument logiciel. Vous pouvez mélanger les deux types dans un seul patch.
Pour ajouter une tranche de console à un patch :
1 Vérifiez que le patch est sélectionné dans la Liste de patchs.
2 Cliquez sur le bouton « Ajouter une tranche de console » (+) dans le coin supérieur
droit de la zone Tranches de console.
La zone de dialogue « Nouvelle tranche de console » apparaît alors. Choisissez les réglages
comme vous le feriez lors de l’ajout d’un patch.
3 Dans la zone de dialogue « Nouvelle tranche de console », sélectionnez le type de
bande à créer.
4 Choisissez la sortie audio de la tranche de console dans le menu local Sortie.
Double-cliquez sur le nom du
patch puis saisissez un autre nom.30 Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage
5 Pour les tranches de console, choisissez Mono ou Stéréo dans le menu local Format,
et l’entrée audio dans le menu local Entrée.
6 Cliquez sur Créer.
Une nouvelle tranche de console apparaît en surbrillance bleue dans la zone Tranches
de console pour indiquer qu’elle est sélectionnée. Le navigateur « Réglages de tranche
de piste » apparaît en dessous de l’espace de travail et indique les réglages disponibles
pour la tranche.
7 Pour les tranches de console, augmentez progressivement le curseur de volume jusqu’à
entendre le son sur le canal.
La plupart des contrôles de tranche de console de MainStage fonctionnent comme
dans Logic Pro 8. Vous pouvez ajuster la sortie de la tranche de console à l’aide de
son curseur, Volume ajuster la balance à travers le potentiomètre correspondant et
influer sur le son général d’une tranche de console à l’aide de ses boutons Muet et
Solo. Vous pouvez choisir de nouveaux réglages de tranche de console, ajouter et
modifier les effets, ajouter des envois aux bus et changer la sortie tout comme dans
Logic Pro 8. Pour les tranches de console audio, vous pouvez passer de Mono à Stéréo
à l’aide du bouton Format. Pour les tranches de console d’instruments logiciels, vous
avez le choix entre plusieurs instruments dans le menu local Entrée.Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage 31
Pour des informations générales sur l’utilisation des tranches de console, consultez
le Chapitre 10, « Utilisation d’instruments et d’effets » du Manuel de l’utilisateur de
Logic Pro 8. Pour en savoir plus sur les tranches de console dans MainStage, consultez
« Utilisation de tranches de console en mode Édition » à la page 57.
Modification d’un réglage de tranche de console
Vous pouvez rapidement changer un instrument, des effets et autres paramètres d’une
tranche de console en sélectionnant un autre réglage dans le navigateur « Réglages de
tranche de piste ». Vous y retrouvez les réglages disponibles pour la tranche de console
sélectionnée.
Pour sélectionner un autre réglage de tranche de piste :
1 Dans la zone Tranches de console, sélectionnez celle à modifier.
La tranche sélectionnée apparaît en surbrillance et les réglages disponibles s’affichent
dans le navigateur « Réglages de tranche de piste ». Le contenu Logic Studio apparaît
alors sous forme d’une série de dossiers numérotés avec différentes catégories d’instruments. Si GarageBand ou des collections Jam Pack sont installés sur votre ordinateur,
ces réglages apparaissent en dessous de ceux de Logic Studio.
2 Cliquez sur une catégorie de la colonne de gauche puis sur des sous-catégories
des colonnes de droite pour atteindre les réglages souhaités.
Vous pouvez également rechercher des réglages de tranche de console par nom,
réinitialiser la tranche active et exécuter d’autres fonctions à partir du navigateur
« Réglages de tranche de piste ». Pour en savoir plus sur le navigateur « Réglages
de tranche de piste », consultez « Sélection de réglages de tranche de console » à
la page 59.
Cliquez sur une catégorie de la colonne pour
voir les choix disponibles.
Cliquez sur le réglage de
tranche de console à utiliser
parmi les colonnes de droite.32 Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage
Apprentissage d’assignations de contrôleur
Lorsque vous sélectionnez un patch ou un réglage de tranche de console,
certains paramètres répondent instantanément aux contrôles de votre appareil
MIDI. MainStage répond aux notes jouées sur un clavier contrôleur, aux messages
de molette de modulation/pitch bend et aux messages de pédale Sustain sans
que vous configuriez de contrôles d’écran pour recevoir ces messages. Pour les
autres commandes comme les curseurs, les potentiomètres et les boutons,
vous devez les assigner à des contrôles d’écran MainStage avant de pouvoir
les utiliser dans votre concert.
Dans MainStage, vous devez attribuez des commandes matérielles à des contrôles
d’écran dans l’inspecteur de disposition à l’aide du processus d’apprentissage, tout
comme vous le feriez pour une surface de contrôle dans Logic Pro 8. L’apprentissage
d’assignations de contrôleur est une méthode simple et rapide pour attribuer des commandes matérielles aux contrôles d’écran.
Remarque :pour pouvoir assigner une commande matérielle à un contrôle d’écran,
elle doit envoyer des messages MIDI. Pour en savoir plus, consultez « Utilisation de
matériels MIDI avec MainStage » à la page 15.
Pour apprendre des assignations de contrôleur :
1 Dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Disposition.
MainStage passe en mode Disposition.
2 Dans l’espace de travail, sélectionnez le contrôle d’écran que vous voulez apprendre.
Le contrôle sélectionné apparaît en surbrillance bleue.
3 Dans l’inspecteur de disposition, cliquez sur le bouton Apprendre.
Le bouton devient rouge pour indiquer que le processus d’apprentissage est actif.
4 Sur votre appareil MIDI, utilisez la commande que vous voulez assigner au contrôle
d’écran. Pour les curseurs et les potentiomètres, utilisez toute leur amplitude de mouvement et appuyez trois fois (mais pas trop vite) sur les boutons pour permettre à
MainStage de bien assimiler les types de messages MIDI envoyés par ces commandes.
Cliquez dessus pour commencer
l’apprentissage des assignations
matérielles.Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage 33
Les valeurs des menus locaux Assignation de matériel changent pour refléter la commande matérielle apprise par le contrôle d’écran. Pendant l’apprentissage, les messages
MIDI entrants apparaissent dans le Moniteur d’activité au-dessus de l’espace de travail.
Lorsque l’apprentissage est terminé, le contrôle d’écran répond à la commande maté-
rielle correspondante. Cela indique que le contrôle d’écran reçoit l’entrée MIDI et est
bien assigné.
5 Tant que le processus d’apprentissage est actif, vous pouvez faire assimiler des assignations de contrôleur complémentaires en sélectionnant un autre contrôle d’écran et en
utilisant la commande matérielle que vous voulez lui attribuer.Vous pouvez procéder ainsi
pour autant d’assignations que vous voulez, tant que le bouton Apprendre reste rouge.
6 Lorsque vous avez terminé l’assignation de contrôles, cliquez de nouveau sur le bouton
Apprendre pour mettre fin à l’apprentissage.
Pour en savoir plus sur l’assignation de contrôleurs, consultez « Assignation de contrôles
matériels à des contrôles d’écran » à la page 88.
Mappage de contrôles d’écran à des paramètres
Lorsque vous avez terminé l’apprentissage, vous pouvez passer à l’étape suivante qui
consiste à mapper les contrôles d’écran aux paramètres dans les patchs à modifier lors
de la représentation. Contrairement à l’assignation de contrôleur par apprentissage,
vous pourriez être amené à mapper des contrôles d’écran à des paramètres dans
chaque patch afin de pouvoir accéder facilement à ces paramètres et les modifier
pendant l’exécution en live. Vous pouvez aussi mapper les paramètres pour tout le
concert afin de contrôler le volume du master, voir les niveaux du master et modifier
des effets portant sur tout le concert.
Vous devez mapper des contrôles d’écran à des paramètres en mode Édition. Lorsque
vous passez du mode Disposition au mode Édition, les contrôles d’écran dans l’espace
de travail ne répondent pas aux activations de commandes physiques du matériel MIDI
tant qu’ils ne sont pas mappés à des paramètres des tranches de console. Il existe
deux manières de mapper des contrôles d’écran à des paramètres :en sélectionnant
visuellement des paramètres sur la fenêtre de la tranche de console ou du module,
ou en choisissant des paramètres dans le navigateur Mappage de paramètres.34 Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage
Pour mapper des contrôles d’écran à une tranche de console et à des paramètres
de module :
1 Dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Édition.
MainStage passe en mode Édition.
2 Dans l’espace de travail, cliquez sur le contrôle d’écran à mapper.
Le contrôle d’écran apparaît en surbrillance bleue. L’inspecteur de contrôle d’écran
apparaît en dessous de la Liste de patchs et indique les paramètres correspondant au
contrôle d’écran sélectionné. Le navigateur Mappage de paramètres s’affiche à la place
du navigateur « Réglages de tranche de piste » et indique les tranches de console et les
modules pouvant être mappés ainsi que le dossier Actions.
3 Dans l’inspecteur de contrôle d’écran, cliquez sur le bouton Paramètre de mappage.
Il s’allume en rouge pour indiquer que le mappage est actif.
4 Pour mapper le contrôle d’écran d’un paramètre de tranche de console, cliquez sur la
commande du paramètre sur la tranche de console dans la zone Tranches de console.
5 Pour mapper le contrôle d’écran d’un paramètre de module, double-cliquez sur le
module dans la section Insertions de la tranche de console pour ouvrir la fenêtre
du module, puis cliquez sur le paramètre.
Le contrôle d’écran est alors mappé au paramètre sélectionné. Vous pouvez ensuite
mapper d’autres contrôles d’écran en cliquant dessus dans l’espace de travail,
puis sur les paramètres correspondants dans la fenêtre d’une tranche de console
ou d’un module.
6 Lorsque vous avez terminé, cliquez de nouveau sur le bouton Paramètre de mappage
pour mettre fin au mappage.
Cliquez sur le contrôle
d’écran à mapper.
Cliquez sur le paramètre
dans la fenêtre d’une
tranche de console ou
d’un module.Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage 35
Pour mapper des contrôles d’écran à l’aide du navigateur Mappage de paramètres :
1 Dans l’espace de travail, cliquez sur le contrôle d’écran à mapper.
Le contrôle d’écran apparaît en surbrillance bleue. L’inspecteur de contrôle d’écran
s’affiche en dessous de la Liste de patchs et le navigateur Mappage de paramètres
apparaît à la place du navigateur « Réglages de tranche de piste ».
2 Dans la colonne de gauche, sélectionnez la tranche de console avec le paramètre
auquel vous voulez mapper le contrôle d’écran.
Les paramètres de la tranche de console sélectionnée apparaissent dans les colonnes
de droite. Des dossiers supplémentaires pour les instruments et pour les effets dans
la tranche peuvent apparaître dans ces colonnes. Cliquez sur un dossier pour voir les
paramètres de cet instrument ou effet.
3 Sélectionnez le paramètre à mapper.
Le contrôle d’écran est alors mappé au paramètre sélectionné.Vous pouvez mapper
d’autres contrôles d’écran en cliquant dessus dans l’espace de travail et en choisissant
les paramètres dans le navigateur Mappage de paramètres. À travers ce navigateur,
vous pouvez mapper des paramètres qui ne sont pas visibles dans la fenêtre des modules.
Vous pouvez aussi mapper des contrôles d’écran à des actions spécifiques de MainStage
et à des scripts AppleScript. Pour en savoir plus sur le mappage de contrôles d’écran,
consultez « Mappage de contrôles d’écran » à la page 68.
Remarque :si vous modifiez le réglage d’une tranche de console sur laquelle vous avez
mappé des contrôles d’écran, vous perdez alors tous les mappages des paramètres.
Vous pouvez également modifier la sensibilité de la vélocité d’une tranche de console,
créer des transformations de contrôleur et filtrer différents messages MIDI. Pour en
savoir plus sur l’édition de tranches de console, consultez « Modification de tranches
de console dans MainStage » à la page 61.
Cliquez sur la tranche
de console avec le
paramètre de
canal à mapper.
Cliquez sur le paramètre
dans le sous-menu.36 Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage
Familiarisation avec les modes Plein écran et Exécution
Vous pouvez maintenant lire les patchs comme vous le feriez lors d’une représentation.
MainStage propose deux modes :Plein écran et Exécution. Ceux-ci optimisent l’affichage
de l’espace de travail lors d’une représentation.
Pour passer en mode Plein écran, procédez d’une des façons suivantes :
m Choisissez Présentation > Plein écran (ou appuyez sur Commande + 4).
m Cliquez sur le bouton Plein écran.
Pour passer en mode Exécution, procédez d’une des façons suivantes :
m Choisissez Présentation > Exécution (ou appuyez sur Commande + 3).
m Cliquez sur le bouton Exécution.
Vous pouvez essayer ces deux modes en lisant des patchs ajoutés ou modifiés et en
utilisant des contrôles sur votre contrôleur MIDI pour modifier les paramètres que
vous avez mappés à des contrôles d’écran.
Personnalisation de la fenêtre MainStage
Vous pouvez personnaliser la fenêtre MainStage pour l’adapter à votre façon de travailler.
Vous pouvez ajuster la hauteur de la Liste de patchs, afficher ou masquer l’inspecteur et la
zone Tranches de console, et personnaliser les boutons de la barre d’outils.
Redimensionnement de l’espace de travail
Vous pouvez ajuster la hauteur et la largeur de l’espace de travail pour laisser plus
de place à la Liste de patchs, aux inspecteurs ou au navigateur.
Pour élargir l’espace de travail :
1 Déplacez le pointeur sur l’espace entre l’espace de travail et le navigateur.
Il se transforme alors en pointeur de redimensionnement.
2 Faites-le glisser verticalement pour redimensionner l’espace de travail.
Pour augmenter la hauteur de l’espace de travail :
1 Placez le pointeur sur l’espace entre l’espace de travail et la zone Tranches de console.
Il se transforme alors en pointeur de redimensionnement.
2 Faites-le glisser horizontalement pour redimensionner l’espace de travail.Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage 37
Ajustement de la hauteur de la Liste de patchs
Vous pouvez ajuster la hauteur de la Liste de patchs pour afficher plus de patchs ou
laisser plus de place à l’inspecteur.
Pour ajuster la hauteur de la Liste de patchs :
1 Placez le pointeur entre la Liste de patchs et l’inspecteur.
Il se transforme alors en pointeur de redimensionnement.
2 Faites glisser le pointeur verticalement pour ajuster la hauteur de la Liste de patchs.
La hauteur de l’inspecteur s’ajuste également pour préserver l’espace entre la Liste
de sons et l’inspecteur.
Affichage et masquage de l’inspecteur
Vous pouvez masquer l’inspecteur ou l’afficher s’il a été masqué.
Pour cela, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Choisissez Présentation > Inspecteurs (ou appuyez sur Commande + 5).
m Dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Inspecteurs.
Masquage et affichage de la zone Tranches de console
Vous pouvez masquer la zone Tranches de console ou l’afficher si elle a été masquée.
En la masquant, vous laissez plus de place à l’espace de travail.
Pour afficher ou masquer la zone Tranches de console, procédez de l’une des
manières suivantes :
m Choisissez Présentation > Tranches de console (ou appuyez sur Commande + 6).
m Dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Tranches de console.
Personnalisation de la barre d’outils
La barre d’outils en haut de la fenêtre MainStage contient des boutons pour les
commandes souvent utilisées. Vous pouvez la personnaliser en ajoutant des boutons
pour les fonctions les plus souvent utilisées puis revenir à la configuration par défaut
par la suite.38 Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage
La configuration par défaut de la barre d’outils comprend des boutons pour sélectionner
les différents modes des fenêtres, masquer l’inspecteur et la zone Tranches de console,
activer le muet du master et d’autres commandes courantes. Vous pouvez personnaliser
la barre d’outils en lui ajoutant le bouton d’autres commandes et ajuster la position et
l’espacement des éléments. Il est également possible de la masquer pour optimiser
l’espace disponible à l’écran. Vous pouvez personnaliser la barre d’outils en y faisant
glisser les éléments de la zone de dialogue « Personnaliser la barre d’outils ».
Pour afficher la zone de dialogue de personnalisation, procédez de l’une
des manières suivantes :
m Choisissez Présentation > Personnaliser la barre d’outils.
m Cliquez sur la barre d’outils tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée,
puis choisissez « Personnaliser la barre d’outils » dans le menu contextuel.
La zone de dialogue correspondante apparaît alors et les boutons de la barre
d’outils sont entourés en gris.
Pour ajouter un bouton à la barre d’outils :
m Faites glisser un bouton de la feuille Personnaliser sur la barre d’outils.
Si vous faites glisser un bouton entre deux boutons existants, ces derniers s’écartent
pour lui céder de la place.
Pour déplacer un bouton sur la barre d’outils :
m Si la zone de dialogue « Personnaliser la barre d’outils » est visible, faites déplacer
le bouton.
m Si elle n’est pas visible, faites glisser le bouton tout en maintenant la touche Commande
enfoncée pour le déplacer.
Vous pouvez également réorganiser la barre d’outils en utilisant des espaces à largeur
fixe, des espaces flexibles et des séparateurs.
Pour ajouter un espace ou un séparateur dans la barre d’outils :
m Faites glisser un espace, un espace flexible ou un séparateur depuis la zone de dialogue
« Personnaliser la barre d’outils » sur la barre d’outils.
Pour rétablir la configuration par défaut de la barre d’outils :
m Faites glisser l’ensemble reprenant les boutons par défaut situé en bas de la zone
de dialogue « Personnaliser la barre d’outils » sur la barre d’outils.
Vous pouvez aussi modifier la barre d’outils pour qu’elle n’affiche que les icônes ou
le texte en choisissant Icône seulement ou Texte seulement dans le menu contextuel.Chapitre 4 Premiers contacts avec MainStage 39
Pour n’afficher que les icônes dans la barre d’outils, procédez de l’une des
manières suivantes :
m Cliquez sur la barre d’outils tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée puis
choisissez Icône seulement dans le menu contextuel.
m Dans la zone de dialogue « Personnaliser la barre d’outils », choisissez Icône seulement
dans le menu contextuel Afficher.
Pour afficher à la fois les icônes et le texte, procédez de l’une des manières suivantes :
m Cliquez sur la barre d’outils tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée puis
choisissez Icône et texte dans le menu contextuel.
m Dans la zone de dialogue « Personnaliser la barre d’outils », choisissez Icône et texte
dans le menu contextuel Afficher.
Pour faire disparaître la feuille Personnaliser :
m Lorsque vous avez terminé de personnaliser la barre d’outils, cliquez sur Terminer.
Pour masquer la barre d’outils :
m Choisissez Présentation > Masquer la barre d’outils.
Lorsqu’elle est masquée, l’élément de menu correspondant devient « Afficher la
barre d’outils ».5
41
5 Utilisation de concerts
Les concerts sont des documents dans lesquels vous créez et
organisez les sons que vous utilisez dans vos représentations
et où vous personnalisez la disposition sur votre écran.
Un concert MainStage contient tous les sons à utiliser lors d’une représentation complète ou une série de représentations. Dans un concert, vous pouvez ajouter, modifier
et organiser des patchs et pouvez passer de l’un à l’autre pendant la représentation.
Vous pouvez réorganiser des patchs dans la Liste de patchs ou les organiser en sets.
Les concerts contiennent également des présentations dans lesquelles vous pouvez
arranger visuellement les contrôles d’écran dans l’espace de travail et établir des
connexions entre MainStage et vos matériels. Vous pouvez ajouter ou arranger des
contrôles d’écran et leur attribuer des commandes MIDI matérielles en mode Disposition. Pour en savoir plus sur la personnalisation de la disposition, consultez « Utilisation
du mode Disposition » à la page 77.
Vous pouvez aussi contrôler le volume d’un concert entier, ajouter des effets portant
sur tout le concert ou réaliser d’autres modifications.
Ouverture et fermeture de concerts
Vous pouvez créer un concert, poursuivre votre travail dans un existant et bien sûr
en enregistrer et fermer. Vous pouvez ajouter des patchs à un concert et les organiser
dans la Liste de patchs. Le nombre de patchs n’est limité que par la mémoire disponible. Vous pouvez ajouter des tranches de console à un patch existant ou aux nouveaux
que vous créez, et pouvez les organiser en sets. Pour en savoir plus sur les patchs et les
sets, consultez « Utilisation du mode Édition » à la page 53.
Le processus de création d’un concert à partir d’un modèle est détaillé dans
« Choix d’un modèle de concert » à la page 25. Vous pouvez ouvrir un concert
pour y jouer les patchs ou les y modifier.42 Chapitre 5 Utilisation de concerts
Pour ouvrir un concert, procédez d’une des façons suivantes :
m Choisissez Fichier > Ouvrir un concert, sélectionnez le concert à ouvrir, puis cliquez
sur Ouvrir.
m Dans le Finder, double cliquez sur le concert.
m Dans le Finder, faites glisser le concert sur l’icône MainStage dans le Dock.
Vous pouvez aussi rouvrir un concert récemment ouvert en sélectionnant Fichier >
Ouvrir un concert puis en choisissant un concert dans le sous-menu.
Par défaut, un concert s’ouvre en mode Édition. Vous pouvez modifier le comportement par défaut dans les préférences de MainStage. Pour en savoir plus, consultez
« Réglage des préférences MainStage » à la page 109.
Lorsque vous ouvrez un concert pour la première fois, le premier patch (en haut) est
sélectionné. Lorsque vous rouvrez un concert, c’est le patch choisi au dernier enregistrement qui est sélectionné.
Remarque :vous pouvez avoir plusieurs concerts ouverts en même temps et faire
glisser les patchs et les sets de l’un à l’autre. Dans ce cas, des ressources mémoire et
processeur supplémentaires sont mises à contribution. En général, vous ne devez
avoir qu’un seul concert ouvert pendant la représentation.
Pour fermer un concert :
m Choisissez Fichier > Fermer le concert.
Si vous avez modifié le concert depuis le dernier enregistrement, le système vous invite
à enregistrer vos modifications.
Enregistrement de concert
Lorsque vous enregistrez un concert, toutes les modifications effectuées sur les patchs
et les sets ainsi que les réglages sont enregistrés. Pour éviter de les perdre, n’oubliez
pas d’enregistrer votre travail régulièrement.
Pour enregistrer un concert :
1 Choisissez Fichier > Enregistrer le concert.
2 Lorsque vous enregistrez un concert pour la première fois, la zone de dialogue Enregistrer s’affiche. Attribuez un nom au concert, choisissez l’emplacement de l’enregistrement
puis cliquez sur Enregistrer.
Vous pouvez aussi enregistrer un concert avec un autre nom en choisissant Fichier >
Enregistrer le concert sous.Chapitre 5 Utilisation de concerts 43
Conséquences de l’enregistrement sur les valeurs
des paramètres
Lorsqu’un concert est ouvert, toutes les modifications apportées aux tranches
de console ou aux paramètres des modules sont conservées tant qu’il reste ouvert.
Si vous modifiez les paramètres d’un patch, que vous sélectionnez un autre patch
puis revenez au premier, les paramètres conservent ainsi les valeurs du premier patch.
Si vous enregistrez le concert, toute modification est enregistrée. Si vous fermez le
concert sans enregistrer puis le rouvrez, les paramètres reprennent leur valeur lors
du dernier enregistrement.
Si vous ne souhaitez pas conserver les dernières modifications, vous pouvez revenir
à l’état qu’elles avaient lors du dernier enregistrement.
Pour revenir au dernier enregistrement d’un concert :
m Choisissez Fichier > Rétablir le concert.
Toutes les modifications apportées depuis le dernier enregistrement sont perdues
lorsque vous rétablissez un concert.
Utilisation du Tempo dans un concert MainStage
Certains modules disponibles dans MainStage, tels que les effets de retard et de
trémolo, les LFO de synthétiseur et le métronome, peuvent exiger un tempo spécifique. Vous pouvez définir le tempo pour un concert et modifier celui d’un patch ou
d’un set disposant de ses propres réglages. Vous pouvez aussi modifier le tempo en
temps réel en en marquant un nouveau, ou paramétrer MainStage de façon à recevoir
les changements de tempo à travers des messages MIDI entrants.
Lorsque vous ouvrez un concert MainStage, le réglage du tempo dans l’inspecteur de
concert est utilisé jusqu’à ce que vous modifiez le tempo en sélectionnant un patch ou
un set disposant de son propre tempo ou en marquant un tempo. Lorsque vous modifiez le tempo, MainStage utilise le nouveau tempo jusqu’à ce que vous le modifiez ou
que vous fermiez le concert.
Vous pouvez spécifier le tempo dans l’inspecteur de concert qui s’affiche dans le coin
inférieur gauche de la fenêtre MainStage lorsque l’icône de concert est sélectionnée dans
la Liste de patchs. Par défaut, le tempo des nouveaux concerts est de 120 battements par
minute (bpm).44 Chapitre 5 Utilisation de concerts
Pour régler le tempo d’un concert :
1 Dans la Liste de patchs, sélectionnez l’icône de concert.
2 Dans l’inspecteur de concert, réglez le tempo à l’aide du curseur de valeur correspondant.
Vous pouvez régler le tempo des manières suivantes :
 Augmentez ou baissez la valeur en la faisant glisser.
 Faites glisser la valeur numérique horizontalement.
 Cliquez sur la flèche gauche ou droite.
 Sélectionnez la valeur et saisissez-en une autre.
3 Cochez la case Tempo pour activer le tempo.
Vous pouvez utiliser des patchs et des sets pour modifier le tempo lorsque vous sélectionnez le patch ou le set en cours de représentation. Pour en savoir plus sur le réglage
du tempo des patchs, consultez « Utilisation d’un patch pour changer le tempo » à la
page 56. Pour en savoir plus sur le réglage du niveau de tempo, consultez « Utilisation
d’un set pour changer le tempo » à la page 71.
Marquage du tempo
MainStage comprend une fonctionnalité permettant de marquer le tempo en temps
réel lors de représentations. Vous pouvez le faire en utilisant le bouton « Tempo des
claquettes » de la barre d’outils (si elle est visible) ou un raccourci clavier.
Pour marquer le tempo à l’aide du bouton Tempo des claquettes :
m Cliquez plusieurs fois sur le bouton Tempo des claquettes de la barre d’outils,
pour changer de tempo.
Pour en savoir plus sur l’ajout de boutons à la barre d’outils, consultez
« Personnalisation de la barre d’outils » à la page 37.
Vous pouvez aussi marquer le tempo à l’aide du clavier de votre ordinateur.
Pour marquer le tempo avec le clavier d’un ordinateur :
m Appuyez plusieurs fois sur Contrôle + T selon le tempo souhaité.
Réglez le tempo avec le curseur de
valeur. Vous pouvez le faire glisser,
cliquer sur les flèches ou cliquer et
saisir une valeur.Chapitre 5 Utilisation de concerts 45
Récupération du tempo à partir d’une entrée MIDI
MainStage peut également recevoir des changements de tempo à partir des messages
MIDI entrants. Lorsque la case « Obtenir le tempo de l’entrée MIDI » est cochée, MainStage
écoute les informations de tempo provenant des messages d’horloge MIDI. S’il en reçoit,
le tempo du concert adopte la nouvelle valeur.
Pour obtenir le tempo des messages entrants d’horloge MIDI :
m Dans l’inspecteur de concert, cochez la case « Obtenir le tempo de l’entrée MIDI ».
Si les messages MIDI que MainStage reçoit ne contiennent pas de données d’horloge
MIDI, MainStage utilise le tempo du concert et le modifie lorsque vous sélectionnez un
patch ou un set possédant ses propres réglages de tempo ou que vous marquez un
nouveau tempo. Si MainStage ne reçoit plus de messages d’horloge MIDI, il utilise la
dernière valeur reçue jusqu’à ce que vous sélectionniez un patch ou un set avec son
propre tempo ou que vous en marquiez un nouveau.
Désactivation du son de la sortie audio
Parfois, lorsque vous jouez ou modifiez des sons, vous pouvez être amené à rapidement
couper le son (muet) de toutes les sorties audio du concert. MainStage comprend un
bouton Master silence qui désactive le son de la sortie de tous les patchs inclus dans le
concert.
Pour désactiver rapidement tous les sons, procédez d’une des façons suivantes :
m Appuyez sur Contrôle + M.
Dans la barre d’outils, cliquez sur le bouton Master Silence.
m Si vous avez attribué la fonction Master Silence à un contrôle d’écran, appuyez
sur le contrôleur correspondant ou déplacez-le.
Le bouton Master Silence indique alors que le son de la sortie est coupé (un trait
diagonal rouge barre l’icône du haut-parleur). Le son reste ainsi désactivé jusqu’à
ce que vous cliquiez de nouveau sur le bouton.46 Chapitre 5 Utilisation de concerts
Pour réactiver tous les sons, procédez de l’une des façons suivantes :
m Appuyez de nouveau sur Contrôle + M.
m Cliquez une nouvelle fois sur le bouton Master Silence.
m Si vous avez attribué la fonction Master Silence à un contrôle d’écran, appuyez
sur le contrôleur correspondant ou déplacez-le.
Vous pouvez également mapper Master Silence dans le navigateur Mappage de paramètres. Vous pouvez le mapper à un bouton ou un autre contrôleur de vos concerts
afin de pouvoir couper rapidement le son de toutes les sorties lorsque vous jouez en
live en mode Exécution ou Plein écran.
De plus, vous pouvez désactiver le son de la sortie audio d’une seule tranche
de console en cliquant sur son bouton Muet (M).
Notes MIDI en muet
MainStage propose également une fonction Panique similaire à celle de Logic Pro 8.
Elle couper immédiatement le son de toutes les notes MIDI en attente.
Pour couper le son de toutes les notes MIDI, procédez de l’une des façons suivantes :
m Appuyez sur Contrôle + P.
m Si le bouton Panique est visible dans la barre d’outils, cliquez dessus.
m Si vous avez mappé la fonction Panique à un contrôle d’écran, appuyez sur le contrôleur
correspondant ou déplacez-le.
Vous pouvez aussi ajouter un bouton Panique à la barre d’outils et l’utiliser pour
couper le son des notes MIDI. Pour en savoir plus sur la personnalisation de la barre
d’outils, consultez « Personnalisation de la barre d’outils » à la page 37.Chapitre 5 Utilisation de concerts 47
Manipulations par concert
Vous pouvez contrôler le volume d’un concert entier et effectuer d’autres modifications générales. Utilisez des bus pour contrôler des effets portant sur le concert tout
entier ou sur plusieurs tranches de console attribuées au bus. Vous avez aussi la possibilité d’ajouter des tranches de console au concert entier et les mettre à disposition
à n’importe quel patch qu’il contient.
Vous ne pouvez mapper des contrôles d’écran sur des bus et des tranches de
console qu’à des concerts dans leur intégralité, et pas uniquement à des patchs
ou à des sets donnés.
Pour apporter des modifications applicables au concert entier :
m En mode Édition, sélectionnez l’icône du concert dans la Liste de patchs.
Cliquez sur l’icône du
concert dans la Liste de
patchs pour travailler sur
le concert entier.48 Chapitre 5 Utilisation de concerts
Contrôle du volume général d’un concert
Un concert MainStage contient des tranches de console de sortie et pour le master,
que vous pouvez utiliser pour contrôler le volume général du concert. La tranche
de console du master commande toujours le volume de sortie du concert entier.
S’il contient plusieurs tranches de console de sortie, chacune contrôle le volume
d’une sortie physique spécifique (mono ou stéréo). Vous pouvez utiliser les tranches
de console de sortie et du master pour commander le volume général, comme dans
un projet Logic Pro 8.
Pour voir toutes les tranches de console, il se peut que vous deviez redimensionner la zone.
Pour contrôler le volume général d’un concert :
m Faites glisser le curseur du volume de la sortie 1-2 ou celui du volume du master.
Vous pouvez mapper un contrôle d’écran à un paramètre de tranche de console ou
à une action portant sur le concert tout entier. Par exemple, vous pouvez mapper le
curseur du volume de la sortie 1-2 sur un curseur de contrôle d’écran et utiliser la
commande matérielle qui lui est assignée pour ajuster le volume général du concert.
La zone des tranches de console du concert
affiche les tranches de console de sortie et
du master, les bus et toutes les tranches de
console applicables au concert entier.Chapitre 5 Utilisation de concerts 49
Pour mapper un contrôle d’écran à un concert entier :
1 Vérifiez que l’icône du concert est sélectionnée dans la Liste de patchs.
2 Cliquez sur le contrôle d’écran à mapper.
Le navigateur Mappage de paramètres s’affiche en dessous de l’espace de travail.
3 Dans le navigateur Mappage de paramètre, cliquez sur le paramètre auquel vous
voulez mapper un contrôle d’écran.
Dans l’exemple précédent, cela reviendrait à cliquer sur le contrôle d’écran du curseur,
puis sur la sortie 1-2 de la colonne de gauche du navigateur Mappage de paramètres,
puis sur Volume dans la deuxième colonne.
Les contrôles d’écran peuvent aussi indiquer visuellement des paramètres, notamment
du volume. Par exemple, vous pouvez aussi mapper le curseur de volume de la sortie 1-2
sur un contrôle d’écran de VU-mètre et lui faire afficher le volume général lors d’une
représentation. Dans ce cas, vous mappez le VU-mètre à Niveau dans la seconde colonne
du navigateur, plutôt qu’à Volume.
Lorsque vous mappez un contrôle d’écran s’appliquant à l’intégralité d’un concert, vous
ne pouvez pas le mapper aussi pour des patchs et des sets donnés, à moins d’ignorer le
mappage pour le concert entier. Pour en savoir plus sur la façon d’ignorer les mappages
d’un concert, consultez « Substitution de mappages portant sur un concert ou un
set entier » à la page 73.50 Chapitre 5 Utilisation de concerts
Ajout d’effets portant sur un concert entier
Vous pouvez ajouter des effets, comme de la réverbération ou un retard, portant sur
tout le concert en utilisant des envois et des bus. Lorsque vous choisissez un envoi du
slot Départ d’une tranche de console, le bus correspondant apparaît pour le concert
tout entier. Vous pouvez insérer des effets sur le bus et les appliquer sur toutes les
tranches de console en envoyant son signal au bus.
Pour envoyer un signal de tranche de console à un bus :
1 Dans la Liste de patchs, sélectionnez le patch à utiliser avec un effet portant sur tout
le concert.
Les tranches de console pour le patch apparaissent dans la zone Tranches de console.
2 Sur la tranche de console, cliquez sur l’un des slots Départ et choisissez un bus dans
le menu.
3 Faites glisser le potentiomètre Départ en regard du slot pour définir l’intensité
du signal transmis au bus.
Pour appliquer au bus un effet portant sur tout le concert :
1 Dans la Liste de patchs, sélectionnez le concert.
Les bus du concert apparaissent dans la zone Tranches de console avec les tranches
de console applicables à l’intégralité du concert.
2 Sur le bus, cliquez sur l’un des slots Insérer et choisissez un effet dans le menu.
Choisissez le bus de l’un
des slots Départs.Chapitre 5 Utilisation de concerts 51
Après avoir ajouté un effet au bus, vous pouvez modifier l’effet tout comme pour
n’importe quel autre effet, en double-cliquant dessus pour ouvrir la fenêtre de module
et en ajustant les paramètres dans la fenêtre du module. Vous pouvez ajouter plusieurs
effets à un bus et ajuster le niveau et la balance du bus en utilisant les contrôles portant
sur le bus.
Vous pouvez également ajouter des effets sur tout le concert à un bus au niveau du
patch si l’option « Afficher les tranches de console pour le cheminement du signal »
est active. Pour en savoir plus sur l’affichage des tranches de console dans la zone
Tranches de console, consultez « Affichage des tranches de console du cheminement
du signal » à la page 62.
Utilisation des bus pour contrôler la sortie des tranches de console
Vous pouvez aussi envoyer la sortie de plusieurs tranches de console à un bus puis
utiliser ce dernier pour contrôler le volume et la balance des tranches de console.
L’envoi de la sortie à un bus permet également d’ajouter de la compression ou de
l’égalisation à un groupe de patchs.
Pour envoyer la sortie d’une tranche de console à un bus :
1 Dans la Liste de patchs, sélectionnez le patch à contrôler par le biais d’un bus.
2 Dans la tranche de console, cliquez sur le slot de sortie et choisissez un bus dans
le menu.
Lorsque vous envoyez une sortie de tranche de console à un bus, le curseur du
volume de la tranche de console influe sur l’intensité du signal envoyé au bus.
Pour contrôler la sortie des tranches de console à l’aide d’un bus :
1 Dans la Liste de patchs, cliquez sur le concert.
Le concert est alors sélectionné. Les bus ajoutés au concert apparaissent dans la zone
Tranches de console avec les tranches de console applicables à l’intégralité du concert.
2 Faites glisser le curseur du volume du bus pour ajuster le volume général en sortie
du bus.
3 Faites glisser le potentiomètre Balance sur le bus pour ajuster la balance générale
en sortie du bus.
Lorsque vous contrôlez la sortie de plusieurs tranches de console à l’aide d’un bus,
leurs volume et balance relatifs sont conservés, mais le volume et la balance généraux
sont modifiés par le curseur Volume et le potentiomètre Balance.52 Chapitre 5 Utilisation de concerts
Ajout de tranches de console à un concert entier
Vous pouvez ajouter une tranche de console applicable à l’intégralité d’un concert, et
l’utiliser pour un instrument logiciel ou une entrée audio à utiliser sur tous les patchs
du concert.
Important :lorsque vous ajoutez une tranche de console appliquée à un concert entier,
elle prend la priorité sur les tranches de console des patchs et des sets. Par exemple,si
vous ajoutez une tranche de console applicable au concert et contenant un instrument
logiciel, ce dernier a la priorité sur les instruments logiciels de tous les patchs et sets du
concert, pour les notes se trouvant dans sa plage de notes. Aussi, vous n’entendez que
le son de l’instrument logiciel appliqué à l’intégralité du concert, et vous ne pouvez lire
aucun des instruments d’un patch ou d’un set dont les notes se situent dans la même
plage de notes.
Pour ajouter une tranche de console applicable à tout le concert :
1 Dans la Liste de patchs, sélectionnez le concert.
2 Cliquez sur le bouton « Ajouter une tranche de console » (+) en haut de la zone
Tranches de console.
3 Dans la zone de dialogue « Nouvelle tranche de console », sélectionnez le type
de bande à créer.
4 Choisissez la sortie audio de la tranche de console dans le menu local Sortie.
5 Pour les tranches de console audio, choisissez Mono ou Stéréo dans le menu
local Format.
Important :les tranches de console audio peuvent générer un retour sonore, plus particulièrement si vous utilisez un micro en entrée audio. Lorsque vous ajoutez une tranche
de console audio,son volume est coupé par défaut. Pour éliminer rapidement ce retour a
posteriori, vous pouvez cliquer sur le bouton Muet de la tranche de console ou appuyer
sur Contrôle + M pour activer Silence Master.
6 Cliquez sur Créer.
7 Pour les tranches de console d’instrument logiciel, définissez une plage de notes dans
l’inspecteur de tranche de console pour que la tranche du concert entier n’empiète
pas sur les instruments logiciels à utiliser dans vos patchs et sets.
Lorsque vous ajoutez une tranche de console pour le concert tout entier, vous ne
pouvez mapper des contrôles d’écran de la tranche de console que pour l’intégralité
du concert et non pour les patchs et sets plus précisément.6
53
6 Utilisation du mode Édition
En mode Édition, vous pouvez créer des patchs avec des sons
personnalisés, mapper des contrôles d’écran et travailler avec
des patchs et des sets repris dans la Liste de patchs.
Vous pouvez créer votre collection personnalisée de patchs dans ce mode et organiser
ces patchs dans la Liste de patchs pour pouvoir facilement y accéder quand vous êtes
sur scène.
Utilisation de patchs en mode Édition
Les patchs sont chacun des sons que vous jouez à l’aide de votre clavier contrôleur
(pour les utilisateurs de claviers MIDI) ainsi que les configurations d’effets que vous
utilisez avec votre instrument ou votre micro (pour les guitaristes, les chanteurs et autres
instrumentistes). Les patchs MainStage peuvent contenir plusieurs tranches de console,
chacune incluant un instrument différent ou une configuration d’effets différente.
Dans « Premiers contacts avec MainStage » à la page 25 sont décrites certaines des
opérations élémentaires mettant en œuvre les patchs, dont celles qui consistent à
sélectionner et lire des patchs, à en ajouter des nouveaux et à leur attribuer un nom.
Sélection d’éléments dans la Liste de patchs
L’ensemble des patchs et des sets d’un concert apparaissent dans la Liste de patchs,
sur la gauche de l’espace de travail. Pour sélectionner un élément dans la Liste des
sons en mode Édition, vous pouvez cliquer dessus ou utiliser les raccourcis clavier.
Raccourci clavier Sélection
Flèche vers le haut Élément précédent (patch ou set)
Flèche vers le bas Élément suivant (patch ou set)
Commande + Flèche vers le haut Patch précédent
Commande + Flèche vers le bas Patch suivant
Commande + Flèche gauche Set précédent (ou set actif si un patch est déjà sélectionné)
Commande + Flèche droite Set suivant54 Chapitre 6 Utilisation du mode Édition
Éléments ignorés dans la Liste de patchs
Vous pouvez ignorer des patchs ou des sets de la Liste de patchs. Lorsqu’un patch ou
un set est ignoré, vous pouvez toujours le sélectionner en cliquant dessus, mais, si vous
utilisez les touches fléchées avec la touche Contrôle pour sélectionner des éléments
dans la Liste de patchs, les éléments ignorés sont laissés de côté et l’élément suivant
non ignoré est sélectionné. Les éléments ignorés le sont également lorsque vous
utilisez le sélecteur de patchs en mode Plein écran ou Exécution.
Pour ignorer un patch ou un set :
1 Sélectionnez le patch ou le set dans la Liste de patchs.
2 Choisissez Ignorer dans le menu Action de la Liste de patchs.
L’élément apparaît sous la forme d’une fine ligne dans la Liste de patchs.
Pour qu’un patch ou un set ignoré ne le soit plus :
1 Sélectionnez l’élément (patch ou set) dans la Liste de patchs.
2 Choisissez Ne pas passer dans le menu Action de la Liste de patchs.
L’élément reprend sa taille normale dans la Liste de patchs.
Les patchs et les sets ne sont ignorés que lorsque vous utilisez les touches fléchées
en combinaison avec la touche Contrôle. Les éléments à ignorer restent sélectionnés
lorsque vous utilisez les touches fléchées seules ou quand vous cliquez dessus.
Condensation de sets dans la Liste de patchs
Vous pouvez condenser des sets dans la Liste de patchs. Une fois condensé un set,
vous pouvez l’utiliser ainsi que toute tranche de console ou bus placé sur son niveau,
mais vous ne pouvez en revanche pas y sélectionner ou y lire de patchs en mode Édition.
Pour condenser un set :
1 Dans la Liste de patchs, cliquez sur le triangle d’affichage du set.
Vous pouvez développer le set en cliquant à nouveau sur son triangle d’affichage.
Condenser un set ne vous empêche pas d’y sélectionner des patchs en mode Plein
écran ou Exécution.
Copie et collage de patchs
Vous pouvez copier, coller et dupliquer des patchs dans la Liste de patchs en utilisant
les raccourcis clavier Mac OS X standard ou en les faisant glisser tout en maintenant
la touche Option enfoncée. Lorsque vous collez ou dupliquez un patch, il inclut tous
les mappages des paramètres du patch d’origine.Chapitre 6 Utilisation du mode Édition 55
Réagencement des patchs
Lorsque vous ajoutez un patch à un concert, il apparaît sous le patch sélectionné
dans la Liste de patchs. Vous pouvez réordonner les patchs dans la Liste de patchs.
Pour réordonner des patchs dans la Liste de patchs :
m Faites glisser dans l’ordre voulu les patchs verticalement dans la Liste de patchs.
Modification des numéros de changement de programme
Lorsque vous ajoutez un patch à un concert, un numéro de changement de programme
MIDI lui est attribué (le plus petit numéro disponible entre 0 et 127). Il en va de même
des patchs suivants jusqu’à ce que tous les numéros de changement de programme
disponibles aient été épuisés.Vous pouvez utiliser ces numéros pour sélectionner des
patchs lors d’une représentation en assignant des boutons d’un matériel MIDI pour
envoyer des messages de changement de programme. Pour les modifier, vous pouvez
utiliser l’inspecteur de sons.
Pour modifier le numéro de changement de programme d’un patch :
1 Sélectionnez le patch dans la Liste de patchs.
En sélectionnant un patch, l’inspecteur de sons apparaît sous la Liste de patchs.
2 Dans l’inspecteur de sons, cochez la case Changement de programme.
3 À l’aide du curseur de valeur, définissez le numéro de changement de programme.
La norme MIDI autorise les numéros de changement de programme de 0 à 127. Si tous
les numéros de changement de programme disponibles d’un concert sont déjà attribués, tout nouveau patch ajouté au concert reçoit alors le numéro de changement
de programme zéro (0), mais ce numéro reste actif (la case n’est pas cochée).
Si au moins deux patchs partagent un même numéro actif, le patch qui apparaît en
premier dans la Liste de patchs ou dans le sélecteur de patchs est celui sélectionné
lorsque vous envoyez le message de changement de programme par le biais de la
valeur correspondante.
Cochez la case puis définissez
le numéro de changement de
programme à l’aide du curseur
de valeur.56 Chapitre 6 Utilisation du mode Édition
Vous pouvez réinitialiser les numéros de changement de programme de tous les patchs
d’un concert. Lorsque vous réinitialisez ces numéros, ils sont assignés aux patchs en
fonction de l’ordre de ces derniers dans la Liste des patchs, de haut en bas.
Pour réinitialiser les numéros de changement de programme de tous les patchs
d’un concert :
m Choisissez « Réinitialiser le numéro de modification de programme » dans le menu
Action de la Liste des patchs (ou appuyez sur Commande + Maj + Option + R).
Vous pouvez assigner des boutons et autres contrôles pour l’envoi de messages
de changement de programme et les utiliser pour sélectionner des patchs dans
le concert. Pour en savoir plus sur l’assignation de boutons, consultez « Assignation
de boutons » à la page 89.
Utilisation d’un patch pour changer le tempo
Vous pouvez attribuer à un patch un réglage de tempo propre. Ainsi, quand vous sélectionnez ce patch, son tempo passe alors au tempo qui lui est défini. MainStage utilise le
nouveau tempo jusqu’à ce que vous sélectionniez un autre patch ou set et son réglage
de tempo, et que vous saisissiez un nouveau tempo, ou jusqu’à ce que MainStage
reçoive des informations de tempo à travers les messages MIDI entrants. Pour en savoir
plus sur l’utilisation et le changement de tempo dans MainStage, consultez « Utilisation
du Tempo dans un concert MainStage » à la page 43.
Pour changer de tempo en utilisant un patch :
1 Dans l’inspecteur de sons, définissez le tempo du patch à l’aide du curseur de valeur
« Changer le tempo : ».
2 Cochez la case « Changer le tempo : » pour activer le tempo du patch lorsque
ce dernier est sélectionné.
Changement des icônes des patchs
Chaque patch possède une icône qui apparaît près de son nom dans la Liste de patchs.
Par défaut, l’icône d’un patch indique le type de tranche de console créé lorsque le
patch a été ajouté. Vous pouvez choisir une nouvelle icône pour vos patchs et vous
servir des icônes pour les distinguer dans la Liste de patchs.
Pour changer l’icône d’un patch :
m Dans l’inspecteur de sons, choisissez une icône dans le menu local Icône.
Suppression de patchs
Vous pouvez supprimer un patch si vous pensez ne plus en avoir besoin dans le concert.
Pour supprimer un patch :
1 Sélectionnez le patch dans la Liste de patchs.
2 Choisissez Édition > Supprimer (ou appuyez sur la touche Supprimer).Chapitre 6 Utilisation du mode Édition 57
Utilisation de tranches de console en mode Édition
Les tranches de console correspondent aux bases de vos patchs. Elles contiennent les
instruments et les effets sonores destinés à être utilisés en représentation. Les tranches
de console MainStage utilisent l’interface de tranches de console bien connue de
Logic Pro 8. Les tranches de console MainStage partagent les caractéristiques suivantes
avec celles de Logic Pro 8 :
Dans MainStage, vous pouvez utiliser des tranches de console audio ou d’instruments
logiciels dans vos patchs (ou s’appliquant à un set ou un concert entier). Les tranches
de console s’utilisent dans MainStage comme c’est le cas dans Logic Pro 8. Vous pouvez
ajuster le volume à l’aide de son curseur, ajuster la balance à travers le potentiomètre
correspondant et influer sur le son général d’une tranche de console à l’aide de ses
boutons Muet et Solo.
Tout comme dans Logic Pro 8, vous pouvez ajouter des effets à l’aide des logements
d’insertion, envoyer le signal à un bus à l’aide des logements d’envoi et choisir une autre
sortie dans le logement Sortie. Pour les tranches de console audio, vous pouvez permuter
entre les formats mono et stéréo à l’aide du bouton Format. Pour les tranches de console
d’instruments logiciels, vous pouvez changer d’instrument à l’aide du logement Entrée.
Menu Réglages
Logements d’insertion
Logements d’envoi
Potentiomètre de balance
Curseur de volume
et VU-mètre
Boutons Muet et Solo
Icône
Nom58 Chapitre 6 Utilisation du mode Édition
MainStage ayant été conçu pour la scène plutôt que pour des contextes d’enregistrement
ou d’arrangement, il existe quelques différences entre les tranches de console MainStage
et les tranches de console Logic Pro 8 :
 Les tranches de console MainStage incluent un cadran Expression qui permet
de voir facilement l’expression MIDI active qu’elles reçoivent.
 Les tranches de console MainStage ne disposent pas de boutons Enregistrement
activé ou Bounce.
 Les tranches de console audio MainStage sont dépourvues de bouton de monitoring de l’entrée (i). Vous pouvez utiliser le bouton Muet pour désactiver le son
des tranches de console.
 Dans MainStage, vous pouvez utiliser le bouton Format pour sélectionner le format
mono ou stéréo. MainStage ne prend pas en charge l’entrée de son Surround,
pas plus que le traitement Surround.
 Les tranches de console MainStage sont dépourvues de menu local Grouper.
 Dans MainStage, la tranche de console sélectionnée est entourée d’un rectangle bleu.
 Dans MainStage, le nom de la tranche de console change quand vous sélectionnez
un autre réglage de tranche de console, à moins que vous ne l’ayez renommée.
 Dans MainStage, le numéro de la tranche de console (en bas de cette dernière)
reflète sa position dans le patch et non celle qu’elle occupe dans le concert.
Par ailleurs, certains modules disponibles dans Logic Pro 8, dont les modules Surround
et des modules non optimisés pour les représentations en temps réel (du fait qu’ils
induisent un degré élevé de latence), ne le sont pas dans MainStage.
Pour en savoir plus sur l’utilisation des tranches de console, consultez le chapitre 10,
dans le Manuel de l’utilisateur de Logic Pro 8, intitulé « Utilisation d’instruments et
d’effets » et le chapitre 25, intitulé « Mixage ». Pour obtenir des informations complètes
sur les instruments et les effets disponibles dans Logic Studio, reportez-vous au manuel
Instruments et effets Logic Studio.
La procédure à suivre pour ajouter des tranches de console est décrite dans
« Ajout d’une tranche de console à un patch » à la page 29.Chapitre 6 Utilisation du mode Édition 59
Sélection de tranches de console
Lorsque vous ajoutez une tranche de console à un patch (ou que vous ajoutez une
tranche de console s’appliquant à un set ou à un concert entier), elle est sélectionnée
dans la zone Tranches de console et les réglages disponibles apparaissent dans le
navigateur Réglages de tranche de piste. Vous pouvez sélectionner une tranche de
console directement en cliquant dessus dans la zone Tranches de console, et pouvez
également en sélectionner une adjacente à l’aide des raccourcis clavier :
Sélection de réglages de tranche de console
Il est possible de rapidement changer les paramètres d’un instrument, d’un effet et
autres pour une tranche de console en choisissant un autre réglage de tranche de
console. Il existe deux manières de choisir un autre réglage de tranche de console :
en recourant au navigateur Réglages de tranche de piste ou en utilisant le bouton
Réglages en haut de la tranche de console.
Pour choisir un réglage de tranche de console dans le navigateur Réglages
de tranche de piste :
1 Dans la zone Tranches de console, sélectionnez celle à modifier.
La tranche sélectionnée apparaît en surbrillance, entourée en bleu, et les réglages
disponibles s’affichent dans le navigateur « Réglages de tranche de piste ».
Le contenu Logic Studio apparaît alors sous forme d’une série de dossiers numérotés
avec différentes catégories d’instruments. Si vous avez installé GarageBand ou si un
ou plusieurs Jam Packs sont installés sur votre ordinateur, ces réglages apparaissent
en dessous ceux de Logic Studio.
2 Cliquez sur une catégorie de la colonne de gauche puis sur des sous-catégories
des colonnes de droite pour atteindre les réglages souhaités.
Pour sélectionner un réglage de tranche de console récent, cliquez sur Récent dans
la colonne de gauche, puis sélectionnez-en un dans la seconde colonne. Comme dans
Logic Pro 8, vous pouvez aussi choisir un autre réglage de tranche de console dans le
menu Réglages en haut de la tranche de console.
Raccourci clavier Sélection
Flèche gauche Tranche de console de gauche
Flèche droite Tranche de console de droite60 Chapitre 6 Utilisation du mode Édition
Pour choisir un réglage de tranche de console dans le menu Réglages :
m Cliquez sur le bouton Réglages en haut de la tranche de console, puis choisissez
un autre réglage dans le menu qui apparaît.
Remarque :en choisissant un dans le menu Réglages, vous constaterez qu’il n’apparaît
cependant pas sélectionné dans le navigateur Réglages de tranche de piste.
Vous pouvez aussi rechercher des réglages de tranche de console par leur nom.
Pour rechercher des réglages de tranche de console dans le navigateur Réglages
de tranche de piste :
1 Choisissez Rechercher dans le menu Action du coin supérieur droit du navigateur
Réglages de tranche de piste.
2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, tapez le texte à rechercher.
La tranche de console dont le nom contient le texte saisi apparaît sélectionnée
dans le navigateur.
3 Si plusieurs tranches de console portent un nom contenant le texte saisi,
choisissez Poursuivre la recherche dans le menu Action pour les parcourir.
4 Pour modifier le réglage de tranche de console, cliquez sur le nom du nouveau réglage
dans le navigateur Réglages de tranche de piste.
Le navigateur Réglages de tranche de piste affiche tous les réglages de tranche de
console mis à disposition aux applications Logic Studio, y compris les réglages dont
l’utilité est moindre dans MainStage comme les réglages Surround et de masterisation.
Si vous choisissez un réglage de tranche de console contenant des modules non utilisables dans MainStage, ces derniers apparaissent barrés d’un trait épais diagonal dans
la zone Tranches de console.
Réinitialisation d’une tranche de console
Vous pouvez aussi réinitialiser une tranche de console. Le fait de réinitialiser une tranche
de console supprime tous les instruments et effets et la remet dans un état « vierge ».
Pour réinitialiser une tranche de console :
1 Dans la zone Tranches de console, sélectionnez la tranche.
2 Dans le navigateur Réglages de tranche de piste, cliquez sur Initialiser.
Après avoir réinitialisé la tranche de console, vous pouvez choisir un autre réglage dans
le navigateur Réglages de tranche de piste ou y ajouter directement des instruments
et des effets.Chapitre 6 Utilisation du mode Édition 61
Modification de tranches de console dans MainStage
Vous pouvez ajouter des instruments logiciels à des tranches de console et ajouter
des effets aux tranches audio et d’instrument logiciel dans la zone Tranches de
console. L’ajout d’instruments et d’effets se fait de la même manière dans MainStage
que dans Logic Pro 8.
Les effets et instruments de Logic Studio ne sont pas tous utilisables avec MainStage.
En particulier, les effets qui entraînent une latence importante ou conçus pour être
soumis à une balance Surround ne sont pas exploitables dans MainStage. Si vous choisissez un réglage de tranche de console contenant l’un de ces effets, les effets inutilisés
apparaissent désactivés (gris et barrés d’un trait diagonal).
Pour modifier les paramètres d’une tranche de console,sélectionnez-la dans la zone
Tranches de console, puis sous la Liste de patchs, modifiez les paramètres dans l’inspecteur de tranche de console. Vous pouvez renommer une tranche de console, lui attribuer
une couleur, définir une plage et un décalage de vélocité, créer une transformation de
contrôleur et filtrer les messages de contrôle MIDI envoyés à la tranche.
Attribution d’un nouveau nom à une tranche de console
Lorsque vous ajoutez une tranche de console à un patch, cette dernière est pourvue
d’un nom par défaut. Vous pouvez alors renommer les tranches pour distinguer vos
réglages personnalisés des réglages par défaut.
Pour renommer une tranche de console :
m Dans l’inspecteur de tranche de console, sélectionnez le nom dans le champ Nom,
puis tapez un nouveau nom.
Sélection de la couleur d’une tranche de console
Chaque tranche de console possède une couleur qui apparaît sous forme de couche
par dessus le contrôle d’écran de clavier dans l’espace de travail. Vous pouvez modifier
cette couleur pour distinguer les tranches de console lors d’une représentation.
Pour changer la couleur d’une tranche de console :
m Dans l’inspecteur de tranche de console, choisissez une couleur dans le menu Couleur.
Saisissez un autre nom
dans le champ.
Choisissez une icône
dans ce cadre.
Choisissez une couleur
dans ce menu.62 Chapitre 6 Utilisation du mode Édition
Changement de l’icône d’une tranche de console
Lorsque vous ajoutez une tranche de console, elle apparaît avec une icône par défaut
située au-dessus du menu Réglages. Vous pouvez changer cette icône pour vous aider
à distinguer les tranches de console de différents types d’instrument ou faisant l’objet
de différents usages.
Pour changer l’icône d’une tranche de console :
m Dans l’inspecteur de tranche de console, choisissez une icône dans le cadre Icône.
Affichage des tranches de console du cheminement du signal
En plus des tranches de console d’un patch, vous pouvez afficher et modifier les
tranches de console du cheminement du signal dans la zone Tranches de console.
Les tranches de console du cheminement du signal incluent les tranches de console
Sortie et Master destinées au concert ainsi que tous les bus qui reçoivent le signal
d’une tranche du patch. Vous pouvez aussi afficher des tranches de cheminement
du signal portant sur un set entier.
Vous pouvez aussi ajouter les effets influant sur le concert dans son ensemble à un bus
portant sur tout le patch. Pour cela, choisissez « Afficher les tranches de console pour le
cheminement du signal » dans le menu Action pour que la zone Tranches de console
montre les bus qui reçoivent le signal des tranches du patch, puis ajoutez les effets au bus.
Pour afficher des tranches de console du cheminement du signal :
m Choisissez « Afficher les tranches de console pour le cheminement du signal » dans
le menu Action situé dans le coin supérieur droit de la zone Tranches de console.
Création de couches et de scissions de clavier
Si vous jouez sur un clavier contrôleur, vous pouvez facilement créer des couches
et des scissions de clavier dans vos patchs MainStage. Pour créer des couches et des
scissions, il faut ajouter plusieurs tranches de console à un patch et définir des plages
de notes pour chaque tranche de console.Chapitre 6 Utilisation du mode Édition 63
Définition d’une plage de notes
Sur un clavier, la plage de notes déclenche les sons à partir de l’instrument logiciel
d’une tranche de console. Vous pouvez définir des plages de notes de sorte que les
tranches de console se chevauchent (pour les sons en couches) ou soient séparées
(pour les scissions).
Pour définir une plage de notes pour une tranche de console :
1 Dans la zone Tranches de console, sélectionnez la tranche.
2 Dans l’inspecteur de tranche de console, cliquez sur le bouton Apprendre près
du curseur de valeur Tons sombres.
3 Sur votre clavier contrôleur, appuyez sur la touche correspondant à la note que
vous souhaitez définir comme la note la plus grave de votre plage de notes.
4 Cliquez sur le bouton Apprendre pour désactiver le mode d’apprentissage pour
de la note grave.
5 Cliquez sur le bouton Apprendre à côté du curseur de valeurs Tons clairs.
6 Sur votre clavier contrôleur, appuyez sur la touche correspondant à la note
que vous souhaitez définir comme la note la plus aiguë de votre plage de notes.
7 Cliquez sur le bouton Apprendre pour désactiver le mode d’apprentissage
pour de la note aiguë.
Lorsque vous lancez la lecture du patch, vous pouvez entendre le son de la tranche
de console quand vous jouez les notes faisant partie de la plage de notes. Les notes
en dehors de la plage ne génèrent aucun son à travers la tranche de console.
Définissez la touche
aiguë et la touche grave
à l’aide de ces curseurs
de valeurs.
Vous pouvez aussi cliquer sur Apprendre
et jouer la note correspondante sur votre
clavier musical.64 Chapitre 6 Utilisation du mode Édition
Définition de points de scission flottants
Lorsqu’une plage de notes présente un point de scission flottant, les notes situées
aux extrémités de cette dernière varient en fonction des touches que vous jouez
près de ces extrémités.
Voici une explication de ce que sont les points de scission flottants, exemple à l’appui :
si vous définissez la note grave (Tons sombres) d’une plage de notes sur Do1, définissez
une valeur de point de scission flottant de 3, puis jouez les notes directement au-dessus
de Do1 (par exemple les notes Fa1, Mib1, Ré1), et jouez progressivement vers les graves en
dessous de Do1 (par exemple les notes Do1, Sib0, La0) :le point de scission se déplace vers
le bas pour inclure ces notes, jusqu’à la valeur du point de scission flottant (3 demi-tons).
En revanche,si vous commencez à jouer les notes immédiatement en dessous de la note
grave (les notes Sol0, La0, Si0 par exemple) et que vous jouez en remontant vers les aiguës
au-dessus de Do1 (les notes Do1, Ré1, Mi1 par exemple), le point de scission se déplace
vers le haut pour inclure ces notes, jusqu’à la valeur du point de scission flottant (dans cet
exemple, Do1 et Ré1 seraient incluses, mais pas Mi1, qui se trouve quatre demi-tons plus
haut que la note grave).
Pour définir des points de scission flottants pour une plage de notes :
1 Définissez un point de scission flottant pour la note grave (Tons sombres) en saisissant
une valeur dans le curseur de valeur Point de scission flottant correspondant à la note
grave. Vous pouvez taper une valeur entière, cliquer sur les flèches pour incrémenter
ou décrémenter la valeur, ou faire glisser le curseur pour définir le nombre de notes
utilisées pour la scission.
2 Définissez un point de scission flottant pour la note grave (Tons clairs) en saisissant
une valeur dans le curseur de valeur Point de scission flottant correspondant à la note
aiguë. Vous pouvez taper une valeur entière, cliquer sur les flèches pour incrémenter
ou décrémenter la valeur, ou faire glisser le curseur pour définir le nombre de notes
utilisées pour la scission.
Vous pouvez aussi créer une scission de clavier en ajoutant une tranche de console
portant sur un set et en ajustant la plage de notes des tranches de console dans les
patchs du set. La tranche de console du set entier prend la priorité sur toutes les tranches de console des patchs du set pour les notes incluses dans sa plage de notes.
Pour en savoir plus sur l’ajout d’une tranche de console portant sur un set entier,
consultez « Manipulations par set » à la page 72.Chapitre 6 Utilisation du mode Édition 65
Substitution de plages de notes portant sur un concert ou un set entier
Si une tranche de console d’instrument logiciel s’applique au concert entier, la tranche
de console du concert prend la priorité sur toute tranche de console d’instrument
logiciel portant sur un patch et dont les notes se trouvent dans sa plage de notes.
Cela signifie que lorsque vous jouez des notes faisant partie de la plage de la tranche
de console du concert sur un clavier contrôleur, vous n’entendez que la tranche du
concert, même si un patch est sélectionné.
De même, si une tranche de console d’instrument logiciel existe pour le set entier,
les mêmes conditions s’appliquent à tous les patchs du set. Autrement dit, la tranche
de console du set prend la priorité sur celles du patch et dont les notes se situent
dans sa plage de notes.
Vous pouvez substituer les tranches de console applicables à un concert ou à un
set entier par une tranche de console d’un patch particulier de manière à ce que
la tranche du patch prenne la priorité sur celles du concert ou du set entier.
Pour substituer des plages de notes applicables à un concert ou à un set entier :
1 Dans la Liste de patchs, sélectionnez le patch correspondant à la tranche de console
dont vous souhaitez substituer la tranche de console de concert ou de set.
2 Dans la zone Tranches de console, sélectionnez la tranche de console dont vous
souhaitez écraser la plage de notes de concert ou de set.
Dans l’inspecteur de tranche de console, un message apparaît pour vous demander
si vous souhaitez écraser les plages de notes de concert ou de set (le texte indique
si les plages de notes s’appliquent au concert, au set ou aux deux).
3 Cochez la case en regard du message.
Définition de la plage et du décalage de vélocité
Par défaut, la vélocité d’une tranche de console s’étend de 1 à 127. Vous pouvez limiter
la plage de vélocité de sorte que la tranche de console ne réponde que si les notes que
vous jouez à partir de votre contrôleur sont situées entre les valeurs minimale et maximale que vous avez définies.
Cochez la case pour
substituer les plages de
notes des tranches du
concert ou du set.66 Chapitre 6 Utilisation du mode Édition
Pour définir la plage de vélocité d’une tranche de console :
1 À l’aide du curseur, définissez la vélocité minimale à partir de laquelle la tranche de
console doit se déclencher.
2 À l’aide du curseur, définissez la vélocité maximale en dessous de laquelle la tranche
de console doit se déclencher.
Un décalage de vélocité signifie que lorsque vous jouez une note à une certaine vélocité,
la tranche de console répond comme si cette vélocité était supérieure ou inférieure,selon
la valeur du décalage. Si vous avez un décalage de vélocité pour la tranche de console,
la force des notes jouées sur votre contrôleur est modifiée selon la valeur de décalage
(de façon croissante pour les valeurs de décalage positives, de façon décroissante pour
les valeurs de décalage négatives).
Pour définir un décalage de vélocité pour une tranche de console, procédez
de l’une des manières suivantes :
m Faites glisser le curseur de valeur « Décalage de la vélocité »
m Double-cliquez sur le curseur de valeur « Décalage de la vélocité », puis tapez une
valeur de décalage.
Création de transformations du contrôleur
Vous pouvez graphiquement remapper (ou transformer) les valeurs de certains messages
de contrôle MIDI de sorte que les valeurs d’entrée issues de votre contrôleur produisent
des valeurs de sortie différentes pour la tranche de console. On utilise fréquemment les
transformations pour l’échelonnement des expressions, pour les besoins duquel des
valeurs d’expression MIDI d’entrée sont mappées à différentes valeurs de sortie sur
une courbe graphique. Dans MainStage, vous pouvez transformer les valeurs pour les
messages d’expression, de modulation, de volume MIDI et de Breath Control.
Par ailleurs, vous pouvez remapper les valeurs d’entrée d’un de ces quatre types de
message aux valeurs de sortie de l’un des autres types. Par exemple, vous pouvez
remapper les valeurs de volume MIDI à partir de votre contrôleur pour envoyer des
valeurs d’expression à la tranche de console, ou remapper des valeurs Breath en entrée
pour envoyer des valeurs de modulation. La fonction Transformation de contrôleur
est un moyen polyvalent de remapper les valeurs et la destination de sortie pour ces
messages de contrôle MIDI.
La section Transformation de contrôleur, de l’inspecteur de tranche de console, vous
permet de choisir les types de message d’entrée et de sortie et de créer graphiquement
des courbes de transformation. Dans la zone d’édition graphique Transformation de
contrôleur, l’axe horizontal représente les valeurs d’entrée de votre contrôleur tandis
que l’axe vertical représente les valeurs de sortie envoyées à la tranche de console.Chapitre 6 Utilisation du mode Édition 67
Pour définir les types de message d’entrée et de sortie d’une transformation
de contrôleur :
1 Dans la section Transformation de contrôleur de l’inspecteur de tranche de console,
choisissez le type de message d’entrée dans le menu local Entrée.
2 Choisissez le type de message de sortie dans le menu local Sortie.
Pour modifier graphiquement la courbe de transformation de contrôleur :
1 Cliquez sur le point de la courbe diagonale de transformation de contrôleur dont
vous souhaitez modifier la valeur de sortie.
2 Faites glisser le point verticalement pour changer sa valeur de sortie.
3 Si vous désirez supprimer un point, double-cliquez dessus.
Si un patch contient plusieurs tranches de console, les courbes de transformation de
contrôleur des autres tranches du patch apparaissent dans l’affichage de transformation de contrôleur derrière la courbe active. Chacune des tranches de console d’un
patch peut posséder une transformation de contrôleur propre.
Pour réinitialiser la courbe de transformation de contrôleur :
m Cliquez sur la zone d’édition graphique tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée,
puis choisissez « Rétablir les paramètres par défaut » dans le menu contextuel.
Filtrage de messages MIDI
Vous pouvez filtrer certains messages MIDI pour une tranche de console dans l’inspecteur
de tranche de console. Lorsque vous sélectionnez des types de messages MIDI dans la
section Filtre de l’inspecteur de tranche de console, toutes les données MIDI entrantes sont
filtrées pour ne pas envoyer les messages de ces types à la tranche de console.
Vous pouvez filtrer les types de messages MIDI suivants :
 Pitch Bend,
 Modulation (message de contrôle 1),
 Aftertouch,
 Sustain (message de contrôle 64),
 Expression (message de contrôle 11).
Cliquez sur un point de la
courbe et faites-le glisser
pour définir sa valeur.
Choisissez les types de
message d’entrée et de
sortie dans ces menus.68 Chapitre 6 Utilisation du mode Édition
Pour filtrer des messages MIDI entrants :
m Dans la section Filtre, cochez la case correspondant au type de messages MIDI que
vous désirez filtrer.
Si vous avez créé une transformation de contrôleur, vous pouvez filtrer le type de
message d’entrée. La transformation de contrôleur envoie alors toujours des messages
de sortie de son propre type. Il est également possible de filtrer le type de message
de sortie, auquel cas la sortie de la transformation de contrôleur est alors filtrée.
Suppression de tranches de console
Vous pouvez supprimer une tranche de console que vous ne voulez plus dans
un patch.
Pour supprimer une tranche de console :
1 Sélectionnez la tranche de console dans la zone Tranches de console.
2 Choisissez Édition > Supprimer (ou appuyez sur la touche Supprimer).
Mappage de contrôles d’écran
Après avoir choisi les réglages de tranches de console qui vous intéressent, vous pouvez
mapper des contrôles d’écran MainStage à des paramètres de tranches de console ou à
des actions spécifiques à MainStage ou encore à des scripts AppleScript. Pour en savoir
plus sur l’assignation de contrôles physiques à des contrôles d’écran de l’espace de travail,
consultez « Assignation de contrôles matériels à des contrôles d’écran » à la page 88.
Mappage de contrôles d’écran à des paramètres de tranches
de console et de modules
Il existe deux manières de mapper des contrôles d’écran à des paramètres de tranches
de console et de modules :soit en mappant les contrôles d’écran à des paramètres
de la tranche de console ou à la fenêtre d’un module, soit en utilisant le navigateur
Mappage de paramètres. Pour retrouver la description de ces deux méthodes de
mappage des contrôles d’écran aux paramètres, consultez « Mappage de contrôles
d’écran à des paramètres » à la page 33.
Mappage de contrôles d’écran à des actions
Vous pouvez aussi mapper des contrôles d’écran à des actions spécifiques de MainStage
et à des scripts AppleScript. Le dossier Actions, qui apparaît dans le navigateur Mappage
de paramètres aux côtés des paramètres disponibles, contient des actions destinées à la
sélection de patchs et de sets, à l’affichage du syntoniseur, à l’activation du marquage de
tempo (tap tempo), du muet du master ou de la fonction Panique, etc. Le dossier Actions
contient également un sous-dossier AppleScript comportant des scripts utiles.Chapitre 6 Utilisation du mode Édition 69
Vous pouvez mapper des contrôles d’écran de bouton à des actions pour sélectionner
différents patchs et utiliser des boutons physiques de votre matériel MIDI pour sélectionner des patchs quand vous êtes sur scène. Vous pouvez aussi mapper des boutons
à des actions pour sélectionner différents sets ou sélectionner le concert. Pour en savoir
plus sur l’assignation de boutons, consultez « Assignation de boutons » à la page 89.
Pour mapper un contrôle d’écran à une action :
1 Dans l’espace de travail, cliquez sur le contrôle d’écran à mapper.
L’inspecteur de contrôle d’écran apparaît en dessous de la Liste de patchs et indique
les réglages correspondant au contrôle d’écran sélectionné. Le dossier Actions est
disponible dans le navigateur Mappage de paramètres.
2 Dans la colonne de gauche du navigateur Mappage de paramètres, cliquez sur
le dossier Actions.
Les actions disponibles apparaissent dans la deuxième colonne du navigateur.
3 Sélectionnez l’action à mapper.
Mappage de contrôles d’écran à toutes les tranches de console
d’un patch
Lorsque vous mappez un contrôle d’écran à un paramètre de tranche de console, tel que
le volume ou la balance, vous pouvez lui imposer de contrôler ce même paramètre dans
toutes les tranches de console du patch. Cela vous sera particulièrement utile si vous
souhaitez contrôler le volume global d’un son en couches, même si les différentes
couches sont jouées sur plusieurs claviers.
Pour mapper un contrôle d’écran à toutes les tranches de console d’un patch :
1 Mappez le contrôle d’écran en suivant les instructions données dans les rubriques
précédentes.
2 Dans l’inspecteur de contrôle d’écran, cochez la case « Envoyer àtoutes les tranches
de console ».
Cliquez sur le menu
Actions pour voir les
actions proposées.
Cliquez sur l’action que
vous désirez mapper
dans le sous-menu.70 Chapitre 6 Utilisation du mode Édition
Suppression de mappages de contrôles d’écran
Si vous souhaitez libérer un contrôle d’écran de tout mappage, vous pouvez supprimer
son mappage. Cela peut être utile avec les contrôles qui font transiter des messages au
canal MIDI Thru (molettes de pitch bend et de modulation, ou pédales d’expression,
par exemple), quand vous ne souhaitez pas qu’ils envoient des messages MIDI pour
leur type de contrôle de transmission Thru. Quand vous remappez un contrôle d’écran,
il est inutile d’en supprimer le mappage existant.
Pour réinitialiser le mappage d’un contrôle d’écran :
1 Dans l’espace de travail, cliquez sur le contrôle d’écran à mapper.
2 Dans la colonne de gauche du navigateur Mappage de paramètres, cliquez sur Aucun.
Utilisation de sets en mode Édition
Les sets fonctionnent comme des « dossiers » qui vous permettent de regrouper des
patchs ensemble. À l’aide des sets, vous pouvez organiser les patchs de toutes les
manières possibles. Vous pouvez par exemple placer ensemble tous les patchs que
vous désirez utiliser dans la première partie d’une représentation sur scène ou garder
tous vos patchs de synthé ensemble. Caractérisés par leur flexibilité, vous pouvez
adapter les sets à votre méthode de travail.
Vous pouvez notamment utiliser des sets :
 pour grouper en « banques » des sons similaires ou en relation ;
 pour regrouper plusieurs patchs que vous utilisez dans un morceau ;
 pour partager un instrument de set entre les morceaux d’un même groupe.
Création de sets
Vous pouvez créer un set vierge ou en créer un à partir d’un groupe de patchs
sélectionnés.
Pour créer un set vierge :
m Choisissez Nouveau Set dans le menu Action situé dans le coin supérieur droit
de la Liste de patchs.
Un nouveau set apparaît dans la Liste de patchs.
Pour créer un set à partir d’un groupe de patchs :
1 Dans la Liste de patchs, sélectionnez les patchs à inclure dans le nouveau set.
2 Choisissez « Nouveau Set àpartir de la sélection » dans le menu Action situé dans
le coin supérieur droit de la Liste de patchs.
Le nouveau set apparaît dans la Liste de patchs contenant les patchs sélectionnés.
Vous pouvez ajouter de nouveaux patchs au set ou faire glisser des patchs dans le set.Chapitre 6 Utilisation du mode Édition 71
Attribution d’un autre nom à des sets
Lorsque vous créez un set, un nom par défaut lui est attribué. Vous pouvez renommer
un set de la même manière que vous renommeriez un patch dans la Liste de patchs.
Pour renommer un set :
1 Double-cliquez sur le set dans la Liste de patchs.
Un champ de texte apparaît autour du nom du set sélectionné.
2 Saisissez un autre nom dans le champ du nom du set.
Utilisation d’un set pour changer le tempo
Vous pouvez attribuer à un set un réglage de tempo propre. Ainsi, quand vous sélectionnez ce set, son tempo passe alors au tempo qui lui est défini. MainStage utilise le
nouveau tempo jusqu’à ce que vous sélectionniez un autre patch ou set et son réglage
de tempo, et que vous saisissiez un nouveau tempo, ou jusqu’à ce que MainStage
reçoive des informations de tempo à travers les messages MIDI entrants. Pour en savoir
plus sur l’utilisation et le changement de tempo dans MainStage, consultez « Utilisation
du Tempo dans un concert MainStage » à la page 43.
Pour changer le tempo à l’aide d’un set :
1 Sélectionnez le set dans la Liste de patchs.
2 Dans l’inspecteur de jeu, définissez le tempo du set à l’aide du curseur de valeur
« Changer le tempo : ».
3 Cochez la case « Changer le tempo : » pour activer le tempo du set lorsque ce dernier
est sélectionné.
Substitution de plages de notes portant sur un concert pour un set
Si une tranche de console d’instrument logiciel s’applique au concert entier, la tranche
de console du concert prend la priorité sur toute tranche de console d’instrument logiciel portant sur un set et dont les notes se trouvent dans sa plage de notes. Cela signifie
que lorsque vous jouez des notes faisant partie de la plage de la tranche de console du
concert sur un clavier contrôleur, vous n’entendez que la tranche du concert, même si
un patch est sélectionné dans un set présentant une tranche de console de set.
Vous pouvez substituer la tranche de console portant sur le concert entier par une
tranche sur un set de manière à ce qu’elle prenne la priorité sur la tranche de console
portant sur le concert.
Pour substituer des plages de notes applicables à un concert ou à un set entier :
1 Dans la Liste de patchs, sélectionnez le set correspondant à la tranche de console dont
vous souhaitez substituer la tranche de console de concert.
2 Dans la zone Tranches de console, sélectionnez la tranche de console dont vous
souhaitez écraser la plage de notes de concert.
3 Cochez la case « Écraser le concert et définir les plages ».72 Chapitre 6 Utilisation du mode Édition
Suppression de sets
Vous pouvez supprimer un set si vous pensez ne plus en avoir besoin dans le concert.
Pour supprimer un set :
1 Sélectionnez le set dans la Liste de patchs.
2 Choisissez Édition > Supprimer (ou appuyez sur la touche Supprimer).
En supprimant un set, les patchs qu’il contient sont également supprimés. Si ne souhaitez supprimer que le « dossier » du set, déplacez les patchs hors de ce dernier avant
de le supprimer.
Manipulations par set
Vous avez aussi la possibilité d’ajouter des tranches de console au set entier et jouer les
tranches de console de set en même temps que chaque patch du set. Cela peut vous
être utile par exemple si vous souhaitez utiliser la même basse dans un morceau ou
dans un groupe de morceaux. Vous pouvez placer les patchs de tous les morceaux dans
un set, ajouter une tranche de console portant sur un set entier, puis ajouter une basse
à la tranche en question. Vous pouvez définir la plage de notes de la basse de sorte que
seules les notes des octaves inférieures soient jouées, et que vous puissiez jouer la
basse en même temps que vos patchs.
Important :si vous ajoutez une tranche de console appliquée à un set entier, elle
prend la priorité sur toutes les tranches de console des patchs inclus dans le set.
Par exemple, si vous ajoutez une tranche de console applicable au set et contenant
un instrument logiciel, ce dernier a la priorité sur les instruments logiciels de tous
les patchs du set, pour les notes se trouvant dans la plage de notes définie pour
l’instrument logiciel du set.
Pour ajouter une tranche de console applicable à tout un set :
1 Sélectionnez le set dans la Liste de patchs.
2 Cliquez sur le bouton « Ajouter une tranche de console » (+) en haut de la zone
Tranches de console.
3 Dans la zone de dialogue « Nouvelle tranche de console », sélectionnez le type
de bande à créer.
4 Choisissez la sortie audio de la tranche de console dans le menu local Sortie.Chapitre 6 Utilisation du mode Édition 73
5 Pour les tranches de console, choisissez Mono ou Stéréo dans le menu local Format,
et l’entrée audio dans le menu local Entrée.
Important :les tranches de console audio peuvent générer un retour sonore, plus particulièrement si vous utilisez un micro en entrée audio. Lorsque vous ajoutez une tranche
de console audio,son volume est coupé par défaut. Pour éliminer rapidement ce retour a
posteriori, vous pouvez cliquer sur le bouton Muet de la tranche de console ou appuyer
sur Contrôle + M pour activer Silence Master.
6 Cliquez sur Créer.
Substitution de mappages portant sur un concert ou un
set entier
Par défaut, les mappages que vous réalisez et portant sur un concert entier (mappages
à des paramètres et des actions) ont la priorité sur ceux à chaque patch ou chaque set
du concert. Si vous mappez un contrôle d’écran à un paramètre portant sur tout le
concert (au volume du master, par exemple), ce contrôle d’écran ne peut pas être
mappé à un paramètre ou à une action dans un patch ou un set, à moins que vous
ne substituiez le mappage du concert.
De même, les mappages que vous effectuez et s’appliquant à un set ont priorité sur les
mappages de tout patch du set. Si vous mappez un contrôle d’écran à un paramètre
portant sur tout le set (à un effet sur une tranche de console de niveau set par exemple),
ce contrôle d’écran ne peut pas être mappé à un paramètre ou à une action dans un
patch du set, à moins que vous ne substituiez le mappage du set.
Si vous tentez de mapper un contrôle d’écran mappé pour le concert ou le set entier,
un texte apparaît dans l’inspecteur de contrôle d’écran pour vous informer que le
contrôle mappé s’applique à un autre élément d’autre nature et ses paramètres sont
estompés dans l’inspecteur de contrôle d’écran. Vous pouvez substituer les mappages
d’un patch particulier, portant sur un concert et un set entier, pour mapper le contrôle
d’écran en le faisant porter sur un patch.
Pour substituer des mappages de concert :
m Dans l’inspecteur de contrôle d’écran, cochez la case « Ignorer le mappage
de concert ».
Les paramètres de l’inspecteur de contrôle d’écran deviennent actifs.
Cochez cette case pour
ignorer les mappages
portant sur l’intégralité
du concert.74 Chapitre 6 Utilisation du mode Édition
Pour ignorer les mappages portant sur le set et autres paramètres d’un patch :
m Dans l’inspecteur de contrôle d’écran, cochez la case « Ignorer le mappage de set ».
La section Mappage de paramètre devient active. Vous pouvez alors mapper
le paramètre.
Partage de patchs et de sets entre concerts
Vous pouvez exporter des patchs et des sets à partir d’un concert et les importer
dans un autre concert. En important un set, tous les patchs qu’il contient sont également importés.
Pour exporter un patch, procédez de l’une des manières suivantes :
m Faites glisser le patch de la Liste de patchs vers le Finder.
Le patch apparaît en tant que fichier .patch dans le Finder.
m Sélectionnez le patch, choisissez Exporter le patch dans le menu Action de la Liste
des sons, puis cliquez sur Enregistrer.
Le patch est exporté dans le dossier ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/
MainStage Patches.
Pour exporter un set, procédez de l’une des manières suivantes :
m Faites glisser le set de la Liste de patchs vers le Finder.
Le set apparaît en tant que fichier .patch dans le Finder.
m Sélectionnez le set, choisissez Exporter le set dans le menu Action de la Liste de patchs,
puis cliquez sur Enregistrer.
Le set est alors exporté dans le dossier des patchs de MainStage.
Remarque :vous pouvez aussi exporter l’intégralité d’un concert en tant que set
en le sélectionnant et en choisissant Exporter le set dans le menu Action.
Vous pouvez exporter plusieurs patchs ou sets. Quand vous exportez plusieurs patchs
en les faisant glisser dans le Finder, chacun d’entre eux est exporté en tant que fichier
.patch. Quand vous sélectionnez plusieurs patchs et que vous les exportez à l’aide de la
commande Exporter le patch, ils sont regroupés dans un seul set exporté. Vous pouvez
importer des patchs ou des sets à partir du Finder dans un autre concert ouvert.Chapitre 6 Utilisation du mode Édition 75
Pour importer un patch ou un set, procédez de l’une des manières suivantes :
m En mode Édition, faites glisser le patch ou le set du Finder dans la Liste de patchs.
m Choisissez Importer dans le menu Action de la Liste de patchs, sélectionnez le patch
ou le set à importer, puis cliquez sur Importer.
Vous pouvez également ouvrir plusieurs concerts simultanément et faire glisser des
patchs et des sets de la Liste de patchs de l’un des concerts sur la Liste de patchs d’un
autre concert. Sachez toutefois que des ressources mémoire et processeur supplémentaires sont mises à contribution. Nous vous recommandons de n’ouvrir plusieurs concerts que pour partager des patchs et des sets, et de fermer tous les concerts sauf celui
dans lequel vous travaillez quand vous avez terminé de partager les patchs ou les sets
entre les concerts. Vous ne devez avoir qu’un seul concert ouvert pendant la représentation en direct.7
77
7 Utilisation du mode Disposition
Utilisez le mode Disposition pour agencer l’apparence
visuelle de votre affichage et réaliser des connexions
entre votre matériel musical et MainStage.
Il n’est pas possible de changer la position des curseurs, de potentiomètres et autres
contrôles de vos instruments et équipements musicaux mais vous pouvez organiser les
contrôles d’écran de votre concert MainStage dans n’importe quel ordre en modifiant
la disposition. Vous pouvez modifier une disposition ou en créer une à partir d’un
modèle, mais aussi exporter la disposition et l’importer dans un autre concert.
Chaque modèle de concert fourni avec MainStage comprend une disposition intégrée,
optimisée pour un type d’instrument de musique, un genre ou une utilité.
Utilisez le mode Disposition pour modifier la disposition d’un concert. Vous pouvez
ajouter et agencer vos contrôles d’écran en fonction de votre matériel musical, optimiser la taille de votre affichage et effectuer des assignations des contrôles de votre
matériel MIDI aux contrôles d’écran de votre concert.
Pour passer en mode Disposition, procédez de l’une des manières suivantes :
m Choisissez Présentation > Disposition (ou appuyez sur les touches Commande + 1).
m Cliquez sur le bouton de disposition de la barre d’outils.
La fenêtre MainStage passe en mode Disposition.
En mode Disposition, l’espace de travail présente une grille dont le rôle est de vous aider
à aligner et agencer les contrôles d’écran. Sous l’espace de travail, les palettes de contrô-
les de panneau et de ceux de tablette apparaissent, présentant différents types de contrôles d’écran que vous pouvez ajouter à votre disposition. Sur la gauche de l’espace de
travail apparaît l’inspecteur de disposition, dans lequel vous pouvez effectuer des assignations de contrôleur et modifier les paramètres de la disposition.78 Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition
Changement de la résolution de grille
Quand vous passez en mode Disposition, MainStage détermine la résolution de grille
appropriée pour votre affichage. Dans l’inspecteur de disposition, le menu local Résolution de grille indique la résolution active. La plupart du temps, utilisez celle par défaut à
moins que vous n’envisagiez de jouer sous une autre taille d’affichage que celle que
vous utilisez pour créer vos concerts.
Pour changer la résolution de grille :
m Dans l’inspecteur de disposition, choisissez une autre résolution dans le menu local
Résolution de grille.
Remarque :si vous choisissez une résolution de grille entraînant un déplacement de
contrôles d’écran de la disposition hors de la zone visible, un avertissement vous
signale alors que certains contrôles d’écran ne sont pas visibles dans la résolution
sélectionnée. Les contrôles d’écran concernés par la modification apparaissent en surbrillance dans l’espace de travail.
Modification de la disposition d’un concert
Vous pouvez modifier une disposition en ajoutant et agençant les contrôles d’écran
dans l’espace de travail, en changeant les assignations de contrôleur existantes ou en
en créant de nouvelles et en modifiant les paramètres des contrôles d’écran. Les rubriques ci-dessous expliquent comment ajouter et agencer les contrôles à l’écran, effectuer des assignations matérielles, changer l’apparence des contrôles d’écran et modifier
les paramètres de disposition. Vous pouvez aussi exporter une disposition et en importer une dans un autre concert. Pour en savoir plus sur l’importation et l’exportation de
dispositions, consultez « Exportation d’une disposition » à la page 94.
Utilisation des contrôles d’écran
Dans un concert MainStage, les contrôles d’écran sont les objets qui correspondent aux
contrôles physiques de votre matériel musical. Les contrôles d’écran peuvent afficher
des informations sur les patchs, les paramètres et les valeurs de paramètre, ou contenir
du texte ou des images.
Dans un concert MainStage, les contrôles d’écran apparaissent dans l’espace de travail.
Vous pouvez ajouter des contrôles d’écran à l’espace de travail, les déplacer et les redimensionner, les regrouper et les verrouiller pour préserver votre disposition, mais aussi
modifier leur apparence de diverses manières.Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition 79
Après avoir agencé les contrôles d’écran dans l’espace de travail pour votre concert,
vous devez établir des connexions entre votre matériel MIDI et le concert en assignant
des contrôles physiques de votre matériel aux contrôles d’écran du concert. Dès lors
que vous utilisez le même matériel musical, vous ne devez réaliser les assignations
matérielles qu’une seule fois pour un même concert.
Après avoir effectué des assignations de contrôleur, vous pouvez mapper les contrô-
leurs d’écran à des paramètres de tranches de console dans vos patchs, ou à des
actions. Les paramètres se mappent en mode Édition. Pour en savoir plus sur le
mappage de paramètres, consultez « Mappage de contrôles d’écran » à la page 68.
Types de contrôles d’écran
Vous pouvez utiliser deux types de contrôles d’écran dans une disposition MainStage :
les contrôles de panneau et les contrôles de tablette. En mode Disposition, chaque type
dispose de sa propre palette (la palette de contrôles de panneau d’une part, la palette
de contrôles de tablette d’autre part) située sous l’espace de travail. Vous pouvez ajouter
des contrôles d’écran à l’espace de travail en les faisant glisser dans ce dernier à partir de
l’une des deux palettes.
Contrôles de panneau
Lorsque vous ajoutez un contrôle de panneau à l’espace de travail, il apparaît entouré
d’un panneau plat et brillant. Lorsque vous placez des contrôles de panneau proches les
uns des autres, leurs panneaux fusionnent en un seul panneau plus grand. Les contrôles
de panneau comprennent :
 un potentiomètre rond et un potentiomètre directionnel,
 un curseur vertical et un curseur horizontal,
 un bouton,
 un pad de batterie électronique,
 un VU-mètre (qui sert à représenter visuellement le volume ou un autre paramètre),
 un texte de paramètre (qui sert à afficher dynamiquement le nom et la valeur des
paramètres),
 un sélecteur (permettant de sélectionner les patchs pendant que vous jouez),
 du texte (qui sert à afficher les paroles des chansons, les notes de la performance
sur scène et autres informations statiques),
 une image.80 Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition
Contrôles de tablette
Lorsque vous ajoutez un contrôle de tablette, il apparaît sur une tablette tridimensionnelle. Vous pouvez déplacer la tablette, ajuster son angle et placer plusieurs contrôles
sur une même tablette. Si vous avez par exemple un contrôle d’écran de clavier dans
votre disposition, vous pouvez ajouter des contrôles d’écran, pour la molette du pitch
bend et pour la molette de modulation, à la même tablette que celle du contrôle
d’écran de clavier. Les contrôles de tablette comprennent :
 le clavier,
 les molettes de modulation ou de pitch bend,
 la pédale Sustain,
 la pédale,
 l’interrupteur au pied.
Ajout de contrôles d’écran
En mode Disposition, vous pouvez rapidement ajouter des contrôles d’écran à votre
disposition et les agencer dans l’espace de travail.
Pour ajouter un contrôle d’écran :
m Faites glisser le contrôle d’écran de l’une des palettes de contrôle vers l’espace de travail.
Tandis que vous faites glisser le contrôle d’écran sur l’espace de travail, un contour blanc
apparaît pour vous montrer où le contrôle est prévu de s’ajouter. Vous pouvez utiliser la
grille pour aligner le contrôle d’écran sur d’autres éléments de l’espace de travail.
Vous pouvez faire glisser les contrôles d’écran dans n’importe quel ordre dans l’espace de
travail. Si vous envisagez d’utiliser un clavier contrôleur, vous pouvez d’abord faire glisser
un contrôle d’écran de clavier sur l’espace de travail, le positionner près du centre, puis y
faire glisser des contrôles d’écran pour les curseurs, les potentiomètres, les molettes, les
boutons et autres contrôles physiques correspondant au clavier contrôleur.
Lorsque vous faites glisser un contrôle d’écran sur l’espace de travail, il est alors sélectionné et les assignations au matériel et autres paramètres disponibles qui lui correspondent apparaissent dans l’inspecteur de disposition sur la gauche de l’espace de
travail. Chaque type de contrôle d’écran possède ses propres paramètres, décrits dans
« Modification des paramètres des contrôles d’écran » à la page 90.
Ajout de contrôles d’écran pour les molettes de modulation/hauteur
Lorsque vous ajoutez des molettes de modulation/hauteur à une disposition, elles sont
configurées par défaut pour recevoir les types de messages MIDI suivants :
 La première molette de modulation/hauteur est configurée pour recevoir les messages
de modulation.
 La seconde molette est configurée pour recevoir les messages de pitch bend.
 La troisième molette est configurée de façon à recevoir les messages aftertouch.Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition 81
Par défaut, les contrôles d’écran de modulation et de pitch bend passent au travers
des messages MIDI correspondant à leur usage commun :les molettes de modulation
passent au travers des messages de modulation MIDI et les molettes de pitch bend
passent au travers des messages de pitch bend MIDI. Dans la plupart des cas, ce comportement est justifié pour que vous puissiez faire usage de leurs fonctions standard
sans aucune configuration supplémentaire. Si vous souhaitez utiliser ces contrôles
d’écran pour contrôler d’autres paramètres, choisissez « Ne pas transiter par Thru »
dans le menu local MIDI thru de l’inspecteur de disposition.
Ajout de contrôles d’écran de pédale
Lorsque vous ajoutez des pédales à une disposition, par défaut, la première pédale que
vous ajoutez est configurée pour recevoir des messages d’expression et la seconde
est configurée pour recevoir des messages de volume.
Par défaut, les contrôles d’écran pour les pédales d’expression passent au travers des
messages MIDI pour ce qui est de leurs fonctions courantes (expression ou volume).
Si vous désirez utiliser un contrôle d’écran pour une pédale d’expression afin de
contrôler un autre paramètre, choisissez « Ne pas transiter par Thru » dans le menu
local MIDI thru de l’inspecteur de disposition.
Copie et collage de contrôles d’écran
Vous pouvez couper, copier et coller des contrôles d’écran à l’aide des menus
et de raccourcis clavier standard de Mac OS X.
Pour coller une copie d’un contrôle d’écran :
1 Sélectionnez le contrôle d’écran à copier.
2 Choisissez Édition > Copier (ou appuyez sur les touches Commande + C).
3 Choisissez Édition > Coller (ou appuyez sur les touches Commande + V).
Vous pouvez aussi créer une copie de contrôle d’écran en le faisant glisser tout en
maintenant la touche Option enfoncée.
La fonction copier-coller peut être particulièrement utile lorsque l’on souhaite ajouter
une rangée espacée de manière régulière d’un seul type de contrôle d’écran (un potentiomètre ou un bouton par exemple) à une disposition.
Pour ajouter plusieurs instances d’un même contrôle d’écran à une rangée :
1 Faites glisser le contrôle d’écran vers le bord gauche de la zone où vous souhaitez
ajouter une rangée.
2 Après avoir sélectionné le contrôle d’écran, choisissez Édition > Copier.82 Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition
3 Choisissez Édition > Coller à plusieurs reprises jusqu’à ce que votre rangée contienne
le nombre souhaité de copies du contrôle d’écran.
Lorsque vous copiez-collez un contrôle d’écran de cette manière, les copies sont alignées
et espacées de façon régulière, et leurs panneaux fusionnent en un seul panneau.
Déplacement de contrôles d’écran
Quand vous êtes en mode Disposition, vous pouvez déplacer les contrôles d’écran. La
grille vous aide à aligner et positionner les contrôles d’écran de façon ordonnée. Vous
pouvez déplacer plusieurs contrôles simultanément en les sélectionnant (soit en cliquant
dessus tout en appuyant sur la touche Maj,soit en « étirant » la sélection pour tous les
inclure), puis en les faisant glisser jusqu’à l’emplacement voulu. Si les panneaux des contrôles d’écran sont fusionnés, l’étirement de la zone de sélection a pour effet de sélectionner l’intégralité du panneau obtenu.
Un contrôle d’écran que vous déplacez ou redimensionnez ne doit pas chevaucher un
autre contrôle d’écran dans l’espace de travail. Si cela se produit, vous risquez de ne
plus être en mesure de le déplacer ou le redimensionner complètement tant que vous
ne l’avez pas replacé ailleurs dans l’espace de travail.
Collez autant de copies
que nécessaire dans la
rangée voulue.
Copiez le contrôle
d’écran sélectionné.Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition 83
Redimensionnement de contrôles d’écran
Vous pouvez redimensionner les contrôles d’écran pour les rendre plus visibles ou pour
pouvoir les insérer dans une zone plus petite. Lorsque vous sélectionnez un contrôle
d’écran, des guides de redimensionnement bleus y apparaissent. Il vous suffit de les
faire glisser pour redimensionner le contrôle.
Pour redimensionner un contrôle d’écran :
1 Sélectionnez le contrôle d’écran dans l’espace de travail.
Des guides de redimensionnement bleus apparaissent sur le contrôle.
2 Faites glisser les guides pour redimensionner le contrôle d’écran.
Pour les contrôles d’écran présentant une zone d’affichage de texte, tels que les potentiomètres ou les curseurs, vous pouvez redimensionner cette dernière indépendamment de
son contrôle ou redimensionner les deux simultanément.
Pour redimensionner la zone d’affichage de texte d’un contrôle d’écran :
1 Sélectionnez le contrôle d’écran dans l’espace de travail.
2 Faites glisser le guide de redimensionnement intérieur pour agrandir la zone
d’affichage de texte.
Faites glisser les guides de
redimensionnement extérieurs
pour redimensionner le contrôle d’écran.84 Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition
3 Faites glisser le guide de redimensionnement extérieur pour agrandir la taille du contrôle global.
Notez que lorsque vous redimensionnez la zone d’affichage de texte, le reste du
contrôle d’écran se réduit en conséquence. Vous pouvez commencer par redimensionner l’intégralité du contrôle, puis redimensionner la zone d’affichage de texte
à l’aide du guide de redimensionnement intérieur.
Fusion de contrôles d’écran
Lorsque vous placez des contrôles d’écran proches les uns des autres, de manière à ce
que leurs bords soient adjacents, les panneaux (des contrôles Panneau) ou les tablettes
(des contrôles Tablette) fusionnent. Le panneau ou la tablette fusionné « s’agrandit »
de façon à englober tous les contrôles d’écran adjacents.
La fusion de contrôles d’écran n’a pas d’incidence sur leur mode de fonctionnement.
Elle aide cependant à les organiser dans l’espace de travail. Vous pouvez toujours
déplacer ou redimensionner un contrôle d’écran fusionné en le sélectionnant puis
en le faisant glisser (pour le déplacer) ou en faisant glisser ses guides de redimensionnement. Si vous déplacez ou redimensionnez des contrôles d’écran fusionnés,
le panneau ou la tablette fusionné s’ajuste pour englober le contrôle d’écran déplacé
ou redimensionné dès lors qu’il occupe toujours une position adjacente par rapport
aux autres.
Faites glisser le guide de
redimensionnement intérieur
pour redimensionner la zone
de texte.
Leurs panneaux ou
tablettes fusionnent.
Placez des contrôles
d’écran proches les
uns des autres.Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition 85
Lorsque vous sélectionnez un contrôle d’écran fusionné par étirement de sélection, le
panneau ou la tablette fusionné ainsi que tous les contrôles d’écran correspondants sont
sélectionnés, ce qui facilite leur déplacement simultané. Vous pouvez sélectionner des
contrôles fusionnés un par un en cliquant dessus tout en appuyant sur la touche Maj.
Ajustement de la tablette d’un contrôle de tablette
Lorsque vous ajoutez un contrôle de tablette, tel qu’un clavier, à l’espace de travail,
il apparaît sous un angle par défaut, ce qui donne un effet d’apparence en trois dimensions. Vous pouvez ajuster l’angle du contrôle de tablette de manière à ce qu’il apparaisse plus ou moins en trois dimensions. Cela s’avérer utile par exemple si vous désirez
voir davantage de touches du clavier ou si vous souhaitez réduire la quantité d’espace
que ce dernier occupe à l’écran.
Pour ajuster l’angle de la tablette pour un contrôle de tablette :
1 Dans l’espace de travail, sélectionnez le contrôle de tablette.
Des guides d’alignement blancs apparaissent pour la tablette du contrôle.
2 Faites glisser le guide d’alignement inférieur (celui qui est aligné avec l’avant
du contrôle de tablette).
Faites glisser le guide d’alignement inférieur vers le bas pour rendre l’angle plus abrupt
(comme si vous observiez le contrôle de tablette d’en haut) ou faites-le glisser vers le
haut pour rendre l’angle moins abrupt (comme si vous l’observiez de face).
Guides d’alignement
Faites glisser le guide
d’alignement avant
(inférieur) pour modifier
l’angle de la tablette.86 Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition
Déplacement vertical de la tablette
Vous pouvez aussi déplacer la tablette verticalement pour changer sa position dans
l’espace de travail. Lorsque vous déplacez la tablette verticalement, tous les contrôles
d’écran de cette dernière (par exemple, une molette de modulation ou de pitch bend
et un clavier) se déplacent avec elle.
Pour déplacer une tablette verticalement :
1 Sélectionnez l’un des contrôles d’écran de la tablette.
Les guides d’alignement de la tablette apparaissent.
2 Placez le pointeur sur le guide d’alignement supérieur (celui qui est aligné avec l’arrière
du contrôle de tablette).
Le pointeur se transforme en pointeur de déplacement (une barre horizontale pourvue
d’une flèche à ses extrémités verticales).
3 Faites glisser le guide d’alignement supérieur pour déplacer la tablette.
Regroupement de contrôles d’écran
Vous pouvez regrouper des contrôles d’écran. Une fois que vous avez regroupé des
contrôles d’écran, le fait de déplacer ou de redimensionner l’un de ces contrôles a pour
effet de déplacer ou de redimensionner les autres dans la même mesure. Regrouper
des contrôles d’écran ne change rien à leur fonctionnement mais facilite en revanche
leur agencement dans l’espace de travail.
Pour regrouper des contrôles d’écran :
1 Sélectionnez les contrôles d’écran que vous désirez regrouper.
2 Choisissez Grouper dans le menu Action de l’espace de travail (ou appuyez sur
les touches Commande + Option + G).
Les contrôles d’écran sont désormais regroupés. Le fait de déplacer l’un des contrôles
regroupés déplace les autres, et le fait d’en redimensionner un influe de même sur
les autres.
Faites glisser le guide arrière
(supérieur) pour déplacer la
tablette verticalement.Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition 87
Remarque :les contrôles d’écran ne pouvant pas se chevaucher, les mouvements
des contrôles regroupés sont parfois restreints. Lorsque vous déplacez des contrôles
regroupés, assurez-vous qu’aucun autre contrôle ne se trouve sur leur chemin.
Si vous souhaitez déplacer l’un des contrôles regroupés indépendamment,
vous pouvez les dissocier.
Pour dissocier des contrôles d’écran :
1 Sélectionnez les contrôles regroupés.
2 Choisissez Dissocier dans le menu Action de l’espace de travail (ou appuyez sur
les touches Commande + Maj + Option + G).
Les boutons Grouper et Dissocier sont également disponibles dans la barre d’outils
si vous l’avez personnalisée. Pour en savoir plus sur la personnalisation de la barre
d’outils, consultez « Personnalisation de la barre d’outils » à la page 37.
Verrouillage des contrôles d’écran
Vous pouvez verrouiller les contrôles d’écran pour éviter qu’ils ne soient déplacés
ou redimensionnés par erreur.
Pour verrouiller un contrôle d’écran :
1 Sélectionnez le ou les contrôles d’écran que vous désirez regrouper.
2 Choisissez Verrouiller dans le menu Action de l’espace de travail (ou appuyez
sur les touches Commande + L).
Le contrôle d’écran est à présent verrouillé. Si vous souhaitez le déplacer
ou le redimensionner par la suite, vous pouvez le déverrouiller.
Pour déverrouiller un contrôle d’écran :
1 Sélectionnez le ou les contrôles d’écran verrouillés.
2 Choisissez Déverrouiller dans le menu Action de l’espace de travail (ou appuyez
sur les touches Commande + Maj + L).
Les boutons Verrouiller et Déverrouiller sont également disponibles dans la barre
d’outils si vous l’avez personnalisée. Pour en savoir plus sur la personnalisation de
la barre d’outils, consultez « Personnalisation de la barre d’outils » à la page 37.88 Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition
Suppression de contrôles d’écran
Si vous souhaitez vous débarrasser d’un contrôle d’écran dans votre disposition,
vous pouvez le supprimer dans l’espace de travail.
Pour supprimer un contrôle d’écran :
1 Sélectionnez le contrôle d’écran à supprimer.
2 Choisissez Édition > Supprimer (ou appuyez sur la touche Supprimer).
Lorsque vous supprimez un contrôle d’écran, toutes les assignations et autres
mappages associés le sont également.
Assignation de contrôles matériels à des contrôles d’écran
Pour utiliser MainStage avec un contrôleur MIDI, vous devez assigner des contrôles
matériels du contrôleur (par exemple, des curseurs, des potentiomètres, des boutons,
des pads de batterie électronique, des pédales, etc.) à des contrôles d’écran de l’espace
de travail. Une fois que vous avez assigné un contrôle matériel à un contrôle d’écran,
ce dernier reçoit les messages MIDI du contrôle matériel. Dès lors que vous utilisez le
même matériel, vous ne devez réaliser les assignations de contrôleur qu’une seule fois
pour un même concert.
Vous devez attribuez des commandes matérielles à des contrôles d’écran à l’aide du
processus d’apprentissage, tout comme vous le feriez pour une surface de contrôle dans
Logic Pro 8. Le processus d’apprentissage est traité dans « Apprentissage d’assignations
de contrôleur » à la page 32.
Lorsque vous assignez un contrôle matériel à l’aide du bouton Apprendre, MainStage
détermine le type de message MIDI que le contrôle envoie à chaque changement
d’état, ainsi que la plage de valeurs qu’il est capable d’envoyer. Lorsque vous mappez
le contrôle d’écran à un paramètre de tranche de console ou à une action, MainStage
convertit (ou « mappe ») la plage des valeurs envoyées par le contrôle matériel à la
plage de valeurs optimales utilisables par le paramètre.
De nombreux curseurs, potentiomètres et autres contrôles MIDI envoient par exemple
une plage de valeurs numériques allant de 0 à 127. Vous pourriez mapper un potentio
mètre matériel doté de cette plage de valeurs pour contrôler le paramètre de fréquence
d’un effet d’égalisation, dont la plage de valeurs utilisables s’étend de 20 Hz à 20 kHz.
Si vous mappez le contrôle d’écran du potentiomètre au paramètre de fréquence de
l’effet d’égalisation, MainStage convertit les valeurs envoyées par le potentiomètre
matériel de manière à ce qu’elles soient incluses entre les valeurs minimales (20 Hz)
et maximales (20 kHz) du paramètre.Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition 89
Assignation de potentiomètres
Les contrôleurs MIDI peuvent être dotés de potentiomètres ou de contrôleurs rotatifs
de différents types. Les potentiomètres peuvent correspondre soit à des contrôleurs
absolus, qui envoient une valeur fixe que détermine la position du potentiomètre,
soit à des contrôleurs relatifs, qui incrémentent ou décrémentent la valeur précédente
quelle que soit leur position exacte. Les potentiomètres présentent une plage de
mouvement fixe ou sont continus (encodeurs rotatifs sans butée).
Lorsque vous assignez un contrôle d’écran à un potentiomètre à l’aide du bouton
Apprendre, MainStage tente de déterminer quel est le type du potentiomètre ou du
contrôle rotatif matériel qui envoie le message MIDI et définit la valeur du menu local
Type de l’inspecteur de disposition sur la valeur adéquate. La valeur adaptée aux cas
des contrôleurs absolus est Absolue ;pour les contrôleurs relatifs, cette valeur est soit
« Relative (complément de 2) », soit « Relative (magnitude de signe) », en fonction
du type de commande relative.
Lorsque vous assignez un contrôle d’écran à un potentiomètre, veillez à ce que le menu
local Type affiche Absolue ou l’une des deux valeurs Relative selon le contrôleur maté-
riel dont vous disposez. Tournez le potentiomètre sur toute sa course pour être sûr
que MainStage détermine correctement le type de potentiomètre que vous assignez.
Assignation de boutons
Les contrôleurs MIDI peuvent être dotés de différents types de boutons. Certains boutons
envoient une seule valeur chaque fois que vous appuyez dessus, tandis que d’autres alternent entre deux valeurs lorsqu’on les enfonce. D’autres boutons encore peuvent envoyer
des valeurs séparées lorsqu’ils sont enfoncés et relâchés (on dit de ces boutons qu’ils sont
momentanés ou temporaires).
Lorsque vous assignez un contrôle d’écran à un bouton à l’aide du bouton Apprendre,
MainStage tente de déterminer quel est le type de bouton matériel qui envoie le
message MIDI, et définit la valeur du menu local Type de l’inspecteur de disposition sur
la valeur appropriée à ce type de bouton. Pour permettre à MainStage de déterminer
la bonne valeur, appuyez sur le bouton exactement trois fois quand vous activez son
apprentissage. Ceci garantit que MainStage détermine bien si le bouton est un bouton
à valeur unique, à valeur en alternance ou momentané.
Vous pouvez changer la fonction d’un bouton momentané de sorte qu’il corresponde
à la fonction d’un bouton à valeur unique ou à valeur en alternance.90 Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition
Pour changer la fonction d’un bouton momentané :
1 En mode Disposition, assurez-vous que le contrôle d’écran de bouton est sélectionné.
2 Dans l’inspecteur de disposition, choisissez soit Valeur simple soit Valeur en alternance
dans le menu local Type.
Choisissez Valeur simple si vous souhaitez que le bouton fonctionne comme un bouton
à n’envoyant qu’une seule valeur, et Valeur en alternance si vous désirez qu’il fonctionne
comme un bouton transmettant des valeurs alternées. Il n’est pas possible de changer la
fonction d’un bouton à valeur simple ou à valeur en alternance pour qu’il corresponde à
la fonction d’un bouton momentané.
Modification des paramètres des contrôles d’écran
Lorsque vous sélectionnez un contrôle d’écran en mode Disposition, ses paramètres
apparaissent dans l’inspecteur de disposition, à partir duquel vous pouvez les modifier.
Certains types de contrôles d’écran partagent les mêmes paramètres tandis que
d’autres types présentent des paramètres différents. Les paramètres correspondant à
chaque type sont décrits dans la section suivante.
Pour modifier les paramètres d’un contrôle d’écran :
1 En mode Disposition, sélectionnez le contrôle d’écran (pour cela, faites-le glisser dans
l’espace de travail).
2 Dans l’inspecteur de disposition, modifiez les paramètres du contrôle d’écran sélectionné en choisissant leur élément de menu, en leur attribuant du texte, en cliquant sur
leur bouton ou en cochant leur case.
Paramètres de clavier
Vous pouvez modifier les paramètres suivants pour les contrôles d’écran de clavier.
Assignation de matériel
 Menu local Périphérique : affiche le nom du clavier appris. Le nom de l’appareil peut
correspondre au nom du clavier contrôleur ou à un port de ce contrôleur s’il est doté
de plusieurs. Vous pouvez choisir un autre matériel ou choisir Tout.
 Menu local Canal : affiche le canal MIDI sur lequel MainStage reçoit les données
du clavier en entrée. Vous pouvez choisir un autre canal ou choisir Tout.
 Curseur « Sensibilité de la vélocité » : définit la sensibilité à la vélocité du clavier.
Moins signifie que des vélocités plus élevées sont requises pour déclencher la
valeur maximale. À l’inverse, Plus signifie que des vélocités inférieures déclenchent
la valeur maximale.Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition 91
Réglages
 Champ Nom : attribuez dans ce champ un nom au clavier. Ce nom apparaît alors
dans le menu local Entrée de l’inspecteur de tranche de console, dans lequel vous
pouvez sélectionner le matériel auquel la tranche de console répond.
 Curseur de valeur Nombre de notes :saisissez le nombre de touches à afficher sur
le contrôle d’écran de clavier.
 Curseur de valeur Note la plus basse :saisissez le nom de la note correspondant
à la note la plus faible.
 Bouton d’apprentissage Note la plus basse : cliquez sur le bouton d’apprentissage,
puis appuyez sur la touche la plus basse pour que MainStage l’apprenne.
Les curseurs « Nombre de notes » et « Note la plus basse » n’influent que sur
l’apparence du contrôle d’écran. Ils ne concernent pas les notes reçues de votre
clavier contrôleur.
Affichage des couches
 Case « Afficher les couches de clavier » : lorsque cette case est cochée, une couche
s’affiche au-dessus du clavier dans l’espace de travail pour chacune des tranches
de console d’instrument logiciel d’un patch. Les couches affichent le nom et la
couleur de la tranche de console et répondent quand vous jouez sur le clavier.
 Curseur de valeur Hauteur :définit la hauteur de l’affichage de couches qui apparaît
au-dessus du clavier.
Paramètres communs de contrôles d’écran
Vous pouvez modifier les paramètres ci-dessous pour les contrôles d’écran suivants :
curseur, potentiomètre, pédale, molette de modulation/hauteur, indicateur et texte
du paramètre.
Assignation de matériel
 Menu local Périphérique : affiche le nom de l’appareil auquel appartient le contrôle
assigné. Le nom de l’appareil peut correspondre au nom du contrôleur ou à un port
de ce contrôleur s’il est doté de plusieurs. Vous pouvez sélectionner un autre matériel,
Tout ou Non affecté.
 Menu local Canal : choisissez le canal MIDI sur lequel MainStage les données
du contrôleur en entrée.92 Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition
Si vous envisagez d’utiliser plusieurs claviers lors de la représentation, assurez-vous
que les contrôles d’écran tels que les curseurs et les potentiomètres reçoivent leurs
données des contrôleurs appropriés en entrée, à l’aide des menus locaux Périphérique
et Canal.
 Menu local Type : choisissez le type de messages de contrôle auxquels le contrôle répond.
 Menu local Numéro : choisissez le numéro de contrôle MIDI que le contrôle envoie.
Pour les contrôles MIDI courants, par exemple le volume, le nom du contrôle apparaît
dans le menu à côté de son numéro.
 Menu local MIDI Thru : choisissez si le contrôle transite ou non automatiquement
par le canal MIDI Thru.
Apparence
 Sélecteur Couleur : choisissez la couleur de la partie active du contrôle d’écran
lorsque vous jouez en représentation (ce paramètre n’est pas disponible pour
les contrôles d’écran texte ou indicateur).
 Menu local Contrôle :choisissez le type du contrôle d’écran. Si vous changez son
type, il se peut que vous soyez amené à le redimensionner dans l’espace de travail.
Étiquettes textuelles
 Menu local Affichage : choisissez les informations à afficher dans la zone d’affichage
de texte du contrôle, et combien de lignes ces informations occupent.
 Case et champ d’ajout de texte personnalisé :cochez cette case, puis tapez du texte
personnalisé dans le champ pour qu’il s’affiche sur la ligne supérieure de l’affichage
de texte du contrôle.
Paramètres de pad de batterie électronique
Vous pouvez modifier les paramètres suivants pour les contrôles d’écran de pad
de batterie électronique.
Assignation de matériel
 Menu local Périphérique : affiche le nom de l’appareil auquel appartient le pad
de batterie électronique. Vous pouvez sélectionner un autre matériel, Tout ou
Non affecté.
 Menu local Canal : choisissez le canal MIDI sur lequel MainStage les données
du contrôleur en entrée.
 Curseur de valeur Note : définissez la note MIDI à laquelle le pad de batterie
électronique répond.
Apparence
 Sélecteur Couleur : choisissez la couleur de la partie active du contrôle d’écran afin
de pouvoir voir facilement quand le pad de batterie électronique est enfoncé.
 Menu local Contrôle :choisissez le type du contrôle d’écran. Si vous changez son
type, il se peut que vous soyez amené à le redimensionner dans l’espace de travail.Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition 93
Étiquettes textuelles
 Menu local Affichage : choisissez les informations à afficher dans la zone d’affichage
de texte, et combien de lignes ces informations occupent.
 Case et champ d’ajout de texte personnalisé :cochez cette case, puis tapez du texte
personnalisé dans le champ pour qu’il s’affiche sur la ligne supérieure de l’affichage
de texte du contrôle.
Paramètres textuels
Vous pouvez modifier les paramètres suivants pour les contrôles d’écran textuels.
 Bouton Police :cliquez sur ce bouton pour afficher le menu Police vous permettant
de sélectionner une police, un style et une taille.
 Boutons d’alignement :à l’aide de ces boutons, alignez le texte à gauche, à droite
ou au centre, ou justifiez-le.
 Champ Texte :saisissez-y le texte que vous souhaitez voir s’afficher à l’écran.
 Case Afficher le cadre autour du texte : quand cette case est cochée, un cadre sombre
apparaît autour du texte pour montrer les limites du contrôle d’écran.
Paramètres d’image
Vous pouvez modifier les paramètres suivants pour les contrôles d’écran d’image.
 Case à cocher Adapter par étirement :lorsque cette case est cochée, l’image s’étire
pour remplir au maximum la zone du contrôle d’écran Image.
 Case à cocher Afficher le cadre autour de l’image : quand cette case est cochée, un
cadre sombre apparaît autour de l’image pour montrer les limites du contrôle
d’écran.
 Cadre Image :faites glisser une image dans le cadre pour l’afficher à travers le contrôle
d’écran Image.
 Bouton Sélection :cliquez sur ce bouton pour ouvrir une zone de dialogue d’ouverture de fichier dans laquelle vous pouvez parcourir vos disques pour sélectionner
une image.
Paramètres de sélecteur de patchs
Vous pouvez modifier les paramètres suivants pour les contrôles d’écran de sélecteur
de patchs.
 Bouton Sons et jeux : lorsque ce bouton est actif, les patchs et les sets s’affichent
dans le sélecteur.
 Case « Affichage en deux colonnes » :lorsque cette case est cochée, les sets s’affichent
dans la colonne de gauche et les patchs dans celle de droite.
 Bouton Sons uniquement :lorsque ce bouton est actif, seuls les patchs s’affichent
dans le sélecteur.
 Curseur de valeur Éléments à afficher : permet de définir le nombre d’éléments
(en d’autres termes, de lignes) visibles dans le sélecteur.94 Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition
Transition de messages dans le canal MIDI Thru avec
MainStage
Lorsque MainStage reçoit des messages MIDI de votre clavier contrôleur (ou de tout
autre matériel MIDI), ces messages « transitent » si aucun contrôle d’écran de votre disposition n’est assigné pour recevoir ce type de messages MIDI (comme cela est défini
dans le menu local Numéro de l’inspecteur de disposition des contrôles d’écran).
Si un contrôle d’écran existe pour ce type de message MIDI, les données ne sont
pas retransmises si le menu local MIDI Thru est défini sur « Ne pas transiter par Thru ».
Ce réglage est le réglage par défaut pour la plupart des contrôles d’écran quand vous
les ajoutez à une disposition. Les contrôles d’écran assignés aux types de message MIDI
suivants font exception à la règle :modulation, pitch bend, Sustain, expression et
aftertouch. Par défaut, quand vous ajoutez l’un de ces contrôles d’écran, le menu
local MIDI est défini sur Automatique. En effet, si vous ajoutez un contrôle d’écran
pour une molette de modulation ou une pédale Sustain par exemple, il répond
« automatiquement » au type de message MIDI approprié, sans que vous ayez à
le configurer davantage. Si vous souhaitez que le contrôle d’écran réponde à un
autre type de message MIDI, vous pouvez le choisir dans le menu local Numéro
de l’inspecteur de disposition.
Les messages MIDI entrants « transitant » sont transmis à toutes les tranches de
console mappées au matériel qui envoie ces messages (autrement dit, au clavier
contrôleur que vous utilisez pour « jouer » ces tranches de console). En l’absence
de matériel correspondant, les messages MIDI sont envoyés à toutes les tranches
de console.
Vous pouvez aussi filtrer les messages MIDI entrants pour les distribuer aux différentes
tranches de console. Pour en savoir plus sur le filtrage des messages MIDI, consultez
« Filtrage de messages MIDI » à la page 67.
Exportation d’une disposition
Vous pouvez exporter une disposition et l’enregistrer sans qu’elle soit dépendente
du concert, puis l’importer dans d’autres concerts.
Pour exporter une disposition :
1 Choisissez Fichier > Export disposition (ou appuyez sur les touches Commande + Maj +
Contrôle + S).
2 Dans la zone de dialogue Enregistrer sous, attribuez un nom à la disposition et indiquez l’emplacement où l’enregistrer (ou utilisez l’emplacement par défaut).
3 Cliquez sur Enregistrer.Chapitre 7 Utilisation du mode Disposition 95
Importation d’une disposition
Vous pouvez importer dans un concert une disposition exportée, puis la régler
de façon à travailler avec ses mappages dans le concert.
Pour importer une disposition dans un concert :
1 Choisissez Fichier > Import disposition (ou appuyez sur les touches Commande +
Contrôle + O).
2 Dans la zone de dialogue Ouvrir, sélectionnez la disposition à importer.
3 Cliquez sur Ouvrir.
La disposition du concert est remplacée par la disposition importée.
Lorsque vous importez une disposition dans un concert, MainStage l’analyse et tente
de convertir ses assignations et ses mappages afin de les adapter au concert.
Les règles suivantes sont celles qui régissent la conversion d’assignations et de
mappages importés :
 Les contrôles d’écran sont assignés et mappés à des contrôles d’écran du même
type s’ils existent dans la disposition importée.
 Les contrôles d’écran pour clavier sont exclusivement assignés à des contrôles
d’écran pour clavier.
 Si l’agencement des contrôles d’écran dans le concert est similaire à celui dans
la disposition importée, les contrôles d’écran sont assignés et mappés à des contrô-
les d’écran occupant les mêmes emplacements dans l’espace de travail.
 Si l’agencement des contrôles d’écran dans le concert est différente, MainStage tente
de les assigner et de les mapper, en partant du coin supérieur gauche vers le coin
inférieur droit de l’espace de travail.
Du fait de la grande variété des dispositions, il se peut que vous ne puissiez pas convertir toutes les assignations et tous les mappages comme prévu. Des différences existent
en effet entre les dispositions. Après avoir importé une disposition dans un concert,
veillez à tester les contrôles d’écran dans ce dernier afin de vérifier qu’ils fonctionnent
comme prévu. Une fois la disposition importée, il se peut que vous deviez réassigner
manuellement certains contrôles, puis remapper les contrôles d’écran dans vos patchs
pour que le concert fonctionne avec la nouvelle disposition. Si la disposition importée
présente moins de contrôles d’écran que l’ancienne disposition ou si elle comprend
des types de contrôles d’écran différents, vous devrez probablement ajouter de nouveaux contrôles d’écran après l’importation et assigner à ces derniers des contrôles
physiques afin de maintenir le même niveau de fonctionnalité.8
97
8 Représentation en direct avec
MainStage
Maintenant que vous avez créé et organisé vos sons et
configuré votre disposition, il ne vous reste plus qu’à vous
produire. MainStage propose deux modes pour cela
(Plein écran et Exécution), spécialement adaptés pour
la représentation en direct.
Avant de commencer à jouer
Voici quelques vérifications à effectuer avant de commencer l’exécution sur scène :
 Vérifiez que vos contrôleurs MIDI, instruments, micros et autres équipements
musicaux sont raccordés à votre ordinateur et fonctionnent.
 Sélectionnez un patch avec une tranche de console d’instrument logiciel et jouez
du clavier. Consultez le Moniteur d’activité pour vérifier que MainStage reçoit bien
l’entrée MIDI du clavier et que vous entendez la sortie audio.
 Vérifiez que tous les instruments et micros que vous avez l’intention d’utiliser avec
les tranches de console sont branchés sur les bonnes entrées de l’interface audio.
Sélectionnez un patch avec une tranche de console et jouez ou chantez pour vérifier
que vous entendez bien la sortie audio.
 Pour de meilleurs résultats, fermez toutes les applications dont vous n’avez pas
besoin pendant la représentation, tout particulièrement les applications qui sollicitent beaucoup le processeur ou la mémoire.
Utilisation des modes Plein écran et Exécution
En représentation, vous pouvez utiliser le mode Plein écran ou Exécution en fonction
de vos besoins. Chacun de ces modes présente des avantages suivant le type de
performance sur scène à réaliser.98 Chapitre 8 Représentation en direct avec MainStage
Utilisation en mode Plein écran
En mode Plein écran, l’espace de travail de MainStage occupe tout l’écran et les contrôles
d’écran adoptent la taille maximale possible pour permettre une visualisation facile.
MainStage reçoit toutes les commandes de clavier (aussi, aucun autre raccourci clavier,
notamment ceux de Mac OS X, n’est actif). Vous pouvez accéder aux fonctions Silence
Master et Panique par le biais des raccourcis clavier à moins que vous n’ayez mappé un
contrôle d’écran à ces fonctions.
Pour passer en mode Plein écran, procédez d’une des façons suivantes :
m Choisissez Présentation > Plein écran (ou appuyez sur Commande + 4).
m Cliquez sur le bouton Plein écran dans la barre d’outils.
Pour quitter le mode Plein écran, procédez d’une des façons suivantes :
m Appuyez sur la touche Échap.
m Cliquez sur l’icône de fermeture (croix) placée dans le coin supérieur gauche de l’écran.
m Utilisez le raccourci clavier pour un des autres modes (de Commande + 1 à
Commande + 3).
Utilisation du mode Exécution
En mode Exécution, l’espace de travail occupe toute la fenêtre MainStage, mais la barre
d’outils reste visible pour vous permettre l’accès aux boutons Silence Master, Panique,
Syntoniseur et aux autres éléments de la barre d’outils. Vous pouvez redimensionner la
fenêtre de MainStage, mais aussi modifier la taille de l’espace de travail dans la fenêtre,
à l’aide du curseur de zoom. Vous pouvez accéder au Finder et aux autres applications
ouvertes en cliquant en dehors de la fenêtre MainStage.
Pour passer en mode Exécution, procédez d’une des façons suivantes :
m Choisissez Présentation > Exécution (ou appuyez sur Commande + 3).
m Cliquez sur le bouton Exécution de la barre d’outils.
Par défaut, MainStage s’ouvre en mode Édition au lancement de l’application.Vous pouvez
modifier son comportement par défaut dans la sous-fenêtre Générales des préférences
MainStage pour que l’application s’ouvre en mode Exécution ou Plein écran. Pour en savoir
plus, consultez « Réglage des préférences MainStage » à la page 109.Chapitre 8 Représentation en direct avec MainStage 99
Sélection de patchs pendant la représentation
En mode Plein écran ou Exécution vous pouvez visualiser et sélectionner des patchs
à l’aide du contrôle d’écran de sélection de sons dans votre disposition. Les patchs et les
sets s’affichent dans cet outil dans le même ordre que dans la Liste de patchs du mode
Édition. Les éléments ignorés n’apparaissent pas dans l’outil de sélection de sons et
ne peuvent pas être sélectionnés, mais les patchs dans les sets condensés apparaissent
quant à eux, ce qui les rend sélectionnables. Pour en savoir plus sur la manière d’ignorer
des éléments, consultez « Éléments ignorés dans la Liste de patchs » à la page 54.
Lorsque vous sélectionnez un patch, vous pouvez en lancer la lecture immédiatement.
Si vous tenez des notes du patch précédent, rien ne change tant que vous ne les libérez
pas ou que vous ne relâchez pas la pédale Sustain. Si le patch précédent contient des effets
(comme des effets de réverbération ou de retard) avec une queue de relâchement, cette
dernière continue de résonner pendant le temps défini dans le menu local « Couper le son
du patch précédent » dans les préférences MainStage. Pour en savoir plus, consultez
« Réglage des préférences MainStage » à la page 109.
Lorsque vous jouez, gardez à l’esprit la différence entre les paramètres de patch et les
paramètres contrôlés sur l’intégralité d’un concert. Lorsque vous sélectionnez un patch,
ses paramètres correspondent au dernier enregistrement. Si vous avez joué le patch depuis
que vous avez ouvert le concert, les paramètres de la dernière lecture sont conservés.
Les paramètres du concert, en revanche, conservent leur valeur lorsque vous sélectionnez
d’autres patchs. Par exemple,si vous sélectionnez un patch avec une tranche de console
dont le volume est de 0 dB, mais que le curseur de volume du master portant sur tout
le concert est réglé sur – 96 dB, vous n’entendez alors aucun son, et non pas le volume
d’origine. De même, les paramètres contrôlés au niveau du set gardent leur valeur lorsque
vous choisissez un autre patch du set.
De plus, n’oubliez pas que lorsque vous sélectionnez un patch, les contrôles d’écran des
potentiomètres, des curseurs et autres commandes de l’espace de travail indiquent les
paramètres du patch, qui peuvent être différents de l’état des commandes physiques de
votre contrôleur. Lorsque vous utilisez les commandes physiques, les contrôles d’écran
s’actualisent instantanément pour indiquer la valeur active.
Sélection de patchs à l’aide des raccourcis clavier
Vous pouvez sélectionner les patchs dans l’outil de sélection en utilisant les raccourcis
clavier suivants :
Raccourci clavier Sélection
Flèche vers le haut Patch précédent
Flèche vers le bas Patch suivant
Flèche gauche Premier patch du set précédent
Flèche droite Premier patch du set suivant100 Chapitre 8 Représentation en direct avec MainStage
Sélection de patchs à l’aide d’actions
Si vous avez mappé des contrôles d’écran à des actions pour sélectionner des patchs,
comme la sélection du patch précédent ou suivant, vous pouvez utiliser les commandes
matérielles assignées à ces contrôles d’écran lors de la représentation. De même, vous
pouvez sélectionner des sets ou le concert à l’aide d’actions. Les boutons s’avèrent tout
particulièrement utiles pour sélectionner les patchs, les sets ou les concerts à travers
des actions.
Dans ce cas, les patchs ignorés restent ignorés. Par exemple, si vous utilisez un contrôle
d’écran mappé pour sélectionner les dix patchs suivants, tous les patchs ignorés ne
font alors pas partie des dix patchs suivants.
Sélection de patchs en utilisant les messages de changement de
programme
Si votre matériel MIDI dispose de boutons ou d’autres commandes qui envoient des
messages de changement de programme, vous pouvez sélectionner les patchs dans
votre concert par numéro de changement de programme. Vous pouvez utiliser les messages de changement de programme pour sélectionner des patchs, mais non des sets.
Pour en savoir plus sur la façon dont votre matériel MIDI envoie des messages de changement de programme, consultez la documentation de celui-ci ou le site Internet du
fabricant. Pour en savoir plus sur la façon de modifier le numéro de changement de
programme pour un patch, consultez « Modification des numéros de changement de
programme » à la page 55.
Utilisation des contrôles d’écran pendant l’interprétation
Pendant la représentation, vous devez utiliser les commandes de vos appareils MIDI
assignées aux contrôles d’écran pour manipuler les paramètres mappés à ces contrôles.
Lorsque vous sélectionnez un autre patch,ses paramètres mappés restent immédiatement modifiables.
Lorsque vous actionnez une commande matérielle, le contrôle d’écran se déplace
instantanément pour refléter la position active de la commande physique et le paramètre
mappé à ce contrôle s’actualise automatiquement. Les contrôles d’écran MainStage ne se
verrouillent pas sur une valeur spécifique et relative en fonction de la commande maté-
rielle. Ils reflètent en fait la valeur active.Chapitre 8 Représentation en direct avec MainStage 101
Gestion des changements de tempo pendant l’interprétation
Lorsque vous ouvrez le concert que vous souhaitez utiliser pour une représentation,
MainStage utilise le tempo du concert défini dans l’inspecteur de concert. Si la case
« Obtenir le tempo de l’entrée MIDI » est cochée, MainStage utilise les messages de
tempo MIDI pour déterminer le tempo. Pour en savoir plus sur le réglage et le changement de tempo dans un concert, consultez « Utilisation du Tempo dans un concert
MainStage » à la page 43.
Si vous sélectionnez un patch ou un set possédant son propre tempo, ce dernier se
calque alors sur le nouveau réglage. Vous pouvez également modifier le tempo en
temps réel pendant l’interprétation à l’aide de la fonctionnalité Tempo des claquettes,
que ce soit en marquant le tempo à l’aide des touches Contrôle + T, ou en cliquant en
rythme sur le bouton Tempo des claquettes de la barre d’outils.
Utilisation de guitares et autres instruments
Vous pouvez jouer de la guitare électrique ou tout autre instrument de musique
raccordé à votre ordinateur en utilisant MainStage comme processeur multi-effets.
Vous devez choisir l’entrée audio sur laquelle l’instrument est raccordé dans les
tranches de console audio que vous voulez utiliser avec l’instrument. Vous pouvez
utiliser l’amplification de guitare ou de basse ainsi que d’autres effets courants de
guitare, ou essayer différents effets pour des possibilités sonores uniques.
MainStage comprend des modèles de concert conçus pour l’utilisation de guitares.
Parmi ces modèles, vous trouverez des patchs avec des contrôles d’écran de type pédale
que vous pouvez attribuer à un interrupteur au pied, ce qui vous permet de contourner
différents effets dans la tranche de console. Certains patchs vous permettent aussi de
passer d’une tranche de console à l’autre à l’aide d’une pédale expression.
Lorsque vous jouez de la guitare ou d’un autre instrument à faible impédance, vérifiez
qu’il est bien connecté à une entrée audio qui correspond à l’impédance de l’instrument.
Le branchement d’une guitare à une entrée audio de niveau standard peut entraîner un
volume inférieur à ce que vous escomptiez pour la sortie guitare.
Vous pouvez aussi utiliser MainStage avec des voix, ou tout son capturé avec un micro,
à travers l’interface connectée à votre ordinateur et en choisissant un canal d’entrée
audio dans des tranches de console audio de vos patchs.102 Chapitre 8 Représentation en direct avec MainStage
Utilisation du syntoniseur
MainStage comprend un syntoniseur que vous pouvez utiliser pour accorder les guitares
et autres instruments dont vous jouez à travers la tranche de console audio. Il indique la
tonalité sur une échelle circulaire avec le nom de la note et de l’octave en son centre.
Lorsque vous jouez une note sur votre instrument, la tonalité est indiquée en fonction
de la bonne tonalité de la note affichée.
Pour accorder un instrument avec le syntoniseur :
1 Sélectionnez la tranche de console audio sur laquelle est branché l’instrument
que vous voulez accorder.
2 Cliquez sur l’icône Syntoniseur dans la barre d’outils (ou appuyez sur Contrôle + T).
Le syntoniseur apparaît dans l’espace de travail.
3 Jouez une seule note sur votre instrument et regardez l’affichage du syntoniseur.
En jouant, le syntoniseur affiche le nom de la note la plus proche. Si elle n’est pas juste,
son nom et le syntoniseur s’allument en rouge et une barre rouge verticale apparaît
pour indiquer si la note est trop haute ou trop basse.
La barre apparaît sur la droite du nom de la note si elle est trop haute et sur la gauche
si elle est trop basse. Lorsque la note est juste, son nom et le syntoniseur deviennent
bleus et la barre verticale disparaît.
Veillez à ne jouer qu’une seule note à la fois lorsque vous accordez l’instrument.
Le syntoniseur ne peut pas accorder un accord polyphonique ou un intervalle ou
si vous jouez rapidement plusieurs notes différentes. Pour en savoir plus sur le syntoniseur, reportez-vous au manuel Instruments et effets Logic Studio.Chapitre 8 Représentation en direct avec MainStage 103
Conseils pour la configuration complexe de matériel
Il est vivement recommandé de tester votre concert de façon exhaustive en utilisant
la même configuration que vous souhaitez utiliser au moment de la représentation,
sur les lieux si possible. C’est extrêmement important pour les configurations matérielles
complexes.
Utilisation de plusieurs claviers pour une représentation
Si vous avez l’intention d’utiliser plusieurs claviers, vous pouvez choisir si les contrôles
d’écran doivent répondre aux messages MIDI de tous les claviers ou d’un en particulier,
et si les tranches de console reçoivent une entrée de tous les claviers ou d’un seul.
En mode Disposition, les contrôles d’écran peuvent être configurés pour répondre à
l’entrée MIDI sur tous les ports et canaux MIDI ou à un seul appareil ou canal spécifique.
Pour qu’un contrôle d’écran réponde à l’entrée MIDI de tous les claviers, choisissez Tous
dans les menus locaux Périphérique et Canal dans l’inspecteur de disposition. Pour qu’un
contrôle d’écran réponde à un clavier spécifique, choisissez-le dans le menu local Périphérique ou sur le même canal que le contrôle d’écran de clavier.
En mode Édition, vous pouvez définir le matériel à partir duquel une tranche de console
reçoit une entrée MIDI dans la section Plage de notes de l’inspecteur de tranche de
console. Par défaut, les tranches de console reçoivent une entrée du premier contrôleur
de la disposition. Vous pouvez configurer une tranche de console pour qu’elle reçoive
une entrée d’un autre appareil repris dans le menu local Entrée.
Utilisation d’une autre configuration matérielle pour l’interprétation
Si vous utilisez MainStage avec une configuration matérielle complexe, avec plusieurs
contrôleurs ou interfaces par exemple, ou avec plusieurs entrées audio, vous obtiendrez
de meilleurs résultats en utilisant exactement la même configuration matérielle que
lorsque vous avez créé le concert.
Si vous envisagez d’utiliser MainStage avec des contrôleurs, interfaces ou autres
matériels différents de ceux utilisés au moment de la création du concert, vous devrez
refaire l’apprentissage des assignations matérielles avec la configuration matérielle
de la représentation. Dans ce cas, pour vous faciliter le travail, vous pouvez créer deux
dispositions distinctes :l’une pour la configuration studio et l’autre pour la configuration représentation avec les contrôles d’écran correspondants dans chacune des dispositions. Avant la représentation, importez la disposition correspondante dans votre
concert. Les assignations matérielles pour la configuration de la représentation sont
importées avec la disposition et les mappages sont conservés. 105
A Annexe
A Raccourcis clavier
Les tableaux ci-après indiquent les raccourcis clavier de MainStage, regroupés par fonction.
Concerts et dispositions
Patchs et sets (mode Édition)
Raccourci clavier Fonction
Commande + N Nouveau concert
Commande + O Ouvrir un concert
Commande + W Fermer le concert
Commande + S Enregistrer le concert
Commande + Maj + S Enregistrer le concert sous
Commande + Contrôle + O Importer la disposition
Commande + Maj + S Exporter la disposition
Raccourci clavier Fonction
Commande + I Importer des patchs ou des sets
Commande + E Exporter un patch, exporter un set, ou exporter en tant
que set
Commande + Flèche gauche Sélectionner le patch précédent
Commande + Flèche droite Sélectionner le patch suivant
Commande + Flèche vers le haut Sélectionner le set précédent
Commande + Flèche vers le bas Sélectionner le set suivant
Commande + Maj + Option + S Créer un set à partir des patchs sélectionnés106 Annexe A Raccourcis clavier
Édition
Actions
Mappage de paramètres(mode Édition)
Tranches de console (mode Édition)
Raccourci clavier Fonction
Commande + Z Annuler la dernière commande
Commande + Maj + Z Rétablir la dernière commande
Commande + X Couper
Commande + C Copier
Commande + V Coller
Commande + D Dupliquer
Commande + A Tout sélectionner
Raccourci clavier Fonction
Contrôle + P Panique
Contrôle + T Tempo des claquettes (Marquer le tempo)
Contrôle + M Master Silence
Raccourci clavier Fonction
Commande + L Mapper le paramètre sélectionné (activer le mappage)
Commande + F Rechercher dans le navigateur Mappage de paramètres
Commande + G Rechercher de nouveau
Raccourci clavier Fonction
Commande + Option + A Ajouter une tranche de console audio
Commande + Option + I Ajouter une tranche de console d’instrument logicielAnnexe A Raccourcis clavier 107
Contrôles d’écran (mode Disposition)
Fenêtre et présentation
Aide et assistance
Raccourci clavier Fonction
Commande + L Apprendre l’assignation de contrôleur
(activer le processus d’apprentissage)
Commande + Option + G Grouper
Commande + Maj + Option + G Dégrouper
Commande + Maj + L Verrouiller
Commande + Maj + Option + L Déverrouiller
Raccourci clavier Fonction
Commande + 1 Mode Disposition
Commande + 2 Mode Édition
Commande + 3 Mode Exécution
Commande + 4 Mode Plein écran
Commande + 5 Afficher/Masquer les inspecteurs
Commande + 6 Afficher/Masquer la zone Tranches de console
Commande + M Placer dans le Dock
Commande + , (virgule) Ouvrir les préférences MainStage
Raccourci clavier Fonction
Commande + ? (point d’interrogation) Manuel de l’utilisateur de MainStage 109
B Annexe
B Réglage des préférences MainStage
Préférences générales
Ces préférences vous permettent d’accorder les instruments logiciels, de choisir le type
d’ouverture de MainStage, différents réglages de performances graphiques et de définir
si les contrôles d’écran se mettent en surbrillance lorsque leurs paramètres changent.
 Curseur Accord : définit l’accord de tous les instruments logiciels de MainStage.
Il est paramétré autour de 440 Hz, à plus ou moins 100 centièmes.
 Menu local Action de démarrage : choisissez l’action de démarrage qui a lieu lorsque
vous ouvrez MainStage. Les choix sont les suivants :
 Ne rien faire :ouvre la zone de dialogue Sélectionner le modèle pour choisir
un modèle de concert pour en créer un.
 Ouvrir le concert le plus récent :ouvre le dernier concert ouvert dans le même
mode qu’à sa fermeture.
 Ouvrir le concert le plus récent en mode Exécution/Plein écran :ouvre le dernier
concert ouvert dans le mode choisi, à savoir : Exécution ou Plein écran.
 Au lancement, ouvrir le concert en mode Exécution/Plein écran :si vous ouvrez
MainStage en double-cliquant sur un concert dans le Finder, celui-ci s’ouvre dans
le mode choisi, à savoir :Exécution ou Plein écran.
 Menu local Performances graphiques : indiquez le réglage pour une meilleure qualité
graphique ou de meilleures performances graphiques, ou encore Automatique pour
que MainStage sélectionne le réglage approprié selon votre ordinateur. Dans la
plupart des cas, Automatique vous permet d’obtenir des résultats optimaux.
 Case « Mettre en surbrillance les objets dont les valeurs changent » : lorsqu’ils sont
sélectionnés, les contrôles d’écran dans l’espace de travail apparaissent brièvement
en surbrillance lorsque leurs valeurs de paramétrage changent.110 Annexe B Réglage des préférences MainStage
Préférences Audio/MIDI
Ces préférences vous permettent de régler la sortie audio et les gestionnaires d’entrée,
de définir la taille de la mémoire tampon E/S, de définir la fréquence d’échantillonnage
audio et de choisir la note qui s’affiche comme do central.
Audio
 Menu local Sortie audio :choisissez le matériel à utiliser pour écouter la sortie audio
de MainStage.
 Menu local Entrée audio : choisissez l’appareil à utiliser comme source d’entrée audio.
 Menu local Taille buffer E/S :choisissez la taille de la mémoire tampon pour l’entrée et
la sortie audio des échantillons. Réduire cette valeur réduit aussi le temps de latence
mais cela sollicite plus le processeur, ce qui peut occasionner des parasites sonores.
Il est donc conseillé d’essayer plusieurs réglages pour déterminer la plus faible valeur
qui n’engendre aucun parasite.
 Menu local Fréquence d’échantillonnage :choisissez la fréquence d’échantillonnage
de l’entrée audio. Si vous utilisez une interface audio ou tout autre matériel audio
avec MainStage, la fréquence d’échantillonnage doit correspondre à celle de votre
matériel.
 Couper le son du patch précédent :choisissez la durée de tenue des notes et des
queues d’effets avant d’atteindre le silence complet lorsque vous sélectionnez un
nouveau patch.
MIDI
 Menu local « Afficher do central sur » :choisissez si le do central doit être le do 3 ou
le do 4.
 Affichage État MIDI : affiche le nombre d’entrées MIDI détectées. 111
Index
Index
A
Action, menu
de la Liste de patchs22
de la Liste des patchs54, 56
Disposition, mode86
pour la zone Tranches de console62
pour le navigateur Réglages de tranche de
piste60
Actions, dossier68
actions, mappage de contrôles d’écran à des68
aide, à l’écran12
Apple Store14
assignations de contrôleurs32, 88
B
Barre d’outils
boutons38
personnalisation37–39
C
claviers contrôleurs, utilisation8
concert entier
ajout d’effets50
manipulations applicables au47
mappage des contrôles d’écran à48
concerts8, 41
contrôle du volume général48
création à partir d’un modèle25
enregistrement42
fermeture42
ouverture41
contrôles d’écran8, 20
ajout80
ajustement de la tablette85
collage81
copie81
déplacement82
fusion de panneaux et de tablettes84
mappage à des paramètres33, 68
modification de paramètres90
panneau79
redimensionnement83
regroupement86
suppression88
tablette80
types79
utilisation78
verrouillage87
contrôles matériels, assignation88
contrôleurs MIDI, assignation de contrôles88
D
décalage de la vélocité65
Disposition, mode
description21
passage en77
dispositions8
exportation94
importation95
E
Édition, mode10, 22
espace de travail20
Exécution, mode23
passage en36
utilisation98
G
guitares, utilisation avec MainStage9, 101
I
icônes, affichage dans la barre d’outils39
inspecteur de concert22
inspecteur de contrôle d’écran22
inspecteur de disposition21
inspecteur de jeu22
inspecteur de sons22
inspecteur de tranche de console22
intégralité du concert
ajout de tranches de console52
substitution de plages de notes65
intégralité du set, utilisation sur72112 Index
L
Liste des patchs
réagencement des patchs dans55
vue d’ensemble22
Logic Studio, en savoir plus sur13
M
MainStage, aide à l’écran12
Manuel de l’utilisateur12
Mappage de paramètres, navigateur23
Master Silence45
micros, utilisation9
MIDI
filtrage67
transition de messages dans le canal MIDI
Thru94
modèle de concert, choix25
N
navigateur Réglages de tranche de piste
modification des réglages à travers le59
numéros de changement de programme
modification55
sélection de patchs avec100
P
Panique46
patchs8
ajout28
attribution de nom29
changement d’icône56
changement du tempo avec des56
exportation74
importation74
lecture27
modification du numéro de changement de
programme55
réagencement55
sélection27
substitution de plages de notes portant sur un
concert65
suppression56
Personnaliser, feuille38, 39
plage de vélocité65
Plein écran, mode24
passage en36
utilisation98
Q
QuickTime13
R
réglages de tranche de console
modification61
modification des paramètres61
recherche de60
sélection59
réglages de tranche de piste
sélection31
Réglages de tranche de piste, navigateur
vue d’ensemble22
résolution de grille, changement78
S
scissions de clavier
création62
définition d’une plage de notes63
définition de points de scission flottants64
sets
attribution de nom71
changement du tempo avec des71
création70
importation74
suppression72
utilisation de70
sites web
Apple Store14
FireWire13
page d’accueil Apple13
QuickTime13
service et assistance Apple13
sites web d’Apple14
Sites web d’Apple13–14
site web FireWire13
spécifications13
syntoniseur, utilisation102
T
tempo
changement pendant la représentation101
définition pour un patch56
marquage44
récupération de l’entrée MIDI45
utilisation dans un concert43
tranches de console57
ajout29
ajout à un concert entier52
ajout à un set entier72
attribution d’un nouveau nom61
changement de l’icône62
changement de la couleur61
création d’une transformation de contrôleur66
définition de la plage de vélocité65
définition du décalage de la vélocité65
différences avec Logic58
filtrage de messages MIDI67
mappage de contrôles d’écran à des
paramètres68
réinitialisation60
suppression68Index 113
Tranches de console, zone
affichage37
description23
tranches de console du cheminement du signal62
transformation de contrôleur, création66
transformations, création66
U
utilisateurs étudiants13114 Index
Trackpad
Multi-Touch
Finder Dock
MagSafe 2 USB 3
USB 3 Thunderbolt
Vamos começar
Quando você inicia o MacBook Air pela primeira vez, o Assistente de
Configuração abre para lhe ajudar. Basta seguir alguns passos simples para
conectar rapidamente à sua rede Wi-Fi, transferir seus dados a partir de outro
Mac ou PC e criar uma conta de usuário para o seu Mac.
Você também poderá iniciar uma sessão com seu ID Apple para transferir
aplicativos da App Store, fazer compras na iTunes Store e na Apple Online
Store, acessar o iCloud e fazer videoconferências com o FaceTime. Se você
não possui um ID Apple, pode criar um facilmente e gratuitamente.
Gestos Multi-Touch
Você pode fazer muitas coisas no MacBook Air usando gestos simples no
trackpad. Aqui estão alguns dos gestos mais populares.
Conheça a sua mesa
A Mesa é onde você encontra e faz tudo em seu Mac. O Dock, na parte
inferior da tela, é um lugar prático para acessar os aplicativos mais usados.
Também é onde você abre as Preferências do Sistema, que permitem
personalizar a Mesa e outros ajustes do seu Mac. Clique no ícone do Finder
para acessar rapidamente todos os seus arquivos e pastas. A barra de menus
no topo da tela possui diversas informações importantes sobre o seu Mac.
Para verificar o estado da sua conexão à Internet sem fio, clique no ícone de
Wi-Fi. O seu Mac se conecta automaticamente à rede que você escolheu
durante a configuração.
Olá.
Conector de alimentação
MagSafe 2
Adaptador
de alimentação
Cabo de
alimentação CA
Botão
de Força
iCloud
O iCloud armazena suas músicas, fotos, e-mails e muito mais. E ele envia os
documentos (sem fio) para seu Mac, iPad, iPhone, iPod touch e até mesmo
para seu PC. Ele faz isso sem ter que utilizar a base de conexão ou a
sincronização. Assim, quando você compra uma música em um dispositivo,
ela é transferida automaticamente para todos os seus outros dispositivos.
E com o serviço Compartilhar Fotos, suas fotos mais recentes aparecem em
todo lugar onde queira vê-las. Para personalizar os ajustes do iCloud, abra o
menu Apple, selecione as Preferências do Sistema e, em seguida, clique em
iCloud. Depois inicie a sessão com o seu ID Apple e escolha os recursos do
iCloud que deseja usar.
Uma nota importante
Leia este documento e as informações de segurança do Manual de
Informações Importantes do Produto cuidadosamente antes de usar o
computador pela primeira vez.
Mais informações
Você pode encontrar mais informações, assistir a demonstrações e aprender
muito mais sobre os recursos do MacBook Air em www.apple.com/br/
macbookair.
Ajuda
Quase sempre você pode encontrar respostas às suas perguntas, bem como
instruções e informações sobre solução de problemas, na Central de Ajuda.
Clique no ícone do Finder, depois clique em Ajuda na barra de menus e
escolha Central de Ajuda.
Utilitários do Mac OS X
Se você tiver algum problema com o seu Mac, os Utilitários do Mac OS X
poderão ajudá-lo a reparar o armazenamento em memória flash do
computador, a restaurar o software e os dados a partir de um backup do
Time Machine ou a apagar o armazenamento na memória flash e reinstalar
o OS X Lion e os aplicativos da Apple. Você também pode usar o Safari para
obter ajuda on-line. Se o seu Mac detectar um problema, ele abre os
Utilitários do Mac OS X automaticamente. Ou você pode abri-lo manualmente
reiniciando o seu computador enquanto mantém pressionadas as teclas
Comando e R.
Suporte
Seu MacBook Air é fornecido com 90 dias de garantia para suporte técnico e
um ano de cobertura de garantia para reparações de hardware, que podem
ser solicitadas em uma loja de varejo Apple ou em um fornecedor de serviços
autorizado Apple. Visite www.apple.com/br/support/macbookair para obter
suporte técnico para o MacBook Air. Ou ligue para 0800-761-0880.
www.apple.com/support/country
Nem todos os recursos estão disponíveis em todas as áreas.
TM e © 2012 Apple Inc. Todos os direitos reservados. Designed by Apple in California. Printed in XXXX.
BR034-6354-A
Plugue de CA
Menu
Ajuda
Barra de
menus
Preferências
do Sistema
Guia de Início Rápido
Vamos nos mudar
É fácil mover arquivos como documentos, e-mails, fotos, músicas e filmes para
o seu novo Mac, a partir de outro Mac ou de um PC. Na primeira vez em que
você iniciar o Mac, ele lhe guiará passo a passo pelo processo. Você apenas
tem que seguir as instruções da tela.
Bem-vindo ao seu novo MacBook Air. Gostaríamos de ser o seu guia.
Câmera HD FaceTime
Estado
da Wi-Fi
Fone de ouvido
Clique
Pressione em qualquer lugar do trackpad
para clicar. Ou, com a função Tocar para
Clicar ativada, basta tocar na superfície.
Clique secundário
(clique com o botão direito do mouse)
Clique com dois dedos para abrir os menus
de atalhos. Ou, com a função Tocar para Clicar
ativada, toque com dois dedos em qualquer lugar.
Passe os dedos para navegar
Passe dois dedos para virar as páginas
da web, de documentos e mais.
Clique duplo
Pressione duas vezes em qualquer lugar do
trackpad. Ou, com a função Tocar para Clicar
ativada, toque duas vezes na superfície.
Rolagem com dois dedos
Passe dois dedos pelo trackpad para rolar
em qualquer direção - para cima, para baixo
ou lateralmente.
Zoom inteligente
Toque duas vezes no trackpad com dois
dedos para ampliar rapidamente uma
página web.
Junte ou separe dois dedos para
reduzir ou ampliar
Amplie e reduza fotos e páginas web
de forma precisa unindo ou separando
os dedos polegar e indicador.
Alterne entre aplicativos de tela cheia
Passe três dedos para mover de um
aplicativo de tela cheia para outro.
Visualize o Launchpad
Junte quatro dedos para visualizar todos
os seus aplicativos no Launchpad.
Gire
Gire os dedos polegar e indicador no
sentido horário ou anti-horário para
girar uma imagem.
Visualize o Mission Control
Passe três dedos para cima para ver
todas as janelas abertas do seu Mac.
Mais informações
Escolha as Preferências do Sistema no Menu
Apple e clique em Trackpad para obter mais
informações sobre os gestos. Launchpad Mission Control Navegador Safari Mail iTunes iCal FaceTime iPhoto iMovie Mac App Store
*Requer um dispositivo ativado para o FaceTime tanto para a pessoa que realiza a ligação, quanto para o destinatário.
Não está disponível em todas as áreas.
Clique no ícone no Dock e navegue
pela web com facilidade e rapidez
usando os gestos Multi-Touch. Role
para cima ou para baixo com dois
dedos no trackpad. Passe dois dedos
para a direita ou para a esquerda no
trackpad para avançar e retroceder
Top Sites
Obtenha um panorama
geral dos sites que você
visita com maior frequência.
E-mail em um só lugar
Visualize todas as suas contas
no Mail para acessá-las com
um único clique.
Visualização de conversa
Visualize todas os e-mails
do encadeamento de
uma conversa.
Busque
Faça uma busca precisa
e rápida para encontrar
exatamente o que deseja.
O Mail permite que você gerencie
suas contas de e-mail a partir de
uma caixa de entrada única, livre
de anúncios, mesmo quando não
estiver conectado à Internet. Ele
funciona com a maioria dos padrões
de e-mail, incluindo POP3, IMAP e
serviços populares como Gmail,
nas páginas. Toque duas vezes
com dois dedos para ampliar
uma página e depois toque duas
vezes novamente para retornar ao
tamanho original. Ou junte e separe
dois dedos para ampliar ou reduzir.
Yahoo! Mail e AOL Mail. Você
também pode usar o Mail com a
conta de e-mail gratuita do me.com
que você obtém com o iCloud. Na
primeira vez que você iniciar o Mail,
o Assistente de Configuração o
ajudará a começar.
Abra o Launchpad
Clique no ícone do
Launchpad no Dock.
Pastas
Agrupe aplicativos em
pastas arrastando um
aplicativo sobre outro.
O Launchpad é a casa de todos os
aplicativos do seu Mac. Basta clicar
no ícone do Launchpad no Dock.
Suas janelas abertas serão
substituídas por uma tela cheia
de todos os seus aplicativos.
Organize seus aplicativos da forma
que quiser, agrupe-os em pastas
ou apague-os do seu Mac. Quando
você transferir um aplicativo da
Mac App Store, ele aparecerá
automatica-mente no Launchpad.
O Mission Control lhe dá uma visão
geral de tudo o que está sendo
executado no seu Mac. Clique no
ícone do Mission Control no Dock
e a sua mesa se reduzirá para exibir
todas as janelas abertas de cada
aplicativo, todos os aplicativos em
tela cheia e o Dashboard, a casa dos
mini-aplicativos chamados widgets.
Clique em qualquer coisa para
ampliá-la. Pense no Mission Control
como o centro do seu sistema -
visualize tudo e dirija-se a qualquer
lugar com apenas um clique.
Abra o Mission Control
Clique no ícone do
Mission Control no Dock.
Adicione spaces
Clique no botão + à direita
da linha superior para
adicionar um novo space.
Dashboard
Localizado na parte
superior esquerda
para acessá-lo
facilmente.
Lista de Leitura
Clique no ícone dos óculos
para salvar páginas para uma
leitura posterior.
A Mac App Store é a melhor maneira
de encontrar e transferir milhares de
aplicativos para o seu Mac, desde
jogos e redes sociais, até aplicativos
de produtividades e muito mais. Os
aplicativos novos se instalam com
um passo no Launchpad. Você pode
instalar aplicativos em cada Mac
autorizado para o seu uso pessoal
e até transferi-los novamente.
A Mac App Store permite que você
saiba quando as atualizações dos
aplicativos estão disponíveis, assim
você sempre possuirá as versões
mais recentes. Abra a Mac App Store
clicando no seu ícone do Dock.
Com o iTunes, você pode organizar
e reproduzir seus vídeos e músicas
digitais no seu Mac. E você pode
comprar novas músicas, filmes,
programas de TV, livros e muito mais
na iTunes Store. No iTunes você
também encontrará a App Store
para iPad, iPhone e iPod touch.
iTunes Store
Descubra e compre novas
músicas, filmes e mais.
Seleções Genius
Deixe que o iTunes busque
na sua biblioteca musical e
agrupe músicas que
combinem melhor entre si.
Vários calendários
Acesse todos os seus
calendário a partir de um lugar.
Controle sua ocupada programação
com o iCal. Você pode criar
calendários separados para a casa,
para a escola e outro para o trabalho.
Visualize todos os seus calendários
em uma única janela ou escolha
visualizar somente os calendários
que deseja. Crie e envie convites
usando as informações de contato
da sua Agenda e depois veja quem
respondeu. Utilize o iCloud para
atualizar calendários de todos os
seus dispositivos automaticamente
ou compartilhe calendários com
outros usuários do iCloud.
Crie
Crie livros, cartões
e calendários.
Rostos
O iPhoto pode organizar
suas fotos com base nas
pessoas que aparecem nela.
Eventos
Clique duas vezes em
qualquer Evento para
navegar pelas fotos.
O iPhoto é a melhor maneira de
organizar, navegar, editar e
compartilhar suas fotos no seu Mac.
Você pode organizar sua fototeca por
Rostos, Lugares e Eventos. Para enviar
fotos por e-mail ou publicá-las no
Facebook, basta selecionar a foto
e clicar em Compartilhar na parte
inferior direita da sua tela. Ou clique
em Criar para transformar seus
retratos favoritos em livros de
fotos, calendários e cartões.
Navegador de eventos
Seus vídeos importados
aparecem aqui, assim
você pode acessar todos
os seus clipes.
Navegador de projetos
Simplesmente solte a sua
seleção em um projeto para
criar um filme incrível.
O iMovie reúne todos os seus clipes
de vídeo em um só lugar e oferece
todas as ferramentas de edição,
temas e efeitos especiais necessários
para transformá-los em algo especial.
Você pode criar filmes belíssimos ou
até mesmo trailers no estilo de
Hollywood com apenas alguns
cliques. E o iMovie permite que você
importe vídeos das câmeras de
vídeo digital mais populares, do seu
iPad, iPhone ou iPod touch ou da
câmera do FaceTime do seu Mac.
O FaceTime para Mac permite
que você converse cara a cara com
qualquer pessoa em um iPad, iPhone,
iPod touch ou Mac - a partir do seu
Mac.* Para configurar o FaceTime,
você só precisa do seu ID Apple
e do seu e-mail. Para iniciar uma
videoconferência, basta clicar em
uma entrada da lista de contatos
da sua Agenda.
Favoritos
Adicione seus contatos
frequentes aos Favoritos
para acessá-los facilmente.
Visualização de
calendário
Selecione a visualização
que preferir - por dia,
semana, mês ou ano.
Visualização de tela cheia
Clique no botão tela cheia
para ir à tela cheia.
Sempre atualizado
As atualizações dos seus
aplicativos comprados
aparecem automaticamente.
Adicione um
evento
Clique duas vezes
para criar um
evento novo.
Descubra novos aplicativos
Navegue por milhares de
aplicativos e transfira-os
diretamente para o Launchpad.
Important Product
Information Guide
MacBook Prosure the AC plug or AC power cord is fully inserted into
the power adapter before plugging the adapter into a
power outlet.
The power adapter may become very warm during normal
use. The MagSafe Power Adapter complies with the
user-accessible surface temperature limits defined by the
International Standard for Safety of Information Technology
Equipment (IEC 60950-1).
To reduce the possibility of overheating the power adapter or
of heat-related injuries, do one of the following:
 Plug the power adapter directly into a power outlet.
AC plug MagSafe connector
MagSafe Power Adapter
 If you’re using the AC power cord, place the power adapter
on a desk, table, or on the floor in a well-ventilated
location.
MagSafe connector
MagSafe Power Adapter
AC power cord
Disconnect the power adapter and disconnect any other
cables if any of the following conditions exists:
 You want to clean the case (use only the recommended
procedure described on the next page).
 The power cord or plug becomes frayed or otherwise
damaged.
 Your MacBook Pro or power adapter is exposed to rain,
excessive moisture, or liquid spilled into the case.
 Your MacBook Pro or power adapter has been dropped,
the case has been damaged, or you suspect that service
or repair is required.
The MagSafe power port (where you plug in the MagSafe
connector) contains a magnet that can erase data on a
credit card, iPod, or other device. To preserve your data, do
not place these or other magnetically sensitive material or
devices within 1 inch (25 mm) of this port.
If debris gets into the MagSafe power port, remove it gently
with a dry cotton swab.
MagSafe power specifications:
Frequency: 50 to 60 Hz, single phase
Line Voltage: 100 to 240 V
Output Voltage: 16.5 V DC, 3.65 A
This Important Product Information Guide contains safety,
handling, disposal and recycling, regulatory, and software
license information, as well as the one-year limited warranty
for your 13-inch MacBook Pro.
±Read all safety information and operating
instructions below before using MacBook Pro to
avoid injury. For a downloadable version of the
MacBook Pro Quick Start guide and the latest
version of this Important Product Information Guide,
visit: support.apple.com/manuals/macbookpro
Important Safety and Handling
Information
WARNING:??Failure to follow these safety instructions could
result in fire, electric shock, or other injury or damage to
MacBook Pro or other property.
Built-in battery Do not remove the battery from your
MacBook Pro. The battery should be replaced only by an
Apple Authorized Service Provider. Discontinue use of
your MacBook Pro if it’s dropped or appears crushed, bent,
deformed, or damaged. Do not expose your MacBook Pro to
extreme heat sources, such as radiators or fireplaces, where
temperatures might exceed 212°F (100°C).
Proper handling The bottom of your MacBook Pro may
become very warm during normal use. The MacBook Pro
complies with the user-accessible surface temperature
limits defined by the International Standard for Safety of
Information Technology Equipment (IEC 60950-1).
To operate the computer safely and reduce the possibility of
heat-related injuries, follow these guidelines:
 Set up your MacBook Pro on a stable work surface that
allows for adequate air circulation under and around
the computer.
 Do not operate your MacBook Pro on a pillow, blanket,
or other soft material, because the material can block the
airflow vents.
 Never place anything over the keyboard when operating
your MacBook Pro.
 Do not push objects into the ventilation openings.
 If your MacBook Pro is on your lap and gets uncomfortably
warm, remove it from your lap and place it on a stable
work surface.
Water and wet locations Keep your MacBook Pro away
from sources of liquid, such as drinks, washbasins, bathtubs,
shower stalls, and so on. Protect your MacBook Pro from
dampness or wet weather, such as rain, snow, and fog.
60W MagSafe Power Adapter Use only the power adapter
that came with your MacBook Pro, or an Apple-authorized
power adapter that is compatible with this product. Make openings. Do not spray liquid directly on the computer.
Do not use aerosol sprays, solvents, or abrasives that might
damage the finish.
Cleaning the MacBook Pro screen To clean your
MacBook Pro screen, first shut down your MacBook Pro
and unplug the power adapter. Then dampen the included
cleaning cloth with just water and wipe the screen. Do not
spray liquid directly on the screen.
Understanding Ergonomics
Here are some tips for setting up a healthy work
environment.
Keyboard and Trackpad
When you use the keyboard and trackpad, your shoulders
should be relaxed. Your upper arm and forearm should form
an angle that is slightly greater than a right angle, with your
wrist and hand in roughly a straight line.
This Not this
Use a light touch when typing or using the trackpad and
keep your hands and fingers relaxed. Avoid rolling your
thumbs under your palms.
This Not this
Change hand positions often to avoid fatigue. Some
computer users might develop discomfort in their hands,
wrists, or arms after intensive work without breaks. If you
begin to develop chronic pain or discomfort in your hands,
wrists, or arms, consult a qualified health specialist.
External Mouse
If you use an external mouse, position the mouse at the same
height as the keyboard and within a comfortable reach.
Chair
An adjustable chair that provides firm, comfortable support
is best. Adjust the height of the chair so your thighs are
horizontal and your feet are flat on the floor. The back of the
chair should support your lower back (lumbar region). Follow
the manufacturer’s instructions for adjusting the backrest to
fit your body properly.
Hearing damage Permanent hearing loss may occur if
earbuds or headphones are used at high volume. You can
adapt over time to a higher volume of sound that may
sound normal but can be damaging to your hearing.
If you experience ringing in your ears or muffled speech,
stop listening and have your hearing checked. The louder
the volume, the less time is required before your hearing
could be affected. Hearing experts suggest that to protect
your hearing:
 Limit the amount of time you use earbuds or headphones
at high volume.
 Avoid turning up the volume to block out noisy
surroundings.
 Turn the volume down if you can’t hear people speaking
near you.
High-risk activities This computer is not intended for use
in the operation of nuclear facilities, aircraft navigation or
communications systems, air traffic control systems, or for any
other uses where a failure of the computer system could lead
to death, personal injury, or severe environmental damage.
Operating environment Operating your MacBook Pro
outside these ranges may affect performance:
Operating temperature: 50° to 95° F (10° to 35° C)
Storage temperature: -4° to 113° F (-20° to 45° C)
Relative humidity: 5% to 90% (noncondensing)
Operating altitude: 0 to 10,000 feet (0 to 3048 meters)
Carrying your MacBook Pro If you carry your MacBook Pro
in a bag or briefcase, make sure that there are no loose
items (such as paper clips or coins) that could accidentally
get inside the computer through vent openings or get stuck
inside a port. Also, keep magnetically sensitive items away
from the MagSafe power port.
Using connectors and ports Never force a connector into
a port. When connecting a device, make sure the port is
free of debris, that the connector matches the port, and
that you have positioned the connector correctly in relation
to the port.
Handling glass parts Your MacBook Pro contains glass
components, including the display and trackpad. If they
are damaged, don’t use your MacBook Pro until it has been
repaired by an Apple Authorized Service Provider.
Storing your MacBook Pro If you are going to store your
MacBook Pro for an extended period of time, keep it in a cool
location (ideally, 71° F or 22° C) and discharge the battery to
50 percent. When storing your computer for longer than five
months, discharge the battery to approximately 50 percent.
To maintain the capacity of the battery, recharge the battery
to 50 percent every six months or so.
Cleaning your MacBook Pro When cleaning the outside
of your MacBook Pro and its components, first shut down
your MacBook Pro, and then unplug the power adapter.
Then dampen the included cleaning cloth to wipe the
MacBook Pro exterior. Avoid getting moisture in any Apple Hardware Test
You can use the Apple Hardware Test (AHT) application
to help determine if there’s a problem with one of the
computer’s components, such as the memory or processor.
To use Apple Hardware Test: Disconnect all external devices
from your computer except the power adapter. Restart your
computer and hold down the D key as it starts up. When the
AHT chooser screen appears, select the language for your
location. Press the Return key or click the right arrow button.
When the AHT main screen appears (after about 45 seconds),
follow the onscreen instructions. If AHT detects a problem, it
displays an error code. Make a note of the error code before
pursuing support options. If AHT doesn’t detect a hardware
failure, the problem might be software related.
AppleCare Service and Support
Your MacBook Pro comes with 90 days of technical support
and one year of hardware repair warranty coverage at an
Apple Retail Store or an Apple-authorized repair center, such
as an Apple Authorized Service Provider. You can extend
your coverage by purchasing the AppleCare Protection Plan.
For information, visit www.apple.com/support/products
or visit the website address for your country listed later in
this section.
If you need assistance, AppleCare telephone support
representatives can help you with installing and opening
applications, and troubleshooting. Call the support center
number nearest you (the first 90 days are complimentary).
Have the purchase date and your MacBook Pro serial number
ready when you call.
Your 90 days of complimentary telephone support begins on
the date of purchase.
United States: 1-800-275-2273
www.apple.com/support
Australia: (61) 1-300-321-456
www.apple.com/au/support
Canada: 1-800-263-3394
(English) www.apple.com/ca/support
(French) www.apple.com/ca/fr/support
Ireland: (353) 1850 946 191
www.apple.com/ie/support
New Zealand: 00800-7666-7666
www.apple.com/nz/support
United Kingdom: (44) 0844 209 0611
www.apple.com/uk/support
Telephone numbers are subject to change, and local and
national telephone rates may apply. A complete list is
available on the web:
www.apple.com/support/contact/phone_contacts.html
You might have to raise your chair so that your forearms and
hands are at the proper angle to the keyboard. If this makes
it impossible to rest your feet flat on the floor, you can use
a footrest with adjustable height and tilt to make up for any
gap between the floor and your feet. Or you can lower the
desktop to eliminate the need for a footrest. Another option
is to use a desk with a keyboard tray that’s lower than the
regular work surface.
Built-In Display
Adjust the angle of the display to minimize glare and
reflections from overhead lights and windows. Do not force
the display if you meet resistance. The display is not designed
to open past 135 degrees.
You can adjust the brightness of the screen when you take
the computer from one work location to another, or if the
lighting in your work area changes.
More information about ergonomics is available on the web:
www.apple.com/about/ergonomics
Apple and the Environment
Apple Inc. recognizes its responsibility to minimize the
environmental impacts of its operations and products.
More information is available on the web:
www.apple.com/environment
Learning More, Service, and Support
Your MacBook Pro does not have any user-serviceable parts,
except the hard drive and memory. If you need service,
contact Apple or take your MacBook Pro to an Apple
Authorized Service Provider. You can find more information
about your MacBook Pro through Help Center, online
resources, System Information, and Apple Hardware Test.
Help Center
You can often find answers to your questions, as well as
instructions and troubleshooting information, in Help Center
on your Mac. Choose Help > Help Center from the menu bar.
Online Resources
For online service and support information, go to
www.apple.com/support and choose your country from the
pop-up menu. You can search the AppleCare Knowledge
Base, check for software updates, or get help from Apple’s
discussion forums.
System Information
To get information about your MacBook Pro, use System
Information. It shows you what hardware and software is
installed, the serial number and operating system version,
how much memory is installed, and more. To open System
Information, choose Apple (?) > About This Mac from the
menu bar and then click More Info.causing interference to radios, television sets, and other
electronic devices.
Responsible party (contact for FCC matters only):
Apple Inc. Corporate Compliance
1 Infinite Loop, MS 91-1EMC
Cupertino, CA 95014
Wireless Radio Use
This device is restricted to indoor use when operating in the
5.15 to 5.25 GHz frequency band.
Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur.
Exposure to Radio Frequency Energy
The radiated output power of the AirPort Extreme
technology is below the FCC and EU radio frequency
exposure limits. Nevertheless, it is advised to use the wireless
equipment in such a manner that the potential for human
contact during normal operation is minimized.
FCC Bluetooth® Wireless Compliance
The antenna used with this transmitter must not be
colocated or operated in conjunction with any other antenna
or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant.
Canadian Compliance Statement
This device complies with Industry Canada license-exempt
RSS standard(s). Operation is subject to the following two
conditions: (1) this device may not cause interference,
and (2) this device must accept any interference, including
interference that may cause undesired operation of the
device.
Cet appareil est conforme aux normes CNR exemptes de
licence d’Industrie Canada. Le fonctionnement est soumis
aux deux conditions suivantes : (1) cet appareil ne doit
pas provoquer d’interférences et (2) cet appareil doit
accepter toute interférence, y compris celles susceptibles de
provoquer un fonctionnement non souhaité de l’appareil.
Bluetooth Industry Canada Statement
This Class B device meets all requirements of the Canadian
interference-causing equipment regulations.
Cet appareil numérique de la Class B respecte toutes les
exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada.
Industry Canada Statement
Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications.
Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la
norme NMB-003 du Canada. This device complies with RSS
210 of Industry Canada.
Regulatory Compliance Information
FCC Compliance Statement
This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation
is subject to the following two conditions: (1) This device
may not cause harmful interference, and (2) this device must
accept any interference received, including interference
that may cause undesired operation. See instructions if
interference to radio or television reception is suspected.
Radio and Television Interference
This computer equipment generates, uses, and can
radiate radio-frequency energy. If it is not installed and
used properly—that is, in strict accordance with Apple’s
instructions—it may cause interference with radio and
television reception.
This equipment has been tested and found to comply with
the limits for a Class B digital device in accordance with the
specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications
are designed to provide reasonable protection against such
interference in a residential installation. However, there is
no guarantee that interference will not occur in a particular
installation.
You can determine whether your computer system is causing
interference by turning it off. If the interference stops, it was
probably caused by the computer or one of the peripheral
devices.
If your computer system does cause interference to radio or
television reception, try to correct the interference by using
one or more of the following measures:
 Turn the television or radio antenna until the interference
stops.
 Move the computer to one side or the other of the
television or radio.
 Move the computer farther away from the television
or radio.
 Plug the computer into an outlet that is on a different
circuit from the television or radio. (That is, make certain
the computer and the television or radio are on circuits
controlled by different circuit breakers or fuses.)
If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or
Apple. See the service and support information that came
with your Apple product. Or consult an experienced radio/
television technician for additional suggestions.
Important: Changes or modifications to this product not
authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and
negate your authority to operate the product.
This product has demonstrated EMC compliance under
conditions that included the use of compliant peripheral
devices and shielded cables (including Ethernet network
cables) between system components. It is important that
you use compliant peripheral devices and shielded cables
between system components to reduce the possibility of Magyar Alulírott, Apple Inc. nyilatkozom, hogy
a MacBook Pro megfelel a vonatkozó alapvetõ
követelményeknek és az 1999/5/EC irányelv egyéb
elõírásainak.
Malti Hawnhekk, Apple Inc., jiddikjara li dan MacBook Pro
jikkonforma mal-htigijiet essenzjali u ma provvedimenti
ohrajn relevanti li hemm fid-Dirrettiva 1999/5/EC.
Nederlands Hierbij verklaart Apple Inc. dat het toestel
MacBook Pro in overeenstemming is met de essentiële eisen
en de andere bepalingen van richtlijn 1999/5/EG.
Norsk Apple Inc. erklærer herved at dette MacBook Pro
-apparatet er i samsvar med de grunnleggende kravene og
øvrige relevante krav i EU-direktivet 1999/5/EF.
Polski Niniejszym Apple Inc. oswiadcza, ze ten MacBook Pro
sa zgodne z zasadniczymi wymogami oraz pozostalymi
stosownymi postanowieniami Dyrektywy 1999/5/EC.
Português Apple Inc. declara que este dispositivo
MacBook Pro está em conformidade com os requisitos
essenciais e outras disposições da Directiva 1999/5/CE.
Româna Prin prezenta, Apple Inc. declara ca acest aparat
MacBook Pro este în conformitate cu cerintele esentiale si cu
celelalte prevederi relevante ale Directivei 1999/5/CE.
Slovensko Apple Inc. izjavlja, da je ta MacBook Pro skladne
z bistvenimi zahtevami in ostalimi ustreznimi dolocili
direktive 1999/5/ES.
Slovensky Apple Inc. týmto vyhlasuje, že toto MacBook Pro
splna základné požiadavky a všetky príslušné ustanovenia
Smernice 1999/5/ES.
Suomi Apple Inc. vakuuttaa täten, että tämä MacBook Pro
tyyppinen laite on direktiivin 1999/5/EY oleellisten
vaatimusten ja sitä koskevien direktiivin muiden ehtojen
mukainen.
Svenska Härmed intygar Apple Inc. att denna MacBook Pro
står i överensstämmelse med de väsentliga egenskapskrav
och övriga relevanta bestämmelser som framgår av direktiv
1999/5/EG.
A copy of the EU Declaration of Conformity is available at:
www.apple.com/euro/compliance
This equipment can be used in the following countries:
European Community Restrictions
Français Pour usage en intérieur uniquement. Consultez
l’Autorité de Régulation des Communications Electroniques
et des Postes (ARCEP) pour connaître les limites d’utilisation
des canaux 1 à 13. www.arcep.fr
European Compliance Statement
This product complies with the requirements of European
Directives 2006/95/EC, 2004/108/EC, and 1999/5/EC.
Europe–EU Declaration of Conformity
????????? Apple Inc. ?????????, ?? ???? MacBook Pro ?
? ???????????? ??? ???????????? ?????????? ? ???????
????????? ??????? ?? ????????? 1999/5/??.
Cesky Spolecnost Apple Inc. tímto prohlašuje, že tento
MacBook Pro je ve shode se základními požadavky a dalšími
príslušnými ustanoveními smernice 1999/5/ES.
Dansk Undertegnede Apple Inc. erklærer herved, at
følgende udstyr MacBook Pro overholder de væsentlige
krav og øvrige relevante krav i direktiv 1999/5/EF.
Deutsch Hiermit erklärt Apple Inc., dass sich das
MacBook Pro in Übereinstimmung mit den grundlegenden
Anforderungen und den übrigen einschlägigen
Bestimmungen der Richtlinie 1999/5/EG befinden.
Eesti Käesolevaga kinnitab Apple Inc., et see MacBook Pro
vastab direktiivi 1999/5/EÜ põhinõuetele ja nimetatud
direktiivist tulenevatele teistele asjakohastele sätetele.
English Hereby, Apple Inc. declares that this MacBook Pro
is in compliance with the essential requirements and other
relevant provisions of Directive 1999/5/EC.
Español Por medio de la presente Apple Inc. declara que
este MacBook Pro cumple con los requisitos esenciales y
cualesquiera otras disposiciones aplicables o exigibles de la
Directiva 1999/5/CE.
???????? Me t?? pa???sa, ? Apple Inc. d????e? ?t? a?t?
? s?s?e?? MacBook Pro s?µµ??f??eta? p??? t?? ßas????
apa?t?se?? ?a? t?? ???p?? s?et???? d?ata´?e?? t?? ?d???a?
1999/5/??.
Français Par la présente Apple Inc. déclare que l’appareil
MacBook Pro est conforme aux exigences essentielles et aux
autres dispositions pertinentes de la directive 1999/5/CE.
Islenska Apple Inc. lýsir því hér með yfir að þetta tæki
MacBook Pro fullnægir lágmarkskröfum og öðrum
viðeigandi ákvæðum Evróputilskipunar 1999/5/EC.
Italiano Con la presente Apple Inc. dichiara che questo
dispositivo MacBook Pro è conforme ai requisiti essenziali
ed alle altre disposizioni pertinenti stabilite dalla direttiva
1999/5/CE.
Latviski Ar šo Apple Inc. deklare, ka MacBook Pro ierice
atbilst Direktivas 1999/5/EK butiskajam prasibam un citiem
ar to saistitajiem noteikumiem.
Lietuviu Šiuo „Apple Inc.“ deklaruoja, kad šis MacBook Pro
atitinka esminius reikalavimus ir kitas 1999/5/EB Direktyvos
nuostatas.Japan VCCI Class B Statement
Russia
External USB Modem Information
When connecting your MacBook Pro to the phone line using
an external USB modem, refer to the telecommunications
agency information in the documentation that came with
your modem.
ENERGY STAR® Compliance
As an ENERGY STAR® partner, Apple has determined that
standard configurations of this product meet the ENERGY
STAR® guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR®
program is a partnership with electronic equipment
manufacturers to promote energy-efficient products.
Reducing energy consumption of products saves money and
helps conserve valuable resources.
This computer is shipped with power management enabled
with the computer set to sleep after 10 minutes of user
inactivity. To wake your computer, click the mouse or
trackpad button or press any key on the keyboard.
For more information about ENERGY STAR®, visit:
www.energystar.gov
Korea Warning Statements
B???(??????????)
???????(B?) ???????????
????????????????, ???
???????????.
????????????
????????????????????
????????????????????????
???? ?? ? ??
Singapore Wireless Certification
Taiwan Wireless Statements
Taiwan Class B Statement
??
?????????????????
???????????????China Battery Statement
Taiwan Battery Statement
Battery Replacement
The rechargeable battery should be replaced only by
Apple or an Apple Authorized Service Provider. For more
information about battery replacement services, go to:
http://www.apple.com/batteries/replacements.html
Battery Charger Efficiency
020-5563-A
EFUP15china
Disposal and Recycling Information
This symbol indicates that your product must be disposed of
properly according to local laws and regulations. When your
product reaches its end of life, contact Apple or your local
authorities to learn about recycling options.
For information about Apple’s recycling program, go to:
www.apple.com/recycling
European Union—Disposal Information
The symbol above means that according to local laws and
regulations your product should be disposed of separately
from household waste. When this product reaches its end
of life, take it to a collection point designated by local
authorities. Some collection points accept products for free.
The separate collection and recycling of your product at the
time of disposal will help conserve natural resources and
ensure that it is recycled in a manner that protects human
health and the environment.
Türkiye
EEE yönetmeligine (Elektrikli ve Elektronik Esyalarda Bazi
Zararli Maddelerin Kullaniminin Sinirlandirilmasina Dair
Yönetmelik) uygundur.
Brasil—Informações sobre descarte e reciclagem
O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria
não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando
decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o
de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para
informações sobre o programa de reciclagem da Apple,
pontos de coleta e telefone de informações, visite
www.apple.com/br/environment.
Battery Disposal Information
Dispose of batteries according to your local environmental
laws and guidelines.
Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht
in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerät am
Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen
gesetzlichen Regelungen.
Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd
bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor
klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd.the operation of the Apple Product will be uninterrupted
or error-free. Apple is not responsible for damage arising
from failure to follow instructions relating to the Apple
Product’s use.
This warranty does not apply: (a) to consumable parts,
such as batteries, unless failure has occurred due to
a defect in materials or workmanship; (b) to cosmetic
damage, including but not limited to scratches, dents
and broken plastic on ports; (c) to damage caused by use
with another product; (d) to damage caused by accident,
abuse, misuse, liquid contact, fire, earthquake or other
external cause; (e) to damage caused by operating the
Apple Product outside Apple’s published guidelines;
(f) to damage caused by service (including upgrades
and expansions) performed by anyone who is not a
representative of Apple or an Apple Authorized Service
Provider (“AASP”); (g) to an Apple Product that has been
modified to alter functionality or capability without the
written permission of Apple; (h) to defects caused by
normal wear and tear or otherwise due to the normal aging
of the Apple Product, or (i) if any serial number has been
removed or defaced from the Apple Product.
YOUR RESPONSIBILITIES IF YOUR APPLE PRODUCT IS
CAPABLE OF STORING SOFTWARE PROGRAMS, DATA AND
OTHER INFORMATION, YOU SHOULD MAKE PERIODIC BACKUP
COPIES OF THE INFORMATION CONTAINED ON THE STORAGE
MEDIA TO PROTECT THE CONTENTS AND AS A PRECAUTION
AGAINST POSSIBLE OPERATIONAL FAILURES.
Before receiving warranty service, Apple or its agents may
require that you furnish proof of purchase details, respond to
questions designed to assist with diagnosing potential issues
and follow Apple’s procedures for obtaining warranty service.
Before submitting your Apple Product for warranty service
you should maintain a separate backup copy of the contents
of its storage media, remove all personal information that
you want to protect and disable all security passwords.
DURING WARRANTY SERVICE IT IS POSSIBLE THAT THE
CONTENTS OF THE APPLE PRODUCT’S STORAGE MEDIA
WILL BE LOST, REPLACED OR REFORMATTED. IN SUCH AN
EVENT APPLE AND ITS AGENTS ARE NOT RESPONSIBLE FOR
ANY LOSS OF SOFTWARE PROGRAMS, DATA OR OTHER
INFORMATION CONTAINED ON THE STORAGE MEDIA OR ANY
OTHER PART OF THE APPLE PRODUCT SERVICED.
Following warranty service your Apple Product or a
replacement product will be returned to you as your Apple
Product was configured when originally purchased, subject
to applicable updates. You will be responsible for reinstalling
all other software programs, data and information. Recovery
and reinstallation of other software programs, data and
information are not covered under this warranty.
Software License Agreement
Use of MacBook Pro constitutes acceptance of the Apple
and third-party software license terms found at:
www.apple.com/legal/sla
Apple One (1) Year Limited Warranty - Mac
For Apple Branded Products Only
HOW CONSUMER LAW RELATES TO THIS WARRANTY THIS
WARRANTY GIVES YOU SPECIFIC LEGAL RIGHTS, AND YOU
MAY HAVE OTHER RIGHTS THAT VARY FROM STATE TO STATE
(OR BY COUNTRY OR PROVINCE). OTHER THAN AS PERMITTED
BY LAW, APPLE DOES NOT EXCLUDE, LIMIT OR SUSPEND
OTHER RIGHTS YOU MAY HAVE, INCLUDING THOSE THAT MAY
ARISE FROM THE NONCONFORMITY OF A SALES CONTRACT.
FOR A FULL UNDERSTANDING OF YOUR RIGHTS YOU SHOULD
CONSULT THE LAWS OF YOUR COUNTRY, PROVINCE OR STATE.
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LAW TO THE EXTENT PERMITTED BY LAW, THIS WARRANTY
AND THE REMEDIES SET FORTH ARE EXCLUSIVE AND IN LIEU
OF ALL OTHER WARRANTIES, REMEDIES AND CONDITIONS,
WHETHER ORAL, WRITTEN, STATUTORY, EXPRESS OR
IMPLIED. APPLE DISCLAIMS ALL STATUTORY AND IMPLIED
WARRANTIES, INCLUDING WITHOUT LIMITATION, WARRANTIES
OF MERCHANTABILITY AND FITNESS FOR A PARTICULAR
PURPOSE AND WARRANTIES AGAINST HIDDEN OR LATENT
DEFECTS, TO THE EXTENT PERMITTED BY LAW. IN SO FAR AS
SUCH WARRANTIES CANNOT BE DISCLAIMED, APPLE LIMITS
THE DURATION AND REMEDIES OF SUCH WARRANTIES
TO THE DURATION OF THIS EXPRESS WARRANTY AND, AT
APPLE’S OPTION, THE REPAIR OR REPLACEMENT SERVICES
DESCRIBED BELOW. SOME STATES (COUNTRIES AND
PROVINCES) DO NOT ALLOW LIMITATIONS ON HOW LONG
AN IMPLIED WARRANTY (OR CONDITION) MAY LAST, SO THE
LIMITATION DESCRIBED ABOVE MAY NOT APPLY TO YOU.
WHAT IS COVERED BY THIS WARRANTY? Apple warrants the
Apple-branded hardware product and accessories contained
in the original packaging (“Apple Product”) against defects
in materials and workmanship when used normally in
accordance with Apple’s published guidelines for a period of
ONE (1) YEAR from the date of original retail purchase by the
end-user purchaser (“Warranty Period”). Apple’s published
guidelines include but are not limited to information
contained in technical specifications, user manuals and
service communications.
WHAT IS NOT COVERED BY THIS WARRANTY? This warranty
does not apply to any non-Apple branded hardware
products or any software, even if packaged or sold with
Apple hardware. Manufacturers, suppliers, or publishers, other
than Apple, may provide their own warranties to you but
Apple, in so far as permitted by law, provides their products
“AS IS”. Software distributed by Apple with or without the
Apple brand (including, but not limited to system software)
is not covered by this warranty. Please refer to the licensing
agreement accompanying the software for details of your
rights with respect to its use. Apple does not warrant that (iii) Do-it-yourself (DIY) parts service. DIY parts service allows
you to service your own Apple Product. If DIY parts service
is available in the circumstances, the following process
will apply.
(a) Service where Apple requires return of the replaced
product or part. Apple may require a credit card authorization
as security for the retail price of the replacement product
or part and applicable shipping costs. If you are unable to
provide credit card authorization, DIY parts service may
not be available to you and Apple will offer alternative
arrangements for service. Apple will ship a replacement
product or part to you with installation instructions, if
applicable, and any requirements for the return of the
replaced product or part. If you follow the instructions, Apple
will cancel the credit card authorization, so you will not be
charged for the product or part and shipping to and from
your location. If you fail to return the replaced product or
part as instructed or return a replaced product or part that
is ineligible for service, Apple will charge your credit card for
the authorized amount.
(b) Service where Apple does not require return of the
replaced product or part. Apple will ship you free of charge
a replacement product or part accompanied by instructions
on installation, if applicable, and any requirements for the
disposal of the replaced product or part.
(c) Apple is not responsible for any labor costs you incur
relating to DIY parts service. Should you require further
assistance, contact Apple at the telephone number listed
below.
Apple reserves the right to change the method by which
Apple may provide warranty service to you, and your Apple
Product’s eligibility to receive a particular method of service.
Service will be limited to the options available in the country
where service is requested. Service options, parts availability
and response times may vary according to country. You
may be responsible for shipping and handling charges if
the Apple Product cannot be serviced in the country it is
in. If you seek service in a country that is not the country
of purchase, you will comply with all applicable import and
export laws and regulations and be responsible for all custom
duties, V.A.T. and other associated taxes and charges. For
international service, Apple may repair or replace products
and parts with comparable products and parts that comply
with local standards.
LIMITATION OF LIABILITY EXCEPT AS PROVIDED IN THIS
WARRANTY AND TO THE MAXIMUM EXTENT PERMITTED
BY LAW, APPLE IS NOT RESPONSIBLE FOR DIRECT, SPECIAL,
INCIDENTAL OR CONSEQUENTIAL DAMAGES RESULTING
FROM ANY BREACH OF WARRANTY OR CONDITION, OR
UNDER ANY OTHER LEGAL THEORY, INCLUDING BUT NOT
LIMITED TO LOSS OF USE; LOSS OF REVENUE; LOSS OF
ACTUAL OR ANTICIPATED PROFITS (INCLUDING LOSS OF
PROFITS ON CONTRACTS); LOSS OF THE USE OF MONEY;
LOSS OF ANTICIPATED SAVINGS; LOSS OF BUSINESS; LOSS OF
OPPORTUNITY; LOSS OF GOODWILL; LOSS OF REPUTATION;
LOSS OF, DAMAGE TO, COMPROMISE OR CORRUPTION
WHAT WILL APPLE DO IN THE EVENT THE WARRANTY IS
BREACHED? If during the Warranty Period you submit a
valid claim to Apple or an AASP, Apple will, at its option, (i)
repair the Apple Product using new or previously used parts
that are equivalent to new in performance and reliability,
(ii) replace the Apple Product with a product that is at least
functionally equivalent to the Apple Product and is formed
from new and/or previously used parts that are equivalent
to new in performance and reliability, or (iii) exchange the
Apple Product for a refund of your purchase price.
Apple may request that you replace certain user-installable
parts or products. A replacement part or product, including
a user-installable part that has been installed in accordance
with instructions provided by Apple, assumes the remaining
warranty of the Apple Product or ninety (90) days from the
date of replacement or repair, whichever provides longer
coverage for you. When a product or part is replaced or
a refund provided, any replacement item becomes your
property and the replaced or refunded item becomes
Apple’s property.
HOW TO OBTAIN WARRANTY SERVICE? Please access and
review the online help resources described below before
seeking warranty service. If the Apple Product is still not
functioning properly after making use of these resources,
please contact an Apple representative or, if applicable,
an Apple owned retail store (“Apple Retail”) or AASP, using
the information provided below. An Apple representative
or AASP will help determine whether your Apple Product
requires service and, if it does, will inform you how Apple
will provide it. When contacting Apple via telephone, other
charges may apply depending on your location.
Online information with details on obtaining warranty service
is provided below.
WARRANTY SERVICE OPTIONS Apple will provide warranty
service through one or more of the following options:
(i) Carry-in service. You may return your Apple Product to
an Apple Retail or AASP location offering carry-in service.
Service will be performed at the location, or Apple Retail or
an AASP may send your Apple Product to an Apple Repair
Service (“ARS”) location to be serviced. Once you are notified
that service is complete, you will promptly retrieve the
Apple Product from the Apple Retail or AASP location, or
the Apple Product will be sent directly to your location from
the ARS location.
(ii) Mail-in service. If Apple determines that your Apple
Product is eligible for mail-in service, Apple will send you
prepaid waybills and if applicable, packaging material, so
that you may ship your Apple Product to an ARS or AASP
location in accordance with Apple’s instructions. Once service
is complete, the ARS or AASP location will return the Apple
Product to you. Apple will pay for shipping to and from your
location if all instructions are followed.OF ALL OTHER WARRANTIES, REMEDIES AND CONDITIONS,
WHETHER ORAL, WRITTEN, STATUTORY, EXPRESS OR
IMPLIED. APPLE DISCLAIMS ALL STATUTORY AND IMPLIED
WARRANTIES, INCLUDING WITHOUT LIMITATION, WARRANTIES
OF MERCHANTABILITY AND FITNESS FOR A PARTICULAR
PURPOSE AND WARRANTIES AGAINST HIDDEN OR LATENT
DEFECTS, TO THE EXTENT PERMITTED BY LAW. IN SO FAR AS
SUCH WARRANTIES CANNOT BE DISCLAIMED, APPLE LIMITS
THE DURATION AND REMEDIES OF SUCH WARRANTIES
TO THE DURATION OF THIS EXPRESS WARRANTY AND, AT
APPLE’S OPTION, THE REPAIR OR REPLACEMENT SERVICES
DESCRIBED BELOW. SOME PROVINCES DO NOT ALLOW
LIMITATIONS ON HOW LONG AN IMPLIED WARRANTY (OR
CONDITION) MAY LAST, SO THE LIMITATION DESCRIBED
ABOVE MAY NOT APPLY TO YOU.
WHAT IS COVERED BY THIS WARRANTY? Apple warrants the
Apple-branded hardware product and accessories contained
in the original packaging (“Apple Product”) against defects
in materials and workmanship when used normally in
accordance with Apple’s published guidelines for a period of
ONE (1) YEAR from the date of original retail purchase by the
end-user purchaser (“Warranty Period”). Apple’s published
guidelines include but are not limited to information
contained in technical specifications, user manuals and
service communications.
WHAT IS NOT COVERED BY THIS WARRANTY? This warranty
does not apply to any non-Apple branded hardware
products or any software, even if packaged or sold with
Apple hardware. Manufacturers, suppliers, or publishers, other
than Apple, may provide their own warranties to you but
Apple, in so far as permitted by law, provides their products
“AS IS”. Software distributed by Apple with or without the
Apple brand (including, but not limited to system software)
is not covered by this warranty. Please refer to the licensing
agreement accompanying the software for details of your
rights with respect to its use. Apple does not warrant that
the operation of the Apple Product will be uninterrupted
or error-free. Apple is not responsible for damage arising
from failure to follow instructions relating to the Apple
Product’s use.
This warranty does not apply: (a) to consumable parts, such
as batteries, unless failure has occurred due to a defect
in materials or workmanship; (b) to cosmetic damage,
including but not limited to scratches, dents and broken
plastic on ports; (c) to damage caused by use with another
product; (d) to damage caused by accident, abuse, misuse,
liquid contact, fire, earthquake or other external cause;
(e) to damage caused by operating the Apple Product
outside Apple’s published guidelines; (f) to damage caused
by service (including upgrades and expansions) performed
by anyone who is not a representative of Apple or an
Apple Authorized Service Provider (“AASP”); (g) to an
Apple Product that has been modified to alter functionality
or capability without the written permission of Apple;
(h) to defects caused by normal wear and tear or otherwise
due to the normal aging of the Apple Product; or (i) if any
OF DATA; OR ANY INDIRECT OR CONSEQUENTIAL LOSS
OR DAMAGE HOWSOEVER CAUSED INCLUDING THE
REPLACEMENT OF EQUIPMENT AND PROPERTY, ANY COSTS
OF RECOVERING, PROGRAMMING, OR REPRODUCING
ANY PROGRAM OR DATA STORED IN OR USED WITH THE
APPLE PRODUCT OR ANY FAILURE TO MAINTAIN THE
CONFIDENTIALITY OF INFORMATION STORED IN THE APPLE
PRODUCT.
THE FOREGOING LIMITATION SHALL NOT APPLY TO DEATH
OR PERSONAL INJURY CLAIMS, OR ANY STATUTORY LIABILITY
FOR INTENTIONAL AND GROSS NEGLIGENT ACTS AND/OR
OMISSIONS. APPLE DISCLAIMS ANY REPRESENTATION THAT IT
WILL BE ABLE TO REPAIR ANY APPLE PRODUCT UNDER THIS
WARRANTY OR REPLACE THE APPLE PRODUCT WITHOUT
RISK TO OR LOSS OF INFORMATION STORED ON THE APPLE
PRODUCT.
SOME STATES (COUNTRIES AND PROVINCES) DO NOT
ALLOW THE EXCLUSION OR LIMITATION OF INCIDENTAL OR
CONSEQUENTIAL DAMAGES, SO THE ABOVE LIMITATION OR
EXCLUSION MAY NOT APPLY TO YOU.
PRIVACY Apple will maintain and use customer information
in accordance with the Apple Customer Privacy Policy
available at www.apple.com/legal/warranty/privacy.
GENERAL No Apple reseller, agent, or employee is authorized
to make any modification, extension, or addition to this
warranty. If any term is held to be illegal or unenforceable,
the legality or enforceability of the remaining terms shall not
be affected or impaired. This warranty is governed by and
construed under the laws of the country in which the Apple
Product purchase took place. Apple is identified at the end of
this document according to the country or region in which
the Apple Product purchase took place. Apple or its successor
in title is the warrantor under this warranty.
032212 Mac Warranty English v2
CANADA
Apple One (1) Year Limited Warranty - Mac
For Apple Branded Products Only
HOW CONSUMER LAW RELATES TO THIS WARRANTY THIS
WARRANTY GIVES YOU SPECIFIC LEGAL RIGHTS, AND YOU
MAY HAVE OTHER RIGHTS THAT VARY FROM PROVINCE TO
PROVINCE. OTHER THAN AS PERMITTED BY LAW, APPLE
DOES NOT EXCLUDE, LIMIT OR SUSPEND OTHER RIGHTS
YOU MAY HAVE, INCLUDING THOSE THAT MAY ARISE FROM
THE NONCONFORMITY OF A SALES CONTRACT. FOR A FULL
UNDERSTANDING OF YOUR RIGHTS YOU SHOULD CONSULT
THE LAWS OF YOUR PROVINCE. RESIDENTS OF QUEBEC ARE
GOVERNED BY THAT PROVINCE’S CONSUMER PROTECTION
LEGISLATION.
WARRANTY LIMITATIONS THAT MAY AFFECT CONSUMER
LAW APPLICABLE TO ALL OF CANADA, EXCEPT QUEBEC:
TO THE EXTENT PERMITTED BY LAW, THIS WARRANTY AND
THE REMEDIES SET FORTH ARE EXCLUSIVE AND IN LIEU an Apple owned retail store (“Apple Retail”) or AASP, using
the information provided below. An Apple representative
or AASP will help determine whether your Apple Product
requires service and, if it does, will inform you how Apple
will provide it. When contacting Apple via telephone, other
charges may apply depending on your location.
Online information with details on obtaining warranty service
is provided below.
WARRANTY SERVICE OPTIONS Apple will provide warranty
service through one or more of the following options:
(i) Carry-in service. You may return your Apple Product to
an Apple Retail or AASP location offering carry-in service.
Service will be performed at the location, or Apple Retail or
an AASP may send your Apple Product to an Apple Repair
Service (“ARS”) location to be serviced. Once you are notified
that service is complete, you will promptly retrieve the
Apple Product from the Apple Retail or AASP location, or
the Apple Product will be sent directly to your location from
the ARS location.
(ii) Mail-in service. If Apple determines that your Apple
Product is eligible for mail-in service, Apple will send you
prepaid waybills and if applicable, packaging material, so
that you may ship your Apple Product to an ARS or AASP
location in accordance with Apple’s instructions. Once service
is complete, the ARS or AASP location will return the Apple
Product to you. Apple will pay for shipping to and from your
location if all instructions are followed.
(iii) Do-it-yourself (DIY) parts service. DIY parts service allows
you to service your own Apple Product. If DIY parts service
is available in the circumstances, the following process
will apply.
(a) Service where Apple requires return of the replaced
product or part. Apple may require a credit card authorization
as security for the retail price of the replacement product
or part and applicable shipping costs. If you are unable to
provide credit card authorization, DIY parts service may
not be available to you and Apple will offer alternative
arrangements for service. Apple will ship a replacement
product or part to you with installation instructions, if
applicable, and any requirements for the return of the
replaced product or part. If you follow the instructions, Apple
will cancel the credit card authorization, so you will not be
charged for the product or part and shipping to and from
your location. If you fail to return the replaced product or
part as instructed or return a replaced product or part that
is ineligible for service, Apple will charge your credit card for
the authorized amount.
(b) Service where Apple does not require return of the
replaced product or part. Apple will ship you free of charge
a replacement product or part accompanied by instructions
on installation, if applicable, and any requirements for the
disposal of the replaced product or part.
serial number has been removed or defaced from the
Apple Product.
YOUR RESPONSIBILITIES IF YOUR APPLE PRODUCT IS
CAPABLE OF STORING SOFTWARE PROGRAMS, DATA AND
OTHER INFORMATION, YOU SHOULD MAKE PERIODIC BACKUP
COPIES OF THE INFORMATION CONTAINED ON THE STORAGE
MEDIA TO PROTECT THE CONTENTS AND AS A PRECAUTION
AGAINST POSSIBLE OPERATIONAL FAILURES.
Before receiving warranty service, Apple or its agents may
require that you furnish proof of purchase details, respond to
questions designed to assist with diagnosing potential issues
and follow Apple’s procedures for obtaining warranty service.
Before submitting your Apple Product for warranty service
you should maintain a separate backup copy of the contents
of its storage media, remove all personal information that
you want to protect and disable all security passwords.
DURING WARRANTY SERVICE IT IS POSSIBLE THAT THE
CONTENTS OF THE APPLE PRODUCT’S STORAGE MEDIA
WILL BE LOST, REPLACED OR REFORMATTED. IN SUCH AN
EVENT APPLE AND ITS AGENTS ARE NOT RESPONSIBLE FOR
ANY LOSS OF SOFTWARE PROGRAMS, DATA OR OTHER
INFORMATION CONTAINED ON THE STORAGE MEDIA OR ANY
OTHER PART OF THE APPLE PRODUCT SERVICED.
Following warranty service your Apple Product or a
replacement product will be returned to you as your Apple
Product was configured when originally purchased, subject
to applicable updates. You will be responsible for reinstalling
all other software programs, data and information. Recovery
and reinstallation of other software programs, data and
information are not covered under this warranty.
WHAT WILL APPLE DO IN THE EVENT THE WARRANTY IS
BREACHED? If during the Warranty Period you submit a
valid claim to Apple or an AASP, Apple will, at its option: (i)
repair the Apple Product using new or previously used parts
that are equivalent to new in performance and reliability;
(ii) replace the Apple Product with a product that is at least
functionally equivalent to the Apple Product and is formed
from new and/or previously used parts that are equivalent
to new in performance and reliability; or (iii) exchange the
Apple Product for a refund of your purchase price.
Apple may request that you replace certain user-installable
parts or products. A replacement part or product, including
a user-installable part that has been installed in accordance
with instructions provided by Apple, assumes the remaining
warranty of the Apple Product or ninety (90) days from the
date of replacement or repair, whichever provides longer
coverage for you. When a product or part is replaced or
a refund provided, any replacement item becomes your
property and the replaced or refunded item becomes
Apple’s property.
HOW TO OBTAIN WARRANTY SERVICE? Please access and
review the online help resources described below before
seeking warranty service. If the Apple Product is still not
functioning properly after making use of these resources,
please contact an Apple representative or, if applicable, GENERAL No Apple reseller, agent, or employee is authorized
to make any modification, extension, or addition to this
warranty. If any term is held to be illegal or unenforceable,
the legality or enforceability of the remaining terms shall not
be affected or impaired. This warranty is governed by and
construed under the laws of the country in which the Apple
Product purchase took place. Apple is identified at the end of
this document according to the country or region in which
the Apple Product purchase took place. Apple or its successor
in title is the warrantor under this warranty.
Mac Warranty v2 070511
ONLINE INFORMATION More information of the following
is available online:
International
Support
Information
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Apple Authorized
Service Providers
support.apple.com/kb/HT1434
Apple Retail
Store
www.apple.com/retail/storelist/
Apple Support
and Service
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Apple
Complimentary
Support
www.apple.com/support/country/index.
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Warranty Obligor for Region or Country
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Region/Country of
Purchase
Address
AMERICAS
Brazil Apple Computer Brasil Ltda
Av. Cidade Jardim 400, 2 Andar,
Sao Paulo, SP Brasil 01454-901
Canada Apple Canada Inc.
7495 Birchmount Rd.; Markham,
Ontario, Canada; L3R 5G2 Canada
Mexico Apple Operations Mexico,
S.A. de C.V.
Prolongación Paseo de la
Reforma #600, Suite 132,
Colonia Peña Blanca, Santa Fé,
Delegación Álvaro Obregón,
México D. F., CP 01210, Mexico
United States and
Other Americas Countries
Apple Inc.
1 Infinite Loop;
Cupertino, CA 95014, U.S.A.
(c) Apple is not responsible for any labour costs you incur
relating to DIY parts service. Should you require further
assistance, contact Apple at the telephone number listed
below.
Apple reserves the right to change the method by which
Apple may provide warranty service to you, and your Apple
Product’s eligibility to receive a particular method of service.
Service will be limited to the options available in the country
where service is requested. Service options, parts availability
and response times may vary according to country. You
may be responsible for shipping and handling charges if
the Apple Product cannot be serviced in the country it is
in. If you seek service in a country that is not the country
of purchase, you will comply with all applicable import and
export laws and regulations and be responsible for all custom
duties, V.A.T. and other associated taxes and charges. For
international service, Apple may repair or replace products
and parts with comparable products and parts that comply
with local standards.
LIMITATION OF LIABILITY EXCEPT AS PROVIDED IN THIS
WARRANTY AND TO THE MAXIMUM EXTENT PERMITTED
BY LAW, APPLE IS NOT RESPONSIBLE FOR DIRECT, SPECIAL,
INCIDENTAL OR CONSEQUENTIAL DAMAGES RESULTING
FROM ANY BREACH OF WARRANTY OR CONDITION, OR
UNDER ANY OTHER LEGAL THEORY, INCLUDING BUT NOT
LIMITED TO LOSS OF USE; LOSS OF REVENUE; LOSS OF
ACTUAL OR ANTICIPATED PROFITS (INCLUDING LOSS OF
PROFITS ON CONTRACTS); LOSS OF THE USE OF MONEY;
LOSS OF ANTICIPATED SAVINGS; LOSS OF BUSINESS; LOSS OF
OPPORTUNITY; LOSS OF GOODWILL; LOSS OF REPUTATION;
LOSS OF, DAMAGE TO, COMPROMISE OR CORRUPTION
OF DATA; OR ANY INDIRECT OR CONSEQUENTIAL LOSS
OR DAMAGE HOWSOEVER CAUSED INCLUDING THE
REPLACEMENT OF EQUIPMENT AND PROPERTY, ANY COSTS
OF RECOVERING, PROGRAMMING, OR REPRODUCING
ANY PROGRAM OR DATA STORED IN OR USED WITH THE
APPLE PRODUCT OR ANY FAILURE TO MAINTAIN THE
CONFIDENTIALITY OF INFORMATION STORED IN THE APPLE
PRODUCT.
THE FOREGOING LIMITATION SHALL NOT APPLY TO DEATH
OR PERSONAL INJURY CLAIMS, OR ANY STATUTORY LIABILITY
FOR INTENTIONAL AND GROSS NEGLIGENT ACTS AND/OR
OMISSIONS. APPLE DISCLAIMS ANY REPRESENTATION THAT IT
WILL BE ABLE TO REPAIR ANY APPLE PRODUCT UNDER THIS
WARRANTY OR REPLACE THE APPLE PRODUCT WITHOUT
RISK TO OR LOSS OF INFORMATION STORED ON THE APPLE
PRODUCT.
SOME PROVINCES DO NOT ALLOW THE EXCLUSION OR
LIMITATION OF INCIDENTAL OR CONSEQUENTIAL DAMAGES,
SO THE ABOVE LIMITATION OR EXCLUSION MAY NOT APPLY
TO YOU. RESIDENTS OF QUEBEC ARE GOVERNED BY THAT
PROVINCE’S CONSUMER PROTECTION LEGISLATION.
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Purchase
Address
EUROPE, MIDDLE EAST AND AFRICA
All Countries Apple Distribution International
Hollyhill Industrial Estate
Hollyhill, Cork,
Republic of Ireland
ASIA PACIFIC
Australia; New Zealand;
Fiji, Papua New Guinea;
Vanuatu
Apple Pty. Limited.
PO Box A2629, Sydney South,
NSW 1235, Australia
Hong Kong Apple Asia Limited
2401 Tower One, Times Square,
Causeway Bay; Hong Kong
India Apple India Private Ltd.
19th Floor, Concorde Tower C,
UB City No 24, Vittal Mallya Road,
Bangalore 560-001, India
Japan Apple Japan Inc.
3-20-2 Nishishinjuku,
Shinjuku-ku, Tokyo, Japan
Korea Apple Korea Ltd.
3201, ASEM Tower; 159,
Samsung-dong, Gangnam-Gu;
Seoul 135-798, Republic of Korea
Afghanistan, Bangladesh,
Bhutan, Brunei, Cambodia,
Guam, Indonesia, Laos,
Singapore, Malaysia, Nepal,
Pakistan, Philippines,
Sri Lanka, Vietnam
Apple South Asia Pte. Ltd.
7 Ang Mo Kio Street 64
Singapore 569086
People’s Republic of China Apple Computer Trading
(Shanghai) Co. Ltd.
Room 1815, No. 1 Jilong Road,
Waigaoqiao Free Trade Zone,
Shanghai 200131 China
Thailand Apple South Asia
(Thailand) Limited
25th Floor, Suite B2, Siam Tower,
989 Rama 1 Road, Pataumwan,
Bangkok, 10330
Taiwan Apple Asia LLC
16A, No. 333 Tun Hwa S. Road.
Sec. 2, Taipei, Taiwan 106
Other Asian
Pacific Countries
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1 Infinite Loop;
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Apple, the Apple logo, AirPort Extreme, iPod, Mac, MacBook, and MagSafe are trademarks of Apple Inc., registered in the
U.S. and other countries. Apple Store and AppleCare are service marks of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries.
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Apple Inc. is under license. ENERGY STAR® is a U.S. registered trademark.
034-6465-A
Printed in XXXX
Manual de Informações
Importantes do Produto
MacBook ProÁguas e locais úmidos Mantenha o seu MacBook Pro longe
de fontes de líquidos, tais como bebidas, banheiras, pias,
boxes e outros. Proteja o seu MacBook Pro da umidade ou
do tempo úmido, como chuva, neve e nevoeiros.
Adaptador de Alimentação MagSafe 2 de 85 W Use
somente o adaptador de alimentação fornecido com o
MacBook Pro, ou um adaptador de alimentação autorizado
pela Apple que seja compatível com este produto. Certifiquese de que o plugue de corrente alternada ou o cabo de
corrente alternada estejam inseridos completamente no
adaptador de alimentação antes de conectar o adaptador
a uma tomada elétrica.
O adaptador de alimentação pode se aquecer bastante
durante o uso normal. O Adaptador de Alimentação
MagSafe 2 cumpre com os limites de temperatura de
superfície acessível ao usuário definidos pelo Padrão
Internacional de Segurança do Equipamento de Tecnologia
de Informação (IEC 60950-1).
Para reduzir a possibilidade do sobreaquecimento do
adaptador de alimentação ou danos relacionados ao calor,
realize uma das seguintes ações:
 Conecte o adaptador de alimentação diretamente a uma
tomada elétrica.
Conector
MagSafe 2
Plugue de
corrente alternada
Adaptador de
Alimentação MagSafe 2
 Se você estiver utilizando um cabo de alimentação de
corrente alternada, coloque o adaptador de alimentação
sobre uma escrivaninha, mesa ou no chão em um local
com boa ventilação.
Conector MagSafe 2
Adaptador de
Alimentação MagSafe 2
Cabo de alimentação
de corrente alternada
Desconecte o adaptador de alimentação e todos os outros
cabos caso ocorra uma destas condições:
 Você deseja limpar o gabinete (use somente o
procedimento recomendado descrito na próxima página).
 Se o cabo de alimentação ou o plugue estiverem
danificados.
 O seu MacBook Pro ou o adaptador de alimentação foram
expostos à chuva, umidade excessiva ou de algum líquido
foi derramado dentro do gabinete.
Este Manual de Informações Importantes do Produto contém
informações normativas, de uso, descarte, reciclagem e
informações sobre a licença do software, assim como a
garantia limitada de um ano do seu MacBook Pro de
15 polegadas.
±Leia todas as informações de segurança e as
instruções de funcionamento abaixo, antes de
usar o seu MacBook Pro para evitar danos. Para
obter uma versão transferível do MacBook Pro
Manual de Início Rápido e a última versão deste
Manual de Informações Importantes do Produto,
visite: support.apple.com/pt_BR/manuals/
macbookpro
Informações Importantes de Uso
e Segurança
ADVERTÊNCIA:??A omissão do seguimento destas instruções
de segurança pode resultar em incêndio, choque elétrico
ou outros danos e prejuízos ao MacBook Pro ou a outras
propriedades.
Bateria integrada Não remova a bateria do seu
MacBook Pro. A bateria só pode ser substituída por um
fornecedor de serviços autorizado Apple. Interrompa o uso
do seu MacBook Pro se ele cair ou for amassado, dobrado,
deformado ou danificado. Não exponha seu MacBook Pro a
fontes de calor extremas, tais como radiadores ou lareiras,
onde as temperaturas podem exceder 100ºC.
Utilização adequada A parte inferior do seu MacBook Pro
pode se aquecer bastante durante o uso normal.
O MacBook Pro cumpre com os limites de temperatura
de superfície acessível ao usuário definidos pelo Padrão
Internacional de Segurança do Equipamento de Tecnologia
de Informação (IEC 60950-1).
Para utilizar o computador de forma segura e reduzir a
possibilidade de danos relacionados com a saúde, siga
estas diretrizes:
 Configure o seu MacBook Pro sobre uma superfície de
trabalho estável que permita uma adequada circulação de
ar sob e ao redor do computador.
 Não use o seu MacBook Pro sobre um travesseiro ou outro
material macio, pois o material pode bloquear a ventilação
do fluxo de ar.
 Não coloque nunca nada sobre o teclado ao usar o seu
MacBook Pro.
 Nunca coloque objetos nas aberturas de ventilação.
 Se o seu MacBook Pro estiver no seu colo e se aquecer de
forma inconfortável, retire-o do seu colo e coloque-o sobre
uma superfície de trabalho estável.através das aberturas de ventilação ou do slot da unidade
óptica ou que poderiam ficar presos dentro de uma porta.
Inclusive, mantenha os itens magneticamente sensíveis longe
da porta de alimentação MagSafe 2.
Como usar conectores e portas Nunca force um conector
em uma porta. Ao conectar um dispositivo, certifique-se
de que a porta esteja livre de fragmentos, que o conector
coincide com a porta e que você posicionou o conector
corretamente em relação à porta.
Como cuidar das peças de vidro O seu MacBook Pro
contém componentes de vidro, incluindo a tela e o trackpad.
Se elas forem danificadas, não utilize o seu MacBook Pro até
que ele tenha sido reparado por um fornecedor de serviços
autorizado Apple.
Como guardar o seu MacBook Pro Se você for guardar o
seu MacBook Pro por um período prolongado, mantenha-o
em um local fresco (idealmente 22° C) e descarregue a
bateria até alcançar 50 por cento ou menos. Ao guardar o seu
computador por mais de cinco meses, descarregue a bateria
até alcançar 50 por cento aproximadamente. Para manter a
capacidade da bateria, recarregue-a em 50 por cento a cada
seis meses, mais ou menos.
Como limpar o seu MacBook Pro Ao limpar o exterior
do seu MacBook Pro e seus componentes, primeiramente
desligue o MacBook Pro e desconecte o adaptador de
alimentação. Em seguida, umedeça o pano de limpeza
incluído para limpar o exterior do MacBook Pro. Evite deixar
entrar umidade nas aberturas. Não utilize líquidos em spray
diretamente no seu computador. Não utilize aerossóis,
solventes ou abrasivos que possam danificar o acabamento.
Como limpar a tela do MacBook Pro Para limpar a tela
do MacBook Pro primeiramente desligue o MacBook Pro
e desconecte o adaptador de alimentação. Em seguida,
umedeça o pano de limpeza fornecido com um pouco
de água e limpe a tela. Não borrife líquidos diretamente
na sua tela.
Dicas sobre Ergonomia
Aqui estão algumas dicas para ajustar o seu ambiente de
trabalho e torná-lo saudável.
Teclado e Trackpad
Ao usar o teclado e o trackpad, seus ombros devem estar
relaxados. O seu braço e o antebraço devem formar um
ângulo pouco maior que 90 graus, com o seu pulso e sua
mão quase em uma linha reta.
Este Este não
 Se o seu MacBook Pro ou adaptador de alimentação foi
derrubado, o gabinete foi danificado ou você acha que é
necessário obter serviço ou reparação.
A porta de alimentação do MagSafe 2 (a qual você conecta
o conector MagSafe 2) contém um ímã que pode apagar
os dados de um cartão de crédito, do iPod ou de outro
dispositivo. Para preservar seus dados, não coloque estes
ou outro material ou dispositivo magneticamente sensível
a menos de 25 mm de distância desta porta.
Se cair algum fragmento dentro da porta de alimentação
MagSafe 2, remova-o cuidadosamente com um cotonete
seco.
Especificações de potência do MagSafe 2:
Frequência: 50 a 60 Hz, fase única
Voltagem de Linha: 100 a 240 V
Voltagem de Saída: 20 V DC, 4,25 A
Danos à audição É possível ocorrer a perda permanente da
audição se os fones de ouvido normais ou do tipo auricular
forem usados em alto volume. Com o tempo, você pode
adaptar-se a ouvir um volume elevado de som, que pode
parecer normal, mas que pode danificar a sua audição.
Se você sentir um zumbido nos ouvidos ou um som abafado,
interrompa o uso e consulte um médico especialista em
audição. Quanto mais alto o volume, menor o tempo
requerido antes que a sua audição seja afetada. Os
especialistas em audição sugerem que para proteger a
sua audição, você deve:
 Limitar o tempo que você usa os fones de ouvido normais
ou do tipo auriculares em alto volume.
 Evite aumentar o volume para bloquear os ruídos do
ambiente.
 Abaixe o volume caso não consiga escutar as pessoas
falando próximas a você.
Atividades de alto risco Este computador não foi feito para
ser usado na operação de instalações nucleares, navegação
de aeronaves ou sistemas de comunicação, sistemas de
controle de tráfico aéreo ou qualquer outro uso onde uma
falha do sistema do computador poderia causar a morte,
danos pessoais ou danos graves ao meio ambiente.
Ambiente operacional O funcionamento do seu
MacBook Pro fora destes limites pode afetar o desempenho:
Temperatura de funcionamento: 10° a 35° C
Temperatura de armazenamento: -20° a 45° C
Umidade relativa: 5% a 90% (não condensação)
Altitude de funcionamento: 0 a 3048 metros
Como carregar o seu MacBook Pro Se você carrega o
seu MacBook Pro em uma bolsa ou pasta, certifique-se de
que não haja itens soltos (tais como clipes ou moedas) que
poderiam entrar de forma acidental dentro do computador Apple e o Meio-Ambiente
A Apple Inc. reconhece que tem grande responsabilidade
na minimização do impacto ambiental causado por seus
produtos e operações.
Mais informações estão disponíveis na web:
www.apple.com/br/environment
Mais Informações Sobre Serviço
e Suporte
Seu MacBook Pro não possui peças que possam ser
reparadas pelo usuário. Se precisar de serviço, entre em
contato com a Apple ou leve o seu MacBook Pro a um
fornecedor de serviços autorizado da Apple. Você pode
encontrar mais informações sobre o MacBook Pro através da
Central da Ajuda, dos recursos on-line, das Informações do
Sistema e do Apple Hardware Test.
Central de Ajuda
Geralmente você pode encontrar respostas às suas
perguntas, bem como instruções e informações sobre
solução de problemas, na Central de Ajuda do seu Mac.
Clique no ícone do Finder, clique em Ajuda na barra de
menus e escolha Central de Ajuda.
Recursos on-line
Para obter informações de serviço e suporte on-line, visite
o site www.apple.com/support e escolha seu país no menu
local. Você pode pesquisar a AppleCare Knowledge Base,
verificar atualizações de software ou obter ajuda nos fóruns
de discussão da Apple.
Informações do Sistema
Para obter informações sobre o seu MacBook Pro, utilize as
Informações do Sistema. Mostra quais hardwares e softwares
estão instalados, o número de série e a versão do sistema
operacional, a quantidade de memória instalada e mais. Para
abrir as Informações do Sistema, escolha Apple (?) > Sobre
este Mac na barra de menus e clique em Mais Informações.
Apple Hardware Test
Você pode usar o aplicativo Apple Hardware Test (AHT)
para ajudar a determinar se existe um problema com um
dos componentes do computador, como a memória ou o
processador.
Para utilizar o Apple Hardware Test: Desconecte todos os
dispositivos externos do seu computador, exceto o adaptador
de alimentação. Reinicie o seu computador e mantenha
pressionada a tecla D até que ele se inicialize. Quando a tela
do seletor do AHT aparecer, selecione o idioma para a sua
localização. Pressione a tecla Retorno ou clique no botão de
seta direita. Quando a tela principal do AHT (depois de 45
segundos), siga as instruções da tela. Se o AHT detectar um
problema, ele exibirá um código de erro. Anote o código do
erro antes de buscar alternativas de suporte. Se o AHT não
detectar uma falha de hardware, talvez o problema esteja
relacionado com o software.
Toque levemente o teclado ao digitar ou usar o trackpad
e mantenha suas mãos e dedos relaxados. Evite rolar seus
polegares sob as palmas das mãos.
Este Este não
Altere sempre a posição das mãos para evitar fatiga. Alguns
usuários de computadores podem desenvolver desconfortos
em suas mãos, pulsos ou braços após o uso intensivo sem
intervalos. Se começar a desenvolver uma dor crônica ou
desconforto nas suas mãos, pulsos e ombros, consulte um
médico especialista qualificado.
Mouse Externo
Se você usa um mouse externo, coloque o mouse na mesma
altura que o teclado e em um alcance confortável.
Cadeira
É preferível utilizar uma cadeira ajustável que forneça um
suporte firme e cômodo. Ajuste a altura da cadeira para que
as suas pernas estejam na posição horizontal e seus pés
estejam apoiados no chão. O encosto da cadeira deve apoiar
a parte inferior de suas costas (a região lombar). Siga as
instruções do fabricante para ajustar o encosto da cadeira
de forma que se adapte perfeitamente ao seu corpo.
Talvez você tenha que abaixar a sua cadeira para que os
seus antebraços e mãos estejam em um ângulo adequado
com o teclado. Se isso impedir que você coloque os seus pés
apoiados completamente no chão, você pode usar um apoio
para os pés com altura regulável para eliminar o espaço
entre o chão e seus pés. Ou você também pode abaixar a
área de trabalho para eliminar a necessidade de um apoio
para os pés. Outra opção é usar uma mesa com uma bandeja
para o teclado que seja mais baixa que a superfície normal
de trabalho.
Tela Integrada
Ajuste o ângulo da tela para minimizar brilhos e reflexos
de luzes superiores e janelas. Não force a tela se encontrar
resistência. A tela não foi desenhada para abrir-se mais do
que 135 graus.
Você pode ajustar o brilho da tela ao levar o computador
de um local a outro, ou se a luz da sua área de trabalho
for alterada.
Na Internet você poderá encontrar mais informações sobre
ergonomia: www.apple.com/about/ergonomicsInformações de Conformidade
Regulamentares
FCC Compliance Statement
This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation
is subject to the following two conditions: (1) This device
may not cause harmful interference, and (2) this device must
accept any interference received, including interference
that may cause undesired operation. See instructions if
interference to radio or television reception is suspected.
Radio and Television Interference
This computer equipment generates, uses, and can
radiate radio-frequency energy. If it is not installed and
used properly—that is, in strict accordance with Apple’s
instructions—it may cause interference with radio and
television reception.
This equipment has been tested and found to comply with
the limits for a Class B digital device in accordance with the
specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications
are designed to provide reasonable protection against such
interference in a residential installation. However, there is
no guarantee that interference will not occur in a particular
installation.
You can determine whether your computer system is causing
interference by turning it off. If the interference stops, it was
probably caused by the computer or one of the peripheral
devices.
If your computer system does cause interference to radio or
television reception, try to correct the interference by using
one or more of the following measures:
 Turn the television or radio antenna until the interference
stops.
 Move the computer to one side or the other of the
television or radio.
 Move the computer farther away from the television
or radio.
 Plug the computer into an outlet that is on a different
circuit from the television or radio. (That is, make certain
the computer and the television or radio are on circuits
controlled by different circuit breakers or fuses.)
If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or
Apple. See the service and support information that came
with your Apple product. Or consult an experienced radio/
television technician for additional suggestions.
Important: Changes or modifications to this product not
authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and
negate your authority to operate the product.
This product has demonstrated EMC compliance under
conditions that included the use of compliant peripheral
devices and shielded cables (including Ethernet network
cables) between system components. It is important that
you use compliant peripheral devices and shielded cables
Suporte e Serviço AppleCare
Seu MacBook Pro é fornecido com 90 dias de garantia
para suporte técnico e um ano de cobertura de garantia
para reparações de hardware. As reparações em garantia
podem ser solicitadas em uma loja de varejo Apple ou em
um centro de reparos autorizado Apple, como por exemplo,
um fornecedor de serviços autorizado Apple. Você pode
aumentar o prazo de cobertura da garantia comprando um
plano AppleCare Protection Plan. Para obter informações,
visite o site www.apple.com/br/support/products ou visite
o endereço do site do seu país listado posteriormente
nesta seção.
Se precisar de assistência, os representantes do suporte
telefônico AppleCare poderão ajudá-lo com a instalação e
abertura de aplicativos, e com a solução de problemas. Ligue
para a central de suporte mais próxima de você (os primeiros
90 dias são gratuitos). Tenha a data de compra e o número de
série do MacBook Pro quando fizer sua chamada.
Os 90 dias de suporte telefônico gratuitos começam na
data de compra.
Brasil: 0800-761-0880
www.apple.com/support/country
Os números de telefone podem mudar e as taxas de
chamadas telefônicas nacionais podem ser aplicadas.
Uma lista completa está disponível na web:
www.apple.com/br/support/contactEurope–EU Declaration of Conformity
????????? Apple Inc. ?????????, ?? ???? MacBook Pro ?
? ???????????? ??? ???????????? ?????????? ? ???????
????????? ??????? ?? ????????? 1999/5/??.
Cesky Spolecnost Apple Inc. tímto prohlašuje, že tento
MacBook Pro je ve shode se základními požadavky a dalšími
príslušnými ustanoveními smernice 1999/5/ES.
Dansk Undertegnede Apple Inc. erklærer herved, at
følgende udstyr MacBook Pro overholder de væsentlige
krav og øvrige relevante krav i direktiv 1999/5/EF.
Deutsch Hiermit erklärt Apple Inc., dass sich das
MacBook Pro in Übereinstimmung mit den grundlegenden
Anforderungen und den übrigen einschlägigen
Bestimmungen der Richtlinie 1999/5/EG befinden.
Eesti Käesolevaga kinnitab Apple Inc., et see MacBook Pro
vastab direktiivi 1999/5/EÜ põhinõuetele ja nimetatud
direktiivist tulenevatele teistele asjakohastele sätetele.
English Hereby, Apple Inc. declares that this MacBook Pro
is in compliance with the essential requirements and other
relevant provisions of Directive 1999/5/EC.
Español Por medio de la presente Apple Inc. declara que
este MacBook Pro cumple con los requisitos esenciales y
cualesquiera otras disposiciones aplicables o exigibles de la
Directiva 1999/5/CE.
???????? Me t?? pa???sa, ? Apple Inc. d????e? ?t? a?t?
? s?s?e?? MacBook Pro s?µµ??f??eta? p??? t?? ßas????
apa?t?se?? ?a? t?? ???p?? s?et???? d?ata´?e?? t?? ?d???a?
1999/5/??.
Français Par la présente Apple Inc. déclare que l’appareil
MacBook Pro est conforme aux exigences essentielles et aux
autres dispositions pertinentes de la directive 1999/5/CE.
Islenska Apple Inc. lýsir því hér með yfir að þetta tæki
MacBook Pro fullnægir lágmarkskröfum og öðrum
viðeigandi ákvæðum Evróputilskipunar 1999/5/EC.
Italiano Con la presente Apple Inc. dichiara che questo
dispositivo MacBook Pro è conforme ai requisiti essenziali
ed alle altre disposizioni pertinenti stabilite dalla direttiva
1999/5/CE.
Latviski Ar šo Apple Inc. deklare, ka MacBook Pro ierice
atbilst Direktivas 1999/5/EK butiskajam prasibam un citiem
ar to saistitajiem noteikumiem.
Lietuviu Šiuo „Apple Inc.“ deklaruoja, kad šis MacBook Pro
atitinka esminius reikalavimus ir kitas 1999/5/EB Direktyvos
nuostatas.
Magyar Alulírott, Apple Inc. nyilatkozom, hogy
a MacBook Pro megfelel a vonatkozó alapvetõ
követelményeknek és az 1999/5/EC irányelv egyéb
elõírásainak.
between system components to reduce the possibility of
causing interference to radios, television sets, and other
electronic devices.
Responsible party (contact for FCC matters only):
Apple Inc. Corporate Compliance
1 Infinite Loop, MS 91-1EMC
Cupertino, CA 95014
Wireless Radio Use
This device is restricted to indoor use when operating in the
5.15 to 5.25 GHz frequency band.
Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur.
Exposure to Radio Frequency Energy
The radiated output power of the AirPort Extreme
technology is below the FCC and EU radio frequency
exposure limits. Nevertheless, it is advised to use the wireless
equipment in such a manner that the potential for human
contact during normal operation is minimized.
FCC Bluetooth® Wireless Compliance
The antenna used with this transmitter must not be
colocated or operated in conjunction with any other antenna
or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant.
Canadian Compliance Statement
This device complies with Industry Canada license-exempt
RSS standard(s). Operation is subject to the following two
conditions: (1) this device may not cause interference, and
(2) this device must accept any interference, including
interference that may cause undesired operation of the device.
Cet appareil est conforme aux normes CNR exemptes de
licence d’Industrie Canada. Le fonctionnement est soumis
aux deux conditions suivantes : (1) cet appareil ne doit
pas provoquer d’interférences et (2) cet appareil doit
accepter toute interférence, y compris celles susceptibles de
provoquer un fonctionnement non souhaité de l’appareil.
Bluetooth Industry Canada Statement
This Class B device meets all requirements of the Canadian
interference-causing equipment regulations.
Cet appareil numérique de la Class B respecte toutes les
exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada.
Industry Canada Statement
Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications.
Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la
norme NMB-003 du Canada. This device complies with RSS
210 of Industry Canada.
European Compliance Statement
This product complies with the requirements of European
Directives 2006/95/EC, 2004/108/EC, and 1999/5/EC.Korea Warning Statements
B???(??????????)
???????(B?) ???????????
????????????????, ???
???????????.
????????????
????????????????????
????????????????????????
???? ?? ? ??
Singapore Wireless Certification
Taiwan Wireless Statements
Taiwan Class B Statement
??
?????????????????
???????????????
Malti Hawnhekk, Apple Inc., jiddikjara li dan MacBook Pro
jikkonforma mal-htigijiet essenzjali u ma provvedimenti
ohrajn relevanti li hemm fid-Dirrettiva 1999/5/EC.
Nederlands Hierbij verklaart Apple Inc. dat het toestel
MacBook Pro in overeenstemming is met de essentiële eisen
en de andere bepalingen van richtlijn 1999/5/EG.
Norsk Apple Inc. erklærer herved at dette MacBook Pro
-apparatet er i samsvar med de grunnleggende kravene og
øvrige relevante krav i EU-direktivet 1999/5/EF.
Polski Niniejszym Apple Inc. oswiadcza, ze ten MacBook Pro
sa zgodne z zasadniczymi wymogami oraz pozostalymi
stosownymi postanowieniami Dyrektywy 1999/5/EC.
Português Apple Inc. declara que este dispositivo
MacBook Pro está em conformidade com os requisitos
essenciais e outras disposições da Directiva 1999/5/CE.
Româna Prin prezenta, Apple Inc. declara ca acest aparat
MacBook Pro este în conformitate cu cerintele esentiale si cu
celelalte prevederi relevante ale Directivei 1999/5/CE.
Slovensko Apple Inc. izjavlja, da je ta MacBook Pro skladne
z bistvenimi zahtevami in ostalimi ustreznimi dolocili
direktive 1999/5/ES.
Slovensky Apple Inc. týmto vyhlasuje, že toto MacBook Pro
splna základné požiadavky a všetky príslušné ustanovenia
Smernice 1999/5/ES.
Suomi Apple Inc. vakuuttaa täten, että tämä MacBook Pro
tyyppinen laite on direktiivin 1999/5/EY oleellisten
vaatimusten ja sitä koskevien direktiivin muiden ehtojen
mukainen.
Svenska Härmed intygar Apple Inc. att denna MacBook Pro
står i överensstämmelse med de väsentliga egenskapskrav
och övriga relevanta bestämmelser som framgår av direktiv
1999/5/EG.
A copy of the EU Declaration of Conformity is available at:
www.apple.com/euro/compliance
This equipment can be used in the following countries:
European Community Restrictions
Français Pour usage en intérieur uniquement. Consultez
l’Autorité de Régulation des Communications Electroniques
et des Postes (ARCEP) pour connaître les limites d’utilisation
des canaux 1 à 13. www.arcep.frInformações sobre Descarte e Reciclagem
Este símbolo indica que o seu produto deve ser
descartado de modo apropriado de acordo com as leis e
regulamentações locais. Quando seu produto atingir o fim
de sua vida útil, entre em contato com a Apple ou com as
autoridades locais para saber sobre as opções de reciclagem.
Para obter informações sobre o programa de reciclagem da
Apple, visite o site: www.apple.com/br/recycling
European Union—Disposal Information
The symbol above means that according to local laws and
regulations your product should be disposed of separately
from household waste. When this product reaches its end
of life, take it to a collection point designated by local
authorities. Some collection points accept products for free.
The separate collection and recycling of your product at the
time of disposal will help conserve natural resources and
ensure that it is recycled in a manner that protects human
health and the environment.
Türkiye
EEE yönetmeligine (Elektrikli ve Elektronik Esyalarda Bazi
Zararli Maddelerin Kullaniminin Sinirlandirilmasina Dair
Yönetmelik) uygundur.
Brasil—Informações sobre descarte e reciclagem
O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria
não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando
decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o
de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para
informações sobre o programa de reciclagem da Apple,
pontos de coleta e telefone de informações, visite
www.apple.com/br/environment.
Informações sobre o descarte da bateria
Descarte as baterias de acordo com suas leis e diretrizes
ambientais locais.
Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht
in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerät am
Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen
gesetzlichen Regelungen.
Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd
bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor
klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd.
Japan VCCI Class B Statement
Russia
Informações de Modem Externo USB
Ao conectar o seu MacBook Pro à linha telefônica usando
um modem USB externo, consulte as informações da agência
de telecomunicações na documentação fornecida com o
seu modem.
ENERGY STAR® Compliance
As an ENERGY STAR® partner, Apple has determined that
standard configurations of this product meet the ENERGY
STAR® guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR®
program is a partnership with electronic equipment
manufacturers to promote energy-efficient products.
Reducing energy consumption of products saves money and
helps conserve valuable resources.
This computer is shipped with power management enabled
with the computer set to sleep after 10 minutes of user
inactivity. To wake your computer, click the mouse or
trackpad button or press any key on the keyboard.
For more information about ENERGY STAR®, visit:
www.energystar.govContrato de Licença de Software
O uso do MacBook Pro constitui uma aceitação dos termos
da licença de software da Apple e de terceiros, que podem
ser encontrados em: www.apple.com/legal/sla
Garantia Limitada da Apple pelo Prazo
de 1 (Um) Ano - Mac
Somente para Produtos da Marca Apple
COMO A LEI CONSUMERISTA SE APLICA A ESTA GARANTIA
ESTA GARANTIA CONCEDE AO ADQUIRENTE DETERMINADOS
DIREITOS. NO ENTANTO, O CLIENTE TAMBÉM PODERÁ TER
OUTROS DIREITOS QUE VARIAM DE ESTADO PARA ESTADO
(OU DE PAÍS OU PROVÍNCIA). COM EXCEÇÃO DO PERMITIDO
POR LEI, A APPLE NÃO EXCLUI, LIMITA OU SUSPENDE
QUAISQUER DIREITOS DO CLIENTE, INCLUINDO AQUELES
DECORRENTES DA NÃO CONFORMIDADE COM O CONTRATO
DE VENDA. PARA INFORMAÇÃO DE SEUS DIREITOS, O
CLIENTE DEVE CONSULTAR AS LEIS APLICÁVEIS DE SEU PAÍS,
PROVÍNCIA OU ESTADO.
LIMITAÇÕES DA GARANTIA DESDE QUE PERMITIDO POR
LEI, ESTA GARANTIA E AS CONDIÇÕES ORA PREVISTAS
SÃO EXCLUSIVAS E SUBSTITUEM TODAS AS OUTRAS
GARANTIAS, REPARAÇÕES E CONDIÇÕES, SEJAM VERBAIS,
ESCRITAS, ESTATUTÁRIAS, EXPRESSAS OU IMPLÍCITAS.
A APPLE NAO RECONHECE GARANTIAS ESTATUTÁRIAS
E IMPLÍCITAS, INCLUINDO, MAS NÃO SE LIMITANDO
A: GARANTIAS MERCANTIS E DE APTIDÃO PARA USO
ESPECÍFICO E GARANTIAS CONTRA DEFEITOS OCULTOS
OU NÃO APARENTES, NA EXTENSÃO PERMITIDA POR LEI.
NA MEDIDA EM QUE TAIS GARANTIAS NÃO POSSAM SER
DESCONSIDERADAS, A APPLE RESPEITARÁ O PRAZO PREVISTO
EM LEI, LIMITADO AO PRAZO DE DURAÇÃO DA GARANTIA
EXPRESSA E DOS SERVIÇOS DE REPARO OU SUBSTITUIÇÃO
DESCRITOS ABAIXO, A SEU EXCLUSIVO CRITÉRIO. ALGUNS
ESTADOS (PAÍSES E PROVÍNCIAS) NÃO PERMITEM LIMITAÇÕES
DURANTE A VIGÊNCIA DE UMA GARANTIA IMPLÍCITA (OU
CONDIÇÃO), CASO EM QUE AS LIMITAÇÕES ACIMA NÃO SE
APLICARÃO.
O QUE ESTÁ COBERTO POR ESTA GARANTIA? A Apple
garante o produto de hardware da marca Apple e os
acessórios contidos na embalagem original (“Produto
Apple”), contra defeitos nos materiais e mão-de-obra quando
utilizados sob condições normais, de acordo com as diretrizes
da Apple, pelo prazo de 1 (UM) ANO, contado da data da
compra do produto Cliente (“Prazo de Garantia”). As diretrizes
da Apple incluem, mas não se limitam a informações
contidas nas especificações técnicas, nos manuais de uso e
nas comunicações de suporte. O Prazo de Garantia já inclui
o prazo de garantia legal previsto pelo Código de Defesa
do Consumidor.
O QUE NÃO ESTÁ COBERTO POR ESTA GARANTIA? Esta
garantia não é aplicável a nenhum produto de hardware que
não seja da marca Apple e a nenhum software, ainda que
embalado ou vendido com o hardware da Apple. Fabricantes,
China Battery Statement
Taiwan Battery Statement
Substituição da Bateria
A bateria recarregável só pode ser substituída pela Apple
ou por um fornecedor de serviços autorizado Apple. Para
obter mais informações sobre os serviços de substituição da
bateria, consulte:
http://www.apple.com/batteries/replacements.html
Battery Charger Efficiency
020-5563-A
EFUP15chinaHIPÓTESE, A APPLE E SEUS PREPOSTOS NÃO SÃO
RESPONSÁVEIS POR QUALQUER PERDA DE PROGRAMAS DE
SOFTWARE, DADOS OU OUTRAS INFORMAÇÕES CONTIDAS
NA MÍDIA DE ARMAZENAMENTO OU EM QUALQUER OUTRA
PARTE DO PRODUTO APPLE.
Após a realização do suporte em garantia, será entregue ao
Cliente o produto Apple ou um produto da marca Apple, em
substituição, nas mesmas condições ou similar ao produto
inicialmente adquirido, com configurações idênticas ou
similar, estando sujeito, no entanto, às atualizações aplicáveis.
O Cliente será responsável por reinstalar todos os outros
programas de software, dados e informações. Recuperação
e reinstalação de outros programas de software, dados e
informações não estão cobertas por esta garantia.
QUAIS MEDIDAS SERÃO ADOTADAS PELA APPLE, CASO
UM REPARO EM GARANTIA SEJA NECESSÁRIO ? Se durante
o Prazo de Garantia o Cliente submeter uma solicitação
de suporte válida para a Apple ou para uma AASP, a Apple
irá, a seu exclusivo critério, (i) reparar o produto Apple
utilizando peças novas ou, mediante autorização expressa
do Cliente, peças recondicionadas e equivalentes a novas
em termos de desempenho e confiabilidade, (ii) substituir
o produto Apple por outro com funcionalidade equivalente
a do produto Apple e com partes e peças novas e/ou,
mediante autorização expressa do Cliente, recondicionadas
e/ou equivalentes a novas, em termos de desempenho
e confiabilidade, ou (iii) efetuar o reembolso do valor do
produto Apple pelo seu preço de compra.
A Apple poderá solicitar ao Cliente a substituição de certas
peças ou produtos cuja instalação possa ser feita diretamente
pelo Cliente. A peça ou produto de reposição, incluindo a
peça que venha a ser instalada pelo Cliente, de acordo com
as instruções da Apple estarão cobertos pela garantia por
um prazo equivalente ao restante do período da garantia
do produto original ou por 90 (noventa) dias, contados da
data da substituição ou reparo, o que for maior. Na hipótese
de troca do produto ou de partes e peças, bem como
de reembolso do valor do produto ou de partes e peças,
qualquer que seja o item de reposição, tal passará a ser de
propriedade do Cliente, sendo que o item substituído passará
a ser de propriedade da Apple.
COMO OBTER SUPORTE EM GARANTIA? O Cliente deverá
acessar e verificar os recursos de ajuda online abaixo
descritos, antes de solicitar um suporte em garantia. Caso o
produto Apple não esteja funcionando adequadamente após
a adoção das medidas informadas, o Cliente deverá entrar
em contato com um representante da Apple ou, se aplicável,
contatar a loja autorizada Apple (“Loja Apple”), onde o
produto foi adquirido ou uma AASP, conforme instruções
abaixo. Um representante da Apple ou de uma AASP
verificará se o produto Apple necessita ou não de suporte e,
caso positivo, informará o Cliente como a Apple realizará o
suporte. Ao contatar a Apple por telefone, tarifas telefônicas
poderão ser cobradas, dependendo da localidade do Cliente.
Informações online com os detalhes sobre a obtenção de
suporte em garantia constam ao final deste documento.
fornecedores ou editores que não fazem parte do grupo
Apple poderão fornecer suas próprias garantias ao Cliente.
A Apple, na medida permitida por lei, fornece os produtos
“NO ESTADO EM QUE SE ENCONTRAM”. O software distribuído
pela Apple, da marca Apple ou não (incluindo, mas, não se
limitando ao software de sistema) não está coberto por esta
garantia. O Cliente deverá verificar o contrato de licença
que acompanha o software para obter informações mais
detalhadas sobre os direitos de uso do referido software. A
Apple não garante que o funcionamento do produto será
ininterrupto ou livre de erros. A Apple não é responsável por
danos decorrentes de falha no cumprimento das instruções
relacionadas ao uso dos Produtos Apple.
Esta garantia não é aplicável: (a) a peças consumíveis, tais
como baterias, a não ser que o dano tenha ocorrido devido
a um defeito no material ou mão-de-obra; (b) a danos
cosméticos, que incluem mas, não se limitam a, arranhões,
amassados e plástico quebrado nas portas; (c) a danos
causados pelo uso em conjunto com outros produtos;
(d) a danos causados por acidente, abuso, mau uso,
contato com líquidos, incêndio, terremoto ou outras
causas de origem externa; (e) a danos causados pelo uso
do produto em desacordo com as diretrizes publicadas
pela Apple; (f) a danos causados por serviços (incluindo
upgrades e expansões) prestados por qualquer pessoa
que não seja um representante da Apple ou uma
Assistência Técnica Autorizada Apple (“AASP”); (g) a um
Produto Apple que tenha sido modificado de modo a
alterar a sua funcionalidade ou a sua capacidade, sem a
permissão por escrito da Apple; (h) a defeitos causados por
desgaste natural ou de outra maneira devido ao desgaste
normal do Produto Apple; ou (i) se qualquer número de
série do produto Apple tiver sido removido ou alterado.
RESPONSABILIDADES DO CLIENTE CASO HAJA
POSSIBILIDADE DE ARMAZENAR PROGRAMAS DE SOFTWARE
DADOS OU QUALQUER OUTRA INFORMAÇÃO EM SEU
PRODUTO APPLE, O CLIENTE DEVERÁ EFETUAR CÓPIAS
DE PROTEÇÃO (BACKUP) PERIÓDICAS DAS INFORMAÇÕES
CONTIDAS NA MÍDIA DE ARMAZENAMENTO DO PRODUTO
APPLE COMO FORMA DE PROTEÇÃO DOS CONTEÚDOS E DE
PRECAUÇÃO CONTRA EVENTUAIS FALHAS OPERACIONAIS.
Antes de receber um suporte em garantia, a Apple ou seus
prepostos poderão solicitar ao Cliente que o mesmo forneça
a prova de compra (nota fiscal), responda às perguntas
formuladas para auxílio no diagnóstico de potenciais
problemas e siga os procedimentos da Apple para obtenção
de suporte em garantia. Antes de enviar seu produto Apple
para reparo em garantia, o Cliente deverá: manter em
separado uma cópia (backup) dos conteúdos da mídia de
armazenamento, remover todas as informações pessoais
que pretenda proteger e desabilitar todas as senhas de
segurança.
DURANTE A REALIZAÇÃO DO REPARO EM GARANTIA
É POSSÍVEL QUE O CONTEÚDO DA MÍDIA DE
ARMAZENAMENTO DO PRODUTO APPLE SEJAM PERDIDOS,
SUBSTITUÍDOS OU REFORMATADOS. EM QUALQUER A Apple se reserva o direito de alterar seus critérios de
suporte em garantia. O suporte fica limitado às opções
disponíveis no País em que o suporte é solicitado. Opções
de suporte, disponibilidade de partes e peças e tempo de
resposta podem variar de País para País. O Cliente poderá
ser responsável pelas despesas de envio e mão de obra, se
o produto Apple não puder ser reparado no País em que
estiver. Se o Cliente solicitar suporte em um país que não
seja o país da compra do produto Apple, o Cliente deverá
cumprir com todas as leis e regulamentos de importação
e exportação aplicáveis e se responsabilizar por todas as
taxas alfandegárias, impostos adicionais e outras cobranças
e tributos associados. Para locais em que o serviço
internacional estiver disponível, a Apple poderá reparar ou
substituir produto, partes e peças com produtos e peças
similares que atendam os padrões locais.
LIMITAÇÃO DE RESPONSABILIDADE EXCETO CONFORME
PREVISTO NESTA GARANTIA E NA MEDIDA MÁXIMA
PERMITIDA PELA LEGISLAÇÃO APLICÁVEL, A APPLE
NÃO É RESPONSÁVEL POR DANOS DIRETOS, ESPECIAIS,
INCIDENTAIS OU SUPERVENIENTES RESULTANTES DE
QUALQUER VIOLAÇÃO DE GARANTIA OU CONDIÇÃO, OU
SOB QUALQUER OUTRA TEORIA LEGAL, INCLUINDO MAS,
NÃO SE LIMITANDO A PERDA DE UTILIDADE; PERDA DE
RENDA; LUCROS CESSANTES PRESENTES OU ANTECIPADOS
(INCLUINDO LUCROS CESSANTES EM CONTRATOS); PERDA
DO USO DO DINHEIRO; PERDA DE POUPANÇA ANTECIPADA;
PERDA DO NEGÓCIO; PERDA DE OPORTUNIDADE; PERDA DE
FUNDO DE COMÉRCIO (GOODWILL); PERDA DE REPUTAÇÃO;
PERDA, DANOS, COMPROMETIMENTO OU CORRUPÇÃO DE
DADOS OU QUAISQUER PERDAS OU DANOS INDIRETOS
OU SUPERVENIENTES, INDEPENDENTEMENTE DA FORMA
COMO FORAM CAUSADOS, INCLUINDO A SUBSTITUIÇÃO
DE EQUIPAMENTO E PROPRIEDADE, QUAISQUER CUSTOS
DE RECUPERAÇÃO, PROGRAMAÇÃO OU REPRODUÇÃO
DE QUALQUER PROGRAMA OU DADO ARMAZENADO
OU UTILIZADO COM O PRODUTO APPLE OU QUALQUER
FALHA EM MANTER A CONFIDENCIALIDADE DOS DADOS
ARMAZENADOS NO PRODUTO APPLE.
A RESTRIÇÃO ACIMA NÃO SE APLICA ÀS REIVINDICAÇÕES
POR MORTE OU LESÃO CORPORAL OU A QUALQUER
OBRIGAÇÃO ESTATUTÁRIA POR ATOS E/OU OMISSÕES
INTENCIONAIS. A APPLE NÃO FORNECE QUALQUER
GARANTIA DE QUE REPARARÁ QUALQUER PRODUTO
APPLE SOB ESTA GARANTIA OU DE QUE FARÁ A TROCA DE
PRODUTO APPLE SEM RISCO OU PERDA DE INFORMAÇÕES
ARMAZENADAS NO PRODUTO APPLE.
ALGUNS ESTADOS (PAÍSES E PROVÍNCIAS) NÃO PERMITEM
A EXCLUSÃO OU LIMITAÇÃO DE DANOS INCIDENTAIS OU
INDIRETOS, DE FORMA QUE A LIMITAÇÃO OU EXCLUSÃO
ACIMA PODE NÃO SER APLICÁVEL.
PRIVACIDADE A Apple irá manter e usar as informações
do Cliente de acordo com a Política da Apple referente
de Privacidade do Cliente, disponível no endereço
www.apple.com/legal/warranty/privacy.
OPÇÕES DE SUPORTE EM GARANTIA A Apple fornecerá
suporte em garantia por meio de uma das seguintes opções:
(i) Suporte mediante entrega pessoal. O Cliente poderá
enviar o produto Apple para uma Loja Apple ou AASP
mediante entrega pessoal. O serviço será realizado no
próprio local, ou a Loja Apple ou a AASP poderão enviar o
produto Apple para reparo em um Centro de Reparo Apple
(“ARS”). Quando o Cliente for notificado acerca da conclusão
do serviço, o Cliente deve, imediatamente, retirar o Produto
Apple da Loja Apple ou da AASP ou o Produto Apple será
enviado diretamente do ARS para o endereço previamente
informado pelo Cliente.
(ii) Suporte mediante postagem. Caso a Apple determine
que o produto Apple do Cliente é elegível ao suporte
mediante postagem, a Apple enviará os documentos de
postagem pré-pago ao Cliente e, se aplicável, material de
embalagem, para que o Cliente possa enviar o Produto
Apple para um ARS ou uma AASP, de acordo com as
instruções da Apple. Quando da finalização do serviço, o
ARS ou a AASP devolverá o produto Apple ao cliente. A
Apple efetuará o pagamento dos custos de envio de e para a
localidade do Cliente, se todas as instruções forem seguidas.
(iii) Auto-Suporte (“Serviço DIY”). O Serviço DIY permite que
o Cliente repare seu próprio Produto Apple. Se o Serviço DIY
estiver disponível, o seguinte procedimento será aplicável.
(a) Suporte em que a Apple solicita o retorno do produto
ou parte(s) substituída(s). A Apple poderá solicitar, por
segurança, uma autorização de cobrança em cartão de
crédito, no valor de varejo do produto ou da peça de
substituição e custos de envio aplicáveis. Caso o Cliente
não possa fornecer a autorização de cobrança em cartão
de crédito, o Serviço DIY poderá não estar disponível ao
Cliente e a Apple oferecerá meios alternativos de suporte. A
Apple irá enviar um produto ou uma peça de substituição
para o Cliente com instruções de instalação, se aplicável, e
quaisquer outras instruções para o retorno do produto ou
da(s) peça(s) substituída(s). Se o Cliente seguir as instruções,
a Apple irá cancelar a autorização de cobrança em cartão de
crédito e o Cliente não será cobrado pelo produto ou pela
peça, bem como pelo envio de e para sua localização. Se o
Cliente não retornar o produto ou a(s) peça(s) substituída(s)
como instruído ou se devolver um produto ou uma peça
que não seja elegível para suporte, a Apple irá debitar no
cartão de crédito do Cliente o valor autorizado.
(b) Suporte em que a Apple não solicita o retorno do
produto ou parte(s) substituída(s). A Apple irá enviar
ao Cliente, sem custos, um produto ou uma peça de
substituição acompanhada de instruções de instalação, se
aplicável, e quaisquer outras instruções.
(c) A Apple não é responsável por quaisquer custos de
mão de obra que o Cliente venha a incorrer com relação ao
Serviço DIY. Caso o Cliente necessite de assistência adicional,
deverá contatar a Apple através do número de telefone
listado abaixo.Região/País de
Aquisição
Endereço
ÁSIA - PACÍFICO
Austrália; Nova
Zelândia; Fiji,
Papua Nova Guiné;
Vanuatu
Apple Pty. Limited.
PO Box A2629, Sydney South,
NSW 1235, Australia
Hong Kong Apple Asia Limited
2401 Tower One, Times Square,
Causeway Bay; Hong Kong
Índia Apple India Private Ltd.
19th Floor, Concorde Tower C,
UB City No 24, Vittal Mallya Road,
Bangalore 560-001, India
Japão Apple Japan Inc.
3-20-2 Nishishinjuku,
Shinjuku-ku, Tokyo, Japan
Coreia Apple Korea Ltd.
3201, ASEM Tower; 159,
Samsung-dong, Gangnam-Gu;
Seoul 135-798, Republic of Korea
Afeganistão,
Bangladesh, Butão,
Brunei, Camboja,
Guam, Indonésia,
Laos, Singapura,
Malásia, Nepal,
Paquistão, Filipinas,
Sri Lanka, Vietnã
Apple South Asia Pte. Ltd.
7 Ang Mo Kio Street 64
Singapore 569086
República Popular
da China
Apple Computer Trading
(Shanghai) Co. Ltd.
Room 1815, No. 1 Jilong Road,
Waigaoqiao Free Trade Zone,
Shanghai 200131 China
Tailândia Apple South Asia
(Thailand) Limited
25th Floor, Suite B2, Siam Tower,
989 Rama 1 Road, Pataumwan,
Bangkok, 10330
Taiwan Apple Asia LLC
16A, No. 333 Tun Hwa S. Road.
Sec. 2, Taipei, Taiwan 106
Outros Países da
Ásia - Pacífico
Apple Inc.
1 Infinite Loop;
Cupertino, CA 95014, U.S.A.
032212 Mac Warranty LatAM Portuguese v2
DISPOSIÇÕES GERAIS Nenhum revendedor, agente ou
empregado da Apple está autorizado a efetuar qualquer
modificação, extensão ou adição a esta garantia. Se qualquer
termo for considerado ilegal ou inaplicável, a legalidade ou
a aplicabilidade dos termos restantes não serão afetadas ou
prejudicadas. Esta garantia é regida e interpretada de acordo
com as leis do País em que a compra do Produto Apple foi
realizada. A Apple está identificada no final deste documento,
de acordo com o País ou região em que a compra do
produto Apple foi realizada. A Apple ou seus sucessores
são os garantidores desta garantia.
INFORMAÇÕES ONLINE Maiores informações estão
disponíveis online:
Informações de Suporte
Internacional
www.apple.com/support/country
Assistências Técnicas
Autorizadas Apple
support.apple.com/kb/HT1434
Loja de Varejo Apple www.apple.com/retail/storelist/
Suporte e Serviço
da Apple
support.apple.com/kb/HE57
Suporte Complementar
da Apple
www.apple.com/support/country/
index.html?dest=complimentary
Localidade Da Garantia Por Região Ou País
De Aquisição Do Produto Apple
Região/País de
Aquisição
Endereço
AMÉRICAS
Brasil Apple Computer Brasil Ltda
Av. Cidade Jardim 400, 2 Andar,
Sao Paulo, SP Brasil 01454-901
Canadá Apple Canada Inc.
7495 Birchmount Rd.; Markham,
Ontario, Canada; L3R 5G2 Canada
México Apple Operations Mexico,
S.A. de C.V.
Prolongación Paseo de la
Reforma #600, Suite 132,
Colonia Peña Blanca, Santa Fé,
Delegación Álvaro Obregón,
México D. F., CP 01210, Mexico
Estados Unidos
da América e
demais países
do continente
Americano
Apple Inc.
1 Infinite Loop;
Cupertino, CA 95014, U.S.A.
EUROPA, ORIENTE MÉDIO E ÁFRICA
Todos os Países Apple Distribution International
Hollyhill Industrial Estate
Hollyhill, Cork,
Republic of Ireland© 2012 Apple Inc. Todos os direitos reservados.
Apple, o lgotipo da Apple, AirPort Extreme, iPod, Mac, MacBook e MagSafe são marcas comerciais da Apple Inc., registradas nos
EUA e em outros países. Apple Store e AppleCare são marcas de serviço da Apple Inc., registradas nos EUA e em outros países.
A marca Bluetooth® e seus logotipos são marcas registradas de propriedade da Bluetooth SIG, Inc. e qualquer uso de tais
marcas pela Apple Inc. se realiza sob licença. ENERGY STAR® é uma marca registrada nos EUA.
BR034-6359-A
Printed in XXXX
?????????
???????
MacBook Air????????????????????????????
MagSafe 2 ????????IT??????????????
(International Standard for Safety of Information Technology
Equipment?IEC 60950-1)?????????????????
???????????????????
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????? MagSafe 2 ????
MagSafe 2 ??????
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MagSafe 2 ?????(??? MagSafe 2 ??????????)
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MagSafe 2?????????????????????????
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MagSafe 2 ?????:
???:50~ 60 Hz???
????:100 ~ 240 V
????:14.85 V DC?3.05 A
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support.apple.com/ja_JP/manuals/#macbookair
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MacBook Air ??????????????????????
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???????? 100°C(212°F)??????????????
??????????? MacBook Air ????????????
??????? MacBook Air?????????????????
?????????????????MacBook Air ??IT????
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Information Technology Equipment?IEC 60950-1)?????
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 MacBook Air ???????????????????????
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????? MacBook Air ???????????????????
??????????????????? MacBook Air ?????
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MagSafe 2 ??????(45W)MacBook Air????????
????????????????? Apple??????????
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???????·???????????????????????
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???? ???????????? MacBook Air ???????
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?????:10°~ 35° C(50°~ 95° F)
?????:-20°~ 45° C(-4°~ 113° F)
????:5%~ 90%(???????)
????:0~ 3048????(0~ 10,000 ????)
MacBook Air????? MacBook Air????????????
???????????????(??????????)????
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?????????????? MagSafe 2 ???????????
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????????????? ?????????????????
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?????????? ???? MacBook Air ?????????
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???????????MacBook Air ????????Apple??
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MacBook Air????? ??? MacBook Air ?????????
?????(???? 22°C??? 71°F)???????????
??? 50???????????????????? 5?????
??????????????????? 50??????????
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? 50?????????????????
MacBook Air????? MacBook Air????????????
???????? MacBook Air ????????????????
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???? MacBook Air ????????????????????
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MacBook Air???????? MacBook Air?????????
?????? MacBook Air ??????????????????
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?????????????????????????????????????????????????????Return???????
??????????????AHT?????????????(?
45??)?????????????????????AHT???
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????????????????????????AHT??????
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AppleCare ??????????
???? MacBook Air ???90?????????????
Apple Retail Store(Apple Store???)???? Apple????
?????????? Apple?????????? 1??????
????????????????AppleCare Protection Plan?
???????????????????????
www.apple.com/jp/support/products????????????
??????????? Web ?????????????
???????????????????????????????
??????????????AppleCare ???????????
???????????????????????????(???
90?????)??????????????????
MacBook Air ?????????????????
90?????????????????????????????
??:0120-27753-5
Outside Japan: (81) 3-5334-2096
www.apple.com/support/country
???????????????????????????????
??????????????????????????? Web ?
???????????:
www.apple.com/jp/support/contact
????????????
FCC Compliance Statement
This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation
is subject to the following two conditions: (1) This device
may not cause harmful interference, and (2) this device must
accept any interference received, including interference
that may cause undesired operation. See instructions if
interference to radio or television reception is suspected.
Radio and Television Interference
This computer equipment generates, uses, and can
radiate radio-frequency energy. If it is not installed and
used properly—that is, in strict accordance with Apple’s
instructions—it may cause interference with radio and
television reception.
This equipment has been tested and found to comply with
the limits for a Class B digital device in accordance with the
specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications
are designed to provide reasonable protection against such
interference in a residential installation. However, there is
no guarantee that interference will not occur in a particular
installation.
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???????????????????????????????
???????????????????????????????
????????????????????????135?????
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??????
??????????????? Web ????????????:
www.apple.com/about/ergonomics
??????????
Apple Inc.??????????????????????????
?????????????????
??????? Web ????????????:
www.apple.com/jp/environment
?????????????
MacBook Air ?????? ??????????????????
???????????????Apple?????????Apple
???????????? MacBook Air?????????????
???????????????????????????????Apple
Hardware Test????MacBook Air ?????????????
??????????
???????
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???????????? Mac????????????????
????????Finder?????????????????????
???????????????????????????????
?????????
?????????????????????????
www.apple.com/jp/support??????????AppleCare ?
???????????????????·???????????
??Apple?????????????????????????
??????
???? MacBook Air ????????????????????
???????????????????????????????
???????????????????????????????
???????????????????????????????
???????????????????????????????
???????????????????(?)????>???
Mac??????????????????????????
Apple Hardware Test
?Apple Hardware Test(AHT)????????????????
???????????????????????????????
???????????????
Apple Hardware Test???????:????????????
???????????????????????????????
?????? D?????????????AHT????????FCC Bluetooth
®
Wireless Compliance
The antenna used with this transmitter must not be
colocated or operated in conjunction with any other antenna
or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant.
Canadian Compliance Statement
This device complies with Industry Canada license-exempt
RSS standard(s). Operation is subject to the following two
conditions: (1) this device may not cause interference,
and (2) this device must accept any interference, including
interference that may cause undesired operation of the
device.
Cet appareil est conforme aux normes CNR exemptes de
licence d’Industrie Canada. Le fonctionnement est soumis
aux deux conditions suivantes : (1) cet appareil ne doit
pas provoquer d’interférences et (2) cet appareil doit
accepter toute interférence, y compris celles susceptibles de
provoquer un fonctionnement non souhaité de l’appareil.
Bluetooth Industry Canada Statement
This Class B device meets all requirements of the Canadian
interference-causing equipment regulations.
Cet appareil numérique de la Class B respecte toutes les
exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada.
Industry Canada Statement
Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications.
Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la
norme NMB-003 du Canada. This device complies with RSS
210 of Industry Canada.
European Compliance Statement
This product complies with the requirements of European
Directives 2006/95/EC, 2004/108/EC, and 1999/5/EC.
Europe–EU Declaration of Conformity
????????? Apple Inc. ?????????, ?? ???? MacBook Air ?
? ???????????? ??? ???????????? ?????????? ? ???????
????????? ??????? ?? ????????? 1999/5/??.
Cesky Spolecnost Apple Inc. tímto prohlašuje, že tento
MacBook Air je ve shode se základními požadavky a dalšími
príslušnými ustanoveními smernice 1999/5/ES.
Dansk Undertegnede Apple Inc. erklærer herved, at
følgende udstyr MacBook Air overholder de væsentlige krav
og øvrige relevante krav i direktiv 1999/5/EF.
Deutsch Hiermit erklärt Apple Inc., dass sich das
MacBook Air in Übereinstimmung mit den grundlegenden
Anforderungen und den übrigen einschlägigen
Bestimmungen der Richtlinie 1999/5/EG befinden.
You can determine whether your computer system is causing
interference by turning it off. If the interference stops, it was
probably caused by the computer or one of the peripheral
devices.
If your computer system does cause interference to radio or
television reception, try to correct the interference by using
one or more of the following measures:
 Turn the television or radio antenna until the interference
stops.
 Move the computer to one side or the other of the
television or radio.
 Move the computer farther away from the television
or radio.
 Plug the computer into an outlet that is on a different
circuit from the television or radio. (That is, make certain
the computer and the television or radio are on circuits
controlled by different circuit breakers or fuses.)
If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or
Apple. See the service and support information that came
with your Apple product. Or consult an experienced radio/
television technician for additional suggestions.
Important: Changes or modifications to this product not
authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and
negate your authority to operate the product.
This product has demonstrated EMC compliance under
conditions that included the use of compliant peripheral
devices and shielded cables (including Ethernet network
cables) between system components. It is important that
you use compliant peripheral devices and shielded cables
between system components to reduce the possibility of
causing interference to radios, television sets, and other
electronic devices.
Responsible party (contact for FCC matters only):
Apple Inc. Corporate Compliance
1 Infinite Loop, MS 91-1EMC
Cupertino, CA 95014
Wireless Radio Use
This device is restricted to indoor use when operating in the
5.15 to 5.25 GHz frequency band.
Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur.
Exposure to Radio Frequency Energy
The radiated output power of the AirPort Extreme
technology is below the FCC and EU radio frequency
exposure limits. Nevertheless, it is advised to use the wireless
equipment in such a manner that the potential for human
contact during normal operation is minimized.Slovensko Apple Inc. izjavlja, da je ta MacBook Air skladne
z bistvenimi zahtevami in ostalimi ustreznimi dolocili
direktive 1999/5/ES.
Slovensky Apple Inc. týmto vyhlasuje, že toto MacBook Air
splna základné požiadavky a všetky príslušné ustanovenia
Smernice 1999/5/ES.
Suomi Apple Inc. vakuuttaa täten, että tämä MacBook Air
tyyppinen laite on direktiivin 1999/5/EY oleellisten
vaatimusten ja sitä koskevien direktiivin muiden ehtojen
mukainen.
Svenska Härmed intygar Apple Inc. att denna MacBook Air
står i överensstämmelse med de väsentliga egenskapskrav
och övriga relevanta bestämmelser som framgår av direktiv
1999/5/EG.
A copy of the EU Declaration of Conformity is available at:
www.apple.com/euro/compliance
This equipment can be used in the following countries:
European Community Restrictions
Français Pour usage en intérieur uniquement. Consultez
l’Autorité de Régulation des Communications Electroniques
et des Postes (ARCEP) pour connaître les limites d’utilisation
des canaux 1 à 13. www.arcep.fr
Korea Warning Statements
B???(??????????)
???????(B?) ???????????
????????????????, ???
???????????.
????????????
????????????????????
????????????????????????
???? ?? ? ??
Singapore Wireless Certification
Eesti Käesolevaga kinnitab Apple Inc., et see MacBook Air
vastab direktiivi 1999/5/EÜ põhinõuetele ja nimetatud
direktiivist tulenevatele teistele asjakohastele sätetele.
English Hereby, Apple Inc. declares that this MacBook Air
is in compliance with the essential requirements and other
relevant provisions of Directive 1999/5/EC.
Español Por medio de la presente Apple Inc. declara que
este MacBook Air cumple con los requisitos esenciales y
cualesquiera otras disposiciones aplicables o exigibles de la
Directiva 1999/5/CE.
???????? Me t?? pa???sa, ? Apple Inc. d????e? ?t? a?t?
? s?s?e?? MacBook Air s?µµ??f??eta? p??? t?? ßas????
apa?t?se?? ?a? t?? ???p?? s?et???? d?ata´?e?? t?? ?d???a?
1999/5/??.
Français Par la présente Apple Inc. déclare que l’appareil
MacBook Air est conforme aux exigences essentielles et aux
autres dispositions pertinentes de la directive 1999/5/CE.
Islenska Apple Inc. lýsir því hér með yfir að þetta tæki
MacBook Air fullnægir lágmarkskröfum og öðrum
viðeigandi ákvæðum Evróputilskipunar 1999/5/EC.
Italiano Con la presente Apple Inc. dichiara che questo
dispositivo MacBook Air è conforme ai requisiti essenziali
ed alle altre disposizioni pertinenti stabilite dalla direttiva
1999/5/CE.
Latviski Ar šo Apple Inc. deklare, ka MacBook Air ierice
atbilst Direktivas 1999/5/EK butiskajam prasibam un citiem
ar to saistitajiem noteikumiem.
Lietuviu Šiuo „Apple Inc.“ deklaruoja, kad šis MacBook Air
atitinka esminius reikalavimus ir kitas 1999/5/EB Direktyvos
nuostatas.
Magyar Alulírott, Apple Inc. nyilatkozom, hogy
a MacBook Air megfelel a vonatkozó alapvetõ
követelményeknek és az 1999/5/EC irányelv egyéb
elõírásainak.
Malti Hawnhekk, Apple Inc., jiddikjara li dan MacBook Air
jikkonforma mal-htigijiet essenzjali u ma provvedimenti
ohrajn relevanti li hemm fid-Dirrettiva 1999/5/EC.
Nederlands Hierbij verklaart Apple Inc. dat het toestel
MacBook Air in overeenstemming is met de essentiële eisen
en de andere bepalingen van richtlijn 1999/5/EG.
Norsk Apple Inc. erklærer herved at dette MacBook Air
-apparatet er i samsvar med de grunnleggende kravene og
øvrige relevante krav i EU-direktivet 1999/5/EF.
Polski Niniejszym Apple Inc. oswiadcza, ze ten MacBook Air
sa zgodne z zasadniczymi wymogami oraz pozostalymi
stosownymi postanowieniami Dyrektywy 1999/5/EC.
Português Apple Inc. declara que este dispositivo
MacBook Air está em conformidade com os requisitos
essenciais e outras disposições da Directiva 1999/5/CE.
Româna Prin prezenta, Apple Inc. declara ca acest aparat
MacBook Air este în conformitate cu cerintele esentiale si cu
celelalte prevederi relevante ale Directivei 1999/5/CE.ENERGY STAR
®
Compliance
As an ENERGY STAR® partner, Apple has determined that
standard configurations of this product meet the ENERGY
STAR® guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR®
program is a partnership with electronic equipment
manufacturers to promote energy-efficient products.
Reducing energy consumption of products saves money and
helps conserve valuable resources.
This computer is shipped with power management enabled
with the computer set to sleep after 10 minutes of user
inactivity. To wake your computer, click the mouse or
trackpad button or press any key on the keyboard.
For more information about ENERGY STAR®, visit:
www.energystar.gov
??????????????
???????????????????????????????
???????????????????????????????
?????Apple???????????????????????
?????????????????
Apple??????????????????? Web ??????
??????:www.apple.com/jp/recycling
European Union—Disposal Information
The symbol above means that according to local laws and
regulations your product should be disposed of separately
from household waste. When this product reaches its end
of life, take it to a collection point designated by local
authorities. Some collection points accept products for free.
The separate collection and recycling of your product at the
time of disposal will help conserve natural resources and
ensure that it is recycled in a manner that protects human
health and the environment.
Türkiye
EEE yönetmeligine (Elektrikli ve Elektronik Esyalarda Bazi
Zararli Maddelerin Kullaniminin Sinirlandirilmasina Dair
Yönetmelik) uygundur.
Taiwan Wireless Statements
Taiwan Class B Statement
??
?????????????????
???????????????
Japan VCCI Class B Statement
Russia
?? USB?????????
?? USB???????? MacBook Air ???????????
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??????020-5563-A
EFUP1??5china ??????????
MacBook Air ??????? Web ??????????? Apple
???????????????????????????????
?:www.apple.com/jp/legal/sla
Apple?? 1????? - Mac
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??????????? ??????????????: ???
???????????? Competition and Consumer Act
2010 ????????????????????????????
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???????
Brasil—Informações sobre descarte e reciclagem
O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria
não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando
decidir descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o
de acordo com as leis e diretrizes ambientais locais. Para
informações sobre o programa de reciclagem da Apple,
pontos de coleta e telefone de informações, visite
www.apple.com/br/environment.
??????????????
???????????????????????????????
????????
Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht
in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerät am
Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen
gesetzlichen Regelungen.
Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd
bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor
klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd.
China Battery Statement
Taiwan Battery Statement
????????
????????? Apple??? Apple????????????
?????????????????????????????
http://www.apple.com/jp/batteries/replacements.html???
???????
Battery Charger E?ciency?????? ???? Apple?????????????????
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?????????? Apple?????????????????
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?????????????? Apple?????????????
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????????????? Apple??????????????
???????????? Apple???????????????
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???????? Apple????? ?????????? Apple
??? AASP???????????????Apple??????
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????? Apple??????????????????????
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?????????????(3)?? Apple??????????
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Apple????????????????????????????
????????????????????Apple????????
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????????? Apple??????????????
???????????? ??????????????????
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?????????????????????? Apple?????
??????????????????????????Apple??
????????????Apple????????(???Apple
?????????)??? AASP?????????Apple??
???? AASP????????????????????????
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???? Apple???????????????????????
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?????)?????????????????????????
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???????????????????????????Apple
???? Apple???????????? Apple????????
??????????(????????????????????
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??????????????????(c)???????????
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???????????????????? Apple???????
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???????????(???AASP??????)??????
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???????? Apple?????????????? Apple??
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privacy???????Apple??????????????????
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???? Apple???????????????????????
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???????????????Apple??? Apple??????
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??????????
?????
http://www.apple.com/support/
country
Apple???????
????
http://support.apple.com/kb/HT1434
Apple??? http://www.apple.com/retail/storelist/
Apple???????
????
http://support.apple.com/kb/HE57
Apple?????? http://www.apple.com/support/
country/index.
html?dest=complimentary
???????????? Apple????????? 1 ?????
??????????????????? :
(i) ??????(????)??????????Apple??????
?????????????? Apple?????? AASP????
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??? Apple??????? AASP????? Apple???
Apple??????(???ARS??????)?????????
???????????????????????????????
????????? Apple?????? AASP?????????
? Apple????????????????? Apple?????
ARS???????????????
(ii) ??????????Apple????? Apple????????
?????????????????????Apple ??????
Apple??????? ARS??? AASP??????? Apple?
???????????Apple?????????????????
????????????????????ARS??? AASP????
?????????????????Apple???????????
?????????????????????????????
(iii) Do-It-Yourself(DIY)??????(????????)????
???????????? DIY?????????????????
????? Apple?????????????????DIY????
??????????????????????????????
(a)??????????????????Apple???????
???????????????????????????????
???????????????????????????????
?????????DIY????????????????????
????Apple??????????????Apple??????
???????????????????????????????
???????????????????????????????
???????Apple?????????????????????
???????????????????????????????
???????????????????????????????
???????????????????????????????
???????Apple?????????????????????
?????
(b)???????????????????Apple??????
???????????????????????????????
??????????????????????????
(c)Apple??DIY??????????????????????
???????????????????????????????
? Apple???????????????
Apple??Apple??????????????????????
???? Apple???????????????????????
???????????????????????????????
???????????????????????????????
???????????????????????????????
???????????????? Apple???????????
???????????????????????????????
??????????????????????????????
???????????????????????????????
???????????????????????????????
????????????????????????Apple????
???????????????????????????????
???????????????????? /?? ???
?? Apple Japan Inc.
3-20-2 Nishishinjuku,
Shinjuku-ku, Tokyo, Japan
?? Apple Korea Ltd.
3201, ASEM Tower; 159,
Samsung-dong, Gangnam-Gu;
Seoul 135-798, Republic of Kore
?????????????
?????????????
?????????????
?????????????
?????????????
?????????????
?????????
Apple South Asia Pte. Ltd.
7 Ang Mo Kio Street 64
Singapore 569086
??????? Apple Computer Trading
(Shanghai) Co. Ltd.
Room 1815, Tower Building, No. 1,
Ji Long Road, Wai Gao Qiao Free
Trade Zone, Shanghai, P.R.C.
?? Apple South Asia (Thailand)
Limited
25th Floor, Suite B2, Siam Tower,
989 Rama 1 Road, Pataumwan,
Bangkok, 10330
?? Apple Asia LLC
16A, No. 333 Tun Hwa S. Road.
Sec. 2, Taipei, Taiwan 106
?????????
??
Apple Inc.
1 Infinite Loop;
Cupertino, CA 95014, U.S.A.
032212 Mac Warranty Japanese v2
????????????????
??? /?? ???
??????
???? Apple Computer Brasil Ltda
Av. Cidade Jardim 400, 2 Andar,
Sao Paulo, SP Brasil 01454-901
??? Apple Canada Inc.
7495 Birchmount Rd.; Markham,
Ontario, Canada; L3R 5G2 Canada
???? Apple Operations Mexico,
S.A. de C.V.
Prolongación Paseo de la
Reforma #600, Suite 132,
Colonia Peña Blanca, Santa Fé,
Delegación Álvaro Obregón,
México D. F., CP 01210, Mexico
?????????????
????
Apple Inc.
1 Infinite Loop;
Cupertino, CA 95014, U.S.A.
?????????????
????? Apple Distribution International
Hollyhill Industrial Estate
Hollyhill, Cork,
Republic of Ireland
??????
?????????????
????????????
???????????
Apple Pty. Ltd.
PO Box A2629, South Sydney,
NSW 1235, Australia
?? Apple Asia Limited
2401 Tower One, Times Square,
Causeway Bay; Hong Kong
??? Apple India Private Ltd.
19th Floor, Concorde Tower C, UB
City No 24, Vittal Mallya Road,
Bangalore 560-001, India© 2012 Apple Inc. All rights reserved.
Apple?Apple???iPod?Mac?MacBook???? MagSafe ??????????????? Apple Inc.??????AirMac Extreme
? Apple Inc.??????Apple Store??? AppleCare ??????????????? Apple Inc.???????????Bluetooth®
??????????? Bluetooth SIG, Inc.?????????????????Apple Inc.?????????????????????
?????ENERGY STAR®???????????
J034-6356-A
Printed in XXXX
Congratulations, you and your MacBook Air
were made for each other.Mission Control
A bird’s-eye view
of what’s running
on your Mac.
Help Center
mission control
OS X Lion
www.apple.com/macosx
Full screen
Make apps
full screen
with a click.
Help Center
full screen
Mac App Store
The best way
to discover
and download
Mac apps.
Help Center
mac app store
launchpad
Launchpad
Instant access
to all your apps
in one place.
Help Center
iPhoto
Organize, edit,
and share
your photos.
iPhoto Help
photos
iMovie
Turn home
videos into home
blockbusters.
iMovie Help
movie
GarageBand
Create greatsounding songs
with ease.
GarageBand Help
record
Mail
Group your
messages by
conversations.
Help Center
mail
HELLO FROM
CUPERTINO, CA
Pinch to zoom Rotate images Scroll up or down View Mission
Control
Swipe between
full-screen apps
Click anywhere
Welcome to your MacBook Air.
www.apple.com/macbookair
Multi-Touch trackpad
Use gestures like these
to control your Mac.
Help Center
gestures
facetime
Built-in FaceTime
camera
Make video calls
to the latest iPad,
iPhone, iPod touch,
or Mac.
Help Center
Thunderbolt
high-speed I/O
Connect
high-performance
devices and
displays.
Help Center
thunderbolt
MacBook AirMission Control
A bird’s-eye view
of what’s running
on your Mac.
Help Center
mission control
OS X Lion
www.apple.com/macosx
Full screen
Make apps
full screen
with a click.
Help Center
full screen
Mac App Store
The best way
to discover
and download
Mac apps.
Help Center
mac app store
launchpad
Launchpad
Instant access
to all your apps
in one place.
Help Center
iPhoto
Organize, edit,
and share
your photos.
iPhoto Help
photos
iMovie
Turn home
videos into home
blockbusters.
iMovie Help
movie
GarageBand
Create greatsounding songs
with ease.
GarageBand Help
record
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HELLO FROM
CUPERTINO, CA
Pinch to zoom Rotate images Scroll up or down View Mission
Control
Swipe between
full-screen apps
Click anywhere
Welcome to your MacBook Air.
www.apple.com/macbookair
Multi-Touch trackpad
Use gestures like these
to control your Mac.
Help Center
gestures
facetime
Built-in FaceTime
camera
Make video calls
to the latest iPad,
iPhone, iPod touch,
or Mac.
Help Center
Thunderbolt
high-speed I/O
Connect
high-performance
devices and
displays.
Help Center
thunderbolt
MacBook AirContents 5
Contents
Chapter 1: Ready, Set Up, Go
8 Welcome
9 What’s in the Box
9 Setting Up Your MacBook Air
15 Getting Additional Information onto Your MacBook Air
18 Putting Your MacBook Air to Sleep or Shutting It Down
Chapter 2: Life with Your MacBook Air
22 Basic Features of Your MacBook Air
24 Keyboard Features of Your MacBook Air
26 Ports on Your MacBook Air
28 Using the Multi-Touch Trackpad
32 Running Your MacBook Air on Battery Power
33 Getting Answers
Chapter 3: Problem, Meet Solution
38 An Ounce of Prevention
39 Problems That Prevent You from Using Your MacBook Air
42 Repairing, Restoring, or Reinstalling Mac OS X Software
46 Checking for a Hardware Problem6 Contents
47 Problems with Your Internet Connection
48 Problems with Wi-Fi Communication
49 Keeping Your Software Up to Date
50 Learning More, Service, and Support
52 Locating Your Product Serial Number
Chapter 4: Last, but Not Least
54 Important Safety Information
59 Important Handling Information
61 Understanding Ergonomics
63 Apple and the Environment
64 Regulatory Compliance Information
Looking for Something?
70 IndexMac Help Migration Assistant
www.apple.com/macosx
Help Center Migration Assistant
www.apple.com/macbookair
Ready, Set Up, Go
18 Chapter 1 Ready, Set Up, Go
Welcome
Congratulations on purchasing a MacBook Air. Your MacBook Air is streamlined for
portability and a completely wireless experience. Read this chapter for help setting up
and using your MacBook Air.
 If you know you won’t be migrating information from another Mac or Windows
computer (PC), and you’d like to get started using your MacBook Air right away,
you can follow the Setup Assistant to set up your MacBook Air quickly. For more
information, see page 12.
 If you want to migrate information from another Mac or PC to your MacBook Air,
you can use Setup Assistant to specify the Mac or PC whose information you want to
transfer. For more information, see page 12.
 After you set up your MacBook Air, if you want to get content from DVDs or CDs
onto your MacBook Air, you can set up one or more Macs or PCs to partner with your
MacBook Air. For more information, see page 15.
You can browse and download free or purchased applications from the Mac App Store,
which you can open from Launchpad or your Dock.
Important: Read all the installation instructions (and the safety information starting on
page 54) carefully before you first use your MacBook Air.
Many answers to questions can be found on your MacBook Air in Help Center. For
information about using Help Center, see “Getting Answers” on page 33. Apple may
release new versions and updates to its system software, so the images shown in
this book may be slightly different from what you see onscreen.Chapter 1 Ready, Set Up, Go 9
What’s in the Box
AC power cord
AC
plug
45W MagSafe Power Adapter
Important: Remove the protective film covering the 45W MagSafe Power Adapter
before setting up your MacBook Air.
Setting Up Your MacBook Air
Your MacBook Air is designed so that you can set it up quickly and start using it right
away. The following pages take you through the setup process, including these tasks:
 Plugging in the 45W MagSafe Power Adapter
 Turning on your MacBook Air
 Using Setup Assistant to access a network and configure a user account and other
settings
 Setting up the Mac OS X desktop and preferences10 Chapter 1 Ready, Set Up, Go
Step 1: Plug in the 45W MagSafe Power Adapter to provide power to the
MacBook Air and charge the battery.
Make sure the AC plug is fully inserted into the power adapter and the electrical
prongs on your AC plug are in their completely extended position. Insert the AC
plug of your power adapter into a power outlet and the MagSafe connector into the
MagSafe power port. As the MagSafe connector gets close to the port, you’ll feel a
magnetic pull drawing it in.
¯
AC power cord
AC plug MagSafe connector MagSafe power port
To extend the reach of your power adapter, replace the AC plug with the included AC
power cord. First pull the AC plug up to remove it from the adapter, and then attach
the AC power cord to the adapter, making sure it’s seated firmly. Plug the other end
into a power outlet.
When disconnecting the power adapter from an outlet or from your MacBook Air,
pull the plug, not the cord.Chapter 1 Ready, Set Up, Go 11
When you connect the power adapter to your MacBook Air, the indicator light on
the MagSafe connector starts to glow. An amber light indicates that the battery is
charging. A green light indicates that the battery is fully charged. If you don’t see a
light, make sure the connector is seated properly and the power adapter is plugged
into a working power outlet.
Step 2: Press the power button (®) briefly to turn on your MacBook Air.
The power button is located in the upper right corner of your keyboard.When you turn
on your MacBook Air, you hear a startup tone.
® Power button
It takes your MacBook Air a few moments to start up. After it starts up, Setup Assistant
opens automatically.
If your MacBook Air doesn’t turn on, see page 40.12 Chapter 1 Ready, Set Up, Go
Step 3: Configure your MacBook Air with Setup Assistant.
The first time you turn on your MacBook Air, Setup Assistant starts. Setup Assistant
helps you specify your Wi-Fi network, set up a user account, and transfer information
from another Mac or PC. You can also transfer information from a Time Machine backup
or other disk.
If you’re migrating from another Mac, you might have to update software if the other
Mac doesn’t have Mac OS X version 10.5.3 or later installed. To migrate from a PC,
download the Migration Assistant from www.apple.com/migrate-to-mac, and install it
on the PC you want to migrate from.
After you start Setup Assistant on your MacBook Air, you can leave it midprocess
without quitting, move to the other computer if you need to update its software, and
then return to your MacBook Air to complete the setup.
Note: If you don’t use Setup Assistant to transfer information when you first start
up your MacBook Air, you can do it later using Migration Assistant. Open Migration
Assistant in the Utilities folder in Launchpad. For help using Migration Assistant, open
Help Center and search for“Migration Assistant.”
To set up your MacBook Air:
1 In Setup Assistant, follow the onscreen instructions until you get to the “Transfer
Information to This Mac”screen.
2 Do a basic setup, a setup with migration, or transfer information from a Time Machine
backup or other disk:
 To do a basic setup, select“Don’t transfer now” and click Continue. Follow the
remaining prompts to select your wired or wireless network, set up an account, and
exit Setup Assistant.Chapter 1 Ready, Set Up, Go 13
 To do a setup with migration, select“From another Mac or PC” and click Continue.
Follow the onscreen instructions to select the Mac or PC you want to migrate from.
Your Mac or PC must be on the same wired or wireless network. Follow the onscreen
instructions for migrating.
 To transfer information from a Time Machine backup or another disk, select“From a
Time Machine backup or other disk” and click Continue. Select the backup or the
other disk that you want to migrate from. Follow the onscreen instructions.
If you don’t intend to keep or use your other computer, it’s best to deauthorize it from
playing music, videos, or audiobooks that you’ve purchased from the iTunes Store.
Deauthorizing a computer prevents any songs, videos, or audiobooks you’ve purchased
from being played by someone else, and frees up another authorization for use. For
information about deauthorizing, choose iTunes Help from the Help menu in iTunes.14 Chapter 1 Ready, Set Up, Go
Step 4: Customize the Mac OS X desktop and set preferences.
You can quickly make the desktop look the way you want using System
Preferences, your command center for most settings on your MacBook Air.
Choose Apple (?) > System Preferences from the menu bar or click the
System Preferences icon in the Dock.
Menu bar Help menu Spotlight search icon
Finder icon Dock System Preferences iconChapter 1 Ready, Set Up, Go 15
Important: You can set an option to reset your password in Users & Groups
preferences, in case you forget your login password. For help with system preferences,
open Help Center and search for“system preferences” or for the specific preference you
want help for.
Getting Additional Information onto Your MacBook Air
Your MacBook Air comes with several applications installed, including the iLife suite.
Many other applications can be downloaded from the Mac App Store or the Internet. If
you want to install third-party applications from a DVD or CD, you can:
 Install applications onto your MacBook Air or share information using the optical disc
drive on another Mac or PC (if DVD or CD Sharing is set up and enabled). For more
information, see the next section.
 Attach the MacBook Air SuperDrive (an external USB optical disc drive available
separately at www.apple.com/store) to the USB port on your MacBook Air, and
insert your installation disc.
Setting Up DVD or CD Sharing
You can partner your MacBook Air with another Mac or PC that has an optical disc
drive and is on the same wired or wireless network. Use this other computer to:
 Migrate information to your MacBook Air after setup using Migration Assistant
(for information about using Migration Assistant, open Help Center and search for
“Migration Assistant”)
 Share the contents of DVDs or CDs or install applications (see the next section)16 Chapter 1 Ready, Set Up, Go
The computer with the optical drive can be a Mac with Mac OS X v10.4.11 or later, or a
Windows 7, Windows XP, or Windows Vista computer. If the Mac has Mac OS X v10.5.3 or
later, DVD or CD Sharing is already installed. You can partner with more than one other
computer, but you can use only one partner computer at a time.
Mac or Windows computer MacBook Air
If the other computer is a PC or a Mac with a Mac OS X version earlier than 10.5.3,
download the DVD or CD Sharing Setup software for your partner computer:
 If the other computer is a PC, go to support.apple.com/kb/DL112 and download the
DVD or CD Sharing Setup for Windows installer.
 If the other computer is a Mac with Mac OS X v10.4.11–10.5.2, go to
support.apple.com/kb/DL113 and download the DVD or CD Sharing Setup for
Mac Installer.
After you download the software, follow the steps in the next section to enable DVD or
CD Sharing, or read detailed instructions in support.apple.com/kb/HT1777.Chapter 1 Ready, Set Up, Go 17
Important: After you install the DVD or CD Sharing Setup package on your other Mac,
make sure you have the latest software by choosing Apple (?) > Software Update.
Install any available Mac OS X updates.
Sharing Discs with DVD or CD Sharing
You can enable DVD or CD Sharing on a Mac or PC to use the Remote Disc feature of
MacBook Air. Remote Disc allows you to share the discs you insert into the optical disc
drive of the other computer. Some discs, such as DVD movies and game discs, may be
copy-protected and therefore unusable through DVD or CD Sharing.
Make sure DVD or CD Sharing is already set up on any Mac or PC you want to partner
with. For information, see page 15.
To enable DVD or CD Sharing, if your other computer is a Mac:
1 Make sure your MacBook Air and the other Mac are on the same wireless network.
On the other Mac, choose Apple (?) > System Preferences and then open Sharing.
2 In the Sharing pane, select“DVD or CD Sharing”in the Service list. If you want other
users to request permission to share a DVD or CD, select“Ask me before allowing others
to use my DVD drive.”
To enable DVD or CD Sharing, if your other computer is a PC:
1 Make sure your MacBook Air and the PC are on the same wireless network.
2 On the PC, open the DVD or CD Sharing control panel.
3 Select“Enable Remote DVD or CD.”If you want other users to request permission to
share a DVD or CD, select“Ask me before allowing others to use my DVD drive.”18 Chapter 1 Ready, Set Up, Go
To use a shared DVD or CD:
1 On the other computer, insert a DVD or CD into the optical disc drive.
2 On your MacBook Air, select Remote Disc when it appears under Devices in the Finder
sidebar. If you see the “Ask to use” button, click it.
3 On the other computer, when prompted, click Accept to allow your MacBook Air to use
the DVD or CD.
4 On your MacBook Air, use the disc as you normally would once it becomes available.
If you try to shut down the other computer or eject the shared DVD or CD while
your MacBook Air is using it, you see a message telling you that the disc is in use.
To proceed, click Continue.
Putting Your MacBook Air to Sleep or Shutting It Down
When you finish working with your MacBook Air, you can put it to sleep or shut
it down.
Putting Your MacBook Air to Sleep
If you’ll be away from your MacBook Air for only a short time, put it to sleep.When it’s
in sleep, you can quickly wake it and bypass the startup process.
To put your MacBook Air to sleep, do one of the following:
 Close the display.
 Choose Apple (?) > Sleep from the menu bar.
 Press the power button (®) and click Sleep in the dialog that appears.
 Choose Apple (?) > System Preferences, click Energy Saver, and set a sleep timer.Chapter 1 Ready, Set Up, Go 19
To wake your MacBook Air:
 If the display is closed, simply open it to wake your MacBook Air.
 If the display is already open, press the power button (®) or any key on the keyboard.
When your MacBook Air wakes from sleep, your applications, documents, and
computer settings are exactly as you left them.
Shutting Down Your MacBook Air
If you aren’t going to use your MacBook Air for an extended period of time, it’s best to
shut it down.
To shut down your MacBook Air, do one of the following:
 Choose Apple (?) > Shut Down from the menu bar.
 Press the power button (®) and click Shut Down in the dialog that appears.
If you plan to store your MacBook Air for an extended period of time, see “Important
Handling Information” on page 59 for information about how to prevent your battery
from draining completely.www.apple.com/macosx
Help Center Mac OS X
www.apple.com/macosx
Life with Your MacBook Air
222 Chapter 2 Life with Your MacBook Air
Basic Features of Your MacBook Air
Battery
(built-in)
Camera indicator light
FaceTime camera
Stereo speakers
(under keyboard)
TrackpadChapter 2 Life with Your MacBook Air 23
Built-in FaceTime camera and camera indicator light
Use the included FaceTime application to make video calls to other FaceTime users
(on any iPhone 4, iPad 2, new iPod touch, or Mac with FaceTime), take pictures with
Photo Booth, or capture video with iMovie. The indicator light glows when the
FaceTime camera is operating.
Built-in stereo speakers
Listen to music, movies, games, and multimedia files.
Built-in rechargeable battery
Use battery power when you’re away from a power outlet.
Trackpad
Click or double-click anywhere on the trackpad. Touch the trackpad with one or more
fingers to move the pointer and use Multi-Touch gestures (see page 28).24 Chapter 2 Life with Your MacBook Air
Keyboard Features of Your MacBook Air
Function (fn) key
Mute
key
Media
keys
Power
button
Mission
Control key
Launchpad
key
Volume
keys
Brightness
keys
Keyboard
illumination keysChapter 2 Life with Your MacBook Air 25
Function (fn) key
Press and hold this key to activate customized actions assigned to the function keys
(F1 to F12). To learn how to customize function keys, search for“function keys”in
Help Center.
Brightness keys (F1, F2)
Increase ( ) or decrease ( ) the brightness of the screen.
Mission Control key (F3)
Open Mission Control to get a comprehensive view of what’s running on your
MacBook Air, including Dashboard, all your spaces, and all open windows.
Launchpad key (F4)
Open Launchpad to instantly see all the applications on your MacBook Air. Click an
application to open it.
o Keyboard illumination keys (F5, F6)
Increase (o) or decrease (ø) the brightness of the keyboard illumination.
’ Media keys (F7, F8, F9)
Rewind ( ), play or pause (’), or fast-forward ( ) a song, movie, or slideshow.
— Mute key (F10)
Mute the sound coming from the built-in speakers and headphone port.
- Volume keys (F11, F12)
Increase (-) or decrease (–) the volume of sound coming from the built-in speakers or
headphone port.
® Power button
Turn your MacBook Air on or off, or put it to sleep.26 Chapter 2 Life with Your MacBook Air
Ports on Your MacBook Air
d USB 2.0 port
d USB 2.0 port Microphone
¯MagSafe
power port
Headphone
port
f
Thunderbolt portChapter 2 Life with Your MacBook Air 27
¯ MagSafe power port
Plug in the included 45W MagSafe Power Adapter to recharge the MacBook Air battery.
d USB (Universal Serial Bus) 2.0 ports
Connect a MacBook Air SuperDrive, USB to Ethernet adapter, iPod, iPhone, iPad,
mouse, keyboard, printer, disk drive, digital camera, joystick, modem, and more to your
MacBook Air.
f Headphone port
Connect external speakers and headphones.
Built-in microphone
Capture sounds with the microphone (located on the left side, next to the headphone
port) or talk with friends live over broadband using the included FaceTime application.
Thunderbolt port (high-speed data, video, and audio)
Connect Thunderbolt-compatible devices for high-speed data transfer, or connect
an external display that uses Mini DisplayPort. You can purchase adapters to connect
displays that use DVI, HDMI, or VGA.
Note: Adapters and other accessories are sold separately at www.apple.com/store or
your local Apple Retail Store.28 Chapter 2 Life with Your MacBook Air
Using the Multi-Touch Trackpad
Use the trackpad to move the pointer and to perform a variety of Multi-Touch gestures.
Unlike typical trackpads, the entire MacBook Air trackpad is a button, and you can click
anywhere on the trackpad. To enable Multi-Touch gestures, view instructional videos of
the gestures, and set other trackpad options, choose Apple (?) > System Preferences,
and then click Trackpad.
Here are ways to use your MacBook Air trackpad:
 Two-finger scrolling lets you drag to scroll quickly up, down, or sideways in the active
window.Chapter 2 Life with Your MacBook Air 29
 Secondary-clicking or “right-clicking” lets you access shortcut menu commands.
• To set up two-finger secondary-clicking anywhere on the trackpad, select
“Secondary click”in the Point & Click pane of Trackpad preferences.
• To set up a one-finger secondary-click zone in the bottom left or right corner of the
trackpad, select“Secondary click”in the Point & Click pane of Trackpad preferences,
and choose an option from the pop-up menu.
Secondary-click zone
Note: You can also secondary-click by holding down the Control key while you click.30 Chapter 2 Life with Your MacBook Air
The following trackpad gestures work in certain applications.When you perform these
gestures, slide your fingers lightly on the surface of the trackpad. For more information,
see Trackpad preferences or choose Help > Help Center and search for“trackpad.”
 Two-finger pinching lets you zoom in or out on PDFs, images, photos, and more.
 Two-finger rotating lets you rotate photos, pages, and more.Chapter 2 Life with Your MacBook Air 31
 Three-finger swiping works in the Finder and all applications. Swiping three fingers to
the left or right lets you cycle through full-screen applications. Swiping three fingers
up opens Mission Control. You can also set these options to work with four fingers.
 Four-finger pinching displays Launchpad when you pinch your thumb and three
fingers together. Spread the same fingers apart to return to the desktop.
Note: You can specify other functions for many gestures. For details about all available
gestures, choose Apple (?) > System Preferences, and then click Trackpad. Click the
checkboxes to turn gestures on or off, and explore the pop-up menus to see the
options for each gesture.32 Chapter 2 Life with Your MacBook Air
Running Your MacBook Air on Battery Power
When the MagSafe power adapter isn’t connected, your MacBook Air draws power
from its built-in battery. The length of time that you can run your MacBook Air varies,
depending on the applications you use and the external devices connected to your
MacBook Air.
Turning off features such as Wi-Fi or Bluetooth® wireless technology and reducing
screen brightness can help conserve battery charge. Many of your system preferences
are automatically set to optimize battery life.
Charging the Battery
You can determine whether the battery needs to be charged by looking at the
indicator light on the MagSafe connector. If the light is glowing amber, the battery
needs to be charged. If the light is glowing green, the battery is fully charged.
You can also check the amount of battery charge left by viewing the Battery status
icon ( ) in the menu bar. The battery charge level displayed is based on the amount
of power left in the battery with the applications, peripheral devices, and system
settings you are currently using. To conserve battery power, close applications and
disconnect peripheral devices not in use, and adjust your Energy Saver settings.
For more information about battery conservation and performance tips, go to
www.apple.com/batteries/notebooks.html.
When the power adapter that came with your MacBook Air is connected, the battery
recharges whether the computer is on, off, or in sleep. The battery recharges more
quickly, however, when the computer is off or in sleep.Chapter 2 Life with Your MacBook Air 33
The battery in your MacBook Air can be replaced only by an Apple Authorized Service
Provider or at an Apple Retail Store.
Getting Answers
Much more information about using your MacBook Air is available in Help Center, and
on the Internet at www.apple.com/support/macbookair.
To get help from Help Center:
1 Click the Finder icon in the Dock (the bar of icons along the edge of the screen).
2 Click the Help menu in the menu bar and do one of the following:
 Type a question or term in the Search field, and choose a topic from the results list or
choose Show All Help Topics to see all topics.
 Choose Help Center to open the Help Center window, where you can browse or
search topics.34 Chapter 2 Life with Your MacBook Air
More Information
For more information about using your MacBook Air, see the following:
To learn about See
Troubleshooting your
MacBook Air if you have
a problem
Chapter 3,“Problem, Meet Solution” on page 37.
Finding service and support
for your MacBook Air
“Learning More, Service, and Support” on page 50. Or go to the
Apple Support website at www.apple.com/support/macbookair.
Using Mac OS X The Mac OS X website at www.apple.com/macosx.
Or search for“Mac OS X”in Help Center.
Moving from a PC to a Mac “Why You’ll Love a Mac” at www.apple.com/getamac/whyamac.
Migration Assistant Help Center and search for“Migration Assistant.”
Using iLife applications The iLife website at www.apple.com/ilife. Or open an iLife
application, open Help for the application, and then type a
question or term in the search field.
Changing System Preferences System Preferences by choosing Apple (K) > System
Preferences. Or search for“system preferences”in Help Center.
Using the trackpad System Preferences, and then click Trackpad.
Using the keyboard Help Center and search for“keyboard.”
Using the FaceTime camera Help Center and search for“camera.”
Using Wi-Fi technology Help Center and search for“wi-fi.”
Using Bluetooth wireless
technology
The Bluetooth Support page at www.apple.com/support/
bluetooth. Or open the Bluetooth File Exchange application
(in the Utilities folder in Launchpad) and choose Help >
Bluetooth Help.Chapter 2 Life with Your MacBook Air 35
To learn about See
Caring for the battery Help Center and search for“battery.”
Connecting a printer Help Center and search for“printing.”
USB connections Help Center and search for“USB”.
Connecting to the Internet Help Center and search for“Internet.”
Using the Thunderbolt port Help Center and search for“Thunderbolt.”
Connecting an external display Help Center and search for“display port.”
Specifications The Specifications page at support.apple.com/specs. Or open
System Information by choosing Apple (K) > About This Mac
from the menu bar, and then click More Info.
Apple news The Apple website at www.apple.com.
Software downloads The Mac App Store (choose Apple (K) > App Store or click the
App Store icon in the Dock).
Instructions, technical support,
and manuals for Apple products
The Apple Support website at www.apple.com/support.www.apple.com/macosx
Help Center help
www.apple.com/support
Problem, Meet Solution
338 Chapter 3 Problem, Meet Solution
Occasionally, you may have problems while working with your MacBook Air. Read
on for troubleshooting tips to try when you have a problem. You can also find more
troubleshooting information in Help Center and on the MacBook Air Support website
at www.apple.com/support/macbookair.
If you experience a problem with your MacBook Air, there’s usually a simple and quick
solution. Think about the conditions that led up to the problem. Making a note of
things you did before the problem occurred will help you narrow down possible causes
and find the answers you need. Things to note include:
 The applications you were using when the problem occurred. Problems that occur
only with a specific application might indicate that the application is not compatible
with the version of the Mac OS installed on your MacBook Air.
 Any new software that you installed, especially software that added items to the
System folder.
An Ounce of Prevention
If you have a problem with your computer or software, having kept up-to-date Time
Machine backups ensures that your data won’t be lost. If you make regular Time
Machine backups, you can restore your software and all your data to exactly the way
it was at the time of the backup. Even serious issues are of less concern when you
safeguard your information with Time Machine.Chapter 3 Problem, Meet Solution 39
Problems That Prevent You from Using Your MacBook Air
If your MacBook Air doesn’t respond or the pointer doesn’t move
On rare occasion, an application might“freeze” on the screen. Mac OS X provides a way
to quit a frozen application without restarting the computer.
To force an application to quit:
1 Press Command (x)-Option-Esc or choose Apple (?) > Force Quit from the menu bar.
The Force Quit Applications dialog appears with the application selected.
2 Click Force Quit.
The application quits, leaving all other applications open.
If you need to, you can also restart the Finder from this dialog.
Next, restart your MacBook Air to make sure the problem is entirely cleared up.
If the problem occurs frequently, choose Help > Help Center from the menu bar at the
top of the screen. Search for the word “freeze”to get help for times when the computer
freezes or doesn’t respond.
If the problem occurs only when you use a particular application, check with the
application’s manufacturer to see if the application is compatible with your
MacBook Air. To get information for the software that came with your MacBook Air,
go to www.apple.com/downloads.
If you know an application is compatible, you might need to reinstall the application.40 Chapter 3 Problem, Meet Solution
If your MacBook Air freezes during startup, or you see a flashing question mark,
or the display is dark
The flashing question mark usually means that your MacBook Air can’t find the system
software on the internal flash storage or on any external disks that are attached.
Wait a few seconds. If your MacBook Air still doesn’t start up, shut it down by holding
down the power button (®) for about 8 to 10 seconds. Disconnect all external
peripherals and try restarting by pressing the power button (®) while holding down
the Option key.When your MacBook Air starts up, click the internal flash storage icon,
and then click the right arrow. After it starts up, open System Preferences and click
Startup Disk. Select a local Mac OS X system folder.
If your MacBook Air doesn’t turn on or start up
Try the following suggestions in order until your MacBook Air turns on:
 Make sure the power adapter is plugged into your MacBook Air and into a
functioning power outlet. Be sure to use the 45W MagSafe Power Adapter that came
with your MacBook Air. If the power adapter stops charging and you don’t see the
indicator light on the power adapter turn on when you plug in the power cord, try
unplugging and replugging the power cord to reseat it.
 Check whether the battery needs to be recharged. If the light on the power adapter
glows amber, the battery is charging. See “Charging the Battery” on page 32.
 If the problem persists, reset the MacBook Air power manager (while still preserving
your files) by pressing the left Shift key, left Option key, left Control key, and the
power button (®) simultaneously for five seconds until your MacBook Air restarts.Chapter 3 Problem, Meet Solution 41
 Press and release the power button (®) and immediately hold down the
Command (x), Option, P, and R keys simultaneously until you hear the startup
sound a second time. This resets the parameter RAM (PRAM).
 If you still can’t start up your MacBook Air, see “Learning More, Service, and Support”
on page 50 for information about contacting Apple for service.
If the screen suddenly goes black or your MacBook Air freezes
Try restarting your MacBook Air.
1 Unplug any devices that are connected to your MacBook Air, except the power adapter.
2 Press the power button (®) to restart the system.
3 Let the battery charge to at least 10 percent before plugging in any external devices
and resuming your work.
To see how much the battery has charged, look at the Battery status icon ( ) in the
menu bar.
The screen might also darken if you have energy saver features set for the battery.
If your MacBook Air can’t connect to another computer’s optical disc drive
To use services such as Migration Assistant, DVD or CD Sharing, and iTunes music
sharing, both your MacBook Air and the other computer must be connected to the
same network. If your MacBook Air is connected wirelessly and the other computer
is connected to a third-party router by Ethernet, check your router documentation
to make sure it supports bridging a wireless to wired connection.42 Chapter 3 Problem, Meet Solution
Repairing, Restoring, or Reinstalling Mac OS X Software
If you have a problem with your Mac software or hardware, Mac OS X provides repair
and restore utilities that may eliminate problems and can even restore your software
to its original factory settings. You can access these utilities from the Mac OS X Utilities
application, even if your computer isn’t starting up correctly.
Use the Mac OS X Utilities application to:
 Repair your computer’s disk using Disk Utility.
 Restore your software and data from a Time Machine backup.Chapter 3 Problem, Meet Solution 43
 Reinstall Mac OS X and Apple applications.
 Restore your computer to its factory settings by erasing its disk and reinstalling
Mac OS X and your Apple applications.
If your computer detects a problem, it opens the Mac OS X Utilities application
automatically. You can also open it manually by restarting your computer.
To open the Mac OS X Utilities application:
m Restart your computer while holding down the Command (x) and R keys. The Mac OS X
Utilities pane appears.
Important: If the Mac OS X Utilities application doesn’t open after restarting, hold
down Command (x)-Option-R and restart the computer to access the Mac OS X
Utilities software from the Internet. Your computer must be connected to a network
that has access to the Internet.
Some utilities in the Mac OS X Utilities application require access to the Internet and
the Mac App Store. You may need to make sure your computer is connected to the
Internet by using your Ethernet or Wi-Fi network.
To connect by using a Wi-Fi network:
1 Choose a network from the Wi-Fi status menu in the upper right corner of the screen.
2 If necessary, type the network password.
To join a closed network, choose Join Other Network. Enter the network’s name
and password.44 Chapter 3 Problem, Meet Solution
Repairing a Disk with Disk Utility
If you have a problem with your computer, or if you start your computer and see the
Mac OS X Utilities application, you may need to repair your computer’s disk.
1 Select Disk Utility in the Mac OS X Utilities pane and click Continue.
2 Select the disk or partition in the list on the left, and then click the First Aid tab.
3 Click Repair Disk.
If Disk Utility can’t repair the disk, back up as much of your information as possible,
and then follow the instructions in “Reinstalling Mac OS X and Apple Applications” on
page 45.
For information about Disk Utility and its options, see Help Center, or open Disk Utility
(in the Utilities folder in Launchpad) and choose Help > Disk Utility Help.
Restoring Information Using a Time Machine Backup
If you previously created a Time Machine backup, use the Restore utility to restore
everything on your computer to its previous state.
Use your Time Machine backup to restore information only to the computer that was
the source of the backup. If you want to transfer information to a new computer, use
Migration Assistant (in the Utilities folder in Launchpad).
1 If your backup is on a Time Capsule, make sure you’re connected to an Ethernet or
Wi-Fi network. (To connect to a Wi-Fi network, follow the instructions on page 43.)
2 In the Mac OS X Utilities pane, select Restore From Time Machine Backup and
click Continue.
3 Select the disk that contains the Time Machine backup, and then follow the onscreen
instructions.Chapter 3 Problem, Meet Solution 45
Reinstalling Mac OS X and Apple Applications
Under some circumstances, you may need to reinstall Mac OS X and Apple applications.
You can reinstall while keeping your files and user settings intact.
1 Make sure your MacBook Air is connected to the Internet by using an Ethernet or Wi-Fi
network. (To connect to a Wi-Fi network, follow the instructions on page 43.)
2 In the Mac OS X Utilities pane, select Reinstall Mac OS X and click Continue.
3 In the pane where you’re asked to select a disk, select your current Mac OS X disk
(in most cases, it is the only one available).
4 To select or deselect optional software, click Customize.
5 Click Install.
You can install Mac OS X without erasing the disk, which saves your existing files
and settings, or you can erase the disk first, which erases all your data and leaves the
computer ready for you to reinstall Mac OS X and Apple applications.
After installing Mac OS X, you can go to the Mac App Store and re-download your
Apple applications.
Important: Apple recommends that you back up the data on the disk before restoring
software. Apple is not responsible for any lost data.
Restoring Your Computer to Its Factory Settings
When you restore your computer to its factory settings, everything on your computer
(your user accounts, network settings, and all of your files and folders) is deleted. Before
you restore, back up any files you want to keep by copying them to another disk.
Write down your network settings from Network preferences to make it easier to get
connected again after reinstalling Mac OS X.46 Chapter 3 Problem, Meet Solution
1 Make sure your MacBook Air is connected to the Internet by using an Ethernet or Wi-Fi
network. (To connect to a Wi-Fi network, follow the instructions on page 43.)
2 In the Mac OS X Utilities pane, select Disk Utility and click Continue.
3 Select the disk in the list on the left, and then click the Erase tab.
4 Select Mac OS Extended (Journaled) from the Format pop-up menu, type a name for
the disk, and then click Erase.
5 After the disk is erased, choose Disk Utility > Quit Disk Utility.
6 In the Mac OS X Utilities pane, select Reinstall Mac OS X and click Continue.
7 To reinstall Mac OS X and your applications, follow the instructions in the Mac OS X
Installer.
After restoring Mac OS X and your Apple applications, you can selectively restore your
other data and applications from a Time Machine backup.
Checking for a Hardware Problem
If you suspect a hardware problem, use the Apple Hardware Test application to help
determine if there’s a problem with one of the MacBook Air components, such as the
memory or processor.
To use Apple Hardware Test:
1 Disconnect all external devices from your MacBook Air except the power adapter.
2 Restart your MacBook Air while holding down the D key.
3 When the Apple Hardware Test chooser screen appears, select the language you want
to use.
4 Press the Return key or click the right arrow button.Chapter 3 Problem, Meet Solution 47
5 When the Apple Hardware Test main screen appears (after about 45 seconds), follow
the onscreen instructions.
6 If Apple Hardware Test detects a problem, it displays an error code. Make a note of the
error code before pursuing support options. If Apple Hardware Test doesn’t detect a
hardware failure, the problem may be software related.
Important: If the Apple Hardware Test doesn’t appear after restarting, hold down
Option-D and restart the computer to access the Apple Hardware Test software from
the Internet. Your computer must be connected to a network that has access to the
Internet.
Problems with Your Internet Connection
Your MacBook Air has a Network Setup Assistant application to help you set up an
Internet connection. Open System Preferences and click Network.
Click the “Assist me” button to open Network Setup Assistant.
If you have trouble with your Internet connection, try using Network Diagnostics.
To use Network Diagnostics:
1 Choose Apple (?) > System Preferences.
2 Click Network and then click “Assist me.”
3 Click Diagnostics to open Network Diagnostics.
4 Follow the onscreen instructions.
If Network Diagnostics can’t resolve the problem, there may be a problem with the
Internet service provider (ISP) you are trying to connect to, with an external device you
are using to connect to your ISP, or with the server you are trying to access.48 Chapter 3 Problem, Meet Solution
If you have two or more computers sharing an Internet connection, be sure that your
wireless network is set up properly. You need to know if your ISP provides only one IP
address or if it provides multiple IP addresses, one for each computer.
If only one IP address is provided, then you must have a router capable of sharing
the connection, also known as network address translation (NAT) or“IP masquerading.”
For setup information, check the documentation provided with your router or
ask the person who set up your network. You can use an AirPort base station to
share one IP address among multiple computers. For information about using
an AirPort base station, check Help Center or visit the Apple AirPort website at
www.apple.com/support/airport.
If you cannot resolve the issue using these steps, contact your ISP or network
administrator.
Problems with Wi-Fi Communication
If you have trouble using Wi-Fi (wireless communication):
 Make sure the computer or network you’re trying to connect to is running and has
a wireless access point.
 Make sure you’ve properly configured the software according to the instructions that
came with your base station or access point.
 Make sure you’re within range of the other computer or the network’s access
point. Nearby electronic devices or metal structures can interfere with wireless
communication and reduce this range. Repositioning or rotating the computer might
improve reception.Chapter 3 Problem, Meet Solution 49
 Check the Wi-Fi status icon (Z) in the menu bar. Up to four bars appear, indicating
signal strength. If signal strength is low, try changing your location.
 Get help online by choosing Help > Help Center, and then searching for“wi-fi”. Also
see the instructions that came with the wireless device for more information.
Keeping Your Software Up to Date
You can connect to the Internet and automatically download and install the latest
free software versions, drivers, and other enhancements from Apple.
When you’re connected to the Internet, Software Update checks to see if any updates
are available. You can set your MacBook Air to check for updates periodically, and
download and install updated software.
To check for updated software:
1 Choose Apple (?) > System Preferences.
2 Click the Software Update icon and follow the onscreen instructions.
 For more information, search for“Software Update”in Help Center.
 For the latest information about Mac OS X, go to www.apple.com/macosx.
You’ll also get notices from the Mac App Store when application updates are available.
A small number indicating the number of updates appears on the right edge of the
App Store icon. You can update one or more applications at a time.50 Chapter 3 Problem, Meet Solution
Learning More, Service, and Support
Your MacBook Air does not have any user-serviceable or user-replaceable parts. If you
need service, contact Apple or take your MacBook Air to an Apple Authorized Service
Provider. You can find more information about your MacBook Air through online
resources, onscreen help, System Information, and Apple Hardware Test.
Online Resources
For online service and support information, go to www.apple.com/support and choose
your country from the pop-up menu. You can search the AppleCare Knowledge Base,
check for software updates, or get help from Apple’s discussion forums.
Onscreen Help
You can often find answers to your questions, as well as instructions and
troubleshooting information, in Help Center. Choose Help > Help Center.
System Information
To get information about your MacBook Air, use System Information. It shows you
what hardware and software is installed, the serial number and operating system
version, how much memory is installed, and more. To open System Information,
choose Apple (?) > About This Mac from the menu bar and then click More Info.
AppleCare Service and Support
Your MacBook Air comes with 90 days of technical support and one year of
hardware repair warranty coverage at an Apple Retail Store or an Apple-authorized
repair center, such as an Apple Authorized Service Provider. You can extend your
coverage by purchasing the AppleCare Protection Plan. For information, visit
www.apple.com/support/products or visit the website address for your country
listed later in the section.Chapter 3 Problem, Meet Solution 51
If you need assistance, AppleCare telephone support representatives can help you
with installing and opening applications, and basic troubleshooting. Call the support
center number nearest you (the first 90 days are complimentary). Have the purchase
date and your MacBook Air serial number ready when you call.
Your 90 days of complimentary telephone support begins on the date of purchase.
Country Phone Website
United States 1-800-275-2273 www.apple.com/support
Australia (61) 1-300-321-456 www.apple.com/au/support
Canada (English)
(French)
1-800-263-3394 www.apple.com/ca/support
www.apple.com/ca/fr/support
Ireland (353) 1850 946 191 www.apple.com/ie/support
New Zealand 00800-7666-7666 www.apple.com/nz/support
United Kingdom (44) 0844 209 0611 www.apple.com/uk/support
Telephone numbers are subject to change, and local and national telephone rates may
apply. A complete list is available on the web:
www.apple.com/support/contact/phone_contacts.html52 Chapter 3 Problem, Meet Solution
Locating Your Product Serial Number
Use one of these methods to find your MacBook Air serial number:
 Turn over your MacBook Air. The serial number is etched into the case near the hinge.
Serial number
 Choose Apple (?) > About This Mac. Click the version number beneath the words
“Mac OS X”to cycle through the Mac OS X version number, the build version, and the
serial number.
 Open System Information (in the Utilities folder in Launchpad). In the Contents pane,
click Hardware.www.apple.com/macosx
Last, but Not Least
4
Help Center ergonomics
www.apple.com/environment54 Chapter 4 Last, but Not Least
For your safety and that of your equipment, follow these rules for handling and
cleaning your MacBook Air and for working more comfortably. Keep these instructions
handy for reference by you and others.
NOTICE: Incorrect storage or use of your MacBook Air may void the manufacturer’s
warranty.
Important Safety Information
WARNING: Failure to follow these safety instructions could result in fire, electric shock,
or other injury or damage.
Built-in battery Do not remove the battery from your MacBook Air. The battery
should be replaced only by an Apple Authorized Service Provider. Discontinue use of
your MacBook Air if it’s dropped or appears crushed, bent, deformed, or damaged. Do
not expose your MacBook Air to extreme heat sources, such as radiators or fireplaces,
where temperatures might exceed 212°F or 100°C.
Proper handling The bottom of your MacBook Air may become very warm during
normal use. The MacBook Air complies with the user-accessible surface temperature
limits defined by the International Standard for Safety of Information Technology
Equipment (IEC 60950-1).Chapter 4 Last, but Not Least 55
To operate the computer safely and reduce the possibility of heat-related injuries,
follow these guidelines:
 Set up your MacBook Air on a stable work surface that allows for adequate air
circulation under and around the computer.
 Do not operate your MacBook Air on a pillow, blanket, or other soft material, because
the material can block the airflow vents.
 Never place anything over the keyboard when operating your MacBook Air.
 Do not push objects into the ventilation openings.
 If your MacBook Air is on your lap and gets uncomfortably warm, remove it from your
lap and place it on a stable work surface.
Water and wet locations Keep your MacBook Air away from sources of liquid, such as
drinks, washbasins, bathtubs, shower stalls, and so on. Protect your MacBook Air from
dampness or wet weather, such as rain, snow, and fog.
45W MagSafe Power Adapter Use only the power adapter that came with your
MacBook Air, or an Apple-authorized power adapter that is compatible with this
product. Make sure the AC plug or AC power cord is fully inserted into the power
adapter before plugging the adapter into a power outlet.
The power adapter may become very warm during normal use. The MagSafe Power
Adapter complies with the user-accessible surface temperature limits defined by the
International Standard for Safety of Information Technology Equipment (IEC 60950-1).56 Chapter 4 Last, but Not Least
To reduce the possibility of overheating the power adapter or of heat-related injuries,
do one of the following:
 Plug the power adapter directly into a power outlet.
AC plug MagSafe connector
MagSafe Power Adapter
 If you’re using the AC power cord, place the power adapter on a desk, table, or on the
floor in a well-ventilated location.
MagSafe connector
MagSafe Power Adapter
AC power cordChapter 4 Last, but Not Least 57
Disconnect the power adapter and disconnect any other cables if any of the following
conditions exists:
 You want to clean the case (use only the recommended procedure described on
page 60).
 The power cord or plug becomes frayed or otherwise damaged.
 Your MacBook Air or power adapter is exposed to rain, excessive moisture, or liquid
spilled into the case.
 Your MacBook Air or power adapter has been dropped, the case has been damaged,
or you suspect that service or repair is required.
The MagSafe power port contains a magnet that can erase data on a credit card,
iPod, or other device. To preserve your data, do not place these or other magnetically
sensitive material or devices within 1 inch (25 mm) of this port.
If debris gets into the MagSafe power port, remove it gently with a dry cotton swab.
MagSafe power specifications:
 Frequency: 50 to 60 Hz, single phase
 Line Voltage: 100 to 240 V
 Output Voltage: 14.5 V DC, 3.1 A58 Chapter 4 Last, but Not Least
Hearing damage Permanent hearing loss may occur if earbuds or headphones are
used at high volume. You can adapt over time to a higher volume of sound that may
sound normal but can be damaging to your hearing. If you experience ringing in your
ears or muffled speech, stop listening and have your hearing checked. The louder the
volume, the less time is required before your hearing could be affected. Hearing experts
suggest that to protect your hearing:
 Limit the amount of time you use earbuds or headphones at high volume.
 Avoid turning up the volume to block out noisy surroundings.
 Turn the volume down if you can’t hear people speaking near you.
High-risk activities This computer is not intended for use in the operation of nuclear
facilities, aircraft navigation or communications systems, air traffic control systems, or
for any other uses where a failure of the computer system could lead to death, personal
injury, or severe environmental damage.Chapter 4 Last, but Not Least 59
Important Handling Information
NOTICE: Failure to follow these handling instructions could result in damage to your
MacBook Air or other property.
Operating environment Operating your MacBook Air outside these ranges may affect
performance:
 Operating temperature: 50° to 95° F (10° to 35° C)
 Storage temperature: -4° to 113° F (-20° to 45° C)
 Relative humidity: 5% to 90% (noncondensing)
 Operating altitude: 0 to 10,000 feet (0 to 3048 meters)
Carrying your MacBook Air If you carry your MacBook Air in a bag or briefcase, make
sure that there are no loose items (such as paper clips or coins) that could accidentally
get inside the computer through vent openings or get stuck inside a port. Also, keep
magnetically sensitive items away from the MagSafe power port.
Using connectors and ports Never force a connector into a port.When connecting
a device, make sure the port is free of debris, that the connector matches the port,
and that you have positioned the connector correctly in relation to the port.
Handling glass parts Your MacBook Air contains glass components, including the
display and trackpad. If they are damaged, don’t use your MacBook Air until it has been
repaired by an Apple Authorized Service Provider.60 Chapter 4 Last, but Not Least
Storing your MacBook Air If you are going to store your MacBook Air for an extended
period of time, keep it in a cool location (ideally, 71° F or 22° C) and discharge the
battery to 50 percent.When storing your computer for longer than five months,
discharge the battery to approximately 50 percent. To maintain the capacity of the
battery, recharge the battery to 50 percent every six months or so.
Cleaning your MacBook Air When cleaning the outside of your MacBook Air and its
components, first shut down your MacBook Air, and then unplug the power adapter.
Then use a damp, soft, lint-free cloth to clean the MacBook Air exterior. Avoid getting
moisture in any openings. Do not spray liquid directly on the computer. Do not use
aerosol sprays, solvents, or abrasives that might damage the finish.
Cleaning the MacBook Air screen To clean your MacBook Air screen, first shut down
your MacBook Air and unplug the power adapter. Then use a soft, lint-free cloth
dampened with just water and wipe the screen. Do not spray liquid directly on the screen.Chapter 4 Last, but Not Least 61
Understanding Ergonomics
Here are some tips for setting up a healthy work environment.
Keyboard and Trackpad
When you use the keyboard and trackpad, your shoulders should be relaxed. Your
upper arm and forearm should form an angle that is slightly greater than a right angle,
with your wrist and hand in roughly a straight line.
This Not this
Use a light touch when typing or using the trackpad and keep your hands and fingers
relaxed. Avoid rolling your thumbs under your palms.
This Not this62 Chapter 4 Last, but Not Least
Change hand positions often to avoid fatigue. Some computer users might develop
discomfort in their hands, wrists, or arms after intensive work without breaks. If you
begin to develop chronic pain or discomfort in your hands, wrists, or arms, consult a
qualified health specialist.
External Mouse
If you use an external mouse, position the mouse at the same height as the keyboard
and within a comfortable reach.
Chair
An adjustable chair that provides firm, comfortable support is best. Adjust the height
of the chair so your thighs are horizontal and your feet are flat on the floor. The back of
the chair should support your lower back (lumbar region). Follow the manufacturer’s
instructions for adjusting the backrest to fit your body properly.
You might have to raise your chair so that your forearms and hands are at the proper
angle to the keyboard. If this makes it impossible to rest your feet flat on the floor, you
can use a footrest with adjustable height and tilt to make up for any gap between the
floor and your feet. Or you can lower the desktop to eliminate the need for a footrest.
Another option is to use a desk with a keyboard tray that’s lower than the regular
work surface.Chapter 4 Last, but Not Least 63
Built-In Display
Adjust the angle of the display to minimize glare and reflections from overhead
lights and windows. Do not force the display if you meet resistance. The display is
not designed to open past 135 degrees.
You can adjust the brightness of the screen when you take the computer from one
work location to another, or if the lighting in your work area changes.
More information about ergonomics is available on the web:
www.apple.com/about/ergonomics
Apple and the Environment
Apple Inc. recognizes its responsibility to minimize the environmental impacts of its
operations and products.
More information is available on the web:
www.apple.com/environment64
Regulatory Compliance Information
FCC Compliance Statement
This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation
is subject to the following two conditions: (1) This device may
not cause harmful interference, and (2) this device must accept
any interference received, including interference that may cause
undesired operation. See instructions if interference to radio or
television reception is suspected.
L‘utilisation de ce dispositif est autorisée seulement aux conditions
suivantes: (1) il ne doit pas produire de brouillage et (2)
l’utilisateur du dispositif doit étre prêt à accepter tout brouillage
radioélectrique reçu, même si ce brouillage est susceptible de
compromettre le fonctionnement du dispositif.
Radio and Television Interference
This computer equipment generates, uses, and can radiate radiofrequency energy. If it is not installed and used properly—that
is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause
interference with radio and television reception.
This equipment has been tested and found to comply with
the limits for a Class B digital device in accordance with the
specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications
are designed to provide reasonable protection against such
interference in a residential installation. However, there is
no guarantee that interference will not occur in a particular
installation.
You can determine whether your computer system is causing
interference by turning it off. If the interference stops, it was
probably caused by the computer or one of the peripheral devices.
If your computer system does cause interference to radio or
television reception, try to correct the interference by using one or
more of the following measures:
• Turn the television or radio antenna until the interference stops.
• Move the computer to one side or the other of the television
or radio.
• Move the computer farther away from the television or radio.
• Plug the computer in to an outlet that is on a different circuit
from the television or radio. (That is, make certain the computer
and the television or radio are on circuits controlled by different
circuit breakers or fuses.)
If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or
Apple. See the service and support information that came with
your Apple product. Or consult an experienced radio/television
technician for additional suggestions.
Important: Changes or modifications to this product not
authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and
negate your authority to operate the product.
This product has demonstrated EMC compliance under conditions
that included the use of compliant peripheral devices and shielded
cables (including Ethernet network cables) between system
components. It is important that you use compliant peripheral
devices and shielded cables between system components to
reduce the possibility of causing interference to radios, television
sets, and other electronic devices.
Responsible party (contact for FCC matters only):
Apple Inc. Corporate Compliance
1 Infinite Loop, MS 26-A
Cupertino, CA 95014
Wireless Radio Use
This device is restricted to indoor use when operating in the 5.15 to
5.25 GHz frequency band.
Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur.
Exposure to Radio Frequency Energy
The radiated output power of the AirPort Extreme technology
is below the FCC and EU radio frequency exposure limits.
Nevertheless, it is advised to use the wireless equipment in such
a manner that the potential for human contact during normal
operation is minimized.
FCC Bluetooth Wireless Compliance
The antenna used with this transmitter must not be colocated or
operated in conjunction with any other antenna or transmitter
subject to the conditions of the FCC Grant.65
Bluetooth Industry Canada Statement
This Class B device meets all requirements of the Canadian
interference-causing equipment regulations.
Cet appareil numérique de la Class B respecte toutes les exigences
du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada.
Industry Canada Statement
Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications.
Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme
NMB-003 du Canada. This device complies with RSS 210 of Industry
Canada.
Bluetooth Europe—EU Declaration of Conformity
This wireless device complies with the R&TTE Directive.
Europe–EU Declaration of Conformity
????????? Apple Inc. ?????????, ?? ???? MacBook Air ?
? ???????????? ??? ???????????? ?????????? ? ???????
????????? ??????? ?? ????????? 1999/5/??.
Cesky Spolecnost Apple Inc. tímto prohlašuje, že tento
MacBook Air je ve shode se základními požadavky a dalšími
príslušnými ustanoveními smernice 1999/5/ES.
Dansk Undertegnede Apple Inc. erklærer herved, at følgende
udstyr MacBook Air overholder de væsentlige krav og øvrige
relevante krav i direktiv 1999/5/EF.
Deutsch Hiermit erklärt Apple Inc., dass sich das MacBook Air
in Übereinstimmung mit den grundlegenden Anforderungen
und den übrigen einschlägigen Bestimmungen der Richtlinie
1999/5/EG befinden.
Eesti Käesolevaga kinnitab Apple Inc., et see MacBook Air vastab
direktiivi 1999/5/EÜ põhinõuetele ja nimetatud direktiivist
tulenevatele teistele asjakohastele sätetele.
English Hereby, Apple Inc. declares that this MacBook Air is in
compliance with the essential requirements and other relevant
provisions of Directive 1999/5/EC.
Español Por medio de la presente Apple Inc. declara que este
MacBook Air cumple con los requisitos esenciales y cualesquiera
otras disposiciones aplicables o exigibles de la Directiva
1999/5/CE.
???????? Me t?? pa???sa, ? Apple Inc. d????e? ?t? a?t?
? s?s?e?? MacBook Air s?µµ??f??eta? p??? t?? ßas????
apa?t?se?? ?a? t?? ???p?? s?et???? d?ata´?e?? t?? ?d???a?
1999/5/??.
Français Par la présente Apple Inc. déclare que l’appareil
MacBook Air est conforme aux exigences essentielles et aux
autres dispositions pertinentes de la directive 1999/5/CE.
Islenska Apple Inc. lýsir því hér með yfir að þetta tæki
MacBook Air fullnægir lágmarkskröfum og öðrum viðeigandi
ákvæðum Evróputilskipunar 1999/5/EC.
Italiano Con la presente Apple Inc. dichiara che questo
dispositivo MacBook Air è conforme ai requisiti essenziali ed alle
altre disposizioni pertinenti stabilite dalla direttiva 1999/5/CE.
Latviski Ar šo Apple Inc. deklare, ka MacBook Air ierice atbilst
Direktivas 1999/5/EK butiskajam prasibam un citiem ar to
saistitajiem noteikumiem.
Lietuviu Šiuo „Apple Inc.“ deklaruoja, kad šis MacBook Air atitinka
esminius reikalavimus ir kitas 1999/5/EB Direktyvos nuostatas.
Magyar Alulírott, Apple Inc. nyilatkozom, hogy a MacBook Air
megfelel a vonatkozó alapvetõ követelményeknek és az
1999/5/EC irányelv egyéb elõírásainak.
Malti Hawnhekk, Apple Inc., jiddikjara li dan MacBook Air
jikkonforma mal-htigijiet essenzjali u ma provvedimenti ohrajn
relevanti li hemm fid-Dirrettiva 1999/5/EC.
Nederlands Hierbij verklaart Apple Inc. dat het toestel
MacBook Air in overeenstemming is met de essentiële eisen
en de andere bepalingen van richtlijn 1999/5/EG.
Norsk Apple Inc. erklærer herved at dette MacBook Air
-apparatet er i samsvar med de grunnleggende kravene og
øvrige relevante krav i EU-direktivet 1999/5/EF.
Polski Niniejszym Apple Inc. oswiadcza, ze ten MacBook Air sa
zgodne z zasadniczymi wymogami oraz pozostalymi stosownymi
postanowieniami Dyrektywy 1999/5/EC. 66
Português Apple Inc. declara que este dispositivo
MacBook Air está em conformidade com os requisitos
essenciais e outras disposições da Directiva 1999/5/CE.
Româna Prin prezenta, Apple Inc. declara ca acest aparat
MacBook Air este în conformitate cu cerintele esentiale si cu
celelalte prevederi relevante ale Directivei 1999/5/CE.
Slovensko Apple Inc. izjavlja, da je ta MacBook Air skladne z
bistvenimi zahtevami in ostalimi ustreznimi dolocili direktive
1999/5/ES.
Slovensky Apple Inc. týmto vyhlasuje, že toto MacBook Air splna
základné požiadavky a všetky príslušné ustanovenia Smernice
1999/5/ES.
Suomi Apple Inc. vakuuttaa täten, että tämä MacBook Air
tyyppinen laite on direktiivin 1999/5/EY oleellisten vaatimusten ja
sitä koskevien direktiivin muiden ehtojen mukainen.
Svenska Härmed intygar Apple Inc. att denna MacBook Air står i
överensstämmelse med de väsentliga egenskapskrav och övriga
relevanta bestämmelser som framgår av direktiv 1999/5/EG.
A copy of the EU Declaration of Conformity is available at:
www.apple.com/euro/compliance
This equipment can be used in the following countries:
Korea Warning Statements
B???(??????????)
???????(B?) ???????????
????????????????, ???
???????????.
????????????
????????????????????
????????????????????????
???? ?? ? ??
Singapore Wireless Certification
Taiwan Wireless Statements
Taiwan Class B Statement
??
?????????????????
???????????????
Japan VCCI Class B Statement67
Russia
External USB Modem Information
When connecting your MacBook Air to the phone line using an
external USB modem, refer to the telecommunications agency
information in the documentation that came with your modem.
ENERGY STAR
®
Compliance
As an ENERGY STAR
®
partner, Apple has determined that standard
configurations of this product meet the ENERGY STAR
®
guidelines
for energy efficiency. The ENERGY STAR
®
program is a partnership
with electronic equipment manufacturers to promote energyefficient products. Reducing energy consumption of products
saves money and helps conserve valuable resources.
This computer is shipped with power management enabled with
the computer set to sleep after 10 minutes of user inactivity. To
wake your computer, click the mouse or trackpad button or press
any key on the keyboard.
For more information about ENERGY STAR
®
, visit:
www.energystar.gov
Disposal and Recycling Information
This symbol indicates that your product must be disposed of
properly according to local laws and regulations.When your
product reaches its end of life, contact Apple or your local
authorities to learn about recycling options.
For information about Apple’s recycling program, go to:
www.apple.com/recycling.
European Union—Disposal Information
The symbol above means that according to local laws and
regulations your product should be disposed of separately from
household waste.When this product reaches its end of life, take
it to a collection point designated by local authorities. Some
collection points accept products for free. The separate collection
and recycling of your product at the time of disposal will help
conserve natural resources and ensure that it is recycled in a
manner that protects human health and the environment.
Türkiye
EEE yönetmeligine (Elektrikli ve Elektronik Esyalarda Bazi
Zararli Maddelerin Kullaniminin Sinirlandirilmasina Dair
Yönetmelik) uygundur.
Brasil—Informações sobre descarte e reciclagem
O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria
não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando decidir
descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o de acordo com
as leis e diretrizes ambientais locais. Para informações sobre o
programa de reciclagem da Apple, pontos de coleta e telefone de
informações, visite www.apple.com/br/environment.
Battery Disposal Information
Dispose of batteries according to your local environmental laws
and guidelines.
Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den
Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerät am Ende seines
Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen
Regelungen.
Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de
chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch
afval (kca) worden gedeponeerd.68
China Battery Statement
Taiwan Battery Statement
020-5563-A
EFUP15chinaLooking for Something?70 Looking for Something?
Index
A
AC plug 10
AC power adapter. See power
adapter
AC power cord 10
AppleCare 50
application freeze 39
applications
Apple Hardware Test 46
FaceTime 23
force quitting 39
iLife 34
installing 15
Migration Assistant 12
Network Setup Assistant 47
Photo Booth 23
System Information 50
B
battery
charging 32
disposal 68
location 23
performance 32
storing 61
blinking question mark 40
brightness keys 25
built-in speaker 23
button, power 11, 25
C
carrying your computer 60
changing
System Preferences 14
the desktop 14
charging the battery 32
cleaning
the display 61
your computer 61
computer
disposing of 68
freezes 40
putting to sleep 18
shutting down 19
specifications 35
turning on 11
waking 19
won’t turn on 40
connection problems with
another computer 41
Control-click 29
cord, AC power 10
D
desktop, customizing 14
display
adjusting brightness 25
cleaning 61
goes black 41
display, external 27
See also screen
disposing of your computer 68
Dock 33
downloading software 49
DVD or CD Sharing
installing software 16
overview 17
with Windows computer 17
E
Energy Saver preferences 18
environmental impact 64
ergonomics 62
F
F1 to F12 function keys 25
FaceTime application 23
FaceTime video camera 23
Fast-forward key 25
flashing question mark 40
Force Quit 39Looking for Something? 71
four-finger pinching 31
four-finger swiping 31
frozen application 39
Function (fn) key 25
H
hand positions,
recommended 62
headphone port 27
Help Center 33
Help, finding answers 33
high-speed data transfer 27
I
iLife applications 34
installing DVD or CD Sharing
Setup 16
IP masquerading 48
K
keyboard
ergonomics 62
features 24
illumination keys 25
shortcuts 29
See also keys
keys
brightness 25
Function (fn) 25
keyboard illumination 25
Launchpad 25
media 25
Mission Control 25
Mute 25
volume control 25
L
Launchpad key 25
M
Mac App Store 35
Mac OS X Utilities
application 12
Mac OS X website 34
MagSafe power adapter.
See power adapter
MagSafe power port 27
media keys 25
microphone 27
Migration Assistant 12
Mini DisplayPort
technology 27
Mission Control key 25
mouse 27, 63
See also trackpad
Mute key 25
N
network address translation
(NAT) 48
Network Diagnostics 47
Network Setup Assistant 47
O
online resources 50
optical disc sharing. See DVD or
CD sharing
P
partner computer
connection problems 41
DVD or CD Sharing Setup
software 16
password, resetting 15
Photo Booth application 23
pinching to zoom 30
Play/Pause key 25
plug, AC 10
ports
headphone 27
MagSafe power 27
Thunderbolt 27
USB 2.0 27
power adapter
port 27
safety information 56
safety tips 56
setup 10
power button 11, 25
problems. See troubleshooting
putting your computer to
sleep 1872 Looking for Something?
Q
question mark, flashing 40
quitting an application 39
R
Remote Disc 17, 18
resetting password 15
Rewind key 25
right-clicking 29
rotating objects using
trackpad 30
S
safety
general instructions 55
handling information 60
important information 8
power adapter 56
screen. See display
scrolling with two fingers 28
secondary-clicking 29
serial number, locating 52
service and support 50
Setup Assistant 12
shared optical disc 17
sharing files 17
shutting down 19
sleep mode 18
software
installing DVD or CD
sharing 16
updating 49
Software Update
preferences 49
speakers 23
specifications 35
stopping
an application 39
the computer 19
storing your computer 61
support contact
information 50
System Information 50
System Preferences
customizing the desktop 14
Energy Saver 18
Software Update 49
T
three-finger swiping 31
Thunderbolt port 27
trackpad
pinching 30
rotating 30
scrolling 28
zooming 30
troubleshooting
AirPort 48
AppleCare 50
computer freezes 40
computer won’t turn on 40
connecting to partner
computer 41
display goes black 41
hardware problems 46
pointer won’t move 39
service and support 50
using AirPort 48
using Help Center 33, 50
Wi-Fi 48
turning on your computer 11
two-finger pinching 30
two-finger rotating 30
typing position 62
U
updating software 49
USB
connections 35
ports 27
V
video
camera indicator light 23
video port 27
volume control keys 25
W
waking your computer 19
Wi-Fi troubleshooting 48
Z
zooming using the
trackpad 30K Apple Inc.
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Under the copyright laws, this manual may not be copied, in whole
or in part, without the written consent of Apple.
Every effort has been made to ensure that the information in
this manual is accurate. Apple is not responsible for printing or
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Apple
1 Infinite Loop
Cupertino, CA 95014
408-996-1010
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and other countries. Use of the “keyboard”Apple logo (OptionShift-K) for commercial purposes without the prior written consent
of Apple may constitute trademark infringement and unfair
competition in violation of federal and state laws.
Apple, the Apple logo, AirPort, AirPort Extreme, FaceTime, Finder,
GarageBand, iChat, iLife, iMovie, iPhone, iPhoto, iPod, iTunes, Keynote,
Mac, Mac OS, MacBook, MacBook Air, MagSafe, Photo Booth, Safari,
SuperDrive, Time Capsule, and Time Machine are trademarks of
Apple Inc., registered in the U.S. and other countries.
iPad and Multi-Touch are trademarks of Apple Inc.
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of Apple Inc., registered in the U.S. and other countries.
App Store is a service mark of Apple Inc.
ENERGY STAR® is a U.S. registered trademark.
Thunderbolt and the Thunderbolt logo are trademarks of Intel
Corp. in the U.S. and other countries.
The Bluetooth® word mark and logos are registered trademarks
owned by Bluetooth SIG, Inc. and any use of such marks by Apple
Inc. is under license.
Other company and product names mentioned herein are
trademarks of their respective companies. Mention of third-party
products is for informational purposes only and constitutes
neither an endorsement nor a recommendation. Apple assumes
no responsibility with regard to the performance or use of these
products.
Manufactured under license from Dolby Laboratories.“Dolby,”
“Pro Logic,” and the double-D symbol are trademarks of Dolby
Laboratories. Confidential Unpublished Works, © 1992–1997 Dolby
Laboratories, Inc. All rights reserved.
Simultaneously published in the United States and Canada.
Compressor 4
BenutzerhandbuchCopyright © 2012 Apple Inc. Alle Rechte vorbehalten
Alle weiteren Rechte an der Software sind in den
mitgelieferten Lizenzbestimmungen festgelegt. Der
Eigentümer oder berechtigte Benutzer eines rechtmäßig
erworbenen Exemplars der Compressor-Software darf
diese Veröffentlichung zum Zweck der Schulung in der
Verwendung dieser Software vervielfältigen. Das
Vervielfältigen oder Übertragen dieser Publikation oder
Teilen davon zu kommerziellen Zwecken, wie etwa zum
Verkauf von Kopien dieser Publikation oder zum Anbieten
entgeltlicher Support-Dienstleistungen, ist untersagt.
Das Apple-Logo ist eine in den USA und weiteren Ländern
eingetragene Marke der Apple Inc. Die Verwendung des
über die Tastatur erzeugten Apple-Logos
(Umschalt-Wahl-K) für kommerzielle Zwecke ohne
vorherige Genehmigung von Apple kann als
Markenmissbrauch und unlauterer Wettbewerb gerichtlich
verfolgt werden.
Ansprüche gegenüber Apple Inc. in Anlehnung an die in
diesem Handbuch beschriebenen Hard- oder
Softwareprodukte richten sich ausschließlich nach den
Bestimmungen der Garantiekarte. Apple übernimmt keine
Gewähr für die Richtigkeit des Inhalts dieses Handbuchs.
Hinweis: Da Apple häufig neue Versionen und
Aktualisierungen für Systemsoftware, Programme und
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Handbuch verwendeten Bilder geringfügig von Ihrer
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Apple
1 Infinite Loop
Cupertino, CA 95014
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Apple, das Apple-Logo, AppleScript, Apple TV, Bonjour,
DVD Studio Pro, Final Cut, Final Cut Pro, Finder, FireWire,
iPhone, iPod, iTunes, Mac, Mac OS, QuickTime, Shake und
Xsan sind Marken der Apple Inc., die in den USA und
weiteren Ländern eingetragen sind.
iPad und NetInfo sind Marken der Apple Inc.
AppleCare ist eine Dienstleistungsmarke der Apple Inc.,
die in den USA und weiteren Ländern eingetragen ist.
“Dolby“, „Pro Logic“ und das Doppel-D-Symbol sind
Marken der Dolby Laboratories. Confidential Unpublished
Works, © 1992–1997 Dolby Laboratories, Inc. Alle Rechte
vorbehalten.
UNIX ist eine eingetragene Marke von The Open Group.
Das YouTube-Logo ist eine Marke der Google Inc.
Die Rechte an anderen in diesem Handbuch erwähnten
Marken- und Produktnamen liegen bei ihren Inhabern
und werden hiermit anerkannt. Die Nennung von
Produkten, die nicht von Apple sind, dient ausschließlich
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übernimmt hinsichtlich der Auswahl, Leistung oder
Verwendbarkeit dieser Produkte keine Gewähr.
Produktionsstandbilder des Films „Koffee House Mayhem“
freundlicherweise zur Verfügung gestellt von Jean-Paul
Bonjour. “Koffee House Mayhem“ © 2004 Jean-Paul
Bonjour. Alle Rechte vorbehalten.
http://www.jeanpaulbonjour.com
Produktionsstandbilder des Films „A Sus Ordenes“
freundlicherweise zur Verfügung gestellt von Eric Escobar.
“A Sus Ordenes“ © 2004 Eric Escobar. Alle Rechte
vorbehalten. http://www.kontentfilms.comVorwort 9 Compressor
9 Das Programm „Compressor“
10 Die Compressor-Dokumentation
10 Weitere Ressourcen
Kapitel 1 11 Schneller Einstieg
11 In Compressor verwendete Begriffe
12 Compressor-Arbeitsablauf im Überblick: Verwenden von Stapelvorlagen
17 Compressor-Arbeitsablauf im Überblick: Manuelles Verfahren
24 Optionale Aufgaben, die Sie vor dem Senden eines Stapels ausführen können
Kapitel 2 27 Einsatzmöglichkeiten für Compressor
28 Typische Compressor-Szenarien
29 Leistungsmerkmale der Compressor-Software
Kapitel 3 33 Der grundlegende Arbeitsablauf beim Umcodieren
33 Compressor-Grundlagen und Terminologie
37 Vorbereiten von Compressor zur Umcodierung mit eigenen Voreinstellungen
39 Wählen eines Ausgabeformats
40 Erstellen eines Compressor-Stapels
43 Anzeigen des Status beim Umcodieren
43 Optionale Compressor-Kurzbefehle
Kapitel 4 45 Die Benutzeroberfläche von Compressor
46 Compressor-Fenster und der Umcodierungs-Arbeitsablauf
47 Erstellen und Verwalten von Fensteranordnungen in Compressor
50 Arbeiten mit den Compressor-Fenstern
54 Fenster „Stapel“
58 Bereich „Voreinstellungen“
59 Bereich „Zielorte“
60 Fenster „Informationen“
70 Fenster „Verlauf“
71 Fenster „Vorschau“
73 Fenster „Apple Qmaster - Sharing“
3
Inhalt74 Share-Monitor
75 Droplet-Fenster
75 Informationen zum Ändern von Werten und Timecode-Einträgen
78 Kurzbefehle
Kapitel 5 79 Festlegen von Compressor-Einstellungen
79 Compressor-Einstellungen
82 Verwenden von Compressor-Einstellungen
Kapitel 6 85 Importieren von Ausgangsmedien
86 Das Fenster „Stapel“
89 Erstellen von Aufträgen durch Hinzufügen von Ausgangsmedien zu einem Stapel
99 Verwenden des Fensters „Informationen“ mit Ausgangsmediendateien
102 Tipps zum Importieren von Ausgangsmediendateien
Kapitel 7 105 Erstellen, Ansehen und Ändern von Voreinstellungen
106 Der Bereich „Voreinstellungen“
110 Verwenden des Fensters „Informationen“ zum Arbeiten mit Einstellungen
111 Duplizieren von Voreinstellungen
112 Erstellen einer eigenen Voreinstellung
114 Suchen nach einer Voreinstellung
114 Anzeigen einer Voreinstellung in der Vorschau
116 Löschen von Voreinstellungen
117 Erstellen von Gruppen mit Voreinstellungen
119 Bereitstellen von Voreinstellungen
120 Beispiel: Erstellen eigener Gruppen und Voreinstellungen für eine DVD
Kapitel 8 123 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln
123 Zuweisen von Voreinstellungen
129 Zuweisen von Zielorten
132 Allgemeine Informationen über Aufträge und Ziele
134 Allgemeine Informationen über Stapel
141 Verwenden von Final Cut Pro und Motion in Verbindung mit Compressor
144 Verwenden der verteilten Verarbeitung mit Compressor
Kapitel 9 147 Erstellen von AIFF-Dateien
147 Erstellen von AIFF-Ausgabedateien
148 Bereich „Codierer“ für das Format „AIFF“
148 Dialogfenster „Toneinstellungen“
150 Sample-Größen und Abtastraten von QuickTime-Audiodateien
150 Auswählen eines Audio-Codecs für die Verteilung
150 Konfigurieren von AIFF-Einstellungen
4 InhaltKapitel 10 153 Erstellen von Dateien für gängige Audioformate
153 Erstellen von Dateien für gängige Audioformate
154 Bereich „Allgemeine Audioformate“
155 Konfigurieren der Voreinstellung „Allgemeine Audioformate“
Kapitel 11 157 Erstellen von Ausgabedateien im Format „DV-Stream“
157 Bereich „Codierer“ für das Format „DV-Stream“
158 Arbeitsablauf beim Umcodieren in das DV-Format
Kapitel 12 159 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“
160 Bereich „Codierer“ für das Format „Dolby Digital Professional“
166 Allgemeine Informationen über das Erstellen von Dolby Digital Professional-Dateien
168 Umwandeln von Stereo-Audiodateien in das Format „Dolby Digital Professional „
169 Zuweisen von Dateien zu Surround-Sound-Kanälen (manuelle Methode)
171 Zuweisen von Dateien zu Surround-Sound-Kanälen (automatische Methoden)
174 Zuweisen von Dateien zu Surround-Sound-Kanälen mithilfe von Droplets
174 Optionen für räumliches Mischen
Kapitel 13 177 Erstellen von Ausgabedateien im Format „H.264 für Apple-Geräte“
178 Bereich „Codierer“ für das Format „H.264 für Apple-Geräte“
182 Kapitel- und Podcast-Marker für Apple-Geräte
182 Seitenverhältnisse für Apple-Geräte
183 H.264-Arbeitsabläufe für Apple-Geräte
Konfigurieren von Einstellungen für Ausgabedateien mit dem Format „H.264 für
Apple-Geräte“
184
Kapitel 14 185 Erstellen von Ausgabedaten im Format „H.264 für Blu-ray“
186 Bereich „Codierer“ für das Format „H.264 für Blu-ray“
189 H.264-Arbeitsabläufe für optische Medien
Kapitel 15 191 Erstellen von Bildsequenzdateien
191 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Bildsequenz“
192 Bereich „Codierer“ für das Format „Bildsequenz“
194 Konfigurieren von Voreinstellungen für das Format „Bildsequenz“
Kapitel 16 197 Erstellen von MP3-Ausgabedateien
197 Generelle Einsatzmöglichkeiten für MP3
198 Bereich „Codierer“ für das Format „MP3“
200 Arbeitsablauf beim Umcodieren in das MP3-Format
Kapitel 17 201 Erstellen von MPEG-1-Ausgabedateien
201 Generelle Einsatzmöglichkeiten für MPEG-1
202 Technische Daten von MPEG-1
Inhalt 5204 Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-1“
205 Der Bereich „Video“
206 Der Bereich „Audio“
207 Systemstreams und Elementarstreams
208 Arbeitsablauf beim Umcodieren in das MPEG-1-Format
209 Konfigurieren des MPEG-1-Dateiformats für das Internet
211 Konfigurieren des MPEG-1-Dateiformats für DVDs
211 Erstellen der Voreinstellung „MPEG-1-Video für DVD“
213 Erstellen der Voreinstellung „MPEG-1-Audio für DVD“
215 Optional—Erstellen einer Gruppe und eines Zielorts für „MPEG-1 für DVD“
Kapitel 18 217 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien
217 MPEG-2-Format (Standard Definition)
218 HD-Ausgangsdateien und MPEG-2
219 Elementar-, Transport- und Programmstreams
220 Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-2“
233 MPEG-2-Referenzinformationen
238 Arbeitsablauf beim Umcodieren in das MPEG-2-Format
244 Beispiel für MPEG-2-Einstellungen
Kapitel 19 247 Erstellen von MPEG-4-Ausgabedateien
247 MPEG-4 Part 2
248 Der Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-4 Part 2“
253 Verwenden der standardmäßigen MPEG-4 Part 2-Einstellungen
254 Anpassen der MPEG-4 Part 2-Einstellungen
256 Arbeitsablauf beim Audio-Podcasting
260 Hinzufügen zusätzlicher Einstellungen und Voreinstellungen
Kapitel 20 261 Erstellen von Dateien mit dem QuickTime-Export-Komponenten-Codierer
261 Erstellen von Ausgabedateien mit dem QuickTime-Export-Komponenten-Codierer
262 Installieren von QuickTime-Export-Komponenten-Plug-Ins
262 iPod-Plug-In
263 Bereich „Codierer“ für das Format „QuickTime-Export-Komponenten“
263 Konfigurieren der Exporteinstellungen
Kapitel 21 265 Erstellen von QuickTime-Ausgabedateien
265 Erstellen von QuickTime-Ausgabedateien
266 Bereich „Codierer“ für das Format „QuickTime-Film“
273 Arbeitsablauf beim Umcodieren in das QuickTime-Format
277 Funktionsweise von Codecs
277 QuickTime-Video-Codecs
279 QuickTime-Audio-Codecs
6 InhaltKapitel 22 281 Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung
281 Arbeiten mit Filtern
283 Bereich „Filter“
284 Bereich für „Video“
292 Bereich „Audio“
295 Bereich „Farbe“
295 Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung
Kapitel 23 299 Arbeiten mit Bildsteuerungen
299 Bereich „Bildsteuerungen“
305 Hinzufügen von Bildsteuerungen zu einer Voreinstellung
306 Deinterlacing
307 Reverse Telecine-Funktion
310 Verwenden der Retiming-Steuerelemente
Kapitel 24 313 Hinzufügen von Geometrieeinstellungen
313 Beschneiden, Skalieren und Padding
316 Bereich „Geometrie“
321 Geometrie-Anpassungen an einer Voreinstellung
Kapitel 25 325 Hinzufügen von Aktionen
325 Aktionen nach der Umcodierung
325 Hinzufügen von Aktionen für Voreinstellungen
327 Hinzufügen von Aktionen für Aufträge
Kapitel 26 343 Verwenden des Fensters „Vorschau“
343 Fenster „Vorschau“
351 Anzeigen eines Clips in der Vorschau
357 Umcodieren eines Clipausschnitts im Fenster „Vorschau“
358 Arbeiten mit Markern und Posterbildern
366 Kurzbefehle im Fenster „Vorschau“
Kapitel 27 367 Erstellen und Ändern von Zielorten
368 Bereich „Zielorte“
369 Verwenden des Fensters „Informationen“ für Zielorte
370 Erstellen eines Zielorts
372 Warnsymbole
372 Löschen und Duplizieren eines Zielorts
Kapitel 28 375 Arbeiten mit Droplets
376 Erstellen von Droplets
378 Fenster „Droplet“
381 Überprüfen der Droplet-Einstellungen
Inhalt 7383 Verwenden eines Droplets zum Umcodieren von Ausgangsmedien
385 Verwenden von Droplets zur Erstellung von Aufträgen und Voreinstellungen in Compressor
386 Tipps zu Droplets
Kapitel 29 387 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung
387 Grundlagen der verteilten Verarbeitung
389 Grundlegende Komponenten des Apple Qmaster-Systems für die verteilte Verarbeitung
397 Schneller Einstieg mit der Option „Dieser Computer und“
399 Schneller Einstieg mit der Option „QuickCluster“
401 Die Oberflächen des Apple Qmaster-Systems für die verteilte Verarbeitung
408 Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ in Compressor
413 Allgemeine Informationen zu Clustern
426 Erstellen von Clustern mit Apple Qadministrator
429 Einrichten der zeitweiligen verteilten Verarbeitung mit Shake
Anhang A 433 Tastaturkurzbefehle
433 Allgemeine Kurzbefehle in Compressor
434 Kurzbefehle des Fensters „Vorschau“
Anhang B 437 Fehlerbeseitigung
437 Ressourcen für die Fehlerbeseitigung
438 Lösungsvorschläge für häufig auftretende Probleme
439 Kontaktaufnahme mit dem AppleCare Support
Anhang C 441 Unterstützung für die Befehlszeile
441 Shell-Befehle für das Senden von Compressor-Aufträgen
8 InhaltCompressor spielt eine bedeutende Rolle bei der Videokomprimierung. Dank zahlreicher
Komprimierungseinstellungen und einer breiten Palette unterstützter Ausgabeformate
wird die Komprimierung damit zu einem schnellen, effizienten und unkomplizierten
Prozess.
Dieses Vorwort behandelt die folgenden Themen:
• Das Programm „Compressor“ (S. 9)
• Die Compressor-Dokumentation (S. 10)
• Weitere Ressourcen (S. 10)
Das Programm „Compressor“
Compressor wurde für Spezialisten im Bereich Videopostproduktion und -komprimierung
entwickelt, die Leistungsstärke und umfassende Steuerungsmöglichkeiten benötigen,
um den endgültigen digitalen Inhalt für das DVD-Authoring, für Streaming-Media-Server
und drahtlose Geräte vorzubereiten.
Compressor bietet Ihnen Optionen zum Ändern der Größe, zum Beschneiden und
Verarbeiten von Bildern, zum Codieren und zur Bereitstellung digitaler Inhalte. Außerdem
werden Funktionen für die Stapelverarbeitung und H.264-Codierung bereitgestellt ebenso
wie VBR-Optionen. Sie können u. a. Droplets und AppleScript verwenden, Voreinstellungen
für die Umcodierung angeben und sichern, Filter verwenden und Zielorte angeben.
Compressor bietet auch eine Vielzahl von Ausgabeformaten für Geräte von Apple, DVDs,
das Internet, CDs und Kiosksysteme.
Wichtig: Compressor 4 ist für die Zusammenarbeit mit Final Cut Pro X (und neuer) und
Motion 5 (und neuer) konzipiert und ist für die Funktion „An Compressor senden“
erforderlich. Alle Verweise auf Final Cut Pro und Motion in diesem Dokument beziehen
sich auf die genannten Versionen.
9
Compressor
VorwortDie Compressor-Dokumentation
Mit Compressor werden verschiedene Dokumente geliefert, die die Arbeit mit dem
Programm erleichtern und detaillierte Informationen darüber enthalten. (Zugriff auf die
Online-Hilfe für Compressor erhalten Sie, indem Sie Compressor öffnen und „Hilfe“ >
„Compressor-Hilfe“ wählen.)
• Compressor-Benutzerhandbuch: In diesem umfassenden Handbuch werden die
Benutzeroberfläche, Befehle und Menüs von Compressor beschrieben und schrittweise
Anleitungen für den Einsatz der Software für bestimmte Arbeiten gegeben. Es enthält
darüber hinaus Informationen zum Konfigurieren eines Apple Qmaster-Systems für die
verteilte Verarbeitung, das ein effizienteres Umcodieren und Rendern ermöglicht. Es
richtet sich an Benutzer aller Kenntnisstufen.
• Apple Qadministrator-Benutzerhandbuch: In diesem Dokument wird die manuelle
Konfiguration und Verwaltung von Clustern beschrieben, die in einem Apple
Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung eingesetzt werden.
• Apple Qmaster User Manual: In diesem Dokument wird erklärt, wie Apple Qmaster als
Client für das Senden von Renderaufträgen aus Shake, Maya und anderen Programmen
an ein System für die verteilte Verarbeitung eingesetzt wird.
• Share-Monitor-Benutzerhandbuch: Dieses Dokument beschreibt, wie mit dem
Share-Monitor der Status der Umcodierung von Stapeln und Aufträgen überwacht
werden kann.
Weitere Ressourcen
Neben der mit Compressor gelieferten Dokumentation gibt es eine Vielzahl anderer
Ressourcen, denen Sie Informationen über Compressor entnehmen können.
Website für Compressor
Allgemeine Informationen und Aktualisierungen sowie aktuelle Informationen zu
Compressor finden Sie hier:
• http://www.apple.com/de/finalcutpro/compressor
Service & Support-Website von Apple
Auf der Support-Website von Apple finden Sie Softwareaktualisierungen und Antworten
auf häufig gestellte Fragen zu allen Apple-Produkten. Außerdem haben Sie Zugriff auf
technische Daten zu Produkten, Referenz-Dokumentationen und technische Artikel zu
Produkten von Apple und Drittanbietern.
• http://www.apple.com/de/support
Softwareaktualisierungen, Dokumentation, Diskussionsforen und Antworten auf häufig
gestellte Fragen zu Compressor finden Sie auf folgender Seite:
• http://www.apple.com/de/support/compressor
10 Vorwort CompressorCompressor enthält zahlreiche vordefinierte Einstellungen, mit denen Sie unmittelbar
mit dem Umcodieren beginnen können. Sie können mit dem Umcodieren von
Mediendateien beginnen, sobald Sie Compressor installiert haben. Voraussetzung ist,
dass Sie mindestens eine Ausgangsmediendatei haben und dass die vorhandenen
Stapelvorlagen oder Voreinstellungen und Zielorte von Compressor Ihren
Umcodierungsanforderungen entsprechen.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• In Compressor verwendete Begriffe (S. 11)
• Compressor-Arbeitsablauf im Überblick: Verwenden von Stapelvorlagen (S. 12)
• Compressor-Arbeitsablauf im Überblick: Manuelles Verfahren (S. 17)
• Optionale Aufgaben, die Sie vor dem Senden eines Stapels ausführen können (S. 24)
In Compressor verwendete Begriffe
In Compressor werden einige Begriffe verwendet, die Ihnen geläufig sein sollten, bevor
Sie beginnen, mit dem Programm zu arbeiten.
Im Mittelpunkt des Umcodierungsprozesses steht ein Stapel. Er enthält mindestens eine
Ausgangsmediendatei, also die Datei(en), die Sie in ein anderes Format umwandeln oder
umcodieren wollen. Zu jeder Ausgangsmediendatei wird ein eigener Auftrag erstellt. Ein
Stapel kann also mehrere Aufträge enthalten, wobei jeder Auftrag auf seiner eigenen
Ausgangsmediendatei basiert.
Außerdem hat jeder Auftrag mindestens ein Ziel. Die Ziele legen fest, welche Art von
Ausgabedatei durch den Umcodierungsprozess erstellt und wo die Datei gespeichert
werden soll. Einem Auftrag können mehrere Ziele zugewiesen sein, was bedeutet, dass
Sie auf einfache Weise mehrere Ausgabedateien erstellen können, von denen jede ein
unterschiedliches Format hat.
11
Schneller Einstieg
1Jedes Ziel besteht aus drei Komponenten.
• Voreinstellung: Die Komponente Voreinstellung eines Ziels definiert den zu
verwendenden Umcodierungsprozess, u. a. das Codierungsformat, sowie eine Vielzahl
von Filtern und Geometrieattributen.
• Zielort: Die Komponente Zielort eines Ziels legt fest, wo die Ausgabedatei gesichert
wird. Darüber hinaus definiert sie die Regeln, die beim Festlegen des Namens der
Ausgabedatei verwendet werden. Compressor umfasst eine vordefinierte Voreinstellung,
die es Ihnen ermöglicht, einen Standardzielort anzugeben.
• Name der Ausgabedatei: Sie können den Ausgabedateinamen (die dritte Komponente
des Ziels) ändern, wenn Sie nicht den Namen verwenden wollen, der auf der Basis des
Zielorts generiert wurde.
Hinweis: Sie können einen Auftrag erst umcodieren, nachdem ihm mindestens eine
Voreinstellung zugewiesen wurde.
Wenn Sie Ihre eigenen Voreinstellungen erstellen oder vorhandene (im Lieferumfang der
Compressor-Software enthaltene) Voreinstellungen ändern müssen, finden Sie
entsprechende Informationen unter Der grundlegende Arbeitsablauf beim Umcodieren
und Erstellen, Ansehen und Ändern von Voreinstellungen.
Compressor-Arbeitsablauf im Überblick: Verwenden von
Stapelvorlagen
Stapelvorlagen vereinfachen und beschleunigen den Umcodierungs-Arbeitsablauf. Der
folgende Arbeitsablauf zeigt eine schnelle und einfache Möglichkeit zur Verwendung
von Compressor mit Stapelvorlagen.
• Schritt 1: Auswahl einer Stapelvorlage
• Schritt 2: Hinzufügen einer Ausgangsmediendatei
• Schritt 3: Senden des Stapels
• Schritt 4: Verwenden von Aktionen, die nach der Umcodierung ausgeführt werden
• Schritt 5: Sichern eigener Stapelvorlagen - optional
Schritt 1: Auswahl einer Stapelvorlage
Damit Sie Compressor mit diesem Arbeitsablauf verwenden können, müssen Sie eine
Stapelvorlage auswählen.
Compressor öffnen und eine Stapelvorlage auswählen
1 Wählen Sie das Compressor-Symbol im Ordner „Programme“ durch Doppelklicken aus.
Compressor wird mit dem Auswahlfenster für Stapelvorlagen und einem leeren Stapel
ohne Titel mit einem Platzhalterauftrag angezeigt.
12 Kapitel 1 Schneller EinstiegHinweis: Das Auswahlfenster für Stapelvorlagen wird nicht angezeigt, wenn Sie zuvor
das Feld „Nicht erneut anzeigen“ markiert oder in den Einstellungen für Compressor die
Option „Leere Vorlage verwenden“ ausgewählt haben. Markieren Sie in den Einstellungen
für Compressor die Option „Vorlagenauswahl einblenden“, damit das Auswahlfenster für
Stapelvorlagen beim Erstellen neuer Stapel angezeigt wird. Sie können auch „Ablage“ >
„Neuer Stapel aus Vorlage“ wählen, damit beim Erstellen neuer Stapel das Auswahlfenster
für Stapelvorlagen eingeblendet wird.
Das Auswahlfenster für Stapelvorlagen enthält Optionen für die standardmäßigen
Apple-Stapelvorlagen (die in Schritt 2 beschrieben werden).
Es können auch eigene Stapelvorlagen hinzugefügt werden. Weitere Informationen hierzu
finden Sie unter Erstellen einer eigenen Stapelvorlage.
Hinweis: Wählen Sie im Menü „Fenster“ > „Anordnungen“ eine Standardanordnung der
Fenster, damit die Compressor-Benutzeroberfläche mit einer ähnlichen Anordnung
angezeigt wird wie in diesem Dokument.
Kapitel 1 Schneller Einstieg 132 Klicken Sie auf eine der Optionen im Auswahlfenster für Stapelvorlagen, um sie
auszuwählen.
Die Standard-Apple-Stapelvorlagen sind unten aufgeführt.
• Audio-Podcast erstellen: Mit dieser Vorlage kann eine für Podcasting verwendbare
AAC-Audiodatei erzeugt und der iTunes-Mediathek hinzugefügt werden.
• Blu-ray-Disc erstellen: Verwenden Sie diese Vorlage, um BD H.264-Videodateien und
Dolby Digital Professional-Audiodateien (.ac3) zu erstellen und sie automatisch auf eine
Blu-ray- oder AVCHD-DVD zu brennen (AVCHD-DVDs lassen sich mit Blu-ray-Disc-Playern
abspielen, die mit dem AVCHD-Format kompatibel sind).
• DVD erstellen: Mit dieser Vorlage kann eine SD-DVD (Standard Definition) mit Videodaten
im MPEG-2-Format (.m2v) und Audiodaten im Dolby Digital Professional-Format (.ac3)
erzeugt und automatisch gebrannt werden.
• HTTP-Live-Streaming: Mit dieser Vorlage können Sie eine Gruppe von Dateien erstellen,
die für das Streaming eines Films auf ein iPhone oder iPad, einen iPod touch oder einen
Mac mit einem normalen Server verwendet werden können.
• Auf Apple TV veröffentlichen: Mit dieser Vorlage kann eine für die Wiedergabe mit Apple
TV geeignete Videodatei erzeugt und der iTunes-Mediathek hinzugefügt werden.
• Auf YouTube veröffentlichen: Mit dieser Vorlage kann eine Videodatei, die auf YouTube
angezeigt werden kann, erzeugt und auf einen YouTube-Account geladen werden.
Hinweis: Welche Vorlage Sie wählen, hängt von der beabsichtigten Verwendung der
erstellten Ausgabemediendatei ab. Wenn keine geeignete Vorlage für den gewünschten
Arbeitsablauf vorhanden ist, können Sie das manuelle Verfahren verwenden. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Compressor-Arbeitsablauf im Überblick: Manuelles
Verfahren. Weitere Informationen zur Erstellung eigener Vorlagen finden Sie unter Erstellen
einer eigenen Stapelvorlage.
3 Klicken Sie auf „Auswählen“.
14 Kapitel 1 Schneller EinstiegCompressor wendet ein Ziel auf den Platzhalterauftrag an. Das Ziel enthält die geeignete
Umcodierungsvoreinstellung (auf der Basis der gewählten Vorlage), den Standardzielort
(Original) und einen Vorschlag für den Ausgabedateinamen auf der Basis des
Ausgangsdateinamens und des Namens der verwendeten Voreinstellung.
Standardmäßig verwenden Stapelvorlagen „Original“ (den gleichen Ordner, aus dem die
Ausgangsmediendateien stammen) als Zielort für die codierten Dateien. Weitere
Informationen zum Auswählen anderer Zielorte finden Sie unter Erstellen und Ändern
von Zielorten.
Schritt 2: Hinzufügen einer Ausgangsmediendatei
Bewegen Sie eine Ausgangsdatei aus dem Finder oder vom Schreibtisch zum
Platzhalterauftrag im Fenster „Stapel“.
Hinweis: Es kann nur eine einzige Ausgangsdatei hierher bewegt werden, weil
Stapelvorlagen lediglich einen Auftrag enthalten. Wenn Sie mehrere Dateien auf den
Auftrag bewegen, wird dem Auftrag nur die letzte Datei hinzugefügt und alle anderen
Dateien werden ignoriert.
Schritt 3: Senden des Stapels
Wenn für den Auftrag eine Ausgangsmediendatei, eine Voreinstellung, ein Zielort und
ein Ausgabedateinamen angegeben sind, kann er verarbeitet werden.
Stapel zur Verarbeitung senden
µ Klicken Sie auf die Taste „Senden“, um den Stapel mit Ihrem Auftrag zu senden.
Kapitel 1 Schneller Einstieg 15Daraufhin wird ein Dialogfenster angezeigt, in dem Sie den aktuellen Sendevorgang
benennen können. Außerdem können Sie dort festlegen, ob eine verteilte Verarbeitung
erfolgen soll, und die Priorität für das Senden festlegen. In der Regel können Sie die
Einstellungen unverändert lassen und einfach auf „Senden“ klicken.
Weitere Informationen über das Dialogfenster „Senden“ finden Sie unter Senden eines
Stapels.
Nachdem Sie einen Stapel gesendet haben, können Sie im Verlaufsfenster von Compressor
oder im Programm „Share-Monitor“ den Status der Umcodierung Ihres Stapels überwachen.
Sie können auch in den Compressor-Einstellungen festlegen, dass das Programm
„Share-Monitor“ automatisch geöffnet wird.
Schritt 4: Verwenden von Aktionen, die nach der Umcodierung
ausgeführt werden
Fast jede Stapelvorlage enthält eine Aktion, die automatisch nach der Umcodierung
ausgeführt wird. Wenn Compressor die Umcodierung eines dieser Stapelvorlagenaufträge
in eine Ausgabemediendatei beendet hat, wird eine entsprechende automatische Aktion
wie das Laden der Datei auf einen YouTube-Account, das Ausführen eines
Automator-Arbeitsablaufs oder das Brennen einer DVD ausgeführt.
Weitere Informationen zu Aktionen für Aufträge finden Sie unter Bereich
„Auftragseigenschaft“ und unter Hinzufügen von Aktionen.
Im Folgenden sind die für die einzelnen Stapelvorlagen von Compressor nach der
Umcodierung standardmäßig ausgeführten Aktionen aufgeführt.
• Audio-Podcast erstellen: Compressor fügt die Datei zur iTunes-Mediathek hinzu.
• Blu-ray-Disc erstellen: Compressor erstellt eine Blu-ray-Disc.
• DVD erstellen: Compressor erstellt eine DVD.
• HTTP-Live-Streaming: Compressor bereit die Ausgabe für das HTTP-Live-Streaming vor.
• Auf Apple TV veröffentlichen: Compressor fügt die Datei zur iTunes-Mediathek hinzu.
• Auf YouTube veröffentlichen: Die Datei wird auf YouTube veröffentlicht.
16 Kapitel 1 Schneller EinstiegSchritt 5: Sichern eigener Stapelvorlagen - optional
Informationen über die optionale Erstellung von eigenen Vorlagen finden Sie unter
Erstellen einer eigenen Stapelvorlage.
Compressor-Arbeitsablauf im Überblick: Manuelles Verfahren
Der folgende Arbeitsablauf zeigt eine einfache Möglichkeit zum manuellen Erstellen und
Verarbeiten eines Stapels in Compressor.
• Schritt 1: Hinzufügen von Ausgangsmediendateien
• Schritt 2: Zuweisen von Voreinstellungen und Zielorten
• Schritt 3: Senden des Stapels
Schritt 1: Hinzufügen von Ausgangsmediendateien
Wenn Sie Compressor verwenden wollen, müssen Sie zunächst Ausgangsmediendateien
im Fenster „Stapel“ hinzufügen.
Compressor öffnen und Ausgangsmediendateien im Fenster „Stapel“ hinzufügen
1 Wählen Sie das Compressor-Symbol im Ordner „Programme“ durch Doppelklicken aus.
Compressor wird mit dem Auswahlfenster für Stapelvorlagen und einem leeren Stapel
ohne Titel mit einem Platzhalterauftrag angezeigt.
2 Da dieser Arbeitsablauf auf das manuelle Verfahren ausgerichtet ist und nicht auf die
Verwendung einer Stapelvorlage, klicken Sie im Auswahlfenster für Stapelvorlagen auf
„Abbrechen“, um es zu schließen.
Kapitel 1 Schneller Einstieg 17Wenn Sie verhindern wollen, dass das Auswahlfenster für Stapelvorlagen künftig geöffnet
wird, markieren Sie das Feld „Nicht erneut an zeigen“ oder wählen Sie „Leere Vorlage
verwenden“ in den Compressor-Einstellungen.
Weitere Informationen zur Verwendung einer Stapelvorlage finden Sie unter
Compressor-Arbeitsablauf im Überblick: Verwenden von Stapelvorlagen.
In der nachfolgenden Abbildung sind die restlichen Fenster der Compressor-Oberfläche
dargestellt.
Hinweis: Wählen Sie im Menü „Fenster“ > „Anordnungen“ eine Standardanordnung der
Fenster, damit die Compressor-Benutzeroberfläche mit einer ähnlichen Anordnung
angezeigt wird wie oben abgebildet.
3 Bewegen Sie eine oder mehrere Ausgangsdateien aus dem Finder oder vom Schreibtisch
in einen leeren Bereich des Fensters „Stapel“ (in diesem Beispiel direkt unter den leeren
Auftrag).
Hinweis: Wenn Sie mehrere Dateien auf den leeren Auftrag bewegen, wird dem Auftrag
nur die letzte Datei hinzugefügt und alle anderen Dateien werden ignoriert.
18 Kapitel 1 Schneller EinstiegFür jede Ausgangsdatei, die Sie in den Stapel bewegt haben, wird jeweils ein neuer Auftrag
erstellt.
Each source file creates
a job in the batch.
Target area (empty in
this case) of a job Weitere Informationen zu den Steuerelementen im Fenster „Stapel“ finden Sie unter Das
Fenster „Stapel“.
Schritt 2: Zuweisen von Voreinstellungen und Zielorten
Sie müssen jedem für eine Ausgangsmediendatei erstellten Auftrag mindestens eine
Voreinstellung zuweisen, bevor Sie den Stapel zum Umcodieren senden können. Sie
können demselben Auftrag jedoch mehrere Voreinstellungen hinzufügen, um ihn in
mehrere Versionen der Mediendatei umzucodieren. Die Kombination aus Voreinstellung
und Zielort wird in Compressor als Ziel bezeichnet.
Kapitel 1 Schneller Einstieg 19Einem Auftrag eine Voreinstellung und einen Zielort zuweisen
1 Wählen Sie eine der folgenden Möglichkeiten, um den Aufträgen für die Ausgangsmedien
eine Voreinstellung zuzuweisen.
• Unterschiedliche Voreinstellungen unterschiedlichen Aufträgen zuweisen: Bewegen Sie
Voreinstellungen aus dem Bereich „Voreinstellungen“ auf einzelne Aufträge im Fenster
„Stapel“.
Select one or more
(two in this case) settings
to apply to the job.
A job with a source
media file in the
Batch window
• Einzelne Voreinstellung mehreren ausgewählten Aufträgen zuweisen: Wählen Sie die
Aufträge (Ausgangsmediendateien) im Fenster „Stapel“ aus und wählen Sie „Ziel“ >
„Neues Ziel mit Voreinstellung“. Daraufhin wird über dem Fenster „Stapel“ ein
Dialogfenster zur Auswahl der Voreinstellung angezeigt.
20 Kapitel 1 Schneller EinstiegClick Add to assign
the settings to the
selected jobs.
Select the settings
to apply to the
selected jobs.
Select the jobs in
the Batch window.
Wählen Sie mindestens eine Voreinstellung. Klicken Sie dabei auf die Dreiecksymbole,
um die einzelnen Voreinstellungen anzuzeigen, und anschließend auf „Hinzufügen“.
Die gewählten Voreinstellungen werden allen ausgewählten Aufträgen zugewiesen.
New targets are added
for each setting you
drag to the job.
Sie können auch mittels „Bearbeiten“ > „Alles auswählen“ alle Aufträge auswählen,
bevor Sie die Voreinstellungen anwenden. Weitere Informationen zu Voreinstellungen
finden Sie unter Erstellen, Ansehen und Ändern von Voreinstellungen. Weitere
Informationen zur Arbeit mit Aufträgen und Zielen finden Sie unter Fertigstellen von
Aufträgen und Senden von Stapeln.
Im nächsten Schritt wird der Zielort angegeben. Standardmäßig wird „Original“ als
Zielort verwendet. In diesem Fall werden die Ausgabedateien im gleichen Ordner wie
die zugehörigen Ausgangsmediendateien abgelegt. Sie können den Zielort ändern,
wenn Sie eine andere Ablagestruktur bevorzugen. Zudem haben Sie auch die
Möglichkeit, größere oder schnellere Festplatten zu verwenden.
Kapitel 1 Schneller Einstieg 21Hinweis: Sie können in Compressor im Fenster „Einstellungen“ einen Standardzielort
wählen. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Festlegen von
Compressor-Einstellungen.
Legen Sie den Zielort für jedes einzelne Ziel oder für eine ausgewählte Gruppe von
Zielen fest.
2 Verwenden Sie eine der folgenden Möglichkeiten, um einen Zielort für die Ziele Ihres
Auftrags auszuwählen.
• Keine Aktion: Akzeptieren Sie den Standardzielordner „Original“ (derselbe Ordner, aus
dem die Ausgangsmedien stammen), der in der Spalte „Zielort“ angegeben ist.
• Kontextmenü des Ziels verwenden, um jeweils eine Einstellung zu ändern: Klicken Sie bei
gedrückter Taste „ctrl“ auf das Ziel, das Sie ändern wollen, und wählen Sie einen der
vordefinierten Zielorte, der im Untermenü „Zielort“ angeboten wird.
Use the target’s shortcut
menu to change the
destination for the
selected targets.
Sie können im Kontextmenü auch „Andere“ wählen. Daraufhin wird ein Dialogfenster
geöffnet, in dem Sie als Zielort einen beliebigen Speicherort wählen können, auf den Sie
mit Ihrem Computer zugreifen können.
Hinweis: Wenn Sie „Andere“ wählen, können Sie jede beliebige Umgebung wählen, die
von Ihrem Schreibtisch aus gerade zugänglich ist, einschließlich eines aktivierten
verfügbaren Volumes. Dieses Volume muss jedoch verfügbar bleiben, bis der Stapel
umcodiert ist.
Mit derselben Methode können Sie auch mehrere Ziele auswählen und deren Zielorte
alle auf einmal ändern. Darüber hinaus haben Sie die Möglichkeit, aus dem Kontextmenü
des Ziels einen Zielort auszuwählen oder einen Zielort aus dem Bereich „Zielorte“ zum
Ziel zu bewegen.
Weitere Informationen zu Zielorten finden Sie unter Erstellen und Ändern von Zielorten.
3 Sie können den Stapel benennen und anschließend sichern. Wählen Sie dazu „Ablage“
> „Sichern“.
Schritt 3: Senden des Stapels
Sobald jeder Mediendatei mindestens eine Voreinstellung und ein Zielort zugeordnet
sind, wird dies als Auftrag bezeichnet. Ihr Stapel kann nun gesendet werden.
22 Kapitel 1 Schneller EinstiegStapel zur Verarbeitung senden
µ Klicken Sie auf „Senden“.
Daraufhin wird ein Dialogfenster angezeigt, in dem Sie den aktuellen Sendevorgang
benennen können. Außerdem können Sie dort festlegen, ob eine verteilte Verarbeitung
erfolgen soll, und die Priorität für das Senden festlegen. In der Regel können Sie die
Einstellungen unverändert lassen und einfach auf „Senden“ klicken.
Weitere Informationen über das Dialogfenster „Senden“ finden Sie unter Senden eines
Stapels.
Nachdem Sie einen Stapel gesendet haben, können Sie das Programm „Share-Monitor“
öffnen, um den Fortschritt beim Umcodieren Ihres Stapels zu überwachen. Sie können
auch festlegen, dass der Share-Monitor automatisch geöffnet wird (im Fenster mit den
Compressor-Einstellungen).
Hinweis: Sie können den Share-Monitor jederzeit durch Doppelklicken auf das
entsprechende Symbol im Dock öffnen. Sie können auch im Fenster „Stapel“ auf das
entsprechende Symbol klicken.
Kapitel 1 Schneller Einstieg 23Sie haben auch die Möglichkeit, den Fortschritt des Codierungsvorgangs im Fenster
„Verlauf“ zu überwachen.
Weitere Informationen zu Aufträgen und Stapeln finden Sie unter Fertigstellen von
Aufträgen und Senden von Stapeln.
Optionale Aufgaben, die Sie vor dem Senden eines Stapels
ausführen können
Die im vorherigen Abschnitt beschriebenen Schritte zeigen Ihnen die schnellste
Möglichkeit zum Umcodieren von Mediendateien. Obwohl Sie bei dieser Vorgehensweise
vorhandene Einstellungen ändern können, können Sie keine Vorschau Ihrer Dateien
anzeigen und auch keine Feinabstimmung der Einstellungen vornehmen.
In den folgenden Kapiteln werden zusätzliche Schritte genannt, die Sie auf der Basis der
Voreinstellung für einen beliebigen Auftrag durchführen können, bevor dieser gesendet
wird:
• Erstellen, Ansehen und Ändern von Voreinstellungen
• Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln
• Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung
• Arbeiten mit Bildsteuerungen
• Hinzufügen von Geometrieeinstellungen
• Hinzufügen von Aktionen
• Verwenden des Fensters „Vorschau“
• Erstellen und Ändern von Zielorten
Die folgenden Kapitel enthalten nähere Einzelheiten zu Einstellungen im Hinblick auf
Ausgabeformate und zu verschiedenen Optionen für das Umcodieren:
• Erstellen von AIFF-Dateien
• Erstellen von Dateien für gängige Audioformate
• Erstellen von Ausgabedateien im Format „DV-Stream“
• Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“
• Erstellen von Ausgabedateien im Format „H.264 für Apple-Geräte“
24 Kapitel 1 Schneller Einstieg• Erstellen von Ausgabedaten im Format „H.264 für Blu-ray“
• Erstellen von Bildsequenzdateien
• Erstellen von MP3-Ausgabedateien
• Erstellen von MPEG-1-Ausgabedateien
• Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien
• Erstellen von MPEG-4-Ausgabedateien
• Erstellen von Dateien mit dem QuickTime-Export-Komponenten-Codierer
• Erstellen von QuickTime-Ausgabedateien
Kapitel 1 Schneller Einstieg 25Compressor ist eine leistungsstarke und flexible Software, mit der Sie die gewünschten
Ergebnisse auf viele Arten erreichen können.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Typische Compressor-Szenarien (S. 28)
• Leistungsmerkmale der Compressor-Software (S. 29)
27
Einsatzmöglichkeiten für
Compressor 2Typische Compressor-Szenarien
Die folgenden Szenarien sind typische Einsatzbereiche für Compressor.
• Konvertieren von Ausgangsmedien in ein oder mehrere unterschiedliche
Ausgabeformate: Mit Compressor können Sie eine oder mehrere Mediendateien in ein
oder mehrere unterschiedliche Ausgabeformate konvertieren. Weitere Informationen
hierzu finden Sie unter Compressor-Arbeitsablauf im Überblick: Manuelles Verfahren.
Apple TV DVD video CD-ROM
iPhone
iPad
iPod
iTunes
H.264
MP3
AC-3
MP3
MPEG-1
MPEG-4
QuickTime
AC-3
AIFF
H.264
MPEG-1
MPEG-2
AIFF
MP3
QuickTime
Blu-ray Disc
H.264
AC-3
Source media or
Final Cut Pro project
To web
QuickTime
movie
(for broadband
and lowband)
• Exportieren von Sequenzen oder Clips in ein oder mehrere Formate direkt aus anderen
Programmen: Compressor bietet Ihnen die Möglichkeit, Sequenzen oder Clips direkt
aus anderen Programmen, wie zum Beispiel Final Cut Pro, in eines oder mehrere
Dateiformate zu konvertieren. Dieser Arbeitsablauf ist derselbe, der detailliert unter
Senden eines Projekts zur Umcodierung beschrieben wird.
28 Kapitel 2 Einsatzmöglichkeiten für CompressorDiese Integration mit Final Cut Pro und Motion beschleunigt und vereinfacht die
Umcodierung (das Konvertieren von Dateien aus ihrem Originalformat in
Ausgabedateien, die in einem anderen Format bereitgestellt werden). Die Integration
spart auch Festplattenspeicher, da zwischengespeicherte Mediendateien nicht mehr
exportiert werden müssen, bevor sie verarbeitet werden können. Da bei einem Großteil
der Verarbeitungsschritte die Technologien für die Videoverarbeitung der anderen
Programme genutzt werden, wird die Qualität der codierten Bilder optimiert. Gleichzeitig
werden Qualitätsverluste aufgrund wiederholter Komprimierungs- und
Dekomprimierungsvorgänge vermieden.
• Erstellen DVD-kompatibler Dateien: Damit Sie Ihre vorhandenen Mediendateien in ein
DVD-Projekt umwandeln können, müssen Sie das Videomaterial in Dateien im Format
MPEG-1 (nur SD-Projekte), MPEG-2 (SD- und HD-Projekte) oder H.264 (nur HD-Projekte)
konvertieren. Compressor kann Audiodateien im Format „Dolby Digital Professional“
(auch AC-3 genannt) codieren. Dolby Digital Professional ist ein sehr gängiges
komprimiertes Audioformat für DVDs. Compressor bietet auch für die folgenden beiden
Sonderfälle Unterstützung:
• Wenn Sie HD-Material (High Definition) in Final Cut Pro bearbeiten und eine DVD im
SD-Format daraus erstellen möchten, bietet sich die Compressor-Funktion für die
Abwärtskonvertierung in hoher Qualität an. Aus HD-Ausgangsmaterial mit einer
Auflösung von 1080i oder 720p entstehen mithilfe einer Umcodierung
SD-MPEG-2-Videoausgabedateien in hoher Qualität.
• Für Fälle, bei denen Sie möglichst viel Videomaterial auf einer DVD unterbringen
müssen und keine TV-Qualität benötigt wird, bietet sich die Compressor-Funktion
zum Export von DVD-Video-kompatiblen MPEG-1-Dateien an.
Leistungsmerkmale der Compressor-Software
Compressor kann als eigenständiges Programm verwendet werden oder auch in die
Abläufe anderer Programme, wie zum Beispiel Final Cut Pro, integriert werden. Daher
akzeptiert Compressor die gleiche umfassende Palette an Dateitypen für Ausgangsmedien
wie Final Cut Pro. Compressor bietet folgende Funktionen.
• Stapelverarbeitung: Dieser hoch effiziente Prozess erlaubt es Ihnen, aus einzelnen
Ausgangsmediendateien mehrere Ausgabedateien zu erstellen.
• VBR-Optionen: Mithilfe des MPEG-2-Codierers können Sie für Ihre Ausgabedateien eine
variable Bitrate (VBR) entweder als 1-Pass-VBR oder als 2-Pass-VBR festlegen. Diese
Einstellung beeinflusst die Bildqualität der Videodatei.
Kapitel 2 Einsatzmöglichkeiten für Compressor 29• H.264-Codierung: H.264 produziert Videos in höherer Qualität mit niedrigeren Datenraten
für den universellen Einsatz - von Handys bis hin zu HD (High Definition). H.264 arbeitet
besonders gut mit dem Apple QuickTime Player zusammen. Compressor unterstützt
die H.264-Formate, die speziell für Blu-ray Discs, iTunes, iPhone, iPad, iPod und Apple
TV konzipiert sind.
• Droplets: Diese eigenständigen Programme können für Umcodierungsvorgänge per
Drag&Drop verwendet und direkt von Ihrem Schreibtisch aus gestartet werden. Sind
sie einmal erstellt, vereinfachen und automatisieren Droplets den Umcodierungsprozess.
Sie können sogar verwendet werden, ohne dass Compressor geöffnet ist.
• Voreinstellungen: Die Voreinstellungen enthalten alle notwendigen Dateiformat-, Filterund Geometrieeinstellungen, die beim Umcodieren benötigt werden. Sie können die
von Apple zur Verfügung gestellten Voreinstellungen anpassen und ändern oder neue
erstellen. So können Sie eine Bibliothek mit spezialisierten Voreinstellungen aufbauen
und sichern, die jederzeit wieder verwendet werden können.
• Filter: Die große Auswahl an Compressor-Filtern sichert Ihnen dynamische, kreative
Steuerungsmöglichkeiten beim Konvertieren Ihrer Ausgangsmedien in andere Formate.
So können Sie sicherstellen, dass das Endprodukt genau Ihren Vorstellungen entspricht.
Zu den verfügbaren Filtern gehören: Ein-/Ausblenden, Timecode-Überlagerungen,
Gamma-Korrektur, Entfernen von Rauschen, Letterbox, Wasserzeichen, Farbanpassung
und andere. Darüber hinaus gibt es Audiofilter zur Steuerung von Dynamikbereich,
Spitzenpegeln, Frequenzkurven-Entzerrung und Ein-/Ausblendungen.
• Vorschau: Sie können sich im Fenster „Vorschau“ eine Vorschau Ihrer Filtereinstellungen
in Echtzeit ansehen, während Sie diese im Fenster „Informationen“ anpassen. Damit
können Sie die Einstellungen so optimieren, dass sie Ihren Wünschen entsprechen,
bevor Sie die Ausgangsmediendatei umcodieren.
• Zielorte: Sie können Zielorte (Speicherorte) für Ihre Ausgabedateien definieren und
sichern. Diese können dann dem Ziel der Ausgangsmediendatei zugewiesen werden.
Als Zielorte können sogar FTP- und iDisk-Server festgelegt werden. Ein Zielort kann
auch die Konventionen für die Benennung von Dateien vorgeben.
• Geometrie: Sie können die Bildgröße mithilfe der Geometrie-Steuerelemente im Fenster
„Informationen“ und mit den grafischen Steuerelementen im Fenster „Vorschau“
anpassen. Mit diesen Funktionen können Sie unerwünschte Bildbereiche in Ihrer
Ausgangsmediendatei beschneiden und die Dateigröße reduzieren. Außerdem können
Sie mit Compressor die Bildgröße auch an andere Seitenverhältnisse wie z. B. 4:3, 16:9
und 2,35:1 anpassen, wenn die Bereitstellung der Mediendateien für andere Plattformen
wie DVD oder einen iPod erfolgt.
• Freigeben: Sie können Compressor verwenden, um Ausgabedateien auf einen QuickTime
Streaming Server oder andere Umgebungen für das DVD-Authoring zu laden.
30 Kapitel 2 Einsatzmöglichkeiten für Compressor• Verwendung von AppleScript-Skripten: Sie können zu jeder Ausgabedatei spezialisierte
Informationen in Form von AppleScript-Skripten hinzufügen. Dadurch haben Sie die
Möglichkeit, alle Arbeitsschritte nach der Codierung zu automatisieren und anzupassen.
• Interoperabilität: Compressor ist integraler Bestandteil anderer professioneller
Apple-Programme für die Videobearbeitung wie Final Cut Pro und Motion. Sie können
beispielsweise Sequenzen direkt aus Final Cut Pro in Compressor zum Umcodieren
exportieren.
• Umcodieren im Hintergrund: In Compressor muss die Umcodierung eines Stapels nur
gestartet werden. Die eigentliche Verarbeitung findet anschließend im Hintergrund
statt, sodass Sie gleichzeitig andere Aufgaben erledigen können.
• Benachrichtigung per E-Mail: Sie können Compressor so konfigurieren, dass das
Programm eine Benachrichtigung per E-Mail an eine bestimmte Adresse schickt, sobald
die Umcodierung des Stapels abgeschlossen ist.
• Verteilte Verarbeitung: Compressor bietet die Möglichkeit der verteilten Verarbeitung,
bei der die Arbeit auf mehrere zuvor ausgewählte Computer verteilt wird, sodass mehr
Verarbeitungsleistung zur Verfügung steht. Die Funktion für die verteilte Verarbeitung
ist auf Computer beschränkt, auf denen Compressor installiert ist. Weitere Informationen
finden Sie unter Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung.
• Verwenden der Befehlszeile: Compressor verfügt über eine Reihe von
Befehlszeilen-Optionen für das Senden von Aufträgen, das Aktivieren und Deaktivieren
von Dienstknoten- und Cluster-Controller-Diensten sowie für das Überwachen von
Stapeln. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Unterstützung für die Befehlszeile.
Kapitel 2 Einsatzmöglichkeiten für Compressor 31Compressor macht es Ihnen leicht, Medien in mehrere Formate umzucodieren. Darüber
hinaus ist Compressor in Final Cut Pro und Motion integriert.
Bei einfachen Arbeitsabläufen oder solchen, die sich wiederholen, können Sie auch die
Funktion „Senden“ in Final Cut Pro und Motion verwenden. Mithilfe der Funktion „Senden“
können Sie per Mausklick Ihre Arbeit ohne genauere Kenntnisse über Umcodierung,
Sendeformate oder FTP-Protokolle an Kunden, Freunde und andere Personen schicken.
Im Fenster „Senden“ von Final Cut Pro und Motion können Sie sehr schnell
Ausgabemediendateien in Formaten für iPhone, iPod, Apple TV, DVD, Blu-ray-Disc und
YouTube erzeugen und bereitstellen, ohne dass Sie weitere Programme öffnen müssen.
Weitere Informationen über die Funktion „Senden“ erhalten Sie im Final Cut
Pro-Benutzerhandbuch und im Motion-Benutzerhandbuch.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Compressor-Grundlagen und Terminologie (S. 33)
• Vorbereiten von Compressor zur Umcodierung mit eigenen Voreinstellungen (S. 37)
• Wählen eines Ausgabeformats (S. 39)
• Erstellen eines Compressor-Stapels (S. 40)
• Anzeigen des Status beim Umcodieren (S. 43)
• Optionale Compressor-Kurzbefehle (S. 43)
Compressor-Grundlagen und Terminologie
Nachfolgend finden Sie einige allgemeine Begriffe, die Ihnen bei der Arbeit mit Compressor
begegnen können.
33
Der grundlegende Arbeitsablauf
beim Umcodieren 3Die Abbildung unten illustriert den Standardablauf beim Umcodieren mit Compressor.
Die größte Komponente im Umcodierungsprozess ist ein Stapel. Der Stapel repräsentiert
alle Komponenten, die zum Umcodieren Ihrer aktuellen Medien benötigt werden. Er muss
mindestens einen Auftrag enthalten. Ein Auftrag besteht aus mindestens einer
Ausgangsmediendatei, der mindestens ein Ziel zugewiesen ist. Zu jedem Ziel gehört eine
Voreinstellung und ein Zielort. Wenn der Vorgang des Umcodierens abgeschlossen ist,
wird die resultierende Datei als Ausgabedatei bezeichnet. Für jede Voreinstellung, die
einer Ausgangsmediendatei zugewiesen ist, wird eine Ausgabedatei erstellt.
In der nachfolgenden Abbildung enthält der Stapel zwei Ausgangsmediendateien, von
denen jede einen Auftrag darstellt. Diese Aufträge enthalten wiederum je zwei Ziele
(Kombinationen aus einer Voreinstellung und einem Zielort). Insgesamt werden beim
Umcodieren dieses Stapels vier Ausgabedateien erstellt. Auftrag 1 erstellt zwei
Ausgabedateien, ebenso Auftrag 2.
Job 2
Job1
Output media file
(Job 1, Target 1)
Output media file
(Job 1, Target 2)
Output media file
(Job 2, Target 1)
Output media file
(Job 2, Target 2)
Source
media file
1
Source
media file
2
Target 1
Setting Destination
Target 2
Setting Destination
Target 1
Setting Destination
Target 2
Setting Destination
Batch
Machen Sie sich mit den folgenden Begriffen vertraut:
• Codec: Kurz für COmpression/DECompression. Ein mathematisches Modell zur
Reduzierung der Daten einer Ausgangsmediendatei.
• Dateiformat: Entspricht dem Ausgabeformat, das Sie zum Umcodieren Ihrer
Ausgangsmediendatei verwenden.
• Gruppe: Enthält zugewiesene Voreinstellungen, die in einem Ordner im Bereich
„Voreinstellungen“ abgelegt sind. Gruppen helfen Ihnen beim Strukturieren Ihrer
Voreinstellungen und können den Erstellungsprozess für Aufträge vereinfachen.
34 Kapitel 3 Der grundlegende Arbeitsablauf beim Umcodieren• Umcodieren: Der Prozess der Konvertierung von Dateien aus ihrem Originalformat in
Ausgabedateien, die in einem anderen Format weitergegeben werden können. Hängt
eng mit den Begriffen Komprimierung (Reduzierung von Daten) und Codieren (ähnlich
wie „Umcodieren“, allerdings ohne Schwerpunkt auf dem Konvertierungsprozess)
zusammen.
• Ausgangsmediendatei: Der Umcodierungsprozess beginnt immer mit einer
Ausgangsmediendatei (die Datei, die umcodiert werden soll, in ihrem Ausgangsformat).
Ausgangsmediendateien liegen immer in einer der folgenden Formen vor:
• Filme: Filme enthalten Video-, Audio- und andere Daten (wie Marker).
• Standbilder: Diese Mediendateien werden als Teil einer Sequenz von Standbildern
für bestimmte Videoproduktionen verwendet.
• QuickTime: QuickTime ist eine plattformübergreifende Multimedia-Technologie, mit
der Mac OS- und Windows-Programme Video- und Audiomaterial sowie Standbilder
aufnehmen und abspielen können. QuickTime-Dateien können viele verschiedene
Arten von Medien und Codecs enthalten. Über Codecs erhält QuickTime Anweisungen,
wie die Medien wiedergegeben werden sollen.
Kapitel 3 Der grundlegende Arbeitsablauf beim Umcodieren 35Bei einem typischen Umcodierungsprozess mit Compressor sind folgende Komponenten
und Einstellungen relevant.
• Voreinstellung: Nachdem Sie Ihre Ausgangsmediendatei importiert haben, müssen Sie
ihr mindestens eine Voreinstellung zuweisen. Eine Voreinstellung ist eine Kombination
aus Umcodierungsattributen (wie Ausgabeformat, Filter und Geometrieeinstellungen),
die während des Umcodierungsprozesses auf die Ausgangsmediendatei angewendet
werden.
• Ausgabe(datei)format: Entspricht dem Codierer, den Sie für die Konvertierung Ihrer
Ausgangsmediendatei wählen. Wählen Sie eines der folgenden Ausgabeformate -
je nachdem, welches die beabsichtigte Wiedergabemethode und -umgebung Ihrer
umcodierten Mediendatei ist: AIFF, Dolby Digital Professional, DV-Stream, H.264 für
Apple-Geräte (enthält Voreinstellungen für die Verwendung mit einem iPhone, iPad,
iPod oder Apple TV), Bildsequenz (unterstützt TIFF- und TARGA-Bilder), MPEG-1,
MPEG-2, MPEG-4, QuickTime-Film oder QuickTime-Export-Komponenten.
• Filter: Ermöglichen Ihnen das Anpassen verschiedener Merkmale Ihres Videos wie
Farbe, Helligkeit und Schärfe. Dadurch können Sie die Qualität Ihres Videos beim
Komprimieren der Datei optimieren.
• Geometrieeinstellungen: Ermöglichen Ihnen das Beschneiden von Bildern und das
Anpassen der Bildgröße.
• Aktionseinstellungen: Ermöglichen das Erstellen automatischer Aktionen zum
Ausführen nach der Umcodierung und ihr Anwenden auf Aufträge und Einstellungen.
Erstellen Sie ganz einfach Ausgabemediendateien und stellen Sie diese bereit. Senden
Sie E-Mail-Benachrichtigungen und führen Sie mit Automator Arbeiten nach der
Umcodierung aus.
• Zielort: Auch der Ausgangsmediendatei muss ein Zielort zugewiesen werden. Das ist
der Ort, an dem Ihre umcodierte Mediendatei gespeichert wird. Hierfür können Sie
entweder den Standard-Zielordner „Original“ verwenden (derselbe Ordner, in dem sich
die Ausgangsmediendatei befindet), oder Sie bestimmen einen beliebigen anderen
Speicherort, auf den Sie uneingeschränkt Zugriff haben. Sie können den Standardzielort
auch in den Compressor-Einstellungen ändern. Der Zielort bestimmt außerdem, wie
die umcodierte Mediendatei benannt wird.
• Ziel: Eine Vorlage für die Erstellung einer Ausgabemediendatei, die eine Voreinstellung,
einen Zielort und einen Ausgabedateinamen umfasst.
• Auftrag: Sobald Sie der Ausgangsmediendatei mindestens ein Ziel zuweisen, wird sie
zu einem Auftrag, der umcodiert werden kann.
• Stapel: Ein Stapel besteht aus einem oder mehreren Aufträgen, die gleichzeitig
verarbeitet werden. Alle Aufträge, die im Stapel enthalten sind, werden gemeinsam
gesendet, wenn Sie auf die Taste „Senden“ klicken.
36 Kapitel 3 Der grundlegende Arbeitsablauf beim Umcodieren• Ausgabedatei: Die umcodierten Mediendateien, die erstellt werden, nachdem der Stapel
gesendet und verarbeitet ist, werden als Ausgabedateien bezeichnet. Eine Ausgabedatei
ist das Ergebnis einer erfolgreichen Umcodierung einer Ausgangsmediendatei (die eine
Voreinstellung und einen Zielort enthält). Sie können jeweils so viele Ausgabedateien
erstellen, wie unterschiedliche Voreinstellungen auf die verschiedenen Ausgangsmedien
im Stapel angewendet sind.
Vorbereiten von Compressor zur Umcodierung mit eigenen
Voreinstellungen
Compressor enthält zahlreiche vorkonfigurierte Einstellungen, mit denen Sie unmittelbar
mit dem Umcodieren beginnen können. Wenn Sie Ihre Ausgangsmediendateien sofort
umcodieren wollen, ohne eigene Voreinstellungen zu erzeugen, können Sie die Schritte
unter Compressor-Arbeitsablauf im Überblick: Verwenden von Stapelvorlagen ausführen.
Wenn zu Ihrem Arbeitsablauf keine passende Stapelvorlage vorhanden ist und Sie sofort
mit der Umcodierung beginnen wollen, können Sie auch die Schritte unter
Compressor-Arbeitsablauf im Überblick: Manuelles Verfahren befolgen.
Wenn Sie jedoch Ihre eigenen Voreinstellungen und Zielorte erstellen wollen und weitere
Attribute (wie Einstellungen für Filter, Beschneiden, Ändern der Bildgröße und Aktionen)
anpassen möchten, folgen Sie bitte den weiter unten beschriebenen Schritten. Wenn die
eigenen Voreinstellungen, die Sie hier erstellen, allen Aspekten Ihrer
Umcodierungsanforderungen Rechnung tragen, müssen Sie die folgenden Anleitungen
nicht erneut ausführen. Wenn Sie jedoch für jedes Umcodierungsprojekt neue
Voreinstellungen oder Zielorte erstellen müssen, müssen auch die folgenden Schritte
jedes Mal wiederholt werden.
Schritt 1: Erstellen einer Voreinstellung
Falls Sie nicht eine der vorhandenen und mit Compressor gelieferten Voreinstellungen
oder Stapelvorlagen verwenden, müssen Sie Ihre eigenen Voreinstellungen erstellen.
Hierzu verwenden Sie den Bereich „Voreinstellungen“. Wählen Sie zunächst ein
Ausgabeformat aus dem Einblendmenü „Dateiformat“ aus, das geöffnet wird, wenn Sie
im Bereich „Voreinstellungen“ auf die Taste „Hinzufügen“ (+) klicken. Weitere Informationen
hierzu finden Sie unter Wählen eines Ausgabeformats. Zusätzlich haben Sie die Möglichkeit,
Filter, Geometrieeinstellungen und Aktionen für die Nachbearbeitung der umcodierten
Dateien hinzuzufügen. Anschließend können Sie die Voreinstellung in einer Vorschau
ansehen, um sicherzustellen, dass sie Ihren Vorstellungen entspricht. Weitere Informationen
hierzu finden Sie unter Erstellen einer eigenen Voreinstellung.
Sie können Ihren Arbeitsablauf auch optimieren, indem Sie Ihre Voreinstellungen in
Gruppen zusammenfassen. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen von
Gruppen mit Voreinstellungen.
Kapitel 3 Der grundlegende Arbeitsablauf beim Umcodieren 37Nachdem Sie eine Voreinstellung erstellt haben, können Sie diese mithilfe von Filtern
(zum Optimieren der Bildqualität oder zum Hinzufügen von Effekten wie Letterbox), einer
Änderung der Pixelgröße (Geometriewerte) und Nachbearbeitungsoptionen für die
umcodierten Dateien weiter anpassen. All diese zusätzlichen Anpassungen werden im
Fenster „Informationen“ vorgenommen. Weitere Informationen hierzu finden Sie in den
Kapiteln Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung, Arbeiten mit Bildsteuerungen,
Hinzufügen von Geometrieeinstellungen und Hinzufügen von Aktionen.
Schritt 2: Anzeigen einer Vorschau Ihrer Voreinstellung
Wenn Sie sich eine Vorschau Ihrer Voreinstellung ansehen, bevor Sie den Stapel senden,
können Sie unter Umständen viel Zeit sparen. Verwenden Sie dazu das Fenster „Vorschau“.
Auf diese Weise können Sie sicherstellen, dass die Qualität der Ausgabedatei Ihren
Vorstellungen entspricht. Das Fenster „Vorschau“ ist in zwei Hälften geteilt: in der einen
Hälfte wird der Originalinhalt Ihrer Ausgangsmediendatei angezeigt, in der anderen Hälfte
der Inhalt Ihrer Ausgabedatei.
Im Fenster „Vorschau“ können Sie folgende Aufgaben ausführen:
• Wiedergabe der Mediendatei
• Anzeige einer dynamischen Vorschau der Effekte (in Echtzeit)
• Ändern der Effekte von Filtern und Geometrieeinstellungen Ihrer Voreinstellung
• Vergleichen von Ausgangs- oder Ausgabeversionen
• Beschneiden der Bildgröße für die Ausgabedatei
• Ändern des Seitenverhältnisses
• Hinzufügen verschiedener Marker (Kompressions-, Kapitel- oder Podcast-Marker)
Hinweis: Für die Einstellungen im Bereich „Bildsteuerungen“ kann im Fenster „Vorschau“
keine Vorschau angezeigt werden. Führen Sie erst eine probeweise Umcodierung eines
kleinen Ausschnitts Ihrer Ausgangsmediendatei durch, um eine Vorschau der Einstellungen
für die Bildsteuerungen anzuzeigen. (Weitere Informationen hierzu finden Sie unter
Umcodieren eines Clipausschnitts im Fenster „Vorschau“.)
Weitere Informationen finden Sie unter Anzeigen einer Voreinstellung in der Vorschau
und Verwenden des Fensters „Vorschau“.
Schritt 3: Erstellen eines Zielorts
Standardmäßig wird Ihre umcodierte Datei im selben Ordner gesichert wie Ihre
Ausgangsmediendatei (“Original“). Wenn Sie jedoch Ihre umcodierten Dateien an einem
anderen Ort speichern möchten, können Sie im Bereich „Zielorte“ einen neuen Zielort
erstellen. In diesem Bereich können Sie als Zielort jeden Ordner, jedes Volume oder jeden
entfernten Server wählen, auf das bzw. den Sie Zugriff haben. Außerdem können Sie
nützliche Dateikennungen für Ihre umcodierte Ausgabedatei hinzufügen. Wenn Sie alle
erforderlichen Zielorte erstellt haben, müssen Sie den Bereich „Zielorte“ nicht mehr öffnen.
38 Kapitel 3 Der grundlegende Arbeitsablauf beim UmcodierenWeitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen und Ändern von Zielorten.
Wählen eines Ausgabeformats
Bevor Sie eine Ausgangsmediendatei in ein anderes Ausgabeformat komprimieren,
müssen Sie die relevante Wiedergabeplattform (Geräte von Apple, DVD, Web, CD oder
Kiosksystem) auswählen. Wenn Sie sich für eine Plattform entschieden haben, können
Sie das geeignete Ausgabeformat für diese Plattform wählen.
Unabhängig vom Format Ihres digitalen Videomaterials in der Ausgangsmediendatei
können Sie die Datei mithilfe eines der vielen Codierer umcodieren, die zum Lieferumfang
von Compressor gehören. Die folgenden Standardformate werden unterstützt und
verfügen jeweils über eigene Attribute:
• AIFF: Vorgesehen für Audio (einschließlich DVD- oder CD-Authoring) mit angepassten
Einstellungen. Weitere Einzelheiten zum Format AIFF finden Sie unter Erstellen von
AIFF-Dateien.
• Allgemeine Audioformate: Vorgesehen für den einfachen Zugriff auf die meisten
gängigen Audioformate wie AIFF, Apple CAF-Dateien und WAVE. Weitere Informationen
finden Sie unter Erstellen von Dateien für gängige Audioformate.
• DV-Stream: Ein für SD-Projekte häufig verwendetes Format. Weitere Informationen
hierzu finden Sie unter Erstellen von Ausgabedateien im Format „DV-Stream“.
• Dolby Digital Professional: Auch bekannt als AC-3. Normalerweise für das DVD-Authoring
vorgesehen. Weitere Einzelheiten zum Format AC-3 finden Sie unter Erstellen von
Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“.
• Film exportieren: Vorgesehen für das Bereitstellen von Filmmaterial (nur für Final Cut
Pro und Motion). Verwenden Sie „QuickTime-Film“ zum Exportieren eines Films.
• H.264 für Apple-Geräte: Vorgesehen für das Erstellen von Videodateien, die für die
Wiedergabe mit iTunes, iPhone, iPad, iPod und Apple TV geeignet sind. Weitere
Informationen zum Format H.264 für Apple-Geräte finden Sie unter Erstellen von
Ausgabedateien im Format „H.264 für Apple-Geräte“.
• H.264 für Blu-ray: Vorgesehen für die Erstellung von H.264-Voreinstellungen, die speziell
für Blu-ray-Discs konfiguriert sind. Weitere Informationen zum Format H.264 für
Blu-ray-Discs finden Sie unter Erstellen von Ausgabedaten im Format „H.264 für Blu-ray“.
• Bildsequenz: Kompatibel mit zahlreichen Compositing- und
Bildverarbeitungsprogrammen. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen
von Bildsequenzdateien.
• MP3: Vorgesehen für die Komprimierung von Audiomaterial. Das MP3-Format erzeugt
Audiodateien, die mit einer breiten Palette von Wiedergabegeräten kompatibel sind.
Weitere Einzelheiten zum Format MP3 finden Sie unter Erstellen von
MP3-Ausgabedateien.
Kapitel 3 Der grundlegende Arbeitsablauf beim Umcodieren 39• MPEG-1: Vorgesehen für das Internet, CD-ROMs und DVD-spezifische
Verwendungszwecke. Weitere Einzelheiten zum Format MPEG-1 finden Sie unter
Erstellen von MPEG-1-Ausgabedateien.
• MPEG-2: Vorgesehen für die Verwendung mit DVDs im SD- und HD-Format. Weitere
Einzelheiten zum Format MPEG-2 finden Sie unter Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien.
• MPEG-4, Part-2: Vorgesehen für zahlreiche Verwendungszwecke, beispielsweise im Web
oder für drahtlose Geräte. Weitere Einzelheiten zum Format MPEG-4 finden Sie unter
Erstellen von MPEG-4-Ausgabedateien.
• QuickTime-Export-Komponenten: Compressor nutzt die Komponenten-Plug-In-Architektur
von QuickTime und unterstützt so die Ausgabe in zahlreiche zusätzliche Codec-Optionen
und Formate von Drittanbietern wie Windows Media, RealPlayer, 3G und AVI. Die Option
„QuickTime-Export-Komponenten“ ermöglicht Ihnen die Steuerung der
Drittanbieter-Codierungs-Engine, ohne dass ein anderes Programm geöffnet werden
muss. Weitere Informationen zu QuickTime-Export-Komponenten finden Sie unter
Erstellen von Ausgabedateien mit dem QuickTime-Export-Komponenten-Codierer.
• QuickTime-Film: Vorgesehen für die Verwendung mit QuickTime in einer Vielzahl von
Wiedergabe-Umgebungen. Da QuickTime eine Multimedia-Technologie ist, die
plattformübergreifend arbeitet, können Sie damit sowohl mit Mac OS- als auch mit
Windows-basierten Programmen Video- und Audiomaterial sowie Dateien mit
Standbildern aufnehmen und abspielen. Weitere Einzelheiten zum Format QuickTime
finden Sie unter Erstellen von QuickTime-Ausgabedateien.
Erstellen eines Compressor-Stapels
In diesem Abschnitt werden die Schritte zum manuellen Erstellen und Senden eines
vollständigen Compressor-Stapels beschrieben. Informationen zu einer schnelleren und
einfachen Methode, für die allerdings einige Einschränkungen gelten, finden Sie unter
Compressor-Arbeitsablauf im Überblick: Verwenden von Stapelvorlagen.
Sobald Ihnen die notwendigen Voreinstellungen und Zielorte zur Verfügung stehen,
können Sie damit beginnen, den Stapel zu erstellen, der umcodiert werden soll. Ein Stapel
enthält mindestens einen Auftrag. Ein Auftrag besteht aus einer Ausgangsmediendatei
mit mindestens einem Ziel, das wiederum die Voreinstellungen und Zielorte enthält.
Sie können einen Stapel erst zum Umcodieren senden, nachdem Sie jedem Auftrag (jeder
Ausgangsmediendatei) im Stapel mindestens ein Ziel (Voreinstellung und Zielort)
zugewiesen haben. Alle Aufträge, die sich im Stapel befinden, werden gemeinsam
gesendet. Stellen Sie sich Stapel als Dokumente vor, die gesichert, geschlossen und erneut
geöffnet werden können. Ähnlich wie bei den Projekten in Final Cut Pro befindet sich
jeder Compressor-Stapel in einem eigenen Bereich, der beliebig platziert werden kann.
40 Kapitel 3 Der grundlegende Arbeitsablauf beim UmcodierenSchritt 1: Importieren einer Ausgangsmediendatei in Compressor
Zum Importieren von Ausgangsmediendateien in einen Stapel verwenden Sie entweder
das Dialogfenster für die Dateiauswahl oder Sie bewegen die Dateien aus dem Finder in
das Fenster „Stapel“ in Compressor. Sie können Ausgangsmedien von jedem Ordner aus
importieren, auf den Sie Zugriff haben.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Importieren von Ausgangsmedien.
Schritt 2: Zuweisen einer Voreinstellung
Nachdem Sie Ihre Ausgangsmediendatei in das Fenster „Stapel“ importiert haben, müssen
Sie ihr mindestens eine Voreinstellung zuweisen. Dadurch entsteht ein Auftrag. Eine
Ausgangsmediendatei kann erst umcodiert werden, wenn ihr mindestens eine
Voreinstellung zugewiesen ist. Sie können einer Ausgangsmediendatei nur dann eine
Voreinstellung hinzufügen, wenn Sie entweder eine bereits vorhandene Voreinstellung
ausgewählt oder eine neue erstellt haben. Ihrer Voreinstellung muss ein
Ausgabedateiformat zugeordnet sein.
• Wenn Sie eine bereits vorhandene Voreinstellung auswählen: Das Ausgabedateiformat
wurde bereits zugewiesen.
• Wenn Sie eine eigene Voreinstellung erzeugen: Sie müssen ein Ausgabedateiformat aus
dem Einblendmenü „Dateiformat“ wählen, das Sie durch Klicken auf die Taste
„Hinzufügen“ (+) im Bereich „Voreinstellungen“ öffnen.
Sie können eine Voreinstellung in einem Arbeitsschritt mehreren Aufträgen zuweisen.
Wählen Sie hierzu die Aufträge im Fenster „Stapel“ aus und wählen Sie eine Voreinstellung
aus dem Dialogfenster aus, das angezeigt wird, wenn Sie „Ziel“ > „Neues Ziel mit
Voreinstellung“ wählen. Alternativ können Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf einen der
ausgewählten Aufträge klicken, woraufhin ein Kontextmenü geöffnet wird. Wählen Sie
dort eine Voreinstellung aus dem Untermenü „Neues Ziel mit Voreinstellung“ aus.
Falls Sie eine bevorzugte Voreinstellung haben (ganz gleich, ob sie schon vorhanden war
oder ob Sie sie angepasst haben), können Sie Ihren Arbeitsablauf optimieren, indem Sie
ein eigenständiges Programm erstellen, das als Droplet bezeichnet wird. Ein solches
Droplet enthält mehrere Voreinstellungen und kann zum Senden von Stapeln verwendet
werden, ohne dass das Programm „Compressor“ geöffnet werden muss. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen eines Droplets im Bereich
„Voreinstellungen“.
Hinweis: Eine weitere Möglichkeit ist das Erstellen von Gruppen mit Voreinstellungen,
wodurch Sie schnell und bequem einer Ausgangsmediendatei mehrere Voreinstellungen
zuweisen können. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen von Gruppen
mit Voreinstellungen.
Kapitel 3 Der grundlegende Arbeitsablauf beim Umcodieren 41Schritt 3: Anzeigen der Voreinstellung im Fenster „Vorschau“
Sie können entweder eine Vorschau der Ausgangsmediendatei oder der
Ausgangsmediendatei mitsamt der zugewiesenen Voreinstellung anzeigen. Im Fenster
„Vorschau“ können Sie eine dynamische Vorschau (in Echtzeit) anzeigen und die Effekte
von vorgenommenen Filter- und Geometrie-Anpassungen ändern. Ferner können Sie die
Mediendatei abspielen, sich Original- oder Ausgabeversionen ansehen, die Bildgröße der
Ausgabedatei beschneiden, das Seitenverhältnis ändern und diverse Marker hinzufügen,
die für die Dateiformate „MPEG-1“, „MPEG-2“ und „H.264 für Apple-Geräte“ von Bedeutung
sind.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Anzeigen einer Voreinstellung in der
Vorschau und Anzeigen eines Clips in der Vorschau.
Schritt 4: Zuweisen eines Zielorts
Sie können den Speicherort für Ihre Ausgabemediendateien festlegen, indem Sie jedem
Ziel einen Zielort zuweisen. Der Zielort definiert außerdem diverse Aspekte im Hinblick
darauf, wie die Ausgabemediendatei benannt wird. Der Bereich „Zielorte“ enthält mehrere
von Apple vordefinierte Zielorte, unter denen Sie wählen können. Sie können aber auch
eigene Zielorte festlegen. Sie können einen Zielort auf verschiedene Arten zuweisen:
Entweder Sie bewegen einen Zielort aus dem Bereich „Zielorte“ auf das Ziel eines Auftrags
oder Sie verwenden den Menübefehl „Ziel“ > „Zielort“ oder das Kontextmenü, das geöffnet
wird, wenn Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf ein Ziel klicken. Darüber hinaus haben Sie
die Möglichkeit, einen Speicherort zu wählen, der nicht als Zielort definiert ist. Wählen
Sie hierzu „Andere“ in den beiden zuvor genannten Menüs.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Zuweisen von Zielorten zu
Ausgangsmediendateien.
Schritt 5: Senden des Stapels zum Umcodieren
Sobald Sie alle Aufträge, die im Stapel enthalten sein sollen, erstellt haben und mit den
Voreinstellungen und der Qualität der Ausgabedateien zufrieden sind (nachdem Sie sich
eine Vorschau angesehen haben), können Sie den Stapel senden. Klicken Sie zu diesem
Zweck im Fenster „Stapel“ auf die Taste „Senden“.
Hinweis: Falls Sie einen großen Stapel umcodieren, sollten Sie den Bildschirmschoner
auf Ihrem Computer deaktivieren. Dies erhöht die Geschwindigkeit beim Umcodieren,
weil keine Ressourcen durch den Bildschirmschoner in Anspruch genommen werden.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Senden eines Stapels.
42 Kapitel 3 Der grundlegende Arbeitsablauf beim UmcodierenAnzeigen des Status beim Umcodieren
Verwenden Sie das Programm „Share-Monitor“ und das Fenster „Verlauf“, um den aktuellen
Status eines gesendeten Stapels und aller darin enthaltenen Aufträge anzuzeigen. Der
Share-Monitor ist ein eigenständiges Programm, das sowohl mit Compressor als auch
mit Droplets arbeiten kann. Dabei spielt es keine Rolle, ob Compressor geöffnet ist und
ob Sie etwas gesendet haben. Weitere Informationen über Droplets finden Sie unter
Erstellen eines Droplets im Bereich „Voreinstellungen“.
Schritt 1: Anzeigen des Status beim Umcodieren des Stapels
Nachdem Sie einen Stapel gesendet haben, können Sie das Fenster „Share-Monitor“
öffnen, um sich den Status beim Umcodieren Ihres Stapels anzusehen. Sie können so
leicht überwachen, wann der Umcodierungsprozess Ihres Stapels abgeschlossen ist und
ob während der Verarbeitung Fehler aufgetreten sind. Sie können in den
Compressor-Einstellungen festlegen, dass das Programm „Share-Monitor“ automatisch
geöffnet wird.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Festlegen von Compressor-Einstellungen
und im Share-Monitor-Benutzerhandbuch.
Alternativ können Sie sich das Fenster „Verlauf“ in Compressor ansehen. Neben einem
Fortschrittsbalken finden Sie hier auch Angaben dazu, ob ein gesendeter Stapel erfolgreich
umcodiert wurde (ähnlich wie im Share-Monitor).
Schritt 2: Bestätigen des Abschlusses der Umcodierung
Es ist ratsam, den Zielordner der umcodierten Mediendatei zu öffnen und sicherzustellen,
dass die Umcodierung der Mediendatei erfolgreich war und die Ausgabedatei an diesem
Ort gespeichert worden ist.
Optionale Compressor-Kurzbefehle
Bei der Konzeption von Compressor stand ein möglichst optimaler Arbeitsablauf im
Vordergrund. Abhängig von Ihren Anforderungen gibt es mehrere Möglichkeiten, den
Umcodierungsprozess mit Compressor zu beschleunigen.
Verwenden vorhandener Voreinstellungen
Compressor bietet zahlreiche vordefinierte Voreinstellungen, die eine sofortige
Umcodierung ermöglichen. Wenn diese vorhandenen Voreinstellungen für Ihre
Anforderungen geeignet sind, können Sie sofort mit dem Umcodieren Ihrer
Ausgangsmedien beginnen.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Compressor-Arbeitsablauf im Überblick:
Manuelles Verfahren.
Kapitel 3 Der grundlegende Arbeitsablauf beim Umcodieren 43Selbst wenn es erforderlich ist, dass Sie angepasste Voreinstellungen erstellen, können
Sie diese in einer Gruppe zusammenfassen, sodass Sie sie leicht auf Ziele anwenden
können. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen, Ansehen und Ändern
von Voreinstellungen.
Verwenden von Standardvoreinstellungen und -zielorten
Wenn Sie feststellen, dass Sie immer wieder die gleichen Voreinstellungen und Zielorte
auf Ausgangsmediendateien anwenden, können Sie in den Compressor-Einstellungen
festlegen, dass diese Voreinstellungen und Zielorte automatisch angewendet werden.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Festlegen von Compressor-Einstellungen.
Arbeiten mit Droplets
Mit Droplets können Sie schnell und bequem Material umcodieren, ohne dass Compressor
dabei geöffnet sein muss. Sie erstellen ein Droplet, indem Sie eine Voreinstellung oder
eine Gruppe von Voreinstellungen und Zielorten als ausführbares Symbol sichern. Sobald
Sie eine oder mehrere Ausgangsmedien auf dieses Symbol bewegen, startet das Droplet
automatisch den Umcodierungsprozess.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen eines Droplets im Bereich
„Voreinstellungen“.
44 Kapitel 3 Der grundlegende Arbeitsablauf beim UmcodierenDie Benutzeroberfläche von Compressor besteht aus einer Reihe von Fenstern, in denen
Sie einen Großteil der Vorbereitungsarbeiten für die Umcodierung ausführen.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Compressor-Fenster und der Umcodierungs-Arbeitsablauf (S. 46)
• Erstellen und Verwalten von Fensteranordnungen in Compressor (S. 47)
• Arbeiten mit den Compressor-Fenstern (S. 50)
• Fenster „Stapel“ (S. 54)
• Bereich „Voreinstellungen“ (S. 58)
• Bereich „Zielorte“ (S. 59)
• Fenster „Informationen“ (S. 60)
• Fenster „Verlauf“ (S. 70)
• Fenster „Vorschau“ (S. 71)
• Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ (S. 73)
• Share-Monitor (S. 74)
• Droplet-Fenster (S. 75)
• Informationen zum Ändern von Werten und Timecode-Einträgen (S. 75)
• Kurzbefehle (S. 78)
45
Die Benutzeroberfläche von
Compressor 4Compressor-Fenster und der Umcodierungs-Arbeitsablauf
Jedes Compressor-Fenster repräsentiert einen Teil des Umcodierungs-Arbeitsablaufs.
Settings and
Destinations tabs
Batch window
Preview
window
History
window
Inspector window
• Fenster „Stapel“: In diesem Fenster können Sie Ausgangsmedien importieren,
Voreinstellungen und Zielorte hinzufügen und dem Stapel einen Namen geben.
• Bereiche „Voreinstellungen“ und „Zielorte“: Im Bereich „Voreinstellungen“ können Sie an
einem zentralen Ort Apple-Voreinstellungen und angepasste Voreinstellungen verwalten.
Im Bereich „Zielorte“ können Sie Einstellungen für den Zielort erstellen, ändern oder
löschen, einen Standardzielort festlegen und den Dateinamen Ihrer Ausgabemedien
Dateikennungen hinzufügen.
• Fenster „Informationen“: In diesem Fenster können Sie bequem auf allgemeine
Steuerelemente für die Umcodierung und eine detaillierte Zusammenfassung der
Einzelheiten für jede Voreinstellung zugreifen. Sie können das Fenster „Informationen“
auch verwenden, um Informationen über Ausgangsclips zu sammeln und interaktiv im
Fenster „Vorschau“ dynamische Änderungen vorzunehmen.
• Fenster „Vorschau“: In diesem Fenster können Sie Ihre Ausgangsmediendatei im
Originalformat wiedergeben oder diese Datei mit den zugewiesenen Voreinstellungen
in der Vorschau anzeigen. Ferner können Sie die Effekte bestimmter Einstellungen (wie
Filter und Änderungen der Bildgröße) ansehen und Anpassungen an diesen Attributen
vornehmen, während eine Vorschau der Mediendatei in Echtzeit angezeigt wird.
Außerdem haben Sie im Fenster „Vorschau“ die Möglichkeit, verschiedene Arten von
Markern hinzuzufügen und anzusehen.
46 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor• Fenster „Verlauf“: Im Fenster „Verlauf“ können Sie sich ein vollständiges Protokoll aller
Stapel ansehen, die von Ihrem Computer aus gesendet wurden, einschließlich der
Fortschrittsbalken für Stapel, die gerade umcodiert werden. Außerdem können Sie
jeden im Protokoll aufgelisteten Stapel anhalten oder erneut senden.
• Fenster „Droplet“ (nicht abgebildet): In diesem Fenster können Sie eine oder mehrere
Voreinstellungen oder Gruppen von Voreinstellungen als Droplet sichern. Ein Droplet
ist eine eigenständige Voreinstellung, die in ein per Drag&Drop zu startendes Programm
integriert und als Symbol gesichert wird.
• Share-Monitor (nicht abgebildet): Hier sehen Sie den Status aller Stapel, die verarbeitet
werden. (Weitere Informationen hierzu finden Sie im Share-Monitor-Benutzerhandbuch.)
Erstellen und Verwalten von Fensteranordnungen in Compressor
Bei der Arbeit mit Compressor werden Sie feststellen, dass sich die Anordnung der diversen
Compressor-Fenster darauf auswirkt, wie komfortabel Sie das Programm nutzen können.
Hierbei spielt auch die jeweils anstehende Codierungsaufgabe, mit der Sie sich befassen,
eine Rolle. Zu Ihrer Unterstützung bietet Compressor darum Funktionen, mit denen Sie
die Anordnung von Fenstern konfigurieren und sichern können. Die Anordnungen
definieren, welche Fenster sichtbar sind, welche Größe und Position diese Fenster haben
und welche Symbole in der Symbolleiste des Fensters „Stapel“ angezeigt werden.
Compressor enthält zwei Anordnungen, die Sie als Grundlage für die Erstellung eigener
Fensteranordnungen verwenden können.
Hinweis: Jede Anordnung ist in mehreren Größen verfügbar, sodass Sie die Größe wählen
können, die am besten für Ihren Monitor geeignet ist. Sie können jede beliebige
Anordnung ändern und dann als eigene, angepasste Anordnung sichern.
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 47Standardanordnung
In der Standardanordnung werden alle Compressor-Fenster angezeigt, wobei die Bereiche
„Voreinstellungen“ und „Zielorte“ gemeinsam in einem Fenster angeordnet sind. Diese
Anordnung ist perfekt geeignet für den Fall, dass Sie eine einzelne Ausgangsmediendatei
umcodieren.
Stapelanordnung
Bei der Stapelanordnung liegt der Schwerpunkt auf dem Fenster „Stapel“. Diese Anordnung
ist perfekt geeignet für den Fall, dass Sie mehrere ähnliche Ausgangsmediendateien
umcodieren.
Wählen, Sichern und Verwalten von Anordnungen
In Compressor ist es denkbar einfach, eine Fensteranordnung zu wählen.
48 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von CompressorAnordnung wählen
µ Wählen Sie „Fenster“ > „Anordnungen“. Wählen Sie anschließend eine Anordnung aus
der angezeigten Liste aus.
Sobald Sie eine Fensteranordnung gewählt haben, passt sich die
Compressor-Benutzeroberfläche entsprechend an.
Sie können auch eigene, angepasste Anordnungen erstellen und sichern.
Anordnung sichern
1 Ordnen Sie die Fenster der Compressor-Benutzeroberfläche so an, wie Sie sie sichern
möchten.
Weitere Informationen zur Arbeit mit den verschiedenen Fenstern finden Sie unter Arbeiten
mit den Compressor-Fenstern.
2 Wählen Sie „Fenster“ > „Anordnung sichern“.
3 Geben Sie im daraufhin angezeigten Dialogfenster einen Namen für die Anordnung ein
und klicken Sie auf „Sichern“.
Die Anordnung wird gesichert und danach im Menü „Fenster“ > „Anordnungen“ angezeigt.
Sie können die Liste mit den Anordnungen verwalten, indem Sie vorhandene Anordnungen
löschen oder umbenennen.
Fensteranordnungen verwalten
1 Wählen Sie „Fenster“ > „Anordnungen verwalten“.
Das Dialogfenster „Fensteranordnungen verwalten“ wird angezeigt.
2 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Anordnung umbenennen: Wählen Sie die Anordnung durch Doppelklicken aus und
geben Sie den neuen Namen ein.
• Anordnung löschen: Wählen Sie die Anordnung aus und klicken Sie auf die Taste
„Löschen“ (–) .
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 49• Aktuelle Konfiguration der Benutzeroberfläche als neue Anordnung sichern: Klicken Sie
auf die Taste „Hinzufügen“ (+) und geben Sie einen Namen für die Anordnung ein.
• Anordnung auswählen und auf die aktuelle Compressor-Oberfläche anwenden: Wählen
Sie die Anordnung aus und klicken Sie auf die Taste „Anwenden“.
3 Klicken Sie auf „Fertig“, wenn Sie mit dem Verwalten der Fensteranordnungen fertig sind.
Das Fenster „Fensteranordnung verwalten“ wird geschlossen und die
Compressor-Benutzeroberfläche wird entsprechend der ausgewählten Anordnung
angepasst.
Hinweis: Genau genommen ist die Liste mit den Fensteranordnungen in zwei Abschnitte
unterteilt: Ein Abschnitt enthält die von Apple bereitgestellten Anordnungen, der zweite
diejenigen, die Sie selbst erstellt haben. Die von Apple bereitgestellten Anordnungen
können nicht umbenannt oder gelöscht werden. Die von Ihnen erstellten Anordnungen
werden in alphabetischer Reihenfolge aufgelistet. Denken Sie daran, beim Benennen
Ihrer Anordnungen Namen zu verwenden, die Ihnen ein leichtes Wiederauffinden in der
Liste ermöglichen.
Dateien für die Fensteranordnungen
Wenn Sie mehrere Workstations haben, auf denen Sie Compressor verwenden, ist es für
Sie möglicherweise von Vorteil, auf allen Systemen dieselben Fensteranordnungen zur
Verfügung zu haben.
Dies erreichen Sie, indem Sie die Dateien mit den Anordnungsinformationen von einem
System auf ein anderes kopieren. Achten Sie dabei darauf, die Dateien am richtigen
Speicherort abzulegen. Die Fensteranordnungen werden an folgendem Pfad gespeichert:
Benutzer/Benutzername/Library/Application Support/Compressor/Layouts. Alle Dateien
mit Informationen zur Fensteranordnung haben die Erweiterung „.moduleLayout“.
Wichtig: Anordnungsdateien dürfen nicht manuell hinzugefügt oder gelöscht werden,
während Compressor geöffnet ist. Compressor sucht beim Programmstart an dem
genannten Speicherort nach verfügbaren Anordnungseinstellungen. Sie müssen
Compressor neu starten, bevor die Software etwaige Änderungen, die Sie an diesen
Dateien vorgenommen haben, erkennt.
Arbeiten mit den Compressor-Fenstern
Die Fensteranordnungen für den Standard- und den Stapel-Arbeitsablauf präsentieren
die Benutzeroberfläche von Compressor als ein einzelnes großes Element. Tatsächlich
besteht sie jedoch aus einer Reihe von individuellen Fenstern, deren Position und Größe
Sie Ihren Anforderungen entsprechend anpassen können.
50 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von CompressorVerdeckte Fenster
Die Compressor-Benutzeroberfläche setzt sich aus einzelnen Fenstern zusammen. Wenn
Sie von Compressor zu einem anderen Programm und dann wieder zurück wechseln,
indem Sie auf eines der Compressor-Fenster klicken, kann es vorkommen, dass nur das
entsprechende Fenster eingeblendet wird, während die übrigen von anderen
möglicherweise geöffneten Fenstern verdeckt sind.
Alle Compressor-Fenster im Vordergrund anzeigen
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Nutzen Sie beim Wechseln zwischen Programmen die integrierte
Programmumschaltfunktion von Mac OS X. Drücken Sie die Tastenkombination
„Befehl-Tabulator“, um ein Dialogfenster für die Programmauswahl anzuzeigen. Halten
Sie die Befehlstaste gedrückt und wechseln Sie durch wiederholtes Drücken der
Tabulatortaste zwischen den gerade geöffneten Programmen, bis das Compressor-Symbol
ausgewählt ist. Lassen Sie dann die Befehlstaste los. Auf diese Weise stellen Sie sicher,
dass alle Compressor-Fenster angezeigt werden.
µ Wählen Sie „Fenster“ > „Alle nach vorne bringen“.
µ Klicken Sie auf das Compressor-Programmsymbol im Dock.
Hinweis: Mit der Compressor-Symbolleiste, die sich am oberen Rand des Fensters „Stapel“
befindet, ist es denkbar einfach, zu den wichtigsten Compressor-Fenstern und zum
Share-Monitor zu navigieren.
Ändern der Größe von Compressor-Fenstern
Mit Ausnahme des Fensters „Informationen“, dem eine feste Größe zugewiesen ist, können
Sie die Größe aller Compressor-Fenster ändern.
Jedes Fenster hat eine horizontale sowie eine vertikale Mindestgröße, die bestimmt, wie
stark Sie ein Fenster verkleinern können.
Größe eines Fensters ändern
µ Bewegen Sie die rechte untere Ecke des Fensters, um es horizontal oder vertikal zu
vergrößern bzw. zu verkleinern.
Drag this corner to resize
the window.
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 51Hinweis: Wenn Sie die Position oder die Größe eines Fensters ändern, rastet das Fenster
an einem benachbarten Fenster ein, sobald Sie es in die Nähe des anderen Fensters
bewegen. Dies erleichtert Ihnen eine übersichtliche Anordnung der Fenster, ohne dass
Lücken entstehen oder sich Fenster überlappen.
Bereiche
Das Fenster „Stapel“ und die Fenster „Voreinstellungen“ und „Zielorte“ können mehrere
Titel (Bereiche) beinhalten.
• Das Fenster „Stapel“: Wenn Sie mit einem großen Bildschirm arbeiten und mehrere
Stapel geöffnet haben, möchten Sie vielleicht jeden Stapel in einem eigenen Fenster
anzeigen.
• Die Bereiche „Voreinstellungen“ und „Zielorte“: Standardmäßig befinden sich der Bereich
„Voreinstellungen“ und der Bereich „Zielorte“ im selben Fenster. Wenn Sie möchten,
können Sie jeden der beiden Bereiche in einem eigenen Fenster anzeigen oder einen
der Bereiche schließen. Sie haben sogar die Möglichkeit, dem Fenster andere Fenster
als zusätzliche Titel hinzuzufügen (dies gilt für alle Fenster mit Ausnahme des Fensters
„Stapel“).
In beiden Fällen können Sie die Reihenfolge, in der die Titel angeordnet sind, ändern.
Titel (bzw. Bereich) per Drag&Drop in ein eigenes Fenster bewegen
1 Bewegen Sie den Titel aus seiner aktuellen Position heraus.
52 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor2 Lassen Sie die Maustaste los, damit der Bereich in einem eigenen Fenster angezeigt wird.
Titel mithilfe des Kontextmenüs in ein eigenes Fenster bewegen
µ Klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf den Titel und wählen Sie „Titel freistellen“ aus
dem Kontextmenü aus.
Der Titel bzw. Bereich wird in einem eigenen Fenster geöffnet.
Titel per Drag&Drop von einem Fenster in ein anderes bewegen
1 Bewegen Sie den Titel in den Titelbereich des Fensters, dem er hinzugefügt werden soll.
Der Fensterabschnitt, in dem die Titel angezeigt werden, wird optisch hervorgehoben.
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 532 Lassen Sie die Maustaste los.
Daraufhin rastet der Titel im Bereich mit den Titeln ein und das Fenster, in dem er
ursprünglich angezeigt wurde, wird geschlossen.
Titel mithilfe des Kontextmenüs von einem Fenster in ein anderes bewegen
µ Klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf die Stelle des Titelbereichs, an der das Fenster
erscheinen soll. Wählen Sie anschließend den Titel aus der im Kontextmenü angezeigten
Liste aus.
Hinweis: Dies ist die einzige Methode, die es Ihnen ermöglicht, dem Fenster die Titel
„Verlauf“, „Vorschau“ oder „Informationen“ hinzuzufügen.
Reihenfolge der Titel in ihrem aktuellen Fenster ändern
µ Bewegen Sie den Titel nach links oder rechts an seine neue Position.
Die anderen Titel werden entsprechend verschoben, um Platz zu schaffen.
Nachdem Sie die Compressor-Benutzeroberfläche Ihren Wünschen entsprechend
konfiguriert haben, können Sie die Einstellungen als Anordnung sichern. Auf diese Weise
können Sie die Anordnung leicht wiederherstellen oder zwischen dieser Anordnung und
anderen wechseln. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen und Verwalten
von Fensteranordnungen in Compressor.
Fenster „Stapel“
Beim ersten Öffnen von Compressor wird das Fenster „Stapel“ angezeigt. Im Fenster
„Stapel“ können Sie Ausgangsmedien für die Komprimierung importieren, Voreinstellungen
und Zielorte hinzufügen, dem Stapel einen Namen geben und wählen, wo er gesichert
werden soll. Das Fenster „Stapel“ ist der Ort, an dem Sie alle Ausgangsmedien platzieren,
während Sie deren Umcodierung vorbereiten.
Hinweis: Grundsätzlich wird das Fenster „Stapel“ immer angezeigt. Wenn Sie es schließen,
wird es erneut geöffnet, sobald Sie einen neuen Stapel erstellen (“Ablage“ > „Neuer
Stapel“) oder einen vorhandenen Stapel öffnen (“Ablage“ > „Öffnen“).
54 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von CompressorVerwenden Sie die Compressor-Menüleiste oder die Symbolleiste oben im Fenster „Stapel“,
um alle anderen Fenster zu öffnen. (Möglicherweise wird die Symbolleiste nicht angezeigt,
wenn Sie Compressor öffnen. Klicken Sie in diesem Fall auf die Taste in der rechten oberen
Ecke des Fensters „Stapel“, um die Symbolleiste einzublenden.)
Job area
Toolbar
Batch tabs
Batch status
Show/hide
toolbar button
Batch submission button Neben der Compressor-Symbolleiste und der Taste „Senden“ enthält das Fenster „Stapel“
die Bereiche für die geöffneten Stapel und einen Bereich, in dem die Aufträge eines
Stapels angezeigt und konfiguriert werden können. Weitere Informationen zum Hinzufügen
von Ausgangsmediendateien zu einem Stapel finden Sie unter Erstellen von Aufträgen
durch Hinzufügen von Ausgangsmedien zu einem Stapel. Weitere Informationen zur
Arbeit mit Aufträgen und Zielen finden Sie unter Fertigstellen von Aufträgen und Senden
von Stapeln.
Anpassen der Symbolleiste
Das Fenster „Stapel“ enthält eine Symbolleiste, die Sie Ihren Anforderungen entsprechend
anpassen können.
Hinweis: Möglicherweise wird die Symbolleiste nicht angezeigt, wenn Sie das Programm
„Compressor“ öffnen. Klicken Sie in diesem Fall auf die Taste in der rechten oberen Ecke
des Fensters „Stapel“, um die Symbolleiste einzublenden.
Symbolleiste im Fenster „Stapel“ anpassen
1 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus, um die Palette zum Anpassen der
Symbolleiste zu öffnen:
• Wählen Sie „Darstellung“ > „Symbolleiste anpassen“.
• Klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf die Symbolleiste und wählen Sie „Symbolleiste
anpassen“ aus dem Kontextmenü aus.
• Klicken Sie in der Symbolleiste auf das Symbol „Anpassen“ (falls vorhanden).
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 55Die Palette mit den verfügbaren Werkzeugen wird geöffnet.
2 Führen Sie beliebige der folgenden Schritte aus, um die Symbolleiste anzupassen:
• Objekte aus der Symbolleiste entfernen: Bewegen Sie die Objekte aus der Leiste heraus.
• Objekte zur Symbolleiste hinzufügen: Bewegen Sie die Objekte aus der Palette der
verfügbaren Werkzeuge an die gewünschte Position in der Symbolleiste.
• Objekte in der Symbolleiste neu anordnen: Bewegen Sie die Objekte von ihrer aktuellen
Position zur gewünschten neuen Position.
• Standardkonfiguration der Symbolleiste wiederherstellen: Bewegen Sie den Standardsatz
(am unteren Rand der Palette) in die Symbolleiste.
• Anzeige von Objekten in der Symbolleiste konfigurieren: Wählen Sie eine Option aus dem
Einblendmenü „Zeigen“ aus.
Sie können wählen, ob Symbol und Text, nur das Symbol oder nur der Text angezeigt
werden soll.
3 Klicken Sie auf „Fertig“, wenn Sie fertig sind.
Hinweis: Die Symbolleistenkonfiguration wird als Teil der Fensteranordnung gesichert.
Weitere Informationen zu Anordnungen finden Sie unter Erstellen und Verwalten von
Fensteranordnungen in Compressor.
56 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von CompressorSie können der Symbolleiste mehr Objekte hinzufügen, als vom Platz her angezeigt
werden können. In diesem Fall wird am rechten Rand der Symbolleiste ein Doppelpfeil
angezeigt. Durch Klicken auf diesen Pfeil können Sie eine Liste mit den Symbolen
einblenden, die nicht in die Symbolleiste passen.
Click these arrows
to see items that did
not fit in the toolbar.
Die Objekte der Symbolleiste
Die meisten Objekte, die Sie der Symbolleiste hinzufügen können, können nur einmal
hinzugefügt werden. Es gibt jedoch einige, die mehrfach hinzugefügt werden können,
wie z. B. die Trennlinie, der Zwischenraum und der flexible Zwischenraum.
• Neuer Stapel: Erstellt einen neuen Stapel ohne Titel.
• Stapel öffnen: Öffnet ein Dialogfenster, mit dessen Hilfe Sie einen gesicherten Stapel
finden und auswählen können, um ihn zu öffnen.
• Schließen: Schließt den aktuell ausgewählten Stapel.
Hinweis: Ein Stapel lässt sich nicht schließen, wenn es sich dabei um den einzigen
geöffneten Stapel handelt.
• Datei hinzufügen: Öffnet ein Dialogfenster, mit dessen Hilfe Sie eine
Ausgangsmediendatei oder mehrere Dateien finden und auswählen können, um sie
in den aktuellen Stapel zu importieren.
• Surround Sound hinzufügen: Öffnet das Dialogfenster für die Audiodateizuweisung, in
dem Sie jedem Audiokanal in einer Surround-Sound-Konfiguration manuell Dateien
zuweisen können.
• Bildsequenz hinzufügen: Öffnet ein Dialogfenster, in dem Sie den Ordner mit den
Ausgangsmedien für die Bildsequenzdateien suchen und auswählen können.
• Mit vorherigen Einstellungen senden: Sendet den Stapel unter Verwendung der
Einstellungen, die beim Senden vorheriger Stapel verwendet wurden. In diesem Fall
wird das Dialogfenster zum Senden übersprungen.
• Verlauf: Öffnet das Fenster „Verlauf“.
• Informationen: Öffnet das Fenster „Informationen“.
• Voreinstellungen: Öffnet den Bereich „Voreinstellungen“.
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 57• Zielorte: Öffnet den Bereich „Zielorte“.
• Vorschau: Öffnet das Fenster „Vorschau“.
• Share-Monitor: Startet das Programm „Share-Monitor“.
• Droplet erstellen: Öffnet ein Dialogfenster zum Auswählen von Einstellungen für das
Droplet.
• Trennlinie: Fügt der Symbolleiste eine senkrechte Linie hinzu, die Sie zum Gruppieren
von Objekten verwenden können.
• Zwischenraum: Fügt der Symbolleiste einen Zwischenraum mit fester Breite hinzu.
• Flexibler Zwischenraum: Fügt der Symbolleiste einen Zwischenraum mit flexibler Breite
hinzu. Mithilfe des Zwischenraums können Sie Objekte an den linken und rechten Rand
der Symbolleiste verschieben. Dabei dehnt sich der Zwischenraum aus, um ungenutzte
Bereiche gleichmäßig zu füllen.
• Anpassen: Öffnet die Palette zum Anpassen der Symbolleiste.
Bereich „Voreinstellungen“
Im Bereich „Voreinstellungen“ können Sie an einem zentralen Ort Apple-Voreinstellungen
und angepasste Voreinstellungen verwalten. In den Bereichen „Voreinstellungen“ und
„Informationen“ erstellen und ändern Sie Voreinstellungen und entscheiden, welche
Voreinstellungen für das Umcodieren Ihrer Ausgangsmediendatei verwendet werden
sollen und in welches Ausgabeformat die umcodierte Datei konvertiert werden soll.
Bereich „Voreinstellungen“ öffnen
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Wählen Sie „Fenster“ > „Voreinstellungen“ (oder drücken Sie die Tastenkombination
„Befehl-3“).
µ Klicken Sie auf das Symbol „Voreinstellungen“ in der Symbolleiste des Fensters „Stapel“
(falls vorhanden).
µ Klicken Sie auf den Titel „Voreinstellungen“ (falls vorhanden).
58 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von CompressorDer Bereich „Voreinstellungen“ enthält eine Liste der vorhandenen Voreinstellungen
sowie Tasten zum Hinzufügen, Löschen und Duplizieren einer Voreinstellung und zum
Erstellen von Gruppen und Droplets.
Weitere Informationen zum Erstellen, Verwalten und Auswählen von Voreinstellungen
im Bereich „Voreinstellungen“ finden Sie unter Erstellen, Ansehen und Ändern von
Voreinstellungen.
Bereich „Zielorte“
Im Bereich „Zielorte“ können Sie Einstellungen für den Zielort erstellen, ändern oder
löschen, einen Standardzielort festlegen und den Dateinamen Ihrer Ausgabemedien
Dateikennungen hinzufügen.
Bereich „Zielorte“ öffnen
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Wählen Sie „Fenster“ > „Zielorte“ (oder drücken Sie die Tastenkombination „Befehl-4“).
µ Klicken Sie auf das Symbol „Zielorte“ in der Symbolleiste des Fensters „Stapel“ (falls
vorhanden).
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 59µ Klicken Sie auf den Titel „Zielorte“ (falls vorhanden).
Weitere Informationen zum Konfigurieren von Zielorten zur Vereinfachung des
Compressor-Arbeitsablaufs finden Sie unter Erstellen und Ändern von Zielorten
Fenster „Informationen“
Das Fenster „Informationen“ bietet einfachen Zugriff auf häufig verwendete
Steuerelemente für den Codierungsprozess (zum Erstellen und Ändern von
Voreinstellungen und Zielorten), eine Übersicht mit allen Details zu jeder Voreinstellung
sowie Informationen zu den Ausgangsmediendateien, u. a. A/V-Attribute, Daten zu
erweiterten Untertiteln, Anmerkungen und Aktionen für Aufträge.
Fenster „Informationen“ öffnen
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Wählen Sie „Fenster“ > „Informationen einblenden“.
µ Klicken Sie auf das Symbol „Informationen“ in der Symbolleiste des Fensters „Stapel“.
Hinweis: Im Gegensatz zu den anderen Compressor-Fenstern kann die Größe des Fensters
„Informationen“ nicht geändert werden.
60 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von CompressorAutomatische Einstellungen
Für viele Einstellungen steht ein optionaler automatischer Modus zur Verfügung. Wenn
der automatische Modus aktiviert ist, bestimmt Compressor den optimalen Wert für die
Einstellung.
The Automatic button is
dark when active, and its
item is dimmed.
The Automatic button is
dimmed when inactive,
and its item is selectable.
Generell gilt: Wenn der automatische Modus aktiviert ist, wird die Option im Einblendmenü
grau dargestellt und kann nicht geändert werden.
• Wurde eine Voreinstellung noch keiner Ausgangsmediendatei zugewiesen: Im Einblendmenü
für die betreffende Einstellung wird „Automatisch“ angezeigt. Eine Ausnahme bildet
der Bereich „Bildsteuerungen“ im Fenster „Informationen“, der so lange den Status
„unbestimmt“ hat, bis die Voreinstellung auf eine Ausgangsmediendatei angewendet
wurde.
• Wurde die Voreinstellung einer Ausgangsmediendatei zugewiesen: Die Option wird
weiterhin grau dargestellt, zeigt aber den Wert an, der verwendet wird.
Wenn der automatische Modus nicht aktiviert ist, wird die zugehörige Taste grau
dargestellt und Sie können wie gewohnt Werte aus den Einblendmenüs auswählen.
Sie können durch Klicken auf die Taste „Automatisch“ zwischen aktiviertem (Taste wird
dunkel) und deaktiviertem Modus (Taste wird heller) wechseln.
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 61Tipp: Es empfiehlt sich, die Werte im Fenster „Informationen“ für diejenigen Einstellungen
zu prüfen, für die der automatische Modus aktiviert ist. Im Normalfall ist Compressor in
der Lage, die Werte korrekt festzulegen. Es kann jedoch vorkommen, dass nicht genügend
Informationen in der Ausgangsmediendatei vorliegen, um den richtigen Wert zu
bestimmen. So kann beispielsweise der Fall eintreten, dass für einige QuickTime-Clips
keine zugehörigen Metadaten vorliegen oder dass die Metadaten nicht korrekt sind.
Darüber hinaus ist es möglich, dass eine Ausgangsmediendatei keine standardmäßigen
Einstellungen verwendet (z. B. Videobildgröße oder Bildrate). In diesen Fällen wählt
Compressor den am ehesten zutreffenden Standardwert aus.
Ausgangsmediendateien und das Fenster „Informationen“
Wenn Sie einen Auftrag im Fenster „Stapel“ auswählen, zeigt das Fenster „Informationen“
Ihnen Informationen über die Ausgangsmediendatei des Auftrags und ermöglicht das
Hinzufügen von Anmerkungen, Dateien mit erweiterten Untertiteln und Aktionen für
Aufträge (Auftragseigenschaften).
Das Fenster „Informationen“ enthält drei Bereiche: “A/V-Attribute“, „Zusätzliche Infos“
und „Auftragseigenschaft“.
Bereich „A/V-Attribute“
Der Bereich „A/V-Attribute“ umfasst allgemeine Informationen über die
Ausgangsmediendatei und ist in drei Abschnitte unterteilt.
• Dateiinformationen: In diesem Abschnitt werden der Dateiname, der Speicherort und
der Dateityp angezeigt.
• Videoinformationen: In diesem Abschnitt werden gegebenenfalls alle videospezifischen
Angaben zur Datei angezeigt. Hierzu gehören Bildgröße, Bildrate und
Timecode-Informationen.
62 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor• Audioinformationen: In diesem Abschnitt werden gegebenenfalls alle audiospezifischen
Angaben zur Datei angezeigt. Hierzu gehören Sample-Größe und Abtastrate.
Bereich „Zusätzliche Infos“
Im Bereich „Zusätzliche Infos“ können Sie verschiedene Metadatenobjekte ansehen und
ändern, die möglicherweise in anderen Programmen wie Final Cut Pro oder QuickTime
hinzugefügt wurden. Hier können Sie der Ausgabemediendatei auch Metadatenobjekte
hinzufügen Außerdem können Sie der Datei eine Datei mit Untertiteln (erweiterte
Untertitel) zuordnen.
Weitere Informationen zum Verwalten von Dateien mit erweiterten Untertiteln und
Anmerkungen finden Sie unter Bereich „Zusätzliche Infos“.
• Feld „Erweiterte-Untertitel“: Zeigt den Namen der Datei mit erweiterten Untertiteln an,
die derzeit der Ausgangsmediendatei zugewiesen ist.
• Taste „Auswählen“: Mit dieser Taste öffnen Sie ein Dialogfenster zur Auswahl der Datei
mit erweiterten Untertiteln, die Sie der Ausgangsmediendatei zuweisen wollen.
• Taste „Löschen“: Verwenden Sie diese Taste, um die zugehörige Datei mit erweiterten
Untertiteln zu löschen.
• Tabelle „Anmerkungen“: Hier werden die aktuellen Anmerkungstypen und ihr
Anmerkungstext angezeigt.
• Einblendmenü „Anmerkung hinzufügen“: Aus diesem Einblendmenü wählen Sie den Typ
der Anmerkung aus, die Sie der Ausgangsmediendatei hinzufügen wollen.
• Taste „Entfernen“: Mit dieser Taste können Sie die ausgewählte Anmerkung entfernen.
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 63Bereich „Auftragseigenschaft“
Der Bereich „Auftragseigenschaft“ erlaubt das Anwenden und Anpassen von Aktionen,
die nach der Umcodierung auf komplette Aufträge angewendet werden können. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Hinzufügen von Aktionen.
• Einblendmenü „Wenn Auftrag abgeschlossen“: Mit diesem Einblendmenü können Sie
nach einer Umcodierung eine Aktion für einen im Fenster „Stapel“ gewählten Auftrag
auswählen und darauf anwenden.
Bereiche mit Einstellungen
Wenn Sie im Bereich „Voreinstellungen“ eine Voreinstellung oder im Auftrag eines Stapels
ein Ziel auswählen, wird im Fenster „Informationen“ einer von sechs Bereichen angezeigt.
64 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von CompressorBereich „Übersicht“
Der Bereich „Übersicht“ enthält eine Übersicht, in der alle Einstellungen beschrieben sind
(Video- und Audioeinstellungen, Geometrie- und Filtereinstellungen), die der
Voreinstellung zugeordnet sind, die im Bereich „Voreinstellungen“ ausgewählt ist. Die
Angaben in der Übersicht werden automatisch aktualisiert, sobald eine Voreinstellung
geändert wird.
Der Bereich „Übersicht“ enthält folgende Angaben:
• Name: Der Name der Voreinstellung, die im Bereich „Voreinstellungen“ ausgewählt ist.
• Beschreibung: Eine Beschreibung der Voreinstellung, die im Bereich „Voreinstellungen“
ausgewählt ist.
• Suffix: Das Suffix (bzw. die Erweiterung), das der umcodierten Mediendatei zugewiesen
ist. Dies kennzeichnet, in welches Format Ihre Ausgangsmediendatei konvertiert wird.
• Geschätzte Größe: Ist die Voreinstellung einer Ausgangsmediendatei zugewiesen, wird
hier die geschätzte Gesamtgröße der Datei angezeigt. Ist die Voreinstellung keiner
Ausgangsmediendatei zugewiesen, wird hier eine geschätzte Größe pro Stunde der
Ausgangsmediendatei angezeigt.
Hinweis: Die geschätzte Gesamtgröße einer Datei ist nicht für alle Ausgabeformate
verfügbar.
• Audio-Codierer: Angaben zum Format der Audioausgabedatei sowie andere
Einstellungen für die Umcodierung, wie Abtastrate, Kanäle, Bit pro Sample und
Komprimierungsmethode.
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 65• Video-Codierer: Angaben zum Format der Videoausgabedatei sowie andere Einstellungen
für die Umcodierung, wie Bildbreite und -höhe, Umfang des Beschnitts (in Pixeln),
Bildrate, Seitenverhältnis, Komprimierungsmethode, Pixeltiefe, Qualität der spationalen
Komprimierung, Mindestqualität der spationalen Komprimierung, Keyframe-Intervall,
Qualität der temporären Komprimierung, Mindestqualität der temporären
Komprimierung und Datenrate (in Bit pro Sekunde).
• Filter: Angaben zu allen oder einigen Compressor-Filtern (je nachdem, wie viele Filter
Sie im Bereich „Filter“ ausgewählt haben) bzw. keine Angabe zu Filtern.
Bereich „Codierer“
Verwenden Sie den Bereich „Codierer“, um die Einstellungen für das Ausgabedateiformat
und andere Einstellungen auszuwählen und zu konfigurieren. Die Optionen und Attribute
für das Dateiformat sind für jedes Format unterschiedlich.
• Dateiformat: Verwenden Sie dieses Einblendmenü, um ein Ausgabedateiformat
auszuwählen. Weitere Informationen zu den möglichen Ausgabeformaten finden Sie
unter Wählen eines Ausgabeformats.
• Feld „Suffix“: Die folgenden Dateisuffixe werden auf der Basis des Formats, das Sie im
Einblendmenü „Dateiformat“ ausgewählt haben, und wenn Video- und Audiospuren
aktiviert sind, in diesem Feld automatisch angezeigt. Ändern Sie den Inhalt dieses Felds
nach Möglichkeit nicht, da sonst unter Umständen Ihre Datei nicht mehr erkannt wird.
• aiff: Steht für das Format „AIFF“.
• ac3: Steht für das Format „Dolby Digital Professional“.
• caf: Steht für Apple CAF-Dateien.
• dv: Steht für das Videoformat „Digital Video“ (DV).
• mpg: Steht für MPEG-1-Multiplexed-Stream (Video und Audio gebündelt).
• m1v: Steht für MPEG-1-Videoelementarstream.
66 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor• m1a: Steht für MPEG-1-Audioelementarstream.
• m2v: Steht für MPEG-2-Videoelementarstream.
• m2t: Steht für MPEG-2-Transportstream.
• mpeg: Steht für MPEG-2-Programmstream.
• m4v: Steht für das Format „H.264 für Apple-Geräte“.
• mp4: Steht für das Format „MPEG-4“.
• mov: Steht für QuickTime.
• tga: Steht für das Format „TARGA“.
• tiff: Steht für das Format „TIFF“.
• Feld „Auftragssegmentierung erlauben“: Durch Klicken auf dieses Feld können Sie die
Segmentierung von Aufträgen aktivieren bzw. deaktivieren. Dies ist nur relevant, wenn
Sie Compressor mit verteilter Verarbeitung und mit 2-Pass- oder Multi-Pass-Codierung
verwenden. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und
2-Pass-Codierung oder Multi-Pass-Codierung.
Bereich „Bildsteuerungen“
Dieser Bereich des Fensters „Informationen“ bietet automatische und angepasste
Einstellungen für die erweiterte Bildanalyse bei der Skalierung und beim Retiming.
Das Skalieren der Bildgröße ist erforderlich, wenn eine Umcodierung von einem HD-Format
wie 1080i in ein SD-Format wie DV-NTSC erfolgt. Ein Beispiel für das Retiming (die
Änderung des Zeitverhaltens) ist die Umcodierung zwischen Videoformaten mit
unterschiedlichen Bildraten wie NTSC (29,97 fps) und PAL (25 fps). Weitere Informationen
zum Bereich „Bildsteuerungen“ erhalten Sie unter Bereich „Bildsteuerungen“.
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 67Bereich „Filter“
Sie verwenden den Bereich „Filter“, um Ihrer Voreinstellung Filter hinzuzufügen. Hiermit
können Sie eine Gamma-Korrektur durchführen oder störendes Bildrauschen entfernen.
Wählen Sie die Markierungsfelder neben den Filtern aus, die Sie in eine bestimmte
Voreinstellung integrieren möchten. Verwenden Sie die Schieberegler oder die Pfeile für
den jeweiligen Filter, um die Einstellungen dieses Filters bei Bedarf anzupassen.
Die Filter werden in der Reihenfolge auf die Ausgangsmediendatei angewendet, in der
Sie sie in der Liste „Filter“ angeordnet haben. Sie können die Reihenfolge verändern,
indem Sie Filter in dieser Liste aufwärts oder abwärts bewegen.
Weitere Informationen zum Bereich „Filter“ erhalten Sie unter Bereich „Filter“.
68 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von CompressorBereich „Geometrie“
Verwenden Sie die Optionen im Bereich „Geometrie“, um die Mediendatei, die komprimiert
werden soll, zu beschneiden und Änderungen an der Größe vorzunehmen sowie um ihr
Seitenverhältnis festzulegen.
Der Bereich „Geometrie“ besteht aus drei Abschnitten:
• Original einsetzen (Beschneiden): Verwenden Sie die vier Felder, um die Anzahl der Pixel
einzugeben, um die die Größe der Ausgangsmediendatei reduziert werden soll.
Alternativ können Sie eine Einstellung aus dem Einblendmenü „Beschneiden auf“
auswählen, damit Compressor die Werte für das Beschneiden basierend auf dem
Videoinhalt der Ausgangsmediendatei festlegt.
• Abmessungen (Codierte Pixel): Verwenden Sie das Einblendmenü „Bildgröße“ bzw. die
zugehörigen Felder, um für die Ausgabedatei eine geeignete Bildgröße und ein
geeignetes Seitenverhältnis festzulegen. Verwenden Sie das Einblendmenü „Pixelformat“,
um die Werte für die Breite und Höhe so einzustellen, dass sie einem bestimmten
Pixelformat entsprechen.
• Ausgabebild anpassen (Padding): Sie verwenden das Einblendmenü „Rand“, um die
Werte für die Breite und Höhe in der Ausgabedatei zu berechnen. Ist die Option
„Anpassen“ aktiviert, können Sie in den Feldern Werte eingeben.
Weitere Informationen zum Bereich „Geometrie“ erhalten Sie unter Hinzufügen von
Geometrieeinstellungen.
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 69Bereich „Aktionen“
Im Bereich „Aktionen“ können Sie E-Mail-Benachrichtigungen nach Abschluss der
Umcodierung aktivieren und einen Standardzielort für diese Voreinstellung festlegen.
• Markierungsfeld und Feld „E-Mail-Benachrichtigung an“: Tragen Sie hier die Adresse ein,
an die eine Benachrichtigung per E-Mail geschickt werden soll, wenn die Mediendatei
fertig umcodiert wurde bzw. ein Fehler aufgetreten ist.
• Standardziel: Wählen Sie aus dem Einblendmenü den Zielort aus, den diese
Voreinstellung als Standardspeicherort verwenden soll.
Weitere Informationen zum Bereich „Aktionen“ erhalten Sie unter Hinzufügen von
Aktionen.
Fenster „Verlauf“
Über das Fenster „Verlauf“ erhalten Sie schnellen Zugriff auf zuvor gesendete Stapel und
einige Informationen zu diesen Stapeln. Sie können hier einen Umcodierungsvorgang
anhalten, Stapel erneut senden, indem Sie sie in das Fenster „Stapel“ bewegen, oder
Sendedetails zu bestimmten Stapeln anzeigen. Zudem können Sie das Fenster verwenden,
um nach den Ausgabemediendateien von zuvor gesendeten Stapeln zu suchen.
Das Fenster „Verlauf“ enthält außerdem einen Fortschrittsbalken, mit dessen Hilfe Sie den
Status von bereits gesendeten Stapeln überwachen können.
Das Fenster „Verlauf“ öffnen und schließen
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Wählen Sie „Fenster“ > „Verlauf“ (oder drücken Sie die Tastenkombination „Befehl-1“).
70 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressorµ Klicken Sie in der Symbolleiste des Fensters „Stapel“ auf die Taste „Verlauf“.
Hinweis: Das Fenster „Verlauf“ wird automatisch geöffnet, falls es geschlossen ist, wenn
Sie einen Stapel zum Umcodieren senden.
Das Fenster „Verlauf“ enthält Einträge, in denen Informationen zum Stapelnamen sowie
zu Datum und Uhrzeit der ursprünglichen Umcodierung angezeigt werden. Die Einträge
sind nach Datum geordnet, wobei der älteste Eintrag an erster Stelle steht. Wenn Sie
einen Stapel per Drag&Drop in das Fenster „Stapel“ bewegen, um ihn erneut zu senden,
wird dafür ein neuer Stapel ohne Titel erstellt (etwaige vorhandene Stapel bleiben davon
unberührt).
Weitere Informationen zu den Steuerelementen und Voreinstellungen im Fenster „Verlauf“
finden Sie unter Das Fenster „Verlauf“
Fenster „Vorschau“
Das Fenster „Vorschau“ ist in zwei Hälften unterteilt. Links zeigt es die ausgewählte
Ausgangsmediendatei in ihrer Originalform an und rechts eine Vorschau, wie Ihre
Ausgabedatei aussehen wird. Dadurch wird Ihnen ermöglicht, die Originalversion mit der
umcodierten Version zu vergleichen und bei Bedarf Ihre Einstellungen anzupassen. Mithilfe
der Optionen in diesem Fenster können Sie ein Bild beschneiden, Keyframes hinzufügen
und das Seitenverhältnis ändern.
Fenster „Vorschau“ öffnen
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Wählen Sie „Fenster“ > „Vorschau“ (oder drücken Sie die Tastenkombination „Befehl-2“).
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 71µ Klicken Sie in der Symbolleiste des Fensters „Stapel“ auf die Taste „Vorschau“.
Marker pop-up menu
button
Das Fenster „Vorschau“ enthält zusätzliche Funktionen, beispielsweise das Einblendmenü
„Marker“. Über dieses Einblendmenü können Sie Kapitellisten importieren oder
Kapitel-Marker (und Podcast-Marker) manuell hinzufügen. Das Hinzufügen von
Kompressions-Markern für eine höhere Komprimierungsqualität Ihrer Mediendatei ist
damit ebenfalls möglich.
Weitere Informationen zu den Steuerelementen und Einstellungen im Fenster „Vorschau“
finden Sie unter Fenster „Vorschau“
72 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von CompressorFenster „Apple Qmaster - Sharing“
Compressor umfasst eine Funktion für die verteilte Verarbeitung, die Sie verwenden
können, um Umcodierungsaufträge zu beschleunigen. Auf diese Weise können Sie sich
die Leistungsstärke mehrerer Computer in Ihrem lokalen Netzwerk zunutze machen und
die Aufgaben verteilen. Das Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ wird geöffnet, wenn Sie
„Apple Qmaster“ > „Diesen Computer freigeben“ wählen. Es enthält einen Großteil der
Steuerelemente, die zum Konfigurieren eines Systems für die verteilte Verarbeitung
erforderlich sind. Ausführliche Informationen zum Konfigurieren finden Sie unter Apple
Qmaster und die verteilte Verarbeitung.
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 73Share-Monitor
Verwenden Sie das Programm „Share-Monitor“, um den Fortschritt beim Umcodieren
aller Stapel zu überwachen. Hier erhalten Sie auch geschätzte Angaben dazu, wie lange
der Umcodierungsprozess für alle Aufträge voraussichtlich noch dauert. Der Share-Monitor
ist ein separates Programm, das geöffnet werden kann, ohne Compressor zu öffnen.
Nähere Details zum Share-Monitor finden Sie im Share-Monitor-Benutzerhandbuch.
Share-Monitor öffnen
µ Klicken Sie auf die Taste „Share-Monitor“ in der Symbolleiste des Fensters „Stapel“.
Sie haben auch die Möglichkeit, in den Compressor-Einstellungen festzulegen, dass das
Programm „Share-Monitor“ automatisch geöffnet wird, wenn Sie einen Stapel senden.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Festlegen von Compressor-Einstellungen.
Der Share-Monitor zeigt den Status aller gesendeten Stapel an (einschließlich der
Stapelnamen und weiterer Detailinformationen). Sie können Berichte über erfolgreiche
und fehlgeschlagene Aufträge im Share-Monitor oder auch im Fenster „Verlauf“ anzeigen.
Weitere Informationen zu den Steuerelementen und Einstellungen im Share-Monitor
finden Sie im Share-Monitor-Benutzerhandbuch.
74 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von CompressorDroplet-Fenster
Sie können eine oder mehrere Einstellungen oder Gruppen von Einstellungen als Droplet
sichern, d. h. als eigenständige Voreinstellung, die in ein per Drag&Drop zu startendes
Programm integriert und als Symbol gesichert wird. Anschließend können Sie die
Ausgangsmediendateien umcodieren (ohne Compressor zu öffnen), indem Sie sie ganz
einfach auf ein Droplet-Symbol bewegen. Weitere Informationen zur Erstellung und
Verwendung von Droplets finden Sie unter Arbeiten mit Droplets.
Drag selected source
media files to a Droplet
to transcode them.
Sie können jedes Droplet öffnen und in dessen Fenster alle Angaben über das zugehörige
Droplet einsehen.
Droplet-Fenster öffnen
µ Wählen Sie ein Droplet-Symbol durch Doppelklicken aus.
Weitere Informationen zu den Steuerelementen und Einstellungen im Fenster „Droplet“
finden Sie unter Fenster „Droplet“.
Informationen zum Ändern von Werten und Timecode-Einträgen
In Compressor stehen Ihnen mehrere Methoden zur Eingabe von Werten zur Verfügung.
Die meisten dieser Methoden beinhalten Funktionen, die das Ändern von Werten oder
Timecode-Feldern erheblich erleichtern.
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 75Verwenden von Wertereglern
Es gibt zwei Methoden für die Eingabe von allgemeinen numerischen Werten: klassische
Schieberegler mit separaten numerischen Eingabefeldern und Werteregler, die Regler
und numerisches Eingabefeld miteinander verbinden.
Value slider with
combined slider and
numeric entry field
Separate slider and
numeric entry field Werteregler ermöglichen Ihnen, eine bestimmte Zahl im Wertefeld einzugeben oder den
Wert durch Bewegen des Zeigers bei gedrückter Maustaste im Wertefeld festzulegen. Bei
der Verwendung von Wertereglern können Sie durch gleichzeitiges Drücken einer
Sondertaste Anpassungen in unterschiedlich großen Schritten vornehmen. Wenn Sie den
Zeiger im mittleren Bereich bewegen (wo sich die Zahl befindet), verhält sich der
Werteregler wie ein normaler Schieberegler: Bewegen Sie die Maus nach rechts, erhöht
sich der Wert, bewegen Sie die Maus nach links, verringert sich der Wert. Zusätzlich haben
Sie die Möglichkeit, auf den Pfeil rechts oder links zu klicken, um den Wert schrittweise
zu ändern. Außerdem können Sie zur Angabe eines spezifischen Werts die Zahl selbst
durch Doppelklicken auswählen und eine neue Zahl im Wertefeld eingeben.
Werte in normalen Schritten ändern
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Bewegen Sie den Zeiger bei gedrückter Maustaste im Wertefeld nach links oder rechts.
µ Klicken Sie auf den Linkspfeil, um den Wert zu verringern, bzw. auf den Rechtspfeil, um
ihn zu erhöhen.
µ Falls Sie über eine Maus mit drei Tasten und Scrollrad verfügen, klicken Sie auf das
Wertefeld und ändern Sie den Wert mithilfe des Scrollrads.
Werte in kleinen Schritten ändern
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Bewegen Sie den Zeiger bei gedrückter Wahltaste innerhalb des Wertefelds.
µ Klicken Sie bei gedrückter Wahltaste auf den Linkspfeil, um den Wert zu verringern, bzw.
auf den Rechtspfeil, um ihn zu erhöhen.
µ Falls Sie über eine Maus mit Scrollrad verfügen, scrollen Sie bei gedrückter Wahltaste im
Wertefeld.
Werte in großen Schritten ändern
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Bewegen Sie den Zeiger bei gedrückter Umschalttaste innerhalb des Wertefelds.
76 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressorµ Klicken Sie bei gedrückter Umschalttaste auf den Linkspfeil, um den Wert zu verringern,
bzw. auf den Rechtspfeil, um ihn zu erhöhen.
µ Falls Sie über eine Maus mit Scrollrad verfügen, scrollen Sie bei gedrückter Umschalttaste
im Wertefeld.
Wenn ein Werteregler oder ein Wertefeld aktiv (hervorgehoben) ist, gelangen Sie durch
Drücken der Tabulatortaste zum nächsten Feld.
Verwenden von Wertereglern für den Timecode
Compressor verwendet Timecode-Werteregler für alle Felder, in denen Timecode
eingegeben wird. Neben der Möglichkeit, Timecode-Werte direkt einzugeben, können
Sie einen Timecode-Wert erhöhen oder verringern, indem Sie den Zeiger bei gedrückter
Maustaste im Regler bewegen.
Wenn Sie den Zeiger auf einem Segment des Timecodes positionieren, werden über und
unter diesem Segment kleine Pfeile eingeblendet.
Sie können den Wert im Segment erhöhen, indem Sie den Zeiger bei gedrückter Maustaste
im Segment nach oben oder nach rechts bewegen. (Springt der Wert im aktiven Segment
durch das Bewegen des Zeigers auf Null um, werden die Werte in den Segmenten links
neben dem aktiven Segment entsprechend erhöht.) Analog bewirkt ein Bewegen nach
unten oder nach links ein Verringern des Werts. Wenn Sie die Wahltaste beim Bewegen
des Mauszeigers gedrückt halten, ändert sich der Wert langsamer, wenn Sie die
Umschalttaste gedrückt halten, erfolgt die Änderung des Werts schneller.
Alternativ haben Sie die Möglichkeit, den Timecode-Wert zu erhöhen oder zu verringern,
indem Sie auf den Aufwärts- bzw. Abwärtspfeil klicken, der sich rechts bzw. links vom
Timecode-Feld befindet, oder indem Sie den Aufwärts- bzw. Abwärtspfeil auf der Tastatur
drücken.
Sie steuern, auf welches Segment sich das Drücken des Aufwärts- und Abwärtspfeils
auswirkt, indem Sie ein Segment auswählen, sodass darunter ein Caret-Zeichen ( ^ )
eingeblendet wird. Mithilfe des Linkspfeils und des Rechtspfeils auf der Tastatur können
Sie auch andere Segmente auswählen.
Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von Compressor 77Kurzbefehle
Vollständige Listen der Compressor-Kurzbefehle finden Sie in den Abschnitten Allgemeine
Kurzbefehle in Compressor und Kurzbefehle des Fensters „Vorschau“.
78 Kapitel 4 Die Benutzeroberfläche von CompressorMit den Compressor-Einstellungen können Sie viele Compressor-Funktionen konfigurieren.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Compressor-Einstellungen (S. 79)
• Verwenden von Compressor-Einstellungen (S. 82)
Compressor-Einstellungen
Im Fenster „Einstellungen“ von Compressor kann eine Vielzahl von Compressor-Funktionen
konfiguriert werden.
Das Fenster „Einstellungen“ von Compressor enthält folgende Steuerelemente:
79
Festlegen von
Compressor-Einstellungen 5Details des Fensters „Einstellungen“ von Compressor
• E-Mail-Adresse: Geben Sie hier die E-Mail-Adresse ein, die standardmäßig für die
E-Mail-Benachrichtigung verwendet werden soll.
• Server für ausgehende E-Mails: Weitere Informationen zur E-Mail-Benachrichtigung
finden Sie unter Aktionen nach der Umcodierung .
• Share-Monitor automatisch öffnen: Mit diesem Feld kann angegeben werden, ob der
Share-Monitor beim Senden eines Stapels automatisch geöffnet werden soll.
• Auftragsminiaturen anzeigen: Mit diesem Feld kann angegeben werden, ob Miniaturen
für Aufträge in einem Stapel angezeigt werden.
• Cluster-Optionen: Wählen Sie eine der folgenden Optionen, um Cluster-Optionen
(Einstellungen zu Arbeitsvolumes für die verteilte Verarbeitung) zu steuern.
• Bei Bedarf Quellmaterial auf den Cluster kopieren: Weist Compressor an, die
Ausgangsdateien bei Bedarf auf die Arbeitsvolumes eines Clusters zu kopieren.
• Quellmaterial immer auf den Cluster kopieren: Weist Compressor an, die
Ausgangsdateien immer auf die Arbeitsvolumes eines Clusters zu kopieren.
• Quellmaterial nie auf den Cluster kopieren: Verhindert, dass Compressor die
Ausgangsdateien kopiert.
• Dateien nie von/auf Cluster kopieren: Verhindert, dass Compressor Dateien kopiert.
Entweder sind alle Dateien am richtigen Speicherort oder der Stapel schlägt fehl.
• Beim Senden kopieren (hohe Priorität): Mit diesem Feld wird gesteuert, ob Compressor
Ausgangsdateien sofort auf den Verarbeitungs-Cluster überträgt.
• Standardeinstellung: Verwenden Sie das Einblendmenü „Standardeinstellung“, um eine
Option aus der Liste der vorhandenen Einstellungen zu wählen.
• Standardziel: Verwenden Sie das Einblendmenü „Standardziel“, um eine Option aus
der Liste der vorhandenen Zielorte zu wählen.
• Für neue Stapel: Wählen Sie eine der folgenden Optionen, um das beim Starten von
Compressor angezeigte Dialogfenster festzulegen.
• Vorlagenauswahl einblenden: Compressor wird beim Start mit dem Auswahlfenster
für Stapelvorlagen geöffnet.
• Leere Vorlage verwenden: Compressor wird gestartet und zeigt einen leeren, noch
unbenannten Stapel mit einem Platzhalter-Auftrag an.
• Verbindungen von anderen Computern erlauben: Verwenden Sie dieses Feld um zu
steuern, ob entfernte Computer, auf denen Share-Monitor ausgeführt wird, den
Auftragsstatus dieses Computers sehen können. Share-Monitor auf dem entfernten
Computer muss nur die IP-Adresse oder den Hostnamen kennen. (Es muss kein Kennwort
eingegeben werden.)
• IP-Adressen oder -Bereiche eingeben für manuell ausgewählte Computer: Diese Tabelle
enthält Informationen über entfernte Host-Computer.
80 Kapitel 5 Festlegen von Compressor-Einstellungen• Tasten „Hinzufügen“/“Entfernen“: Mit diesen Tasten können Sie Informationen über
entfernte Host-Computer hinzufügen oder entfernen.
Dialogfenster für die Hostadresse
Dieses Dialogfenster wird angezeigt, wenn Sie auf die Taste „Hinzufügen“/“Entfernen“ im
Fenster „Einstellungen“ von Compressor klicken. Hier können Sie IP-Adressen oder
-Adressbereiche für manuell ausgewählte Computer eingeben.
Das Dialogfenster enthält folgende Steuerelemente:
• Tasten „Host“/“Host-IP-Adressbereich“: Diese Tasten steuern, ob für das Dialogfenster
der IP-Adressmodus (in dem eine bestimmte Adresse eingegeben wird) oder der
IP-Adressbereichsmodus (in dem ein Adressbereich eingegeben wird) gilt.
• Host: In diesem Modus kann ein Hostname und eine IP-Adresse für einen bestimmten
entfernten Computer angegeben werden.
• Host-IP-Adressbereich: In diesem Modus kann ein Name und ein Bereich von Nummern
(Anfang/Ende des Bereichs) für einen Bereich entfernter IP-Adressen angegeben
werden.
Kapitel 5 Festlegen von Compressor-Einstellungen 81Verwenden von Compressor-Einstellungen
Befolgen Sie die nachfolgenden Anweisungen, um Compressor-Einstellungen festzulegen.
Compressor-Einstellungen öffnen
µ Wählen Sie „Compressor“ > „Einstellungen“ oder drücken Sie die Tastenkombination
“Befehl-Komma“ ( , ).
Das Fenster „Einstellungen“ wird geöffnet.
E-Mail-Benachrichtigung konfigurieren
1 Geben Sie die E-Mail-Adresse ein, die standardmäßig verwendet werden soll, wenn die
E-Mail-Benachrichtigung aktiviert ist.
Sie können diese Adresse im Bereich „Aktionen“ des Fensters „Informationen“ ändern.
2 Geben Sie den Mail-Server an, der von diesem Computer für abgehende E-Mails verwendet
wird.
Weitere Informationen zur E-Mail-Benachrichtigung finden Sie unter Aktionen nach der
Umcodierung .
Automatisches Öffnen von Share-Monitor festlegen
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Markieren Sie das Feld „Share-Monitor automatisch öffnen“, damit der Share-Monitor
automatisch geöffnet wird, sobald Sie einen Stapel senden.
82 Kapitel 5 Festlegen von Compressor-Einstellungenµ Entfernen Sie die Markierung aus dem Feld „Share-Monitor automatisch öffnen“, um zu
verhindern, dass der Share-Monitor automatisch geöffnet wird. Sie können den
Share-Monitor weiterhin manuell über das Fenster „Stapel“ öffnen.
Anzeigen von Miniaturbildern für jeden Auftrag in einem Stapel festlegen
µ Wählen Sie „Auftragsminiaturen anzeigen“, damit diese Bilder in Compressor angezeigt
werden.
µ Deaktivieren Sie „Auftragsminiaturen anzeigen“, wenn diese Bilder in Compressor nicht
angezeigt werden sollen.
Cluster-Optionen (Einstellungen zu Arbeitsvolumes für die verteilte Verarbeitung)
steuern
µ Wählen Sie eine Option aus dem Einblendmenü „Cluster-Optionen“:
• Bei Bedarf Quellmaterial auf den Cluster kopieren: Weist Compressor an, die
Ausgangsdateien bei Bedarf auf die Arbeitsvolumes eines Clusters zu kopieren.
• Quellmaterial immer auf den Cluster kopieren: Weist Compressor an, die Ausgangsdateien
immer auf die Arbeitsvolumes eines Clusters zu kopieren.
• Quellmaterial nie auf den Cluster kopieren: Verhindert, dass Compressor die
Ausgangsdateien kopiert.
• Dateien nie von/auf Cluster kopieren: Verhindert, dass Compressor Dateien kopiert.
Entweder sind alle Dateien am richtigen Speicherort oder der Stapel schlägt fehl.
Ausgangsdateien sofort auf den Verarbeitungs-Cluster übertragen
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Aktivieren Sie die Option „Beim Senden kopieren (hohe Priorität)“, damit Compressor die
Ausgangsdateien sofort kopiert.
µ Deaktivieren Sie die Option „Beim Senden kopieren (hohe Priorität)“, um zu verhindern,
dass Compressor die Ausgangsdateien sofort kopiert.
Standardeinstellung definieren
µ Verwenden Sie das Einblendmenü „Standardeinstellung“, um eine Option aus der Liste
der vorhandenen Einstellungen zu wählen.
Die von Ihnen gewählte Einstellung wird als Standardvoreinstellung angezeigt, wenn Sie
im Fenster „Stapel“ eine neue Ausgangsdatei importieren.
Standardzielort ändern
µ Verwenden Sie das Einblendmenü „Standardziel“, um eine Option aus der Liste der
vorhandenen Zielorte zu wählen.
Der von Ihnen gewählte Zielort wird als Standardziel angezeigt, wenn Sie im Fenster
„Stapel“ eine neue Ausgangsdatei importieren.
Kapitel 5 Festlegen von Compressor-Einstellungen 83Beim Start von Compressor das Auswahlfenster für Stapelvorlagen anzeigen
µ Wählen Sie „Vorlagenauswahl einblenden“, damit das Auswahlfenster für Stapelvorlagen
beim Start angezeigt wird.
µ Wählen Sie „Leere Vorlage verwenden“, damit das Auswahlfenster für Stapelvorlagen
beim Start nicht angezeigt wird.
Anzeigen des Auftragsstatus durch andere Computer, auf denen Share-Monitor
ausgeführt wird, steuern
µ Markieren Sie das Feld „Verbindungen von anderen Computern erlauben“, damit entfernte
Computer, auf denen Share-Monitor ausgeführt wird, den Auftragsstatus dieses Computers
überwachen können.
Der entfernte Computer muss nur die IP-Adresse des Computers oder den Hostnamen
kennen. (Es gibt kein Kennwort.)
IP-Adressen oder -Bereiche für entfernte Host-Computer eingeben
1 Klicken Sie unten im Fenster „Einstellungen“ von Compressor auf die Taste „Hinzufügen“
(+).
Das Dialogfenster zur Eingabe von Host-Adressen wird angezeigt.
2 Führen Sie in diesem Dialogfenster einen der folgenden Schritte aus:
• Wählen Sie „Host“, füllen Sie die Felder „Hostname“ und „IP-Adresse“ aus und klicken
Sie auf „Host hinzufügen“.
Hinweis: Sie können auch nur den Hostnamen oder die IP-Adresse eingeben und die
Tabulatortaste drücken. Wird ein passender Hostname bzw. eine IP-Adresse gefunden,
wird der Eintrag automatisch in das Feld eingegeben.
• Wählen Sie „Host IP-Adressbereich“, füllen Sie die Felder für den Adressbereich aus und
klicken Sie auf „Bereich hinzufügen“.
Die Host-Computer oder Host-Bereiche werden in der Host-Tabelle im Dialogfenster
„Einstellungen“ angezeigt.
Wichtig: Änderungen der Compressor-Einstellungen werden erst dann aktiv, wenn Sie
auf „OK“ klicken. Klicken Sie auf „Abbrechen“, wenn Sie die vorgenommenen Änderungen
nicht verwenden möchten.
84 Kapitel 5 Festlegen von Compressor-EinstellungenBeim herkömmlichen Umcodieren mit Compressor muss zunächst mindestens eine
Ausgangsmediendatei in das Fenster „Stapel“ importiert werden.
Hinweis: Wenn Sie den Stapelvorlagen-Arbeitsablauf verwenden, muss als erster Schritt
eine Stapelvorlage ausgewählt werden. Weitere Informationen zum einfachen
Stapelvorlagen-Arbeitsablauf finden Sie unter Compressor-Arbeitsablauf im Überblick:
Verwenden von Stapelvorlagen.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Das Fenster „Stapel“ (S. 86)
• Erstellen von Aufträgen durch Hinzufügen von Ausgangsmedien zu einem Stapel (S.
89)
• Verwenden des Fensters „Informationen“ mit Ausgangsmediendateien (S. 99)
• Tipps zum Importieren von Ausgangsmediendateien (S. 102)
85
Importieren von Ausgangsmedien
6Das Fenster „Stapel“
Das Fenster „Stapel“ ist der Ausgangspunkt für alle Umcodierungsfunktionen und
ermöglicht die schnelle Zuweisung von Voreinstellungen. Wenn Sie Compressor das erste
Mal öffnen, wird das Fenster „Stapel“ noch ohne Titel angezeigt. Stellen Sie sich Stapel
als Dokumente vor, die gesichert, geschlossen und erneut geöffnet werden können.
Verwenden Sie die Symbolleiste oben im Fenster „Stapel“, um alle anderen Fenster zu
öffnen.
Job area
Toolbar
Batch tabs
Batch status
Show/hide
toolbar button
Batch submission button Allgemeine Informationen zum Fenster „Stapel“
Innerhalb des Compressor-Arbeitsablaufs hat das Arbeiten mit Stapeln im Fenster „Stapel“
eine zentrale Bedeutung. Im Fenster „Stapel“ können mehrere Stapel gleichzeitig geöffnet
werden, wobei für jeden Stapel ein eigener Titel (Bereich) angezeigt wird.
Neuen Stapel erstellen
µ Wählen Sie „Ablage“ > „Neuer Stapel“ (oder drücken Sie die Tastenkombination „Befehl-N“).
Dem Fenster „Stapel“ wird ein neuer, noch unbenannter Stapel hinzugefügt. In
Abhängigkeit davon, wie Sie die Option „Für neue Stapel“ in den Compressor-Einstellungen
konfiguriert haben, wird das Auswahlfenster für Stapelvorlagen angezeigt.
Hinweis: Wählen Sie „Ablage“ > „Neuer Stapel aus Vorlage“ (oder drücken Sie die
Tastenkombination „Befehl-Umschalt-N“), um einen neuen Stapel mithilfe des
Auswahlfensters für Stapelvorlagen zu erstellen.
Each tab is for
a different batch.
The new batch’s tab
86 Kapitel 6 Importieren von AusgangsmedienWeitere Informationen zu Stapeldateien finden Sie unter Sichern und Öffnen einer
Stapeldatei. Weitere Informationen zum Auswahlfenster für Stapelvorlagen finden Sie
unter Auswahlfenster für Stapelvorlagen.
Sie haben sogar die Möglichkeit, mehrere Fenster „Stapel“ zu öffnen, von denen jedes
einen anderen Stapel enthält. Bewegen Sie hierzu einfach den Titel eines Stapels an eine
andere Position auf dem Bildschirm. Weitere Informationen zum Bewegen von Titeln zum
Öffnen oder Schließen zusätzlicher Stapelfenster finden Sie unter Bereiche.
Das Fenster „Stapel“ enthält die Taste „Senden“, die sich rechts unten im Fenster befindet.
Mit dieser Taste starten Sie den Umcodierungsprozess für den aktuell ausgewählten
Stapel. In der linken unteren Ecke wird der Status des aktuellen Stapels angezeigt (wie
viele Aufträge er enthält und ob er gesendet wurde).
Auswahlfenster für Stapelvorlagen
Zur Vereinfachung gängiger Arbeitsabläufe bietet Compressor ein Auswahlfenster für
Stapelvorlagen, das eingeblendet werden kann, wenn ein neuer Stapel erstellt wird. Mit
der Einstellung „Für neue Stapel“ in den Compressor-Einstellungen wird festgelegt, ob
das Auswahlfenster für Stapelvorlagen angezeigt wird. Weitere Informationen zu dieser
Einstellung finden Sie unter Compressor-Einstellungen.
Das Auswahlfenster für Stapelvorlagen enthält eine Vielzahl von Optionen zum
Konfigurieren eines neuen Stapels.
Wenn Sie eine Vorlage auswählen, werden eine oder mehrere Voreinstellungen zum
Stapel hinzugefügt sowie eine Aktion, die ausgeführt wird, nachdem die Stapelausgabe
abgeschlossen ist.
Die Standard-Apple-Stapelvorlagen sind unten aufgeführt.
• Audio-Podcast erstellen: Mit dieser Vorlage kann eine für Podcasting verwendbare
AAC-Audiodatei erzeugt und der iTunes-Mediathek hinzugefügt werden.
Kapitel 6 Importieren von Ausgangsmedien 87• Blu-ray-Disc erstellen: Verwenden Sie diese Vorlage, um BD H.264-Videodateien und
Dolby Digital Professional-Audiodateien (.ac3) zu erstellen und sie automatisch auf eine
Blu-ray- oder AVCHD-DVD zu brennen (AVCHD-DVDs lassen sich mit Blu-ray-Disc-Playern
abspielen, die mit dem AVCHD-Format kompatibel sind).
• DVD erstellen: Mit dieser Vorlage kann eine SD-DVD (Standard Definition) mit Videodaten
im MPEG-2-Format (.m2v) und Audiodaten im Dolby Digital Professional-Format (.ac3)
erzeugt und automatisch gebrannt werden.
• HTTP-Live-Streaming: Mit dieser Vorlage können Sie eine Gruppe von Dateien erstellen,
die für das Streaming eines Films auf ein iPhone oder iPad, einen iPod touch oder einen
Mac mit einem normalen Server verwendet werden können.
• Auf Apple TV veröffentlichen: Mit dieser Vorlage kann eine für die Wiedergabe mit Apple
TV geeignete Videodatei erzeugt und der iTunes-Mediathek hinzugefügt werden.
• Auf YouTube veröffentlichen: Mit dieser Vorlage kann eine Videodatei, die auf YouTube
angezeigt werden kann, erzeugt und auf einen YouTube-Account geladen werden.
Hinweis: Welche Vorlage Sie wählen, hängt von der beabsichtigten Verwendung der
erstellten Ausgabemediendatei ab. Wenn keine geeignete Vorlage für den gewünschten
Arbeitsablauf vorhanden ist, können Sie das manuelle Verfahren verwenden. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Compressor-Arbeitsablauf im Überblick: Manuelles
Verfahren. Weitere Informationen zur Erstellung eigener Vorlagen finden Sie unter Erstellen
einer eigenen Stapelvorlage.
Erstellen einer eigenen Stapelvorlage
Sie können jeden Stapel als eigene Stapelvorlage speichern. Eigene Stapelvorlagen werden
zusammen mit den Standard-Stapelvorlagen von Apple im Auswahlfenster für
Stapelvorlagen angezeigt. Durch Verwendung eigener Stapelvorlagen können Sie
besonders bei häufig eingesetzten Arbeitsabläufen Zeit sparen.
Eigene Stapelvorlage erstellen
1 Führen Sie im Fenster „Stapel“ einen der folgenden Schritte aus, um einen Stapel mit den
Eigenschaften (Aufträge, Voreinstellungen, Ziele, Aktionen für Aufträge etc.) zu öffnen,
die in der Stapelvorlage enthalten sein sollen:
• Erstellen Sie einen neuen Stapel und nehmen Sie die benötigten Anpassungen vor.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Der grundlegende Arbeitsablauf beim
Umcodieren sowie Zuweisen von Voreinstellungen, Zuweisen von Zielorten und
Hinzufügen von Aktionen.
• Öffnen Sie einen gesicherten Stapel mit den Eigenschaften, die Sie für die Stapelvorlage
verwenden wollen.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Sichern und Öffnen einer Stapeldatei.
2 Wählen Sie „Ablage“ > „Als Vorlage sichern“.
88 Kapitel 6 Importieren von Ausgangsmedien3 Geben Sie im daraufhin angezeigten Dialogfenster einen Namen und eine Beschreibung
ein und klicken Sie auf „OK“.
Die eigene Stapelvorlage wird gesichert.
Sie können auch „Ablage“ > „Neuer Stapel aus Vorlage“ wählen, um das Auswahlfenster
für Stapelvorlagen zu öffnen und die neue eigene Stapelvorlage zu bestätigen oder zu
verwenden.
Die Symbolleiste im Fenster „Stapel“
Oben im Fenster „Stapel“ befindet sich eine Symbolleiste, die sich anpassen lässt. Sie
können die Symbolleiste ein- oder ausblenden, indem Sie auf die Taste in der rechten
oberen Ecke des Fensters klicken.
Show/hide toolbar
button (with the toolbar
hidden in this example)
Es steht eine Vielzahl von Objekten zur Verfügung, die Sie in der Symbolleiste anzeigen
können. Dazu gehören Objekte zum Öffnen, Sichern oder Schließen eines Stapels. Weitere
Informationen zu den Objekten, die hinzugefügt werden können, und zu diesem Vorgang
selbst finden Sie unter Anpassen der Symbolleiste.
Erstellen von Aufträgen durch Hinzufügen von Ausgangsmedien
zu einem Stapel
Damit Sie Ausgangsmedien Einstellungen für das Umcodieren hinzufügen können, müssen
Sie zuvor die Dateien in den Stapel im Fenster „Stapel“ importieren. Nach dem Import in
den Stapel erzeugen die Ausgangsmediendateien einen Auftrag. Dies ist der erste Schritt,
der die Dateien für das Umcodieren vorbereitet. Beim Import von
Surround-Sound-Ausgangsmedien ist eine spezielle Vorgehensweise erforderlich.
Hinzufügen von Standardausgangsmedien zu Stapeln
Im Folgenden finden Sie Einzelheiten dazu, wie Sie einem Stapel Standardausgangsmedien
(keine Surround-Sound-Medien oder Bildsequenzen) hinzufügen.
Ausgangsmedien zu einem Stapel hinzufügen
1 Öffnen Sie Compressor.
Kapitel 6 Importieren von Ausgangsmedien 89Das Fenster „Stapel“ wird geöffnet. Dort sehen Sie nun einen leeren Bereich mit einem
noch nicht benannten Titel.
Untitled batch tab
Empty batch area with
a placeholder job
Hinweis: Wenn das Auswahlfenster für Stapelvorlagen automatisch geöffnet wird, klicken
Sie auf „Abbrechen“, um das Fenster zu schließen. Soll das Fenster beim Starten von
Compressor nicht geöffnet werden, markieren Sie das Feld „Diesen Dialog nicht erneut
zeigen“ oder wählen Sie in den Compressor-Einstellungen „Für neue Stapel: Leere Vorlage
verwenden“.
2 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Wählen Sie „Auftrag“ > „Neuer Auftrag mit Datei“ (oder drücken Sie die
Tastenkombination „Befehl-I“). Navigieren Sie zum gewünschten Mediendateiordner,
wählen Sie eine oder mehrere Ausgangsmediendateien aus und klicken Sie auf „Öffnen“.
• Klicken Sie auf die Taste „Datei hinzufügen“ (in der Symbolleiste des Fensters „Stapel“,
falls verfügbar). Navigieren Sie nun zum gewünschten Mediendateiordner, wählen Sie
eine oder mehrere Ausgangsmediendateien aus und klicken Sie auf „Öffnen“.
• Klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf einen Auftrag und wählen Sie „Quelle“ >
„Datei“ aus dem Kontextmenü aus.
• Klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf eine leere Stelle im Stapel und wählen Sie
„Neuer Auftrag mit Datei“ aus dem Kontextmenü aus. Navigieren Sie nun zum
gewünschten Mediendateiordner, wählen Sie eine oder mehrere
Ausgangsmediendateien aus und klicken Sie anschließend auf „Öffnen“.
90 Kapitel 6 Importieren von Ausgangsmedien• Öffnen Sie den Ordner mit Ihren Ausgangsmedien und bewegen Sie mindestens eine
Ausgangsmediendatei in den Stapel.
Hinweis: Sie können die eben beschriebenen Schritte kombinieren, indem Sie alle
Ausgangsmedien, die Sie umcodieren wollen, auswählen, bevor Sie Compressor öffnen.
Bewegen Sie die Dateien dann auf das Compressor-Programmsymbol. Dadurch wird
Compressor geöffnet und gleichzeitig werden die Mediendateien dem noch unbenannten
Standardstapel hinzugefügt.
3 Sichern Sie den Stapel, indem Sie „Ablage“ > „Sichern unter“ wählen (oder die
Tastenkombination „Befehl-Umschalt-S“ drücken).
4 Geben Sie in dem Fenster, das daraufhin angezeigt wird, einen Namen für den Stapel ein
und wählen Sie den gewünschten Speicherort.
5 Klicken Sie auf „Sichern“, wenn Sie fertig sind.
Der Titel im Fenster „Stapel“ zeigt nun den entsprechenden Namen an.
Hinweis: Falls Sie in den Einstellungen für den Finder festgelegt haben, dass die
Dateierweiterungen angezeigt werden sollen, erhält der Name im Titel das Suffix
„.compressor“.
Es ist nicht zwingend erforderlich, Stapel zu benennen und zu sichern. Wenn Sie einen
Stapel benennen und sichern, erleichtert Ihnen das allerdings ein erneutes Senden zu
einem späteren Zeitpunkt, falls die Ausgabedateien nicht Ihren Erwartungen entsprochen
haben oder falls sich Ihre Anforderungen ändern. Darüber hinaus lassen sich Stapel im
Fenster „Verlauf“ und im Share-Monitor leichter identifizieren, wenn Sie mehrere Stapel
innerhalb eines kurzen Zeitraums senden.
Kapitel 6 Importieren von Ausgangsmedien 91Der Stapel enthält nun Ihre ausgewählten Mediendateien, von denen jede in einem
eigenen Auftrag angezeigt wird. Ausgangsmediendateien mit Videoinhalten verfügen
außerdem über eine Miniatur mit einem Navigationsregler, mit der Sie durch das
Videomaterial navigieren können.
Drag the slider to scroll
through video files.
Click anywhere in the job
to see this file’s attributes
in the Inspector window.
Each source media
file creates a job.
The targets for this job
will appear in this area.
Sie können die Ausgangsmediendatei, die einem Auftrag zugewiesen ist, ändern.
Ausgangsmediendatei, die einem Auftrag zugewiesen ist, ändern
1 Wählen Sie den Auftrag aus, für den Sie die Ausgangsmediendatei ändern möchten.
2 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Wählen Sie „Auftrag“ > „Quelle“ > „Datei“ und navigieren Sie zum gewünschten
Mediendateiordner. Wählen Sie dort mindestens eine Ausgangsmediendatei aus und
klicken Sie auf „Öffnen“.
• Klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf den Auftrag und wählen Sie „Quelle“ aus dem
Kontextmenü aus. Navigieren Sie nun zum gewünschten Mediendateiordner, wählen
Sie eine oder mehrere Ausgangsmediendateien aus und klicken Sie anschließend auf
„Öffnen“.
• Bewegen Sie eine neue Ausgangsmediendatei in den Auftrag.
Sollten Sie bereits Ziele definiert haben, bleiben diese erhalten und werden auf die neue
Ausgangsmediendatei angewendet. Sie können bei Bedarf auch eine
Ausgangsmediendatei aus einem Auftrag entfernen.
Ausgangsmediendatei aus einem Auftrag entfernen
µ Klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf den Auftrag und wählen Sie „Quelle löschen“
aus dem Kontextmenü aus.
92 Kapitel 6 Importieren von AusgangsmedienAuftrag aus einem Stapel entfernen
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Wählen Sie den Auftrag aus und drücken Sie die Rückschritttaste.
µ Klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf eine leere Stelle im Stapel und wählen Sie „Alle
Aufträge entfernen“ aus dem Kontextmenü aus.
Den im Stapel vorhandenen Aufträgen kann nun ein Ziel hinzugefügt werden.
Hinzufügen von Surround-Sound-Ausgangsmedien zu Stapeln
Es gibt zwei verschiedene Methoden, Audiodateien zu einem Stapel hinzuzufügen, um
einen Surround-Sound-Auftrag zu erstellen: eine automatische Methode, die sich beim
Zuordnen der Audiodateien zu den entsprechenden Kanälen auf die Dateibenennung
stützt, und eine manuelle Methode, die Ihnen ein manuelles Zuordnen der Audiodateien
zu den Kanälen ermöglicht.
Mit beiden Methoden wird ein Auftrag erstellt, dem Sie eine Voreinstellung hinzufügen
können, die die Surround-Sound-Audioausgabe unterstützt, wie z. B. Dolby Digital
Professional, AIFF und diverse Audio-Codecs im Ausgabeformat „QuickTime-Film“.
Wichtig: Einige der Ausgabeformate verfügen über mehrere Konfigurationen für die
Surround-Sound-Audiokanäle. Achten Sie unbedingt darauf, die Konfiguration zu
verwenden, die vom beabsichtigten Wiedergabegerät benötigt wird. Das Ausgabeformat
AIFF bietet zum Beispiel vier verschiedene Konfigurationen für 5.1-Audioausgänge (sechs
Kanäle). Die Konfigurationen unterscheiden sich jeweils in der Reihenfolge der Kanäle.
Zuweisen von Dateien zu Surround-Sound-Kanälen (automatische Methode)
Compressor bietet einige praktische Kanalzuweisungsverfahren, mit denen Sie Zeit sparen
können.
Dateien mit Kanal-IDs Surround-Kanälen zuweisen
1 Hängen Sie die Kanal-IDs des Ziel-Surround-Kanals an den Dateinamen aller
Ausgangsaudiodateien an. (Eine Liste der empfohlenen Kanal-IDs finden Sie in der
folgenden Tabelle.)
• -L: Kanal vorne links
• -R: Kanal vorne rechts
• -C: Kanal vorne Mitte
• -Ls: Surround-Kanal links
• -Rs: Surround-Kanal rechts
• -S: Surround-Kanal Mitte
• -LFE: LFE-Kanal (Low Frequency Channel, Subwoofer)
Kapitel 6 Importieren von Ausgangsmedien 93Wenn Sie z. B. eine AIFF-Datei dem linken Surround-Kanal zuweisen möchten, benennen
Sie die Datei um in Dateiname-Ls.aiff (wobei Dateiname der Name Ihrer Datei ist). (Die
Kanal-IDs müssen wie gezeigt einen Bindestrich enthalten.)
Hinweis: Mac OS X fügt möglicherweise ein Suffix wie .aiff hinzu. Dies hat keinen Einfluss
auf die Verwendung dieses Kanalzuweisungsverfahrens.
Diese Vorgehensweise funktioniert nur, wenn Sie Dateien per Drag&Drop in das Fenster
„Stapel“ bewegen. Wenn Sie die Dateien auf das Compressor-Programmsymbol bewegen,
werden sie als separate Ausgangsdateien (jede in einem eigenen Auftrag) angezeigt.
Hinweis: Wenn Sie Surround-Sound-Streams im Format „Dolby Digital Professional“ (AC-3)
erstellen, werden nicht alle aufgelisteten Kanäle gleichzeitig verwendet. Eine schematische
Darstellung der Dolby-Audio-Codierungsmodi finden Sie unter Einstellungen im Bereich
„Audio“.
2 Bewegen Sie die umbenannten Ausgangsaudiodateien in das Fenster „Stapel“.
Werden die folgenden Bedingungen erfüllt, reduziert Compressor die gesamte Dateigruppe
automatisch auf eine einzige Surround-Ausgangsmediendatei, die im Fenster „Stapel“
angezeigt wird:
• Die Dateien in der Gruppe müssen ordnungsgemäß benannt werden (vgl. Liste im
vorherigen Schritt).
• Die Gesamtanzahl der Dateien in der Gruppe muss weniger als sieben betragen.
Zuweisen von Dateien zu Surround-Sound-Kanälen (manuelle Methode)
Folgen Sie den hier genannten Schritten, wenn Sie einzelne Audiodateien manuell
Surround-Sound-Kanälen zuweisen wollen. Darüber hinaus können Sie zum
Surround-Sound-Auftrag auch eine Videodatei hinzufügen.
Ausgangsaudiodateien manuell Kanälen eines Surround-Sound-Streams zuweisen
1 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus, um Ausgangsaudiodateien zu importieren:
• Wählen Sie „Auftrag“ > „Neuer Auftrag mit Surround Sound-Gruppe“ (oder drücken Sie
die Tastenkombination „Befehl-ctrl-I“).
• Klicken Sie auf die Taste „Surround Sound hinzufügen“ im Fenster „Stapel“.
• Klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf den Stapel und wählen Sie „Neuer Auftrag
mit Surround Sound-Gruppe“ aus dem Kontextmenü aus.
Das Fenster zum Zuweisen von Kanälen wird geöffnet.
2 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus, um eine Ausgangsaudiodatei einem
bestimmten Kanal zuzuweisen.
• Bewegen Sie die Ausgangsaudiodatei aus dem Finder auf das Symbol eines bestimmten
Kanals (z. B. „L“).
• Klicken Sie auf das Symbol des gewünschten Kanals (z. B. „L“) und suchen Sie mithilfe
des Dialogfensters „Öffnen“ die Ausgangsaudiodatei für diesen Kanal.
94 Kapitel 6 Importieren von AusgangsmedienDie Datei wird dem Kanal „L“ (vorne links) zugewiesen.
3 Wiederholen Sie Schritt 2 für alle Ausgangsaudiodateien, die Sie in den Surround-Stream
aufnehmen möchten.
Hinweis: Wenn Sie Surround-Sound-Streams im Format „Dolby Digital Professional“ (AC-3)
erstellen, werden nicht alle aufgelisteten Kanäle gleichzeitig verwendet. Eine schematische
Darstellung der Dolby-Audio-Codierungsmodi finden Sie unter Einstellungen im Bereich
„Audio“.
4 Sie können auch auf „Video hinzufügen“ klicken, um eine Videodatei auszuwählen, die
zum Surround-Sound-Auftrag hinzugefügt werden soll.
5 Klicken Sie auf „OK“, wenn Sie die gewünschten Ausgangsaudio- und
Ausgangsvideodateien den entsprechenden Kanälen zugewiesen haben.
Die Gruppe der Surround-Dateien wird als einzelner Auftrag mit
Surround-Ausgangsmedien im Fenster „Stapel“ angezeigt.
Kapitel 6 Importieren von Ausgangsmedien 95Surround-Sound-Aufträge
Nach dem Erstellen eines Surround-Sound-Auftrags wird im Fenster „Stapel“ das
Surround-Sound-Symbol in der Miniatur für die Ausgangsmediendatei angezeigt (es sei
denn, zum Auftrag wurde eine Videodatei hinzugefügt). Im Fenster „Informationen“ sehen
Sie nun die Kanäle mit den zugewiesenen Dateien.
Click a channel’s icon to
change the file assigned
to that channel.
Alle Dateizuweisungen lassen sich im Fenster „Informationen“ ändern.
Zuweisung einer Surround-Sound-Datei ändern
1 Klicken Sie auf das Lautsprechersymbol des Kanals, den Sie ändern möchten.
Daraufhin wird ein Dateiauswahlfenster geöffnet.
2 Navigieren Sie zu der Datei, die Sie dem Kanal zuweisen möchten, und klicken Sie auf
„Öffnen“.
3 Sie können auch auf „Video hinzufügen“ klicken, um eine Videodatei zum Auftrag
hinzuzufügen, oder die Videodatei löschen, die bereits zugewiesen wurde. Klicken Sie
anschließend auf „Video hinzufügen“, um eine andere Videodatei auszuwählen.
Weitere Informationen zur Erstellung von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital
Professional“ finden Sie unter Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital
Professional“.
96 Kapitel 6 Importieren von AusgangsmedienHinzufügen von Bildsequenzen zu Stapeln
Sie können eine Sequenz mit Standbildern als Bildsequenzauftrag in Compressor
importieren und dann eine Ausgabebildrate und eine Audiodatei auf den Auftrag
anwenden. Von da an behandeln Sie den Auftrag wie jede andere
Compressor-Ausgangsmediendatei: Sie fügen Voreinstellungen, Ziele, Filter und Aktionen
nach der Umcodierung hinzu, um eine Ausgabemediendatei mit den gewünschten Videound Audioformaten und -eigenschaften zu erstellen.
Einem Stapel einen Auftrag für eine Standbildsequenz hinzufügen
1 Öffnen Sie Compressor.
Das Fenster „Stapel“ wird geöffnet. Dort sehen Sie nun einen leeren Bereich mit einem
noch nicht benannten Titel.
Untitled batch tab
Empty batch area with
a placeholder job
Hinweis: Wenn das Auswahlfenster für Stapelvorlagen automatisch geöffnet wird, klicken
Sie auf „Abbrechen“, um das Fenster zu schließen. Soll das Fenster beim Starten von
Compressor nicht geöffnet werden, markieren Sie das Feld „Diesen Dialog nicht erneut
zeigen“ oder wählen Sie in den Compressor-Einstellungen „Für neue Stapel: Leere Vorlage
verwenden“.
2 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Klicken Sie auf die Taste „Bildsequenz hinzufügen“ und wählen Sie den Ordner aus, der
die Bildsequenzdateien enthält, die importiert werden sollen.
• Wählen Sie „Auftrag“ > „Neuer Auftrag mit Bildsequenz“ (oder drücken Sie die
Tastenkombination „Befehl-Wahl-I“) und wählen Sie den Ordner mit den
Bildsequenzdateien aus, die importiert werden sollen.
3 Wählen Sie den Ordner mit den zu importierenden Bildsequenzdateien aus.
4 Klicken Sie auf „Öffnen“.
Kapitel 6 Importieren von Ausgangsmedien 97Der neue Auftrag wird im Fenster „Stapel“ angezeigt.
5 Wählen Sie den Auftrag im Fenster „Stapel“ aus.
Im Fenster „Informationen“ wird der Bereich „A/V-Attribute“ mit Informationen und
Steuerelementen für den neuen Bildsequenzauftrag angezeigt.
6 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Überprüfen Sie die ausgewählten Bildsequenzdateien. (Klicken Sie auf die Infotaste
(“i“), damit eine vollständige Liste der Dateien angezeigt wird.)
• Überprüfen Sie die Videoformatinformationen im Abschnitt „Video“.
• Geben Sie im Einblendmenü „Native Halbbilddominanz“ die Halbbilddominanz der
Ausgangsdateien an. (Auswahlmöglichkeiten sind „Progressiv“, „Oben (ungerade)“ und
„Unten (gerade)“.)
• Im Einblendmenü „Bildrate“ können Sie die Bildrate für die Ausgangsdateien angeben,
indem Sie aus einer Liste von Standardwerten auswählen.
• Klicken Sie auf „Audio auswählen“, um eine Audiodatei zu suchen, auszuwählen und
dem Bildsequenzauftrag hinzuzufügen.
98 Kapitel 6 Importieren von AusgangsmedienHinweis: Compressor unterstützt die folgenden Audiodateitypen für Bildsequenzen:
AIFF, MP3, MPEG-4 nur Audio (.m4a) und QuickTime-Film (.mov).
Hinweis: Sie können mit Compressor auch eine Bildsequenz ausgeben. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen von Ausgabedateien im Format
„Bildsequenz“.
Verwenden des Fensters „Informationen“ mit
Ausgangsmediendateien
Wenn Sie den Auftrag eines Stapels auswählen, zeigt das Fenster „Informationen“ Angaben
zur Ausgangsmediendatei des Auftrags.
Das Fenster „Informationen“ enthält drei Bereiche: “A/V-Attribute“, „Zusätzliche Infos“
und „Auftragseigenschaft“.
Bereich „A/V-Attribute“
Der Bereich „A/V-Attribute“ umfasst allgemeine Informationen über die
Ausgangsmediendatei und ist in drei Abschnitte unterteilt.
• Abschnitt „Datei“: In diesem Abschnitt werden der Dateiname, der Speicherort und der
Dateityp angezeigt.
• Abschnitt „Video“: In diesem Abschnitt werden gegebenenfalls alle videospezifischen
Angaben zur Datei angezeigt. Hierzu gehören Bildgröße, Bildrate und
Timecode-Informationen.
• Abschnitt „Audio“: In diesem Abschnitt werden gegebenenfalls alle audiospezifischen
Angaben zur Datei angezeigt. Hierzu gehören Sample-Größe und Abtastrate.
Kapitel 6 Importieren von Ausgangsmedien 99Bereich „Zusätzliche Infos“
Im Bereich „Zusätzliche Infos“ können Sie verschiedene Metadatenobjekte ansehen und
ändern, die möglicherweise in anderen Programmen wie Final Cut Pro oder QuickTime
hinzugefügt wurden. Außerdem können Sie hier der Datei eine Datei mit erweiterten
Untertiteln zuordnen.
Der Ausgangsmediendatei eines Auftrags eine Datei mit erweiterten Untertiteln
zuordnen
1 Klicken Sie auf den Auftrag, um die Attribute der Ausgangsmediendatei im Fenster
„Informationen“ anzuzeigen.
2 Klicken Sie auf „Zusätzliche Infos“.
3 Klicken Sie auf „Auswählen“, suchen Sie die Datei mit den erweiterten Untertiteln (eine
Datei im Scenarist-Format, üblicherweise mit dem Suffix „.scc“) und klicken Sie auf „Öffnen“.
Hinweis: Erweiterte Untertitel werden von den Ausgabeformaten „H.264 für Apple-Geräte“,
„MPEG-2“ und „QuickTime-Film“ unterstützt.
Abhängig vom Ausgabeformat des Auftragsziels wendet Compressor die Datei mit den
erweiterten Untertiteln auf die Ausgabemediendateien an.
• Bei einer QuickTime-Ausgabe: Compressor fügt die Datei mit den erweiterten Untertiteln
der QuickTime-Ausgabedatei als eine Spur mit erweiterten Untertiteln hinzu. Sie können
sich die erweiterten Untertitel mithilfe des QuickTime Player (Version 7.2 oder neuer)
ansehen.
• Bei MPEG-2-Elementarstream-Ausgaben: Compressor integriert die erweiterten Untertitel
in einen elementaren MPEG-2-Videostream, sodass sie für das DVD-Authoring verwendet
werden können.
100 Kapitel 6 Importieren von Ausgangsmedien• Bei MPEG-2-Programmstream- und Transportstream-Ausgaben: Compressor integriert
die erweiterten Untertitel unter Verwendung des EIA-708 ATSC-Protokolls in
MPEG-2-Programm- und Transportstreams.
Wichtig: Die Timecode-Werte in der Datei mit den erweiterten Untertiteln müssen
unmittelbar dem Timecode der Ausgangsmediendatei entsprechen. Sie können eine
Datei mit erweiterten Untertiteln im Programm „TextEdit“ öffnen, um die enthaltenen
Timecode-Werte anzuzeigen (der eigentliche Text ist codiert und kann nicht gelesen
werden).
Anmerkung hinzufügen
1 Klicken Sie auf den Auftrag, um die Attribute der Ausgangsmediendatei im Fenster
„Informationen“ anzuzeigen.
2 Klicken Sie auf „Zusätzliche Infos“.
3 Wählen Sie den Anmerkungstyp aus dem Einblendmenü „Anmerkung hinzufügen“ aus.
4 Wählen Sie das entsprechende Wertefeld durch Doppelklicken aus und geben Sie den
Text der Anmerkung ein.
5 Klicken Sie auf „Sichern“.
Hinweis: Die Funktion „Anmerkung hinzufügen“ wird von den Ausgabeformaten „H.264
für Apple-Geräte“, „MP3“ und „QuickTime-Film“ unterstützt.
Kapitel 6 Importieren von Ausgangsmedien 101Bereich „Auftragseigenschaft“
Der Bereich „Auftragseigenschaft“ erlaubt das Anwenden und Anpassen von Aktionen,
die nach der Umcodierung auf komplette Aufträge angewendet werden können.
Weitere Informationen zum Bereich „Auftragseigenschaft“ finden Sie unter Hinzufügen
von Aktionen für Aufträge.
Tipps zum Importieren von Ausgangsmediendateien
Nachfolgend finden Sie weitere Tipps zum Importieren von Ausgangsmediendateien.
Stark komprimierte Ausgangsdateien
Es wird dringend empfohlen, stark komprimierte Ausgangsdateien wie MPEG-Dateien
nicht als Ausgangsdateien zu verwenden, da diese unerwünschte Bildfehler im codierten
Video verursachen können.
QuickTime-Referenzfilme
Wenn Sie einen Referenzfilm für die verteilte Verarbeitung senden, kopiert das Apple
Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung die entsprechenden Mediendateien
automatisch auf den Verarbeitungs-Cluster. Eine optimale Leistung erzielen Sie, indem
Sie diese Dateiübertragung umgehen und dafür sorgen, dass von jedem Knoten des
Apple Qmaster-Clusters aus auf die im Referenzfilm angegebenen Mediendateien
zugegriffen werden kann. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Die Verteilung
von Stapeln durch das Apple Qmaster-System.
102 Kapitel 6 Importieren von AusgangsmedienImportieren von MPEG-2-Dateien
Wenn Sie eine MPEG-2-Datei importieren, muss Compressor die Datei analysieren, bevor
Sie sie im Fenster „Vorschau“ abspielen können. Bei der Dateianalyse werden Bildstruktur
und andere notwendige Informationen zur Datei bestimmt. Da sich die Bildstruktur
innerhalb der Datei ändern kann, muss Compressor die gesamte Datei analysieren. Bei
großen Dateien kann dies einige Minuten dauern.
Bei MPEG-2-Elementardateien, die mit Compressor codiert wurden und für die das Feld
„DVD Studio Pro-Metadaten hinzufügen“ markiert wurde, ist dies nicht der Fall. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Bereich „Extras“.
Ausgangsmediendateien im Format „Dolby Digital Professional“
Sie können Dolby Digital Professional AC-3-Audiodateien als Ausgangsmedien für Ihre
Aufträge verwenden. Es gibt zwei Gründe, aus denen dies sinnvoll sein kann:
• Zum Testen einer soeben codierten Datei: Da Sie sich keine Vorschau der Dolby Digital
Professional-Ausgabeeinstellungen ansehen können, können Sie eine codierte Datei
in einen Auftrag importieren, um sie abzuspielen und die Einstellungen zu überprüfen.
• Zum Umwandeln einer Dolby Digital-Audiodatei in ein anderes Format: Da nicht alle
Wiedergabegeräte über einen Decodierer für Dolby Digital verfügen, werden Sie
möglicherweise feststellen, dass Sie die Datei in ein anderes Format umcodieren müssen.
Compressor enthält einen Dolby Digital-Decodierer und verwendet diesen jedes Mal,
wenn Sie Dolby Digital-Audiodateien wiedergeben oder umcodieren. Auf diese Weise
können Sie die Dolby Digital Professional-Ausgabeeinstellungen einer zuvor codierten
Datei auf Ihrem System überprüfen, ohne dass Sie einen externen Dolby Digital-Decodierer
zur Verfügung haben müssen. Wenn Sie allerdings die Ausgabe in Surround-Sound hören
möchten, müssen Sie ein externes Surround-Sound-Gerät an den USB- oder
FireWire-Ausgang Ihres Computers angeschlossen haben. Beim Abspielen des
Audiomaterials über die Stereolautsprecher Ihres Systems wird die Audiowiedergabe auf
zwei Kanäle abgemischt.
Wichtig: Da die Audioausgabe bereits decodiert ist und nicht im Dolby Digital-Format
vorliegt, kann der optische Ausgang des Computers beim Abspielen von Dolby
Digital-Dateien aus Compressor nicht verwendet werden.
Tipp: Fügen Sie dem Dateinamen das Suffix „.ac3“ hinzu, falls Compressor Ihnen das
Hinzufügen der Datei zu einem Auftrag nicht gestattet.
Kapitel 6 Importieren von Ausgangsmedien 103Automatische Werte und nicht standardkonforme QuickTime-Dateien
Compressor verwendet unterschiedliche Methoden, um die richtigen Werte für
Einstellungen zu finden, für die der automatische Modus aktiviert ist. In der Regel enthalten
QuickTime-Dateien Metadaten, die die diversen Attribute der Datei angeben, wie etwa
die Bildrate und die Bildgröße. Es kann jedoch vorkommen, dass diese Metadaten nicht
vorhanden sind und Compressor gezwungen ist, diese Informationen selbst zu ermitteln.
In anderen Fällen sind die Metadaten möglicherweise nicht korrekt, was dazu führt, dass
Compressor falsche Werte für die automatischen Einstellungen generiert.
Darüber hinaus verwenden manche QuickTime-Dateien nicht standardisierte Einstellungen,
die es erforderlich machen, dass Compressor einen automatischen Wert wählt, der unter
Umständen nicht geeignet ist.
Aus diesen Gründen ist es ratsam, die Werte für die Einstellungen, für die der Modus
„Automatisch“ gewählt ist, im Fenster „Informationen“ zu überprüfen. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Automatische Einstellungen.
104 Kapitel 6 Importieren von AusgangsmedienEine Voreinstellung ist ein Kombination aus Umcodierungsattributen (wie Ausgabeformat,
Filter und Geometrieeinstellungen), die Sie im Rahmen des Umcodierungsprozesses auf
die Ausgangsmediendatei anwenden.
Damit Sie eine Ausgangsmediendatei umcodieren können, müssen Sie ihr mindestens
eine Voreinstellung zuweisen. Wenn im aktuellen Stapel im Fenster „Stapel“ eine
Ausgangsmediendatei enthalten ist, können Sie für diese entweder eine vordefinierte
Voreinstellung auswählen oder über den Bereich „Voreinstellungen“ eine neue, angepasste
Voreinstellung erstellen.
Sobald alle erforderlichen Voreinstellungen verfügbar sind, müssen Sie den Bereich
„Voreinstellungen“ nicht mehr öffnen, da Sie die Voreinstellungen direkt aus dem Fenster
„Stapel“ auswählen können.
Hinweis: Eine Voreinstellung ist eine Form einer vordefinierten Compressor-Einstellung.
Sie können auch Zielort-Voreinstellungen erstellen, ändern, sichern oder löschen. Weitere
Informationen zu Zielorten erhalten Sie unter Erstellen und Ändern von Zielorten.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Der Bereich „Voreinstellungen“ (S. 106)
• Verwenden des Fensters „Informationen“ zum Arbeiten mit Einstellungen (S. 110)
• Duplizieren von Voreinstellungen (S. 111)
• Erstellen einer eigenen Voreinstellung (S. 112)
• Suchen nach einer Voreinstellung (S. 114)
• Anzeigen einer Voreinstellung in der Vorschau (S. 114)
• Löschen von Voreinstellungen (S. 116)
• Erstellen von Gruppen mit Voreinstellungen (S. 117)
• Bereitstellen von Voreinstellungen (S. 119)
• Beispiel: Erstellen eigener Gruppen und Voreinstellungen für eine DVD (S. 120)
105
Erstellen, Ansehen und Ändern von
Voreinstellungen 7Der Bereich „Voreinstellungen“
Im Bereich „Voreinstellungen“ können Sie Ihre Voreinstellungen verwalten. Zusammen
mit dem Fenster „Informationen“ bietet der Bereich „Voreinstellungen“ Detailinformationen
zu den einzelnen Voreinstellungen und stellt alle für die Umcodierung erforderlichen
Steuerelemente zur Verfügung.
Im Bereich „Voreinstellungen“ (in Verbindung mit dem Fenster „Informationen“) können
Sie Voreinstellungen erstellen, ändern oder löschen sowie Gruppenordner für mehrere
Voreinstellungen anlegen. Außerdem können Sie im Bereich „Voreinstellungen“ auch
Droplets erstellen.
Der Bereich „Voreinstellungen“ enthält eine Liste der vorhandenen Voreinstellungen
sowie Tasten zum Hinzufügen, Löschen und Duplizieren einer Voreinstellung und zum
Erstellen von Gruppen und Droplets.
Duplicate Selected
Setting button
Settings list
“Create a New
Setting Group” button
An example setting
Click the disclosure
triangles to show
or hide a setting
group’s contents.
“Save Selection
as Droplet” button
Delete Selected
Settings button
“Create a New
Setting” button
106 Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von VoreinstellungenTasten im Bereich „Voreinstellungen“
Die folgenden Tasten finden Sie oben im Bereich „Voreinstellungen“.
• Neue Voreinstellungsgruppe erstellen: Klicken Sie auf diese Taste, um einen Ordner zu
erstellen, in dem Sie vorhandene Voreinstellungen gruppieren können. Auf diese Weise
können Sie die vorhandenen Voreinstellungen ordnen und behalten den Überblick
über den Bereich „Voreinstellungen“. Sobald die Voreinstellungen erstellt wurden,
können Sie eine ganze Gruppe von Voreinstellungen einer Ausgangsmediendatei
zuweisen (indem Sie sie auf die Ausgangsdatei im Fenster „Stapel“ bewegen). Alternativ
können Sie ein Droplet erstellen, das mehrere Voreinstellungen enthält. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen von Gruppen mit Voreinstellungen.
• Auswahl als Droplet sichern: Klicken Sie auf diese Taste, um ein Droplet aus einer
vorhandenen Voreinstellung oder einer Gruppe von Voreinstellungen zu erstellen. Mit
Droplets können Sie eine Mediendatei umcodieren, indem Sie eine oder mehrere
Ausgangsmediendateien auf das Droplet-Symbol bewegen. Wenn Sie Ihre Voreinstellung
oder Gruppe ausgewählt und auf die Taste „Auswahl als Droplet sichern“ geklickt haben,
werden Sie im Dialogfenster „Sichern“ aufgefordert, einen Namen für das Droplet
einzugeben. Wählen Sie einen Speicherort und anschließend einen Zielordner für die
entsprechenden Ausgabedateien. Sobald Sie die Angaben im Dialogfenster gemacht
und Ihr Droplet gesichert haben, können Sie das Droplet verwenden. Sie können beliebig
viele Dateien auf das Droplet-Symbol bewegen. Weitere Informationen über Droplets
finden Sie unter Arbeiten mit Droplets.
• Ausgewählte Voreinstellung duplizieren: Klicken Sie auf diese Taste, um eine ausgewählte
Voreinstellung im Bereich „Voreinstellungen“ zu duplizieren. Die Taste „Duplizieren“
bewirkt, dass die Voreinstellung, die derzeit im Bereich „Voreinstellungen“ ausgewählt
ist, exakt in der vorliegenden Form kopiert wird. Mithilfe der Taste „Duplizieren“ können
Sie eine neue Voreinstellung erstellen, die auf einer vorhandenen basiert. Sie können
diese Voreinstellung anschließend an Ihre Anforderungen anpassen, anstatt eine völlig
neue eigene Voreinstellung zu erstellen.
• Suchfeld: Geben Sie den gewünschten Text ein, um in den Voreinstellungen nach
bestimmten Attributen zu suchen. Wenn Sie beispielsweise „iPod“ eingeben, wird eine
Liste mit Voreinstellungen angezeigt, die speziell für einen iPod konzipiert sind.
• Neue Voreinstellung erstellen (+): Klicken Sie auf diese Taste, um dem Bereich
„Voreinstellungen“ eine neue Voreinstellung hinzuzufügen. Es wird ein Dialogfenster
angezeigt, in dem Sie zur Auswahl eines Ausgabedateiformats (H.264 für Apple-Geräte,
MPEG-2, MPEG-4 und so weiter) aufgefordert werden.
• Ausgewählte Voreinstellungen löschen (–): Klicken Sie auf diese Taste, um eine
Voreinstellung aus dem Bereich „Voreinstellungen“ zu entfernen. Sie werden nicht
aufgefordert, Ihre Entscheidung zu bestätigen. Stellen Sie also sicher, dass Sie die
Voreinstellung wirklich entfernen wollen, bevor Sie auf diese Taste klicken.
Hinweis: Die Apple-Voreinstellungen können nicht gelöscht werden.
Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von Voreinstellungen 107Liste mit den Voreinstellungen
Wenn Sie den Bereich „Voreinstellungen“ zum ersten Mal öffnen, enthält er eine Reihe
vordefinierter Voreinstellungen (von Apple), die mit Compressor bereitgestellt werden.
Im Bereich „Voreinstellungen“ werden die Namen (sowie eine Beschreibung) aller auf
dem Computer vorhandenen Voreinstellungen angezeigt.
The Apple setting group
with subgroups
New “Untitled” setting
Neue Voreinstellungen werden im Gruppenordner „Eigene“ mit dem Standardnamen
„Ohne Titel [Dateiformat]“ angezeigt. Hierbei steht „[Dateiformat]“ für das Dateiformat,
das Sie aus dem Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) auswählen. Es ist ratsam, den Namen
der Voreinstellung in einen aussagekräftigeren Namen zu ändern. Sie könnten hier
beispielsweise Detailangaben zu den Voreinstellungen oder zur Bereitstellungsmethode
angeben. Klicken Sie im Bereich „Voreinstellungen“ auf die gewünschte Voreinstellung,
um sie im Fenster „Informationen“ zu öffnen.
Click a setting to see it in
the Inspector window.
Enter the selected
setting’s name and
description in the
Inspector window.
108 Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von VoreinstellungenGeben Sie in das Feld „Name“ im Fenster „Informationen“ einen Namen ein. In das Feld
„Beschreibung“ können Sie weitere Informationen zu jeder Voreinstellung eingeben.
Diese Informationen erscheinen nur im Bereich „Voreinstellungen“ und sorgen für einen
besseren Überblick, wenn sehr viele Voreinstellungen vorhanden sind.
Sie können Ihre Voreinstellungen auch verwalten, indem Sie sie gruppenweise in Ordnern
zusammenstellen. Sobald Sie einen solchen Gruppenordner erstellt und benannt haben,
können Sie ihre eigenen Voreinstellungen in diesen Ordner bewegen. Wird eine
Voreinstellung in eine Gruppe bewegt, wird sie von der ursprünglichen Position entfernt.
Sie können auch einzelne Voreinstellungen aus einer Gruppe zu einer
Ausgangsmediendatei bewegen. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen
von Gruppen mit Voreinstellungen.
Auswählen eines Ziels
Wenn Sie das Ziel eines Stapels auswählen, wird dessen Voreinstellung sofort als
„Ausgewähltes Ziel“ im Feld „Name“ des Fensters „Informationen“ angezeigt. Hierbei
handelt es sich um eine temporäre Kopie der Voreinstellung, nicht um die Voreinstellung
selbst. Sie können also gezielt für diesen einen zu sendenden Stapel temporäre
Änderungen an der Voreinstellung vornehmen.
Select a target in the
Batch window to see
its settings in the
Inspector window.
The setting’s name
shows as “Selected
Target.”
Click the Save As button
to save this as a new
setting with any
changes you make.
Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von Voreinstellungen 109Wenn Sie die Voreinstellung des Ziels ändern, wird die Taste „Sichern“ unten im Fenster
„Informationen“ aktiv. Klicken Sie auf „Sichern“, um die geänderte Voreinstellung unter
einem neuen Namen zu sichern. Die gesicherte Kopie wird dann im Bereich
„Voreinstellungen“ als Name der Voreinstellung-Kopie angezeigt. Außerdem wird sie im
Bereich „Voreinstellungen“ hervorgehoben angezeigt.
Verwenden des Fensters „Informationen“ zum Arbeiten mit
Einstellungen
Das Fenster „Informationen“ enthält die Bereiche, über die Sie alle Einstellungen in Bezug
auf die Ausgabemediendatei (wie Filter, Geometrie und Ausgabeformat) festlegen und
ändern können. Außerdem legen Sie im Fenster „Informationen“ die Namen für Ihre
Voreinstellungen fest und fügen Beschreibungen hinzu, die Auskunft über die
vorgenommenen Anpassungen geben.
• Bereich „Übersicht“: Bietet eine ausführliche Übersicht über die jeweils ausgewählte
Voreinstellung. Weitere Informationen über diesen Bereich finden Sie unter Bereich
„Übersicht“.
• Bereich „Codierer“: Ermöglicht Ihnen das Auswählen eines Ausgabedateiformats und
weiterer zugehöriger Video- und Audioeinstellungen. Weitere Informationen über die
Unterbereiche für die unterschiedlichen Codierer finden Sie in den folgenden
Abschnitten.
• Bereich „Codierer“ für das Format „AIFF“
• Erstellen von Dateien für gängige Audioformate
• Bereich „Codierer“ für das Format „DV-Stream“
• Bereich „Codierer“ für das Format „Dolby Digital Professional“
• Bereich „Codierer“ für das Format „H.264 für Apple-Geräte“
• Erstellen von Ausgabedaten im Format „H.264 für Blu-ray“
• Bereich „Codierer“ für das Format „Bildsequenz“
• Erstellen von MP3-Ausgabedateien
• Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-1“
• Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-2“
• Der Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-4 Part 2“
• Bereich „Codierer“ für das Format „QuickTime-Export-Komponenten“
• Bereich „Codierer“ für das Format „QuickTime-Film“
• Bereich „Bildsteuerungen“: Ermöglicht Ihnen das Anpassen von Änderungen der
Bildgröße, Bildrate oder Halbbilddominanz. (Weitere Informationen hierzu finden Sie
unter Arbeiten mit Bildsteuerungen.)
110 Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von Voreinstellungen• Bereich „Filter“: Ermöglicht Ihnen das Hinzufügen von Filtern zu Ihrer Voreinstellung,
um die Qualität der Ausgabedateien zu optimieren. (Weitere Informationen hierzu
finden Sie unter Bereich „Filter“.)
• Bereich „Geometrie“: Ermöglicht Ihnen das Beschneiden und Festlegen der Bildgröße
für Ihre Ausgabedatei. (Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Hinzufügen von
Geometrieeinstellungen.)
• Bereich „Aktionen“: Ermöglicht Ihnen das Senden von E-Mail-Benachrichtigungen und
Zuweisen eines Standardzielorts zur Voreinstellung. (Weitere Informationen hierzu
finden Sie unter Hinzufügen von Aktionen.)
Duplizieren von Voreinstellungen
Enthält eine Voreinstellung bestimmte Attribute, die Sie in einer anderen Voreinstellung
verwenden wollen, duplizieren Sie die vorhandene Voreinstellung und nehmen Sie die
erforderlichen Änderungen am Duplikat vor, anstatt eine völlig neue eigene Voreinstellung
zu erstellen. Wenn Sie eine der vordefinierten Apple-Voreinstellungen duplizieren und
anschließend an Ihre Anforderungen anpassen, können Sie auf einfache Weise eigene
Voreinstellungen erstellen.
Voreinstellung duplizieren
1 Wählen Sie die Voreinstellung, die Sie duplizieren wollen, im Bereich „Voreinstellungen“
aus.
2 Klicken Sie auf die Taste „Ausgewählte Einstellung duplizieren“.
Select the setting
to be duplicated.
Click the Duplicate
Selected Setting
button to duplicate
the selected setting.
Nun wird eine neue Voreinstellung im Ordner „Eigene“ angezeigt. Vor dem ursprünglichen
Namen wird Ohne Titel eingefügt.
3 Wählen Sie die neue Voreinstellung im Ordner „Eigene“ aus.
Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von Voreinstellungen 1114 Öffnen Sie die folgenden Unterbereiche des Fensters „Informationen“, um die folgenden
Elemente zu ändern:
• Name und Beschreibung der Voreinstellung: Ändern Sie Name und Beschreibung so, dass
der Bestimmungszweck der Voreinstellung erkennbar ist.
• Bereich „Codierer“: Ändern Sie hier das Ausgabeformat sowie die Video- und
Audio-Codecs und ihnen zugeordnete Attribute.
• Bereich „Bildsteuerungen“: Im Bereich „Bildsteuerungen“ können Sie beliebige Attribute
ändern.
• Bereich „Filter“: Ändern Sie hier die Filterattribute. Klicken Sie auf das Markierungsfeld
neben einem Filter, um ihn der Voreinstellung hinzuzufügen. Deaktivieren Sie dieses
Feld, um den Filter aus der Voreinstellung zu entfernen.
• Bereich „Geometrie“: Ändern Sie beliebige Attribute im Bereich „Geometrie“.
• Bereich „Aktionen“: Ändern Sie beliebige Attribute im Bereich „Aktionen“.
5 Wenn Sie die Voreinstellung geändert haben, können Sie Ihre Änderungen mithilfe einer
der beiden folgenden Methoden sichern:
• Klicken Sie auf „Sichern“ unten im Fenster „Informationen“, um die Änderungen zu
sichern.
• Versuchen Sie, eine andere Voreinstellung auszuwählen.
Sie werden in einem Dialogfenster gefragt, ob Sie die geänderten Attribute sichern
möchten.
6 Klicken Sie auf „OK“, um Ihre Änderungen zu sichern, oder auf „Zurücksetzen“, um die
Änderungen zu verwerfen und zum Fenster „Informationen“ zurückzukehren.
Weitere Informationen zum Zuweisen von Voreinstellungen erhalten Sie unter Zuweisen
von Voreinstellungen zu Ausgangsmediendateien.
Erstellen einer eigenen Voreinstellung
Wenn die vordefinierten Voreinstellungen Ihren Anforderungen an die Umcodierung
nicht entsprechen oder zusätzliche Voreinstellungen hinzugefügt werden sollen, können
Sie eigene Voreinstellungen erstellen.
112 Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von VoreinstellungenHinweis: Das empfohlene Verfahren zum Erstellen eigener Voreinstellungen besteht
darin, eine vorhandene Apple-Voreinstellung zu duplizieren und die Kopie anschließend
an Ihre Anforderungen anzupassen. Weitere Informationen zum Duplizieren von
Voreinstellungen erhalten Sie unter Duplizieren von Voreinstellungen.
Voreinstellung erstellen
1 Klicken Sie auf die Taste „Hinzufügen“ (+) im Bereich „Voreinstellungen“ und wählen Sie
ein Ausgabeformat aus dem Einblendmenü aus.
Choose an output format
for the new setting
Eine neue, unbenannte Voreinstellung (“Ohne Titel“) wird im Ordner „Eigene“ des Bereichs
„Voreinstellungen“ angezeigt, wobei das gewählte Ausgabedateiformat an den Namen
angefügt wird (z. B. Ohne Titel MPEG-2).
The new Untitled setting Die Anzeige im Fenster „Informationen“ ändert sich, sodass die Parameter der
Voreinstellung zu sehen sind.
Hinweis: Sie können das Ausgabedateiformat für diese Voreinstellung jederzeit im Bereich
„Codierer“ des Fensters „Informationen“ ändern. Achten Sie dabei darauf, dass Sie den
Namen der Voreinstellung so ändern, dass er Aufschluss über das Ausgabedateiformat
gibt.
2 Öffnen Sie die folgenden Unterbereiche des Fensters „Informationen“, um die folgenden
Elemente zu ändern:
• Name und Beschreibung der Voreinstellung: Ändern Sie Name und Beschreibung so, dass
der Bestimmungszweck der Voreinstellung erkennbar ist.
Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von Voreinstellungen 113• Bereich „Codierer“: Ändern Sie hier das Ausgabeformat sowie die Video- und
Audio-Codecs und ihnen zugeordnete Attribute.
• Bereich „Bildsteuerungen“: Im Bereich „Bildsteuerungen“ können Sie beliebige Attribute
ändern.
• Bereich „Filter“: Ändern Sie hier die Filterattribute. Klicken Sie auf das Markierungsfeld
neben einem Filter, um ihn der Voreinstellung hinzuzufügen. Deaktivieren Sie dieses
Feld, um den Filter aus der Voreinstellung zu entfernen.
• Bereich „Geometrie“: Ändern Sie beliebige Attribute im Bereich „Geometrie“.
• Bereich „Aktionen“: Ändern Sie beliebige Attribute im Bereich „Aktionen“.
3 Klicken Sie auf „Sichern“, um die Voreinstellung zu sichern.
Weitere Informationen zum Zuweisen von Voreinstellungen erhalten Sie unter Zuweisen
von Voreinstellungen zu Ausgangsmediendateien.
Hinweis: Sie können Voreinstellungsgruppen erstellen, die dann in einem einzigen
Arbeitsschritt auf eine Mediendatei angewendet werden können. Weitere Informationen
hierzu finden Sie unter Erstellen von Gruppen mit Voreinstellungen.
Suchen nach einer Voreinstellung
Der Bereich „Voreinstellungen“ enthält ein Suchfeld, das Sie verwenden können, um die
gewünschte Voreinstellung schnell zu finden. Wenn Sie beispielsweise den Suchbegriff
„iPhone“ eingeben, sehen Sie eine Liste mit Voreinstellungen, die den Begriff „iPhone“
enthalten.
Nach einer Voreinstellung suchen
µ Klicken Sie auf das Suchfeld und geben Sie den zu suchenden Begriff ein.
Sowohl der Name als auch die Beschreibung der Voreinstellungen werden nach dem von
Ihnen eingegebenen Begriff durchsucht. Klicken Sie auf das „X“ rechts im Suchfeld, um
den Suchbegriff zu entfernen und zur normalen Anzeige der Voreinstellungen
zurückzukehren.
Anzeigen einer Voreinstellung in der Vorschau
Im Fenster „Vorschau“ der Compressor-Software können Sie die Effekte Ihrer Voreinstellung
(wie Filter und Bildgrößenskalierung) ansehen und Anpassungen an diesen Attributen
vornehmen, während eine Vorschau der Mediendatei in Echtzeit angezeigt wird.
114 Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von VoreinstellungenHinweis: Es ist nicht möglich, die Voreinstellung isoliert in einer Vorschau anzuzeigen.
Die Voreinstellung muss zuerst einem Auftrag mit einer Ausgangsmediendatei zugewiesen
werden. Für die Attribute in den Bereichen „Codierer“ und „Bildsteuerungen“ kann
außerdem keine Vorschau angezeigt werden. Wenn Sie sich die Effekte von Einstellungen,
die Sie in diesen beiden Bereichen vornehmen, ansehen möchten, können Sie mithilfe
des Fensters „Vorschau“ einen kleinen Teil der Ausgangsmediendatei auswählen, um
diesen umzucodieren. Anschließend können Sie sich die Ausgabedatei mit dem Ergebnis
ansehen. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Tipp zum Testen von
Umcodierungsprozessen.
Voreinstellung im Fenster „Vorschau“ ansehen
1 Wenden Sie die Voreinstellung auf einen Auftrag in einem Stapel an.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Zuweisen von Voreinstellungen zu
Ausgangsmediendateien.
2 Wählen Sie das Ziel mit der Voreinstellung aus, von der Sie im Fenster „Stapel“ eine
Vorschau sehen möchten.
Hinweis: Unter Umständen müssen Sie im Fenster „Stapel“ auf die Taste „Vorschau“ klicken
(oder die Tastenkombination „Befehl-2“ drücken), damit das Vorschaufenster eingeblendet
wird.
Das erste Bild der ausgewählten Ausgangsmediendatei wird im Fenster „Vorschau“
angezeigt. Der Titel der ausgewählten Voreinstellung erscheint im Einblendmenü
„Stapelobjekt“. Die linke Hälfte des Bildschirms zeigt die Ausgangsmediendatei in ihrer
ursprünglichen Form (Originalversion). In der rechten Hälfte sehen Sie, wie das Ausgabebild
aussehen wird, wenn die ausgewählten Filter sowie die übrigen Attribute der
Voreinstellung angewendet werden (Ausgabeversion).
Output view
Batch Item
selection buttons
Source view
Batch Item pop-up menu
Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von Voreinstellungen 1153 Nehmen Sie alle erforderlichen Anpassungen an Ihrer Voreinstellung vor, während Sie
im Fenster „Vorschau“ eine Vorschau der Mediendatei sehen.
This half of the
Preview window
shows the effects
of the Inspector
window changes.
Make adjustments while
previewing the media
file in the Preview
window.
Select the item you
want to change.
Hinweis: Damit Sie sehen können, welchen Effekt bestimmte Filter auf Ihre Mediendatei
haben, müssen Sie sich vergewissern, dass die entsprechenden Filter aktiviert sind.
Andernfalls erkennt das Fenster „Vorschau“ die Filter nicht und sie werden beim
Umcodieren nicht als Teil der Voreinstellungen für diesen Auftrag betrachtet. Weitere
Informationen zur Anzeige einer Vorschau Ihrer Voreinstellungen erhalten Sie unter
Verwenden des Fensters „Vorschau“. Weitere Informationen über Filter erhalten Sie unter
Bereich „Filter“.
Löschen von Voreinstellungen
Verwenden Sie die Taste „Ausgewählte Voreinstellungen löschen“, um eigene
Voreinstellungen zu löschen.
Hinweis: Die Apple-Voreinstellungen können nicht gelöscht werden.
Voreinstellung löschen
1 Wählen Sie die Voreinstellung aus, die Sie löschen wollen.
2 Klicken Sie auf die Taste „Löschen“ (–) oder drücken Sie die Rückschritttaste auf Ihrer
Tastatur.
116 Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von VoreinstellungenAchtung: Beim Löschen einer Voreinstellung werden Sie nicht gewarnt. Zudem ist es
nicht möglich, den Löschvorgang rückgängig zu machen und die Voreinstellung
wiederherzustellen.
Erstellen von Gruppen mit Voreinstellungen
Wenn Sie eine Gruppe mit Voreinstellungen erstellen, können Sie einer
Ausgangsmediendatei sehr schnell mehrere Voreinstellungen zuzuweisen.
Gruppe mit Voreinstellungen erstellen
1 Klicken Sie im Bereich „Voreinstellungen“ auf die Taste „Neue Einstellungsgruppe“.
Daraufhin wird im Bereich „Voreinstellungen“ ein Ordner mit der Bezeichnung „Ohne
Titel“ und der Beschreibung „0 Voreinstellungen“ angezeigt. Den Inhalt dieses Felds
können Sie nicht ändern. Es zeigt die Anzahl der Voreinstellungen an, die in dieser Gruppe
enthalten sind.
A new untitled group
with 0 settings is created.
Enter a name for
the new group.
Click the Group button.
2 Geben Sie im Feld „Name“ des Fensters „Informationen“ einen geeigneten Namen für die
Gruppe ein.
3 Bewegen Sie dann die gewünschten Voreinstellungen per Drag&Drop in den
Gruppenordner.
Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von Voreinstellungen 117Hinweis: Sie können auch Gruppenhierarchien erstellen (Gruppen innerhalb anderer
Gruppen). Bewegen Sie einfach einen Gruppenordner in einen anderen Gruppenordner.
This custom group
contains three other
custom groups, each
with its own settings.
Im Feld „Beschreibung“ wird die Anzahl der Voreinstellungen angezeigt, die in der Gruppe
enthalten sind. Sobald sich mindestens eine Voreinstellung in Ihrem Gruppenordner
befindet, können Sie auf das Dreiecksymbol neben dem Gruppenordner klicken, um den
Inhalt der Voreinstellungsgruppe ein- und auszublenden. Die vollständigen Angaben zu
den Voreinstellungen in jeder beliebigen Gruppe können Sie anzeigen, wenn Sie die
Gruppe auswählen und sich dann den Bereich „Übersicht“ im Fenster „Informationen“
ansehen.
Hinweis: Sie können Voreinstellungen von einer Gruppe in eine andere bewegen.
Dieselbe Voreinstellung mehr als einer Gruppe hinzufügen
1 Wählen Sie die Voreinstellung aus.
2 Klicken Sie auf die Taste „Duplizieren“, um eine Kopie zu erstellen.
3 Bewegen Sie die duplizierte Voreinstellung zu einem anderen Gruppenordner.
Sie können die Voreinstellung auch umbenennen und dabei beispielsweise das Wort
„Kopie“ entfernen.
118 Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von VoreinstellungenBereitstellen von Voreinstellungen
Die neu erstellten Voreinstellungen werden im Benutzerordner unter
„/Benutzer/Benutzername/Library/Application Support/Compressor/Settings“ als
XML-Dateien gespeichert und haben das Suffix „.setting“. Sie können jede Ihrer selbst
erstellten Voreinstellungen auch anderen Benutzern bereitstellen, indem Sie die
entsprechenden Dateien auf jedem Computer, der die Voreinstellungen verwenden soll,
am selben Speicherort im Benutzerordner ablegen. Darüber hinaus können Sie die Dateien
auf die gleiche Weise übertragen wie andere Dateien auch, nämlich durch Senden als
Anhang einer E-Mail-Nachricht oder durch Bereitstellen auf einem Server.
Hinweis: Voreinstellungen, die mit Compressor 4 (oder neuer) erstellt wurden, sind mit
früheren Versionen von Compressor nicht kompatibel.
Sie können eine Voreinstellungsdatei schnell und einfach kopieren, indem Sie die Datei
per Drag&Drop aus dem Bereich „Voreinstellungen“ auf Ihren Schreibtisch oder in ein
Finder-Fenster bewegen. Dort können Sie sie als Anhang einer E-Mail versenden oder in
einen anderen Ordner oder auf ein anderes Volume kopieren.
Voreinstellung direkt von Compressor kopieren
µ Bewegen Sie eine oder mehrere Voreinstellungen aus dem Bereich „Voreinstellungen“ in
den Finder (z. B. auf den Schreibtisch).
Umgekehrt können Sie eine Voreinstellung zu Compressor hinzufügen, indem Sie die
Datei einfach aus dem Finder in diesen Bereich bewegen.
Voreinstellung vom Finder in Compressor anwenden oder hinzufügen
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Bewegen Sie Voreinstellungen vom Finder in die Gruppe „Eigene“ im Bereich
„Voreinstellungen“.
Diese Voreinstellungen werden in der Gruppe „Eigene“ des Bereichs „Voreinstellungen“
angezeigt.
µ Bewegen Sie Voreinstellungen vom Finder in einen leeren Bereich eines Auftrags im
Fenster „Stapel“.
Ein neuer Auftrag wird angezeigt und die Voreinstellungen erscheinen in einer oder
mehreren der Zielzeilen.
µ Bewegen Sie Voreinstellungen vom Finder in einen leeren Bereich eines Auftragsfelds im
Fenster „Stapel“.
Mindestens eine neue Zielzeile mit den Voreinstellungen wird im Auftrag angezeigt.
Sie können Voreinstellungen auch mit Droplets zu Compressor hinzufügen. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Verwenden von Droplets zur Erstellung von
Aufträgen und Voreinstellungen in Compressor.
Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von Voreinstellungen 119Beispiel: Erstellen eigener Gruppen und Voreinstellungen für
eine DVD
Im folgenden Beispiel wird davon ausgegangen, dass Sie an einem HD-Projekt arbeiten,
das sowohl als HD- als auch als SD-DVD verfügbar sein soll. Zuvor müssen Sie jedoch
auch noch SD-DVDs der Tagesaufnahmen (Dailies) bereitstellen.
Hierfür können Sie zwei Gruppen von Voreinstellungen erstellen.
• Voreinstellungen für die Dailies: Diese Voreinstellungen würden einen AIFF-Audio-Codierer
umfassen (da die Codierung schnell erfolgen soll und ausreichend Speicherplatz zur
Verfügung steht) sowie einen MPEG-2-Codierer, der eine SD-Bildgröße verwendet, die
eine schnelle Codierung erlaubt (da Qualität nicht höchste Priorität hat). Dies könnte
auch ein HD-Codierer sein, falls Sie die Möglichkeit haben, eine HD-DVD problemlos
abzuspielen.
• Voreinstellungen für die endgültige DVD (für die finalen Medien): Diese Voreinstellungen
würden eine AC-3-Audiocodierung, eine H.264-HD-Videocodierung für DVD und eine
MPEG-2-Codierung umfassen (unter Verwendung der Bildsteuerungen, um eine hohe
Qualität der SD-Videoausgabedatei zu gewährleisten).
Sehr wahrscheinlich würden Sie eine dritte Voreinstellungsgruppe erstellen, die den
Namen des Projekts trägt und in der die beiden genannten Gruppen enthalten sind.
Gruppen für die Dailies und für die finalen Medien zu erstellen
1 Klicken Sie im Bereich „Voreinstellungen“ dreimal auf die Taste „Neue Erstellungsgruppe“,
um drei neue unbenannte Gruppen zu erstellen.
2 Wählen Sie die erste der neuen Gruppen aus und geben Sie ihr im Fenster „Informationen“
den Namen des Projekts.
3 Wählen Sie dann die zweite neue Gruppe aus und nennen Sie sie „Dailies“.
4 Wählen Sie schließlich die dritte neue Gruppe aus und nennen Sie sie „Finale Medien“.
5 Bewegen Sie die Gruppen „Dailies“ und „Finale Medien“ nun im Bereich „Voreinstellungen“
nach oben, bis ein schwarzer Rahmen um die Gruppe, die nach dem Projekt benannt ist,
angezeigt wird. Lassen Sie dann die Maustaste los.
Hinweis: Sie können mehrere Gruppen oder Voreinstellungen auswählen, indem Sie die
Umschalttaste gedrückt halten, während Sie auf die Gruppen bzw. Voreinstellungen
klicken.
6 Suchen Sie in den Voreinstellungen der Gruppe „Apple“ nach Voreinstellungen, die dem
Bestimmungszweck der einzelnen Voreinstellungen in den neuen Gruppen am nächsten
kommen.
7 Erstellen Sie durch Klicken auf die Taste „Ausgewählte Voreinstellung duplizieren“ eine
Kopie von jeder Voreinstellung.
120 Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von Voreinstellungen8 Wählen Sie die kopierten Voreinstellungen nacheinander aus, benennen Sie die
Voreinstellungen und bewegen Sie diese dann in den gewünschten Ordner.
This custom group
contains the settings
used to create the dailies.
This custom group
contains the settings
used to create the
final disc.
This custom group
contains the other
custom groups, each
with its own settings.
Anschließend können Sie jede Voreinstellung auswählen und nach Bedarf ändern.
Sobald Sie die Ausgangsmediendateien importiert und deren Aufträge erstellt haben,
können Sie diesen einfach die entsprechende Gruppe (“Dailies“ oder „Finale Medien“)
zuweisen. Es werden dann alle zugehörigen Voreinstellungen auf die Ziele angewendet.
Kapitel 7 Erstellen, Ansehen und Ändern von Voreinstellungen 121Ein Auftrag besteht aus einer Ausgangsmediendatei, der mindestens ein Ziel, bestehend
aus einer Voreinstellung und einem Zielort, zugewiesen wurde. Sie können Aufträge
erstellen, indem Sie die Ausgangsmediendateien importieren.
Ein Auftrag ist jedoch erst vollständig, wenn Sie ihm mindestens ein Ziel zugewiesen
haben. Erst dann kann er zum Umcodieren gesendet werden. Jedes Ziel besteht aus einer
Voreinstellung, die alle Aspekte der Umcodierung der Datei definiert, und aus einem
Zielort, der festlegt, wo die umcodierte Datei gesichert wird und wie sie benannt wird.
Für jedes Ziel können Sie außerdem manuell den Namen der Ausgabedatei eingeben.
Das Programm „Compressor“ bietet zahlreiche Optionen für die Zuweisung von
Voreinstellungen und Zielorten zu Zielen und für das Senden (und wiederholte Senden)
von Stapeln.
Hinweis: Weitere Informationen zum Erstellen von Voreinstellungen in diesen Fenstern
finden Sie in den Abschnitten Der Bereich „Voreinstellungen“ und Bereich „Zielorte“.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Zuweisen von Voreinstellungen (S. 123)
• Zuweisen von Zielorten (S. 129)
• Allgemeine Informationen über Aufträge und Ziele (S. 132)
• Allgemeine Informationen über Stapel (S. 134)
• Verwenden von Final Cut Pro und Motion in Verbindung mit Compressor (S. 141)
• Verwenden der verteilten Verarbeitung mit Compressor (S. 144)
Zuweisen von Voreinstellungen
In diesem Abschnitt wird beschrieben, wie Sie Voreinstellungen Ausgangsmediendateien
zuweisen und zugewiesene Voreinstellungen ersetzen oder ändern können.
123
Fertigstellen von Aufträgen und
Senden von Stapeln 8Zuweisen von Voreinstellungen zu Ausgangsmediendateien
Es gibt verschiedene Methoden, mit denen Sie einem Auftrag Voreinstellungen zuweisen
können. Einige Methoden (wie das Bewegen der gewünschten Voreinstellung aus dem
Bereich „Voreinstellungen“) eignen sich besser für die Arbeit mit nur einem Auftrag.
Andere Methoden (z. B. die Verwendung des Kontextmenüs) sind zu bevorzugen, wenn
Sie einer Gruppe von Aufträgen die gleichen Voreinstellungen zuweisen wollen. Sie
können Voreinstellungen auch zuweisen, indem Sie Voreinstellungen oder Droplets vom
Finder bewegen.
Hinweis: Die folgenden Schritte setzen voraus, dass Sie einem Stapel bereits
Ausgangsmediendateien hinzugefügt haben, und somit die Aufträge, denen Sie die
Voreinstellungen hinzufügen wollen, schon vorhanden sind. Weitere Informationen zum
Importieren von Ausgangsmediendateien finden Sie unter Importieren von
Ausgangsmedien.
Tipp: Sie können bei gedrückter Wahltaste auf das Dreiecksymbol einer
Voreinstellungsgruppe klicken, um die Untergruppen dieser Gruppe einzublenden und
sämtliche darin enthaltenen Voreinstellungen anzuzeigen.
Einem Auftrag per Drag&Drop eine Voreinstellung zuweisen
1 Wählen Sie mindestens eine Voreinstellung oder Voreinstellungsgruppe im Bereich
„Voreinstellungen“ aus.
124 Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln2 Bewegen Sie die Voreinstellungen in den Auftrag im Fenster „Stapel“.
Select one or more
(two in this case) settings
to apply to the job.
A job with a source
media file in the
Batch window
Für jede Voreinstellung, die Sie dem Auftrag des Stapels hinzugefügt haben, wird ein
neues Ziel erstellt.
New targets are added
for each setting you
drag to the job.
Hinweis: Sie können die Voreinstellungen nur auf einen einzelnen Auftrag anwenden,
wenn Sie sie per Drag&Drop zuweisen.
Einem Auftrag eine Voreinstellung mithilfe des Menüs „Ziel“ zuweisen
1 Wählen Sie mindestens einen Auftrag im aktuellen Stapel des Fensters „Stapel“ aus.
2 Wählen Sie „Ziel“ > „Neues Ziel mit Voreinstellung“.
Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln 125Daraufhin wird über dem Fenster „Stapel“ das Dialogfenster zur Auswahl der Voreinstellung
angezeigt.
Click Add to assign
the settings to the
selected jobs.
Select the settings
to apply to the
selected jobs.
Select the jobs in
the Batch window.
3 Wählen Sie mindestens eine Voreinstellung oder Voreinstellungsgruppe aus, die Sie den
Aufträgen zuweisen möchten. Klicken Sie anschließend auf „Hinzufügen“.
Die Voreinstellungen werden jedem der ausgewählten Aufträge zugewiesen.
Einem Auftrag eine Voreinstellung mithilfe des Kontextmenüs zuweisen
1 Wählen Sie mindestens einen Auftrag im aktuellen Stapel des Fensters „Stapel“ aus.
2 Klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf einen der ausgewählten Aufträge und wählen
Sie „Neues Ziel mit Voreinstellung“ aus dem Kontextmenü aus.
Im Kontextmenü werden die Voreinstellungen nach ihren Gruppen geordnet aufgelistet.
Sie können zwar nicht direkt eine ganze Gruppe wählen, um diese zuzuweisen, aber jede
Gruppe enthält ein Objekt „Alle“, mit dem Sie alle Voreinstellungen der Gruppe auswählen
können.
Hinweis: Das Auswählen mehrerer einzelner Voreinstellungen ist mit dieser Methode
nicht möglich.
3 Wählen Sie entweder eine Voreinstellung oder „Alle“, um alle Voreinstellungen in einer
Gruppe zu wählen.
Die Voreinstellungen werden auf alle ausgewählten Aufträge angewendet.
126 Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von StapelnEine Voreinstellung vom Finder zuweisen
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Bewegen Sie eine oder mehrere Voreinstellungen vom Finder in einen leeren Bereich des
Fensters „Stapel“.
Ein neuer Auftrag wird angezeigt und die Voreinstellungen erscheinen in einer oder
mehreren der Zielzeilen.
µ Bewegen Sie eine oder mehrere Voreinstellungen vom Finder in einen leeren Bereich in
einem Auftragsfeld im Fenster „Stapel“.
Mindestens eine neue Zielzeile mit den Voreinstellungen wird im Auftrag angezeigt.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Bereitstellen von Voreinstellungen.
Sie können Voreinstellungen auch mit Droplets zu Compressor hinzufügen. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Verwenden von Droplets zur Erstellung von
Aufträgen und Voreinstellungen in Compressor.
Ersetzen einer zugewiesenen Voreinstellung durch eine andere
Voreinstellung
Nachdem Sie einem Auftrag eine Voreinstellung zugewiesen haben, stellen Sie
möglicherweise fest, dass eine andere Voreinstellung noch besser geeignet wäre. Sie
beschließen darum, die Voreinstellung für das Ziel zu ändern und eine neue zuzuweisen.
Es gibt mehrere Möglichkeiten, die Voreinstellung für ein Ziel zu ändern. Bei allen
Vorgehensweisen bleiben die Einstellungen bezüglich Zielort und Ausgabedateiname
unberührt.
Voreinstellung ersetzen, die bereits einem Ziel mit einer anderen Voreinstellung
zugewiesen ist
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Wählen Sie „Ziel“ > „Voreinstellung ändern“. Daraufhin wird das Dialogfenster für die
Auswahl von Voreinstellungen angezeigt. Wählen Sie hier eine neue Voreinstellung und
klicken Sie auf „Hinzufügen“, um sie dem ausgewählten Ziel zuzuweisen.
µ Klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf das Ziel und wählen Sie „Voreinstellung ändern“
aus dem Kontextmenü aus. Daraufhin wird das Dialogfenster für die Auswahl von
Voreinstellungen angezeigt. Wählen Sie hier eine neue Voreinstellung und klicken Sie auf
„Hinzufügen“, um sie dem ausgewählten Ziel zuzuweisen.
µ Wählen Sie die neue Voreinstellung im Bereich „Voreinstellungen“ aus und bewegen Sie
sie auf das Ziel.
Hinweis: Für alle oben genannten Methoden gilt Folgendes: Falls Sie mehrere
Voreinstellungen auswählen, wird jeweils nur die oberste dem Ziel zugewiesen.
Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln 127Ändern einer zugewiesenen Voreinstellung
Sie können beliebige Komponenten einer Voreinstellung bearbeiten, die im Fenster
„Stapel“ bereits einer Ausgangsmediendatei zugewiesen wurde (im Fenster „Informationen“
wird in diesem Fall „Ausgewähltes Ziel“ als Name angezeigt).
Voreinstellung ändern, die im Fenster „Stapel“ bereits einer Ausgangsmediendatei
zugewiesen ist
1 Wählen Sie im Stapel das Ziel mit der Voreinstellung aus, die Sie ändern möchten.
Daraufhin wird die Voreinstellung im Fenster „Informationen“ angezeigt, wobei
„Ausgewähltes Ziel“ im Feld „Name“ zu sehen ist. Hierbei handelt es sich um eine
temporäre Kopie der Voreinstellung, nicht um die Voreinstellung selbst. Sie können also
gezielt für diesen einen zu sendenden Stapel temporäre Änderungen an der Voreinstellung
vornehmen.
Select a target in the
Batch window to see
its settings in the
Inspector window.
The setting’s name
shows as “Selected
Target.”
Click the Save As button
to save this as a new
setting with any
changes you make.
2 Nehmen Sie die Änderungen an der Voreinstellung vor.
Sobald Sie die Voreinstellung ändern, wird die Taste „Sichern“ unten im Fenster
„Informationen“ aktiviert.
3 Klicken Sie auf „Sichern“, um die geänderte Voreinstellung unter einem neuen Namen zu
sichern.
Die gesicherte Kopie wird dann im Bereich „Voreinstellungen“ als „Name der
Voreinstellung-Kopie“ angezeigt. Außerdem wird sie sofort im Bereich „Voreinstellungen“
hervorgehoben.
128 Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von StapelnHinweis: Das Sichern der geänderten Voreinstellung ist zwar nicht erforderlich, aber
dennoch ratsam, falls Sie sie später noch einmal verwenden müssen.
Zuweisen von Zielorten
In diesem Abschnitt wird beschrieben, wie Sie Ausgabeziele und Ausgabedateinamen
festlegen können.
Zuweisen von Zielorten zu Ausgangsmediendateien
Wenn Sie Ihren Zielen Voreinstellungen zuweisen, wird dabei der Standardzielort
(Speicherort) ebenfalls automatisch zugewiesen. Sie können den Standardzielort mithilfe
der Compressor-Einstellungen festlegen. Wählen Sie hierfür „Compressor“ >
„Einstellungen“. Sie können einen von Compressor vorgeschlagenen Zielort oder einen
Zielort Ihrer Wahl zuweisen. Weitere Informationen zur Arbeit mit Zielorten finden Sie
unter Erstellen eines Zielorts.
Sie können den Standardzielort durch einen anderen beliebigen Zielort ersetzen oder
auch manuell einen Speicherort wählen, an dem die Ausgabedatei gesichert werden soll.
Es gibt verschiedene Möglichkeiten, einer Ausgangsmediendatei einen Zielort zuzuweisen.
Wie beim Zuweisen von Voreinstellungen hat auch hier jede Methode ihre Vorteile.
Zielort per Drag&Drop zuweisen
1 Wählen Sie im Bereich „Zielorte“ einen Zielort aus.
Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln 1292 Bewegen Sie den Zielort auf das Ziel im Fenster „Stapel“.
Drag the destination
to a job with a target
in the Batch window.
Select a destination
to apply to the target.
Der Abschnitt „Zielort“ des Ziels wird aktualisiert und enthält nun den neuen Zielort.
Hinweis: Sie können den Zielort nur auf einen einzelnen Auftrag anwenden, wenn Sie
ihn per Drag&Drop zuweisen. Außerdem können Sie mit dieser Methode keinen
temporären Zielort zuweisen.
Mithilfe der Drag&Drop-Methode können Sie auch ein neues Ziel (mit einer leeren
Voreinstellung) erstellen, indem Sie den Zielort an eine leere Stelle im Auftrag bewegen.
Zielort mithilfe des Menüs „Ziel“ oder mithilfe des Kontextmenüs zuweisen
1 Wählen Sie alle Ziele aus, für die Sie den Zielort festlegen möchten.
2 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Wählen Sie „Ziel“ > „Zielort“ > [Zielort].
130 Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln• Klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf eines der Ziele und wählen Sie „Zielort“ >
[Zielort] aus dem Kontextmenü aus.
Use the target’s shortcut
menu to change the
destination for the
selected targets.
Nachdem Sie den Zielort ausgewählt haben, wird er im Abschnitt „Zielort“ des Ziels
angezeigt.
Hinweis: Mit der Option „Andere“ können Sie zudem einen temporären Zielort zuweisen.
Nun wird das Dialogfenster für die Dateiauswahl geöffnet. Hier können Sie einen neuen
Zielort auswählen, an den nur dieser Stapel gesendet werden soll. Dieser Zielort wird
nicht gesichert und gilt ausschließlich für den gesendeten Stapel.
Festlegen eines Namens für die Ausgabedatei
Zielorte definieren nicht nur, wo die Ausgabedatei gesichert wird, sondern sie legen auch
die Benennung der Ausgabedatei fest. Sobald Sie einen Zielort zugewiesen haben, ist
der Ausgabedateiname vollständig. Sie können diesen Namen entweder unverändert
übernehmen, ihn manuell ändern oder einen neuen Namen eingeben.
Namen für eine Ausgabedatei ändern bzw. neuen Namen eingeben
µ Klicken Sie auf das Feld mit dem Namen der Ausgabedatei und bearbeiten Sie den
vorhandenen Namen bzw. wählen Sie den vorhandenen Namen durch dreifaches Klicken
aus und geben Sie einen neuen Namen ein.
The output filename
Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln 131Allgemeine Informationen über Aufträge und Ziele
Dieser Abschnitt enthält allgemeine Informationen über Aufträge und Ziele.
Ziele
Ein Ziel enthält jeweils folgende drei Objekte:
• Voreinstellung
• Zielort
• Name der Ausgabedatei
The setting The destination
The output filename
Drag the dividers
to expand a target’s
section and make it
easier to see the entry.
The target Add
and Delete buttons
Es gibt verschiedene Methoden, wie Sie einem Auftrag Ziele hinzufügen können. Die am
häufigsten verwendete Methode ist das Hinzufügen einer Voreinstellung oder eines
Zielorts zu einem Auftrag. Sie können aber auch eines der folgenden Verfahren verwenden.
Einem Auftrag ein leeres Ziel hinzufügen
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Wählen Sie mindestens einen Auftrag aus und wählen Sie „Ziel“ > „Neues Ziel“. Hierdurch
wird den Aufträgen ein leeres Ziel hinzugefügt.
µ Wählen Sie mindestens einen Auftrag aus und klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf
eine leere Stelle in einem dieser Aufträge. Wählen Sie anschließend „Ziel“ > „Neues Ziel“.
Hierdurch wird den Aufträgen ein leeres Ziel hinzugefügt.
µ Klicken Sie auf die Taste „Hinzufügen“ (+) eines vorhandenen Ziels.
Sie können auch ein Ziel oder mehrere Ziele aus einem Auftrag in einen anderen kopieren.
Ziele per Drag&Drop in einen anderen Auftrag kopieren
1 Wählen Sie die zu kopierenden Ziele aus.
2 Drücken Sie die Wahltaste und bewegen Sie die Ziele in den gewünschten Auftrag.
132 Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von StapelnZiele löschen
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Wählen Sie ein Ziel oder mehrere Ziele aus und drücken Sie die Rückschritttaste.
µ Klicken Sie in einem Ziel auf die Taste „Löschen“ (–) .
Hinzufügen und Kopieren von Aufträgen
In der Regel werden Aufträge dadurch erstellt, dass einem Stapel Ausgangsmediendateien
hinzugefügt werden. Es gibt aber auch etliche andere Methoden, die Sie zum Hinzufügen
von Aufträgen zu einem Stapel verwenden können. Darüber hinaus können Aufträge in
einem Stapel verkettet werden, um so die Reihenfolge festzulegen, in der die Dateien
nach dem Senden umcodiert werden.
Leeren Auftrag zu einem Stapel hinzufügen
µ Wählen Sie „Auftrag“ > „Neuer Auftrag“.
Auftrag aus einem Stapel entfernen
µ Wählen Sie den Auftrag aus und drücken Sie die Rückschritttaste.
Aufträge von einem Stapel in einen anderen kopieren
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Öffnen Sie jeden Stapel in einem eigenen Fenster und bewegen Sie die Aufträge von
einem Fenster in das andere.
µ Wählen Sie die zu kopierenden Aufträge aus und drücken Sie die Tastenkombination
„Befehl-C“. Wählen Sie anschließend den Stapel aus, in den Sie die Aufträge kopieren
möchten, und drücken Sie die Tastenkombination „Befehl-V“.
Verketten von Aufträgen
Das Verketten von Aufträgen ist dann sinnvoll, wenn Sie mehrere Voreinstellungen auf
eine Ausgangsmediendatei anwenden müssen, es aber wichtig ist, dass die einzelnen
Voreinstellungen nacheinander angewendet werden. Durch das Verketten können Sie
die Reihenfolge steuern, in der die Voreinstellungen die Ausgangsmediendatei verändern.
Ausgewählte Ziele mit neuen Aufträgen verketten
1 Wählen Sie die Ziele, deren Ausgaben Sie mit neuen Aufträgen verketten wollen.
2 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Wählen Sie „Auftrag“ > „Neuer Auftrag mit Zielausgabe“.
• Klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf eines der Ziele und wählen Sie „Neuer Job
mit Zielausgabe“ aus dem Kontextmenü aus.
Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln 133Neue Aufträge werden zu dem Stapel mit dem Verkettungssymbol und dem Namen der
Ausgabedatei der Ziele, mit denen die Aufträge verkettet sind, hinzugefügt.
The chained job’s source
name is the output
filename of the target it
is chained to.
The chained job’s
thumbnail is this chain
link logo.
Falls erforderlich, können Sie mehrere Aufträge miteinander verketten. Ein Beispiel für
das Verketten von zwei Aufträgen finden Sie unter Weitere Aspekte im Zusammenhang
mit Reverse Telecine.
Allgemeine Informationen über Stapel
In diesem Abschnitt finden Sie allgemeine Informationen über das Senden, Sichern und
Öffnen von Stapeln.
Senden eines Stapels
Nachdem Sie die Aufträge und deren Ziele innerhalb eines Stapels konfiguriert haben,
können Sie den Stapel senden, damit er verarbeitet wird.
Stapel senden
1 Vergewissern Sie sich, dass der Stapel, den Sie senden möchten, im Fenster „Stapel“
ausgewählt ist.
2 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Wählen Sie „Ablage“ > „Senden“.
• Klicken Sie im Fenster „Stapel“ auf die Taste „Senden“.
134 Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von StapelnDas Dialogfenster zum Senden des Stapels wird angezeigt.
3 Prüfen Sie, ob der Stapelname im Feld „Name“ korrekt ist.
Sie können diesen Namen so ändern, dass er aussagekräftige Informationen über den
Stapel enthält. Dieser Name wird sowohl im Share-Monitor als auch im Fenster „Verlauf“
für den aktuellen Sendevorgang verwendet.
4 Verwenden Sie das Einblendmenü „Cluster“, um eine der folgenden Aufgaben auszuführen:
Wählen Sie aus dem Einblendmenü „Cluster“ aus, welcher Computer oder Cluster den
Stapel verarbeiten soll.
• Auswählen der Option „Dieser Computer“: Compressor verwendet andere Computer nur
dann zur Verarbeitung des Stapels, wenn Sie die Option „Dieser Computer und“
ausgewählt haben. Dadurch wird ein Ad-hoc-Cluster gebildet der den mit „Dieser
Computer“ ausgewählten Computer und alle verfügbaren Dienstknoten umfasst.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Option „Dieser Computer und“ und nicht
verwaltete Dienste.
• Auswählen eines Clusters: Compressor sendet den Stapel zur Verarbeitung an den Cluster
(die Option „Dieser Computer und“ ist nicht verfügbar).
In Abhängigkeit von den ausgewählten Optionen müssen Sie sich unter Umständen
authentifizieren. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Apple Qmaster und die
verteilte Verarbeitung.
5 Wählen Sie aus dem Einblendmenü „Priorität“ eine Prioritätsstufe für den Stapel aus.
6 Klicken Sie auf „Senden“ oder drücken Sie die Eingabetaste, um den Stapel zum Verarbeiten
zu senden.
Der Fortschritt der Stapelverarbeitung wird im Fenster „Verlauf“ angezeigt. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Das Fenster „Verlauf“.
Hinweis: Das Fenster „Verlauf“ wird automatisch geöffnet, falls es nicht bereits geöffnet
ist.
Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln 135Sie können den Umcodierungsprozess auch mit dem Share-Monitor überwachen, indem
Sie im Fenster „Stapel“ auf das entsprechende Symbol klicken. Weitere Informationen
zum Share-Monitor finden Sie im Share-Monitor-Benutzerhandbuch, auf das Sie über das
Menü „Hilfe“ für den Share-Monitor zugreifen können.
Sie können auch in den Compressor-Einstellungen festlegen, dass das Programm
„Share-Monitor“ automatisch geöffnet wird. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter
Festlegen von Compressor-Einstellungen.
Hinweis: Wenn Sie größere Stapel senden (beispielsweise neun Ausgangsmedien, denen
jeweils drei Voreinstellungen zugewiesen wurden), entsteht nach dem Senden des Stapels
eine Verzögerung von etwa zehn Sekunden. Bitte warten Sie, bis Compressor den
umfangreichen Stapel vorbereitet hat, damit er ordnungsgemäß gesendet werden kann.
Falls Sie einen großen Stapel umcodieren, sollten Sie den Bildschirmschoner auf Ihrem
Computer deaktivieren. Dies erhöht die Geschwindigkeit beim Umcodieren, weil keine
Ressourcen durch den Bildschirmschoner in Anspruch genommen werden.
Sobald der Stapel gesendet wurde, wird im Stapel ein gelbes Dreieck mit Ausrufezeichen
angezeigt.
Click the warning
symbol to see an
explanation about
why it is there.
Compressor verwendet diese Warnsymbole immer dann, wenn ein Problem mit einem
Stapel vorliegt. Platzieren Sie den Zeiger auf dem Symbol, um einen Tipp einzublenden,
der den Grund für die Anzeige erklärt. Alternativ können Sie auf das Symbol klicken, um
ein Fenster mit der Begründung zu öffnen.
Im oben dargestellten Fall hat das Warnsymbol folgende Bedeutung: Da der Stapel bereits
gesendet wurde, ist nun an dem entsprechenden Zielort eine Datei mit diesem Namen
vorhanden. Sollten Sie den Stapel erneut senden, wird diese Datei überschrieben.
Beim Senden eines Stapels haben Sie auch die Möglichkeit, das entsprechende
Dialogfenster zu umgehen. Der gesendete Stapel verwendet dann automatisch die
Einstellungen des zuvor gesendeten Stapels.
136 Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von StapelnStapel unter Verwendung der vorherigen Einstellungen senden
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Wählen Sie „Ablage“ > „Mit vorherigen Einstellungen senden“.
µ Klicken Sie auf die Taste „Mit vorherigen Einstellungen senden“ in der Symbolleiste im
Fenster „Stapel“ (falls vorhanden).
Weitere Informationen zur Verwendung des Fensters „Stapel“ finden Sie unter Das Fenster
„Stapel“.
Tipp zum Testen von Umcodierungsprozessen
Führen Sie vor Beginn eines langen Umcodierungsprozesses einen kurzen Test mit einem
kleinen Ausschnitt der Ausgangsmediendatei durch. Liegt ein Problem vor (etwa eine
falsche Einstellung oder eine Referenzdatei, deren zugehörigen Dateien nicht gefunden
werden), können Sie die erforderlichen Korrekturen vornehmen, ohne viel Zeit zu verlieren.
Ein solcher Test bietet Ihnen auch die Möglichkeit, Ergebnisse der Codierung und der
Bildsteuerungen anzusehen, die im Fenster „Vorschau“ nicht angezeigt werden. Eine
Beschreibung, wie Sie rasch einen kurzen Ausschnitt der Ausgangsmediendatei auswählen
können, finden Sie unter Umcodieren eines Clipausschnitts im Fenster „Vorschau“.
Vergewissern Sie sich, dass der Testausschnitt für die angewendeten Voreinstellungen
spezifisch ist. Wählen Sie z. B. einen Ausschnitt mit viel Bewegung aus, wenn Sie eine
Konvertierung der Bildrate oder Halbbilddominanz mit den Bildsteuerungen ausführen.
Das Fenster „Verlauf“
Vom Fenster „Verlauf“ aus können Sie direkt auf alle zuvor gesendeten Stapel zugreifen.
So können Sie Stapel bequem erneut senden. Zu diesem Zweck bewegen Sie die
betreffenden Stapel einfach in das Fenster „Stapel“. Zudem können Sie die
Sendeinformationen ansehen. Daraus ersehen Sie, wann bestimmte Auftragsstapel von
Ihrem Computer aus gesendet wurden.
Click the disclosure
triangle to see the details
of that day’s submissions.
Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln 137Die Einträge im Fenster „Verlauf“ sind nach dem Datum des Sendevorgangs geordnet.
Sie können diese Reihenfolge ändern. Klicken Sie hierzu auf die Taste
„Sortierungsreihenfolge ändern“, die sich am unteren Rand des Fensters „Verlauf“ befindet.
Sie haben auch die Möglichkeit, den Inhalt des Fensters „Verlauf“ zu löschen, indem Sie
auf die Taste „Löschen“ klicken. Sie können aber auch nur ausgewählte Einträge entfernen,
indem Sie sie auswählen und anschließend die Rückschritttaste drücken.
Im Fenster „Verlauf“ können Sie auch den Fortschritt einer gerade laufenden Umcodierung
eines Stapels anzeigen.
Click the disclosure
triangle to see the
details of each target
of this submission.
Click the Pause button
to temporarily pause
the transcode process.
Click it again to resume
transcoding.
The name of
this submission
Click the Cancel
button to end the
transcode process. Hinweis: Ist das Fenster „Verlauf“ geschlossen, wird es automatisch geöffnet, wenn Sie
einen Stapel senden.
Sobald die Umcodierung abgeschlossen ist, wird im Fenster „Verlauf“ eine Taste
hinzugefügt, die das Auffinden der codierten Dateien erleichtert.
A target from the
submitted batch
Click the “Reveal in
Finder” button to show
the encoded file in a
Finder window.
Clicking this disclosure
triangle shows the
submission details.
138 Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von StapelnErneutes Senden eines Stapels
Sämtliche Informationen zu gesendeten Stapeln werden im Fenster „Verlauf“ gespeichert.
Dazu gehören Details zu allen Aufträgen und Zielen eines Stapels, einschließlich der ihnen
zugewiesenen Ausgangsmedien. Mithilfe dieser Informationen können Sie einen Stapel
erneut senden, indem Sie einen Eintrag aus dem Fenster „Verlauf“ wieder zurück in das
Fenster „Stapel“ bewegen.
Bereits gesendeten Stapel aus dem Fenster „Verlauf“ erneut senden
1 Verwenden Sie das Dreiecksymbol, um den Sendevorgang für den Stapel zu finden, den
Sie erneut senden möchten.
Hinweis: An dieser Stelle ist es hilfreich, wenn Sie dem Sendevorgang einen
aussagekräftigen Namen gegeben haben.
2 Bewegen Sie den gesendeten Stapel aus dem Fenster „Verlauf“ in das Fenster „Stapel“.
Wenn Sie einen Stapel aus dem Fenster „Verlauf“ in das Fenster „Stapel“ bewegen, erstellt
Compressor für diesen Stapel einen neuen unbenannten Titel im Fenster „Stapel“. Der
Stapel wird im neuen Bereich mit allen ursprünglichen Eigenschaften angezeigt
(Ausgangsmedien, Ziele, zugewiesene Voreinstellungen, Zielorte, Ausgabeformat und
Name des Stapels). Sie können nun am Stapel die ggf. notwendigen Änderungen
vornehmen und ihn dann erneut senden.
Sichern und Öffnen einer Stapeldatei
Es kann gelegentlich vorkommen, dass Sie eine Stapeldatei konfigurieren, sie jedoch nicht
sofort senden können. In solchen Fällen kann es sinnvoll sein, die Einstellungen der
Stapeldatei für später zu sichern.
Stapel sichern
1 Wählen Sie „Ablage“ > „Sichern unter“ (oder drücken Sie die Tastenkombination
„Befehl-Umschalt-S“).
Ein Dialogfenster wird geöffnet. Dort können Sie einen Namen für die Datei vergeben
sowie einen Zielort auswählen.
2 Geben Sie einen Namen für die Datei ein, wenn Sie den Standardnamen nicht verwenden
möchten.
3 Wählen Sie den Zielort der Datei aus.
4 Klicken Sie auf „Sichern“.
Bei Stapeldateien wird die Erweiterung „.compressor“ an den Dateinamen angehängt.
Hinweis: Das Suffix „.compressor“ wird nun in den Titeln des Fensters „Stapel“ angezeigt,
falls Sie in den Finder-Einstellungen definiert haben, dass alle Dateierweiterungen
angezeigt werden sollen.
Stapeldatei in Compressor öffnen
1 Wählen Sie „Ablage“ > „Öffnen“ (oder drücken Sie die Tastenkombination „Befehl-O“).
Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln 139Ein Dialogfenster wird angezeigt. Wählen Sie die Stapeldatei aus, die Sie öffnen möchten.
2 Suchen Sie die betreffende Stapeldatei und wählen Sie sie aus.
3 Klicken Sie auf „Öffnen“.
Alternativ können Sie eine Stapeldatei auch durch Doppelklicken im Finder oder durch
Bewegen der Datei auf das Compressor-Symbol öffnen.
Hinweis: Kann Compressor keine der Ausgangsmediendateien finden, die in der
Stapeldatei aufgelistet sind, wird eine Fehlermeldung angezeigt. Nur
Ausgangsmediendateien, die das Programm findet, werden angezeigt.
Umcodieren verschiedener Clips aus einer Ausgangsmediendatei
Wenn Ihre Ausgangsmediendatei groß ist und Sie lediglich einige Abschnitte aus der
Datei umcodieren wollen, können Sie dies durch das Senden eines einzelnen Stapels
erledigen.
Verschiedene Clips aus derselben Ausgangsmediendatei umcodieren
1 Öffnen Sie das Fenster „Stapel“.
2 Importieren Sie die Ausgangsmediendatei mehrmals in einen Stapel (die Anzahl der
Importvorgänge muss der Anzahl der zu erstellenden Clips entsprechen).
Bei jedem Importvorgang der Ausgangsmediendatei wird ein neuer Auftrag erstellt.
3 Fügen Sie jedem Auftrag die gewünschten Voreinstellungen hinzu.
Für den Dateinamen der Ausgabedatei wird eine eindeutige Kennung vergeben. Anhand
dieser Kennung können Sie die einzelnen Clips nach der Umcodierung problemlos
erkennen.
Unique file identifiers
are automatically
applied to each job.
4 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus, um das Fenster „Vorschau“ zu öffnen:
• Wählen Sie „Fenster“ > „Vorschau“ (oder drücken Sie die Tastenkombination „Befehl-2“).
• Klicken Sie im Fenster „Stapel“ auf die Taste „Vorschau“.
Daraufhin wird das Fenster „Vorschau“ geöffnet.
140 Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln5 Mit den Auswahltasten oder dem Einblendmenü für das Stapelobjekt können Sie zu jeder
Mediendatei wechseln, die Sie umcodieren wollen.
6 Bewegen Sie die In- und Out-Punkte zum ersten Abschnitt der Mediendatei, den Sie
verwenden wollen. Bewegen Sie anschließend für die nächste Mediendatei abermals die
zugehörigen In- und Out-Punkte zum nächsten Abschnitt der Mediendatei, den Sie
verwenden wollen.
Zudem können Sie die Marker mit den Tasten „I“ (In) und „O“ (Out) an die Stelle bewegen,
an der sich die Abspielposition gerade befindet.
The In point The Out point
7 Kehren Sie zum Fenster „Stapel“ zurück und klicken Sie dort auf „Senden“.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Fenster „Vorschau“.
Verwenden von Final Cut Pro und Motion in Verbindung mit
Compressor
Final Cut Pro und Motion verfügen über das Menü „Bereitstellen“, das zahlreiche bereits
vorkonfigurierte Umcodierungsoptionen enthält. Wenn Sie jedoch eine
Umcodierungsoption verwenden möchten, die von den vorkonfigurierten Optionen im
Menü „Bereitstellen“ nicht abgedeckt wird, oder eine der Optionen anpassen möchten,
können Sie den Befehl „An Compressor senden“ verwenden, um ein Projekt in Compressor
zu öffnen und individuell zu konfigurieren.
Wichtig: Compressor 4 muss auf demselben Computer installiert sein wie Final Cut Pro
X und Motion 5, damit diese Optionen funktionieren.
Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln 141Senden eines Projekts zur Umcodierung
Sie können ein Final Cut Pro- oder Motion-Projekt entweder mit oder ohne zugewiesene
Voreinstellung an Compressor senden. In beiden Fällen wird das Projekt als Stapel
angezeigt, den Sie wie jeden anderen Stapel konfigurieren können.
Final Cut Pro- oder Motion-Projekt umcodieren
1 Öffnen Sie das Projekt, das umcodiert werden soll, in Final Cut Pro bzw. Motion und
wählen Sie es aus.
2 Wählen Sie die gewünschte Ausgabeoption im Menü „Bereitstellen“ von Final Cut Pro
bzw. Motion aus und konfigurieren Sie die Option.
In der Final Cut Pro- bzw. Motion-Hilfe finden Sie Informationen zu den verfügbaren
Optionen und Konfigurationsmöglichkeiten.
3 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Wenn Sie die Option „An Compressor senden“ im Menü „Bereitstellen“ verwenden,
wird Compressor geöffnet und das Projekt wird als Auftrag in einem neuen Stapel ohne
zugewiesene Voreinstellungen angezeigt.
• Wenn Sie eine andere Option ausgewählt haben, klicken Sie auf „Erweitert“. Wählen
Sie anschließend „An Compressor senden“. Compressor wird geöffnet und das Projekt
wird als Auftrag in einem neuen Stapel angezeigt und ist mit der Option konfiguriert,
die Sie im Menü „Bereitstellen“ ausgewählt haben.
The Final Cut Pro project
name is used as the new
job’s name.
4 Weisen Sie dem Auftrag gegebenenfalls Voreinstellungen und Zielorte zu.
Weitere Informationen finden Sie in den folgenden Abschnitten:
• Zuweisen von Voreinstellungen zu Ausgangsmediendateien
• Zuweisen von Zielorten zu Ausgangsmediendateien
5 Klicken Sie im Fenster „Stapel“ auf die Taste „Senden“.
Compressor beginnt mit der Umcodierung des Final Cut Pro-Projekts.
Hinweis: Wenn das Final Cut Pro- oder Motion-Projekt in Compressor geöffnet ist, können
Sie in Final Cut Pro bzw. Motion an diesem oder anderen Projekten weiterarbeiten.
142 Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von StapelnErneutes Senden eines Projekts
Sie können das Fenster „Verlauf“ verwenden, um ein Final Cut Pro- oder Motion-Projekt
erneut zu senden. Hierbei gehen Sie genauso vor wie bei jedem anderen Stapel.
Compressor sendet das Projekt in der gleichen Form wie beim erstmaligen Senden. Das
bedeutet, dass alle Änderungen, die seit dem ersten Senden vorgenommen wurden,
ignoriert werden.
Details über die einzelnen Schritte dieses Prozesses werden unter Erneutes Senden eines
Stapels beschrieben.
Optimieren der verteilten Verarbeitung für Final Cut Pro und Motion
Es gibt zwei Standardsituationen, die die Funktionsweise der verteilten Verarbeitung mit
Final Cut Pro- und Motion-Medien beeinflussen:
• Die Medien befinden sich auf dem Final Cut Pro- oder Motion-Startvolume: Dies ist die
Standardverarbeitungsoption für die Medien. In diesem Fall steht als einzige Option
für die verteilte Verarbeitung „Dieser Computer und“ zur Verfügung. Apple Qmaster
muss zuerst die Ausgangsmedien auf die Computer kopieren, die die Dienste für die
verteilte Verarbeitung bereitstellen, was zu einer reduzierten Geschwindigkeit bei der
verteilten Verarbeitung führt.
• Die Medien befinden sich auf einem aktivierbaren Volume (nicht auf einem
Startvolume): Wenn Sie die Final Cut Pro- und Motion-Medien nicht auf dem Startvolume,
sondern auf einem anderen Volume des Computers speichern, bedeutet das, dass alle
Computer, die Dienste für die verteilte Verarbeitung zur Verfügung stellen, direkt auf
die Ausgangsmedien zugreifen können. In diesem Fall ist es nicht erforderlich, dass
Apple Qmaster die Medien auf die Dienstcomputer kopiert. Sie können das Projekt an
jeden verfügbaren Cluster senden. Bei dem Volume kann es sich um eine zweite interne
Festplatte, eine externe Festplatte oder ein Volume auf einem Netzwerkcomputer
handeln.
Verteilte Verarbeitung für Final Cut Pro und Motion optimieren
1 Stellen Sie sicher, dass alle in Ihrem Final Cut Pro-Projekt verwendeten Ereignisse (Events)
auf einem aktivierbaren Volume gespeichert sind, das für die Dateifreigabe konfiguriert
ist. Ausführliche Informationen zum Speichern von Final Cut Pro- und Motion-Medien
auf nicht standardmäßigen Volumes finden Sie in der Final Cut Pro-Hilfe und in der
Motion-Hilfe.
2 Aktivieren Sie auf jedem Computer des Apple Qmaster-Clusters die Festplatte, auf der
sich die Final Cut Pro-Ereignisse und andere Mediendateien befinden.
3 Wählen Sie in den Compressor-Einstellungen „Quellmaterial nie auf den Cluster kopieren“
aus dem Einblendmenü „Cluster-Optionen“.
Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln 143Für Final Cut Pro- und Motion-Projekte, die entweder direkt einen Apple Qmaster-Cluster
verwenden oder über den Befehl „An Compressor“ einen Cluster auswählen, ist es nicht
mehr erforderlich, die Ausgangsdateien auf die Cluster-Computer zu kopieren. Dadurch
wird der Umcodierungsprozess wesentlich effizienter.
Verwenden der verteilten Verarbeitung mit Compressor
Sie können Geschwindigkeit und Produktivität erhöhen, indem Sie die Verarbeitung auf
mehrere Computer verteilen. Mit den Apple Qmaster-Funktionen von Compressor lässt
sich die Verarbeitungsgeschwindigkeit erhöhen, indem die Arbeiten verteilt, an die
Computer mit den meisten freien Ressourcen weitergeleitet und die Verarbeitung über
die jeweiligen Computer vorgenommen wird.
Umfassende Anleitungen zum Einrichten und Verwalten eines Apple Qmaster-Netzwerks
für die verteilte Verarbeitung finden Sie unter Apple Qmaster und die verteilte
Verarbeitung.
In diesem Abschnitt werden zwei spezielle Situationen behandelt, die Sie kennen sollten,
wenn Sie das Apple Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung mit Compressor
verwenden.
Auftragssegmentierung und 2-Pass-Codierung oder Multi-Pass-Codierung
Wenn Sie den 2-Pass- oder den Multi-Pass-Modus wählen und die verteilte Verarbeitung
aktiviert haben, müssen Sie sich möglicherweise zwischen schnellerer Verarbeitung und
höchstmöglicher Qualität entscheiden.
Das Apple Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung beschleunigt die Verarbeitung
dadurch, dass es die Arbeit auf mehrere Verarbeitungsknoten (Computer) verteilt. Dies
geschieht u. a. durch Aufteilen der Gesamtanzahl der Bilder in einem Auftrag in kleinere
Segmente. Jeder der Verarbeitungscomputer bearbeitet dann ein anderes Segment. Da
die Knoten parallel arbeiten, ist der Auftrag schneller erledigt als bei der Verarbeitung
auf nur einem Computer. Bei einer 2-Pass-VBR- oder Multi-Pass-Codierung wird jedoch
jedes Segment individuell behandelt. Daher enthält die Zuordnung der Bitrate, die im
ersten Durchgang für jedes einzelne Segment generiert wird, keine Informationen zu
Segmenten, die auf anderen Computern verarbeitet werden.
Versuchen Sie zuerst, die Codierungskomplexität Ihrer Ausgangsmedien einzuschätzen.
Entscheiden Sie dann, ob Sie die Auftragssegmentierung zulassen möchten oder nicht
(Feld „Auftragssegmentierung erlauben“ oben im Bereich „Codierer“). Wenn einfache und
komplexe Bereiche der Medien innerhalb der gesamten Ausgangsmediendatei gleichmäßig
verteilt sind, erzielen Sie die gleiche Qualität unabhängig davon, ob die Segmentierung
aktiv ist oder nicht. In diesem Fall ist es ratsam, die Segmentierung zuzulassen, um die
Verarbeitung zu beschleunigen.
144 Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von StapelnEs ist jedoch auch möglich, dass die komplexen Szenen innerhalb Ihrer
Ausgangsmediendatei ungleichmäßig verteilt sind. Angenommen, Sie haben einen
Sportbericht von zwei Stunden Länge. Während der ersten Stunde werden Interviews
gezeigt, sodass hauptsächlich die Köpfe der befragten Personen - also relativ statisches
Material - zu sehen sind. Im Gegensatz dazu wird in der zweiten Stunde der Wettkampf
selbst mit schnellen, actionreichen Szenen gezeigt. Wird nun dieses Ausgangsmaterial
gleichmäßig in zwei Segmente aufgeteilt, wäre es bei der Zuordnung der Bitrate nicht
möglich, dass das erste Segment einige seiner Bit für das zweite Segment „zur Verfügung
stellt“, da die Segmente auf unterschiedlichen Computern verarbeitet werden. Die Qualität
des komplexen zweiten Segments würde darunter leiden. Wenn Sie in diesem Fall die
höchstmögliche Qualität während des gesamten 2-stündigen Berichts sicherstellen
möchten, ist es sinnvoll, die Auftragssegmentierung nicht zuzulassen (durch Deaktivieren
des Markierungsfelds oben im Bereich „Codierer“). Hierdurch wird der Auftrag (und damit
auch die Zuordnung der Bitrate) auf nur einem Computer verarbeitet.
Hinweis: Das Feld „Auftragssegmentierung erlauben“ hat nur Auswirkungen auf die
Segmentierung einzelner Aufträge (Ausgangsdateien). Wenn Sie Stapel mit mehreren
Aufträgen übergeben, versucht das System für die verteilte Verarbeitung weiterhin, die
Verarbeitung zu beschleunigen, indem (unsegmentierte) Aufträge verteilt werden, auch
wenn die Auftragssegmentierung deaktiviert ist.
Weitere Informationen zur Codierung mit variabler Bitrate (VBR) finden Sie unter Bereich
„Qualität“. Zusätzliche Informationen zum Apple Qmaster-System für die verteilte
Verarbeitung finden Sie unter Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung.
Option „Dieser Computer und“ und nicht verwaltete Dienste
Mit der Compressor-Funktion „Dieser Computer und“ können Sie die Möglichkeiten der
verteilten Verarbeitung einfacher nutzen, die durch das Programm „Apple Qmaster“
angeboten werden. Diese Funktion setzt keine speziellen Kenntnisse hinsichtlich der
Konfiguration von Clustern, dem Einrichten der Dateifreigabe usw. voraus.
Das Verwenden der Option „Dieser Computer und“ ist ein zweistufiger Prozess:
• Zunächst muss Compressor installiert und für die Bereitstellung von Diensten für die
verteilte Verarbeitung konfiguriert werden. Dies muss auf jedem Computer erfolgen,
der zum „Dieser Computer und“-Cluster gehören soll.
• Anschließend muss die Option „Dieser Computer und“ markiert werden, wenn Sie einen
Compressor-Stapel zur Verarbeitung senden.
Hinweis: Sie müssen sich unter Umständen authentifizieren. Weitere Informationen
hierzu finden Sie unter Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung.
Diese zwei Schritte ermöglichen es Ihnen, sich die Verarbeitungsleistung einer beliebigen
Anzahl von Computern in Ihrem Netzwerk zunutze zu machen, ohne dass hierfür
zusätzliche Kenntnisse oder Aktivitäten erforderlich sind.
Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln 145Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Schneller Einstieg mit der Option „Dieser
Computer und“.
146 Kapitel 8 Fertigstellen von Aufträgen und Senden von StapelnSie können Compressor verwenden, um Audiomaterial im Format AIFF auszugeben.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Erstellen von AIFF-Ausgabedateien (S. 147)
• Bereich „Codierer“ für das Format „AIFF“ (S. 148)
• Dialogfenster „Toneinstellungen“ (S. 148)
• Sample-Größen und Abtastraten von QuickTime-Audiodateien (S. 150)
• Auswählen eines Audio-Codecs für die Verteilung (S. 150)
• Konfigurieren von AIFF-Einstellungen (S. 150)
Erstellen von AIFF-Ausgabedateien
Das Dateiformat „AIFF“ (Audio Interchange File Format) wurde von Apple zum Sichern
von Audiomaterial in hoher Qualität entwickelt. Es war ursprünglich für das DVD- und
CD-Authoring bestimmt und hat sich zu einem der gängigsten Audiodateiformate für
Mac OS entwickelt.
Hinweis: Wählen Sie nur dann die Option „AIFF“ aus dem Einblendmenü „Dateiformat“,
wenn Sie eine spezielle AIFF-Datei erstellen möchten. Wenn Sie eine standardmäßige
AIFF-Datei benötigen, wählen Sie die Option „Allgemeine Audioformate“.
147
Erstellen von AIFF-Dateien
9Bereich „Codierer“ für das Format „AIFF“
Die folgenden Optionen werden angezeigt, wenn Sie das Ausgabeformat „AIFF“ aus dem
Einblendmenü „Dateiformat“ im Bereich „Codierer“ des Fensters „Informationen“
auswählen.
File Extension field
QuickTime AIFF
Summary table
Click to open the Sound
Settings dialog.
Choose AIFF.
• Suffix: In diesem Feld wird automatisch die AIFF-Dateierweiterung (.aiff) angezeigt,
nachdem das AIFF-Ausgabeformat aus dem Einblendmenü „Dateiformat“ oder dem
Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) im Bereich „Voreinstellungen“ ausgewählt wurde.
Dieses Feld darf nicht geändert werden.
• Auftragssegmentierung erlauben: Durch Klicken auf dieses Feld können Sie die
Segmentierung von Aufträgen aktivieren bzw. deaktivieren. Da die
Auftragssegmentierung bei der Codierung von reinem Audiomaterial nicht verwendet
wird, ist dieses Feld bei Dateien im AIFF-Format nicht aktiv. Weitere Informationen
hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und 2-Pass-Codierung oder
Multi-Pass-Codierung.
• Voreinstellungen: Wenn Sie auf diese Taste klicken, wird das Dialogfenster mit den
QuickTime-Toneinstellungen geöffnet. Wählen Sie in diesem Dialogfenster geeignete
Audio-Codecs aus und ändern Sie weitere Einstellungen für die Audiokomprimierung.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Dialogfenster „Toneinstellungen“.
• QuickTime-AIFF-Zusammenfassung: In dieser Übersicht werden detaillierte Informationen
zu dieser Voreinstellung angezeigt.
Dialogfenster „Toneinstellungen“
In diesem Dialogfenster können Sie die Einstellungen für die Audiokomprimierung sowohl
für das QuickTime- als auch für das AIFF-Ausgabeformat anpassen. Klicken Sie im Bereich
„Codierer“ (für AIFF oder QuickTime) auf die Taste „Einstellungen“, um das Dialogfenster
zu öffnen.
148 Kapitel 9 Erstellen von AIFF-DateienWenn eine bestimmte Audioeinstellung nicht geändert werden kann, wird sie grau
angezeigt. Einige Audio-Codecs erlauben Ihnen, zusätzliche Einstellungen vorzunehmen,
die in der unteren Hälfte des Dialogfensters „Toneinstellungen“ angezeigt werden. In
bestimmten Fällen steht auch die Taste „Optionen“ zur Verfügung. Klicken Sie auf diese
Taste, um zusätzliche Änderungen vorzunehmen.
Choose the number
of channels (the
selection varies based
on the codec).
Choose a rate that
provides the quality
and file size required.
Choose an audio codec.
Format-specific settings
based on the codec
Abhängig von dem aus dem Einblendmenü „Format“ ausgewählten Audio-Codec enthält
das Dialogfenster „Toneinstellungen“ die folgenden Elemente:
• Format: Wählen Sie aus diesem Einblendmenü den Audio-Codec aus, den Sie zu Ihrer
Voreinstellung hinzufügen wollen.
• Kanäle: In Abhängigkeit vom ausgewählten Codec können Sie hier den gewünschten
Kanalausgangstyp wie Mono, Stereo oder einen bestimmten Mehrkanalausgang
auswählen.
• Rate: Wählen Sie die gewünschte Abtastrate für Ihre Mediendatei aus. Mit einer höheren
Abtastrate erzielen Sie eine bessere Audioqualität, allerdings wird die Datei entsprechend
größer. Das Laden einer größeren Datei nimmt mehr Zeit in Anspruch. Zudem wird
auch mehr Bandbreite benötigt.
• Erweiterte Einstellungen einblenden: Dieses Feld wird grau angezeigt, wenn der Codec,
den Sie aus dem Einblendmenü „Format“ ausgewählt haben, keine weiteren Optionen
anbietet. Wenn Sie weitere Informationen über Zusatzoptionen für Codecs benötigen,
wenden Sie sich bitte direkt an die Hersteller der betreffenden Codecs.
Kapitel 9 Erstellen von AIFF-Dateien 149Sample-Größen und Abtastraten von QuickTime-Audiodateien
Wenn Sie über ausreichenden Festplattenspeicher und ausreichende Bandbreite verfügen,
sollten Sie Ihr Audiomaterial nicht komprimieren. Für nicht komprimiertes Audiomaterial
werden in der Regel Abtastraten von 8 Bit (Telefon-Qualität) oder 16 Bit (CD-Qualität)
verwendet. Compressor unterstützt bis zu 64 Bit pro Sample (Floating Point) und eine
maximale Abtastrate von 192 kHz.
Auswählen eines Audio-Codecs für die Verteilung
MPEG-4 Audio (AAC) ist ein für allgemeine Zwecke geeigneter Audio-Codec, der mit einer
Vielzahl von Wiedergabegeräten kompatibel ist. Für langsamere Computer sollten Sie
weniger stark komprimierte Formate wie IMA oder völlig unkomprimierte Formate wie
AIFF auswählen, da diese weniger Prozessorleistung erfordern und somit mehr
Verarbeitungskapazität für den anspruchsvolleren Videostream zur Verfügung steht.
Konfigurieren von AIFF-Einstellungen
Wenn Sie AIFF als Ausgabeformat auswählen, können Sie ausschließlich Audioeinstellungen
festlegen (da dieses Format nur Audiomaterial unterstützt). Wenn Sie einen Audio-Codec
zu Ihrer AIFF-Voreinstellung hinzufügen wollen, öffnen Sie das Dialogfenster mit den
Audioeinstellungen und legen Sie die Einstellungen für Ihren Audio-Codec fest.
Voreinstellung mit dem AIFF-Audio-Codec erstellen
1 Führen Sie im Bereich „Voreinstellungen“ einen der folgenden Schritte aus:
• Stellen Sie sicher, dass die korrekte Voreinstellung ausgewählt ist.
• Erstellen Sie eine neue Voreinstellung, indem Sie „AIFF“ aus dem Einblendmenü
„Hinzufügen“ (+) auswählen.
2 Klicken Sie im Bereich „Codierer“ auf „Einstellungen“.
150 Kapitel 9 Erstellen von AIFF-DateienDas Dialogfenster „Toneinstellungen“ wird geöffnet.
Choose an audio codec
from the Format
pop-up menu.
3 Wählen Sie einen Audio-Codec aus dem Einblendmenü „Format“ aus. Akzeptieren Sie
entweder die Standardeinstellungen oder passen Sie die anderen Einstellungen (Format,
Kanäle, Rate und, falls verfügbar, erweiterte Einstellungen) entsprechend an. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Dialogfenster „Toneinstellungen“.
Hinweis: Sie können den aktuellen Inhalt Ihrer Voreinstellung detailliert in der
QuickTime-AIFF-Übersicht im Bereich „Codierer“ ansehen.
4 Klicken Sie auf „OK“, um Ihre Einstellungen zu sichern, und schließen Sie dieses
Dialogfenster.
Kapitel 9 Erstellen von AIFF-Dateien 151Sie können diese Voreinstellung verwenden, um Audiomaterial auf einfache Weise in
mehreren gängigen Audioformaten auszugeben.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Erstellen von Dateien für gängige Audioformate (S. 153)
• Bereich „Allgemeine Audioformate“ (S. 154)
• Konfigurieren der Voreinstellung „Allgemeine Audioformate“ (S. 155)
Erstellen von Dateien für gängige Audioformate
Mit der Voreinstellung „Allgemeine Audioformate“ können auf einfache Weise
Audiodateien in den folgenden Formaten erstellt werden:
• AIFF: Das Dateiformat „AIFF“ (Audio Interchange File Format) wurde von Apple zum
Sichern von Audiomaterial in hoher Qualität entwickelt. Es war ursprünglich für das
DVD- und CD-Authoring bestimmt und hat sich zu einem der gängigsten
Audiodateiformate für Mac OS entwickelt.
Hinweis: Verwenden Sie diese Option zum Erstellen standardmäßiger AIFF-Dateien.
Wählen Sie die Option „AIFF“ aus dem Einblendmenü „Dateiformat“, wenn Sie eine
spezielle AIFF-Dateien erstellen möchten.
• Apple CAF-Datei: Das von Apple entwickelte Format „Apple CAF“ (Core Audio Format)
ist leistungsstark und flexibel. Es lässt sich für die Aufzeichnung, Bearbeitung und
Wiedergabe von zukünftigem Ultra-High-Resolution-Audio skalieren. Das Format „Apple
CAF“ unterstützt Dateien beliebiger Größe sowie eine breite Palette von Metadaten.
• WAVE: Das Format „WAVE“ (WAVEform-Audiodateiformat) wird hauptsächlich auf
Windows-Computern verwendet.
153
Erstellen von Dateien für gängige
Audioformate 10Bereich „Allgemeine Audioformate“
Die folgenden Optionen werden angezeigt, wenn Sie das Ausgabeformat „Allgemeine
Audioformate“ aus dem Einblendmenü „Dateiformat“ im Bereich „Codierer“ des Fensters
„Informationen“ auswählen.
The Automatic button
• Suffix: In diesem Feld wird das Dateisuffix angezeigt, nachdem Sie ein Audioformat aus
dem Einblendmenü „Dateityp“ ausgewählt haben.
• Feld „Auftragssegmentierung erlauben“: Durch Klicken auf dieses Feld können Sie die
Segmentierung von Aufträgen aktivieren bzw. deaktivieren. Da die
Auftragssegmentierung bei der Codierung von reinem Audiomaterial nicht verwendet
wird, ist dieses Feld bei Dateien mit dem Dateiformat „Allgemeine Audioformate“ nicht
aktiv. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und
2-Pass-Codierung oder Multi-Pass-Codierung.
• Dateityp: Wählen Sie den Audiodateityp, der erstellt werden soll.
• Automatisch: Ist die Taste „Automatisch“ aktiviert, bestimmt Compressor die Anzahl
der Kanäle, die Abtastrate und die Bit-Tiefe anhand der Ausgangsdatei und die
Einblendmenüs „Anordnung der Kanäle“, „Abtastrate“ und „Bit-Tiefe“ sind deaktiviert.
Ist die Taste „Automatisch“ nicht aktiviert, können Sie diese Einstellungen manuell
konfigurieren.
• Anordnung der Kanäle: Wählen Sie die Anzahl der Kanäle (Mono, Stereo oder 5.1).
• Abtastrate: Wählen Sie eine der verfügbaren Abtastraten (32000, 44100, 48000 oder
96000).
• Bit-Tiefe: Wählen Sie einen der verfügbaren Werte für die Bit-Tiefe (16, 24 oder 32).
154 Kapitel 10 Erstellen von Dateien für gängige AudioformateKonfigurieren der Voreinstellung „Allgemeine Audioformate“
Wenn Sie „Allgemeine Audioformate“ als Ausgabeformat auswählen, können Sie
ausschließlich Audioeinstellungen festlegen (da dieses Format nur Audiomaterial
unterstützt).
Voreinstellung „Allgemeine Audioformate“ erstellen
1 Führen Sie im Bereich „Voreinstellungen“ einen der folgenden Schritte aus:
• Stellen Sie sicher, dass die korrekte Voreinstellung ausgewählt ist.
• Erstellen Sie eine neue Voreinstellung, indem Sie „Allgemeine Audioformate“ aus dem
Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) auswählen.
2 Wählen Sie ein Audioformat aus dem Einblendmenü „Dateityp“ im Bereich „Codierer“ für
das Format „Allgemeine Audioformate“.
3 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Klicken Sie auf die Taste „Automatisch“, um diese zu aktivieren. Daraufhin werden die
Einstellungen in den Einblendmenüs „Anordnung der Kanäle“, „Abtastrate“ und
„Bit-Tiefe“ von Compressor automatisch konfiguriert.
• Klicken Sie auf die Taste „Automatisch“, um diese zu deaktivieren, und konfigurieren
Sie die Einstellungen in den Einblendmenüs „Anordnung der Kanäle“, „Abtastrate“ und
„Bit-Tiefe“ manuell.
Kapitel 10 Erstellen von Dateien für gängige Audioformate 155Compressor stellt Ihnen die Werkzeuge bereit, die Sie zum Erstellen von DV-Dateien
benötigen.
Aufgrund seiner geringen Kosten und der breiten Akzeptanz ist das digitale Videoformat
äußerst beliebt für die Videoaufnahme und -ausgabe in Standard Definition (SD).
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Bereich „Codierer“ für das Format „DV-Stream“ (S. 157)
• Arbeitsablauf beim Umcodieren in das DV-Format (S. 158)
Bereich „Codierer“ für das Format „DV-Stream“
Dieser Abschnitt enthält ausführliche Informationen über die verschiedenen Einstellungen
innerhalb des Bereichs „Codierer“ für das Format „DV-Stream“ im Fenster „Informationen“.
Sie legen die DV-Einstellungen fest, indem Sie entweder eine vorhandene Voreinstellung
ändern oder eine neue Voreinstellung im Bereich „Voreinstellungen“ erstellen.
The Automatic buttons
for the Format, Aspect
Ratio, and Field
Order values
157
Erstellen von Ausgabedateien im
Format „DV-Stream“ 11Der Bereich „Codierer“ für das Format „DV-Stream“ enthält folgende Einstellungen:
• Suffix: In diesem Feld wird automatisch die DV-Dateierweiterung (.dv) angezeigt,
nachdem das DV-Stream-Ausgabeformat aus dem Einblendmenü „Dateiformat“ oder
dem Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) im Bereich „Voreinstellungen“ ausgewählt wurde.
• Auftragssegmentierung erlauben: Durch Klicken auf dieses Feld können Sie die
Segmentierung von Aufträgen aktivieren bzw. deaktivieren. Weitere Informationen
hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und 2-Pass-Codierung oder
Multi-Pass-Codierung.
• Format: Wählen Sie entweder „NTSC“ oder „PAL“ als Format für das Videoausgabe.
• Seitenverhältnis: Wählen Sie entweder „16:9“ oder „4:3“ als Seitenverhältnis für die
Videoausgabe.
Hinweis: Das Seitenverhältnis 16:9 verwendet anamorphotisches Video.
• Halbbilddominanz: Wählen Sie „Unteres Halbbild zuerst“ (obligatorisch für
DV-Videomaterial mit Zeilensprungverfahren; Interlacing) bzw. „Progressiv“ für
Ausgangsmedien mit progressivem Abtastverfahren.
Arbeitsablauf beim Umcodieren in das DV-Format
Wie Sie Compressor verwenden, um Ihr Videomaterial in Dateien im Format „DV-Stream“
umzucodieren, hängt von der geplanten Verwendung der Dateien ab. Die grundlegenden
Schritte sind nachfolgend aufgeführt.
Schritt 1: Erstellen eines Stapels
Wie bei jeder anderen Umcodierung beginnen Sie, indem Sie einen Stapel erstellen.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Vorbereiten von Compressor zur
Umcodierung mit eigenen Voreinstellungen.
Schritt 2: Erstellen von Aufträgen mit den Ausgangsvideodateien
Importieren Sie die Ausgangsvideodateien. Bewegen Sie dazu entweder die
entsprechenden Dateien aus dem Finder in den Stapel oder verwenden Sie den Befehl
„Auftrag“ > „Neuer Auftrag mit Datei“.
Schritt 3: Hinzufügen von Zielen zu allen Aufträgen mithilfe einer DV-Voreinstellung
Jeder Auftrag muss mindestens ein Ziel haben, in diesem Fall benötigen die Aufträge
Ziele mit einer DV-Stream-Voreinstellung. Sind mehrere Aufträge vorhanden, ist es am
einfachsten, wenn Sie alle Aufträge auswählen. Wählen Sie hierzu „Bearbeiten“ > „Alles
auswählen“ und anschließend „Ziel“ > „Neues Ziel mit Voreinstellung“, um dieselbe
Voreinstellung auf alle Aufträge anzuwenden.
Schritt 4: Senden des Stapels zum Umcodieren
Klicken Sie auf die Taste „Senden“, um den Umcodierungsprozess zu starten. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Senden eines Stapels.
158 Kapitel 11 Erstellen von Ausgabedateien im Format „DV-Stream“Compressor stellt die Werkzeuge bereit, die Sie brauchen, um Audiodateien im Format
„Dolby Digital Professional“ (AC-3) zu codieren bzw. im Stapel zu codieren.
Das Format „Dolby Digital Professional“ (auch AC-3 genannt) ist ein sehr gängiges
komprimiertes Audioformat für DVDs. Compressor akzeptiert Mehrkanal-Audiodateien
und gibt Ihnen umfassende Kontrolle über den AC-3-Codierungsprozess. Dolby
Digital-Projekte können 5.1-Kanal-Surround-Sound mit fünf eigenständigen Kanälen
(Links, Mitte, Rechts, Links Surround und Rechts Surround) sowie einen sechsten Kanal
für Tieffrequenz-Effekte (LFE, auch als „Subwoofer“ bezeichnet) bereitstellen. Eine weitere
Surround-Option ist „Dolby Surround“ mit vier Kanälen (Links, Mitte, Rechts, Surround).
Aber nicht jedes AC-3-Audiomaterial bietet 5.1-Surround-Sound. Dolby Digital Professional
wird in der Regel verwendet, um Stereodateien zu codieren und ihre Dateigröße stark zu
reduzieren.
Weitere Informationen zur Erstellung von Surround-Sound-Audiodateien mit anderen
Ausgabeformaten erhalten Sie unter Hinzufügen von Surround-Sound-Ausgangsmedien
zu Stapeln.
Hinweis: Beachten Sie, dass Compressor nicht in der Lage ist, Stereo-Audiodateien in
5.1-Surround-Sound umzuwandeln. Wenn Sie eine 5.1-Surround-Sound Audiodatei im
AC-3-Format erstellen möchten, müssen Sie zuerst die erforderlichen sechs Audiokanäle
erstellen. Hierfür müssen andere Programme außerhalb von Compressor verwendet
werden.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Bereich „Codierer“ für das Format „Dolby Digital Professional“ (S. 160)
• Allgemeine Informationen über das Erstellen von Dolby Digital Professional-Dateien
(S. 166)
• Umwandeln von Stereo-Audiodateien in das Format „Dolby Digital Professional „ (S.
168)
• Zuweisen von Dateien zu Surround-Sound-Kanälen (manuelle Methode) (S. 169)
• Zuweisen von Dateien zu Surround-Sound-Kanälen (automatische Methoden) (S. 171)
• Zuweisen von Dateien zu Surround-Sound-Kanälen mithilfe von Droplets (S. 174)
159
Erstellen von Ausgabedateien im
Format „Dolby Digital
Professional“
12• Optionen für räumliches Mischen (S. 174)
Bereich „Codierer“ für das Format „Dolby Digital Professional“
Dieser Abschnitt enthält ausführliche Informationen zu den Titeln, die im Bereich „Codierer“
für das Format „Dolby Digital Professional“ des Fensters „Informationen“ verfügbar sind.
Alle Einstellungen für das Format „Dolby Digital Professional“ werden in den nachfolgend
beschriebenen Bereichen vorgenommen. Dabei können Sie sowohl eine vorhandene
Voreinstellung ändern, als auch eine neue Voreinstellung im Bereich „Voreinstellungen“
erstellen. Der Bereich „Codierer“ für das Format „Dolby Digital Professional“ wird
standardmäßig mit dem Bereich „Audio“ im Vordergrund geöffnet. Der Bereich enthält
die folgenden Elemente: grundlegende Einstellungen, Einstellungen im Bereich „Audio“,
Einstellungen im Bereich „Bit-Stream“ und Einstellungen im Bereich „Vorbearbeitung“.
Grundlegende Einstellungen
Mit den folgenden grundlegenden Einstellungen können Sie einen Auftrag oder Stapel
für Dolby Digital Professional (AC-3) erstellen.
• Suffix: Dieses Feld zeigt das Dolby Digital Professional-Suffix (.ac3) automatisch an,
nachdem das Ausgabeformat „Dolby Digital Professional“ aus dem Einblendmenü
„Dateiformat“ oder aus dem Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) im Bereich
„Voreinstellungen“ ausgewählt wurde.
• Auftragssegmentierung erlauben: Durch Klicken auf dieses Feld können Sie die
Segmentierung von Aufträgen aktivieren bzw. deaktivieren. Da die
Auftragssegmentierung bei der Codierung von reinem Audiomaterial nicht verwendet
wird, ist dieses Feld bei Dateien im Dolby Digital Professional-Format nicht aktiv. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und 2-Pass-Codierung
oder Multi-Pass-Codierung.
160 Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“• Audio, Bit-Stream und Vorbearbeitung: Wenn Sie auf diese Titel klicken, öffnen Sie die
Fensterbereiche „Audio“, Bit-Stream“ und „Vorbearbeitung“, die nachfolgend beschrieben
werden.
Einstellungen im Bereich „Audio“
Die wichtigsten Einstellungen für Dolby Digital Professional sind unter „Audio“ verfügbar.
• Zielsystem: Compressor bietet nur Einstellungen an, die für das Zielsystem geeignet
sind. Wenn Sie für die Verwendung mit DVD Studio Pro codieren, wählen Sie „DVD
Video“. Wählen Sie „DVD-Audio“ nur dann, wenn Sie für die Verwendung mit einem
Authoring-Programm für DVD-Audio codieren. Sollen zusätzliche Einstellungen verfügbar
sein, können Sie „Allgemeines AC-3“ auswählen.
• Audio-Codierungsmodus: Hier werden die Audiokanäle des codierten Streams
angegeben. Darüber hinaus verfügt diese Einstellung über eine Taste zur Aktivierung
des automatischen Modus.
The Audio Coding Mode
Automatic button
Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“ 161Beispielsweise steht „3/2 (L, C, R, Ls, Rs)“ für die drei vorderen Kanäle (Links, Mitte,
Rechts) und die zwei hinteren Kanäle (Surround). “2/0 (L, R)“ ist eine standardmäßige
Stereodatei. Der Audio-Codierungsmodus hat Auswirkungen auf Einstellungen wie die
verfügbare Bandbreite und die Surround-Kanal-Vorverarbeitung. Wenn Sie auf die Taste
„Automatisch“ (neben dem Einblendmenü „Audio-Codierungsmodus“) klicken, wählt
Compressor auf der Basis der verfügbaren Ausgangsaudiodateien den am besten
geeigneten Audio-Codierungsmodus aus.
3/1 channels 3/0 channels
2/2 channels 2/1 channels 2/0 channels 1/0 channels
(LFE option not available) (LFE option not available)
3/2 channels
L C
LFE
LFE LFE
LFE LFE
LFE LFE
R
Ls Rs
L R
Ls Rs
L R L R
S
L C R
S
L C
C
R
Hinweis: Im Einblendmenü „Audio-Codierungsmodus“ steht „S“ für einen einzelnen
hinteren „Surround“-Kanal. „LFE“ in dieser Abbildung bedeutet „Tieffrequenz-Effekte“
(“Low Frequency Effects“, auch „Subwoofer“ genannt). Weitere Informationen hierzu
finden Sie unter Zuweisen von Dateien zu Surround-Sound-Kanälen (manuelle Methode)
and Zuweisen von Dateien zu Surround-Sound-Kanälen (automatische Methoden).
• Tieffrequenz-Effekte: Markieren Sie dieses Feld, um den LFE-Kanal in den codierten
Stream aufzunehmen (nicht verfügbar für 1/0 Mono oder 2/0 Stereo).
• Abtastrate: Hier wird die Abtastrate angegeben. Alle für das Video- und
Audio-DVD-Authoring vorgesehenen Dateien müssen gemäß DVD-Spezifikation eine
Abtastrate von 48 kHz aufweisen. Abtastraten von 32 kHz und 44,1 kHz sind nur möglich,
wenn für das Zielsystem „Allgemeines AC-3“ eingestellt ist.
162 Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“• Datenrate: Die Auswahlmöglichkeiten richten sich nach dem Codierungsmodus und
dem Zielsystem. Je höher die Rate ist, desto besser ist die Qualität. AC-3-Streams besitzen
eine konstante Datenrate. Bei 448 kBit/s (der Standard für die 5.1-Codierung) belegt
eine Minute AC-3-Audiomaterial etwa 3,3 MB Speicherplatz. Mit Raten von 192 kBit/s
und 224 kBit/s, die bei der Stereocodierung typisch sind, werden in der Regel gute
Resultate erzielt.
• Bit-Stream-Modus: Gibt den Zweck des codierten Audiomaterials an. Diese Information
ist im fertiggestellten Datenstrom enthalten und kann von einigen
Decodierungssystemen gelesen werden.
• Dialog-Normalisierung: Gibt die durchschnittliche Lautstärke des Dialogs in Ihren
Audiodateien in dBFS (Dezibel Full Scale) an (relativ zur Vollaussteuerung). Das
Wiedergabegerät verwendet diese Informationen, um eine ähnliche Lautstärke bei
verschiedenen AC-3-Datenströmen zu erhalten. Ziel ist es, für alle AC-3-codierten
Audiodateien unabhängig von der Ausgangsdatei dieselbe Hörlautstärke zu erreichen.
Die korrekte Verwendung der Funktion „Dialog-Normalisierung“ ist besonders dann
wichtig, wenn Sie verschiedene Audiodateien (mit unterschiedlichen Lautstärkepegeln)
auf einer DVD verwenden wollen. Wenn Ihnen die durchschnittlichen Pegel der
einzelnen Dateien bekannt sind, geben Sie für jede Datei die entsprechenden Zahlen
im Feld „Dialog-Normalisierung“ ein. Liegt beispielsweise der Durchschnittspegel eines
Dialogs in einer Final Cut Pro-Sequenz bei ca. –12 dB (abgelesen in der
Audiopegelanzeige), geben Sie im Feld „Dialog-Normalisierung“ den Wert „–12“ ein.
Hinweis: Diese Normalisierung bezieht sich auf die Audio-Streams auf der DVD. Sie
wirkt sich nicht innerhalb des jeweiligen Audio-Streams selbst aus. Für solche
Normalisierungen verwenden Sie bitte ein Audioschnittsystem. Sie können Werte im
Bereich zwischen –1 dBFS und –31 dBFS eingeben. Die Differenz zwischen dem Wert,
den Sie eingeben, und 31 dBFS (was der normalen Hörlautstärke für Dialoge entspricht)
bestimmt den Umfang der Dämpfung für das Ausgangsaudiomaterial.
• Wenn Sie –31 dBFS eingeben: beträgt die Dämpfung 0 dB (31 dBFS–31 dBFS), d. h.,
die Lautstärke des Ausgangsaudiomaterials bleibt unverändert.
• Wenn Sie –27 dBFS eingeben: beträgt die Dämpfung 4 dB (31 dBFS–27 dBFS).
• Wenn Sie –12 dBFS eingeben: beträgt die Dämpfung 19 dB (31 dBFS–12 dBFS).
Je lauter die Ausgangsdatei, desto geringer ist der Wert, den Sie eingeben, und desto
größer ist die Dämpfung des Audiomaterials in der codierten Datei bei der Wiedergabe.
Wenn Ihnen der Audiopegel der Ausgangsdatei nicht bekannt ist oder Sie aus einem
anderen Grund sicherstellen möchten, dass sich der Codierer für das Format „Dolby
Digital Professional“ nicht auf die Lautstärkepegel auswirkt, geben Sie –31 als Wert für
die Dialog-Normalisierung ein und wählen Sie im Einblendmenü „Komprimierung“ (im
Bereich „Vorbearbeitung“) die Option „Ohne“ aus.
Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“ 163Wichtig: Die korrekte Einstellung für die Dialog-Normalisierung ist eine wichtige
Voraussetzung, falls Sie beabsichtigen, eine der Komprimierungsoptionen zu verwenden.
Die Optionen für „Komprimierung“ basieren auf der Annahme, dass das Audiomaterial
nach der Dialog-Normalisierung eine normale Hörlautstärke von 31 dBFS hat. Liegen
die Pegel konstant darüber, hat dies eine Verzerrung des Tons und starke
Lautstärkeschwankungen zur Folge.
Einstellungen im Bereich „Bit-Stream“
Diese Einstellungen werden im fertiggestellten Stream gespeichert und werden vom
Wiedergabegerät benötigt. Verwenden Sie die Standardwerte, es sei denn, der Wert muss
aus technischen Gründen geändert werden.
• Mitte abmischen, Surround abmischen: Wenn Ihr codiertes Audiomaterial über diese
Kanäle verfügt, der Player jedoch nicht, werden die Kanäle in der Stereoausgabe mit
der angegebenen Lautstärke abgemischt.
• Dolby Surround-Modus: Bei der Codierung im Modus „2/0“ (Stereo) gibt dieser Wert an,
ob das Signal „Dolby Surround“ (Pro Logic) verwendet.
• Copyright vorhanden: Markieren Sie dieses Feld, um anzugeben, dass für dieses
Audiomaterial ein Copyright existiert.
• Inhalt ist das Original: Markieren Sie dieses Feld, um anzugeben, dass dieses
Audiomaterial von der Originalquelle stammt und keine Kopie ist.
• Audio-Produktionsinformationen: Markieren Sie dieses Feld und füllen Sie die Felder
unten aus, um anzugeben, wie die codierten Audioinhalte abgemischt wurden. Die
Wiedergabegeräte können diese Informationen verwenden, um die
Ausgabeeinstellungen anzupassen.
• Spitzen-Mix Pegel: Dieser Wert gibt den Spitzenschalldruckpegel (SPL) (zwischen 80
dB und 111 dB) in der Produktionsumgebung an, in der dieser Mix gemastert wurde.
• Raumart: Hier können Angaben zum Aufnahmeraum ausgewählt werden.
164 Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“Einstellungen im Bereich „Vorbearbeitung“
Die Optionen für die Vorbearbeitung werden vor der Codierung auf die Audiodaten
angewendet. Mit Ausnahme der Einstellung für „Komprimierung“ sollten Sie für alle
Einstellungen die Standardwerte verwenden, es sei denn, die Werte müssen aus
technischen Gründen geändert werden.
Komprimierung
• Komprimierung: Hier wird einer der in das Format „AC-3“ integrierten Verarbeitungsmodi
für dynamische Bereiche ausgewählt. Der Standardwert „Film, Standardkomprimierung“
sollte nur verwendet werden, wenn Sie einen für das Kino vorgesehenen Originalmix
codieren. In den meisten Fällen ist „Ohne“ der geeignete Wert.
Wichtig: Die korrekte Einstellung für die Dialog-Normalisierung im Bereich „Audio“ ist
eine wichtige Voraussetzung, falls Sie beabsichtigen, eine dieser Optionen für die
Komprimierung zu verwenden. Die Optionen für „Komprimierung“ basieren auf der
Annahme, dass das Audiomaterial nach der Dialog-Normalisierung eine normale
Hörlautstärke von 31 dBFS hat. Liegen die Pegel konstant darüber, hat dies eine
Verzerrung des Tons und starke Lautstärkeschwankungen zur Folge.
Hinweis: Wenn Sie eine Surround-Sound-DVD im Format „Dolby Digital Professional
5.1“ erstellen, verwenden Sie die Einstellung „Film, Standardkomprimierung“.
Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“ 165Allgemein
• Digitale Rückentzerrung: Gibt an, ob die Eingabeaudiodaten vorverzerrt wurden und
vor der Codierung entsprechend rückentzerrt werden müssen.
LFE-Kanal
• Low-Pass-Filter: Markieren Sie dieses Feld, um einen 120-Hz-Tiefpass-Filter auf den
LFE-Kanal (Tieffrequenz-Effekte) anzuwenden. Deaktivieren Sie diesen Filter, wenn das
in den LFE-Kanal eingespeiste Signal keine Informationen über 120 Hz enthält.
Kanal mit voller Bandbreite
• Low-Pass-Filter: Markieren Sie dieses Feld, um einen Tiefpass-Filter mit einer Eckfrequenz
(Cutoff-Frequenz) nahe der verfügbaren Bandbreite zu aktivieren, der auf die
Haupteingangskanäle angewendet wird. Wenn das digitale Signal, das in die
Haupteingangskanäle eingespeist wird, keine Informationen oberhalb der verfügbaren
Bandbreite enthält, können Sie diesen Filter deaktivieren. Compressor bestimmt die
verfügbare Bandbreite in diesem Fall automatisch.
• DC-Filter: Markieren Sie dieses Feld, um einen DC-Hochpass-Filter für alle Eingangskanäle
zu aktivieren und auf einfache Weise einen Gleichspannungsversatz (DC-Offset) zu
entfernen. Abgemischtes Audiomaterial enthält jedoch meistens keinen
Gleichspannungsversatz mehr.
Surround-Kanäle
• 90º Phasenverschiebung: Markieren Sie dieses Feld, um Mehrkanal-AC-3-Streams zu
generieren, die in einem externen 2-Kanal-Decodierer abgemischt werden können, um
eine echte Dolby Surround-kompatible Ausgabe zu erzeugen.
• 3 dB Abschwächung: Markieren Sie dieses Feld, um auf die Surround-Kanäle eines
Mehrkanal-Filmsoundtracks, der in ein Heimkinoformat konvertiert werden soll, eine
Dämpfung um 3 dB anzuwenden. Kino-Surround-Kanäle werden relativ zu den vorderen
Kanälen um 3 dB höher „hot“ abgemischt, um Verstärkereffekte im Kino zu
kompensieren.
Allgemeine Informationen über das Erstellen von Dolby Digital
Professional-Dateien
Die folgenden Abschnitte gehen auf einige Punkte ein, die Sie beim Konfigurieren und
Codieren von Dolby Digital Professional AC-3-Dateien berücksichtigen sollten.
Ausgangsmediendateien
Es gibt einige Richtlinien, die Sie beachten sollten, wenn Sie Ihre Ausgangsmediendateien
in Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“ umwandeln.
166 Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“Eine Datei enthält je nach Format einen einzigen Kanal (mono), zwei Kanäle (stereo) oder
mehrere Kanäle. Compressor unterstützt Dolby Digital Professional in allen diesen
Konfigurationen.
Audiodateien für die Dolby Digital Professional-Codierung müssen den folgenden Regeln
entsprechen:
• Alle Ausgangsdateien sollten gleich lang sein. (Ist das nicht der Fall, so passt Compressor
die Länge des AC-3-Streams an die Länge der längsten Datei an.)
• Alle Dateien müssen eine Abtastfrequenz von 48 kHz aufweisen (DVD-Spezifikation).
• AC-3 Streams müssen ein Mehrfaches von 1536 Samples aufweisen. Ist dies bei den
ausgewählten Eingangsdateien nicht der Fall, fügt Compressor am Ende der Dateien
„digitale Stille“ hinzu.
Hinweis: Compressor unterstützt beliebige Arten von Ausgangsdateien, die
Surround-Sound und hochauflösendes Audio mit bis zu 64 Bit pro Sample (Floating Point)
und Abtastfrequenzen von bis zu 192 kHz enthalten.
Vorschau der Codierungseinstellungen
Es ist nicht möglich, eine Vorschau der Einstellungen, die Sie im Bereich „Codierer“ für
das Format „Dolby Digital Professional“ festgelegt haben, anzuzeigen. Wenn Sie ein
externes Surround-Sound-Gerät an den USB-, FireWire- oder anderen Ausgang Ihres
Computers angeschlossen haben, können Sie sich zwar das den verschiedenen Kanälen
zugewiesene Audiomaterial anhören. Einstellungen, die Sie zum Beispiel zur
Dialog-Normalisierung oder zur Komprimierung definiert haben, werden dabei jedoch
nicht berücksichtigt.
Wichtig: Da die Audioausgabe nicht im Format „Dolby Digital“ erfolgt, kann der optische
Ausgang nicht verwendet werden, um das Audiomaterial zu prüfen, das den einzelnen
Kanälen zugewiesen ist.
Die einzige Möglichkeit, die Einstellungen zu prüfen, besteht darin, den Stapel zu senden
und sich das Ergebnis anzuhören. Wenn Sie sich nicht sicher sind, welche Einstellungen
Sie wählen sollen, codieren Sie mithilfe des Fensters „Vorschau“ zum Testen zunächst
einen kurzen Abschnitt des Ausgangsmaterials.
Sie können eine AC-3-Datei als Ausgangsmediendatei in einen Compressor-Stapel
importieren. Compressor beinhaltet einen integrierten Dolby Digital-Decodierer, der zum
Decodieren von AC-3-Dateien verwendet wird. Dieser Decodierer wendet die von Ihnen
vorgenommenen Einstellungen im Bereich „Codierer“ für das Format „Dolby Digital
Professional“ korrekt an. Somit können Sie sich deren Effekte anhören, ohne dass Sie dafür
einen externen Dolby Digital-Decodierer benötigen. Sie haben auch die Möglichkeit, die
AC-3-Dateien in ein anderes Format umzucodieren.
Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“ 167Hinweis: In Surround-Sound aufgenommene AC-3-Dateien werden auf Stereo abgemischt,
wenn an den Computer kein externes Surround-Sound-System angeschlossen ist.
Umwandeln von Stereo-Audiodateien in das Format „Dolby
Digital Professional „
Führen Sie die nachfolgend beschriebenen Schritte aus, um eine
Stereo-Ausgangsmediendatei in einen Stereo-Stream (2/0 L,R) im Format „Dolby Digital
Professional“ (AC-3) umzuwandeln.
AC-3-Stream codieren
1 Fügen Sie Ausgangsaudiodateien zum Fenster „Stapel“ hinzu. (Weitere Informationen
hierzu finden Sie unter Importieren von Ausgangsmedien).
2 Sichern Sie den Stapel, indem Sie „Ablage“ > „Sichern unter“ wählen (oder die
Tastenkombination „Befehl-Umschalt-S“ drücken). Geben Sie dann einen Namen für den
Stapel an, wählen Sie einen Speicherort und klicken Sie auf „Sichern“.
3 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus, um die passende Apple-Voreinstellung aus
der Kategorie „Dolby Digital Professional“ auf die Ausgangsaudiodatei anzuwenden:
• Wählen Sie „Ziel“ > „Neues Ziel mit Voreinstellung“. Wählen Sie eine Voreinstellung aus
und klicken Sie auf „Hinzufügen“.
• Klicken Sie im Fenster „Stapel“ bei gedrückter Taste „ctrl“ auf einen leeren Teil des
Auftrags und wählen Sie „Neues Ziel mit Voreinstellung“ aus dem Kontextmenü aus.
Wählen Sie dann eine Voreinstellung und klicken Sie auf „Hinzufügen“.
• Bewegen Sie eine Voreinstellung aus dem Bereich „Voreinstellungen“ auf den Auftrag
der Ausgangsaudiodatei im Fenster „Stapel“.
4 Nehmen Sie gegebenenfalls im Bereich „Codierer“ des Fensters „Informationen“ weitere
Anpassungen an der Voreinstellung vor. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter
Bereich „Codierer“ für das Format „Dolby Digital Professional“.
Hinweis: Compressor nimmt eine intelligente Zuordnung der Kanäle vor. Hier einige
Beispiele:
• Wenn Sie eine Stereo-Ausgangsdatei importieren und den Audio-Codierungsmodus “Mono
1/0 (C)“ anwenden,: wird die Datei auf einen Monokanal abgemischt.
• Wenn Sie einen der Surround-Modi als Audio-Codierungsmodus auf die Stereodatei
anwenden,: werden die linken und rechten Kanäle den Kanälen links vorne (L) und
rechts vorne (R) zugeordnet. Die anderen Kanäle des Codierungsmodus bleiben ohne
Ton.
• Wenn Sie eine Stereodatei dem linken vorderen Kanal oder dem linken (hinteren)
Surround-Kanal zuweisen,: wählt Compressor den linken Kanal aus und ignoriert den
rechten.
168 Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“5 Klicken Sie auf „Senden“.
Weitere Informationen zur Codierung von Surround-Sound-Dateien finden Sie unter
Zuweisen von Dateien zu Surround-Sound-Kanälen (manuelle Methode) sowie unter
Zuweisen von Dateien zu Surround-Sound-Kanälen (automatische Methoden). Unter
Vorschau der Codierungseinstellungen erhalten Sie außerdem Informationen darüber,
wie Sie Ihre AC-3-Audiodateien mit Compressor wiedergeben.
Zuweisen von Dateien zu Surround-Sound-Kanälen (manuelle
Methode)
Folgen Sie den hier genannten Schritten, wenn Sie einzelne Audiodateien manuell
Surround-Sound-Kanälen zuweisen wollen.
Ausgangsaudiodateien manuell Kanälen eines Surround-Sound-Streams zuweisen
1 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus, um Ausgangsaudiodateien zu importieren:
• Wählen Sie „Auftrag“ > „Neuer Auftrag mit Surround Sound-Gruppe“ (oder drücken Sie
die Tastenkombination „Befehl-ctrl-I“).
• Klicken Sie auf die Taste „Surround Sound hinzufügen“ im Fenster „Stapel“.
• Klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf den Stapel und wählen Sie „Neuer Auftrag
mit Surround Sound-Gruppe“ aus dem Kontextmenü aus.
Das Fenster zum Zuweisen von Kanälen wird geöffnet.
2 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus, um eine Ausgangsaudiodatei einem
bestimmten Kanal zuzuweisen.
• Bewegen Sie die Ausgangsaudiodatei aus dem Finder auf das Symbol eines bestimmten
Kanals (z. B. „L“).
• Klicken Sie auf das Symbol des gewünschten Kanals (z. B. „L“) und suchen Sie mithilfe
des Dialogfensters „Öffnen“ die Ausgangsaudiodatei für diesen Kanal.
Die Datei wird dem Kanal „L“ (vorne links) zugewiesen.
Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“ 1693 Wiederholen Sie Schritt 2 für alle Ausgangsaudiodateien, die Sie in den Surround-Stream
aufnehmen möchten.
Hinweis: Wenn Sie Surround-Sound-Streams im Format „Dolby Digital Professional“ (AC-3)
erstellen, werden nicht alle aufgelisteten Kanäle gleichzeitig verwendet. Eine schematische
Darstellung der Dolby-Audio-Codierungsmodi finden Sie unter Einstellungen im Bereich
„Audio“.
4 Klicken Sie auf „OK“, wenn Sie die gewünschten Ausgangsaudiodateien den
entsprechenden Kanälen zugewiesen haben.
Die Gruppe der Surround-Dateien wird daraufhin als einzelner Auftrag mit
Surround-Ausgangsmediendateien im Fenster „Stapel“ angezeigt. Die Symbole sind auch
im Fenster „Informationen“ zu sehen.
Click a channel’s icon to
change the file assigned
to that channel.
Hinweis: Sie können im Fenster „Informationen“ auf das Symbol eines Kanals klicken, um
die ihm zugewiesene Datei zu ändern.
5 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus, um die passende Apple-Voreinstellung aus
der Kategorie „Dolby Digital Professional“ auf die Ausgangsaudiodatei anzuwenden:
• Wählen Sie „Ziel“ > „Neues Ziel mit Voreinstellung“. Wählen Sie eine Voreinstellung aus
und klicken Sie auf „Hinzufügen“.
• Klicken Sie im Fenster „Stapel“ bei gedrückter Taste „ctrl“ auf einen leeren Teil des
Auftrags und wählen Sie „Neues Ziel mit Voreinstellung“ aus dem Einblendmenü aus.
Wählen Sie dann eine Voreinstellung und klicken Sie auf „Hinzufügen“.
170 Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“• Bewegen Sie eine Voreinstellung aus dem Bereich „Voreinstellungen“ auf den Auftrag
der Ausgangsaudiodatei im Fenster „Stapel“.
6 Nehmen Sie alle erforderlichen Anpassungen im Fenster „Informationen“ vor und klicken
Sie auf „Senden“.
Compressor erstellt einen AC-3-Surround-Audio-Stream. Informationen darüber, wie Sie
Ihre AC-3-Audiodateien mit Compressor wiedergeben, erhalten Sie unter Vorschau der
Codierungseinstellungen.
Sie können auch Surround-Audioausgangsdateien mit einer Videodatei kombinieren, um
einen einzelnen Compressor-Auftrag zu erstellen. Dies ist nützlich in Arbeitsabläufen für
die Audiopostproduktion, bei denen Surround-Audio-Stems (Submixe) getrennt vom
endgültigen Bildschnitt erstellt werden. Compressor behandelt die Videodatei und bis
zu sechs Audiodateien wie eine einzelne virtuelle Mediendatei. Auf diese Weise haben
Sie die Möglichkeit, die Aktion „DVD erstellen“ anzuwenden, um eine DVD mit
5.1-Kanal-Surround-Sound zu erstellen.
Videodatei mit Surround-Audiodateien zu einer einzelnen Ausgangsmediendatei
kombinieren
1 Führen Sie die Schritte 1 bis 5 oben aus, um die Ausgangsaudiodateien manuell den
Kanälen eines Surround-Sound-Streams zuzuweisen.
2 Klicken Sie auf „Video hinzufügen“ und verwenden Sie das Fenster „Öffnen“, um die
Videodatei auszuwählen.
Hinweis: Diese Funktion unterstützt nur QuickTime-Ausgangsmediendateien.
Bildsequenzen werden nicht unterstützt.
3 Nehmen Sie alle erforderlichen Anpassungen im Fenster „Informationen“ vor und klicken
Sie auf „Senden“.
Zuweisen von Dateien zu Surround-Sound-Kanälen
(automatische Methoden)
Compressor bietet einige praktische Kanalzuweisungsverfahren, mit denen Sie Zeit sparen
können.
Dateien mit Kanal-IDs Surround-Kanälen zuweisen
1 Hängen Sie die Kanal-IDs des Ziel-Surround-Kanals an den Dateinamen aller
Ausgangsaudiodateien an. (Eine Liste der empfohlenen Kanal-IDs finden Sie in der
folgenden Tabelle.)
• -L: Kanal vorne links
• -R: Kanal vorne rechts
• -C: Kanal vorne Mitte
Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“ 171• -Ls: Surround-Kanal links
• -Rs: Surround-Kanal rechts
• -S: Surround-Kanal Mitte
• -LFE: LFE-Kanal (Low Frequency Channel, Subwoofer)
Wenn Sie z. B. eine AIFF-Datei dem linken Surround-Kanal zuweisen möchten, benennen
Sie die Datei um in Dateiname-Ls.aiff (wobei Dateiname der Name Ihrer Datei ist).
Hinweis: Mac OS X fügt möglicherweise ein Suffix wie .aiff hinzu. Dies hat keinen Einfluss
auf die Verwendung dieser Kanalzuweisungsverfahren.
Diese Vorgehensweise funktioniert nur, wenn Sie Dateien per Drag&Drop in das Fenster
„Stapel“ bewegen. Wenn Sie die Dateien auf das Compressor-Programmsymbol bewegen,
erscheinen sie als separate Ausgangsdateien (jede in einem eigenen Auftrag).
Hinweis: Wenn Sie Surround-Sound-Streams im Format „Dolby Digital Professional“ (AC-3)
erstellen, werden nicht alle aufgelisteten Kanäle gleichzeitig verwendet. Eine schematische
Darstellung der Dolby-Audio-Codierungsmodi finden Sie unter Einstellungen im Bereich
„Audio“.
2 Bewegen Sie die umbenannten Ausgangsaudiodateien in das Fenster „Stapel“.
Werden die folgenden Bedingungen erfüllt, reduziert Compressor die gesamte Dateigruppe
automatisch zu einer einzigen Surround-Ausgangsmediendatei, die im Fenster „Stapel“
angezeigt wird:
• Die Dateien in der Gruppe müssen ordnungsgemäß benannt werden (vgl. oben
aufgeführte Kanal-IDs).
• Die Gesamtanzahl der Dateien in der Gruppe muss weniger als sieben betragen.
172 Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“Im Fenster „Informationen“ können Sie sehen, welche Audiodateien den einzelnen Kanälen
zugewiesen sind.
Click a channel’s icon to
change the file assigned
to that channel.
Hinweis: Sie können im Fenster „Informationen“ auf das Symbol eines Kanals klicken, um
die ihm zugewiesene Datei zu ändern.
3 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus, um die entsprechende Apple-Voreinstellung
aus der Kategorie „Dolby Digital Professional“ auf den Auftrag der Ausgangsaudiodatei
anzuwenden:
• Wählen Sie „Ziel“ > „Neues Ziel mit Voreinstellung“. Wählen Sie eine Voreinstellung aus
und klicken Sie auf „Hinzufügen“.
• Klicken Sie im Fenster „Stapel“ bei gedrückter Taste „ctrl“ auf einen leeren Teil des
Auftrags und wählen Sie „Neues Ziel mit Voreinstellung“ aus dem Kontextmenü aus.
Wählen Sie dann eine Voreinstellung und klicken Sie auf „Hinzufügen“.
• Bewegen Sie eine Voreinstellung aus dem Bereich „Voreinstellungen“ auf den Auftrag
der Ausgangsaudiodatei im Fenster „Stapel“.
4 Nehmen Sie alle erforderlichen Anpassungen im Fenster „Informationen“ vor und klicken
Sie auf „Senden“.
Compressor erstellt einen AC-3-Surround-Audio-Stream. Informationen darüber, wie Sie
Ihre AC-3-Audiodateien mit Compressor wiedergeben, erhalten Sie unter Vorschau der
Codierungseinstellungen.
Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“ 173Zuweisen von Dateien zu Surround-Sound-Kanälen mithilfe
von Droplets
Sie können das Kanalzuweisungsverfahren weiter vereinfachen, indem Sie die oben
beschriebene „automatische“ Methode mithilfe eines Droplets ausführen.
Weitere Informationen über Droplets finden Sie unter Arbeiten mit Droplets.
Optionen für räumliches Mischen
Dieser Abschnitt bietet zusätzliche Informationen und Vorschläge für die Verwendung
der Kanäle in einem Dolby Digital Professional-Projekt.
Verwenden des mittleren Kanals
In einem Mehrkanalsystem gibt es drei Möglichkeiten, ein zentriertes Klangbild zu
erzeugen.
• Erstellen Sie eine „Phantom-Mitte“ (mischen Sie Audio gleichmäßig links und rechts, wie bei
Stereo): Gebräuchliche Vorgehensweise, es wird jedoch vorausgesetzt, dass der Zuhörer
genau in der Mitte zwischen den Lautsprechern sitzt. (Dies ist in Autos nicht möglich
und zu Hause nicht immer der Fall). Die Klangfarbe entspricht aufgrund von
Cross-Cancelation-Effekten nicht der eines direkten Lautsprechers.
• Verwenden Sie nur den mittleren Kanal: Dadurch wird ein äußerst stabiles zentrales
Klangbild für Zuhörer an beliebigen Positionen erstellt. (Der Nachhall kann auf die
linken und rechten Kanäle verteilt werden, um einen zu stark fokussierten oder engen
Klang zu verhindern.)
• Verwenden Sie die drei vorderen Kanäle gleichmäßig oder unterschiedlich stark: Diese
Methode ermöglicht eine bessere Steuerung der Wahrnehmung von räumlicher Tiefe
und Breite. Die Phantom-Mitte kann durch zusätzliche Signale im mittleren Kanal
verstärkt werden. Dieser Effekt kann durch eine Signalverteilung auf das linke/rechte
Kanalpaar noch optimiert werden. Der Nachteil ist, dass sich die Töne aus den drei
Lautsprechern möglicherweise nicht gut mischen oder nicht gleichzeitig beim Zuhörer
ankommen. Dies führt zu Nebeneffekten wie Kammfilterung, Veränderungen in der
Klangfarbe oder zu einem diffusen Klangbild (Smearing). Als Gegenmaßnahme können
Sie zuerst die zusätzlichen Signale verarbeiten, um deren räumliche Merkmale,
Klangfarbe oder Einfluss relativ zum Hauptsignal in der Mitte zu ändern.
Verwenden von Surround-Kanälen
Subtile Surround-Effekte können die Klangtiefe für den Zuhörer im Vergleich zu
konventionellem Stereosound bedeutend verbessern. Popmusik profitiert häufig von
einer kreativen Nutzung der Surround-Technologie. Allerdings ist beim Einsatz der
Surround-Effekte Zurückhaltung geboten. Die Richtlinie der Filmindustrie - keine
Surround-Effekte verwenden, die Zuschauer von der eigentlichen Story ablenken könnten
- trifft auch für die Musikbranche zu.
174 Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“Einschränkungen des LFE-Kanals
Der LFE-Kanal (Low Frequency Effects) ist ein separates Signal mit einem begrenzten
Frequenzbereich. Er wird vom Toningenieur erstellt und zusammen mit den Hauptkanälen
abgemischt. Ein Tiefpass-Filter mit 120 Hz im Bereich „Codierer“ für das Format „Dolby
Digital Professional“ begrenzt die Verwendung des LFE-Kanals auf die beiden unteren
hörbaren Oktaven. Dolby empfiehlt beim Audiomischen eine Begrenzung des Signals
auf 80 Hz.
Bei den meisten Musikproduktionen (mit einigen Ausnahmen, wie etwa der berühmten
Ouvertüre 1812 von Tschaikowsky, bei der echte Kanonen zum Einsatz kommen) wird
der LFE-Kanal nicht benötigt. Das LFE-Signal wird auch im Dolby Digital
Professional-Abmischverfahren entfernt, sodass kleine Stereosysteme nicht durch starke
Basssignale überlastet werden. Achten Sie darauf, keine wichtigen Informationen in den
LFE-Kanal aufzunehmen, die bei einer Mono-, Stereo- oder Pro Logic-Wiedergabe fehlen
würden.
Da LFE von anderen Kanälen getrennt ist, kann seine Fähigkeit, sich mit höheren
Frequenzen zu mischen, durch für die Erstellung des LFE-Signals verwendete Filter
beeinträchtigt werden. Das gesamte Signal sollte im Hauptkanal bzw. in den Hauptkanälen
gebündelt bleiben, damit ein homogenes Audiosignal sichergestellt ist.
Vermeiden Sie die Erstellung eines LFE-Kanals für Material, das ursprünglich ohne einen
solchen Kanals produziert wurde. Die fünf Dolby Digital Professional-Hauptkanäle arbeiten
bei vollem Frequenzgang und der LFE-Kanal erhöht den Frequenzbereich nicht. Dolby
Digital Professional-Decodierer bieten eine Basssteuerung, sodass tiefe Frequenzen an
einen Subwoofer oder andere geeignete Lautsprecher geleitet werden. Eine LFE-Spur
kann die Basssteuerung beeinträchtigen.
Anpassen an die Stereo-Wiedergabe
Trotz der Beliebtheit von 5.1-Systemen sollten Sie immer auch die Stereowiedergabe in
Betracht ziehen. Für die Stereowiedergabe gibt es drei grundlegende Vorgehensweisen:
• Erstellen Sie einen neuen Stereo-Mix aus den ursprünglichen mehrspurigen Elementen
(unter Verwendung von konventionellen Stereo-Mischverfahren).
• Erstellen Sie eine Studioversion aus dem Mehrkanal-Mix. Bei dieser Methode können
Sie sich die für das Mischen der 5.1-Version durchgeführten Arbeiten zunutze machen.
Da die Kanäle im fertigen Stereo-Mix ausgewogen aufeinander abgestimmt sind, wird
ein hohes Maß an Flexibilität erreicht.
• Lassen Sie den Decodierer eine Stereo-Abmischung auf der Grundlage von vordefinierten
Decodierer-Formeln erstellen. Abmischoptionen und Effekte für den Dynamikbereich
können im Produktionsstudio in einer Vorschau abgespielt und geändert werden.
Zudem sind zahlreiche Anpassungen möglich.
Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“ 175Prüfen Sie den Mix unbedingt immer auf einem preisgünstigen Surround-System, um
den Klang auf einem durchschnittlichen Wiedergabesystem einschätzen zu können.
Hinweis: Weitere Informationen über Dolby Digital Professional finden Sie unter
„Frequently Asked Questions about Dolby Digital Professional“ auf der Website von Dolby
Laboratories Inc. unter folgender Adresse: http://www.dolby.com.
176 Kapitel 12 Erstellen von Ausgabedateien im Format „Dolby Digital Professional“Mit Compressor können Sie iTunes-kompatible H.264-Dateien erstellen. Diese können in
iTunes, auf einem iPhone, iPad oder iPod bzw. mit Apple TV wiedergegeben werden.
Aufgrund seiner Effizienz ist der H.264-Codierer besonders geeignet für das Erstellen von
Medien, die für die Verwendung mit iTunes und den zugehörigen Apple-Geräten bestimmt
sind. Compressor beinhaltet bereits konfigurierte Voreinstellungen, die anhand der
Einstellungen im Bereich „Codierer“ für das Format „H.264 für Apple-Geräte“ das Erstellen
geeigneter Mediendateien erleichtern.
Weitere Informationen zum Erstellen von H.264-Dateien für andere Zwecke als das
DVD-Authoring (wie Webvideos) finden Sie unter Erstellen von QuickTime-Ausgabedateien.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Bereich „Codierer“ für das Format „H.264 für Apple-Geräte“ (S. 178)
• Kapitel- und Podcast-Marker für Apple-Geräte (S. 182)
• Seitenverhältnisse für Apple-Geräte (S. 182)
• H.264-Arbeitsabläufe für Apple-Geräte (S. 183)
• Konfigurieren von Einstellungen für Ausgabedateien mit dem Format „H.264 für
Apple-Geräte“ (S. 184)
177
Erstellen von Ausgabedateien im
Format „H.264 für Apple-Geräte“ 13Bereich „Codierer“ für das Format „H.264 für Apple-Geräte“
Dieser Abschnitt enthält ausführliche Informationen über die Elemente im Bereich
„Codierer“ für das Format „H.264 für Apple-Geräte“ im Fenster „Informationen“. Alle
H.264-Einstellungen werden in diesem Bereich festgelegt. Dabei können Sie sowohl eine
vorhandene Voreinstellung ändern, als auch eine neue Voreinstellung im Bereich
„Voreinstellungen“ erstellen.
Die Einstellungen für das Format „H.264 für Apple-Geräte“ werden mithilfe der unten
beschriebenen Steuerelemente vorgenommen. Dabei können Sie entweder eine
vorhandene Voreinstellung duplizieren und ändern oder eine neue Voreinstellung im
Bereich „Voreinstellungen“ erstellen. Der Bereich „Codierer“ für das Format „H.264 für
Apple-Geräte“ enthält die folgenden Elemente:
• Suffix: In diesem Feld wird automatisch die Dateierweiterung für das Format „H.264
für Apple-Geräte“ (.m4v) angezeigt, nachdem das Ausgabeformat „H.264 für
Apple-Geräte“ aus dem Einblendmenü „Dateiformat“ oder dem Einblendmenü
„Hinzufügen“ (+) im Bereich „Voreinstellungen“ ausgewählt wird.
• Auftragssegmentierung erlauben: Durch Klicken auf dieses Feld können Sie die
Segmentierung von Aufträgen aktivieren bzw. deaktivieren. Dies ist nur dann relevant,
wenn Sie Compressor mit verteilter Verarbeitung und mit einer Multi-Pass-Codierung
verwenden. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und
2-Pass-Codierung oder Multi-Pass-Codierung.
178 Kapitel 13 Erstellen von Ausgabedateien im Format „H.264 für Apple-Geräte“• Gerät: Wählen Sie eine der folgenden Geräteoptionen aus dem Einblendmenü aus:
Tipp: Positionieren Sie den Zeiger über dem Einblendmenü „Gerät“, um die Apple-Geräte
anzuzeigen, auf denen die gewählte Option wiedergeben kann. Auch im Bereich
„Übersicht“ werden die kompatiblen Apple-Geräte aufgelistet.
• iPod/iPhone (VGA): Mit dieser Option werden Videoausgabedateien mit einer Bildbreite
von 640 Pixeln erzeugt.
• iPod/iPhone (Anamorphotisch): Mit dieser Option werden Videoausgabedateien mit
einer Bildbreite von 640 Pixeln (anamorphotisch) erzeugt.
• iPod/iPhone (QVGA): Mit dieser Option werden Videoausgabedateien mit einer
Bildbreite von 320 Pixeln erzeugt.
• Apple TV SD: Mit dieser Option werden Videoausgabedateien mit einer Bildbreite
von 640 Pixeln und mit einem höheren Bitratenbereich erzeugt als bei der Option
„iPod/iPhone 640 (VGA)“.
• Apple TV SD (Anamorphotisch): Mit dieser Option werden Videoausgabedateien mit
einer Bildbreite von 720 Pixeln (anamorphotisch) erzeugt.
• Apple TV HD: Mit dieser Option werden Videoausgabedateien mit einer Bildbreite
von 1280 Pixeln erzeugt, wenn das Seitenverhältnis nicht auf 4:3 festgelegt ist. In
diesem Fall haben die Videoausgabedateien eine Bildgröße von 960 x 720 Pixeln
(anamorphotisch) für Bildraten über 24 fps und 1280 x 720 Pixeln (quadratisch) für
niedrigere Bildraten.
• iPhone (Lokal/WiFi): Mit dieser Option werden Videoausgabedateien mit einer
Bildbreite von 480 Pixeln erzeugt.
• iPhone (Funknetz): Mit dieser Option werden Videoausgabedateien mit einer Bildbreite
von 176 Pixeln erzeugt.
• iPad/iPhone mit Retina-Display: Mit dieser Option werden Videoausgabedateien mit
einer Bildbreite von 1280 Pixeln erzeugt.
• Seitenverhältnis: Wählen Sie über das Einblendmenü „Seitenverhältnis“ die genaue
Pixelgröße der Ausgabemediendatei aus. Welche Optionen angeboten werden, hängt
von der ausgewählten Geräteoption ab. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter
Seitenverhältnisse für Apple-Geräte.
Kapitel 13 Erstellen von Ausgabedateien im Format „H.264 für Apple-Geräte“ 179Darüber hinaus verfügt die Einstellung „Seitenverhältnis“ über eine Taste zur Aktivierung
des automatischen Modus. Wenn Sie auf die Taste „Automatisch“ klicken, wählt der
Codierer das Seitenverhältnis, das der Ausgangsvideodatei entspricht.
Wichtig: Im automatischen Modus der Einstellung „Seitenverhältnis“ steht eine größere
Zahl von Werten zur Auswahl, aus denen der am besten auf die Ausgangsvideodatei
abgestimmte Wert ermittelt wird (die Werte werden ermittelt und angezeigt, wenn
dieses Ausgabeformat auf eine Ausgangsmediendatei angewendet wird). Zum Erzielen
bestmöglicher Ergebnisse wird die Verwendung des automatischen Modus für die
Einstellung „Seitenverhältnis“ empfohlen.
The Aspect Ratio
Automatic button
Hinweis: Die Funktion „Bildsteuerungen“ ist standardmäßig auf „Automatisch“
eingestellt. Die Retiming-Steuerung der Bildsteuerungen wird nur aktiviert, wenn die
Ausgangsdatei das Zeilensprungverfahren verwendet.
• Bildrate: Wählen Sie aus diesem Einblendmenü eine der unten beschriebenen Optionen
aus.
Darüber hinaus verfügt die Einstellung „Bildrate“ über eine Taste zur Aktivierung des
automatischen Modus. Wenn Sie auf die Taste „Automatisch“ klicken, wählt der Codierer
eine für die Ausgangsvideodatei geeignete Bildrate.
The Frame Rate
Automatic button
• 29.97: Wird für NTSC-basiertes Videomaterial verwendet.
• 25: Wird für PAL-basiertes Videomaterial verwendet.
• 24: Wird für PAL-basiertes Videomaterial verwendet.
• 23.98: Wird für NTSC-basiertes Videomaterial verwendet.
• 15: Wird für webbasiertes Videomaterial verwendet.
180 Kapitel 13 Erstellen von Ausgabedateien im Format „H.264 für Apple-Geräte“• Bitrate: Wählen Sie mit diesem Schieberegler die Bitrate für das Ausgabevideo aus.
Alternativ können Sie auch einen Wert in das Textfeld eingeben. Die verfügbaren
Bereiche richten sich nach der Einstellung „Gerät“. Welche Einstellung Sie wählen sollten,
hängt von der beabsichtigten Verwendung der Ausgabedatei ab. Höhere Bitraten
verbessern zwar die Bildqualität, vergrößern jedoch auch die Ausgabedateien.
• Audio: Wählen Sie aus diesem Einblendmenü eine der folgenden vier Optionen für die
Audiobitrate aus.
• Ohne: Mit dieser Option legen Sie fest, dass keine Audiodaten in die
Ausgabemediendatei aufgenommen werden.
• 24 kBit/s: Es wird ein Audio-Bitstream mit 24 kBit/s für die Geräteoption „iPhone
(Funknetz)“ erzeugt.
• 128 kBit/s: Es wird ein Audio-Bitstream mit 128 kBit/s erzeugt.
• 256 kBit/s: Es wird ein Audio-Bitstream mit 256 kBit/s erzeugt.
• Frame-Sync: Der Wert „Frame-Sync“, der auch als Keyframe-Intervall bezeichnet wird,
gibt an, wie oft ein Keyframe in den H.264-Stream eingefügt wird. Je niedriger der Wert,
desto homogener lässt sich das Video per Scrubbing während der Wiedergabe
manipulieren (häufiger gesetzte Keyframes). Je höher der Wert, desto effizienter ist die
Komprimierung (weniger Keyframes). Der verfügbare Wertebereich liegt zwischen 2
und 10 Sekunden, Standardwert ist 5 Sekunden.
Darüber hinaus kann für die Einstellung „Frame-Sync“ der automatische Modus aktiviert
werden. Wenn Sie das Feld „Automatisch“ markieren, wählt der Codierer eine für die
Ausgangsvideodatei geeignete Frame-Sync-Rate.
• Mehrere Durchgänge: Ähnlich wie die MPEG-2-Codierung mit zwei Durchgängen (2-Pass)
bietet die Codierung mit mehreren Durchgängen (Multi-Pass) die höchstmögliche
Qualität. Deaktivieren Sie dieses Markierungsfeld für schnellere Codierungen (1-Pass).
Kapitel 13 Erstellen von Ausgabedateien im Format „H.264 für Apple-Geräte“ 181Hinweis: Wenn Sie die verteilte Verarbeitung verwenden, empfiehlt es sich ggf., die
Auftragssegmentierung zu deaktivieren. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter
Auftragssegmentierung und 2-Pass-Codierung oder Multi-Pass-Codierung.
• Inklusive Dolby 5.1: Verwenden Sie dieses Feld, um außer der standardmäßigen
AAC-Audiospur eine Audiospur im Dolby Digital Professional 5.1 Surround-Sound zur
Ausgabefilmdatei hinzuzufügen. Diese Funktion ist für das Erstellen von Ausgabedateien
aus Ausgangsdateien mit Surround-Sound-Audio gedacht. Die Dolby Digital
Professional-Audiospur wird von Apple TV nur wiedergegeben, wenn eine Verbindung
zu einem System mit einem geeigneten Dolby Digital-Decoder besteht. In allen andern
Fällen wird die AAC-Audiospur wiedergegeben.
Hinweis: Wenn Sie das Feld „Inklusive Dolby 5.1“ markieren, wird nur dann eine echte
Dolby Digital Professional 5.1 Surround-Sound-Audiospur erstellt, wenn die
Ausgangsdatei 5.1 Surround-Sound-Audio enthält. Enthält die Ausgangsdatei nur
Stereo-Audiomaterial, enthält die Dolby Digital Professional 5.1
Surround-Sound-Audiospur nur zwei Audiokanäle.
Kapitel- und Podcast-Marker für Apple-Geräte
In Final Cut Pro erstellte Kapitel-Marker werden an andere Ausgabedateien übertragen,
die von QuickTime Player, iTunes (.m4v-Dateien) und Final Cut Pro erkannt werden.
Sie haben auch die Möglichkeit, der Ausgabedatei Podcast-Marker hinzuzufügen.
Podcast-Marker ähneln Kapitel-Markern (ihnen kann eine URL-Adresse und ein Bild
zugewiesen werden); allerdings kann der Betrachter nicht direkt zu ihnen navigieren. Sie
sind dafür konzipiert, eine Präsentationsfunktion für Audio-Podcasts zur Verfügung zu
stellen. Weitere Informationen zum Hinzufügen von Kapitel- und Podcast-Markern finden
Sie unter Arbeiten mit Markern und Posterbildern.
Seitenverhältnisse für Apple-Geräte
Ihre Wahl im Einblendmenü „Gerät“ bestimmt die Breite der codierten Datei. Ihre Wahl
im Einblendmenü „Seitenverhältnis“ bestimmt hingegen die Höhe der codierten Datei.
Compressor skaliert das Ausgangsvideo vertikal, um es der ausgewählten Höhe
anzupassen. Das bedeutet, dass das Ausgangsvideo anamorphotisch sein muss (Bilder
sind horizontal gestaucht), damit das Bild später so skaliert werden kann, dass es dem
gewünschten Seitenverhältnis entspricht. Nicht anamorphotisches Video, für das ein
anderes Seitenverhältnis eingestellt ist als das native, wird darum in der codierten Datei
verzerrt erscheinen.
182 Kapitel 13 Erstellen von Ausgabedateien im Format „H.264 für Apple-Geräte“Wichtig: Enthält das Ausgangsvideo Letterbox-Balken, sollten Sie ein Seitenverhältnis
verwenden, das dem gesamten Videobild entspricht (einschließlich der schwarzen Balken).
Andernfalls werden die Ausgabedateien verzerrt dargestellt. Sie können die
Letterbox-Balken mithilfe der Funktion für das automatische Beschneiden entfernen.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Hinzufügen von Geometrieeinstellungen.
Folgende Auswahlmöglichkeiten sind im Einblendmenü „Seitenverhältnis“ für das im
Einblendmenü „Gerät“ ausgewählte Gerät verfügbar:
• 4:3
• 16:9
• 1,85:1
• 2,35:1
Jede Auswahl führt zu einer anderen Höhe des Bilds in der Ausgabemediendatei.
Beispielsweise führt die Option 4:3 mit der Einstellung „iPod/iPhone (VGA)“ zu einer Datei
mit einer Bildgröße von 640 x 480, während die Option 16:9 zu einer Datei mit einer
Bildgröße von 640 x 360 führt.
Wenn die Ausgangsmediendatei in DV NTSC oder HDV vorliegt und Sie das Seitenverhältnis
der Ausgangsmediendatei nicht kennen, sollten Sie auf die Taste „Automatisch“ klicken.
Dies bewirkt, dass das Seitenverhältnis der Ausgangsmediendatei analysiert wird, um die
geeignete Pixelgröße zu bestimmen.
H.264-Arbeitsabläufe für Apple-Geräte
Die Effizienz und Qualität von H.264 stellt zahlreiche Optionen für die Videoproduktion
für iPhone, iPad, iPod und Apple TV bereit. Mit den Optionen im Einblendmenü „Gerät“
können Sie eine Datei erstellen, die auf einer Vielzahl von Geräten wiedergegeben werden
kann, oder Sie können eine Datei für ein bestimmtes Gerät wie das iPhone 4 erstellen.
• Optionen, die mit allen Geräten kompatibel sind, führen nicht zu optimalen Ergebnissen,
wenn Sie auf Geräten mit einer höheren Auflösung (z. B. Apple TV) wiedergegeben
werden. Allerdings werden bei Auswahl dieser Optionen kleinere Dateien erstellt, was
vorteilhaft sein kann.
• Optionen, die für Geräte mit höheren Auflösungen konzipiert sind, erzielen auf diesen
Geräten sehr gute Ergebnisse, führen aber zu größeren Dateien.
Bei der Auswahl der Optionen sollten Sie Folgendes berücksichtigen: die Geräte, auf
denen das Video abgespielt werden soll, die Videoinhalte und die Art der Bereitstellung
des Videos.
Kapitel 13 Erstellen von Ausgabedateien im Format „H.264 für Apple-Geräte“ 183Darüber hinaus können Sie im Vorschaufenster das Posterbild eines Clips zuweisen.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Festlegen des Posterbilds. Bei Bedarf können
Sie das Posterbild (Titelbild) in iTunes ändern. Weitere Informationen hierzu finden Sie in
der iTunes-Hilfe.
Konfigurieren von Einstellungen für Ausgabedateien mit dem
Format „H.264 für Apple-Geräte“
Damit die Ausgabemediendateien iPhone-, iPad-, iPod- und Apple TV-kompatibel sind,
wird empfohlen, die Standardvoreinstellungen der Gruppe „Apple-Geräte“ im Bereich
„Voreinstellungen“ zu verwenden. Weitere Informationen zum Anwenden von
Voreinstellungen erhalten Sie unter Zuweisen von Voreinstellungen zu
Ausgangsmediendateien.
Sie können iPhone-, iPad-, iPod- und Apple TV-kompatible Mediendateien auch mithilfe
der Stapelvorlagen erstellen. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter
Compressor-Arbeitsablauf im Überblick: Verwenden von Stapelvorlagen.
Hinweis: Mit iPhone- und -iPod-Voreinstellungen erzeugte Dateien können auch über
Apple TV wiedergegeben werden.
184 Kapitel 13 Erstellen von Ausgabedateien im Format „H.264 für Apple-Geräte“Compressor bietet Ihnen die Möglichkeit, im Handumdrehen H.264-Voreinstellungen zu
erstellen, die speziell für Blu-ray- und AVCHD-DVDs konfiguriert sind.
Blu-ray, auch als Blu-ray Disc (BD) bezeichnet, ist ein Format, das zum Aufzeichnen,
Wiederbeschreiben und Abspielen von HD-Videos (High Definition) entwickelt wurde.
Das Format bietet die mehr als fünffache Speicherkapazität traditioneller DVDs und kann
bis zu 25 GB auf einer DVD mit einer Datenschicht (Single-Layer) und bis zu 50 GB auf
einer DVD mit zwei Datenschichten (Dual-Layer) aufnehmen.
Eine AVCHD-DVD ist eine vereinfachte Version einer HD-DVD, die auf Rotlasermedien
gebrannt wird. Die erzeugte DVD kann in Blu-ray-Disc-Playern abgespielt werden, die mit
dem AVCHD-Format kompatibel sind.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Bereich „Codierer“ für das Format „H.264 für Blu-ray“ (S. 186)
• H.264-Arbeitsabläufe für optische Medien (S. 189)
185
Erstellen von Ausgabedaten im
Format „H.264 für Blu-ray“ 14Bereich „Codierer“ für das Format „H.264 für Blu-ray“
Dieser Abschnitt enthält ausführliche Informationen über die Elemente im Bereich
„Codierer“ für das Format „H.264 für Blu-ray“ im Fenster „Informationen“. Alle
H.264-Einstellungen für Blu-ray-Discs werden in diesem Bereich festgelegt. Dabei können
Sie sowohl eine vorhandene Voreinstellung ändern, als auch eine neue Voreinstellung
im Bereich „Voreinstellungen“ erstellen.
Der Bereich enthält die folgenden Elemente:
• Feld „Suffix“: In diesem Feld wird automatisch die Erweiterung für das Format „H.264
für Blu-ray“ angezeigt (.264), nachdem das Ausgabeformat „H.264 für Blu-ray“ aus dem
Einblendmenü „Dateiformat“ oder dem Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) im Bereich
„Voreinstellungen“ ausgewählt wurde.
• Auftragssegmentierung erlauben: Durch Klicken auf dieses Feld können Sie die
Segmentierung von Aufträgen aktivieren bzw. deaktivieren. Dies ist nur dann relevant,
wenn Sie Compressor mit verteilter Verarbeitung und mit einer Multi-Pass-Codierung
verwenden. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und
2-Pass-Codierung oder Multi-Pass-Codierung.
• Einblendmenü „Stream verwenden für“: Wählen Sie aus dem Einblendmenü „Stream
verwenden für“ aus, wie Sie den H.264-Stream verwenden möchten. Compressor passt
die Einstellungen der Bitrate in Abhängigkeit vom ausgewählten Verwendungszweck
an.
• Blu-ray: Wählen Sie diese Option, wenn Sie mit dem Stream eine standardmäßige
Blu-ray Disc erstellen möchten.
186 Kapitel 14 Erstellen von Ausgabedaten im Format „H.264 für Blu-ray“• AVCHD: Wählen Sie diese Option, wenn Sie mit dem Stream und der Aktion „Blue-ray
Disc erstellen“ eine AVCHD-DVD auf einem standardmäßigen DVD-Brenner brennen
möchten. Diese DVD kann mit Blu-ray-Disc-Playern abgespielt werden, die mit dem
AVCHD-Format kompatibel sind. Für AVCHD-Medien können bis zu 50 Kapitel-Marker
verwendet werden.
• Videoformat: Wählen Sie aus dem Einblendmenü „Videoformat“ eine der folgenden
vier Optionen aus. Es handelt sich bei allen um progressive HD-Formate
Darüber hinaus verfügt die Einstellung „Videoformat“ über eine Taste zur Aktivierung
des automatischen Modus. Wenn Sie auf die Taste „Automatisch“ klicken, wählt der
Codierer das für die Ausgangsvideodatei geeignete Videoformat.
The Video Format
Automatic button
• NTSC: Dieses Format wird auch als 480p bezeichnet. Es verwendet die Bildgröße 720
x 480 mit einem anamorphotischen 16 x 9-Format bei 59,94 fps.
• PAL: Dieses Format wird auch als 576p bezeichnet. Es verwendet die Bildgröße 720
x 576 mit einem anamorphotischen 16 x 9-Format bei 50 fps.
• 720p: Dieses Format verwendet eine Bildgröße von 1280 x 720 mit einem 16 x
9-Format bei entweder 59,94 fps für NTSC oder 50 fps für PAL.
• 1920x1080: Dieses Format wird auch als 1080p bezeichnet. Es verwendet eine
Bildgröße von 1920 x 1080 mit einem 16 x 9-Format bei entweder 59,94 fps für NTSC
oder 50 fps für PAL.
• Bildrate: Mit diesem Einblendmenü kann eine Bildrate für die Ausgabemediendatei
ausgewählt werden.
Darüber hinaus verfügt die Einstellung „Bildrate“ über eine Taste zur Aktivierung des
automatischen Modus. Wenn Sie auf die Taste „Automatisch“ klicken, wählt der Codierer
eine für die Ausgangsvideodatei geeignete Bildrate.
The Frame Rate
Automatic button
Hinweis: Ihre Auswahl im Menü „Videoformat“ bestimmt die im Menü „Bildrate“
verfügbaren Optionen.
Kapitel 14 Erstellen von Ausgabedaten im Format „H.264 für Blu-ray“ 187Wählen Sie aus dem Einblendmenü „Bildrate“ eine der folgenden Optionen aus:
• 23.98: Wird für NTSC-basiertes Videomaterial verwendet.
• 25: Wird für PAL-basiertes Videomaterial verwendet.
• 29.97: Wird für NTSC-basiertes Videomaterial verwendet.
• 50: Wird für PAL-basiertes Videomaterial verwendet.
• 59.94: Wird für NTSC-basiertes Videomaterial verwendet.
• Schieberegler und Feld „Durchschnittliche Bitrate“: Wählen Sie mithilfe des Schiebereglers
eine mittlere Bitrate für das Ausgabevideo aus oder geben Sie einen Wert ein. Der
gültige Wertebereich für eine Blu-ray Disc liegt zwischen 5 und 30 MBit/s. Typische
Videobitraten für H.264 reichen von 7 bis 15 MBit/s (je nach verfügbarer Bitkapazität
der DVD und Typ der Ausgangsmedien). Der verfügbare Bereich für AVCHD-DVDs liegt
zwischen 5 und 15 MBit/s.
• Schieberegler und Feld „Maximale Bitrate“: Wählen Sie eine maximale Bitrate zwischen
6 und 35 MBit/s für eine Blu-ray-DVD oder zwischen 6 MBit/s und 17 MBit/s für eine
AVCHD-DVD aus. Sie können auch einen beliebigen Wert innerhalb dieser Bereiche in
die dazugehörigen Felder eingeben. Der Wert für „Maximale Bitrate“ darf nicht unter
dem Wert für „Durchschnittliche Bitrate“ liegen. Im Allgemeinen sollten Sie die maximale
Bitrate so festlegen, dass sie mindestens um 1 MBit/s höher ist als die durchschnittliche
Bitrate. Dadurch bleibt ein gewisser Spielraum für Schwankungen in der Bitrate und
Sie erzielen ein gleichbleibendes Qualitätsniveau.
• Mehrere Durchgänge: Mit diesem Feld können Sie die Multi-Pass-Codierung aktivieren:
Ähnlich wie die MPEG-2-Codierung mit zwei Durchgängen (2-Pass) bietet die Codierung
mit mehreren Durchgängen (Multi-Pass) die höchstmögliche Qualität. Deaktivieren Sie
dieses Markierungsfeld für schnellere Codierungen (1-Pass). Weitere Informationen
hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und 2-Pass-Codierung oder
Multi-Pass-Codierung.
188 Kapitel 14 Erstellen von Ausgabedaten im Format „H.264 für Blu-ray“H.264-Arbeitsabläufe für optische Medien
Die Effizienz und Qualität von H.264 stellt zahlreiche Optionen für die Produktion optischer
Medien bereit:
• Von SD-DVDs unterstützte Videoauflösungen werden auch von Blu-ray-Discs unterstützt.
Eine Blu-ray-Disc kann also für den eigentlichen Inhalt, etwa einen Spielfilm, eine Datei
mit HD-Videoauflösung verwenden, und für weitere Elemente wie einen Nachspann
und ein Making-of entsprechende Videodateien mit SD-Auflösung einsetzen.
• Die Aktion „Blu-ray-Disc erstellen“ bietet die Möglichkeit, eine AVCHD-DVD auf einem
Rotlasermedium zu brennen. Eine AVCHD-DVD bietet die Möglichkeit, H.264-Video mit
Blu-ray-Disc-Playern abzuspielen, die mit dem AVCHD-Format kompatibel sind. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Blu-ray-Disc erstellen.
• Da das H.264-Format HD-Video mit SD-Bitraten bereitstellen kann, passt auf eine
standardmäßige DVD-5 mehr HD-Inhalt als dies bei AVCHD-DVDs zu erwarten wäre.
Kapitel 14 Erstellen von Ausgabedaten im Format „H.264 für Blu-ray“ 189Sie können mit Compressor eine Bildsequenz ausgeben, die für die Verwendung durch
Compositing-Programme bestimmt ist. In diesem Kapitel werden die Bildsequenzen
behandelt, die Compressor basierend auf Ihren Ausgangsmediendateien ausgeben kann.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Erstellen von Ausgabedateien im Format „Bildsequenz“ (S. 191)
• Bereich „Codierer“ für das Format „Bildsequenz“ (S. 192)
• Konfigurieren von Voreinstellungen für das Format „Bildsequenz“ (S. 194)
Erstellen von Ausgabedateien im Format „Bildsequenz“
Das Ausgabeformat „Bildsequenz“ erstellt aus den Bildern des Ausgangsvideomaterials
eine Gruppe von Standbilddateien. Mit diesem Codierer können Sie einen Videoclip in
eine Bildsequenz umwandeln und in Compositing-Programmen verwenden, die mit dem
QuickTime-Format nicht kompatibel sind.
Hinweis: Sie können mit Compressor auch eine Bildsequenz importieren. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Hinzufügen von Bildsequenzen zu Stapeln.
Das Ausgabeformat „Bildsequenz“ unterstützt die folgenden Standbildformate:
• TIFF (Tagged Image File Format): TIFF ist eines der gebräuchlichsten und flexibelsten
Standbildformate. Es wurde zum Erstellen eines Standarddateiformats zum Speichern
und Austauschen von digitalen Grafiken konzipiert, die für das Desktop Publishing
verwendet werden. TIFF ist mit zahlreichen Compositing- und
Bildverarbeitungsprogrammen kompatibel.
• TARGA (Truevision Advanced Raster Graphics Adapter): TARGA, oft auch als TGA bezeichnet,
ist ein Rastergrafikformat, das häufig von Animations- und Videoprogrammen verwendet
wird.
• DPX: DPX ist ein gängiges Dateiformat für Digital Intermediate (DI) und visuelle Effekte
und stellt eine ANSI-/SMPTE-Norm dar (268M-2003).
191
Erstellen von Bildsequenzdateien
15• IFF (Interchange File Format): IFF ist ein generisches Dateiformat, das 1985 von Electronic
Arts in Kooperation mit Commodore-Amiga eingeführt wurde, um die Übertragung
von Daten zwischen den Softwareprodukten unterschiedlicher Hersteller zu erleichtern.
• JPEG (Joint Photographic Experts Group): JPEG ist ein gängiges Standbildformat.
• OpenEXR: OpenEXR ist ein HDR-Bilddateiformat (High Dynamic-Range), das von Industrial
Light & Magic für die Verwendung in Bildbearbeitungssoftware entwickelt wurde.
Bereich „Codierer“ für das Format „Bildsequenz“
Dieser Abschnitt enthält ausführliche Informationen über die Elemente des Bereichs
„Codierer“ für das Format „Bildsequenz“ im Fenster „Informationen“. Alle Einstellungen
für das Format „Bildsequenz“ werden in diesem Bereich festgelegt. Dabei können Sie
sowohl eine vorhandene Voreinstellung ändern, als auch eine neue Voreinstellung im
Bereich „Voreinstellungen“ erstellen.
Choose Image Sequence.
Choose an image type.
Choose a frame rate
from the Frame Rate
pop-up menu or click
the Automatic button.
Der Bereich „Codierer“ für das Format „Bildsequenz“ enthält folgende Elemente, mit denen
Sie Ihre Ausgabedateien erstellen können:
• Suffix: In diesem Feld wird automatisch die TIFF-Dateierweiterung (.tiff) angezeigt,
nachdem das Ausgabeformat „Bildsequenz“ aus dem Einblendmenü „Dateiformat“
oder dem Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) im Bereich „Voreinstellungen“ ausgewählt
wurde. Dieses Feld darf nicht verändert werden. Sie können das Ausgabeformat mit
dem Einblendmenü „Bildart“ ändern. Das Feld wird automatisch mit dem von Ihnen
ausgewählten Ausgabeformat aktualisiert.
• Auftragssegmentierung erlauben: Durch Klicken auf dieses Feld können Sie die
Segmentierung von Aufträgen aktivieren bzw. deaktivieren. Dies ist nur dann relevant,
wenn Sie Compressor mit verteilter Verarbeitung und mit einer Multi-Pass-Codierung
verwenden. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und
2-Pass-Codierung oder Multi-Pass-Codierung.
192 Kapitel 15 Erstellen von Bildsequenzdateien• Bildart: In diesem Einblendmenü können Sie einen von sechs Bildsequenztypen für die
Ausgabemedien auswählen. Beschreibungen der Ausgabetypen finden Sie unter
Erstellen von Ausgabedateien im Format „Bildsequenz“.
• Bildrate (in fps): Wählen Sie aus diesem Einblendmenü die Bildrate aus, mit der die
Standbilder erstellt werden sollen, oder geben Sie den gewünschten Wert in das Feld
ein. Wenn Sie eine höhere Bildrate wählen, wird eine größere Anzahl an Standbildern
erstellt. Zudem benötigen die Ausgabedateien in diesem Fall mehr Speicherplatz. Wenn
Sie beispielsweise 30 fps auswählen, erstellt Compressor 30 Standbilder für jede Sekunde
des Videoclips, den Sie gerade umcodieren. Wenn Sie eine Bildrate von 8 fps auswählen,
erstellt Compressor jedoch nur 8 Standbilder pro Sekunde.
• Eindeutigen Ausgabeordner erstellen: Durch Markieren dieses Feldes legen Sie fest, dass
ein Ordner für die erstellten Ausgabedateien angelegt werden soll. Der Ordner erhält
denselben Namen wie die Mediendatei. Die Dateien werden in diesem Ordner als
Bild-nnn. gespeichert. Wenn Sie beispielsweise Test als Name der Ausgabedatei
auswählen, lautet der Pfad wie folgt: Ziel/Test/Bild-nnn.
Wenn Sie diese Option nicht markieren, werden die Ausgabedateien auf der obersten
Ebene des Zielordners unter dem Namen Dateiname-nnn anstatt unter dem Namen
Bild-nnn angelegt. Beachten Sie, dass selbst bei einer niedrigen Bildrate von 8 fps eine
große Anzahl an Dateien erstellt wird, wenn Sie Ihre Dateien in dieses Ausgabeformat
umcodieren. Somit ist das Erstellen eines Ausgabeordners eine gute Möglichkeit, Ihre
Dateien zu verwalten.
• Führende 0-Ziffern zu Bildnummern hinzufügen: Markieren Sie dieses Feld, um führende
Nullen zur Bildnummer hinzuzufügen. Wenn Sie dieses Verfahren wählen, bestehen
alle Ausgabedateien aus mehrstelligen Dateinamen, wie zum Beispiel Bild-000001 (bzw.
Dateiname-000001, wenn diese Dateien nicht in einem eindeutigen Ausgabeordner
gesichert werden). Wenn Sie diese Option nicht markieren, wird für jede Datei ein
herkömmlicher Dateiname verwendet, wie zum Beispiel Bild-1 (bzw. Dateiname-1, wenn
diese Dateien nicht in einem eindeutigen Ausgabeordner gesichert werden).
• Beim Skalieren des Bilds Seitenverhältnis beibehalten: Diese Option hat nur Auswirkungen
auf Videomedien mit nichtquadratischen Pixeln (wie NTSC und PAL) und wird nur
angewendet, wenn Sie unabsichtich die Videobildgröße ändern. Markieren Sie dieses
Feld, um die Ausgabedateien zu skalieren, damit quadratische Pixel verwendet werden
und das ursprüngliche Seitenverhältnis erhalten bleibt (dabei kommt es zu einer
Erhöhung bzw. Reduzierung der Anzahl horizontaler und vertikaler Pixel). Ist das Feld
nicht markiert (dies ist die Standardeinstellung), verwenden die Ausgabedateien dasselbe
Pixelformat und haben die gleiche Anzahl horizontaler und vertikaler Pixel wie das
Originalvideo.
Kapitel 15 Erstellen von Bildsequenzdateien 193Konfigurieren von Voreinstellungen für das Format
„Bildsequenz“
Verwenden Sie das Ausgabeformat „Bildsequenz“, wenn Sie einen Videoclip in eine Reihe
von Standbildern umcodieren wollen.
Voreinstellung für das Format „Bildsequenz“ erstellen
1 Führen Sie im Bereich „Voreinstellungen“ einen der folgenden Schritte aus:
• Stellen Sie sicher, dass die korrekte Voreinstellung ausgewählt ist.
• Erstellen Sie eine neue Voreinstellung, indem Sie „Bildsequenz“ aus dem Einblendmenü
„Hinzufügen“ (+) auswählen.
2 Wenden Sie die Voreinstellung auf einen Auftrag im Fenster „Stapel“ an.
3 Stellen Sie sicher, dass das Ziel für die Bildsequenz ausgewählt wurde.
4 Klicken Sie im Fenster „Informationen“ auf den Titel „Codierer“ und wählen Sie
„Bildsequenz“ aus dem Einblendmenü „Dateiformat“ aus.
Der Bereich „Codierer“ für das Format „Bildsequenz“ wird geöffnet.
5 Im Einblendmenü „Bildart“ können Sie einen von sechs Bildsequenztypen für die
Ausgabemedien auswählen. Beschreibungen der Ausgabetypen finden Sie unter Erstellen
von Ausgabedateien im Format „Bildsequenz“.
• TIFF
• TARGA
• DPX
• IFF
• JPEG
• OpenEXR
6 Geben Sie einen Wert in das Feld „Bildrate (fps)“ ein, wählen Sie eine Bildrate aus dem
Einblendmenü aus oder klicken Sie auf die Taste „Automatisch“.
7 Wenn Sie die Option „Eindeutigen Ausgabeordner erstellen“ markieren, werden Ihre
Bildsequenz-Dateien in einem eigenen Unterordner im Zielordner abgelegt.
8 Wenn Sie die Option „Führende 0-Ziffern zu Bildnummern hinzufügen“ markieren, werden
Ihre Bildsequenz-Ausgabedateien nach dem Schema 0000nn durchnummeriert.
Wichtig: Verwenden Sie FTP-Software zum Laden der Bildsequenz auf entfernte Server.
194 Kapitel 15 Erstellen von BildsequenzdateienDa alle Standbildtypen quadratische Pixel (Pixelformat 1,0) haben müssen, ändert
Compressor unter Umständen die Pixelgröße eines Bildsequenzauftrags. Zum Anzeigen
oder Anpassen dieser Parameter wählen Sie das Ziel im Fenster „Stapel“ aus. Klicken Sie
anschließend im Fenster „Informationen“ auf den Titel „Geometrie“. Wenn Sie die
Bildsequenz in einem Programm verwenden werden, in dem eine bestimmte Größe und
ein Pixelformat angegeben werden kann (wie beispielsweise Motion), müssen Sie vor der
Codierung die entsprechenden Änderungen im Bereich „Geometrie“ vornehmen.
Pixelformat eines Bildsequenzauftrags vor der Umcodierung anpassen
1 Wählen Sie das Ziel für die Bildsequenz im Fenster „Stapel“ aus.
2 Verwenden Sie das Einblendmenü „Bildgröße“ im Bereich „Geometrie“ des Fensters
„Informationen“, um die entsprechende Ausgabegröße für die Bildsequenz festzulegen
(720x480, 1920x1080 usw.).
Das Menü „Pixelfomat“ ist nun verfügbar.
3 Wählen Sie im Einblendmenü „Pixelformat“ im Bereich „Geometrie“ das entsprechende
Pixelfomat für Ihre Bildsequenz.
Weitere Informationen zum Bereich „Codierer“ für das Format „Bildsequenz“ finden Sie
unter Bereich „Codierer“ für das Format „Bildsequenz“. Weitere Informationen zum Bereich
„Geometrie“ finden Sie unter Bereich „Geometrie“.
Hinweis: Sie können den aktuellen Inhalt Ihrer Voreinstellung im Bereich „Übersicht“ des
Fensters „Informationen“ ansehen.
Kapitel 15 Erstellen von Bildsequenzdateien 195Compressor stellt Ihnen die Werkzeuge bereit, die Sie zum Erstellen hochwertiger
MP3-Dateien benötigen.
MP3 ist eine spezielle MPEG-Codierung (offiziell MPEG Audio Layer 3). MP3 nutzt eine
wahrnehmungsgesteuerte Audiocodierung und eine psychoakustische Komprimierung,
um alle überflüssigen Informationen zu entfernen (speziell die redundanten und
irrelevanten Teile eines Tonsignals, die vom menschlichen Gehör nicht wahrgenommen
werden können). Die Originalaudiodaten einer CD (mit einer Datenrate von 1411,2 Kilobit
pro 1 Sekunde Stereomusik) werden bei der MP3-Codierung um den Faktor 12 verkleinert
(auf 112 - 128 kBit/s), ohne dass die Audioqualität merklich darunter leidet. Die Verfechter
von MP3 vertreten sogar die Auffassung, dass sich die Audioqualität gar nicht
verschlechtert, Profis können den Unterschied bei Verwendung guter Geräte jedoch meist
hören.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Generelle Einsatzmöglichkeiten für MP3 (S. 197)
• Bereich „Codierer“ für das Format „MP3“ (S. 198)
• Arbeitsablauf beim Umcodieren in das MP3-Format (S. 200)
Generelle Einsatzmöglichkeiten für MP3
MP3 ist ein weit verbreiteter Standard für komprimierte Audiodateien und lässt sich auf
die unterschiedlichste Art und Weise verwenden, z. B. für Musik und Podcasts.
Musik
Fast jedes tragbare Gerät zum Abspielen digitaler Musik unterstützt das Audioformat
MP3. Durch die Verwendung der höheren Bitraten (z. B. 256 kBit/s) kann eine
ausgezeichnete Qualität der Audiodatei bei wesentlich geringerer Dateigröße erzielt
werden, als dies mit nicht komprimiertem Audiomaterial möglich ist.
Sie können der Musikdatei auch Metadaten hinzufügen, sodass beim Öffnen der
Ausgabemediendatei mit zahlreichen Player-Programmen (z. B. iTunes) allgemeine
Informationen wie Künstler, Album usw. angezeigt werden.
197
Erstellen von MP3-Ausgabedateien
16Podcasts
Aufgrund der zahlreichen Bitraten, die vom MP3-Format unterstützt werden, ist dieses
Format hervorragend für Podcasts geeignet, die in unterschiedlichen Qualitätsstufen
bereitgestellt werden. Auf diese Weise können Benutzer die für sie am besten geeignete
Dateigröße und Qualität wählen.
Hinweis: Die meisten Optionen stehen Ihnen beim Erstellen von anspruchsvollen
Audio-Podcasts zur Verfügung, wenn Sie das Ausgabeformat MPEG-4 verwenden. Sie
können der Ausgabedatei Kapitel- und Podcast-Marker mit URLs und Episodenbildern
hinzufügen. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen von
MPEG-4-Ausgabedateien.
Bereich „Codierer“ für das Format „MP3“
Dieser Abschnitt enthält ausführliche Informationen über die verschiedenen Einstellungen
innerhalb des Bereichs „Codierer“ für das Format „MP3“ im Fenster „Informationen“. Sie
legen die MP3-Einstellungen fest, indem Sie eine vorhandene Voreinstellung ändern oder
eine neue Voreinstellung im Bereich „Voreinstellungen“ erstellen.
Der Bereich „Codierer“ für das Format „MP3“ enthält folgende Einstellungen:
• Suffix: In diesem Feld wird automatisch die MP3-Dateierweiterung (.mp3) angezeigt,
nachdem das MP3-Ausgabeformat aus dem Einblendmenü „Dateiformat“ oder dem
Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) im Bereich „Voreinstellungen“ ausgewählt wurde.
• Auftragssegmentierung erlauben: Durch Klicken auf dieses Feld können Sie die
Segmentierung von Aufträgen aktivieren bzw. deaktivieren. Dies ist nur dann relevant,
wenn Sie Compressor mit verteilter Verarbeitung und mit einer Multi-Pass-Codierung
verwenden. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und
2-Pass-Codierung oder Multi-Pass-Codierung.
198 Kapitel 16 Erstellen von MP3-Ausgabedateien• Einblendmenü „Datenrate (Stereo)“: Je höher die hier angegebene Datenrate ist, desto
besser ist die Audioqualität. Allerdings wird die Datei bei höheren Datenraten auch
entsprechend größer. Die am häufigsten verwendete Bitrate für Stereo-MP3-Dateien
liegt zwischen 128 kBit/s und 192 kBit/s. Niedrigere Bitraten eignen sich besser für
Audiodateien mit Sprachaufnahmen (im Gegensatz zu Musik).
Nachfolgend finden Sie einige Beispiele für Einstellungen und Verwendungszwecke:
• 32 kBit/s: Qualität ähnlich dem Radioempfang über Mittelwelle, geeignet für
Sprachaufnahmen mit mittlerer Qualität
• 96 kBit/s: Qualität ähnlich dem Radioempfang über UKW, geeignet für hochwertige
Sprachaufnahmen oder Musikaufnahmen mit mittlerer Qualität
• 128 kBit/s: Geeignet für Musik mit guter Qualität
• 256 kBit/s und 320 kBit/s: Geeignet für Musik mit CD-ähnlicher Audioqualität
• Codierung mit variabler Bitrate (VBR): Wird dieses Feld markiert, erfolgt das Speichern
der Musik mit einer variablen Bitrate, die sich nach der Komplexität der Musik richtet.
Auf diese Weise kann die Dateigröße verringert werden.
• Einblendmenü „Abtastrate“: Hier wird festgelegt, wie häufig die Signale pro Sekunde
digital abgetastet werden. Mit einer höheren Abtastrate erzielen Sie eine bessere
Qualität. Allerdings wird die Datei entsprechend größer. Wählen Sie keine Abtastrate,
die höher ist als die Rate, die ursprünglich zum Speichern der Musik verwendet wurde,
da Sie sonst nur Speicherplatz verschwenden. Die CD-Qualität liegt beispielsweise bei
44,100 kHz. Darum ist es unnötig, eine höhere Rate zu wählen, wenn Sie Musik von
einer CD codieren.
• Einblendmenü „Kanäle“: Wenn Sie keine Stereolautsprecher angeschlossen haben oder
Ihre Audiodateien in Mono aufgenommen wurden, wählen Sie „Mono“ (Monodateien
sind etwa halb so groß wie Stereodateien). Wenn Sie sich die MP3-Dateien auf einer
Stereoanlage anhören möchten, wählen Sie „Stereo“.
• Stereo (Joint): Ist diese Option deaktiviert, enthalten Ihre MP3-Dateien je eine Spur für
den rechten und eine für den linken Stereokanal. Meist enthalten die beiden Kanäle
ähnliche Informationen. Wenn das Feld „Stereo (Joint)“ markiert ist, enthält ein Kanal
die Informationen, die auf beiden Kanälen identisch ist, während der andere die einmalig
vorkommenden Informationen enthält. Bei Bitraten von 160 kBit/s und darunter kann
dies die Tonqualität Ihres umgewandelten Audiomaterials verbessern.
• Intelligente Codierungsanpassung: Wählen Sie diese Option, wenn Sie möchten, dass
Compressor Ihre Codierungseinstellungen und die Musikquelle analysiert und
anschließend die Einstellungen anpasst, damit eine optimale Qualität erzielt wird.
• Frequenzen unter 10 Hz filtern: Das Herausfiltern von nicht hörbaren Frequenzen führt
zu kleineren, effizienteren Dateien ohne wahrnehmbaren Qualitätsverlust.
Kapitel 16 Erstellen von MP3-Ausgabedateien 199Arbeitsablauf beim Umcodieren in das MP3-Format
Wie Sie Compressor verwenden, um Ihr Audiomaterial in MP3-Dateien umzucodieren,
hängt von der beabsichtigten Verwendung der Dateien ab. Die grundlegenden Schritte
sind nachfolgend beschrieben.
Schritt 1: Erstellen eines Stapels
Wie bei jeder anderen Umcodierung beginnen Sie, indem Sie einen Stapel erstellen.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Vorbereiten von Compressor zur
Umcodierung mit eigenen Voreinstellungen.
Schritt 2: Erstellen von Aufträgen mit den Ausgangsaudiodateien
Importieren Sie die Ausgangsaudiodateien. Bewegen Sie dazu entweder die
entsprechenden Dateien aus dem Finder in den Stapel oder verwenden Sie den Befehl
„Auftrag“ > „Neuer Auftrag mit Datei“.
Schritt 3: Hinzufügen von Anmerkungen (falls erforderlich)
Falls Sie beabsichtigen, die MP3-Dateien mit einem bestimmten Gerät oder einem
Programm wie iTunes abzuspielen, haben Sie die Möglichkeit, eine Vielzahl von
Anmerkungen hinzuzufügen (z. B. Künstler, Album, Titel usw.), die gelesen und angezeigt
werden können. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Bereich „Zusätzliche Infos“.
Schritt 4:Hinzufügen von Zielen zu allen Aufträgen mithilfe einer MP3-Voreinstellung
Jeder Auftrag muss mindestens ein Ziel haben. In diesem Fall benötigen die Aufträge
Ziele mit einer MP3-Voreinstellung. Sind mehrere Aufträge vorhanden, ist es am
einfachsten, wenn Sie alle Aufträge auswählen. Wählen Sie hierzu „Bearbeiten“ > „Alles
auswählen“ und anschließend „Ziel“ > „Neues Ziel mit Voreinstellung“, um dieselbe
Voreinstellung auf alle Aufträge anzuwenden.
Schritt 5: Senden des Stapels zum Umcodieren
Klicken Sie auf die Taste „Senden“, um den Umcodierungsprozess zu starten. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Senden eines Stapels.
200 Kapitel 16 Erstellen von MP3-AusgabedateienMit den Werkzeugen von Compressor können Sie hochwertige MPEG-1-Ausgabedateien
erstellen.
MPEG-1 ist ein international anerkannter Komprimierungsstandard, der von der Motion
Picture Experts Group (MPEG) entwickelt wurde. Mit MPEG-1 können Sie Videodateien in
VHS-Qualität erstellen. Dieses Verfahren unterstützt Videomaterial, das mit progressiver
Abtastung aufgenommen wurde, in SIF-Auflösung (Standard Interface Format) mit relativ
niedrigen Bitraten (Compressor unterstützt 0,5 MBit/s bis 2 MBit/s). Zudem können Sie
auf diesem Weg komprimiertes 1-Kanal und 2-Kanal-Audiomaterial erstellen.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Generelle Einsatzmöglichkeiten für MPEG-1 (S. 201)
• Technische Daten von MPEG-1 (S. 202)
• Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-1“ (S. 204)
• Der Bereich „Video“ (S. 205)
• Der Bereich „Audio“ (S. 206)
• Systemstreams und Elementarstreams (S. 207)
• Arbeitsablauf beim Umcodieren in das MPEG-1-Format (S. 208)
• Konfigurieren des MPEG-1-Dateiformats für das Internet (S. 209)
• Konfigurieren des MPEG-1-Dateiformats für DVDs (S. 211)
• Erstellen der Voreinstellung „MPEG-1-Video für DVD“ (S. 211)
• Erstellen der Voreinstellung „MPEG-1-Audio für DVD“ (S. 213)
• Optional—Erstellen einer Gruppe und eines Zielorts für „MPEG-1 für DVD“ (S. 215)
Generelle Einsatzmöglichkeiten für MPEG-1
MPEG-1 ist ein weithin akzeptierter Standard und eignet sich für viele Verteilungszwecke
wie optische Medien, das Internet und reine Audiodateien.
201
Erstellen von
MPEG-1-Ausgabedateien 17DVD, VCD und CD-ROM
MPEG-1 ist das Videokomprimierungsformat für Video-CDs (VCD) und kann auch für DVDs
verwendet werden, da alle DVD-Player mit Hardwarekomponenten für die Wiedergabe
im Format MPEG-1 ausgestattet sind. MPEG-1 wird häufig für Videos verwendet, die auf
CD-ROM bereitgestellt werden. Seine niedrige Bitrate und die geringen Dateigrößen sind
nützlich, wenn Sie mehrere Stunden lange Videos auf einer DVD unterbringen möchten
und die TV-Qualität der MPEG-2-Codierung nicht benötigen. Eine DVD kann auch eine
Mischung von Videomaterial in den Formaten MPEG-2 und MPEG-1 enthalten.
Internet
Als einer der ersten allgemein akzeptierten Komprimierungsstandards ist MPEG-1 mit
den meisten „Media Player“-Programmen kompatibel. Aus diesem Grund ist MPEG-1 für
die Nutzung im Internet attraktiv, wenn maximale Kompatibilität mit relativ hoher Qualität
kombiniert werden soll.
Reine Audiodateien
Sie können die MPEG-1 Layer 2-Audiokomprimierung als Alternative zur Dolby Digital
Professional- oder DTS-Komprimierung verwenden. Diese Version von Compressor bietet
zwar keine von Apple vordefinierte Voreinstellung für reine MPEG-1-Audiodateien, Sie
können jedoch mühelos selbst eine solche Voreinstellung erstellen. Weitere Informationen
hierzu finden Sie unter Konfigurieren des MPEG-1-Dateiformats für DVDs.
Technische Daten von MPEG-1
Compressor unterstützt alle Spezifikationen des MPEG-1-Standards für Bildgrößen,
Bildraten, Videocodierung und Audiocodierung.
MPEG-1-Bildgrößen und -Bildraten
Je nach Verwendungszweck kann Compressor Videomaterial mit voller Bildrate (25 fps
und 29,97 fps für DVD sowie 23,976 fps, 25 fps und 29,97 fps für das Internet) und
SIF-Auflösungen erstellen.
• Internet: 320 x 240
• NTSC: 352 x 240
• PAL: 352 x 288
Obwohl die für NTSC und PAL verfügbaren Auflösungen nur etwa der Hälfte der vollen
Auflösung von MPEG-2-Video entsprechen, werden sie bei der Wiedergabe auf einem
DVD-Player automatisch so erhöht, dass der gesamte Bildschirm ausgefüllt ist.
202 Kapitel 17 Erstellen von MPEG-1-AusgabedateienMPEG-1-Dateiformatspezifikationen
Der Prozess für die Codierung von MPEG-1-Videomaterial ähnelt weitgehend dem der
MPEG2-Codierung (sowohl hinsichtlich der verwendeten Terminologie als auch in Bezug
auf die Einstellungen). In Compressor gelten folgende Codierungseinstellungen.
• Codierungsmodus: 1-Pass
• GOP-Struktur: Offen
• GOP-Muster: BBIBBP
• GOP-Länge: 15 Bilder für NTSC, 12 Bilder für PAL
Diese Einstellungen sind vordefiniert und gelten für alle
Compressor-MPEG-1-Videoausgabedateien. Weitere Informationen über GOP-Einstellungen
(Group Of Pictures) finden Sie unter Bereich „GOP“. Weitere Informationen über den
Codierungsmodus finden Sie unter Bereich „Qualität“.
Bei MPEG-1-Ausgabedateien können bei bestimmten Bildern gezielt I-Bilder verankert
werden, indem Kompressions-Marker gesetzt werden. Diese Marker können mithilfe von
Final Cut Pro in der Ausgangsmediendatei oder auch manuell im Fenster „Vorschau“
hinzugefügt werden. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Arbeiten mit Markern
und Posterbildern.
Benannte Kapitel-Marker werden im MPEG-1-Format nicht unterstützt.
Kapitel 17 Erstellen von MPEG-1-Ausgabedateien 203Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-1“
Dieser Abschnitt enthält ausführliche Informationen über die verschiedenen Bereiche
innerhalb des Bereichs „Codierer“ für das Format „MPEG-1“ im Fenster „Informationen“.
Sie legen alle MPEG-1-Einstellungen in diesen Bereichen fest. Dabei können Sie entweder
eine vorhandene Voreinstellung ändern oder eine neue Voreinstellung im Bereich
„Voreinstellungen“ erstellen.
Der Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-1“ enthält die folgenden Elemente (der
Bereich „Video“ wird standardmäßig angezeigt):
• Suffix: In diesem Feld wird automatisch die MPEG-1-Dateierweiterung (.mpg) angezeigt,
nachdem das MPEG-1-Ausgabeformat aus dem Einblendmenü „Dateiformat“ oder aus
dem Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) im Bereich „Voreinstellungen“ ausgewählt wurde.
Das Suffix ändert sich in die Erweiterung für reine Videodaten (.m1v), wenn der Bereich
„Audio“ deaktiviert ist, oder in die Erweiterung für reine Audiodaten (.m1a), wenn der
Bereich „Video“ deaktiviert ist.
• Auftragssegmentierung erlauben: Durch Klicken auf dieses Feld können Sie die
Segmentierung von Aufträgen aktivieren bzw. deaktivieren. Dies ist nur dann relevant,
wenn Sie Compressor mit verteilter Verarbeitung und mit einer Multi-Pass-Codierung
verwenden. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und
2-Pass-Codierung oder Multi-Pass-Codierung.
• Titel „Video“ und „Audio“: Über diese Titel gelangen Sie zu den nachfolgend
beschriebenen Bereichen „Video“ und „Audio“.
204 Kapitel 17 Erstellen von MPEG-1-AusgabedateienDer Bereich „Video“
Im Bereich „Video“ können Sie Einstellungen für das Videoformat festlegen.
The Automatic button
• Markierungsfeld „Aktiviert“: Vergewissern Sie sich, dass dieses Feld markiert ist, wenn
das MPEG-1-Ausgabeformat die Einstellungen aus dem Bereich „Video“ enthalten soll.
• Einblendmenü „Bildrate“: Wählen Sie aus diesem Einblendmenü die Bildrate für das
Video aus, das Sie gerade codieren.
• Wenn als Verwendung „Internet“ angegeben wird: Es kann zwischen 23,976, 25
(PAL-Bildrate), 29,97 (NTSC-Bildrate) und „Automatisch“ gewählt werden.
• Wenn als Verwendung „DVD“ angegeben wird: Es kann zwischen 25 (PAL-Bildrate),
29,97 (NTSC-Bildrate) und „Automatisch“ gewählt werden.
• Taste „Automatisch“: Wenn Sie auf die Taste „Automatisch“ klicken, legt der Codierer
automatisch die für das Ausgangsmedium am besten geeignete Bildrate fest.
Hinweis: Wenn Sie den automatischen Modus bei nicht standardmäßigen Bildraten
verwenden, entsprechen die Bildraten der Ausgabedatei eventuell nicht der
gewünschten Videobildrate. Hier ein Beispiel: Die Bildrate des Ausgangsmaterials beträgt
15 fps und als Verwendungszweck wurde „DVD“ festgelegt. In diesem Fall wird im
automatischen Modus 25 (PAL) als Bildrate ausgewählt. Wenn Sie die Ausgabedatei
für eine DVD im NTSC-Format verwenden möchten, müssen Sie eine Bildrate von 29,97
einstellen.
• Verwendung: Über diese Option wählen Sie den Verwendungszweck für die
Ausgabedateien aus.
• Internet: Unabhängig von der ausgewählten Bildrate wird hier eine Auflösung von
320 x 240 festgelegt.
Kapitel 17 Erstellen von MPEG-1-Ausgabedateien 205• DVD: Die Auflösung wird durch die Auswahl im Feld „Bildrate“ vorgegeben. Bei der
Bildrate 29,97 ist die Auflösung 352 x 240. Bei der Bildrate 25 ist die Auflösung 352
x 288.
• Bitrate: Verwenden Sie diesen Regler, um die Bitrate für das Ausgabevideo festzulegen.
Alternativ können Sie auch einen Wert in das Textfeld eingeben. Sie können Werte von
0,5 MBit/s bis 2,0 MBit/s einstellen. Welche Einstellung tatsächlich sinnvoll ist, hängt
vom Verwendungszweck der Ausgabedatei ab. Höhere Bitraten verbessern zwar die
Bildqualität, vergrößern jedoch auch die Ausgabedateien.
• Für Internetprojekte: Es sollte eine Bitrate gewählt werden, mit der ein ausgewogenes
Verhältnis zwischen Bildqualität, Dateigröße und den Ladegeschwindigkeiten erreicht
wird.
• Für VCD-Projekte: Es wird eine Videobitrate von 1,15 MBit/s empfohlen. Die Bitrate
für den Systemstream (Multiplex-Stream aus Video und Audio in derselben Datei)
würde in diesem Fall weniger als 1,3944 MBit/s betragen.
• Für DVD-Projekte: Die typische Videobitrate beträgt 1,15 MBit/s und die maximal
zulässige Rate 1,856 MBit/s.
Der Bereich „Audio“
Im Bereich „Audio“ können Sie Einstellungen für das Audioformat festlegen.
• Markierungsfeld „Aktiviert“: Vergewissern Sie sich, dass dieses Feld markiert ist, wenn
das MPEG-1-Ausgabeformat die Einstellungen aus dem Bereich „Audio“ enthalten soll.
• Einblendmenü „Abtastrate“: Wählen Sie aus diesem Einblendmenü die Abtastrate der
Audioausgabe aus.
• 48 kHz: Für DVDs.
• 44,1 kHz: Für Audio-CDs. Diese Abtastrate wird am häufigsten unterstützt.
206 Kapitel 17 Erstellen von MPEG-1-Ausgabedateien• Kanäle: Wählen Sie die gewünschte Einstellung (Stereo oder Mono) für die Ausgabedatei.
• Stereo: Aktivieren Sie diese Taste, wenn eine Stereoaudiodatei erzeugt werden soll.
• Mono: Aktivieren Sie diese Taste, wenn eine Monoaudiodatei erzeugt werden soll.
• Einblendmenü „Bitrate“: Wählen Sie aus diesem Einblendmenü aus, welche Bitrate für
die Audioausgabe verwendet werden soll. 64 kBit/s, 128 kBit/s, 192 kBit/s, 224 kBit/s
und 384 kBit/s werden als Auswahlmöglichkeiten angeboten. Höhere Bitraten verbessern
zwar die Tonqualität, führen jedoch auch zu größeren Ausgabedateien.
Hinweis: Die Einstellungen „224 kBit/s“ und „384 kBit/s“ stehen nicht zur Verfügung,
wenn für „Kanäle“ die Option „Mono“ ausgewählt wurde.
Systemstreams und Elementarstreams
Mit Compressor können Sie Systemstreams oder Elementarstreams im Format MPEG-1
erstellen.
Systemstreams
Systemstreams, auch Multiplexed-Streams genannt, kombinieren Video- und
Audiokomponenten in derselben Datei. Dieser Stream-Typ wird am häufigsten in
Webprogrammen verwendet.
Compressor erstellt automatisch einen Systemstream, wenn Sie die Option „Aktiviert“
sowohl im Bereich „Video“ als auch im Bereich „Audio“ auswählen.
Elementarstreams
Elementarstreams entsprechen separaten Dateien für Video- und Audiokomponenten.
Einige Programme erfordern Elementarstreams.
Compressor erstellt automatisch einen Elementarstream, wenn nur in einem der beiden
Bereiche „Video“ oder „Audio“ die Option „Aktiviert“ markiert ist. Zum Erstellen von
Elementarstreams für Videomaterial und Audiomaterial müssen Sie zwei Voreinstellungen
verwenden. Bei der einen Voreinstellung muss die Option „Aktiviert“ im Bereich „Video“
markiert sein und die Dateierweiterung „.m1v“ verwendet werden, bei der zweiten
Voreinstellung muss die Option „Aktiviert“ im Bereich „Audio“ markiert sein und die
Dateierweiterung „.m1a“ verwendet werden.
Kapitel 17 Erstellen von MPEG-1-Ausgabedateien 207Arbeitsablauf beim Umcodieren in das MPEG-1-Format
Dieser Abschnitt enthält schrittweise Anleitungen, die Ihnen bei der Festlegung der
MPEG-1-Einstellungen helfen sollen, bevor Sie MPEG-1-Ausgabedateien mit Compressor
erstellen. Legen Sie die MPEG-1-Einstellungen im Bereich „Codierer“ für das Format
„MPEG1“ fest, indem Sie entweder eine vorhandene Voreinstellung ändern oder eine
neue Voreinstellung erstellen. Im Folgenden sind einige gängige Einstellungen für das
MPEG-1-Ausgabedateiformat beschrieben.
Codieren für das Internet
Mit den unten beschriebenen Einstellungen können Sie MPEG-1-Systemstreams für das
Internet codieren.
Bereich „Video“:
• Bildrate: Automatisch
• Verwendung: Internet
• Bitrate: Verwenden Sie eine möglichst niedrige Bitrate, die eine für Ihre Zwecke
akzeptable Bildqualität bietet.
Bereich „Audio“:
• Abtastrate: 44,1 kHz
• Kanäle: Stereo bei 2-Kanal-Audioquellen; Mono bei 1-Kanal-Audioquellen
• Bitrate: Verwenden Sie eine möglichst niedrige Bitrate, die eine für Ihre Zwecke
geeignete Audioqualität bietet. Wählen Sie eine höhere Bitrate, wenn Sie
Stereoaudiomaterial codieren.
Codieren für DVD
Konfigurieren Sie mithilfe der folgenden Angaben zwei Voreinstellungen zum Codieren
von MPEG-1-Elementarstreams für das DVD-Authoring.
Einstellungen für Videoelementarstream (Bereich „Video“)
• Bildrate: 29,97 für NTSC oder 25 für PAL
• Verwendung: DVD
• Bitrate: 1,15 MBit/s
Einstellungen für Videoelementarstream (Bereich „Audio“)
• Markierungsfeld „Aktiviert“: Deaktiviert
Einstellungen für Audioelementarstream (Bereich „Video“)
• Markierungsfeld „Aktiviert“: Deaktiviert
208 Kapitel 17 Erstellen von MPEG-1-AusgabedateienEinstellungen für Audioelementarstream (Bereich „Audio“)
• Abtastrate: 48 kHz
• Kanäle: Stereo bei 2-Kanal-Audioquellen; Mono bei 1-Kanal-Audioquellen
• Bitrate: 192 kBit/s oder 224 kBit/s
Konfigurieren des MPEG-1-Dateiformats für das Internet
In den folgenden Abschnitten wird beschrieben, wie Sie das MPEG-1-Ausgabedateiformat
für das Internet konfigurieren können. Bei diesem Vorgang erstellen Sie einen einzelnen
MPEG-1-Systemstream.
• Schritt 1: Auswählen der Videoeinstellungen
• Schritt 2: Auswählen der Audioeinstellungen
Schritt 1: Auswählen der Videoeinstellungen
In diesem Abschnitt wird beschrieben, wie Sie MPEG-1-Videoeinstellungen für das Internet
erstellen können.
Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-1“ öffnen und Einstellungen für das
Videoformat auswählen
1 Öffnen Sie den Bereich „Voreinstellungen“ und wählen Sie dann „MPEG-1“ aus dem
Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) aus.
Der Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-1“ wird im Fenster „Informationen“ geöffnet
und die Standardeinstellungen im Bereich „Video“ werden angezeigt.
2 Nennen Sie die neue Voreinstellung „MPEG-1 für Internet“.
Click the Automatic
button or choose
a frame rate.
Select Web to set the
resolution to 320 x 240.
Choose the bit rate.
Select to enable
the Video tab.
3 Markieren Sie die Option „Aktiviert“.
4 Klicken Sie auf die Taste „Automatisch“ neben dem Einblendmenü „Bildrate“.
Kapitel 17 Erstellen von MPEG-1-Ausgabedateien 209Sofern Sie die Bildrate des Ausgangsvideos kennen, können Sie im Einblendmenü „Bildrate“
auch „23,976“, „29,97“ oder „25“ wählen.
5 Klicken Sie auf „Internet“.
Damit wird für die Ausgabedatei eine Auflösung von 320 x 240 eingestellt.
6 Wählen Sie die gewünschte Bitrate mit dem Schieberegler „Bitrate“ aus. Alternativ können
Sie auch direkt einen Wert eingeben.
Schritt 2: Auswählen der Audioeinstellungen
In diesem Abschnitt wird beschrieben, wie Sie MPEG-1-Audioeinstellungen für das Internet
erstellen können.
Bereich „Audio“ öffnen und Audioeinstellungen auswählen
1 Klicken Sie im Bereich „Codierer“ auf den Titel „Audio“, um den Bereich „Audio“ zu öffnen.
Select to enable
the Audio tab.
Choose the sample rate.
Select the number
of audio channels.
Choose the bit rate.
2 Markieren Sie die Option „Aktiviert“.
3 Wählen Sie „44,1 kHz“ aus dem Einblendmenü „Abtastrate“ aus.
4 Wenn Sie 2-Kanal-Audioquellen verwenden, wählen Sie „Stereo“. Für 1-Kanal-Audioquellen
verwenden Sie hingegen „Mono“.
5 Wählen Sie die gewünschte Bitrate aus dem Einblendmenü „Bitrate“ aus.
6 Klicken Sie auf „Sichern“ (rechts unten im Fenster „Informationen“), um diese Voreinstellung
zu sichern.
210 Kapitel 17 Erstellen von MPEG-1-AusgabedateienKonfigurieren des MPEG-1-Dateiformats für DVDs
In den folgenden Abschnitten wird beschrieben, wie Sie das MPEG-1-Ausgabedateiformat
für DVDs konfigurieren können. Bei diesem Prozess werden zwei Voreinstellungen erstellt
(eine Voreinstellung für das Video- und eine zweite Voreinstellung für das Audiomaterial).
In beiden Fällen werden Elementarstreams erzeugt.
Schritt 1: Erstellen der Voreinstellung „MPEG-1-Video für DVD“
Erstellen Sie die Voreinstellung für eine MPEG-1-Elementar-Videoausgabedatei, die für
DVD geeignet ist. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen der
Voreinstellung „MPEG-1-Video für DVD“.
Schritt 2: Erstellen der Voreinstellung „MPEG-1-Audio für DVD“
Erstellen Sie die Voreinstellung für eine MPEG-1-Elementar-Audioausgabedatei, die für
DVD geeignet ist. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen der
Voreinstellung „MPEG-1-Audio für DVD“.
Schritt 3: (Optional) Erstellen einer Gruppe und eines Zielorts für „MPEG-1 für DVD“
Optional können Sie Ihre neu erstellten Voreinstellungen in einer eigenen Gruppe mit
dem Namen „MPEG-1 für DVD“ ablegen und einen eigenen Zielort definieren. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Optional—Erstellen einer Gruppe und eines Zielorts
für „MPEG-1 für DVD“.
Erstellen der Voreinstellung „MPEG-1-Video für DVD“
In den folgenden Abschnitten wird beschrieben, wie die Voreinstellung für eine
MPEG-1-Elementar-Videoausgabedatei, die für DVD geeignet ist, erstellt werden kann.
• Schritt 1: Erstellen der Voreinstellung „MPEG-1-Video für DVD“
• Schritt 2: Konfigurieren der Videoeinstellungen
• Schritt 3: Erstellen eines elementaren Videostreams
Schritt 1: Erstellen der Voreinstellung „MPEG-1-Video für DVD“
In diesem Abschnitt wird beschrieben, wie Sie MPEG-1-Videoeinstellungen für DVDs
erstellen können.
Bereich „Voreinstellungen“ öffnen und neue Voreinstellung erstellen
1 Öffnen Sie den Bereich „Voreinstellungen“ und wählen Sie dann „MPEG-1“ aus dem
Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) aus.
Nun wird eine neue Voreinstellung zur Liste der vorhandenen Voreinstellungen
hinzugefügt.
2 Nennen Sie die neue Voreinstellung „MPEG-1-Video für DVD“.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen einer eigenen Voreinstellung.
Kapitel 17 Erstellen von MPEG-1-Ausgabedateien 211Schritt 2: Konfigurieren der Videoeinstellungen
In diesem Abschnitt wird beschrieben, wie Sie MPEG-1-Videoeinstellungen für DVDs
konfigurieren können.
Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-1“ öffnen und Videoeinstellungen für DVD
konfigurieren
1 Klicken Sie auf das Symbol „Codierer“. Wählen Sie dann „MPEG-1“ aus dem Einblendmenü
„Dateiformat“ aus.
2 Klicken Sie im Bereich „Codierer“ auf den Titel „Video“, um den Bereich „Video“ zu öffnen.
Select to enable
the Video tab.
Choose the frame rate.
The file extension
changes to .m1v once
the Audio tab is disabled.
Choose the bit rate.
Select DVD to set the
resolution to match
the frame rate.
3 Markieren Sie die Option „Aktiviert“.
4 Wählen Sie die Bildrate, die zu Ihrem Ausgangsvideo passt, aus dem Einblendmenü
„Bildrate“ aus. Als Optionen werden „29,97“ oder „25“ angeboten.
5 Klicken Sie auf „DVD“.
Nun wird die Auflösung der Ausgabedatei entsprechend der ausgewählten Bildrate
eingestellt.
6 Wählen Sie die passende Bitrate mit dem Schieberegler „Bitrate“ aus. Alternativ können
Sie auch direkt einen Wert eingeben.
Die typische Bitrate für DVD-Projekte beträgt 1,15 MBit/s und die maximal zulässige Rate
1,856 MBit/s.
Schritt 3: Erstellen eines elementaren Videostreams
Damit die Ausgabemediendatei ein elementarer Videostream ist, müssen Sie die
Audioeinstellung deaktivieren.
Audio in der Videovoreinstellung deaktivieren
1 Klicken Sie im Bereich „Codierer“ auf den Titel „Audio“, um den Bereich „Audio“ zu öffnen.
2 Deaktivieren Sie das Markierungsfeld „Aktiviert“.
212 Kapitel 17 Erstellen von MPEG-1-AusgabedateienSo wird sichergestellt, dass diese Voreinstellung lediglich einen elementaren Videostream
erstellt und die Dateierweiterung „.m1v“ lautet.
Deselect to disable
the Audio tab.
3 Klicken Sie auf „Sichern“ (rechts unten im Fenster „Informationen“), um diese Voreinstellung
zu sichern.
Die Voreinstellung „MPEG-1-Video für DVD“ wird gesichert.
Erstellen der Voreinstellung „MPEG-1-Audio für DVD“
In den folgenden Abschnitten wird beschrieben, wie die Voreinstellung für eine
MPEG-1-Elementar-Audioausgabedatei, die für DVD geeignet ist, erstellt werden kann.
• Schritt 1: Erstellen der Voreinstellung „MPEG-1-Audio für DVD“
• Schritt 2: Erstellen eines elementaren Audiostreams
• Schritt 3: Konfigurieren der Audioeinstellungen
Schritt 1: Erstellen der Voreinstellung „MPEG-1-Audio für DVD“
In diesem Abschnitt wird beschrieben, wie Sie MPEG-1-Audioeinstellungen für DVDs
erstellen können.
Bereich „Voreinstellungen“ öffnen und neue Voreinstellung erstellen
1 Öffnen Sie den Bereich „Voreinstellungen“ und klicken Sie auf die Taste „Hinzufügen“ (+).
Nun wird eine neue Voreinstellung zur Liste der vorhandenen Voreinstellungen
hinzugefügt.
2 Nennen Sie die neue Einstellung „MPEG-1-Audio für DVD“.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen einer eigenen Voreinstellung.
Schritt 2: Erstellen eines elementaren Audiostreams
Damit die Ausgabemediendatei ein elementarer Audiostream ist, müssen Sie die
Videoeinstellung deaktivieren.
Kapitel 17 Erstellen von MPEG-1-Ausgabedateien 213Videoeinstellung deaktivieren
1 Klicken Sie auf das Symbol „Codierer“. Wählen Sie dann „MPEG-1“ aus dem Einblendmenü
„Dateiformat“ aus.
2 Klicken Sie im Bereich „Codierer“ auf den Titel „Video“, um den Bereich „Video“ zu öffnen.
Deselect to disable
the Video tab.
The file extension
changes to .m1a once
the Video tab is disabled.
3 Deaktivieren Sie das Markierungsfeld „Aktiviert“.
So wird sichergestellt, dass diese Voreinstellung lediglich einen elementaren Audiostream
erstellt und die Dateierweiterung „.m1a“ lautet.
Schritt 3: Konfigurieren der Audioeinstellungen
Erstellen Sie mithilfe der folgenden Einstellungen eine MPEG-1-Audiodatei für DVD.
Bereich „Audio“ öffnen und Audioeinstellungen für DVD konfigurieren
1 Klicken Sie im Bereich „Codierer“ auf den Titel „Audio“, um den Bereich „Audio“ zu öffnen.
2 Markieren Sie die Option „Aktiviert“.
Choose the 48 kHz
sample rate.
Choose the bit rate.
Select to enable
the Audio tab.
Select either Stereo
or Mono.
3 Wählen Sie „48 kHz“ aus dem Einblendmenü „Abtastrate“ aus.
214 Kapitel 17 Erstellen von MPEG-1-Ausgabedateien4 Wenn Sie 2-Kanal-Audioquellen verwenden, wählen Sie „Stereo“. Für 1-Kanal-Audioquellen
verwenden Sie hingegen „Mono“.
5 Wählen Sie die gewünschte Bitrate aus dem Einblendmenü „Bitrate“ aus.
192 kBit/s und 224 kBit/s werden als typische Werte für DVD-Projekte verwendet.
6 Klicken Sie auf „Sichern“ (rechts unten im Fenster „Informationen“), um diese Voreinstellung
zu sichern.
Die Voreinstellung „MPEG-1-Audio für DVD“ wird gesichert.
Optional—Erstellen einer Gruppe und eines Zielorts für „MPEG-1
für DVD“
Sie können eine Voreinstellungsgruppe mit dem Namen „MPEG-1 für DVD“ erstellen und
auf diese Weise die Verwendung der beiden MPEG-1-Voreinstellungen für eine
Ausgangsmediendatei vereinfachen. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter
Erstellen von Gruppen mit Voreinstellungen.
Kapitel 17 Erstellen von MPEG-1-Ausgabedateien 215Mit den Werkzeugen von Compressor können Sie hochwertige MPEG-2-Dateien erstellen.
MPEG-2 ist ein international anerkannter Komprimierungsstandard, der von der Motion
Picture Experts Group (MPEG) entwickelt wurde. Mit MPEG-2 können Sie Videodateien in
TV-Qualität erstellen. Bei der Entwicklung wurde darauf Wert gelegt, dass Videomaterial
mit hoher Auflösung und hoher Bitrate unterstützt wird. MPEG-2 ist das
Videokomprimierungsformat, das für qualitativ hochwertige Videos auf DVD, für die
Ausstrahlung von HD-Programmen sowie für handelsübliche TV-Satellitensysteme
verwendet wird. Alle DVD-Player sind mit der notwendigen Hardware ausgestattet, um
Videomaterial im Format MPEG-2 abzuspielen.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• MPEG-2-Format (Standard Definition) (S. 217)
• HD-Ausgangsdateien und MPEG-2 (S. 218)
• Elementar-, Transport- und Programmstreams (S. 219)
• Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-2“ (S. 220)
• MPEG-2-Referenzinformationen (S. 233)
• Arbeitsablauf beim Umcodieren in das MPEG-2-Format (S. 238)
• Beispiel für MPEG-2-Einstellungen (S. 244)
MPEG-2-Format (Standard Definition)
Das Format MPEG-2 (Standard Definition) unterstützt die volle Bildrate (23,98-29,97 fps)
und die Vollbildauflösung (720 x 480 für NTSC und 720 x 576 für PAL). MPEG-2 besitzt
folgende Eigenschaften:
• Unterstützung für Interlaced-Video (Video mit Zeilensprungverfahren): MPEG-2 unterstützt
sowohl Videomaterial mit Zeilensprungverfahren (Halbbildverfahren) als auch
progressives Videomaterial (Vollbildverfahren). Da MPEG-2-Streams im Allgemeinen
über ein lokales DVD-Laufwerk wiedergeben werden (und nicht über ein Netzwerk mit
variabler Bandbreite), bleibt die Videobildrate gewöhnlich konstant. Die Videoanzeige
ist in der Regel sehr homogen.
217
Erstellen von
MPEG-2-Ausgabedateien 18• Keine Streaming-Unterstützung: MPEG-2 ist für das Streaming von Videodateien über
das Internet nicht geeignet, da es eine hohe Bitrate erfordert (2 bis 9 MBit/s), wenn
eine akzeptable Bildqualität gewährleistet sein soll.
Der MPEG-2-Codierer von Compressor ist in der Lage, MPEG-2-Videostreams für das
Format „DVD-Video“ zu erstellen. Zum Erstellen von DVDs im Format „DVD-Video“ können
Sie ein DVD-Authoring-Programm in Verbindung mit Compressor verwenden oder die
Aktion „DVD erstellen“ verwenden, die Teil der Vorlage „DVD erstellen“ ist. Weitere
Informationen hierzu finden Sie in den Abschnitten Optionen im Bereich
„Auftragseigenschaft“ und Auswahlfenster für Stapelvorlagen.
HD-Ausgangsdateien und MPEG-2
Compressor bietet mehrere Optionen und Arbeitsabläufe für das Umcodieren von
HD-Ausgangsvideodateien in MPEG-2-Dateien.
HD auf Blu-ray
Compressor kann MPEG-2-Dateien für die Erstellung von Blu-ray-Discs mit HD-Auflösung
entweder aus HD- oder SD-Ausgangsmedien erstellen. Beim Umcodieren in MPEG-2
können die verschiedenen Bildgrößen und Bildraten von HD-Video beibehalten werden.
Zudem unterstützt Compressor die höheren Bitraten, die für das Blu-ray-Format erforderlich
sind. Weitere Informationen zur Erstellung von Ausgabedateien für Blu-ray-Discs finden
Sie unter Einblendmenü „Stream verwenden für“. Unter Optionen im Bereich
„Auftragseigenschaft“ finden Sie Informationen zum Hinzufügen von Blu-ray-Aktionen
zu einem Auftrag.
Hinweis: Die andere Option für Ausgabedateiformate für Blu-ray-Discs ist H.264, auch als
MPEG-4 Part 10 bezeichnet.
Abwärtskonvertierung von HD in SD
Wenn Sie HD-Material in Final Cut Pro bearbeiten und eine DVD im SD-Format daraus
erstellen möchten, bietet sich die Compressor-Funktion für die Abwärtskonvertierung in
hoher Qualität an. Die Compressor-Software speichert bei der Skalierung so viele Details
wie möglich und behält bei der Umcodierung in MPEG-2 für DVD auch die progressiven
und Interlaced-Formate bei.
Auflösung sowie Bildrate des Ausgangsmaterials anzeigen
1 Importieren Sie die Ausgangsmediendatei in das Fenster „Stapel“.
2 Klicken Sie im Fenster „Stapel“ auf den Namen der Ausgangsmediendatei.
Die Auflösung, die Bildrate sowie die Abspieldauer der Ausgangsmediendatei werden
unten links im Fenster „Vorschau“ angezeigt.
218 Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-AusgabedateienElementar-, Transport- und Programmstreams
Es gibt drei gängige Arten von MPEG-2-Streams, die zum Bereitstellen von
MPEG-2-codierten Videodaten verwendet werden.
• Elementarstreams: Diese Streams enthalten nur einen Kanal mit MPEG-2-Inhalt und
keine Audiodaten.
• Transportstreams: Diese Streams können mehrere Kanäle mit MPEG-2-Inhalt und das
dazugehörige Audiomaterial enthalten. Dabei werden alle Kanäle in einem
Multiplex-Stream gebündelt, sodass der Receiver die abzuspielenden Kanäle wählen
kann. Compressor unterstützt das Erstellen von Transportstreams mit einem Kanal, die
optional auch das zugehörige Audiomaterial enthalten können.
Zudem sind Transportstreams robust und können Unterbrechungen im Datenstrom
kompensieren. Aus diesem Grund eignen sie sich besonders für Broadcast- und
Streaming-Programme, bei denen Störsignale oder überlastete Netzwerke zu
Unterbrechungen führen können.
• Programmstreams: Diese Streams enthalten nur einen Kanal mit MPEG-2-Inhalt und
das dazugehörige Audiomaterial. Programmstreams erfordern eine fehlerfreie
Übertragung und werden vor allem für die Speicherung oder Verarbeitung innerhalb
eines Computersystems verwendet.
Standardmäßig generiert der MPEG-2-Codierer von Compressor elementare
MPEG-2-Streams. Sie können den MPEG-2-Codierer so einstellen, dass er Transport- oder
Programmstreams erstellt und im Bereich „Extras“ festlegen, ob die Streams Audiodaten
beinhalten sollen. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Bereich „Extras“.
Hinweis: Mit den Optionen „SD DVD“ und „Blu-ray“ im Einblendmenü „Stream verwenden
für“ werden nur Elementarstreams ausgegeben. Wenn Sie eine dieser Optionen auswählen
und anschließend festlegen, dass die Ausgabe entweder als Transport- oder als
Programmstream erfolgen soll, wird der Verwendungszweck in „Generisch“ geändert.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Einblendmenü „Stream verwenden für“.
Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien 219Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-2“
Dieser Abschnitt enthält ausführliche Informationen über die verschiedenen Bereiche
innerhalb des Bereichs „Codierer“ für das Format „MPEG-2“ im Fenster „Informationen“.
Sie legen alle MPEG-2-Einstellungen in diesen Bereichen fest. Dabei können Sie entweder
eine vorhandene Voreinstellung ändern oder eine neue Voreinstellung im Bereich
„Voreinstellungen“ erstellen.
Grundlegende Einstellungen im Bereich „Codierer“
Der Bereich „Codierer“ enthält die folgenden Elemente (der Bereich „Video“ wird
standardmäßig angezeigt):
• Feld „Suffix“: In diesem Feld wird automatisch die MPEG-2-Dateierweiterung (.m2v)
angezeigt, nachdem MPEG-2 als Ausgabeformat aus dem Einblendmenü „Dateiformat“
ausgewählt wurde.
• Auftragssegmentierung erlauben: Durch Klicken auf dieses Feld können Sie die
Segmentierung von Aufträgen aktivieren bzw. deaktivieren. Dies ist nur dann relevant,
wenn Sie Compressor mit verteilter Verarbeitung und mit einer Multi-Pass-Codierung
verwenden. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und
2-Pass-Codierung oder Multi-Pass-Codierung.
• Einblendmenü „Stream verwenden für“: In diesem Einblendmenü können Sie auswählen,
wie Sie den MPEG-2-Stream voraussichtlich verwenden werden. Compressor passt die
verfügbaren Optionen und Bitratenbereiche an (in Abhängigkeit vom ausgewählten
Verwendungszweck). Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Einblendmenü
„Stream verwenden für“.
• Titel „Videoformat“, „Qualität“, „GOP“ und „Extras“: Über diese Titel öffnen Sie die Bereiche
„Videoformat“, „Qualität“, „GOP“ und „Extras“. Die Einstellungen in diesen Bereichen
werden in den folgenden Abschnitten erläutert.
220 Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-AusgabedateienEinblendmenü „Stream verwenden für“
Durch das Wählen einer Einstellung aus dem Einblendmenü „Stream verwenden für“
stellen Sie sicher, dass der codierte MPEG-2-Stream für Ihren beabsichtigten
Verwendungszweck geeignet ist.
Das Einblendmenü „Stream verwenden für“ enthält unter anderem folgende Optionen:
• Generisch: Die Option „Generisch“ ermöglicht Ihnen den uneingeschränkten Zugriff
auf alle MPEG-2-Codierungsoptionen. Dies ist die einzige Option, die das Videoformat
MPEG-2 640 x 480 zusätzlich zu den SD- und HD-Videoformaten unterstützt. Außerdem
ist es die einzige Option, die das Erstellen von Transport- und Programmstreams
unterstützt. Der komplette Bitratenbereich von 2,0 MBit/s bis 40,0 MBit/s wird unterstützt.
• SDDVD: Die Option „SD DVD“ schränkt die Codierungsoptionen auf diejenigen ein, die
gemäß SD DVD-Spezifikation zulässig sind. Hierzu zählen die NTSC- und
PAL-Videoformate und ein Bitratenbereich von 2,0 MBit/s bis 9,0 MBit/s.
• Blu-ray: Die Option „Blu-ray“ schränkt die Codierungsoptionen auf diejenigen ein, die
für Blu-ray-Video-DVDs zulässig sind. Hierzu zählen die SD- und HD-Videoformate und
ein Bitratenbereich von 10,0 MBit/s bis 40,0 MBit/s.
Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien 221Bereich „Videoformat“
Im Bereich „Videoformat“ nehmen Sie Einstellungen hinsichtlich des Videoformats, der
Bildraten, des Seitenverhältnisses, der Halbbilddominanz und des Timecodes vor. Mit
Ausnahme der Timecode-Einstellung können alle Einstellungen so konfiguriert werden,
dass sie basierend auf dem Videomaterial, das codiert wird, automatisch bestimmt werden.
Folgende Steuerelemente befinden sich im Bereich „Videoformat“.
• Einblendmenü „Videoformat“: Sie haben beim Ausgabeformat der Videodatei die Wahl
zwischen NTSC, PAL, 720p, HD 1440 x 1080, HD 1920 x 1080 oder diversen Varianten
der Formate mit einer Breite von 640 Pixeln. Welche dieser Formate tatsächlich verfügbar
sind, richtet sich nach der Einstellung „Stream verwenden für“. Wenn Sie ein Videoformat
auswählen, werden für die anderen Einstellungen in diesem Bereich entweder
automatisch die Standardwerte angezeigt oder die Einstellungen werden grau
dargestellt (in diesem Fall gibt es keine Optionen für die betreffende Einstellung). Die
Optionen „NTSC“ und „PAL“ beziehen sich auf SD-Einstellungen für die NTSC- und
PAL-TV-Standards. NTSC wird in Nordamerika und Japan verwendet, während PAL in
Europa sehr verbreitet ist.
Generell sollte das Videoformat für die Ausgabe dem des Ausgangsmediums
entsprechen. Wählen Sie für Videomaterial, das mit einem klassischen NTSC- oder
PAL-Camcorder im Zeilensprungverfahren aufgezeichnet wurde, „NTSC“ bzw. „PAL“
aus diesem Einblendmenü aus. Wenn Sie sich nicht sicher sind, welches Videoformat
Ihre Ausgangsmediendatei hat, können Sie hier „Automatisch“ wählen. Bei dieser
Einstellung wird die Bildrate des Ausgangsmedienclips analysiert, um das korrekte
Videoformat zu bestimmen.
222 Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-AusgabedateienWenn Sie für die Bestimmung des Videoformats den automatischen Modus aktivieren
(Taste „Automatisch“), wird die GOP-Größe auf 12 bzw. 15 Bilder beschränkt (je nachdem,
ob das Videomaterial in PAL oder NTSC vorliegt). Es wird ein geschlossenes IBBP-Muster
verwendet. Sie können die Einstellung für die Bildrate in diesem Bereich oder die
GOP-Einstellungen im Bereich „GOP“ nicht ändern, wenn Sie den automatischen Modus
aktiviert haben. Weitere Informationen zu GOPs finden Sie unter Konzept von GOPs
und Bildtypen.
Video Format Automatic
button
Hinweis: Da MPEG-2 feste Videobildgrößen verwendet (vgl. MPEG-2-Videobildgrößen
und -formate), setzt Compressor die Werte für die Bildgröße der Ausgabedatei im
Bereich „Geometrie“ auf der Basis des von Ihnen gewählten Videoformats automatisch
ein.
Das von Ihnen ausgewählte Videoformat bestimmt die Optionen für die zugehörigen
Eigenschaften wie Bildgröße und Bildrate, Seitenverhältnis und Halbbilddominanz.
Hinweis: Die normale Bildgröße für digitales Video im SD-NTSC-Format ist 720 x 486.
Wenn Sie die Originaldatei umcodieren wollen und dabei die Einstellung „NTSC“
verwenden möchten, beschneidet Compressor die Datei so, dass die für MPEG-2
benötigte Bildgröße von 720 x 480 erzielt wird. Dies passiert jedoch nur dann, wenn
Sie noch keine Attribute für das Beschneiden in Ihrer Voreinstellung festgelegt haben.
Haben Sie nichts festgelegt, schneidet Compressor zwei Zeilen mit Pixeln vom oberen
Rand und vier vom unteren Rand ab. Das Attribut für das Beschneiden gilt nur
vorübergehend und wird nicht in der Voreinstellung gesichert. Sie können die
Auswirkungen des Beschneidens sehen, indem Sie die Voreinstellung im Auftrag durch
Doppelklicken auswählen, damit das Fenster „Vorschau“ geöffnet wird.
Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien 223• Einblendmenü „Bildrate“: Wählen Sie die für die MPEG-2-Ausgabedatei vorgesehene
Bildrate aus. Bei Filmaufnahmen und mit einigen Video-Camcordern können Sie
progressives Material mit 24 fps (bzw. 23,98 fps für die NTSC-Variante) aufzeichnen. Die
Bezeichnung „24p“ impliziert zwar, dass es sich um Videomaterial mit einer Bildrate
von 24 fps handelt, aber die Bildrate liegt normalerweise bei 23,976 fps (gerundet auf
23,98) fps. Wenn Sie dieses Ausgangsmaterial für die DVD-Wiedergabe auf
NTSC-Fernsehgeräten umcodieren möchten, wählen Sie die Einstellung „23,98“. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Bildrate 24p (23,98p).
Hinweis: Die NTSC-Bildrate wird häufig mit 29,97 fps (frames per second - Bilder pro
Sekunde) angegeben. In ähnlicher Weise wird die „NTSC-Version“ von 24 fps als 23,98
fps angegeben. Beide Werte sind jedoch Näherungswerte der exakten Werte 30/1,001
und 24/1,001 bzw. 29,97003 und 23,97602, wenn man mehr Dezimalstellen
berücksichtigt. Aus diesen Zahlen ist ersichtlich, dass 29,97 ein guter Näherungswert
für 30/1,001 ist (die Abweichung beträgt lediglich 3 Bilder in 100.000 Sekunden). Der
Wert 23,976 wäre jedoch noch genauer als 23,98. Obwohl der Wert 23,98 in der
Compressor-Hilfe und auf der Compressor-Benutzeroberfläche angegeben wird, arbeitet
Compressor intern mindestens mit einer Präzision von 23,976. Das gleiche gilt auch
allgemein für QuickTime. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Bildrate 24p
(23,98p).
• Einblendmenü „Seitenverhältnis“: Wählen Sie das Seitenverhältnis für Ihre Videodatei
aus. Die Standardeinstellung ist „4:3“. Die Option „16:9“ wird für anamorphotische DVDs
verwendet. Über das Seitenverhältnis legen Sie fest, wie das Bild den Fernsehbildschirm
ausfüllt. Wird eine DVD mit dem Format 16:9 (Breitbild) auf einem regulären
4:3-Fernsehbildschirm angesehen, wird das Bild im so genannten Letterbox-Format
dargestellt (mit schwarzen Balken am oberen und unteren Bildschirmrand). Wird jedoch
eine Breitbild-DVD auf einem Breitbild-Fernsehgerät (16:9) angesehen, ist der Bildschirm
ausgefüllt.
224 Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien• Einblendmenü „Halbbilddominanz“: Wählen Sie mit diesem Einblendmenü aus, ob das
obere oder das untere Halbbild der Interlaced-Ausgangsmediendatei das dominante
(erste) Halbbild in der Ausgabedatei im MPEG-2-Format sein soll. Wenn Sie die Option
„Automatisch“ (die Standardeinstellung) wählen, analysiert Compressor das
Ausgangsvideo und versucht, die Halbbilddominanz automatisch zu bestimmen. Bei
DV-Video ist das untere Halbbild das dominante Halbbild. Diese Einstellung hat für das
Videoformat 720p keine Bedeutung, da dieses Format das progressive Abtastverfahren
verwenden muss.
Hinweis: Beim Zeilensprungverfahren wird das obere Halbbild auch als ungerades
Halbbild bezeichnet. Analog dazu wird das untere Halbbild auch gerades Halbbild
genannt.
• Markierungsfeld und Feld „Start-Timecode auswählen“: Wenn Sie das Markierungsfeld
deaktiviert lassen (Standardeinstellung), integriert Compressor den vorhandenen
Timecode der Ausgangsmediendatei in die Ausgabedatei. Wenn Sie jedoch das
Markierungsfeld auswählen, haben Sie die Möglichkeit, den vorhandenen Timecode
aus der Ausgangsmediendatei außer Kraft zu setzen. Sie können dann einen neuen
Timecode im Feld „Timecode“ eingeben. Das Feld bleibt grau, es sei denn, Sie wählen
das Markierungsfeld aus. Lassen Sie das Feld leer, wird für die Ausgabemediendatei
der Standard-Timecode „00:00:00:00“ verwendet.
• Markierungsfeld „Drop-Frame“: Wenn Sie das Markierungsfeld „Start-Timecode
auswählen“ bereits aktiviert haben und wollen, dass der Timecode im Modus
„Drop-Frame“ (und nicht „Non-Drop-Frame“) verwendet wird, müssen Sie dieses
Markierungsfeld ebenfalls auswählen.
Mithilfe des Timecodes werden die Bilder innerhalb einer Videosequenz nummeriert
und gekennzeichnet. Der Timecode für Videomaterial mit 30 fps hat einen Bildzähler,
der von 0 bis 29 zählt und dann den Sekundenzähler um eins erhöht. Danach kehrt er
auf 0 zurück. Dieser Timecode-Typ – der auch als Non-Drop-Frame-Timecode bezeichnet
wird – misst die Dauer von echten 30-fps-Videos mit hoher Genauigkeit. NTSC hat
jedoch eine Bildrate von 29,97 fps. Darum wurde der Drop-Frame-Timecode definiert,
mit dem eine genauere Messung der Dauer von NTSC-Videos möglich ist. Der
Drop-Frame-Timecode überspringt die Bildnummern 0 und 1 einmal pro Minute (jeweils
zur vollen Minute), außer nach jeder zehnten Minute. Beispielsweise folgt auf den
Timecode 01:08:59;29 im Drop-Frame-Modus der Timecode 01:09:00;02. Die Timecodes
01:09:00;00 und 01:09:00;01 werden also übersprungen.
Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien 225Hinweis: Der Drop Frame-Timecode findet nur Anwendung bei
Interlaced-NTSC-Videomaterial.
Bereich „Qualität“
Der Bereich „Qualität“ enthält Optionen, mit denen Sie die Bitrate für Ihr Video so festlegen
können, dass nach der Umcodierung sowohl die Dateigröße als auch die Qualität
akzeptabel sind.
Zusätzlich zu den Steuerelementen wird unten im Bereich eine Schätzung angezeigt.
Hier können Sie ablesen, wie viele Minuten eines Videofilms auf einer 4,7-GB-DVD
gespeichert werden können, wenn die aktuellen Einstellungen verwendet werden. Diese
Zeitangabe basiert auf der Annahme, dass ein einzelner AIFF-Audiostream mit dem
MPEG-2-Stream verwendet wird.
Folgende Steuerelemente befinden sich im Bereich „Qualität“:
Mode pop-up menu
Time estimate for a 4.7
GB disc with a stereo
AIFF audio stream
Motion Estimation
pop-up menu
• Einblendmenü „Modus“: Hier können Sie einen der folgenden MPEG-2-Codierungsmodi
wählen. Für HD-Qualität eignen sich die Modi „1-Pass-VBR, optimal“ oder „2-Pass-VBR,
optimal“.
• 1-Pass CBR: Wenn Sie diesen Modus verwenden, wird die Bitrate des
MPEG-2-Videostreams von einer GOP zur nächsten in etwa konstant gehalten. Dies
ist der schnellste Codierungsmodus für MPEG-2 in Compressor. Gleichzeitig liefert
dieses Verfahren gute bis sehr gute Qualität, besonders bei Bitraten zwischen 5 und
9 MBit/s.
226 Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien• 1-Pass-VBR: Bei diesem Codierungsmodus mit variabler Bitrate (VBR) steht eine
konstante Qualität der umcodierten Videodatei im Vordergrund (zu Lasten einer
konstanten Bitrate). Das bedeutet, dass das Programm „Compressor“ in Szenen, die
reich an Details oder schnellen Bewegungen sind, eine höhere Bitrate zulässt als an
Stellen des Streams, an denen weniger Details oder unbewegte Bilder vorkommen.
Trotz dieser Variationen in der Bitrate sorgt das Programm „Compressor“ dafür, dass
die von Ihnen angegebene durchschnittliche Bitrate genau erreicht wird und die
maximale Bitrate nicht überschritten wird. Im Gegensatz zum Modus „2-Pass“ führt
der Codierer im Modus „1-Pass-VBR“ vor der Codierung keine Analyse der
Ausgangsmedien durch. Die Bitzuteilung ist deswegen weniger optimiert als im
Modus „2-Pass-VBR“. Dennoch liefert dieser Modus für die meisten SD-Mediendateien
mit Bitraten von 3,5 MBit/s (und mehr) eine gute bis ausgezeichnete Qualität.
Außerdem erfolgt das Umcodieren sehr schnell.
• 1-Pass-VBR, optimal: Dieser Modus ähnelt dem Modus „1-Pass-VBR“, das Programm
„Compressor“ optimiert jedoch die internen Verarbeitungsschritte. Im Modus
„1-Pass-VBR, optimal“ dauert das Umcodieren zwar etwas länger als im Modus
„1-Pass-VBR“, die SD-Videoqualität bei Bitraten zwischen 3 und 3,5 MBit/s (und
darüber) ist jedoch sehr gut bis hervorragend. Die Bitraten für HD-Medien im Format
MPEG-2 können durchschnittlich von 10 bis 29 MBit/s und maximal von 12 bis 29
MBit/s reichen. Verglichen mit „1-Pass-VBR“ liefert der Modus „1-Pass-VBR, optimal“
qualitativ bessere Ergebnisse, besonders bei anspruchsvollem Material mit niedrigen
Bitraten. Wenn Sie für kurze Streams mit einer Dauer von 1 bis 2 Minuten oder weniger
die Codierungsmodi „1-Pass-VBR“ oder „1-Pass-VBR, optimal“ verwenden, kann es
geschehen, dass die durchschnittliche Bitratengenauigkeit um 10 bis 30 Prozent
vermindert wird.
Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien 227• 2-Pass-VBR: In diesem Modus liest Compressor die gesamte Ausgangsvideodatei
zweimal. Im ersten Durchgang analysiert Compressor den gesamten
Ausgangsvideostream, bevor mit dem Umcodieren begonnen wird. Dabei wird für
jede Szene die Komplexität der Codierung bestimmt. Anschließend wird ein Schema
für die Bitratenzuteilung erstellt, bei dem komplexen Szenen höhere Bitraten und
einfachen Szenen niedrigere Bitraten zugewiesen werden. Dabei entspricht die
durchschnittliche Bitrate dem Wert, den Sie angegeben haben. Gleichzeitig wird
sichergestellt, dass die angegebene maximale Bitrate nicht überschritten wird. Im
zweiten Durchgang nimmt Compressor die eigentliche Komprimierung vor. Die
Erstellung der Ausgabevideodatei in MPEG-2 erfolgt dabei auf der Grundlage der
ermittelten Bitratenzuteilung. Wie bei „1-Pass-VBR“ steht auch bei „2-Pass-VBR“ eine
konstante Qualität im Vordergrund (anstelle einer konstanten Bitrate). Im Gegensatz
zu „1-Pass-VBR“ kann der Codierer im Modus „2-Pass-VBR“ zunächst ein Schema
erstellen, wie die Bits innerhalb der gesamten Ausgangsmediendatei am besten
zugeteilt werden, bevor der eigentliche Codierungsprozess beginnt. Allerdings dauert
die Umcodierung im Vergleich zum Modus „1-Pass-VBR“ fast doppelt so lang. Obwohl
die Qualität nicht doppelt so hoch ist wie bei „1-Pass-VBR“, wird insgesamt eine
konstantere Qualität erzielt. Dies gilt besonders für Ausgangsmedien, bei denen der
Unterschied zwischen den komplexen und weniger komplexen Szenen beträchtlich
ist.
• 2-Pass-VBR, optimal: In diesem Modus werden die internen Verarbeitungsschritte im
Vergleich zum Modus „2-Pass-VBR“ optimiert. Das Codieren im Modus „2-Pass-VBR,
optimal“ dauert zwar länger als im Modus „2-Pass-VBR“, dafür erhalten Sie aber die
beste Qualität, die der Compressor-MPEG-2-Codierer zu bieten hat. Dieser Modus
bietet eine hervorragende Qualität bei Bitraten von 3 bis 3,5 MBit/s (und höher) für
SD-Videomaterial. Weitere Informationen zur Verwendung des 2-Pass-Modus mit
Auftragssegmentierung finden Sie unter Auftragssegmentierung und
2-Pass-Codierung oder Multi-Pass-Codierung.
• Schieberegler und Feld „Durchschnittliche Bitrate“: Wählen Sie eine durchschnittliche
Bitrate, indem Sie den Schieberegler bewegen oder im Feld daneben einen Wert
eingeben. Der verfügbare Bereich richtet sich dabei nach der im Einblendmenü „Stream
verwenden für“ ausgewählten Option. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter
Einblendmenü „Stream verwenden für“. Darüber hinaus gibt es die Taste „Automatisch“,
die Sie verwenden können, wenn Compressor die geeignete durchschnittliche und
maximale Bitrate automatisch ermitteln soll.
Hinweis: Die Einstellung für die durchschnittliche Bitrate wirkt sich unmittelbar auf die
Größe der codierten Datei aus. Die Einstellung für die maximale Bitrate hat keine
Auswirkungen auf die Größe der codierten Datei.
228 Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien• Schieberegler und Feld „Maximale Bitrate“: Wählen Sie eine maximale Bitrate, indem Sie
den Schieberegler bewegen oder im Feld daneben einen Wert eingeben. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Informationen zum Wählen von Bitraten. Der
verfügbare Bereich richtet sich dabei nach der im Einblendmenü „Stream verwenden
für“ ausgewählten Option. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Einblendmenü
„Stream verwenden für“.
Hinweis: Der Schieberegler ist nur für die VBR-Modi verfügbar und kann nicht auf einen
Wert unterhalb des Werts für die durchschnittliche Bitrate gesetzt werden. Er ist ebenfalls
nicht verfügbar, wenn die Taste „Automatisch“ aktiviert ist.
• Einblendmenü „Bewegungsschätzung“: Dieses Menü bietet Optionen, mit denen Sie
zwischen Bildqualität und Verarbeitungszeit abwägen können. Dies kommt besonders
bei Ausgangsdateien mit hohem Bewegungsanteil zum Tragen. Die drei Optionen in
diesem Menü werden nachfolgend beschrieben.
• Gut: Diese Einstellung erfordert am wenigsten Verarbeitungszeit. Selbst bei Material
mit hohem Bewegungsanteil zwischen den Bildern können gute Ergebnisse erzielt
werden, sofern die Bewegungsdifferenz zwischen den aufeinander folgenden
Halbbildern (Interfield Motion) nur gering ist. So enthält beispielsweise Material, das
durch Konvertieren der Bildrate oder Anwenden von Effekten bearbeitet wurde, in
der Regel wenig Bewegung zwischen den aufeinander folgenden Halbbildern. Im
Allgemeinen sollte die Einstellung „Gut“ für die 1-Pass-Codierung verwendet werden.
• Besser: Diese Einstellung ist eine Art Universaleinstellung für die Bewegungsschätzung.
Im Modus „Besser“ erzielen Sie auch bei komplexen Bewegungen zwischen den
Halbbildern gute Ergebnisse. Der Modus „Besser“ eignet sich für fast alle Arten von
Videodaten, die im Zeilensprungverfahren aufgezeichnet wurden - sogar für Material,
das mit einem handelsüblichen Camcorder ohne Stativ aufgenommen wurde. Generell
wird empfohlen, die Option „Besser“ für „1-Pass-VBR“ und für „2-Pass-VBR“ zu
verwenden. Wenn Sie ein progressives Videoformat (Vollbildverfahren) verwenden,
wird im Modus „Besser“ die Bewegungsschätzung nur auf Basis der Vollbilder und
nicht der Halbbilder durchgeführt, da dies bei progressivem Videomaterial nicht
relevant ist. In diesem Fall ist die Verarbeitung im Modus „Besser“ etwas schneller.
• Optimal: Diese Einstellung für die Bewegungsschätzung bietet die höchste Qualität
und sollte bei anspruchsvollen und sehr komplexen Bewegungen zwischen den
Halbbildern verwendet werden. Dieser Modus ist langsamer als der Modus „Besser“.
Generell wird empfohlen, dass Sie den Modus „Optimal“ verwenden, um die Qualität
zu optimieren, wenn Sie mit „1-Pass-VBR, optimal“ oder „2-Pass-VBR, optimal“ arbeiten.
Bereich „GOP“
Im Bereich „GOP“ (Group of Pictures) können Sie ein GOP-Format, ein GOP-Muster sowie
eine GOP-Größe auswählen. Verwenden Sie hierfür die nachfolgend beschriebenen
Steuerelemente. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Konzept von GOPs und
Bildtypen.
Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien 229Hinweis: Wenn Sie im Bereich „Videoformat“ eines der HD-Videoformate wählen, können
die Einstellungen im Bereich „GOP“ nicht verändert werden und es wird standardmäßig
eine geschlossene IBBP-GOP-Struktur mit einer Größe von entweder 12 Bildern (für PAL)
oder 15 Bildern (für NTSC) festgelegt.
• Einblendmenü „GOP-Muster“: Die in diesem Einblendmenü ausgewählte GOP-Struktur
legt fest, ob zwischen den Referenzbildern innerhalb einer GOP zwei, ein oder kein
B-Bild enthalten sein soll. Die GOP-Struktur bestimmt zusammen mit der GOP-Größe,
wie viele I-Bilder (Intra-Frames), P-Bilder (Predictive Frames) und B-Bilder (Bidirectional
Frames) innerhalb einer GOP während der Codierung verwendet werden sollen. Wählen
Sie eine der folgenden Optionen:
Hinweis: Soll eine MPEG-2-Codierung für DVDs erfolgen, können Sie in den meisten
Fällen die Option „IBBP“ für das GOP-Muster (GOP-Struktur) und eine GOP-Größe von
15 für NTSC bzw. 12 für PAL auswählen. Mit diesen Einstellungen können in der Regel
die besten Ergebnisse erzielt werden. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter
GOP-Muster.
• IP: Bei dieser Einstellung werden keine B-Bilder verwendet. Wählen Sie die Option
„IP“ nur, wenn Ihre Medien schnelle Bewegungen enthalten, die bei Verwendung
einer IBBP- oder IBP-Struktur nicht mit akzeptabler Qualität codiert würden.
• IBP: Im Modus „IBP“ wird ein B-Bild zwischen den Referenzbildern (I-Bildern und
P-Bildern) verwendet. Wählen Sie diese Einstellung nur, wenn Ihre Medien schnelle
Bewegungen enthalten, die bei Verwendung einer IBBP-Struktur nicht mit akzeptabler
Qualität codiert würden.
• IBBP: Die Option „IBBP“ ist für die meisten MPEG-2-Codierungen geeignet. Sie
verwendet eine GOP-Größe von 15 Bildern für NTSC oder von 12 Bildern für PAL. Bei
dieser Option werden zwei B-Bilder zwischen den Referenzbildern verwendet.
230 Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien• Optionen „Offen“ und „Geschlossen“: Geschlossene GOPs enthalten kein Bild, das sich
auf ein Bild in der vorigen oder nächsten GOP bezieht. Offene GOPs hingegen beginnen
mit mindestens einem B-Bild, das sich auf das letzte P-Bild der vorigen GOP bezieht.
Geschlossene GOPs, die mithilfe des Compressor-MPEG-2-Codierers erstellt wurden,
beginnen mit einem I-Bild. Wählen Sie den GOP-Typ (offen oder geschlossen) in
Abhängigkeit davon, ob und in welcher Form Sie Kapitel-Marker für das DVD-Authoring
erstellen wollen bzw. abhängig davon, ob Sie Videos mit mehreren Kameraperspektiven
verwenden wollen. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Offene und
geschlossene GOPs.
• Offen: Wählen Sie diese Option, um offene GOPs zu erzeugen.
• Geschlossen: Wählen Sie diese Option, um geschlossene GOPs zu erzeugen.
• Einblendmenü „GOP-Größe“: Wählen Sie in diesem Einblendmenü aus, wie viele Bilder
in einer GOP enthalten sein sollen (abhängig von der ausgewählten GOP-Struktur). Die
maximale GOP-Größe, die Sie in Compressor wählen können, ist 15 Bilder für NTSC
oder 12 Bilder für PAL und 720P. Die kleinste GOP-Größe für alle Videoformate beträgt
6 Bilder bei geschlossener GOP oder 7 Bilder bei offener GOP. Das GOP-Muster ergibt
sich aus der Beziehung zwischen GOP-Struktur und GOP-Größe. Weitere Informationen
hierzu finden Sie in den Abschnitten Konzept von GOPs und Bildtypen und GOP-Größe.
• Feld „Muster“: Der Wert in diesem Feld kann nicht geändert werden. Hier wird das
tatsächliche GOP-Muster basierend auf der ausgewählten GOP-Struktur und der
GOP-Größe angezeigt.
Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien 231Bereich „Extras“
Im Bereich „Extras“ können Sie festlegen, welche spezifischen MPEG-2-Informationen für
das Authoring integriert bzw. nicht integriert werden sollen. Der Bereich „Extras“ umfasst
die folgenden Steuerelemente:
• DVD Studio Pro-Metadaten hinzufügen: Ist dieses Feld ausgewählt, kann Compressor
bestimmte MPEG-2-Authoring-Informationen während des Umcodierungsprozesses
analysieren. Dadurch wird der Importvorgang in DVD Studio Pro beschleunigt. Diese
MPEG-2-Dateien sind jedoch mit DVD Studio Pro 1.5 (oder früheren Versionen) nicht
kompatibel. Wenn Sie das Feld nicht markieren, bedeutet dies, dass die Analyse der
Informationen später in DVD Studio Pro stattfindet.
Hinweis: MPEG-2-Streams mit zusätzlichen DVD Studio Pro-Metadaten sind nur
kompatibel mit DVD Studio Pro 2 (oder neuer). MPEG-2-Streams, für die dieses Feld
aktiviert ist, sind nicht mit Versionen vor DVD Studio Pro 2 bzw. mit anderen
DVD-Authoring-Programmen kompatibel. Dieses Feld ist bei allen
Apple-Voreinstellungen standardmäßig aktiviert. Um eine Kompatibilität Ihrer
MPEG-2-Dateien mit anderen DVD-Authoring-Programmen zu erreichen, müssen Sie
dieses Feld deaktivieren und die Voreinstellung danach sichern.
• Nur Kapitel-Marker miteinbeziehen: Wenn Sie dieses Feld markieren, werden unbenannte
Kompressions-Marker aus dem Stream ausgeschlossen. Die Kapitel-Marker bleiben
jedoch erhalten. Bleibt das Feld unmarkiert, können alle Marker in der
Ausgabemediendatei erkannt werden. Weitere Informationen zu Kapitel-Markern finden
Sie unter Hinzufügen von Kompressions- oder Podcast-Markern zu einem Clip.
• YUV 4:2:2-Farbcodierung (nicht für DVDs): Mit diesem Feld können Sie die
4:2:2-Farbcodierung aktivieren. Diese Option wird bei der Erstellung von Elementar-,
Programm- und Transport-MPEG-2-Streams unterstützt, aber sie ist nur verfügbar, wenn
im Einblendmenü „Stream verwenden für“ die Option „Generisch“ ausgewählt wurde.
• Multiplex MPEG-1-/Layer 2 Audio: Markieren Sie dieses Feld, um einen Multiplex-Stream
anstelle eines Elementarstreams zu erstellen. Die Ausgabedatei kann entweder als
Transportstream oder als Programmstream erstellt werden. Weitere Informationen zu
den Unterschieden zwischen verschiedenen Streamtypen finden Sie unter Elementar-,
Transport- und Programmstreams.
232 Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-AusgabedateienDas Audiomaterial in diesem Stream hat das Format MPEG-1 Layer 2, mit einer Abtastrate
von 44,1 kHz bzw. 48 kHz (abhängig von der Quelle) und einer Bitrate von 384 kBit/s.
Informationen zum Erstellen eines reinen Audio-Elementarstreams (MPEG-1/Layer 2
Audio) finden Sie unter Erstellen der Voreinstellung „MPEG-1-Audio für DVD“.
Wichtig: Die Option „Generisch“ ist die einzige Einstellung im Einblendmenü „Stream
verwenden für“, die sowohl Transport- als auch Programmstreams unterstützt. Bei
Markieren des Felds „Multiplex MPEG-1/Layer 2 Audio“ wird Ihr
Stream-Verwendungszweck automatisch auf „Generisch“ gesetzt, falls diese Einstellung
nicht bereits ausgewählt war.
MPEG-2-Referenzinformationen
Die folgenden Abschnitte enthalten nützliche Informationen zur Erstellung von
MPEG-2-Ausgabemediendateien.
Informationen zum Wählen von Bitraten
Wenn Sie die durchschnittliche und maximale Bitrate für die standardmäßige
DVD-Wiedergabe bestimmen, ist es wichtig, auch die Bitrate für die Audiospur sowie die
Bitrate für das Format MPEG-2 zu berücksichtigen.
Die Summe der durchschnittlichen sowie der maximalen Audio- und Videobitraten muss
unter 10,08 MBit/s liegen, denn dies ist die maximale Übertragungsrate, die von
handelsüblichen DVD-Playern gewährleistet wird. Da DVD-kompatible Audioformate
konstante Bitraten (CBR) haben, brauchen Sie sich um die maximale Audiobitrate keine
Gedanken zu machen.
Wenn Sie also beispielsweise Audiomaterial in AIFF mit 1,5 MBit/s verwenden, sollten
sowohl der durchschnittliche als auch der maximale Wert der Videobitrate unter 8,5 MBit/s
liegen. Normalerweise wird die durchschnittliche Bitrate darunter liegen (z. B. 3,5 MBit/s
für 2 Stunden Material auf DVD). Die maximale Bitrate muss jedoch ebenfalls unterhalb
dieses Werts bleiben. Eine maximale Bitrate von 8,0 MBit/s wird empfohlen, um einen
Spielraum zu haben, falls Probleme auftreten (z. B. wenn Sie Streams mit Untertiteln
unterbringen müssen). Wenn Sie ein DVD-kompatibles komprimiertes Audioformat wie
Dolby Digital oder MPEG-1/Layer-2 verwenden, kann Ihre Audiobitrate unter Umständen
nur bei 0,2 bis 0,4 MBit/s liegen. In diesem Fall können Sie Ihre maximale Bitrate auf 1
MBit/s und höher einstellen.
Im Allgemeinen sollten Sie die maximale Bitrate so festlegen, dass sie mindestens um 1
MBit/s höher ist als die durchschnittliche Bitrate. Dadurch gewähren Sie einen gewissen
Spielraum für Schwankungen in der Bitrate und erzielen somit ein gleichbleibendes
Qualitätsniveau.
Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien 233MPEG-2-Videobildgrößen und -formate
Da MPEG-2 feste Videobildgrößen verwendet, setzt Compressor die Werte für die Bildgröße
der Ausgabedatei im Bereich „Geometrie“ auf der Basis des von Ihnen gewählten
Videoformats automatisch ein.
Das von Ihnen im Einblendmenü „Videoformat“ ausgewählte Videoformat bestimmt die
Optionen für die zugehörigen Eigenschaften wie Bildgröße und Bildrate, Seitenverhältnis
und Halbbilddominanz. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Bereich
„Videoformat“.
Bildrate (in fps) Seitenverhältnis Abtastverfahren
Bildgröße (in
Videoformat Pixeln)
Interlaced,
progressiv
23,98 (nur 4:3 oder 16:9
progressiv); 29,97
NTSC 720 x 480
Interlaced,
progressiv
PAL 720 x 576 25 4:3 oder 16:9
23,98; 25; 29,97; 16:9 Progressiv
50; 59,94
720p 1280 x 720
Interlaced,
progressiv
23,98 (nur 16:9
progressiv); 25;
29,97
HD 1440 x 1080 1440 x 1080
Interlaced,
progressiv
23,98 (nur 16:9
progressiv); 25;
29,97
HD 1920 x 1080 1920 x 1080
Interlaced,
progressiv
640 x 480 (1,33) 640 x 480 23,98; 25; 29,97 4:3 oder 16:9
Interlaced,
progressiv
640 x 360 (1,78) 640 x 360 23,98; 25; 29,97 4:3 oder 16:9
Interlaced,
progressiv
640 x 352 (1,82) 640 x 352 23,98; 25; 29,97 4:3 oder 16:9
Interlaced,
progressiv
640 x 384 (1,67) 640 x 384 23,98; 25; 29,97 4:3 oder 16:9
Interlaced,
progressiv
640 x 320 (2,00) 640 x 320 23,98; 25; 29,97 4:3 oder 16:9
234 Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-AusgabedateienKonzept von GOPs und Bildtypen
Ein wichtiges Leistungsmerkmal der MPEG-2-Codierung besteht darin, dass Redundanzen
entfernt werden können, und zwar nicht nur innerhalb eines Bildes, sondern auch innerhalb
einer Gruppe von Bildern. MPEG-2 verwendet bei der Wiedergabe von Videomaterial drei
Bildtypen (I-, P- und B-Bilder). Eine GOP-Einstellung (GOP - Group of Pictures) definiert
dabei das Muster der drei verwendeten Bildtypen. Die drei Bildtypen sind wie folgt
definiert:
• Intra (I): Wird auch als Keyframe bezeichnet. Jede GOP enthält ein I-Bild. Das I-Bild ist
der einzige MPEG-2-Bildtyp, der komplett dekomprimiert werden kann und keine
Referenzen auf vorherige oder nachfolgende Bilder enthält. I-Bilder sind datenintensiv
und erfordern daher den meisten Speicherplatz. Wenn Sie bei einem Szenenwechsel
oder an einer anderen wichtigen Stelle ein I-Bild platzieren möchten, müssen Sie dieses
manuell einfügen. Verwenden Sie hierfür das Fenster „Vorschau“. Dies wird auch als
erzwungenes I-Bild bezeichnet. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Arbeiten
mit Markern und Posterbildern.
• Prädiktiv (P): P-Bilder werden „prädiktiv“ codiert, d. h., es wird die Differenz zum
vorherigen I- oder P-Bild codiert. P-Bilder benötigen normalerweise wesentlich weniger
Speicherplatz als I-Bilder, weil sie ein vorheriges I- oder P-Bild innerhalb der GOP als
Referenz nutzen.
Hinweis: Sowohl I-Bilder als auch P-Bilder werden häufig als Referenzbilder bezeichnet,
da sich ein B-Bild auf einen oder beide dieser Bildtypen beziehen kann.
• Bidirektional (B): B-Bilder werden auf der Basis einer Interpolation von vorherigen und
nachfolgenden Referenzbildern codiert, bei denen es sich entweder um I-Bilder oder
um P-Bilder handeln kann. B-Bilder sind der speichereffizienteste MPEG-2-Bildtyp, da
sie am wenigsten Speicherplatz erfordern.
Durch die Verwendung von B- und P-Bildern ist es möglich, dass MPEG-2 zeitliche
Redundanzen entfernt und Videomaterial sehr effizient komprimiert.
Kriterien bei der Wahl von GOP-Einstellungen
Bei der Wahl von GOP-Einstellungen sollten Sie die folgenden Aspekte berücksichtigen.
GOP-Muster
Die ausgewählte GOP-Struktur (Einblendmenü „GOP-Muster“) legt fest, ob zwischen den
Referenzbildern innerhalb einer GOP zwei, ein oder kein B-Bild enthalten sein soll. Die
GOP-Struktur bestimmt zusammen mit der GOP-Größe, wie viele I-, P- und B-Bilder
während der Umcodierung verwendet werden.
Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien 235Die Wahl der GOP-Struktur hängt davon ab, wie weit die P-Bilder voneinander entfernt
sein sollen. Da ein P-Bild durch eine prädiktive Codierung aus dem vorherigen Referenzbild
entsteht (dies kann ein I-Bild oder ein P-Bild sein), muss die prädiktive Codierung im Falle
des Vorhandenseins von zwei B-Bildern zwischen den P-Bildern die Distanz berücksichtigen,
um die sich die Objekte während der Dauer von zwei bis drei Bildern bewegen.
Prinzipiell gilt: Je geringer die Bewegungsdifferenz zwischen einem Bild und dem nächsten
ist, desto weiter können die P-Bilder auseinander liegen und desto mehr kann die Datei
komprimiert werden. Die IBBP-Struktur ist für die meisten Videodateien geeignet. Enthält
das Videomaterial jedoch über die gesamte Sequenz ungewöhnlich schnelle Bewegungen,
ist unter Umständen eine IBP- oder IP-Struktur besser geeignet. In solchen Fällen dürfte
eine relativ hohe Bitrate (6 bis 8 MBit/s für SD-Video) erforderlich sein, um eine gute
Qualität zu erzielen.
GOP-Größe
Die ausgewählte GOP-Größe (Einblendmenü „GOP-Größe“) gibt an, wie viele Bilder in
einer GOP enthalten sind. Da in jeder GOP genau ein I-Bild vorkommt, lassen sich
GOP-Strukturen mit höheren Werten für die GOP-Größe (längere Muster) in der Regel
stärker komprimieren, da B- und P-Bilder kleiner sind als I-Bilder.
Für die meisten Medien führt ein Abstand von einer halben Sekunde zwischen den
I-Bildern zu guten Ergebnissen. Dies entspricht einer GOP-Größe von 15 Bildern für NTSC
und 12 Bildern für PAL. Die DV-Video-Spezifikation lässt keine GOP-Größen zu, die
wesentlich über diese Werte hinausgehen. Kürzere GOP-Größen sind im Allgemeinen nur
für Material von Vorteil, das häufige Szenenwechsel im Abstand von weniger als einer
halben Sekunde enthält.
Offene und geschlossene GOPs
Offene GOPs sind sehr effizient, da sie ein zusätzliches B-Bild im GOP-Muster zulassen.
Offene GOPs beginnen mit einem B-Bild, das sowohl das letzte P-Bild aus der vorherigen
GOP als auch das erste I-Bild der eigenen GOP als Referenzbild verwenden kann.
:06 :07 :08 :09
:09
:04 :05 :10 :11 :12 :13 :14 :15 :16 :17 :18 :19 :20 :21
Open GOP
(IBBP, 15 frames)
P B B I B B P B B P B B P B B P B B I
:03
:04 :05 :06 :07 :08 :10 :11 :12 :13 :14 :15 :16 :17 :18
Closed GOP
(IBBP, 15 frames)
I B B P B B P B B P B B P B P
236 Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-AusgabedateienPer Definition darf eine geschlossene GOP kein Bild enthalten, das sich auf ein Bild in der
vorherigen oder nachfolgenden GOP bezieht. Im Gegensatz dazu beginnen offene GOPs
mit einem oder mehreren B-Bildern, die sich auf das letzte P-Bild der vorherigen GOP
beziehen. Mit Compressor erstellte geschlossene GOPs beginnen stets mit einem I-Bild.
Offene GOPs lassen sich im Allgemeinen etwas besser komprimieren als geschlossene
GOPs derselben Struktur und Größe. Die Abbildung weiter oben zeigt, dass eine
geschlossene GOP ein P-Bild mehr enthält als eine offene GOP derselben Länge. Da
P-Bilder üblicherweise mehr Bit erfordern als B-Bilder, ist die offene GOP etwas besser
komprimierbar.
Es gibt einige Einschränkungen in Bezug auf die Verwendung von offenen GOPs für DVDs
mit dem Format „DVD-Video“, die mit einem DVD-Authoring-Programm erstellt werden.
Eine Einschränkung besteht darin, dass innerhalb von MPEG-2-Streams, die für Multi-Angleoder Mixed-Angle-DVDs verwendet werden, nur geschlossene GOPs zulässig sind.
Eine weitere Einschränkung ist, dass DVD-Kapitel-Marker nur am Anfang einer
geschlossenen GOP gesetzt werden können. Am besten ist es, wenn Sie die Kapitel-Marker
definieren, bevor Sie mit der Umcodierung in MPEG-2 beginnen. Wenn Sie beispielsweise
die Kapitel-Marker in Final Cut Pro festlegen, können Sie Compressor so einstellen, dass
die Codierung in MPEG-2 mit offenen GOPs vorgenommen wird. Compressor veranlasst
dann, dass eine geschlossene GOP jeweils nur an den festgelegten Kapitel-Markern
beginnen darf. Alle anderen GOPs werden zu offenen GOPs. Das gleiche Ergebnis können
Sie erzielen, indem Sie „erzwungene I-Bilder“ im Fenster „Vorschau“ von Compressor
definieren. Geben Sie diesen dann einen Kapitelnamen, der vom DVD-Authoring-Programm
verwendet werden soll.
Wenn Sie jedoch Kapitel-Marker an einer beliebigen GOP-Grenze einfügen wollen,
nachdem Ihr Videomaterial in das Format MPEG-2 umcodiert wurde, sollten Sie nur
geschlossene GOPs verwenden. Beachten Sie dabei, dass Sie Kapitel-Marker nur an
GOP-Grenzen einfügen können und nicht an jedem beliebigen Bild im Videomaterial.
Bildrate 24p (23,98p)
Im Zusammenhang mit DVD-Authoring und Codierung bezieht sich 24p auf eine
Videosequenz, die 24 progressive Bilder (Vollbilder) pro Sekunde enthält. Dabei wird eine
NTSC-SD-Bildgröße verwendet (720 x 480 für MPEG-2). Auf Film aufgezeichnetes
Videomaterial (im Gegensatz zu auf Band aufgezeichnetem Videomaterial) hat eine native
Bildrate von 24 fps. Da das MPEG-2-Format in der Lage ist, Videomaterial intern mit 24
fps wiederzugeben, werden viele kommerzielle Film-DVDs auf diese Weise codiert.
Allerdings wird bei der Verwendung von NTSC-Video die Bildrate von Material, das von
Film übertragen wurde, von 24 fps auf 23,976 fps (gerundet auf 23,98) reduziert. Außerdem
wird ein 2:3:2:3-Pulldown hinzugefügt. Die exakte Bezeichnung für die Bildrate „24p“ wäre
also eigentlich 23,98p.
Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien 237Compressor kann dieses Verfahren auch auf 24p-Ausgangsvideodateien anwenden. Für
solches Material komprimiert die Bildratenoption „23,98“ (im Bereich „Videoformat“) jedes
Originalbild eins zu eins. Bildwiederholungen oder Halbbilder werden dabei nicht
komprimiert, damit eine Wiedergaberate von 29,97 fps erreicht wird. Das Ergebnis ist
eine höhere Qualität bei einer niedrigeren Bitrate bei der Komprimierung als dies möglich
wäre, wenn das 24p-Material vor dem Umcodieren in 29,97 fps konvertiert würde.
Compressor setzt darüber hinaus die internen MPEG-2-Bildmarkierungen (Flags) korrekt,
sodass DVD-Player den 3:2-Pulldown-Prozess richtig anwenden, wenn das Material mit
29,97 fps auf NTSC-Fernsehbildschirmen im Zeilensprungverfahren angezeigt wird.
Hinweis: Hat Ihr Ausgangsvideo eine Bildrate von 24,00 fps anstatt 23,98 fps, überspringt
Compressor pro 1000 Bilder im Ausgangsmaterial je ein Bild. Liegt das 24p-Ausgangsvideo
mit einer Bildrate von 23,98 fps vor, codiert Compressor alle Ausgangsbilder um, ohne
dass Bilder ausgelassen (oder wiederholt) werden.
Arbeitsablauf beim Umcodieren in das MPEG-2-Format
Dieser Abschnitt enthält schrittweise Anleitungen, die Ihnen bei der Festlegung der
MPEG-2-Einstellungen helfen sollen, bevor Sie MPEG-2-Ausgabedateien mit Compressor
erstellen. Legen Sie die MPEG-2-Einstellungen im Bereich „Codierer“ für das Format
„MPEG-2“ fest, indem Sie entweder eine vorhandene Voreinstellung ändern oder eine
neue Voreinstellung erstellen.
Führen Sie die folgenden Schritte aus, um mit dem MPEG-2-Ausgabedateiformat zu
arbeiten. Beispielwerte für diese Einstellungen finden Sie unter Beispiel für
MPEG-2-Einstellungen.
• Schritt 1: Auswählen von Einstellungen für das Videoformat
• Schritt 2: Auswahl der Qualitätseinstellungen
• Schritt 3: Auswählen von GOP-Voreinstellungen
• Schritt 4: Auswählen zusätzlicher Einstellungen
Schritt 1: Auswählen von Einstellungen für das Videoformat
Es ist sehr wichtig, dass die Einstellungen für Videoformat, Seitenverhältnis und
Halbbilddominanz mit denen Ihrer Ausgangsmediendatei übereinstimmen. Eine genauere
Beschreibung der einzelnen Einstellungen finden Sie unter Bereich „Videoformat“.
Hinweis: Sie können am einfachsten sicherstellen, dass die Einstellungen mit denen der
Ausgangsmediendatei übereinstimmen, indem Sie den automatischen Modus aktivieren
(Taste „Automatisch“). Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Automatische
Einstellungen.
238 Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-AusgabedateienBereich „Codierer“ für das Format „MPEG-2“ öffnen und Einstellungen für das
Videoformat auswählen
1 Öffnen Sie den Bereich „Voreinstellungen“ und wählen Sie dann „MPEG-2“ aus dem
Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) aus.
Der Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-2“ wird im Fenster „Informationen“ geöffnet
und im Bereich „Videoformat“ werden die Standardeinstellungen angezeigt.
Manually configure these
settings if you do not
intend to match the
source media file.
Select the Automatic
buttons to have the
encoder match the
source media file.
Choose the type
of MPEG-2 stream
to create.
2 Wählen Sie die Einstellung aus dem Einblendmenü „Stream verwenden für“ aus, die dem
Verwendungszweck für das codierte Videomaterial entspricht. Damit stellen Sie sicher,
dass die Optionen für die MPEG-2-Codierung auf diejenigen beschränkt sind, die für den
Verwendungszweck unterstützt werden. Unter anderem sind folgende Optionen verfügbar:
• Generisch
• SD DVD
• Blu-ray
3 Wählen Sie ein Format aus dem Einblendmenü „Videoformat“ aus oder klicken Sie auf
die zugehörige Taste „Automatisch“:
• NTSC (Standard)
• PAL
• 720p
• HD 1440 x 1080
• HD 1920 x 1080
• 640 x 480
Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien 239• 640 x 360
• 640 x 352
• 640 x 384
• 640 x 320
4 Wählen Sie ein Seitenverhältnis aus dem Einblendmenü „Seitenverhältnis“ aus oder klicken
Sie auf die zugehörige Taste „Automatisch“:
Bevor Sie das Seitenverhältnis wählen, müssen Sie festlegen, ob das Ausgabevideo im
Format 4:3 (normal) oder 16:9 (Breitbild) angezeigt werden soll.
5 Wählen Sie basierend auf dem Typ Ihres Ausgangsmediums eine Einstellung für die
Halbbilddominanz aus dem Einblendmenü „Halbbilddominanz“ aus. Für DV sollten Sie
beispielsweise die Option „Unten“ wählen. Oder klicken Sie auf die Taste „Automatisch“,
um die Einstellung durch Compressor vornehmen zu lassen.
6 Wenn Sie den Timecode aus Ihrem Ausgangsvideo verwenden wollen, lassen Sie das Feld
„Start-Timecode auswählen“ unmarkiert. Wenn nicht, markieren Sie das Feld und geben
Sie einen neuen Timecode ein.
7 Wenn Sie das Feld „Start-Timecode auswählen“ markiert haben und Ihr Videoformat NTSC
ist, wählen Sie das Markierungsfeld „Drop-Frame“ aus, wenn Sie den Drop-Frame-Timecode
(und nicht den Non-Drop-Frame-Timecode) verwenden wollen.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Bereich „Videoformat“.
Schritt 2: Auswahl der Qualitätseinstellungen
Im Bereich „Qualität“ legen Sie die Attribute für die MPEG-2-Codierung fest, durch die die
Qualität der MPEG-2-Videoausgabedatei am stärksten beeinflusst werden:
Codierungsmodus, durchschnittliche und maximale Bitrate sowie Art der
Bewegungsschätzung.
Bereich „Qualität“ öffnen und Einstellungen für die Qualität auswählen
1 Klicken Sie im Bereich „Codierer“ auf den Titel „Qualität“, um den Bereich „Qualität“ zu
öffnen.
Choose a Motion
Estimation setting.
Choose a mode that
fits your time and
quality requirements.
Choose bit rates that
fit your file size and
quality requirements.
2 Wählen Sie eine Option aus dem Einblendmenü „Modus“ aus.
240 Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-AusgabedateienWählen Sie „1-Pass-VBR, optimal“ oder „2-Pass-VBR, optimal“, um die beste Bildqualität
zu erhalten. Wählen Sie „1-Pass-VBR“ oder „2-Pass-VBR“, um eine ausgezeichnete
Bildqualität bei schnellerer Codierung zu erhalten. Für HD-Ausgangsmedien wählen Sie
entweder „1-Pass-VBR, optimal“ oder „2-Pass-VBR, optimal“.
Im 2-Pass-Modus wird die Ausgangsmediendatei im ersten Durchgang analysiert und im
zweiten Durchgang umcodiert. Dabei werden die Bitraten auf den jeweiligen Inhalt des
Videomaterials abgestimmt. Bei den 1-Pass-Modi erfolgt die Codierung hingegen schneller.
Die Zuteilung der Bits ist jedoch nicht optimiert wie bei den entsprechenden Modi mit
zwei Durchgängen.
Hinweis: Wenn Sie 2-Pass-VBR bei aktivierter verteilter Verarbeitung verwenden, empfiehlt
es sich, das Feld „Auftragssegmentierung erlauben“ im Bereich „Codierer“ zu deaktivieren.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und
2-Pass-Codierung oder Multi-Pass-Codierung.
3 Stellen Sie mithilfe des Schiebereglers „Durchschnittliche Bitrate“ bzw. mit dem
zugehörigen Feld die durchschnittliche Bitrate ein oder klicken Sie auf die Taste
„Automatisch“.
Wählen Sie eine geeignete Bitrate aus (basierend auf dem Inhalt und der Länge Ihres
Ausgangsvideos und der gewünschten Größe (in Byte) Ihrer Ausgabedatei). Beim
DVD-Authoring muss das gesamte Videomaterial auf eine DVD passen. Darum gilt: je
niedriger die Bitrate, desto mehr Daten können Sie speichern. Andererseits gilt auch
Folgendes: je höher die Bitrate, desto besser die Bildqualität.
Wenn Sie den Wert für die durchschnittliche Bitrate (mithilfe des Schiebereglers oder des
Felds) ändern, zeigt der Bitratenrechner unten im Bereich „Qualität“ die maximale
Videodauer auf einer DVD-5 an (in Minuten). Der Rechner geht dabei von einer Bitrate
von 1,5 MBit/s für Audio (2-Kanal-AIFF) aus.
In der nachfolgenden Tabelle finden Sie einige durchschnittliche Bitraten mit der
zugehörigen Videodauer für eine DVD mit 4,7 GB:
4 Verwenden Sie den Schieberegler oder das Feld „Maximale Bitrate“ zum Festlegen einer
maximalen Bitrate (falls verfügbar).
Da SD-DVD-Player Spitzenraten von bis zu 10,08 MBit/s für Video- und Audiomaterial
unterstützen, sollten Sie die maximale Videobitrate zwischen 8,0 und 8,5 MBit/s festlegen,
falls Sie eine Audiospur mit 1,5 MBit/s (2-Kanal AIFF) verwenden.
Hinweis: Damit Sie optimale Ergebnisse erzielen, vergewissern Sie sich, dass für die
maximale Bitrate ein Wert eingestellt ist, der um mindestens 1 MBit/s über der
durchschnittlichen Bitrate liegt. Größere Unterschiede zwischen beiden Werten können
zu besseren Ergebnissen führen.
Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien 2415 Wählen Sie eine der folgenden Einstellungen aus dem Einblendmenü
„Bewegungsschätzung“ aus:
• Gut: Diese Einstellung erfordert am wenigsten Verarbeitungszeit und ist ausreichend,
wenn die Bewegungsunterschiede zwischen den einzelnen Bildern relativ gering sind.
• Besser: Diese Einstellung ist eine Art Universaleinstellung, die auch bei komplexen
Bewegungen zwischen den Halbbildern sehr gute Ergebnisse liefert.
• Optimal: Diese Einstellung bietet die höchste Qualität und sollte für Material mit
anspruchsvollen und komplexen Bewegungen zwischen den Halbbildern verwendet
werden. Die Verarbeitung erfolgt etwas langsamer als im Modus „Besser“.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Bereich „Qualität“.
In der nachfolgenden Tabelle finden Sie einige durchschnittliche Bitraten mit der
zugehörigen Videodauer für eine DVD mit 4,7 GB:
Durchschnittliche Bitrate: Geschätzte Videodauer auf einer DVD mit 4,7 GB
1
3,5 MBit/s 121 Minuten
5,0 MBit/s 94 Minuten
6,0 MBit/s 82 Minuten
7,5 MBit/s 68 Minuten
8,0 MBit/s 65 Minuten
1 Für einen DVD-Clip mit Video, Audio und Subpictures (Einblendungen): Für Audio (2-Kanal-AIFF) wird eine Bitrate
von 1,5 MBit/s angenommen.
Hinweis: Wenn Sie „1-Pass-VBR“ oder „1-Pass-VBR, optimal“ für sehr kurze Clips (weniger
als eine bis zwei Minuten) wählen, entspricht die Größe der resultierenden
MPEG-2-Ausgabedatei unter Umständen nicht genau der durchschnittlichen Bitrate, die
Sie angegeben haben. Ist die Ausgabedatei in MPEG-2 größer als gewünscht, können Sie
versuchen, sie erneut mit einer niedrigeren durchschnittlichen Bitrate umzucodieren.
Schritt 3: Auswählen von GOP-Voreinstellungen
Wählen Sie eine geeignete GOP-Struktur und eine geeignete Größe aus und entscheiden
Sie, ob die GOPs offen oder geschlossen sein sollen.
Hinweis: Diese Einstellungen lassen sich nicht ändern, wenn Sie im Bereich „Videoformat“
ein HD-Videoformat gewählt haben.
242 Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-AusgabedateienBereich „GOP“ öffnen und GOP-Einstellungen auswählen
1 Klicken Sie im Bereich „Codierer“ auf den Titel „GOP“, um den Bereich „GOP“ zu öffnen.
Choose a GOP structure
to control how many
B-frames are used.
Choose open or
closed GOPs.
Choose a GOP size.
2 Wählen Sie eine GOP-Struktur aus dem Einblendmenü „GOP-Muster“ aus.
Für die meisten Codierungsaufträge in MPEG-2 sollten Sie für das DVD-Authoring die
GOP-Struktur „IBBP“ wählen.
3 Wählen Sie eine GOP-Größe aus dem Einblendmenü „GOP-Größe“ aus.
Für die meisten Codierungsaufträge in MPEG-2 sollten Sie für das DVD-Authoring die
GOP-Größe 15 für NTSC bzw. die GOP-Größe 12 für PAL und 24p wählen.
Welche Optionen in diesem Menü verfügbar sind, hängt davon ab, welche GOP-Struktur
Sie wählen und ob die GOP offen oder geschlossen sein soll.
4 Entscheiden Sie, ob das GOP-Muster offen oder geschlossen sein soll, und klicken Sie auf
die entsprechende Option.
Arbeiten mit I-Bildern in MPEG-2
Das Fenster „Vorschau“ in Compressor bietet Ihnen zusätzliche Flexibilität beim Codieren
von MPEG-2-Formaten, denn hier können Sie I-Bilder (auch „Referenzbilder“ oder
„Keyframes“ genannt) manuell in Ihre MPEG-2-Ausgabedatei einfügen. Dies ist an jeder
beliebigen Bildposition möglich, unabhängig davon, welches GOP-Muster und welche
GOP-Größe Sie gewählt haben. Diese I-Bilder werden als erzwungene I-Bilder bezeichnet
und können sehr nützlich sein, wenn Sie die Qualität der MPEG-2-Datei bei einem
Szenenwechsel verbessern möchten. Weitere Informationen zu I-Bildern finden Sie unter
Konzept von GOPs und Bildtypen.
Zusätzlich erhalten Sie durch das Hinzufügen von I-Bildern zu Ihrem Clip die Möglichkeit,
Kapitel-Marker zu erstellen, die von DVD-Authoring-Programmen erkannt und verwendet
werden können. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Arbeiten mit Markern
und Posterbildern und Hinzufügen von Kompressions- oder Podcast-Markern zu einem
Clip.
Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien 243Weitere Informationen zu GOPs finden Sie unter Konzept von GOPs und Bildtypen, Kriterien
bei der Wahl von GOP-Einstellungen und Bereich „GOP“.
Schritt 4: Auswählen zusätzlicher Einstellungen
Im Bereich „Extras“ können Sie angeben, welche spezifischen MPEG-2-Informationen für
das Authoring integriert bzw. nicht integriert werden sollen.
Bereich „Extras“ öffnen und zusätzliche Einstellungen vornehmen
1 Klicken Sie im Bereich „Codierer“ auf den Titel „Extras“, um den Bereich „Extras“ zu öffnen.
2 Markieren Sie das Feld „DVD Studio Pro-Metadaten hinzufügen“, wenn Sie möchten, dass
die Analyse bestimmter Authoring-Informationen für MPEG-2 von Compressor ausgeführt
wird, und nicht später in DVD Studio Pro stattfinden soll.
Wichtig: Das Markieren dieses Felds kann zur Folge haben, dass Ihre MPEG-2-Dateien
zwar mit DVD Studio Pro 2 (oder neuer), aber nicht mit anderen Programmen für das
DVD-Authoring kompatibel sind.
3 Markieren Sie das Feld „Nur Kapitelmarker miteinbeziehen“, wenn Sie automatische
Kompressions-Marker aus dem Stream ausschließen möchten, Kapitel-Marker aber
beibehalten werden sollen.
4 Markieren Sie das Feld „Multiplex MPEG-1/Layer 2 Audio“ nur, wenn Sie Transport- oder
Programmstreams erstellen müssen. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter
Elementar-, Transport- und Programmstreams.
Weitere Informationen zu den Einstellungen im Bereich „Extras“ finden Sie unter Bereich
„Extras“.
Beispiel für MPEG-2-Einstellungen
Die folgenden MPEG-2-Einstellungen sind für die meisten MPEG-2-Codierungen geeignet.
Öffnen Sie den Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-2“ und klicken Sie auf die
jeweiligen Titel, um die entsprechenden Bereiche zu öffnen.
244 Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-AusgabedateienHinweis: Bitte beachten Sie, dass viele der Einstellungen, die in diesem Beispiel verwendet
werden, nicht für alle Videoeingabeformate und nicht für alle Codierungsanforderungen
geeignet sind. Einige alternative Einstellungen werden in Klammern angegeben. In den
Abschnitten am Anfang dieses Kapitels finden Sie genauere Angaben dazu, wie und wann
andere Einstellungen verwendet werden sollten.
Bereich „Videoformat“
• Videoformat: NTSC (PAL, 720p, HD 1440 x 1080, HD 1920 x 1080 oder eine der Varianten
mit einer Breite von 640 Pixeln)
• Seitenverhältnis: 4:3 (16:9 für anamorphotische oder HD-Breitformat-Bildschirme)
• Halbbilddominanz: Automatisch (Nicht verfügbar für 720p)
Bereich „Qualität“
• Modus: “1-Pass-VBR, optimal“ (andere 1-Pass- und 2-Pass-Einstellungen)
• Durchschnittliche Bitrate: 5 MBit/s (2 bis 9 MBit/s) für Standard-DVD- bzw. 18 MBit/s für
HD-Videoformate (Bereich variiert)
Hinweis: Die Wahl der Bitrate kann durch mehrere Faktoren beeinflusst werden. Dazu
gehören die Komplexität Ihres Ausgangsvideos, das Format und die Anzahl der
Audio-Streams sowie die Gesamtdauer aller Videoclips, die auf Ihre DVD passen sollen.
• Maximale Bitrate: 8,0 MBit/s für Standard-DVD- bzw. 27 MBit/s für HD-Videoformate
• Bewegungsschätzung: Optimal
Bereich „GOP“
• GOP-Muster: IBBP
• GOP-Größe: 15 (12 für PAL und 50i, 50p und 24p HD-Formate)
• GOP-Typ: Offen (Geschlossen)
Kapitel 18 Erstellen von MPEG-2-Ausgabedateien 245Mit den Werkzeugen von Compressor können Sie hochwertige MPEG-4-Dateien erstellen.
MPEG-4 Part 2 (in QuickTime 6 auch MPEG-4 Video) spielt eine wichtige Rolle bei der
Entwicklung von Standards für das Internet und Wireless Multimedia. In diesen Bereichen
verfügt das Format bereits über eine hohe Akzeptanz.
Verwenden Sie MPEG-4 Part 2, wenn Sie Kompatibilität mit MPEG-4 Part 2-Geräten oder
-Playern erreichen möchten. Dazu gehören u. a. eine Vielzahl von Smartphones und
Digitalbildkameras, die Videos im Format MPEG-4 Part 2 aufnehmen und wiedergeben
können.
Bei H.264, auch bekannt als MPEG-4 Part 10, handelt es sich um eine neuere Technologie
als MPEG-4 Part 2. Im Vergleich zu Videomaterial, das mit MPEG-4 Part 2 codiert wird,
bietet dieses Format nahezu die vierfache Bildgröße. Ebenso wie die Formate MPEG-1
und MPEG-2 wird MPEG-4 Part 2 auch in Zukunft weiterhin zum Einsatz kommen.
Hinweis: MPEG-4 Part 2 ist sowohl ein QuickTime-Codec (MPEG-4 Video) als auch ein
Ausgabeformat. Dieses Kapitel beschreibt MPEG-4 Part 2 als Ausgabeformat.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• MPEG-4 Part 2 (S. 247)
• Der Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-4 Part 2“ (S. 248)
• Verwenden der standardmäßigen MPEG-4 Part 2-Einstellungen (S. 253)
• Anpassen der MPEG-4 Part 2-Einstellungen (S. 254)
• Arbeitsablauf beim Audio-Podcasting (S. 256)
• Hinzufügen zusätzlicher Einstellungen und Voreinstellungen (S. 260)
MPEG-4 Part 2
MPEG-4 Part 2 bietet folgende Vorteile.
• Konformität mit Standards: Die Ausgabe erfolgt auf MPEG-4 Part 2-Geräten und anderen
standardbasierten Geräten, die den ISMA-Standard unterstützen (z. B. Mobiltelefone).
247
Erstellen von
MPEG-4-Ausgabedateien 19• Video in hoher Qualität: Ein vielseitiger Transcoder, für den eine Ziel-Datenrate festgelegt
werden kann und der unter Verwendung einer 1-Pass-Codierung mit variabler Bitrate
(VBR) Ausgabedateien in höchster Qualität bzw. mit maximaler
Verarbeitungsgeschwindigkeit liefert und Umcodierungen mit hoher Geschwindigkeit
ermöglicht.
• AAC-Audioformat (Advanced Audio Coding): MPEG-4-Audio kann Audiomaterial aus
vielen unterschiedlichen Quellen verwenden. Dieses Format ermöglicht echte
VBR-Audiocodierung für QuickTime. Es verwendet den AAC-Codec, der bei gleicher
Bitrate und kleineren Dateien (bzw. gleicher Dateigröße und höherer Qualität) einen
klareren Sound liefert als MP3-Audio. Zudem können Sie Podcasting-Informationen
wie Kapitel- und Podcast-Marker mit Bildern und URL-Adressen sowie eine Vielzahl von
Textanmerkungen hinzufügen.
• Streaming mit Steuerspur: Mithilfe von Steuerspuren wird bestimmt, wie ein Videostream
in streamfähige Teile untergliedert wird. Zum Erstellen eines Streaming-Videos benötigt
der Streaming-Server Informationen darüber, welche Daten zu welchem Zeitpunkt
gesendet werden sollen. Zu diesem Zweck müssen eine maximale Paketgröße sowie
eine maximale Paketdauer definiert werden. Die Informationen, die zum Streamen der
Ausgabedatei benötigt werden, sind in einer Steuerspur enthalten. Eine Steuerspur
wird für jede streamfähige Medienspur in der Ausgabedatei (Video und Audio) erstellt.
Mithilfe der Steuerspur kann der Streaming-Server die Medien in Echtzeit-Streams
umwandeln.
Der Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-4 Part 2“
Der Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-4 Part 2“ bietet zahlreiche Optionen für das
Streaming.
248 Kapitel 19 Erstellen von MPEG-4-AusgabedateienGrundlegende Einstellungen im Bereich „Codierer“
Der Bereich „Codierer“ enthält die folgenden Elemente:
• Feld „Suffix“: In diesem Feld wird die MPEG-4 Part 2-Dateierweiterung mp4 angezeigt,
nachdem das MPEG-4-Ausgabeformat aus dem Einblendmenü „Dateiformat“ oder aus
dem Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) im Bereich „Voreinstellungen“ ausgewählt wurde.
• Auftragssegmentierung erlauben: Durch Klicken auf dieses Feld können Sie die
Segmentierung von Aufträgen aktivieren bzw. deaktivieren. Dies ist nur dann relevant,
wenn Sie Compressor mit verteilter Verarbeitung und mit einer Multi-Pass-Codierung
verwenden. Da das Format MPEG-4 Part 2 mit einer 1-Pass-VBR-Codierung arbeitet,
können Sie dieses Feld markiert lassen, um durch die verteilte Verarbeitung eine
zusätzliche Beschleunigung des Umcodierungsprozesses zu erreichen. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und 2-Pass-Codierung
oder Multi-Pass-Codierung.
• Titel „Video“, „Audio“ und „Streaming“: Wenn Sie auf diese Titel klicken, werden die
zugehörigen Bereiche „Video“, „Audio“ und „Streaming“ geöffnet, die nachfolgend
beschrieben werden.
• Erweiterter Podcast (m4a-Datei): Markieren Sie dieses Feld, um sicherzustellen, dass
Podcasting-Anmerkungen und Metadaten in die Ausgabemediendatei geschrieben
werden. Diese Option steht nur für Audiodateien zur Verfügung. Deaktivieren Sie das
Markierungsfeld „Video aktiviert“ oben im Bereich „Video“, damit diese Option verfügbar
wird.
• Marker-Bilder anpassen an: Verwenden Sie diese Option, um die Breite und Höhe der
Podcast-Marker-Bilder beim Erstellen eines Audio-Podcasts festzulegen. Wenn Sie auf
die Taste „Automatisch“ klicken, werden die Felder von Compressor ausgefüllt. Diese
Option ist nur verfügbar, wenn das Feld „Video aktiviert“ oben im Bereich „Video“
deaktiviert ist. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Schritt 5: Erstellen und
Konfigurieren der Marker für die Ausgabemediendatei.
Bereich „Video“
Im Bereich „Video“ können Sie Einstellungen für die Qualität (ISMA-Profil), die Bildrate
pro Sekunde (fps), das Keyframe-Intervall sowie die Bitrate Ihrer MPEG-4 Part
2-Ausgabedatei vornehmen.
Either enter a number in
the Bit Rate field or use
the slider to set the bit
rate.
Kapitel 19 Erstellen von MPEG-4-Ausgabedateien 249Der Bereich enthält folgende Steuerelemente:
• Feld „Video aktiviert“: Vergewissern Sie sich, dass diese Option markiert ist, wenn Sie
die Videoeinstellungen des MPEG-4 Part 2-Ausgabeformats anwenden wollen.
• Videokomprimierung: Wählen Sie das zu verwendende MPEG-4-Komprimierungsformat.
• MPEG-4-Standard: Wählen Sie diese Einstellung, damit die Wiedergabe auf allen
MPEG-4 Part 2-Geräten unterstützt wird.
• MPEG-4 Verbessert: Diese Einstellung liefert eine höhere Ausgabequalität, sie ist jedoch
mit älteren MPEG-4 Part 2-Geräten nicht kompatibel.
• H.264 Hauptprofil: Diese Einstellung ähnelt dem H.264 Baseline-Profil, unterstützt
aber SD-Videoanforderungen.
• H.264 Baseline-Profil: Diese Einstellung ist primär für Videokonferenzen und mobile
Programme gedacht.
• Bildrate (fps): Wählen Sie einen Wert aus oder geben Sie eine Bildrate in das Feld ein,
um die Bildrate für die Ausgabedatei festzulegen. Sie können auch auf die Taste
„Automatisch“ klicken, damit Compressor die geeignete Bildrate auswählt.
• Feld „Keyframe-Intervall“: Geben Sie einen Wert ein (Anzahl der Bilder), mit dem Sie
bestimmen, wie häufig Keyframes in Ihrer Ausgabedatei erstellt werden sollen. Sie
können auch auf die Taste „Automatisch“ klicken, damit Compressor das geeignete
Keyframe-Intervall auswählt (ist der automatische Modus aktiviert, wird der Wert 0
angezeigt; der tatsächliche Wert wird während des Codierungsprozesses bestimmt).
• Mehrere Durchgänge: Wählen Sie diese Option, wenn Ergebnisse mit höherer Qualität
erforderlich sind. In diesem Fall muss jedoch mit längeren Codierungszeiten gerechnet
werden. Diese Option ist nur verfügbar, wenn Sie im Einblendmenü
„Videokomprimierung“ eine der H.264-Optionen ausgewählt haben.
• Schieberegler und Feld für die Bitrate: Bewegen Sie den Schieberegler, um die Videobitrate
für Ihre Ausgabedatei festzulegen. Alternativ können Sie auch einen Wert in das
zugehörige Feld eingeben.
Bereich „Audio“
Im Bereich „Audio“ nehmen Sie Einstellungen für die Qualität der Audiospur, die Abtastrate
sowie die Qualität und die Bitrate der MPEG-4-Ausgabedatei vor.
Sample Rate pop-up
menu
Bit Rate slider
250 Kapitel 19 Erstellen von MPEG-4-AusgabedateienMit den folgenden Steuerelementen können Sie genaue Anpassungen vornehmen:
• Feld „Audio aktiviert“: Vergewissern Sie sich, dass diese Option markiert ist, wenn Sie
die Audioeinstellungen des MPEG-4 Part 2-Ausgabeformats anwenden wollen.
• Kanäle: Wählen Sie als Einstellung für den Audiokanal der Ausgabedatei entweder
„Mono“ oder „Stereo“ aus.
• Mono: Wählen Sie diese Option für Monoausgabe.
• Stereo: Wählen Sie diese Option für Stereoausgabe.
• Einblendmenü „Abtastrate“: Wählen Sie eine der folgenden Abtastraten aus diesem
Einblendmenü aus: 8, 11,025, 12, 16, 22,05, 24, 32, 44,1 oder 48 kHz. Sie können auch
die Option „Empfohlen“ wählen. In diesem Fall wählt Compressor eine Abtastrate, die
auf die Einstellungen „Kanäle“ und „Bitrate“ abgestimmt ist.
Hinweis: Wenn Sie „Empfohlen“ wählen, wird die Abtastrate erst bestimmt, wenn der
eigentliche Umcodierungsvorgang beginnt.
• Einblendmenü „Qualität“: Wählen Sie eine der folgenden Optionen für die Audioqualität
Ihrer Ausgabedatei aus diesem Einblendmenü aus:
• Gering: Wenn Sie diese Option auswählen, können Sie die Datei in kürzester Zeit
umcodieren. Die Qualität der Ausgabedatei ist jedoch nicht sehr hoch.
• Mittel: Mit dieser Option erzielen Sie eine bessere Qualität als mit der Option „Gering“.
Allerdings nimmt die Umcodierung mehr Zeit in Anspruch.
• Hoch: Mit dieser Option können Sie die höchste Audioqualität erzielen. Verwenden
Sie diese Einstellung, wenn die Audioqualität für die Ausgabedatei wichtig ist und
es keine Rolle spielt, wie lange die Umcodierung dauert.
• Schieberegler und Feld für die Bitrate: Stellen Sie mit dem Schieberegler eine Audiobitrate
für Ihre Ausgabedatei im Bereich zwischen 16 kBit/s (2 KB/s) und 320 kBit/s (40 KB/s)
ein. Alternativ können Sie auch eine Zahl in das Feld neben dem Schieberegler eingeben.
Kapitel 19 Erstellen von MPEG-4-Ausgabedateien 251Bereich „Streaming“
In diesem Bereich können Sie Steuerspuren für Ihre Ausgabedatei erstellen. Zudem legen
Sie hier die maximale Paketgröße und Paketdauer der MPEG-4 Part 2-Ausgabedatei fest.
In diesem Bereich können Sie die Ausgabedatei auch so konfigurieren, dass sie mit älteren
QuickTime Streaming Server-Versionen (4.1 oder älter) kompatibel ist.
Der Bereich „Streaming“ enthält folgende Steuerelemente:
• Feld „Streaming mit Steuerspur aktivieren“: Vergewissern Sie sich, dass diese Option
markiert ist, wenn Sie die Streaming-Einstellungen des MPEG-4 Part 2-Ausgabeformats
anwenden wollen.
• Feld „QuickTime Streaming Server-Kompatibilität (pre 4.1)“: Wenn Sie diese Option
markieren, funktioniert Ihre Ausgabedatei später auch mit älteren Versionen von
QuickTime Streaming Server (Version 4.1 oder älter). Wenn Sie mit einer neueren Version
der QuickTime-Software arbeiten, müssen Sie dieses Feld nicht markieren, da es in
diesem Fall keine Kompatibilitätsprobleme im Zusammenhang mit dem Streaming
gibt.
• Paket-Maximum-Größe: Geben Sie in diesem Feld einen Wert für die maximal zulässige
Dateigröße (in Byte) für ein Streaming-Paket in Ihrer Ausgabedatei ein. Wählen Sie in
jedem Fall eine Paketgröße, die nicht größer als das größte Paket ist, das in einem
Netzwerk zwischen dem Streaming-Server und dem Ausgabegerät verwendet wird.
• Paket-Maximum-Dauer: Geben Sie in diesem Feld einen Wert für die maximal zulässige
Dauer (in Millisekunden) für ein Streaming-Paket in Ihrer Ausgabedatei ein. Der Wert
für die Dauer gilt nur für MPEG-4 Part 2-Audio. Er begrenzt die maximale Menge an
Audiomaterial (in Millisekunden) in einem Paket. Dadurch kann auch die Dauer von
Aussetzern während der Wiedergabe verringert werden, die entstehen, wenn ein Paket
verloren geht.
252 Kapitel 19 Erstellen von MPEG-4-AusgabedateienVerwenden der standardmäßigen MPEG-4 Part 2-Einstellungen
Wenn Sie die Video- und Audioeinstellungen Ihrer MPEG-4 Part 2-Datei nicht anpassen
müssen, können Sie Ihre Ausgangsmedien im Schnellverfahren umcodieren. Dabei werden
die Standardeinstellungen für das MPEG-4 Part 2-Ausgabeformat unverändert
übernommen.
Standardeinstellungen des Bereichs „Video“
Dies sind die Standardvideoeinstellungen für MPEG-4 Part 2-Ausgabemediendateien.
• Video aktiviert: Die Option ist markiert.
• Videokomprimierung: H.264 Baseline-Profil
• Bildrate: 29,97 fps
• Keyframe-Intervall: 30 Bilder
• Bitrate: 1000 kBit/s
Either enter a number in
the Bit Rate field or use
the slider to set the bit
rate.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Bereich „Video“.
Standardeinstellungen des Bereichs „Audio“
Dies sind die Standardaudioeinstellungen für MPEG-4 Part 2-Ausgabemediendateien.
• Audio aktiviert: Die Option ist markiert.
• Kanäle: Stereo
• Abtastrate: 44.100 kHz
• Qualität: Hoch
• Bitrate: 128 kBit/s
Sample Rate pop-up
menu
Bit Rate slider
Kapitel 19 Erstellen von MPEG-4-Ausgabedateien 253Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Bereich „Audio“.
Standardeinstellungen des Bereichs „Streaming“
Dies sind die Standard-Streaming-Einstellungen für MPEG-4 Part 2-Ausgabemediendateien.
• Streaming mit Steuerspur aktivieren: Die Option ist markiert.
• Paket-Maximum-Größe: 1.450 Byte
• Paket-Maximum-Dauer: 100 Millisekunden
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Bereich „Streaming“.
Wenn diese Einstellungen für Sie akzeptabel sind, müssen Sie keine weiteren Arbeitsschritte
durchführen. Sie können sofort mit dem Umcodieren der Ausgangsmedien beginnen.
Anpassen der MPEG-4 Part 2-Einstellungen
Wenn Sie die Einstellungen des MPEG-4 Part 2-Dateiformats anpassen wollen, müssen
Sie zusätzliche Arbeitsschritte zur Umcodierung durchführen.
• Schritt 1: Anpassen der MPEG-4-Videoeinstellungen
• Schritt 2: Anpassen der MPEG-4-Audioeinstellungen
• Schritt 3: Anpassen der MPEG-4-Streaming-Einstellungen
Schritt 1: Anpassen der MPEG-4-Videoeinstellungen
Sie passen die MPEG-4-Videoeinstellungen im Bereich „Codierer“ an.
Bereich „Codierer“ öffnen und MPEG-4-Videoeinstellungen anpassen
1 Klicken Sie im Fenster „Informationen“ auf das Symbol „Codierer“. Wählen Sie dann die
Option „MPEG-4“ aus dem Einblendmenü „Dateiformat“ aus.
254 Kapitel 19 Erstellen von MPEG-4-AusgabedateienNun wird der Bereich „Codierer“ für das Format „MPEG-4“ geöffnet. Im Feld „Suffix“ wird
„mp4“ angezeigt und standardmäßig wird der Bereich „Video“ angezeigt.
2 Passen Sie die MPEG-4-Videoeinstellungen mit den verfügbaren Steuerelementen an.
Hinweis: Vergewissern Sie sich, dass die Option „Video aktiviert“ markiert ist.
Weitere Informationen zu MPEG-4 Part 2-Videoeinstellungen finden Sie unter Bereich
„Video“.
Wenn Sie keine weiteren Einstellungen ändern wollen, können Sie die
MPEG-4-Voreinstellung jeder Ausgangsmediendatei wie gewohnt zuweisen. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Vorbereiten von Compressor zur Umcodierung mit
eigenen Voreinstellungen. Andernfalls fahren Sie nun mit dem nächsten Arbeitsschritt
fort und passen Sie die MPEG-4-Audioeinstellungen an.
Schritt 2: Anpassen der MPEG-4-Audioeinstellungen
Die MPEG-4-Audioeinstellungen werden im Bereich „Audio“ angepasst.
Bereich „Audio“ öffnen und MPEG-4-Audioeinstellungen anpassen
1 Klicken Sie auf „Audio“, um den Bereich „Audio“ zu öffnen.
Sample Rate pop-up
menu
Bit Rate slider
2 Passen Sie die MPEG-4-Audioeinstellungen mit den verfügbaren Steuerelementen an.
Kapitel 19 Erstellen von MPEG-4-Ausgabedateien 255Hinweis: Vergewissern Sie sich, dass das Feld „Audio aktiviert“ markiert ist.
Weitere Informationen zu MPEG-4-Audioeinstellungen finden Sie unter Bereich „Audio“.
Wenn Sie keine weiteren Einstellungen ändern wollen, können Sie die
MPEG-4-Voreinstellung jeder Ausgangsmediendatei wie gewohnt zuweisen. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Vorbereiten von Compressor zur Umcodierung mit
eigenen Voreinstellungen. Andernfalls fahren Sie nun mit den nächsten Arbeitsschritt
fort und passen Sie die Streaming-Einstellungen an.
Schritt 3: Anpassen der MPEG-4-Streaming-Einstellungen
Sie können die MPEG-4-Streaming-Einstellungen im Bereich „Streaming“ anpassen.
Bereich „Streaming“ öffnen und Streaming-Einstellungen anpassen
1 Klicken Sie auf „Streaming“, um den Bereich „Streaming“ zu öffnen.
2 Markieren Sie die Option „QuickTime Streaming Server-Kompatibilität (pre 4.1)“ wenn Sie
Ihren Film über einen QuickTime Streaming Server einer älteren Version als 4.1 bereitstellen
möchten.
3 Geben Sie andere Werte in die Felder „Paket-Maximum - Größe“ und „Paket-Maximum -
Dauer“ ein und stellen Sie sicher, dass die Option „Streaming mit Steuerspur aktivieren“
markiert ist.
4 Weitere Informationen zu MPEG-4 Part 2-Streaming-Einstellungen finden Sie unter Bereich
„Streaming“.
Arbeitsablauf beim Audio-Podcasting
Mit Compressor können Sie auf einfache Weise einen erweiterten Audio-Podcast auf der
Basis des MPEG-4-Ausgabeformats erstellen. Zu einem erweiterten Audio-Podcast gehören
Podcasting-Informationen wie Kapitel- und Podcast-Marker mit Bildern und URL-Adressen
sowie eine Vielzahl von Textanmerkungen. Sie können gemäß den folgenden Anweisungen
einen Audio-Podcast erstellen.
• Schritt 1: Konfigurieren der MPEG-4-Ausgabe für die reine Audioausgabe
256 Kapitel 19 Erstellen von MPEG-4-Ausgabedateien• Schritt 2: Integrieren von Podcasting-Informationen
• Schritt 3: Anwenden der Voreinstellung auf das Ziel einer Ausgangsmediendatei
• Schritt 4: Eingeben von Anmerkungen für die Ausgabemediendatei
• Schritt 5: Erstellen und Konfigurieren der Marker für die Ausgabemediendatei
• Schritt 6: Senden des Auftrags und Prüfen der Ausgabemediendatei
Schritt 1: Konfigurieren der MPEG-4-Ausgabe für die reine Audioausgabe
Führen Sie die nachfolgenden Schritte aus, um die MPEG-4-Einstellungen für die reine
Audioausgabe (wie Podcasts) zu konfigurieren.
Bereich „Codierer“ öffnen und für reine Audioausgabedateien konfigurieren
1 Klicken Sie im Fenster „Informationen“ auf das Symbol „Codierer“. Wählen Sie dann die
Option „MPEG-4“ aus dem Einblendmenü „Dateiformat“ aus.
2 Klicken Sie auf „Video“, um den Bereich „Video“ zu öffnen.
3 Entfernen Sie die Markierung aus dem Feld „Video aktiviert“.
4 Klicken Sie auf „Audio“, um den Bereich „Audio“ zu öffnen.
5 Markieren Sie das Feld „Audio aktiviert“.
Hierdurch wird die MPEG-4-Ausgabe als reine Audiodatei (.m4a) konfiguriert. Sie können
auch die anderen Einstellungen im Bereich „Audio“ bei Bedarf anpassen.
Schritt 2: Integrieren von Podcasting-Informationen
Führen Sie die nachfolgenden Schritte aus, um Podcasting-Informationen zu integrieren.
Kapitel 19 Erstellen von MPEG-4-Ausgabedateien 257MPEG-4-Ausgabe für das Integrieren von Podcasting-Informationen konfigurieren
1 Markieren Sie das Feld „Erweiterter Podcast (m4a-Datei)“ unten im Fenster „Informationen“.
Deselect this checkbox
to activate the “Allow
Podcasting information”
checkbox.
Select this checkbox
to include podcasting
information in the
output media file. Dieses Feld ist nur verfügbar, wenn das Feld „Video aktiviert“ im Bereich „Video“ nicht
markiert ist. Durch Markieren dieses Felds stellen Sie sicher, dass ggf. hinzugefügte
Anmerkungen sowie etwaige Kapitel- und Podcast-Marker und alle zugehörigen Bilder
und URL-Adressen in die Ausgabedatei integriert werden.
2 Sichern Sie die angepasste Voreinstellung, damit sie auf das Ziel der Ausgangsmediendatei
angewendet werden kann.
Schritt 3: Anwenden der Voreinstellung auf das Ziel einer
Ausgangsmediendatei
Sie müssen die Voreinstellung auf das Ziel einer Ausgangsmediendatei anwenden, bevor
Sie die Podcasting-Informationen konfigurieren können, die Sie mithilfe dieser
Voreinstellung zur Ausgabemediendatei hinzufügen können. Weitere Informationen
hierzu finden Sie unter Zuweisen von Voreinstellungen zu Ausgangsmediendateien.
Schritt 4: Eingeben von Anmerkungen für die Ausgabemediendatei
Sie können bei Bedarf Anmerkungen (wie einen Abspann, Schlüsselwörter und
Copyright-Hinweise) hinzufügen.
Bereich „Zusätzliche Infos“ öffnen und Anmerkungen eingeben
1 Klicken Sie in dem Auftrag, der von der Ausgangsmediendatei erstellt wurde, auf eine
Stelle außerhalb des Ziels.
258 Kapitel 19 Erstellen von MPEG-4-AusgabedateienIm Fenster „Informationen“ werden die Bereiche „A/V-Attribute“, „Zusätzliche Infos“ und
„Auftragseigenschaft“ angezeigt.
2 Klicken Sie auf „Zusätzliche Infos“.
3 Im Bereich „Zusätzliche Infos“ können Sie Anmerkungen wie „Titel“ oder „Künstler“ zur
Ausgabemediendatei hinzufügen.
Choose items from this
pop-up menu to include
them as annotations in
the output media file.
4 Wählen Sie eine Option aus Einblendmenü „Anmerkung hinzufügen“ aus, um sie der
Ausgabemediendatei hinzuzufügen.
Die ausgewählte Anmerkung wird daraufhin in der Spalte „Anmerkung“ angezeigt.
5 Wählen Sie die Spalte „Wert“ der jeweiligen Anmerkung durch Doppelklicken aus, um
den zugehörigen Text einzugeben.
6 Wiederholen Sie diesen Vorgang für alle Anmerkungen, die Sie zur Ausgabemediendatei
hinzufügen möchten.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Verwenden des Fensters „Informationen“
mit Ausgangsmediendateien.
Während der Auftrag ausgewählt ist, können Sie mit dem Bereich „Auftragseigenschaft“
die Ausgabemediendatei automatisch einer Wiedergabeliste in der iTunes-Mediathek
hinzufügen. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Hinzufügen von Aktionen und
Optionen im Bereich „Auftragseigenschaft“.
Kapitel 19 Erstellen von MPEG-4-Ausgabedateien 259Schritt 5: Erstellen und Konfigurieren der Marker für die
Ausgabemediendatei
Sie können das Fenster „Vorschau“ zum Hinzufügen und Konfigurieren von Kapitel- und
Podcast-Markern in der Ausgabemediendatei verwenden. Die Marker können manuell
hinzugefügt oder über eine Liste mit Kapitel-Markern importiert werden. Sie können
jeden Kapitel- und Podcast-Marker benennen sowie eine URL-Adresse und ein Standbild
hinzufügen.
Zum Steuern der Größe von Marker-Bildern können Sie auch Werte in das Feld
„Marker-Bilder anpassen an“ eingeben. Dieses Feld befindet sich unten im Fenster
„Informationen“ für MPEG-4.
Wenn die Datei wiedergegeben wird, wird das Bild zusammen mit der URL-Adresse
angezeigt. (Der Betrachter kann die URL-Adresse durch Klicken in einem Webbrowser
öffnen.)
Ausführliche Informationen zum Hinzufügen und Konfigurieren von Markern im Fenster
„Vorschau“ finden Sie unter Arbeiten mit Markern und Posterbildern.
Schritt 6: Senden des Auftrags und Prüfen der Ausgabemediendatei
Sobald Sie dem Auftrag die Anmerkungen und Marker hinzugefügt haben, können Sie
ihn senden und auf diese Weise die Ausgabemediendatei erstellen.
Nachdem der Codierungsprozess abgeschlossen ist, können Sie die Ausgabemediendatei
im QuickTime Player öffnen, um zu prüfen, ob alle Marker, URL-Adressen und Bilder wie
gewünscht angezeigt werden.
Hinzufügen zusätzlicher Einstellungen und Voreinstellungen
Obwohl die Voreinstellung für das Ausgabeformat den wichtigsten Bestandteil des
Compressor-Arbeitsablaufs bildet, können Sie auch weitere Einstellungen und
Voreinstellungen hinzufügen (wie zum Beispiel Filter, Beschnitte, Anpassungen der
Bildgröße, Aktionen und Zielorte). Die folgenden Kapitel erläutern weitere Arbeitsschritte,
mit denen Sie diese Einstellungen vornehmen können:
• Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung
• Arbeiten mit Bildsteuerungen
• Hinzufügen von Geometrieeinstellungen
• Hinzufügen von Aktionen
• Erstellen und Ändern von Zielorten
260 Kapitel 19 Erstellen von MPEG-4-AusgabedateienSie können mit Compressor eine Vielzahl zusätzlicher Formate ausgeben. Verwenden Sie
dazu die QuickTime-Option für Komponenten.
In diesem Kapitel erfahren Sie, wie Sie die QuickTime-Plug-Ins für den Export nutzen
können, die eine breite Palette zusätzlicher Dateiformate zur Verfügung stellen, in die
Compressor Ihre Ausgangsmediendateien konvertieren kann.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Erstellen von Ausgabedateien mit dem QuickTime-Export-Komponenten-Codierer (S.
261)
• Installieren von QuickTime-Export-Komponenten-Plug-Ins (S. 262)
• iPod-Plug-In (S. 262)
• Bereich „Codierer“ für das Format „QuickTime-Export-Komponenten“ (S. 263)
• Konfigurieren der Exporteinstellungen (S. 263)
Erstellen von Ausgabedateien mit dem
QuickTime-Export-Komponenten-Codierer
Compressor und QuickTime können so erweitert werden, dass sie zusätzliche
Codec-Optionen und Drittanbieterformate unterstützen. In diesem Abschnitt wird das
QuickTime-Export-Plug-In für Komponenten beschrieben, mit dem das Exportieren seltener
Dateiformate möglich ist, die dann auf Geräten und Betriebssystemen von Drittanbietern
abgespielt werden können, wie z. B. auf Mobiltelefonen. Anders als standardmäßige
QuickTime-Filme können diese exportierten Dateien nicht mit dem QuickTime Player
oder anderen QuickTime-basierten Programmen wiedergegeben werden. (Informationen
zum nativen Dateiformat „QuickTime-Film“ finden Sie unter Erstellen von
QuickTime-Ausgabedateien.)
261
Erstellen von Dateien mit dem
QuickTime-Export-Komponenten-Codierer 20Bisher waren für diese Art von Dateien mehrere Arbeitsschritte und verschiedene
Betriebssysteme erforderlich: Die Datei musste exportiert, auf einen Computer mit einer
anderen Plattform übertragen und anschließend mithilfe eines anderen
Softwareprogramms codiert werden. Die Option „QuickTime-Export-Komponenten“
ermöglicht Ihnen die Steuerung der Drittanbieter-Codierungs-Engine, ohne dass ein
anderes Programm geöffnet werden muss. Dies optimiert den Arbeitsablauf und spart
Ihnen Zeit, da es nicht erforderlich ist mit verschiedenen Betriebssystemen und
Softwarepaketen zu arbeiten.
Installieren von QuickTime-Export-Komponenten-Plug-Ins
Ohne zusätzliche Drittanbietersoftware unterstützt Compressor gegenwärtig das
Umcodieren in 3G, AVI und für den iPod. Die Funktion „Export-Komponenten“ in
Compressor wurde so konzipiert, dass später weitere Export-Plug-Ins hinzugefügt werden
können. Sie installieren einfach die Software des Drittanbieters und wählen das
entsprechende Ausgabedateiformat im Einblendmenü „Codierer-Typ“ im Bereich „Codierer“
für das Format „QuickTime-Export-Komponenten“ des Fensters „Informationen“.
Weitere Informationen zu den derzeit verfügbaren Plug-Ins und
Softwareaktualisierungen
µ finden Sie auf der Support-Website für Compressor unter
http://www.apple.com/de/support/compressor.
iPod-Plug-In
Das Ausgabeformat „QuickTime-Export-Komponenten“ umfasst den Codierer-Typ „iPod“.
Dieser Codierer erstellt eine Ausgabedatei, die für die Wiedergabe auf einem iPod geeignet
ist. Hierbei wird für das Videomaterial ein H.264-Codierer verwendet und für das
Audiomaterial ein AAC-Codierer. Sämtliche Einstellungen (Bildgröße, Bildrate usw.) werden
dabei automatisch festgelegt.
Im Vergleich zum Ausgabeformat „H.264 für Apple-Geräte“ hat die Verwendung dieses
Plug-Ins jedoch auch Nachteile. Hierzu gehört, dass die Funktion der verteilten
Verarbeitung nicht genutzt werden kann, dass Sie keine Kapitel-Marker verwenden können
und dass auch der Bereich „Bildsteuerungen“ nicht verwendet werden kann.
Unter Erstellen von Ausgabedateien im Format „H.264 für Apple-Geräte“ finden Sie weitere
Informationen dazu, wie Sie Ausgabemediendateien für den iPod erstellen.
262 Kapitel 20 Erstellen von Dateien mit dem QuickTime-Export-Komponenten-CodiererBereich „Codierer“ für das Format
„QuickTime-Export-Komponenten“
Die folgenden Einstellungen werden angezeigt, wenn Sie das Ausgabeformat
„QuickTime-Export-Komponenten“ aus dem Einblendmenü „Dateiformat“ im Bereich
„Codierer“ des Fensters „Informationen“ auswählen:
File Extension field
Choose QuickTime
Export Components.
Click to see the options
for the encoder plug-in.
Choose an encoder
plug-in.
• Suffix: In diesem Feld wird die Dateierweiterung für das im Menü „Codierer-Typ“
ausgewählte Ausgabeformat angezeigt.
• Auftragssegmentierung erlauben: Durch Klicken auf dieses Feld können Sie die
Segmentierung von Aufträgen aktivieren bzw. deaktivieren. Dies ist nur dann relevant,
wenn Sie Compressor mit verteilter Verarbeitung und mit einer Multi-Pass-Codierung
verwenden. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und
2-Pass-Codierung oder Multi-Pass-Codierung.
• Codierer-Typ: Wählen Sie aus diesem Einblendmenü eines der verfügbaren
Ausgabeformate (Plug-Ins) aus.
• Optionen: Klicken Sie auf diese Taste (falls aktiv), um das Fenster mit den Einstellungen
für das aus dem Einblendmenü „Codierer-Typ“ ausgewählte Ausgabedateiformat zu
öffnen.
Konfigurieren der Exporteinstellungen
Wenn Sie „QuickTime-Export-Komponenten“ als Ausgabeformat wählen, können nur für
bereits installierte Export-Plug-Ins Einstellungen festgelegt werden.
Voreinstellung für das Ausgabeformat „QuickTime-Export-Komponenten“ erstellen
1 Führen Sie im Bereich „Voreinstellungen“ einen der folgenden Schritte aus:
• Stellen Sie sicher, dass die korrekte Voreinstellung ausgewählt ist.
Kapitel 20 Erstellen von Dateien mit dem QuickTime-Export-Komponenten-Codierer 263• Erstellen Sie eine neue Voreinstellung, indem Sie „QuickTime-Export-Komponenten“
aus dem Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) auswählen.
2 Wählen Sie ein Ausgabedateiformat aus dem Einblendmenü „Codierer-Typ“ aus.
3 Klicken Sie im Bereich „Codierer“ auf die Taste „Optionen“ (falls aktiv).
Das Dialogfenster mit den Einstellungen für das ausgewählte Ausgabedateiformat wird
geöffnet.
Configure settings
for the QuickTime export
component.
Wichtig: Verwenden Sie die Benutzeroberfläche des Exportmoduls des jeweiligen
Drittanbieters, um Breite, Höhe und Bildrate für die Ausgabedatei im Detail festzulegen.
Übernehmen Sie nicht die Standardwerte für Breite, Höhe und Bildrate des
Drittanbieter-Exportmoduls.
4 Klicken Sie auf „OK“, um Ihre Einstellungen zu sichern, und schließen Sie dieses
Dialogfenster.
Hinweis: Die Funktion „Bildsteuerungen“ steht in Compressor nicht zur Verfügung, wenn
Sie als Ausgabeformat „QuickTime-Export-Komponenten“ verwenden.
264 Kapitel 20 Erstellen von Dateien mit dem QuickTime-Export-Komponenten-CodiererCompressor stellt Ihnen die Werkzeuge bereit, die Sie zum Erstellen von
QuickTime-Mediendateien benötigen.
QuickTime ist eine plattformübergreifende Multimedia-Technologie, mit der Mac
OS-Programme Video- und Audiomaterial sowie Standbilder aufnehmen und abspielen
können. QuickTime unterstützt zahlreiche Codecs und kann so erweitert werden, dass
weitere Codec-Optionen sowie Codecs von Drittanbietern unterstützt werden. Unter
Erstellen von Ausgabedateien mit dem QuickTime-Export-Komponenten-Codierer finden
Sie weitere Informationen über zusätzliche Optionen für den QuickTime-Export.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Erstellen von QuickTime-Ausgabedateien (S. 265)
• Bereich „Codierer“ für das Format „QuickTime-Film“ (S. 266)
• Arbeitsablauf beim Umcodieren in das QuickTime-Format (S. 273)
• Funktionsweise von Codecs (S. 277)
• QuickTime-Video-Codecs (S. 277)
• QuickTime-Audio-Codecs (S. 279)
Erstellen von QuickTime-Ausgabedateien
QuickTime ist ein offener Standard mit zahlreichen integrierten Codecs und sowohl eine
Multimedia- als auch eine Streaming-Media-Architektur. QuickTime wird für
Authoring-Funktionen und auch für Bereitstellungsfunktionen eingesetzt. Viele
Videoschnitt- und Compositing-Programme verwenden QuickTime als Basisformat. Zu
QuickTime gehören zahlreiche Video- und Audio-Codecs, die für verschiedene
Anwendungen vom Video-Streaming bis zum Erstellen von DVDs eingesetzt werden
können. Die QuickTime-Architektur unterstützt neben den QuickTime-Filmen auch andere
Dateiformate wie beispielsweise AVI-Dateien und 3G-Streams. Weitere Informationen
über das Erstellen dieser Formattypen finden Sie unter Erstellen von Dateien mit dem
QuickTime-Export-Komponenten-Codierer.
265
Erstellen von
QuickTime-Ausgabedateien 21QuickTime-Mediendateien für das Internet
Sie können Ihre Ausgabedateien mit QuickTime über das Internet wiedergeben, nachdem
Sie diese zuvor auf eine Datenrate komprimiert haben, von der Sie annehmen, dass Sie
den meisten Benutzern zur Verfügung steht. Hierfür erstellen Sie entweder
QuickTime-Schnellstart-Filme (Start der Wiedergabe, während die Dateien noch geladen
werden) oder QuickTime-Streaming-Filme.
Mit Compressor können Sie verschiedene Streaming-Optionen über das Einblendmenü
„Streaming“ im Bereich „Codierer“ für das Format „QuickTime-Film“ auswählen. Weitere
Informationen zum Streamen von QuickTime-Mediendateien über das Internet finden
Sie im Abschnitt über das Einblendmenü „Streaming“.
Bereich „Codierer“ für das Format „QuickTime-Film“
Folgende Optionen sind verfügbar, wenn Sie „QuickTime-Film“ aus dem Einblendmenü
„Dateiformat“ auswählen:
Summary table
File Extension field
Options button (dimmed
unless Hinted Streaming
is selected)
Streaming pop-up
menu
Clean aperture selection
Grundlegende Einstellungen im Bereich „Codierer“
Mit den nachfolgend beschriebenen, grundlegenden Optionen können die spezifischen
Einstellungen für QuickTime-Filme festgelegt werden.
• Feld „Suffix“: In diesem Feld wird automatisch die QuickTime-Dateierweiterung (.mov)
angezeigt, nachdem das QuickTime-Ausgabeformat aus dem Einblendmenü
„Dateiformat“ oder dem Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) im Bereich „Voreinstellungen“
ausgewählt wurde.
266 Kapitel 21 Erstellen von QuickTime-Ausgabedateien• Auftragssegmentierung erlauben: Durch Klicken auf dieses Feld können Sie die
Segmentierung von Aufträgen aktivieren bzw. deaktivieren. Dies ist nur dann relevant,
wenn Sie Compressor mit verteilter Verarbeitung und mit einer Multi-Pass-Codierung
verwenden. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Auftragssegmentierung und
2-Pass-Codierung oder Multi-Pass-Codierung.
• Videoeinstellungen und Audioeinstellungen: Mit diesen Tasten können Sie die
Dialogfenster mit den Standardeinstellungen für die QuickTime-Komprimierung sowie
für die Audioeinstellungen öffnen. Wählen Sie in diesen Dialogfenstern geeignete
Codecs aus und passen Sie die Einstellungen für die Video- bzw. Audiokomprimierung
gegebenenfalls an. Weitere Informationen zu diesen Dialogfenstern finden Sie in den
Abschnitten Dialogfenster „Toneinstellungen“ und Dialogfenster „Standardeinstellungen
für Videokomprimierung“.
• Aktiviert/Deaktiviert/Durchreichen: Verwenden Sie diese Einblendmenüs, um Video- und
Audioeinstellungen zu aktivieren oder zu deaktivieren. Aktiviert bedeutet, dass die
Video- bzw. Audiospur im Ausgabefilm enthalten sein wird. Deaktiviert bedeutet, dass
die Video- bzw. Audiospur im Ausgabefilm nicht enthalten sein wird. Durchreichen (nur
Audiomaterial) bedeutet, dass Compressor die Audiodaten in den Ausgabefilm kopiert,
ohne sie zu ändern. Sie können beispielsweise HD-Dateien mit mehrspurigen Audiodaten
in SD-Dateien (Standard Definition) konvertieren, ohne dass die Audiospuren hiervon
betroffen sind.
Hinweis: Wenn Sie eine Sequenz aus Final Cut Pro in Compressor exportieren (“Ablage“
> „Exportieren“ > „Mit Compressor“) und eine Voreinstellung mit aktivierter Option
„Durchreichen“ anwenden, ändert sich der Audioteil der Voreinstellung in eine
PCM-Voreinstellung, die die Einstellungen und Kanalanzahl der Sequenz beibehält,
aber nur eine Spur in der Ausgabedatei erstellt. Wenn Sie die Funktion „Durchreichen“
für eine Final Cut Pro-Sequenz nutzen möchten, exportieren Sie einen QuickTime-Film
(“Ablage“ > „Exportieren“ > „QuickTime-Film“) und importieren Sie diesen Film dann
in Compressor.
Wichtig: Ist für eine Voreinstellung die Option „Durchreichen“ aktiviert, sind die
Audiofilter des Bereichs „Filter“ nicht verfügbar. Darüber hinaus führen die
Retiming-Einstellungen im Bereich „Bildsteuerungen“ keine Korrekturen am
Audiomaterial durch, was zu Synchronisierungsfehlern beim Videomaterial führen kann.
• Streaming: Wählen Sie eine QuickTime-Streaming-Option aus dem Einblendmenü aus:
• Ohne: Wenn Sie diese Einstellung (Standard) auswählen, kann die Ausgabedatei nicht
per Streaming über das Internet bereitgestellt werden.
• Schnellstart: Wenn Sie diese Einstellung auswählen, wird die Ausgabedatei angezeigt,
bevor sie vollständig vom zugehörigen Server geladen wurde.
• Schnellstart – Komprimierter Header: Mit dieser Einstellung erzielen Sie dieselben
Ergebnisse wie mit der Option „Schnellstart“ (die Ausgabedatei wird angezeigt, bevor
sie vollständig vom Server geladen wurde). Die Ausgabedateien sind jedoch kleiner.
Kapitel 21 Erstellen von QuickTime-Ausgabedateien 267• Stream mit Steuerspur: Wenn Sie diese Einstellung auswählen, können Sie Steuerspuren
in der Ausgabedatei hinzufügen, damit die Datei mit einem QuickTime Streaming
Server verwendet werden kann.
• Optionen: Diese Taste wird grau angezeigt, bis die Option „Stream mit Steuerspur“ aus
dem Einblendmenü „Streaming“ ausgewählt wird. Wenn Sie auf diese Taste klicken,
wird das Dialogfenster „Einstellungen für Steuerspuren“ von QuickTime angezeigt, das
zusätzliche Einstellungen für die Steuerspur enthält.
• Feld „Informationen über saubere Blende hinzufügen“: Über dieses Feld (standardmäßig
markiert) können Sie angeben, ob Informationen hinzugefügt werden, die die saubere
Blende (den Teil des Bildes, in dem keine der Artefakte und Verzerrungen auftreten) in
der Ausgabedatei definieren.
Hinweis: Dieses Feld hat keine Auswirkungen auf die eigentlichen Pixel in der
Ausgabedatei. Es steuert lediglich, ob Informationen zur Datei hinzugefügt werden
sollen, die ein Player dazu verwenden kann, unsaubere Ränder des Bilds auszublenden.
• Das Feld ist markiert: Die Informationen werden zur Ausgabedatei hinzufügt. Dadurch
wird definiert, wie viele Pixel ausgeblendet werden, damit gewährleistet ist, dass es
entlang der Bildkanten keine unerwünschten Artefakte gibt. Wird die Ausgabedatei
mit QuickTime Player wiedergegeben, kann diese Einstellung dazu führen, dass das
Pixelformat geringfügig verändert wird.
• Das Feld ist nicht markiert: Die Informationen werden nicht zur Ausgabedatei
hinzugefügt. Dies war die Standardeinstellung in Compressor 3.0.5 (und früheren
Versionen).
• Übersicht: Hier werden detaillierte Informationen über die Voreinstellung angezeigt.
QuickTime-Video- und Audioeinstellungen
Die Tasten für die QuickTime-Video- und Audioeinstellungen werden im Bereich „Codierer“
angezeigt, wenn Sie als Ausgabedateiformat „QuickTime-Film“ gewählt haben. (Die Taste
für die Audioeinstellungen ist auch verfügbar, wenn Sie die Option „AIFF“ aus dem
Einblendmenü „Dateiformat“ auswählen.) Mit diesen Tasten öffnen Sie das Dialogfenster
mit den Standardeinstellungen für die Komprimierung bzw. mit den Audioeinstellungen
(Toneinstellungen). In diesen beiden Dialogfenstern können Sie den Video- bzw.
Audio-Codec (und die entsprechenden Einstellungen) auswählen, den Sie der im Bereich
„Voreinstellungen“ ausgewählten Voreinstellung hinzufügen wollen.
Standardmäßig sind sowohl die Taste für die Videoeinstellungen als auch die Taste für
die Audioeinstellungen aktiviert. Sie können jedoch eine der beiden Tasten deaktivieren,
indem Sie die entsprechende Option auswählen.
Video-Codec-Einstellungen
Die Taste „Video: Einstellungen“ erlaubt den Zugriff auf die z. Zt. installierten
QuickTime-Video-Codecs.
268 Kapitel 21 Erstellen von QuickTime-AusgabedateienWeitere Informationen über das Anpassen von Video-Codec-Einstellungen finden Sie
unter Schritt 2: Hinzufügen eines QuickTime-Video-Codecs.
Obwohl alle Codecs mit QuickTime kompatibel sind, werden folgende Codecs empfohlen,
wenn Sie die Ausgabedatei mit dem QuickTime Player abspielen wollen:
• H.264
• Foto-JPEG
Audio-Codec-Einstellungen
Die Taste „Audio: Einstellungen“ erlaubt den Zugriff auf die z. Zt. installierten
QuickTime-Audio-Codecs.
Weitere Informationen über das Anpassen von Audio-Codec-Einstellungen finden Sie
unter Schritt 3: Hinzufügen eines QuickTime-Audio-Codecs.
Obwohl alle Codecs mit QuickTime kompatibel sind, werden folgende Codecs empfohlen,
wenn Sie die Ausgabedatei mit dem QuickTime Player abspielen wollen:
• AAC
• IMA 4:1
Weitere Informationen zu Audio-Codecs finden Sie unter QuickTime-Audio-Codecs.
Kapitel- und Podcast-Marker für die QuickTime-Ausgabe
In Final Cut Pro erstellte Kapitel-Marker werden an andere Ausgabedateien übertragen,
die von QuickTime Player, iTunes (.m4v-Dateien) und Final Cut Pro erkannt werden.
Weitere Informationen zum Hinzufügen von Kapitel- und Podcast-Markern finden Sie
unter Arbeiten mit Markern und Posterbildern.
Dialogfenster „Standardeinstellungen für Videokomprimierung“
Im Dialogfenster „Standardeinstellungen für Videokomprimierung“ können Sie die
Video-Codec-Einstellungen für das QuickTime-Ausgabeformat anpassen. Klicken Sie im
Bereich „Codierer“ für das Format „QuickTime-Film“ auf die Taste „Video: Einstellungen“,
um das Dialogfenster zu öffnen.
Kapitel 21 Erstellen von QuickTime-Ausgabedateien 269Wenn eine bestimmte Einstellung nicht geändert werden kann, wird sie grau angezeigt.
Bei einigen Video-Codecs (wie Foto-JPEG) können weitere Einstellungen vorgenommen
werden. In diesem Fall ist die Taste „Optionen“ verfügbar. Klicken Sie auf diese Taste,
wenn Sie weitere Änderungen vornehmen wollen.
Choose a frame rate
from this pop-up menu.
Click the Options button for
more configuration settings.
Select a compression
type from this pop-up
menu.
Die im Dialogfenster „Standardeinstellungen für Videokomprimierung“ verfügbaren
Elemente hängen von dem aus dem Einblendmenü „Komprimierungsart“ ausgewählten
Codec ab
Auswahl der Komprimierung
Die Auswahl der Komprimierung erfolgt oben im Fenster und definiert, welche
Einstellungen in den anderen Abschnitten des Fensters aktiviert sind.
• Komprimierungsart: Wählen Sie aus diesem Einblendmenü den Video-Codec aus, den
Sie Ihrer Voreinstellung hinzufügen wollen.
270 Kapitel 21 Erstellen von QuickTime-AusgabedateienEinstellungen für Motion
Die Einstellungen für Motion sind nur für einige Codec aktiv.
• Bildrate: Mithilfe dieses Felds und des zugehörigen Einblendmenüs können Sie die
Bildrate der Originaldatei reduzieren, damit die Größe der komprimierten Datei ebenfalls
reduziert wird. Höhere Bildraten sorgen für homogene Bewegungen, benötigen jedoch
auch mehr Bandbreite. Sie können im Einblendmenü „Bildrate“ eine beliebige andere
Bildrate auswählen, sollten aber berücksichtigen, dass die besten Ergebnisse erzielt
werden, wenn Sie einen Wert eingeben, durch den die Rate der Originaldatei einfach
geteilt werden kann. Wenn die Bildrate der Originaldatei beispielsweise 30 fps betrug,
sollten Sie eine Bildrate von 10 fps oder 15 fps verwenden. Wenn Sie eine Bildrate von
24 fps auswählen, werden Bewegungen ungleichmäßig dargestellt und es kann sogar
zu Bildauslassungen kommen, da sich die Zahl 30 nicht glatt durch 24 teilen lässt.
Wählen Sie eine der folgenden Einstellungen: 8, 10, 12, 15, 23,98, 24, 25, 29,97, 30,
59,94, 60 fps. Wählen Sie „Eigene“, um einen eigenen Wert einzugeben.
• Keyframes: Wenn der von Ihnen ausgewählte Codec es zulässt, geben Sie in das Feld
„Keyframe alle X Bilder“ die Anzahl der Bilder ein, die sich zwischen Ihren Keyframes
befinden sollen. Codecs, die mit einer zeitbasierten Komprimierung arbeiten, verwenden
Keyframes. Ein Keyframe dient als Referenz für die nächste Bildsequenz, sodass
redundante Daten zwischen dem Keyframe und den nachfolgenden Bildern entfernt
werden können. Zwischen den Keyframes befinden sich die weniger detailreichen
Delta-Bilder. Sie müssen Keyframes in Ihrer gesamten Mediendatei einfügen, da sich
der Inhalt ändert. Bei einigen Video-Codecs können Sie einen Keyframe jeweils nach
einer bestimmten Anzahl von Bildern einfügen, während andere Video-Codecs natürliche
Keyframes verwenden. Zu diesem Zweck durchsuchen diese Codecs die gesamte Datei
nach wesentlichen Ähnlichkeiten und Unterschieden und fügen die Keyframes
dementsprechend ein.
Wenn Ihre Mediendatei sehr viel Bewegung enthält, benötigen Sie mehr Keyframes als
für statische Darstellungen, wie zum Beispiel für eine Sequenz mit einem Redner.
Einstellungen für die Datenrate
Die Einstellungen für die Datenrate sind nur für einige Codecs aktiv.
• Datenrate: In diesem Feld können Sie die Datenrate für Ihre Mediendatei in Kilobit pro
Sekunde (kBit/s) einstellen. Diese Einstellung ist nützlich, wenn Sie eine bestimmte
Bitrate (z. B. bei einer DSL-Verbindung) oder Speicherplatzgröße (z. B. für eine DVD
oder CD-ROM) berücksichtigen müssen. Die Datenrate, die Sie hier auswählen, sollte
für Ihr Ausgabemedium geeignet sein. Wählen Sie im Rahmen der geltenden
Beschränkungen die höchstmögliche Datenrate. Die festgelegte Datenrate hat Vorrang
vor anderen Qualitätseinstellungen des Codecs, da der Codec die Datei so weit
komprimiert, wie dies basierend auf der Datenrate erforderlich ist.
Kapitel 21 Erstellen von QuickTime-Ausgabedateien 271Denken Sie daran, dass sich die Datenrate nur auf die Videospur einer Mediendatei
bezieht. Wenn Ihre Mediendatei auch Audiomaterial enthält, müssen Sie für dieses
Material ebenfalls freien Speicherplatz vorsehen.
Compressor
Die Einstellungen für Compressor ändern sich in Abhängigkeit von dem im Einblendmenü
„Komprimierungsart“ ausgewählten Codec.
• Optionen: Diese Taste wird grau angezeigt, wenn der Codec, den Sie aus dem
Einblendmenü „Komprimierungsart“ ausgewählt haben, keine Optionen anbietet. Wenn
Sie weitere Informationen über Zusatzoptionen benötigen, die für solche Codecs
angeboten werden, wenden Sie sich bitte direkt an die Hersteller der betreffenden
Codecs.
Vorschau
Der Vorschaubereich wird nicht verwendet.
Dialogfenster „Toneinstellungen“
In diesem Dialogfenster können Sie die Einstellungen für die Audiokomprimierung
entweder für das QuickTime- oder das AIFF-Ausgabeformat ändern. Klicken Sie im Bereich
„Codierer“ für das Format „QuickTime-Film“ oder „AIFF“ auf die Taste „Audio: Einstellungen“.
Nun wird das zugehörige Dialogfenster angezeigt.
Wenn eine bestimmte Audioeinstellung nicht geändert werden kann, wird sie grau
angezeigt. Die meisten Audio-Codecs ermöglichen die Angabe zusätzlicher Einstellungen.
In diesem Fall werden spezielle Tasten und Steuerelemente angezeigt. Mit diesen können
Sie weitere Änderungen vornehmen.
Format pop-up menu
Rate field and pop-up
menu
Show Advanced Settings
checkbox
272 Kapitel 21 Erstellen von QuickTime-AusgabedateienAbhängig von dem aus dem Einblendmenü „Format“ ausgewählten Audio-Codec enthält
das Dialogfenster „Toneinstellungen“ die folgenden Elemente:
• Format: Wählen Sie aus diesem Einblendmenü den Audio-Codec aus, den Sie zu Ihrer
Voreinstellung hinzufügen wollen.
• Kanäle: In Abhängigkeit vom ausgewählten Codec können Sie hier den gewünschten
Kanalausgangstyp wie Mono, Stereo oder einen bestimmten Mehrkanalausgang
auswählen.
• Rate: Wählen Sie die gewünschte Abtastrate für Ihre Mediendatei aus. Mit einer höheren
Abtastrate erzielen Sie eine bessere Audioqualität, allerdings wird die Datei entsprechend
größer. Das Laden einer größeren Datei nimmt mehr Zeit in Anspruch. Zudem wird
auch mehr Bandbreite benötigt.
• Erweiterte Einstellungen einblenden: Dieses Feld wird grau angezeigt, wenn der Codec,
den Sie aus dem Einblendmenü „Format“ ausgewählt haben, keine weiteren Optionen
anbietet. Wenn Sie weitere Informationen über Zusatzoptionen benötigen, die für
solche Codecs angeboten werden, wenden Sie sich bitte direkt an die Hersteller der
betreffenden Codecs.
Sample-Größen und Abtastraten von QuickTime-Audiodateien
Wenn Sie über ausreichenden Festplattenspeicher und ausreichende Bandbreite verfügen,
sollten Sie Ihr Audiomaterial nicht komprimieren. Für nicht komprimiertes Audiomaterial
werden in der Regel Abtastraten von 8 Bit (Telefon-Qualität) oder 16 Bit (CD-Qualität)
verwendet. Compressor unterstützt bis zu 64 Bit pro Sample (Floating Point) und eine
maximale Abtastrate von 192 kHz.
Auswählen eines Audio-Codecs
AAC ist ein Universal-Audio-Codec, der mit einer Vielzahl von Wiedergabegeräten
kompatibel ist. Für QuickTime-Filme, die auf langsameren Computer abgespielt werden,
sollten Sie IMA 4:1 auswählen, da dieser Codec weniger Prozessorleistung erfordert und
somit mehr Verarbeitungskapazität für den anspruchsvolleren Videostream zur Verfügung
steht. Weitere Informationen zu Audio-Codecs finden Sie unter QuickTime-Audio-Codecs.
Arbeitsablauf beim Umcodieren in das QuickTime-Format
Die folgenden Abschnitte beschreiben, wie Sie Dateien umcodieren, um Ausgabedateien
im QuickTime-Format zu erstellen:
• Schritt 1: Öffnen des Bereichs „Codierer“ für das Format „QuickTime-Film“
• Schritt 2: Hinzufügen eines QuickTime-Video-Codecs
• Schritt 3: Hinzufügen eines QuickTime-Audio-Codecs
Kapitel 21 Erstellen von QuickTime-Ausgabedateien 273Schritt 1:Öffnen des Bereichs „Codierer“ für das Format „QuickTime-Film“
In Compressor können Sie zwischen zahlreichen verschiedenen QuickTime-Video- und
Audio-Codecs wählen. Sie können die Codecs in den Dialogfenstern
„Standardeinstellungen für Videokomprimierung“ und „Toneinstellungen“ auswählen,
die Sie über den Bereich „Codierer“ öffnen, indem Sie auf die Taste „Video: Einstellungen“
bzw. „Audio: Einstellungen“ klicken.
Voreinstellung für QuickTime-Filme bestätigen oder erstellen
1 Führen Sie im Bereich „Voreinstellungen“ einen der folgenden Schritte aus:
• Stellen Sie sicher, dass die korrekte Voreinstellung ausgewählt ist.
• Erstellen Sie eine neue Voreinstellung, indem Sie „QuickTime-Film“ aus dem
Einblendmenü „Hinzufügen“ (+) auswählen.
2 Öffnen Sie im Fenster „Informationen“ den Bereich „Codierer“.
Nun wird der Bereich „Codierer“ mit den Standardeinstellungen angezeigt. Dort finden
Sie Tasten für die Video- und Audioeinstellungen, Einblendmenüs zum Aktivieren von
Optionen, das Einblendmenü „Streaming“ sowie die Taste „Optionen“ (grau angezeigt)
und eine Übersicht. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Bereich „Codierer“ für
das Format „QuickTime-Film“.
Hinweis: Stellen Sie sicher, dass in den Einblendmenüs neben den Tasten „Video:
Einstellungen“ und „Audio: Einstellungen“ die Option „Aktiviert“ ausgewählt ist, wenn
die angezeigten Einstellungen bei der Umcodierung berücksichtigt werden sollen.
Schritt 2: Hinzufügen eines QuickTime-Video-Codecs
Wenn Sie Ihrer Voreinstellung einen QuickTime-Video-Codec hinzufügen möchten, müssen
Sie zunächst das Dialogfenster „Standardeinstellungen für Videokomprimierung“ öffnen.
Wählen Sie dort einen Video-Codec aus dem Einblendmenü „Komprimierungsart“ aus.
274 Kapitel 21 Erstellen von QuickTime-AusgabedateienHinweis: Wenn Sie keine Video-Voreinstellungen verwenden werden, sollten Sie
„Deaktiviert“ aus dem Einblendmenü auswählen.
Bereich „Codierer“ öffnen und Video-Codec anwenden
1 Klicken Sie im Bereich „Codierer“ auf die Taste „Video: Einstellungen“.
Das Dialogfenster „Standardeinstellungen für Videokomprimierung“ wird angezeigt.
Choose a video codec
from the Compression
Type pop-up menu.
2 Wählen Sie einen Video-Codec aus dem Einblendmenü „Komprimierungsart“ aus und
verwenden Sie entweder die Standardwerte oder passen Sie die Einstellungen an (in den
Abschnitten „Motion“, „Datenrate“ und „Compressor“). Weitere Informationen zu
Video-Codecs finden Sie in den folgenden Abschnitten:
• Video-Codec-Einstellungen
• Dialogfenster „Standardeinstellungen für Videokomprimierung“
• QuickTime-Video-Codecs
Hinweis: Sie können den aktuellen Inhalt Ihrer Voreinstellung im Fensterbereich „Übersicht“
ansehen.
3 Klicken Sie auf „OK“, um Ihre Änderungen zu sichern und dieses Dialogfenster zu schließen.
Schritt 3: Hinzufügen eines QuickTime-Audio-Codecs
Wenn Sie einen Audio-Codec zu Ihrer Voreinstellung hinzufügen wollen, öffnen Sie das
Dialogfenster „Toneinstellungen“ und wählen Sie die Einstellungen für den gewünschten
Audio-Codec aus.
Hinweis: Wenn Sie keine Audio-Voreinstellungen verwenden werden, sollten Sie
„Deaktiviert“ aus dem Einblendmenü auswählen.
Kapitel 21 Erstellen von QuickTime-Ausgabedateien 275Bereich „Codierer“ öffnen und Audio-Codec anwenden
1 Klicken Sie im Bereich „Codierer“ auf die Taste „Audio: Einstellungen“.
Das Dialogfenster „Toneinstellungen“ wird geöffnet.
Choose an audio codec
from the Format
pop-up menu.
2 Wählen Sie einen Audio-Codec aus dem Einblendmenü „Format“ aus. Akzeptieren Sie
entweder die Standardeinstellungen oder passen Sie die anderen Einstellungen (Format,
Kanäle, Rate und, falls verfügbar, weitere Optionen) entsprechend an.
Weitere Informationen zu Audio-Codecs finden Sie in den folgenden Abschnitten:
• Audio-Codec-Einstellungen
• Dialogfenster „Toneinstellungen“
• QuickTime-Audio-Codecs
Hinweis: Sie können den aktuellen Inhalt Ihrer Voreinstellung im Fensterbereich „Übersicht“
ansehen.
3 Klicken Sie auf „OK“, um Ihre Einstellungen zu sichern, und schließen Sie dieses
Dialogfenster.
276 Kapitel 21 Erstellen von QuickTime-AusgabedateienHinzufügen zusätzlicher Einstellungen und Voreinstellungen
Obwohl die Voreinstellung für das Ausgabeformat den wichtigsten Bestandteil des
Compressor-Arbeitsablaufs bildet, können Sie auch weitere Einstellungen und
Voreinstellungen hinzufügen (wie zum Beispiel Filter, Beschnitte, Anpassungen der
Bildgröße, Aktionen und Zielorte). Die folgenden Kapitel erläutern weitere Arbeitsschritte,
mit denen Sie diese Einstellungen vornehmen können:
• Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung
• Arbeiten mit Bildsteuerungen
• Hinzufügen von Geometrieeinstellungen
• Hinzufügen von Aktionen
• Erstellen und Ändern von Zielorten
Funktionsweise von Codecs
Der Begriff „Codec“ steht für Compressor (CO)/Decompressor (DEC). Für verschiedene
Wiedergabeverfahren werden unterschiedliche Codecs verwendet (wie zum Beispiel für
die Wiedergabe im Internet oder über eine DVD). Aus diesem Grund sollten Sie zunächst
das Wiedergabeverfahren festlegen und anschließend den geeigneten Codec auswählen.
Welcher Codec am besten geeignet ist, hängt vor allem vom erforderlichen
Komprimierungsgrad ab. Dieser wiederum wird von der zulässigen Datenrate und der
gewünschten Wiedergabequalität bestimmt.
In den folgenden Abschnitten werden Aspekte der Komprimierung behandelt, die Sie
bei der Auswahl eines Video- oder Audio-Codecs berücksichtigen sollten.
QuickTime-Video-Codecs
Jeder Codec hat bestimmte Vor- und Nachteile. Einige Codecs sind z. B. zum Speichern
bestimmter Medientypen besonders gut geeignet, während andere eine höhere Anzahl
von Bildfehlern generieren. Einige Codecs komprimieren langsam, während das
Dekomprimieren weniger Zeit in Anspruch nimmt. Andere Codecs wiederum komprimieren
und dekomprimieren mit der gleichen Geschwindigkeit. Manche Codecs können eine
Datei auf 1/100 der Originalgröße komprimieren, während mit anderen nur eine geringe
Komprimierung erzielt wird. Einige Codecs benötigen ein bestimmtes Betriebssystem,
während andere einen bestimmten Prozessor benötigen. Wieder andere Codecs erfordern
eine bestimmte QuickTime-Version für die Wiedergabe.
Beim Auswählen eines Codecs sollten Sie folgende Aspekte berücksichtigen:
• Möglichst minimale Systemvoraussetzungen für die Wiedergabe
• Ausgangsmaterial
Kapitel 21 Erstellen von QuickTime-Ausgabedateien 277• Qualität der komprimierten Mediendatei
• Größe der komprimierten Mediendatei
• Dauer der Komprimierung bzw. Dekomprimierung der Mediendatei
• Streaming-Anforderungen der Mediendatei
Zum Lieferumfang des Programms „Compressor“ gehören die Standard-Video-Codecs
von QuickTime und die zusätzlichen Codec-Optionen von QuickTime Pro. Wenn Sie nicht
wissen, ob Ihre Zielgruppe einen bestimmten Codec installiert hat, sollten Sie einen der
QuickTime-Standard-Codecs verwenden, damit eine möglichst umfassende Kompatibilität
gewährleistet ist.
Hinweis: Weitere Informationen über das Auswählen von Video-Codecs finden Sie in der
QuickTime-Dokumentation. Dort können Sie nachlesen, wie Sie mit den
Video-Codec-Einstellungen optimale Ergebnisse erzielen.
Es gibt zwei Arten Video-Codecs:
• Verlustfreie Codecs: Wenn Sie verlustfreie Codecs verwenden, bleiben die komprimierten
Daten vollständig erhalten. Diese Art von Codecs werden in der Regel zum Übertragen
von Material von einem Videobearbeitungsprogramm zu einem anderen verwendet.
Bei verlustfreien Codecs sind unter Umständen höhere Datenraten und
High-End-Computer mit spezieller Hardware erforderlich. Beispiele für verlustfreie
Codecs: Animation, Unkomprimiertes 8-Bit, Unkomprimiertes 10-Bit.
• Verlustbehaftete Codecs: Im Vergleich zu verlustfreien Codecs lassen sich bei Verwendung
von verlustbehafteten Codecs die Daten nicht vollständig und fehlerfrei rekonstruieren.
Diese Art von Codecs werden in der Regel dazu verwendet, das fertige Video für den
Endbenutzer bereitzustellen. Wie hoch die Informationsverluste sind, hängt von der
Qualitätseinstellung des jeweiligen Codecs ab. In der Regel muss ein Kompromiss
zwischen der Ausgabequalität des Codecs und dem erreichbaren Komprimierungsgrad
gefunden werden. Mit einigen Codecs kann ein Komprimierungsverhältnis von
mindestens 5:1 erzielt werden, ohne dass sichtbare Qualitätseinbußen entstehen.
Beispiel für einen verlustbehafteten Codec: Foto-JPEG.
Durch eine verlustbehaftete Komprimierung mit niedriger Qualität entstehen
unnatürliche, visuelle Bildfehler in Ihrem Film, die in vielen Fällen auch mit bloßem
Auge erkennbar sind. Wenn Sie einen verlustbehafteten Codec auswählen, sollten Sie
Ihre Mediendatei nur einmal komprimieren, da es durch mehrfaches Komprimieren
einer Datei zu weiteren Bildfehlern kommen kann.
278 Kapitel 21 Erstellen von QuickTime-AusgabedateienQuickTime-Audio-Codecs
Wenn Sie über ausreichend Festplattenspeicher und Bandbreite verfügen, sollten Sie Ihr
Audiomaterial nicht komprimieren. Für nicht komprimiertes Audiomaterial werden in der
Regel Abtastraten von 8 Bit (Telefon-Qualität) oder 16 Bit (CD-Qualität) verwendet.
(Compressor unterstützt bis zu 64 Bit pro Sample (Floating Point) und eine maximale
Abtastrate von 192 kHz.) Sollten jedoch Beschränkungen hinsichtlich der
Festplattenkapazität und der Bandbreite bestehen, müssen Sie Ihr Audiomaterial
komprimieren. Audiomaterial beansprucht weniger Speicherplatz als Videomaterial. Somit
ist für Audiomaterial eine geringere Komprimierung erforderlich als für Videomaterial.
Die wichtigsten Komponenten eines Audio-Codecs sind die Abtastrate und die
Sample-Größe. Die Abtastrate bestimmt die Klangqualität und die Sample-Größe bestimmt
den Dynamikbereich des Klangs. Mit QuickTime-Audio-Codecs können Sie die Abtastrate
und auch die Sample-Größe für Ihre Ausgangsmediendatei bestimmen.
Abtastraten für Audiodaten
Digitalisierter Ton setzt sich aus einzelnen Samples zusammen, die mit unterschiedlichen
Abtastraten aufgezeichnet werden. Je höher die Zahl der Samples pro Sekunde ist, desto
höher ist die Klangqualität. Audio-CDs verwenden beispielsweise eine Abtastrate von
44,1 kHz. Im Gegensatz dazu beträgt die Abtastrate von DVDs 48 kHz, wohingegen
Telefonnetze Abtastraten von 8 kHz verwenden. Die verwendete Abtastrate richtet sich
nach der jeweiligen Klangart. Für Musik wird eine höhere Abtastrate als für gesprochenen
Text benötigt, da Musik einen breiteren Frequenzbereich umfasst. Da die menschliche
Sprache einen kleineren Frequenzbereich hat, können Sie eine geringere Abtastrate
auswählen und erzielen dennoch eine akzeptable Audioqualität. In den meisten Fällen
ist es sinnvoll, die höchste verfügbare Abtastrate auszuwählen.
Durch Verringern der Abtastraten kann eine Mediendatei mit einem Faktor von bis zu 5:1
komprimiert werden. Die Audioqualität wird dabei gemindert, jedoch keinesfalls in dem
Ausmaß wie beim 8-Bit-Sampling. Die Tabelle unten zeigt gebräuchliche Abtastraten und
nennt die zu erwartende Qualität für die einzelnen Abtastraten:
Abtastrate Audio-Gerätequalität
48 kHz DAT/DV/DVD
44 kHz CD
22 kHz Radio (UKW)
8 kHz Telefon
Sample-Größen
Die Sample-Größe bestimmt den Dynamikbereich des Klangs. Beim 8-Bit-Sampling lassen
sich 256 unterschiedliche Werte definieren, während beim 16-Bit-Sampling sogar mehr
als 65.000 Werte möglich sind.
Kapitel 21 Erstellen von QuickTime-Ausgabedateien 279Die 16-Bit-Option ist für Musik geeignet, in der sowohl laute als auch leise Passagen
vorkommen, wie zum Beispiel bei Orchestermusik. Für gesprochenen Text oder Musik
mit einem relativ konstanten Lautstärkepegel können auch mit der 8-Bit-Option gute
Ergebnisse erzielt werden.
Für Mediendateien, deren Größe Sie reduzieren müssen, können Sie statt der Option „16
Bit“ auch „8 Bit“ verwenden. Die Dateigröße wird auf diese Weise um die Hälfte verringert,
allerdings verschlechtert sich auch die Audioqualität.
280 Kapitel 21 Erstellen von QuickTime-AusgabedateienCompressor bietet eine Vielzahl von Filtern (z. B. Filter für die Farbkorrektur und das
Entfernen von Bildrauschen), die Sie verwenden können, um Details Ihres Projekts beim
Umcodieren anzupassen.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Arbeiten mit Filtern (S. 281)
• Bereich „Filter“ (S. 283)
• Bereich für „Video“ (S. 284)
• Bereich „Audio“ (S. 292)
• Bereich „Farbe“ (S. 295)
• Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung (S. 295)
Arbeiten mit Filtern
Vor der Umcodierung können Sie verschiedene Filter auf Ihre Ausgangsmedien anwenden
und auf diese Weise die Ausgabequalität Ihres Video- und Audiomaterials optimieren. In
diesem Zusammenhang ist es ratsam, dass Sie Ihre Ausgangsmediendatei ansehen und
anhören und dann den Filter auswählen, der für den Inhalt dieser Datei am besten geeignet
ist.
281
Hinzufügen von Filtern zu einer
Voreinstellung 22Vorschau von Filtern
Im Fenster „Vorschau“ können Sie eine Vorschau eines Clips anzeigen, der Ihre aktuellen
Filtereinstellungen enthält. Klicken Sie hierzu im Fenster „Stapel“ auf das Ziel, um es im
Fenster „Vorschau“ zu öffnen. Während der Vorschau sehen Sie in der einen Hälfte der
Anzeige die Originalversion Ihrer Mediendatei und in der anderen Hälfte die umcodierte
Version. So können Sie prüfen, wie sich Ihre Filtereinstellungen auf die Datei auswirken,
bevor Sie den Stapel zur Verarbeitung senden (vorausgesetzt, das Feld für den betreffenden
Filter ist markiert).
Adjustments you make
can be viewed in the
Preview window.
Dies kann hilfreich sein, wenn Sie mehrere Filter anwenden, da es manchmal schwierig
abzuschätzen ist, welche Wechselwirkungen zwischen den einzelnen Filtern bestehen.
Wichtig: Die Reihenfolge der Filter in der Filterliste legt die Reihenfolge fest, in der sie
auf das Video- bzw. Audiomaterial angewendet werden. Falls Sie im Fenster „Vorschau“
Ergebnisse sehen, die nicht Ihren Erwartungen entsprechen, sollten Sie versuchen, die
Reihenfolge der Filter zu ändern.
Sobald Sie mit den Einstellungen zufrieden sind, empfiehlt es sich, den gesamten Film
anzusehen. Auf diese Weise stellen Sie sicher, dass sich Ihre Änderungen nicht negativ
auf einige Szenen auswirken.
Hinweis: In Abhängigkeit vom verwendeten System, vom Typ der Ausgangsmediendatei
und von der Zahl der angewendeten Filter wird das Fenster „Vorschau“, in dem die
angewendeten Filtereinstellungen zu sehen sind, unter Umständen mit einer geringeren
Bildrate als der Bildrate der Ausgangsdatei aktualisiert.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Verwenden des Fensters „Vorschau“.
282 Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer VoreinstellungFarbräume
Das Programm „Compressor“ unterstützt folgende Farbräume: YUV (R408), 2VUY, RGBA,
ARGB und YUV (v210). Manche Filter erfordern eine Farbraumkonvertierung, während
andere Filter unterschiedliche Farbräume verarbeiten können. Für jede Mediendatei wählt
Compressor den Farbraum aus, der die besten Ergebnisse im Hinblick auf die Ausgabe
und die Leistung liefert. Die Auswahl erfolgt auf der Basis des Farbraums der folgenden
drei Attribute: Format der Ausgangsmedien, Format der Ausgabedatei sowie ausgewählte
Filter. Sie können den Farbraum für die Ausgabemediendatei auch manuell über das
Einblendmenü „Ausgabefarbraum“ (im Bereich „Farbe“) festlegen.
Weitere Informationen zur Angabe von Farbräumen finden Sie unter Bereich „Farbe“.
Bereich „Filter“
Im Bereich „Filter“ befinden sich drei Titel, über die die zugehörigen Bereiche geöffnet
werden können: Video, Audio und Farbe. Der Bereich „Filter“ bietet Zugriff auf alle Filter,
die in Compressor verwendet werden können.
Filter controls
Choose video, audio,
or color filters
Filters list
Mit den Optionen im Bereich „Filter“ des Fensters „Informationen“ können Sie Filter
auswählen und anpassen, die Sie Ihren Voreinstellungen zuweisen wollen.
Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung 283Hinweis: Wenn Sie einen Filter anpassen, wird das zugehörige Markierungsfeld automatisch
aktiviert. Wenn Sie einen Filter nicht mehr verwenden wollen, deaktivieren Sie das
Markierungsfeld des betreffenden Filters vor der Umcodierung.
• Filterliste: Markieren Sie das Feld neben den Filtern, die Sie zu Ihren Voreinstellungen
hinzufügen wollen. Ihre Filtereinstellungen werden im Bereich „Übersicht“ angezeigt.
Sie können die Reihenfolge der Filter in der Liste verändern, indem Sie Filter in der
Filterliste weiter nach oben oder unten bewegen. Da diese Filter während der
Umcodierung nacheinander verarbeitet werden (beginnend mit dem ersten Eintrag in
der Liste), ist es wichtig, die Filter in der richtigen Reihenfolge anzuordnen. Der Filter
„Textüberlagerung“ sollte etwa sinnvollerweise ganz am Ende der Filterliste stehen,
damit die ausgewählte Textfarbe nicht von einem anderen Filter verändert wird.
• Steuerelemente für Filter: Die verfügbaren Steuerelemente hängen von dem in der
Filterliste ausgewählten Filter ab. Mithilfe von Schiebereglern können Sie die Werte in
großen Schritten ändern, während Sie mithilfe der Pfeile eine Feinanpassung in
Einzelschritten vornehmen können. Der aktuelle Wert der Einstellung wird in dem Feld
zwischen dem Schieberegler und den Pfeilen angezeigt.
Bereich für „Video“
Compressor enthält folgende Videofilter:
Schwarz/Weiß-Pegel einstellen
Mit diesem Filter können Sie festlegen, dass Schwarztöne in reinem Schwarz und Weißtöne
in reinem Weiß wiedergegeben werden, ohne dass die anderen Farben im Bild
beeinträchtigt werden. Auf diese Weise sorgen Sie dafür, dass Bereiche mit reinem Schwarz
oder Weiß (Luminanz) im Bild wie etwa Hintergründe besser komprimiert werden können.
Mit den beiden Schiebereglern können Sie getrennte Werte für Schwarz und Weiß im
Bereich zwischen 0 und 100 einstellen. Unter Farbräume finden Sie weitere Informationen
zur Bedeutung von Farbräumen für Filter.
• Schwarz: Angabe eines Werts von 0 bis 100 für Schwarz.
• Weiß: Angabe eines Werts von 0 bis 100 für Weiß.
284 Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer VoreinstellungHelligkeit und Kontrast
Mit diesem Filter können Sie die Farb- und Luminanzwerte Ihrer Ausgabedatei heller oder
dunkler einstellen. Einige QuickTime-Codecs lassen Ihre Videodatei dunkler erscheinen.
Mit diesem Filter können Sie solche Effekte kompensieren. Wählen Sie einen beliebigen
Wert zwischen -100 und 100 aus. Extreme Einstellungen sollten Sie jedoch vermeiden,
da die Farben Ihrer Videobilder ansonsten sehr verschwommen wirken.
• Helligkeit: Angabe eines Werts von –100 bis 100 für die Helligkeit.
• Kontrast: Angabe eines Werts von –100 bis 100 für den Kontrast.
Farbkorrektur der Lichter (Höchstwerte), Mitteltöne (Mittelwerte) oder Schatten
Je nachdem, welchen dieser Filter Sie wählen, werden ungenaue Weißbalance-Werte
korrigiert und Farbeffekte auf die hellen, mittleren und dunklen Bereiche Ihres Clips
angewendet. Sie können die Werte für die Farben Rot, Grün und Blau unabhängig
voneinander im Bereich zwischen -100 und 100 einstellen.
• Rot: Angabe eines Werts von –100 bis 100 für Rot.
• Grün: Angabe eines Werts von –100 bis 100 für Grün.
• Blau: Angabe eines Werts von –100 bis 100 für Blau.
Deinterlacing
Mit dem Filter „Deinterlacing“ können Kamm- bzw. Latteneffekte entfernt werden.
Es wird empfohlen, für das Deinterlacing anstelle des Legacy-Filters „Deinterlacing“ die
Funktion „Bildsteuerungen“ zu verwenden, mit der auf jeden Fall eine höhere Qualität
erzielt wird. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Arbeiten mit Bildsteuerungen.
Weitere Informationen über das Deinterlacing finden Sie unter Deinterlacing.
Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung 285Folgende Legacy-Deinterlacing-Methoden sind im Einblendmenü „Algorithmus“ verfügbar:
• Algorithmus: Wählen Sie eine von vier Deinterlacing-Methoden.
• Weichzeichnen: Die Halbbilder mit ungeraden und geraden Zeilen werden kombiniert.
Bei dieser Einstellung steht der zeitliche Aspekt im Vordergrund und die Bewegungen
bleiben erhalten. Da jedoch die einzelnen Bilder eigentlich aus zwei Halbbildern
bestehen, ist der optische Eindruck weniger gut, wenn die Wiedergabe angehalten
wird.
• Gerade: Halbbilder mit geraden Zeilen bleiben erhalten und Halbbilder mit ungeraden
Zeilen werden ignoriert, um Bewegungsunschärfen zu vermeiden.
• Ungerade: Halbbilder mit ungeraden Zeilen bleiben erhalten und Halbbilder mit
geraden Zeilen werden ignoriert, um Bewegungsunschärfen zu vermeiden.
• Scharfzeichnen: Diese Einstellung wirkt sich auf beide Halbbilder aus und alle Kanten
werden schärfer dargestellt. Der Schwerpunkt liegt hier auf dem räumlichen Aspekt.
Ein-/Ausblenden
Dieser Filter fügt am Anfang und am Ende des Clips eine Überblendung von bzw. zu einer
Maskenfarbe hinzu.
• Einblenddauer: Mit dieser Option legen Sie die Einblenddauer fest.
• Ausblenddauer: Mit dieser Option legen Sie die Einblenddauer fest.
• Einblenddeckkraft: Mit dieser Option legen Sie die Deckkraft des ersten Videobilds fest.
Bei einem Wert von 0,0 wird das Videobild des Clips völlig mit der Maskenfarbe
überdeckt. Bei einem Wert von 0,5 wird der Clip zu 50 Prozent mit der Maskenfarbe
überdeckt.
286 Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung• Ausblenddeckkraft: Mit dieser Option legen Sie die Deckkraft des letzten Videobilds
fest. Bei einem Wert von 0,0 wird das Videobild des Clips völlig mit der Maskenfarbe
überdeckt. Bei einem Wert von 0,5 wird der Clip zu 50 Prozent mit der Maskenfarbe
überdeckt.
• Überblendfarbe: Mit dieser Option legen Sie die Farbe für die Maske fest. Wenn Sie auf
das Farbfeld klicken, wird das Fenster „Farben“ geöffnet. Hier können Sie die Farbe
auswählen, zu der bzw. von der überblendet werden soll. (Für das Ein- und Ausblenden
muss jeweils dieselbe Farbe gewählt werden.)
Gamma-Korrektur
Verwenden Sie diesen Filter, um die Helligkeit eines Bilds auf der Basis des
Ausgabemonitors zu steuern. Zu diesem Zweck können Sie hier den Gammawert der
Mediendatei anpassen. Mit diesem Filter können Sie Details aus einem unterbelichteten
Clip entfernen oder die Sättigung eines überbelichteten Clips auf ein akzeptables Niveau
reduzieren, ohne dass das Bild zu verschwommen wirkt. Computer, auf denen verschiedene
Betriebssysteme verwendet werden, haben unterschiedliche Monitoreinstellungen. Eine
Korrektur des Gammawerts verbessert die Bildqualität bei Filmen, die auf verschiedenen
Plattformen angezeigt werden sollen.
• Gamma: Wählen Sie für den Gammawert eine Einstellung zwischen 0,1 und 4,0.
Letterbox
Dieser Filter skaliert das Bild und zeigt es zwischen horizontalen schwarzen Balken an.
• Art: In diesem Einblendmenü können Sie den zu verwendenden Letterbox-Typ
auswählen. Durch Auswahl der Einstellung „Skalieren“ wird das Video so komprimiert,
dass es zwischen die schwarzen Balken passt. Durch Auswahl der Einstellung „Maske“
wird das Video an den Stellen beschnitten, an denen sich die Letterbox-Balken befinden.
Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung 287• Position: Mit diesem Einblendmenü können Sie die Position des Videos bestimmen.
Wenn Sie „Mitte“ auswählen, werden schwarze Balken ober- und unterhalb des Videos
platziert. Diese Balken sorgen dafür, dass das Video zentriert bleibt. “Unten“ positioniert
das Video am unteren Rand des Bildschirms. Oberhalb des Videos ist ein einzelner
schwarzer Balken zu sehen. Wenn Sie die Option „Oben“ auswählen, wird das Video
am oberen Bildschirmrand positioniert. In diesem Fall wird unterhalb des Videos ein
einzelner schwarzer Balken angezeigt.
• Ausgabe: In diesem Einblendmenü können Sie das gewünschte Seitenverhältnis für
den Filter „Letterbox“ bestimmen. Hinter jeder Einstellung steht in diesem Feld ein
Wert, der das Verhältnis von Höhe und Breite für die jeweilige Einstellung angibt. Die
Einstellung „Academy“ hat beispielsweise ein Seitenverhältnis von 1,85:1. Das Bild ist
somit 1,85 Mal breiter als hoch. “Manuell“ aktiviert den zugehörigen Schieberegler,
über den Sie das Seitenverhältnis manuell anpassen können.
• Schieberegler „Manuell“: Dieser Schieberegler steht zur Verfügung, wenn zuvor „Manuell“
aus dem Einblendmenü „Ausgabe“ ausgewählt wurde. Damit können Sie das
Seitenverhältnis manuell einstellen. Der Schieberegler funktioniert jedoch nicht, wenn
Sie eine andere Option als „Manuell“ aus dem Einblendmenü „Ausgabe“ ausgewählt
haben.
• Farbfeld „Hintergrund“: Mithilfe dieses Farbfelds können Sie die Farbe für die
Letterbox-Balken auswählen. Klicken Sie auf das Farbfeld und wählen Sie eine Farbe
aus dem Fenster „Farben“ aus.
Rauschen entfernen
Mit diesem Filter kann zufällig auftretendes Bildrauschen entfernt werden. Einige Codecs
generieren fehlerhafte Pixel in der Videodatei, die Sie mit dem Filter „Rauschen entfernen“
beseitigen können. Sie können die Bildqualität verbessern und Ihr Material effizienter
räumlich komprimieren, indem Sie besonders feine Details entfernen.
288 Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer VoreinstellungMit dem Filter zur Reduzierung des Bildrauschens können Sie Bereiche mit geringem
Kontrast weichzeichnen, während Ränder mit hohem Kontrast weiterhin scharf bleiben.
Dieses Verfahren wird auch adaptive Reduzierung des Bildrauschens genannt. Die Ergebnisse
sind für das menschliche Auge nicht wahrnehmbar, optimieren jedoch die Komprimierung
der Ausgangsmedien. Für Live-Videos ist dieser Filter besonders wichtig.
• Anwenden auf: In diesem Einblendmenü können Sie auswählen, aus welchen Kanälen
Sie Störungen herausfiltern möchten. Die Standardeinstellung lautet „Alle Kanäle“. In
diesem Fall wird das Bildrauschen aus allen Kanälen einschließlich des Alpha-Kanals
herausgefiltert. Alternativ können Sie die Option „Chroma-Kanäle“ verwenden, bei der
das Bildrauschen nur aus den beiden Chroma-Kanälen (U und V) im AYUV-Farbraum
(“R408“ in Final Cut Pro) herausgefiltert wird.
• Wiederholung: Mit den Optionen in diesem Einblendmenü können Sie das Bildrauschen
glätten. Geben Sie an, wie oft (1 bis 4 Mal) der ausgewählte Algorithmus auf die
Ausgangsmediendatei angewendet werden soll. Das geänderte Bild wird jeweils als
Ausgangspunkt für den Algorithmus verwendet. Je mehr Wiederholungen verwendet
werden, desto verschwommener wirkt das Bild.
• Algorithmus: Wählen Sie einen der folgenden Algorithmen aus dem Einblendmenü
„Algorithmus“ aus: “Durchschnitt“ (die Farbe jedes Pixels wird an eine Durchschnittsfarbe
der umgebenden Pixels angepasst, wobei der Farbwert des betreffenden Pixels
berücksichtigt wird). „Ersetzen“ (die Farbe jedes Pixels wird an eine Durchschnittsfarbe
der umgebenden Pixels angepasst, wobei der Farbwert des betreffenden Pixels ignoriert
wird). „Zusammenfügen“ (die Farbe jedes Pixels wird entsprechend einem gewichteten
Durchschnitt der umgebenen Pixel, einschließlich des betreffenden Pixels, angepasst.
Der eigene Farbwert des betreffenden Pixels hat dabei ein größeres Gewicht).
Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung 289Scharfzeichnen
Dieser Filter erhöht den Bildkontrast an den Kanten von Objekten. Einige Codecs lassen
Videobilder verschwommen wirken. Dieser Filter kann dem Weichzeichnungseffekt
entgegenwirken, der beim Entfernen von fehlerhaften Pixeln (Bildrauschen) oder aufgrund
von verschwommenem Ausgangsmaterial entsteht. Wird dieser Filter verwendet, wirkt
das Bild schärfer. Wenn Sie extreme Werte für diesen Filter einstellen, kann die
Ausgabedatei grobkörnig wirken. Wählen Sie eine beliebige Zahl zwischen 0 und 100.
• Stärke: Wählen Sie für die Schärfe eine Einstellung zwischen 0,0 und 100,0.
Textüberlagerung
Mit dieser Option können Sie das Bild mit Text überlagern. Dieses Werkzeug ist von
Nutzen, wenn Sie Ihre Ausgabedatei mit wichtigen Textinformationen überlagern wollen.
Mit den nachfolgend beschriebenen Steuerelementen können Sie Text anordnen, eine
Farbe und eine Schrift auswählen sowie die Deckkraft anpassen.
• Position: Mit diesem Einblendmenü können Sie Text im Bildclip wunschgemäß anordnen.
Es stehen 13 Positionen zur Auswahl, z. B. „Mitte“, „Unten links“, „Unten links -
Titelbereich“ und andere.
• Alpha: Mit diesem Schieberegler können Sie die Deckkraft des Texts bestimmen. Wählen
Sie einen Wert zwischen 0 und 1. Der Wert 0 bewirkt, dass der Text völlig transparent
ist, während der Wert 1 ihn vollständig deckend macht.
• Text: Geben Sie den gewünschten Text in dieses Feld ein.
• Textfarbe: Klicken Sie auf das Farbfeld und wählen Sie eine Textfarbe aus dem Fenster
„Farben“ aus.
• Schrift auswählen: Mit dieser Taste öffnen Sie das Fenster „Schriften“, in dem Sie die
Schriftart, den Schriftstil und die Schriftgröße auswählen können.
290 Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer VoreinstellungTimecode-Ersteller
Mit diesem Filter können Sie das Bild mit dem Timecode-Text des Clips überlagern. Sie
können dem Timecode-Text auch ein Etikett hinzufügen.
• Position: Mit dieser Option können Sie Timecode-Text im Bildclip wunschgemäß
anordnen. Es stehen 13 Positionen zur Auswahl, z. B. „Mitte“, „Unten links“, „Unten links
- Titelbereich“ und andere.
• Alpha: Mit diesem Schieberegler können Sie die Deckkraft des Timecode-Texts
bestimmen. Wählen Sie einen Wert zwischen 0 und 1. Der Wert 0 bewirkt, dass der Text
völlig transparent ist, während der Wert 1 ihn vollständig deckend macht.
• Etikett: Geben Sie hier den Text ein, der ggf. links neben der Timecode-Zahl angezeigt
werden soll.
• Feld „Timecode bei 00:00:00:00 starten“: Wählen Sie dieses Feld, damit der Timecode bei
00:00:00:00 startet. Wenn diese Option nicht ausgewählt ist, wird der Timecode des
Clips verwendet.
• Textfarbe: Klicken Sie auf dieses Feld und wählen Sie eine Farbe für den Timecode-Text
aus dem Fenster „Farben“ aus.
• Schrift auswählen: Mit dieser Taste öffnen Sie das Fenster „Schriften“, in dem Sie die
Schriftart, den Schriftstil und die Schriftgröße auswählen können.
Wasserzeichen
Dieser Filter überlagert das Bild mit einem Wasserzeichen. Auf diese Weise können Sie
ein Logo in die Ausgabedatei integrieren. Mit dem Filter „Wasserzeichen“ lassen sich
entweder Standbilder oder Filme als Wasserzeichen auf Ihre Ausgabemediendatei
anwenden.
Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung 291Mit den folgenden Einblendmenüs, Feldern und Schiebereglern können Sie das
Wasserzeichen positionieren sowie seine Größe und Deckkraft anpassen.
• Einblendmenü „Position“: Mit diesem Einblendmenü können Sie die Position des
Wasserzeichens im Bildclip bestimmen. Es stehen 13 Positionen zur Auswahl, z. B.
„Mitte“, „Unten links“, „Unten links - Titelbereich“ und andere.
• Skalieren: Mit diesem Schieberegler können Sie die Größe des Wasserzeichenbilds
einstellen.
• Alpha: Mit diesem Schieberegler können Sie die Deckkraft des Wasserzeichens
bestimmen. Wählen Sie einen Wert zwischen 0 und 1. Der Wert 0 bewirkt, dass das
Wasserzeichen völlig transparent ist, während der Wert 1 es vollständig deckend macht.
• Feld „Wiederholen“: Wenn Sie einen Clip als Wasserzeichen wählen und dieses Feld
markieren, wird der Wasserzeichen-Clip in einer Endlosschleife wiederholt. Wird das
Feld nicht markiert, wird der Wasserzeichen-Clip bis zum Ende abgespielt und erscheint
anschließend nicht mehr.
• Taste „Auswählen“: Klicken Sie auf diese Taste, um das Dialogfenster für die Dateiauswahl
zu öffnen. Wählen Sie dann einen gespeicherten Film oder ein Standbild als
Wasserzeichen aus.
Bereich „Audio“
Compressor enthält folgende Audiofilter:
Wichtig: Die Audiofilter sind nicht verfügbar, wenn für das Audiomaterial „Durchreichen“
in den QuickTime-Einstellungen eingestellt ist. Weitere Informationen hierzu finden Sie
unter Bereich „Codierer“ für das Format „QuickTime-Film“.
Dynamischer Bereich
Dieser Filter ermöglicht die dynamische Steuerung der Audiopegel eines Clips, indem
die Lautstärke für leise Abschnitte erhöht und für lautere Abschnitte reduziert wird. Dies
wird auch als Lautstärkekomprimierung bezeichnet.
• Glätten oberhalb: Audio mit einer Lautstärke über diesem Wert wird auf den für
„Master-Pegel“ eingestellten Wert reduziert.
292 Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung• Schwellenwert für Rauschen: Diese Einstellung legt fest, ab welchem Pegel ein Signal
als Rauschen eingestuft wird. Audio mit diesem Pegel und darüber wird dynamisch auf
den für „Master-Pegel“ eingestellten Wert angepasst. Audiomaterial mit niedrigerem
Pegeln bleibt davon unberührt.
• Master-Pegel: Mit dieser Einstellung legen Sie den Durchschnittspegel des dynamisch
komprimierten Audiomaterials fest.
Spitzenbegrenzer
Mit diesem Filter kann die höchste zulässige Lautstärke des Audiomaterials in Ihrem Clip
eingestellt werden.
• Pegel (dB): Mit dieser Einstellung legen Sie den Pegel fest, ab dem Lautstärkespitzen
reduziert werden.
Apple: AUGraphicEQ
Mit diesem Filter können Sie mithilfe des Plug-Ins „AUGraphicEQ“ eine Vielzahl von
Frequenzen aus dem gesamten hörbaren Frequenzbereich anpassen. Hierbei können Sie
zwischen einer 31-Band- und einer 10-Band-Variante wählen.
• Optionen: Öffnet das Fenster „Apple: AUGraphicEQ“.
Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung 293• Apple: AUGraphicEQ: Verwenden Sie ein Einblendmenü des Equalizers, um die 31- bzw.
die 10-Band-Version des Equalizers zu wählen. Sie können mit dem Schieberegler den
Wert jedes Bands auf eine beliebige Zahl zwischen -20 dB und 20 dB einstellen oder
ein Band auswählen und eine Zahl in das Feld „dB“ eingeben. Zum Auswählen mehrerer
Bänder bewegen Sie den Zeiger bei gedrückter Maustaste über die Bänder. Sie können
auch die Taste „ctrl“ gedrückt halten und den Mauszeiger über die Bänder bewegen
und dabei sozusagen eine Entzerrungskurve „zeichnen“. Klicken Sie auf „EQ
zurücksetzen“, um für alle Bändern den Wert „0,0 dB“ festzulegen.
Ein-/Ausblenden
Dieser Filter fügt am Anfang und am Ende des Clips eine Überblendung von bzw. zu Stille
hinzu (bzw. von oder zu dem von Ihnen eingestellten Pegel).
Hinweis: Wenn Sie sowohl den Filter „Ein-/Ausblenden“ als auch den Filter „Dynamischer
Bereich“ verwenden, müssen Sie sicherstellen, dass der Filter „Dynamischer Bereich“ in
der Filterliste über dem Filter „Ein-/Ausblenden“ steht.
• Einblenddauer: Mit dieser Einstellung wird die Dauer der Überblendung vom
angegebenen Pegel bis zur normalen Lautstärke am Beginn des Clips festgelegt.
• Ausblenddauer: Mit dieser Einstellung wird die Dauer der Überblendung von der
normalen Lautstärke bis zum angegebenen Pegel am Ende des Clips festgelegt.
• Einblendaussteuerung: Mit dieser Einstellung wird der Pegel festgelegt, bei dem die
Überblendung beginnt. Der Wert -100,0 entspricht dabei Stille, während der Wert 0,0
das Audiomaterial unverändert wiedergibt.
294 Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung• Ausblendaussteuerung: Mit dieser Einstellung wird der Pegel festgelegt, bei dem die
Überblendung endet. Der Wert -100,0 entspricht dabei Stille, während der Wert 0,0 das
Audiomaterial unverändert wiedergibt.
Bereich „Farbe“
Sie können den Farbraum für die Ausgabemediendatei manuell im Einblendmenü
„Ausgabefarbraum“ festlegen.
Der Bereich „Farbe“ enthält folgende Steuerelemente:
• Einblendmenü „Ausgabefarbraum“: Legen Sie anhand der folgenden Optionen fest,
welche Eigenschaften der Farbraum in der Ausgabemediendatei haben soll.
• Standardcodierung: Verwendet den Standardfarbraum für das Zielformat.
• Quelle beibehalten: Behält den Farbraum der Ausgangsmediendatei bei.
• SD (601): Verwendet den Standardfarbraum für SD-Mediendateien.
• HD (709): Verwendet den Standardfarbraum für HD-Mediendateien.
Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung
Mithilfe des Bereichs „Filter“ im Fenster „Informationen“ können Sie Filter zu Ihren
Voreinstellungen hinzufügen.
Filter zu einer Voreinstellung hinzufügen
1 Öffnen Sie den Bereich „Voreinstellungen“.
Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung 2952 Wählen Sie die Voreinstellung aus, die Sie ändern wollen. (Oder wählen Sie eine
Voreinstellung aus, die im Fenster „Stapel“ bereits auf eine Ausgangsmediendatei
angewendet wurde. Auf diese Weise können Sie das Fenster „Vorschau“ öffnen und so
die Effekte Ihrer Filteranpassungen prüfen.)
3 Klicken Sie auf das Symbol „Filter“ im Fenster „Informationen“.
4 Passen Sie alle Filter an, die Sie Ihrer Voreinstellung hinzufügen wollen.
Hinweis: Das Markierungsfeld des betreffenden Filters wird automatisch aktiviert, sobald
Sie Änderungen an den Einstellungen des Filters vornehmen.
Any changes you make
to a filter’s settings
apply to the currently
selected filter.
The filter is automatically
selected if you make any
adjustments to it.
5 Bewegen Sie die Filter in der Filterliste weiter nach unten oder oben. So legen Sie die
Reihenfolge fest, in der die Filter während der Umcodierung auf Ihre Ausgangsmediendatei
angewendet werden sollen.
Drag filters up or down
to set the order in which
you want them to be
applied to the source
media file.
296 Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer VoreinstellungDa diese Filter während der Umcodierung nacheinander verarbeitet werden (beginnend
mit dem ersten Eintrag in der Liste), ist es wichtig, die Filter in der richtigen Reihenfolge
anzuordnen. Der Filter „Textüberlagerung“ sollte etwa sinnvollerweise ganz am Ende der
Filterliste stehen, damit die ausgewählte Textfarbe nicht von einem anderen Filter
verändert wird.
Wenn Sie einen Filter bewegen, müssen Sie das zugehörige Markierungsfeld aktivieren,
damit Compressor erkennt, dass der Filter der betreffenden Voreinstellung hinzugefügt
werden soll. Als zusätzliche Erinnerung wird das Dialogfenster „Sichern“ angezeigt, sobald
Sie den Filter auswählen, den Sie zuvor bewegt haben, und versuchen, eine andere
Voreinstellung auszuwählen. Eine Meldung im Dialogfenster fordert Sie auf, die
Änderungen an der Voreinstellung zu sichern oder rückgängig zu machen. Standardmäßig
werden die ausgewählten Filter am Anfang der Liste angezeigt.
Hinweis: Die Details der Voreinstellungen können Sie im Bereich „Übersicht“ des Fensters
„Informationen“ sehen.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Bereich „Filter“.
Kapitel 22 Hinzufügen von Filtern zu einer Voreinstellung 297Mithilfe der Bildsteuerungen kann eine erweiterte Bildanalyse durchgeführt werden, um
anspruchsvolle Videoeffekte wie Retiming, Videoskalierung u. ä. zu realisieren.
Mithilfe der Bildsteuerungen ermöglicht Compressor eine hochwertige Umcodierung
von zahlreichen unterschiedlichen Ausgangsformaten in viele Zielformate unter
Verwendung einer erweiterten Bildanalyse.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Bereich „Bildsteuerungen“ (S. 299)
• Hinzufügen von Bildsteuerungen zu einer Voreinstellung (S. 305)
• Deinterlacing (S. 306)
• Reverse Telecine-Funktion (S. 307)
• Verwenden der Retiming-Steuerelemente (S. 310)
Bereich „Bildsteuerungen“
Mit den Bildsteuerungen können die folgenden Funktionen nun mit einem Qualitätsniveau
ausgeführt werden, das bislang nur mit kostspieligen Hardwarelösungen erreichbar war:
• Konvertieren von Videodateien zwischen internationalen Fernsehstandards wie PAL in
NTSC oder NTSC in PAL.
• Abwärtskonvertieren von HD-Ausgangsvideo in SD-Video oder Aufwärtskonvertieren
von SD in HD.
• Konvertieren eines progressiven Streams in einen Interlaced-Stream bzw. eines
Interlaced-Streams in einen progressiven Stream.
• Anspruchsvolle Bildratenanpassungen (einschließlich komplexer Zeitlupeneffekte).
• Automatisches Entfernen von Pulldown-Effekten, die durch Telecine entstehen (“Reverse
Telecine“).
Die Voreinstellungsgruppe „Weitere Konvertierungsformate“ im Bereich „Voreinstellungen“
ist für die Arbeit mit Bildsteuerungen besonders wichtig.
299
Arbeiten mit Bildsteuerungen
23Wichtig: Für die Einstellungen im Bereich „Bildsteuerungen“ kann im Fenster „Vorschau“
keine Vorschau angezeigt werden. Führen Sie erst eine probeweise Umcodierung eines
kleinen Ausschnitts Ihrer Ausgangsmediendatei durch, um eine Vorschau der Einstellungen
für die Bildsteuerungen anzuzeigen. (Weitere Informationen hierzu finden Sie unter
Umcodieren eines Clipausschnitts im Fenster „Vorschau“.)
Verwenden Sie die folgenden Funktionen im Bereich „Bildsteuerungen“ des Fensters
„Informationen“, um Attribute für die Bildsteuerungen auszuwählen und anzupassen, die
Sie Ihren Voreinstellungen zuweisen möchten.
Resizing controls
Retiming controls
Frame Controls pop-up
menu
Automatic button
Einblendmenü „Bildsteuerungen“
Mit diesem Einblendmenü kann die Funktion „Bildsteuerungen“ aktiviert oder deaktiviert
werden. Mit der entsprechenden Taste „Automatisch“ können Sie den automatischen
Modus aktivieren oder deaktivieren.
Frame Controls
Automatic button
• Einblendmenü „Bildsteuerungen“: Mit diesem Einblendmenü kann der Bereich
„Bildsteuerungen“ aktiviert oder deaktiviert werden.
• Aus: Dies ist die Standardeinstellung für die meisten Apple-Voreinstellungen. Wählen
Sie „Aus“, wenn Ihr Compressor-Projekt keine Änderungen an der Bildgröße, Bildrate
oder Halbbilddominanz erfordert.
• Ein: Ermöglicht das manuelle Anpassen aller Attribute im Bereich „Bildsteuerungen“.
• Taste „Automatisch“: Wenn diese Taste ausgewählt ist, analysiert Compressor den
Umcodierungsauftrag (die Ausgangsmediendatei und die angewendete Voreinstellung)
und bestimmt dann automatisch die geeigneten Attribute für die Bildsteuerungen.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Automatische Einstellungen.
300 Kapitel 23 Arbeiten mit BildsteuerungenIm automatischen Modus werden die Bildsteuerungen nur für die folgenden zwei Arten
von Umcodierungen verwendet:
• Für Umcodierungen von HD-Ausgangsmaterial in SD-MPEG-2-Ausgabedateien
• Für Umcodierungen von Interlaced-Ausgangsmedien in das Format „H.264 für
Apple-Geräte“ (progressiv)
Abschnitt „Steuerung der Größe“
Wählen Sie mit den Steuerelementen in diesem Bereich den Algorithmus aus, mit dem
die Skalierung der Bilder erfolgt.
• Einblendmenü „Größe des Filters anpassen“: Wählen Sie aus diesem Einblendmenü eine
der folgenden Skalierungsoptionen aus. Hierbei müssen Sie bei Projekten, bei denen
eine Änderung der Auflösung erforderlich ist, zwischen einer höheren
Verarbeitungsgeschwindigkeit und einer höheren Ausgabequalität abwägen.
• Schnell (nächstes Pixel): Diese Option bietet die kürzesten Verarbeitungszeiten.
• Besser (linearer Filter): Diese Option bietet einen ausgewogenen Kompromiss zwischen
Verarbeitungsgeschwindigkeit und Ausgabequalität.
• Optimal (statistische Vorhersage): Diese Option bietet eine optimale Ausgabequalität,
benötigt aber mehr Zeit.
• Einblendmenü „Ausgabefelder“: Wählen Sie aus diesem Einblendmenü das
Abtastverfahren für die Ausgabedatei aus (entweder die Halbbilddominanz oder eine
Umwandlung in progressive Abtastung).
• Wie Quellmaterial: Das Abtastverfahren wird nicht geändert.
• Progressiv: Ein Abtastverfahren, das mit Vollbildern (nicht in Halbbilder unterteilt)
arbeitet; verwenden Sie diese Einstellung anstelle des Filters „Deinterlacing“ von
Compressor (ein Legacy-Filter im Bereich „Filter“), da damit immer eine bedeutend
höhere Qualität erzielt wird.
• Oben (ungerade): Hier wird die Reihenfolge der Halbbilder (Halbbilddominanz)
festgelegt. Das obere Halbbild wird auch als Halbbild 2 oder ungerades Halbbild
bezeichnet.
Kapitel 23 Arbeiten mit Bildsteuerungen 301• Unten (gerade): Hier wird die Reihenfolge der Halbbilder (Halbbilddominanz)
festgelegt. Das untere Halbbild wird auch als Halbbild 1 oder gerades Halbbild
bezeichnet.
• Einblendmenü „Deinterlace“: Wählen Sie aus diesem Einblendmenü das gewünschte
Deinterlacing-Verfahren aus. Hierbei müssen Sie zwischen einer höheren
Verarbeitungsgeschwindigkeit und einer höheren Qualität beim Deinterlacing von
bewegten Bereichen eines Bilds abwägen. Eine Deinterlacing-Option mit höherer
Qualität führt in jedem Fall zu gleichwertigen oder besseren Ergebnissen als die
nächstniedrige Qualitätsoption. Erfolgt jedoch gleichzeitig eine Abwärtsskalierung, sind
die Qualitätsverbesserungen möglicherweise nicht erkennbar. Unter diesen Umständen
bieten die Optionen „Schnell“ oder „Besser“ wahrscheinlich eine ausreichend hohe
Qualität (abhängig vom Skalierungsgrad).
Weitere Informationen über das Deinterlacing finden Sie unter Deinterlacing.
Wichtig: Wird für alle Einstellungen die höchste Qualitätsstufe gewählt, kann dies zu
einer unerwartet langen Verarbeitungsdauer führen. Wenn Sie zusätzlich zum
Deinterlacing auch eine Videoskalierung durchführen, bieten in der Regel die
Einstellungen „Schnell“ oder „Besser“ eine ausreichend hohe Qualität (je nach
Skalierungsgrad).
Hinweis: Das Einblendmenü „Deinterlace“ ist zwar immer aktiv, Compressor führt jedoch
nur bei den Aufgaben ein Deinterlacing aus, die dies auch erfordern. (Wird
Ausgangsmaterial im Zeilensprungverfahren verwendet und ist das Einblendmenü
„Ausgabefelder“ auf „Progressiv“ eingestellt, führt Compressor ein Deinterlacing aus.
Wird jedoch eine progressive Ausgangsmediendatei verwendet, führt Compressor kein
Deinterlacing aus.)
• Schnell (Zeilen-Durchschnittsbestimmung): Mit dieser Option, die auch als „Bobbing“
bezeichnet wird, werden benachbarte Zeilen in einem Bild interpoliert.
• Besser (an die Bewegung anpassen): Mit dieser Option erzielen Sie gute Ergebnisse
beim Deinterlacing von bewegten Bereichen eines Bilds.
• Optimal (Bewegung kompensieren): Mit dieser Option erzielen Sie sehr gute Ergebnisse
beim Deinterlacing von bewegten Bereichen eines Bilds.
302 Kapitel 23 Arbeiten mit Bildsteuerungen• Reverse Telecine: Diese Option entfernt die zusätzlichen Halbbilder, die beim
Telecine-Prozess hinzugefügt werden, um die Datenrate des Films (24 fps) in die
Datenrate des NTSC-Standards (29,97 fps) umzuwandeln. Wenn Sie diese Option
auswählen, werden dadurch alle anderen Optionen im Bereich „Bildsteuerungen“
deaktiviert. Weitere Informationen zum 3:2-Pulldown und zur Verwendung der Reverse
Telecine-Funktion finden Sie unter Reverse Telecine-Funktion.
• Adaptive Details: Markieren Sie dieses Feld, um mithilfe einer erweiterten Bildanalyse
zwischen Kantenbereichen und Bildrauschen zu unterscheiden.
• Anti-Aliasing: Stellen Sie mit diesem Schieberegler eine Stufe für die Kantenglättung
ein (von 0 bis 100). Mit dieser Option wird die Konvertierungsqualität für Medien
verbessert, auf die eine Aufwärtsskalierung angewendet wird. Bei einer Umcodierung
von SD-Video in HD werden mit der Option „Anti-Aliasing“ z. B. gezackte Ränder
geglättet, die möglicherweise im Bild auftreten.
• Detailstufe: Stellen Sie mit diesem Schieberegler die Kantenschärfe ein (von 0 bis 100).
Mit diesem Steuerelement zum Scharfzeichnen können Sie einem vergrößerten Bild
wieder mehr Detailinformationen hinzufügen. Im Gegensatz zu anderen
Scharfzeichnungsverfahren kann die Einstellung „Detailstufe“ zwischen Bildrauschen
und Details im Bild unterscheiden. Die Körnung wird dabei im Allgemeinen nicht
verstärkt. Durch eine Erhöhung dieses Parameters kommt es unter Umständen zu
gezackten Rändern, die sich durch eine Erhöhung der Einstellung für „Anti-Aliasing“
entfernen lassen.
Hinweis: Die Einstellungen „Adaptive Details“, „Anti-Aliasing“ und „Detailstufe“ betreffen
nur die Skalierung von Bildern, nicht das Deinterlacing.
Abschnitt „Retiming-Steuerung“
Verwenden Sie diese Steuerelemente, um einen Algorithmus für die Anpassung der
Bildraten auszuwählen.
Kapitel 23 Arbeiten mit Bildsteuerungen 303Hinweis: Wenn Sie die Geschwindigkeit des Videos mithilfe der Retiming-Steuerelemente
ändern, passt Compressor auch den Audioteil der Ausgabemediendatei an, sodass dieser
mit dem Video synchron bleibt. Die Retiming-Steuerung wirkt sich nicht auf die Tonhöhe
des Audiomaterials aus. Weitere Informationen zur Verwendung dieser Optionen finden
Sie unter Verwenden der Retiming-Steuerelemente.
• Einblendmenü „Konvertierung der Rate“: Wählen Sie über dieses Einblendmenü eines
der folgenden Verfahren zum Ändern der Bildrate und somit zur Änderung des
Zeitverhaltens (Retiming) von Bildern aus. Hierbei müssen Sie zwischen einer höheren
Verarbeitungsgeschwindigkeit und einer höheren Ausgabequalität abwägen. Mit der
Einstellung „Besser“ ist in vielen Fällen eine Konvertierung mit ausreichend hoher
Qualität und gleichzeitig einer bedeutend kürzeren Verarbeitungszeit im Vergleich zur
Einstellung „Optimal“ möglich.
Wichtig: Wird für alle Einstellungen die höchste Qualitätsstufe gewählt, kann dies zu
einer unerwartet langen Verarbeitungsdauer führen. Mit der Einstellung „Besser“ ist
eine Bildratenkonvertierung mit ausreichend hoher Qualität und gleichzeitig einer
bedeutend kürzeren Verarbeitungszeit im Vergleich zur Einstellung „Optimal“ möglich.
• Schnell (Nächstes Bild): Es wird keine Bildüberblendung angewendet. Compressor
verwendet einfach eine Kopie des nächsten verfügbaren Bilds und füllt damit die
dazwischenliegenden Bilder.
• Gut (Bildüberblendung): Benachbarte Bilder werden interpoliert, um neue Bilder zu
generieren, die zwischen den ursprünglichen Bildern eingefügt werden.
• Besser (Bewegung kompensieren): Interpoliert Bilder durch eine Analyse des optischen
Flusses und liefert Ergebnisse mit hoher Qualität.
• Optimal (Bewegung kompensieren, hohe Qualität): Interpoliert Bilder durch eine Analyse
des optischen Flusses. Diese Option eignet sich besonders für Umcodierungen, bei
denen die Bildraten erhöht werden (z. B. von 23,98 fps auf 59,94).
304 Kapitel 23 Arbeiten mit Bildsteuerungen• Dauer festlegen auf: Wählen Sie eine der drei Optionen, um die Clipdauer in die
gewünschte Dauer umzuwandeln.
Selection pop-up menu
• Prozentwert in Bezug auf Original (Quelle): Geben Sie in diesem Feld einen Prozentwert
ein, um die Geschwindigkeit des Clips zu verändern, oder wählen Sie eine der
verfügbaren Optionen aus dem Einblendmenü aus. Weitere Informationen zu diesen
Optionen finden Sie unter Eingeben eines Prozentwerts.
• Gesamtdauer: Wählen Sie hier eine Dauer für den Clip. Weitere Informationen zu
diesen Optionen finden Sie unter Eingeben einer Clipdauer.
• Bildrate mit [Bildrate] fps abspielen: Verwenden Sie diese Option, wenn die Bildrate
der Ausgangsmediendatei nicht mit der Bildrate im Bereich „Codierer“ übereinstimmt
(die als Bildrate für die Ausgangsdatei angezeigt wird). Weitere Informationen zu
diesen Optionen finden Sie unter Abspielen des Videos mit der im Bereich „Codierer“
festgelegten Einstellung für „Bildrate“.
Hinzufügen von Bildsteuerungen zu einer Voreinstellung
Sie verwenden den Bereich „Bildsteuerungen“ im Fenster „Informationen“, um
Anpassungen der Retiming- und Skalierungseinstellungen zu Ihren Voreinstellungen
hinzuzufügen.
Automatische Anpassungen der Bildsteuerungen zu einer Voreinstellung hinzufügen
1 Öffnen Sie den Bereich „Voreinstellungen“.
2 Wählen Sie die Voreinstellung aus, die Sie ändern wollen. (Oder wählen Sie im Fenster
„Stapel“ eine Voreinstellung aus, die bereits auf eine Ausgangsmediendatei angewendet
wurde.)
3 Klicken Sie im Fenster „Informationen“ auf das Symbol für die Bildsteuerungen.
4 Klicken Sie auf die Taste „Automatisch“ neben dem Einblendmenü „Bildsteuerungen“.
Compressor analysiert den Umcodierungsauftrag (die Ausgangsmediendatei und die
angewendete Voreinstellung) und bestimmt dann automatisch die geeigneten Attribute
für die Bildsteuerungen.
Im automatischen Modus werden die Bildsteuerungen nur für die folgenden zwei Arten
von Umcodierungen verwendet:
• Für Umcodierungen von HD-Ausgangsmaterial in SD-MPEG-2-Ausgabedateien
Kapitel 23 Arbeiten mit Bildsteuerungen 305• Für Umcodierungen von Interlaced-Ausgangsmedien in das Format „H.264 für
Apple-Geräte“ (progressiv)
Eigene Anpassungen der Bildsteuerungen zu einer Voreinstellung hinzufügen
1 Öffnen Sie den Bereich „Voreinstellungen“.
2 Wählen Sie die Voreinstellung aus, die Sie ändern wollen. (Oder wählen Sie im Fenster
„Stapel“ eine Voreinstellung aus, die bereits auf eine Ausgangsmediendatei angewendet
wurde.)
3 Klicken Sie im Fenster „Informationen“ auf das Symbol für die Bildsteuerungen.
4 Wählen Sie „Ein“ aus dem Einblendmenü „Bildsteuerungen“ aus.
Wenn Sie die Option „Ein“ wählen, ermöglicht Ihnen dies das manuelle Anpassen aller
Attribute im Bereich „Bildsteuerungen“.
Hinweis: Ist die Taste „Automatisch“ aktiviert, müssen Sie diese zuerst durch Klicken
deaktivieren.
5 Nehmen Sie an beliebigen der Attribute im Bereich „Bildsteuerungen“ Anpassungen vor.
(Weitere Informationen zu diesen Steuerungen finden Sie unter Bereich „Bildsteuerungen“.)
6 Klicken Sie auf „Sichern“, um Ihre Änderungen zu sichern.
Deinterlacing
Mit der Funktion „Bildsteuerungen“ in Compressor kann ein Deinterlacing von Videomedien
durchgeführt werden.
Die Videomodi „NTSC“ und „PAL“ arbeiten mit dem Zeilensprungverfahren (Interlacing).
Dies bedeutet, dass jedes Videobild aus zwei Halbbildern (mit einem Abstand von 1/60
Sekunde) besteht, wobei in einem Halbbild die ungeraden Bildzeilen und im anderen die
geraden Zeilen enthalten sind. Die Unterschiede zwischen diesen beiden Halbbildern
lassen den Eindruck von Bewegung entstehen. Das menschliche Auge kombiniert diese
beiden Bilder zu einem Bild mit einer fließenden, realistischen Bewegung und einer
Bildrate von 30 fps in SDTV (Standard Definition Television). Aufgrund der hohen
Geschwindigkeiten bei der Halbbildaktualisierung (1/60 Sekunde) ist der Zeilensprung
nicht sichtbar.
306 Kapitel 23 Arbeiten mit BildsteuerungenDa durch das Zeilensprungverfahren (Interlacing) zwei Halbbilder für jedes Bild erstellt
werden, sind in Bereichen mit schnellen Bewegungen gezackte Linien erkennbar (Kammoder Lattenzauneffekt). Sie können Ihr Ausgangsmaterial Bild für Bild betrachten und
dabei prüfen, ob an den Rändern von bewegten Objekten Zacken erkennbar sind. Sollte
dies der Fall sein, müssten Sie das Ausgangsmaterial mithilfe von Deinterlacing in ein
vollbildbasiertes Format konvertieren.
Interlacing creates
a “comb” effect that
should be removed.
Wenn Sie Ihre Ausgangsmediendatei in ein Format konvertieren müssen, das auf
Vollbildern basiert, müssen Sie die Kammeffekte entfernen, die durch das
Zeilensprungverfahren entstehen. Wenn Sie ein Video mit Zeilensprungverfahren auf
einem Computerbildschirm wiedergeben, wirken Teile Ihres Videos, in denen sehr schnelle
Bewegungen vorkommen, möglicherweise unscharf. Deshalb ist das Deinterlacing
besonders wichtig, wenn QuickTime-Filme für die Wiedergabe auf einem Desktop-System
oder über das Internet konzipiert sind. Sie können das obere Halbbild (ungerade Zeilen)
oder untere Halbbild (gerade Zeilen) aus einer Videodatei mit Zeilensprungverfahren
entfernen. Allerdings kann dies dazu führen, dass Bewegungen im Clip eventuell weniger
homogen wirken. Mit diesem Filter können Sie auch Flimmereffekte beseitigen, die in
Standbildern mit dünnen vertikalen Linien durch das Zeilensprungverfahren entstehen
(z. B. Titelseiten mit klein geschriebenem Text). Zum Erstellen eines Vollbilds werden die
übrigen Halbbilder interpoliert. Auf diese Weise entsteht ein insgesamt homogeneres
Bild.
Reverse Telecine-Funktion
Das Einblendmenü „Deinterlace“ enthält auch die Option „Reverse Telecine“.
Kapitel 23 Arbeiten mit Bildsteuerungen 307Reverse Telecine-Funktion
Die gängigste Methode, die 24 Bilder pro Sekunde (fps) des Filmmaterials auf die 29,97
Bilder pro Sekunde des NTSC-Videoformats zu „strecken“, ist das so genannte 3:2-Pulldown
(auch 2:3:2:3-Pulldown). Wenn Sie abwechselnd zwei Halbbilder aus einem Filmbild und
anschließend drei Halbbilder aus einem Filmbild erzeugen, füllen die 24 Bilder, die in 1
Sekunde auf Film aufgezeichnet wurden, anschließend die 30 Bilder des Videoformats
aus.
A A B B B C C D D D
A B C D A B C D A B C D A B C D A B C D A B C D
A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D
A B C D
A A B B B C C D D D
Field
1
Field
2
Field
1
Field
2
Field
1
Field
2
Field
1
Field
2
Field
1
Field
2
3:2 Pull-Down
One second
Before (23.98 fps)
After (29.97 fps)
Wie in der hier dargestellten Grafik zu sehen, wiederholt sich das 3:2-Muster (eigentlich
ein 2:3:2:3-Muster, da Bild A zwei Halbbildern zugeordnet wird, gefolgt von Bild B, das
drei Halbbildern zugeordnet wird) nach vier Filmbildern. Nahezu alle hochwertigen
Werbesendungen, Kinofilme und nicht live aufgezeichneten Fernsehshows verwenden
diesen Prozess vor der Ausstrahlung.
Damit sich das Videomaterial besser schneiden lässt und Effekte besser angewendet
werden können, ist es oft wünschenswert, die zusätzlichen Halbbilder zu entfernen und
die ursprüngliche Bildrate des Videos von 23,98 fps wiederherzustellen. Ein weiterer
Vorteil, der sich aus der Wiederherstellung der ursprünglichen Bildrate von 23,98 fps
ergibt, ist, dass damit eine Umwandlung in das PAL-Format mit einer Bildrate von 25 fps
vereinfacht wird.
308 Kapitel 23 Arbeiten mit BildsteuerungenDie niedrigere Bildrate hat außerdem den Vorteil, dass weniger Bilder pro Sekunde Video
benötigt werden. Dies wirkt sich in kleineren Dateigrößen aus. Mit der Reverse
Telecine-Funktion ist dies problemlos möglich.
A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D A A B B B C C D D D
A B C D A B C D A B C D A B C D A B C D A B C D
A B C D
A A B B C C D D
Field
1
Field
2
Field
1
Field
2
Field
1
Field
2
Field
1
Field
2
D
Field
2
B
Field
1
Before (29.97 fps)
After (23.98 fps)
One second
3:2 Pull-Down Removal
Pulldown-Kadenz
Wenn Filmmaterial unter Verwendung des Telecine-Prozesses in das NTSC-Videoformat
übertragen wird, weist es eine konstante Pulldown-Kadenz auf, d. h., das 3:2-Muster ist
konsistent und nicht unterbrochen. Es ist relativ einfach, den Telecine-Effekt aus einem
Clip mit konstanter Kadenz zu entfernen, da Sie das Muster nur einmal bestimmen müssen.
Wenn Sie nun diese Clips, auf die die Telecine-Funktion angewendet wurde, als NTSC-Video
bearbeiten möchten, erhalten Sie eine Videodatei, die eine unterbrochene Kadenz mit
inkonsistentem 3:2-Muster hat. Es ist wesentlich schwieriger, den Telecine-Pulldown aus
diesem Clip zu entfernen, da Sie ständig die Kadenz überprüfen müssen, um
sicherzustellen, dass Sie beim Erstellen des Videomaterials mit 23,98 fps nicht aus Versehen
die falschen Halbbilder wählen.
Die im Lieferumfang des Programms „Compressor“ enthaltene Reverse Telecine-Funktion
erkennt automatisch unterbrochene Kadenzen und passt die Verarbeitung ggf.
entsprechend an.
Weitere Aspekte im Zusammenhang mit Reverse Telecine
Es gibt einige weitere Aspekte, die Sie bei der Verwendung der Reverse Telecine-Funktion
berücksichtigen sollten.
Kapitel 23 Arbeiten mit Bildsteuerungen 309Alle anderen Attribute der Bildsteuerungen sind deaktiviert
Da mit der Reverse Telecine-Funktion progressives Videomaterial mit 23,98 fps erzeugt
werden soll, sind alle anderen Attribute im Bereich „Bildsteuerungen“ deaktiviert, wenn
Sie die Option „Reverse Telecine“ ausgewählt haben.
Reverse Telecine und segmentierte Codierung
Da der Verarbeitungsverlauf beim Entfernen des Telecine-Pulldown nicht vorhersehbar
ist, wird die segmentierte Codierung nicht so effizient ausgeführt wie in Fällen, in denen
die Reverse Telecine-Funktion nicht verwendet wird.
Anhalten des Umcodierungsprozesses
Falls Sie den Umcodierungsprozess anhalten, muss mit der Umcodierung von vorn
begonnen werden, wenn Sie den Prozess wieder starten.
Erstellen von PAL-Video während des Reverse Telecine-Prozesses
Sehr häufig wird Videomaterial mit 23,98 fps oder 24 fps in PAL-Video mit 25 fps
konvertiert, indem die Wiedergabegeschwindigkeit um 4 Prozent erhöht wird. Wenn Ihr
Ausgangsmaterial im NTSC-Format mit 29,97 fps vorliegt (im Anschluss an einen
Telecine-Prozess), können Sie es mithilfe von zwei Aufträgen in das PAL-Videoformat
umwandeln.
• Erster Auftrag: Wenden Sie auf den Auftrag eine Voreinstellung an, die den Reverse
Telecine-Prozess durchführt und als Ergebnis eine NTSC-Videodatei mit 23,98 fps liefert.
Hinweis: Sie könnten eine Voreinstellung anwenden, die das Videomaterial gleichzeitig
in das PAL-Format konvertiert. Die Formatkonvertierung erfolgt in diesem Fall jedoch
nicht mithilfe der Bildsteuerungen und die Qualität ist unter Umständen nicht
zufriedenstellend.
• Zweiter Auftrag: Erstellen Sie den zweiten Auftrag, indem Sie den ersten Auftrag
auswählen und anschließend „Auftrag“ > „Neuer Auftrag mit Zielausgabe“ wählen. Auf
diese Weise wird ein Auftrag erzeugt, der mit der Ausgabe des ersten Auftrags verkettet
ist. Nun können Sie eine Voreinstellung anwenden, die als Ausgabeformat PAL festlegt.
Verwenden Sie die Funktion „Bildsteuerungen“, um eine hohe Qualität der Ausgabedatei
zu gewährleisten.
Weitere Informationen zur Verkettung von Aufträgen finden Sie unter Hinzufügen und
Kopieren von Aufträgen.
Verwenden der Retiming-Steuerelemente
Die Retiming-Steuerelemente werden häufig für die folgenden beiden Zwecke eingesetzt
• Konvertieren der Bildrate des Videomaterials: In der Regel betrifft dies die Umwandlung
von NTSC- in PAL-Bildraten oder von PAL- in NTSC-Bildraten. Diese Funktion verwendet
nur die Einstellung im Einblendmenü „Konvertierung der Rate“ und wird bei Bedarf
automatisch konfiguriert.
310 Kapitel 23 Arbeiten mit Bildsteuerungen• Konvertieren der Geschwindigkeit des Videomaterials: Diese Art der Konvertierung ist
erforderlich, wenn die vorhandenen Bilder mit einer anderen Bildrate wiedergegeben
werden sollen oder wenn (im Falle eines Zeitlupeneffekts) Zwischenbilder generiert
werden müssen.
Falls die Ausgangsmediendatei Audiomaterial enthält, wird in allen Fällen auch die
Audiogeschwindigkeit geändert. Dabei wird die Tonhöhe des Audiomaterials so korrigiert,
dass es genau wie das Original klingt und eine andere Geschwindigkeit aufweist. Auf
diese Weise ist sichergestellt, dass die Synchronität zwischen Video- und Audiomaterial
erhalten bleibt.
Wenn Sie sich eine Voreinstellung, die Retiming-Steuerungen verwendet, in der Vorschau
ansehen, wird das Video mit der neuen Bildrate bzw. Geschwindigkeit abgespielt. Da es
aber noch nicht mit den für die Bildsteuerungen festgelegten Einstellungen verarbeitet
wurde, ist die Qualität schlechter als in der endgültigen codierten Ausgabedatei. Die
Tonhöhe des Audiomaterials wird bei der Vorschau der Einstellung korrigiert.
Wichtig: Wenn Sie die Retiming-Steuerelemente in Verbindung mit einer Voreinstellung
verwenden, die das Ausgabeformat „QuickTime-Film“ verwendet, und für die
Audioeinstellung die Option „Durchreichen“ wählen, wird die Audiogeschwindigkeit nicht
geändert und das Audiomaterial ist mit dem Videomaterial nicht mehr synchron. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Bereich „Codierer“ für das Format „QuickTime-Film“.
Konvertieren der Videogeschwindigkeit
Im Bereich „Retiming-Steuerung“ stehen drei verschiedene Optionen für die
Wiedergabegeschwindigkeit zur Auswahl.
Sie können die Wiedergabegeschwindigkeit der Ausgabemedien folgendermaßen
festlegen:
• Eingeben eines Prozentwerts
• Eingeben einer Clipdauer
• Abspielen des Videos mit der im Bereich „Codierer“ festgelegten Einstellung für „Bildrate“
Eingeben eines Prozentwerts
Wenn Sie die Clipdauer durch Eingabe eines Prozentwerts festlegen, stehen zwei Optionen
zur Verfügung:
• Eingabe eines Prozentwerts
• Auswahl eines vordefinierten Werts
Kapitel 23 Arbeiten mit Bildsteuerungen 311Die vordefinierten Werte gelten jeweils für spezifische Ausgangssituationen.
• 24 @ 25: Verwenden Sie diese Einstellung, wenn Sie mit Videomaterial arbeiten, das
eine Bildrate von 24 fps verwendet und im PAL-Format mit 25 fps bereitgestellt werden
soll.
• 23,98 @ 24: Verwenden Sie diese Einstellung, wenn Sie mit Videomaterial arbeiten, das
eine Bildrate von 23,98 fps verwendet und in 24 fps konvertiert werden soll.
• 23,98 @ 25: Verwenden Sie diese Einstellung, wenn Sie mit Videomaterial arbeiten, das
eine Bildrate von 23,98 fps verwendet und im PAL-Format mit 25 fps bereitgestellt
werden soll.
• 30 @ 29,97: Verwenden Sie diese Einstellung, wenn Sie mit Videomaterial arbeiten, das
eine Bildrate von 30 fps verwendet und in 29,97 fps konvertiert werden soll.
• 29,97 @ 30: Verwenden Sie diese Einstellung, wenn Sie mit Videomaterial arbeiten, das
eine Bildrate von 29,97 fps verwendet und in 30 fps konvertiert werden soll.
• 24 @ 23,98: Verwenden Sie diese Einstellung, wenn Sie mit Videomaterial arbeiten, das
eine Bildrate von 24 fps verwendet und im NTSC DVD-Format mit 23,98 fps bereitgestellt
werden soll.
Bei all diesen Optionen sind keine Zwischenbilder erforderlich, die vorhandenen Bilder
werden lediglich schneller oder langsamer wiedergegeben.
Eingeben einer Clipdauer
Im zugehörigen Feld wird die aktuelle Clipdauer angezeigt. Sobald Sie die Dauer ändern,
wird der Prozentwert angepasst, um dieser Änderung Rechnung zu tragen.
Diese Option eignet sich besonders für Ausgangsmediendateien, deren Dauer etwas
länger oder kürzer ist als erforderlich. In diesem Fall ist es einfacher, die
Wiedergabegeschwindigkeit der Datei zu ändern als Videobilder hinzuzufügen oder zu
entfernen.
Bei dieser Methode werden bei Bedarf Zwischenbilder im Videomaterial erstellt.
Abspielen des Videos mit der im Bereich „Codierer“ festgelegten Einstellung für
„Bildrate“
Verwenden Sie diese Option, wenn Ihre Ausgangsmediendatei eine andere Bildrate
verwendet, als in der Einstellung „Bildrate“ im Bereich „Codierer“ festgelegt ist.
312 Kapitel 23 Arbeiten mit BildsteuerungenMit dem Bereich „Geometrie“ im Fenster „Informationen“ können Sie erweiterte
Anpassungen an Ihren Voreinstellungen vornehmen.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Beschneiden, Skalieren und Padding (S. 313)
• Bereich „Geometrie“ (S. 316)
• Geometrie-Anpassungen an einer Voreinstellung (S. 321)
Beschneiden, Skalieren und Padding
Der Bereich „Geometrie“ bietet Ihnen drei verschiedene Bearbeitungsmethoden, mit
denen Sie das Ausgabebild anpassen können.
Beschneiden
Beim Beschneiden eines Bilds entfernen Sie Videoinhalte. Bei diesen Inhalten handelt es
sich meist um nicht benötigte Bildbereiche (wie zum Beispiel einen Overscan-Bereich,
der für die TV-Wiedergabe, nicht jedoch für Computer benötigt wird). Dadurch können
die verbleibenden Bildbereiche unter Beibehaltung der Bildgröße größer angezeigt
werden.
Für das Beschneiden gibt es darüber hinaus die Einstellung „Letterbox-Bereich der Quelle“,
bei der die Bildränder erkannt und automatisch geeignete Werte für den Beschnitt ermittelt
werden. Dies ist besonders hilfreich, wenn Sie den Letterbox-Bereich einer
Ausgangsmediendatei entfernen wollen.
Wenn Sie die Einstellungen für das Beschneiden anpassen, gibt es zwei Möglichkeiten,
wie sich dies auf die Bildgröße der Ausgabevideodatei auswirkt:
• Die Bildgröße bleibt unverändert, wenn Sie im Einblendmenü für die Bildgröße eine
andere Einstellung als „100% des Originals“, „50% des Originals“ oder „25% des Originals“
gewählt haben. (Sie finden dieses Einblendmenü im Bereich „Geometrie“ unter
„Abmessungen (Codierte Pixel)“.) Das bedeutet, dass das Ausgangsvideobild vergrößert
wird, damit es der Bildgröße der Ausgabevideodatei entspricht. Dies führt zu größeren
Pixeln und zu einer allgemein schlechteren Bildqualität.
313
Hinzufügen von
Geometrieeinstellungen 24• Die Bildgröße wird um die Beschnittgröße reduziert, wenn Sie im Einblendmenü für
die Bildgröße die Einstellung „100% des Originals“, „50% des Originals“ oder „25% des
Originals“ gewählt haben. (Sie finden dieses Einblendmenü im Bereich „Geometrie“
unter „Abmessungen (Codierte Pixel)“.) Dies kann zu nicht standardkonformen
Bildgrößen führen.
Die Einstellungen für das Beschneiden befinden sich unter „Original einsetzen
(Beschneiden)“ des Bereichs „Geometrie“.
Skalieren
Durch eine Skalierung können Sie die Bildgröße der Ausgabevideodatei ändern, ohne
Teile des Originalbilds zu entfernen. In den meisten Fällen wird beim Skalieren die Größe
Ihres Ausgabemedienbilds verringert, um Speicherplatz zu sparen oder die Bitrate zu
reduzieren.
Compressor bietet vier grundlegende Methoden, die Bildgröße einer Ausgabemediendatei
zu skalieren.
• Wählen Sie einen Prozentwert der Originalgröße: Für die Skalierung des Originalbilds auf
der Basis eines Prozentwerts stehen drei Einstellungen zur Auswahl (“100% des
Originals“, „50% des Originals“ und „25% des Originals“). Die Werte für das Beschneiden
wirken sich nicht nur auf die Bildgröße des Originalbilds, sondern auch auf die
tatsächliche Bildgröße des Ausgabevideomaterials aus.
• Wählen Sie eine maximale Bildgröße: Mithilfe der sechs verfügbaren Einstellungen wird
das Originalbild so skaliert, dass das ursprüngliche Seitenverhältnis gewahrt bleibt und
das Bild so groß wie möglich ist, ohne dass die ausgewählte Größe überschritten wird.
• Wählen Sie eine vordefinierte Bildgröße: Sie können unter mehreren Einstellungen für
Standardbildgrößen wählen, z. B. 720x486, 720x576 und so weiter. Wenn Sie eine dieser
Einstellungen wählen, entspricht die Bildgröße der Ausgabevideodatei der hier
ausgewählten Bildgröße.
• Geben Sie einen eigenen Wert ein: Sie können auch eine eigene Bildgröße angeben.
Darüber hinaus können Sie festlegen, dass die von Ihnen eingegebene Bildgröße an
ein gängiges Seitenverhältnis wie 4:3 oder 16:9 angepasst wird. Wenn Sie eine eigene
Bildgröße eingeben, entspricht die Bildgröße der Ausgabevideodatei dieser Einstellung.
Zusätzlich besteht die Möglichkeit, das Seitenverhältnis des Ausgabebilds in Pixeln zu
definieren. Hierfür steht ein entsprechendes Einblendmenü mit gängigen Einstellungen
zur Verfügung.
Hinweis: Die Skalierungseinstellungen sind nur aktiviert, wenn Sie „MPEG-4“,
„QuickTime-Film“ oder „Bildsequenz“ als Ausgabeformat für die Codierung verwenden.
Die Einstellungen für das Skalieren befinden sich unter „Abmessungen (Codierte Pixel)“
des Bereichs „Geometrie“.
314 Kapitel 24 Hinzufügen von GeometrieeinstellungenPadding
Beim Padding handelt es sich um eine Technik, mit der sich das Bild auf eine kleinere
Größe skalieren lässt, gleichzeitig aber die Bildgröße des Ausgabebilds erhalten bleibt.
Dabei werden die nicht benötigten Bereiche mit Schwarz „aufgefüllt“. Im Gegensatz zum
Beschneiden werden beim Padding keine Inhalte aus dem Originalbild entfernt. Vielmehr
wird das Bild durch Skalieren um den Padding-Wert verkleinert.
Padding ist hilfreich, wenn die Originalbildgröße kleiner ist als die Ausgabebildgröße und
Sie verhindern möchten, dass das Originalbild auf die Größe des Ausgabebilds skaliert
wird. Durch Hinzufügen des korrekten Padding-Werts behält das Originalbild im
Ausgabebild seine ursprüngliche Größe, während der restliche Bildbereich mit Schwarz
aufgefüllt wird.
Padding wird automatisch angewendet, wenn das Originalvideobild in nicht
komprimiertem NTSC-Format (720x486) vorliegt und das Ausgabebild das Format 720x480
hat.
Es stehen mehrere gängige Padding-Einstellungen zur Verfügung (z. B. „16x9“ und
„Panavision“). Anhand dieser Einstellungen kann Compressor auf einfache Weise
Padding-Werte ermitteln, die sicherstellen, dass das Originalbild sein ursprüngliches
Seitenverhältnis beibehält.
Die Einstellungen für das Padding finden Sie unter „Ausgabebild anpassen (Padding)“
des Bereichs „Geometrie“.
Kapitel 24 Hinzufügen von Geometrieeinstellungen 315Bereich „Geometrie“
Im Bereich „Geometrie“ können Sie Einstellungen für das Beschneiden und die
Größenanpassung vornehmen. Zudem können Sie die Größe Ihrer Ausgabedatei sowie
das Seitenverhältnis (d. h. das Verhältnis zwischen der Breite und der Höhe eines Bilds)
anpassen
Cropping
Scaling
Padding
Einstellungen unter „Original einsetzen (Beschneiden)“
Mit den Optionen im Einblendmenü „Auf“ können Sie das Ausgabebild zentriert
beschneiden oder Einstellungen zum Beschneiden in den unten aufgeführten Feldern
eingeben.
• Einblendmenü „Auf“: Wählen Sie eine der folgenden Optionen für manuelles Beschneiden
oder automatisches, zentriertes Beschneiden.
Die tatsächlichen numerischen Werte für den Beschnitt werden festgelegt, nachdem
eine Zieleinstellung auf den Auftrag angewendet wird.
316 Kapitel 24 Hinzufügen von GeometrieeinstellungenHinweis: Wenn Sie eine SD-Ausgangsmediendatei in Normalgröße (720 x 486) mithilfe
einer MPEG-2-NTSC-Voreinstellung umcodieren wollen, wird Ihre Ausgabedatei
automatisch beschnitten (um zwei Pixel von oben und vier Pixel von unten), damit die
für das Format MPEG-2 erforderliche Abmessung von 720 x 480 erreicht werden kann.
Dies gilt nur dann, wenn Sie nicht bereits zuvor Einstellungen zum Beschneiden für
Ihre Voreinstellung festgelegt haben. Das Attribut für das Beschneiden gilt nur
vorübergehend und wird nicht in der Voreinstellung gesichert. Sie können das Ergebnis
des automatischen Beschneidens wie gewohnt anzeigen, indem Sie durch Doppelklicken
auf die Voreinstellung im Auftrag das Fenster „Vorschau“ öffnen. Weitere Informationen
zum Einblendmenü „Videoformat“ finden Sie unter Bereich „Codierer“ für das Format
„MPEG-2“.
• Anpassen: Mit dieser Option können Sie manuell Werte in die Felder für den Beschnitt
„Links“, „Rechts“, „Oben“ und „Unten“ eingeben. Sie können diese Werte aber auch
ändern, indem Sie die roten Begrenzungslinien in der Vorschau bewegen. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Geometrie-Anpassungen an einer
Voreinstellung.
• 4:3 (1,33:1): Das Ausgabebild wird automatisch zentriert beschnitten (mit einem
Seitenverhältnis von 4:3).
• 16:9 (1,78:1): Das Ausgabebild wird automatisch zentriert beschnitten (mit einem
Seitenverhältnis von 16:9).
• Panavision (2,35:1): Das Ausgabebild wird automatisch zentriert beschnitten (mit
einem Seitenverhältnis von 2,35:1).
• Standard (Europa) (1,66:1): Das Ausgabebild wird automatisch zentriert beschnitten
(mit einem Seitenverhältnis von 1,66:1).
• Standard (UK) (1,75:1): Das Ausgabebild wird automatisch zentriert beschnitten (mit
einem Seitenverhältnis von 1,75:1).
• Academy (1,85:1): Das Ausgabebild wird automatisch zentriert beschnitten (mit einem
Seitenverhältnis von 1,85:1).
• Letterbox-Bereich der Quelle: Ist diese Option markiert, kann Compressor erkennen,
ob die Ausgangsmediendatei ein Letterbox-Format verwendet. Falls ja, werden Werte
für das Beschneiden festgelegt, um die Letterbox-Balken zu entfernen.
Kapitel 24 Hinzufügen von Geometrieeinstellungen 317• Links, Rechts, Oben, Unten: Mit den vier Feldern zum Beschneiden (“Links“, „Oben“,
„Rechts“ und „Unten“) können Sie das Bild Ihrer Ausgangsmediendatei in Schritten von
jeweils einem Pixel beschneiden. Die meisten Broadcast-Videodateien besitzen
Overscan-Bereiche. Wenn die Ausgabedatei ausschließlich auf einem
Computerbildschirm und nicht auf einem Fernsehbildschirm angezeigt werden soll,
können Sie die Bildränder problemlos beschneiden, ohne dass dies Auswirkungen auf
den sichtbaren Bildbereich hat. Die Werte geben den Abstand (in Pixeln) zwischen dem
Rand des Originalbilds und dem beschnittenen Bild an. Der Standardwert für alle Felder
ist 0.
Hinweis: Der normale Overscan-Bereich (“Sichtbarer Bereich“ oder „Action-Safe“-Bereich)
ergibt sich durch ein Beschneiden um fünf Prozent an allen vier Seiten. Wenn Sie das
Bild um weitere fünf Prozent beschneiden, ergibt sich der Titelbereich (Bereich, in dem
alle Titel und Schrifteinblendungen sichtbar sind, auch „Title-Safe“-Bereich“ genannt).
Sie können also einen beliebigen Teil zwischen fünf und zehn Prozent Ihres äußeren
Bildbereichs beschneiden, ohne dass grundlegendes Videomaterial verloren geht.
Einstellungen im Abschnitt „Abmessungen (Codierte Pixel)“
Die Einstellungen im Abschnitt „Abmessungen (Codierte Pixel)“ sind nur aktiviert, wenn
Sie „MPEG-4“, „QuickTime-Film“ oder „Bildsequenz“ als Ausgabeformat für die Codierung
verwenden. Bei anderen Formaten werden die Einstellungen grau dargestellt, enthalten
aber die Werte, die beim Senden des Stapels verwendet werden.
• Felder „Breite“ und „Höhe“ für Bildgröße: Mit diesen Textfeldern und dem zugehörigen
Einblendmenü können Sie die Bildgröße und das Seitenverhältnis Ihrer
Ausgabemediendatei anpassen. Geben Sie einen Wert in das Feld „Breite“ oder „Höhe“
ein oder wählen Sie eine Option aus dem entsprechenden Einblendmenü.
• Einblendmenü „Bildgröße“: Die entsprechenden Abmessungen der Ausgabegröße
werden ausgehend von Ihrer Auswahl aus dem Einblendmenü automatisch in die Felder
„Breite“ und „Höhe“ übernommen.
• 100 % des Originals: Die Abmessungen der Ausgabe sind mit den Abmessungen der
Ausgangsmedien identisch. (Die Abmessungen werden unverändert beibehalten.)
• 50 % des Originals: Die Abmessungen der Ausgabe werden auf genau 50 % des
Originals skaliert.
318 Kapitel 24 Hinzufügen von Geometrieeinstellungen• 25 % des Originals: Die Abmessungen der Ausgabe werden auf genau 25 % des
Originals skaliert.
• Bis zu 1920x1080: Die Abmessungen der Ausgabe werden so skaliert, dass eine
Bildgröße von 1920x1080 nicht überschritten wird (das ursprüngliche Seitenverhältnis
wird beibehalten).
• Bis zu 1280x720: Die Abmessungen der Ausgabe werden so skaliert, dass eine
Bildgröße von 1280x720 nicht überschritten wird (das ursprüngliche Seitenverhältnis
wird beibehalten).
• Bis zu 960x540: Die Abmessungen der Ausgabe werden so skaliert, dass eine Bildgröße
von 960x540 nicht überschritten wird (das ursprüngliche Seitenverhältnis wird
beibehalten).
• Bis zu 854x480: Die Abmessungen der Ausgabe werden so skaliert, dass eine Bildgröße
von 854x480 nicht überschritten wird (das ursprüngliche Seitenverhältnis wird
beibehalten).
• Bis zu 428x480: Die Abmessungen der Ausgabe werden so skaliert, dass eine Bildgröße
von 428x240 nicht überschritten wird (das ursprüngliche Seitenverhältnis wird
beibehalten).
• Bis zu 214x120: Die Abmessungen der Ausgabe werden so skaliert, dass eine Bildgröße
von 214x120 nicht überschritten wird (das ursprüngliche Seitenverhältnis wird
beibehalten).
• 320x240: Die Abmessungen der Ausgabe betragen genau 320x240.
• 640 x 480: Die Abmessungen der Ausgabe betragen genau 640x480.
• 720x480: Die Abmessungen der Ausgabe betragen genau 720x480.
• 720x486: Die Abmessungen der Ausgabe betragen genau 720x486.
• 720x576: Die Abmessungen der Ausgabe betragen genau 720x576.
• 1280x720: Die Abmessungen der Ausgabe betragen genau 1280x720.
• 1920x1080: Die Abmessungen der Ausgabe betragen genau 1920x1080.
• Anpassen: Sie können die Einstellungen manuell festlegen. Geben Sie die für Ihre
Anforderungen geeigneten Werte für die Breite und Höhe ein. Das Seitenverhältnis
unterliegt keinen Beschränkungen.
• Eigene (4:3): Diese manuelle Einstellung ist an das Seitenverhältnis 4:3 gebunden.
Geben Sie entweder in das Feld „Breite“ oder in das Feld „Höhe“ einen Wert ein. Der
jeweils andere Wert wird automatisch ergänzt.
• Eigene (16:9): Diese manuelle Einstellung ist an das Seitenverhältnis 16:9 gebunden.
Geben Sie entweder in das Feld „Breite“ oder in das Feld „Höhe“ einen Wert ein. Der
jeweils andere Wert wird automatisch ergänzt.
Kapitel 24 Hinzufügen von Geometrieeinstellungen 319• Eigene (1,85:1): Diese manuelle Einstellung ist an das Seitenverhältnis 1,85:1 gebunden.
Geben Sie entweder in das Feld „Breite“ oder in das Feld „Höhe“ einen Wert ein. Der
jeweils andere Wert wird automatisch ergänzt.
• Eigene (2,35:1): Diese manuelle Einstellung ist an das Seitenverhältnis 2,35:1 gebunden.
Geben Sie entweder in das Feld „Breite“ oder in das Feld „Höhe“ einen Wert ein. Der
jeweils andere Wert wird automatisch ergänzt.
• Feld „Pixelformat“: Sie können „Anpassen“ im Einblendmenü Feld „Pixelformat“ wählen
und einen beliebigen Wert in dieses Feld eingeben. Das Pixelformat bezeichnet die
Form der Pixel im Digitalbild. Dies ist für einige Filter besonders wichtig. Hier ein Beispiel:
Die Grafik, die Sie für den Wasserzeichen-Filter einsetzen, enthält einen Kreis. Damit
Sie sicher sein können, dass das Endergebnis immer noch wie ein Kreis (und nicht wie
ein Oval) aussieht, müssen Sie die Einstellung für das Pixelformat auswählen, die dem
ausgewählten Ausgabeformat entspricht.
• Einblendmenü „Pixelformat“: Legen Sie über dieses Einblendmenü das Pixelformat der
Ausgabemediendatei fest. Auf diese Weise entspricht das Pixelformat immer dem
ausgewählten Ausgabeformat. Es stehen folgende Optionen zur Verfügung.
• Anpassen: Mit dieser Option können Sie manuell Werte in das Feld „Pixelformat“
eingeben.
• Standardeinstellung für Größe: Das Pixelformat wird auf die Werte für die Breite und
Höhe festgelegt, die standardmäßig für die ausgewählte Voreinstellung gelten. Die
Werte 720 x 480 oder 720 x 486 sind beispielsweise Standardwerte für NTSC CCIR
601/DV NTSC.
• Quadratisch: Verwenden Sie diese Option, wenn die Ausgabedatei auf Computern
angezeigt werden soll.
• NTSC CCIR 601/DV: Das Pixelformat wird auf 4:3 (720 x 480 Pixel) festgelegt.
• NTSC CCIR 601/DV (16:9): Das Pixelformat wird auf 16:9 (720 x 480 Pixel) festgelegt.
• PAL CCIR 601: Das Pixelformat wird auf 4:3 (720 x 576 Pixel) festgelegt.
• PAL CCIR 601 (16:9): Das Pixelformat wird auf 16:9 (720 x 576 Pixel) festgelegt.
• HD (960x720): Das Pixelformat wird auf 16:9 (1280 x 720 Pixel) festgelegt.
• HD (1280x1080): Das Pixelformat wird auf 16:9 (1920 x 1080 Pixel) festgelegt.
• HD (1440x1080): Das Pixelformat wird auf 16:9 (1440 x 1080 Pixel) festgelegt.
320 Kapitel 24 Hinzufügen von GeometrieeinstellungenEinstellungen im Abschnitt „Ausgabebild anpassen (Padding)“
Mit folgenden Einstellungen kann ein Padding angewendet und angepasst werden.
• Einblendmenü „Rand“: Wählen Sie aus diesem Einblendmenü eine der folgenden
Optionen aus.
• Anpassen: Erlaubt das manuelle Eingeben von Werten in den Feldern „Links“, „Rechts“,
„Oben“ und „Unten“.
• Seitenverhältnis der Quelle beibehalten: Das Padding wird so auf das Bild angewendet,
dass das ursprüngliche Seitenverhältnis beibehalten wird.
• 4 x 3 1,33:1: Das Seitenverhältnis 4x3 wird verwendet.
• 16 x 9 1,78:1: Das Seitenverhältnis 16x9 wird verwendet.
• 4 x 3 1,33:1: Das Seitenverhältnis 4x3 wird verwendet.
• Panavision 2,35:1: Das Seitenverhältnis 2,35:1 wird verwendet.
• Standard (Europa) 1,66:1: Das Seitenverhältnis 1,66:1 wird verwendet.
• Standard (UK) 1,75:1: Das Seitenverhältnis 1,75:1 wird verwendet.
• Academy 1,85:1: Das Seitenverhältnis 1,85:1 wird verwendet.
• Felder „Links“, „Rechts“, „Oben“, „Unten“: Geben Sie in diesen Feldern an, wie viele Pixel
an den Rändern des Bilds zum „Auffüllen“ verwendet werden sollen. Padding ist
gewissermaßen die Umkehrfunktion des Beschneidens. Wenn sich die Bildgröße der
Ausgabemediendatei von der der Ausgangsmediendatei unterscheidet, empfiehlt es
sich unter Umständen, das jeweilige Bild „aufzufüllen“, anstatt es zu skalieren.
Geometrie-Anpassungen an einer Voreinstellung
Im Bereich „Geometrie“ des Fensters „Informationen“ können Sie die in einer Voreinstellung
festgelegten Einstellungen für das Seitenverhältnis, den Beschnitt und die Skalierung
eines Bilds ändern.
Kapitel 24 Hinzufügen von Geometrieeinstellungen 321Einstellungen für den Beschnitt, die Skalierung und das Seitenverhältnis zu Ihrer
Voreinstellung hinzufügen
1 Öffnen Sie den Bereich „Voreinstellungen“.
2 Wählen Sie die Voreinstellung aus, die Sie ändern wollen. (Oder wählen Sie im Fenster
„Stapel“ eine Voreinstellung aus, die bereits auf eine Ausgangsmediendatei angewendet
wurde.)
3 Klicken Sie im Fenster „Informationen“ auf das Symbol „Geometrie“.
4 Geben Sie im Abschnitt „Original einsetzen (Beschneiden)“ die gewünschten Werte für
den Beschnitt ein. Wählen Sie unter „Abmessungen (Codierte Pixel)“ die Ausgabegröße
aus dem Einblendmenü „Bildgröße“ aus und legen Sie unter „Ausgabedatei anpassen
(Padding)“ die erforderlichen Padding-Einstellungen fest.
Sie können die Änderungen an Ihrer Voreinstellung im Bereich „Übersicht“ sehen.
322 Kapitel 24 Hinzufügen von GeometrieeinstellungenHinweis: Die Bildgröße kann auf zwei verschiedene Arten angepasst werden. Sie können
Werte in die Felder für den Beschnitt eingeben oder die roten Begrenzungslinien in der
Vorschau bewegen. Wenn Sie die Begrenzungslinien bewegen, werden die Werte in den
Feldern für den Beschnitt dynamisch aktualisiert, sodass Sie auch die exakten
Abmessungen des beschnittenen Bilds ablesen können. Halten Sie die Umschalttaste
gedrückt, um das Beschneiden entweder auf das Ausgangsseitenverhältnis, die
Ausgangshöhe oder die Ausgangsbreite zu beschränken.
Drag the red frame
bars (by the handles)
to adjust the output
file frame size.
If you select a batch’s target,
any resizing in the Preview
window is reflected in the
Geometry pane. You can also
directly enter numbers into
these cropping fields. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Anzeigen eines Clips in der Vorschau oder
Bereich „Geometrie“.
Kapitel 24 Hinzufügen von Geometrieeinstellungen 323Sie können Aktionen erstellen, die nach Umcodierungen automatisch auf Aufträge und
Voreinstellungen (und dadurch auch auf individuelle Ziele) angewendet werden. Aktionen
nach Umcodierungen vereinfachen Routineabläufe und erleichtern das Bereitstellen Ihrer
Ausgabemedien. Sie können Ausgabemediendateien für iPhone, iPad, iPod, Apple TV,
DVD, Blu-ray-Disc, Internet und YouTube schnell erstellen und bereitstellen, ohne
zusätzliche Programme öffnen zu müssen. Darüber hinaus haben Sie die Möglichkeit,
automatisch generierte E-Mails zu versenden, wenn bestimmte Ausgabedateien fertig
sind. Auch Automator-Arbeitsabläufe für einzelne Aufträge und AppleScript-Dokumente
für bestimmte Ziele können gestartet werden.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Aktionen nach der Umcodierung (S. 325)
• Hinzufügen von Aktionen für Voreinstellungen (S. 325)
• Hinzufügen von Aktionen für Aufträge (S. 327)
Aktionen nach der Umcodierung
Compressor unterstützt Aktionen für Aufträge und Aktionen für Voreinstellungen. Aktionen
für Aufträge beziehen sich auf ganze Aufträge. Sie werden oft Stapelvorlagen zugewiesen.
(Weitere Informationen über Stapelvorlagen finden Sie unter Compressor-Arbeitsablauf
im Überblick: Verwenden von Stapelvorlagen.) Aktionen für Voreinstellungen gelten für
einzelne Voreinstellungen (und dadurch auch für einzelne Ziele). Sie können
Voreinstellungen, denen solche Aktionen zugewiesen sind, als angepasste Voreinstellungen
zur zukünftigen Verwendung speichern.
Hinzufügen von Aktionen für Voreinstellungen
Sie können festlegen, dass Compressor nach Abschluss der Umcodierung eine E-Mail an
einen bestimmten Empfänger sendet (ein Empfänger pro angewendete Voreinstellung).
Für diese Einstellung kann auch ein Standardziel festgelegt werden.
325
Hinzufügen von Aktionen
25Bereich „Aktionen“
Sie können den Bereich „Aktionen“ im Fenster „Informationen“ verwenden, um Optionen
für E-Mail-Benachrichtigungen nach Abschluss der Umcodierung und für Standardziele
festzulegen.
Der Bereich „Aktionen“ enthält folgende Elemente:
• E-Mail-Benachrichtigung an: Wenn Sie benachrichtigt werden wollen, wenn eine
bestimmte Umcodierung beendet ist, markieren Sie diese Option und tragen Sie die
gewünschte E-Mail-Adresse in das Feld ein. (Sie können nur eine E-Mail-Adresse
eingeben). Diese Option ist nützlich, wenn Sie eine besonders große
Ausgangsmediendatei umcodieren und dieser Vorgang viele Stunden in Anspruch
nehmen kann. Anstatt immer wieder nachzusehen, ob die Umcodierung beendet ist,
müssen Sie nur auf die E-Mail warten.
Hinweis: Sie müssen zuerst eine E-Mail-Adresse und einen Server für ausgehende
E-Mails in den Compressor-Einstellungen festlegen, um diese E-Mail-Funktion aktivieren
zu können. Wählen Sie hierfür „Compressor“ > „Einstellungen“.
• Einblendmenü „Standardziel“: Mit diesem Einblendmenü können Sie einer Voreinstellung
einen Zielort hinzufügen. (Dies ist nicht identisch mit der Zuweisung eines Standardziels
für alle Voreinstellungen in den Compressor-Einstellungen.) Weitere Informationen
über die Einstellung eines Standardziels für alle Voreinstellungen in den
Compressor-Einstellungen finden Sie unter Festlegen von Compressor-Einstellungen.
Anleitungen zum Hinzufügen von Aktionen für Voreinstellungen
Mithilfe des Bereichs „Aktionen“ im Fenster „Informationen“ können Sie Optionen für
Aktionen im Anschluss an die Umcodierung Ihrer Ausgabemediendatei festlegen. Hierzu
gehört beispielsweise das Senden einer E-Mail-Benachrichtigung.
326 Kapitel 25 Hinzufügen von AktionenE-Mail-Benachrichtigung zu Ihrer Voreinstellung hinzufügen
1 Wählen Sie im Bereich „Voreinstellungen“ eine eigene Voreinstellung aus oder öffnen Sie
einen Stapel mit einem Auftrag, auf den eine Voreinstellung angewendet wurde.
Apple-Voreinstellungen können nicht geändert werden. Sie können eine
Apple-Voreinstellung aber kopieren und die Kopie bearbeiten.
2 Klicken Sie im Fenster „Informationen“ auf das Symbol „Aktionen“.
3 Markieren Sie die Option „E-Mail-Benachrichtigung an“. Tragen Sie anschließend die
gewünschte E-Mail-Adresse in das Feld neben der Option ein.
Hinweis: Sie müssen zuerst eine E-Mail-Adresse und einen Server für ausgehende E-Mails
in den Compressor-Einstellungen festlegen, um diese E-Mail-Funktion aktivieren zu
können. (Wählen Sie hierfür „Compressor“ > „Einstellungen“. Unter Umständen müssen
Sie Compressor schließen und erneut öffnen, damit die Änderungen an den
E-Mail-Einstellungen aktiviert werden.)
4 Sie können auch auf „Sichern“ oder „Sichern unter“ klicken, um die E-Mail-Konfiguration
in dieser Einstellung zu speichern.
Standardziel für diese Einstellung auswählen
1 Wählen Sie im Bereich „Voreinstellungen“ eine eigene Voreinstellung aus oder öffnen Sie
einen Stapel mit einem Auftrag, auf den eine Voreinstellung angewendet wurde.
Apple-Voreinstellungen können nicht geändert werden. Sie können eine
Apple-Voreinstellung aber kopieren und die Kopie bearbeiten.
2 Klicken Sie im Fenster „Informationen“ auf das Symbol „Aktionen“.
3 Wählen Sie im Einblendmenü „Standardziel“ ein Ziel aus.
Im Einblendmenü werden die Apple-Zielorte sowie alle von Ihnen erstellten eigenen
Zielorte angezeigt.
4 Sie können auch auf „Sichern“ oder „Sichern unter“ klicken, um den Standardzielort in
dieser Einstellung zu speichern.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Bereich „Aktionen“.
Hinzufügen von Aktionen für Aufträge
Mit den Aktionen für Aufträge kann der Arbeitsablauf beim Umcodieren automatisiert
werden. Beispielsweise können Ausgabedateien automatisch auf Streaming-Websites
wie YouTube geladen, DVDs und Blu-ray-Discs gebrannt, Automator-Arbeitsabläufe
initiiert, Ausgabedateien an iTunes übertragen, Ausgabedateien in anderen Programmen
geöffnet und Web-Referenzfilme erstellt werden. Aktionen für Aufträge sind Voraussetzung
für das Funktionieren von Stapelvorlagen.
(Weitere Informationen über Stapelvorlagen finden Sie unter Compressor-Arbeitsablauf
im Überblick: Verwenden von Stapelvorlagen.)
Kapitel 25 Hinzufügen von Aktionen 327Der Bereich „Auftragseigenschaft“
Mithilfe des Bereichs „Auftragseigenschaft“ können Sie Aktionen für Aufträge im Fenster
„Informationen“ anwenden und anpassen. Wenn Sie den Bereich „Auftragseigenschaft“
verwenden wollen, müssen Sie zunächst einen Auftrag im Fenster „Stapel“ auswählen.
Bereich „Auftragseigenschaft“ öffnen
1 Fügen Sie eine Ausgangsmediendatei im Fenster „Stapel“ hinzu, damit mindestens ein
Auftrag im Fenster „Stapel“ vorhanden ist.
2 Wählen Sie einen Auftrag im Fenster „Stapel“ aus.
Das Fenster „Informationen“ wird geöffnet. Der Bereich „A/V-Attribute“ ist ausgewählt.
Wenn das Fenster „Informationen“ nicht geöffnet wurde, klicken Sie auf die Infotaste oder
wählen Sie „Fenster“ > “Informationen einblenden“, um es zu öffnen.
3 Klicken Sie auf „Auftragseigenschaft“, um den Bereich zu öffnen.
Der Bereich „Auftragseigenschaft“ enthält das Einblendmenü „Wenn Auftrag
abgeschlossen“. Die nachfolgende Liste zeigt die Funktion der Optionen im Einblendmenü.
Eine detaillierte Beschreibung der einzelnen Optionen finden Sie unter Optionen im
Bereich „Auftragseigenschaft“.
• Einblendmenü „Wenn Auftrag abgeschlossen“: Mit diesem Einblendmenü können Sie
eine Aktion nach einer Umcodierung für einen im Fenster „Stapel“ gewählten Auftrag
auswählen und anwenden.
• Keine Aktion: Wählen Sie diese Option, um den Bereich „Auftragseigenschaft“ zu
deaktivieren.
• Zur iTunes-Mediathek hinzufügen: Compressor fügt die Ausgabedatei einer
iTunes-Wiedergabeliste hinzu.
328 Kapitel 25 Hinzufügen von Aktionen• DVD erstellen: Compressor erstellt eine DVD (Standard Definition) mit Videodaten im
MPEG-2-Format (.m2v) und Audiodaten im Dolby Digital Professional-Format (.ac3)
und brennt sie automatisch auf eine DVD.
• Blu-ray-Disc erstellen: Compressor erstellt und brennt automatisch eine Blu-ray-Disc
oder eine AVCHD-DVD mit Video- und Audiomaterial, das mit der Blu-ray-Technologie
kompatibel ist.
• Web-Referenzfilm erstellen: Compressor erstellt einen Referenzfilm, der es einem
Webbrowser und einem Server ermöglicht, je nach Gerät oder
Verbindungsgeschwindigkeit ohne Benutzerinteraktion automatisch den richtigen
Film auszuwählen.
• Mit Programm öffnen: Compressor öffnet die Ausgabedatei mit einem bestimmten
Programm.
• Für HTTP-Live-Streaming vorbereiten: Compressor erzeugt eine Reihe von Videodateien,
die für die Verwendung auf einem HTTP-Live-Streaming-Server geeignet sind.
• Automator-Arbeitsablauf ausführen: Diese Option öffnet ein Dialogfenster zum Suchen
und Auswählen eines Automator-Skripts, das Compressor nach Beendigung der
Umcodierung automatisch ausführt.
• Auf YouTube veröffentlichen: Compressor erzeugt eine Videodatei, die auf YouTube
angezeigt werden kann, und lädt sie auf einen YouTube-Account.
• Auf Facebook veröffentlichen: Compressor erzeugt eine Videodatei, die auf Facebook
angezeigt werden kann, und lädt sie auf einen Facebook-Account.
• Auf Vimeo veröffentlichen: Compressor erzeugt eine Videodatei, die auf Vimeo
angezeigt werden kann, und lädt sie auf einen Vimeo-Account.
• Im CNN iReport veröffentlichen: Compressor erzeugt eine Videodatei, die in CNN
iReport angezeigt werden kann, und lädt sie auf einen CNN iReport-Account.
• E-Mail senden: Compressor sendet eine E-Mail und verwendet dafür die hier
eingegebenen Informationen.
Optionen im Bereich „Auftragseigenschaft“
Dieser Abschnitt beschreibt die unterschiedlichen Aktionen für Aufträge.
Kapitel 25 Hinzufügen von Aktionen 329Zur iTunes-Mediathek hinzufügen
Mit dieser Aktion können Sie Ausgabedateien automatisch zur iTunes-Mediathek
hinzufügen.
• Einblendmenü „Wiedergabeliste“: Mit dem Einblendmenü „Wiedergabeliste“ kann die
Ausgabedatei einer Wiedergabeliste Ihrer iTunes-Mediathek hinzugefügt werden.
Hinweis: Wenn Sie diese Funktion zum ersten Mal verwenden, enthält das Einblendmenü
keine Einträge. Um Wiedergabelisten aus der iTunes-Mediathek in dieses Menü zu
integrieren, wählen Sie im Einblendmenü „ Wiedergabeliste“ die Option „Aktualisieren“.
• Titel: Geben Sie den Text ein, der in der iTunes-Mediathek als Titel der Datei angezeigt
werden soll.
DVD erstellen
Mit dieser Aktion können Informationen und Einstellungen für die zu brennende DVD
angegeben werden.
• Einblendmenü „Ausgabegerät“: Verwenden Sie dieses Einblendmenü, um das
Ausgabegerät auszuwählen. Im Einblendmenü erscheint eine Liste geeigneter
Ausgabegeräte einschließlich optischer Laufwerke und der Festplatte des Computers.
Wählen Sie „Festplatte“, um eine Image-Datei (.img) zu erstellen, die Sie später mit dem
Festplatten-Dienstprogramm (im Ordner „Dienstprogramme“) auf DVD brennen können.
Andere Einstellungen können sich je nach ausgewähltem Gerät ändern.
330 Kapitel 25 Hinzufügen von AktionenWichtig: Befindet sich neben dem ausgewählten Ausgabegerät eine Fortschrittsanzeige,
müssen Sie einen Moment warten, bis die Liste der verfügbaren Geräte aktualisiert ist.
Dieser Fall kann eintreten, wenn Sie eine CD/DVD einlegen oder auswerfen bzw. ein
optisches Laufwerk ein- oder ausschalten.
• Taste „Auswerfen“: In Abhängigkeit vom Typ des verwendeten optischen Laufwerks
klicken Sie auf diese Taste, um das optische Medium aus dem Laufwerk auszuwerfen
bzw. um das Medienfach zu öffnen.
• Einblendmenü „Ebenen“: Verwenden Sie dieses Einblendmenü, um den Typ des zu
erstellenden Mediums anzugeben.
• Automatisch: Verwenden Sie diese Option, damit der Typ des Mediums, das Sie
einlegen, automatisch erkannt wird. Diese Option funktioniert nur, wenn Sie die DVD
einlegen, bevor Sie auf „Brennen“ klicken. Darüber hinaus wird mit der Option
„Automatisch“ immer eine einschichtige Image-Datei (Single-Layer) erstellt, wenn
als Ausgabegerät eine Festplatte ausgewählt wird.
• Einschichtig: Verwenden Sie diese Option, um das Medium als einschichtige DVD zu
kennzeichnen. Dadurch kann erreicht werden, dass eine zweischichtige DVD wie
eine einschichtige DVD behandelt wird.
• Zweischichtig: Verwenden Sie diese Option, um das Medium als zweischichtige DVD
zu kennzeichnen. Dadurch kann erreicht werden, dass die Image-Datei für eine
zweischichtige DVD (Double-Layer) formatiert wird, wenn Sie als Ausgabegerät eine
Festplatte auswählen. Wenn Sie bei Verwendung einer einschichtigen DVD die Option
„Zweischichtig“ verwenden, kann es zu Fehlern kommen, wenn Sie die DVD brennen
(abhängig von der Länge des Projekts).
• Einblendmenü „Vorlage für Medium“: Mit diesem Einblendmenü können Sie eine
Menüvorlage für die DVD auswählen.
• Feld „Titel“: In diesem Feld können Sie einen Namen für das Programm auf der DVD
angeben.
• Einblendmenü „Beim Laden des Mediums“: Mit diesem Einblendmenü wird ausgewählt,
was geschieht, wenn das Medium in den Player eingelegt wird.
• Menü einblenden: Wählen Sie diese Option, damit das Menü der DVD angezeigt wird.
• Film wiedergeben: Wählen Sie diese Option, damit der Film wiedergegeben wird.
• Feld „Kapitelmarker-Text als Untertitel verwenden“: Durch Auswahl dieses Feldes können
Sie Marker-Text als Untertitel verwenden. Dies ist besonders nützlich, wenn Sie kurze
Filmmuster auf DVD brennen möchten. Hierdurch können Sie eine Reihe von Clips oder
Szenen aneinanderreihen und jede von ihnen mit einem Marker-Untertitel kennzeichnen.
• Taste „Hintergrund“: Über diese Taste wird ein Dialogfenster geöffnet, in dem Sie ein
Einzelbild als Hintergrund für das Menü suchen und auswählen können.
Kapitel 25 Hinzufügen von Aktionen 331• Vorschau von Hauptmenü und Kapitel-Menü: Mit den Tasten „Hauptmenü“ und
„Kapitel-Menü“ können Sie eine Vorschau der Menüs in der ausgewählten Vorlage
anzeigen.
Blu-ray-Disc erstellen
Mit dieser Aktion können Informationen und Einstellungen für die zu brennende
Blu-ray-Disc angegeben werden. Außerdem können Sie basierend auf diesen Einstellungen
eine AVCHD-DVD brennen.
Eine AVCHD-DVD ist eine vereinfachte Version einer HD-DVD, die auf Rotlasermedien
gebrannt wird. Die erzeugte DVD kann in Blu-ray-Disc-Playern abgespielt werden, die mit
dem AVCHD-Format kompatibel sind. Sie können also mithilfe eines standardmäßigen
DVD-Brenners eine DVD mit HD-Videomaterial und einigen einfachen Menüfunktionen
brennen und diese DVD mit kompatiblen Blu-ray-Disc-Playern abspielen. Informationen
zum Erstellen von H.264-Streams, die für Blu-ray- und AVCHD-DVDs geeignet sind, finden
Sie unter Bereich „Codierer“ für das Format „H.264 für Blu-ray“.
Wichtig: DVDs mit Blu-ray-Material können auf einem Mac-Computer nicht abgespielt
werden.
332 Kapitel 25 Hinzufügen von AktionenMit Ihrer Auswahl im Einblendmenü „Ausgabegerät“ legen Sie fest, ob Sie eine Blu-rayoder eine AVCHD-DVD brennen möchten. Den nachfolgenden Beschreibungen zur
jeweiligen Einstellung können Sie entnehmen, welche Elemente für AVCHD-DVDs nicht
gelten.
• Einblendmenü „Ausgabegerät“: Verwenden Sie dieses Einblendmenü, um das
Ausgabegerät auszuwählen. Im Einblendmenü erscheint eine Liste geeigneter
Ausgabegeräte einschließlich optischer Laufwerke und der Festplatte des Computers.
Am Zusatz „Blu-ray“ oder „AVCHD“ der Geräte können Sie erkennen, welche Art DVD
damit erstellt wird. Wählen Sie „Festplatte“, um eine Image-Datei (.img) zu erstellen,
die Sie später mit dem Festplatten-Dienstprogramm (im Ordner „Dienstprogramme“)
auf eine Blu-ray-Disc brennen können. Andere Einstellungen können sich je nach
ausgewähltem Gerät ändern.
Wichtig: Befindet sich neben dem ausgewählten Ausgabegerät eine Fortschrittsanzeige,
müssen Sie einen Moment warten, bis die Liste der verfügbaren Geräte aktualisiert ist.
Dieser Fall kann eintreten, wenn Sie eine CD/DVD einlegen oder auswerfen bzw. ein
optisches Laufwerk ein- oder ausschalten.
Hinweis: Wenn Sie einen standardmäßigen DVD-Brenner auswählen, wird die DVD im
AVCHD-Format formatiert. Alle anderen Geräte formatieren die DVD im Blu-ray-Format.
• Taste „Auswerfen“: In Abhängigkeit vom Typ des verwendeten optischen Laufwerks
klicken Sie auf diese Taste, um das optische Medium aus dem Laufwerk auszuwerfen
bzw. um das Medienfach zu öffnen.
Kapitel 25 Hinzufügen von Aktionen 333• Einblendmenü „Ebenen“: Verwenden Sie dieses Einblendmenü, um den Typ des zu
erstellenden Mediums anzugeben.
• Automatisch: Verwenden Sie diese Option, damit der Typ des Mediums, das Sie
einlegen, automatisch erkannt wird. Diese Option funktioniert nur, wenn Sie die DVD
einlegen, bevor Sie auf „Brennen“ klicken. Darüber hinaus wird mit der Option
„Automatisch“ immer eine einschichtige Image-Datei (Single-Layer) erstellt, wenn
als Ausgabegerät eine Festplatte ausgewählt wird.
• Einschichtig: Verwenden Sie diese Option, um das Medium als einschichtige DVD zu
kennzeichnen. Dadurch kann erreicht werden, dass eine zweischichtige DVD wie
eine einschichtige DVD behandelt wird.
• Zweischichtig: Verwenden Sie diese Option, um das Medium als zweischichtige DVD
zu kennzeichnen. Dadurch kann erreicht werden, dass die Image-Datei für eine
zweischichtige DVD (Double-Layer) formatiert wird, wenn Sie als Ausgabegerät eine
Festplatte auswählen. Wenn Sie bei Verwendung einer einschichtigen DVD die Option
„Zweischichtig“ verwenden, kann es zu Fehlern kommen, wenn Sie die DVD brennen
(abhängig von der Länge des Projekts).
• Einblendmenü „Vorlage für Medium“: Mit diesem Einblendmenü können Sie eine
Menüvorlage für die Blu-ray-Disc auswählen.
• Feld „Titel“: In diesem Feld können Sie einen Namen für das Programm auf der
Blu-ray-Disc angeben.
• Einblendmenü „Beim Laden des Mediums“: Mit diesem Einblendmenü wird ausgewählt,
was geschieht, wenn das Medium in den Player eingelegt wird.
• Menü einblenden: Wählen Sie diese Option, damit das Menü der DVD angezeigt wird.
• Film wiedergeben: Wählen Sie diese Option, damit der Film wiedergegeben wird.
• Feld „Kapitelmarker-Text als Untertitel verwenden“: Durch Auswahl dieses Feldes können
Sie Marker-Text als Untertitel verwenden. Dies ist besonders nützlich, wenn Sie kurze
Filmmuster auf Blu-ray-Disc-Medien brennen möchten. Hierdurch können Sie eine
Reihe von Clips oder Szenen aneinanderreihen und jede von ihnen mit einem
Marker-Untertitel kennzeichnen.
Hinweis: Untertitel werden von AVCHD-DVDs nicht unterstützt.
• Feld „Taste für Filmendlosschleife einschließen“: Durch das Aktivieren dieser Option
können Sie eine Taste für die Filmwiedergabe als Endlosschleife zum Menü hinzufügen.
Diese Option ist nicht auf allen Vorlagen verfügbar.
• Hintergrund: Wenn Sie auf die Taste „Hinzufügen“ klicken, wird ein Dialogfenster
geöffnet, mit dessen Hilfe Sie eine Hintergrundgrafik suchen und auswählen können.
• Logografik: Wenn Sie auf die Taste „Hinzufügen“ klicken, wird ein Dialogfenster geöffnet,
mit dessen Hilfe Sie eine Logografik suchen und auswählen können.
334 Kapitel 25 Hinzufügen von Aktionen• Titelgrafik: Wenn Sie auf die Taste „Hinzufügen“ klicken, wird ein Dialogfenster geöffnet,
mit dessen Hilfe Sie eine Titelgrafik suchen und auswählen können.
• Vorschau von Hauptmenü und Kapitel-Menü: Mit den Tasten „Hauptmenü“ und
„Kapitel-Menü“ können Sie eine Vorschau der Menüs in der ausgewählten Vorlage
anzeigen.
Hinweis: Blu-ray- und AVCHD-Menüs eignen sich am besten für die Anzeige der
Auflösungen 1080i oder 1080p. Die Benutzer müssen sicherstellen, dass Player und
Bildschirm entsprechend eingestellt sind.
Web-Referenzfilm erstellen
Mit dieser Aktion wird ein Referenzfilm erstellt, der es einem Webbrowser und einem
Server ermöglicht, je nach Gerät oder Verbindungsgeschwindigkeit ohne
Benutzerinteraktion automatisch den richtigen Film auszuwählen.
• Feld „Zielort für Web-Referenzfilm“ und Taste „Auswählen“: Mit diesem Feld und der
dazugehörigen Taste „Auswählen“ können Sie einen Zielordner für den zu erstellenden
Web-Referenzfilm festlegen. Klicken Sie auf die Taste, um ein Dialogfenster zum Suchen
und Auswählen des Ordners zu öffnen.
• Feld „“Bitte lesen“-Datei mit Beispiel-HTML erstellen“: Mit diesem Feld können Sie festlegen,
ob Compressor ein Textdokument mit vollständigen Anweisungen und einer
Beispieldatei im HTML-Format erstellt, mit denen erläutert wird, wie der
Web-Referenzfilm in eine Website integriert wird.
• Feld „Posterbild erstellen“: Mit diesem Feld können Sie festlegen, ob Compressor eine
Miniatur zum Integrieren des Web-Referenzfilms in eine Website erstellt.
Kapitel 25 Hinzufügen von Aktionen 335Mit Programm öffnen
Mit dieser Aktion kann ein Programm angegeben werden, mit dem die Ausgabedatei
geöffnet wird.
• Einblendmenü „Öffnen mit“: Mit diesem Menü kann das Programm, mit dem die
Ausgabedatei geöffnet wird, ausgewählt oder bestätigt werden.
336 Kapitel 25 Hinzufügen von AktionenFür HTTP-Live-Streaming vorbereiten
Mit dieser Aktion können Sie eine Gruppe von Dateien erstellen, die für das Streaming
von Audio und Video auf ein iPad oder iPhone, einen iPod touch oder einen Mac mit
einem normalen Webserver verwendet werden können. Das HTTP-Live-Streaming ist
speziell für hohe Mobilität ausgelegt und kann die Filmwiedergabe dynamisch an die
verfügbare Geschwindigkeit eines kabelgebundenen und drahtlosen Netzwerks anpassen.
Somit eignet es sich besonders gut für die Bereitstellung von Streaming-Medien für eine
iOS-basierte App oder eine HTML5-basierte Website. Ausführliche Informationen zur
Implementierung von HTTP-Live-Streaming finden Sie auf der Apple Developer HTTP live
streaming-Website.
• Taste „Auswählen“: Klicken Sie auf „Auswählen“, um ein Dialogfenster zum Auswählen
eines Zielorts für die HTTP-Live-Streaming-Medien zu öffnen.
• Feld „Segmentdauer“: Geben Sie einen Wert (in Sekunden) ein, um die Segmentlänge
für die Medien zu definieren. Dieser Wert legt fest, in welche Einheiten Videostreams
aufgeteilt werden. Die Segmentierung definiert, wann der Webserver während des
Streamings auf ein Gerät mit variierenden Netzwerkgeschwindigkeiten zwischen den
verschiedenen Videoformaten umschalten kann. Bei kleinen Werten kann der Server
schneller auf sich verändernde Verbindungsgeschwindigkeiten reagieren.
• Feld „“Bitte lesen“-Datei mit Beispiel-HTML erstellen“: Markieren Sie dieses Feld, um eine
Datei mit grundlegenden Nutzungsdaten für das HTTP-Live-Streaming zu integrieren.
Kapitel 25 Hinzufügen von Aktionen 337Automator-Arbeitsablauf ausführen
Verwenden Sie diese Aktion, um das auszuführende Automator-Skript auszuwählen.
• Automator-Arbeitsablauf auswählen: Durch Klicken auf „Auswählen“ öffnet sich ein
Dialogfenster zum Suchen und Auswählen eines Automator-Skripts, das Compressor
nach Beendigung der Umcodierung automatisch ausführt.
Auf YouTube veröffentlichen
Mit dieser Aktion können Sie Informationen über Filme angeben, die Sie in einem
YouTube-Account im Web veröffentlichen wollen.
Hinweis: Wenn Sie mehrere YouTube-Ausgabemediendateien in einem Stapel laden
möchten, müssen Sie für jede Ausgabemediendatei einen eigenen Auftrag erstellen.
Wichtig: Für einen erfolgreichen Ladevorgang müssen alle Felder ausgefüllt werden.
• Benutzername: In diesem Feld geben Sie einen YouTube-Benutzernamen an.
338 Kapitel 25 Hinzufügen von Aktionen• Kennwort: In diesem Feld geben Sie ein YouTube-Kennwort an.
• Titel: In diesem Feld wird der Name des zu veröffentlichenden Films eingegeben.
• Beschreibung: In diesem Feld wird eine Beschreibung des zu veröffentlichenden Films
eingegeben.
• Attribute: In diesem Feld geben Sie Schlagwörter an, die Ihren Film beschreiben. Dies
sind Suchbegriffe, anhand derer Ihre Zielgruppe den Film in YouTube suchen könnte.
Weitere Informationen hierzu finden Sie in der YouTube-Hilfe.
• Einblendmenü „Kategorie“: Mit diesem Einblendmenü wählen Sie eine YouTube-Kategorie
für Ihren Film aus. In YouTube kann ein Film zu einer Kategorie (einem Themenbereich)
zugeordnet werden.
• Feld „Film als privat festlegen“: Mit diesem Feld kann der Zugriff auf den von Ihnen
veröffentlichten Film kontrolliert werden. Wenn Sie einen Film in YouTube als privat
festlegen, haben Sie die Möglichkeit, einer Anzahl ausgewählter Benutzer aus beliebigen
für Ihren Account angelegten Kontaktlisten den Zugriff darauf zu gestatten. Weitere
Informationen hierzu finden Sie in der YouTube-Hilfe.
Auf Facebook veröffentlichen
Mit dieser Aktion können Sie Informationen über Filme angeben, die Sie in einem
Facebook-Account im Web veröffentlichen wollen.
Hinweis: Wenn Sie mehrere Facebook-Ausgabemediendateien in einem Stapel laden
möchten, müssen Sie für jede Ausgabemediendatei einen eigenen Auftrag erstellen.
Wichtig: Für einen erfolgreichen Ladevorgang müssen alle Felder ausgefüllt werden.
• E-Mail: Geben Sie hier die E-Mail-Adresse für einen Facebook-Account ein.
• Kennwort: In diesem Feld geben Sie ein Facebook-Kennwort an.
• Titel: In diesem Feld wird der Name des zu veröffentlichenden Films eingegeben.
Kapitel 25 Hinzufügen von Aktionen 339• Beschreibung: In diesem Feld wird eine Beschreibung des zu veröffentlichenden Films
eingegeben.
• Einblendmenü „Datenschutz“: Verwenden Sie dieses Einblendmenü, um festzulegen,
wer den Film wiedergeben darf. Sie können zwischen den Optionen „Eigen“, „Freunde“,
„Freunde von Freunden“ und „Jeder“ wählen.
Auf Vimeo veröffentlichen
Mit dieser Aktion können Sie Informationen über Filme angeben, die Sie in einem
Vimeo-Account im Web veröffentlichen wollen.
Hinweis: Wenn Sie mehrere Vimeo-Ausgabemediendateien in einem Stapel laden
möchten, müssen Sie für jede Ausgabemediendatei einen eigenen Auftrag erstellen.
Wichtig: Für einen erfolgreichen Ladevorgang müssen alle Felder ausgefüllt werden.
• E-Mail: Geben Sie hier die E-Mail-Adresse für einen Vimeo-Account ein.
• Kennwort: In diesem Feld geben Sie ein Vimeo-Kennwort an.
• Titel: In diesem Feld wird der Name des zu veröffentlichenden Films eingegeben.
• Beschreibung: In diesem Feld wird eine Beschreibung des zu veröffentlichenden Films
eingegeben.
• Attribute: In diesem Feld geben Sie Schlagwörter an, die Ihren Film beschreiben. Dies
sind Suchbegriffe, anhand derer Ihre Zielgruppe den Film in Vimeo suchen könnte.
Weitere Informationen hierzu finden Sie in der Vimeo-Hilfe.
• Einblendmenü „Sichtbar für“: Verwenden Sie dieses Einblendmenü, um festzulegen, wer
den Film wiedergeben darf. Sie können zwischen den Optionen „Alle“, „Meine Kontakte“
und „Niemand sonst“ wählen.
340 Kapitel 25 Hinzufügen von AktionenIm CNN iReport veröffentlichen
Mit dieser Aktion können Sie Informationen über Filme angeben, die Sie in einem CNN
iReport-Account im Web veröffentlichen wollen.
Hinweis: Wenn Sie mehrere CNN iReport-Ausgabemediendateien in einem Stapel laden
möchten, müssen Sie für jede Ausgabemediendatei einen eigenen Auftrag erstellen.
Wichtig: Für einen erfolgreichen Ladevorgang müssen alle Felder ausgefüllt werden.
• E-Mail: Geben Sie hier die E-Mail-Adresse für einen CNN iReport-Account ein.
• Kennwort: In diesem Feld geben Sie ein CNN iReport-Kennwort an.
• Betreff: In diesem Feld wird der Name des zu veröffentlichenden Films eingegeben.
• Text: In diesem Feld wird eine Beschreibung des zu veröffentlichenden Films
eingegeben.
Kapitel 25 Hinzufügen von Aktionen 341E-Mail senden
Verwenden Sie diese Aktion, um den Text für eine E-Mail einzugeben, die nach Abschluss
des Auftrags zusammengestellt wird. Diese E-Mail enthält die eigentliche Ausgabedatei
und wird im Programm „Mail“ geöffnet, damit Sie den Inhalt der E-Mail weiter bearbeiten
bzw. Einstellungen ändern können. Wenn Sie die Bearbeitung der E-Mail beendet haben,
können Sie auf „Senden“ klicken.
• Senden an: Geben Sie die E-Mail-Adresse des Empfängers ein. Sie können auch mehrere
E-Mail-Adressen (durch Kommas getrennt) eingeben.
• Senden von: Geben Sie die E-Mail-Adresse des Absenders ein.
• Betreff: Verwenden Sie dieses Feld, um den Betreff der E-Mail einzugeben.
• Text: Verwenden Sie dieses Feld, um den Text der E-Mail einzugeben.
342 Kapitel 25 Hinzufügen von AktionenDas Fenster „Vorschau“ wird in erster Linie für zwei Aufgaben verwendet: zum
Wiedergeben Ihrer Ausgangsmediendatei im Originalformat oder zum Anzeigen dieser
Datei mit beliebigen zugewiesenen Voreinstellungen in der Vorschau.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Fenster „Vorschau“ (S. 343)
• Anzeigen eines Clips in der Vorschau (S. 351)
• Umcodieren eines Clipausschnitts im Fenster „Vorschau“ (S. 357)
• Arbeiten mit Markern und Posterbildern (S. 358)
• Kurzbefehle im Fenster „Vorschau“ (S. 366)
Fenster „Vorschau“
Wenn Sie im Fenster „Vorschau“ die Originalversion des Clips mit der später
auszugebenden Version vergleichen, können Sie Änderungen in Echtzeit durchführen
und anzeigen. Anhand eines solchen Vergleichs können Sie prüfen, wie sich die
Voreinstellungen auf Ihre Datei auswirken, bevor Sie Zeit und Systemressourcen für die
Umcodierung aufwenden. Prüfen Sie auf diesem Weg die Qualität Ihrer Ausgabedatei.
Scaled, cropped, and
filtered version of the clip
Original version
of the clip
343
Verwenden des Fensters
„Vorschau“ 26Zudem können Sie die Anzeigegröße des Fensters „Vorschau“ ändern, manuell I-Bilder
(nur bei MPEG-1 und MPEG-2) hinzufügen sowie einen Bereich Ihrer Mediendatei mithilfe
von In- und Out-Punkten für die Umcodierung auswählen.
Im Fenster „Vorschau“ können Sie Stapelobjekte wiedergeben, bevor Sie sie zum
Umcodieren senden. Zudem können Sie hier unterschiedliche Versionen Ihres Clips
vergleichen. So stellen Sie sicher, dass die Qualität der Ausgabedatei Ihren Anforderungen
genügt.
In and Out controls
Preview scale selection
Source/Setting selection
Preview screen area
Batch Item selection
controls
Timeline controls
Marker pop-up menu
Source/Output
information
Transport controls
Folgende Elemente befinden sich im Fenster „Vorschau“:
• Auswahl der Skalierung für die Vorschau: Mit diesem Einblendmenü können Sie die
Anzeigegröße der Vorschau anpassen. Die drei verfügbaren Einstellungen sind 100 %,
75 % und 50 %. Alternativ können Sie auch die Größeneinstellung des Fensters
„Vorschau“ bewegen und so dessen Größe anpassen.
• Tasten für Original-/Ausgabeversion: Mit diesen Tasten können Sie das ausgewählte
Stapelobjekt mit dem Seitenverhältnis und der Größe der Ausgangsdatei oder der
Voreinstellung in der Vorschau anzeigen. Die Taste für die Originalversion stellt zudem
einen Beschnittrahmen zur Verfügung, mit dem Sie die zu beschneidende(n) Kante(n)
festlegen können. Durch Klicken auf die Taste zum Festlegen der Ansicht wird die
beschnittene Version der Mediendatei angezeigt, die entsprechend ihrer Einstellungen
für das Seitenverhältnis und die Größe skaliert wurde.
344 Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“• Original-/Ausgabeinformationen: Die Bildgröße und Bildrate des Clips werden unten
links im Fenster „Vorschau“ angezeigt. Die Clipdauer (vom In-Punkt bis zum Out-Punkt)
wird unten rechts eingeblendet. Nachdem Sie auf die Taste für die Originalversion
geklickt haben, werden die Bildgröße und Bildrate des jeweiligen Ausgangsmedienclips
angezeigt. Nachdem Sie auf die Taste für die Ausgabeversion geklickt haben, werden
die Bildgröße und Bildrate des jeweiligen Stapelobjekts angezeigt.
Hinweis: Wenn Sie die Gesamtdauer des Clips anzeigen möchten (ohne In- und
Out-Punkte), wählen Sie die Ausgangsdatei im Fenster „Stapel“ aus und öffnen Sie das
Fenster „Informationen“ („Fenster“ > „Informationen einblenden“).
Steuerelemente für die Auswahl von Stapelobjekten
Mit den Steuerelementen für die Auswahl von Stapelobjekten können Sie bestimmte
Objekte aus dem Fenster „Stapel“ auswählen und in der Vorschau anzeigen.
Batch Item selection
buttons
Batch Item pop-up menu
• Auswahltasten für Stapelobjekte: Mit diesen Tasten können Sie in der Liste mit den
Ausgangsmedien und Clips, denen Voreinstellungen zugewiesen sind und für die eine
Vorschau möglich ist, vor- und zurückblättern. Beim Blättern durch die Liste wird das
jeweils ausgewählte Stapelobjekt im Einblendmenü „Stapelobjekt“ angezeigt.
• Einblendmenü „Stapelobjekt“: Wählen Sie die Ausgangsmediendatei, die Sie in der
Vorschau anzeigen wollen, aus diesem Einblendmenü aus. Sie können hier
Ausgangsmedien mit und ohne zugewiesene Voreinstellungen auswählen.
Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“ 345Steuerelemente für In- und Out-Punkt
Nachdem Sie das Stapelobjekt ausgewählt haben, können Sie mithilfe der Steuerelemente
für die In- und Out-Punkte die Timecode-Informationen der In- und Out-Punkte anzeigen
und anpassen.
Sets In point to current
playhead position.
Sets Out point to current
playhead position.
In point timecode Out point timecode
• Timecode-Felder für In- und Out-Punkt: In diesen Feldern wird präzise angezeigt, an
welchen Stellen sich die In- und Out-Punkte befinden. Es wird das standardmäßige
Timecode-Format hh:mm:ss:ff verwendet. Sie können diese Felder manuell bearbeiten,
indem Sie ein Feld auswählen und neue Werte eingeben. Wird ein anderer Wert
eingegeben, bewegt sich der jeweilige In- oder Out-Punkt in der Timeline an den
festgelegten Punkt im aktuellen Stapelobjekt.
Hinweis: Wenn für Ihre Ausgangsmediendatei eine Timecode-Spur mit einem speziellen
Timecode vorhanden ist, werden der Start- und der End-Timecode des Clips in den
Timecode-Feldern des In-Punkts und des Out-Punkts angezeigt. In allen anderen Fällen
startet der Timecode mit 00:00:00:00.
• Tasten für In- und Out-Punkt: Bewegen Sie die Taste für den In-Punkt (nach rechts
weisender Pfeil) oder die Taste für den Out-Punkt (nach links weisender Pfeil) in der
Timeline, um einen neuen In- oder Out-Punkt zu definieren. Sie können die In- und
Out-Punkte auch mithilfe der Tasten zum Einstellen der In- und Out-Punkte (neben
den Timecode-Feldern) festlegen.
346 Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“Vorschaubereich
Das aktuell ausgewählte Stapelobjekt wird im Vorschaubereich angezeigt.
Cropping boundary
Cropping handle for
the lower-right corner
Split screen slider
Cropping dimensions
(also seen in Source
Inset fields in the
Geometry pane)
Der Vorschaubereich enthält die folgenden Elemente:
• Schieberegler zum Teilen der Anzeige: Bewegen Sie den Schieberegler am oberen Rand
der Vorschauanzeige beliebig weit zur Seite, um die Ausgangsmediendatei (auf der
linken Seite) und die Ausgabedatei (auf der rechten Seite) miteinander zu vergleichen.
Die Aufteilung erfolgt an der Stelle, an der der Schieberegler am oberen Rand der
Anzeige positioniert wird und wird durch eine weiße Trennlinie gekennzeichnet.
• Beschnittrahmen: Der Beschnittrahmen ist nur für die Originalversion verfügbar. Mit
den Aktivpunkten können Sie die roten Begrenzungslinien und Eckpunkte des Rahmens
in die gewünschte Richtung bewegen und Ihre Ausgabedatei wie gewünscht
beschneiden. Mit dem Aktivpunkt in der Mitte können Sie das Bild als Ganzes in jede
beliebige Richtung bewegen. Die Abmessungen des Bilds bleiben dabei erhalten. Die
neuen Werte (für links, oben, rechts und unten) werden dynamisch in der Vorschau
angezeigt, während Sie das Bild beschneiden. Wenn Sie zusätzlich das Fenster
„Informationen“ geöffnet und dort das Ziel des Stapels ausgewählt haben, können Sie
auch in den Feldern zum Beschneiden im Bereich „Geometrie“ verfolgen, wie sich diese
Werte ändern. Wählen Sie die Ausgabeversion aus und zeigen Sie die Ergebnisse an,
die Sie durch die Anpassung des Beschnittrahmens erzielt haben.
Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“ 347Steuerelemente für die Timeline
Mit den Steuerelementen für die Timeline können Sie Informationen über den Clip
anzeigen. Hierzu gehören unter anderem alle zugehörigen Marker sowie die aktuellen
Einstellungen des In- und Out-Punkts. Zudem können Sie mithilfe der Timeline die
Abspielposition an einem bestimmten Bild positionieren sowie In- und Out-Punkte setzen.
Playhead timecode
Playhead
Marker
In point Out point
• Timecode der Abspielposition: Hier wird der Timecode der Abspielposition in der Timeline
angezeigt. Es wird das standardmäßige Timecode-Format hh:mm:ss:ff verwendet. Sie
können einen neuen Wert eingeben und auf diese Weise die Abspielposition präzise
in der Timeline platzieren.
Hinweis: Wenn für Ihre Ausgangsmediendatei eine Timecode-Spur mit einem speziellen
Timecode vorhanden ist, wird hier der Timecode des Clips angezeigt. In allen anderen
Fällen startet der Timecode mit 00:00:00:00.
• In- und Out-Punkte: Verwenden Sie diese Elemente, wenn Sie einen Ausschnitt Ihrer
Ausgangsmediendatei und nicht die gesamte Datei umcodieren wollen. Bewegen Sie
die Pfeilsymbole und bestimmen Sie so die Anfangs- und Endpunkte des Ausschnitts
der Ausgangsmediendatei, der umcodiert werden soll. Die Timecode-Felder für den
In- und Out-Punkt unten im Fenster „Vorschau“ werden aktualisiert, während Sie diese
Punkte bewegen. (Sie können auch auf die Tasten zum Festlegen der In- und Out-Punkte
klicken, um die Punkte an der aktuellen Abspielposition auszurichten.)
Wichtig: Die In- und Out-Punkte bleiben nicht erhalten, nachdem eine Umcodierung
beendet wurde. Wenn Sie einen Stapel aus dem Fenster „Verlauf“ erneut umcodieren
wollen, müssen Sie diese Punkte Ihrem Clip neu zuweisen. In- und Out-Punkte werden
der Ausgangsmediendatei und nicht der Voreinstellung zugewiesen. Somit gelten alle
In- und Out-Punkte, die Sie erstellen, auch für alle anderen Voreinstellungen, die diese
Ausgangsmediendatei im aktuellen Stapel betreffen.
• Abspielposition: Die Abspielposition gibt die Position des angezeigten Bilds innerhalb
des Clips an. Sie können die Abspielposition bewegen, um schnell zu einer bestimmten
Position im Clip zu navigieren.
• Marker: Marker bieten einen visuellen Anhaltspunkt dafür, an welcher Stelle ein Marker
im Clip platziert wurde. Die Farbe zeigt den Typ des jeweiligen Markers an:
• Blau: Kompressions-Marker (hierbei handelt es sich um manuell hinzugefügte
Kompressions-Marker).
• Lila: Kapitel-Marker (hierbei handelt es sich um benannte Marker, die in der
Ausgabemediendatei für die Navigation zwischen Kapiteln oder als Episodenbild
dienen sollen).
348 Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“• Rot: Podcast-Marker (hierbei handelt es sich um benannte Marker, die in der
Ausgabemediendatei für die Navigation zwischen Kapiteln oder als Episodenbild
dienen sollen).
• Grün: Bearbeitungs-/Schnitt-Marker (hierbei handelt es sich um Kompressions-Marker,
die in der Final Cut Pro-Sequenz automatisch an den Schnittmarken hinzugefügt
werden).
• Graue Linie mit Punkt in der Mitte: Posterbild (diese Linie zeigt das Bild, das als
Posterbild für diese Datei ausgewählt wurde)
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Arbeiten mit Markern und Posterbildern.
Transportsteuerungen
Mit diesen Tasten können Sie die Abspielposition in Vorwärts- oder Rückwärtsrichtung
genau zur Position des nächsten Markers bzw. zum nächsten In- und Out-Punkt bewegen.
So können Sie mühelos zwischen vorhandenen Markern hin- und herwechseln. Zudem
können Sie mit diesen Tasten die Abspielposition rasch zum Anfang bzw. zum Ende des
Clips bewegen.
Move to previous marker
Play/Pause
Fast Backward
Move to next marker
Fast Forward
Playback Loop button
• Taste „Wiedergabe/Pause“: Mit dieser Taste lässt sich die Wiedergabe eines Clips starten
oder anhalten. Wenn Sie die Wiedergabe anhalten, bleibt die Abspielposition an ihrer
aktuellen Position. Damit Sie an den Clipanfang zurückkehren können, müssen Sie die
Abspielposition wieder an den Anfang bewegen. Alternativ können Sie auch auf das
Steuerelement „Zum vorherigen Marker“ klicken.
• Tasten „Zum vorherigen Marker“ und „Zum nächsten Marker“: Mit diesen Tasten können
Sie die Abspielposition zum vorherigen oder nächsten Marker (den In- und Out-Punkten)
bzw. zum Anfang oder Ende des Clips bewegen (wenn keine Marker mehr vorhanden
sind).
• Tasten „Schneller Rücklauf“ bzw. „Schneller Vorlauf“: Mit diesen Tasten können Sie Ihren
Clip in Vorwärts- und Rückwärtsrichtung mit der doppelten Geschwindigkeit abspielen.
Wenn Sie während der Wiedergabe auf diese Tasten klicken, können Sie durch erneutes
Klicken auf eine der Tasten zur normalen Wiedergabegeschwindigkeit zurückkehren.
• Taste „Endlosschleife“: Klicken Sie auf diese Taste, um die Mediendatei in einer
Endlosschleife abzuspielen.
Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“ 349Einblendmenü „Marker-Einstellungen ändern“
Über das Einblendmenü „Marker-Einstellungen ändern“ können Sie die Marker eines Clips
verwalten. Marker können zwar für alle Voreinstellungen verwendet werden, sie
beeinflussen die Ausgabedatei jedoch nur, wenn die Voreinstellung die
Ausgabedateiformate „MPEG-1“, „MPEG-2“, „MPEG-4“ (bei Konfiguration für Podcasting),
„H.264 für Apple-Geräte“ oder „QuickTime-Film“ verwendet. Weitere Informationen hierzu
finden Sie unter Arbeiten mit Markern und Posterbildern.
Wählen Sie Optionen im Einblendmenü „Marker-Einstellungen ändern“, wenn Sie Marker
oder Posterbilder hinzufügen, löschen, anzeigen, ausblenden und bearbeiten wollen.
• Kapitelliste importieren: Öffnet ein Dialogfenster für den Dateiimport, das Ihnen
ermöglicht, eine Datei mit einer Liste zu importieren. Diese Liste enthält die Timecodes
für die in der Ausgangsmediendatei vorhandenen Kapitel-Marker. Weitere Informationen
hierzu finden Sie unter Hinzufügen von Kompressions- oder Podcast-Markern zu einem
Clip.
• Marker hinzufügen/entfernen: Die Bezeichnung dieser Menüoption hängt davon ab, ob
die Abspielposition auf einem Marker platziert wurde oder nicht.
• Wenn die Abspielposition nicht auf einem Marker platziert wurde: Wenn Sie auf „Marker
hinzufügen“ klicken, wird ein neuer Marker an der aktuellen Abspielposition in der
Timeline platziert.
• Wenn die Abspielposition auf einem Marker platziert wurde: Der aktuelle Marker wird
gelöscht, wenn Sie auf „Marker entfernen“ klicken.
• Bearbeiten: Diese Menüoption ist nur dann verfügbar, wenn die Abspielposition zuvor
auf einem Marker platziert wurde. Wenn Sie auf „Bearbeiten“ klicken, wird ein
Dialogfenster auf dem Bildschirm angezeigt, in dem Sie den Marker konfigurieren
können. In dem Dialogfenster haben Sie ferner die Möglichkeit, den Marker-Typ
festzulegen und dem Marker eine URL-Adresse und ein Bild zuzuweisen. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Hinzufügen von Kompressions- oder
Podcast-Markern zu einem Clip.
• Kapitel-/Podcast-Marker anzeigen: Mit dieser Option steuern Sie, ob Kapitel- und
Podcast-Marker (d. h. Marker mit Namen) in der Timeline angezeigt werden. Ein Häkchen
weist darauf hin, dass diese Marker angezeigt werden.
350 Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“• Kompressions-Marker einblenden: Mit dieser Menüoption bestimmen Sie, ob
Kompressions-Marker (d. h. Marker ohne Namen) in der Timeline angezeigt werden.
Ein Häkchen weist darauf hin, dass diese Marker angezeigt werden.
• Bearbeitungs-/Schnitt-Marker einblenden: Hier können Sie steuern, ob Marker, die von
einem anderen Programm (z. B. Final Cut Pro) automatisch an jeder Schnittmarke
platziert werden, in der Timeline angezeigt werden. Ein Häkchen weist darauf hin, dass
diese Marker angezeigt werden.
• Posterbild festlegen: Wählen Sie diese Option, um das aktuelle Bild zum Posterbild zu
machen. Ein Posterbild ist ein Standbild, das eine Video- oder Audiomediendatei oder
eine Podcast-Episode in Programmen wie iTunes und dem Finder darstellt.
Standardmäßig ist das erste Bild in einer Videodatei ein Posterbild.
• Posterbild löschen: Der Marker für das Posterbild wird gelöscht.
• Posterbild anzeigen: Die Abspielposition wird zum Posterbild bewegt.
Anzeigen eines Clips in der Vorschau
Sie können sich entweder eine Vorschau der Original-Ausgangsmediendatei oder der
Datei mit einer darauf angewendeten Voreinstellung ansehen. Die Ausgangsmediendateien
werden im Einblendmenü „Stapelobjekt“ mit ihren Dateinamen angezeigt. Wurden auf
eine Ausgangsmediendatei Voreinstellungen angewendet, werden diese direkt unter
dem Namen der jeweiligen Datei aufgelistet. Außerdem sind sie zum leichteren Erkennen
eingerückt. Je nachdem, ob Sie sich dafür entscheiden, die Original-Ausgangsmediendatei
oder die Ausgangsmediendatei mit einer darauf angewendeten Voreinstellung anzusehen,
werden unterschiedliche Optionen im Fenster „Vorschau“ angezeigt.
Wichtig: Für Einstellungen, die Sie im Bereich „Codierer“ und im Bereich „Bildsteuerungen“
vornehmen, können Sie keine Vorschau ansehen. Eine Vorschau kann nur für Einstellungen
angezeigt werden, die in den Bereichen „Filter“ und „Geometrie“ festgelegt werden.
Informationen zu einer alternativen Methode, mit der Sie Einstellungen aus den Bereichen
„Codierer“ und „Bildsteuerungen“ vorab prüfen können, erhalten Sie unter Umcodieren
eines Clipausschnitts im Fenster „Vorschau“
Ausgangsmediendatei in der Vorschau anzeigen
1 Öffnen Sie das Fenster „Vorschau“.
Hinweis: Sie können Ihre Datei in einem Arbeitsschritt im Fenster „Vorschau“ anzeigen.
Wählen Sie zu diesem Zweck die Ausgangsmediendatei im jeweiligen Auftrag im Fenster
„Stapel“ durch Doppelklicken aus.
Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“ 3512 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Wählen Sie eine Ausgangsmediendatei aus dem Einblendmenü „Stapelobjekt“ aus (Sie
erkennen sie am Dateinamen).
A setting applied to the
source media file “Nancy
at table CU 5.” The
checkmark indicates
that this is currently
being viewed in the
Preview window.
The original source
media file “Nancy
at table CU 5.”
Selects the default
color bars image.
• Klicken Sie so oft auf die Auswahltasten für Stapelobjekte, bis die Ausgangsmediendatei
im Einblendmenü zu sehen ist.
• Wählen Sie die Ausgangsmediendatei im zugehörigen Auftrag im Fenster „Stapel“ aus.
Lediglich die Taste für die Originalversion ist aktiviert (die Taste für die Ausgabeversion
wird hingegen grau angezeigt). Dies liegt daran, dass Sie eine normale
Ausgangsmediendatei ausgewählt haben. Somit wird der Originalclip ohne Trennlinie
zur Aufteilung der Anzeige und ohne Beschnittrahmen angezeigt.
3 Wählen Sie eine Größe für die Vorschauanzeige aus dem Einblendmenü für die
Vorschauskalierung aus. Alternativ können Sie auch die Größeneinstellung des Fensters
„Vorschau“ bewegen und auf diesem Weg die gewünschte Größe einstellen.
Die Darstellungsgröße der eigentlichen Ausgabedatei wird hierdurch nicht beeinflusst.
Diese Größe können Sie nur im Bereich „Geometrie“ des Fensters „Informationen“
einstellen.
4 Klicken Sie auf die Taste „Wiedergabe“, um die gewählte Ausgangsmediendatei in der
Vorschau anzuzeigen.
Die Timeline zeigt Marker an, die in Ausgangsmedien (wie etwa Dateien aus Final Cut
Pro) bereits hinzugefügt wurden. Für die Marker stehen darüber hinaus auch einige
Verwaltungsfunktionen zur Verfügung. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter
Arbeiten mit Markern und Posterbildern.
Vorschau eines Clips mit einer zugewiesenen Voreinstellung anzeigen
1 Öffnen Sie das Fenster „Vorschau“.
352 Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“Hinweis: Sie können den Clip in einem Arbeitsschritt im Fenster „Vorschau“ öffnen. Wählen
Sie hierfür das (die Voreinstellung enthaltende) Ziel eines Auftrags im Fenster „Stapel“
durch Doppelklicken aus.
2 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Wählen Sie eine Voreinstellung aus dem Einblendmenü „Stapelobjekt“ aus (die
eingerückten Voreinstellungsnamen, nicht die Ausgangsdateinamen).
• Klicken Sie so oft auf die Auswahltasten für das Stapelobjekt, bis der Clip mit der
zugehörigen Voreinstellung im Einblendmenü zu sehen ist.
• Wählen Sie die Voreinstellung des Clips im zugehörigen Auftrag im Fenster „Stapel“
aus.
Nun sind die Tasten für die Original- und Ausgabeversion aktiviert und Sie können
zwischen diesen beiden Anzeigen hin- und herwechseln. Da Sie zuvor eine Voreinstellung
ausgewählt haben, können Sie den Schieberegler zum Teilen der Anzeige sowie den
Beschnittrahmen im Fenster „Vorschau“ verwenden.
3 Klicken Sie auf die Taste für die Ausgabeversion oben rechts im Fenster „Vorschau“.
4 Wählen Sie eine Größe für die Vorschauanzeige aus dem Einblendmenü für die
Vorschauskalierung aus. Alternativ können Sie auch die Größeneinstellung des Fensters
„Vorschau“ bewegen und auf diesem Weg die gewünschte Größe einstellen.
Die Darstellungsgröße der eigentlichen Ausgabedatei wird hierdurch nicht beeinflusst.
Diese Größe können Sie nur im Bereich „Geometrie“ des Fensters „Informationen“
einstellen.
Hinweis: Wenn Sie die Bildgröße einer Voreinstellung anpassen (im Bereich „Geometrie“),
während Sie diese im Fenster „Vorschau“ anzeigen, wird die Bildgröße möglicherweise
nicht korrekt geändert. Sollte dies der Fall sein, wählen Sie „Beispielfilm“ oder ein anderes
Ziel aus dem Einblendmenü „Stapelobjekt“ aus. Wählen Sie anschließend dieses ZieI
erneut. Es zeigt nun die korrekte Bildgröße an.
5 Bewegen Sie den Schieberegler zum Teilen der Anzeige nach links oder rechts (der Regler
ist am oberen Bildschirmrand zu sehen). Hierdurch bewegen Sie die Trennlinie zum Teilen
der Anzeige über einen größeren oder kleineren Bereich des umcodierten Clips.
Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“ 3536 Passen Sie die Darstellungsgröße Ihrer Ausgabedatei mithilfe des Beschnittrahmens an.
Cropping boundary
and handles
Split screen slider
Split screen divider
Cropping dimensions
(also seen in Source
Inset fields in the
Geometry pane)
Source and Setting
View buttons
Batch Item
pop-up menu
7 Klicken Sie auf die Tasten für die Original- und Ausgabeversion. Nun können Sie prüfen,
ob die Darstellung des Clips nach dem Beschneiden Ihren Vorstellungen entspricht.
Hinweis: Je stärker Sie ein Clipbild durch Beschneiden verkleinern, desto größer ist der
Skalierungsfaktor der Ausgabedatei (da die Bildgeometrie auf den Einstellungen für das
Größenverhältnis der Ausgabedatei und nicht auf den Einstellungen für die
Ausgangsmediendatei basiert). Dieser Effekt wirkt sich ähnlich wie das Einzoomen bei
einem Bild aus, d. h. die Pixel werden größer und die Qualität des gesamten Bilds nimmt
ab. Achten Sie daher darauf, dass Sie das Bild nicht so sehr beschneiden, dass es über
seine Originalgröße hinaus vergrößert wird (relativ zur Originalgröße des Bilds).
Source and Setting
View buttons
8 Wählen Sie den Filter aus, den Sie anpassen wollen. Im nächsten Schritt können Sie die
erforderlichen Änderungen vornehmen.
354 Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“Hinweis: Das Markierungsfeld des Filters, den Sie auswählen, muss in der Filterliste mit
einem Häkchen versehen sein. Andernfalls wird der Filter nicht auf die Voreinstellung
angewendet.
Selected filter settings
are displayed in the
Preview window.
Setting selection
9 Wenn Sie zum Anzeigen Ihrer Ausgabedatei eine andere Darstellungsgröße als für Ihre
Ausgangsmediendatei auswählen wollen, öffnen Sie den Bereich „Geometrie“ im Fenster
„Informationen“. Wählen Sie dort einen vordefinierten Wert aus dem Einblendmenü
„Bildgröße“ aus. Alternativ können Sie auch Werte für die Ausgabegröße in die zugehörigen
Felder eintragen.
Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“ 355Hinweis: Für das Format „MPEG-2“ können nur vordefinierte Darstellungsgrößen verwendet
werden, die den MPEG-2-Spezifikationen entsprechen. Daher sind hier keine
Ausgabegrößen verfügbar.
Cropping dimensions
(also displayed in the
Inspector window when
you drag cropping bars)
10 Klicken Sie im Fenster „Vorschau“ auf die Taste „Wiedergabe“. Nun können Sie den Clip
ansehen.
Weitere Informationen finden Sie unter Fenster „Vorschau“.
356 Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“Abspielen von Dolby Digital Professional-Dateien (AC-3-Dateien) im
Fenster „Vorschau“
Sie können im Fenster „Vorschau“ Dolby Digital Professional-Dateien (AC-3-Dateien)
wiedergeben. Compressor umfasst einen Dolby Digital-Decodierer. Damit können Sie
eine AC-3-Ausgangsmediendatei über die Lautsprecher Ihres Computers anhören, wenn
Sie eine solche Datei einem Stapel hinzufügen und abspielen. Bei den Lautsprechern
bestehen keine Einschränkungen, sodass alle Varianten verwendet werden - von
integrierten Stereolautsprechern, die eine abgemischte Version der AC-3-Datei
wiedergeben, falls sie mehr als zwei Kanäle enthält, bis hin zu externen
Surround-Sound-Lautsprechern, die an einen USB- oder FireWire-Ausgang angeschlossen
sind.
Wichtig: Da das Programm „Compressor“ die Decodierung der Dolby
Digital-Audiodateien durchführt, können Sie nicht den optischen Ausgang Ihres
Computers verwenden, um sich das Dolby Digital-Audiomaterial vorab anzuhören.
Diese Funktion ist für die Verwendung des Dolby Digital Professional-Codierers wichtig,
weil Sie die Einstellungen des Codierers nicht in Echtzeit im Fenster „Vorschau“ ansehen
können. Stattdessen können Sie die codierten AC-3-Dateien zu einem Stapel hinzufügen
und abspielen, um so zu prüfen, ob die Codierungs-Einstellungen zu den gewünschten
Ergebnissen geführt haben. Weitere Informationen dazu, wie Sie zu diesem Zweck einen
kurzen Testclip erstellen, finden Sie unter Umcodieren eines Clipausschnitts im Fenster
„Vorschau“.
Umcodieren eines Clipausschnitts im Fenster „Vorschau“
Die Anpassungen für Geometrie (Beschneiden und Skalieren) und Filter werden im Fenster
„Vorschau“ sofort angezeigt, die Einstellungen aus den Bereichen „Codierer“ und
„Bildsteuerungen“ dagegen nicht. Führen Sie eine probeweise Umcodierung eines kleinen
Teils Ihrer Ausgangsmediendatei durch, um eine Vorschau der Einstellungen aus den
Bereichen „Codierer“ und „Bildsteuerungen“ anzuzeigen.
Im Fenster „Vorschau“ können Sie In- und Out-Punkte setzen. Damit haben Sie die
Möglichkeit, nur einen Ausschnitt Ihrer Mediendatei anstelle der gesamten Datei
umzucodieren.
Ausschnitt Ihrer Mediendatei zum Umcodieren auswählen
1 Öffnen Sie das Fenster „Vorschau“.
2 Wählen Sie einen Clip aus dem Einblendmenü „Stapelobjekt“ aus. Alternativ können Sie
auch auf die zugehörigen Auswahltasten klicken, bis der gewünschte Clip im
Einblendmenü angezeigt wird.
Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“ 3573 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Bewegen Sie den In-Punkt an die gewünschte Position.
• Bewegen Sie die Abspielposition an die Stelle, an der die Umcodierung beginnen soll.
Klicken Sie dann auf die Taste zum Festlegen des In-Punkts.
Playhead
Out point
In point
Set In Point button Set Out Point button 4 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Bewegen Sie den Out-Punkt an die gewünschte Position.
• Bewegen Sie die Abspielposition an die Stelle, an der die Umcodierung enden soll.
Klicken Sie dann auf die Taste zum Festlegen des Out-Punkts.
Nun wird ausschließlich der Ausschnitt Ihrer Mediendatei umcodiert, der sich zwischen
den beiden Punkten befindet, die Sie zuvor definiert haben. Der Rest des Clips wird nicht
umcodiert.
Wichtig: Wenn Sie die In- und Out-Punkte dazu verwenden, einen Ausschnitt der
Ausgangsmediendatei anzugeben, den Sie umcodieren möchten, wirken sich diese Marker
auf alle Ziele aus, die dem Auftrag der Datei zugewiesen sind. Sie können einem Stapel
eine Ausgangsmediendatei mehrfach hinzufügen und so mehrere Aufträge erstellen, in
denen Sie jeweils unterschiedliche In- und Out-Punkte setzen können.
Arbeiten mit Markern und Posterbildern
Compressor kann mehrere verschiedene Marker-Typen importieren und erstellen. Darüber
hinaus bietet Compressor eine Funktion zum Importieren kompletter Listen mit
Kapitel-Markern. Compressor unterstützt auch das Festlegen eines Posterbilds für einen
Clip.
358 Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“Ausgabedateiformate, die Marker unterstützen
Nicht alle Ausgabedateiformate unterstützen Marker. Nachfolgend werden die
unterstützenden Formate aufgelistet.
• MPEG-2
• MPEG-4 bei Konfiguration für Podcasting (nur Audiomaterial, wenn das Feld „Erweiterter
Podcast“ ausgewählt ist)
• QuickTime-Film
• H.264 für Apple-Geräte
Sie können zwar Marker für andere Ausgabedateiformate setzen und konfigurieren, diese
sind jedoch in der codierten Ausgabedatei nicht enthalten.
Marker-Typen
Compressor kann die folgenden Marker-Typen importieren und erstellen:
• Kapitel-Marker: Kapitel-Marker ermöglichen den einfachen Zugriff auf Indexpunkte
einer DVD, eines QuickTime-Films oder eines Video-Podcasts. Der QuickTime Player
kann Textspuren mit Zeitmarken als Kapitelspur interpretieren. Sie haben außerdem
die Möglichkeit, einem Kapitel-Marker ein Bild und eine URL-Adresse zuzuweisen, die
dann beim Abspielen eines Podcasts angezeigt werden.
Diese Marker werden in der Timeline des Fensters „Vorschau“ violett dargestellt. Sie
gehören zu dem Marker-Typ, der erstellt wird, wenn Sie mit Compressor manuell Marker
hinzufügen.
• Podcast-Marker: Einem Podcast-Marker können (wie einem Kapitel-Marker) Bilder und
eine URL-Adresse zugewiesen werden. Allerdings können Sie mithilfe von
Podcast-Markern nicht auf Bilder innerhalb des Clips zugreifen und sie werden in
QuickTime auch nicht als Kapitel-Marker angezeigt.
Sie können mithilfe von Podcast-Markern eine Präsentation (mit URL-Adressen)
bereitstellen, die sich Benutzer beim Abspielen von Audio-Podcasts ansehen können.
In der Timeline des Fensters „Vorschau“ werden diese Marker rot dargestellt.
• Kompressions-Marker: Kompressions-Marker werden auch manuelle Kompressions-Marker
genannt. Diese Marker können im Vorschaufenster von Compressor hinzugefügt werden,
um die Stellen anzugeben, an denen Compressor während der Komprimierung ein
MPEG I-Bild generieren soll. Weitere Informationen zu I-Bildern finden Sie unter Konzept
von GOPs und Bildtypen.
In der Timeline des Fensters „Vorschau“ werden diese Marker blau dargestellt.
Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“ 359• Bearbeitungs-/Schnitt-Marker: Bearbeitungs-/Schnitt-Marker werden auch als
automatische Kompressions-Marker bezeichnet. Diese Marker werden an jeder Schnittoder Übergangsmarke in einer Sequenz erstellt. Bei der Umcodierung verwendet
Compressor Bearbeitungs-/Schnitt-Marker, um an diesen Punkten MPEG-I-Bilder zu
erzeugen und so die Komprimierungsqualität zu erhöhen.
In der Timeline des Fensters „Vorschau“ werden diese Marker grün dargestellt.
Manuelles Hinzufügen und Entfernen von Markern
Das Fenster „Vorschau“ bietet umfassende Funktionen, die das Arbeiten mit Markern
unterstützen. So können Sie darin z. B. Marker verwalten, die der Ausgangsmediendatei
bereits hinzugefügt wurden, Marker manuell hinzufügen und entfernen sowie Listen mit
Kapitel-Markern importieren. Wenn Sie einen Marker zu einem Clip hinzufügen, wird er
standardmäßig als Kapitel-Marker angezeigt. Sie können den Marker ggf. in einen
Kompressions- oder Podcast-Marker ändern (weitere Informationen hierzu finden Sie
unter Hinzufügen von Kompressions- oder Podcast-Markern zu einem Clip).
Kapitel-Marker zu Ihrem Clip hinzufügen
1 Öffnen Sie das Fenster „Vorschau“.
2 Wählen Sie im Einblendmenü „Marker“ die Option „Kapitel-/Podcast-Marker anzeigen“
aus (neben der Option muss sich ein Häkchen befinden).
3 Wählen Sie einen Clip aus dem Einblendmenü „Stapelobjekt“ aus. Alternativ können Sie
auch auf die Auswahltaste für das Stapelobjekt klicken, bis der gewünschte Clip im
Einblendmenü angezeigt wird.
4 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus, um die Platzierung von Markern festzulegen:
• Bewegen Sie die Abspielposition an die Stelle, an der Sie einen Marker hinzufügen
wollen.
• Geben Sie einen bestimmten Timecode-Wert in das Timecode-Feld der Abspielposition
ein.
5 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus, um einen Marker hinzuzufügen:
• Klicken Sie auf die Taste „Marker-Einstellungen ändern“. Wählen Sie dann die Option
„Marker hinzufügen“ aus dem Einblendmenü aus.
• Drücken Sie die Taste „M“.
360 Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“Ein violetter Kapitel-Marker wird in der Timeline angezeigt.
A purple marker appears
under the playhead after
the marker is added.
6 Wählen Sie „Bearbeiten“ im Einblendmenü „Marker“ (oder drücken Sie die
Tastenkombination „Befehl-E“).
Daraufhin wird ein Dialogfenster angezeigt, in dem Sie den Marker bearbeiten können.
7 Geben Sie einen Namen für den Kapitel-Marker in das Feld „Name“ ein.
Bei Kapitel-Markern wird dieser Name in der Ausgangsmediendatei angezeigt und ist in
QuickTime Player und auf Wiedergabegeräten sichtbar.
8 Wenn Sie dem Kapitel-Marker ein Bild zuweisen möchten, können Sie eine der folgenden
Optionen aus dem Einblendmenü „Bild“ wählen:
• Ohne: Dem Marker wird kein Bild zugeordnet.
• Bild in der Quelle: Standardmäßig ist das angezeigte Bild das Bild, bei dem der Marker
platziert wird. Geben Sie einen anderen Timecode-Wert ein, wenn ein anderes Bild
verwendet werden soll.
Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“ 361• Aus der Datei: Bewegen Sie ein Bild in das Bildfeld. Sie können auch auf „Auswählen“
klicken, um ein Dialogfenster zum Auswählen einer Datei zu öffnen. Wählen Sie die
Standbilddatei aus, die dem Marker zugewiesen werden soll.
9 Klicken Sie auf „OK“, um das Fenster zu schließen.
Sie können einen Kapitel-Marker in einen Kompressions-Marker oder Podcast-Marker
umwandeln. Verwenden Sie hierfür die Option „Bearbeiten“ im Einblendmenü „Marker“.
Marker aus Ihrem Clip entfernen
1 Klicken Sie auf das Steuerelement „Zum vorherigen Marker“ oder „Zum nächsten Marker“.
So können Sie die Abspielposition zu dem Marker bewegen, den Sie entfernen wollen.
2 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus, um einen Marker zu entfernen:
• Klicken Sie auf die Taste „Marker-Einstellungen ändern“. Wählen Sie dann die Option
„Marker entfernen“ aus dem Einblendmenü aus.
• Drücken Sie die Taste „M“.
Der Marker wird nicht mehr angezeigt.
Liste mit Kapitel-Markern importieren
1 Öffnen Sie das Fenster „Vorschau“.
2 Wählen Sie einen Clip aus dem Einblendmenü „Stapelobjekt“ aus. Alternativ können Sie
auch auf die Auswahltaste für das Stapelobjekt klicken, bis der gewünschte Clip im
Einblendmenü angezeigt wird.
3 Wählen Sie „Kapitelliste importieren“ aus dem Einblendmenü „Marker“ aus.
Daraufhin wird ein Dialogfenster für die Dateiauswahl geöffnet. Hier können Sie nach der
Datei mit den Kapitel-Markern für die entsprechende Ausgangsmediendatei suchen und
diese auswählen.
4 Wählen Sie die Datei mit den Kapitel-Markern aus und klicken Sie auf „Öffnen“.
Die Marker werden importiert und der Timeline im Fenster „Vorschau“ hinzugefügt.
Hinweis: Alle Marker, die über eine Kapitel-Marker-Liste importiert werden, werden
zunächst als Kapitel-Marker konfiguriert. Sie können jedoch das Dialogfenster zum
Bearbeiten von Markern verwenden, um sie in Podcast- oder Kompressions-Marker
umzuwandeln. Darüber hinaus können Sie diesen Markern bei Bedarf URL-Adressen und
Bilder hinzufügen.
Wichtig: Die Timecode-Werte in der Liste müssen auf dem Timecode der
Ausgangsmediendatei basieren.
362 Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“Hinzufügen von Kompressions- oder Podcast-Markern zu einem Clip
Wenn Sie einem Clip einen Kompressions- oder Podcast-Marker manuell hinzufügen
möchten, fügen Sie zunächst einen Kapitel-Marker hinzu (wie im vorigen Abschnitt
beschrieben) und bearbeiten Sie diesen Marker anschließend.
Hinweis: Ein Podcast kann sowohl Kapitel- als auch Podcast-Marker enthalten. Der einzige
Unterschied liegt darin, dass der Betrachter direkt zu einem Kapitel-Marker navigieren
kann, nicht aber zu einem Podcast-Marker. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter
Marker-Typen.
Kompressions- oder Podcast-Marker manuell zu einem Clip hinzufügen
1 Wählen Sie „Kapitel-/Podcast-Marker anzeigen“ und „Kompressions-Marker einblenden“
aus dem Einblendmenü „Marker“ aus (neben den Optionen muss sich ein Häkchen
befinden).
2 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus, um die Platzierung von Markern festzulegen:
• Bewegen Sie die Abspielposition an die Stelle, an der Sie einen Marker hinzufügen
wollen.
• Geben Sie einen bestimmten Timecode-Wert in das Timecode-Feld der Abspielposition
ein.
3 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus, um einen Marker hinzuzufügen:
• Klicken Sie auf die Taste „Marker-Einstellungen ändern“. Wählen Sie dann die Option
„Marker hinzufügen“ aus dem Einblendmenü aus.
• Drücken Sie die Taste „M“.
Ein violetter Kapitel-Marker wird in der Timeline angezeigt.
4 Wählen Sie „Bearbeiten“ im Einblendmenü „Marker“ (oder drücken Sie die
Tastenkombination „Befehl-E“).
Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“ 363Daraufhin wird ein Dialogfenster angezeigt, in dem Sie den Marker bearbeiten können.
5 Wählen Sie „Kompression“ oder „Podcast“ aus dem Einblendmenü „Typ“ aus.
6 Geben Sie einen Namen für den Marker in das Feld „Name“ ein.
Bei Podcast-Markern wird dieser Name für den Betrachter nicht angezeigt.
7 Optional können Sie eine URL-Adresse im Feld „URL“ eintragen.
Diese URL-Adresse ist nur für Podcasts relevant. Der Name des Markers wird über dem
Bild angezeigt, sodass der Betrachter ihn durch Klicken auswählen kann. Daraufhin wird
die durch die URL-Adresse angegebene Website in einem Webbrowser geöffnet.
8 Wenn Sie dem Kapitel-Marker ein Bild zuweisen möchten, können Sie eine der folgenden
Optionen aus dem Einblendmenü „Bild“ wählen:
• Ohne: Dem Marker wird kein Bild zugeordnet.
• Bild in der Quelle: Standardmäßig ist das angezeigte Bild das Bild, bei dem der Marker
platziert wird. Geben Sie einen anderen Timecode-Wert ein, wenn ein anderes Bild
verwendet werden soll.
• Aus der Datei: Bewegen Sie ein Bild in das Bildfeld. Sie können auch auf „Auswählen“
klicken, um ein Dialogfenster zum Auswählen einer Datei zu öffnen. Wählen Sie die
Standbilddatei aus, die dem Marker zugewiesen werden soll.
9 Klicken Sie auf „OK“, um das Fenster zu schließen.
Der Marker in der Timeline wird nun blau angezeigt, falls es sich um einen
Kompressions-Marker handelt, bzw. rot, falls es sich um einen Podcast-Marker handelt.
Mit den Tasten „Zum vorherigen Marker“ und „Zum nächsten Marker“ können Sie weitere
Marker in der Timeline auswählen, um sie zu bearbeiten.
364 Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“Sie haben auch die Möglichkeit, eine Liste mit Kapitel-Markern zu importieren. Listen mit
Kapitel-Markern können entweder das QuickTime TeXML-Format verwenden (ein
XML-basiertes Format zum Erstellen von 3GPP-konformen, zeitlich abgestimmten
Textspuren in einer QuickTime-Filmdatei) oder als reine Textdatei mit der Kapitelliste
erstellt werden. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen von Listen mit
Kapitel-Markern im Nur-Text-Format.
Erstellen von Listen mit Kapitel-Markern im Nur-Text-Format
Sie können eine Liste mit Timecode-Werten erstellen, die Compressor importieren und
in Marker umwandeln kann. Dabei müssen die Timecode-Werte mit dem Timecode des
Videoclips in dieser Spur übereinstimmen. Die Liste der Timecode-Werte muss als reine
Textdatei vorliegen. Diese können Sie mithilfe von TextEdit erstellen (achten Sie darauf,
die Datei im Format „Nur Text“ zu sichern). Falls Sie die Liste mithilfe eines komplexeren
Textverarbeitungsprogramms erstellen, stellen Sie sicher, dass Sie die Datei im ASCII-Format
als reine Textdatei ohne Formatierungen sichern.
Folgende Regeln müssen für die Textdatei beachtet werden:
• Jeder Marker muss in einer eigenen Zeile stehen, die mit einem Timecode-Wert im
Format „00:00:00:00“ beginnt. Der Timecode-Wert gibt die Position des Markers an.
• Nach dem Timecode-Wert können Sie einen Namen für den Marker angeben. Als
Trennzeichen zwischen Timecode-Wert und dem Namen des Markers können Sie ein
Komma, ein Leerzeichen oder ein Tabulatorzeichen verwenden
• Zeilen, die nicht mit einem Timecode-Wert beginnen, werden ignoriert. Dies erleichtert
Ihnen das Einfügen von Kommentaren in die Liste.
• Die Timecode-Werte müssen nicht chronologisch geordnet sein.
Festlegen des Posterbilds
Sie können mit Compressor das Posterbild für einen Film festlegen. Dies ist das Bild, das
in iTunes für den Film angezeigt wird. Wenn Sie kein Posterbild festlegen, verwendet
iTunes das Bild 10 Sekunden nach dem ersten Bild des Films.
Posterbild festlegen
1 Platzieren Sie die Timeline im Vorschaufenster so, dass das gewünschte Posterbild
angezeigt wird.
2 Wählen Sie „Posterbild festlegen“ aus dem Einblendmenü „Marker“ aus.
Eine vertikale Linie mit einem Punkt in der Mitte wird in der Timeline angezeigt.
Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“ 365Abspielposition zum Posterbild bewegen
µ Wählen Sie „Posterbild anzeigen“ im Einblendmenü „Marker“.
Hinweis: Diese Einstellung ist nicht verfügbar, wenn kein Posterbild festgelegt wurde.
Posterbild entfernen
µ Wählen Sie „Posterbild löschen“ aus dem Einblendmenü „Marker“ aus.
Hinweis: Diese Einstellung ist nicht verfügbar, wenn kein Posterbild festgelegt wurde.
Kurzbefehle im Fenster „Vorschau“
Eine komplette Liste der Kurzbefehle für das Fenster „Vorschau“ finden Sie unter
Kurzbefehle des Fensters „Vorschau“ unter Tastaturkurzbefehle.
366 Kapitel 26 Verwenden des Fensters „Vorschau“Compressor bietet Ihnen die Möglichkeit, einen Speicherort für Ihre umcodierten Dateien
auszuwählen.
Wenn Sie keinen Zielort ausgewählt haben, wird die Ausgabedatei in demselben Ordner
wie die Ausgangsmediendatei gesichert. Möglicherweise erfüllt diese Vorgehensweise
Ihre Anforderungen. Wenn jedoch mehrere entfernte Server verwendet werden, um
Daten zu laden, oder wenn Sie eine bestimme Art von Ausgabedatei an einem bestimmten
Speicherort sichern wollen, müssen Sie diesen als Zielort angeben.
Ist ein Volume auf Ihrem Schreibtisch geöffnet, wird dieses Volume wie ein lokaler Zielort
behandelt, sodass Sie Ausgabemedien direkt sichern können. Zusätzliche Arbeitsschritte
wie bei entfernten Zielorten, z. B. das Eingeben eines Hostnamens, Benutzernamens und
Kennworts, sind in diesem Zusammenhang nicht erforderlich. Wenn Sie einen entfernten
Zielort auswählen, können Sie in allen Ordnern im Benutzerverzeichnis dieses entfernten
Computers Dateien sichern.
Sobald Sie alle erforderlichen Zielorte angelegt haben, müssen Sie den Bereich „Zielorte“
nicht mehr öffnen. Alle Zielorte, die Sie zuvor angelegt haben, können Sie direkt im Fenster
„Stapel“ auswählen. Darüber hinaus können Sie beim Erstellen eigener Voreinstellungen
einen Standardzielort zuordnen, der automatisch verwendet wird. Ausführliche
Informationen finden Sie unter Hinzufügen von Aktionen für Voreinstellungen.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Bereich „Zielorte“ (S. 368)
• Verwenden des Fensters „Informationen“ für Zielorte (S. 369)
• Erstellen eines Zielorts (S. 370)
• Warnsymbole (S. 372)
• Löschen und Duplizieren eines Zielorts (S. 372)
367
Erstellen und Ändern von Zielorten
27Bereich „Zielorte“
Sie verwenden den Bereich „Zielorte“ gemeinsam mit dem Fenster „Informationen“, um
Ihre Einstellungen für Zielorte zu erstellen, zu ändern oder zu entfernen. Zudem fügen
Sie hier eine Dateikennung (Identifizierung) zu den Dateinamen Ihrer Ausgabemedien
hinzu.
Custom destinations
Default
destinations
Duplicate
button Add and Remove buttons
Default filename
identifiers
Filename Template
pop-up menu
Sample filename line
Der Bereich „Zielorte“ enthält die folgenden Elemente:
• Liste „Zielorte“: Die Liste „Zielorte“ enthält die Namen und Pfadnamen der Zielorte.
Im Ordner „Apple“ gibt es vier voreingestellte Zielorte: „Cluster-Speicher“ ist der
Speicherort auf dem Arbeitsvolume des Clusters, „Schreibtisch“ ist der
Schreibtisch-Ordner des Benutzers, „Quelle“ ist der Ordner, aus dem die
Originalmediendatei stammt, und der Ordner „Benutzerfilme“ befindet sich im Ordner
„Filme“ des Benutzerordners.
Hinweis: Der Ordner „Cluster-Speicher“ kann nur für Installationen von Compressor
verwendet werden, für die die verteilte Verarbeitung aktiviert ist.
• Taste „Hinzufügen“ (+): Klicken Sie auf diese Taste, um ein Ziel zu erstellen. Ein
Dialogfenster für die Dateiauswahl wird angezeigt, in dem Sie einen Zielordner
auswählen können.
• Taste „Duplizieren“: Mit dieser Taste kann eine Kopie des ausgewählten Zielorts im
Ordner „Eigene“ erstellt werden. Anschließend können Sie einen neuen Zielort aus dem
bereits vorhandenen Zielort erstellen und an Ihre Anforderungen anpassen. Somit
müssen Sie den Zielort nicht völlig neu anlegen.
368 Kapitel 27 Erstellen und Ändern von Zielorten• Löschen (–): Wenn Sie auf diese Taste klicken, wird der ausgewählte eigene Zielort
sofort aus dem Bereich „Zielorte“ entfernt. Sie werden nicht aufgefordert, diesen
Arbeitsschritt zu bestätigen. Bevor Sie auf diese Taste klicken, sollten Sie sicherstellen,
dass Sie den Zielort wirklich entfernen wollen.
Hinweis: Die Zielorte im Ordner „Apple“ können nicht gelöscht werden.
Verwenden des Fensters „Informationen“ für Zielorte
Wenn Sie im Bereich „Zielorte“ einen Zielort (durch Doppelklicken) auswählen, wird das
Fenster „Informationen“ geöffnet. Hier finden Sie folgende Elemente:
• Name: Ändern Sie in diesem Feld den Namen des Zielorts.
• Vorlage für Ausgabedatei-Name: Fügen Sie über dieses Einblendmenü Dateikennungen
zu Ihrer Ausgabemediendatei hinzu. Das Feld lässt sich auch manuell bearbeiten. Wenn
Sie eine der folgenden Dateikennungen auswählen, wird die betreffende Kennung zum
Dateinamen Ihrer Ausgabedatei hinzugefügt.
• Datum: Das Datum der Umcodierung der Datei im Format TT.MM.JJ.
• Name der Voreinstellung: Der Name der Voreinstellung, die zum Umcodieren des
Auftrags verwendet wird.
• Name des Ausgangsmediums: Der Name der Ausgangsmediendatei ohne Suffix
(Dateierweiterung)
• Suffix des Ausgangsmediums: Das Suffix der Ausgangsmediendatei.
Kapitel 27 Erstellen und Ändern von Zielorten 369• Beispiel aus der definierten Vorlage: In diesem Feld wird ein Beispiel für den Namen
der Ausgabedatei mit allen hinzugefügten Dateikennungen angezeigt. Sie können
diese Zeile nicht bearbeiten. Basierend auf den Dateikennungen, die Sie hinzufügen
oder löschen, ändert sie sich jedoch dynamisch.
• Pfad: Hier wird der Pfad zum Zielordner angezeigt.
Erstellen eines Zielorts
Sie verwenden den Bereich „Zielorte“ gemeinsam mit dem Fenster „Informationen“, um
einen Zielort zu erstellen und zuzuweisen und Dateikennungen zu Ihrer Ausgabedatei
hinzuzufügen.
Sie können folgende Zielorte erstellen:
• Lokal: Wählen Sie ein beliebiges Verzeichnis auf Ihrem eigenen Computer aus.
• Geöffnetes Volume: Hiermit wählen Sie ein beliebiges, freigegebenes Volume aus, das
auf Ihrem Schreibtisch geöffnet ist.
Hinweis: Der Zielort für die Ausgabemediendatei ist standardmäßig der gleiche Ordner,
in dem sich auch Ausgangsmediendateien befinden. Sie können den standardmäßigen
Zielort ändern und eine beliebige andere Einstellung für den Zielort verwenden. Wählen
Sie „Compressor“ > „Einstellungen“ und wählen Sie aus dem Einblendmenü „Standardziel“
eine der aufgeführten Einstellungen für den Zielort aus.
Zielort erstellen
1 Öffnen Sie den Bereich „Zielorte“.
2 Klicken Sie auf die Taste „Hinzufügen“ (+).
Das Dialogfenster zum Auswählen eines Zielorts wird angezeigt.
3 Navigieren Sie in diesem Fenster zum Ordner des gewünschten Zielorts oder zu einem
geöffneten, aktivierten Volume. Klicken Sie anschließend auf „Öffnen“.
Ein neuer Zielort mit dem Namen des Ordners wird nun im Ordner „Eigene“ des Bereichs
„Zielorte“ angezeigt. Zudem sehen Sie hier den Pfad zu dem Ordner, den Sie gerade
zugewiesen haben.
370 Kapitel 27 Erstellen und Ändern von Zielorten4 Wählen Sie den neuen Zielort im Bereich „Zielorte“ durch Doppelklicken aus.
Das Fenster „Informationen“ wird geöffnet und zeigt wichtige Informationen zum neuen
Zielort an.
5 Führen Sie im Fenster „Informationen“ einen der folgenden Schritte aus:
• Ändern Sie den Namen des neuen Zielorts im Feld „Name“.
• Ändern Sie den Pfadnamen des neuen Zielorts, indem Sie auf „Auswählen“ klicken, um
das Dialogfenster zum Auswählen des Zielorts zu öffnen und zu einem neuen Ordner
zu navigieren.
6 Mit dem Einblendmenü im Feld „Vorlage für Ausgabedateiname“ können Sie
Dateikennungen zum Namen Ihrer Ausgabedatei hinzufügen.
Filename Template
pop-up menu
Sie können dieses Feld auch durch einen der folgenden Schritte manuell bearbeiten:
• Bewegen Sie die Dateikennungen im Feld, um deren Reihenfolge zu ändern.
• Klicken Sie neben die Dateikennungen, um zusätzlichen Text einzugeben.
• Verwenden Sie die Rückschritttaste Ihrer Tastatur, um beliebige der Dateikennungen
zu entfernen.
Das Feld „Beispiel aus der definierten Vorlage“ im Fenster „Informationen“ zeigt ein Beispiel
des Namens der Ausgabedatei mit den ausgewählten Dateikennungen. Die
standardmäßige Kombination von Dateiname und Kennung lautet „Name des
Ausgangsmediums-Name der Voreinstellung“.
Hinweis: Wenn Sie Ihre Vorlagen für Dateinamen anpassen wollen, sollte der zugehörige
Eintrag nicht mit einem Punkt (.) beginnen. Die entstehende Datei ist dann nur in der
Befehlszeile sichtbar und wird nicht im Finder von Mac OS X angezeigt.
Weitere Informationen finden Sie unter Bereich „Zielorte“.
Standardzielort ändern
1 Wählen Sie „Compressor“ > „Einstellungen“.
2 Verwenden Sie das Einblendmenü „Standardziel“, um eine Option aus der Liste der
vorhandenen Zielorte zu wählen.
Der von Ihnen gewählte Zielort wird als Standardziel angezeigt, wenn Sie im Fenster
„Stapel“ eine neue Ausgangsdatei importieren.
Kapitel 27 Erstellen und Ändern von Zielorten 371Warnsymbole
Ein gelbes Warnsymbol wird angezeigt, wenn ein Problem mit Ihrem Zielort vorliegt.
Damit die Umcodierung erfolgreich verläuft, muss dieses Problem zuerst behoben werden.
Warnsymbole werden im Bereich „Zielorte“ angezeigt, wenn kein Zugriff auf den Zielort
besteht oder keine Daten geschrieben werden können. Im Fenster „Stapel“ sind diese
Symbole zu sehen, wenn:
• bereits eine identische Datei am Zielort vorhanden ist
• zwei Zielorte denselben Namen haben
• nicht auf den Zielort zugegriffen werden kann bzw. keine Daten geschrieben werden
können
Das Warnsymbol wird auf der Ebene angezeigt, auf der das Problem entstand
(Voreinstellung, Auftrag oder Stapel). Das Symbol wird ggf. auch auf übergeordneten
Ebenen angezeigt. Wenn das Problem auf der Ebene der Voreinstellung auftritt, werden
somit Warnsymbole neben der Voreinstellung und dem Auftrag angezeigt.
Wenn Sie den Zeiger einige Sekunden lang über dem Warnsymbol platzieren, wird ein
Tipp mit Informationen über die Art des Problems angezeigt. Sobald Sie das Problem
beseitigt haben, wird das Warnsymbol wieder ausgeblendet und Sie können mit der
Umcodierung fortfahren.
Click the warning
symbol to see an
explanation about
why it is there.
Löschen und Duplizieren eines Zielorts
Nachfolgend finden Sie einige Verwaltungsfunktionen für Zielorte. Löschen Sie Zielorte,
die Sie nicht mehr benötigen, und erstellen Sie neue Zielorte auf der Grundlage bereits
vorhandener Zielorte.
Zielort löschen
1 Öffnen Sie den Bereich „Zielorte“.
2 Wählen Sie den Zielort, den Sie entfernen wollen, im Bereich „Zielorte“ aus. Klicken Sie
anschließend auf die Taste „Entfernen“ (–) oder drücken Sie die Rückschritttaste.
372 Kapitel 27 Erstellen und Ändern von ZielortenWichtig: Da Sie diese Aktion nicht bestätigen müssen, sollten Sie sich ganz sicher sein,
dass Sie den Zielort wirklich entfernen wollen, bevor Sie auf diese Taste klicken.
Remove button
Zielort duplizieren
1 Öffnen Sie den Bereich „Zielorte“.
2 Wählen Sie den Zielort, den Sie kopieren wollen, aus dem Bereich „Zielorte“ aus. Klicken
Sie anschließend auf die Taste „Duplizieren“.
Duplicate button
Kapitel 27 Erstellen und Ändern von Zielorten 373Nun wird ein neuer Eintrag im Bereich „Zielorte“ angezeigt. Die Kennung - Kopie wird an
den Namen des betreffenden Eintrags angehängt. Abgesehen von diesem Namenszusatz
ist der Zielort mit dem Original identisch. Benennen Sie den duplizierten Zielort wie
erforderlich um.
The duplicated
destination
374 Kapitel 27 Erstellen und Ändern von ZielortenMit Compressor können Sie eine oder mehrere Voreinstellungen oder Gruppen von
Voreinstellungen in einem Droplet sichern. Ein Droplet ist eine eigenständige
Voreinstellung, die als Drag&Drop-Programm von Compressor erstellt und als Symbol
gesichert wird.
Wenn Sie Ausgangsmedien auf das Symbol eines Droplets bewegen, werden sie
automatisch zum Umcodieren gesendet. Hierbei werden die angegebenen, integrierten
Voreinstellungen verwendet. Die Umcodierung beginnt unabhängig davon, ob Compressor
geöffnet ist oder nicht.
Drag selected source
media files to a Droplet
to transcode them.
Sie können beliebig viele Mediendateien auf ein Droplet bewegen. Sie können ein Droplet
durch Doppelklicken öffnen und die darin enthaltenen Voreinstellungen ansehen.
Hinweis: Das Programm „Compressor“ muss bereits auf dem Computer installiert sein,
auf dem Sie Droplets verwenden wollen.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Erstellen von Droplets (S. 376)
• Fenster „Droplet“ (S. 378)
• Überprüfen der Droplet-Einstellungen (S. 381)
• Verwenden eines Droplets zum Umcodieren von Ausgangsmedien (S. 383)
• Verwenden von Droplets zur Erstellung von Aufträgen und Voreinstellungen in
Compressor (S. 385)
• Tipps zu Droplets (S. 386)
375
Arbeiten mit Droplets
28Erstellen von Droplets
Droplets lassen sich schnell und einfach erstellen und bieten Ihnen die Möglichkeit,
Ausgangsmedien in kürzester Zeit zum Umcodieren zu senden. Compressor bietet zwei
Methoden zur Erstellung von Droplets. Jede hat ihre eigenen Vorteile. Im Bereich
„Voreinstellungen“ steht Ihnen die Taste „Auswahl als Droplet sichern“ zur Verfügung. Im
Menü „Ablage“ können Sie zudem den Befehl „Droplet erstellen“ verwenden.
Erstellen eines Droplets im Bereich „Voreinstellungen“
Wenn Sie bereits im Bereich „Voreinstellungen“ arbeiten und wissen, aus welcher
vorhandenen Voreinstellung ein Droplet erstellt werden soll, können Sie dies mit der
Taste „Auswahl als Droplet sichern“ tun.
Droplet mit der Taste „Auswahl als Droplet sichern“ im Bereich „Voreinstellungen“
erstellen
1 Öffnen Sie den Bereich „Voreinstellungen“.
2 Wählen Sie eine oder mehrere Voreinstellungen oder Gruppen von Voreinstellungen zum
Sichern als Droplet.
• Klicken Sie auf die Taste „Auswahl als Droplet sichern“.
“Save Selection as
Droplet” button
• Oder klicken Sie bei gedrückter Taste „ctrl“ auf die ausgewählten Einstellungen und
wählen Sie „Als Droplet sichern“ aus dem Kontextmenü aus.
Das Dialogfenster „Sichern“ wird angezeigt.
Hinweis: Durch Klicken bei gedrückter Umschalttaste oder Befehlstaste können Sie einem
Droplet mehrere Voreinstellungen und/oder Gruppen von Voreinstellungen hinzufügen.
In diesem Fall wird jede Ausgangsmediendatei mit jeder Voreinstellung im Droplet
umcodiert. Wenn Sie beispielsweise zwei Ausgangsmedien an ein Droplet senden, das
drei Voreinstellungen enthält, erstellt Compressor sechs verschiedene Ausgabedateien.
3 Geben Sie im Dialogfenster „Sichern“ einen Namen für das Droplet in das Feld „Sichern
unter“ ein. Wählen Sie anschließend den Speicherort für das Droplet aus dem
Einblendmenü „Ort“ aus.
376 Kapitel 28 Arbeiten mit DropletsSie können Ihr Droplet an einem beliebigen Speicherort auf Ihrem Computer sichern. Es
ist jedoch empfehlenswert, das Droplet auf Ihrem Schreibtisch zu sichern, damit Sie
Ausgangsmedien bequem auf das Droplet bewegen können.
4 Im Einblendmenü „Wählen Sie ein Ort für die Droplet-Ausgabe“ können Sie einen
Zielordner für die vom Droplet erstellten Ausgabemediendateien wählen.
Allerdings können Sie nur solche Zielorte auswählen, die bereits im Bereich „Zielorte“
erstellt wurden. Wurden keine eigenen Zielorte erstellt, werden nur die vier
standardmäßigen Apple-Zielorte im Einblendmenü für die Auswahl des Zielorts angezeigt.
Weitere Informationen über Zielorte finden Sie unter Erstellen eines Zielorts.
5 Klicken Sie auf „Sichern“.
Ihr neu erstelltes Droplet wird als Symbol an dem Speicherort angezeigt, den Sie
ausgewählt haben. Nun können Sie es zum Umcodieren verwenden.
Erstellen eines Droplets mithilfe des Menüs „Ablage“
Sie können in Compressor jederzeit den Befehl „Droplet erstellen“ im Menü „Ablage“
verwenden.
Droplet mit dem Befehl „Droplet erstellen“ im Menü „Ablage“ erstellen
1 Wählen Sie „Ablage“ > „Droplet erstellen“.
Das Dialogfenster „Sichern“ wird angezeigt.
2 Wählen Sie eine oder mehrere Voreinstellungen oder Gruppen von Voreinstellungen zum
Sichern als Droplet.
Kapitel 28 Arbeiten mit Droplets 377Durch Klicken bei gedrückter Umschalttaste oder Befehlstaste können Sie einem Droplet
mehrere Voreinstellungen und/oder Gruppen von Voreinstellungen hinzufügen. In diesem
Fall wird jede Ausgangsmediendatei mit jeder Voreinstellung im Droplet umcodiert. Wenn
Sie beispielsweise zwei Ausgangsmedien an ein Droplet senden, das drei Voreinstellungen
enthält, erstellt Compressor sechs verschiedene Ausgabedateien.
3 Geben Sie einen Namen für das Droplet in das Feld „Sichern unter“ ein. Wählen Sie
anschließend den Speicherort für das Droplet aus dem Einblendmenü „Ort“ aus.
Sie können Ihr Droplet an einem beliebigen Speicherort auf Ihrem Computer sichern. Es
ist jedoch empfehlenswert, das Droplet auf Ihrem Schreibtisch zu sichern, damit Sie
Ausgangsmedien bequem auf das Droplet bewegen können.
4 Im Einblendmenü „Zielort für die vom Droplet erzeugten Dateien“ können Sie einen
Zielordner für die vom Droplet erstellten Ausgabemediendateien wählen.
Allerdings können Sie nur solche Zielorte auswählen, die bereits im Bereich „Zielorte“
erstellt wurden. Wurden keine eigenen Zielorte erstellt, werden nur die vier
standardmäßigen Apple-Zielorte im Einblendmenü für die Auswahl des Zielorts angezeigt.
Weitere Informationen über Zielorte finden Sie unter Erstellen eines Zielorts.
5 Klicken Sie auf „Sichern“.
Ihr neu erstelltes Droplet wird als Symbol an dem Speicherort angezeigt, den Sie
ausgewählt haben. Nun können Sie es zum Umcodieren verwenden.
Drag selected source
media files to a Droplet
to transcode them.
Fenster „Droplet“
Sie können jedes Droplet öffnen, um seine Detailinformationen anzuzeigen und
Einstellungen sowie Ausgangsmediendateien hinzuzufügen, zu löschen und zu ändern.
Mit der Vorlage für Dateinamen können Sie auch die Namen und den Zielordner für die
Ausgabemediendateien ändern.
378 Kapitel 28 Arbeiten mit DropletsWeitere Informationen zu Dateikennungen finden Sie unter Bereich „Zielorte“.
Destination
pop-up field
“Show window on
startup” checkbox
Submit button
Source files table
Individual jobs
Jobs table
Job Type Filename Template
Action checkbox
(only present for some
job types)
Job type identifier
Show Info button
Add Output and Remove
Output buttons
Das Fenster „Droplet“ enthält die folgenden Elemente:
• Zielort: In diesem Feld wird der Zielspeicherort für die Ausgabemediendatei angezeigt.
Sie können den Zielort ändern, indem Sie darauf klicken und einen in Compressor
definierten Zielort auswählen. Sie können auch auf „Auswählen“ klicken, um das
Dialogfenster „Speicherort“ zu öffnen, und einen Ordner auswählen.
• Quelldateien: Eine Liste aller Aufträge im Stapel, die gesendet werden sollen. Wenn die
Option „Fenster beim Start anzeigen“ markiert ist, wird das Fenster „Droplet“ geöffnet,
nachdem Sie Ihre Ausgangsmedien auf das Symbol des Droplets bewegt haben. Zudem
werden alle Ausgangsmedien in der Liste „Quelldateien“ angezeigt. Sie können eine
oder mehrere Ausgangsmediendateien in diese Liste bewegen. Die Dateien werden
zusammen umcodiert, wenn Sie den Stapel senden. Dieser Vorgang funktioniert genau
wie das übliche Senden von Stapeln aus dem Fenster „Stapel“.
Kapitel 28 Arbeiten mit Droplets 379• Einblendmenü für den Auftragstyp: In diesem Einblendmenü können Sie den Typ der
Ausgabemediendatei auswählen. Folgende Optionen stehen zur Verfügung: Apple TV,
Blu-ray, DVD, iPhone, iPod, YouTube und Andere. Die Option „Andere“ öffnet ein
Dialogfenster, in dem Sie aus einer Liste vorhandener Compressor-Einstellungen
auswählen können. Eine Beschreibung aller Auftragstypen finden Sie in den Abschnitten
Compressor-Arbeitsablauf im Überblick: Verwenden von Stapelvorlagen und Optionen
im Bereich „Auftragseigenschaft“.
• Auftragsliste: Jeder Auftrag in dieser Liste stellt eine separate Mediendatei dar, die von
den Objekten in der Liste der Ausgangsdateien erzeugt wird.
• Vorlage für Dateinamen: Compressor fügt automatisch einen Dateinamen für die
Ausgabemediendatei in dieses Feld ein. Der erste Teil des Dateinamens basiert auf dem
Ausgangsdateinamen. Compressor fügt automatisch eine Kennung für den Ausgabetyp
(z. B. „iPod“ oder „YouTube“) am Ende des Dateinamens an. Durch Doppelklicken auf
die einzelnen Teile des Dateinamens können Sie diese bearbeiten.
• Kennung des Auftragstyps: Compressor fügt automatisch eine Kennung für den
Ausgabetyp (z. B. „iPod“ oder „YouTube“) am Ende jedes Dateinamens an. Durch
Doppelklicken auf die einzelnen Kennungen des Auftragstyps können Sie diese
bearbeiten.
• Tasten zum Hinzufügen/Löschen von Ausgabeformaten: Klicken Sie auf die Taste zum
Hinzufügen von Ausgabeformaten, um weitere Ausgaben hinzuzufügen. Um bestimmte
Ausgaben zu löschen, klicken Sie auf die entsprechende Taste zum Löschen.
• Infotaste: Klicken Sie auf diese Taste, um ausführliche Informationen über die aktuelle
Voreinstellung und die Ausgabemediendatei anzuzeigen. Wenn Sie mehrere
Quellendateien umcodieren, können Sie Informationen über jede einzelne Mediendatei
anzeigen.
• Feld für zusätzliche Aktion: Aktivieren Sie dieses Feld, um Aktionen nach der
Umcodierung, die über die Erstellung der Ausgabemediendatei hinausgehen, zu
aktivieren. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Hinzufügen von Aktionen für
Aufträge.
• Feld „Fenster beim Start anzeigen“: Ist dieses Feld markiert, so wird das Fenster „Droplet“
geöffnet, bevor der Stapel gesendet wird, wenn Sie Ausgangsmedien auf das Symbol
des Droplets bewegen. Auf diese Weise können Sie die Voreinstellungen prüfen, die
in einem Droplet enthalten sind. Wenn diese Option jedoch nicht markiert ist, wird der
Stapel gesendet, sobald er auf das Symbol des Droplets bewegt wird (sofern keine
Fehler auftreten). Das Fenster wird in diesem Fall nicht geöffnet.
380 Kapitel 28 Arbeiten mit Droplets• Senden: Klicken Sie auf diese Taste, um das Dialogfenster zum Senden zu öffnen und
den Stapel zu senden. Weitere Informationen über das Senden finden Sie in den
Abschnitten Senden eines Stapels und Verwenden eines Droplets zum Umcodieren
von Ausgangsmedien. Dieser Arbeitsschritt ist nur dann erforderlich, wenn die Option
„Fenster beim Start anzeigen“ markiert ist. Andernfalls wird der Stapel automatisch
gesendet.
Überprüfen der Droplet-Einstellungen
In diesem Abschnitt werden verschiedene Vorgehensweisen beschrieben, wie
Droplet-Einstellungen überprüft und angepasst werden können.
Feld „Fenster beim Start anzeigen“
Mit dem Markierungsfeld „Beim Starten einblenden“ am unteren Rand des Fensters
„Droplet“ können Sie bestimmen, ob ein Droplet-Fenster geöffnet wird, wenn Sie einen
Stapel auf ein Droplet-Symbol bewegen. Ist das Feld markiert, so wird das Fenster „Droplet“
geöffnet, wenn Sie einen Stapel auf das Droplet-Symbol bewegen. Anschließend können
Sie die Einstellungen des Droplets ansehen.
Wenn Sie diese Option nicht markiert haben, wählen Sie das Droplet-Symbol durch
Doppelklicken aus, um das zugehörige Fenster zu öffnen und die Einstellungen anzusehen.
“Show window
on startup” button
Show Details button
Weitere Informationen zu Droplet-Voreinstellungen finden Sie unter Fenster „Droplet“.
Kapitel 28 Arbeiten mit Droplets 381Taste „Details einblenden“/“Details ausblenden“
Mit dieser Taste können Sie das Aktionsfach für einen bestimmten Auftrag öffnen oder
schließen. Mit dem Aktionsfach können Sie Aktionen anwenden und anpassen. Weitere
Informationen zu Aktionen, die nach der Umcodierung ausgeführt werden, erhalten Sie
in Abschnitt Hinzufügen von Aktionen für Aufträge.
Show/Hide Details button DVD Action drawer
Infotaste
Klicken Sie auf die Infotaste eines Auftrags, damit detaillierte Informationen über die
erzeugte Ausgabemediendatei angezeigt werden.
“Show info for”
pop-up menu
Hinweis: Wenn Sie mehrere Ausgangsdateien umcodieren, können Sie mit dem
Einblendmenü „Infos anzeigen für“ in diesem Dialogfenster auswählen, für welche
Ausgangsmediendatei Details angezeigt werden sollen.
382 Kapitel 28 Arbeiten mit DropletsVerwenden eines Droplets zum Umcodieren von
Ausgangsmedien
Nachdem Sie ein Droplet erstellt haben, können Sie Ausgangsmedien umcodieren, indem
Sie sie auf das Symbol des Droplets bewegen.
Ausgangsmedien mithilfe eines Droplets umcodieren
1 Bewegen Sie die Ausgangsmedien, die Sie zuvor ausgewählt haben, auf das
Droplet-Symbol.
Der Status des Felds „Fenster beim Start anzeigen“ am unteren Rand des Fensters „Droplet“
bestimmt, was als Nächstes geschieht.
• Wenn das Feld „Fenster beim Start anzeigen“ nicht markiert ist: Das Droplet beginnt sofort
mit der Umcodierung der Ausgangsmedien.
• Wenn das Feld „Fenster beim Start anzeigen“ markiert ist: Das Fenster „Droplet“ wird
geöffnet und die Ausgangsmedien werden in der Liste „Quelldateien“ angezeigt. Fahren
Sie mit Schritt 2 fort und senden Sie Ihren Stapel.
Wenn das Fenster „Droplet“ geöffnet wird, können Sie alle Angaben sehen und
Einstellungen sowie Ausgangsmediendateien hinzufügen, löschen und ändern. Sie
können auch die Namen (im Feld „Dateinamen“) und den Zielordner für die
Ausgabemediendateien ändern, die vom Droplet erstellt werden.
2 Klicken Sie auf „Senden“, wenn alle Einstellungen Ihren Vorstellungen entsprechen.
Das Dialogfenster zum Senden des Stapels wird angezeigt. Weitere Informationen zum
Dialogfenster „Senden“ finden Sie unter Senden eines Stapels.
Kapitel 28 Arbeiten mit Droplets 3833 Geben Sie einen Namen für den Stapel in das Feld „Name“ ein.
Dies ermöglicht die Identifizierung des Stapels im Share-Monitor.
4 Wählen Sie aus dem Einblendmenü „Cluster“ aus, welcher Computer oder Cluster den
Stapel verarbeiten soll.
Die standardmäßige Cluster-Einstellung lautet „Dieser Computer“. Bei Verwendung dieser
Einstellung bezieht Compressor keine anderen Computer in die Verarbeitung des Stapels
ein. Sie können einen beliebigen der in dieser Liste aufgeführten Cluster auswählen.
Weitere Informationen zum Einrichten eines Apple Qmaster-Netzwerk für die verteilte
Verarbeitung finden Sie unter Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung.
5 Markieren Sie das Feld „Dieser Computer und“, um einen Ad-hoc-Cluster zu erstellen, der
diesen Computer und alle verfügbaren Dienstknoten umfasst.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Option „Dieser Computer und“ und nicht
verwaltete Dienste.
6 Wählen Sie aus dem Einblendmenü „Priorität“ eine Prioritätsstufe für den Stapel aus.
7 Klicken Sie auf „Senden“ oder drücken Sie die Eingabetaste, um den Stapel zum Verarbeiten
zu senden.
Bei der Verarbeitung der einzelnen Ausgangsmedien wird die in einem Droplet vorhandene
Voreinstellung bzw. die Gruppe der Voreinstellungen angewendet.
8 Öffnen Sie den Share-Monitor, wenn Sie den Status der Verarbeitung Ihrer
Ausgangsmedien prüfen wollen.
Weitere Informationen hierzu finden Sie im Share-Monitor-Benutzerhandbuch.
Wenn ein Droplet-Fenster geöffnet ist, können Sie Ihre Ausgangsmedien direkt in die
Liste „Quelldateien“ bewegen und zum Umcodieren senden.
Ausgangsmedien mithilfe eines geöffneten Droplets umcodieren
1 Öffnen Sie das Droplet-Symbol durch Doppelklicken.
384 Kapitel 28 Arbeiten mit Droplets2 Suchen Sie im Finder nach den Ausgangsmedien und bewegen Sie die Dateien dann in
die Liste „Quelldateien“ des Droplets.
3 Ändern Sie ggf. Ihre Droplet-Einstellungen und klicken Sie anschließend auf „Senden“.
Bei der Verarbeitung der einzelnen Ausgangsmedien wird die in einem Droplet vorhandene
Voreinstellung bzw. die Gruppe der Voreinstellungen angewendet. Wenn Sie beispielsweise
zwei Ausgangsmedien an ein Droplet senden, das drei Voreinstellungen enthält, erstellt
Compressor sechs verschiedene Ausgabedateien.
4 Öffnen Sie den Share-Monitor, wenn Sie den Status der Verarbeitung Ihrer
Ausgangsmedien prüfen wollen.
Verwenden von Droplets zur Erstellung von Aufträgen und
Voreinstellungen in Compressor
Sie können Droplets vom Finder in das Fenster „Stapel“ von Compressor bewegen, um
einen kompletten Auftrag/ein komplettes Ziel auf der Basis des Droplets zu erstellen oder
um Ziele (Voreinstellungen und Zielorte) auf vorhandene Aufträge im Fenster „Stapel“
anzuwenden.
Neue Aufträge mit Droplets erstellen
µ Bewegen Sie ein Droplet in einen leeren Bereich im Fenster „Stapel“.
Es wird ein neuer Auftrag erstellt, der mindestens eine Zielzeile enthält. Die Werte in
dieser Zeile stammen aus den Eigenschaften des Droplets und umfassen alle
Voreinstellungen und Zielorte.
Neue Ziele mit Droplets erstellen
µ Bewegen Sie ein Droplet in einen leeren Bereich eines Auftragsfelds im Fenster „Stapel“.
Für den Auftrag wird mindestens eine neue Zielzeile angezeigt. Die Werte in dieser Zeile
stammen aus den Eigenschaften des Droplets und umfassen alle Voreinstellungen und
Zielorte.
Kapitel 28 Arbeiten mit Droplets 385Tipps zu Droplets
Nachfolgend finden Sie weitere Tipps zur Verwendung von Droplets zur Umcodierung
von Ausgangsmediendateien.
Droplets und Verarbeitungsdienste von Compressor
Wenn Sie Dateien auf das Symbol eines Droplets bewegen, ohne zuvor das Programm
oder ein Droplet zu öffnen, zeigt Compressor u. U. eine Warnmeldung an (“Dieser
Computer ist nicht verfügbar“). Dies dient als Hinweis dafür, dass die Verarbeitungsdienste
von Compressor noch nicht im Hintergrund gestartet wurden. Klicken Sie unten im Fenster
des Droplets auf „Senden“. Die Verarbeitungsdienste von Compressor werden gestartet
und die Dateien werden umcodiert.
Droplets und eine große Anzahl Ausgangsmediendateien
Wenn Sie eine große Anzahl Ausgangsmediendateien (etwa 200 oder mehr) mithilfe eines
Droplets senden, kommt es zwischen der Anzeige der Warnmeldung „Bearbeitung wird
vorbereitet“ und der Anzeige des Dialogfensters, das den Sendevorgang des Auftrags
bestätigt, möglicherweise zu einer Verzögerung von ungefähr 1 Minute. Sie vermeiden
diese Verzögerung, indem Sie die Anzahl der Ausgangsdateien verringern, die Sie jeweils
mithilfe eines Droplets senden.
386 Kapitel 28 Arbeiten mit DropletsDas Umcodieren oder Verarbeiten mehrerer großer Dateien erfordert viel Prozessorleistung
und ist auf einem Desktop-Computer zeitaufwändig. Sie können Geschwindigkeit und
Produktivität erhöhen, indem Sie die Verarbeitung auf mehrere Computer verteilen.
Im vorliegenden Kapitel werden folgende Themen behandelt:
• Grundlagen der verteilten Verarbeitung (S. 387)
• Grundlegende Komponenten des Apple Qmaster-Systems für die verteilte Verarbeitung
(S. 389)
• Schneller Einstieg mit der Option „Dieser Computer und“ (S. 397)
• Schneller Einstieg mit der Option „QuickCluster“ (S. 399)
• Die Oberflächen des Apple Qmaster-Systems für die verteilte Verarbeitung (S. 401)
• Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ in Compressor (S. 408)
• Allgemeine Informationen zu Clustern (S. 413)
• Erstellen von Clustern mit Apple Qadministrator (S. 426)
• Einrichten der zeitweiligen verteilten Verarbeitung mit Shake (S. 429)
Grundlagen der verteilten Verarbeitung
Die verteilte Verarbeitung ermöglicht eine schnellere Verarbeitung, da die Arbeit auf
mehrere zuvor ausgewählte Computer verteilt wird und so mehr Verarbeitungsleistung
zur Verfügung steht. Sie können Stapel mit Aufträgen an das Apple Qmaster-System
senden, das diese Aufträge dann so effizient wie möglich anderen Computern zuweist.
(Eine ausführlichere Beschreibung hierzu finden Sie unter Die Verteilung von Stapeln
durch das Apple Qmaster-System.)
387
Apple Qmaster und die verteilte
Verarbeitung 29Computer, die Stapel an das Apple Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung senden,
werden Clients genannt. Bei einem Auftrag handelt es sich um eine Verarbeitungsaufgabe,
z. B. ein Compressor-Dateipaar mit Voreinstellungen und Ausgangsmaterial oder eine
Shake-Datei bzw. andere Dateien oder Befehle, die Einstellungen wie Renderanweisungen,
Dateispeicherorte und Zielorte anhand von UNIX-Befehlen angeben.
Batch of
processing jobs
Client computer
Jobs are submitted.
Destination folder
Files are placed at
specified destination.
Processed
files
Apple Qmaster cluster
Processing is
performed by cluster.
Network
Ein Stapel besteht aus einem oder mehreren Aufträgen, die zu einem bestimmten
Zeitpunkt zur Verarbeitung gesendet werden. Der Prozess verläuft analog zum Drucken
mehrseitiger Dokumente aus einem Textverarbeitungsprogramm, d. h., die Dateien
werden im Spool-Betrieb im Hintergrund verarbeitet. Ein Stapel kann zwar auch nur einen
Auftrag enthalten, in den meisten Fällen werden jedoch mehrere Aufträge gleichzeitig
verarbeitet. Das Apple Qmaster-System kann auch von mehreren Personen gleichzeitig
genutzt werden. In diesem Fall senden mehrere Client-Computer Stapel zur gleichen Zeit.
Die Stapel werden von dem Computer verwaltet und verteilt, der als Apple
Qmaster-Cluster-Steuerung (Controller) dient. Eine Beschreibung hierzu finden Sie im
nächsten Abschnitt.
Es gibt drei Ansätze zur Einrichtung eines Systems für die verteilte Verarbeitung:
• Verwenden der Option „Dieser Computer und“: Die Verwendung der Option „Dieser
Computer und“ ist der einfachste Ansatz zum Erstellen eines Systems für die verteilte
Verarbeitung. Hierfür müssen Sie lediglich Compressor auf allen Computern, die
Verarbeitungsaufgaben übernehmen sollen, installieren (als Dienstknoten konfiguriert).
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Schneller Einstieg mit der Option „Dieser
Computer und“.
• Erstellen eines QuickCluster: Wenn Sie einen QuickCluster erstellen, können Sie einen
einzelnen Computer als Cluster konfigurieren, indem Sie anhand der verfügbaren
CPU-Kerne die Anzahl der Instanzen auswählen, die er unterstützen soll. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Schneller Einstieg mit der Option „QuickCluster“.
388 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung• Manuelles Erstellen eines Clusters: In großen Computerumgebungen können verwaltete
Cluster für die Client-Computer manuell erstellt werden. Weitere Informationen hierzu
finden Sie unter Erstellen von Clustern mit Apple Qadministrator.
Wichtig: Wird die verteilte Verarbeitung genutzt („Dieser Computer und“, QuickCluster
und verwaltete Cluster) werden Sie unter Umständen aufgefordert, sich zu authentifizieren.
Das liegt daran, dass Apple Qmaster einen Ordner mit Links zu den Mediendateien
freigeben muss (über die NFS-Freigabe), damit die Verarbeitungscomputer auf die
Mediendateien zugreifen können. Dadurch steht der Ordner allen Computern zur
Verfügung, die seine IP-Adresse kennen. Wird die verteilte Verarbeitung bei vertraulichen
Medien eingesetzt, sollten Sie sich vergewissern, dass die Computer durch eine Firewall
geschützt sind.
Weitere Informationen zu den unterschiedlichen Komponenten, aus denen sich ein System
für die verteilte Verarbeitung zusammensetzt, finden Sie unter Grundlegende
Komponenten des Apple Qmaster-Systems für die verteilte Verarbeitung.
Grundlegende Komponenten des Apple Qmaster-Systems für
die verteilte Verarbeitung
Obwohl die Apple Qmaster-Software verschiedene Programme (vgl. Die Oberflächen des
Apple Qmaster-Systems für die verteilte Verarbeitung) umfasst, stellt sie als Ganzes einen
Teil eines vernetzten Systems dar, zu dem die folgenden Komponenten zählen.
Hinweis: Innerhalb eines Systems für die verteilte Verarbeitung müssen die
Versionsnummern von Compressor, QuickTime und Mac OS übereinstimmen.
• Client(s): Der oder die Computer, die mithilfe von Compressor oder Apple Qmaster
Aufträge für die verteilte Verarbeitung senden. Zu den Programmen, die Apple
Qmaster-Dienste für die Verarbeitung verwenden können, zählen Compressor, Shake,
Autodesk Maya und zahlreiche UNIX-Befehlszeilenprogramme. Die Computer, auf denen
Final Cut Pro und Motion ausgeführt werden, können ebenfalls Clients sein.
• Ein Apple Qmaster-Cluster: ein Apple Qmaster-Cluster enthält:
• Dienstknoten: Die Computer, die die Verarbeitung von Stapeln ausführen, die über
Compressor oder Apple Qmaster gesendet wurden. Ein Stapel kann einen oder
mehrere Aufträge enthalten.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 389• Cluster-Steuerung: Die Software, die auf einem Computer mithilfe des Fensters „Apple
Qmaster - Sharing“ in Compressor aktiviert wird. Sie teilt Stapel auf, bestimmt die
Dienstknoten, die Aufträge erhalten, und verfolgt und steuert die Prozesse.
Cluster controller manages the
distribution of client’s jobs across the cluster
Service node
processes jobs
Cluster
(can contain multiple service nodes, but only one cluster controller)
Client computer from
which users send jobs to the cluster
Service node
processes jobs
Service node
processes jobs
Service node
processes jobs
Client-Computer, Dienstknoten und Cluster-Steuerung befinden sich häufig auf
unterschiedlichen (jedoch vernetzten) Computern, wodurch eine schnellstmögliche
Verarbeitung erzielt wird. Die Cluster-Steuerung kann sich jedoch auch auf einem
Client-Computer oder Dienstknoten befinden. Weitere Informationen hierzu finden Sie
unter Verwenden eines Computers mit zwei Funktionen bei der verteilten Verarbeitung.
Nachfolgend werden die Aufgaben der einzelnen Komponenten im Apple Qmaster-System
näher beschrieben.
Clients
Die Client-Computer senden Stapel zur verteilten Verarbeitung. Jeder Computer mit
installierter Compressor-Software, der sich im gleichen Netzwerk (Teilnetzwerk) wie die
Cluster-Steuerung befindet, kann als Client-Computer verwendet werden. In einem
Teilnetzwerk können mehrere Client-Computer vorhanden sein, die den gleichen Cluster
zur Verarbeitung für verschiedene Programme verwenden.
Sie verwenden Compressor oder Apple Qmaster zum Senden von Stapeln, die für einen
Client verarbeitet werden sollen. Weitere Informationen finden Sie unter Der grundlegende
Arbeitsablauf beim Umcodieren und im Apple Qmaster User Manual finden Sie Näheres
zur Verwendung dieser Programme.
390 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungCluster
Wenn ein Client Stapel an das Apple Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung sendet,
wird die gesamte Verarbeitung und das nachfolgende Bewegen von Ausgabedateien
von einer Gruppe von Computern ausgeführt, die für Apple Qmaster konfiguriert sind.
Diese Gruppe wird als Cluster bezeichnet. Sie können einen oder mehrere
Dienstknoten-Cluster mit einer Cluster-Steuerung pro Cluster erstellen. Jeder Computer
im Cluster ist über eine Netzwerkverbindung mit den anderen Computern im Cluster
verbunden.
Cluster
controller
Service
node
Service
node
Service
node
Example of a cluster
Hinweis: In dieser Abbildung wird nur ein einfaches Beispiel eines Clusters dargestellt.
Weitere Möglichkeiten werden unter Beispiele für ein Netzwerk für die verteilte
Verarbeitung beschrieben.
Dienstknoten
Die Dienstknoten sind die Komponenten, in denen die Verarbeitung stattfindet. Wenn
Sie einem Cluster eine Gruppe von Dienstknoten zuweisen, funktionieren diese als ein
extrem leistungsfähiger Computer, da alle Ressourcen gemeinsam verwendet werden.
Ist ein Dienstknoten überlastet oder kann aus einem anderen Grund nicht darauf
zugegriffen werden, wird ein anderer Dienstknoten verwendet.
Sie machen einen Computer als Dienstknoten verfügbar, indem Sie ihn im Fenster „Apple
Qmaster - Sharing“ konfigurieren, das Sie in Compressor durch Auswahl von „Diesen
Computer freigeben“ im Menü „Apple Qmaster“ öffnen.
Einige Grundregeln
Dies sind die Grundregeln für das Einrichten eines Netzwerks mit verteilter Verarbeitung:
• Ein Cluster muss einen (und nur einen) Computer enthalten, der als Cluster-Steuerung
fungiert, und mindestens einen Computer, der die Rolle eines Dienstknotens übernimmt.
(Dabei kann es sich um den gleichen Computer handeln, wie unter Verwenden eines
Computers mit zwei Funktionen bei der verteilten Verarbeitung erklärt wird.)
• Die Client-Computer und die Computer in jedem sie unterstützenden Cluster müssen
sich im gleichen Netzwerk befinden.
• Das Netzwerk muss die in Mac OS X integrierte Apple-Netzwerktechnologie unterstützen.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 391• Jeder Computer in einem Cluster benötigt Lese- und Schreibrechte für alle Computer
(oder Massenspeichergeräte), die als Ausgabeziele für Dateien definiert werden.
Beispiele für ein Netzwerk für die verteilte Verarbeitung
Eine sehr kleine Konfiguration mit verteilter Verarbeitung könnte sich aus nur zwei
Computern zusammensetzen:
• Ein Computer, der mit dem Client verbunden und so konfiguriert ist, dass er sowohl
als Dienstknoten als auch als Cluster-Steuerung fungiert
• Ein Client-Computer
Client Service node with
cluster controller enabled
Minimum setup for distributed processing
Obwohl dies eine sehr einfache Konfiguration ist, ist sie in einem kleineren Netzwerk
nützlich, weil sie es dem Client-Computer ermöglicht, einen großen Teil der zu
verarbeitenden Daten auszulagern.
Verwenden eines Computers mit zwei Funktionen bei der verteilten
Verarbeitung
Damit Ihre Ressourcen optimal genutzt werden, empfiehlt es sich, einige Computer für
mehrere Funktionen bei der verteilten Verarbeitung einzusetzen.
• Dienstknoten und Cluster-Steuerung: In einer klein bemessenen Konfiguration kann
einer der Dienstknoten in einem Cluster auch als Cluster-Steuerung dienen, sodass
er beide Funktionen übernimmt. In einem Cluster mit einer Vielzahl von Dienstknoten
sind die Verarbeitungsanforderungen an die Cluster-Steuerung jedoch u. U. so groß,
dass die gleichzeitige Verwendung eines Computers als Dienstknoten und
Cluster-Steuerung nicht effizient wäre.
• Client-Computer und Cluster-Steuerung oder Dienstknoten: Sie können einen
Client-Computer außerdem so konfigurieren, dass er als Cluster-Steuerung oder als
Dienstknoten in einem Cluster fungiert. Auch hier gilt es, Folgendes zu bedenken: Je
größer die verfügbare Verarbeitungsleistung eines Computers ist, desto schneller
kann dieser Computer Aufträge verwalten oder verarbeiten.
392 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungDie folgende Konfiguration gilt für eine Umgebung mit Desktop-Computern. Die
Verarbeitung wird als „zeitweilig“ bezeichnet, weil jeder Computer als Client-Computer
für einen Benutzer fungiert, zugleich aber auch Teil des Clusters für die verteilte
Verarbeitung ist. Der Großteil der Verarbeitungsaufträge kann mit Compressor oder Apple
Qmaster am Ende des Tages gesendet werden, sodass die Computer eine lange Liste von
Stapeln für die verteilte Verarbeitung verarbeiten, nachdem die Benutzer gegangen sind.
(Weitere Informationen zur Planung der Verfügbarkeit von Dienstknoten finden Sie unter
Erweiterte Einstellungen im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ und Planen der
Dienstverfügbarkeit im Dialogfenster „Arbeits-Zeitplan“.)
Network
FireWire
drive
FireWire
drive
FireWire
drive
FireWire
drive
FireWire
drive
Each computer acts as both
a client that submits jobs for processing and
a service node that performs the processing.
All source and output files are stored on the FireWire drives.
In der hier gezeigten Beispielkonfiguration dienen fünf Computer sowohl als Clients
(Client-Computer, von denen Benutzer Aufträge für die verteilte Verarbeitung senden)
als auch als Cluster-Computer (führen die Verarbeitungen aus). Jeder Computer besitzt
ein zusätzliches Volume, wie z. B. ein FireWire-Laufwerk, das für Medien vor und nach
dem Rendervorgang sowie für die verknüpften Dateien verwendet wird.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 393Für anspruchsvolle Renderaufgaben könnte ein Netzwerk eine Anzahl von
Client-Computern in einem LAN umfassen, die über einen Hochgeschwindigkeits-Switch
mit einem Cluster verbunden sind. Ein Rack mit Servern plus ein freigegebenes
Massenspeichergerät, die zusammen als Cluster fungieren, würde ein besonders
leistungsfähiges Render-Modul darstellen. Die Dienstknoten hätten jeweils eine lokale
Kopie der erforderlichen Client-Programmsoftware, sodass sie die Renderaufträge
verarbeiten könnten.
Client Client Client Client
Example of a network setup for distributed rendering
High-speed switches (chained together)
Rack of servers containing
cluster controller and service nodes,
plus rack-mounted shared storage device
LAN
Die Verteilung von Stapeln durch das Apple Qmaster-System
Die Apple Qmaster-Cluster-Steuerung ermittelt die effizienteste Nutzung der
Cluster-Ressourcen. Sie bestimmt dies auf Grundlage der Verfügbarkeit jedes Dienstknotens
und der Anzahl der trennbaren Teile (nachfolgend beschrieben) des Stapels.
Da Apple Qmaster einzelne Stapel auf verschiedene Dienstknoten verteilt, wird die Arbeit
geteilt und schneller ausgeführt. Weil mit dieser Methode alle Dienstknoten bestmöglich
genutzt werden, vermeiden Sie eine zu geringe Auslastung Ihrer Ressourcen.
394 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungStapel können auf eine oder beide der folgenden Weisen von der Cluster-Steuerung an
einen Cluster verteilt werden. (Apple Qmaster bestimmt, welche Vorgehensweise abhängig
von den Umständen am effektivsten für den jeweiligen Stapel ist.)
• Der Stapel wird in Datensegmente unterteilt: Bei einem Renderstapel könnte die
Cluster-Steuerung die Bilder beispielsweise in Gruppen (Segmente) unterteilen. Jedes
Segment würde parallel auf den Dienstknoten im Cluster verarbeitet werden.
• Der Stapel wird in Aufgaben unterteilt: Bei einem Renderstapel könnte die
Cluster-Steuerung die zu rendernden Daten beispielsweise in verschiedene
Verarbeitungsaufgaben unterteilen. Die unterschiedlichen Aufgaben würden dann auf
unterschiedlichen Dienstknoten ausgeführt werden.
Anstelle Segmente tatsächlich zu bewegen, informiert Apple Qmaster die Dienstknoten
darüber, welche Segmente über das Netzwerk gelesen werden sollen, wo diese zu finden
sind und was damit geschehen soll. Unten finden Sie ein Beispiel dazu, wie ein Stapel in
einem Apple Qmaster-System verarbeitet werden könnte.
Batch submitted by
Compressor or
Apple Qmaster (job request
for frames 1–30)
Cluster controller
divides and distributes
job to available
service nodes
Service node 1 Service node 2 Service node 3
Instructions specifying
locations of source files
and frames 11–20
Instructions specifying
locations of source files
and frames 21–30
Instructions specifying
locations of source files
and frames 01–10
Processed file (frames 1-30)
placed in specified
destination
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 395Bei der Verteilung von Stapeln verwendet Apple Qmaster die in Mac OS X integrierte
Technologie zum Suchen von Diensten in einem Cluster im gleichen IP-Teilnetzwerk und
zum dynamischen Austauschen von Informationen. Da die Computer ihren aktuellen
Verfügbarkeitsstatus für die Verarbeitung fortlaufend übertragen können, kann Apple
Qmaster die Arbeit gleichmäßig im Cluster verteilen (Lastausgleich).
Andere mögliche Komponenten eines Netzwerks mit verteilter
Verarbeitung
Ein Netzwerk mit verteilter Verarbeitung kann aus nur einem oder zwei Computern
bestehen. Ein umfangreiches Netzwerk kann sich dagegen aus einer Vielzahl von
Computern, einem Xserve-System und Xserve-Cluster-Knoten in einem Rack sowie den
Komponenten für ein schnelles Netzwerk zusammensetzen. Sie können ein System für
die verteilte Verarbeitung bei gestiegenen Leistungsanforderungen erweitern, indem Sie
dem zugehörigen Netzwerk Funktionen und Geräte hinzufügen.
Es gibt viele Möglichkeiten, die Kapazität eines Netzwerks mit verteilter Verarbeitung zu
erweitern. Folgendes kann hinzugefügt werden:
• Hochgeschwindigkeits-Switch mit Kabeln: Ein 100BASE-T oder Gigabit-Ethernet-Switch
mit kompatiblen Kabeln, mit dem Ihre Daten mit Höchstgeschwindigkeit im LAN
übertragen werden können.
• Mehrere Clients: Mehrere Client-Computer können die Dienste des gleichen Clusters
verwenden. Außerdem können Sie mehrere Client-Programme, die den gleichen Cluster
verwenden, auf einem Computer installieren.
• Mehrere Cluster: Abhängig davon, wie umfangreich Ihr Netzwerk ist und wie viele Clients
integriert sind, möchten Sie die verfügbaren Computer vielleicht aufteilen und mehrere
Cluster erstellen, um Dienste für verschiedene Clients bereitzustellen. (Benutzer wählen
den Zielcluster für einen Stapel aus, wenn sie den Stapel senden.)
• Mehrere Dienstknoten: Im Allgemeinen bedeutet eine größere Zahl von Dienstknoten
eine größere Verarbeitungsleistung. Bei der Entscheidung, wie viele Dienstknoten ein
Cluster haben soll, sollten Sie das Verhältnis zwischen der
Datenübertragungsgeschwindigkeit und Verarbeitungsgeschwindigkeit berücksichtigen.
Wenn der Verarbeitungsbedarf größer ist als der Netzwerkbedarf für die Übertragung
der Auftragssegmente innerhalb des Clusters, wie dies z. B. beim Rendern der Fall ist,
empfiehlt sich eine größere Anzahl von Dienstknoten. Wenn der Verarbeitungsbedarf
pro Auftrag eher im Bereich des Netzwerkbedarfs liegt, ist eine kleinere Anzahl von
Dienstknoten pro Cluster u. U. die effizientere Lösung. Wenn Sie das Apple
Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung mit anderen Programmen als Shake oder
Compressor verwenden, lesen Sie bitte im Benutzerhandbuch des entsprechenden
Programms nach, wie die Anzahl an Dienstknoten optimiert werden kann.
396 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung• Massenspeichergerät: Ein Massenspeichergerät, wie z. B. ein entferntes Volume oder
eine Gruppe von Festplatten-Arrays, kann als Cluster-Arbeitsvolume verwendet werden.
Hierbei handelt es sich um einen Ort für die kurzzeitige Speicherung temporärer Daten,
die von der Cluster-Steuerung, von Clients und von Dienstknoten erzeugt werden. (Sie
können den Speicherort auf dem Arbeitsvolume im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“
in Compressor festlegen. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erweiterte
Einstellungen im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ und Verwenden des
Cluster-Speichers.) Alternativ kann ein Massenspeichergerät als endgültiges Ziel für die
verarbeiteten Dateien verwendet werden.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Beispiele für ein Netzwerk für die verteilte
Verarbeitung.
Schneller Einstieg mit der Option „Dieser Computer und“
Die in Compressor verfügbare Option „Dieser Computer und“ ermöglicht Ihnen auf
einfache Weise, die von Apple Qmaster angebotene verteilte Verarbeitung zu nutzen.
Die Funktion setzt kein umfangreiches Wissen hinsichtlich der Konfiguration von Clustern,
dem Einrichten der Dateifreigabe u. ä. voraus.
Das Verwenden der Option „Dieser Computer und“ ist ein zweistufiger Prozess:
• Erstellen von Apple Qmaster-Dienstknoten in Compressor auf den Netzwerkcomputern
• Auswählen der Option „Dieser Computer und“ beim Senden eines Compressor-Stapels
zur verteilten Verarbeitung
Diese zwei Schritte ermöglichen Ihnen, sich die Verarbeitungsleistung einer beliebigen
Anzahl von Computern in Ihrem Netzwerk zu Nutzen zu machen, ohne dass Sie dazu
noch etwas wissen oder tun müssen.
Hinweis: Innerhalb eines Systems für die verteilte Verarbeitung müssen die
Versionsnummern von Compressor, QuickTime und Mac OS übereinstimmen.
• Schritt 1: Erstellen von Dienstknoten
• Schritt 2: Senden von Compressor-Stapeln zur Verarbeitung
Schritt 1: Erstellen von Dienstknoten
Nachdem Sie Compressor auf einem Computer installiert haben, den Sie als Dienstknoten
verwenden möchten, müssen Sie den Computer im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“
konfigurieren.
Computer als Dienstknoten konfigurieren
1 Wählen Sie in Compressor „Apple Qmaster“ > „Diesen Computer freigeben“.
Das Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ wird angezeigt.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 3972 Wählen Sie „Diesen Computer freigeben“ und „als nur Dienste“ aus.
3 Wählen Sie „Compressor“ im Abschnitt „Dienste“ aus. Vergewissern Sie sich, dass die
Option zur ausschließlichen Verwendung dieser Dienste in verwalteten Clustern nicht
markiert ist.
4 Klicken Sie auf „OK“.
Der Computer steht nun für Compressor zur Verfügung und kann als nicht verwalteter
Dienstknoten verwendet werden. Darüber hinaus kann er auch von Final Cut Pro und
Motion verwendet werden, wenn Sie „Dieser Computer und“ in einem der Menübefehle
des Menüs „Bereitstellen“ dieser Programme auswählen.
Schritt 2: Senden von Compressor-Stapeln zur Verarbeitung
Wenn Sie einen Compressor-Stapel zur Verarbeitung senden, wird ein Dialogfenster
angezeigt. Darin können Sie einen Namen für den Stapel vergeben und festlegen, welche
Computer den Stapel verarbeiten sollen. An dieser Stelle können Sie die
Verarbeitungsleistung sämtlicher Computer nutzen, die Sie in Schritt 1 als Dienstknoten
konfiguriert haben, um den Stapel zu verarbeiten.
Stapel mithilfe von „Dieser Computer und“ verarbeiten
1 Lassen Sie im Einblendmenü „Cluster“ die voreingestellte Auswahl (Dieser Computer)
unverändert.
2 Markieren Sie das Feld „Dieser Computer und“.
Compressor und Apple Qmaster stimmen die Verteilung der Verarbeitungsaufgaben
zwischen den verfügbaren Computern ab und legen die Ausgabedateien an dem bzw.
den von Ihnen in Compressor angegebenen Speicherort(en) ab.
398 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungSchneller Einstieg mit der Option „QuickCluster“
QuickCluster bieten eine einfache und automatisierte Möglichkeit, Cluster zu erstellen
und zu konfigurieren. Außerdem stellen sie eine Alternative zur manuellen Erstellung und
Konfiguration von Clustern mit Apple Qadministrator dar. QuickCluster mit aktivierter
Unterstützung für nicht verwaltete Dienste konfigurieren sich automatisch selbst und
verwenden alle verfügbaren nicht verwalteten Dienste im gleichen lokalen Netzwerk
(Teilnetzwerk). QuickCluster suchen nach Ankündigungen nicht verwalteter Dienste und
markieren oder speichern diese möglicherweise für eine spätere Verwendung.
Das Apple Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung verfügt über
Standardeinstellungen, mit deren Hilfe Sie die verteilte Verarbeitung sofort einsetzen
können.
• Schritt 1: Installieren der Software
• Schritt 2: Konfigurieren eines QuickClusters
• Schritt 3: Hinzufügen von Dienstknoten zum Cluster
• Schritt 4: Erstellen und Senden eines Stapels
Schritt 1: Installieren der Software
Installieren Sie Compressor auf den Computern, die in Ihr Netzwerk für die verteilte
Verarbeitung aufgenommen werden sollen.
Software installieren
1 Installieren Sie Compressor als Client auf mindestens einem Computer in Ihrem Netzwerk.
Damit Aufträge und Stapel an das System für die verteilte Verarbeitung gesendet werden
können, müssen Sie Client- (Software (zum Senden) ausführen (Compressor oder Apple
Qmaster).
2 Installieren Sie Compressor auf jedem Computer, der für die verteilte Verarbeitung
verwendet werden soll. (Alle Computer müssen sich im gleichen Teilnetzwerk befinden.)
Hinweis: Innerhalb eines Systems für die verteilte Verarbeitung müssen die
Versionsnummern von Compressor, QuickTime und Mac OS übereinstimmen.
Schritt 2: Konfigurieren eines QuickClusters
Verwenden Sie das Fenster „Apple Qmaster - Sharing“, um die Cluster-Steuerung und die
Dienstknoten-Computer zu konfigurieren.
Cluster-Steuerung und die Dienstknoten-Computer konfigurieren
1 Wählen Sie in Compressor „Apple Qmaster“ > „Diesen Computer freigeben“.
Das Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ wird angezeigt.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 3992 Markieren Sie das Feld „Diesen Computer freigeben“.
Alle anderen Einstellungen in diesem Fenster müssten standardmäßig richtig sein:
• Die Option „als QuickCluster mit Diensten“ muss aktiviert sein.
• „Rendern“ darf nicht aktiviert sein.
• „Compressor“ muss aktiviert sein.
• Die Option zur ausschließlichen Verwendung dieser Dienste in verwalteten Clustern
darf nicht markiert sein.
• Im Textfeld „Diesen QuickCluster identifizieren als“ wird ein Standardname für diesen
QuickCluster angezeigt.
• Die Option „Inklusive nicht verwalteter Dienste von anderen Computern“ darf nicht
markiert sein.
• Die Option „Kennwort erforderlich“ darf nicht markiert sein.
Weitere Informationen zu diesen Einstellungen finden Sie unter Grundlegende
Einstellungen im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“.
3 Klicken Sie auf „OK“.
Nun wird ein QuickCluster mit diesem Computer als Steuerung und mit einer Instanz der
Verarbeitungsdienste erstellt. Informationen zu mehreren Instanzen von Diensten finden
Sie unter Verwenden virtueller Cluster zur optimalen Nutzung von Multicore-Computern.
Schritt 3: Hinzufügen von Dienstknoten zum Cluster
Führen Sie die folgenden Schritte auf jedem Computer aus, der zu einem nicht verwalteten
Dienstknoten in Ihrem Cluster werden soll.
Dienstknoten zum Cluster hinzufügen
1 Wählen Sie in Compressor „Apple Qmaster“ > „Diesen Computer freigeben“.
Das Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ wird angezeigt.
2 Wählen Sie „Diesen Computer freigeben“ und „als nur Dienste“ aus.
400 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungAlle anderen Einstellungen in diesem Fenster müssten standardmäßig richtig sein:
• „Rendern“ und „Compressor“ müssen aktiviert sein.
• Die Option zur ausschließlichen Verwendung dieser Dienste in verwalteten Clustern
darf nicht markiert sein.
• Alle anderen Einstellungen sind deaktiviert.
Weitere Informationen zu diesen Einstellungen finden Sie unter Grundlegende
Einstellungen im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“.
3 Klicken Sie auf „OK“.
Auf diese Weise wird ein Dienstknoten erstellt, der automatisch Aufträge verarbeitet, die
an den im Abschnitt Schritt 2: Konfigurieren eines QuickClusters konfigurierten
QuickCluster gesendet wurden.
Schritt 4: Erstellen und Senden eines Stapels
Erstellen Sie im Fenster „Stapel“ in Compressor oder im Apple Qmaster-Fenster einen
Stapel mit einem oder mehreren Aufträgen. Weitere Informationen finden Sie unter
Fertigstellen von Aufträgen und Senden von Stapeln oder im Apple Qmaster User Manual
.
Stapel senden
1 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Wenn Sie Compressor verwenden: Klicken Sie im Fenster „Stapel“ von Compressor auf
„Senden“ und wählen Sie im daraufhin angezeigten Dialogfenster den Cluster, den Sie
in Schritt 2 erstellt haben, aus dem Einblendmenü „Cluster“ aus.
• Wenn Sie Apple Qmaster verwenden: Wählen Sie im Apple Qmaster-Fenster den Cluster,
den Sie in Schritt 2 erstellt haben, aus dem Einblendmenü „Senden an“ aus.
2 Klicken Sie auf „Senden“.
Das System für die verteilte Verarbeitung verarbeitet den Stapel.
Die Oberflächen des Apple Qmaster-Systems für die verteilte
Verarbeitung
Das Apple Qmaster-System besteht aus einer Reihe von Programmen, die gemeinsam
höchstmögliche Leistung und Flexibilität für die verteilte Verarbeitung bereitstellen. Die
Systemkomponenten können auf verschiedene Art und Weise entsprechend Ihren
Anforderungen kombiniert werden.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 401Im Allgemeinen verwenden Sie das Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ in Compressor
zum Konfigurieren von Dienstknoten und Cluster-Steuerungen sowie zum Erstellen von
Dienstknoten für „Dieser Computer und“ und QuickCluster-Systeme, die alle erforderlichen
Funktionen für die Benutzer bereitstellen. Systemadministratoren verwenden das
Programm „Apple Qadministrator“ für eine erweiterte Erstellung und Steuerung von
Clustern. Client-Computerbenutzer können Compressor oder Apple Qmaster zum Senden
von Aufträgen zur Verarbeitung senden. Administratoren und Client-Benutzer können
die Stapel mit dem Share-Monitor überwachen und verwalten.
Apple Qadministrator
Share Monitor
QuickCluster
Users: Administrators and client users
Use to: Monitor batches that have
been sent to clusters
Compressor
Users: Administrators
Use to: Create service nodes and
cluster controllers
Users: Administrators
Use to: Assemble clusters of service nodes
and cluster controllers
Compressor or Apple Qmaster
Users: Client users
Use to: Submit jobs to clusters
for processing
402 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungHinweis: Es ist auch möglich, ein einfaches (persönliches) System für eine verteilte
Verarbeitung zu erstellen und das Programm „Apple Qadministrator“ gar nicht zu
verwenden. Weitere Informationen hierzu finden Sie in unter Schneller Einstieg mit der
Option „Dieser Computer und“ und Schneller Einstieg mit der Option „QuickCluster“.
Weitere Informationen zu den erforderlichen Einstellungen finden Sie unter Fenster „Apple
Qmaster - Sharing“ in Compressor.
Apple Qadministrator
Verwenden Sie das Programm „Apple Qadministrator“ zum manuellen Erstellen und
Ändern von Apple Qmaster-Clustern. Apple Qadministrator kann auf jedem Computer
verwendet werden, der sich im gleichen Netzwerk wie der Cluster befindet, den Sie
verwalten möchten. Bei Verwendung des Administratorkennworts (falls eines erstellt
wurde) können Sie mit dem Programm „Apple Qadministrator“ zudem vorhandene Cluster
im Netzwerk anzeigen und ändern.
Hinweis: Die meisten Benutzer werden das Programm „Apple Qadministrator“ zum
Erstellen oder Verwalten von Clustern nicht benötigen, sondern stattdessen „Dieser
Computer und“ und „QuickCluster“ verwenden.
Use Apple Qadministrator to assemble clusters:
Drag available service
nodes to assign them
to a cluster.
Weitere Informationen zur Verwendung von Apple Qadministrator finden Sie im Apple
Qadministrator-Benutzerhandbuch.
Programm „Apple Qadministrator“ öffnen
µ Wählen Sie in Compressor „Apple Qmaster“ > „Cluster verwalten“.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 403Das Apple Qadministrator-Fenster wird angezeigt. Wenn für den aktuell ausgewählten
Cluster ein Kennwort erstellt wurde, können Sie den Cluster erst sehen oder ändern, wenn
Sie auf das Schlosssymbol klicken und im angezeigten Dialogfenster das Kennwort
eingeben.
404 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungCompressor und Apple Qmaster als Client-Schnittstellen
Client-Computerbenutzer können entweder Compressor oder Apple Qmaster zum Senden
von Auftragsstapeln zur Verarbeitung verwenden.
Batch Batch
Batch Batch
Use Apple Qmaster to submit
a batch to a cluster:
Cluster A
Cluster B
Network
Use Compressor to submit
a batch to a cluster:
Verwenden des Programms „Compressor“
Wählen Sie aus dem Einblendmenü „Cluster“ im Fenster „Stapel“ von Compressor einen
Cluster für einen beliebigen Stapel aus. Weitere Informationen zum Senden von Stapeln
mit Compressor finden Sie unter Senden eines Stapels.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 405Verwenden von Apple Qmaster
Sie können das Programm „Apple Qmaster“ zum Senden von Aufträgen für die verteilte
Verarbeitung von Software für digitale Effekte wie Shake, Autodesk Maya und
UNIX-Befehlszeilenprogrammen verwenden.
In Apple Qmaster können Sie einen der folgenden Arbeitsabläufe verwenden:
• Bei Shake-Verarbeitungsstapeln können Sie Shake-Dateien in das Apple Qmaster-Fenster
bewegen. Ein Standardskript für das Senden des Auftrags wird automatisch erstellt.
Anschließend können Sie in Apple Qmaster bestimmte Details festlegen (etwa den zu
verwendenden Cluster) und Anpassungen an bestimmten Einstellungen vornehmen.
• Für Maya-Stapel gibt es in Apple Qmaster ebenfalls eine spezielle Oberfläche zum
Senden und Anpassen von Maya-Aufträgen.
• Sie können den Befehl „Allgemeines Rendern“ in Apple Qmaster für die verteilte
Verarbeitung von Projekten aus anderen bildbasierten Renderprogrammen verwenden
(z. B. After Effects und LightWave).
Ausführliche Informationen über das Programm „Apple Qmaster“ finden Sie im Apple
Qmaster User Manual.
Programm „Apple Qmaster“ öffnen
µ Wählen Sie in Compressor „Apple Qmaster“ > „Renderaufträge erstellen“.
Das Apple Qmaster-Fenster wird angezeigt.
406 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungShare-Monitor
Als Administrator können Sie mit dem Programm „Share-Monitor“ den Fortschritt der
gesamten Stapelaktivität für alle Cluster in Ihrem Netzwerk verfolgen. Sie können erkennen,
wie weit fortgeschritten jeder Auftrag ist, und weitere Details anzeigen. Außerdem haben
Sie die Möglichkeit, die Stapelverarbeitung abzubrechen, zu unterbrechen und wieder
aufzunehmen. Als Client-Benutzer können Sie mit dem Share-Monitor Ihre eigenen Stapel
anzeigen und verwalten.
Cluster
Use Share Monitor to see information about batches
that have been sent to specified clusters:
Status of
batches
Status of
batches
Cluster
Network
Ausführliche Informationen zum Share-Monitor finden Sie im
Share-Monitor-Benutzerhandbuch.
Share-Monitor öffnen
Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
µ Senden Sie einen Stapel mit Compressor oder Apple Qmaster. Das Fenster „Share-Monitor“
wird abhängig von der gewählten Einstellung automatisch geöffnet.
µ Konfigurieren und senden Sie einen Auftrag unter Verwendung eines der Befehle im
Menü „Bereitstellen“ von Final Cut Pro oder Motion. Das Programm „Share-Monitor“ wird
im Dock angezeigt und kann nun geöffnet werden.
µ Klicken Sie auf die Taste „Share-Monitor“ im Apple Qmaster-Fenster oder im Fenster
„Stapel“ von Compressor.
µ Wählen Sie in Apple Qadministrator „Cluster“ > „Share-Monitor einblenden“.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 407Der Share-Monitor wird geöffnet.
Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ in Compressor
Verwenden Sie das Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ in Compressor, um Apple
Qmaster-Cluster-Steuerungs- und Verarbeitungsdienste zu aktivieren, zu erstellen oder
Änderungen daran vorzunehmen (einschließlich Kennwörter und Speicherorte auf dem
Arbeitsvolume).
Use the Apple Qmaster Sharing window of Compressor
to configure service nodes and cluster controllers:
Service
node
Cluster
controller
Ausführliche Informationen zur Verwendung des Fensters „Apple Qmaster - Sharing“ in
Compressor finden Sie unter Optionen im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ in
Compressor.
408 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungWeitere Informationen finden Sie auch im Apple Qmaster User Manual Dieses Handbuch
enthält außerdem Anleitungen zur Erstellung eines Clusters mit erweiterten Knoten, auf
dessen Knoten Apple Qmaster nicht installiert ist.
Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ in Compressor öffnen
1 Öffnen Sie Compressor.
2 Wählen Sie „Apple Qmaster“ > „Diesen Computer freigeben“.
Das Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ wird angezeigt.
Nehmen Sie die entsprechenden Einstellungen in den Bereichen „Konfiguration“ und
„Erweitert“ vor und klicken Sie auf „OK“, um die Einstellungen anzuwenden.
Wichtig: Wenn Sie Änderungen an bestehenden Einstellungen vornehmen und dieser
Computer bereits Verarbeitungsdienste bereitstellt, werden die Dienste des betreffenden
Computers sofort nach dem Klicken auf „OK“ zurückgesetzt. Handelt es sich bei diesem
Computer um die Cluster-Steuerung, werden alle aktuellen Aufträge abgebrochen.
Grundlegende Einstellungen im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“
Im Bereich „Konfiguration“ des Fensters „Apple Qmaster - Sharing“ können Sie Ihr System
für die verteilte Verarbeitung konfigurieren.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 409Einstellungen für die Freigabe
• Diesen Computer freigeben: Markieren Sie dieses Feld, um diesen Computer mit einer
der folgenden drei Optionen freizugeben. Entfernen Sie die Markierung, wenn dieser
Computer nicht freigegeben werden soll.
• Als QuickCluster mit Diensten: Wählen Sie diese Option, um sofort einen Cluster mit
nicht verwalteten Diensten zu erstellen. Weitere Informationen hierzu finden Sie
unter Schneller Einstieg mit der Option „QuickCluster“.
• Als Dienste und Cluster-Steuerung: Markieren Sie dieses Feld, um diesen Computer
als Cluster-Steuerung zu definieren, wenn Sie in Apple Qadministrator einen Cluster
aufbauen. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen von Clustern mit
Apple Qadministrator.
• Als nur Dienste: Wählen Sie diese Option, um Ihren Computer nur als Dienstknoten
zu verwenden. Dienstknoten dienen zur Verarbeitung von Stapeln. Sie können in
„Dieser Computer und“-Cluster, QuickCluster oder in verwaltete Cluster integriert
werden. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Verwaltete Dienste im Vergleich
zu nicht verwalteten Diensten.
Einstellungen im Abschnitt „Dienste“
• Rendern: Verwenden Sie dieses Feld, um den Dienst „Rendern“ zu aktivieren bzw. zu
deaktivieren. Klicken Sie auf die Taste „Optionen“, um ein Fenster zu öffnen, in dem Sie
die Anzahl der Instanzen eines Verarbeitungsdiensts anzupassen. Weitere Informationen
hierzu finden Sie unter Verwenden virtueller Cluster zur optimalen Nutzung von
Multicore-Computern.
• Compressor: Verwenden Sie dieses Feld, um den Dienst „Compressor“ zu aktivieren
bzw. zu deaktivieren. Klicken Sie auf die Taste „Optionen“, um ein Fenster zu öffnen, in
dem Sie die Anzahl der Instanzen eines Verarbeitungsdiensts anzupassen. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Verwenden virtueller Cluster zur optimalen
Nutzung von Multicore-Computern.
• Diese Dienste werden nur in verwalteten Clustern benötigt: Mithilfe dieses Felds können
Sie festlegen, ob ein freigegebener Dienst nicht verwaltet (Standardeinstellung) oder
verwaltet wird. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Verwaltete Dienste im
Vergleich zu nicht verwalteten Diensten.
Einstellungen für QuickCluster
• Diesen QuickCluster identifizieren als: In diesem Feld können Sie den Namen für einen
QuickCluster ändern. Weitere Informationen über QuickCluster finden Sie unter Schneller
Einstieg mit der Option „QuickCluster“.
410 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung• Inklusive nicht verwalteter Dienste von anderen Computern: Markieren Sie dieses Feld,
damit dieser QuickCluster automatisch die verfügbaren nicht verwalteten Computer
in Ihrem Netzwerk für die verteilte Verarbeitung verwendet. Weitere Informationen zu
dieser Option finden Sie unter Verwaltete Dienste im Vergleich zu nicht verwalteten
Diensten.
Einstellungen für die Sicherheit
• Kennwort erforderlich: Wenn Sie steuern möchten, wer einen bestimmten Dienstknoten
oder eine Cluster-Steuerung in einen Cluster integrieren kann, markieren Sie dieses
Feld und geben Sie im daraufhin angezeigten Dialogfenster ein Kennwort ein. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Festlegen eines Dienstkennworts für die
Integration eines Computers in einen Cluster.
Erweiterte Einstellungen im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“
Im Bereich „Erweitert“ des Fensters „Apple Qmaster - Sharing“ können Sie Ihr System für
die verteilte Verarbeitung weiter konfigurieren.
Erweiterte Diensteinstellungen
Planen Sie mithilfe dieser Funktionen die Wiederaufnahme und Verfügbarkeit der Dienste.
• Alle Dienste alle 24 Stunden neu starten: Mit dem Markierungsfeld „Alle Dienste alle 24
Stunden neu starten“ wird ein zuverlässiges System für die verteilte Verarbeitung
gewährleistet. Durch eine regelmäßige Aktualisierung der Dienste wird ein übermäßig
großer virtueller Speicher sowie unnötige Speichernutzung bei Software von
Drittanbietern vermieden.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 411• Zeitplan für nicht verwaltete Dienste festlegen: Wenn Sie nicht verwaltete Dienste aktiviert
haben, können Sie eine Kalenderoberfläche öffnen und die Verfügbarkeit dieser Dienste
für das System für die verteilte Verarbeitung planen. Informationen über die
Kalenderoberfläche finden Sie unter Planen der Dienstverfügbarkeit.
Gemeinsamer Cluster-Speicher
Konfigurieren Sie mit diesen Funktionen das Arbeitsvolume für die Cluster-Steuerung
dieses Computers. Weitere Informationen zum Cluster-Speicher finden Sie unter
Verwenden des Cluster-Speichers.
• Dateien löschen, die älter sind als N Tage: Geben Sie hier die Anzahl Tage ein, die
temporäre Prozessdateien auf dem Arbeitsvolume des Clusters verbleiben sollen, bevor
sie automatisch gelöscht werden. Wenn Sie erwarten, dass ein Umcodierungsvorgang
bis zu sieben Tage oder länger dauert, müssen Sie diesen Wert anpassen.
• Speicherort: Hier wird der temporäre Speicherort für den Cluster angezeigt. Klicken Sie
zum Auswählen eines lokalen Verzeichnisses auf „Einstellen“, um das Arbeitsvolume
für die temporären Prozessdateien des Clusters zu ändern. Weitere Informationen hierzu
finden Sie unter Verwenden des Cluster-Speichers.
Netzwerk
Konfigurieren Sie mit diesen Funktionen die Netzwerkeinstellungen.
• Über Bonjour sichtbar: Dieses Feld ist standardmäßig ausgewählt, damit das Apple
Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung die Bonjour-Netzwerktechnologie nutzt.
Sie können die Sicherheit erhöhen, indem Sie die Option „Über Bonjour sichtbar“
deaktivieren. Hierdurch wird verhindert, dass Ihr Computer über ein Bonjour-Netzwerk
erkannt wird. Für diese Funktion ist Mac OS X 10.4 (oder neuer) erforderlich.
• Netzwerkschnittstellen verwenden: Beschränken Sie die verteilte Verarbeitung auf eine
bestimmte Netzwerkschnittstellenkarte, indem Sie sie aus diesem Einblendmenü
auswählen. Wenn Sie dies auf einem Dienstknoten-Computer tun, verwenden Sie
einen anderen Computer zum Senden von Compressor-Aufträgen und Stapeln.
• Portbereich aktivieren: Mit dem Feld „Portbereich aktivieren“ und den zugehörigen
Textfeldern können Sie festlegen, welche Ports Apple Qmaster für Dienstankündigungen
verwenden soll. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Definieren von Ports für
Dienstankündigungen.
Extras
Konfigurieren Sie mit diesen Funktionen zusätzliche Einstellungen.
• Dienst-Aktivität in der Datei protokollieren: Ist diese Option ausgewählt, so wird ein
Aktivitätsprotokoll erstellt und regelmäßig mit Informationen über die Apple
Qmaster-Aktionen auf diesem Computer aktualisiert. Protokolle werden im Verzeichnis
„/Library/Application Support/Apple Qmaster/Logs“ abgelegt. Wenn Sie diese Funktion
deaktivieren möchten, entfernen Sie die Markierung aus dem Feld.
412 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungHinweis: Sie können auf diese Protokollinformationen auch über die Taste „Protokoll“
in Apple Qadministrator oder durch Klicken auf „Protokoll anzeigen“ im Fenster „Infos
einblenden“ von Share-Monitor zugreifen.
• Maximal aktive Ziele: Standardmäßig kann ein Cluster bis zu 40 Ziele gleichzeitig
verarbeiten. Wenn Sie die maximale Anzahl von Zielen, die gleichzeitig zwischen zwei
oder mehr Aufträgen verarbeitet werden können, ändern wollen, geben Sie eine Zahl
von 1 bis 999 ein.
• Diesen Computer bei Qadministrator identifizieren als: Ein Computer wird standardmäßig
anhand seines Computernamens im Netzwerk identifiziert (wie dieser in der
Systemeinstellung „Freigaben“ eingegeben wurde). Sie können diesen Namen falls
gewünscht in eine aussagekräftigere Bezeichnung ändern, da der Computer damit im
Programm „Apple Qadministrator“ identifiziert wird. Wenn Sie eine verwaltete
Cluster-Steuerung einrichten, wird dieser Name im Einblendmenü „Steuerung“ in Apple
Qadministrator angezeigt.
Allgemeine Informationen zu Clustern
Nach der Konfiguration Ihres Netzwerks und der Installation der erforderlichen
Komponenten können Sie mit der Erstellung von Clustern für eine verteilte Verarbeitung
beginnen.
Es gibt drei Ansätze zum Erstellen eines Clusters:
• Verwenden der Option „Dieser Computer und“: Die Verwendung der Option „Dieser
Computer und“ für die Clustererstellung ist der einfachste Ansatz zum Erstellen eines
Systems für die verteilte Verarbeitung. Hierfür müssen Sie lediglich Compressor auf
allen Computern, die Verarbeitungsaufgaben übernehmen sollen, installieren (als
Dienstknoten konfiguriert). Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Schneller
Einstieg mit der Option „Dieser Computer und“.
• Erstellen eines QuickCluster: Wenn Sie einen QuickCluster erstellen, können Sie sehr
schnell ein System für die verteilte Verarbeitung definieren, das einen eigenen Computer
als Cluster-Steuerung verwendet (“Dieser Computer und“-Cluster verwenden den
Computer und, von dem der Stapel gesendet wird, auch als Cluster-Steuerung). Dies
ist besonders nützlich, wenn mehrere Clients Aufträge an den Cluster senden. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Schneller Einstieg mit der Option „QuickCluster“.
• Manuelles Erstellen eines Clusters: In großen Computerumgebungen können Cluster für
die Client-Computer manuell erstellt werden. Weitere Informationen hierzu finden Sie
unter Erstellen von Clustern mit Apple Qadministrator.
Bei Fragen zu hier verwendeten Konzepten und Begriffen lesen Sie den Abschnitt
Grundlagen der verteilten Verarbeitung.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 413Hinweis: Wenn Sie ein Apple Qmaster-Benutzer sind und einen Cluster mit Computern
erstellen möchten, auf denen Apple Qmaster nicht installiert ist, finden Sie im Apple
Qmaster User Manual Anleitungen hierzu.
Optionen im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ in Compressor
Im Folgenden finden Sie optionale Einstellungen, die Sie verwenden können.
Wichtig: Wenn Sie Änderungen an bestehenden Einstellungen vornehmen und dieser
Computer bereits Verarbeitungsdienste bereitstellt, werden die Dienste des betreffenden
Computers sofort nach dem Klicken auf „OK“ zurückgesetzt. Handelt es sich bei diesem
Computer um die Cluster-Steuerung, werden alle aktuellen Aufträge abgebrochen.
Eine vollständige Liste aller Optionen und Einstellungen im Fenster „Apple Qmaster -
Sharing“ in Compressor finden Sie unter Grundlegende Einstellungen im Fenster „Apple
Qmaster - Sharing“ und Erweiterte Einstellungen im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“.
Festlegen des Namens
Ein Computer wird standardmäßig anhand seines Computernamens im Netzwerk
identifiziert (wie dieser in der Systemeinstellung „Freigaben“ eingegeben wurde). Sie
können diesen Namen falls gewünscht in eine aussagekräftigere Bezeichnung ändern,
da der Computer damit im Apple Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung identifiziert
wird. Wenn Sie einen QuickCluster einrichten, wird dieser Name im Einblendmenü „Cluster“
in Compressor oder im Einblendmenü „Senden an“ in Apple Qmaster angezeigt. Wenn
Sie eine verwaltete Cluster-Steuerung einrichten, wird dieser Name im Einblendmenü
„Steuerung“ in Apple Qadministrator angezeigt.
Namen für einen QuickCluster eingeben
µ Geben Sie den Namen für den neuen Cluster in das Feld „Diesen QuickCluster identifizieren
als“ ein.
Namen für eine Cluster-Steuerung für die Verwendung mit Apple Qadministrator
eingeben
1 Klicken Sie auf „Erweitert“, um den Bereich „Erweitert“ zu öffnen.
2 Geben Sie den neuen Namen in das Feld „Diesen Computer bei Apple Qadministrator
identifizieren als“ ein.
nicht verwalteten Diensten
Sie haben die Möglichkeit, nicht verwaltete Dienste für einen QuickCluster zu aktivieren.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Verwaltete Dienste im Vergleich zu nicht
verwalteten Diensten.
414 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungFestlegen des Kennworts
Wählen Sie das Feld „Kennwort erforderlich“ aus, um eine Kennwortanforderung
hinzuzufügen.
• Wenn Sie einen QuickCluster konfigurieren,: müssen andere Benutzer dieses Kennwort
eingeben, um Anforderungen an den Computer senden zu können.
• Wenn Sie einen Cluster für die Verwendung mit Apple Qadministrator einrichten,: muss ein
Administrator dieses Kennwort eingeben, um den Computer zu einem Cluster
hinzufügen zu können.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Festlegen eines Dienstkennworts für die
Integration eines Computers in einen Cluster. (Wird der Computer als Cluster-Steuerung
und Dienstknoten konfiguriert, wird das Kennwort für beides verwendet.)
Festlegen von Cluster-Massenspeicher
Im Bereich „Erweitert“ können Sie das standardmäßige Arbeitsvolume für die Verarbeitung
ändern, die auf diesem Computer ausgeführt wird. Weitere Informationen hierzu finden
Sie unter Verwenden des Cluster-Speichers.
Verwaltete Dienste im Vergleich zu nicht verwalteten Diensten
Sie können bei der Erstellung von Clustern für die verteilte Verarbeitung mit Compressor
oder Apple Qmaster flexibel vorgehen. Wenn Sie Verarbeitungsdienste konfigurieren,
können Sie diese wahlweise als verwaltete oder nicht verwaltete Dienste (Standard)
definieren.
Verwaltete Dienste
Verwaltete Dienste können einer bestimmten Cluster-Steuerung zugewiesen werden.
Nach der Zuweisung bleiben verwaltete Dienste ausschließlich für diesen Cluster reserviert,
bis sie mithilfe des Programms „Apple Qadministrator“ entfernt werden. QuickCluster
können keine verwalteten Dienste von anderen Knoten verwenden, außer im Fall von
Clustern mit erweiterten Knoten. Weitere Informationen hierzu finden Sie im Apple
Qadministrator-Benutzerhandbuch. Im Apple Qmaster User Manual finden Sie weitere
Informationen über Cluster mit erweiterten Knoten.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 415nicht verwalteten Diensten
Nicht verwaltete Dienste ordnen sich automatisch dem ersten verfügbaren „Dieser
Computer und“-Cluster oder QuickCluster mit aktivierter Unterstützung für nicht verwaltete
Dienste zu. QuickCluster suchen nach Ankündigungen nicht verwalteter Dienste und
markieren oder speichern diese möglicherweise für eine spätere Verwendung. Ein nicht
verwalteter Dienst bleibt nur so lange seinem „Dieser Computer und“- oder
QuickCluster-Cluster zugeordnet, bis der aktuelle Auftrag abgeschlossen ist. Nach
Beendigung des aktuellen Auftrags wird der nicht verwaltete Dienst wieder unabhängig
und kündigt seine Verfügbarkeit allen „Dieser Computer und“-Clustern und QuickClustern
an.
Hinweis: Verwaltete Cluster (die mit Apple Qadministrator erstellten Cluster) können auch
nicht verwaltete Dienste verwenden. Wenn die Option für nicht verwaltete Dienste auf
einem verwalteten Cluster aktiviert wird, fügt der Cluster automatisch alle verfügbaren
nicht verwalteten Dienste zu seinen verwalteten Diensten hinzu (die mithilfe von Apple
Qadministrator explizit hinzugefügt wurden).
Aktivieren nicht verwalteter Dienste auf QuickClustern
Befolgen Sie diese Schritte, um nicht verwaltete Dienste auf QuickClustern zu aktivieren.
Nicht verwaltete Dienste auf QuickClustern aktivieren
1 Wählen Sie in Compressor „Apple Qmaster“ > „Diesen Computer freigeben“.
2 Markieren Sie das Feld „Diesen Computer freigeben“ und die Option „als QuickCluster
mit Diensten“, um einen QuickCluster zu erstellen.
3 Wählen Sie „Inklusive nicht verwalteter Dienste von anderen Computern“ aus.
4 Klicken Sie auf „OK“.
Weitere Informationen zum Erstellen von QuickClustern finden Sie unter Schneller Einstieg
mit der Option „QuickCluster“.
Aktivieren nicht verwalteter Dienste auf verwalteten Clustern
Befolgen Sie diese Schritte, um nicht verwaltete Dienste auf verwalteten Clustern zu
aktivieren.
Nicht verwaltete Dienste auf verwalteten Clustern aktivieren
1 Wählen Sie im Programm „Apple Qadministrator“ einen Cluster in der Liste „Cluster“ aus
oder klicken Sie auf die Taste „Hinzufügen“ (+), um einen neuen Cluster hinzuzufügen.
2 Wählen Sie „Verwendung von nicht verwalteten Diensten erlauben“ aus.
416 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungWeitere Informationen zum Erstellen von verwalteten Clustern finden Sie unter Erstellen
von Clustern mit Apple Qadministrator.
Verwalten von Verarbeitungsdiensten
Befolgen Sie die Anleitungen unten, um Verarbeitungsdienste auf einem Computer im
Cluster zur verwalten.
Wichtig: Wenn Sie Änderungen an bestehenden Einstellungen vornehmen und dieser
Computer bereits Verarbeitungsdienste bereitstellt, werden die Dienste des betreffenden
Computers sofort nach dem Klicken auf „OK“ zurückgesetzt. Handelt es sich bei diesem
Computer um die Cluster-Steuerung, werden alle aktuellen Aufträge abgebrochen.
Verwaltete Verarbeitungsdienste einrichten
1 Wählen Sie in Compressor „Apple Qmaster“ > „Diesen Computer freigeben“.
2 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Markieren Sie die Option zur ausschließlichen Verwendung dieser Dienste in verwalteten
Clustern, um diesen Computer nur in verwalteten Clustern zu verwenden.
• Deaktivieren Sie die Option zur ausschließlichen Verwendung dieser Dienste in
verwalteten Clustern, um diesen Computer sowohl in nicht verwalteten als auch in
verwalteten Clustern zu verwenden.
3 Klicken Sie auf „OK“.
Verarbeitungsdienste deaktivieren
1 Wählen Sie in Compressor „Apple Qmaster“ > „Diesen Computer freigeben“.
2 Führen Sie im Abschnitt „Dienste“ einen der folgenden Schritte aus:
• Compressor-Dienste deaktivieren: Deaktivieren Sie das Feld „Compressor“.
• Apple Qmaster-Dienste deaktivieren: Deaktivieren Sie das Feld „Rendern“.
3 Klicken Sie auf „OK“.
Aktivieren oder Deaktivieren von Cluster-Steuerungsdiensten
Verwenden Sie den Bereich „Dienste“ im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ von
Compressor, um die Cluster-Steuerung auf einem bestimmten Computer zu aktivieren
oder zu deaktivieren.
Cluster-Steuerungsdienste aktivieren
1 Wählen Sie in Compressor „Apple Qmaster“ > „Diesen Computer freigeben“, um das
Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ zu öffnen.
2 Markieren Sie das Feld „Diesen Computer freigeben“ und aktivieren Sie eine der folgenden
Optionen:
• Als QuickCluster mit Diensten: Wählen Sie diese Option, um sofort einen Cluster mit
nicht verwalteten Diensten zu erstellen.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 417• Als Dienste und Cluster-Steuerung: Wählen Sie diese Option, um einen Cluster mit Apple
Qadministrator zu erstellen. (Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Erstellen
von Clustern mit Apple Qadministrator.)
Im Abschnitt Verwaltete Dienste im Vergleich zu nicht verwalteten Diensten finden Sie
weitere Informationen hierzu.
3 Markieren Sie im Abschnitt „Dienste“ die Felder „Rendern“ und/oder „Compressor“.
4 Klicken Sie auf „OK“.
Der Cluster wird aktiviert, wodurch dieser Computer zu einer Cluster-Steuerung wird.
Cluster-Steuerungsdienste deaktivieren
1 Wählen Sie in Compressor „Apple Qmaster“ > „Diesen Computer freigeben“, um das
Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ zu öffnen.
2 Entfernen Sie die Markierung aus dem Feld „Diesen Computer freigeben“ und klicken Sie
auf „OK“.
Wichtig: Wenn Sie Änderungen an bestehenden Einstellungen vornehmen und dieser
Computer bereits Verarbeitungsdienste bereitstellt, werden die Dienste des betreffenden
Computers sofort nach dem Klicken auf „OK“ zurückgesetzt. Handelt es sich bei diesem
Computer um die Cluster-Steuerung, werden alle aktuellen Aufträge abgebrochen.
Wahlweise können Sie die Steuerung auch ganz ausschalten und den Knoten zum
Dienstknoten machen. Aktivieren Sie hierzu die Option „als nur Dienste“ im Abschnitt
„Diesen Computer freigeben“.
Verwenden virtueller Cluster zur optimalen Nutzung von
Multicore-Computern
Sie können die Anzahl der Instanzen eines Verarbeitungsdiensts anpassen, indem Sie
virtuelle Cluster auf einzelnen Computern einrichten. Bei prozessorintensiven Arbeiten
können mehrere Instanzen je nach Verarbeitungsprogramm zu einer erhöhten
Geschwindigkeit und Effizienz führen. Zu viele Instanzen können jedoch das Gegenteil
bewirken und die Geschwindigkeit und die Effizienz senken.
Im Allgemeinen gilt folgende Faustregel: für jede Instanz sollten zwei GB Speicher
vorgesehen werden. Wenn Sie einen Computer mit 8 GB Speicher haben, der im
Einblendmenü acht Instanzen anbietet, erreichen Sie in der Regel gute Ergebnisse, wenn
Sie vier Instanzen auswählen. Dieser Wert kann jedoch stark variieren und hängt davon
ab, ob der Computer auch für andere Aufgaben verwendet wird.
418 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungHinweis: Das Apple Qmaster-System erstellt standardmäßig eine Render-Dienstinstanz
für jeden Prozessor. Render-Dienste werden von Shake (mit Apple Qmaster), Autodesk
Maya und anderen UNIX-basierten Befehlszeilenprogrammen genutzt. Im Gegensatz dazu
sind Compressor-Dienste ausschließlich für die verteilte Verarbeitung in Compressor
bestimmt. In der mit dem jeweiligen Programm gelieferten Dokumentation finden Sie
Informationen darüber, ob die separate Verwendung jedes Prozessors empfehlenswert
ist.
Die Anzahl der Instanzen von Verarbeitungsdiensten auf einem Computer ändern
1 Wählen Sie in Compressor „Apple Qmaster“ > „Diesen Computer freigeben“.
2 Markieren Sie im Abschnitt „Dienste“ das Feld „Compressor“ oder „Rendern“ und klicken
Sie auf die Taste „Optionen“.
3 Wählen Sie im daraufhin angezeigten Dialogfenster die gewünschte Anzahl der Instanzen
aus dem Einblendmenü und klicken Sie auf „OK“.
Choose the number
of instances from
the pop-up menu.
4 Klicken Sie im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ auf „OK“.
Hinweis: Über das Dialogfenster „Dienstoptionen“ werden außerdem erweiterte Knoten
zu einem Cluster hinzugefügt. Dieser Vorgang wird im Apple Qmaster User Manual.
Festlegen eines Dienstkennworts für die Integration eines Computers
in einen Cluster
Wenn Sie steuern möchten, wer einen bestimmten Dienstknoten oder eine
Cluster-Steuerung in einen Cluster integrieren kann, können Sie ein so genanntes
Dienstkennwort für den Computer erstellen.
Hinweis: Ein Dienstkennwort kann im Schlüsselbund eines Benutzers gespeichert werden.
Dienstkennwort festlegen oder ändern
1 Öffnen Sie auf dem Computer, der als Dienstknoten oder Cluster-Steuerung verwendet
werden soll, Compressor und wählen Sie „Apple Qmaster“ > „Diesen Computer freigeben“.
2 Führen Sie einen der folgenden Schritte aus:
• Kennwort anfordern: Markieren Sie das Feld „Kennwort erforderlich“.
• Bestehendes Kennwort ändern: Klicken Sie auf „Kennwort ändern“.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 419Das Fenster für die Kennworteingabe wird geöffnet.
3 Geben Sie ein Kennwort ein und überprüfen Sie es. Klicken Sie dann auf „OK“.
4 Klicken Sie im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ auf „OK“, um diese Änderung
anzuwenden.
Wichtig: Wenn Sie Änderungen an bestehenden Einstellungen vornehmen und dieser
Computer bereits Verarbeitungsdienste bereitstellt, werden die Dienste des betreffenden
Computers sofort nach dem Klicken auf „OK“ zurückgesetzt. Handelt es sich bei diesem
Computer um die Cluster-Steuerung, werden alle aktuellen Aufträge abgebrochen.
Planen der Dienstverfügbarkeit
Wenn Sie nicht verwaltete Dienste aktiviert haben, können Sie eine Kalenderoberfläche
öffnen und die Verfügbarkeit dieser Dienste für das System für die verteilte Verarbeitung
planen.
Die Kalenderoberfläche im Fenster „Arbeits-Zeitplan“ bietet verschiedene nützliche
Funktionen.
420 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungMithilfe der folgenden Steuerelemente können Sie die Verfügbarkeit der nicht verwalteten
Dienste für jeden Tag der Woche einschränken.
• Einblendmenü „Ein/Aus“: Mithilfe dieses Einblendmenüs können Sie die Dienste für
einen bestimmten Tag in der Woche aktivieren bzw. deaktivieren.
• Ein: Diese Einstellung legt fest, dass die Dienste 24 Stunden an einen bestimmten
Tag zur Verfügung stehen. (Das ist die Standardeinstellung für alle sieben Tage der
Woche.)
• Aus: Durch Auswahl von „Aus“ ist der Dienst an diesem Tag der Woche nicht
verfügbar.
• Ein zwischen: Durch Auswahl dieser Option können Sie den Zeitraum angeben, in
dem der Dienst verfügbar ist.
• Aus zwischen: Durch Auswahl dieser Option können Sie den Zeitraum angeben, in
dem der Dienst nicht verfügbar ist.
• Feld „Startzeit“: Geben Sie eine Startzeit ein.
• Feld „Endezeit“: Geben Sie eine Endezeit ein.
Planen der Dienstverfügbarkeit im Dialogfenster „Arbeits-Zeitplan“
Führen Sie die folgenden Schritte aus, um die Verfügbarkeit der nicht verwalteten Dienste
zu planen.
Dienstverfügbarkeit planen
1 Klicken Sie im Abschnitt „Erweiterte Diensteinstellungen“ des Bereichs „Erweitert“ der
Systemeinstellung „Apple Qmaster“ auf „Einstellen“.
Das Fenster für die Arbeitsplanung wird angezeigt.
2 Wenn Sie die Verfügbarkeit der Dienste einschränken möchten, wählen Sie eine Option
aus dem Einblendmenü neben einem bestimmten Wochentag aus. Weitere Informationen
hierzu finden Sie unter Planen der Dienstverfügbarkeit.
3 Geben Sie einen Zeitraum für die Einschränkung in die entsprechenden Felder für Startund Endezeiten ein.
Hinweis: Ihre Tages- und Zeitangaben müssen gültig sein. Innerhalb eines Eintrags ist es
nicht möglich, Zeitangaben zu machen, die in den nächsten Tag hineinreichen. Soll die
Zeitspanne nach Mitternacht enden, müssen Sie zwei Einträge vornehmen. Weitere
Informationen hierzu finden Sie unter Festlegen der Verfügbarkeit von Sonntagnacht bis
Montagmorgen.
4 Klicken Sie auf „OK“, um die Einstellungen zu sichern, und schließen Sie das Dialogfenster.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 4215 Klicken Sie auf „OK“, um die Änderungen auf diesen Computer anzuwenden.
Wichtig: Wenn Sie Änderungen an bestehenden Einstellungen vornehmen und dieser
Computer bereits Verarbeitungsdienste bereitstellt, werden die Dienste des betreffenden
Computers sofort nach dem Klicken auf „OK“ zurückgesetzt. Handelt es sich bei diesem
Computer um die Cluster-Steuerung, werden alle aktuellen Aufträge abgebrochen.
Festlegen der Verfügbarkeit von Sonntagnacht bis Montagmorgen
Ihre Tages- und Zeitangaben müssen gültig sein. Innerhalb eines Eintrags ist es nicht
möglich, Zeitangaben zu machen, die in den nächsten Tag hineinreichen. Soll die
Zeitspanne nach Mitternacht enden, müssen Sie zwei Einträge vornehmen.
Wenn Sie beispielsweise die Verfügbarkeit von Sonntag 18:00 Uhr bis Montag 8:00 Uhr
festlegen möchten, führen Sie folgende Schritte aus.
Verfügbarkeit von Sonntagnacht bis Montagmorgen festlegen
µ Machen Sie beide Angaben:
• Sonntag: Ein zwischen 18:00 bis 24:00
• Montag: Ein zwischen 00:00 bis 8:00
Verwenden des Cluster-Speichers
Das Apple Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung sichert temporäre Prozessdateien
standardmäßig im Verzeichnis „/Library/Application Support/Apple Qmaster/Storage“
auf der Cluster-Steuerung. Sie können für dieses Arbeitsvolume auch einen beliebigen
anderen Speicherort auf einem lokalen Volume wählen. Die Computer im Cluster greifen
wie erforderlich auf diesen Speicherort zu.
Anpassen der Einstellungen für den Cluster-Speicher
Befolgen Sie die nachfolgend beschriebenen Schritte, um die Einstellungen des
Arbeitsvolumes für einen Cluster zu ändern.
Einstellungen für den Cluster-Speicher ändern
1 Öffnen Sie auf der Cluster-Steuerung Compressor und wählen Sie „Apple Qmaster“ >
„Diesen Computer freigeben“.
2 Klicken Sie auf „Erweitert“, um den Bereich „Erweitert“ zu öffnen.
3 Konfigurieren Sie die folgenden optionalen Einstellungen:
• Cluster-Speicherort ändern: Klicken Sie auf die Taste „Einstellen“ neben „Speicherort“,
navigieren Sie zum gewünschten Ordner und klicken Sie auf „Auswählen“.
Hinweis: Wenn Sie die Standardeinstellung „Dieser Computer“ im Einblendmenü
„Cluster“ im Compressor-Fenster „Stapel“ verwenden und „Cluster-Speicher“ als Zielort
auswählen, wird die Ausgabedatei an den Speicherort „Original“ kopiert.
422 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung• Häufigkeit ändern, mit der Cluster-Speicherdateien gelöscht werden: Geben Sie im Feld
„Dateien löschen, die älter sind als N Tage“ einen neuen Wert ein.
Click Set to open a
dialog for choosing
a new storage folder.
Enter a new number to
change how often cluster
storage files are deleted.
4 Klicken Sie auf „OK“, um die Änderungen anzuwenden.
Wichtig: Wenn Sie Änderungen an bestehenden Einstellungen vornehmen und dieser
Computer bereits Verarbeitungsdienste bereitstellt, werden die Dienste des betreffenden
Computers sofort nach dem Klicken auf „OK“ zurückgesetzt. Handelt es sich bei diesem
Computer um die Cluster-Steuerung, werden alle aktuellen Aufträge abgebrochen.
Cluster-Speicherkapazität
Wenn Sie umfangreiche Ausgangsmediendateien verarbeiten, die größer sind als der
verfügbare Speicherplatz auf dem Startvolume, ist auf dem Volume unter Umständen
nicht genug Speicherplatz vorhanden. Sie haben eine Reihe von Möglichkeiten, dieses
Problem zu lösen.
• Ändern Sie den Cluster-Speicherort in ein Volume mit mehr verfügbarem Speicherplatz.
Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Anpassen der Einstellungen für den
Cluster-Speicher.
• Konfigurieren Sie die Einstellungen für den Cluster-Speicher so, dass Dateien häufiger
gelöscht werden. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Anpassen der
Einstellungen für den Cluster-Speicher.
• Compressor-Benutzer können in den Einstellungen „Cluster-Optionen“ (wählen Sie
„Compressor“ > „Einstellungen“) die Option „Quellmaterial nie auf den Cluster kopieren“
wählen. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Festlegen von
Compressor-Einstellungen.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 423Leeren des Cluster-Speichers
Wenn Sie einen Cluster-Speicher verwenden und es tritt ein Fehler auf, bleiben am
vorgesehenen Cluster-Speicherort unter Umständen unvollständige Dateien zurück.
Prüfen Sie den vorgesehenen Cluster-Speicherort, um sicherzustellen, dass dort keine
unvollständigen Mediendateien verbleiben. Falls Sie solche Mediendateien finden, löschen
Sie sie und senden Sie den Auftrag erneut.
QuickTime-Referenzfilme
Wenn Sie einen Referenzfilm für die verteilte Verarbeitung senden, kopiert das Apple
Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung die entsprechenden Mediendateien
automatisch auf den Verarbeitungs-Cluster. Eine optimale Leistung erzielen Sie, indem
Sie diese Dateiübertragung umgehen und dafür sorgen, dass von jedem Knoten des
Apple Qmaster-Clusters aus auf die im Referenzfilm angegebenen Mediendateien
zugegriffen werden kann.
Definieren von Ports für Dienstankündigungen
Sie können festlegen, welche Ports von Apple Qmaster für Dienstankündigungen
verwendet werden. Dies geschieht mithilfe des Markierungsfelds „Portbereich aktivieren“
und der Eingabefelder im Abschnitt „Netzwerk“ des Bereichs „Erweitert“ des Fensters
„Apple Qmaster - Sharing“ von Compressor.
Ports für Apple Qmaster-Dienstankündigungen definieren
1 Wählen Sie in Compressor „Apple Qmaster“ > „Diesen Computer freigeben“.
2 Klicken Sie auf „Erweitert“, um den Bereich „Erweitert“ zu öffnen.
3 Wählen Sie „Portbereich aktivieren“ aus.
4 Geben Sie im Feld „Von“ einen beliebigen ganzzahligen Wert zwischen 50.000 und 65.535
ein, um den Beginn des Bereichs festzulegen.
5 Geben Sie im Feld „Anzahl der Ports“ die Bereichsgröße ein (z. B. 1000).
Funktionen für Wiederherstellung und Fehlerbenachrichtigung
Das Apple Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung verfügt über zahlreiche integrierte
Funktionen speziell für Wiederherstellungsversuche im Falle von Problemen und für die
Ausgabe von Benachrichtigungen, wenn das System eine Wiederherstellung versucht.
Wiederherstellungsfunktionen
Die nachfolgend beschriebenen Wiederherstellungsschritte werden automatisch
ausgeführt, wenn es im Apple Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung zu Ausfällen
kommt. Sie als Administrator müssen diese Funktionen nicht aktivieren oder konfigurieren.
424 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungWenn ein Dienst unerwartet beendet wird
Wird entweder der Dienst der Cluster-Steuerung oder die auf einem Dienstknoten aktivierte
Verarbeitung unerwartet beendet, startet das Apple Qmaster-System für die verteilte
Verarbeitung den Dienst neu. Das System startet den ausgefallenen Dienst höchstens
vier Mal neu, um ein fortlaufendes Beenden und erneutes Starten zu verhindern. Die
ersten beiden Male wird der Dienst sofort neu gestartet. Wird der Dienst ein drittes oder
viertes Mal unerwartet beendet, startet das System ihn nur dann neu, wenn der Dienst
vor der Unterbrechung mindestens 10 Sekunden lang ausgeführt worden ist.
Wenn ein Stapel unterbrochen wird
Wenn ein Dienst während der Verarbeitung eines Apple Qmaster-Stapels unvermittelt
beendet wird, sendet die Cluster-Steuerung den unterbrochenen Stapel auf eine spezielle
Weise erneut. Damit wird vermieden, dass Stapelsegmente, die vor Beendigung des
Dienstes vollständig waren, erneut verarbeitet werden. Die Cluster-Steuerung verzögert
die erneute Aufnahme des Stapels um ungefähr eine Minute ausgehend von dem
Zeitpunkt, als der Kontakt zum Dienst verloren ging.
Wenn die Verarbeitung eines Stapels fehlschlägt
Wenn der Dienst ausgeführt, ein Stapel jedoch nicht verarbeitet wird, kommt es zu einer
Dienstausnahme. In diesem Fall sendet die Cluster-Steuerung den Stapel sofort erneut.
Die Cluster-Steuerung sendet den Stapel höchstens zwei Mal. Schlägt der Auftrag beim
dritten Senden fehl, sendet das System für die verteilte Verarbeitung den Auftrag nicht
nochmals. Der Status des Auftrags wird in Share-Monitor als „Fehlgeschlagen“ angezeigt.
Fehlerbenachrichtigung
Es gibt zwei Möglichkeiten, wie das Apple Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung
Informationen über ein Problem bereitstellen kann.
E-Mail-Benachrichtigung
Wird ein Verarbeitungsdienst unerwartet beendet, sendet Apple Qmaster eine
Benachrichtigungs-E-Mail an die Adresse, die im Apple Qadministrator-Dialogfenster
„Einstellungen“ für diesen Cluster eingegeben wurde. Wurde hier keine Adresse
eingegeben, wird die E-Mail an die Adresse gesendet, die in den Interneteinstellungen
des Computers angegeben ist, auf dem die Cluster-Steuerung aktiviert ist.
Hinweis: Apple Qmaster bietet gegenwärtig keine Unterstützung für SMTP-Server, die
eine Authentifizierung verlangen.
Protokolldateien für einzelne Aufträge oder Stapel
Schlägt ein bestimmter Auftrag oder Stapel fehl, so wird eine Protokolldatei generiert,
die diesen Ausfall beschreibt. Sie können den Namen und den Speicherort dieser
Protokolldatei im Share-Monitor finden, indem Sie den Stapel bzw. Auftrag auswählen
und auf das Symbol für die Infotaste klicken. Klicken Sie anschließend auf „Protokoll
anzeigen“.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 425Etiketten für Benachrichtigungen und Protokolle
Die folgende Tabelle enthält eine Liste der Etiketten, die in den E-Mail-Benachrichtigungen
und Protokollen verwendet werden.
Art des Verarbeitungsdiensts Etikett für Benachrichtigungen
Lokaler Compressor-Dienst servicecontroller:com.apple.stomp.transcoder
Verteilter Compressor-Dienst servicecontroller:com.apple.stomp.transcoderx
Verteilter Apple Qmaster-Dienst servicecontroller:com.apple.qmaster.executor
Erstellen von Clustern mit Apple Qadministrator
Nach der Konfiguration verwalteter Dienstknoten oder Cluster-Steuerungen sind diese
in Apple Qadministrator sichtbar. Damit können Sie Apple Qmaster-Cluster erstellen und
ändern.
Bei der Erstellung eines verwalteten Clusters mit Apple Qadministrator gibt es zwei
grundlegende Schritte. Als Erstes erstellen Sie einen neuen Cluster und wählen die
Cluster-Steuerung aus. Anschließend fügen Sie Dienstknoten zum Cluster hinzu.
• Schritt 1: Erstellen eines neuen Clusters
• Schritt 2: Zuweisen von Dienstknoten
Schritt 1: Erstellen eines neuen Clusters
Gehen Sie wie im Folgenden beschrieben vor, um einen Cluster mithilfe von Apple
Qadministrator zu erstellen. Weitere Informationen hierzu finden Sie im Apple
Qadministrator-Benutzerhandbuch.
Neuen Cluster erstellen
1 Wählen Sie in Compressor „Apple Qmaster“ > „Cluster verwalten“, um Apple Qadministrator
zu öffnen. Gehen Sie anschließend wie folgt vor:
a Klicken Sie auf die Taste „Hinzufügen“ (+).
426 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitungb Wählen Sie „Neuer Cluster“ aus und geben Sie einen Namen ein.
... then rename the
Untitled Cluster.
Click the Add button... 2 Wählen Sie aus dem Einblendmenü „Steuerung“ eine Cluster-Steuerung aus den für das
Netzwerk verfügbaren Steuerungen aus.
Use this pop-up
menu to choose
a cluster controller.
Hinweis: Wurde im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ ein Kennwort für die
Cluster-Steuerung festgelegt, wird ein Dialogfenster zur Kennwortauthentifizierung
angezeigt.
3 Legen Sie optional Cluster-Kennwörter fest, indem Sie auf den Bereich „Sicherheit“ klicken
und die gewünschten Kennwörter auswählen und eingeben.
• Administratorkennwort: Wenn Sie dieses Kennwort festlegen, müssen Sie es den
Administratoren weitergeben, damit diese den Cluster ändern und die Stapel des
Clusters im Share-Monitor anzeigen können.
• Benutzerkennwort: Wenn Sie dieses Kennwort festlegen, müssen Sie es an die Benutzer
weitergeben, damit sie Stapel an diesen Cluster senden und diese Stapel im
Share-Monitor anzeigen können.
Schritt 2: Zuweisen von Dienstknoten
Führen Sie die folgenden Schritte aus, um einem Cluster Dienstknoten zuzuweisen.
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 427Dienstknoten zum Cluster hinzufügen
1 Wenn der Qmaster-Dienst-Browser nicht bereits angezeigt wird, klicken Sie auf das
Dreiecksymbol, um ihn einzublenden.
Click this disclosure
triangle to see
available nodes.
2 Fügen Sie Dienstknoten zum neuen Cluster hinzu, indem Sie sie aus der Liste im
Qmaster-Dienst-Browser unten im Fenster nach oben in die Liste der Dienstknoten des
Clusters bewegen.
Wird neben einem Computernamen ein geschlossenes Schlosssymbol angezeigt, klicken
Sie auf das Schloss und geben Sie das Kennwort ein, das dem Computer im Fenster „Apple
Qmaster - Sharing“ in Compressor zugewiesen wurde. Andernfalls können Sie diesen
Dienstknoten nicht in den Cluster bewegen.
Dienstknoten, die bereits einem anderen Cluster zugewiesen wurden, werden nicht
angezeigt.
Drag nodes to this
list from the Service
Browser list.
Clicking this disclosure triangle
displays each instance of the
services set in the Apple Qmaster
Sharing window for this node.
428 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungHinweis: Die in der obersten Ebene der Spalte „Name“ angezeigten Computernamen
können je nach Ihrer Konfiguration in einem von drei unterschiedlichen Formaten
angezeigt werden: als Computername (z. B. „Lemur node“), als Apple-Netzwerkname (z.
B. „Lemur-node.local“) oder als Netzwerkadresse des Computers (z. B.
„02030b-dhcp45.company.com“).
3 Wenn Sie mit dem Hinzufügen von Dienstknoten fertig sind, klicken Sie auf „Anwenden“.
Nun kann Ihr Cluster Stapel verarbeiten.
Hinweis: Apple Qadministrator erlaubt Ihnen zwar gegenwärtig, einen Cluster mit nicht
verwalteten Diensten zu erstellen, aber gültige Cluster setzen mindestens einen
verwalteten Dienst voraus, damit der Cluster in Apple Qmaster, Compressor und
Share-Monitor angezeigt werden kann.
Einrichten der zeitweiligen verteilten Verarbeitung mit Shake
Wenn Sie nicht alle erforderlichen Quellendateien (Shake-Skripts, Mediendatei usw.) auf
einem einzelnen Cluster-Speichervolume unterbringen können, gehen Sie wie im
Folgenden beschrieben vor.
• Schritt 1: Deaktivieren der UNC-Einstellung für Shake
• Schritt 2: Aktivieren der Funktion „Persönliche Dateifreigabe“
• Schritt 3: Aktivieren aller Medienspeichervolumes
• Schritt 4: Senden von Verarbeitungsaufträgen in der Beispielkonfiguration für die
zeitweilige verteilte Verarbeitung
• Schritt 5: Festlegen von Speicherorten für Mediendateien und Skripts
Schritt 1: Deaktivieren der UNC-Einstellung für Shake
Damit die Schritte bei der gemeinsamen Nutzung und der Volumeaktivierung in dieser
Konfiguration verzögerungsfrei ablaufen, müssen Sie für Shake die UNC-Einstellung auf
jedem Computer deaktivieren. Diese Einstellung verwendet den gesamten Pfadnamen
der Datei mit der Netzwerkadresse, beginnend mit folgender Konvention
//ComputerName/DriveName/path. Diese Dateinamenskonvention sollte von Shake nicht
verwendet werden, da sie zu Konflikten mit der gemeinsamen Nutzung und der
Volumeaktivierung führt, die in dieser Konfiguration verwendet werden.
Hinweis: Alle Medienvolumes müssen denselben Namen haben.
In den drei unten aufgeführten Schritten nehmen Sie diese Änderung in einer der
Shake-Dateien startup .h vor. Wie in der Shake-Dokumentation beschrieben, werden die
Dateien startup .h, die sich im Ordner Start befinden, dazu verwendet, die
Shake-Einstellungen anzupassen (ähnlich dem Festlegen von Voreinstellungen).
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 429Die UNC-Einstellung bei jedem der Computer deaktivieren
1 Melden Sie sich als der Benutzer an, der Shake auf dem Computer verwenden wird.
2 Wählen Sie das Symbol „Terminal“ im Ordner „Programme/Dienstprogramme“ durch
Doppelklicken aus, um ein Terminal-Fenster zu öffnen.
3 Geben Sie diese zwei Befehlszeilen in das Terminal-Fenster ein und drücken Sie nach
jeder Befehlszeile den Zeilenschalter:
mkdir -p ~/nreal/include/startup/
echo 'script.uncFileNames = 0;' > ~/nreal/include/startup/UNC_off.h
Schritt 2: Aktivieren der Funktion „Persönliche Dateifreigabe“
Aktivieren Sie die Funktion „Persönliche Dateifreigabe“ auf jedem Computer. Auf diese
Weise können die Computer die Medienvolumes gemeinsam verwenden.
Persönliche Dateifreigabe aktivieren
1 Öffnen Sie die Systemeinstellungen.
2 Klicken Sie auf „Freigaben“.
3 Markieren Sie das Feld „Dateifreigabe“.
Schritt 3: Aktivieren aller Medienspeichervolumes
Gehen Sie wie im Folgenden beschrieben vor, damit auf allen Computern alle
Medienvolumes im Cluster aktiviert sind.
Medienspeichervolumes aktivieren
1 Melden Sie sich bei jedem Computer als Administrator an. (Der erste Benutzeraccount,
den Sie beim Konfigurieren von Mac OS X anlegen, ist ein Administratoraccount.)
2 Verwenden Sie anschließend für jeden Computer in der Gruppe den Befehl „Mit Server
verbinden“ im Finder-Menü „Gehe zu“, um das jeweilige Medienvolume zu aktivieren.
3 Geben Sie den Namen eines anderen Computers im Dialogfenster „Mit Server verbinden“
ein.
4 Wählen Sie das zugehörige Medienvolume aus, um es zu aktivieren.
5 Wiederholen Sie die Schritte 1 bis 4, bis alle Computer alle Medienvolumes im Cluster
aktiviert haben.
Schritt 4: Senden von Verarbeitungsaufträgen in der
Beispielkonfiguration für die zeitweilige verteilte Verarbeitung
Nachdem Sie den Schritt Schritt 3: Aktivieren aller Medienspeichervolumes abgeschlossen
haben, kann jeder dieser Computer dazu verwendet werden, Aufträge für die verteilte
Verarbeitung zu senden.
430 Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte VerarbeitungAufgrund dessen, wie der Zugriff im Abschnitt Einrichten der zeitweiligen verteilten
Verarbeitung mit Shake konfiguriert wurde, sind alle Dateipfadnamen konsistent und
lassen sich problemlos in Compressor, Shake-Skripts und Apple Qmaster angeben. Dabei
gelten folgende Voraussetzungen:
• Die Benutzer legen die Quellenmedien auf einem aktivierten Medienvolume (einem
der FireWire-Laufwerke) ab.
• Die Benutzer legen die Shake-Skripts auf einem aktivierten Medienvolume ab.
• Alle Benutzer besitzen Lese- und Schreibrechte für Ordner und Dateien auf den
gemeinsam verwendeten Medienvolumes (für „Eigentümer“, „Gruppe“ und „Andere“).
Sie können diese Zugriffseinstellung festlegen, indem Sie den Ordner oder die Datei
auswählen und „Ablage“ > „Information“ wählen.
Diese drei Voraussetzungen sind wichtig, da sie sicherstellen, dass alle Computer über
Lese- und Schreibrechte für alle Quellendateien und Ausgabeziele verfügen.
Schritt 5: Festlegen von Speicherorten für Mediendateien und Skripts
Die folgenden zusätzlichen Konfigurationsanweisungen gelten für alle Shake-Benutzer
(oder Benutzer beliebiger anderer UNIX-basierter Renderprogramme):
• Festlegen der Speicherorte für Mediendateien in Shake-Skripts: Wenn Sie die Anleitungen
im Abschnitt Einrichten der zeitweiligen verteilten Verarbeitung mit Shake befolgt
haben, sollten die Speicherorte für Quellenmedien (File In) und Ausgabeziele (File Out)
für Shake-Renderskripts wie folgt festgelegt sein: /Volumes/MediaDiskName/ (z. B.
/Volumes/Media3/).
• Festlegen der Speicherorte für Shake-Skripts in Apple Qmaster: Wenn Sie die Anleitungen
im Abschnitt Einrichten der zeitweiligen verteilten Verarbeitung mit Shake befolgt
haben, sollten alle Speicherorte für Shake-Skripts in Apple Qmaster wie folgt festgelegt
sein: /Volumes/MediaDiskName/ScriptFilename (z. B. /Volumes/Media3/Script.shk).
Kapitel 29 Apple Qmaster und die verteilte Verarbeitung 431Mit Kurzbefehlen können Sie die Arbeit in Compressor beschleunigen.
Dieser Anhang behandelt die folgenden Themen:
• Allgemeine Kurzbefehle in Compressor (S. 433)
• Kurzbefehle des Fensters „Vorschau“ (S. 434)
Allgemeine Kurzbefehle in Compressor
Keyboard shortcut Function
Zeigt das Fenster „Verlauf“ im Vordergrund an.
1
Zeigt das Fenster „Vorschau“ im Vordergrund an.
2
Zeigt den Bereich „Voreinstellungen“ im Vordergrund an.
3
Zeigt den Bereich „Zielorte“ im Vordergrund an.
4
Schließt das aktuelle Fenster.
shift W
Blendet die Symbolleiste des Fensters „Stapel“ ein oder aus.
option T
Kehrt zur ursprünglichen Fensteranordnung zurück.
shift control U Öffnet das Fenster „Einstellungen“.
,
Erstellt einen neuen Stapel. Das Auswahlfenster für Stapelvorlagen
wird eingeblendet, sofern Sie es nicht deaktiviert haben.
N
Erstellt einen neuen Stapel und blendet automatisch das
Auswahlfenster für Stapelvorlagen ein, auch wenn diese Option
deaktiviert wurde.
shift N
Sichert den aktuellen Stapel.
S
Sichert den aktuellen Stapel als einen neuen Stapel.
shift S
433
Tastaturkurzbefehle
A AnhangKeyboard shortcut Function
Öffnet einen gesicherten Stapel.
O
Schließt den Bereich für den aktuellen Stapel.
W
Sichert den aktuellen Stapel als neue Vorlage.
option S
Importiert ein Ausgangsmedium zur Erstellung eines neuen Auftrags
im Stapel.
I
Öffnet das Dialogfenster zum Ersetzen der Ausgangsdaten des
aktuellen Auftrags.
shift I
Erstellt einen neuen Surround-Sound-Gruppenauftrag im Stapel.
control I
Erstellt einen neuen Auftrag für eine Bildsequenz im Stapel.
option I
Sendet einen Stapel aus einem geöffneten Droplet.
return
Löscht ein ausgewähltes Objekt aus dem Fenster „Stapel“, „Vorschau“
oder „Zielorte“.
delete
Navigiert in den Listen „Stapel“, „Zielorte“, „Voreinstellungen“ und
„Filter“ nach oben.
Navigiert in den Listen „Stapel“, „Zielorte“, „Voreinstellungen“ und
„Filter“ nach unten.
Navigiert durch Textfelder in allen Fensterbereichen.
tab
Öffnet das Dialogfenster „Cluster-Speicher aktivieren“.
shift M Öffnet die Compressor-Hilfe.
shift
?
Kurzbefehle des Fensters „Vorschau“
Keyboard shortcut Function
Startet den schnellen Rücklauf.
J
Startet den schnellen Vorlauf.
L
Bildweise Rückwärtsbewegung innerhalb des Clips.
Bildweise Vorwärtsbewegung innerhalb des Clips.
Startet bzw. stoppt die Wiedergabe des Clips.
space
434 Anhang A TastaturkurzbefehleKeyboard shortcut Function
Fügt einen Marker hinzu bzw. löscht einen Marker.
M Öffnet das Dialogfenster „Marker bearbeiten“, sofern sich die
Abspielposition an einem Marker befindet.
E
Legt einen In-Punkt für den Clip fest.
I
Legt einen Out-Punkt für den Clip fest.
O
Anhang A Tastaturkurzbefehle 435Wenn bei der Verwendung von Compressor Probleme auftreten, finden Sie hier
möglicherweise Antworten auf Ihre Fragen.
Dieser Anhang behandelt die folgenden Themen:
• Ressourcen für die Fehlerbeseitigung (S. 437)
• Lösungsvorschläge für häufig auftretende Probleme (S. 438)
• Kontaktaufnahme mit dem AppleCare Support (S. 439)
Ressourcen für die Fehlerbeseitigung
Sollten während der Arbeit mit dem Programm „Compressor“ Probleme auftreten, können
Sie auf mehrere Ressourcen zurückgreifen, um eine Lösung zu finden.
• Dieser Anhang: Dieser Anhang enthält Antworten auf einige der häufigsten Fragen, die
bei der Arbeit auftreten können.
• Aktuelle Informationen: Im Dokument „Aktuelle Informationen“, das über das Menü
„Hilfe“ geöffnet werden kann, finden Sie aktuelle Informationen, die nicht mehr in das
Compressor-Benutzerhandbuch aufgenommen werden konnten. Bitte lesen Sie dieses
Dokument, wenn Sie Compressor installieren oder aktualisieren.
• AppleCare Knowledge Base: Auf der Website des AppleCare Support haben Sie Zugriff
auf eine Datenbank mit allgemeinen Support-Themen. Diese Datenbank wird ständig
mit neuen Informationen aktualisiert und erweitert. Die Website ist eine ausgezeichnete
Ressource, die allen Benutzern von Compressor kostenlos zur Verfügung steht. Sie
greifen über die Webseite des AppleCare Support unter folgender Adresse auf die
AppleCare Knowledge Base zu: http://www.apple.com/de/support
• AppleCare Support: Compressor-Kunden stehen eine Vielzahl von Support-Optionen
zur Verfügung. Weitere Informationen finden Sie im Dokument „AppleCare Service &
Support“, das Sie mit Compressor erhalten haben.
437
Fehlerbeseitigung
B AnhangLösungsvorschläge für häufig auftretende Probleme
Sollten bei der Verwendung von Compressor Probleme auftreten, können die folgenden
Lösungsvorschläge nützlich sein.
QuickTime-Referenzfilme
Wenn Sie einen Referenzfilm für die verteilte Verarbeitung senden, kopiert das Apple
Qmaster-System für die verteilte Verarbeitung die entsprechenden Mediendateien
automatisch auf den Verarbeitungs-Cluster. Für eine optimale Leistung können Sie diese
Dateiübertragung vermeiden, indem Sie dafür sorgen, dass von jedem Knoten des Apple
Qmaster-Clusters aus auf die im Referenzfilm angegebenen Mediendateien zugegriffen
werden kann. Weitere Informationen hierzu finden Sie unter Die Verteilung von Stapeln
durch das Apple Qmaster-System.
Cluster-Einstellungen für erweiterte Umcodierungsvorgänge
Wenn Sie erwarten, dass ein Umcodierungsvorgang bis zu sieben Tage oder länger dauert,
müssen Sie im Bereich „Erweitert“ der Einstellungen für Apple Qmaster eine Anpassung
vornehmen. Standardmäßig verbleiben temporäre Prozessdateien unter Umständen
sieben Tage auf dem Arbeitsvolume eines Clusters, bevor sie automatisch gelöscht werden.
Sie können diesen Wert (die Anzahl der Tage) im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ in
Compressor erhöhen.
Leeren des Cluster-Speichers
Wenn Sie einen Cluster-Speicher verwenden und es tritt ein Fehler auf, bleiben am
vorgesehenen Cluster-Speicherort unter Umständen unvollständige Dateien zurück.
Prüfen Sie den vorgesehenen Cluster-Speicherort, um sicherzustellen, dass dort keine
unvollständigen Mediendateien verbleiben. Falls Sie solche Mediendateien finden, löschen
Sie sie und senden Sie den Auftrag erneut.
Verwendung von Apple Qmaster mit einem NFS-Server
Standardmäßig verwendet Apple Qmaster das Verzeichnis „/etc/exports“, um den Export
des Cluster-Speichers zu definieren. Dies kann zu einem Konflikt führen, falls Sie in Ihrer
lokalen Netinfo-Datenbank einen NFS-Export definiert haben. Wenn Sie mithilfe von Apple
Qmaster 2 (oder neuer) einen Controller aktivieren, verwendet Apple Qmaster das
Verzeichnis „/etc/exports“ statt der in Ihrer Netinfo-Datenbank definierten Einträge. Sie
können dieses Problem umgehen, indem Sie die Exporte entweder in das Verzeichnis
„/etc/exports“ bewegen oder indem Sie den Controller auf einen Computer bewegen,
der keine Exporte ausführt.
Verteilte Verarbeitung mit Apple Qmaster und Xsan
Hier finden Sie einige Tipps zur Verwendung des Apple Qmaster-Systems für die verteilte
Verarbeitung zusammen mit Xsan.
438 Anhang B FehlerbeseitigungNeustart von Apple Qmaster und Xsan
Wenn Sie frühere Versionen von Apple Qmaster für die verteilte Verarbeitung in einem
Xsan-System verwenden, kann es zu Aktivierungsproblemen kommen, wenn die Apple
Qmaster-Cluster-Steuerung für die verteilte Verarbeitung neu gestartet wird.
Reihenfolge beim Starten der Apple Qmaster- und Xsan-Computer:
1 Deaktivieren Sie die Cluster-Steuerung, indem Sie „Diesen Computer freigeben“
deaktivieren und im Fenster „Apple Qmaster - Sharing“ auf „OK“ klicken. Dieses Fenster
wird geöffnet, wenn Sie im Menü „Apple Qmaster“ in Compressor den Befehl „Diesen
Computer freigeben“ auswählen.
2 Starten Sie den Apple Qmaster-Cluster-Controller-Computer neu.
3 Warten Sie, bis das Xsan-Volume auf dem Schreibtisch aktiviert ist.
4 Wählen Sie für „Diesen Computer freigeben“ entweder „als QuickCluster mit Diensten“
oder „als Dienste und Cluster-Steuerung“ und klicken Sie im Fenster „Apple Qmaster -
Sharing“ auf „OK“, um die Cluster-Steuerung neu zu starten.
Xsan-Kompatibilität
Xsan 1.3 ist nicht mit Compressor und dem Apple Qmaster-System für verteilte
Verarbeitung kompatibel, wenn Xsan-Medienlaufwerke als Cluster-Speicher (Arbeitsvolume)
verwendet werden. Wenn Xsan mit Apple Qmaster 2.3 verwendet werden soll, muss es
auf Version 1.4 aktualisiert werden.
Xsan 1.4 laden und installieren
µ Rufen Sie folgende Website auf: http://www.apple.com/de/support/xsan.
Bei Verwendung von Compressor über die Befehlszeile ist eine
Anmeldung erforderlich
Es ist zwar möglich, ein Apple Qmaster-Netzwerk für verteilte Verarbeitung über die
Befehlszeile auszuführen, jedoch muss jeder Compressor-Dienstknoten (jeder Computer
mit Diensten für die verteilte Verarbeitung mit Compressor) angemeldet sein (mit einem
Mac OS X-Benutzernamen und Kennwort), damit alle Funktionen genutzt werden können.
Kontaktaufnahme mit dem AppleCare Support
Informationen über die verfügbaren Support-Optionen von Apple finden Sie auf der
AppleCare Support-Website unter http://www.apple.com/de/support/compressor.
Anhang B Fehlerbeseitigung 439Unabhängig davon, über welches Thema Sie mehr wissen wollen, sollten Sie die unten
genannten Informationen bereithalten. Je mehr dieser Informationen Sie dem
Support-Team mitteilen können, desto schneller können die Mitarbeiter Ihre Fragen
beantworten.
• Detaillierte Aufzeichnungen der Schritte, die ausgeführt wurden, bevor das Problem
aufgetreten ist. Es ist sehr wichtig, dass Sie die einzelnen Schritte aufschreiben, damit
die Support-Mitarbeiter das Problem verstehen und nachvollziehen können. Notieren
Sie den genauen Wortlaut von Fehlermeldungen, die angezeigt werden.
• Die Mac OS X-Version, die auf Ihrem Computer installiert ist. Diese Information finden
Sie im Menü „Apple“ unter der Option „Über diesen Mac“.
• Die Compressor-Version, die auf Ihrem Computer installiert ist, ggf. einschließlich aller
Aktualisierungen. Die Versionsnummer wird angezeigt, wenn Sie „Compressor“ > „Über
Compressor“ wählen.
• Das Computermodell, das Sie verwenden.
• Die Größe des Arbeitsspeichers, der in Ihrem Computer installiert ist, sowie die Größe
des für Compressor verfügbaren Arbeitsspeichers. Wie viel Arbeitsspeicher in Ihrem
Computer installiert ist, erfahren Sie im Menü „Apple“ unter der Option „Über diesen
Mac“.
• Das Format und die Spezifikationen von Mediendateien (Video, Audio oder Fotos), mit
denen Sie arbeiten (falls zutreffend).
• Die Hardwarekomponenten von Drittanbietern, die an Ihrem Computer angeschlossen
sind bzw. in Ihrem Computer installiert sind, sowie die Namen der Hersteller. Hierzu
gehören auch Festplatten und Grafikkarten usw.
• Die Plug-Ins von Drittanbietern oder andere Softwarekomponenten, die mit Compressor
installiert werden.
• Halten Sie die Seriennummer Ihres Computers bereit, wenn Sie sich an den Support
wenden. Die Support-Mitarbeiter benötigen die Seriennummer Ihres Computers, um
sich Ihr Systemprofil anzusehen. Diese Informationen werden angezeigt, wenn Sie im
Menü „Apple“ zuerst auf „Über diesen Mac“ und anschließend auf „Weitere
Informationen“ klicken. Wählen Sie „An Apple senden“ im Menü „Ablage“ des Programms
„System-Profiler“, um Apple diese Informationen zur Verfügung zu stellen.
Sie erreichen den AppleCare Support im Internet unter folgender Adresse:
http://www.apple.com/de/support/compressor.
Im Menü „Hilfe“ gibt es auch eine Option, die Sie direkt auf die AppleCare-Website bringt.
Aus Compressor heraus die AppleCare-Website aufrufen
µ Wählen Sie „Hilfe“ > „Service und Support“.
440 Anhang B FehlerbeseitigungIm Folgenden erfahren Sie, wie Sie Ihre Arbeit in Compressor mithilfe von Terminal-Shells
und der Befehlszeile ausführen.
Dieser Anhang behandelt die folgenden Themen:
• Shell-Befehle für das Senden von Compressor-Aufträgen (S. 441)
Shell-Befehle für das Senden von Compressor-Aufträgen
Sie können Compressor von der Befehlszeile aus ausführen, indem Sie den Befehl
Compressor in Verbindung mit mehreren Befehlszeilenoptionen für das Senden von
Aufträgen verwenden.
In den nachfolgenden Befehlszeilenbeschreibungen weisen spitze Klammern < > auf ein
zwingendes Argument in einem Befehl hin. Eckige Klammern [ ] weisen auf ein optionales
Argument hin.
Übersicht
Nachfolgend finden Sie eine Übersicht über den Befehl zum Senden eines Auftrags an
einen Cluster. Der Befehl Compressor befindet sich im Ordner
„/Programme/Compressor.app/Contents/MacOS/“.
Compressor [-clustername ][-clusterid
] [-batchfilepath ] [-batchname
] [-priority ] [-jobpath ] [-settingpath ]
[-destinationpath ] [-info ] [-timeout ] [-help] [-show]
In diesem Beispiel können -jobpath, -settingpath und -destinationpath (in dieser
Reihenfolge) wiederholt werden (in Abhängigkeit von der Anzahl der Aufträge, die
gesendet werden sollen).
Hinweis: Nicht alle Optionen sind erforderlich. Sie können den Cluster beispielsweise
anhand von -clustername oder -clusterid definieren. Sie müssen nicht beides angeben.
Werden beide Angaben gemacht, wird nur der Wert für -clusterid verwendet.
441
Unterstützung für die Befehlszeile
C AnhangBei Angabe von -batchfilepath sind die Einträge für -jobpath, -settingpath und
-destinationpath ebenfalls nicht notwendig, da die zuvor gesicherte Stapeldatei bereits
Informationen zu Auftrag, Voreinstellungen und Ziel enthält.
Beispiel für -batchfilepath:
Compressor -clustername „Dieser Computer“ -batchfilepath
„/Volumes/Hermione/SavedCompressorBatches/FreeChampagne.compressor“
Sobald der Auftrag erfolgreich gesendet wurde, zeigt dieser Befehl die Stapel-ID und
Auftrags-ID (Kennung) in der Shell an. Sie können dann den Fortschritt eines Stapels im
Share-Monitor überwachen.
Befehlsoptionen
Diese Tabelle enthält Informationen über alle Befehlsoptionen für das Senden von
Aufträgen.
Senden - Befehlsoptionen Beschreibung
Geben Sie hiermit den Namen des Clusters an, an den Sie den
Auftrag senden möchten. Compressor sucht anhand des
Clusternamens nach dem Cluster im Netzwerk, um diesen zu
verwenden.
-clustername
Das Benutzerkennwort für den durch -clusterid oder
-clustername angegebenen Cluster.
-password
Legen Sie einen Namen für den Stapel fest, sodass Sie ihn im
Share-Monitor leicht erkennen können.
-batchname
Sie können optional das Argument -clusterid verwenden, um
die Cluster-ID (IP-Adresse) und die Portnummer anzugeben (anstelle
des Arguments -clustername). (Wenn die Cluster-ID und die
Portnummer eingegeben werden, wird der Cluster schneller im
Netzwerk gefunden.) Geben Sie die IP-Adresse und die Portnummer
im folgenden Format ein:
"tcp://:"
Ist für Ihren Cluster die Eingabe eines Kennworts erforderlich,
müssen Sie das Kennwort eingeben, das im Fenster „Apple Qmaster
- Sharing“ in Compressor für QuickClusters festgelegt wurde. Für
manuell erstellte Cluster finden Sie das Kennwort in Apple
Qadministrator. Verwenden Sie folgendes Format: -clusterid
[Benutzername:Kennwort]@:. Der
Benutzername wird nicht geprüft, sodass es sich um einen
beliebigen Benutzernamen handeln kann. Das Kennwort muss
jedoch gültig sein. Sie können das Argument -password in
Verbindung mit -clusterid auch wie folgt verwenden:
-clusterid @: -password
Verwenden Sie Compressor -show, um die
IP-Adresse eines Clusters und die Portnummer (clusterid) anzuzeigen.
-clusterid
-priority Legt die Prioritätsstufe für einen Auftrag fest.
442 Anhang C Unterstützung für die BefehlszeileSenden - Befehlsoptionen Beschreibung
-jobpath Definiert den Speicherort der Ausgangsdatei.
-settingpath Definiert den Speicherort der Voreinstellungen des Auftrages.
-destinationpath Bestimmt die URL-Adresse der Zieldatei für den Auftrag.
-info Liefert ausführliche Informationen über einen Stapel oder Auftrag.
Legen Sie hiermit fest, nach wie vielen Sekunden Compressor die
Suche nach einem Cluster beenden soll. Der Standardwert ist 30.
Mit dem Wert 0 wird kein Zeitlimit festgelegt und Compressor sucht
so lange im Netzwerk, bis der Cluster gefunden wird.
-timeout
Zeigt die ID-Informationen für den Cluster an, die über
-clustername oder -clusterid festgelegt wurden. Wurde kein
Cluster ausgewählt, werden diese Informationen für alle Cluster
angezeigt.
-show
Zeigt Informationen zu den erforderlichen Parametern für den Befehl
Compressor an.
-help
Beispiele für Compressor-Befehle
Im Folgenden finden Sie einige Beispiele für gängige Compressor-Befehle.
Clusternamen und Cluster-IDs in einem lokalen Netzwerk
Mit dem folgenden Befehl werden alle Clusternamen und Cluster-IDs im lokalen Netzwerk
aufgelistet.
/Applications/Compressor.app/Contents/MacOS/Compressor -show -timeout 10
Dieser Befehl setzt sich wie folgt zusammen:
• Gibt den Speicherort von Compressor an (die Anführungszeichen werden verwendet,
da „Final Cut Pro“ Leerstellen enthält).
• Zeigt alle gefundenen Clusternamen und Cluster-IDs.
• Legt fest, dass der Befehl nach einem Zeitlimit von 10 Sekunden abgebrochen wird.
Senden eines Auftrags ohne Kennwort
Mit dem folgenden Befehl wird ein Auftrag an einen Cluster übergeben, der durch einen
Namen identifiziert wird und kein Kennwort erfordert.
/Programme/Compressor.app/Contents/MacOS/Compressor -clustername MeinCluster
-batchname "Mein erster Stapelauftrag" -jobpath ~/Movies/MySource.mov
-settingpath ~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting -destinationpath
~/Movies/MyOutput.mp4 -timeout 5
Dieser Befehl setzt sich wie folgt zusammen:
• Gibt den Speicherort von Compressor an.
• Sendet diesen Auftrag an einen Cluster mit dem Namen „MeinCluster“.
Anhang C Unterstützung für die Befehlszeile 443• Weist den Stapelnamen „Mein erster Stapelauftrag“ zu (die Anführungszeichen sind
wegen der Leerzeichen im Namen erforderlich).
• Sucht nach der Datei „MySource.mov“ für den Auftrag unter „ ~/Movies/MySource.mov“.
• Verwendet die MPEG-4-Voreinstellung unter „~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting“ (der umgekehrte Schrägstrich „\“ wird
in diesem Fall verwendet, damit das Leerzeichen zwischen „Application Support“
erhalten bleibt).
• Schreibt die Ausgabedatei mit dem Namen „MyOutput.mp4“ in den Ordner „~/Movies“.
• Bricht die Befehlsausführung ab, wenn der Cluster nach 5 Sekunden noch nicht gefunden
wurde.
Senden eines Auftrags mit Kennwort
Mit dem folgenden Befehl wird ein Auftrag an einen Cluster übergeben, der durch einen
Namen identifiziert wird und ein Kennwort erfordert.
/Programme/Compressor.app/Contents/MacOS/Compressor -clustername MeinCluster
-password testpassword -batchname "Mein erster Stapelauftrag" -jobpath
~/Movies/MySource.mov -settingpath ~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting -destinationpath
~/Movies/MyOutput.mp4 -timeout 5
Dieser Befehl setzt sich wie folgt zusammen:
• Gibt den Speicherort von Compressor an.
• Sendet diesen Auftrag an einen Cluster mit dem Namen „MeinCluster“.
• Sendet das Kennwort „Testkennwort“.
• Weist den Stapelnamen „Mein erster Stapelauftrag“ zu.
• Sucht nach der Datei „MySource.mov“ für den Auftrag unter „ ~/Movies/MySource.mov“.
• Verwendet die MPEG-4-Voreinstellung unter „~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting“.
• Schreibt die Ausgabedatei mit dem Namen „MyOutput.mp4“ in den Ordner „~/Movies“.
• Bricht die Befehlsausführung ab, wenn der Cluster nach 5 Sekunden noch nicht gefunden
wurde.
Senden eines Auftrags mithilfe einer Cluster-ID ohne Kennwort
Mit dem folgenden Befehl wird ein Auftrag an einen Cluster übergeben, der durch eine
IP-Adresse identifiziert wird und kein Kennwort erfordert.
/Programme/Compressor.app/Contents/MacOS/Compressor -clusterid
"tcp://192.168.1.148:62995" -batchname "Mein erster Stapelauftrag" -jobpath
~/Movies/MySource.mov -settingpath ~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting -destinationpath
~/Movies/MyOutput.mp4 -timeout 5
444 Anhang C Unterstützung für die BefehlszeileDieser Befehl setzt sich wie folgt zusammen:
• Gibt den Speicherort von Compressor an.
• Sendet diesen Auftrag an den Cluster mit der IP-Adresse tcp://192.168.1.148 an Port
62995.
• Weist den Stapelnamen „Mein erster Stapelauftrag“ zu.
• Sucht nach der Datei „MySource.mov“ für den Auftrag unter „ ~/Movies/MySource.mov“.
• Verwendet die MPEG-4-Voreinstellung unter „~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting“.
• Schreibt die Ausgabedatei mit dem Namen „MyOutput.mp4“ in den Ordner „~/Movies“.
• Bricht die Befehlsausführung ab, wenn der Cluster nach 5 Sekunden noch nicht gefunden
wurde.
Senden eines Auftrags mithilfe einer Cluster-ID und eines Inline-Kennworts
Mit dem folgenden Befehl wird ein Auftrag an einen Cluster übergeben, der durch eine
IP-Adresse identifiziert wird und die Angabe eines Benutzernamens und eines
Inline-Kennworts erfordert.
/Programme/Compressor.app/Contents/MacOS/Compressor -clusterid
"tcp://username:testpassword@192.168.1.148:62995" -batchname "Mein erster
Stapelauftrag" -jobpath ~/Movies/MySource.mov -settingpath
~/Library/Application\ Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting
-destinationpath ~/Movies/MyOutput.mp4 -timeout 5
Dieser Befehl setzt sich wie folgt zusammen:
• Gibt den Speicherort von Compressor an.
• Sendet diesen Auftrag unter „Benutzername“ mit dem Kennwort „Testkennwort“ an
den Cluster mit der IP-Adresse tcp://192.168.1.148 an Port 62995.
• Weist den Stapelnamen „Mein erster Stapelauftrag“ zu.
• Sucht nach der Datei „MySource.mov“ für den Auftrag unter „ ~/Movies/MySource.mov“.
• Verwendet die MPEG-4-Voreinstellung unter „~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting“.
• Schreibt die Ausgabedatei mit dem Namen „MyOutput.mp4“ in den Ordner „~/Movies“.
• Bricht die Befehlsausführung ab, wenn der Cluster nach 5 Sekunden noch nicht gefunden
wurde.
Senden eines Auftrags mithilfe einer Cluster-ID mit Kennwort
Mit dem folgenden Befehl wird ein Auftrag an einen Cluster übergeben, der durch eine
IP-Adresse identifiziert wird und die Angabe eines Kennworts, nicht aber eines
Benutzernamens erfordert.
Anhang C Unterstützung für die Befehlszeile 445/Programme/Compressor.app/Contents/MacOS/Compressor -clusterid
"tcp://192.168.1.148:62995" -password testpassword -batchname "Mein erster
Stapelauftrag" -jobpath ~/Movies/MySource.mov -settingpath
~/Library/Application\ Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting
-destinationpath ~/Movies/MyOutput.mp4 -timeout 5
Dieser Befehl setzt sich wie folgt zusammen:
• Gibt den Speicherort von Compressor an.
• Sendet diesen Auftrag an den Cluster mit der IP-Adresse tcp://192.168.1.148 an Port
62995 mit dem Kennwort „Testkennwort“.
• Weist den Stapelnamen „Mein erster Stapelauftrag“ zu.
• Sucht nach der Datei „MySource.mov“ für den Auftrag unter „ ~/Movies/MySource.mov“.
• Verwendet die MPEG-4-Voreinstellung unter „~/Library/Application\
Support/Compressor/Settings/MPEG-4.setting“.
• Schreibt die Ausgabedatei mit dem Namen „MyOutput.mp4“ in den Ordner „~/Movies“.
• Bricht die Befehlsausführung ab, wenn der Cluster nach 5 Sekunden noch nicht gefunden
wurde.
446 Anhang C Unterstützung für die Befehlszeile
Apple Thunderbolt Display? Apple Inc.
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MacBook, MagSafe, and Photo Booth are trademarks of Apple Inc.,
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is under license.
Thunderbolt and the Thunderbolt logo are trademarks of
Intel Corporation in the United States and other countries.
Other company and product names mentioned herein may be
trademarks of their respective companies. Mention of third-party
products is for informational purposes only and constitutes
neither an endorsement nor a recommendation. Apple assumes
no responsibility with regard to the performance or use of these
products.3
Contents
7 Getting Started
8 Setting Up Your Display
10 Using Your Display
14 Care and Safety
16 Ergonomics
17 Troubleshooting Your Display
18 Learning More, Service, and Support
19 Specifications
21 Premiers contacts
22 Installation du moniteur
24 Utilisation du moniteur
28 Entretien et sécurité
30 Ergonomie
31 Dépannage du moniteur
33 Informations, services et assistance
34 Spécifications
35 Einführung
36 Einrichten Ihres Displays
38 Verwenden des Displays 4
43 Sicherheit und Pflege
45 Ergonomie
46 Fehlerbeseitigung
48 Weitere Informationen, Service und Support
49 Technische Daten
51 Primeros pasos
52 Instalación de la pantalla
54 Utilización de la pantalla
59 Mantenimiento y seguridad
61 Ergonomía
62 Solución de problemas con la pantalla
63 Más información, servicio y soporte
64 Especificaciones
65 Aan de slag
66 Het beeldscherm installeren
68 Het beeldscherm gebruiken
72 Voorzorgsmaatregelen en veiligheid
74 Ergonomie
75 Problemen met het beeldscherm oplossen
76 Meer informatie over service en ondersteuning
77 Specificaties5
79 Introduzione
80 Installare il monitor
82 Utilizzare il monitor
86 Sicurezza e manutenzione
88 Disposizione dell’ambiente di lavoro
89 Risoluzione dei problemi del monitor
90 Ulteriori informazioni, servizio e supporto
91 Specifiche tecniche
93 Introduktion
94 Opstille skærmen
96 Bruge skærmen
100 Vedligeholdelse og sikkerhed
102 Ergonomi
103 Fejlfinding til skærmen
104 Flere oplysninger samt service og support
105 Specifikationer
106 Regulatory Compliance Information
108 Apple and the Environment
108 Apple et l’environnement
109 Apple und der Umweltschutz
109 Apple y el medio ambiente
109 Apple en het milieu
109 Apple e l’ambiente
109 Apple og miljøet English 7
Getting Started
Your Apple Thunderbolt Display is designed to work seamlessly
with Mac computers that have a Thunderbolt port. It features
an LED-backlit widescreen display, a MagSafe connector
to charge your MacBook Pro, a built-in FaceTime HD camera,
microphone,speaker system,security slot, and ports.
The instructions on the following pages help you set up and use your new display.
Learn how to:
 Connect your display to your computer
 Use your display’s camera, microphone, speaker system, and ports
 Adjust your display’s settings
Note: You can connect your Apple Thunderbolt Display to any Mac computer that has
a Thunderbolt port.
Important: Carefully read all the installation instructions (and the safety information
starting on page 14) before you set up and use your display.
For information about the specific computers and graphics cards that are compatible
with your display, go to www.apple.com/displays. 8 English
Setting Up Your Display
Follow these steps to set up your Apple Thunderbolt Display:
1 Remove the protective film from the display and cables.
2 Insert the power cord into the display, and then insert the AC plug into a grounded
power outlet.
3 Connect the Thunderbolt cable to your computer’s Thunderbolt port.
Apple Thunderbolt Display
MacBook Pro
MagSafe
power port
Grounded
power outlet
Thunderbolt
port
4 If you’re connecting to a MacBook Pro, plug the MagSafe connector into the MagSafe
power port on your MacBook Pro to power it and charge its battery.
5 If your computer is turned off, press the power (®) button on your computer to start it
up. The display turns on automatically when you start up your computer.English 9
Setting Up Your MacBook Pro with the Lid Closed
You can close the lid of your MacBook Pro and use just your Apple Thunderbolt
Display. Follow the setup instructions on the previous page, and make sure the
MagSafe connector from the display is plugged into the MagSafe power port on your
MacBook Pro.
To use your Apple Thunderbolt Display with your MacBook Pro lid closed:
1 Connect an external USB keyboard and mouse to a USB port on your display, or use the
Bluetooth® Setup Assistant to set up a wireless keyboard and mouse.
2 Make sure your MacBook Pro is turned on.
3 Close the lid on your MacBook Pro to put it to sleep.
4 Wait a few seconds, and then press any key on the external keyboard or click the
mouse to wake your MacBook Pro.
Setting Up Your Apple Thunderbolt Display as an Additional Display
When you leave the lid on your MacBook Pro open, you can mirror the same desktop
image on both displays or use the additional display as an extension of your desktop.
Use Displays preferences to set up video mirroring or extended desktop.
To set up video mirroring or extended desktop:
1 Choose Apple (?) > System Preferences, and then click Displays.
2 Click the Arrangement tab and follow the onscreen instructions.10 English
Using Your Display
Your Apple Thunderbolt Display has a built-in FaceTime HD camera, microphone, and
speaker system.
Speaker system
Microphone
Built-in FaceTime
HD camera
Using the Built-in FaceTime HD Camera and Microphone
You can use the built-in FaceTime HD camera and microphone to capture still images,
video, and sound using applications such as FaceTime, iChat, iMovie, and Photo Booth.
To set up the camera and microphone with iChat:
1 Click the iChat icon in the Dock to open the iChat application.
2 Choose iChat > Preferences, and then click Audio/Video.
3 Choose FaceTime HD Camera (Display) from the Camera pop-up menu.
4 Choose Display Audio from the Microphone pop-up menu.English 11
Setting Up Sound Input and Output
You can listen to music, movies, games, and multimedia files through the speaker system
on your display. You can use the microphone to record sounds or talk with friends using
iChat or FaceTime. Use Sound preferences to manage sound input and output.
To set up sound input:
1 Choose Apple (?) > System Preferences, and then click Sound.
2 Click the Input tab in Sound preferences.
3 Choose Display Audio to input sound through your display’s microphone.
To set up sound output:
1 Choose Apple (?) > System Preferences, and then click Sound.
2 Click the Output tab in Sound preferences.
3 Choose Display Audio to hear sound through your display’s speaker system.
These sound settings are used whenever your display is connected to your computer.
They remain in effect until you change them.
Adjusting the Resolution, Brightness, and Color
Your Apple Thunderbolt Display can automatically adjust the screen brightness for
current light conditions using the built-in ambient light sensor. You can turn autobrightness on or off in Displays preferences.
To change the resolution or brightness:
1 Choose Apple (?) > System Preferences, and then click Displays.
2 Choose a resolution or drag the Brightness slider.12 English
You can also use the brightness keys on an external Apple Keyboard to increase ( ) or
decrease ( ) the brightness of your display. Make sure the menu bar is on the display
you want to adjust.
To change the display color profile or calibrate your display:
1 Click the Color tab in Displays preferences.
2 Choose a display color profile, or click Calibrate to open the Display Calibrator Assistant.
For more information about calibrating your display, choose Help > Mac Help in the
menu bar and search for “calibrate.”
Security Slot and Ports
Security slot
USB 2.0
ports (3)
Gigabit
Ethernet
port
Thunderbolt
port
FireWire
800 port
To secure your display, attach a locking cable to the security slot.English 13
G Gigabit Ethernet port (10/100/1000Base-T)
Connect to a high-speed 10/100/1000Base-T Ethernet network, connect a DSL or
cable modem, or connect to another computer and transfer files. The Ethernet port
automatically detects other Ethernet devices.
Thunderbolt port (high-speed data, video, and audio)
Connect Thunderbolt-compatible devices for high-speed data transfer, or connect
another display that uses Thunderbolt. This Thunderbolt port is not compatible with DVI,
VGA, or DisplayPort displays or adapters.
d Three high-speed USB (Universal Serial Bus) 2.0 ports
Connect an iPod, iPhone, iPad, mouse, keyboard, printer, disk drive, digital camera,
joystick, external USB modem, and more. You can also connect USB 1.1 devices.
H FireWire 800 port
Connect external devices, such as digital video cameras and storage devices. The port
provides up to 7 watts of power.
Important: You can use the USB ports to charge your iPad, iPhone, or iPod, even
when your display isn’t connected to a computer. If you use one of these ports to
sync information between your computer and an iPad, iPhone, or iPod, make sure the
display’s Thunderbolt cable is connected to your computer’s Thunderbolt port.
Using a VESA Mounting Solution with Your Display
You can attach your display to an alternative mounting solution, using the VESA Mount
Adapter Kit available from the Apple Online Store at www.apple.com/store. Use the
kit to attach your display to any available VESA-compatible mounting solution. Simply
follow the instructions included with the kit. 14 English
Care and Safety
Before you lift or reposition your display, you may need to disconnect the cables and
power cord. Use correct lifting techniques when positioning the display. When lifting or
carrying the display, hold it by the edges. Don’t lift the display by the stand or the cord.
To clean the screen on your display:
1 Disconnect the power cord.
2 Use a soft, dry cloth, to wipe dust from the screen.
WARNING: Don’t clean the screen with a cleaner containing alcohol or acetone. Use a
cleaner intended for use with a screen or display. Never spray cleaner directly on the
screen. It may drip inside the display and cause damage.
Don’t operate your display in areas with significant amounts of airborne dust, or smoke
from cigarettes, cigars, ashtrays, stoves, or fireplaces, or near an ultrasonic humidifier
using unfiltered tap water. Tiny airborne particles produced by smoking, cooking,
burning, or using an ultrasonic humidifier with unfiltered water may, in rare instances,
enter the ventilation openings of your display and, under certain conditions, result in a
slight haze on the inside surface of the glass panel that covers the display.English 15
Follow these safety guidelines for using your display:
 The only way to completely disconnect power is to unplug the power cord. Be sure to
pull the plug, not the cord.
 Disconnect power immediately if the power cord is frayed or damaged, if you spill
something on the display, or if the display falls or is damaged in some other way.
WARNING: Use only the power cord that came with your display. The power cord has
a three-wire grounding plug (a plug that has a third grounding pin) that fits only a
grounded AC outlet. If you are unable to insert the plug into an outlet because the
outlet is not grounded, contact a licensed electrician to replace the outlet with a
properly grounded outlet.
WARNING: Your display is a high-voltage component and should not be opened for
any reason, even when it’s unplugged. If your display needs service, see “Learning
More, Service, and Support” on page 18.16 English
Ergonomics
Here are some guidelines for adjusting your display to reduce glare and to
accommodate your physical size and shape.
 Arrange the display so that the top of the screen is slightly below your eye level
when you’re sitting at the keyboard. The best distance from your eyes to the screen is
up to you, although most people tend to prefer 18 to 28 inches (45 to 70 cm).
 Position the display by tilting it up or down to minimize glare and reflections from
overhead lights and nearby windows.
Thighs tilted
slightly
Shoulders
relaxed
Screen positioned to
avoid reflected glare
Forearms and
hands in a
straight line
Forearms level
or tilted slightly
Lower back
supported
Feet flat on the floor
or on a footrest
Top of the screen at or
slightly below eye level
(You may need to adjust
the height of your display
by raising or lowering
your work surface)
Clearance under
work surface
18–28 in. (45–70 cm)
For more information about health, safety, and maintenance, go to the Apple
ergonomic website at www.apple.com/about/ergonomics.English 17
Troubleshooting Your Display
Before performing any of these steps, make sure your computer is turned on, the
display is plugged into a grounded power outlet, all the cables are connected properly
to your computer and display, and your computer is not in sleep mode.
If the screen doesn’t have an image:
 Check the cables and connectors again to make sure they are connected properly to
your computer and the display.
 Make sure your computer is turned on and is not in sleep mode. If the lid on your
MacBook Pro is closed, use the external keyboard or mouse to wake the MacBook Pro
from sleep.
 Unplug the display’s power cord from the grounded power outlet, wait a few
minutes, then plug it in again.
 Reset the PRAM by restarting your computer while holding down the Command (x),
Option, P, and R keys until you hear the startup sound a second time.
If the screen is dim:
 Make sure the display brightness is set properly. Choose Apple (?) > System
Preferences and click Displays. Drag the Brightness slider to adjust the brightness.
 If the colors on the display are too saturated or not correct, you may need to calibrate
your display. Open Displays preferences, click the Color tab, click Calibrate, and follow
the instructions.
If your MacBook Pro isn’t charging:
Make sure the MagSafe connector from your display is seated properly in the MagSafe
power port on your MacBook Pro.18 English
If the built-in FaceTime HD camera, microphone, speaker system, or ports on the
display aren’t working:
Make sure the Thunderbolt cable from the display is firmly plugged into the
Thunderbolt port on your computer. The display’s camera, microphone, speaker system,
and ports work only when this cable is connected to your computer.
More Troubleshooting Information
You can find more troubleshooting information on the Displays support website at
www.apple.com/support/displays.
Learning More, Service, and Support
You can find more information about your display on the Apple website and in
Mac Help.
To learn about See
Using your display Mac Help and search for “displays.”
Display service, support,
discussions, troubleshooting,
and software downloads
The Displays Support site at www.apple.com/support/displays.
The latest information about
displays
The Apple Displays site at www.apple.com/displays.
Registering your display The Apple Product Registration site at www.apple.com/register.English 19
Specifications
 Model number: A1407
 Resolution: 2560 x 1440 @ 60 Hz
 Ports:
• Three high-speed USB 2.0 ports
• One Gigabit Ethernet port
• One Thunderbolt port
• One FireWire 800 port
 Camera and microphone: Built-in FaceTime HD camera with microphone
 Speakers: Built-in 2.1 speakers with 49 W output
Dimensions:
 Weight: 23.5 lb. (10.7 kg)
 Height: 19.2 inches (488.1 mm)
 Width: 25.65 inches (651.7 mm)
 Depth (with stand): 8.2 inches (208.13 mm)
 Viewable: 27 inches (685.8 mm) diagonal
Operating environment:
 Operating temperature: 50° to 95° F (10° to 35° C)
 Relative humidity: 20% to 80% (noncondensing)
 Altitude: 0 to 10,000 feet (0 to 3048 meters)Français 21
Premiers contacts
Votre moniteur Apple Thunderbolt Display est conçu pour
fonctionner parfaitement avec les ordinateurs Mac possédant
un connecteur Thunderbolt. Il comprend un moniteur à écran
large à rétro-éclairage par diode électroluminescente, un
connecteur MagSafe pour recharger votre ordinateur MacBook
Pro, une caméra FaceTime HD intégrée, un micro, un système
de haut-parleurs, un emplacement de sécurité et des ports.
Les instructions des pages suivantes vous permettent de configurer et d’utiliser votre
nouveau moniteur. Pour :
 Connecter votre moniteur à votre ordinateur
 Utiliser la caméra, le micro, le système de haut-parleurs et les ports de votre moniteur
 Régler votre moniteur
Remarque : Vous pouvez connecter votre moniteur Apple Thunderbolt Display à un
ordinateur Mac doté d’un port Thunderbolt.
Important : Lisez soigneusement toutes les instructions d’installation (et les consignes
de sécurité à partir de la page page 28) avant de configurer et d’utiliser votre moniteur
pour la première fois.
Pour en savoir plus sur les ordinateurs et les cartes graphiques compatibles avec votre
moniteur, consultez le site www.apple.com/fr/displays. 22 Français
Installation du moniteur
Suivez les étapes suivantes pour configurer votre Apple Thunderbolt Display :
1 Retirez le film protecteur du moniteur et des câbles.
2 Branchez le câble d’alimentation sur le moniteur, puis la fiche CA dans une prise de
courant avec mise à la terre.
3 Connectez le câble Thunderbolt au port Thunderbolt de votre ordinateur.
Apple Thunderbolt Display
MacBook Pro
Port d’alimentation MagSafe
Prise secteur
mise à la terre
Port
Thunderbolt
4 Si vous effectuez une connexion à un MacBook Pro, branchez le connecteur MagSafe
dans le port d’alimentation MagSafe de votre MacBook Pro pour l’alimenter et
recharger sa batterie.
5 Si votre ordinateur est éteint, appuyez sur son bouton d’alimentation (®) pour
l’allumer. Le moniteur s’allume automatiquement lorsque vous mettez l’ordinateur sous
tension.Français 23
Installation de votre MacBook Pro avec le couvercle fermé
Vous pouvez fermer le couvercle de votre MacBook Pro et utiliser seulement votre
Apple Thunderbolt Display. Suivez les instructions d’installation à la page précédente et
assurez-vous que le connecteur MagSafe du moniteur est branché sur le port secteur
MagSafe de votre MacBook Pro.
Pour utiliser votre Apple Thunderbolt Display avec le couvercle de votre MacBook
Pro fermé :
1 Branchez un clavier et une souris USB sur le port USB de votre moniteur ou utilisez
l’Assistant de réglages Bluetooth® pour installer un clavier et une souris sans fil.
2 Assurez-vous que votre MacBook Pro est allumé.
3 Fermez le couvercle de votre MacBook Pro pour le mettre en mode veille.
4 Attendez quelques secondes, puis appuyez sur n’importe quelle touche du clavier
externe ou cliquez sur la souris pour réactiver votre MacBook Pro.
Configuration de votre Apple Thunderbolt Display comme moniteur
supplémentaire
Lorsque vous gardez le moniteur de votre MacBook Pro ouvert, vous pouvez afficher la
même image du bureau sur les deux moniteurs ou utiliser le moniteur supplémentaire
comme extension de votre bureau. Utilisez Préférences Moniteurs pour configurer la
recopie vidéo ou le bureau étendu.
Pour configurer la recopie vidéo ou le bureau étendu :
1 Sélectionnez le menu Pomme (?)> Préférences Système puis cliquez sur Moniteurs.
2 Cliquez sur l’onglet Disposition et suivez les instructions à l’écran.24 Français
Utilisation du moniteur
Votre moniteur Apple Thunderbolt Display intègre une caméra FaceTime HD, un micro
et un système de haut-parleurs.
Système de haut-parleurs
Microphone
Caméra FaceTime
HD intégrée
Utilisation de la caméra FaceTime HD et du micro intégrés
La caméra FaceTime HD et le microphone intégrés vous permettent de capturer des
images, de la vidéo et du son avec des applications comme FaceTime, iChat, iMovie et
Photo Booth.
Pour configurer la caméra et le micro avec iChat :
1 Cliquez sur l’icône iChat dans le Dock pour ouvrir l’application iChat.
2 Choisissez iChat > Préférences, puis cliquez sur Audio/Vidéo.
3 Choisissez Caméra FaceTime HD (Écran) dans le menu local Caméra.
4 Choisissez Audio du moniteur dans le menu local Micro.Français 25
Configuration de l’entrée et de la sortie audio
Vous pouvez écouter de la musique, des films, des jeux et des fichiers multimédia grâce
au système de haut-parleurs de votre moniteur. Le micro vous permet d’enregistrer des
sons ou de parler avec des amis à l’aide d’iChat ou de FaceTime. Utilisez les Préférences
audio pour gérer l’entrée et la sortie audio.
Pour configurer l’entrée audio :
1 Sélectionnez le menu Pomme (?)> Préférences Système puis cliquez sur Son.
2 Cliquez sur l’onglet Entrée dans Préférences audio.
3 Sélectionnez Audio du moniteur pour utiliser le micro de votre moniteur comme
entrée audio.
Pour configurer la sortie audio :
1 Sélectionnez le menu Pomme (?)> Préférences Système puis cliquez sur Son.
2 Cliquez sur l’onglet Sortie dans Préférences audio.
3 Sélectionnez Audio du moniteur pour utiliser le système de haut-parleurs de votre
moniteur comme sortie audio.
Ces réglages sonores sont utilisés chaque fois que votre moniteur est connecté à votre
ordinateur. Ils restent actifs jusqu’à ce que vous les modifiez.
Réglage de la résolution, de la couleur et de la luminosité
Votre moniteur Apple Thunderbolt Display peut ajuster automatiquement la luminosité
en fonction de l’éclairage du moment en utilisant le capteur de lumière ambiante
intégré. Vous pouvez activer ou désactiver le réglage automatique de la luminosité
dans les préférences Moniteurs. 26 Français
Pour modifier la résolution ou la luminosité :
1 Sélectionnez le menu Pomme (?)> Préférences Système puis cliquez sur Moniteurs.
2 Choisissez une résolution ou faites glisser le curseur Luminosité.
Vous pouvez également utiliser les touches de réglages de la luminosité sur un clavier
externe Apple pour augmenter ( ) ou réduire ( ) la luminosité de votre moniteur.
Assurez-vous que la barre des menus se trouve sur l’écran que vous souhaitez régler.
Pour changer le profil de couleur du moniteur ou étalonner votre moniteur :
1 Cliquez sur l’onglet Couleur dans Préférences Moniteurs.
2 Choisissez un profil de couleur du moniteur ou cliquez sur Étalonner pour ouvrir
l’assistant de l’outil d’étalonnage du moniteur.
Pour en savoir plus sur l’étalonnage de votre moniteur, sélectionnez Aide > Aide Mac
dans la barre des menus et effectuez une recherche sur « étalonner ».
Emplacement de sécurité et ports
Emplacement de sécurité
Ports
USB 2.0 (3)
Port Gigabit
Ethernet
Port
Thunderbolt
Port
FireWire 800Français 27
Pour protéger votre moniteur, utilisez un câble de sécurité sur le logement de sécurité.
G Port Gigabit Ethernet (10/100/1000Base-T)
Connectez à ce port à un réseau Ethernet 10/100/1000Base-T haut débit, un modem DSL
ou câble, ou connectez-y un autre ordinateur et transférez des fichiers. Le port Ethernet
détecte automatiquement les autres périphériques Ethernet.
Port Thunderbolt (données haut débit, vidéo et audio)
Connectez à ce port des appareils compatibles Thunderbolt pour un transfert de
données haut débit, ou connectez-y un autre moniteur utilisant Thunderbolt. Ce port
Thunderbolt n’est pas compatible avec les moniteurs ou adaptateurs DVI, VGA ou
DisplayPort.
d Trois ports USB (Universal Serial Bus) 2.0 haut débit
Connectez à ce port iPod, iPhone, iPad, souris, clavier, imprimante, lecteur de disques,
appareil photo numérique, manette de jeu, modem USB externe ou autre. Vous pouvez
également y connecter des appareils USB 1.1.
H Port FireWire 800
Connectez à ce port des appareils externes, tels que caméras vidéo numériques et
dispositifs de stockage. Le port propose jusqu’à 7 watts d’alimentation.
Important : Vous pouvez utiliser les ports USB pour recharger votre iPhone, iPad ou
iPod, même lorsque votre moniteur n’est pas connecté à un ordinateur. Si vous utilisez
l’un de ces ports pour synchroniser des informations entre votre ordinateur et un
iPhone, iPad ou iPod, assurez-vous que le câble Thunderbolt du moniteur est connecté
au port Thunderbolt de votre ordinateur.28 Français
Utilisation d’une solution de montage VESA avec votre moniteur
Il est possible d’utiliser d’autres configurations de montage à l’aide du kit VESA Mount
Adapter en vente sur l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/store. Utilisez ce
kit pour connecter votre moniteur à n’importe quelle configuration de montage compatible
avec la norme VESA. Suivez les instructions qui accompagnent le kit de montage.
Entretien et sécurité
Avant de soulever ou déplacer votre moniteur, il peut s’avérer nécessaire de débrancher
les différents câbles, dont le câble d’alimentation. Lorsque vous soulevez ou déplacez
le moniteur, utilisez la méthode la plus adéquate. Tenez-le toujours par les côtés, jamais
par le support ou le câble d’alimentation.
Pour nettoyer votre écran, procédez comme suit :
1 Débranchez le câble d’alimentation.
2 Utilisez un chiffon doux et sec pour dépoussiérer l’écran.
AVERTISSEMENT : Ne nettoyez pas l’écran à l’aide d’un produit nettoyant contenant
de l’alcool ou de l’acétone. Utilisez un produit destiné à nettoyer les écrans. Ne
projetez jamais directement le produit nettoyant directement sur l’écran. Le produit
risque de s’infiltrer à l’intérieur du moniteur et d’entraîner des dégâts.Français 29
Veillez à ne pas utiliser votre moniteur dans des espaces contaminés par de la
poussière aérogène ou de la fumée de cigarettes, cigares, cendriers, poêles ou
cheminées ou à proximité d’un humidificateur à ultrasons utilisant de l’eau du robinet
non filtrée. Les minuscules particules se trouvant dans l’air générées par la fumée de
cigarettes, les vapeurs de cuisine ou l’utilisation d’un humidificateur à ultrasons d’eau
non filtrée peuvent, dans de rares cas, pénétrer dans les orifices de ventilation de votre
moniteur et, dans certaines conditions, créer un léger résidu sur la surface interne du
panneau de verre qui couvre le moniteur.
Suivez ces consignes de sécurité lors de l’utilisation de votre moniteur :
 Le seul moyen de couper entièrement l’alimentation est de débrancher le câble
d’alimentation. Ce faisant, veillez à tirer sur la prise et non sur le câble.
 Coupez immédiatement l’alimentation si le câble d’alimentation est détérioré, si vous
avez renversé un liquide sur le moniteur, ou si ce dernier est tombé ou a subi une
détérioration.
AVERTISSEMENT : Utilisez uniquement le câble d’alimentation fourni avec votre
moniteur. Le câble d’alimentation est constitué d’une prise de terre à trois fils (une
prise équipée d’une troisième broche reliée à la masse) que vous ne pouvez brancher
qu’à une prise de courant alternatif. Si vous ne parvenez pas à insérer la fiche dans
une prise parce que celle-ci n’est pas mise à la terre, contactez un électricien agréé
qui se chargera de remplacer la prise par une prise mise à la terre adéquate.
AVERTISSEMENT : Votre moniteur est un composant haute tension et ne doit être ouvert
ou démonté sous aucun prétexte, même s’il est débranché. Si votre moniteur a besoin
d’être réparé, consultez la page « Informations, services et assistance » à la page 33. 30 Français
Ergonomie
Veuillez trouver ci-après quelques recommandations pour régler votre moniteur pour
réduire la luminosité et pour placer le moniteur de façon à respecter votre morphologie.
 Disposez le moniteur de façon à ce que la partie supérieure soit située légèrement en
dessous de vos yeux lorsque vous êtes assis(e) devant le clavier de l’ordinateur. Il vous
appartient de juger de la meilleure distance entre vos yeux et l’écran. Elle se situe en
général entre 45 et 70 cm.
 Positionnez le moniteur en le faisant pivoter vers le haut ou le bas pour limiter tout
éblouissement ou reflet sur l’écran, notamment lorsque l’écran est placé sous un
éclairage ou près d’une fenêtre.
Cuisses
légèrement inclinées
Épaules
détendues
Écran orienté de manière
à réduire les reflets
Mains dans le
prolongement
des avant-bras
Avant-bras à
l’horizontale ou
légèrement relevés
Dossier soutenant
la région lombaire
Pieds à plat sur le sol
ou sur un repose-pied
Haut de l’écran au niveau
des yeux ou légèrement
en dessous. (Vous devrez
peut-être ajuster la hauteur
du moniteur en surélevant
votre plan de travail ou
le moniteur lui-même.)
Espace dégagé sous
le plan de travail
45–70 cmFrançais 31
Pour en savoir plus sur la santé, la sécurité et l’entretien du moniteur, consultez le site
web d’Apple consacré à l’ergonomie à l’adresse www.apple.com/about/ergonomics
(en anglais).
Dépannage du moniteur
Avant d’effectuer les étapes ci-dessous, vérifiez que votre ordinateur est allumé, que
le moniteur est branché sur une prise secteur mise à la terre, que tous les câbles sont
correctement branchés entre votre ordinateur et le moniteur et que l’ordinateur n’est
pas en mode veille.
Si aucune image n’apparaît à l’écran :
 Vérifiez à nouveau que les câbles et les connecteurs sont correctement branchés sur
l’ordinateur et le moniteur.
 Assurez-vous que votre ordinateur est allumé et non en mode veille. Si le couvercle
de votre MacBook Pro est fermé, utilisez le clavier ou la souris externe pour réactiver
le MacBook Pro.
 Débranchez le cordon d’alimentation du moniteur de la prise murale, patientez
quelques minutes, puis rebranchez-le.
 Réinitialisez la PRAM en redémarrant votre ordinateur tout en maintenant les touches
Commande (x), Option, P, et R enfoncées jusqu’à ce que vous entendiez le signal de
démarrage une seconde fois.
Si l’écran n’est pas suffisamment éclairé :
 Vérifiez que les commandes de luminosité du moniteur sont correctement réglées.
Sélectionnez le menu Pomme (?)> Préférences Système, puis cliquez sur Moniteurs.
Faites glisser le curseur pour régler la luminosité.32 Français
 Si les couleurs s’affichant sur le moniteur sont trop saturées ou sont incorrectes, il
peut s’avérer judicieux de l’étalonner . Ouvrez les préférences Moniteurs, cliquez sur
l’onglet Couleur, puis sur Étalonner et suivez les instructions.
Si votre MacBook Pro ne se recharge pas :
Assurez-vous que le connecteur MagSafe de votre moniteur est correctement branché
sur le port secteur MagSafe de votre MacBook Pro.
Si la caméra FaceTime HD, le micro, le système de haut-parleurs ou les ports intégrés
au moniteur ne fonctionnent pas :
Assurez-vous que le câble Thunderbolt du moniteur est correctement branché sur le port
Thunderbolt de votre ordinateur. La caméra, le micro, le système de haut-parleurs et les
ports du moniteur ne fonctionnent que lorsque ce câble est connecté à votre ordinateur.
Autres informations de dépannage
D’autres renseignements concernant le dépannage sont disponibles sur le site web
d’assistance des moniteurs à l’adresse www.apple.com/fr/support/displays.Français 33
Informations, services et assistance
Vous trouverez des renseignements complémentaires à propos de votre moniteur sur
le site web d’Apple et dans l’Aide Mac.
Pour Consultez
Utilisation du moniteur Aide Mac et recherchez le terme « moniteurs ».
Service, assistance, forums
de discussion, dépannage et
téléchargements de logiciels
pour les moniteurs
Le site d’assistance des moniteurs à l’adresse
www.apple.com/fr/support/displays.
Les toutes dernières
informations sur les moniteurs
La page Moniteurs Apple à l’adresse www.apple.com/fr/displays.
Enregistrement du moniteur La page d’enregistrement des produits Apple à l’adresse
www.apple.com/fr/register.Spécifications
 Numéro de modèle : A1407
 Résolution : 2560 x 1440 à 60 Hz
 Ports :
• Trois ports USB 2.0 haut débit
• Un port Gigabit Ethernet
• Un port Thunderbolt
• Un port FireWire 800
 Caméra et micro : caméra FaceTime HD intégrée avec micro
 Haut-parleurs : haut-parleurs 2.1 intégrés avec sortie de 49 W
Dimensions :
 Poids : 10,7 kg
 Hauteur : 488,1 mm
 Largeur : 651,7 mm
 Profondeur (support compris): 208,13 mm
 Diagonale visible : 685,8 mm (27 pouces)
Environnement de fonctionnement :
 Température de fonctionnement : 10° à 35° C
 Humidité relative : 20 % à 80 % (sans condensation)
 Altitude : 0 à 3 048 mètres
34 FrançaisDeutsch 35
Einführung
Ihr Apple Thunderbolt Display ist für die Verwendung mit MacComputern mit einem Thunderbolt-Anschluss konzipiert. Es
ist ein Breitformat-LED-Display mit Hintergrundbeleuchtung,
das einen MagSafe-Anschluss zum Aufladen Ihres MacBook
Pro-Computers, eine integrierte FaceTime HD-Kamera, ein Mikrofon, ein Lautsprechersystem, einen Anschluss für die Diebstahlsicherung und Anschlüsse besitzt.
Die Anleitungen auf den folgenden Seiten helfen Ihnen beim Einrichten und Verwenden Ihres neuen Displays. Sie finden Informationen zum:
 Anschließen des Displays an Ihren Computer
 Verwenden der Kamera, des Mikrofons, des Lautsprechersystems und der Anschlüsse
des Displays
 Anpassen der Einstellungen Ihres Displays
Hinweis: Sie können Ihr Apple Thunderbolt Display an jeden Mac-Computer anschlie-
ßen, der einen Thunderbolt-Anschluss besitzt.
Wichtig: Lesen Sie alle Installationsanleitungen (und die Informationen zur Sicherheit
auf Seite 43) sorgfältig durch, bevor Sie Ihr Display zum ersten Mal verwenden.
Weitere Informationen zu bestimmten Computern und Grafikkarten, die mit Ihrem
Display kompatibel sind, finden Sie unter: www.apple.com/de/displays. 36 Deutsch
Einrichten Ihres Displays
Gehen Sie wie im Folgenden beschrieben vor, um Ihr Apple Thunderbolt einzurichten:
1 Entfernen Sie die Schutzfolie von Display und Kabeln.
2 Schließen Sie das Netzkabel an das Display und dann den Netzstecker an eine geerdete
Steckdose an.
3 Schließen Sie das Thunderbolt-Kabel an den Thunderbolt-Anschluss Ihres Computers an.
Apple Thunderbolt Display
MacBook Pro
MagSafeNetzanschluss
Netzsteckdose
ThunderboltAnschluss
4 Wenn Sie ein MacBook Pro verwenden, schließen Sie den MagSafe-Stecker an den
MagSafe-Netzanschluss Ihres MacBook Pro-Computers an, um den Computer mit Strom
zu versorgen und die Batterie aufzuladen.
5 Ist Ihr Computer ausgeschaltet, drücken Sie den Ein-/Ausschalter (®) am Computer, um
ihn zu starten. Das Display wird automatisch eingeschaltet, wenn Sie Ihren Computer
einschalten.Deutsch 37
Verwenden Ihres MacBook Pro bei geschlossenem Bildschirm
Sie können den Bildschirm Ihres MacBook Pro schließen und Ihr Apple Thunderbolt
Display für die Bildschirmanzeige verwenden. Befolgen Sie die Anleitungen auf der
vorherigen Seite und vergewissern Sie sich, dass der MagSafe-Stecker des Displays am
MagSafe-Netzanschluss des MacBook Pro angeschlossen ist.
Ihr Apple Thunderbolt Display mit Ihrem MacBook Pro verwenden, wenn dessen
Bildschirm geschlossen ist:
1 Schließen Sie eine externe USB-Tastatur und -Maus an einen USB-Anschluss Ihres Displays an oder verwenden Sie den Bluetooth®-Assistenten, um eine drahtlose Tastatur
oder Maus zu konfigurieren.
2 Stellen Sie sicher, dass Ihr MacBook Pro eingeschaltet ist.
3 Schließen Sie den Bildschirm Ihres MacBook Pro-Computers, um den Ruhezustand zu
aktivieren.
4 Warten Sie einige Sekunden und drücken Sie dann eine beliebige Taste auf der externen Tastatur oder klicken Sie mit der Maus, um den Ruhezustand des MacBook ProComputers zu beenden.
Einrichten des Apple Thunderbolt Display als zweiten Bildschirm
Wenn Sie den Bildschirm Ihres MacBook Pro-Computers geöffnet lassen, können Sie auf
beiden Bildschirmen dasselbe Bild anzeigen oder Ihren Schreibtisch so erweitern, dass er
auf beiden Bildschirmen zu sehen ist. Verwenden Sie die Systemeinstellung „Monitore“, um
die Funktion „Bildschirme synchronisieren“ oder „Erweiterter Schreibtisch“ einzurichten.
Die Funktion zum Synchronisieren der Bildschirme oder für den erweiterten Schreibtisch einrichten:
1 Wählen Sie „Apple“ (?) > „Systemeinstellungen“ und klicken Sie auf „Monitore“.
2 Klicken Sie auf „Anordnen“ und befolgen Sie die angezeigten Anleitungen.38 Deutsch
Verwenden des Displays
Ihr Apple Thunderbolt Display besitzt eine integrierte FaceTime HD-Kamera, ein Mikrofon und ein Lautsprechersystem.
Lautsprechersystem
Mikrofon
Integrierte FaceTime
HD-Kamera
Verwenden der integrierten FaceTime HD-Kamera und des Mikrofons
Sie können die integrierte FaceTime HD-Kamera und das eingebaute Mikrofon verwenden, um Standbilder, Videos und Töne mithilfe von Programmen wie iChat, iMovie und
Photo Booth aufzunehmen.
Die Kamera und das Mikrofon mit iChat konfigurieren:
1 Klicken Sie auf das iChat-Symbol im Dock, um das Programm „iChat“ zu öffnen.
2 Wählen Sie „iChat“ > „Einstellungen“ und klicken Sie auf „Audio/Video“.
3 Wählen Sie „FaceTime HD Kamera (Display)“ aus dem Einblendmenü „Kamera“.
4 Wählen Sie „Display-Audio“ aus dem Einblendmenü „Mikrofon“.Deutsch 39
Einrichten der Toneingabe und -ausgabe
Über das Lautsprechersystem Ihres Displays können Sie Musik oder den Ton von Filmen, Spielen und Multimedia-Dateien hören. Mithilfe des Mikrofons können Sie Töne
aufzeichnen oder sich via iChat oder FaceTime mit Freunden unterhalten. Verwenden
Sie die Systemeinstellung „Ton“, um die Toneingabe und -ausgabe zu steuern.
Die Toneingabe konfigurieren:
1 Wählen Sie „Apple“ (?) > „Systemeinstellungen“ und klicken Sie auf „Ton“.
2 Klicken Sie in der Systemeinstellung „Ton“ auf „Eingabe“.
3 Wählen Sie „Display-Audio“, um die Toneingabe über das Mikrofon des Displays zu
aktivieren.
Die Tonausgabe konfigurieren:
1 Wählen Sie „Apple“ (?) > „Systemeinstellungen“ und klicken Sie auf „Ton“.
2 Klicken Sie in der Systemeinstellung „Ton“ auf „Ausgabe“.
3 Wählen Sie „Display-Audio“, um die Tonwiedergabe über das Lautsprechersystem des
Displays zu aktivieren.
Diese Toneinstellungen werden nun immer dann verwendet, wenn Sie Ihren Computer
mit dem Display verbinden. Sie bleiben solange gültig, bis Sie sie ändern.
Anpassen von Auflösung, Helligkeit und Farbe
Ihr Apple Thunderbolt Display kann die Bildschirmhelligkeit mithilfe des integrierten
Sensors für das Umgebungslicht automatisch an die aktuellen Lichtverhältnisse anpassen. Sie können diese Funktion zum automatischen Anpassen der Helligkeit in der
Systemeinstellung „Monitore“ aktivieren oder deaktivieren. 40 Deutsch
Die Auflösung oder die Helligkeit anpassen:
1 Wählen Sie „Apple“ (?) > „Systemeinstellungen“ und klicken Sie auf „Monitore“.
2 Wählen Sie eine Auflösung oder bewegen Sie die Helligkeitsregler, um die Helligkeit
einzustellen.
Sie können auch die Steuertasten für die Helligkeit auf einem externen Apple Keyboard
verwenden, um die Helligkeit des Displays zu erhöhen ( ) oder zu verringern ( ).
Vergewissern Sie sich, dass die Menüleiste auf dem Display angezeigt wird, das Sie anpassen möchten.
Das Farbprofil für das Display ändern oder das Display kalibrieren:
1 Klicken Sie in der Systemeinstellung „Monitore“ auf „Farbe“.
2 Wählen Sie ein Farbprofil aus oder klicken Sie auf „Kalibrieren“, um den Kalibrierungsassistenten zu öffnen.
Weitere Informationen zum Kalibrieren Ihres Displays können Sie anzeigen, indem Sie
in der Menüleiste „Hilfe “> „Mac-Hilfe“ wählen und nach „Kalibrieren“ suchen.Deutsch 41
Anschluss für die Diebstahlsicherung und Anschlüsse
Anschluss für die
Diebstahlsicherung
USB 2.0-
Anschlüsse (3)
GigabitEthernetanschluss
ThunderboltAnschluss
FireWire
800-Anschluss
Schließen Sie ein Sicherungskabel am Anschluss für die Diebstahlsicherung an, um Ihr
Display vor Diebstahl zu schützen.42 Deutsch
G Gigabit-Ethernetanschluss (10/100/1000BASE-T)
Über diesen Anschluss können Sie die Verbindung zu einem High-Speed-
10/100/1000BASE-T-Ethernetnetzwerk, einem DSL- oder Kabelmodem oder einen anderen Computer herstellen und Dateien übertragen. Der Ethernetanschluss erkennt andere
Ethernetgeräte automatisch.
Thunderbolt-Anschluss (High-Speed-Daten, Video und Audio)
Schließen Sie Thunderbolt-kompatible Geräte für die High-Speed-Datenübertragung an
oder schließen Sie ein anderes Display mit Thunderbolt-Unterstützung an. Dieser Thunderbolt-Anschluss ist nicht mit DVI-, VGA- oder DisplayPort-Displays oder Adaptern kompatibel.
d Drei High-Speed-USB 2.0-Anschlüsse (Universal Serial Bus)
Schließen Sie hier iPod, iPhone, iPad, Maus, Tastatur, Drucker, Laufwerke, Digitalkamera,
Joystick, externe USB-Modems und viele andere Geräte an. Sie können auch USB 1.1-Geräte anschließen.
H FireWire 800-Anschluss
Hier können Sie externe Geräte wie digitale Videokameras und Massenspeichergeräte
anschließen. der Anschluss stellt 7 Watt Strom bereit.
Wichtig: Sie können die USB-Anschlüsse zum Aufladen von iPad, iPhone oder iPod verwenden, auch wenn Ihr Display nicht mit einem Computer verbunden ist. Wenn Sie diese
Anschlüsse zum Synchronisieren von Daten zwischen Ihrem Computer und einem iPad,
iPhone oder iPod verwenden, stellen Sie sicher, dass das Display mit dem mitgelieferten
Thunderbolt-Kabel am Thunderbolt-Anschluss Ihres Computers angeschlossen ist.
Verwenden einer VESA-Befestigungslösung für Ihr Display
Mit dem VESA Mount Adapter-Kit steht Ihnen eine alternative Möglichkeit für die Montage des Displays mittels Wandhalterung oder Schwenkarm zur Verfügung. Das VESA
Mount Adapter-Kit erhalten Sie online im Apple Store unter: www.apple.com/de/store.
Mit diesem Kit können Sie Ihr Display an jeder beliebigen VESA-kompatiblen Befestigungslösung anbringen. Befolgen Sie dazu einfach die dem VESA Mount Adapter-Kit
beiliegenden Anleitungen. Deutsch 43
Sicherheit und Pflege
Vor dem Anheben oder Neupositionieren Ihres Displays müssen Sie möglicherweise
die Verbindungskabel und das Netzkabel vom Display abziehen. Beachten Sie beim
Aufstellen des Displays die empfohlenen Techniken zum Anheben des Geräts. Fassen
Sie das Display beim Anheben oder Transportieren am Gehäuserahmen. Heben Sie das
Display nicht am Aufstellfuß oder Kabel an.
Die Bildschirmoberfläche reinigen:
1 Ziehen Sie das Netzkabel heraus.
2 Verwenden Sie ein weiches, trockenes Tuch, um den Staub von der Bildschirmoberflä-
che zu entfernen.
ACHTUNG: Reinigen Sie den Bildschirm nicht mit einem alkohol- oder azetonhaltigen
Reinigungsmittel. Verwenden Sie nur Reiniger, die speziell für Bildschirme vorgesehen
sind. Sprühen Sie den Reiniger niemals direkt auf die Bildschirmoberfläche. Die Flüssigkeit könnte in das Bildschirmgehäuse gelangen und das Gerät beschädigen.
Nehmen Sie Ihr Display niemals in Bereichen in Betrieb, die eine hohe Staubkonzentration in der Luft oder Rauchentwicklung etwa durch Zigaretten, Zigarren, Aschenbecher,
Öfen oder Kamine aufweisen, oder in denen sich ein Ultraschallluftbefeuchter befindet,
der ungefiltertes Leitungswasser verwendet. Kleinste Staubpartikel, die durch Rauchen,
Kochen, Verbrennen oder durch die Verwendung eines Luftbefeuchters mit ungefiltertem Wasser entstehen, können in seltenen Fällen in die Lüftungsöffnungen des Displays gelangen und unter bestimmten Bedingungen dazu führen, dass die Innenseite
der Glasfläche des Displays beschlägt.44 Deutsch
Beachten Sie die folgenden Sicherheitsrichtlinien für die Verwendung Ihres Displays:
 Die einzige Möglichkeit, die Stromzufuhr vollständig zu unterbrechen, besteht darin,
den Netzstecker zu ziehen. Achten Sie darauf, das Kabel am Stecker, nicht am Kabel,
aus dem Anschluss herauszuziehen.
 Trennen Sie das Netzkabel sofort vom Stromnetz, falls es beschädigt oder abgenutzt
sein sollte, falls Flüssigkeit in das Display gelangt ist oder das Display heruntergefallen
oder anderweitig beschädigt sein sollte.
ACHTUNG: Verwenden Sie ausschließlich das mit Ihrem Display gelieferte Netzkabel. Dieses Gerät muss elektrisch geerdet sein. Schließen Sie das Gerät nur an eine
fachgerecht verlegte, geerdete Schuko-Steckdose an. Dies ist eine wichtige Sicherheitsmaßnahme. Entspricht die Steckdose nicht den Vorschriften, muss sie von einem
Fachmann neu verlegt werden. Gehen Sie beim Anschließen von Geräten an das
Stromnetz stets vorsichtig vor.
ACHTUNG: Bei Ihrem Display handelt es sich um ein Hochspannungsgerät, das auf
keinen Fall geöffnet werden darf, auch dann nicht, wenn es nicht am Stromnetz angeschlossen ist. Wenn Ihr Display gewartet oder repariert werden muss, lesen Sie den
Abschnitt „Weitere Informationen, Service und Support“ auf Seite 48.Deutsch 45
Ergonomie
Im Folgenden finden Sie einige Richtlinien, die Sie beim Einstellen Ihres Displays beachten sollten, um ein störungsfreies, bequemes Arbeiten zu ermöglichen.
 Stellen Sie das Display so auf, dass sich die Oberkante des Bildschirms beim Arbeiten
etwa in Augenhöhe oder knapp darunter befindet. Wie groß der Abstand zwischen
Bildschirm und Betrachter sein soll, hängt von den jeweiligen Anforderungen ab.
Häufig werden Abstände zwischen 45 und 70 cm verwendet.
 Stellen Sie die Neigung des Displays so ein, dass auf der Bildschirmanzeige keine
störenden Lichtreflexe von Lampen oder Fenstern zu sehen sind.
45–70 cm
Die Schultern
sind locker und
entspannt.
Die Oberschenkel
ruhen horizontal
auf dem Sitz.
Die Unterarme und
Hände befinden sich
auf einer Höhe.
Die Unterarme
sind horizontal
oder leicht
geneigt.
Die Rückenlehne
unterstützt den
Lendenwirbelbereich.
Das Display sollte so
aufgestellt werden, dass
Spiegelungen auf dem
Bildschirm vermieden
werden.
Die Füße stehen flach
auf dem Boden oder
auf einer Fußstütze.
Die Oberkante des Bildschirms sollte sich etwa
in Augenhöhe oder
knapp darunter befinden.
(Möglicherweise müssen
Sie dazu die Höhe des
Arbeitstischs verändern.)
Unter der Arbeitsplatte
sollte ein Freiraum sein.
Weitere Informationen zur Ergonomie, Sicherheit und Wartung finden Sie auf der
Apple-Website: www.apple.com/about/ergonomics.46 Deutsch
Fehlerbeseitigung
Bevor Sie eine der im Folgenden beschriebenen Maßnahmen ergreifen, stellen Sie
sicher, dass Ihr Computer eingeschaltet ist, das Display mit dem Stromnetz verbunden
ist, alle Kabel korrekt am Computer und am Display angeschlossen sind und der Ruhezustand Ihres Computers nicht aktiviert ist.
Wenn auf dem Bildschirm keine Anzeige sichtbar ist:
 Prüfen Sie die Kabel und Stecker erneut, um sicherzustellen, dass sie korrekt mit Computer und Display verbunden sind.
 Stellen Sie sicher, dass Ihr Computer eingeschaltet ist und sich nicht im Ruhezustand
befindet. Ist der Bildschirm Ihres MacBook Pro geschlossen, verwenden Sie eine externe Tastatur oder Maus, um den Ruhezustand Ihres MacBook Pro zu beenden.
 Ziehen Sie das Netzkabel des Displays aus der Steckdose, warten Sie einige Minuten
und schließen Sie das Kabel dann wieder an.
 Setzen Sie das Parameter-RAM zurück, indem Sie den Computer neu starten, während
Sie die Befehlstaste (x) die Wahltaste und die Tasten „P“ und „R“ gleichzeitig drücken
und gedrückt halten, bis der Startton ein zweites Mal ertönt.
Wenn der Bildschirm dunkel ist:
 Stellen Sie sicher, dass die Helligkeit für den Bildschirm korrekt eingestellt ist. Wählen
Sie „Apple“ (?) > „Systemeinstellungen“ und klicken Sie auf „Monitore“. Bewegen Sie
den Helligkeitsregler, um die Helligkeit einzustellen.
 Wenn die Farben zu stark oder nicht korrekt wiedergegeben werden, müssen Sie
Ihr Display möglicherweise kalibrieren. Öffnen Sie die Systemeinstellung „Monitore“,
klicken Sie auf „Farbe“ und auf „Kalibrieren. Befolgen Sie die anzeigten Anleitungen.Deutsch 47
Wenn Ihr MacBook Pro nicht aufgeladen wird:
Vergewissern Sie sich, dass der MagSafe-Stecker Ihres Displays fest mit dem MagSafeNetzanschluss Ihres MacBook Pro-Computers verbunden ist.
Wenn die integrierte FaceTime HD-Kamera, das Mikrofon, das Lautsprechersystem
oder die Anschlüsse am Display nicht funktionieren:
Stellen Sie sicher, dass das Thunderbolt-Kabel vom Display fest mit dem ThunderboltAnschluss des Computers verbunden ist. Die Kamera, das Mikrofon, das Lautsprechersystem und die Anschlüsse des Displays funktionieren nur, wenn das Kabel am Computer angeschlossen ist.
Weitere Informationen zur Fehlerbeseitigung
Mehr Informationen und Tipps zur Fehlerbeseitigung finden Sie auf der Support-Website für Ihr Display unter: www.apple.com/de/support/displays.48 Deutsch
Weitere Informationen, Service und Support
Weitere Informationen zu Ihrem Display finden Sie auf der Apple-Website und in der
Mac-Hilfe.
Näheres zum Thema finden Sie
Verwenden des Displays in der Mac-Hilfe und durch Suchen nach „Bildschirme“, „Displays“
oder „Monitore“.
Service und Support, Diskussionsforen, Einführungen und
Apple-Software-Downloads
auf der Support-Website für Displays unter:
www.apple.com/de/support/displays.
Aktuelle Informationen zu
Displays
auf der Apple-Website für Displays unter:
www.apple.com/de/displays.
Registrieren des Displays auf der Apple-Website zur Produktregistrierung unter:
www.apple.com/de/register.Deutsch 49
Technische Daten
 Modellnummer: A1407
 Auflösung: 2560 x 1440 @ 60 Hz
 Anschlüsse:
• Drei High-Speed-USB 2.0-Anschlüsse
• Ein Gigabit-Ethernetanschluss
• Ein Thunderbolt-Anschluss
• Ein FireWire 800-Anschluss
 Kamera und Mikrofon: Integrierte FaceTime HD-Kamera mit Mikrofon
 Lautsprecher: Eingebaute 2.1-Lautsprecher mit 49 W-Ausgangsleistung
Abmessungen und Gewicht:
 Gewicht: 10,7 kg
 Höhe: 488,1 mm
 Breite: 651,7 mm
 Tiefe (mit Standfuß): 208,13 mm
 Sichtbare Bildschirmdiagonale: 27" (685,8 mm) diagonal
Umgebungsbedingungen
 Betriebstemperatur: 10 °C bis 35 °C
 Relative Luftfeuchtigkeit: 20 % bis 80 % (nicht kondensierend)
 Höhe über NN: 0 bis 3048 mEspañol 51
Primeros pasos
La pantalla Apple Thunderbolt Display está diseñada para
utilizarse con ordenadores Mac equipados con un puerto
Thunderbolt. Incorpora una pantalla LED panorámica, un
conector MagSafe para cargar el MacBook Pro, una cámara
FaceTime HD integrada, un micrófono, un sistema de altavoces,
una ranura de seguridad y varios puertos.
Las instrucciones que figuran en las próximas páginas le ayudarán a instalar y usar su
nueva pantalla, y en concreto a:
 conectar la pantalla al ordenador;
 usar la cámara, el micrófono, el sistema de altavoces y los puertos de la pantalla;
 configurar los ajustes de la pantalla.
Nota: Puede conectar la pantalla Apple Thunderbolt Display a cualquier Mac que
tenga un puerto Thunderbolt.
Importante: Lea detenidamente todas las instrucciones de instalación (así como la
información sobre seguridad de página 59) antes de configurar y usar la pantalla.
Para obtener más información acerca de determinados modelos de ordenadores y de
tarjetas gráficas compatibles con su pantalla, visite www.apple.com/es/displays. 52 Español
Instalación de la pantalla
Siga estos pasos para configurar la pantalla Apple Thunderbolt Display:
1 Retire el plástico protector de la pantalla y de los cables.
2 Conecte el cable de alimentación a la pantalla y enchúfelo en una toma de corriente
con toma de tierra.
3 Conecte el cable Thunderbolt al puerto Thunderbolt del ordenador.
Apple Thunderbolt Display
MacBook Pro
Puerto de
alimentación
MagSafe
Toma de corriente
con conexión a tierra
Puerto
Thunderbolt
4 Si conecta la pantalla a un MacBook Pro, enchufe el conector MagSafe al puerto de
alimentación MagSafe del MacBook Pro para suministrarle alimentación y cargar la batería.
5 Si el ordenador está apagado, pulse el botón de arranque (®) del ordenador para
encenderlo. La pantalla se encenderá automáticamente cuando se encienda el ordenador.Español 53
Configuración del MacBook Pro con la pantalla integrada cerrada
Puede cerrar la pantalla integrada del MacBook Pro y usar únicamente la pantalla
Apple Thunderbolt Display. Siga las instrucciones de instalación de la página anterior
y asegúrese de que el conector MagSafe de la pantalla esté conectado al puerto de
alimentación MagSafe del MacBook Pro.
Para usar la pantalla Apple Thunderbolt Display con la pantalla integrada del
MacBook Pro cerrada:
1 Conecte un teclado y un ratón USB externos a un puerto USB de la pantalla o utilice el
Asistente Configuración Bluetooth® para configurar un teclado y un ratón inalámbricos.
2 Asegúrese de que el MacBook Pro esté encendido.
3 Cierre la pantalla integrada del MacBook Pro para ponerlo en reposo.
4 Espere unos segundos y, a continuación, pulse cualquier tecla del teclado externo o
haga clic con el ratón para activar el MacBook Pro.
Configuración de la pantalla Apple Thunderbolt Display como pantalla
adicional
Si deja la pantalla integrada del MacBook Pro abierta, podrá ver la misma imagen
del escritorio en ambas pantallas o bien usar esta pantalla adicional para ampliar el
escritorio. Para configurar estas dos modalidades (duplicado de vídeo o escritorio
ampliado), utilice el panel de preferencias Pantallas.
Para configurar la modalidad de duplicado de vídeo o la de escritorio ampliado:
1 Seleccione Apple (?) > Preferencias del Sistema y haga clic en Pantallas.
2 Haga clic en la pestaña Alineación y siga las instrucciones que aparecen en pantalla.54 Español
Utilización de la pantalla
La pantalla Apple Thunderbolt Display incorpora una cámara FaceTime HD integrada,
un micrófono y un sistema de altavoces.
Sistema de altavoces
Micrófono
Cámara FaceTime
HD integrada
Uso de la cámara FaceTime HD integrada y el micrófono
Puede usar la cámara FaceTime HD integrada y el micrófono para capturar imágenes
estáticas, vídeo y sonido con diversas aplicaciones, como FaceTime, iChat, iMovie y
Photo Booth.
Para configurar la cámara y el micrófono con iChat:
1 Haga clic en el icono de iChat situado en el Dock para abrir la aplicación iChat.
2 Seleccione iChat > Preferencias y, a continuación, haga clic en Audio/Vídeo.
3 Seleccione “Cámara FaceTime HD (pantalla)” en el menú local Cámara.
4 Seleccione “Audio de la pantalla” en el menú local Micrófono.Español 55
Configuración de la entrada y la salida de sonido
Puede escuchar música, películas, juegos y archivos multimedia a través del sistema
de altavoces de la pantalla. Puede usar el micrófono para grabar sonidos o hablar con
sus amigos mediante iChat o FaceTime. Utilice el panel de preferencias Sonido para
configurar la entrada y la salida de sonido.
Para configurar la entrada de sonido:
1 Seleccione Apple (?) > Preferencias del Sistema y haga clic en Sonido.
2 Haga clic en la pestaña Entrada del panel de preferencias Sonido.
3 Seleccione la opción “Audio de la pantalla” para utilizar el micrófono de la pantalla
como entrada de audio.
Para configurar la salida de sonido:
1 Seleccione Apple (?) > Preferencias del Sistema y haga clic en Sonido.
2 Haga clic en la pestaña Salida del panel de preferencias Sonido.
3 Seleccione “Audio de la pantalla” para escuchar el sonido a través del sistema de
altavoces de la pantalla.
Estos ajustes de sonido se usarán siempre que la pantalla esté conectada al ordenador.
Si no los cambia, se mantendrán de forma permanente.
Ajuste de la resolución, el brillo y el color
El brillo de la pantalla Apple Thunderbolt Display puede ajustarse automáticamente
en función de las condiciones de luz existentes mediante el sensor de luz ambiental
integrado. Puede activar o desactivar el ajuste automático del brillo en el panel de
preferencias Pantallas. 56 Español
Para cambiar la resolución o el brillo:
1 Seleccione Apple (?) > Preferencias del Sistema y haga clic en Pantallas.
2 Seleccione una resolución o arrastre el regulador de brillo.
También puede usar las teclas de brillo de un teclado Apple Keyboard externo para
aumentar ( ) o reducir ( ) el brillo de la pantalla. Asegúrese de que la barra de menús
esté en la pantalla que desea ajustar.
Para cambiar el perfil de color de la pantalla o para calibrarla:
1 Haga clic en la pestaña Color del panel de preferencias Pantallas.
2 Seleccione un perfil de color o haga clic en Calibrar para abrir el Asistente del
Calibrador de Pantalla.
Para obtener más información acerca de cómo calibrar su pantalla, seleccione Ayuda >
“Ayuda Mac” en la barra de menús y, a continuación, busque “calibrar”.Español 57
Ranura de seguridad y puertos
Ranura de seguridad
Puertos
USB 2.0 (3)
Puerto
Ethernet
Gigabit
Puerto
Thunderbolt
Puerto
FireWire 800
Para proteger la pantalla, inserte un cable de seguridad en la ranura de seguridad.58 Español
G Puerto Ethernet Gigabit (10/100/1000Base-T)
Permite conectar un cable de red Ethernet 10/100/1000Base-T de alta velocidad o un
módem (DSL o por cable), o bien conectar otro ordenador y transferir archivos. El puerto
Ethernet detecta automáticamente los demás dispositivos Ethernet.
Puerto Thunderbolt (transferencia de datos, vídeo y audio a alta velocidad)
Permite conectar dispositivos compatibles con Thunderbolt para una transferencia de
datos de alta velocidad o conectar otra pantalla que utilice Thunderbolt. Este puerto
Thunderbolt no es compatible con pantallas y adaptadores DVI, VGA o DisplayPort.
d Tres puertos USB (Universal Serial Bus) 2.0 de alta velocidad
Permite conectar un iPod, un iPhone, un iPad, un ratón, un teclado, una impresora, una
unidad de disco, una cámara digital, una palanca de juegos o un módem USB externo,
entre otros. También puede conectar dispositivos USB 1.1.
H Puerto FireWire 800
Permite conectar dispositivos externos, como cámaras de vídeo digitales y dispositivos
de almacenamiento. Este puerto proporciona hasta 7 W de potencia.
Importante: Puede utilizar los puertos USB para cargar el iPad, el iPhone o el iPod,
incluso aunque la pantalla no esté conectada a un ordenador. Si utiliza uno de estos
puertos para sincronizar información entre el ordenador y un iPad, iPhone o iPod,
asegúrese de que el cable Thunderbolt de la pantalla está conectado al puerto
Thunderbolt del ordenador.
Utilización de una solución de montaje VESA con la pantalla
Puede colocar su pantalla en otros soportes alternativos mediante el kit de
adaptadores de montaje VESA, que puede adquirirse a través de la tienda Apple
Store en Internet (www.apple.com/es/store). Con este kit podrá usar diversos
soportes compatibles con el estándar VESA con su pantalla. Sólo tiene que seguir las
instrucciones del kit. Español 59
Mantenimiento y seguridad
Antes de levantar la pantalla o cambiarla de lugar, debe desconectar los cables y
el cable de alimentación. Cuando levante la pantalla, hágalo de la forma adecuada.
Sosténgala siempre por los bordes para levantarla o trasladarla. No la levante por el pie
o el cable.
Para limpiar la pantalla:
1 Desconecte el cable de alimentación.
2 Utilice un paño seco y suave para quitar el polvo de la pantalla.
ADVERTENCIA: No utilice ningún producto que contenga alcohol o acetona. Use
un limpiador específico para pantallas y no lo aplique directamente sobre ella, pues
podría filtrarse hacia el interior de la pantalla y provocar daños.
No utilice la pantalla en lugares con grandes cantidades de polvo en el aire o de humo
de cigarrillos, puros, ceniceros, estufas o chimeneas, ni cerca de un humidificador
ultrasónico con agua del grifo no filtrada. En casos excepcionales, las pequeñas
partículas suspendidas en el aire producidas por el humo del tabaco, de la cocina
o de algún tipo de combustión, o por el uso de un humidificador ultrasónico con
agua del grifo no filtrada, penetran en las aberturas de ventilación de la pantalla y, en
determinadas circunstancias, producen una ligera neblina en el interior de la superficie
del panel de cristal que cubre la pantalla.60 Español
Siga estas instrucciones de seguridad para usar la pantalla:
 La única manera de desconectar completamente la pantalla de la corriente es
desenchufar el cable de alimentación. Recuerde tirar del enchufe, no del cable.
 Desconecte el ordenador de la corriente inmediatamente si el cable de alimentación
está roto o dañado, si se derrama líquido sobre la pantalla o si ésta sufre una caída o
está dañada.
ADVERTENCIA: Utilice únicamente el cable de alimentación que venía con la pantalla.
El cable de alimentación tiene un enchufe con toma de tierra y sólo puede acoplarse
a una toma de CA del mismo tipo. Si no puede introducir el enchufe en la toma
de corriente porque ésta no posee toma de tierra, póngase en contacto con un
electricista para sustituir la toma de corriente por una adecuada.
ADVERTENCIA: La pantalla es un componente de alto voltaje y por ello no debe
abrirse bajo ninguna circunstancia, incluso aunque esté desenchufada. Si la pantalla
necesita reparación, consulte “Más información, servicio y soporte” en la página 63.Español 61
Ergonomía
Siga estos consejos para eliminar los reflejos de la pantalla y colocarla de la manera
que le resulte más cómoda y adecuada.
 Coloque la pantalla de forma que la parte superior quede ligeramente por debajo de
la altura de sus ojos cuando esté sentado ante el teclado. La distancia desde sus ojos
a la pantalla depende de sus preferencias, aunque la mayoría de los usuarios se sitúan
a una distancia de entre 45 y 70 cm.
 Ajuste la posición de la pantalla inclinándola hacia arriba o hacia abajo para
minimizar los reflejos causados por la luz procedente de lámparas de techo y
ventanas cercanas.
Muslos en
posición horizontal
Hombros relajados
Pantalla colocada para
evitar los efectos del
deslumbramiento
Antebrazos y
manos formando
una línea recta
Nivel de los
antebrazos recto
y ligeramente
inclinado
hacia arriba
Zona lumbar
perfectamente
apoyada
Pies apoyados
totalmente
en el suelo
Nivel superior de la pantalla
ligeramente inferior al de
los ojos (es posible que
deba ajustar la altura del
monitor colocando una
base o elevando la
superficie de trabajo)
Espacio debajo de la
superficie de trabajo
De 45 a 70 cm
Si desea más información sobre salud, seguridad y mantenimiento, visite el sitio web de
Apple sobre ergonomía (www.apple.com/about/ergonomics).62 Español
Solución de problemas con la pantalla
Antes de realizar alguna de las acciones que indicamos en este apartado, compruebe
que el ordenador esté encendido, que la pantalla esté enchufada a una toma de
corriente con conexión a tierra, que todos los cables estén conectados adecuadamente
al ordenador y a la pantalla, y que el ordenador no esté en modo de reposo.
Si no se ve nada en la pantalla:
 Vuelva a comprobar los cables y los conectores para asegurarse de que estén bien
conectados al ordenador y a la pantalla.
 Asegúrese de que el ordenador esté encendido y no se encuentre en modo reposo.
Si la pantalla integrada de su MacBook Pro está cerrada, use el teclado o el ratón
externos para activar el MacBook Pro si estaba en reposo.
 Desenchufe el cable de alimentación de la pantalla de la toma de corriente con toma
de tierra, espere unos minutos y vuelva a enchufarlo.
 Reinicialice la PRAM reiniciando el ordenador mientras pulsa las teclas Comando (x),
Opción, P y R simultáneamente hasta que oiga el sonido de arranque por segunda vez.
Si la pantalla se ve oscura:
 Compruebe también que el brillo de la pantalla esté ajustado correctamente.
Seleccione Apple (?) > Preferencias del Sistema y haga clic en Pantallas. Arrastre el
regulador de brillo para ajustar el brillo de la pantalla.
 Si los colores de la pantalla están demasiado saturados o no se visualizan
correctamente, puede que sea necesario calibrar la pantalla. Abra el panel de
preferencias Pantallas, haga clic en la pestaña Color, haga clic en Calibrar y siga las
instrucciones.Español 63
Si su MacBook Pro no se está cargando:
Asegúrese de que el conector MagSafe de la pantalla esté conectado correctamente al
puerto de alimentación MagSafe del MacBook Pro.
Si la cámara FaceTime HD integrada, el micrófono, el sistema de altavoces o los
puertos de la pantalla no funcionan:
Asegúrese de que el cable Thunderbolt de la pantalla esté conectado firmemente al
puerto Thunderbolt del ordenador. La cámara, el micrófono, el sistema de altavoces y
los puertos de la pantalla sólo funcionan si este cable está conectado al ordenador.
Información adicional sobre solución de problemas
Puede encontrar más información sobre la solución de problemas en la página web de
soporte para pantallas: www.apple.com/es/support/displays.
Más información, servicio y soporte
Puede encontrar más información sobre su pantalla en la página web de Apple y en la
Ayuda Mac.
Para obtener información
acerca de
Consulte
Utilización de la pantalla La Ayuda Mac y busque “pantallas”.
Servicio, soporte, foros de
debate, solución de problemas
y descargas de software
relacionadas con las pantallas
El sitio de soporte para pantallas en
www.apple.com/es/support/displays.
La información más reciente
sobre pantallas
El sitio de Apple sobre pantallas en www.apple.com/es/displays.
Registro de la pantalla El sitio de registro de productos Apple en
www.apple.com/es/register.64 Español
Especificaciones
 Número de modelo: A1407
 Resolución: 2560 x 1440 a 60 Hz
 Puertos:
• Tres puertos USB 2.0 de alta velocidad
• Un puerto Ethernet Gigabit
• Un puerto Thunderbolt
• Un puerto FireWire 800
 Cámara y micrófono: cámara FaceTime HD integrada con micrófono
 Altavoces: altavoces 2.1 integrados con una salida de 49 W
Dimensiones:
 Peso: 10,7 kg
 Altura: 488,1 mm
 Anchura: 651,7 mm
 Profundidad (con soporte): 208,13 mm
 Tamaño de la pantalla: 27 pulgadas (685,8 mm) en diagonal
Entorno operativo
 Temperatura de funcionamiento: de 10 a 35 ºC
 Humedad relativa: 20–80% (sin condensación)
 Altitud: de 0 a 3048 metrosNederlands 65
Aan de slag
De Apple Thunderbolt Display is geschikt voor gebruik
met Mac-computers met een Thunderbolt-poort. Dit
breedbeeldscherm met led-achtergrondverlichting heeft een
MagSafe-connector voor het opladen van uw MacBook Pro,
een ingebouwde FaceTime HD-camera, een microfoon, een
luidsprekersysteem, een opening voor een antidiefstalkabel en
meerdere poorten.
Aan de hand van de instructies op de volgende pagina's leert u hoe u het nieuwe
beeldscherm installeert en gebruikt. De volgende onderwerpen komen aan bod:
 Het beeldscherm op uw computer aansluiten
 De camera, de microfoon, het luidsprekersysteem en de poorten van het
beeldscherm gebruiken
 De beeldscherminstellingen aanpassen
Opmerking: U kunt de Apple Thunderbolt Display aansluiten op elke Mac met een
Thunderbolt-poort.
Belangrijk: Lees alle installatie-instructies (en de veiligheidsinstructies vanaf pagina
pagina 72) voordat u het beeldscherm installeert en gebruikt.
Meer informatie over de specifieke computers en videokaarten die compatibel zijn met
uw beeldscherm vindt u op www.apple.com/nl/displays. 66 Nederlands
Het beeldscherm installeren
Voer de onderstaande stappen uit om de Apple Thunderbolt Display te installeren.
1 Verwijder het plastic beschermmateriaal van het beeldscherm en de kabels.
2 Sluit het netsnoer aan op het beeldscherm en sluit vervolgens de stekker van het
netsnoer aan op een geaard stopcontact.
3 Sluit de Thunderbolt-kabel aan op de Thunderbolt-poort van de computer.
Apple Thunderbolt Display
MacBook Pro
Poort voor
MagSafelichtnetadapter
Geaard
stopcontact
Thunderboltpoort
4 Als u het beeldscherm op een MacBook Pro aansluit, sluit u de MagSafe-connector aan
op de poort voor de MagSafe-lichtnetadapter van uw MacBook Pro om de computer
van stroom te voorzien en de batterij op te laden.
5 Als de computer is uitgeschakeld, zet u de computer aan door op de aan/uit-knop (®)
te drukken. Het beeldscherm wordt ingeschakeld zodra u de computer aanzet.Nederlands 67
De MacBook Pro met dichtgeklapt beeldscherm gebruiken
U kunt het beeldscherm van uw MacBook Pro dichtklappen en alleen de Apple
Thunderbolt Display gebruiken. Volg de installatie-instructies op de vorige pagina en
controleer of de MagSafe-connector van het beeldscherm is aangesloten op de poort
voor de MagSafe-lichtnetadapter van uw MacBook Pro.
De Apple Thunderbolt Display gebruiken terwijl het beeldscherm van de
MacBook Pro is dichtgeklapt
1 Sluit een extern USB-toetsenbord en een USB-muis aan op een USB-poort van
het beeldscherm of open de Bluetooth-configuratie-assistent om een draadloos
toetsenbord en een draadloze muis te configureren.
2 Zorg ervoor dat de MacBook Pro is ingeschakeld.
3 Klap het beeldscherm van de MacBook Pro dicht om de sluimerstand in te schakelen.
4 Wacht een paar seconden en druk vervolgens op een willekeurige toets op het externe
toetsenbord of klik met de muis om de MacBook Pro uit de sluimerstand te halen.
De Apple Thunderbolt Display als extra beeldscherm gebruiken
Wanneer u het beeldscherm van de MacBook Pro niet dichtklapt, kunt u hetzelfde
beeld op beide beeldschermen weergeven of het bureaublad uitbreiden. U kunt deze
voorzieningen instellen in het paneel 'Beeldschermen' in Systeemvoorkeuren.
Synchrone weergave of een uitgebreid bureaublad instellen
1 Kies Apple-menu (?) > 'Systeemvoorkeuren' en klik op 'Beeldschermen'.
2 Klik op 'Rangschikking' en volg de instructies op het scherm.68 Nederlands
Het beeldscherm gebruiken
In de Apple Thunderbolt Display zijn een FaceTime HD-camera, een microfoon en een
luidsprekersysteem ingebouwd.
Luidsprekersysteem
Microfoon
Ingebouwde
FaceTime HD-camera
De ingebouwde FaceTime HD-camera en microfoon gebruiken
Met de ingebouwde FaceTime HD-camera en microfoon kunt u stilstaande beelden en
video en geluid vastleggen in programma's als FaceTime, iChat, iMovie en Photo Booth.
De camera en microfoon instellen in iChat
1 Klik op het iChat-symbool in het Dock om het programma iChat te openen.
2 Kies 'iChat' > 'Voorkeuren' en klik vervolgens op 'Audio/Video'.
3 Kies 'FaceTime HD-camera (beeldscherm)' uit het venstermenu 'Camera'.
4 Kies 'Beeldschermaudio' uit het venstermenu 'Microfoon'.Nederlands 69
Geluidsinvoer en -uitvoer instellen
U kunt via het luidsprekersysteem van het beeldscherm naar muziek luisteren en het
geluid van films, games en ander multimediamateriaal weergeven. Met de microfoon
kunt u geluid opnemen of via iChat of FaceTime met vrienden en bekenden praten. U
kunt de instellingen voor de geluidsinvoer en -uitvoer opgeven in het paneel 'Geluid'
in Systeemvoorkeuren.
De geluidsinvoer instellen
1 Kies Apple-menu (?) > 'Systeemvoorkeuren' en klik op 'Geluid'.
2 Klik op 'Invoer'.
3 Kies 'Beeldschermaudio' om geluid in te voeren via de microfoon van het beeldscherm.
De geluidsuitvoer instellen
1 Kies Apple-menu (?) > 'Systeemvoorkeuren' en klik op 'Geluid'.
2 Klik op 'Uitvoer'.
3 Kies 'Beeldschermaudio' om geluid weer te geven via het luidsprekersysteem van uw
beeldscherm.
Deze geluidsinstellingen worden steeds gebruikt wanneer het beeldscherm op de
computer is aangesloten. Ze blijven van kracht totdat u ze wijzigt.
De resolutie, helderheid en kleuren aanpassen
De Apple Thunderbolt Display kan de helderheid van het scherm automatisch
aanpassen aan het omgevingslicht via de ingebouwde omgevingslichtsensor. U kunt
deze automatische aanpassing van de helderheid in- en uitschakelen in het paneel
'Beeldschermen' in Systeemvoorkeuren. 70 Nederlands
De resolutie of helderheid wijzigen
1 Kies Apple-menu (?) > 'Systeemvoorkeuren' en klik op 'Beeldschermen'.
2 Kies een resolutie of sleep de schuifknop 'Helderheid'.
U kunt de helderheid van het beeldscherm ook via de helderheidstoetsen op een
extern Apple Keyboard verhogen ( ) of verlagen ( ). Zorg ervoor dat u de menubalk
gebruikt op het beeldscherm waarvan u de helderheid wilt aanpassen.
Het beeldschermkleurprofiel wijzigen of het beeldscherm kalibreren
1 Klik op 'Kleur' in het paneel 'Beeldschermen' in Systeemvoorkeuren.
2 Kies een beeldschermkleurprofiel of klik op de knop 'Kalibreer' om de
Beeldschermkalibratie-assistent te openen.
Voor meer informatie over het kalibreren van uw beeldscherm kiest u 'Help' > 'Mac
Help' in de menubalk en zoekt u op “kalibreren”.
Opening voor antidiefstalkabel en poorten
Opening voor
antidiefstalkabel
USB 2.0-
poorten (3)
Gigabit
Ethernetpoort
Thunderboltpoort
FireWire
800-poortNederlands 71
Om het beeldscherm tegen diefstal te beschermen, kunt u een antidiefstalkabel
gebruiken en deze door de opening aan de achterzijde voeren.
G Gigabit Ethernet port (10/100/1000Base-T)
Via deze poort kunt u de computer aansluiten op een snel 10/100/1000Base-T Ethernetnetwerk, op een ADSL- of kabelmodem of op een andere computer voor het uitwisselen
van bestanden. Andere Ethernet-apparaten worden automatisch herkend dankzij de
automatische detectiefunctie van de Ethernet-poort.
Thunderbolt-poort (snelle gegevensoverdracht van video en audio)
Hierop kunt u voor Thunderbolt geschikte apparaten aansluiten voor snelle
gegevensoverdracht. U kunt ook een ander beeldscherm met een Thunderboltpoort aansluiten. Op deze Thunderbolt-poort kunt u geen DVI-, VGA- of DisplayPortbeeldschermen of -adapters aansluiten.
d Drie snelle USB 2.0-poorten (Universal Serial Bus)
Hierop kunt u onder andere een iPod, iPhone, iPad, muis, toetsenbord, printer, harde
schijf, digitale camera, joystick en externe USB-modem aansluiten. Deze poorten zijn ook
geschikt voor USB 1.1-apparaten.
H FireWire 800-poort
Hierop kunt u externe apparaten aansluiten, zoals digitale videocamera's en
opslagapparaten. De poort biedt maximaal 7 watt stroom.
Belangrijk: Via de USB-poorten kunt u ook uw iPad, iPhone of iPod opladen, zelfs als
het beeldscherm niet is aangesloten op een computer. Als u via een van deze poorten
gegevens op de computer met uw iPad, iPhone of iPod wilt synchroniseren, moet
de Thunderbolt-kabel van het beeldscherm wel op de Thunderbolt-poort van de
computer zijn aangesloten.72 Nederlands
Een VESA-montageoplossing voor het beeldscherm gebruiken
U kunt het beeldscherm op een andere montageoplossing aansluiten met behulp van
de VESA-montageadapterkit. Deze is verkrijgbaar via de online Apple Store op
www.apple.com/nl/store. Met deze kit kunt u het beeldscherm bevestigen aan elke
VESA-compatibele montageoplossing. Volg de instructies die bij de kit worden
meegeleverd.
Voorzorgsmaatregelen en veiligheid
Voordat u het beeldscherm optilt of verplaatst, moet u wellicht de kabels en het
netsnoer loskoppelen. Let bij het verplaatsen van het beeldscherm op uw houding.
Houd het beeldscherm bij de randen vast wanneer u het beeldscherm optilt of
vervoert. Til het beeldscherm niet op aan de standaard of aan het snoer.
Het beeldscherm schoonmaken
1 Koppel het netsnoer los.
2 Veeg het beeldscherm schoon met een zacht, droog doekje.
WAARSCHUWING: Reinig het scherm niet met een schoonmaakmiddel dat
alcohol of aceton bevat. Gebruik een schoonmaakmiddel dat geschikt is voor
beeldschermen. Spuit schoonmaakmiddelen nooit rechtstreeks op het scherm. Het
schoonmaakmiddel zou in het beeldscherm terecht kunnen komen en zo schade
kunnen veroorzaken.Nederlands 73
Gebruik het beeldscherm niet op plaatsen met veel stof, sigarettenrook, asbakken,
kachels of openhaarden of in de buurt van een ultrasone luchtbevochtiger die
gebruikmaakt van ongefilterd kraanwater. Minuscule deeltjes veroorzaakt door
roken, koken, verbranding of het gebruik van een ultrasone luchtbevochtiger
die gebruikmaakt van ongefilterd kraanwater kunnen (in zeldzame gevallen) de
ventilatieopeningen van het beeldscherm binnendringen en (onder bepaalde
omstandigheden) een lichte waas veroorzaken aan de binnenzijde van het glazen
paneel dat het beeldscherm bedekt.
Volg deze veiligheidsrichtlijnen voor het gebruik van het beeldscherm:
 De enige manier om de stroomvoorziening van het beeldscherm volledig te
onderbreken is door de stekker uit het stopcontact te halen. Trek aan de stekker, niet
aan het snoer.
 Schakel de stroom onmiddellijk uit als het netsnoer gerafeld of beschadigd is, als u
iets op het beeldscherm hebt gemorst of als het beeldscherm is gevallen of op een
andere manier beschadigd is geraakt.
WAARSCHUWING: Gebruik het netsnoer dat bij het beeldscherm is geleverd. Het
netsnoer heeft een randgeaarde stekker die alleen mag worden aangesloten op een
geaard stopcontact. Als u de stekker niet kunt aansluiten op een stopcontact omdat
dit niet is geaard, moet u contact opnemen met een erkende elektricien om het
stopcontact te laten vervangen door een randgeaard stopcontact.
WAARSCHUWING: Het beeldscherm heeft een hoog voltage en mag om geen
enkele reden worden geopend, zelfs niet wanneer de adapter is losgekoppeld. Zie
“Meer informatie over service en ondersteuning” op pagina 76 als op het beeldscherm
onderhoud moet worden uitgevoerd.74 Nederlands
Ergonomie
Hieronder vindt u enkele tips om spiegeling in het beeldscherm te voorkomen en zo
comfortabel mogelijk te kunnen werken.
 Plaats het beeldscherm zo dat de bovenkant van het scherm zich iets lager bevindt
dan uw ogen. De ideale afstand tussen het beeldscherm en uw ogen kunt u zelf
bepalen. Gebruikelijk is een afstand tussen 45 en 70 centimeter.
 Plaats het beeldscherm zo dat verlichting en ramen er zo min mogelijk in worden
weerspiegeld. U kunt het hiervoor omhoog of omlaag kantelen.
Bovenbenen iets
omlaag gericht
Schouders
ontspannen
Scherm zo geplaatst dat
er geen weerspiegelingen
optreden
Onderarmen
en handen in
een rechte lijn
Onderarmen
horizontaal of
iets omhoog
gericht
Onderrug
ondersteund
Voeten plat op de vloer
of op een voetsteun
Bovenzijde beeldscherm
iets onder ooghoogte
(leg eventueel iets onder
het scherm of verstel het
werkblad om ervoor te
zorgen dat het scherm
op de juiste hoogte staat)
Geen obstakels
onder het werkblad
45–70 cm
Ga naar www.apple.com/nl/about/ergonomics voor meer informatie over gezondheid,
veiligheid en onderhoud.Nederlands 75
Problemen met het beeldscherm oplossen
Voordat u een van de onderstaande stappen uitvoert, controleert u of de computer
is ingeschakeld, of het beeldscherm op een geaard stopcontact is aangesloten, of alle
kabels op de juiste wijze op de computer en het beeldscherm zijn aangesloten en of
de computer niet in de sluimerstand staat.
Er verschijnt niets op het beeldscherm
 Controleer of de kabels en connectors op de juiste manier zijn aangesloten op de
computer en het beeldscherm.
 Controleer of de computer is ingeschakeld en zich niet in de sluimerstand bevindt.
Als het beeldscherm van de MacBook Pro is dichtgeklapt, gebruikt u het externe
toetsenbord of de muis om de MacBook Pro uit de sluimerstand te halen.
 Trek het netsnoer van het beeldscherm uit het geaarde stopcontact, wacht een paar
minuten en sluit het vervolgens opnieuw aan.
 Stel het PRAM opnieuw in door de computer opnieuw op te starten en daarbij
Command (x), Option, P en R ingedrukt houdt totdat u het opstartgeluid voor de
tweede keer hoort.
Het scherm blijft donker
 Controleer of de helderheid juist is ingesteld. Kies Apple-menu (?) >
'Systeemvoorkeuren' en klik op 'Beeldschermen'. Sleep de schuifknop 'Helderheid'
om de helderheid aan te passen.
 Als de kleuren op het beeldscherm te verzadigd zijn of niet juist worden
weergegeven, moet u het beeldscherm mogelijk kalibreren. Open het paneel
'Beeldschermen' in Systeemvoorkeuren, klik op de tab 'Kleur', klik op de knop
'Kalibreer' en volg de instructies.76 Nederlands
De MacBook Pro wordt niet opgeladen
Controleer of de MagSafe-connector van het beeldscherm goed is aangesloten op de
poort voor de MagSafe-lichtnetadapter van uw MacBook Pro.
De ingebouwde FaceTime HD-camera, de microfoon, het luidsprekersysteem of de
poorten van het beeldscherm werken niet
Controleer of de Thunderbolt-kabel van het beeldscherm goed is aangesloten op de
Thunderbolt-poort van de computer. De camera, de microfoon, het luidsprekersysteem
en de poorten van het beeldscherm werken alleen als deze kabel op uw computer is
aangesloten.
Meer informatie over het oplossen van problemen
Ga voor meer informatie over het oplossen van problemen naar de
ondersteuningswebsite voor beeldschermen op www.apple.com/nl/support/displays.
Meer informatie over service en ondersteuning
Meer informatie over het beeldscherm kunt u vinden op de website van Apple en in
Mac Help.
Voor informatie over Zie
Het beeldscherm gebruiken Mac Help; zoek op “beeldschermen”.
Service voor uw beeldscherm,
ondersteuning, discussies,
oplossingen voor problemen
en softwaredownloads
De site voor beeldschermondersteuning op
www.apple.com/nl/support/displays.
Beeldschermen De site voor beeldschermen van Apple op
www.apple.com/nl/displays.
Het beeldscherm registreren De productregistratiesite van Apple op
www.apple.com/nl/register.Nederlands 77
Specificaties
 Modelnummer: A1407
 Resolutie: 2560 x 1440, 60 Hz
 Poorten:
• Drie snelle USB 2.0-poorten
• Een Gigabit Ethernet-poort
• Een Thunderbolt-poort
• Een FireWire 800-poort
 Camera en microfoon: Ingebouwde FaceTime HD-camera met microfoon
 Luidsprekers: Ingebouwd 2.1-luidsprekersysteem met 49 W uitvoer
Afmetingen:
 Gewicht: 10,7 kg
 Hoogte: 48,81 cm
 Breedte: 65,17 cm
 Diepte (inclusief standaard): 20,81 cm
 Weergavegebied: 27 inch diagonaal
Omgevingsvereisten:
 Temperatuur bij gebruik: 10 tot 35 °C
 Relatieve luchtvochtigheid: 20% tot 80%, niet-condenserend
 Hoogte: 0 tot 3048 meterItaliano 79
Introduzione
Il monitor Apple Thunderbolt è progettato per funzionare con
i computer Mac dotati di porta Thunderbolt. Dispone di un
monitor retroilluminato, un connettore MagSafe per caricare il
computer MacBook, una videocamera HD FaceTime integrata,
un microfono, un sistema di altoparlanti, uno slot di sicurezza
e porte.
Le istruzioni contenute nelle pagine seguenti ti aiutano a configurare e utilizzare il
nuovo monitor. Impara come:
 Collegare il monitor al computer
 Utilizzare la videocamera, il microfono, il sistema di altoparlanti e le porte del monitor
 Regolare le impostazioni del monitor
Nota: Puoi collegare il monitor Apple Thunderbolt a un computer Mac dotato di porta
Thunderbolt.
Importante: Prima di configurare e utilizzare il monitor, leggi attentamente le istruzioni
di installazione (e le informazioni sulla sicurezza a pagina pagina 86).
Per informazioni su computer e schede grafiche specifici compatibili con il monitor, vai
all'indirizzo www.apple.com/displays. 80 Italiano
Installare il monitor
Segui questi passi per configurare il monitor Apple Thunderbolt:
1 Rimuovi la pellicola protettiva dal monitor e dai cavi.
2 Inserisci il cavo di alimentazione nell'alimentatore di corrente, quindi inserisci la spina
CA in una presa dotata di messa a terra.
3 Collega il cavo Thunderbolt alla porta Thunderbolt del computer.
Apple Thunderbolt Display
MacBook Pro
Porta di
alimentazione
MagSafe
Presa di
messa a terra
Porta
Thunderbolt
4 Se esegui il collegamento a MacBook Pro, collega il connettore MagSafe alla porta di
alimentazione MagSafe su MacBook Pro per accenderlo e caricare la batteria.
5 Se il computer è spento, premi il pulsante di alimentazione (®) sul computer per
avviarlo. Il monitor si accende automaticamente quando avvii il computer.Italiano 81
Configurare MacBook Pro con il coperchio chiuso
Puoi chiudere il coperchio di MacBook Pro e utilizzare solamente il monitor Apple
Thunderbolt. Segui le istruzioni di configurazione illustrate nella pagina precedente
e assicurati che il connettore MagSafe del monitor sia inserito nella porta di
alimentazione di MagSafe di MacBook Pro.
Per utilizzare il monitor Apple Thunderbolt con il coperchio di MacBook Pro chiuso:
1 Collega una tastiera USB esterna ed un mouse a una porta USB del monitor oppure
utilizza Impostazione Assistita Bluetooth® per configurare una tastiera e un mouse
wireless.
2 Assicurati che MacBook Pro sia acceso.
3 Per metterlo in stop, chiudi il coperchio di MacBook Pro.
4 Attendi alcuni secondi, quindi premi un tasto della tastiera esterna o fai clic con il
mouse per riattivare MacBook Pro.
Configurare il monitor Apple Thunderbolt come monitor aggiuntivo
Quando lasci aperto il coperchio di MacBook Pro, puoi visualizzare la stessa immagine
della scrivania su entrambi i monitor oppure puoi utilizzarne uno aggiuntivo come
estensione della tua scrivania. Utilizza le preferenze Monitor per configurare la
duplicazione dello schermo o la scrivania estesa.
Per configurare la duplicazione dello schermo o la scrivania estesa:
1 Scegli Apple (?) > Preferenze di Sistema, quindi fai clic su Monitor.
2 Fai clic sul pannello Disposizione e segui le istruzioni su schermo.82 Italiano
Utilizzare il monitor
Il monitor Apple Thunderbolt dispone di videocamera HD FaceTime, di un microfono e
di un sistema di altoparlanti integrati.
Sistema di
altoparlanti
Microfono
Videocamera HD
FaceTime integrata
Utilizzare la videocamera HD FaceTime e il microfono integrati
Puoi utilizzare la videocamera HD FaceTime e il microfono integrati per acquisire immagini
statiche, video e audio con applicazioni come FaceTime, iChat, iMovie e Photo Booth.
Per configurare la videocamera e il microfono con iChat:
1 Fai clic sull'icona di iChat nel Dock per aprire l'applicazione.
2 Scegli iChat > Preferenze, quindi fai clic su Audio/Video.
3 Scegli Videocamera HD FaceTime (Monitor) dal menu a comparsa Fotocamera.
4 Dal menu a comparsa Microfono, scegli “Audio monitor”.Italiano 83
Configurare l'ingresso e l'uscita di audio
Puoi ascoltare musica, filmati, giochi e documenti multimediali attraverso il sistema
di altoparlanti del monitor. Puoi utilizzare il microfono per registrare dei suoni o per
parlare con i tuoi amici via iChat o FaceTime. Utilizza le preferenze Audio per gestire
l'ingresso e l'uscita di audio.
Per configurare l'ingresso audio:
1 Scegli Apple (?) > Preferenze di Sistema, quindi fai clic su Suono.
2 Fai clic sul pannello Ingresso, nelle preferenze Audio.
3 Scegli “Audio monitor” perché l'ingresso dell'audio avvenga attraverso il microfono del
monitor.
Per configurare l'uscita audio:
1 Scegli Apple (?) > Preferenze di Sistema, quindi fai clic su Suono.
2 Fai clic sul pannello Uscita, nelle preferenze Suono.
3 Scegli “Audio monitor” per sentire l'audio attraverso il sistema di altoparlanti del monitor.
Queste impostazioni vengono utilizzate ogni volta che il monitor è collegato al
computer. Rimarranno in vigore finché non le modificherai.
Regolare risoluzione, luminosità e colore
Il monitor Apple Thunderbolt è in grado di regolare automaticamente la luminosità a
seconda delle condizioni di luce dell'ambiente di utilizzo grazie al sensore della luce
ambientale integrato di cui è dotato. Puoi attivare o disattivare la luminosità automatica
dalle preferenze Monitor.
Per cambiare risoluzione o luminosità:
1 Scegli Apple (?) > Preferenze di Sistema, quindi fai clic su Monitor. 84 Italiano
2 Scegli una risoluzione o trascina il cursore Luminosità.
Puoi utilizzare anche i tasti luminosità di una tastiera Apple Keyboard esterna per
aumentare ( ) o diminuire ( ) la luminosità del monitor. Assicurati che la barra dei
menu sia sul monitor che desideri regolare.
Per calibrare il monitor o per modificarne il profilo colori:
1 Fai clic sul pannello Colore, nelle preferenze Monitor.
2 Scegli il profilo colore del monitor o fai clic su Calibra per aprire Calibrazione Monitor
assistita.
Per ulteriori informazioni sulla calibrazione del monitor, dalla barra dei menu scegli
Aiuto > Aiuto Mac, quindi cerca “calibra”.
Slot di sicurezza e porte
Slot di sicurezza
Tre porte
USB 2.0
Porta Gigabit
Ethernet
Porta
Thunderbolt
Porta
FireWire 800
Per proteggere il monitor, collega un cavo di sicurezza allo slot di sicurezza.Italiano 85
G Porta Gigabit Ethernet (10/100/1000Base-T)
Connettiti al network Ethernet 0/100/1000Base-T ad alta velocità, collega un modem DSL
o un modem cavo oppure collega un altro computer e trasferisci i documenti. La porta
Ethernet rileva automaticamente gli altri dispositivi Ethernet.
Porta Thunderbolt (dati, video e audio ad alta velocità)
Collega dispositivi compatibili con Thunderbolt per il trasferimento dati ad alta velocità
oppure collega un altro monitor che utilizza Thunderbolt. La porta Thunderbolt non è
compatibile con monitor o adattatori DVI, VGA o DisplayPort.
d Tre porte USB (Universal Serial Bus) 2.0 ad alta velocità
Collega iPod, iPhone, iPad, un mouse, una tastiera, una stampante, un'unità disco, una
fotocamera, un joystick, un modem USB esterno e altro ancora. Puoi anche collegare
dispositivi USB 1.1.
H Porta FireWire 800
Collega dispositivi esterni, come ad esempio videocamere digitali e dispositivi di
archiviazione. La porta fornisce un massimo di 7 watt di potenza.
Importante: Puoi utilizzare le porte USB per ricaricare iPad, iPhone o iPod, anche
quando il monitor non è collegato a un computer. Se utilizzi una di queste porte
per sincronizzare dei dati tra il computer e iPad, iPhone o iPod, assicurati che il cavo
Thunderbolt del monitor sia collegato alla porta Thunderbolt del computer.
Utilizzare una soluzione di montaggio VESA con il monitor
Puoi installare il monitor sfruttando una soluzione di montaggio alternativa grazie al
kit adattatore di montaggio VESA Mount Adapter disponibile su Apple Store in linea
all'indirizzo www.apple.com/it/store. Il kit ti consente di installare il monitor utilizzando
qualsiasi soluzione di montaggio compatibile con lo standard VESA. Attieniti alle
istruzioni incluse nel kit. 86 Italiano
Sicurezza e manutenzione
Prima di sollevare o riposizionare il monitor, scollega i cavi e l'alimentazione. Per
effettuare qualsiasi spostamento attieniti alla procedura più adeguata. Solleva e
trasporta il monitor reggendolo per i bordi e mai tenendolo per la base o per i cavi.
Per pulire lo schermo del monitor:
1 Scollega il cavo di alimentazione.
2 Utilizza un panno morbido e asciutto per rimuovere la polvere dallo schermo.
ATTENZIONE: Non pulire lo schermo con detergenti contenenti alcol o acetone.
Utilizza un prodotto adatto alla pulizia dello schermo o del monitor. Non utilizzare
mai prodotti spray direttamente sullo schermo per evitare che il liquido possa
penetrare al suo interno provocando danni.
Non utilizzare il monitor in zone con quantità significative di polvere o fumo di
sigarette e sigari nell'aria né vicino a portaceneri, fornelli, camini o umidificatori ad
ultrasuoni che utilizzano acqua del rubinetto non filtrata. Le particelle rilasciate nell'aria
da fumo, vapori di cottura, combustione o dall'uso di umidificatori ad ultrasuoni che
utilizzano acqua del rubinetto non filtrata potrebbe, in casi rari, inserirsi nelle fenditure
di ventilazione e, in certe condizioni, formare una patina sulla superficie interna del
rivestimento in vetro del monitor.Italiano 87
Per utilizzare l'alimentatore di corrente attieniti a queste linee guida di sicurezza:
 L'unico modo per interrompere completamente l'alimentazione consiste nello
scollegare il cavo di alimentazione. afferrandolo per la spina e non direttamente per
il cavo.
 Interrompi immediatamente l'alimentazione nel caso in cui il cavo di alimentazione
sia in qualche modo danneggiato, qualora abbia versato del liquido sul monitor, o se
il monitor dovesse cadere o subire altri tipi di danni.
ATTENZIONE: Utilizza solamente il cavo di alimentazione in dotazione con il monitor.
Il cavo di alimentazione dispone di una spina tripolare con messa a terra (una spina
con un terzo pin per la messa a terra) adatta solo a una presa AC con messa a terra.
Se non riesci a inserire la spina nella presa perché quest'ultima non è dotata di messa
a terra, contatta un elettricista per richiedere l'installazione di una presa appropriata
dotata di messa a terra.
ATTENZIONE: Il monitor è un componente ad alto voltaggio e non deve mai essere
aperto per nessun motivo, neppure quando non è collegato. Per assistenza riguardo
al monitor, consulta “Ulteriori informazioni, servizio e supporto” a pagina 90.88 Italiano
Disposizione dell’ambiente di lavoro
Di seguito sono riportate alcune indicazioni per regolare il monitor in modo da ridurre i
riflessi della luce e lavorare in una posizione adatta al proprio corpo.
 Colloca il monitor in modo che la parte superiore dello schermo risulti leggermente
al di sotto dell’altezza degli occhi quando si è seduti. La distanza tra gli occhi e il
monitor è soggettiva, tuttavia la distanza più diffusa è fra 45 e 70 cm.
 Posiziona il monitor inclinandolo verso l'alto o verso il basso in modo da ridurre al
massimo la presenza di riflessi causati da fonti di luce artificiale o naturale.
Cosce in
posizione
orizzontale
Spalle rilassate
Schermo posizionato in modo
da eliminare i riflessi di luce
Avambracci e
mani devono
essere in
linea retta
Il braccio e
l'avambraccio
devono formare
un angolo retto
Inclinare lo
schienale
Appoggiare i piedi a terra
o su un poggiapiedi
Parte superiore dello
schermo leggermente
al di sotto dell'altezza
degli occhi (se necessario,
posizionare oggetti sotto
lo schermo o sollevare il
piano della scrivania)
Mantenere libero lo spazio
sottostante la scrivania
45–70 cm
Per maggiori informazioni sulla salute, la sicurezza e la manutenzione, consulta il sito
web di Apple dedicato all'ergonomia all'indirizzo www.apple.com/about/ergonomics.Italiano 89
Risoluzione dei problemi del monitor
Prima di eseguire la seguente procedura, assicurati che il computer sia acceso, che
il monitor sia collegato a una presa di messa a terra, che tutti i cavi siano collegati
correttamente al computer e al monitor e che il computer non sia in stop.
Se non compare nessuna immagine:
 Verifica nuovamente che i cavi e i connettori siano collegati correttamente al
computer e al monitor.
 Assicurati che il computer sia acceso e che non sia in stop. Se il coperchio di MacBook Pro
è chiuso, utilizza la tastiera esterna oppure muovi il mouse per riattivare MacBook Pro.
 Scollega il cavo di alimentazione del monitor dalla presa di corrente, attendi qualche
minuto e reinseriscilo.
 Reimposta i parametri PRAM riavviando il computer tenendo premuti i tasti
Comando (x), Opzione, P e R finché non avverti una seconda volta il suono di avvio.
Se lo schermo è scuro:
 Assicurati che la luminosità del monitor sia impostata correttamente. Scegli Apple
(?) > Preferenze di Sistema, quindi fai clic su Monitor. Trascina il cursore della
luminosità per regolarla.
 Se i colori del monitor sono troppo saturati o non sono corretti, potresti dovere
calibrare il monitor. Apri le preferenze Monitor, fai clic sul pannello Colore, quindi su
Calibra e segui le istruzioni.
Se MacBook Pro non si ricarica:
Assicurati che il connettore MagSafe del monitor sia inserito correttamente nella porta
di alimentazione di MagSafe di MacBook Pro.90 Italiano
Se la videocamera HD FaceTime, il microfono, il sistema di altoparlanti e le porte
integrati nel monitor non funzionano:
Assicurati che il cavo Thunderbolt del monitor sia inserito saldamente nella porta
Thunderbolt del computer. La videocamera, le porte, il sistema di altoparlanti e il
microfono del monitor funzionano solo quando il cavo è collegato al computer.
Ulteriori informazioni sulla risoluzione dei problemi
Puoi trovare ulteriori informazioni sulla risoluzione dei problemi tecnici sul sito web di
supporto per i monitor all'indirizzo: www.apple.com/it/support/displays
Ulteriori informazioni, servizio e supporto
Puoi reperire maggiori informazioni riguardo al monitor sul sito web di Apple e in Aiuto
Mac.
Per informazioni su Consulta
Utilizzare il monitor Aiuto Mac e cerca “monitor”.
Servizio e assistenza per il
monitor, discussioni, risoluzione
dei problemi tecnici e download
di software Apple
Sito di assistenza per monitor all'indirizzo
www.apple.com/it/support/displays.
Le informazioni più recenti sui
monitor
Sito dei monitor Apple all'indirizzo
www.apple.com/it/displays.
Registrare il monitor Sito di registrazione dei prodotti Apple all'indirizzo
www.apple.com/it/register.Italiano 91
Specifiche tecniche
 Numero modello: A1407
 Risoluzione: 2560 x 1440 @ 60 Hz
 Porte:
• Tre porte USB 2.0 ad alta velocità
• Una porta Gigabit Ethernet
• Una porta Thunderbolt
• Una porta FireWire 800
 Videocamera e microfono: Videocamera HD FaceTime integrata con microfono
 Altoparlanti: altoparlanti 2.1 integrati con uscita a 49 W
Dimensioni:
 Peso: 10,7 kg (23,5 lb)
 Altezza: 488,1 mm (19,2 pollici)
 Larghezza: 651,7 mm (25,65 pollici)
 Profondità (con base): 208,13 mm (8,2 pollici)
 Area visibile: 27 pollici (685,8 mm)
Ambiente operativo:
 Temperatura operativa: tra 10° e 35° C
 Umidità relativa: da 20% a 80% (in assenza di condensa)
 Altitudine: da 0 a 3048 metriDansk 93
Introduktion
Apple Thunderbolt Display er designet til at arbejde
problemløst sammen med Mac-computere, som har en
Thunderbolt-port. Den har en bred skærm med LEDbaggrundsbelysning, MagSafe-stik til opladning af
MacBook Pro, indbygget FaceTime HD-kamera, mikrofon,
højttalersystem, plads til sikkerhedslås og porte.
Instruktionerne på de følgende sider hjælper dig med at indstille og bruge den nye
skærm Læs, hvordan du:
 Slutter skærmen til computeren
 Bruger skærmens kamera, mikofon, højttalersystem og porte
 Justerer skærmens indstillinger
Bemærk: Du kan slutte Apple Thunderbolt Display til en Mac-computer med en
Thunderbolt-port.
Vigtigt: Læs hele installeringsvejledningen (og alle sikkerhedsoplysningerne fra side
side 100) grundigt, før du indstiller og bruger skærmen.
Gå ind på www.apple.com/dk/displays, hvis du vil vide, hvilke computere og skærmkort
der er kompatible med skærmen. 94 Dansk
Opstille skærmen
Følg disse trin for at opstille din Apple Thunderbolt Display:
1 Fjern beskyttelsesfilmen fra skærmen og kablerne.
2 Sæt netstikket i skærmen, og sæt derefter den anden ende af netledningen i en jordet
stikkontakt.
3 Slut Thunderbolt-kablet til computerens Thunderbolt-port.
Apple Thunderbolt Display
MacBook Pro
MagSafestrømforsyningsport
Jordet stikkontakt
Thunderbolt-port
4 Hvis du slutter kablet til en MacBook Pro, skal du sætte MagSafe-stikket i porten til
MagSafe-strømforsyningen for at tænde den og oplade dens batteri.
5 Tryk på afbryderknappen (®) på computeren for at starte den. Skærmen tænder
automatisk, når du starter computeren.Dansk 95
Indstille MacBook, når den indbyggede skærm er slået ned
Du kan slå skærmen ned på MacBook Pro og kun bruge Apple Thunderbolt Display.
Følg instruktionerne på den foregående side, og sørg for, at MagSafe-stikket fra
skærmen sidder i MagSafe-strømforsyningsporten på MacBook Pro.
Du bruger Apple Thunderbolt Display med MacBook Pro, når skærmen er slået ned,
på følgende måde:
1 Slut et eksternt USB-tastatur og en mus til en USB-port på skærmen, eller brug
Bluetooth®-indstillingsassistent til at indstille et trådløst tastatur og en trådløs mus.
2 Sørg for, at MacBook Pro er tændt.
3 Slå skærmen på MacBook Pro ned for at sætte den på vågeblus.
4 Vent nogle sekunder, og tryk derefter på en vilkårlig tast på det eksterne tastatur, eller
klik med musen for at afbryde vågeblus på MacBook Pro.
Opstille Apple Thunderbolt Display som en ekstra skærm
Når skærmen på MacBook Pro er slået op, kan du vise det samme skærmbillede på
begge skærme eller bruge den ekstra skærm som en udvidelse af skrivebordet. Brug
vinduet Skærm til at indstille skærmdublering eller udvidet skrivebord.
Du indstiller skærmdublering eller udvidet skrivebord på følgende måde:
1 Vælg Apple (?) > Systemindstillinger, og klik på Skærm.
2 Klik på fanen Opstilling, og følg vejledningen på skærmen.96 Dansk
Bruge skærmen
Apple Thunderbolt Display har et indbygget FaceTime-kamera, en mikrofon og et
højttalersystem.
Højttalersystem
Mikrofon
Indbygget FaceTime
HD-kamera
Bruge det indbyggede FaceTime-kamera og den indbyggede mikrofon
Du kan bruge det indbyggede FaceTime-kamera og mikrofonen til at optage
stillbilleder, video og lyd med programmer som FaceTime, iChat, iMovie og Photo
Booth.
Du indstiller kamera og mikrofon med iChat på følgende måde:
1 Klik på symbolet for iChat i Dock for at åbne programmet iChat.
2 I iChat skal du vælge iChat > Indstillinger og derefter klikke på Lyd/video.
3 Vælg FaceTime HD-kamera (skærm) på lokalmenuen Kamera.
4 Vælg Skærmlyd på lokalmenuen Mikrofon.Dansk 97
Indstille lyd ind og lyd ud
Du kan lytte til musik, film, spil og multimediearkiver via skærmens højttalere. Du kan
bruge mikrofonen til at optage lyd eller tale med dine venner vha. iChat eller FaceTime.
Brug vinduet Lyd i Systemindstillinger til at administrere lyd ind og lyd ud.
Du indstiller lyd ind på følgende måde:
1 Vælg Apple (?) > Systemindstillinger, og klik på Lyd.
2 Klik på fanen Lyd ind i vinduet Lyd.
3 Vælg Skærmlyd for at bruge skærmens mikrofon til lyd ind.
Du indstiller lyd ud på følgende måde:
1 Vælg Apple (?) > Systemindstillinger, og klik på Lyd.
2 Klik på fanen Lyd ud i vinduet Lyd.
3 Vælg Skærmlyd for at høre lyd via skærmens højttalere.
Disse lydindstillinger bliver brugt, når skærmen er sluttet til computeren. De bliver
brugt, indtil du ændrer dem.
Justere opløsning, lysstyrke og farve
Apple Thunderbolt Display kan automatisk justere lysstyrken i forhold til de aktuelle
lysforhold vha. den indbyggede sensor til omgivende lys. Du kan slå automatisk
justering af lysstyrke til og fra i vinduet Skærm.
Du ændrer opløsningen eller lysstyrken på følgende måde:
1 Vælg Apple (?) > Systemindstillinger, og klik på Skærm.
2 Vælg en opløsning, eller træk mærket Lysstyrke.98 Dansk
Du kan også bruge tasterne til justering af lysstyrke på et eksternt Apple-tastatur til at
skrue op ( ) eller ned ( ) for skærmens lysstyrke. Kontroller, at menulinjen er på den
skærm, du vil justere.
Du ændrer skærmens farvebeskrivelse eller kalibrerer skærmen på følgende måde:
1 Klik på fanen Farve i vinduet Skærm.
2 Vælg en farvebeskrivelse til skærmen, eller klik på Kalibrer for at åbne
Kalibreringsassistent.
Hvis du vil have flere oplysninger om kalibrering af skærmen, skal du vælge Hjælp >
Mac-hjælp på menulinjen og søge efter “kalibrere”.
Plads til sikkerhedslås og porte
Plads til sikkerhedslås
USB 2.0-
porte (3)
Gigabit
Ethernetport
Thunderboltport
FireWire
800-port
Du sikrer skærmen ved at montere et sikkerhedskabel i pladsen til sikkerhedslåsen.Dansk 99
G Gigabit Ethernet port (10/100/1000Base-T)
Opret forbindelse til et hurtigt 10/100/1000Base-T Ethernet-netværk, tilslut et DSL- eller
kabelmodem eller opret forbindelse til en anden computer, og overfør arkiver. Ethernetporten finder automatisk andre Ethernet-enheder.
Thunderbolt-port (hurtig data-, video- og lydoverførsel)
Tilslut Thunderbolt-kompatible enheder med hurtig dataoverførsel, eller tilslut en anden
skærm, der bruger Thunderbolt. Denne Thunderbolt-port er ikke kompatibel med DVI-,
VGA- eller DisplayPort-skærme og -mellemstik.
d Tre hurtige USB 2.0-porte (Universal Serial Bus)
Tilslut en iPod, en iPhone, en iPad, en mus, et tastatur, en printer, et diskdrev, et digitalt
kamera, en joystick, et eksternt USB-modem m.m. Du kan også tilslutte USB 1.1-enheder.
H FireWire 800-port
Tilslut eksterne enheder, f.eks. digitale videokameraer og lagringsenheder. Porten leverer
en effekt på op til 7 watt.
Vigtigt: Du kan bruge USB-portene til at oplade en iPad, iPhone eller iPod, selvom
skærmen ikke er tilsluttet en computer. Hvis du bruger en af disse porte til at
synkronisere oplysninger mellem computeren og en iPad, iPhone eller iPod, skal du
sørge for, at skærmens Thunderbolt-kabel er tilsluttet computerens Thunderbolt-port.
Bruge en VESA Mounting Solution med skærmen
Du kan montere skærmen på en alternativ fod vha. et VESA Mount Adapter Kit, som
kan købes fra Apple Online Store på www.apple.com/dk/store. Brug sættet til at
montere skærmen på en af de tilgængelige VESA-kompatible fødder. Følg blot de
instruktioner, der følger med udstyret. 100 Dansk
Vedligeholdelse og sikkerhed
Før du løfter eller flytter skærmen, skal du afmontere kabler og strømforsyning. Brug
korrekt løfteteknik, når du flytter skærmen. Tag fat i skærmens sider, når du løfter eller
bærer skærmen. Løft ikke skærmen i foden eller ledningerne.
Du rengør skærmen på følgende måde:
1 Tag netledningen ud.
2 Brug en blød, tør klud til at fjerne støv fra skærmen.
ADVARSEL: Brug ikke rengøringsmidler, der indeholder sprit eller acetone. Brug et
rengøringsmiddel, der er beregnet til skærme. Sprøjt aldrig rensemiddel direkte på
skærmen. Hvis du gør det, drypper det måske ind i skærmen, hvor det kan forårsage
skader.
Brug ikke skærmen i områder med store mængder luftbåret støv eller røg fra cigaretter,
cigarer, askebægre, ovne eller pejse eller i nærheden af ultrasoniske luftfugtere, der
bruger ulfiltreret vand fra hanen. Bittesmå luftbårne partikler fra rygning, madlavning,
afbrænding eller en ultrasonisk luftfugter, der bruger ulfiltreret vand fra hanen, kan i
sjældne tilfælde trænge ind i ventilationshullerne på skærmen og kan under specielle
forhold resultere i lidt dis på indersiden af det glas, der dækker skærmen.Dansk 101
Følg disse sikkerhedsretningslinjer ved brug af skærmen:
 Du kan kun afbryde strømmen helt ved at trække netledningen ud. Sørg for, at du
trækker i stikket, ikke i ledningen.
 Tag netledningen ud med det samme, hvis stikket er beskadiget, eller ledningerne
er flossede, hvis du spilder noget på skærmen, eller hvis skærmen vælter eller bliver
beskadiget på anden vis.
ADVARSEL: Brug kun den netledning, der fulgte med skærmen. Netledningen er
udstyret med et jordet stik med tre ben, der kun passer til en stikkontakt med
jordforbindelse. Hvis du ikke kan sætte stikket i en stikkontakt, fordi den ikke har
jordforbindelse, skal du kontakte en elektriker for at få installeret en stikkontakt med
jordforbindelse.
ADVARSEL: Skærmen er en stærkstrømskomponent, og du bør under ingen
omstændigheder åbne den, heller ikke når strømmen er afbrudt. Hvis skærmen har
brug for service, skal du læse “Flere oplysninger samt service og support” på side 104.102 Dansk
Ergonomi
Dette afsnit indeholder nogle gode råd om, hvordan du justerer skærmen, så du
undgår lysreflekser og får den bedste arbejdsstilling.
 Anbring skærmen, så dens overkant er lige i eller en anelse under øjenhøjde, når du
sidder ved tastaturet. Du bestemmer selv, hvor langt fra skærmen du vil sidde, men
45 til 70 cm er normalt.
 Vip skærmen op eller ned for at undgå lysreflekser fra loftsbelysning og vinduer.
Lårene en
anelse skråt
Afslappede
skuldre
Skærmen anbringes,
så den ikke reflekterer lys
Underarme og
hænder i en
ret linje
Underarme lige
eller en
anelse bøjet
Støtte i
lænden
Fødderne fladt mod gulvet
eller en fodskammel
Toppen af skærmen i eller
lige under øjenhøjde.
(Det kan være nødvendigt
at justere skærmens højde
ved at hæve eller sænke
arbejdsbordet.)
Plads under arbejdsbordet
45–70 cm
Du kan få flere oplysninger om ergonomi, sikkerhed og vedligeholdelse på adressen
www.apple.com/about/ergonomics.Dansk 103
Fejlfinding til skærmen
Før du prøver nogle af disse forslag, skal du sørge for, at computeren er tændt,
at skærmen er sluttet til en jordet stikkontakt, at alle kabler er sluttet korrekt til
computeren og skærmen, og at computeren ikke er på vågeblus.
Hvis der ikke er noget billede på skærmen:
 Kontroller alle kablerne og stikkene igen, og sørg for, at de er sluttet korrekt til
computeren og skærmen.
 Sørg for, at computeren er tændt, og at den ikke er på vågeblus. Hvis skærmen på
MacBook Pro er slået ned, kan du bruge det eksterne tastatur eller musen til at
afbryde vågeblus på MacBook Pro.
 Fjern skærmens netledning fra det jordede stik, vent et par minutter, og tilslut
ledningen igen.
 Nulstil parameterhukommelsen (PRAM) ved at starte computeren igen og holde
Kommando (x), Alternativ, P og R nede, indtil du hører computerens startlyd anden
gang.
Hvis skærmen er mørk:
 Sørg for, at skærmens lysstyrke er indstillet korrekt. Vælg Apple (?) >
Systemindstillinger, og klik på Skærm. Træk mærket Lysstyrke for at justere lysstyrken.
 Hvis farverne på skærmen er for mættede eller ikke er korrekte, skal du måske
kalibrere skærmen. Åbn vinduet Skærm i Systemindstillinger, klik på fanen Farve, klik
på Kalibrer, og følg instruktionerne.
Hvis MacBook Pro ikke oplader:
Sørg for, at MagSafe-stikket fra skærmen sidder korrekt i MagSafestrømforsyningsporten på MacBook Pro.104 Dansk
Hvis det indbyggede FaceTime HD-kamera, mikrofonen, højttalersystemet eller
portene på skærmen ikke virker:
Sørg for, at Thunderbolt-kablet fra skærmen sidder korrekt i Thunderbolt-porten på
computeren. Skærmens kamera, mikrofon, højttalersystem og porte virker kun, hvis
kablet er tilsluttet computeren.
Flere oplysninger om fejlfinding
Der findes flere oplysninger om fejlfinding på webstedet med skærmsupport på
www.apple.com/dk/support/displays.
Flere oplysninger samt service og support
Du kan finde flere oplysninger om skærmen på Apples websted og i Mac-hjælp.
Hvis du vil læse om Se
Brug af skærmen Mac-hjælp, og søg efter “skærme”.
Service og support til skærme,
diskussioner, fejlfinding og
softwareoverførsler
Webstedet om support til skærme på
www.apple.com/dk/support/displays.
De nyeste oplysninger om skærme Webstedet om Apple-skærme på
www.apple.com/dk/displays.
Registrering af skærmen Webstedet om produktregistrering på
www.apple.com/dk/register.Dansk 105
Specifikationer
 Modelnummer: A1407
 Opløsning: 2560 x 1440 ved 60 Hz
 Porte:
• Tre hurtige USB 2.0-porte
• En Gigabit Ethernet-port
• En Thunderbolt-port
• En FireWire 800-port
 Kamera og mikrofon: Indbygget FaceTime HD-kamera med mikrofon
 Højttalere: Indbyggede 2.1-højttalere med en udgangseffekt på 49 W
Størrelse:
 Vægt: 10,7 kg
 Højde: 488,1 mm
 Bredde: 651,7 mm
 Dybde (med fod): 208,13 mm
 Billedområde: 685,8 mm (diagonalt)
Driftsomgivelser:
 Driftstemperatur: 10° til 35° C
 Relativ luftfugtighed: 20% til 80% (ikke kondenserende)
 Højde: 0 til 3048 meter106
FCC Compliance Statement
This equipment has been tested and found to comply with the
limits for a Class B digital device, pursuant to part 15 of the FCC
Rules. These limits are designed to provide reasonable protection
against harmful interference in a residential installation.
This equipment generates, uses, and can radiate radio
frequency energy and, if not installed and used in accordance
with the instructions, may cause harmful interference to radio
communications. However, there is no guarantee that interference
will not occur in a particular installation. If this equipment does
cause harmful interference to radio or television reception, which
can be determined by turning the equipment off and on, the user
is encouraged to try to correct the interference by one or more of
the following measures:
• Reorient or relocate the receiving antenna.
• Increase the separation between the equipment and receiver.
• Connect the equipment into an outlet on a circuit different from
that to which the receiver is connected.
• Consult the dealer or an experienced radio/TV technician for
help.
If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or
Apple. See the service and support information that came with
your Apple product. Or, consult an experienced radio/television
technician for additional suggestions.
Important: Changes or modifications to this product not
authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and
negate your authority to operate the product.
This product has demonstrated EMC compliance under conditions
that included the use of compliant peripheral devices and shielded
cables between system components. It is important that you use
compliant peripheral devices and shielded cables between system
components to reduce the possibility of causing interference to
radios, television sets, and other electronic devices.
Responsible party (contact for FCC matters only):
Apple Inc. Corporate Compliance
1 Infinite Loop, MS 26-A
Cupertino, CA 95014
Canadian Compliance Statement
This equipment complies with the Canadian ICES-003 Class B
specifications.
Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme
NMB-003 du Canada.
VCCI Class B Statement
Russia
Korea Class B Statement
B? ??(??? ???????)
? ??? ???(B?) ????????? ??
???? ???? ?? ???? ??, ?? ?
??? ??? ? ????.107
Europe–EU Declaration of Conformity
See www.apple.com/euro/compliance.
High-Risk Activities Warning
This display is not intended for use in the operation of nuclear
facilities, aircraft navigation or communications systems, or air
traffic control machines, or for any other uses where the failure of
the computer system could lead to death, personal injury or severe
environmental damage.
ENERGY STAR
®
As an ENERGY STAR
®
partner, Apple has determined that this
product meets the ENERGY STAR
®
requirements for energy
efficiency. The ENERGY STAR
®
program is a partnership with
electronic equipment manufacturers to promote energy-efficient
products. Improving energy efficiency of products saves money
and helps conserve valuable resources.
This display is shipped with power management enabled, which
allows the display to save power by decreasing luminance
when used in a room with low ambient lighting. This automatic
brightness control feature is enabled as a default setting in
Displays preferences. To adjust your display luminance manually,
use the display brightness keys on your keyboard or the brightness
adjustment in Displays preferences.
For more information about ENERGY STAR
®
, visit: www.energystar.gov
Disposal and Recycling Information
This symbol indicates that your product must be disposed of
properly according to local laws and regulations. When your
product reaches its end of life, contact Apple or your local
authorities to learn about recycling options.
For information about Apple’s recycling program, go to
www.apple.com/recycling.
European Union—Disposal Information
The symbol above means that according to local laws and
regulations your product should be disposed of separately from
household waste. When this product reaches its end of life, take
it to a collection point designated by local authorities. Some
collection points accept products for free. The separate collection
and recycling of your product at the time of disposal will help
conserve natural resources and ensure that it is recycled in a
manner that protects human health and the environment.
Union Européenne – informations sur l’élimination
Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarasser
de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères,
selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit
n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des
déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent
les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé
de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les
ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé
des êtres humains.108
Europäische Union – Informationen zur Entsorgung
Das Symbol oben bedeutet, dass dieses Produkt entsprechend den
geltenden gesetzlichen Vorschriften und getrennt vom Hausmüll
entsorgt werden muss. Geben Sie dieses Produkt zur Entsorgung
bei einer offiziellen Sammelstelle ab. Bei einigen Sammelstellen
können Produkte zur Entsorgung unentgeltlich abgegeben
werden. Durch das separate Sammeln und Recycling werden die
natürlichen Ressourcen geschont und es ist sichergestellt, dass
beim Recycling des Produkts alle Bestimmungen zum Schutz von
Gesundheit und Umwelt beachtet werden.
Unione Europea – informazioni per lo smaltimento
Il simbolo qui sopra significa che, in base alle leggi e alle norme
locali, il prodotto dovrebbe essere smaltito separatamente dai
rifiuti casalinghi. Quando il prodotto diventa inutilizzabile, portalo
nel punto di raccolta stabilito dalle autorità locali. Alcuni punti di
raccolta accettano i prodotti gratuitamente. La raccolta separata e
il riciclaggio del prodotto al momento dello smaltimento aiutano
a conservare le risorse naturali e assicurano che venga riciclato nel
rispetto della salute umana e dell’ambiente.
Europeiska unionen – uttjänta produkter
Symbolen ovan betyder att produkten enligt lokala lagar och
bestämmelser inte får kastas tillsammans med hushållsavfallet. När
produkten har tjänat ut måste den tas till en återvinningsstation
som utsetts av lokala myndigheter. Vissa återvinningsstationer
tar kostnadsfritt hand om uttjänta produkter. Genom att låta den
uttjänta produkten tas om hand för återvinning hjälper du till att
spara naturresurser och skydda hälsa och miljö.
Türkiye
EEE yönetmeligine (Elektrikli ve Elektronik Esyalarda Bazi Zararli
Maddelerin Kullaniminin Sinirlandirilmasina Dair Yönetmelik)
uygundur.
Brasil – Informações sobre descarte e reciclagem
O símbolo acima indica que este produto e/ou sua bateria
não devem ser descartadas no lixo doméstico. Quando decidir
descartar este produto e/ou sua bateria, faça-o de acordo com
as leis e diretrizes ambientais locais. Para informações sobre o
programa de reciclagem da Apple, pontos de coleta e telefone de
informações, visite: www.apple.com/br/environment.
Apple and the Environment
Apple Inc. recognizes its responsibility to minimize the
environmental impacts of its operations and products. More
information is available on the web:
www.apple.com/environment
Apple et l’environnement
Apple Inc. est conscient de sa responsabilité en matière de
réduction de l’impact de ses produits et de ses activités sur
l’environnement. Des informations supplémentaires sont
disponibles à la page www.apple.com/fr/environmentApple und der Umweltschutz
Apple Inc. ist ständig darum bemüht, die Belastungen, die sich
aus der Verwendung von Apple-Systemen und -Produkten für die
Umwelt entstehen können, auf einem möglichst niedrigen Niveau
zu halten. Weitere Informationen hierzu finden Sie im Internet
unter der folgenden Adresse: www.apple.com/de/environment
Apple y el medio ambiente
Apple Inc. reconoce su responsabilidad en la minimización
del impacto medioambiental de sus actividades y productos.
Encontrará más información en la siguiente página web:
www.apple.com/es/environment
Apple en het milieu
Apple Inc. probeert schadelijke gevolgen voor het milieu door
Apple activiteiten en producten tot een minimum te beperken.
Meer informatie vindt u op het web:
www.apple.com/nl/environment
Apple e l’ambiente
Apple Inc. è impegnata a ridurre l’impatto dei suoi prodotti
sull’ambiente. Per ulteriori informazioni, consulta il sito web:
www.apple.com/it/environment
Apple og miljøet
Apple Inc. erkender sit ansvar for at medvirke til at mindske
produkternes indvirkning på miljøet. Der findes flere oplysninger
på internettet: www.apple.com/dk/environment
ManualeUtente
PowerBookG4
Includeinformazionisull'installazione, l'espansioneelarisoluzione deiproblemirelativi
aicomputerPowerBookG4K Apple Computer, Inc.
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1 In?nite Loop
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esclusivi di visione limitata.3
Indice
1 Manuale Utente 7
Collegare il computer 8
Aprire il pannello dello schermo 9
Accendere il computer 10
Spostare gli elementi sullo schermo 12
Regolare le impostazioni dello schermo interno 13
Procedura da seguire all'avvio 14
Calibrare la batteria per ottenere le migliori prestazioni 15
Che cosa fare dopo aver terminato di lavorare con PowerBook 15
2 Caratteristiche del computer 17
Informazioni per i nuovi utenti Macintosh 17
Caratteristiche principali di PowerBook 18
Caratteristiche addizionali di PowerBook 20
Componenti interni di PowerBook 22
Informazioni su Mac OS X 24
iTools, servizi Internet gratuiti per gli utenti Mac 26
Sherlock 2, lo strumento per la ricerca su Internet 28
Apple.com, il punto di partenza sul Web 30
QuickTime, audio e video su Internet 32
iMovie 2, creazione e montaggio di ?lmati digitali 34
iTunes, musica digitale per il Mac 36
Aggiornamento Automatico - Tenere automaticamente aggiornato il computer Mac 38
Multiutenza - Trasformare un Mac in tanti Mac 40
Aiuto Mac - Risposte a tutte le domande su Macintosh 434 Indice
3 Utilizzo del computer 45
USB (Universal Serial Bus) 46
FireWire 48
Schede PC Card 50
Tecnologia wireless AirPort per Internet e networking 51
Ethernet (10/100/1000 Base-T) 53
Infrarossi (IrDA) 54
Supporto video esterno (VGA e S-Video) 55
Batteria 58
Unità DVD-ROM 61
Unità CD-RW opzionale 63
Controlli della tastiera e tasti funzione personalizzabili 64
Slot di sicurezza e dispositivo di bloccaggio della tastiera 66
4 Utilizzo del sistema operativo 69
Informazioni su Mac OS X 70
Utilizzo dell'ambiente Classic in Mac OS X 70
Utilizzo di un sistema operativo differente 71
In caso di problemi 72
5 Lavorare con i componenti interni del computer 73
Installare memoria addizionale 73
Rimuovere il disco rigido interno 81
Installare una Scheda AirPort 91
6 Risoluzione dei problemi 93
Informazioni incluse in questo capitolo 93
Problemi che non permettono all'utente di utilizzare il computer 94
Ripristino del software del computer 96
Altri problemi 96
Individuare il numero seriale del prodotto 97
Appendice A
Specifiche tecniche 99
Apple System Pro?ler 99
Speci?che PowerBook 100Indice 5
Appendice B
Manutenzione, utilizzo e informazioni sulla sicurezza 103
Pulizia di PowerBook 103
Trasporto di PowerBook 103
Accorgimenti per riporre PowerBook 103
Istruzioni sulla sicurezza per la con?gurazione e l'utilizzo del computer 104
Istruzioni sulla sicurezza 105
Disposizione dell'ambiente di lavoro 1067
C A P I T O L O
1
1 Manuale Utente
Questo computer PowerBook è stato ideato per poter essere installato rapidamente e
utilizzato immediatamente. Per coloro che non hanno mai usato un computer PowerBook e
non conoscono i computer Macintosh, si consiglia di leggere questa sezione che offre
informazioni utili sull'installazione e spiega come accedere ad ulteriori informazioni.
Gli utenti esperti dovrebbero essere già in grado di eseguire le procedure per l'installazione.
Si consiglia comunque di leggere il Capitolo 2, “Caratteristiche del computer” per
informazioni sulle nuove caratteristiche di PowerBook.
Nota: Il computer potrebbe non includere il cavo C/A.
Cavo Composito-S-video
Alimentatore Cavo CA
Connettore CA
Cavo telefonico
Importante Leggere attentamente tutte le istruzioni sull'installazione e la sicurezza (vedere
la sezione a pagina 103) prima di collegare il computer a una presa di corrente fornita di
messa a terra.8 Capitolo 1
Collegare il computer
Quando l'alimentatore è collegato il computer viene alimentato e la batteria si ricarica. Si
dovrebbe collegare l'alimentatore nel caso in cui la batteria si sia scaricata durante il trasporto
o lo stoccaggio.
1 Collegare il cavo C/A dell'alimentatore a una presa di corrente.
Apparirà una spia luminosa sull'alimentatore. Se la spia è di colore ambra signi?ca che la
batteria si sta ricaricando. Se la spia è di colore verde signi?ca che la batteria è
completamente carica.
2 Collegare il connettore dell'alimentatore alla porta alimentatore (identi?cata dall'icona ¯) sul
pannello posteriore del computer.
È possibile avvolgere la parte restante del cavo di alimentazione attorno ai due ganci che
fuoriescono dall'alimentatore.
Nota: Potrebbe esserci un piccolo divario tra il cavo C/A e l'alimentatore. È anche possibile
rimuovere il cavo C/A e collegare un'estremità del cavo C/A nell'alimentatore e l'altra nella
presa.
G ™ Æ W
Connettore CA Connettore alimentatore ¯ Porta alimentazione WModem interno
Cavo telefonico
Cavo C/A AlimentatoreManuale Utente 9
Collegare il modem interno
Per connettersi immediatamente a Internet, collegare un'estremità del cavo telefonico alla
porta del modem interno (contrassegnata dall'icona W) e l'altra estremità del cavo a una
linea telefonica analogica (del tipo in dotazione nella maggioranza delle abitazioni).
Aprire il pannello dello schermo
1 Premere il pulsante a scatto del pannello dello schermo.
2 Aprire il pannello dello schermo e sollevarlo ?no a ottenere l'angolo di visualizzazione
ottimale.
Attenzione Non collegare una linea telefonica digitale al modem, poiché il tipo di linea
errato potrebbe danneggiare il modem. Per sapere se si dispone di una linea telefonica
digitale, contattare il proprio fornitore del servizio telefonico.
®10 Capitolo 1
Accendere il computer
Per accendere il computer, premere il pulsante di alimentazione (®). Accendendo il
computer si dovrebbe sentire il suono di avvio. Il computer impiega alcuni secondi per
accendersi. Questo è normale. Quando si preme il pulsante di alimentazione, PowerBook,
prima di avviarsi, effettua la veri?ca della memoria interna. Tanto è maggiore la memoria,
quanto più lungo sarà il tempo necessario per l'avvio del computer.
® Pulsante di
alimentazione
®Manuale Utente 11
Problemi all'avvio del computer
Premendo il pulsante di alimentazione non appare nulla.
m La batteria potrebbe essere scarica. Assicurarsi che l'alimentatore sia collegato al
computer e a una presa di corrente. Sulla spina dell'alimentatore appare una spia
quando è collegata correttamente al computer PowerBook.
m Se, anche dopo avere premuto il pulsante di alimentazione, il computer non si
accende, utilizzare la punta di una penna per premere il pulsante di reset (vedere a
pagina 20) sul pannello posteriore del computer. Assicurarsi che il pulsante ritorni
alla sua posizione originale dopo averlo premuto. Aspettare alcuni secondi, quindi
premere nuovamente il pulsante di alimentazione.
m Se il computer continua a non accendersi, andare a pagina 95 per avere più
suggerimenti sulla risoluzione dei problemi.
Sullo schermo appare l'icona di un dischetto o di una cartella con
all'interno un punto interrogativo lampeggiante.
m Questa icona segnala normalmente che il computer non ha individuato il software
di sistema sul disco rigido o sui dischi collegati al computer. Potrebbe essere
necessario reinstallare il software di sistema. Andare a pagina 94.12 Capitolo 1
Spostare gli elementi sullo schermo
Il trackpad di PowerBook consente di spostare e selezionare gli elementi sullo scrivania, così
come si usa il mouse con i computer desktop. Per spostare il puntatore a freccia sullo
schermo, fare scivolare le dita sul trackpad. Per selezionare un elemento, fare clic o doppio
clic su un elemento e quindi premere il pulsante del trackpad.
Nota: In alternativa, è possibile anche fare clic o doppio clic direttamente sul trackpad.
Questa opzione può essere attivata nel controllo "Trackpad" di Mac OS 9 o nel pannello
"Mouse" di "Preferenze di Sistema" in Mac OS X.
Il trackpad è sensibile alla velocità di movimento delle dita. Per spostare il puntatore su un
elemento vicino sulla Scrivania, muovere lentamente le dita sul trackpad. Quanto più rapido
è il movimento delle dita, tanto più veloce è lo spostamento del puntatore sulla Scrivania.
®
Trackpad Pulsante del trackpad
Suggerimenti per l'utilizzo del trackpad
Per ottimizzare l'uso del trackpad, seguire questi suggerimenti:
m Usare un solo dito. Non usare penne o altri oggetti.
m Le dita e il trackpad devono essere asciutti. Se il trackpad è umido, prima di usarlo,
asciugarlo con un panno pulito.
m Non utilizzare mai sostanze detergenti per pulire il trackpad.
Per ulteriori informazioni sull'utilizzo del trackpad, consultare l'Aiuto Mac o il Tutorial
Mac disponibile dal menu "Aiuto".Manuale Utente 13
Regolare le impostazioni dello schermo interno
Prima di iniziare a usare il nuovo PowerBook, si consiglia di regolare le impostazioni dello
schermo per visualizzare in modo corretto gli elementi sullo schermo.
Regolare la luminosità
Per regolare la luminosità, utilizzare i pulsanti identi?cati dall'icona ¤.
Regolare la risoluzione dello schermo
È possibile aumentare le dimensioni delle immagini sullo schermo, passando dalla
risoluzione standard a un'altra. Per regolare la risoluzione del monitor:
m In Mac OS9, fare clic sul modulo "Risoluzione" nella Striscia di Controllo.
®
¤ Controlli luminosità
Modulo "Risoluzione"14 Capitolo 1
m In Mac OS X, fare clic sul pannello "Monitor" di "Preferenze di Sistema". Per controllare le
impostazioni del monitor dall'icona del monitor della barra dei menu, fare clic su “Mostra
Monitor nella barra dei menu”.
Risoluzioni supportate dal monitor integrato
PowerBook presenta uno schermo "wide screen" con risoluzione nativa 1152 x768 che
supporta anche risoluzioni standard, quali 1024 x768. Quando si utilizza una risoluzione
standard, su ciascun lato dello schermo viene visualizzata una banda nera.
La maggior parte delle applicazioni passano automaticamente alla risoluzione migliore per
l'applicazione.
La risoluzione standard potrebbe essere utile in caso di duplicazione dello schermo su un
monitor esterno o in caso di utilizzo di particolari applicazioni, quali ad esempio giochi o
software per presentazioni, sviluppate per una risoluzione standard.
Se non si desiderano le bande nere quando si utilizza un'applicazione sviluppata per la
risoluzione standard, selezionare la risoluzione “allungata” per fare in modo che l'immagine
copra l'intero schermo, eliminando le bande nere. Per accedere ad ulteriori risoluzioni di
questo tipo in Mac OS 9, tenere premuto il tasto "Comando" (?) mentre si fa clic sul
modulo "Risoluzione" sulla Striscia di Controllo.
In Mac OS X, è possibile scegliere una risoluzione di 896 x600 o inferiore dopo avere
selezionato l'icona del monitor nella barra dei menu. Queste sono chiamate "a bassa
risoluzione". Quando si passa a una risoluzione di questo tipo, gli elementi vengono
visualizzati più grandi e risultano maggiormente visibili. Tuttavia, le altre risoluzioni
potrebbero offrire una nitidezza dell'immagine inferiore a quella nativa.
Procedura da seguire all'avvio
Tutte le procedure necessarie per la con?gurazione e l'avvio di PowerBook sono state
eseguite. La prima volta che si avvia il computer, appaiono le varie ?nestre del software
Impostazione Assistita Macintosh attraverso le quali sarà possibile con?gurare il computer e
impostare le opzioni per l'accesso a Internet.
Se si desiderano altre informazioni, leggere quanto segue:
Per informazioni su Vedere la sezione
Spegnere o mettere il computer in stato di
Stop
“Che cosa fare dopo aver terminato di
lavorare con PowerBook” a pagina 15
Possibilità di utilizzo delle caratteristiche
hardware e software di PowerBook
Capitolo 2, “Caratteristiche del computer”Manuale Utente 15
Calibrare la batteria per ottenere le migliori prestazioni
Per ottenere la massima durata possibile della carica della batteria, lasciar scaricare
completamente la batteria durante la prima settimana di vita di PowerBook. Quindi ricaricarla
completamente. Seguire questa procedura:
1 Inserire l'adattatore nella presa di corrente e lasciare la batteria di PowerBook sotto carica
?no a quando le spie luminose e l'indicatore su schermo segnalano che la batteria è
completamente carica (vedere la sezione a pagina 59).
2 Scollegare l'alimentatore e utilizzare PowerBook ?no a quando non viene visualizzato il
primo avviso di batteria scarica.
3 Collegare l'adattatore e lasciare la batteria sotto carica ?no a quando la carica non sarà
completata.
Che cosa fare dopo aver terminato di lavorare con
PowerBook
Dopo aver terminato di lavorare con PowerBook, è possibile:
Mettere PowerBook in stato di Stop
Se si interrompe il lavoro solo per un breve periodo, mettere il computer in stato di Stop.
Quando il computer è in stato di Stop, è possibile "svegliarlo" immediatamente senza dover
effettuare il processo di riavvio. Quando il computer è in stato di Stop, lo schermo diventa
nero e una piccola spia bianca immediatamente sotto lo schermo lampeggia.
Per mettere il computer in stato di Stop, utilizzare una delle seguenti procedure:
Ulteriori informazioni sono disponibili
nell'Aiuto
“Aiuto Mac - Risposte a tutte le domande su
Macintosh” a pagina 43
Utilizzare una caratteristica speci?ca di
PowerBook
Capitolo 3, “Utilizzo del computer”
Installazione della memoria Capitolo 5, “Lavorare con i componenti
interni del computer”
Cosa fare in caso di problemi con PowerBook Capitolo 6, “Risoluzione dei problemi”
Per informazioni su Vedere la sezione
Importante Per la calibrazione della batteria è suf?ciente farla scaricare completamente e
poi caricare completamente una sola volta. Al termine di questa operazioni sarà possibile
collegare e scollegare l'alimentatore in qualsiasi momento.16 Capitolo 1
m Chiudere il pannello dello schermo.
m Scegliere "Stop" dal menu "Altro" in Mac OS 9 o dal menu "Apple" (K) in Mac OS X.
Per "svegliare" il computer:
m Se il pannello dello schermo è chiuso, aprirlo. PowerBook uscirà automaticamente dallo
stato di Stop quando si apre il pannello dello schermo (è possibile disattivare questa
opzione nel controllo "Risparmio Energia" di Mac OS 9).
m Se il pannello dello schermo è ancora aperto, premere il pulsante di alimentazione (®) o
un qualsiasi tasto della tastiera.
Spegnere PowerBook
Se si decide di non utilizzare PowerBook per un giorno o un due, si consiglia di spegnerlo.
Seguire una delle seguenti procedure:
m Scegliere "Stop" dal menu "Altro" in Mac OS 9 o dal menu "Apple" (K) in Mac OS X.
m Premere il pulsante di alimentazione e fare clic su "Smetti" nella ?nestra di dialogo che
appare sullo schermo:
Prima di riporre PowerBook e tenerlo inattivo per un lungo periodo di tempo, vedere la
sezione “Accorgimenti per riporre PowerBook” a pagina 103 per ulteriori informazioni su
come evitare che la batteria si scarichi completamente.
Attenzione Aspettare alcuni secondi ?no a quando la spia che indica lo stato di Stop
non si spegne (segnalando che il computer è in stato di Stop e il disco rigido è fermo)
prima di spostare PowerBook. Se si sposta il computer mentre il disco rigido è in
funzione, è possibile danneggiarlo, causando così una perdita di dati o l'impossibilità di
eseguire l'avvio dallo stesso disco rigido.17
C A P I T O L O
2
2 Caratteristiche delcomputer
Gli utenti che sono impazienti di iniziare a utilizzare il nuovo PowerBook troveranno questo
capitolo molto interessante, in quanto presenta le caratteristiche hardware e software del
computer, nonché gli speciali servizi Internet disponibili per gli utenti Macintosh.
PowerBook è un computer notebook completo. Si avvale della più recente tecnologia
informatica, quale ad esempio un processore PowerPC™ G4, la tecnologia FireWire, USB e il
supporto wireless AirPort per Internet e networking. Questo hardware inoltre si abbina al
sistema operativo Mac OS, che a sua volta include potenti funzioni che consentono l'utilizzo
di Internet per la visualizzazione di ?lmati, la ricerca di informazioni, l'acquisto di prodotti
online e l'aggiornamento automatico del software.
Inoltre, è incluso iMovie, una comoda applicazione per il montaggio video digitale. Grazie a
questo software e con la sola connessione di una videocamera digitale, sarà possibile
utilizzare PowerBook per la creazione di meravigliosi ?lmati.
PowerBook è anche dotato di iTunes, il programma per l'audio digitale che consente di
importare brani dai CD musicali, creare la propria libreria iTunes, ascoltare centinaia di
stazioni radio su Internet e creare CD.
Come se ciò non bastasse, Apple offre i propri utenti servizi Internet gratuiti, fornendo tra le
altre cose spazio di memorizzazione su Internet, un indirizzo personale di posta elettronica
Mac.com e strumenti per la creazione di un sito web o di un Cinema iMovie personalizzato.
Informazioni per i nuovi utenti Macintosh
Se non è stato mai utilizzato un computer Macintosh, è possibile iniziare utilizzando Tutorial
Mac per imparare come utilizzare il trackpad per lo spostamento degli elementi sullo
schermo, come raggiungere un sito web e come utilizzare altre funzioni. Per accedere ai
tutorial in Mac OS 9, selezionare "Tutorial Mac" dal menu "Aiuto".
Nota: Le immagini utilizzate nel presente manuale potrebbero risultare leggermente diverse
da quanto visualizzato sullo schermo, poiché Apple apporta frequentemente miglioramenti e
aggiornamenti al software di sistema, alle applicazioni e al proprio sito Internet.18 Capitolo 2
Caratteristiche principali di PowerBook
®
Altoparlante
incorporato
® Pulsante di
alimentazione
Slot di
sicurezza
Finestra
antenna
AirPort
Altoparlante/
microfono
incorporati
Spia stato di Stop
Tasto
funzione (Fn)
Pulsante
trackpad
Pulsante a scatto
pannello schermo
Trackpad Unità DVD-ROM
o CD-RW a caricamento
automatico
Controlli
volume
Linguetta a scatto
della tastiera
¤ Controlli
luminosità
Dispositivo
sicurezza tastiera
Tasto Blocco Num.
Linguetta a scatto
della tastiera
— Controllo
Mute
-
Tasto
Espelli Media
Tasti funzione
programmabiliCaratteristiche del computer 19
¤ Controlli della luminosità
Consentono di regolare la luminosità dello schermo di PowerBook.
- Controlli del volume
Aumentano/diminuiscono il volume degli altoparlanti incorporati e della porta audio di
uscita.
Dispositivo di sicurezza della tastiera
Protegge i componenti interni di PowerBook impedendo l'apertura accidentale della
tastiera.
Tasto Blocco Num.
Attiva le funzionalità numeriche incluse nella tastiera di PowerBook. Quando il tastierino
numerico è bloccato, l'indicatore luminoso del blocco tastiera è di colore verde.
Tasto Espelli Media
Tenere premuto questo tasto per espellere un disco CD o DVD. È inoltre possibile espellere
un disco trascinandone l'icona nel Cestino.
® Pulsante di alimentazione
Consente di accendere e spegnere o mettere PowerBook in stato di Stop.
Unità disco ottico a caricamento automatico (DVD-ROM o CD-RW opzionale)
Se si dispone di un PowerBook con unità DVD-ROM, è possibile utilizzare dischi CD-ROM,
Photo CD, dischi audio standard, dischi DVD, ?lmati DVD e altri tipi di media. Se si dispone
di un'unità ottica CD-RW, è possibile utilizzare CD e scrivere musica, documenti e altri
documenti digitali su dischi CD-R e CD-RW.
Tasto funzione (Fn)
Tenere premuto questo tasto per abilitare i tasti funzione (F1–F12).
Linguette a scatto della tastiera
Per accedere agli slot di memoria interni, tirare le linguette verso il basso e aprire la
tastiera.
Microfono
Il microfono integrato, collocato sotto la copertura protettiva dell'altoparlante, consente di
registrare suoni direttamente sul disco rigido di PowerBook. Inoltre, è possibile collegare
un microfono esterno a una delle porte USB oppure utilizzare un microfono professionale
da collegare a una Scheda PC.
Ç Slot di sicurezza
Consente di prevenire eventuali furti del computer, collegando il cavo di sicurezza.
Spia dello stato di Stop
Quando la spia bianca lampeggia PowerBook è in stato di Stop.
Trackpad
Consente di spostare il puntatore sullo schermo di PowerBook. Utilizzando il controllo
"Trackpad" è possibile impostare il trackpad in modo che si possa fare doppio clic e
selezionare elementi senza usare il suo pulsante.20 Capitolo 2
Caratteristiche addizionali di PowerBook
G ™ Æ W
Slot PC Card
Pulsante
espulsione
PC Card
Finestra
antenna
AirPort
W Porta modem
interno
Porta
cuffie
Finestra
infrarossi
Porte USB
¯ Porta
alimentazione
™ Porta video
esterno
Porta Ethernet
(10/100/1000Base-T)
G Pulsante Reset
Porta
FireWire
Spia stato di stop
ÆPorta uscita TV
f
G ™ W
1 2Caratteristiche del computer 21
Porta FireWire
Consente di collegare apparecchiature esterne ad alta velocità, quali videocamere digitali,
stampanti e dispositivi di archiviazione esterni.
G Porta Ethernet (10/100/1000 Base-T)
Permette di collegare PowerBook a una rete Ethernet 10/100/1000Base-T ad alta velocità
oppure a un altro computer e trasferire documenti. La funzionalità di sensore automatico
della porta Ethernet è in grado di rilevare altri dispositivi Ethernet. Non è necessario un
cavo crossover Ethernet per collegarsi ad altri dispositivi Ethernet .
Due porte USB (Universal Serial Bus)
Permettono di collegare a PowerBook apparecchiature addizionali, quali stampanti,
dispositivi di archiviazione esterni, tastiere e joystick.
™ Porta monitor esterno (VGA)
Consente di collegare al computer uno schermo o un dispositivo di proiezione esterno
utilizzando un connettore di tipo VGA.
Æ Porta uscita TV (uscita S-video)
Consente di collegare un televisore, un VCR o un altro dispositivo video. La porta uscita TV
può essere utilizzata per presentazioni o per la riproduzione di un ?lmato DVD sul
televisore.
Pulsante di reset
Consente di riavviare il computer quando non è possibile spegnerlo usando il pulsante di
alimentazione o quando non è possibile riavviarlo nel modo usuale.
W Porta modem interno
Consente di collegare una linea telefonica standard direttamente al modem interno.
Finestra infrarossi
Consente di utilizzare la tecnologia a infrarossi (IR) per trasferire documenti a un altro
computer dotato della stessa funzionalità, stampare su una stampante con tecnologia IR o
collegarsi a una rete IR che usa lo standard IrDA. La tecnologia IR inoltre consente di
sincronizzare il computer con agendine elettroniche o un telefono cellulare per la
connessione a provider di servizi Internet (laddove è possibile).
f Porta per cuffia
Consente di collegare altoparlanti esterni, cuf?e o altri dispositivi audio di uscita.
Slot scheda PC Card
Lo slot per scheda PC Card Tipo II che supporta i formati PCMCIA e CardBus consente di
espandere le funzionalità di PowerBook.22 Capitolo 2
Componenti interni di PowerBook
Batteria
Numero di serie ID Ethernet e ID AirPort
®
Tastiera
capovolta
PowerBook con tastiera capovolta e slot RAM interno visibile
PowerBook capovolto
Slot
memoria
superiore
Slot memoria
inferiore
(occupato)Caratteristiche del computer 23
Slot di memoria
PowerBook presenta due slot di memoria, posti uno sopra l'altro. Lo slot inferiore contiene
il modulo di memoria preinstallato. Nello slot superiore è possibile installare un modulo di
memoria aggiuntivo (se nell'ordine del computer era stata richiesta memoria aggiuntiva, lo
slot superiore potrebbe presentare un modulo preinstallato). La quantità massima di RAM
installabile su PowerBook è pari a 1 gigabyte (GB), utilizzando un modulo di memoria da
512 megabyte (MB) in ciascuno slot. Per ulteriori informazioni, vedere la sezione “Installare
memoria addizionale” a pagina 73.
Disco rigido rimovibile
È possibile rimuovere il disco rigido interno per eseguire operazioni di manutenzione o
come misura di sicurezza. Per ulteriori informazioni, vedere la sezione “Rimuovere il disco
rigido interno” a pagina 81.
Scheda AirPort
La Scheda AirPort consente di accedere a una rete wireless.24 Capitolo 2
Informazioni su Mac OS X
Menu Apple
Usare questo
menu per
modificare
le impostazioni,
aprire elementi
recenti
e spegnere il
computer.
Finestra con
pulsanti
Fare clic su un
pulsante per
chiudere la
finestra, contrarla
e spostarla nel
Dock o
aumentarne le
dimensioni.
Finder
Fare clic per aprire
cartelle,
documenti e
scorciatoie per
accedere ad
elementi sul
computer.
Dock
Fare clic su un'icona nel Dock per
aprire un elemento o attivarlo. Alcune
icone nel Dock segnalano lo stato
dell'applicazione.
Foglio
I fogli per
registrare e
stampare sono
allegati alla finestra
del documento.
Pulsante
Se il pulsante
pulsa, è possibile
premere Invio o
Ritorno a Capo.
Icone di stato
Verificare lo stato
delle Preferenze di
Sistema dalla
barra dei menu. Caratteristiche del computer 25
Possibilità offerte
Mac OS X offre una nuova interfaccia utente potente ed elegante. Con Mac OS X, non è
necessario preoccuparsi per la quantità di memoria da assegnare a un'applicazione perché
funzioni ef?cientemente o riavviare il computer se si veri?ca un errore durante l'utilizzo
dell'applicazione. Oltre a utilizzare il software speci?catamente creato per Mac OS X, sul
sistema operativo Mac OS X è possibile eseguire le versioni di applicazioni per Mac OS 9
grazie all'ambiente Classic. Il Capitolo 4, “Utilizzo del sistema operativo” a pagina 69
fornisce una descrizione più dettagliata dell'ambiente Classic. Mac OS X supporta inoltre
applicazioni Java™ e UNIX.
Per iniziare
Preferenze di sistema è il comando principale per tutte le impostazioni del computer, che
consente per esempio di modi?care l'aspetto della scrivania o impostare le informazioni di
accesso alla rete. Il Finder e il Dock consentono un accesso rapido a cartelle, applicazioni,
documenti e altri elementi presenti sul computer e in rete. Per conoscere il sistema operativo
Mac OS X in modo più dettagliato, vedere il manuale Benvenuti a Mac OS X fornito con il
computer o scegliere "Aiuto Mac" dal menu "Aiuto" in Mac OS X.
Suggerimenti
Personalizzazione del Finder
Per selezionare lo sfondo o il colore desiderato per la scrivania, scegliere il pannello
"Desktop" in "Preferenze di Sistema". È inoltre possibile selezionare e ridisporre gli elementi
che appaiono nella barra degli strumenti del Finder. Scegliere "Personalizza Barra degli
Strumenti" dal menu "Vista" e trascinare gli elementi sulla barra degli strumenti.
Personalizzazione del Dock
È possibile modi?care la dimensione delle icone del Dock e attivare l'opzione di
ingrandimento in modo che le dimensioni delle icone indicate dal puntatore siano superiori
al resto del Dock e posizionare il Dock nella parte inferiore, sinistra o destra dello schermo.
Scegliere "Dock" dal menu "Apple" (K), quindi selezionare "Preferenze Dock". È inoltre
possibile fare clic su "Preferenze di Sistema" e selezionare "Dock".
Organizzazione della scrivania
È possibile mantenere l'ordine della scrivania riducendo a icona le ?nestre aperte, che
vengono poi visualizzate nel Dock. Fare doppio clic sulla barra del titolo della ?nestra o fare
clic sul pulsante centrale nell'angolo superiore sinistro della ?nestra per spostarla nel Dock.
Fare clic sull'icona della ?nestra nel Dock per aprirla nuovamente. Inoltre è possibile
controllare alcune impostazioni di sistema utilizzando le icone di stato nella barra dei menu.
Per saperne di più
Per istruzioni su come personalizzare l'ambiente Mac OS X e per ulteriori informazioni
sull'utilizzo di Mac OS X, vedere il manuale Benvenuti a Mac OS X fornito con il computer.26 Capitolo 2
iTools, servizi Internet gratuiti per gli utenti Mac
Posta elettronica
È possibile avere il proprio indirizzo di
posta elettronica Mac.com. È semplice e
può essere usato con il programma di
posta elettronica preferito.
iDisk
L’archivio personale di 20 MB sul server
Apple su Internet. Permette di
condividere foto, filmati e altri documenti
su Internet. È possibile acquistare spazio
aggiuntivo.
HomePage
Il modo più facile per realizzare il proprio
sito web in tre semplici passaggi.
Consente di creare un album fotografico,
pubblicare un filmato iMovie o il proprio
curriculum e altro ancora. Ora chiunque
può pubblicare una pagina su Internet.
iCards
Inviare un’elegante iCard per ogni
occasione. È possibile scegliere
un’immagine già pronta oppure creare
una cartolina personalizzata utilizzando
foto archiviate su iDisk.Caratteristiche del computer 27
Possibilità offerte
iTools è un nuovo gruppo di servizi Internet creato da Apple per i soli utenti Mac. iTools
consente di inviare messaggi di posta elettronica o cartoline agli amici e condividere
fotogra?e e ?lmati. Inoltre è possibile creare un sito web personalizzato.
Per iniziare
1 Avviare la connessione a Internet.
2 Andare all'indirizzo www.apple.com
3 Selezionare la scheda iTools, quindi fare clic sul pulsante "Free Sign Up".
Suggerimenti
Caricare immagini da iDisk per creare iCard personalizzate
È possibile inviare iCard contenenti immagini personalizzate. Registrare l'immagine
desiderata come documento GIF o JPEG e copiarla nella cartella delle immagini sul proprio
iDisk. L'immagine potrà essere selezionata per la creazione di una iCard personalizzata.
Iniziare con un modello HomePage per creare in pochi minuti una pagina web
personalizzata
HomePage propone modelli di pagine web che possono essere modi?cati inserendo testo e
immagini personalizzate. Ad esempio, un insegnante può utilizzare i modelli HomePage per
la scuola per inviare ai genitori degli alunni le ultime novità relative alla classe, i compiti
assegnati o altre informazioni. Inoltre è possibile utilizzare i modelli per iMovie e album di
fotogra?e di HomePage per condividere facilmente immagini e ?lmati con amici e parenti.
Invece di utilizzare un browser Web per aprire iDisk, è possibile aprirlo direttamente:
m In Mac OS9, selezionare l'icona di iDisk e scegliere "Crea Alias" dal menu "Archivio".
Ogni volta che si desidera accedere all'iDisk, fare doppio clic sull'alias e immettere la
password.
m In Mac OS X, fare clic sull'icona di iDisk sulla barra degli strumenti del Finder oppure
scegliere "iDisk" dal menu "Vai".28 Capitolo 2
Sherlock 2, lo strumento per la ricerca su Internet
Pulsante Cerca
Inserire del testo e
fare clic su questo
pulsante per
iniziare la ricerca
del testo
desiderato.
Siti di ricerca
Sherlock ricerca in
Internet utilizzando
diversi motori di
ricerca.
Canali di Sherlock
Cercare in Internet persone,
negozi, novità, informazioni
su Apple e altro ancora.
Icona di
Sherlock
Fare clic sull'icona
Sherlock nel
Dock.Caratteristiche del computer 29
Possibilità offerte
Sherlock 2 è uno strumento che consente di eseguire ricerche di informazioni e prodotti su
Internet. Offre un modo semplice per ricercare persone, notizie e ogni tipo di altre
informazioni. Consente di acquistare libri e musica, di eseguire ricerche su siti di aste, di
trovare i prezzi migliori e persino di veri?care la disponibilità di un prodotto.
Per iniziare
1 Avviare la connessione a Internet.
2 Aprire Sherlock:
m In Mac OS9, fare doppio clic sull'icona di Sherlock sulla scrivania. È inoltre possibile
scegliere "Cerca in Internet" dal menu "Archivio" oppure scegliere "Sherlock 2" dal menu
"Apple" (K).
m In Mac OS X, fare clic sull'icona di Sherlock nel Dock. Per individuare i documenti
desiderati sul computer è anche possibile scegliere "Cerca" dal menu "Archivio".
3 Selezionare un canale Sherlock.
4 Digitare la parola che si desidera cercare e fare clic sul pulsante "Cerca".
Suggerimenti
Creare un canale di ricerca Sherlock personalizzato
1 Selezionare "Nuovo canale" dal menu "Canali".
2 Selezionare un nome, un tipo di canale e un'icona.
3 Eseguire il download dei plug-in per Sherlock e trascinarli con il mouse nell'elenco dei siti di
ricerca. In alternativa, tenere premuto il tasto "Opzione" e trascinare con il mouse i plug-in
dagli altri elenchi di ricerca sull'icona del nuovo canale.
Per saperne di più
Per ulteriori informazioni sulle possibilità offerte da Sherlock, aprire l'Aiuto Mac e cercare
“Sherlock.” Per scaricare ulteriori plug-in di ricerca e scoprire come creare plug-in Sherlock
personalizzati, visitare la pagina web relativa a Sherlock all'indirizzo www.apple.com/it/
sherlock30 Capitolo 2
Apple.com, il punto di partenza sul Web
Software perMac
guide.apple.com
ussoftware.lasso
Permette di fare ricerche per
categorie del software Apple e
terze parti per il proprio Mac.
The Apple Store
store.apple.com
Visitare questo sito per
acquistare gli ultimissimi
prodotti hardware, software e
gli accessori Apple.
Macintosh
ProductsGuide
www.apple.com/guide
Per scoprire quali sono i prodotti
hardware e software disponibili per
Mac, visitare questo sito web o
cercare il simbolo Mac.Caratteristiche del computer 31
AppleHotNews
www.apple.com/it/L
hotnews
Visitare questo sito per le
ultimissime novità su Mac,
software terze parti, QuickTime
Hot Picks, e informazioni sui
prossimi eventi Apple.
Apple Support
www.apple.com/support/
index-t.html
Visitare questo sito per
conoscere l'AppleCare
Protection Plan, programmi di
apprendimento e altri supporti.
Permette di accedere anche
agli aggiornamenti software,
all'Apple Knowledge Base e a
informazioni tecniche.
MacOS X
www.apple.com/it/macosx/
Visitare questo sito per le
ultimissime novità su Mac OS X, il
sistema operativo più avanzato al
mondo.32 Capitolo 2
QuickTime, audio e video su Internet
Controllo volume
QuickTime TV
Fare clic per
visualizzare i canali
QuickTime TV a cui
è possibile accedere
dal computer.
Icona di
QuickTime
Fare clic sull'icona di
QuickTime nel Dock.Caratteristiche del computer 33
Possibilità offerte
Oltre a poter riprodurre documenti audio e musicali su Mac, la tecnologia QuickTime
consente anche di vedere trasmissioni su Internet dal vivo o registrate. Memorizzare i canali
visualizzati più di frequente trascinandoli sull'elenco personale dei Preferiti QuickTime ( ).
Per iniziare
1 Avviare la connessione a Internet.
2 Aprire QuickTime Player:
m In Mac OS9, fare doppio clic sull'icona di QuickTime Player sulla scrivania. È inoltre
possibile aprire la cartella Applicazioni, quindi aprire la cartella QuickTime e fare doppio
clic su QuickTime Player.
m In Mac OS X, fare clic sull'icona di QuickTime Player nel Dock. È anche possibile fare
doppio clic su QuickTime Player nella cartella Applications.
3 Selezionare un canale oppure scegliere un'opzione dal menu "QuickTime Player".
QuickTime TV utilizza lo streaming Internet per poter ottenere i video e i brani musicali più
recenti e le ultime informazioni da Internet senza dover archiviare i documenti sul disco
rigido.
Per visualizzare i Preferiti QuickTime ( ) scegliere "Preferiti" dal menu "QTV", quindi
scegliere "Mostra Preferiti" dal sottomenu visualizzato.
Suggerimenti
Aggiungere ulteriori canali TV QuickTime
Andare all'indirizzo www.apple.com/it/quicktime e fare clic sul collegamento "Canali QTV"
dove si troveranno tutti i canali QuickTime disponibili. È possibile aggiungere ai Preferiti di
QuickTime Player il canale TV QuickTime (QTV) che si sta guardando, con un semplice clic.
Eseguire l'aggiornamento a QuickTime Pro per svolgere le seguenti attività:
m Riprodurre video a schermo intero e ridimensionare ?lmati.
m Creare ?lmati streaming.
m Utilizzare più di 30 formati audio, video e di immagine, incluso il formato Flash.
m Creare, aprire, modi?care e registrare ?lmati e documenti audio con la stessa facilità con
la quale si esegue una procedura di copia e incolla.
Per saperne di più
La visione e l'utilizzo di documenti video su Internet è solo una delle possibilità offerte da
QuickTime. Per ulteriori informazioni avviare l'Aiuto QuickTime. Per eseguire il download di
ulteriori canali o trovare informazioni sulla con?gurazione di un server per lo streaming su
Internet, visitare il sito web di QuickTime all'indirizzo www.apple.com/it/quicktime
?
?34 Capitolo 2
iMovie 2, creazione e montaggio di filmati digitali
Schermo di
iMoviei!
Consente di
visualizzare in
anteprima filmati o
video direttamente
dalla videocamera
digitale DV.
Controlli
riproduzione
Usare questi controlli per
riprodurre il filmato nello
schermo di iMovie.
Interruttore
modalità
Consente di
passare dalla
modalità
videocamera DV
alla modalità
montaggio.
Visore
Timeline
Fare clic sul visore
clip (occhio) per
montare e
posizionare i clip.
Fare clic sul visore
timeline (orologio)
per montare
suoni.
Pulsanti per
montaggio
Fare clic su questi
pulsanti per aprire
i pannelli e
regolare e
selezionare suoni,
effetti video, titoli
(testo) e
transizioni. Fare
clic sul pulsante
“Clip” per
visualizzare lo
scaffale.
Barra di scorrimento
Usare questa barra per
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del video.
Tracce audio
Consente di lavorare
con effetti musicali,
sonori e di
registrazione.
Cursore di
riproduzione
Rappresenta la
posizione del
fotogramma sullo
schermo iMovie.
Spostarlo per
visualizzare gli oggetti
Traccia ideo
Permette di
lavorare con
documenti audio
inclusi in clip
video.
Visore clip
Scaffale
Per inserire clip
nel filmato dopo
averli importati,
trascinarli dallo
scaffale al visore
clip.Caratteristiche del computer 35
Possibilità offerte
iMovie è un'applicazione software per la modi?ca di video digitale estremamente facile da
utilizzare. Utilizzando iMovie e una videocamera digitale si possono creare meravigliosi
?lmati. È possibile importare video dalla videocamera, modi?care clip video e aggiungere
transizioni, titoli, effetti sonori e musica. Quindi copiare il ?lmato su un nastro della
videocamera o creare un ?lmato QuickTime. È inoltre possibile condividere i ?lmati
QuickTime inviandoli sul Web sull'iDisk Apple o utilizzando HomePage.
Il computer include l'applicazione iMovie ottimizzata per Mac OS 9 e Mac OS X.
Per iniziare
1 Registrare il ?lmato, quindi collegare la videocamera alla porta FireWire del computer.
2 Aprire iMovie nella cartella iMovie (inclusa nella cartella Applicazioni).
3 Fare clic sul pulsante "Importa" per importare clip del ?lmato nello scaffale, quindi
aggiungerli al ?lmato trascinandoli nel visore clip.
4 Assemblare e montare il ?lmato nel visore clip e nel visore timeline.
5 Aggiungere transizioni, titoli, suoni e musica.
6 Terminato il montaggio del ?lmato, selezionare "Esporta" dal menu "Archivio".
Suggerimenti
Condividere la Scrivania di iMovie con amici e familiari
Esportare il ?lmato come un ?lmato QuickTime per Web e copiarlo sull'iDisk. Quindi
utilizzare HomePage per creare un ?lmato iMovie personalizzato e consentire ad altri utenti
di vedere il ?lmato su Internet.
Per saperne di più
Per ulteriori informazioni sull'utilizzo di iMovie, vedere il tutorial di iMovie o l'Aiuto iMovie.
Per le ultime novità su iMovie, inclusi aggiornamenti di iMovie, plug-in aggiuntivi e un elenco
delle videocamere DV compatibili, visitare la pagina web all'indirizzo www.apple.com/it/
imovie36 Capitolo 2
iTunes, musica digitale per il Mac
Pulsante
Espelli CD
Sintonizzatore
Radio
Consente di
ascoltare centinaia
di stazioni radio
Internet (jazz, rock, e
altro ancora).
CD Audio
Riproduce CD
audio sul
computer. Importa
brani nella libreria.
Lettore MP3!
Trasferisce brani
sul lettore MP3
trascinandoli dalla
libreria.
Pulsante Nuova playlist!
Crea playlist presonalizzate
utilizzando i brani della libreria.
Cerca
Inserire del testo e
iTunes visualizzerà
l'elenco dei titoli
richiesti.
Pulsante Effetti visivi
iTunes visualizza effetti visivi
durante la riproduzione dei
brani. È possibile vedere e
divertirsi con colori e sfondi
diversi che si alternano durante
l'esecuzione dei brani musicali.Caratteristiche del computer 37
Possibilità offerte
iTunes consente di importare brani dai CD musicali come documenti MP3, creare playlist,
trasferire musica sul proprio lettore MP3 portatile, ascoltare centinaia di stazioni radio su
Internet e ancora.
Per iniziare
1 Aprire iTunes (nella cartella delle applicazioni sul disco rigido).
2 Inserire un CD musicale nell'unità ottica di PowerBook.
3 Fare clic sul riquadro accanto ai brani che si desiderano importare.
4 Fare clic sul pulsante "Importa". I brani vengono convertiti in documenti MP3 e archiviati
nella libreria di iTunes.
Suggerimenti
Creare playlist per i propri gruppi di brani preferiti
iTunes consente di creare playlist utilizzando i brani della propria libreria. Una playlist è un
elenco di brani ordinati secondo una sequenza particolare. Utilizzare le playlist per
programmare la propria musica secondo il genere, l'artista o il tema. Fare clic sul pulsante
"Nuova Playlist" e trascinare i brani dalla libreria alla playlist.
Ridurre le dimensioni della finestra iTunes o accedere ad iTunes utilizzando la
Striscia di Controllo
È possibile ridurre la ?nestra iTunes per visualizzare solo i controlli di riproduzione e di stato.
Fare clic sul pulsante di zoom nell'angolo superiore destro della ?nestra iTunes. Per accedere
ai controlli iTunes è possibile utilizzare il modulo della Striscia di Controllo di iTunes in Mac
OS 9 o dal Dock in Mac OS X.
Acquisire le informazioni sui CD dal CDDB
iTunes si collega automaticamente al database CDDB su Internet per cercare il nome del CD,
i titoli dei brani e altre informazioni sui CD musicali. Se non si è collegati a Internet, è
possibile acquisire le informazioni relative ai brani importati quando ci si ricollega.
Selezionare il brano e scegliere "Ottieni Nomi Tracce CD" dal menu "Avanzate".
Collegare PowerBook all'impianto stereo
È possibile collegare facilmente PowerBook all'impianto stereo. Utilizzare un cavo miniplugRCA (non incluso) per collegare la porta delle cuf?e (f) di PowerBook alle porte audio di
ingresso dell'impianto stereo.
Per saperne di più
Per maggiori informazioni sull'utilizzo di iTunes, consultare l'Aiuto iTunes o andare al sito
web di iTunes all'indirizzo: www.apple.com/it/itunes38 Capitolo 2
Aggiornamento Automatico - Tenere automaticamente aggiornato il
computer Mac
Aggiorna Adesso
Fare clic qui per verificare immediatamente
se ci sono aggiornamenti software Apple
disponibili. Selezionare il software Apple
che si desidera aggiornare dalla lista che
appare.
Aggiornamento Software
Imposta la frequenza con la
quale il computer controlla gli
aggiornamenti software
disponibili.Caratteristiche del computer 39
Possibilità offerte
Aggiornamento Software utilizza Internet per eseguire il download e l'installazione
automatici delle versioni più recenti di programmi, driver e altre novità offerte da Apple. Con
Aggiornamento Software è possibile controllare i server Internet Apple per veri?care se sono
disponibili degli aggiornamenti del software Apple. Inoltre, è possibile con?gurare il
computer per un controllo periodico del server Apple durante il quale verrà
automaticamente eseguito il download e installato il software aggiornato.
Per iniziare
1 Avviare la connessione a Internet.
2 Aprire Aggiornamento Software:
m In Mac OS9, scegliere "Pannello di Controllo" dal menu "Apple" (K), quindi scegliere il
controllo "Aggiornamento Software".
m In Mac OS X, aprire "Preferenze di Sistema" e scegliere "Aggiornamento Software".
3 Fare clic su "Aggiorna Adesso", quindi selezionare gli aggiornamenti software che si desidera
e fare clic su "Installa".
Suggerimenti
Modificare la pianificazione dell'aggiornamento software
Se la connessione a Internet è sempre attiva, è possibile piani?care gli aggiornamenti
automatici del software impostando giorni e ore speci?ci. Se la connessione a Internet è di
tipo dial-up e non si è sempre connessi, la funzione di aggiornamento eseguirà i controlli alla
prima connessione.
Installare automaticamente nuovo software
È possibile impostare il computer per il controllo e l'installazione del software con scadenza
settimanale. Impostare una piani?cazione per il controllo degli aggiornamenti software e
deselezionare l'opzione “Chiedi prima di scaricare nuovo software”.
Per saperne di più
Per ulteriori informazioni sull'utilizzo della funzione di Aggiornamento Software, cercare la
sezione “Aggiornamento Software” nell'Aiuto Mac. Per informazioni aggiornate sul sistema
operativo Mac OS, visitare la pagina web all'indirizzo www.apple.com/it/macos40 Capitolo 2
Multiutenza - Trasformare un Mac in tanti Mac
Utenti
Utilizzare il pannello
Utenti nelle Preferenze di
Sistema per aggiungere
gli accessi utenti.
Cartella Public
Per dare l'accesso alla
cartella Public, l'utente
può abilitare la
condivisione nelle
preferenze Condivisione.
Home
Ogni utente ha una
home. Finder, Dock,
iTools, Mail, e altre
preferenze sono
archiviate nella home
dei singoli utenti,
permettendo così di
personalizzare il sistema
Mac OS X.Caratteristiche del computer 41
Possibilità offerte
Più persone possono condividere un unico computer mediante l'accesso ai propri account
utente personali. Gli utenti possono personalizzare le impostazioni, per esempio i segnalibri
e lo sfondo della scrivania, e accedere al proprio spazio per la memorizzazione dei dati,
chiamato cartella Home. Gli utenti che condividono un computer hanno inoltre accesso a
una cartella Shared comune.
Il primo account utente creato sul computer corrisponde a quello dell'amministratore. Gli
amministratori sono utenti che godono di speciali privilegi: possono consentire l'accesso al
computer a nuovi utenti, installare software e modi?care le impostazioni generali del
computer.
Nota: Se si dimentica la password di amministratore, è possibile reimpostarla utilizzando il
CD Mac OS X. Avviare il computer dal CD Mac OS X e scegliere "Reinizializza la password" dal
menu "Installer". Un utente che dispone del CD Mac OS X può accedere al computer senza
alcuna restrizione, pertanto può essere utile tenere il CD in un luogo sicuro.
Per iniziare
1 Creazione di un nuovo utente:
m In Mac OS9,scegliere "Pannello di Controllo" dal menu "Apple" (K), quindi fare clic sul
controllo "Multiutenza". Attivare l'opzione "Accesso in Multiutenza", quindi fare clic su
"Nuovo Utente".
m In Mac OS X,scegliere "Preferenze di sistema" dal menu "Apple" (K), fare clic su "Utenti",
quindi scegliere "Nuovo Utente".
2 Modi?care le informazioni relative all'utente. È possibile assegnare a un utente privilegi di
amministratore.
3 Chiudere la ?nestra.
Suggerimenti
Protezione del computer
È possibile richiedere di dover inserire una password per accedere al computer dopo
l'attivazione del salvaschermo quando gli utenti accedono al computer e poi non lo utilizzano
per un certo periodo di tempo. Scegliere "Preferenze di sistema", fare clic su "Salvaschermo",
quindi selezionare "Attivazione" per speci?care il periodo di inattività che può trascorrere
prima che si attivi il salvaschermo. A questo punto selezionare “Usa la mia password di
account utente”.42 Capitolo 2
Impostazione dei privilegi utente
In Mac OS 9, gli amministratori possono speci?care i documenti e le applicazioni che gli
utenti possono utilizzare e con?gurare le impostazioni generali, come per esempio il
messaggio di benvenuto e l'ambiente desktop di default. Per ulteriori dettagli, fare una
ricerca dell'argomento “Multiutenza” nell'Aiuto Mac in Mac OS 9.
Per saperne di più
Per maggiori informazioni sull'impostazione degli account utente in Mac OS X, cercare
l'argomento “utenti” nell'Aiuto Mac.Caratteristiche del computer 43
Aiuto Mac - Risposte a tutte le domande su Macintosh
Chiedi
Se ci sono
domande, inserire
del testo
e quindi fare clic
su “Chiedi”.44 Capitolo 245
C A P I T O L O
3
3 Utilizzo delcomputer
PowerBook presenta numerose funzioni integrate e di espansione che ne consentono la
personalizzazione e l'espansione, rendendo il computer adatto a qualsiasi esigenza. Queste
includono:
m La tecnologia USB (Universal Serial Bus) che consente di collegare a PowerBook
apparecchiature addizionali, quali stampanti, scanner, joystick, tastiere, videocamere
digitali e unità per dischetti.
m La tecnologia FireWire che permette di collegare dispositivi ad alta velocità, quali
videocamere digitali e dischi rigidi esterni.
m Modernissime tecnologie di comunicazione, quali un modem da 56K, porta a infrarossi,
Ethernet 10/100/1000Base-T e connessione wireless AirPort per Internet e operazioni di
networking.
m La possibilità di utilizzare PowerBook con un monitor esterno, un proiettore video o un
apparecchio televisivo, incluso il supporto per la duplicazione dello schermo e la
creazione di una scrivania estesa. È possibile utilizzare il supporto video integrato di
PowerBook per fare presentazioni, lavorare con un monitor esterno o riprodurre dischi
DVD-Video sull'apparecchio televisivo.
m Batteria a lunga durata, uno slot scheda PC Card/CardBus Tipo II e molte altre
caratteristiche.
Per conoscere le caratteristiche di PowerBook, iniziare a leggere questo capitolo.
Informazioni addizionali possono essere trovate nell'Aiuto Mac (vedere la sezione a
pagina 43) e in diversi siti web di Apple.46 Capitolo 3
USB (Universal Serial Bus)
PowerBook viene fornito con due porte USB, che consentono di collegare diversi tipi di
dispositivi esterni, quali stampanti, scanner, videocamere digitali,game pad, joystick, tastiere e
unità ?oppy. La tecnologia USB facilita la connessione di dispositivi esterni. Nella maggioranza
dei casi è possibile collegare e scollegare una periferica USB quando il computer è acceso.
Una volta collegato, il dispositivo è pronto all'uso. Non è necessario riavviare o ricon?gurare il
computer.
Utilizzo di dispositivi USB
Per utilizzare un dispositivo USB con il computer, è suf?ciente collegare l'apparecchiatura al
computer. Il computer carica automaticamente il software appropriato ogni qualvolta si
collega un dispositivo nuovo.
Nota: Il computer include già software per il funzionamento di diverse periferiche USB. Se
al momento della connessione di un dispositivo USB PowerBook non riesce a rilevare il
software corretto, installare il software fornito con il dispositivo oppure utilizzare Internet
per ricercare, scaricare e installare il software corretto, seguendo le istruzioni visualizzate.
Dispositivi USB e batteria
È possibile collegare a PowerBook dispositivi USB, quali joystick e tastiere, che vengono
alimentati direttamente attraverso la connessione USB, senza dovere utilizzare un
alimentatore esterno. Tuttavia, utilizzando questi tipi di dispositivi USB la batteria di
PowerBook si scarica più rapidamente. Se si prevede che la periferica resterà connessa per
un lungo periodo di tempo, è consigliabile inserire l'alimentatore.
1 2
G ™ Æ WUtilizzo del computer 47
Utilizzare più dispositivi USB contemporaneamente
PowerBook ha due porte USB. Se si desidera collegare più di un dispositivo USB alla stessa
porta USB, è necessario acquistare un hub USB. L'hub USB va collegato a una delle porte del
computer e fornisce ulteriori porte USB (solitamente quattro o sette).
Per ulteriori informazioni sulla tecnologia USB
Altre informazioni sulla tecnologia USB sono disponibili nell'Aiuto Mac (vedere la sezione a
pagina 43. Selezionare "Aiuto Mac" dal menu "Aiuto" e cercare la parola “USB”. Ulteriori
informazioni sono disponibili anche sul sito web di Apple al seguente indirizzo
www.apple.com/it/usb
Per informazioni sui dispositivi USB disponibili per questo computer, andare al sito web
Macintosh Products Guide all’indirizzo www.apple.com/guide
G ™ Æ W
Hub USB48 Capitolo 3
FireWire
Il computer presenta una porta FireWire. FireWire consente in modo semplice di collegare e
scollegare dispositivi esterni ad alta velocità, quali videocamere digitali (DV), stampanti,
scanner e dischi rigidi. Le periferiche FireWire possono essere collegate e scollegate senza
bisogno di riavviare il computer.
Di seguito sono elencate alcune delle possibilità offerte da FireWire:
m Connettere una videocamera digitale e acquisire, trasferire e modi?care video di alta
qualità direttamente sul computer utilizzando un software per il montaggio video quale,
ad esempio, iMovie.
m Collegare un'unità disco rigido FireWire esterna e utilizzarla per eseguire il backup di dati
o il trasferimento di documenti. Quando si collega un'unità FireWire a PowerBook sulla
Scrivania appare l'icona del disco rigido.
m Avviare il computer da un disco rigido FireWire esterno. Collegare un disco FireWire
esterno (con una Cartella Sistema funzionante) e quindi eseguire quanto segue:
m In Mac OS9, aprire il controllo "Disco di Avvio" e fare clic sul disco FireWire.
m In Mac OS X, aprire il pannello "Disco di Avvio" di "Preferenze di Sistema" e fare clic
sul disco FireWire.
m Provare a riavviare il computer.
Utilizzo dei dispositivi FireWire
Per utilizzare una periferica FireWire, collegare per la prima volta il dispositivo al computer e
installare il software fornito con la periferica. Il computer rileva automaticamente il
collegamento di una nuova periferica.
G ™ Æ WUtilizzo del computer 49
Dispositivi FireWire e batteria
È possibile collegare a PowerBook dispositivi FireWire, quali dischi rigidi, che vengono
alimentati direttamente attraverso la connessione FireWire senza dovere utilizzare un
alimentatore esterno. Tuttavia, utilizzando questi tipi di dispositivi FireWire la batteria di
PowerBook si scarica più rapidamente. Se una periferica dovrà restare connessa per un lungo
periodo di tempo è consigliabile collegare l'alimentatore.
Modalità disco FireWire
Se si desidera trasferire documenti da PowerBook a un altro computer dotato di FireWire o si
veri?ca un problema che non consente di accendere il computer, è possibile utilizzare la
modalità disco di destinazione FireWire per collegarsi a un altro computer.
Per collegare il PowerBook in modalità disco FireWire, utilizzare la seguente procedura:
1 Controllare che PowerBook sia spento.
2 Utilizzare un cavo FireWire con un connettore a 6 pin standard su ciascuna estremità per
collegare PowerBook a un altro computer con tecnologia FireWire.
3 Avviare PowerBook tenendo premuto il tasto "T". Lo schermo di PowerBook visualizza il logo
FireWire e l'icona del disco rigido interno di PowerBook appare sulla scrivania dell'altro
computer.
4 Dopo avere concluso il trasferimento dei documenti, trascinare l'icona del disco rigido di
PowerBook su quella del Cestino.
5 Premere il pulsante di alimentazione per spegnere PowerBook, quindi scollegare il cavo
FireWire.
Nota: La porta FireWire è stata progettare per consentire l'alimentazione dei dispositivi
FireWire (?no a massimo 7 watt). È possibile collegare più dispositivi tra loro e collegare la
“catena” di dispositivi alla porta FireWire del computer, ma solo un dispositivo può ricevere
alimentazione dal computer. Il resto dei dispositivi della catena dovrebbero essere alimentati
da alimentatori separati. Il collegamento di più dispositivi FireWire che ricevono
alimentazione dal computer potrebbe causare problemi. Se si veri?ca un problema, spegnere
il computer, rimuovere i dispositivi FireWire e riavviare il computer.
Importante Il computer che si desidera collegare a PowerBook deve essere fornito di
FireWire 2.3.3 o versioni successive. Utilizzare Apple System Pro?ler, disponibile dal menu
"Apple" in Mac OS 9 e nella cartella Utilities all'interno della cartella Applications in Mac OS X,
per veri?care la versione di FireWire installata sul computer.50 Capitolo 3
Per ulteriori informazioni sulla tecnologia FireWire
Altre informazioni sulla tecnologia FireWire sono disponibili nell'Aiuto Mac (vedere
pagina 43). Scegliere "Aiuto Mac" dal menu "Aiuto" e cercare gli argomenti relativi alla
tecnologia FireWire. Inoltre è possibile trovare informazioni anche al sito web di Apple:
www.apple.com/it/?rewire
Schede PC Card
È possibile utilizzare le schede PC Card per espandere la funzionalità del computer.
PowerBook dispone di uno slot PC Card che accetta schede PCMCIA Tipo I e Tipo II, incluse
le schede formato CardBus. È possibile inserire una scheda PC Card sia quando il computer è
acceso, spento o in stato di Stop.
Inserire ed espellere una scheda PC Card
Quando si inserisce una scheda PC Card, assicurarsi che l'etichetta sia rivolta verso l'alto e la
scheda sia orizzontale. Inserendo la scheda, si incontra una certa resistenza. Quando la
scheda scatta in posizione e appare la sua icona sulla scrivania, è inserita in modo corretto.
Puoi espellere una scheda PC Card quando il computer è acceso o spento, ma non se è in
stato di Stop.
Per espellere una scheda PC Card:
G ™ Æ W
Slot PC Card
Pulsante espulsione
Importante La Scheda AirPort è installata in uno slot all'interno del computer. A differenza
di numerose schede prive di cavo di produttori di terze parti, la scheda di Apple non deve
essere inserita nello slot PC Card. Se installata nello slot PC Card, la Scheda AirPort non
funziona e può causare problemi al funzionamento generale del computer.Utilizzo del computer 51
1 Se il computer è acceso, trascinare l'icona della scheda nel Cestino.
2 Premere, una prima volta, il pulsante di espulsione per rilasciare il pulsante.
3 Premere, una seconda volta, il pulsante per espellere la scheda.
4 Estrarre la scheda dallo slot, quindi premere nuovamente il pulsante di espulsione per
riposizionarlo nel computer.
Altre informazioni sulle schede PC Card
Per informazioni sulle schede PC Card disponibili per questo computer, andare al sito web
Macintosh Products Guide: www.apple.com/guide.
Tecnologia wireless AirPort per Internet e networking
PowerBook è compatibile con AirPort. È dotato di un'antenna integrata, e potrebbe essere già
installata una Scheda AirPort. AirPort rappresenta un modo semplice e comodo per un
accesso wireless a Internet da qualsiasi punto di una casa, di un uf?cio o di una scuola. Al
posto dei tradizionali cavi, AirPort utilizza una tecnologia LAN (local area network) wireless
per fornire comunicazione wireless tra più computer. Tramite una rete wireless è possibile
accedere a Internet, trasferire documenti, partecipare a partite a più giocatori e non solo.
Nota: Per un accesso wireless a Internet è necessario disporre di una Scheda AirPort, una
Base AirPort e l'accesso a Internet (in taluni casi è richiesto il pagamento di una
sottoscrizione). Alcuni provider di Internet non sono attualmente compatibili con la
tecnologia AirPort. Il numero di accessi può variare in funzione del provider e del sito a cui ci
si collega.52 Capitolo 3
Accesso wireless a Internet tramite tecnologia AirPort
Grazie ad AirPort, è possibile impostare una connessione wireless a un dispositivo chiamato
Base connesso a Internet tramite collegamento ?sico. La tecnologia AirPort funziona come
un telefono cordless. La Scheda Airport installata sul computer esegue una connessione
wireless alla Base, che è collegata alla linea telefonica.
Per ulteriori informazioni sulla tecnologia AirPort
Per l'acquisto di una Base AirPort, rivolgersi a un rivenditore autorizzato Apple oppure
visitare il sito The Apple Store al seguente indirizzo: www.apple.com/store
Ulteriori informazioni sulla tecnologia Airport sono disponibili nell'Aiuto AirPort. Selezionare
"Centro Aiuti" dal menu "Aiuto", quindi fare clic su "Aiuto AirPort". Ulteriori informazioni
sono disponibili al sito web di AirPort al seguente indirizzo: www.apple.com/it/airport
Base AirPort
Connessione a Internet
Presa CA
®Utilizzo del computer 53
Ethernet (10/100/1000 Base-T)
Il computer viene fornito con funzionalità di rete Ethernet 10/100/1000 twisted-pair Mbps
(megabit per second), che può essere utilizzata per un collegamento alla rete, a un cavo
oppure a un modem DSL.
La connessione a una rete consente l'accesso ad altri computer. Sarà così possibile
memorizzare e recuperare informazioni, utilizzare stampanti di rete, modem e posta
elettronica, oppure collegarsi a Internet. Inoltre è possibile utilizzare Ethernet per la
condivisione di documenti tra due computer o per la creazione di una piccola rete. La
funzionalità di sensore automatico della porta Ethernet di PowerBook è in grado di rilevare
altri dispositivi Ethernet. Non è necessario un cavo crossover Ethernet per collegarsi ad altri
dispositivi Ethernet.
m Utilizzare un cavo Ethernet 2-pair categoria 3 per collegarsi a una rete Ethernet 10Base-T.
m Utilizzare un cavo Ethernet 2-pair categoria 5 per collegarsi a una rete Ethernet 100Base-T.
m Utilizzare un cavo Ethernet 4-pair categoria 5 per collegarsi a una rete Ethernet 1000BaseT.
Per ulteriori informazioni sull'utilizzo di Ethernet
Altre informazioni, inclusa la con?gurazione della rete Ethernet e il trasferimento dei
documenti utilizzando Ethernet, sono disponibili nell'Aiuto Mac (vedere la sezione a
pagina 43). Selezionare "Aiuto Mac" dal menu "Aiuto" e cercare “Ethernet” o “network”.
Per informazioni sui componenti di rete che si possono usare con questo computer, andare
al sito web Macintosh Products Guide: www.apple.com/guide
G ™ Æ W
G54 Capitolo 3
Infrarossi (IrDA)
Poiché PowerBook è dotato della tecnologia a infrarossi, è possibile trasferire documenti e
dati senza utilizzare cavi. Il tipo di tecnologia IR usata con questo computer è la modalità di
connessione IR chiamata IrDA.
È possibile utilizzare la tecnologia a infrarossi per condividere documenti con altri computer
forniti della tecnologia IrDA, comunicare con altri dispositivi dotati di questa tecnologia,
collegarsi a una rete IR e persino stampare su una stampante con tecnologia IR. Condividere
documenti utilizzando la tecnologia a infrarossi o quella Ethernet è praticamente la stessa
cosa, ad eccezione del fatto che nei controlli "AppleTalk" e "TCP/IP" viene impostata
l'opzione Infrarossi invece che Ethernet. La condivisione di documenti e la stampa IrDA non
sono supportati in Mac OS X.
Nota: Non è possibile condividere documenti con un computer che supporta solo la
tecnologia IRTalk (una modalità di connessione IR non-standard utilizzata da alcuni vecchi
computer).
Utilizzare la connessione a infrarossi
Per collegarsi a un altro computer utilizzando la tecnologia a infrarossi:
1 Posizionare le ?nestre IR dei due computer l'una di fronte all'altra a una distanza di un metro.
2 Con?gurare i controlli "AppleTalk" e "TCP/IP" per la connessione a infrarossi.
3 Assicurarsi che l'opzione di condivisione documenti sia abilitata nel controllo "Condivisione
Documenti" di Mac OS 9.
G ™ Æ WUtilizzo del computer 55
Altre informazioni sulla tecnologia a infrarossi
Informazioni sulla con?gurazione di Mac OS per la comunicazione usando la tecnologia a
infrarossi e sull'impostazione della condivisione dei documenti sono disponibili nell'Aiuto
Mac (vedere la sezione a pagina 43). Scegliere "Aiuto Mac" dal menu "Aiuto" e cercare gli
argomenti relativi alla tecnologia a infrarossi e alla condivisione dei documenti.
Supporto video esterno (VGA e S-Video)
Questo computer ha una porta video di uscita che consente di collegare direttamente un
monitor utilizzando un adattatore VGA o un altro dispositivo video esterno (per esempio, un
proiettore video).
La porta uscita TV (detta anche porta uscita S-video) consente la connessione del computer
a un televisore, a un videoregistratore (VCR) o a un sistema di videoproiezione che utilizzi
un cavo S-video o composite video (disponibile presso qualsiasi negozio di apparecchiature
elettroniche). È possibile utilizzare un apparecchio televisivo esterno per visualizzare le
immagini sul televisore, trasferire le immagini del computer su un VCR o riprodurre dischi
DVD-Video sul televisore.
Se la periferica che si desidera collegare non presenta un attacco S-Video, utilizzare l'adattatore
da Composite a S-video fornito con PowerBook.
G ™ Æ W
™ Porta video esterno
Æ Porta uscita TV
Cavo video VGA
Cavo Composito-S-video56 Capitolo 3
Se è stato collegato un monitor esterno o un televisore, è possibile visualizzare le stesse
immagini sullo schermo del computer e del monitor esterno (questa funzione è chiamata
"duplicazione dello schermo") oppure usare il monitor esterno per "estendere" la scrivania
Mac OS (questa funzione è detta "Modalità scrivania estesa").
Nota: A causa delle caratteristiche della maggior parte degli apparecchi televisivi, la qualità
delle immagini di un televisore è inferiore a quella fornite dallo schermo interno o da un
monitor esterno.
Collegare un monitor esterno
Per collegare al computer un monitor esterno, utilizzare la seguente procedura:
1 Spegner il monitor esterno.
2 Collegare il cavo del monitor al computer.
3 Accendere il monitor esterno.
4 Tenere contemporaneamente premuti il tasto "Comando" (?) e il tasto di maggiore
luminosità/F2 ( ) per il rilevamento automatico del nuovo monitor.
5 Regolare la risoluzione del monitor esterno:
m In Mac OS9, fare clic sul modulo "Risoluzione" nella Striscia di Controllo. Per visualizzare
l'elenco di tutte le risoluzioni possibili, premere il tasto "Ctrl" quando si seleziona il
modulo "Risoluzione".
m In Mac OS X, fare clic sulla scheda "Monitor" del pannello "Monitor" di "Preferenze di
Sistema" o utilizzare l'icona "Monitor" nella barra dei menu.
Per informazioni sulle risoluzioni supportate dal monitor esterno, vedere la sezione “Monitor
esterno in modalità "Scrivania estesa" o "duplicazione dello schermo"” a pagina 101
Per visualizzare la stessa immagine sullo schermo di PowerBook e su un monitor esterno,
abilitare la funzione "Duplicazione dello schermo" sulla Striscia di Controllo in Mac OS 9 o
utilizzare l'icona "Monitor" nella barra dei menu in Mac OS X. È possibile passare dalla
modalità "Duplicazione dello schermo" alla modalità "Scrivania estesa" premendo il tasto
"Comando" (?) e il tasto di minore luminosità /F1 ( ).
Importante Per ottenere le migliori prestazioni di duplicazione dello schermo, con?gurare
il monitor integrato e quello esterno con gli stessi valori di risoluzione e profondità del
colore.
Profondità colore Risoluzione Duplicazione dello schermoUtilizzo del computer 57
Utilizzare PowerBook con il pannello dello schermo chiuso
È possibile utilizzare PowerBook con il pannello dello schermo chiuso quando è collegato a
un monitor esterno, a una tastiera, a un mouse e all'alimentatore.
Per utilizzare il computer con un monitor esterno e con il pannello dello schermo chiuso,
procedere come segue:
1 Collegare una tastiera e un mouse USB a PowerBook.
2 Chiudere il pannello dello schermo per mettere il computer in stato di Stop.
3 Collegare il computer a un monitor esterno secondo la procedura descritta nella precedente
sezione.
4 Attendere alcuni secondi, quindi premere un tasto della tastiera esterna per riattivare il
computer.
Collegare un televisore, un VCR o un altro dispositivo video.
Per collegare un dispositivo alla porta uscita TV:
1 Collegare un cavo S-video alla porta uscita TV (Æ) di PowerBook (o usare l'adattatore per
collegare un cavo video composito) e quindi collegare l'altra estremità al dispositivo.
2 Per trasferire suoni da PowerBook al dispositivo, collegare un cavo con doppio connettore
RCA (non fornito con il computer) dalla porta per la cuf?a (f) di PowerBook alle porte
audio In del dispositivo.
3 Accendere il dispositivo esterno.
4 Tenere contemporaneamente premuti il tasto "Comando" (?) e il tasto di maggiore
luminosità/F2 ( ) per il rilevamento automatico dello schermo TV.
5 Regolare la modalità di visualizzazione delle immagini sul dispositivo:
m In Mac OS9, utilizzare "Duplicazione TV" nella Striscia di Controllo.
m In Mac OS X, utilizzare il pannello "Monitor" di "Preferenze di Sistema".
Duplicazionee TV58 Capitolo 3
Altre informazioni sull'utilizzo del monitor esterno o della televisione
Altre informazioni sull'utilizzo e la con?gurazione di un monitor esterno sono disponibili
nell'Aiuto Mac (vedere la sezione a pagina 43). Scegliere "Aiuto Mac" dal menu "Aiuto" e
cercare gli argomenti relativi al monitor.
Batteria
Quando l'adattatore esterno non è collegato, il computer utilizza la carica della batteria. Per
veri?care il livello di carica della batteria, è possibile controllare le spie dell'indicatore sulla
batteria stessa. Le spie segnalano il livello di carica della batteria. Le spie rimangono accese
per qualche secondo dopo aver premuto il pulsante. È possibile veri?care il livello di carica
della batteria all'interno o all'esterno di PowerBook.
Rimuovere e sostituire la batteria
Per rimuovere la batteria:
Importante Se una sola spia è accesa signi?ca che la batteria è quasi completamente
scarica. Se nessuna spia è accesa, la batteria è completamente scarica e non è possibile
accendere il computer a meno che non sia collegato all'alimentatore. Lasciare l'adattatore
collegato per numerose ore per consentire alla batteria di ricaricarsi.
Batteria
Spie batteriaUtilizzo del computer 59
m Spegnere PowerBook o metterlo in stato di Stop. Capovolgere il computer e individuare
la linguetta di rilascio della batteria. Fare scorrere la linguetta a lato e rimuovere
delicatamente la batteria.
Sostituire la batteria quando il computer è in stato di Stop
Se la batteria si scarica durante l'utilizzo del computer, mettere PowerBook in stato di Stop e
sostituire la batteria con una batteria carica. La batteria di backup interna è in grado di
mantenere i dati memorizzati nella RAM per circa tre minuti mentre si cambia la batteria.
Ricaricare la batteria
Quando l'alimentatore è collegato, la batteria si ricarica sia che il computer sia spento, acceso
o in stato di Stop. Apparirà una spia luminosa sull'alimentatore. Se la spia è di colore ambra
signi?ca che la batteria si sta ricaricando. Se la spia è di colore verde signi?ca che la batteria è
completamente carica.
La batteria si ricarica più velocemente quando il computer è spento o in stato di Stop. È
possibile controllare il livello della batteria.
m In Mac OS9, usare l'indicatore del livello di carica della batteria nella Striscia di Controllo.
m In Mac OS X, usare l'icona della batteria nella barra dei menu.
Per aumentare la durata dell'autonomia della batteria PowerBook, utilizzare l'alimentatore
quando è possibile.
Batteria
Linguetta
Indicatore del livello di carica della batteria60 Capitolo 3
Calibrare una batteria nuova per ottenere le migliori prestazioni
Per ottenere la massima durata possibile della carica di una batteria nuova, lasciar scaricare
completamente la batteria durante la prima settimana, quindi caricarla completamente una
volta. Seguire questa procedura:
1 Inserire l'adattatore nella presa di corrente e lasciare la batteria di PowerBook sotto carica
?no a quando le spie luminose e l'indicatore su schermo segnalano che la batteria è
completamente carica.
2 Scollegare l'alimentatore e utilizzare PowerBook ?no a quando non viene visualizzato il
primo avviso di batteria scarica.
3 Collegare l'adattatore e lasciare la batteria sotto carica ?no a quando la carica non sarà
completata.
Suggerimenti per ottimizzare i consumi della batteria
L'autonomia della batteria di PowerBook varia a seconda della con?gurazione del sistema e
degli accorgimenti utilizzati per risparmiare energia.
Per risparmiare carica della batteria utilizzare uno dei seguenti accorgimenti:
m Scollegare i dispositivi USB o FireWire alimentati tramite bus quando non vengono
utilizzati.
m Uscire da tutte le applicazioni che non si utilizzano.
m Rimuovere i dischi CD-ROM e DVD-ROM quando non vengono usati.
m Ridurre la luminosità dello schermo utilizzando i controlli della luminosità posti sulla
tastiera di PowerBook.
m Mettere il computer in stato di Stop ogni volta che si interrompe il lavoro.
m In Mac OS 9, selezionare “Spegni lo schermo del PowerBook invece di oscurarlo” nella
scheda "Impostazioni Avanzate" del controllo "Risparmio Energia"
È anche possibile:
m Impostare brevi intervalli per lo Stop del disco rigido.
m Impostare lo Stop di PowerBook dopo 5 minuti di inattività.
Per accedere alle impostazioni di energia del computer:
m In Mac OS9, utilizzare "Impostazioni Energia" nella Striscia di Controllo.
m In Mac OS X, utilizzare il pannello "Risparmio Energia" di "Preferenze di Sistema".
Importante Per la calibrazione della batteria è suf?ciente farla scaricare completamente e
poi caricare completamente una sola volta. Al termine di questa operazioni sarà possibile
collegare e scollegare l'alimentatore in qualsiasi momento.Utilizzo del computer 61
Altre informazioni sulla batteria di PowerBook
Altre informazioni sono disponibili nell'Aiuto Mac (vedere a pagina 43). Scegliere "Aiuto Mac"
dal menu "Aiuto" e cercare gli argomenti relativi alla batteria.
Unità DVD-ROM
Il software necessario per usare il computer e collegarlo a Internet è già installato su
PowerBook (i CD di installazione e ripristino forniti con PowerBook devono essere usati solo
se si hanno problemi software e se è necessario reinstallare il software di sistema).
Comunque, se si acquista software addizionale con PowerBook, è possibile installare o
avviare le applicazioni dai dischi CD o DVD utilizzando l'unità disco ottico DVD-ROM.
Nota: Se si dispone di software fornito su dischetti, contattare il distributore del software
per veri?care se quel software è disponibile anche su CD-ROM oppure acquistare un modulo
di espansione di terze parti o un'unità disco esterna (per esempio, LS120/SuperDisk) per
PowerBook presso un Rivenditore autorizzato Apple o attraverso The Apple Store
(www.apple.com/store).
Inserire un disco CD o DVD
Per installare o utilizzare le applicazioni da un disco CD o DVD, seguire questa procedura:62 Capitolo 3
1 A computer acceso, inserire il disco nell'unità tenendo l'etichetta rivolta verso l'alto ?no a che
si sente che l'unità inizia a trascinare il disco verso l'interno.
2 Quando viene visualizzata l'icona del disco, il disco è pronto per l'utilizzo.
Espulsione di un disco
Per espellere il disco trascinare l'icona del disco su quella del Cestino oppure premere il tasto
"Espelli Media" ( ) sulla tastiera.
Se non si riesce a far uscire il disco, eseguire una delle seguenti procedure:
m Chiudere tutte le applicazioni che potrebbero utilizzare il disco e riprovare.
m Riavviare il computer e tenere premuto il pulsante del trackpad durante l'avvio ?no a
quando non viene espulso il disco.
m Se non si ottiene alcun risultato, inserire l'estremità di una graffetta nel foro per
l'espulsione manuale (che si trova sulla parte più arretrata del lato destro dell'unità DVDROM) e premere il tasto di espulsione manuale interno. PowerBook deve essere acceso.
®
Foro di espulsione
di emergenza
Estremità
graffetta
Importante L'unità ottica DVD-ROM di PowerBook supporta dischi circolari standard di 12
cm e 8 cm. I dischi dalla forma irregolare e i dischi più piccoli di 8 cm non sono supportati. I
dischi non circolari potrebbero incastrarsi nell'unità.Utilizzo del computer 63
Utilizzare dischi DVD
È possibile utilizzare l'unità DVD anche per riprodurre su PowerBook dischi DVD-Video.
Inserire il disco DVD e attenersi alle seguenti istruzioni:
m In Mac OS9, scegliere "Apple DVD Player" dal menu "Apple" (K).
m In Mac OS X, utilizzare l'applicazione Apple DVD Player, disponibile nella cartella
Applications del disco rigido.
Se si utilizza la modalità S-video per collegare PowerBook a un televisore (vedere pagina 55)
in modo da visualizzare un DVD-Video sullo schermo del televisore, selezionare 720 x480
NTSC (negli Stati Uniti) o 720 x576 PAL (in Europa e in altre regioni).
m In Mac OS9, fare clic sull'icona "Risoluzione" nella Striscia di Controllo.
m In Mac OS X, utilizzare la scheda "Monitor" del pannello "Monitor" di "Preferenze di
Sistema".
Nota: Quando il computer è collegato a un monitor esterno, la funzione di riproduzione
DVD è disponibile sono nella Modalità scrivania estesa. Non è possibile usare la funzione di
duplicazione dello schermo per la riproduzione DVD.
È possibile collegare facilmente PowerBook all'impianto stereo. Utilizzare un cavo miniplugRCA (non incluso) per collegare la porta delle cuf?e (f) di PowerBook alle porte audio di
ingresso dell'impianto stereo.
Per ulteriori informazioni sull'unità DVD
Per istruzioni sull'utilizzo di Apple DVD Player, aprire l'applicazione, quindi selezionare "Aiuto
Apple DVD Player" dal menu "Aiuto".
Unità CD-RW opzionale
Se PowerBook è dotato di un'unità CD-RW, è possibile registrare i brani musicali, i
programmi e i documenti preferiti su dischi CD-R e CD-RW. È possibile creare CD musicali
personalizzati e riprodurli su qualsiasi lettore audio standard. Inoltre è possibile registrare
applicazioni, documenti o altri documenti digitali sui CD registrabili.
I dischi CD-R (CD-Recordable) consentono di registrare informazioni sul disco una sola volta.
Sebbene le informazioni registrate non possano essere modi?cate, può essere possibile
aggiungere altre informazioni ?no a riempire il disco. Questo dipende dall'applicazione in
uso. Consultare la documentazione fornita con l'applicazione per avere informazioni
speci?che circa la registrazione su dischi CD-R. È meglio utilizzare dischi CD-R per la
registrazione di CD audio, perché la maggior parte dei lettori di CD audio non sono in grado
di leggere i dischi CD-RW.64 Capitolo 3
Con un disco CD-RW (CD-Rewritable), è possibile registrare e modi?care le informazioni sul
CD più volte. Tuttavia, alcune applicazioni per la registrazione di documenti multimediali su
CD, quali l'utility Disc Burner che interagisce con iTunes, consentono di registrare dati sul
disco una sola volta.
Inserire un disco CD
Per installare o utilizzare le applicazioni da un disco CD, seguire questa procedura:
1 A computer acceso, inserire il disco nell'unità tenendo l'etichetta rivolta verso l'alto ?no a che
si sente che l'unità inizia a trascinare il disco verso l'interno.
2 Quando viene visualizzata l'icona del disco, il disco è pronto per l'utilizzo.
Per informazioni sull'utilizzo di iTunes per la registrazione di documenti musicali su CD,
consultare l'Aiuto online di iTunes nel Centro Aiuti.
Espulsione di un disco
Per espellere il disco trascinare l'icona del disco su quella del Cestino oppure premere il tasto
"Espelli Media" ( ) sulla tastiera.
Se non si riesce a far uscire il disco, eseguire una delle seguenti procedure:
m Chiudere tutte le applicazioni che potrebbero utilizzare il disco e riprovare.
m Riavviare il computer e tenere premuto il pulsante del trackpad durante l'avvio ?no a
quando non viene espulso il disco.
Controlli della tastiera e tasti funzione personalizzabili
È possibile utilizzare i tasti di controllo della tastiera per regolare in modo rapido le
impostazioni del volume e della luminosità e per espellere un disco CD o DVD.
Importante L'unità ottica CD-RW di PowerBook supporta dischi circolari standard di 12
cm. I dischi dalla forma irregolare e i dischi più piccoli di 12 cm non sono supportati. I dischi
non circolari potrebbero incastrarsi nell'unità.Utilizzo del computer 65
PowerBook dispone inoltre di cinque tasti aggiuntivi che è possibile impostare per aprire
le applicazioni o i documenti maggiormente utilizzati in Mac OS 9. Questi tasti sono
de?niti tasti funzione (o hot) personalizzabili. Ad esempio, è possibile utilizzare i tasti
funzione personalizzabili per aprire il browser Web, il programma per l'elaborazione dei
testi o un gioco. Una volta aperte le applicazioni, si potranno utilizzare gli stessi tasti
funzione per passare velocemente dall'una all'altra applicazione.
Assegnare i tasti funzione personalizzabili
In Mac OS 9, la prima volta che si preme un tasto funzione non assegnato, verrà visualizzata
una ?nestra di dialogo che consente di assegnare il tasto funzione a un'applicazione. È
possibile anche modi?care l'assegnazione di un tasto funzione utilizzando il controllo "Scelta
Tastiera".
Utilizzo dei tasti funzione standard
Per modi?care la funzionalità di un tasto, passando cioè da tasto di controllo o tasto funzione
a tasto standard, è necessario premere contemporaneamente il tasto "Fn" e l'altro tasto.
Inoltre è possibile utilizzare il controllo "Scelta Tastiera" in Mac OS 9 per invertire l'ordine dei
tasti, ponendo come principali i tasti funzione standard e come secondari i tasti funzione
personalizzabili e quelli di controllo dello schermo (per esempio, tenere premuto il tasto
"Fn" per regolare la luminosità dello schermo). In Mac OS X, utilizzare il pannello "Tastiera"
di "Preferenze di Sistema" per controllare i tasti funzione.
®
¤ Controlli
luminosità
- Controlli
volume Tasti funzione
Tasto Espelli
Media
Tasto
funzione (Fn) Utilizzare la funzionalità tastierino numerico
La maggior parte delle tastiere dei computer desktop hanno, oltre ai normali tasti, un
tastierino numerico. PowerBook ha una tastiera con un tastierino numerico incorporato. I
tasti utilizzati per la funzionalità tastierino numerico hanno un'etichetta più piccola.
Per utilizzare la funzionalità tastierino numerico, premere il tasto "Blocco Num." sulla
tastiera. Quando la funzionalità tastierino numerico è attivata, si accende una spia a lato del
tasto "Blocco Num.". Quando si ha ?nito, premere il tasto "Blocco Num." per disattivare
questa funzionalità.
Nota: Quando la funzionalità tastierino numerico è attivata, altri tasti e comandi da tastiera
per la gestione dei comandi dei menu (per esempio x-Q per uscire) sono disabilitati.
Altre informazioni sui tasti di controllo
Altre informazioni sui tasti di controllo e i tasti funzione sono disponibili nell'Aiuto Mac
(vedere la sezione a pagina 43). Scegliere "Aiuto Mac" dal menu "Aiuto" e cercare gli
argomenti relativi alla tastiera.
Slot di sicurezza e dispositivo di bloccaggio della tastiera
È possibile acquistare un cavo e collegarlo a PowerBook per proteggerlo. Utilizzando questo
dispositivo, è possibile ?ssare il computer alla scrivania o a un tavolo.
®
Tastierino numerico
Tasto
Blocco Num.Utilizzo del computer 67
PowerBook è fornito anche di un meccanismo di bloccaggio della tastiera. Quando la tastiera è
bloccata, non è possibile capovolgere la tastiera per accedere ai componenti interni del
computer, tra cui la memoria.
Il dispositivo di bloccaggio della tastiera è costituito da un piccolo fermo in plastica posto a
sinistra del tasto "Blocco Num." che include anche la spia per il blocco numerico. PowerBook
è fornito di un meccanismo di bloccaggio della tastiera.
Per bloccare la tastiera, utilizzando un piccolo cacciavite a punta piatta, avvitare in senso
orario la vite (girandola 1/2 volta). Un piccolo fermo in plastica blocca la tastiera non
permettendo di rimuoverla.
Nota: Su un lato della vite che consente di ruotare il fermo in plastica è presente una
piccola tacca che permette di stabilire quando la tastiera è bloccata. Se la tacca è in alto, la
tastiera è sbloccata. Se la tacca della vite è in basso, la tastiera è sbloccata.
Ulteriori informazioni sulle opzioni di sicurezza
Ulteriori informazioni sulle funzioni di protezione del software di PowerBook, incluse la
password per utenti multipli e la crittogra?a dei documenti, sono disponibili in "Aiuto Mac"
(vedere la sezione a pagina 43). Scegliere "Aiuto Mac" dal menu "Aiuto" e cercare gli
argomenti relativi alla sicurezza e all'utilizzo del sistema da parte di più utenti.
Nota: In Mac OS 9, il controllo "Password di Protezione" utilizzato sui computer più vecchi
non è compatibile con PowerBook e pertanto non è installato sul computer.
®
Bloccare un dispositivo
utilizzando il cavo di sicurezza
Slot di sicurezza68 Capitolo 369
C A P I T O L O
4
4 Utilizzo delsistema operativo
Il sistema operativo, o OS, è l'ambiente della scrivania del computer che de?nisce la
rappresentazione degli elementi sulla scrivania e l'interazione con gli stessi. Ogni sistema
operativo ha un aspetto particolare.
Sul computer è installato di default il sistema operativo Mac OS 9. Al primo avvio, il computer
utilizza Mac OS 9. Il computer è dotato anche del sistema Mac OS X e della tecnologia Classic,
che permette di utilizzare le applicazioni di Mac OS 9 in Mac OS X.
Alcune applicazioni non sono ancora state ottimizzate per l'esecuzione sul sistema operativo
Mac OS X o in ambiente Classic. Queste applicazioni danno risultati migliori se eseguite in
Mac OS 9. Se vengono utilizzate solo applicazioni compatibili con Mac OS 9 e non sono
necessarie le speciali funzionalità di Mac OS X, è possibile continuare ad avviare il computer
in Mac OS 9. Questo capitolo descrive alcune delle funzionalità di Mac OS X e Classic e
illustra come passare da un sistema operativo all'altro.70 Capitolo 4
Informazioni su Mac OS X
Il sistema operativo Mac OS X offre avanzate funzionalità d'alta tecnologia che includono
una nuova interfaccia utente, un'eccezionale architettura gra?ca e stabilità e prestazioni di
sistema superiori. Mac OS X è in grado di gestire i processi del computer in modo da
potersi concentrare sulle operazioni che interessano. Se si veri?ca un errore durante
l'utilizzo di un'applicazione, non è necessario riavviare il computer. Mac OS X determina
solo la chiusura dell'applicazione in cui si è veri?cato l'errore, in modo da non
interrompere altre operazioni in corso. Il gestore di memoria virtuale di Mac OS X consente
di assegnare la quantità di memoria necessaria all'esecuzione ef?ciente delle applicazioni.
Per approfondire la conoscenza del sistema operativo Mac OS X, leggere il manuale
Benvenuti a Mac OS X. Questo manuale introduce le funzionalità di Mac OS X e fornisce
suggerimenti utili agli utenti di Mac OS 9 circa l'utilizzo del sistema operativo Mac OS X per
svolgere le operazioni più comuni di Mac OS 9. Se familiarizzare con Mac OS X comporta
delle dif?coltà, consultare la sezione "Risoluzione dei problemi" alla ?ne del manuale
oppure l'Aiuto Mac disponibile dal menu "Aiuto" in Mac OS X.
Informazioni sul software e Mac OS X
Per veri?care la compatibilità di applicazioni software con Mac OS X, o per avere maggiori
informazioni su Mac OS X, consultare il sito web Apple: guide.apple.com/it/macosx/
Utilizzo dell'ambiente Classic in Mac OS X
Oltre a utilizzare le applicazioni per Mac OS X, è possibile continuare a utilizzare le
applicazioni per Mac OS 9grazie all'ambiente Classic. L'ambiente Classic opera in background
e consente l'accesso a funzionalità e ad applicazioni di Mac OS 9. Quando il computer viene
avviato in modalità Classic, le applicazioni per Mac OS 9 funzionano in Mac OS X esattamente
come in Mac OS 9, ma non possono sfruttare i vantaggi offerti dalle funzionalità di Mac OS X,
quali la nuova interfaccia utente. È suf?ciente aprire un'applicazione per Mac OS 9 o fare
doppio clic su un documento creato con un'applicazione per Mac OS 9. Se l'ambiente Classic
non è in esecuzione, verrà attivato automaticamente.
L'ambiente Classic continua l'esecuzione in background, anche se non vi sono applicazioni di
Mac OS 9 aperte, per consentire di utilizzare applicazioni e documenti in modo più rapido e
semplice. Il computer può essere con?gurato per l'avvio automatico in ambiente Classic
quando si accede a Mac OS X. Scegliere "Preferenze di sistema" dal menu "Apple" (K), fare
clic su "Classic", quindi selezionare “Avvia Classic al login di questo computer”.
Importante Poiché Mac OS X è già installato sul computer, non è necessario seguire le
istruzioni di installazione riportate nel manuale Benvenuti a Mac OS X. Al contrario, è
importante attenersi alle istruzioni del manuale Benvenuti a Mac OS X per cominciare a
utilizzare Mac OS X.Utilizzo del sistema operativo 71
Per uscire dall'ambiente Classic, fare clic su "Stop" nel pannello "Classic" in "Preferenze di
Sistema". È possibile registrare tutte le modi?che necessarie sui documenti Classic e uscire
dall'ambiente Classic.
Utilizzo di un sistema operativo differente
Il computer è impostato per l'avvio in Mac OS 9. È possibile passare da Mac OS 9 a Mac OS X
e viceversa. Dopo avere impostato il computer per l'utilizzo di OS X, l'avvio avverrà sempre in
OS X ?no a quando non verrà nuovamente impostato per l'avvio in Mac OS 9.
Per eseguire l'avvio del computer in Mac OS X:
1 In Mac OS 9, scegliere "Pannello di Controllo" dal menu "Apple" (K), quindi scegliere il
controllo "Disco di Avvio".
2 Nel controllo "Disco di Avvio", fare doppio clic sul disco rigido che contiene i sistemi
operativi e selezionare la cartella System di Mac OS X come disco di avvio. È possibile fare clic
sul triangolo presente sulla sinistra dell'icona del disco rigido per visualizzare le cartelle
System installate sul disco.
Provare a riavviare il computer.
Nota: I numeri di versione dei sistemi operativi Mac OS X e Mac OS 9 nel presente manuale
potrebbero risultare leggermente diversi da quelli dei sistemi installati sul computer, poiché
Apple rilascia di frequente nuove versioni e aggiornamenti al software di sistema.
Importante Non rimuovere il sistema operativo Mac OS 9 dal computer. L'ambiente Classic
può essere eseguito solo se è installato il sistema operativo Mac OS 9.72 Capitolo 4
Per eseguire l'avvio del computer in Mac OS 9:
1 Scegliere "Preferenze di sistema" dal menu "Apple" (K) e fare clic su "Disco di Avvio".
2 Selezionare la cartella Mac OS 9 come Cartella Sistema di avvio. Se le icone appaiono in
grigio, fare clic sull'icona del lucchetto nella parte inferiore della ?nestra e inserire il nome
utente e la password precedentemente speci?cati in Impostazione Assistita. Consultare il
manuale Benvenuti a Mac OS X per avere maggiori informazioni su come accedere al
sistema come amministratore.
3 Provare a riavviare il computer.
Per l'esecuzione di alcune funzioni e applicazioni, è necessario avviare il computer in Mac OS
9. È possibile utilizzare un sistema operativo differente da quello impostato per il computer
ogni volta che lo si desidera.
In caso di problemi
Per ulteriori informazioni sulle funzionalità del computer Macintosh, scegliere "Aiuto Mac"
dal menu "Aiuto" e fare clic su uno degli argomenti sottolineati in blu. È anche possibile
inserire una domanda nel campo "Cerca" (Mac OS 9) o "Chiedi" (Mac OS X) e premere il
tasto "Ritorno a capo" sulla tastiera.73
C A P I T O L O
5
5 Lavorarecon icomponenti interni del
computer
In questo capitolo vengono fornite informazioni e istruzioni su come lavorare con i
componenti interni del computer.
Vengono fornite istruzioni per le seguenti procedure:
m “Installare memoria addizionale” a pagina 73
m “Rimuovere il disco rigido interno” a pagina 81
m “Installare una Scheda AirPort” a pagina 91
Installare memoria addizionale
Il computer presenta due slot di memoria, posti uno sopra all'altro, ai quali si accede
rimuovendo la tastiera; sullo slot inferiore è installato un modulo SDRAM (Synchronous
Dynamic Random-Access Memory) da 128 megabyte (MB). Nello slot di memoria superiore è
possibile installare un modulo SDRAM che presenti le seguenti speci?che:
m formato SO-DIMM (Small Outline-Dual Inline Memory Module);
m 1.25" o inferiore;
m 64, 128, 256 o 512 MB;
m 144-pin;
m RAM PC-133
In PowerBook è possibile utilizzare anche SDRAM disinstallata da un altro PowerBook,
purché presenti le speci?che elencate.
Attenzione Si raccomanda di chiamare un tecnico quali?cato Apple per l'installazione
della memoria o la rimozione del disco rigido interno. Consultare la documentazione di
supporto fornita con il computer per informazioni su come contattare l'assistenza Apple.
Eventuali danni provocati all'apparecchiatura non saranno coperti dalla garanzia del
computer.74 Capitolo 5
È possibile installare su PowerBook ?no a un massimo di 1 GB di RAM, inserendo due moduli
DIMM da 512 MB, uno nello slot RAM superiore e uno in quello inferiore.
Installare memoria addizionale
1 Spegnere il computer. Scollegare l'alimentatore, il cavo delle cuf?e e qualsiasi altro cavo
collegato al computer.
2 Capovolgere il computer e rimuovere la batteria.
In questo modo si evita l'accidentale accensione del computer durante l'installazione della
memoria.
Batteria
Linguetta
Attenzione I componenti interni del computer potrebbero essere caldi. Se PowerBook
è stato acceso, aspettare almeno 30 minuti dopo averlo spento per consentire ai
componenti interni di raffreddarsi.Lavorare con i componenti interni del computer 75
3 Assicurarsi che la vite di bloccaggio della tastiera non sia nella posizione di bloccaggio.
PowerBook viene fornito con la tastiera sbloccata, quindi a meno che non venga bloccata, è
possibile passare direttamente al punto 4.
4 Sbloccare la tastiera tirando verso il basso le due linguette a scatto (poste alla sinistra dei tasti
"F1" e "F9"), quindi sollevare la parte superiore della tastiera.
®
®76 Capitolo 5
5 Sollevare leggermente la parte superiore della tastiera di PowerBook e spingerla indietro ?no
a sbloccare i piccoli fermi che ?ssano la parte inferiore della tastiera in posizione.
6 Capovolgere e appoggiare la tastiera sul trackpad.
7 Toccare la parte metallica interna del computer per scaricare l'elettricità statica.
®
®Lavorare con i componenti interni del computer 77
8 Individuare lo slot di espansione RAM superiore.
9 Inclinare di circa30° la scheda di espansione RAM. Allineare il connettore della scheda con il
piccolo fermo nello slot di espansione RAM. Quindi premere la scheda di espansione RAM
nello slot di espansione.
Si potrebbe sentire una leggera resistenza. Se si hanno problemi con l'inserimento della
scheda, provare a inserirla prima da un lato poi dall'altro.
®
Slot
RAM
superiore
Slot RAM
inferiore
(occupato)
®
Inserire la scheda di espansione
RAM con un'angolazione di 30
o
30
O78 Capitolo 5
10 Premere delicatamente la scheda di espansione RAM ?no a quando le linguette su entrambi i
lati della scheda non scattano in posizione.
11 Ruotare la tastiera, riposizionarla sul suo alloggiamento e inserire i piccoli fermi nella parte
inferiore della tastiera nelle aperture dello chassis di PowerBook.
®
®Lavorare con i componenti interni del computer 79
12 Tirare verso il basso le linguette a scatto (poste alla sinistra dei tasti "F1" e "F9") e quindi
premere verso il basso la parte superiore della tastiera.
13 Rilasciare le due linguette a scatto per fare scattare la tastiera in posizione.
14 Capovolgere PowerBook e reinserire la batteria.
15 Collegare l'alimentatore e tutti gli altri cavi che erano prima connessi al computer.
®80 Capitolo 5
Verificare se il computer ha localizzato la memoria addizionale
Dopo avere installato la memoria addizionale su PowerBook, controllare se il computer l'ha
individuata utilizzando la seguente procedura:
1 Avviare il computer.
2 Quando appare la scrivania di Mac OS, scegliere "Info su questo computer" dal menu "Apple"
(K).
In Mac OS9
In Mac OS X
Memoria totale
installata su PowerBook
Memoria totale installata
su PowerBookLavorare con i componenti interni del computer 81
Tenere presente che questo valore comprende la memoria preinstallata e quella appena
aggiunta. Per informazioni più dettagliate sulla memoria presente sul computer, utilizzare
Apple System Pro?ler. In Mac OS 9, scegliere "Apple System Pro?ler" dal menu "Apple" (K).
In Mac OS X, aprire la cartella Applications, quindi aprire la cartella Utilities e fare doppio clic
sull'applicazione Apple System Pro?ler per aprirla.
Se la memoria non viene riconosciuta o se il computer non si avvia correttamente, spegnere
PowerBook e consultare le istruzioni per veri?care che la memoria installata sia compatibile
con PowerBook e che sia stata installata in modo corretto. Se il problema permane,
rimuovere la memoria e consultare la documentazione di supporto fornita con il dispositivo
per sapere come contattare un centro di assistenza Apple.
Rimuovere il disco rigido interno
Quando il computer è spento, è possibile rimuovere il disco rigido interno per eseguire
operazioni di manutenzione o come misura di sicurezza.
1 Spegnere il computer. Scollegare l'alimentatore, il cavo delle cuf?e e qualsiasi altro cavo
collegato al computer.
2 Mettere un panno morbido sul tavolo di fronte a sé.
Il panno morbido servirà a proteggere la tastiera e lo schermo di PowerBook quando il
computer verrà capovolto. Assicurarsi che il panno sia suf?cientemente grande per coprire
tutta l'area su cui è appoggiato PowerBook e che copra abbondantemente la super?cie del
tavolo.82 Capitolo 5
3 Con il pannello dello schermo aperto, capovolgere con attenzione PowerBook e appoggiarlo
sul bordo del tavolo. Assicurarsi che lo chassis del computer poggi interamente sul tavolo,
come mostrato nella ?gura sopra.
4 Rimuovere la batteria facendo scivolare il fermo verso sinistra. Assicurarsi di fare scivolare il
fermo nella posizione originale, tutto verso destra.
Panno morbido Appoggiare
sulle cosce
Importante Non aprire il pannello dello schermo oltre l'angolazione mostrata qui sopra.
Attenzione I componenti interni del computer potrebbero essere caldi. Se PowerBook è
stato acceso, aspettare almeno 30 minuti dopo averlo spento per consentire ai componenti
interni di raffreddarsi.Lavorare con i componenti interni del computer 83
5 Utilizzando un cacciavite Torx T-8, rimuovere le otto viti che ?ssano il pannello inferiore di
PowerBook nell'ordine mostrato nella ?gura seguente.
6 Fare scorrere, con attenzione, il pannello inferiore verso il centro del tavolo.
7
8
5
2
3
4
1
684 Capitolo 5
7 Sollevare leggermente il pannello inferiore come mostrato nella ?gura seguente.
8 Toccare la parte metallica interna del computer per scaricare l'elettricità statica.
9 Scollegare il cavo del connettore dalla scheda logica.
Importante Non fare ruotare il pannello da un lato all'altro. Prima di sollevare il pannello
inferiore farlo scorrere completamente in avanti. Se sollevando il pannello si incontra una
certa resistenza, assicurarsi di avere fatto scorrere completamente in avanti il pannello e che
questo sia scollegato dallo slot dell'unità disco ottico.
Cavo connettoreLavorare con i componenti interni del computer 85
10 Utilizzando un cacciavite Torx T-8, rimuovere le due viti che ?ssano l'alloggiamento del disco
rigido alla staffa di montaggio, quindi rimuovere delicatamente il disco rigido.
Viti86 Capitolo 5
Reinserire il disco rigido e il pannello inferiore
Per reinserire il disco rigido seguire le istruzioni fornite in questa sezione.
1 Rimuovere la vite dalla parte superiore della staffa di supporto del disco rigido.
2 Sollevare la staffa di supporto e piegarla delicatamente attorno alla prima linguetta di
alloggiamento della batteria. La linguetta serve per tenere lontana la staffa.
Staffa di
supporto
Linguetta
alloggiamento batteria
Vite
Attenzione Sollevare la staffa quanto basta per visualizzare la linguetta di alloggiamento
della batteria. Se la staffa viene sollevata oltre la linguetta, si rischia di danneggiare la staffa
ed eventuali danni non saranno coperti dalla garanzia del computer.Lavorare con i componenti interni del computer 87
3 Inserire le due viti nei due fermi di gomma, quindi avvitarle nella parte sinistra dell'unità.
Assicurarsi che la parte inferiore, sinistra e destra dell'unità siano ricoperti dalla protezione
Mylar.
4 Inserire innanzitutto la parte destra dell'unità, quindi quella sinistra. Servirsi dei fori presenti
nel supporto dell'unità per allineare l'unità alla staffa.
Vite
Protezione Mylar Fermo in plastica88 Capitolo 5
5 Sollevare la staffa di supporto sopra la linguetta di alloggiamento della batteria e abbassarla
nella sua posizione originale. Riposizionare la vite nella parte superiore della staffa di
supporto, prestando attenzione a non avvitarla con troppa forza.
6 Collegare il connettore del disco rigido alla scheda logica.
Vite Staffa di supporto
Cavo connettoreLavorare con i componenti interni del computer 89
7 Fissare il pannello inferiore al computer e reinserire le otto viti nell'ordine illustrato nella
?gura seguente.
Allineare le scanalature sulla destra e sulla sinistra dello chassis, quindi premere leggermente
verso il basso per bloccare lo chassis. Assicurarsi che le giunture tra il pannello inferiore e lo
chassis siano chiuse. Veri?care i bordi esterni e controllare l'area attorno all'alloggiamento
della batteria. Veri?care il perfetto allineamento degli otto fori per le viti, per essere sicuri che
il pannello inferiore dello chassis sia posizionato correttamente.
8 Capovolgere PowerBook e reinserire la batteria.
2
1
7
6
4
5
8
390 Capitolo 5
9 Controllare lo slot dell'unità ottica per accertarsi che lo chassis sia chiuso correttamente.
Se si nota una fessura sotto allo slot dell'unità ottica, tirare delicatamente la parte inferiore
dello slot dell'unità ottica verso di sé per ?ssare l'unità allo chassis ed eliminare la fessura.
10 Collegare l'adattatore e tutti gli altri cavi che erano prima connessi al computer.
®
Slot unità otticaLavorare con i componenti interni del computer 91
Installare una Scheda AirPort
Se il computer non è dotato di Scheda AirPort, è possibile acquistarne una presso un
rivenditore autorizzato Apple oppure attraverso Apple Store all'indirizzo www.apple.com/
store e quindi installarla personalmente o farla installare da un tecnico autorizzato Apple.
Per installare una Scheda AirPort su PowerBook, rimuovere la parte posteriore del computer.
Seguire le istruzioni descritte nella precedente sezione, “Rimuovere il disco rigido interno” a
pagina 81, quindi attenersi alla seguente procedura:
1 Se la Scheda AirPort viene fornita con l'adattatore, rimuovere il fermo metallico ed estrarre la
Scheda AirPort dall'adattatore (l'adattatore e il fermo metallico non vengono utilizzati con
PowerBook).
2 Toccare la parte metallica interna del computer per scaricare l'elettricità statica.
3 Disconnettere l'antenna AirPort estraendola dal supporto.
4 Posizionare la Scheda AirPort in modo che l'ID e il codice a barre siano visibili e inserire la
scheda nel connettore per la Scheda AirPort.
Antenna
AirPort92 Capitolo 5
Inserire completamente la scheda nel connettore ?no a quando non scatta in posizione.
5 Connettere la Scheda AirPort all'estremità libera del cavo dell'antenna.
Prima di inserire il cavo dell'antenna, assicurarsi che il connettore all'estremità del cavo
dell'antenna sia dritto. Una volta inserito, veri?care che l'estremità del cavo dell'antenna sia
?ssata con l'apposita graffetta, illustrata nella ?gura riportata sotto.
6 Ripiegare la linguetta di plastica che si trova sulla Scheda AirPort sopra la parte superiore
della scheda stessa.
Fissare il pannello inferiore al computer. Seguire le istruzioni descritte nella precedente
sezione, “Rimuovere il disco rigido interno” a partire da pagina 85.
Scheda AirPort
Linguetta antenna
Importante Questa linguetta deve essere ben ripiegata sulla scheda, altrimenti non sarà
possibile ?ssare adeguatamente il pannello inferiore al computer.93
C A P I T O L O
6
6 Risoluzione dei problemi
Talvolta utilizzando PowerBook si possono veri?care problemi. Solitamente i problemi sono
causati da una non corretta con?gurazione del software o dall'utilizzo di applicazioni o di
estensioni software non compatibili con la versione di Mac OS (il software di sistema)
installata sul computer. Altri componenti generano meno frequentemente problemi con il
software Mac OS (normalmente risolti reinstallando il software di sistema del computer o
aggiornando il componente software) e con l'hardware del computer, quali la memoria o il
disco rigido.
Quando si rileva un problema, ricordarsi che spesso esiste una soluzione semplice e veloce.
Quando si veri?ca un problema, tenere presenti le condizioni che hanno portato al
problema. Prendere nota di tutte procedure che sono state eseguite prima che si veri?casse il
problema, in questo modo è più semplice individuare le possibili cause e trovare la
soluzione. Prendere nota di:
m quale applicazione si stava utilizzando quando si è veri?cato il problema (i problemi che
insorgono solo con una particolare applicazione indicano che quella applicazione non è
compatibile con la versione Mac OS installata sul computer);
m quali componenti software sono stati installati recentemente, specialmente quei
componenti che sono stati installati nella Cartella Sistema (alcune applicazioni installano
estensioni che potrebbero non essere compatibili con la versione Mac OS installata sul
computer);
m eventuale nuovo hardware installato, quale ad esempio memoria aggiuntiva o una
periferica.
Informazioni incluse in questo capitolo
Questo capitolo fornisce la soluzione dei problemi che non permettono all'utente di lavorare
con il computer, per esempio quando il sistema si blocca o il non si avvia. È possibile trovare
maggiori informazioni sulla soluzione dei problemi nell'Aiuto Mac (vedere a pagina 43) e al
sito web del supporto Apple all'indirizzo www.apple.com/support94 Capitolo 6
Problemi che non permettono all'utente di utilizzare il
computer
Il computer non risponde o il puntatore non si muove
m Premere contemporaneamente i tasti "Comando" (?) e punto (.), e se appare la ?nestra
di dialogo, fare clic su "Annulla".
m Se questo non risolve il problema, tenere premuti contemporaneamente i tasti "OpzioneComando (?)", quindi premere il tasto "Esc". Se appare una ?nestra di dialogo, fare clic
sul pulsante "Esci Adesso". Quindi registrare tutti i documenti aperti e riavviare il
computer per essere sicuri che il problema venga eliminato.
m Se non si riesce a chiudere l'applicazione, tenere premuto il pulsante di alimentazione
(®) per alcuni secondi per spegnere il computer.
m Se il computer non risponde ancora, provare a riavviarlo tenendo premuti i tasti
"Comando (?)-Ctrl" della tastiera e il pulsante di alimentazione (®).
m Se questo non funziona, individuare il pulsante di Reset (vedere a pagina 20) sul pannello
posteriore del computer. Utilizzare l'estremità di una graffetta per premere il pulsante.
Assicurarsi che il pulsante ritorni nella sua posizione originale, quindi premere il pulsante
di alimentazione (®) per riavviare il computer.
Dopo avere usato il pulsante di Reset può essere necessario reimpostare la data e l'ora
(utilizzando il controllo "Data & Ora" in Mac OS 9 o il pannello "Data & Ora" di "Preferenze
di Sistema" in Mac OS X).
Se il problema si presenta spesso, scegliere "Aiuto Mac" dal menu "Aiuto". Consultare la
sezione su come prevenire e risolvere i problemi. Potrebbe essere necessario controllare i
con?itti di estensione o reinstallare il sistema operativo. Se il problema si veri?ca solo con
una particolare applicazione, contattare il distributore del software per veri?care che
l'applicazione sia compatibile con questo computer.
Se il computer si "blocca" durante il riavvio o appare l'icona di un punto
interrogativo lampeggiante:
m In Mac OS9, disattivare le estensioni di sistema avviando il computer tenendo premuto il
tasto "Maiuscole".
Mac OS X non utilizza le estensioni di sistema. Per disattivare le estensioni in ambiente
Classic, attenersi alle seguenti istruzioni:
m In Mac OS X, selezionare "Disattiva estensioni" dal menu a comparsa che appare nel
pannello "Avanzate" del pannello "Classic" di "Preferenze di Sistema". Fare clic su "Riavvia
Classic".
m Se questo non funziona, avviare PowerBook tenendo premuto il tasto "C" e inserire
contemporaneamente il CD del software di sistema di Mac OS 9 o Mac OS X (controllare
che il tasto "Maiuscole" non sia premuto).Risoluzione dei problemi 95
Dopo avere avviato il computer, scegliere "Aiuto Mac" dal menu "Aiuto". Consultare la
sezione su come prevenire e risolvere i problemi. Potrebbe essere necessario controllare i
con?itti di estensione o reinstallare il sistema operativo.
Se l'unico modo per avviare PowerBook è utilizzando il CD del software di installazione, è
necessario reinstallare il software di sistema del computer. Per ulteriori informazioni,
consultare l'Aiuto Mac o avviare il programma di installazione o di ripristino e seguire le
istruzioni che appaiono a video.
Il computer non si accende o non si avvia
m Assicurarsi che l'alimentatore sia collegato al computer e a una presa di corrente
funzionante .
m Potrebbe essere necessario ricaricare la batteria. Premere il piccolo pulsante posto sulla
batteria (vedere la sezione a pagina 58). Dovrebbero accendersi le quattro spie
segnalando il livello di carica della batteria.
m Se questo non risolve il problema, individuare il pulsante di reset posto sul pannello
posteriore del computer (vedere la sezione a pagina 20). Premere questo pulsante
delicatamente utilizzando la punta di una penna. Assicurarsi che il pulsante ritorni alla sua
posizione dopo averlo premuto.
Nota: Dopo avere usato il pulsante di Reset può essere necessario reimpostare la data e
l'ora (utilizzando il controllo "Data & Ora" in Mac OS 9 o il pannello "Data & Ora" di
"Preferenze di Sistema" in Mac OS X).
m Se questo non risolve il problema, premere il pulsante di alimentazione (®) tenendo
contemporaneamente premuti i tasti "Comando (?)-Opzione-P-R" ?no a quando non si
sente per la seconda volta il segnale di avvio.
m Se è stata recentemente installata memoria addizionale, assicurarsi che sia installata
correttamente e che sia compatibile con il computer. Veri?care se rimuovendo la memoria
è possibile avviare il computer.
m Se non è ancora possibile avviare il computer, consultare la documentazione di supporto
fornita con PowerBook per sapere come contattare un centro di assistenza autorizzato o
un rivenditore Apple per assistenza.96 Capitolo 6
Ripristino del software del computer
Apple Software Restore elimina completamente il contenuto del disco rigido o della
partizione e ripristina il contenuto originale, inclusi il software di sistema, le impostazioni
prede?nite e le applicazioni fornite con il computer.
Se è necessario ripristinare il software del computer, utilizzare i CD di ripristino del software
Apple forniti con il computer. Eseguire innanzitutto il backup delle applicazioni e dei
documenti essenziali, se possibile.
Nota: Per non eliminare il contenuto del disco rigido, è possibile reinstallare solo il software
di sistema o alcune applicazioni utilizzando i CD Software Install o i CD delle applicazioni
forniti con il computer. Per istruzioni su come installare Mac OS 9 e Mac OS X, leggere il
manuale Benvenuti a Mac OS X.
1 Assicurarsi di disporre di tutti i CD Apple Software Restore forniti con il computer.
2 Inserire il primo CD di ripristino del software nell'apposita unità.
3 Riavviare il computer e tenere premuto il tasto "C" per avviare il computer dal CD.
4 Seguire le istruzioni visualizzate sullo schermo.
Impostazione assistita offre un aiuto nella con?gurazione del computer in Mac OS 9. Al primo
riavvio del computer con Mac OS X, Impostazione Assistita si aprirà per aiutare a con?gurare
le impostazioni di Mac OS X.
Altri problemi
Se il problema si verifica con un componente software:
m In caso di problemi con un sistema operativo di terze parti (non Apple), contattare il
distributore. Spesso i distributori di software forniscono sui siti web gli aggiornamenti per
il loro software. È possibile con?gurare PowerBook per individuare e installare
automaticamente il software Apple più recente utilizzando il controllo "Aggiornamento
Software" in Mac OS 9 o il pannello "Aggiornamento Software" di "Preferenze di Sistema"
in Mac OS X. Per maggiori informazioni, scegliere "Aiuto Mac" dal menu "Aiuto" e inserire
i termini “aggiornamento software”.
Se si verificano problemi nella connessione a Internet:
m Assicurarsi che il cavo telefonico o il cavo di rete sia collegato e funzionante.
m Se si utilizza una connessione di tipo dial-up, veri?care che il cavo telefonico sia inserito
nella porta del modem (contrassegnata dall'icona W) e non nella porta Ethernet
(contrassegnata dall'iconaG).
m Scegliere "Aiuto Mac" dal menu "Aiuto". Qui si possono trovare informazioni sulle
impostazioni Internet e sui provider (se è stato utilizzato il software Impostazione Assistita
per accedere a Internet).Risoluzione dei problemi 97
Se il problema si verifica utilizzando il computer o il sistema operativo Mac OS:
m Se questo manuale non fornisce tutte le informazioni richieste, consultare l'Aiuto Mac per
istruzioni e soluzioni dei problemi.
m Andare al sito web del supporto Apple all'indirizzo www.apple.com/support per trovare le
ultime informazioni sulla soluzione dei problemi e gli aggiornamenti software.
Se si sospetta che il computer presenti un problema di hardware:
m Utilizzare il CD Apple Hardware Test per determinare la presenza di un problema in uno
dei componenti hardware del computer, quali ad esempio la memoria o il processore.
Individuare il numero seriale del prodotto
Il numero seriale di PowerBook si trova sulla parete interna dell'alloggiamento per la batteria.
Per informazioni sulla rimozione della batteria, vedere la sezione “Rimuovere e sostituire la
batteria” a pagina 58.98 Capitolo 699
A P P E N D I C E
A
A Speci?chetecniche
Questa sezione fornisce informazioni sulle speci?che del prodotto. Ulteriori informazioni
sono disponibili sul disco rigido in Apple System Pro?ler e su Internet presso i siti
www.apple.com/it/powerbook e www.apple.com/support/
Apple System Profiler
Apple System Pro?ler consente di visualizzare informazioni dettagliate sul particolare
modello di PowerBook utilizzato, quali la quantità di memoria integrata, le dimensioni del
disco rigido, le periferiche connesse e il numero seriale del prodotto.
Per accedere alle informazioni di Apple System Pro?ler:
m In Mac OS9, scegliere "Apple System Pro?ler" dal menu "Apple" (K).
m In Mac OS X, aprire "Apple System Pro?ler", situato nella cartella Utilities all'interno della
cartella Applications.
Fare clic sui triangolini
nella ?nestra per
visualizzare e
nascondere le
informazioni delle
diverse categorie.100 Appendice A
Specifiche PowerBook
Processore, memoria e disco rigido
m Processore: Processore PowerPC G4 con almeno 550 megahertz (MHz)
m Memoria: Minimo 128 megabyte (MB); massimo 1 gigabyte (GB)
m Disco rigido: Minimo 20 GB
Memoria video e grafica
m Memoria video: 16 MB DDR SDRAM
m Controller gra?ca: ATI Mobility Radeon
Modem
m Standard modem: K56?ex e V.90
m Velocità modem: 56 kilobit per secondo (Kbps)
Nota: La velocità di download varia in relazione alle condizioni della linea e alle
caratteristiche del modem dell'ISP. Negli Stati Uniti le normative FCC limitano la velocità
di trasmissione del provider a 53 Kbps.
Scheda AirPort
m Velocità di trasferimento wireless dei dati: Fino a 11 megabit per secondo (Mbps)
m Intervallo: Fino a 45 metri nell'utilizzo tipico (varia a secondo del tipo di edi?cio).
m Frequenza: 2,4 gigahertz (GHz).
Alimentatore:
m Ingresso: CA 100–240 volt (V), 50/60 hertz (Hz)
m Uscita: CC 24 V, 1.875 A
Batteria
m Uscita: DC 14,4 V
m Capacità: 3840 milliampere-ora (mAh)Speci?che tecniche 101
Monitor esterno in modalità "Scrivania estesa" o "duplicazione dello schermo"
Con il monitor PowerBook G4 impostato sulla risoluzione 1152 x768 a milioni di colori, un
monitor VGA esterno supporta le seguenti risoluzioni
m Fino a milioni di colori: 640 x480, 640 x870, 800 x600, 832 x624, 1024 x768, 1152 x
870, 1280 x960, 1280 x1024 e 1600 x1200
m Fino a migliaia di colori: 1280 x960, 1280 x1024, 1600 x1200, 1792 x1344, 1856 x1392
e 1920 x1440
Se in modalità "duplicazione dello schermo" si seleziona una risoluzione superiore a 1152 x
768 le immagini sullo schermo del monitor esterno verranno ridotte per uniformarsi alla
risoluzione 1152 x768 del monitor interno.
Monitor esterno in modalità "monitor chiuso"
Quando il monitor di PowerBook è chiuso, un monitor VGA esterno supporta le seguenti
risoluzioni:
m Fino a milioni di colori: 640 x480, 800 x600, 1024 x768, 1152 x870, 1280 x960, 1280 x
1024, 1600 x1200, 1792 x1344, 1856 x1392 e 1920 x1440
m Fino a migliaia di colori: 1792 x1344, 1856 x1392, e 1920 x1440
Televisore esterno S-Video o Composito (NTSC)
Un televisore o un dispositivo video NTSC esterno supporta le seguenti risoluzioni:
m Fino a milioni di colori: 640 x480, 720 x480 (solo NTSC), 800 x600, 832 x624 e 1024 x
768 a 60 Hz
Televisore esterno S-Video o Composito (PAL)
Un televisore o un dispositivo video PAL esterno supporta le seguenti risoluzioni:
m Fino a milioni di colori: 640 x480, 720 x576, 800 x600, 832 x624 e 1024 x768 a 50 Hz
Nota: La riproduzione di ?lmati DVD sul monitor esterno o sul televisore riduce la
quantità di memoria video disponibile per lo schermo. Con alcune risoluzioni più
elevate si riduce il numero di colori visualizzati.
Dimensione e peso
m Altezza: 26 mm
m Larghezza: 341 mm
m Spessore: 241 mm
m Peso: 5,3 libbre 2,4 kg
Nota: Il peso varia a seconda del tipo di con?gurazione.
Ambiente operativo
m Temperatura di operatività: da 10°C a 35°C
m Temperatura di stoccaggio: da –13°F a 140°F (da –25°C a 60°C)102 Appendice A
m Altitudine: 3048 m massimo
m Altitudine trasporto: 10668 m massimo
m Umidità relativa: dal 20% all'80% in assenza di condensa103
A P P E N D I C E
B
B Manutenzione, utilizzo einformazioni
sullasicurezza
Pulizia di PowerBook
Per pulire le super?ci esterne e i componenti del computer, seguire questi suggerimenti:
m Per pulire le parti esterne del computer, utilizzare un panno morbido, pulito e privo di
lanugine. Accertarsi che nessun liquido entri nelle fessure.
m Non usare spray, solventi o sostanze abrasive.
Pulizia dello schermo di PowerBook
Per pulire lo schermo di PowerBook, seguire una delle seguenti procedure:
m Spegnere PowerBook.
m Dopo avere spento PowerBook, inumidire con acqua un panno pulito, privo di lanugine e
pulire lo schermo. Non usare mai spray direttamente sullo schermo.
Trasporto di PowerBook
Se si trasporta PowerBook in una borsa o in una ventiquattrore, accertarsi che non contenga
piccoli oggetti sciolti, quali ad esempio graffette o monete, che possano accidentalmente
entrare nel computer attraverso lo slot dell'unità disco DVD.
Accorgimenti per riporre PowerBook
Se si desidera riporre PowerBook per un lungo periodo di tempo, seguire una delle seguenti
procedure per evitare di scaricare completamente la batteria:
m Collegare l'alimentatore.
m Caricare completamente la batteria di PowerBook prima di riporre il computer.104 Appendice B
m Caricare completamente e rimuovere la batteria di PowerBook quando si ripone il
computer (specialmente se si intende non utilizzarlo per più di 5 mesi).
Istruzioni sulla sicurezza per la configurazione e l'utilizzo del
computer
Collegare l'alimentatore di PowerBook
Lasciare spazio attorno all'alimentatore. Non utilizzare questa apparecchiatura in ambienti
angusti. Prima di aprire lo chassis del computer per eseguire procedure quali l'installazione
di memoria addizionale o la rimozione del disco rigido, scollegare sempre l'alimentatore e
rimuovere la batteria.
Collegare una linea telefonica al modem interno
Prima di aprire lo chassis del computer per eseguire procedure quali l'installazione di
memoria addizionale o la rimozione del disco rigido, scollegare sempre il cavo telefonico.
Utilizzo di PowerBook
Quando si utilizza PowerBook o si ricarica la batteria, è normale che la parte inferiore dello
chassis del computer si riscaldi. La parte inferiore dello chassis di PowerBook funge da
dissipatore di calore trasferendo esternamente il calore interno. La parte inferiore dello
chassis è leggermente sollevata per consentire un continuo ?usso d'aria per mantenere i
componenti interni alla temperatura operativa normale.
Attenzione Utilizzare solo l'alimentatore fornito con questo computer PowerBook. Gli
alimentatori per altri dispositivi elettronici (inclusi altri modelli PowerBook e altri
computer portatili) anche se simili potrebbero danneggiare il computer. Se l'alimentatore
ha una presa tripolare (una spina che presenta un terzo spinotto per la messa a terra),
deve essere collegato a una presa CA fornita di messa a terra. Se non è possibile collegare
l'alimentatore poiché la presa non è fornita di messa a terra, fare installare una presa
idonea da un elettricista. Ricordarsi della funzione del terzo spinotto per la messa a terra.
Attenzione Non collegare una linea telefonica digitale al modem, poiché potrebbe
danneggiare il modem.
Attenzione Non posizionare PowerBook su un cuscino o su altro materiale morbido
mentre è acceso, poiché questo potrebbe bloccare la ventilazione e provocare il
surriscaldamento del computer.
Attenzione Non accendere mai il computer se tutti i componenti interni ed esterni non
sono stati installati. L'utilizzo del computer con lo chassis aperto o con componenti
interni mancanti potrebbe essere pericoloso per l'utente e danneggiare il computer.Manutenzione, utilizzo e informazioni sulla sicurezza 105
Istruzioni sulla sicurezza
Per una maggiore sicurezza della persona e dell'apparecchio, prendere sempre le precauzioni
elencate di seguito.
Scollegare il cavo di alimentazione (agendo sulla spina e non tirando il cavo) e rimuovere il
modulo della batteria principale e il cavo telefonico se si veri?ca una delle seguenti
condizioni:
m Si desidera rimuovere un componente interno (non collegare il cavo di alimentazione
?ntanto che la tastiera è aperta).
m Il cavo di alimentazione o il connettore sono danneggiati.
m Liquidi sono entrati nello chassis.
m Il computer è stato esposto ad acqua o ad eccessiva umidità.
m Il computer è caduto o lo chassis è danneggiato.
m Si ritiene che il computer necessiti di riparazione.
m Si desidera pulire lo chassis (seguire solo la procedura descritta più avanti).
Seguire sempre queste istruzioni:
m Tenere il computer lontano da qualsiasi liquido (bevande, lavandini, vasche da bagno,
docce e così via).
m Non esporre il computer agli agenti atmosferici (pioggia, neve e così via).
m Prima di collegare il computer a una presa di corrente fornita di messa a terra, leggere
attentamente le istruzioni sull'installazione.
m Tenere sempre queste istruzioni a portata di mano.
m Seguire tutte le istruzioni e gli avvertimenti relativi all'apparecchiatura.
Importante Per disabilitare completamente l'alimentazione del computer è necessario
scollegare il cavo di alimentazione e i cavi telefonici, quindi rimuovere la batteria. Assicurarsi
che almeno un'estremità del cavo di alimentazione sia facilmente accessibile nel caso sia
necessario rimuoverlo.
Attenzione Un utilizzo improprio delle apparecchiature elettriche può essere
pericoloso. Qualsiasi procedura relativa all'uso di questo prodotto, o apparecchiature
simili, deve essere svolta sempre in presenza di una persona adulta. Non permettere ai
bambini di avvicinarsi e toccare i componenti elettrici.
Attenzione Non inserire alcun oggetto nelle fessure o aperture dello chassis del
computer. Potrebbe essere pericoloso e causare principi di incendio o corti circuito.106 Appendice B
Disposizione dell'ambiente di lavoro
Tastiera e trackpad
Quando si usano la tastiera e il trackpad, le spalle devono essere rilassate. Il braccio e
l'avambraccio devono formare un angolo retto, mentre il polso e la mano devono essere in
linea retta.
Utilizzare la tastiera e il trackpad con delicatezza, mantenendo le dita e le mani rilassate. Non
posizionare il pollice sotto il palmo della mano.
Per evitare l'affaticamento delle mani, cambiare spesso la loro posizione. Alcuni utenti di
computer accusano uno stato di affaticamento alle mani, ai polsi o alle braccia dopo un'intensa
giornata di lavoro. Se si manifestano dolori e affaticamento alle mani, ai polsi e alle braccia,
consultare un medico specialista.
Sedia
Usare una sedia regolabile che offra un valido e comodo sostegno. Regolare l'altezza della
sedia in modo che le cosce siano orizzontali e i piedi poggino completamente a terra. La
sedia deve offrire un valido sostegno alla regione lombare. Seguire le istruzioni del
produttore per regolare lo schienale in modo da adattarla al proprio corpo.
Regolare l'altezza della sedia in modo che gli avambracci e le mani siano in linea con la
tastiera. Se i piedi non poggiano a terra, usare un poggiapiedi con altezza regolabile che
occupi lo spazio tra i piedi e il pavimento. Abbassare il piano della scrivania per eliminare il
poggiapiedi. Un'altra possibilità è rappresentata dall'utilizzo di una scrivania con un piano per
la tastiera più basso rispetto al piano di lavoro.
Così Non così
Così Non cosìManutenzione, utilizzo e informazioni sulla sicurezza 107
Mouse esterno
Se si utilizza un mouse esterno, posizionarlo alla stessa altezza della tastiera e predisporre
spazio suf?ciente per poterlo usare .
Schermo interno
Regolare l'angolazione dello schermo in modo da ridurre al massimo la presenza di ri?essi
causati da fonti di luce arti?ciale o naturale.
Se ci si sposta e la luce dell'ambiente di lavoro cambia, è possibile regolare la luminosità dello
schermo.
Per ulteriori informazioni
Andare al seguente sito (in inglese): www.apple.com/about/ergonomicsInformazioni sulla regolamentazione delle comunicazioni, delle linee
telefoniche e modem
Per informazioni sulla regolamentazione FCC, l'interferenza radiotelevisiva, la linea telefonica e la connessione via
modem in relazione a questo prodotto, consultare la documentazione sulla regolamentazione delle
comunicazioni sul disco rigido.
Informazioni sugli apparecchi laser
Non cercare di disassemblare l'intelaiatura contenente il laser. Il raggio laser utilizzato in questo prodotto può
causare danni agli occhi e alla vista. L'utilizzo con questo prodotto di strumenti ottici, quali lenti d'ingrandimento,
aumenta la possibilità di danni alla vista e agli occhi. Per sicurezza personale, rivolgersi sempre a un centro di
assistenza autorizzato Apple per la manutenzione dell'apparecchio.
Questo computer è un prodotto laser di Classe 1. L'etichetta Class1, posizionata in un'area accessibile all'utente,
indica che l'unità è conforme ai requisiti minimi di sicurezza. L'area alla quale si può accedere per la
manutenzione è contrassegnata da un'etichetta di avviso. Le etichette che contrassegnano il prodotto acquistato
possono essere leggermente diverse da quelle qui riportate.
Specifiche laser
Laser su unità pickup (durante la lettura di un CD)
m Tipo: laser Semiconduttore GaAlAs
m Lunghezza d'onda: 790 nm
m Potenza lenti obiettivo in uscita: 3,3 mW
m Divergenza raggio: orizzontale 12° verticale 35°
Laser (in fase di lettura del DVD)
m Tipo: laser semiconduttore GaAs
m Lunghezza d'onda: 658 nm
m Potenza lenti obiettivo in uscita: 6 mW
m Divergenza raggio: orizzontale 8,5° verticale 27°
Avviso di attività ad alto rischio
Questo sistema non è predisposto per l'utilizzo all'interno di strutture nucleari, sistemi di navigazione o di
comunicazione aerea, strumenti per il controllo del traf?co aereo o per altri utilizzi nei quali un'improvvisa
interruzione del corretto funzionamento del sistema possa causare morte o danni ?sici a persone o gravi danni
ambientali.
ENERGY STAR®
Come partner di ENERGY STAR®, Apple ha stabilito che le con?gurazioni standard del prodotto in questione
utilizzando il sistema operativo Mac OS 9 soddisfano i requisiti ENERGY STAR® per il rendimento energetico. Il
programma ENERGY STAR® riunisce diversi produttori di apparecchi per uf?cio ed è volto alla promozione del
risparmio di energia. La riduzione del consumo di energia dei prodotti da uf?cio determina un notevole risparmio
?nanziario e una diminuzione dell'inquinamento grazie all'eliminazione di sprechi di energia.
Attenzione L'esecuzione di regolazioni o di altre procedure diverse da quelle speci?cate nel manuale
dell'apparecchio possono causare esposizione a radiazioni pericolose.
Etichetta Classe 1 Messaggio di attenzione
Mac OS X 10.5 Leopard
Installationshandbok
Om du redan har Mac OS X 10.3 eller senare installerat på datorn: Du behöver bara
uppgradera till Leopard. Se ”Uppgradera Mac OS X” på sidan 1.
Om du vill installera ett nytt system raderar du hårddisken innan du installerar Mac OS X
eller ytterligare program: Gå till ”Anpassade installationer” på sidan 4.
Om du vill veta vilken version av Mac OS X som är installerad väljer du Apple (?) >
Om den här datorn.
Uppgradera Mac OS X
Uppgradera till Leopard och börja använda alla de suveräna nya funktionerna. Det är
enkelt – följ bara de här stegen.
VARNING: Om du installerar Mac OS X på din nuvarande Mac OS X-startskiva låter du
installationen slutföras. Om du avbryter kommer du kanske inte att kunna starta med
den nuvarande Mac OS X-startskivan.2
Steg 1: Mata in installationsskivan för Mac OS X
Dubbelklicka på symbolen Installera Mac OS X och klicka sedan på Starta om.
Installeraren öppnas automatiskt när datorn startas om.
Steg 2: Följ anvisningarna på skärmen.
Välj det språk som du vill använda och klicka sedan på framåtpilen.
Välkomstskärmen visas.
Dubbelklicka på den här symbolen
på installations-CD-skivan.
Klicka på Starta om
när du vill börja.3
Installeraren vägleder dig genom installationsprocessen:
Det var allt. Mycket nöje med Mac OS X Leopard!
Välkommen Klicka på Mer information på välkomstsidan om du vill veta
mer om systemkrav och övrig information du kan behöva innan
du installerar.
Licens Läs och acceptera licensavtalet för programmet.
Välj målplats Om du har fler än en hårddiskvolym väljer du en målplats och
klickar sedan på Fortsätt.
Installationssammanfattning Klicka på Installera när du vill börja installera Leopard.
Installera Installeraren visar installationens förlopp.4
Anpassade installationer
I det här avsnittet beskrivs hur du installerar Mac OS X om du vill:
 Installera Mac OS X på datorn för första gången
 Arkivera ditt nuvarande Mac OS X-system
 Radera hårddisken innan du installerar Mac OS X
 Installera extra program som finns på installationsskivan för Mac OS X
Förbereda installationen
Om du tänker radera hårddisken, eller arkivera ditt nuvarande system utan att bevara
användare och nätverksinställningar, bör du anteckna de nuvarande nätverksinställningarna. Det gör det lättare att ansluta igen när du har installerat Mac OS X.
Gå till Systeminställningar > Nätverk och ta en titt på de här inställningarna:
Om nätverket ansluts via: Skriv ner följande:
Ethernet, DSL- eller
kabelmodem med DHCP
Ingenting. DHCP ställer in Internetanslutningen automatiskt.
AirPort med DHCP Namnet på AirPort eller det trådlösa nätverket och lösenordet du
fått av AirPort-nätverksadministratören
Ethernet, DSL- eller
kabelmodem (manuellt)
IP-adress (en sifferserie som liknar 12.345.56.789)
Delnätsmask (en sifferserie som liknar 10.255.255.255)
Routeradress (en sifferserie som liknar 10.208.32.2)
DNS-servrar (frivilligt, en sifferserie som liknar 10.255.255.255 och
ett namn som liknar Internetleverantörsnamn.se)
Sökdomäner (frivilligt, ett namn som liknar
Internetleverantörsnamn.se)
Modem med uppringning Telefonnummer, användarnamn och lösenord som du fått av
Internetleverantören
DNS-servrar (frivilligt, en sifferserie som liknar 10.255.255.255 och
ett namn som liknar Internetleverantörsnamn.se
Sökdomäner (frivilligt, ett namn som liknar
Internetleverantörsnamn.se)5
Installera Mac OS X
Följ de här stegen om du vill påbörja en anpassad installation av Mac OS X Leopard.
Steg 1: Mata in skivan Mac OS X Install
Dubbelklicka på symbolen Installera Mac OS X och klicka sedan på Starta om.
Installeraren öppnas automatiskt när datorn startas om.
VARNING: Om du installerar Mac OS X på din nuvarande Mac OS X-startskiva låter du
installationen slutföras. Om du avbryter kommer du kanske inte att kunna starta med
den nuvarande Mac OS X-startskivan.
Dubbelklicka på den här symbolen
på installations-CD-skivan.
Klicka på Starta om
när du vill börja.6
Steg 2: Följ anvisningarna på skärmen.
Välj det språk som du vill använda och klicka sedan på framåtpilen.
Välkomstskärmen visas.
Installeraren vägleder dig genom installationsprocessen. I avsnitten nedan finns mer
information om att välja en målplats om du har fler än en volym på datorn, att välja
installationsalternativ och att välja ytterligare program att installera.
Steg 3: Välj målplats
I panelen ”Välj målplats” väljer du den volym som du vill installera Mac OS X på. Hur
mycket utrymme som krävs för installationen visas på skärmen.7
Steg 4: Välj hur du vill installera Mac OS X
Klicka på knappen Alternativ och välj ”Arkivera och installera” eller ”Radera och
installera”. Ett av de följande fönstren visas på skärmen:
Välj hur du vill installera Mac OS X och klicka sedan på OK. Klicka på Fortsätt när du vill
gå vidare till nästa panel.
Installera Mac OS X
Det här alternativet visas om du inte har Mac OS X installerat på datorn, eller om du har
en äldre version av Mac OS X (10.2.8) som inte kan uppgraderas. Välj det här alternativet
om du vill installera Leopard på datorn.
Arkivera och installera
Välj det här alternativet om du vill installera ett nytt system på datorn.
Med ”Arkivera och installera” flyttas dina befintliga systemfiler för Mac OS X till en
mapp som heter Tidigare system. Sedan installeras en ny kopia av Mac OS X på
volymen som du har valt. Program som är installerade av Mac OS X, till exempel
Adressbok och Safari, arkiveras och nya versioner installeras i mappen Program.
Användarkonton och deras hemmappar arkiveras också i mappen Tidigare system,
såvida du inte väljer ”Behåll användare och nätverksinställningar”.
Detta väljs om Mac OS X
redan har installerats
på volymen.
Detta väljs om Mac OS X inte
är installerat.8
Markera kryssrutan ”Behåll användare och nätverksinställningar” om du vill importera
befintliga användarkonton, hemmappar och nätverksinställningar till det nya systemet.
I användarkontona finns bland annat:
 Hemmappar och deras innehåll
 Inställningar
 Adressbok-databaser
 Webbläsarbokmärken
 Nätverksinställningar och platser
Med ”Behåll användare och nätverksinställningar” kopieras även den befintliga mappen
/Användare/Delat till det nya systemet.
Obs! Du kan inte starta datorn med mappen Tidigare system, men inställningarna,
typsnitten, insticksfilerna och andra objekt finns tillgängliga om du behöver dem.
Vissa program och insticksprogram måste eventuellt installeras om efter ”Arkivera och
installera”. Typsnitt som installerades i systemmappen /Bibliotek/Typsnitt kan installeras
i det nya systemet genom att du kopierar dem från mappen Tidigare system.
Radera och installera
Den här metoden raderar målvolymen fullständigt och installerar sedan en ny kopia
av Mac OS X.
Steg 5: Välja ytterligare programpaket att installera
Den förvalda installationen innehåller all programvara som behövs för att använda
Mac OS X. Installationsskivan för Mac OS X innehåller även annan programvara, till
exempel skrivardrivrutiner, typsnitt och översättningar, som du också kan installera.
Du kan se de tillgängliga paketen om du klickar på Anpassa i fönstret
installationssammanfattning.
Panelen Anpassad installation visas (se nästa sida). Klicka på pilarna om du vill se
specifika komponenter. Markera programvara du vill installera och klicka sedan på Klar.
VARNING: Om du raderar målvolymen kommer allt som finns på volymen att raderas:
användarkonton, nätverksinställningar och alla filer och mappar. Om det behövs kan
du avsluta installeraren och säkerhetskopiera filerna innan du raderar målvolymen.9
Obs! Du kan också använda installationsskivan för Mac OS X till att installera ytterligare
programpaket senare.
När du vill installera Mac OS X och markerad programvara klickar du på Installera
i fönstret installationssammanfattning av installationen.
Klicka på pilen om du
vill visa komponenter.
All komponenter
installeras.
Endast de
markerade
komponenterna
installeras.10
Ställa in Mac OS X efter en ny installation
Läs det här avsnittet om du har installerat Mac OS X för första gången, eller
om du valde att göra en anpassad installation som inte bevarade användar-
och nätverksinställningar.
När du har installerat Mac OS X startar installeraren om datorn. Mac OS X
Inställningsassistent visas och hjälper dig att ställa in det nya systemet.
Inställningsassistenten leder dig genom processen att överföra information,
skapa ett Apple-ID och .Mac-medlemskap, skapa ett eget användarkonto, ställa
in Internetanslutning och registrera din kopia av Mac OS X.
Överföra information från en annan Mac-dator eller -volym
Inställningsassistenten hjälper dig att överföra information från en annan Mac OS Xdator eller -volym till det nya Mac OS X-systemet. Om du väljer att överföra information
uppmanas du att välja vilka objekt du vill överföra. Du kan överföra användarkonton,
nätverksinställningar och andra inställningar, program, filer och mappar. Vissa
överförda program fungerar eventuellt inte och måste i så fall installeras om.
Obs! Du måste inte överföra information under installationen. Du kan använda
Flyttassistent, ett verktyg som installeras med Mac OS X Leopard, och när som
helst överföra program, filer och mappar från en annan dator eller volym.
Skapa ett användarkonto
Användarkontot som du skapar vid installationen är en administratör på din dator. Du
uppmanas att skapa ett användarnamn och lösenord. Det är viktigt att du kommer ihåg
exakt hur du skriver in dem, inklusive om du använder versaler. Du kan behöva båda
när du ska logga in på datorn eller utföra administrativa uppgifter, till exempel att
installera nya program.
Ställa in Internetanslutningen
Med inställningsassistenten är det enkelt att ställa in Internetanslutningen. Om du inte
har någon Internetanslutning kan du skaffa en från en Internetleverantör.
Obs! Om du inte kan ansluta till Internet under inställningen kan du alltid använda
Inställningsassistent för nätverk och ansluta senare. Öppna Systeminställningar och
klicka på Nätverk. Sedan klickar du på ”Hjälp mig”.
Om du redan har en Internetanslutning bör du samla in information om den
innan du installerar Mac OS X. Då är du förberedd för att ställa in anslutningen
med inställningsassistenten. 11
Anslutningsinformationen du behöver finns i datorn på följande platser:
Följande tabell visar vilken information du behöver för att ansluta till Internet:
Om du redan har ett .Mac-medlemskap ser du till att ha medlemsnamnet och
lösenordet tillgängligt under inställningen. Om du inte kommer ihåg ditt .Mac-lösenord
går du till webbplatsen för .Mac (www.mac.com).
Om du inte känner till vilken anslutningsinformation du har kontaktar du din
Internetleverantör, nätverksadministratör eller den person som administrerar
ditt privata nätverk.
Ställa in ditt e-postkonto
Om du redan har ett e-postkonto behöver du bara din e-postadress (till exempel
poberg@mac.com) och lösenord för att ställa in kontot i Leopard.
Första gången du öppnar Mail visas Mail Inställningsassistent som hjälper dig att ställa
in dina e-postkonton.
Om du för närvarande
använder: Hittar du information här:
Mac OS X Systeminställningen Nätverk
Windows Kontrollpanelerna Internet, Modem och Nätverk
Om nätverket ansluts via: Skriv ner följande:
Ethernet, DSL- eller
kabelmodem med DHCP
Ingenting. DHCP ställer in Internetanslutningen automatiskt.
AirPort med DHCP Namnet på AirPort eller det trådlösa nätverket och lösenordet du
fått av AirPort-nätverksadministratören
Ethernet, DSL- eller
kabelmodem (manuellt)
IP-adress (en sifferserie som liknar 12.345.56.789)
Delnätsmask (en sifferserie som liknar 10.255.255.255)
Routeradress (en sifferserie som liknar 10.208.32.2)
DNS-servrar (frivilligt, en sifferserie som liknar 10.255.255.255 och
ett namn som liknar Internetleverantörsnamn.se)
Sökdomäner (frivilligt, ett namn som liknar
Internetleverantörsnamn.se)
Modem med uppringning Telefonnummer, användarnamn och lösenord som du fått av
Internetleverantören
DNS-servrar (frivilligt, en sifferserie som liknar 10.255.255.255 och
ett namn som liknar Internetleverantörsnamn.se)
Sökdomäner (frivilligt, ett namn som liknar
Internetleverantörsnamn.se)12
Säkerhetskopiera systemet med Time Machine
När du har installerat Leopard ansluter du en extern hårddisk till datorn och använder
Time Machine till att göra en uppdaterad kopia av allt på datorn.
Återskapa systemet
Om du behöver installera Leopard på nytt, och du har skapat en säkerhetskopia med
Time Machine, kan du återskapa allt på datorn till det tidigare tillståndet.
Steg 1: Mata in skivan Mac OS X Install
Dubbelklicka på symbolen Installera Mac OS X och klicka sedan på Starta om.
Installeraren öppnas automatiskt när datorn startas om.
Steg 2: Välj Återskapa system från säkerhetskopia
Välj Återskapa system från säkerhetskopia i menyn Verktyg och klicka sedan på Fortsätt
i fönstret som visas.
Steg 3: Markera en källa med en säkerhetskopia
Markera den volym som innehåller den Time Machine-säkerhetskopia du vill återskapa
och klicka sedan på Fortsätt.
När systemet har återskapats startar datorn om från den volym du har använt till att
återskapa inställningar och filer.
VARNING: När du återskapar systemet raderas allt innehåll på volymen du återskapar till.13
Svar på vanliga frågor
I följande avsnitt finns svar på frågor om att installera och använda Mac OS X.
Installera Mac OS X
Avsluta installeraren.
1 Välj Mac OS X Installeraren > Avsluta Mac OS X-installerare och klicka sedan på
Startskiva.
2 Välj startskiva och klicka på Starta om.
Du vill använda tangentbordet i stället för musen.
Du har fullständig åtkomst till tangentbordet när du använder Installeraren och
Mac OS X Inställningsassistent. Välj knappar, popupmenyer och andra alternativ
genom att trycka på tabbtangenten. Öppna popupmenyer genom att trycka på
nedåtpil. Markera objekt genom att trycka på mellanslag.
Du får inte starta installeraren.
Om datorn är ansluten till ett nätverk kan nätverksadministratören hindra dig från att
installera program eller uppgradera Mac OS X.
Installeraren öppnas inte.
Om Installeraren inte öppnas startar du datorn från installationsskivan genom att starta
om datorn medan du håller ned C-tangenten.
Om Installeraren fortfarande inte öppnas startar du om datorn och håller ned
musknappen eller styrplattans knapp, så att skivan matas ut. När datorn har startat
matar du in installationsskivan för Mac OS X. Använd inställningspanelen Startskiva till
att välja installationsskivan som startskiva och starta sedan om.
Installeraren kan inte reparera skivan.
Om det visas ett meddelande om att installeraren inte kan reparera skivan måste du
kanske radera den. Detta raderar alla filer på skivan.
Innan du raderar skivan kan du avsluta Installeraren och säkerhetskopiera filer (kopiera
dem till en annan skiva). När du är klar att radera skivan öppnar du Installeraren. Sedan
följer du instruktionerna i ”Anpassade installationer” på sidan 4 och väljer ”Radera
och installera”.
VARNING: Om du installerar Mac OS X på din nuvarande Mac OS X-startskiva låter du
installationen slutföras. Om du avbryter kommer du kanske inte att kunna starta med
den nuvarande Mac OS X-startskivan.
VARNING: Om du raderar målvolymen kommer allt som finns på volymen att raderas:
användarkonton, nätverksinställningar och alla filer och mappar. Om det behövs kan
du avsluta installeraren och säkerhetskopiera filerna innan du raderar målvolymen.14
Installeraren kan inte uppdatera hårddiskdrivrutinen.
Installeraren kan inte uppdatera drivrutiner för hårddiskar från andra tillverkare än
Apple. Använd det skivverktyg som tillverkaren rekommenderar till att uppdatera
hårddiskens drivrutin innan du installerar Mac OS X. Använd en version av verktyget
som är kompatibel med Mac OS X.
Installationen misslyckades.
Om det inte gick att installera Mac OS X försöker du med följande:
 Koppla bort alla externa enheter som du inte behöver under installationen.
 Använd Skivverktyg och reparera hårddisken.
När du har kopplat bort onödiga enheter startar du från installationsskivan för
Mac OS X. Välj språk och klicka på framåtpilen. Öppna Skivverktyg genom att välja
Verktygsprogram > Skivverktyg. Markera volymen som du vill installera på och klicka
på Reparera skiva. När du har reparerat eventuella problem avslutar du Skivverktyg och
klickar på Fortsätt för att försöka installera igen.
Om det fortfarande inte går att installera Mac OS X försöker du installera en gång till
med alternativet ”Radera och installera”. Se ”Anpassade installationer” på sidan 4.
Mac OS X-installationen avbröts och du kan inte starta datorn.
Starta om datorn medan du håller ned musknappen eller styrplattans knapp, så
att installationsskivan matas ut. Datorn kan kanske starta i det senaste systemet
du använde. Om den inte gör det och du har ett annat Mac OS-system installerat
på datorn startar du om datorn medan du håller ned alternativtangenten för att
välja en startskiva.
Om datorn inte startar på det här sättet matar du in installationsskivan för Mac OS X i
datorn och håller ned C-tangenten medan du startar om. Öppna inställningspanelen
Startskiva och välj en startskiva.
Du kanske måste installera om Mac OS X.
Om du vill installera om den här versionen av Mac OS X väljer du ”Arkivera och
installera” på panelen Alternativ. Sedan väljer du alternativet att behålla dina
inställningar för användarkonton och nätverk.
Om du måste återställa datorns program använder du den programskiva som
levererades tillsammans med datorn. Om du vill ha hjälp läser du i användarhandboken
till datorn.
Du vill installera Mac OS X på fler än en dator.
Läs licensavtalet som följde med ditt exemplar av Mac OS X.15
Logga in i Mac OS X
Att ”logga in” innebär att du kommer åt datorn genom att ange namn och lösenord
för ett användarkonto på datorn. Mac OS X är förinställt till att automatiskt logga in
på användarkontot som du skapar när du ställer in Mac OS X.
Du kan inte logga in på datorn.
Se till att du skrivit in namn och lösenord på exakt rätt sätt. Det spelar roll om du
använder stora eller små bokstäver. Om du fortfarande inte kan logga in, men vet
namnet och lösenordet för en administratörsanvändare, till exempel den första
användaren som du skapade, loggar du in som administratör. Sedan använder du
inställningspanelen Konton och ändrar ditt lösenord.
Du kommer inte ihåg ditt lösenord och måste återställa det.
Om du inte kommer ihåg ditt lösenord, och du har installationsskivan för Mac OS X,
matar du in skivan och startar om datorn samtidigt som du håller ned C-tangenten.
När Installeraren visas väljer du språk och klickar på framåtpilen. Välj Verktyg > Återställ
lösenord, och följ instruktionerna på skärmen.
Tips om att skapa bra lösenord.
Skriv ner en mening som betyder något för dig, och ta sedan ut den första bokstaven
i varje ord, eller ta ut alla vokaler. Säkerheten blir bättre om du inte använder ett riktigt
ord. Använd minst åtta tecken, både versaler och gemener, siffror och symboler. Här är
några exempel:
 ”Jag sover 7 timmar varje natt.” (aoe7iaaea)
 ”Jag arbetar 8 timmar per dag.” (arb8timdag)
 ”Min son Trevor är fem år yngre än min dotter Anna.” (M$3vor5ymd@)
Du kan inte logga in på ditt fjärranvändarkonto.
Om du försöker logga in på en server för att använda ditt användarkonto, men
inloggningen misslyckas, kontaktar du systemadministratören.
Få information om Mac OS X
Använd Mac OS Hjälp när du vill få svar på frågor om Mac OS X. Där finns information
om nyheter i Mac OS X och hjälp om kundfrågor. Mac OS Hjälp innehåller tusentals
sidor med information. Använd sökfunktionen och leta snabbt upp det ämne som
intresserar dig, eller klicka på Index och leta rätt på ämnet där.
Så här använder du Mac OS Hjälp:
1 Välj Hjälp > Mac Hjälp i Finder.
2 Skriv frågan i textrutan och tryck på returtangenten.
Om du vill ha hjälp med ett program som ingår i Mac OS X väljer du programmets hjälp
i menyn Hjälp medan du använder programmet.Få hjälp på Internet
Besök Apples webbplats på www.apple.com/se om du vill ha hjälp via Internet.
Apples webbplats innehåller massvis med information om Mac OS X.
Vad du än är intresserad av kan du få hjälp från Apple eller andra Mac-användare
i diskussionsgrupper.
Titta på följande delar av webbplatsen:
 Klicka på Mac OS X, så får du många idéer om hur du kan använda Mac OS X och
information om nya program.
 Klicka på Support om du vill besöka området Apple Support, där det finns support
till och teknisk information om alla Apple-produkter. Här kan du:
 Söka i tusentals artiklar om Apple-produkter genom att ange text i sökfältet och
klicka på förstoringsglaset. Klicka på Advanced Search om du vill göra mer
specifika sökningar.
 Klicka på Downloads om du vill få uppdateringar till Apple-program.
 Klicka på Manuals eller Specifications om du vill få PDF-filer med handböcker
eller annan information om Apple-produkter.
 Klicka på Discussions om du vill hitta svar från eller ställa frågor till andra
Mac-användare.
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Apple, Apples logotyp, AirPort, Mac och Mac OS är varumärken som tillhör Apple Inc. och är registrerade i USA och
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Final Cut Pro X
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autorisé d’une copie valide du logiciel Final Cut Pro est
autorisé à reproduire cette publication à des fins
d’apprentissage du logiciel. Aucune partie de cette
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fins commerciales comme la vente de copies de cette
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payants.
Le logo Apple est une marque d’Apple, Inc. déposée aux
États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du
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présentées dans ce manuel soient exactes. Apple ne peut
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Remarque : Apple commercialisant régulièrement de
nouvelles versions et des mises à jour de logiciels,
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Logic sont des marques d’Apple Inc. déposées aux
États-Unis et dans d’autres pays.
Tous les autres noms de produits sont des marques de
leurs propriétaires respectifs. Les produits commercialisés
par des entreprises tiers ne sont mentionnés qu’à titre
d’information, sans aucune intention de préconisation ni
de recommandation. Apple ne se porte pas garant de ces
produits et décline toute responsabilité quant à leur
utilisation et à leur fonctionnement.Préface 5 Introduction aux effets Logic pour Final Cut Pro X
5 À propos des effets Logic compris dans Final Cut Pro X
7 Ressources supplémentaires
Chapitre 1 9 Effets de distorsion
10 Bitcrusher
11 Clip Distortion
13 Effet de distorsion
13 Distortion II
14 Overdrive
14 Phase Distortion
15 RingShifter
Chapitre 2 23 Effets d’écho
23 Delay Designer
43 Modulation Delay
46 Stereo Delay
48 Tape Delay
Chapitre 3 51 Égaliseurs
52 AutoFilter
57 Channel EQ
62 Fat EQ
63 Linear Phase EQ
Chapitre 4 69 Effets de niveau
70 Types d’effets dynamiques
71 Adaptive Limiter
73 Compressor
77 Enveloper
79 Expander
80 Module Gain
81 Limiter
82 Multichannel Gain
3
Sommaire82 Multipressor
86 Noise Gate
89 Spectral Gate
92 Surround Compressor
Chapitre 5 97 Effets de modulation
98 effet chorus
98 Effet Ensemble
100 Effet Flanger
101 Phaser, effet
102 Effet Scanner Vibrato
104 Effet Tremolo
Chapitre 6 107 Effets d’espace
108 Planches, effets de réverbération numériques et réverbération à convolution
109 PlatinumVerb
Chapitre 7 113 Space Designer Convolution Reverb
114 Découvrir l’interface de Space Designer
115 Utilisation des paramètres de réponse impulsionnelle dans Space Designer
120 Travailler avec les paramètres Envelope et EQ dans Space Designer
126 Travailler avec le filtre de Space Designer
128 Travailler avec les paramètres globaux de Space Designer
135 Automatisation de Space Designer
Chapitre 8 137 Effets et utilitaires spécialisés
137 Correlation Meter
138 Denoiser
140 Direction Mixer
144 Exciter
145 MultiMeter
150 Stereo Spread
151 SubBass
153 Test Oscillator
Chapitre 9 157 Effets vocaux
157 DeEsser
159 Effet Pitch Correction
163 Pitch Shifter II
164 Vocal Transformer
4 SommaireFinal Cut Pro X est fourni avec un large éventail d’effets de traitement de signal numérique
(DSP, Digital Signal Processing) Logic Effects et de processeurs servant à colorer ou à
former la tonalité d’enregistrements et de sources audio en temps réel. Ils couvrent la
majorité des besoins quotidiens en traitement et manipulation audio.
Les options de traitement les plus usuelles comprennent les égaliseurs, les niveaux
(processeurs dynamiques), les modulations, les distorsions, les espaces (réverbérations)
et les échos (retards).
Les fonctionnalités avancées comprennent, entre autres, des outils de calcul et d’analyse
précis du signal, de réduction du bruit, d’amélioration des basses et des effets vocaux.
Comme vous pouvez le constater, un grand nombre de processeurs et d’utilitaires inclus
n’appartiennent pas réellement à la catégorie des « effets », mais peuvent s’avérer précieux
pour vos besoins de production audio.
Tous les effets, processeurs, et utilitaires fournissent une interface intuitive qui simplifie
le fonctionnement, et permet de travailler rapidement. Une excellente qualité audio est
garantie en cas de besoin et il est également possible, à l’autre extrémité du spectre,
d’effectuer un traitement approfondi en cas de modification poussée de votre audio.
Tous les effets et processeurs sont très optimisés pour une utilisation efficace de la CPU.
Cette préface traite des sujets suivants :
• À propos des effets Logic compris dans Final Cut Pro X (p 5)
• Ressources supplémentaires (p 7)
À propos des effets Logic compris dans Final Cut Pro X
Les effets Logic compris dans Final Cut Pro X sont aussi conçus pour des utilisations
spécifiques. Étant donné ces propriétés et utilisations uniques, chaque application offre
une gamme personnalisée d'effets et d'utilitaires appropriés.
Catégorie d’effet Effets inclus
Distortion Bitcrusher
5
Introduction aux effets Logic pour
Final Cut Pro X Préface
Power Mac G5
Guide de l’utilisateur
Inclut les informations de configuration,
d’extension et de dépannage pour votre
ordinateur Power Mac G5?Apple Computer Inc.
© 2004 Apple Computer Inc. Tous droits réservés.
Ce manuel est protégé par la loi du 11 mars 1957 sur la
propriété littéraire et artistique, complétée par la loi du
3 juillet 1985 et par toutes les conventions
internationales applicables aux droits d’auteurs. En vertu
de ces lois et conventions, aucune reproduction totale ni
partielle de ce manuel n’est autorisée, sauf
consentement écrit préalable d’Apple.
Le logo Apple est une marque d’Apple Computer Inc.,
déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En
l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à
des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option +
1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de
concurrence déloyale.
Tout a été mis en œuvre pour que les informations
présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est
pas responsable des erreurs de reproduction ou
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Apple
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AppleTalk, DVD Studio Pro, Final Cut Pro, FireWire, iCal,
iMovie, iTunes, Mac, Mac OS, Macintosh, Power Mac,
Power Macintosh, QuickTime et Sherlock sont des
marques d’Apple Computer Inc. déposées aux États-Unis
et dans d’autres pays.
Finder, le logo FireWire, iDVD, iPhoto, iPod, Safari et
SuperDrive sont des marques d’Apple Computer, Inc.
AppleCare est une marque de service
d’Apple Computer, Inc., déposée aux États-Unis
et dans d’autres pays.
.Mac est une marque de service d’Apple Computer, Inc.
ENERGY STAR est une marque déposée aux États-Unis.
PowerPC et le logo PowerPC sont des marques
d’International Business Machines Corporation, utilisées
sous licence.
La marque et les logos Bluetooth sont la propriété
de Bluetooth SIG, Inc. et sont utilisés sous licence
par Apple Computer, Inc.
Ce produit inclut le logiciel développé par l’Université
de Californie, Berkeley et ses collaborateurs.
Les autres noms de produits et de sociétés sont la
propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits
commercialisés par des entreprises tierces ne sont
mentionnés que pour information, sans aucune
intention de préconisation ni de recommandation.
Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation
et au fonctionnement de ces produits.
Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. 3
1 Table des matières
Chapitre 1 5 Installation
5 Positionnement de l’ordinateur et du moniteur
6 Branchement de l’ordinateur
10 Utilisation d’un clavier d’une souris sans fil
10 En cas de problème
10 Réglage de votre moniteur
11 Et ensuite ?
12 Procédure à suivre lorsque vous avez fini de travailler
14 Familiarisation avec votre ordinateur
16 Ports et connecteurs : extension des capacités de votre ordinateur
18 Intérieur de votre Power Mac G5 : options d’extension interne
de votre ordinateur
Chapitre 2 21 Utilisation de votre ordinateur
22 Utilisation de votre clavier Apple
23 Utilisation de votre souris Apple Mouse
23 Branchement d’un second moniteur
24 Connexion d’un téléviseur, d’un magnétoscope ou de tout autre appareil vidéo
26 Utilisation de l’Universal Serial Bus (USB)
28 Utilisation de FireWire
30 Utilisation des périphériques audio
32 Utilisation de appareils Bluetooth
34 Utilisation de votre lecteur optique
36 Utilisation de votre modem
37 Connexion à un réseau Ethernet
39 Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort
41 Suspension de l’activité de l’ordinateur pour économiser l’énergie
42 Transfert d’informations entre deux ordinateurs Macintosh
Chapitre 3 43 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur
44 Ouverture de l’ordinateur
49 Installation de mémoire
56 Installation d’unités de stockage internes4 Table des matières
64 Installation d’une carte d’extension PCI ou remplacement de la carte AGP
69 Installation d’une carte AirPort Extreme
70 Remplacement de la pile
Chapitre 4 73 Dépannage
75 Problèmes de logiciels
76 Problèmes de moniteur
77 Utilisation de Apple Hardware Test
78 Installation de logiciels sur votre ordinateur
80 Optimisation des performances Ethernet
80 Localisation du numéro de série de votre produit
Annexe A 81 Caractéristiques
Annexe B 87 Environnement de travail, sécurité et entretien
87 Consignes de sécurité importantes
90 Entretien général
91 Informations importantes sur l’organisation de l’espace de travail et la santé
Annexe C 93 Connexion à Internet
95 Collecte des informations nécessaires
96 Saisie de vos informations
97 Modem téléphonique avec connexions PPP (Point-To-Point Protocol)
99 Connexions à Internet par ligne DSL, modem câble ou réseau LAN
105 Connexion sans fil AirPort Extreme
108 Dépannage de votre connexion
111 Communications Regulation Information1
5
1 Installation
Félicitations pour l’acquisition de votre nouvel ordinateur
Power Mac G5 à hautes performances. Ce chapitre
contient des instructions pour l’installation de
l’ordinateur et du moniteur.
Votre Power Mac G5 est doté de la dernière technologie informatique, notamment d’un
processeur 64 bits évolué, de la mémoire rapide, d’une carte graphique AGP 8X Pro
pour des effets visuels impressionnants et d’un stockage interne Serial ATA, le tout
réuni dans un châssis en aluminium anodisé avec accès facile aux éléments internes.
Positionnement de l’ordinateur et du moniteur
Soulevez l’ordinateur par ses deux poignées en utilisant des techniques de levage
adaptées. Si votre moniteur est lourd, veillez à utiliser également des techniques
de levage correctes lorsque vous le mettez en place. Placez le moniteur et l’écran
de sorte que :
• ils reposent sur une surface plane et robuste ;
• les fiches des câbles d’alimentation ne soient coincées ni contre un mur ni contre
tout autre objet ;
• rien n’obstrue la circulation d’air devant, derrière ou au-dessous du moniteur
ou de l’ordinateur ;
• le plateau du lecteur optique dispose d’assez d’espace pour s’ouvrir.
Avertissement : Apple vous recommande d’utiliser votre Power Mac G5 en position
verticale avec le panneau latéral placé correctement. L’ordinateur ne fonctionne pas
correctement lorsqu’il est placé sur le côté ou lorsque le panneau latéral n’est pas en
place.6 Chapitre 1 Installation
Le seul moyen de couper totalement l’alimentation de votre ordinateur et de votre
moniteur consiste à débrancher leur fiche de la source d’alimentation électrique.
Assurez-vous que les câbles d’alimentation de votre ordinateur et de votre moniteur
soient facilement accessibles, pour pouvoir débrancher l’ordinateur ou le moniteur
en cas de besoin.
Branchement de l’ordinateur
1 Enlevez tout film protecteur à l’intérieur du panneau latéral. Vous trouverez des
instructions pour ouvrir le panneau latéral dans la section “Ouverture de l’ordinateur” à
la page 44.
2 Enfoncez le câble d’alimentation fermement et complètement dans la prise encastrée
au dos de l’ordinateur et branchez l’autre extrémité dans une prise de courant ou
multiprise avec mise à la terre.
Fiche du câble d’alimentation
Prise du câble d’alimentationChapitre 1 Installation 7
3 Connectez les câbles du moniteur comme illustré ci-dessous :
Important : en fonction de votre moniteur, vous devrez connecter un seul ou plusieurs
câbles. Vérifiez les instructions fournies avec le moniteur pour d’autres informations sur
sa configuration.
La carte d’affichage à l’intérieur de votre ordinateur est dotée des ports suivants :
• Un port de connecteur ADC (Apple Display Connector) pour connecter des
moniteurs Apple à écran plat ;
• Un port DVI (Digital Visual Interface) pour connecter des écrans numériques pourvus
de connecteurs VI.
• Pour connecter un moniteur VGA, utilisez un adaptateur DVI vers VGA (fourni avec
votre ordinateur) afin de pouvoir connecter le moniteur au port DVI.
• Pour connecter un deuxième moniteur ADC, utilisez un adaptateur DVI-ADC
(non inclus) pour relier le moniteur au port DVI.
• Pour connecter une télévision, un magnétoscope ou un autre appareil vidéo, utilisez
un adaptateur DVI vers Vidéo (non inclus) pour relier l’appareil au port DVI.
Pour plus d’informations sur la connexion d’un second moniteur, consultez les
instructions du le chapitre 2, “Utilisation de votre ordinateur”.
Ports d’écran Ports USB Câble de l’écran
Port de moniteur DVI Port de moniteur ADC8 Chapitre 1 Installation
4 Pour accéder à Internet ou à un réseau, connectez votre ordinateur à un modem DSL
ou câble, branchez votre modem à une ligne téléphonique analogique, ou connectezvous à un réseau Ethernet.
Port modem
Port EthernetChapitre 1 Installation 9
5 Connectez le câble du clavier à l’un des ports USB ( ) situés sur l’ordinateur ou sur le
moniteur. Branchez le câble de la souris sur l’un des ports USB du clavier.
Remarque : si le câble du clavier n’est pas assez long pour atteindre un port USB de
votre ordinateur, employez le câble d’extension clavier fourni avec votre ordinateur.
6 Allumez votre ordinateur en appuyant sur le bouton d’alimentation (®) en façade.
Avec certains moniteurs Apple, vous pouvez également allumer l’ordinateur à l’aide
du bouton d’alimentation du moniteur. Si votre moniteur doit être allumé séparément,
faites-le en appuyant sur son bouton d’alimentation.
Clavier Souris
Branchez la souris sur
l'un des ports USB à
l'arrière du clavier.
Si vous voyez des bouts de film plastique
à l'intérieur du panneau latéral (utilisés
comme protection lors du transport),
ouvrez le panneau latéral et enlevez-les.
Câble d’extension clavier Apple Keyboard10 Chapitre 1 Installation
Utilisation d’un clavier d’une souris sans fil
Si vous avez fait l’acquisition d’un clavier Apple Wireless Keyboard et d’une souris Apple
Wireless Mouse avec votre Power Mac G5, consultez les instructions fournies avec ces
périphériques pour les configurer avec votre ordinateur.
En cas de problème
Si rien n’apparaît à l’écran après quelques instants ou si vous pensez que votre
ordinateur n’a pas démarré correctement, effectuez les vérifications suivantes afin
de tenter d’identifier la cause du problème :
• L’ordinateur est-il connecté à une source d’alimentation ? S’il est connecté à une
multiprise munie d’un interrupteur, est-elle allumée ?
• Le câble d’alimentation est-il branché sur la prise située à l’arrière de l’ordinateur
et correctement enclenché ?
• Les câbles du clavier et du moniteur sont-ils correctement connectés ?
• Le moniteur est-il allumé ? Les contrôles de luminosité et de contraste du moniteur
sont-ils correctement réglés ? Si votre moniteur est muni de tels contrôles, réglez-les.
• Redémarrez votre ordinateur. Appuyez sur le bouton de mise en marche de
l’ordinateur et maintenez-le enfoncé pendant environ 5 secondes jusqu’à ce que
l’ordinateur s’éteigne. Appuyez à nouveau sur ce bouton pour allumer l’ordinateur.
• Si un point d’interrogation clignote à l’écran ou que le voyant d’état émet une série
de clignotements lorsque vous allumez l’ordinateur, consultez le le chapitre 4,
“Dépannage”, à la page 73.
Réglage de votre moniteur
Pour ajuster les réglages de votre moniteur, sélectionnez le menu Pomme (K) >
Préférences Système et cliquez sur Moniteurs.
Pour plus de détails sur le dépannage de votre moniteur, consultez la section “Problèmes
de moniteur” à la page 76. Pour plus de détails sur l’entretien de votre moniteur, consultez
la section “Entretien de votre moniteur” à la page 90. L’Aide Mac OS contient des
informations supplémentaires sur l’utilisation de votre moniteur. Chapitre 1 Installation 11
Et ensuite ?
Vous avez à présent accompli toutes les tâches nécessaires pour rendre votre
Power Mac G5 opérationnel. la première fois que vous démarrez votre ordinateur,
l’Assistant réglages se met en route. L’Assistant réglages vous aide à saisir les informations
relatives à Internet et à votre courrier électronique ainsi qu’à configurer votre compte sur
votre ordinateur. Si vous possédez déjà un autre ordinateur Mac, l’Assistant réglages peut
également vous aider à transférer des fichiers, des applications et d’autres informations
de votre ancien Mac vers votre nouveauPower Mac G5.
Transfert d’informations vers votre Power Mac G5
Vous pouvez utiliser l’Assistant réglages pour transférer automatiquement des
informations d’un autre Mac vers votre nouveau Power Mac G5. Pour transférer des
informations, assurez-vous des points suivants :
• Vous devez disposer d’un câble FireWire 6 broches vers 6 broches.
• L’autre ordinateur Mac dont vous disposez doit Mac OS X 10.1 ou ultérieur installé.
• Votre autre ordinateur Mac doit disposer d’un port FireWire intégré et prendre en
charge le mode disque FireWire.
L’Assistant réglages vous guide tout au long du processus de transfert d’informations ;
il vous suffit de suivre les instructions à l’écran. Le transfert d’informations vers votre
Power Mac G5 n’affecte pas les informations se trouvant sur votre autre Mac. Vous
pouvez transférer :
• les comptes d’utilisateur, y compris les préférences et le courrier électronique ;
• les réglages de réseau, pour que votre nouvel ordinateur soit automatiquement
configuré avec les mêmes réglages de réseau que votre autre Mac ;
• les applications*, pour que toutes les applications que vous utilisiez sur votre autre
ordinateur Mac soient désormais sur votre nouveau Power Mac G5 ;
• les fichiers et dossiers qui se trouvent sur votre disque dur et sur vos partitions. Cela
vous permet d’accéder facilement aux fichiers et dossiers que vous utilisiez sur votre
ancien Mac.
*Il est possible que vous ayez à réinstaller des applications que vous transférez.
Si vous n’utilisez pas l’Assistant réglages pour transférer des informations lorsque vous
démarrez l’ordinateur pour la première fois, vous pouvez le faire plus tard. Allez dans
le dossier Applications, ouvrez Utilitaires et double-cliquez sur “Assistant réglages”.12 Chapitre 1 Installation
Configuration de votre Power Mac G5 pour Internet
Si vous n’avez pas transféré les informations concernant le compte d’utilisateur et les
réglages de réseau, l’Assistant réglages vous guide tout au long de la configuration de
votre ordinateur et vous assiste en vue de la connexion à Internet. Pour les particuliers,
l’accès à Internet requiert généralement l’ouverture d’un compte auprès d’un fournisseur
d’accès à Internet (FAI) (payant dans certains cas).
• Si vous ne disposez d’aucun compte Internet, l’assistant vous facilitera son obtention.
• Si vous disposez déjà d’un compte Internet, consultez l’annexe C, “Connexion à
Internet”, à la page 93 pour savoir quelles sont les informations à saisir.
Procédure à suivre lorsque vous avez fini de travailler
Lorsque vous avez terminé de travailler avec votre Power Mac G5, suspendez l’activité
de votre ordinateur ou éteignez-le.
Suspension de l’activité de votre Power Mac G5
Cette option convient si vous n’utilisez pas votre Power Mac G5 pendant une période
limitée. Lorsque l’ordinateur est en mode de suspension d’activité, son écran est noir.
Vous pouvez le réactiver rapidement sans passer par la procédure de démarrage.
Pour suspendre rapidement l’activité de votre ordinateur, sélectionnez l’une
des méthodes suivantes :
• Choisissez menu Pomme (K) > Suspendre l’activité.
• Appuyez sur le bouton d’alimentation.
Pour remettre votre ordinateur en activité :
m Appuyez sur n’importe quelle touche du clavier.
Pour en savoir plus sur la suspension d’activité, consultez la section “Suspension de
l’activité de l’ordinateur pour économiser l’énergie” à la page 41. Chapitre 1 Installation 13
Éteindre votre Power Mac G5
Cette option est préférable si vous ne comptez pas utiliser votre Power Mac G5
pendant un jour ou deux.
Pour éteindre votre ordinateur :
m
Choisissez menu Pomme (K) > Éteindre.
Avertissement : n’éteignez jamais votre ordinateur via l’interrupteur d’une multiprise
ou en débranchant sa fiche d’alimentation, sauf si vous ne parvenez pas à l’éteindre
d’une autre manière. Toute extinction incorrecte de l’ordinateur risque d’endommager
vos fichiers ou logiciels système.
Avertissement : éteignez votre Power Mac G5 avant de le déplacer. Tout déplacement
de votre ordinateur lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager
ce dernier et d’entraîner une perte de données ou l’impossibilité de démarrer à partir
du disque dur.14 Chapitre 1 Installation
Familiarisation avec votre ordinateur
Lecteur optique
Prise pour casque
d'écoute
f
®Bouton d'alimentation
Témoin d'alimentation
Port USB 2.0
Port FireWire 400Chapitre 1 Installation 15
Lecteur optique
Votre ordinateur possède une unité combinée ou Combo (DVD-ROM/CD-RW), ou un SuperDrive
(DVD-R/CD-RW). Ces deux unités peuvent lire les disques DVD, les films DVD, les CD-ROM, les CD
photos, les CD de musique, les disques audio standard et d’autres types de supports. Ils peuvent tous
deux graver de la musique, des documents et d’autres types de fichiers numériques sur des disques
CD-R et CD-RW vierges. Le graveur SuperDrive peut également enregistrer sur des disques DVD-R
vierges. Pour ouvrir le lecteur optique, appuyez sur la touche d’éjection ( ) située sur votre clavier
Apple.
Voyant d’état
Une lumière blanche indique que l’ordinateur est en activité, une lumière clignotante indique que
l’ordinateur est en suspension d’activité.
® Bouton d’alimentation
Appuyez sur ce bouton pour allumer votre Power Mac G5, suspendre son activité ou la lui faire
reprendre. Pour redémarrer votre ordinateur, maintenez ce bouton enfoncé pendant environ 5
secondes jusqu’à ce que l’ordinateur s’éteigne, puis appuyez dessus une nouvelle fois pour allumer
l’ordinateur.
Avec certains moniteurs Apple, vous pouvez également toucher ou enfoncer le bouton d’alimentation
du moniteur pour allumer l’ordinateur ou suspendre son activité.
Port FireWire 400
Connectez votre Macintosh à des périphériques FireWire tels que l’iPod, des caméras vidéo
numériques, des scanners et des disques durs. FireWire permet un transfert de données grande
vitesse à tous ces périphériques. Le port FireWire 400 supporte des vitesses de transfert de 100, 200
et 400 mégabits par seconde (Mbps).
f Prise pour casque d’écoute
Connectez des écouteurs à votre Macintosh via la prise pour écouteurs. Lorsqu’une prise est insérée
dans la prise pour écouteurs, le haut-parleur interne est désactivé.
Port USB 2.0
Connectez votre Macintosh à des périphériques USB tels que claviers, souris, imprimantes, scanners,
haut-parleurs, microphones et concentrateurs. Il est également possible que votre écran soit doté de
ports USB.16 Chapitre 1 Installation
Ports et connecteurs : extension des capacités de votre ordinateur
Loquet Capots d’accès aux
logements d’extension PCI
Port de moniteur DVI
Port d’antenne AirPort
Port d’antenne Bluetooth
Port de modem interne
(sur certains modèles)
Port optique de sortie
audio numérique
Port optique d’entrée
audio numérique
Prise d'alimentation
Port de moniteur ADC
Ports USB 2.0 (2)
Port FireWire 400
W
-
v
Port FireWire 800 G Port Ethernet
Port de sortie audio
Port d’entrée audioChapitre 1 Installation 17
s
Ç Loquet
Soulevez le loquet pour ouvrir le panneau latéral et accéder aux éléments internes de votre
Power Mac G5. Il est aussi possible de placer un verrou sur ce loquet pour empêcher l’accès
aux éléments internes.
Port de moniteur DVI
Branchez un moniteur qui utilise un connecteur Digital Visual Interface (DVI). Vous pouvez également
utiliser l’adaptateur DVI-VGA, fourni avec l’ordinateur, afin de connecter ce dernier aux moniteurs
dotés d’un connecteur VGA.
Port d’antenne Airport Extreme
Branchez l’antenne AirPort Extreme sur ce port si une carte optionnelle AirPort Extreme est installée
dans votre Macintosh.
Port d’antenne Bluetooth
Si votre ordinateur est doté d’un module Bluetooth optionnel, branchez votre antenne Bluetooth®
.
Ports USB 2.0
Connectez votre Macintosh à des périphériques USB tels que claviers, souris, imprimantes, scanners,
haut-parleurs, microphones et concentrateurs USB. Votre clavier Apple et votre moniteur peuvent
également être équipés de ports USB.
Ports FireWire 400 et 800
Le port FireWire 400 supporte des vitesses de transfert de 100, 200 et 400 Mbps. Le port FireWire 800
supporte des vitesses de transfert de 100, 200, 400 et 800 Mbps.
Prise d’alimentation
Branchez-y le câble d’alimentation de l’ordinateur.
Capots d’accès aux logements d’extension PCI (3)
Étendez les capacités de votre Macintosh en installant jusqu’à 3 cartes PCI (Peripheral Component
Interconnect) dans les logements couverts numérotés 2, 3 et 4.
Port de moniteur ADC
Branchez un moniteur équipé d’un connecteur Apple Display Connector (ADC).
Port optique de sortie audio numérique
Reliez votre Macintosh à un récepteur ou à d’autres périphériques audio numériques.
Port optique d’entrée audio numérique
Reliez votre Macintosh à des périphériques audio numériques, tels que lecteurs CD et minidisque.
- Port analogique de sortie audio
Il permet de connecter des équipements MP3, CD et autres matériels audio à votre Macintosh.
v Port analogique d’entrée audio
Il permet de connecter des microphones et autres matériels audio à alimentation externe à votre
Macintosh.
G Port Ethernet paire torsadée 10/100/1000
Connectez votre Macintosh à un réseau Ethernet grande vitesse pour accéder à Internet ou à des
ressources du réseau tels que des imprimantes ou des serveurs et partager des informations à travers
le réseau.
W Port de modem interne
Connectez à une ligne téléphonique ordinaire si votre Macintosh est doté d’un modem interne
56K V.92 optionnel.18 Chapitre 1 Installation
Intérieur de votre Power Mac G5 : options d’extension interne
de votre ordinateur
Baie de disque dur inférieure
Lecteur optique Baie de disque dur supérieure
Logement 1 :
logement AGP 8X Pro
(graphics card installed)
Logements SDRAM DDR
(4 ou 8 logements,
selon le modèle)
Logements 2–4 :
logements PCI ou PCI-X
(selon le modèle)
Pile
Connecteur de
carte AirPort ExtremeChapitre 1 Installation 19
Lecteur optique
Votre ordinateur possède soit un lecteur Combo (DVD-ROM/CD-RW) soit un lecteur-graveur
SuperDrive (DVD-R/CD-RW). Pour plus d’informations sur le lecteur optique, voir “Utilisation de votre
lecteur optique” à la page 34.
Pile
Votre ordinateur utilise une pile qu’il n’est nécessaire de remplacer que très rarement. Si votre
ordinateur a des problèmes au démarrage ou que la date et l’heure du système sont souvent
incorrectes, c’est qu’il est peut-être souhaitable que vous remplaciez la pile. Pour plus
d’informations, consultez la section “Remplacement de la pile” à la page 70.
Connecteur de la carte AirPort Extreme
Connectez la carte AirPort Extreme, qui permet à votre ordinateur de communiquer avec un réseau
sans fil. Pour en savoir plus, reportez-vous à la “Installation d’une carte AirPort Extreme” à la page 69.
Logements de mémoire SDRAM DDR
Augmentez la mémoire de votre ordinateur jusqu’à 4 ou 8 giga-octets (Go), selon votre modèle
d’ordinateur. L’ajout se fait par insertion de paires de modules DIMM DDR SDRAM dans les logements
mémoire. Pour plus d’informations, consultez la section “Installation de mémoire” à la page 49.
Baies de disque dur
Votre ordinateur est fourni avec un disque dur, installé dans la baie de disque dur supérieure. Vous
pouvez installer un disque dur supplémentaire dans la baie de disque dur inférieure. Votre ordinateur
accepte jusqu’à deux disques Serial ATA. Pour plus d’informations, consultez la section “Installation
d’unités de stockage internes” à la page 56.
Logements PCI ou PCI-X
Selon le modèle, votre ordinateur dispose de logements d’extension PCI ou PCI-X, avec un total
de trois logements. Vous pouvez installer des cartes PCI dans les logements 2 à 4 pour étendre
les possibilités de votre ordinateur. Pour plus d’informations, consultez la section “Installation d’une
carte d’extension PCI ou remplacement de la carte AGP” à la page 64.
Logement de carte AGP 8X Pro
Connectez votre moniteur à la carte insérée dans le logement AGP 8X Pro (advanced graphics port),
qui fournit la puissance nécessaire au traitement rapide des graphiques. Vous pouvez aussi connecter
un moniteur muni d’un connecteur de moniteur Apple (ADC) ou d’un connecteur d’interface visuelle
numérique (DVI). 20 Chapitre 1 Installation
Informations supplémentaires
Pour obtenir davantage d’informations, consultez les sections suivantes :
Pour en savoir plus sur... Consultez la section...
L’extinction ou la suspension
d’activité de votre ordinateur
“Procédure à suivre lorsque vous avez fini de travailler” à la page 12.
Utilisation d’une caractéristique
matérielle spécifique de votre
Power Mac G5
le chapitre 2, “Utilisation de votre ordinateur”, à la page 21.
Installation de disques durs,
de lecteurs, de mémoire et
de cartes supplémentaires
ou remplacement de la pile
le chapitre 3, “Interventions à l’intérieur de l’ordinateur”, à la
page 43.
Que faire en cas de problème
vous empêchant d’utiliser votre
ordinateur
le chapitre 4, “Dépannage”, à la page 73.
Installation de la gestion
de Classic pour utiliser
les applications Mac OS 9
avec votre ordinateur
le chapitre 4, “Dépannage”, à la page 73
Connexion de votre ordinateur
à Internet
l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 93.2
21
2 Utilisation de votre ordinateur
Ce chapitre fournit des instructions concernant
l’utilisation des fonctions importantes de votre
ordinateur Power Mac G5, notamment le clavier,
la souris, les ports FireWire, USB, audio, la technologie
sans fil Bluetooth et la mise en réseau.
Ce chapitre fournit des explications sur les sujets suivants :
• “Utilisation de votre clavier Apple” à la page 22
• “Utilisation de votre souris Apple Mouse” à la page 23
• “Branchement d’un second moniteur” à la page 23
• “Connexion d’un téléviseur, d’un magnétoscope ou de tout autre appareil vidéo” à la
page 24
• “Utilisation de l’Universal Serial Bus (USB)” à la page 26
• “Utilisation de FireWire” à la page 28
• “Utilisation des périphériques audio” à la page 30
• “Utilisation de appareils Bluetooth” à la page 32
• “Utilisation de votre lecteur optique” à la page 34
• “Utilisation de votre modem” à la page 36
• “Connexion à un réseau Ethernet” à la page 37
• “Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort” à la page 39
• “Suspension de l’activité de l’ordinateur pour économiser l’énergie” à la page 41
• “Transfert d’informations entre deux ordinateurs Macintosh” à la page 4222 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur
Utilisation de votre clavier Apple
Votre clavier Apple Keyboard dispose de touches de fonction préréglées pour les
tâches récurrentes. Appuyez sur la touche d’éjection de disque ( ) pour éjecter les
disques du lecteur optique. Appuyez sur les touches de hausse et de baisse du volume
pour régler le son ou sur la touche Silence pour l’activer ou le désactiver. Utilisez les
touches d’augmentation et de réduction de la luminosité pour régler la luminosité
d’un moniteur Apple.
Remarque : appuyez sur la touche F12 sur un clavier qui n’est pas de la marque
Apple pour éjecter les disques du lecteur optique.
Le clavier Apple est doté de deux ports Universal Serial Bus (USB) 1.1. Vous pouvez
brancher le câble de votre souris ou d’autres périphériques USB dans les ports USB
à l’arrière du clavier.
Remarque : si vous avez acheté un clavier Apple Wireless Keyboard avec votre
Power Mac G5, consultez les instructions livrées avec votre clavier pour obtenir
de plus amples informations.
Informations supplémentaires à propos de votre clavier
Des informations supplémentaires sur votre clavier sont disponibles dans l’Aide
Mac OS. Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez “clavier”.
Touches de fonction
Touche de baisse du volume
-Touche d’augmentation du volume
Touche de baisse de la luminosité
Touche d’augmentation de la luminosité
— Touche Silence
Touche d’éjection de disque
Câble clavier
Ports USB Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 23
Utilisation de votre souris Apple Mouse
Votre souris Apple Mouse utilise un système de repérage optique. Pour positionner le
pointeur à l’aide de votre souris, déplacez celle-ci sur n’importe quelle surface adaptée,
telle que le bureau, le tapis de souris ou toute autre surface granuleuse (certaines
surfaces lisses et brillantes ne permettent pas un contrôle du pointeur aussi performant
que d’autres). Pour cliquer sur un objet, appuyez une fois sur le corps de la souris
jusqu’à ce que vous ressentiez un clic. Pour double-cliquer sur un élément, appuyez
deux fois successivement et rapidement.
Remarque : si vous avez acheté une souris Apple Wireless Mouse avec votre
Power Mac G5, consultez les instructions livrées avec votre souris pour obtenir
de plus amples informations.
Informations supplémentaires à propos de votre souris
Des informations supplémentaires sur votre souris sont disponibles dans l’Aide Mac OS.
Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez “souris”.
Branchement d’un second moniteur
Vous pouvez connecter deux moniteurs à votre carte graphique et les utiliser
simultanément. Si un deuxième moniteur est connecté, vous pouvez soit afficher la
même image sur les deux moniteurs (mode miroir), soit utiliser le deuxième écran pour
étendre la taille de votre bureau Mac OS X (mode bureau étendu). Il est nécessaire de
disposer du câble approprié pour chaque moniteur à connecter.
Pour utiliser plusieurs moniteurs :
1 Éteignez les moniteurs et votre ordinateur.
2 Branchez le câble vidéo de chaque moniteur au port approprié de la carte graphique.
3 Allumez les moniteurs et démarrez votre ordinateur.
Pour régler les moniteurs, sélectionnez menu Pomme (K) > Préférences Système et
cliquez sur Moniteurs.
Si vous êtes en bout de course faute de place
mais que vous voulez conserver le clic lorsque
vous soulevez la souris, cliquez, puis
appuyez sur les côtés avec le pouce
et les doigts tandis que vous soulevez.24 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur
Par défaut, votre ordinateur démarre en mode bureau étendu. Pour travailler en mode
miroir, sélectionnez Pomme (K) > Préférences Système, cliquez sur Moniteurs et
sélectionnez En miroir.
Pour en savoir plus sur les moniteurs
Pour obtenir des informations sur la connexion de votre moniteur, lisez les instructions
d’installation dans le chapitre 1, “Installation”.
L’Aide Mac OS fournit des informations supplémentaires sur l’utilisation et la
configuration d’un moniteur externe. Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez
“moniteur”.
Connexion d’un téléviseur, d’un magnétoscope ou de
tout autre appareil vidéo
Vous pouvez connecter votre Power Mac G5 à une télévision, un magnétoscope, un
projecteur ou un autre périphérique vidéo externe grâce à l’adaptateur DVI vers Vidéo,
conçu pour être employé avec un Power Mac G5. Vous trouverez un adaptateur DVI
vers Vidéo chez votre revendeur agréé Apple, dans un centre de distribution Apple
ou en ligne sur Apple Store à l’adresse www.apple.com/store.
Pour connecter un périphérique vidéo :
1 Éteignez le périphérique vidéo et votre ordinateur.
2 Connectez l’extrémité DVI de l’adaptateur DVI vers Vidéo au port DVI de la carte
graphique de votre Power Mac G5.
3 Connectez l’autre extrémité de l’adaptateur au port vidéo composite (RCA) ou S-vidéo
du téléviseur, du magnétoscope ou du projecteur.
4 Allumez le périphérique vidéo et démarrez votre ordinateur.Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 25
Pour ajuster l’image, sélectionnez menu Pomme (K) > Préférences Système, puis
cliquez sur Moniteurs.
Port d’affichage DVI
Port de sortie S-vidéo
Adapteur DVI vers Vidéo
Port de sortie vidéo Composite26 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur
Utilisation de l’Universal Serial Bus (USB)
Votre Power Mac G5 est équipé de trois ports USB 2.0 ; un en façade et deux à l’arrière.
Votre clavier Apple Keyboard possède également deux ports USB 1.1. Ces ports USB
permettent de connecter de nombreux types de périphériques, notamment des
imprimantes, des scanners, des appareils photo numériques, des microphones, des
manettes de jeu, des claviers, des souris et des unités de stockage. La technologie USB
facilite la connexion de périphériques externes. Dans la plupart des cas, vous pouvez
connecter et déconnecter un périphérique USB pendant que l’ordinateur fonctionne.
Vous pouvez utiliser les périphériques dès leur branchement, sans avoir à redémarrer
votre ordinateur.
Utilisation de périphériques USB
Apple fournit d’origine des logiciels compatibles avec de nombreux périphériques
USB. Dans la plupart des cas, il n’est pas nécessaire d’installer le pilote fourni avec
le périphérique. Si vous connectez un périphérique USB et que votre Power Mac G5
ne trouve pas le pilote approprié, vous pouvez soit installer le pilote fourni avec le
périphérique, soit vous adresser au fabricant du périphérique pour trouver, télécharger
et installer le pilote approprié.
Ports USB 2.0Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 27
Connexion de plusieurs périphériques USB
Pour connecter plus de trois périphériques USB, vous pouvez vous procurer un
concentrateur USB. Ce dernier se connecte à un port disponible de votre ordinateur
et offre des ports USB supplémentaires (généralement quatre ou sept).
Remarque : pour utiliser certains périphériques USB, il se peut que vous ayez besoin
d’un concentrateur USB.
Informations supplémentaires sur la technologie USB
L’Aide Mac OS fournit des informations supplémentaires sur la technologie USB.
Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez “USB”. Vous trouverez d’autres informations
sur le site Web USB d’Apple, à l’adresse www.apple.com/usb.
Pour obtenir des informations concernant les périphériques USB disponibles pour votre
ordinateur, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/guide.
Concentrateur USB28 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur
Utilisation de FireWire
FireWire est un système de transfert de données à haute vitesse qui vous permet de
connecter et déconnecter aisément des périphériques tels que l’iPod, les caméras
vidéonumériques (DV), les imprimantes, les scanners et les disques durs. Vous pouvez
connecter et déconnecter des périphériques FireWire sans redémarrer votre ordinateur.
Votre ordinateur est équipé de trois ports FireWire externes.
• Deux ports FireWire 400, un en façade et un à l’arrière, acceptent un taux de transfert
de données maximal de 400 mégabits par seconde (Mbps).
• À l’arrière, un port rapide FireWire 800 accepte un taux de transfert de données
maximal de 800 mégabits par seconde (Mbps).
Le port FireWire 800 de votre Power Mac G5 peut transférer des données depuis des
périphériques FireWire 800 Mbps bien plus rapidement qu’auparavant. Ce port est
équipé d’un connecteur à 9 broches et est compatible avec les premiers périphériques
FireWire, qui ont des connecteurs de 4 ou 6 broches.
Avec un câble approprié, le port 9 broches est parfaitement compatible avec tous les
périphériques FireWire. Des câbles sont disponibles pour connecter le port 9 broches
à des périphériques 4, 6 ou 9 broches.
Ports FireWire 400
Port FireWire 800
FireWire 400 (6 broches) FireWire 400 (4 broches) FireWire 800 (9 broches)Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 29
Utilisation de périphériques FireWire
La technologie FireWire vous permet de :
• Connecter une caméra vidéo numérique FireWire et capturer ou transférer directement
de la vidéo de haute qualité vers ou à partir de votre ordinateur, puis d’utiliser ensuite
un logiciel de montage vidéo tel que iMovie pour monter vos images vidéo.
• Connecter un disque dur FireWire externe pour faire une copie de sauvegarde des
données ou transférer des fichiers. Une unité de disque avec icône FireWire apparaît
sur votre bureau une fois que vous connectez le disque dur à votre Power Mac G5.
Certains disques durs FireWire sont alimentés via le câble FireWire, ce qui vous
dispense de les brancher sur une source d’alimentation externe.
• Si une défaillance empêche votre ordinateur de démarrer ou de transférer des
fichiers, il est possible de connecter votre Power Mac G5 à un autre ordinateur via
FireWire afin que votre Power Mac G5 apparaisse comme un disque dur externe
sur l’autre ordinateur (fonctionnalité appelée mode disque cible FireWire). Consultez
ci-dessous la section “Mode disque cible FireWire” pour plus d’informations.
Pour utiliser un périphérique FireWire, connectez-le à l’ordinateur et installez les pilotes
éventuellement fournis avec le périphérique. Votre ordinateur détecte automatiquement
la connexion d’un nouveau périphérique.
Pour démarrer à partir d’un disque dur FireWire sur lequel est installé Mac OS X,
sélectionnez menu Pomme (K) > Préférences Système, cliquez sur Disque de
démarrage et sélectionnez le disque dur FireWire.
Si votre disque dur FireWire ne figure pas dans la liste ou que vous ne pouvez pas le
sélectionner, contactez votre revendeur pour obtenir des pilotes mis à jour.
Pour déconnecter votre disque dur FireWire en toute sécurité, faites glisser son icône
dans la Corbeille avant de déconnecter le câble FireWire.
Mode disque cible FireWire
Si vous souhaitez transférer des fichiers de votre Power Mac G5 vers un autre
ordinateur équipé de la technologie FireWire, ou que vous êtes confronté à un
problème qui empêche le démarrage de votre ordinateur, utilisez le mode disque
cible FireWire pour connecter votre Power Mac G5 à un autre ordinateur.
Remarque : pour que votre Power Mac G5 puisse fonctionner en mode disque cible
FireWire, l’ordinateur associé doit disposer de n’importe quelle version de Mac OS X ou
de Mac OS 9 et de FireWire version 2.3.3 ou ultérieure. Utilisez Informations Système,
dans les répertoires Applications/Utilitaires, pour vérifier la version de FireWire installée.
Si l’autre ordinateur dispose d’une version antérieure, vérifiez s’il existe une mise à jour
sur le site Web AppleCare Support à l’adresse www.apple.com/support. 30 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur
Pour connecter votre Power Mac G5 en mode disque cible FireWire :
1 Éteignez votre Power Mac G5.
2 Utilisez un câble FireWire muni de connecteurs appropriés à 6 ou 9 broches à chaque
extrémité pour connecter votre ordinateur à un autre ordinateur équipé de FireWire.
3 Démarrez ou redémarrez votre Power Mac G5 et maintenez immédiatement la touche T
enfoncée.
Le moniteur de votre Power Mac G5 affiche l’indicateur de mode du disque FireWire
et l’icône du disque dur interne du Power Mac G5 apparaît sur le bureau de l’autre
ordinateur.
4 Lorsque vous avez terminé le transfert de fichiers : sur l’autre ordinateur, glissez l’icône
du disque dur Power Mac G5 jusqu’à la Corbeille pour démonter le disque.
5 Appuyez sur le bouton d’alimentation du Power Mac G5 pour éteindre ce dernier,
puis déconnectez le câble FireWire.
Informations supplémentaires sur la technologie FireWire
Des informations supplémentaires relatives à FireWire sont disponibles sur le site Web
FireWire d’Apple à l’adresse www.apple.com/firewire. Vous trouverez également des
informations dans l’Aide Mac OS. Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez “FireWire”.
Pour obtenir des informations sur les périphériques FireWire disponibles pour votre
ordinateur, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/guide.
Utilisation des périphériques audio
Votre Power Mac G5 est doté de nombreux dispositifs audio, notamment une prise
casque en façade, ainsi que des ports de sortie audio numérique, entrée audio
numérique optique, sortie audio analogique et entrée audio analogique à l’arrière.
Ports audio numérique optique
Un câble numérique optique ou Toslink permet de connecter un lecteur Digital Audio
Tape (DAT) ou un lecteur CD au port d’entrée audio numérique optique, pour enregistrer
et mixer votre propre musique. Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 31
Vous pouvez également brancher un récepteur audio ou audiovisuel (AV) au port
de sortie audio numérique optique pour construire un système home cinema à partir
du Power Mac G5.
Prise pour écouteurs
Sur l’ordinateur, la prise pour écouteurs est prévue pour brancher des écouteurs.
Lorsqu’une prise y est insérée, votre haut-parleur intégré est désactivé.
Important : ne branchez pas de périphériques de sortie dans la prise pour écouteurs.
Utilisez pour cela le port de sortie analogique à l’arrière.
Ports audio analogique
Au dos de l’ordinateur, les mini-jacks d’entrée et sortie analogique permettent de
connecter un microphone externe ou d’autres équipements audio.
Pour sélectionner le périphérique audio d’entrée ou de sortie à employer, utilisez la
fenêtre Son des Préférences Système.
Port optique
d’entrée
audio numérique
Port optique
de sortie
audio numérique
Câble optique numérique
Câble optique numérique
Récepteur AV
Vers haut-parleurs
ou autres sorties
Lecteur CD ou autre source numérique32 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur
Utilisation de appareils Bluetooth
Votre Power Mac G5 peut se connecter et transférer des informations vers des
périphériques exploitant la technologie sans fil Bluetooth®
, comme le clavier et la souris
sans fil d’Apple, des téléphones portables, des assistants numériques personnels (PDA)
et des imprimantes, ce qui permet ainsi d’éliminer les câbles servant traditionnellement
à relier les périphériques. Les périphériques Bluetooth peuvent communiquer entre eux
dans un rayon de 10 mètres.
Si votre ordinateur est fourni avec un module Bluetooth intégré, assurez-vous de
branchez l’antenne Bluetooth accompagnant votre ordinateur dans le port d’antenne
Bluetooth ( ) à l’arrière de l’ordinateur. La petite antenne cylindrique Bluetooth permet
la réception des périphériques Bluetooth.
Insérez l’antenne Bluetooth
dans le port prévu à cet effet.Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 33
Voici quelques activités réalisables avec la technologie sans fil Bluetooth :
• Utiliser un clavier Apple Wireless Keyboard ou une souris Apple Wireless Mouse avec
votre Power Mac G5.
• Communiquer avec votre assistant personnel (PDA). Exécuter une opération HotSync
sans fil ou transmettre votre carte de visite ou encore des événements de calendrier
directement sur le PDA d’un collègue.
• Utiliser votre Power Mac G5 pour communiquer avec un téléphone mobile compatible
avec la technologie Bluetooth. Utiliser iSync pour mettre à jour votre téléphone avec
les informations de contact du Carnet d’adresses de votre Macintosh.
Si votre Power Mac G5 n’est pas équipé d’un module Bluetooth, vous pouvez télécharger
le logiciel Bluetooth et connecter un adaptateur USB Bluetooth externe d’une autre
marque à l’un des ports USB disponibles sur votre ordinateur.
Pour plus d’informations sur la technologie sans fil Bluetooth
Si votre ordinateur a été livré avec un module Bluetooth intégré, vous pouvez obtenir
de l’aide sur l’utilisation de la technologie Bluetooth en ouvrant l’application Échange
de fichiers Bluetooth (dans le répertoire Applications/Utilitaires) et en sélectionnant
Aide Bluetooth dans le menu Aide. Vous trouverez d’autres informations sur le site
Web Bluetooth d’Apple, à l’adresse www.apple.com/bluetooth.
Important : les modules Bluetooth ne peuvent pas être installés par l’utilisateur. Si
vous avez acheté un Power Mac G5 sans module Bluetooth, vous pouvez acheter un
adaptateur externe Bluetooth USB chez votre revendeur agréé Apple, dans un centre
de distribution Apple ou en ligne sur Apple Store à l’adresse www.apple.com/store.34 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur
Utilisation de votre lecteur optique
Votre lecteur optique permet d’installer ou d’exécuter des applications à partir de CD
ou DVD. Il permet également de lire des données multimédia à partir de CD, d’écouter
de la musique à partir de CD audio, de graver de la musique, des documents et autres
fichiers numériques sur des disques CD-R ou CD-RW. Vous pouvez également lire des
films DVD et utiliser la plupart des disques DVD. Si votre ordinateur est équipé d’un
graveur SuperDrive, vous pouvez enregistrer des informations sur disques DVD-R
(DVD enregistrables) vierges.
Remarque : si vous disposez de logiciels anciens stockés sur disquettes, contactez les
éditeurs concernés pour savoir s’il existe des versions disponibles sur CD ou achetez un
lecteur de disquettes USB externe adapté à votre Power Mac G5 chez votre distributeur
agréé Apple, dans un centre de distribution Apple ou sur le site Apple Store à l’adresse
www.apple.com/store.
Insertion d’un disque
Pour installer ou utiliser des programmes à partir de CD ou de DVD :
1 L’ordinateur étant allumé, ouvrez le lecteur en appuyant sur la touche d’éjection
de disque ( ) de votre clavier Apple Pro Keyboard.
2 Placez un disque sur le plateau en veillant à le poser bien à plat, étiquette vers le haut.
3 Appuyez à nouveau sur la touche d’éjection de disque ( ) ou poussez doucement
le plateau afin de le fermer.
Dès que l’icône du disque s’affiche à l’écran, le disque est prêt à être utilisé.
Éjection d’un disque
Vous pouvez éjecter un disque soit en glissant son icône dans la Corbeille, soit en
appuyant sur la touche d’éjection de disque ( ) de votre clavier Apple. Vous pouvez
également éjecter un disque en maintenant le bouton de la souris enfoncé lors du
redémarrage de votre ordinateur.Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 35
Enregistrement d’informations sur CD
Votre lecteur optique permet de graver vos morceaux de musique, programmes
et fichiers favoris sur des disques CD-R et CD-RW. Créez vos propres CD de musique
et écoutez-les sur n’importe quel lecteur audio standard. Vous pouvez également
enregistrer des fichiers informatiques, tels que des applications, des documents
ou autres fichiers numériques sur un CD enregistrable.
Avec les disques enregistrables CD-R (CD enregistrable), vous ne pouvez enregistrer les
informations qu’une seule fois. Bien que vous ne puissiez pas modifier les informations
enregistrées, vous avez peut-être la possibilité d’ajouter des informations jusqu’à ce
que le disque soit plein, selon l’application utilisée. Pour obtenir des informations
spécifiques concernant l’enregistrement sur votre disque CD-R, reportez-vous à la
documentation fournie avec votre application. Il est préférable d’utiliser des disques
CD-R pour graver des CD audio, car il se peut que votre lecteur CD ne puisse pas lire
les disques CD-RW (disques réenregistrables).
Avec les disques CD-RW, vous pouvez sauvegarder et modifier des informations sur
un même CD à l’infini. Toutefois, certains logiciels conçus pour enregistrer des fichiers
multimédia sur CD ne peuvent enregistrer qu’une seule fois des données sur un disque.
Pour enregistrer de la musique provenant de la bibliothèque iTunes sur un CD-R :
1 Ouvrez iTunes (cliquez sur son icône dans le Dock).
2 Sélectionnez la liste de lecture à enregistrer.
3 Insérez un disque CD-R vierge.
4 Cliquez sur le bouton Graver le CD, en haut de la fenêtre iTunes.
Pour enregistrer des données sur un CD-R à partir du Finder :
1 Insérez un disque CD-R vierge.
2 Dans la boîte de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque et sélectionnez
le format souhaité. Une icône correspondant au CD apparaît sur le bureau.
3 Double-cliquez sur l’icône du CD, puis glissez-y des fichiers et des dossiers.
4 Choisissez Fichier > Graver le disque ou sélectionnez le disque, puis glissez-le sur
l’icône “Graver le disque” située dans le Dock.
Pour savoir comment faire afin d’enregistrer des fichiers musicaux sur un CD avec
iTunes, consultez l’Aide iTunes. Ouvrez iTunes (dans Applications) et sélectionnez
Aide > Aide iTunes et Music Store.36 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur
Enregistrement d’informations sur un DVD
Si vous disposez d’un SuperDrive, vous pouvez enregistrer un DVD interactif avec vos
propres films numériques sur un disque DVD-R (DVD enregistrable) vierge. Vous pouvez
également enregistrer d’autres types de données numériques sur les disques DVD-R
afin, par exemple, de sauvegarder des fichiers. Toutefois, une fois que vous avez
enregistré des informations sur un disque DVD-R, elles ne peuvent plus être écrasées.
Avec les applications telles que iDVD ou DVD Studio Pro, vous pouvez créer votre
propre projet DVD personnalisé, le graver sur un disque DVD-R et le lire sur la plupart
des lecteurs DVD standards.
Pour graver un disque avec iDVD :
1 Ouvrez iDVD ainsi que votre projet DVD final.
2 Cliquez sur le bouton Graver le DVD.
3 Insérez un disque DVD-R vierge dans le graveur dès qu’un message vous y invite.
4 Cliquez de nouveau sur le bouton Graver le DVD.
Pour graver des données sur un DVD-R à partir du Finder :
1 Insérez un disque DVD-R vierge dans le graveur.
2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque et sélectionnez
le format souhaité. Une icône représentant le DVD apparaît sur le bureau.
3 Double-cliquez sur l’icône du DVD, puis glissez-y des fichiers et des dossiers.
4 Choisissez Fichier > Graver le disque ou sélectionnez le disque, puis glissez-le
sur l’icône “Graver le disque” située dans le Dock.
Pour plus d’informations sur iDVD, ouvrez iDVD (dans Applications) et sélectionnez
l’Aide iDVD dans le menu Aide.
Utilisation de votre modem
Votre Macintosh peut être fourni avec un modem interne 56 K Apple. Pour connecter le
modem interne 56K Apple, branchez l’une des extrémités du câble modem ou du câble
RJ-11 sur le port du modem qui se trouve à l’arrière de l’ordinateur et l’autre extrémité
sur une prise téléphonique RJ-11 standard.
Port modem
Icône du port modemChapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 37
Important : veillez à connecter le modem interne à une ligne téléphonique analogique
(type le plus répandu chez les particuliers). S’il est branché sur une ligne téléphonique
numérique, le modem ne fonctionnera pas et risquera même d’être endommagé.
Pour obtenir des informations sur la manière d’établir une connexion à Internet, consultez
l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page 93. Des informations supplémentaires à
propos du modem interne sont également disponibles dans l’Aide Mac OS.
Connexion à un réseau Ethernet
Votre ordinateur comprend des fonctionnalités intégrées de mise en réseau Ethernet
par câbles à paires torsadées à un débit de 10/100/1000 mégabits par seconde (Mbps).
Vous pouvez les utiliser pour vous connecter à un réseau, à un modem câble ou à un
modem DSL.
La connexion à un réseau vous donne accès à d’autres ordinateurs Elle vous permet
de stocker et de récupérer des informations, d’utiliser les imprimantes d’un réseau et
une messagerie électronique ou de vous connecter à Internet. Vous pouvez également
utiliser Ethernet pour partager des fichiers entre deux ordinateurs ou établir un petit
réseau.
Si vous vous connectez à un réseau existant, vous pouvez obtenir des renseignements
sur le réseau lui-même et sur les logiciels nécessaires à son utilisation auprès de
l’administrateur de réseau qui supervise son fonctionnement. Avant de commencer,
identifiez votre administrateur de réseau.
Suivez les instructions ci-après lorsque vous choisissez un câble pour votre réseau :
Connexion à un réseau Ethernet à paires torsadées
Vous pouvez vous connecter directement à un réseau Ethernet 10/100/1000
à paires torsadées.
Remarque : vous pouvez également connecter votre ordinateur à un réseau Ethernet
utilisant des câbles coaxiaux fins. Pour cela, procurez-vous un adaptateur coaxial fin
RJ-45 (disponible auprès d’autres fabricants). Adressez-vous à votre revendeur agréé
Apple pour plus d’informations sur les adaptateurs de support Ethernet.
Avertissement : par temps d’orage, déconnectez votre modem de la prise
téléphonique pour éviter qu’il ne soit endommagé par une surcharge de tension.
Type de port Ethernet
à paires torsadées
Types de câbles
à paires torsadées à utiliser
10 Mbps Classe 3, 5 ou 6
100/1000 Mbps Classe 5 ou 638 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur
Pour connecter votre Macintosh à un réseau centralisé Ethernet 10/100/1000
à paires torsadées :
1 Connectez l’extrémité d’un câble à paire torsadée RJ-45 au port Ethernet de votre
Macintosh.
2 Connectez l’autre extrémité à une prise murale RJ-45 ou à un concentrateur externe
Ethernet RJ-45 relié à un réseau Ethernet à paires torsadées.
Après avoir démarré l’ordinateur, vous devez configurer votre logiciel de connexion au
réseau. Votre administrateur de réseau peut vous fournir les informations nécessaires.
Vous pouvez également obtenir de l’aide pour la configuration de votre logiciel de
réseau en consultant l’Aide Mac OS dans le menu Aide.
Pour configurer les réglages Réseau :
1 Sélectionnez menu Pomme (K) > Préférences Système puis cliquez sur Réseau.
2 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Ethernet intégré.
3 Cliquez sur l’onglet TCP/IP et saisissez les informations concernant votre réseau.
Par défaut, le réglage est Configurer : Via DHCP.
4 Cliquez sur Appliquer.
Port Ethernet
(Ethernet à
paire torsadée)
Prise murale RJ-45
Câble Ethernet
à paire torsadée
Commutateur ou
concentrateur EthernetChapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 39
Informations supplémentaires sur l’utilisation d’Ethernet
Des informations supplémentaires, y compris sur la configuration d’un réseau Ethernet
ou le transfert de fichiers via Ethernet, sont disponibles dans l’Aide Mac OS. Choisissez
Aide > Aide Mac, puis recherchez “Ethernet” ou “réseau”.
Pour plus d’informations sur la mise en réseau de votre Power Mac G5, consultez le
Support AppleCare à l’adresse www.apple.com/support.
Pour des informations sur les produits de mise en réseau que vous pouvez utiliser
avec votre Power Mac G5, consultez le Guide des Produits Macintosh à l’adresse
www.apple.com/guide.
Accès sans fil à Internet et à votre réseau local via AirPort
AirPort constitue une méthode simple et peu coûteuse pour établir un accès sans fil
à Internet à partir de n’importe quel endroit dans une maison, un bureau ou une salle
de classe. Au lieu de faire appel à des câbles classiques, AirPort utilise la technologie
de réseau local (LAN) sans fil permettant une communication sans fil entre plusieurs
ordinateurs. Un réseau sans fil vous permet d’établir un accès à Internet, de transférer
des fichiers, de jouer à plusieurs, etc.
Votre Power Mac G5 est préconfiguré pour l’utilisation d’AirPort. La seule chose que
vous avez à ajouter est une carte AirPort Extreme. Voir “Installation d’une carte AirPort
Extreme” à la page 69. Vous devez installer cette dernière dans un logement à l’intérieur
de l’ordinateur, la connecter directement à l’extrémité d’un fil d’antenne intégré et
installer une antenne AirPort. Pour obtenir des instructions sur l’utilisation de votre carte
AirPort Extreme, consultez la brochure fournie avec votre carte et intitulée À propos de
votre carte AirPort Extreme .
Connexions sans fil à un réseau
En installant une carte AirPort Extreme, vous pourrez :
• Connecter votre ordinateur à un réseau disposant d’un accès sans fil.
• Utiliser votre ordinateur pour permettre à d’autres ordinateurs d’accéder au réseau
à l’aide de cartes de communication sans fil.
• Établir une connexion sans fil et partager des données avec un autre ordinateur
équipé d’une carte AirPort, une carte sans fil 802.11b ou une carte sans fil 802.11g.
Pour plus d’informations sur la zone de couverture du point d’accès sans fil au réseau,
adressez-vous à l’administrateur de réseau.
Si votre ordinateur a été fourni avec une carte AirPort Extreme ou que vous en installez
une, vous devez également installer dans le port d’antenne AirPort l’antenne AirPort
fournie avec votre ordinateur( ) à l’arrière de l’ordinateur. Pour toute information
supplémentaire, consultez la section “Installation d’une carte AirPort Extreme” à la page 69.Fonctionnement de l’accès sans fil à Internet via AirPort
Le système AirPort permet d’établir une connexion sans fil avec un appareil appelé
borne d’accès qui dispose, lui, d’une connexion physique à Internet. La technologie
AirPort fonctionne comme un téléphone sans fil. Le combiné du téléphone établit
une connexion sans fil avec la base qui est reliée à la ligne téléphonique. De même,
votre ordinateur établit une connexion sans fil avec la borne qui est connectée à la
ligne téléphonique ou à votre réseau Ethernet.
Remarque : la carte Airport Extreme est compatible avec toutes les versions de la
borne d’accès Airport.
Important : plusieurs types d’objets placés près de l’ordinateur peuvent provoquer
des interférences. Pour des informations sur la façon d’éviter les interférences, reportezvous aux instructions accompagnant la carte AirPort Extreme ou la borne d’accès
AirPort Extreme. Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site d’assistance
AppleCare à l’adresse www.apple.com/support.
Borne d’accès AirPort Extreme
Connexion téléphonique ou Ethernet Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur 41
Informations supplémentaires sur AirPort
Pour acheter une carte ou une borne d’accès AirPort Extreme, rendez-vous dans
un centre de distribution Apple, contactez votre distributeur agréé Apple ou consultez
le site Apple Store à l’adresse www.apple.com/store.
Pour plus d’informations sur AirPort, recherchez le terme “AirPort” dans l’Aide Mac OS.
Vous pouvez également trouver des informations sur le site Web AirPort d’Apple à
l’adresse www.apple.com/airport.
Suspension de l’activité de l’ordinateur pour économiser
l’énergie
Les ordinateurs Power Mac G5 sont configurés de manière à suspendre leur activité
après une période d’inactivité. La suspension d’activité permet à votre ordinateur de
consommer un minimum d’énergie. L’activité de l’ordinateur peut être suspendue à
tout moment.
Remarque : les ordinateurs Power Mac G5 sont réglés pour suspendre leur activité
automatiquement après 15 minutes d’inactivité. Vous pouvez toutefois modifier les
réglages de suspension d’activité automatique dans Préférences Système.
À la réactivation de l’ordinateur, vos programmes, documents et réglages d’ordinateur
réapparaissent exactement tels que vous les aviez laissés. Pour économiser davantage
d’énergie, éteignez votre ordinateur lorsqu’il n’est pas utilisé.
Vous pouvez utiliser une des méthodes suivantes pour mettre votre ordinateur
en veille :
• Appuyez sur le bouton d’alimentation situé à l’avant de l’ordinateur.
• Choisissez menu Pomme (K) > Suspendre l’activité.
• Sélectionnez menu Pomme (K) > Préférences Système, cliquez sur Économiseur
d’énergie et choisissez un délai de suspension d’activité.
Lorsque l’activité de l’ordinateur est suspendue, le témoin d’alimentation situé sur le
panneau avant clignote.
Pour réactiver l’ordinateur, appuyez sur le bouton d’alimentation en façade ou appuyez
sur une touche du clavier. Vous pouvez également appuyer sur le bouton d’alimentation
de certains moniteurs Apple pour suspendre l’activité de l’ordinateur ou le réactiver.
Les cartes PCI ou les cartes de rechange AGP ne sont pas toutes conformes aux normes
de consommation électrique de l’ordinateur. Si vous installez une carte non-conforme,
l’ordinateur pourra toujours suspendre son activité, mais il se peut que les économies
d’énergie obtenues ne soient pas optimales.
Pour plus d’informations sur les options d’économie d’énergie, consultez l’Aide Mac OS.42 Chapitre 2 Utilisation de votre ordinateur
Transfert d’informations entre deux ordinateurs
Macintosh
Si deux ordinateurs Macintosh ne sont pas connectés via un réseau Ethernet, AirPort
ou Bluetooth, vous pouvez transférer des informations de l’un à l’autre en les reliant
à l’aide d’un câble Ethernet Cat 5 standard (créant ainsi un mini réseau constitué de
deux ordinateurs). Ce type de câble est disponible auprès d’un revendeur agréé Apple.
Branchez le câble sur chaque port Ethernet de votre ordinateur et activez le partage
de fichiers sur les deux ordinateurs. Vous pouvez également configurer les réglages
Ethernet sur les deux ordinateurs pour créer un petit réseau.
Vous devez d’abord activer le partage de fichiers sur les deux ordinateurs :
1 Choisissez menu Pomme (K) > Préférences Système.
2 Cliquez sur Partage, puis sur Démarrer.
3 Ouvrez les préférences Réseau, sélectionnez AppleTalk, puis Activer AppleTalk”
Ensuite, procédez comme suit sur un seul ordinateur :
1 Choisissez Aller > “Se connecter au serveur”.
2 Cliquez sur Réseau local.
3 Sélectionnez l’ordinateur auquel vous souhaitez avoir accès.
Pour plus d’informations sur la configuration Ethernet, recherchez “Ethernet“
dans l’Aide Mac OS.
Si vous disposez d’un réseau sans fil Bluetooth ou AirPort, vous pouvez aussi transférer
des informations entre deux ordinateurs Macintosh. Pour plus d’informations sur les
réseaux sans fil AirPort ou Bluetooth, recherchez “AirPort” ou “Bluetooth” dans l’Aide
Mac OS.
Vous pouvez également connecter deux ordinateurs Macintosh à l’aide d’un câble
FireWire. Cela vous permet d’utiliser le mode disque cible FireWire pour transférer des
fichiers d’un ordinateur à l’autre. Pour plus d’informations, consultez la section “Mode
disque cible FireWire” à la page 29.
Si vous disposez d’une connexion à Internet, vous pouvez également transférer des
fichiers via le Web vers votre iDisk .Mac, d’où ils peuvent être téléchargés par vous
ou par un autre utilisateur .Mac.3
43
3 Interventions à l’intérieur de
l’ordinateur
Vous pouvez personnaliser et accroître les capacités
de votre Power Mac G5 selon vos besoins.
Ce chapitre fournit des informations et des instructions sur les interventions à l’intérieur
de votre ordinateur et présente les procédures suivantes :
• “Ouverture de l’ordinateur” à la page 44
• “Installation de mémoire” à la page 49
• “Installation d’unités de stockage internes” à la page 56
• “Installation d’une carte d’extension PCI ou remplacement de la carte AGP” à la
page 64
• “Installation d’une carte AirPort Extreme” à la page 69
• “Remplacement de la pile” à la page 70
Avertissement : Apple recommande de faire appel à un technicien agréé Apple
pour l’installation de modules de mémoire, de cartes d’extension PCI et d’unités
de stockage internes. Consultez les informations relatives à l’assistance et à la
maintenance fournies avec l’ordinateur pour savoir comment joindre un fournisseur
de services agréé Apple. Si vous tentez d’installer vous-même ces composants, vous
risquez d’endommager votre système et les dommages ne seront pas couverts par
la garantie limitée de votre ordinateur. Adressez-vous à un revendeur ou à un centre
de maintenance agréé Apple pour toute information complémentaire sur l’étendue
de la garantie.44 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur
Ouverture de l’ordinateur
1 Avant d’ouvrir votre ordinateur, éteignez-le en sélectionnant le menu Pomme (K) >
Éteindre.
2 Patientez 5 à 10 minutes, le temps que les composants internes de l’ordinateur
refroidissent.
3 Touchez les couvercles métalliques d’accès PCI de l’arrière de l’ordinateur pour décharger
l’énergie statique que peut emmagasiner votre corps.
Important : veilllez à toujours vous décharger de l’électricité statique que vous êtes
susceptible d’avoir accumulé avant de toucher ou d’installer tout composant à l’intérieur
de l’ordinateur. Pour éviter de générer de l’électricité statique, ne vous déplacez pas
dans la pièce avant d’avoir achevé l’installation du composant concerné et d’avoir
refermé l’ordinateur.
Avertissement : veillez à toujours éteindre votre Power Mac G5 avant de l’ouvrir pour
éviter d’endommager ses composants internes ou les composants à installer. N’ouvrez
pas votre ordinateur et n’essayez pas d’y installer des composants s’il est allumé.
Avertissement : même une fois votre ordinateur éteint, les composants internes
peuvent être très chauds. Laissez refroidir l’ordinateur avant de continuer.
Touchez la partie
métallique des capots
d’accès aux ports PCI.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 45
4 Débranchez tous les câbles de l’ordinateur, excepté le câble d’alimentation.
5 Tenez le panneau latéral et soulevez le loquet à l’arrière de l’ordinateur.
Avertissement : débranchez toujours votre Power Mac G5 pour éviter d’endommager
ses composants internes ou ceux que vous souhaitez installer. N’essayez pas d’installer
des composants dans l’ordinateur quand il est branché.
Tout en maintenant le
panneau latéral, soulevez
la languette.46 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur
6 Enlevez le panneau latéral.
Important : lorsque vous ôtez le panneau latéral, tenez-le fermement.
Écartez la partie supérieure du panneau de l’ordinateur
et soulevez-la pour l’extraire.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 47
7 Démontez le déflecteur d’air et placez-le sur un tissu doux et propre.
Important : n’oubliez pas de replacer le déflecteur d’air à la fin de l’intervention
à l’intérieur de l’ordinateur. Votre ordinateur ne fonctionnera pas correctement
sans le déflecteur d’air.
Pour retirer l’extracteur d’air
de l’ordinateur, soulevez-le
et ôtez-le en tirant au niveau
de l’alvéole.48 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur
8 Tirez le ventilateur de façade par la poignée pour l’enlever de l’ordinateur. Mettez-le
de côté.
Remarque : il est inutile de démonter le ventilateur de façade pour installer des disques
durs, des cartes PCI et AGP, ou pour remplacer la pile.
Retirez le ventilateur
de l’ordinateur.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 49
Installation de mémoire
Selon le modèle, votre Power Mac G5 est doté de quatre ou huit logements pour
modules DIMM de mémoire SDRAM DDR. Votre ordinateur est fourni avec au minimum
256 Mo de mémoire RAM, installée sous forme d’une paire de modules DIMM de 128 Mo
dans deux des logements DIMM. Vous pouvez installer des paires supplémentaires de
DIMM dans les logements DIMM disponibles sur la carte mère de votre ordinateur.
Les modules DIMM doivent être installées par paires de capacité identique et se
conformer aux caractéristiques suivantes :
• 400 MHz, PC 3200 DIMM
• 2,5 volts (V)
• Module 184 broches
• Nombre maximal d’éléments de mémoire sur la SDRAM DDR : 16
• Sans parité
• Sans code de correction d’erreurs
• Sans tampon ; n’utilisez pas de SDRAM DDR enregistrée ou avec tampon.
Important : il se peut que la mémoire provenant d’anciens ordinateurs Macintosh
ne soit pas compatible avec votre Power Mac G5.
Remarque : lorsque vous achetez de la mémoire SDRAM DDR pour ordinateurs
Macintosh, assurez-vous qu’elle est conforme aux spécifications JEDEC (Joint Electron
Device Engineering Council). Vérifiez auprès de votre vendeur que la mémoire SDRAM
DDR gère les modes d’horloge adéquats et que la fonction SPD (Serial Presence Detect)
a été correctement programmée, conformément aux spécifications JEDEC. Pour vérifier
la comptabilité de vos modules DIMM SDRAM DDR, consultez le guide des produits
Macintosh sur le site Web d’Apple, à l’adresse www.apple.com/guide. Vous pouvez
acheter de la mémoire de marque Apple sur le site Web Apple Store, à l’adresse
store.apple.com.50 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur
Pour installer de la mémoire :
1 Ouvrez votre ordinateur, démontez le panneau latéral, le déflecteur d’air et le
ventilateur en suivant les instructions commençant la page 44.
2 Localisez les logements DIMM dans l’ordinateur.
Important : installez toujours les DIMM par paires de capacité égale et dans l’ordre
indiqué par l’illustration ci-dessus.
Quel que soit le nombre de logements
de mémoire SDRAM fourni avec votre
ordinateur, les modules DIMM SDRAM
doivent être installés par pair (un DIMM
par banque).
Des modules DIMM sont déjà installés dans ces deux logements.
Installez d’abord les modules
supplémentaires dans les deux
logements suivants.
Si des logements sont disponibles et
que vous désirez plus de mémoire, installez les modules DIMM
supplémentaires de la même manière : par pairs, un par banque,
du centre vers l’extérieur.
Banque 1
Banque 2Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 51
3 Ouvrez les éjecteurs des logements DIMM en les écartant.
4 Placez une main à l’arrière de l’ordinateur pour le maintenir, positionnez le premier
DIMM dans le logement et poussez les deux extrémités du DIMM vers le bas jusqu’à ce
que les languettes soient en position verticale et que les éjecteurs reprennent leur place.
Important : ne touchez pas aux connecteurs du module DIMM. Manipulez le module
DIMM en le tenant uniquement par les bords.
5 Positionnez le second DIMM dans le logement opposé et poussez jusqu’à ce que les
éjecteurs reprennent leur place.
Modules DIMM DDR SDRAM
(La forme et les composants des modules DIMM
peuvent varier.)
L'insertion des modules DIMM DDR SDRAM dans le
logement ne s’effectue que de la manière suivante :
alignez l’entaille du module DIMM avec l’épaulement
situé à l’intérieur du logement, puis une fois les
éjecteurs ouverts (comme illustré ci-contre),
enfoncez le module DIMM jusqu'à ce qu'il se
mette en place. Les éjecteurs se ferment
alors automatiquement.
Connecteurs Entaille Logement DDR SDRAM
Éjecteurs
(Ils doivent être enfoncés vers l’extérieur, comme
indiqué ci-dessus, pour être en position fermée.)
Pour vous assurer que les modules DIMM sont correctement
installés dans leur logement, maintenez d’une main l’ordinateur
afin d’empêcher tout mouvement de ce dernier, puis enfoncez
fermement avec l’autre main le module DIMM dans son logement.
Votre ordinateur est équipé de 4 ou 8
logements DDR SDRAM, selon le modèle.
Épaulement
(à l’intérieur du logement)52 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur
6 Replacez le ventilateur de façade en le repoussant fermement dans l’ordinateur
via la poignée, jusqu’à connexion.
Important : vérifiez que le ventilateur est inséré dans le connecteur sous peine que
votre ordinateur ne fonctionne pas correctement. Tirez légèrement sur le ventilateur
pour voir s’il est correctement connecté. S’il résiste et reste en place, c’est qu’il est
correctement branché.
Glissez la saillie en plastique du ventilateur
dans la partie découpée de la cloison métallique
située à l’intérieur de l’ordinateur. Le ventilateur
doit être inséré dans ce connecteur.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 53
7 Replacez le déflecteur d’air.
Important : n’oubliez pas de replacer le déflecteur d’air. Votre ordinateur ne fonctionnera
pas correctement si le déflecteur d’air n’est pas en place.
Insérez les trois languettes du déflecteur d’air dans les
logements prévus à cet effet, puis mettez-le en place.54 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur
8 Replacez le panneau latéral.
Important : replacez toujours le panneau latéral avant de démarrer votre ordinateur.
Votre ordinateur ne fonctionnera pas correctement si le panneau latéral n’est pas
en place.
Insérez le panneau latéral dans le logement de l’ordinateur
prévu à cet effet, puis remettez en place le panneau latéral.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 55
9 Poussez le loquet vers le bas pour verrouiller le panneau latéral.
Important : lorsque vous replacez le panneau latéral, maintenez-le bien de façon
qu’il reste bien en place lorsque vous abaissez le loquet.
Tout en maintenant le panneau latéral
contre l’ordinateur, abaissez le loquet
jusqu’à ce qu’il soit bien fixé à l’arrière
de l’ordinateur.
Pour verrouiller le panneau latéral ou
par mesure de sécurité, abaissez la languette
de verrouillage avant de fermer le loquet,
de manière à pouvoir fixer un verrou ou
un câble à la boucle métallique.56 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur
Installation d’unités de stockage internes
Votre Macintosh dispose de trois baies d’unités internes : une baie de lecteur optique
et deux baies de disque dur. Dans la plupart des configurations, un disque dur occupe
la baie de disque dur du haut et un lecteur optique se trouve dans la baie de lecteur
optique de devant.
Vous pouvez ajouter un disque dur Serial ATA dans le logement vide de la baie
de disque dur. Les disque durs doivent respecter les spécifications suivantes :
• Type : serial ATA
• Largeur : 102 mm (3,9 pouces)
• Profondeur : 147 mm (5,7 pouces)
• Hauteur : 25,4 mm (1 pouce)
Important : utilisez les câbles Apple d’origine fournis avec votre Macintosh quand
vous installez des disque durs ATA ou des lecteurs optiques.
Pour plus d’informations sur les conditions requises et les périphériques compatibles,
consultez votre distributeur agréé Apple et la section d’assistance technique du site
Web Apple sur www.apple.com/support.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 57
Installation de disques durs Serial ATA
Votre Macintosh peut accueillir un disque dur Serial ATA supplémentaire d’une hauteur
de 25,4 mm (1 pouce ) dans la baie de disque dur, soit un total de deux disques durs.
Votre ordinateur est fourni avec un disque dur Serial ATA, généralement dans la baie
de disque dur du haut. Vous pouvez installer un deuxième disque dur Serial ATA dans
la baie de disque dur inférieure.
1 Ouvrez votre ordinateur et ôtez le panneau latéral en suivant les instructions
commençant la page 44.
2 Dévissez les quatre guides de disque dur du côté gauche de la baie de disque dur
et vissez-les sur les côtés du disque dur comme illustré ci-dessus.
Important : si la carte à circuit imprimé est visible au-dessous du disque dur, tenez le
disque par ses côtés. Pour éviter d’endommager le disque dur, ne touchez pas le circuit
imprimé pendant l’installation.
Insérez les quatre guides
de l’unité dans quatre des trous
taraudés sur les côtés de celle-ci.
Utilisez, si possible, les trous situés
aux coins.
Pour pouvoir relier les câbles d’alimentation
et de données, l’unité doit être dotée
de ces connecteurs en forme de lame.
Certaines unités peuvent également
être équipées de connecteurs en forme
de broche. Ceux-ci ne permettent pas
la connexion de câbles.
Les quatre guides de l’unité
se trouvent sur la cloison
en plastique à côté des baies
de disque dur.58 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur
3 Pour installer un disque dur supplémentaire, glissez-le dans la baie de disque inférieure,
en insérant les guides du disque dur dans les rails du bas, et poussez doucement le
disque dur jusqu’à ce qu’il soit en place.
4 Pour remplacer le disque dur dans la baie de disque supérieure, retirez de celle-ci le
disque dur d’origine et faites-le glisser légèrement vers le bas jusqu’à ce que la baie
de disque soit vide. Faites glisser le disque de remplacement dans la baie de disque
supérieure, en insérant les guides du disque de devant dans le rail du milieu.
Enclenchez les guides du disque de derrière dans le rail supérieur à mesure que le
disque s’emboîte dans la baie de disque. Poussez doucement le disque dans la baie
jusqu’à ce qu’il soit en place.
Insérez les guides du disque dur dans le rail inférieur
et glissez le disque jusqu'à ce qu’il soit en place.
Guides du disque durChapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 59
Remarque : si un disque dur est installé dans la baie de disque inférieure, retirez-le
avant de remplacer le disque dur de la baie de disque supérieure.
5 Abaissez la languette de la baie de disque pour verrouiller le disque dur.
6 Reliez au disque dur le câble d’alimentation et le câble de données Serial ATA.
7 Replacez le panneau latéral en suivant les instructions qui commencent la page 54.
Pour installer un lecteur de remplacement dans la baie supérieure du disque
dur, placez les guides avant dans les rails du milieu et enfoncez le lecteur.
Les guides arrière doivent suivre les rails supérieurs au fur et à mesure de son
installation dans la baie. Glissez le lecteur jusqu'à ce qu’il se mette en place et
consolidez son installation à l’aide de la languette de la baie supérieure.
Guides du disque dur
Connectez le câble d’alimentation et le câble de données
au lecteur du disque dur.
Afin de consolider l’installation du disque dur,
rabaissez la patte des baies jusqu'à ce qu'elle soit
en position fermée (horizontale).
Reliez le câble d’alimentation et celui des données
au disque dur. 60 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur
Remplacement du lecteur optique
Votre ordinateur est fourni avec un lecteur optique, de type SuperDrive ou Combo.
Suivez ces instructions pour replacer le lecteur optique dans la baie de lecteur optique.
Important : pour savoir si votre lecteur est réglé pour le mode de sélection par câble,
adressez-vous au fabricant ou visitez son site Web. Avant l’installation, réglez le lecteur
sur la sélection par câble si cela n’a pas été fait par le fabricant.
1 Ouvrez votre ordinateur et ôtez le panneau latéral en suivant les instructions qui
commencent la page 44.
2 Débranchez le câble en nappe du lecteur optique de la carte mère.
3 Relevez les leviers du lecteur optique pour le libérer.
Avant d’extraire le lecteur optique, déconnectez
ce câble de la carte mère.
Ouvrez les deux leviers du lecteur optique.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 61
4 Glissez soigneusement une partie du lecteur en dehors de la baie.
5 Débranchez le câble en nappe au dos du lecteur d’origine et tirez doucement sur le
câble via l’ouverture dans la cloison métallique à l’arrière de la baie de lecteur optique.
6 Insérez deux ou trois doigts dans l’ouverture à l’arrière de la baie de lecteur optique
et repoussez le lecteur légèrement pour pouvoir le retirer de l’ordinateur.
7 Débranchez le câble d’alimentation du lecteur.
8 Dévissez les quatre tenons de guidage situés au-dessous du lecteur optique d’origine
et positionnez-les au-dessous du lecteur de remplacement.
9 Retirez la protection métallique à l’avant du lecteur et positionnez-la à l’avant
du lecteur de remplacement.
Retirez la protection métallique
du lecteur optique.
Retirez les quatre tenons
de guidage métalliques
du lecteur optique situés
au-dessous de celui-ci.
Retirez le câble
d’alimentation de l’arrière
du lecteur optique.
Retirez le lecteur de la baie en insérant deux doigts
dans l’ouverture du câble en nappe et en poussant
sur le lecteur.
Retirez le câble en nappe de l’arrière du lecteur
optique. Glissez l’autre extrémité du câble à travers
l’ouverture de la cloison métallique située
à l’intérieur de l'ordinateur.62 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur
10 Débranchez soigneusement le câble en nappe du haut du lecteur d’origine et
rebranchez-le sur le lecteur de remplacement.
Important : placer de la bande adhésive réutilisable sur le dessous du câble en nappe
permet de maintenir le câble sur le lecteur. Lors de la déconnexion du câble du lecteur
d’origine, veillez à conserver la bande avec le câble.
11 Branchez le connecteur du câble en nappe et le câble d’alimentation à l’arrière du
lecteur de remplacement.
12 Insérez partiellement le lecteur dans la baie de disque, pliez l’extrémité libre du câble
en nappe, et passez-la dans l’ouverture de la cloison métallique à l’arrière de la baie
de lecteur optique.
Installez la protection métallique
sur le lecteur optique.
Insérez les quatre tenons de guidage
métalliques du lecteur optique
dans la partie inférieure de celui-ci.
Reliez le câble d’alimentation à la partie
arrière du lecteur optique.
Reliez le câble en nappe à la partie arrière du
lecteur optique. Glissez l’autre extrémité
de ce câble (vers le bas) à travers l’ouverture
de la cloison métallique située à l’intérieur de
l’ordinateur. Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 63
13 Glissez le reste du lecteur dans la baie de disque en l’alignant avec les tenons de
guidage, et poussez doucement le lecteur en place.
14 Lorsque le lecteur est installé correctement, les leviers du lecteur optique se referment.
S’ils ne se referment pas, appuyez doucement dessus.
15 Reliez le câble en nappe du lecteur optique à son connecteur sur la carte mère.
16 Replacez le panneau latéral en suivant les instructions qui commencent la page 54.
Pour installer le lecteur optique, enfoncez-le de sorte
à ce que les broches d’alignement s’insèrent dans les quatre
logements de l’ordinateur. Une fois l’installation terminée,
fermez les leviers du lecteur optique.
Reliez à nouveau le câble au connecteur
de la carte mère. 64 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur
Installation d’une carte d’extension PCI ou remplacement
de la carte AGP
Vous pouvez accroître les capacités de votre Power Mac G5 en installant des cartes
dans ses logements d’extension. Votre Power Mac G5 dispose de quatre logements de
cartes d’extension : trois réservés aux cartes PCI (Peripheral Component Interconnect)
et un destiné à accueillir une carte AGP (Advanced Graphics Port).
Les cartes AGP et PCI étant munies de connecteurs différents, vous ne pouvez pas
insérer une carte PCI dans un logement destiné à une carte AGP.
À propos des cartes AGP
Votre carte AGP, installée dans le logement 1, contient l’unité de processeur graphique
(GPU - graphics processor unit) et fournit les ports du moniteur de l’ordinateur. Le
logement 1 est spécialement conçu pour accueillir les cartes AGP. Ce logement à 533
mégahertz (MHz) abrite les cartes AGP à 1,5 volt (V) (voir l’illustration la page 67).
Vous pouvez remplacer la carte fournie avec votre ordinateur par une carte AGP 8X
ou AGP 8X Pro. Les cartes AGP de rechange doivent disposer de pilotes compatibles
Mac OS X.
À propos des cartes d’extension PCI
Votre Macintosh compte trois logements d’extension (numéros 2, 3 et 4) qui acceptent
des cartes d’une longueur maximale de 30 mm (12 pouces). Selon le modèle de votre
Power Mac G5, vous pouvez installer des cartes PCI ou PCI-X.
Type de carte prise en charge Logement Vitesse de la carte
PCI1
logements 2, 3 et 4 64 bits, 33 MHz
PCI-X logements 2 et 3
logement 4
64 bits, 100 MHz
64 bits, 133 MHz
1
Les logements PCI peuvent contenir des cartes de différentes tensions (5,0 V, 12 V ou 3,3 V), mais uniquement en
signalisation 3,3 V, avec des tailles de données de 32 ou 64 bits et une fréquence de 33 MHz. Vous pouvez installer
une carte cadencée à 66 MHz dans un logement PCI 33 MHz si la carte fonctionne également à la fréquence
inférieure de 33 MHz.
Avertissement : n’installez pas dans les logements PCI 33 MHz de cartes PCI ne
fonctionnant qu’à 66 MHz : cela risquerait d’endommager votre matériel. Si vous avez
une carte PCI fonctionnant à 66 MHz, vérifiez auprès de son fabricant qu’elle peut
également fonctionner à 33 MHz.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 65
La quantité totale d’énergie consommée par les quatre logements d’extension (les trois
cartes d’extension PCI et la carte AGP) ne doit pas excéder 90 watts (W).
Pour savoir si votre ordinateur dispose de logements PCI ou PCI-X, lisez l’étiquette
d’identification, située sur le côté de l’ordinateur, en bas, sous le déflecteur d’air. Vous
pouvez aussi identifier votre modèle en fonction du nombre de logements DIMM. Les
ordinateurs dotés de 4 logements DIMM ont des logements PCI 33 MHz ; les ordinateurs
dotés de 8 logements DIMM disposent de logements PCI-X 100 et 133 MHz.
L’étiquette d’identification
de votre ordinateur vous
propose des informations
sur la configuration matérielle.
Elle contient des codes et
présente la même forme que
l’étiquette illustrée ci-dessous.
Si votre ordinateur est équipé
de logements PCI-X, il sera
répertorié dans la présente
liste. Dans le cas contraire,
il est alors doté de logements
PCI. 66 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur
Installation de votre carte
Vous pouvez installer une carte AGP uniquement dans le logement 1. Le logement AGP
accepte des cartes AGP ou AGP Pro standard. Vous pouvez indifféremment installer des
cartes PCI ou PCI-X dans les logements PCI 2, 3 et 4. Voir le tableau de la page 64.
1 Ouvrez votre ordinateur et ôtez le panneau latéral et le déflecteur d’air en suivant les
instructions de la page 44.
2 Enlevez la vis du capot d’accès aux ports, retirez le capot et mettez-le de côté.
Remarque : pour éviter que les vis du capot d’accès PCI tombent dans le boîtier,
employez un tournevis magnétique, disponible dans la plupart des magasins
d’électronique. Attention à ne pas placer le tournevis magnétique près des
disques durs ou de support tels que CD ou DVD.
Avertissement : éteignez et débranchez toujours votre Power Mac G5 pour éviter
d’endommager ses composants internes ou ceux que vous souhaitez installer.
Attendez 5 ou 10 minutes pour qu’il refroidisse. N’essayez pas d’y installer des
composants quand il est branché.
Capot d’accès aux ports
Enlevez la vis qui maintient
en place le capot d’accès
aux ports.
Si vous devez retirer la carte
du logement AGP, faites en sorte
de libérer la languette de retenue.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 67
3 Sortez la carte à installer de son sachet antistatique en la tenant par les coins
et en veillant à ne toucher ni le connecteur en or, ni aucun des composants.
4 Alignez le connecteur de la carte sur le logement d’extension, puis appuyez vers le bas
jusqu’à ce que le connecteur soit enclenché.
Si vous installez une carte de 30 mm (12 pouces), assurez-vous que la carte est engagée
dans le guide approprié.
Ouverture d’accès au port
Logement PCI
Remettez la vis afin de
consolider l’installation
de la carte.
Si vous installez une
carte PCI pleine longeur
(12 pouces), veillez à
ce qu’elle tienne dans
l’un des guides de la carte.68 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur
Appuyez sur la carte délicatement mais fermement jusqu’à ce que le connecteur soit
complètement enclenché.
• Ne balancez pas la carte d’un côté à l’autre. Enfoncez-la verticalement dans le
logement.
• Insérez la carte sans forcer. En cas de résistance, retirez la carte. Vérifiez si le
connecteur et le logement sont endommagés ou obstrués, puis essayez à nouveau.
• Tirez légèrement sur la carte pour voir si elle est correctement connectée. Si elle
résiste, reste en place et que ses connecteurs en or sont à peine visibles, la carte
est connectée.
5 Réinsérez la vis du capot d’accès aux ports, puis serrez-la afin de maintenir la carte
en place.
6 Replacez le déflecteur d’air et le panneau latéral, en suivant les instructions la page 53.
Avertissement : si vous retirez une carte sans en installer une autre, veillez à recouvrir
le logement vide au moyen d’un capot d’accès aux ports. Les capots permettent
d’empêcher l’entrée d’objets étrangers dans l’enceinte. Un logement non couvert
peut affecter la circulation d’air qui refroidit les composants internes de l’ordinateur
et causer des dommages.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 69
Installation d’une carte AirPort Extreme
AirPort permet d’accéder sans fil à Internet en toute simplicité ; cela sans vous ruiner et
n’importe où, que ce soit chez vous, au bureau ou dans un établissement scolaire. Vous
pouvez installer une carte AirPort Extreme sur votre Power Mac G5.
Important : vous devez installer une carte AirPort Extreme. Les anciennes cartes Airport
ne fonctionnent pas dans le Power Mac G5.
1 Ouvrez votre ordinateur conformément aux instructions de la page 44.
2 Positionnez la carte Airport Extreme avec le logo Apple vers le haut, insérez la carte
dans le logement et enfoncez-la fermement dans le connecteur.
3 Connectez avec soin le câble coaxial de l’antenne au port de l’extrémité de la carte
AirPort Extreme.
Insérez la carte AirPort
Extreme (le logo Apple vers
le haut) dans le logement
prévu à cet effet. Enfoncez-la
fermement dans le connecteur.
Branchez le câble de
l’antenne dans l’orifice
situé à l’extrémité de
la carte AirPort Extreme.
Le logement de la carte
AirPort Extreme se trouve
sous la cloison métallique.
Le câble de l’antenne de la carte
AirPort Extreme est fixé sous la cloison
métallique à l’aide d’une agraphe.
Retirez-la avant de relier le câble
à la carte.70 Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur
4 Replacez le ventilateur, le déflecteur d’air et le panneau latéral, en suivant les instructions
la page 52.
5 Reliez l’antenne AirPort Extreme au port d’antenne Airport ( ) sur le panneau arrière.
Pour régler la réception, faites pivoter l’antenne.
Remplacement de la pile
Votre ordinateur dispose d’une pile au lithium de 3,6 V placée sur la carte mère.
Si vous constatez des problèmes intermittents de démarrage de l’ordinateur ou des
changements aléatoires de date et d’heure, il est peut-être temps de changer cette pile.
Achetez une pile de rechange chez un revendeur agréé Apple.
Important : les piles contiennent des substances chimiques dont certaines sont
néfastes pour l’environnement. Veillez à respecter les directives et la législation en
vigueur dans votre pays en matière de protection de l’environnement lorsque vous
vous débarrassez des piles usagées.
Avertissement : les règlements FCC prévoient que l’opérateur ou toute autre
personne soit à plus de 1 centimètre (0,4 pouce) de l’antenne AirPort Extreme
pendant la transmission. De plus, l’antenne AirPort Extreme ne doit pas être située
près d’un autre transmetteur ou d’une autre antenne, à l’exception du modèle
d’antenne Apple Bluetooth A1067.
Installez l’antenne AirPort
dans le port prévu à cet effet.
Vous pouvez la faire pivoter
sur 360°.Chapitre 3 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 71
Pour remplacer la pile :
1 Ouvrez votre ordinateur conformément aux instructions de la page 44.
2 Si une carte PCI est installée à côté de la pile, retirez la carte.
3 Enlevez la pile de son réceptacle en notant le sens des pôles. (Un signe plus figure
sur le réceptacle ou à côté de ce dernier.)
Si nécessaire, écartez les languettes qui retiennent la pile afin de pouvoir la retirer.
Écartez les languettes doucement pour ne pas les casser.
4 Introduisez la pile neuve dans le réceptacle en vous assurant que le signe plus
de la pile coïncide avec le signe plus du réceptacle.
5 Replacez le déflecteur d’air et le panneau latéral, en suivant les instructions qui
commencent à la page 53.
Sortez la pile de son réceptacle
en la tirant vers le haut. Il peut
s’avérer nécessaire d’écarter
légèrement ces languettes.
Avertissement : une mise en place incorrecte de la pile peut provoquer une explosion.
Assurez-vous de respecter la position des pôles. Utilisez uniquement une pile du
même type ou une pile équivalente approuvée par le fabricant de la pile d’origine.4
73
4 Dépannage
En cas de problèmes de fonctionnement de l’ordinateur,
voici quelques suggestions susceptibles d’y remédier.
Si l’ordinateur ne répond pas ou que le pointeur est bloqué.
Assurez-vous tout d’abord que la souris et le clavier sont connectés.
• Débranchez puis rebranchez les connecteurs et vérifiez qu’ils sont correctement
insérés.
Essayez ensuite d’annuler l’opération en cours.
• Appuyez simultanément sur les touches Commande (x) et Q pour essayer de fermer
l’application en cours d’exécution.
• Appuyez simultanément sur les touches Commande (x) et point. Si une boîte de
dialogue apparaît, cliquez sur Annuler.
• Sous Mac OS X, sélectionnez menu Pomme (K) > “Forcer à quitter”, puis sélectionnez
l’application que vous souhaitez fermer. Redémarrez l’ordinateur en allant dans le
menu Pomme (K) > Redémarrer pour être sûr que le problème est complètement
résolu. Il est aussi possible de forcer l’application à quitter en appuyant
simultanément sur les touches Échap + Option + Commande (x).
• Sous Classic, appuyez simultanément sur les touches Échap + Option + Commande
(x) pour forcer une application à quitter.
• Si cela ne fonctionne pas, maintenez appuyé durant 5 secondes le bouton
d’alimentation de la face avant de l’ordinateur. Après la mise hors tension de
l’ordinateur, appuyez à nouveau sur ce bouton pour redémarrer.
• En dernier recours, débranchez le câble d’alimentation pour éteindre l’ordinateur,
puis rebranchez-le à nouveau et utilisez le bouton d’alimentation de la face avant
pour redémarrer l’ordinateur.
• Si le problème ne survient que lorsque vous utilisez un programme en particulier, vérifiez
auprès de son fabricant s’il est compatible avec votre ordinateur.
• Si le problème survient fréquemment, sélectionnez Aide > Aide Mac.
• Sous Mac OS X, recherchez “dépannage”.
• Dans Classic, consultez la section expliquant comment éviter et résoudre les
problèmes. Envisagez également le problème des conflits d’extension.74 Chapitre 4 Dépannage
L’ordinateur ne démarre pas ou ne s’allume pas.
Assurez-vous que le câble d’alimentation est branché sur une prise électrique en état
de fonctionnement. La fiche du câble d’alimentation doit être totalement insérée dans
la prise de l’ordinateur pour que celui-ci fonctionne correctement.
Réinitialisez ensuite la mémoire vive des réglages de l’ordinateur (PRAM). Allumez
l’ordinateur et maintenez immédiatement les touches Commande (x)+ Option + P + R
enfoncées jusqu’à ce que vous entendiez une deuxième fois le signal sonore de démarrage.
Définissez ensuite votre disque dur comme disque de démarrage de l’ordinateur.
m
Sélectionnez menu Pomme (K) > Préférences Système et cliquez sur Disque de démarrage,
puis sélectionnez votre disque dur.
Le voyant d’état clignote et l’ordinateur ne démarre pas.
• Si vous avez récemment ajouté de la mémoire, une carte d’extension PCI ou tout
autre composant interne, assurez-vous qu’il est correctement installé et compatible
avec votre ordinateur. Essayez de l’enlever pour savoir si l’ordinateur peut démarrer.
• Si le voyant d’état continue à clignoter, déterminez le nombre de clignotements pour
identifier le problème :
• 2 clignotements : RAM absente
• 3 clignotements : RAM installée incompatible
• 4 clignotements : banques DIMM incorrectes
• 5 ou 6 clignotements : contactez un fournisseur de services agréé Apple.
Impossible d’éjecter un disque.
Un fichier est peut-être en cours d’utilisation sur ce disque. Quittez toutes les
applications ouvertes, puis essayez à nouveau.
Si cela ne fonctionne pas, sélectionnez menu Pomme (K) > Redémarrer et maintenez
enfoncé soit le bouton de la souris soit la touche d’éjection ( ) de votre clavier
Apple Keyboard.
Si le problème persiste :
1 Éteignez l’ordinateur.
2 Appuyez doucement sur le panneau protégeant le plateau du lecteur et repérez
le petit orifice situé sous le plateau.
3 Insérez avec précaution l’extrémité d’un grand trombone déplié dans cet orifice.
4 Poussez fermement jusqu’à ce que le plateau s’ouvre.
5 Tirez sur le plateau pour l’ouvrir, retirez le disque et repoussez le plateau pour le fermer.Chapitre 4 Dépannage 75
Problèmes de logiciels
Important : pour utiliser les applications Mac OS 9 avec votre ordinateur, vous devez
installer la gestion de Classic (voir “Installation de la gestion de Classic et d’autres
applications” à la page 79). Pour démarrer l’environnement Classic, ouvrez une
application Mac OS 9 ou double-cliquez sur un document qui en nécessite une.
Classic fonctionne en arrière-plan pour permettre l’accès aux fonctionnalités et
applications Mac OS 9.
Vous rencontrez un problème avec une application.
• Utilisez la mise à jour de logiciels afin de vous assurer que vous disposez des tous
derniers pilotes, débogueurs et autres mises à jour.
• Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur
concerné.
Vous rencontrez un problème de fonctionnement de votre ordinateur ou de
Mac OS X.
• Consultez l’Aide Mac OS (dans le menu d’Aide) pour obtenir des instructions
et des informations de dépannage.
• Pour obtenir les informations de dépannage et les mises à jour de logiciels les plus
récentes, rendez-vous sur le site Web de l’assistance Apple à l’adresse suivante :
www.apple.com/support.
Vous éprouvez des difficultés à utiliser la communication sans fil AirPort.
• Vérifiez que vous avez correctement configuré le logiciel en respectant les
instructions fournies avec la carte AirPort Extreme ou la borne d’accès AirPort.
• Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est
activé et dispose d’un point d’accès sans fil.
• Assurez-vous que l’autre ordinateur ou le point d’accès au réseau se trouve dans
la zone de couverture de l’antenne de votre ordinateur. Des appareils électroniques
ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les
communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez
éventuellement améliorer la réception en réorientant l’ordinateur.
• Vérifiez la puissance du signal AirPort. Il est possible que l’icône d’état AirPort de la
barre des menus indique quatre barres.
• Pour plus d’informations, veuillez lire les instructions fournies avec votre périphérique
sans fil ou effectuer une recherche “AirPort” dans l’Aide Mac OS.76 Chapitre 4 Dépannage
Problèmes de moniteur
Aucune image ne s’affiche à l’écran.
• Assurez-vous que le moniteur et l’ordinateur sont sous tension.
• Vérifiez que les câbles sont correctement connectés à l’ordinateur et au moniteur.
• Assurez-vous que votre ordinateur n’est pas en veille. Appuyez sur le bouton
d’alimentation ou sur n’importe quelle touche pour voir si cela réactive l’ordinateur.
• Assurez-vous que la luminosité et le contraste du moniteur sont réglés correctement.
Certains moniteurs disposent de commandes de luminosité et de contraste situées
sur ou sous leur face avant.
• Réinitialisez la mémoire des paramètres (PRAM) en redémarrant l’ordinateur tout en
maintenant les touches Commande (x) + Option + P + R enfoncées, jusqu’à ce que
vous entendiez une deuxième fois le signal de démarrage. Démarrez alors en
utilisant le disque d’installation du logiciel fourni avec l’ordinateur.
L’image à l’écran est sombre ou vacillante.
• Réglez la luminosité et le contraste. Certains moniteurs disposent de commandes
de luminosité et de contraste situées sur ou sous leur face avant. Si besoin est,
vous pouvez ajuster la luminosité ou le contraste de votre moniteur dans la fenêtre
Moniteurs des Préférences Système.
• Calibrez le moniteur en sélectionnant menu Pomme (K) > Préférences Système.
Cliquez sur Moniteurs, sélectionnez Couleur puis cliquez sur Calibrer.
• Il se peut que le vacillement soit dû à des interférences provoquées par la proximité
d’une ligne électrique, d’une lampe fluorescente ou d’un appareil électrique tel qu’une
radio, un four à micro-ondes ou un autre ordinateur. Essayez de trouver un autre endroit
pour les appareils électriques situés à proximité ou de déplacer le moniteur
et l’ordinateur.
Les couleurs n’apparaissent pas à l’écran ou présentent un aspect inhabituel.
• Assurez-vous que le moniteur est correctement connecté à l’ordinateur.
• Calibrez votre moniteur comme décrit précédemment. Consultez l’Aide Mac OS
pour en savoir plus sur les couleurs et sur votre moniteur.
• Ouvrez la fenêtre Moniteurs des Préférences Système et vérifiez que votre moniteur
est réglé pour afficher les couleurs. Consultez l’Aide Mac OS pour en savoir plus sur
les couleurs et sur votre moniteur.
Avertissement : si vous rencontrez un problème avec votre moniteur Apple Display
et que vous ne parvenez pas à le résoudre à l’aide de ce manuel, sollicitez l’assistance
d’un fournisseur de services agréé Apple ou d’Apple. Si vous tentez de le réparer
vous-même, les dommages éventuels ne seront pas couverts par la garantie limitée
de votre moniteur. Adressez-vous à un revendeur ou à un centre de maintenance
agréé Apple pour toute information complémentaire sur l’étendue de la garantie.Chapitre 4 Dépannage 77
Les icônes du bureau changent de place après la modification de la résolution
d’écran.
Toute modification de la résolution d’écran affecte l’affichage des informations à l’écran.
Une fois la résolution d’écran modifiée, le système d’exploitation est susceptible de
réorganiser les icônes.
Écran figé.
• Forcer l’application bloquée à quitter. Allez dans le menu Pomme (K), cliquez sur
“Forcer à quitter” puis sélectionnez l’application à fermer.
• Si cela ne fonctionne pas, forcez l’ordinateur à redémarrer en enfonçant environ 5
secondes le bouton d’alimentation de sa face avant.
Le voyant situé sur la face avant du moniteur clignote.
Sur certains moniteurs à écran plat Apple, le témoin d’alimentation clignote
rapidement pendant quelques instants lorsqu’une erreur a été détectée.
• Si vous voyez une séquence répétée de trois flashs courts, cela signifie que le moniteur
détecte une entrée dont le format vidéo est incorrect. Assurez-vous que votre
moniteur est compatible avec la carte graphique et que vous avez installé le bon
pilote (si le moniteur a été livré avec un logiciel d’installation).
• Si vous voyez une séquence répétée de deux flashs courts et un flash long, le moniteur
détecte un problème de lampe de rétro-éclairage. Contactez un revendeur ou un
centre de maintenance agréé Apple.
Utilisation de Apple Hardware Test
Apple Hardware Test vous aide à déterminer s’il existe un problème matériel
sur votre ordinateur.
Pour utiliser Apple Hardware Test :
1 Déconnectez tous les périphériques de votre ordinateur sauf le clavier et la souris.
Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le.
2 Insérez le disque “Logiciels supplémentaires et Apple Hardware Test” fourni avec votre
ordinateur.
3 Puis redémarrez votre ordinateur en maintenant la touche C enfoncée lors du
démarrage. Une liste de volumes de démarrage disponibles apparaît alors. Cliquez
sur Apple Hardware Test, puis sur la flèche droite.
4 Lorsque l’écran principal Apple Hardware Test apparaît environ 45 secondes plus tard,
suivez les instructions affichées à l’écran.
5 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur.
Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple
Hardware Test ne détecte pas de panne de matériel, il est probable que le problème
soit lié aux logiciels.78 Chapitre 4 Dépannage
Pour en savoir plus sur Apple Hardware Test, consultez le fichier Ouvrez-moi À propos de
Apple Hardware Test sur le disque “Logiciels supplémentaires et Apple Hardware Test”.
Installation de logiciels sur votre ordinateur
Les disques d’installation de logiciels fournis avec votre ordinateur permettent
d’installer Mac OS X, les applications livrées avec votre ordinateur et Classic Support.
Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données de votre disque dur
avant de procéder à la restauration du logiciel. Apple décline toute responsabilité en
cas de perte de données.
Installation de Mac OS X et des applications
Pour installer Mac OS X et les applications fournies avec votre ordinateur, veuillez
procéder comme suit :
1 Sauvegardez vos fichiers essentiels si cela est possible.
2 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur.
3 Double-cliquez sur “Install Mac OS X and Bundled Software”.
4 Suivez les instructions à l’écran.
5 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les
instructions à l’écran. Il se peut que votre ordinateur redémarre et vous demande
d’insérer le disque 2 d’installation de Mac OS X.
Remarque : si vous souhaitez rétablir les réglages d’origine du logiciel sur votre
ordinateur, cliquez sur Options dans la sous-fenêtre “Sélectionner une destination”
du programme d’installation, puis choisissez “Effacer et installer”.
Important : nous vous conseillons de sauvegarder vos fichiers essentiels avant
d’installer Mac OS X et les autres applications car l’option “Effacer et installer” efface
votre disque de destination.Chapitre 4 Dépannage 79
Installation des applications
Pour installer uniquement les applications fournies avec votre ordinateur, veuilles
procéder comme suit. Mac OS X doit déjà être installé sur votre ordinateur.
1 Sauvegardez vos fichiers essentiels si cela est possible.
2 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur.
3 Double-cliquez sur “Install Bundled Software Only.”
4 Suivez les instructions à l’écran.
5 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions
à l’écran. Il se peut que votre ordinateur redémarre et vous demande d’insérer le disque
2 d’installation de Mac OS X.
Remarque : pour installer iCal, iChat AV, iMovie, iPhoto, iSync, iTunes et Safari, suivez
les instructions du paragraphe “Installation de Mac OS X et des applications” ci-dessus.
Installation de la gestion de Classic et d’autres applications
Utilisez le disque “Logiciels supplémentaires et Apple Hardware Test” pour installer la
gestion de Classic ainsi que d’autres applications qui ne sont pas incluses sur le disque 1
d’installation de Mac OS X. Installez la gestion de Classic si vous souhaitez utiliser des
applications de Mac OS 9 avec votre ordinateur.
Procédez comme suit pour installer la gestion de Classic ou d’applications
supplémentaires :
1 Sauvegardez vos fichiers essentiels si cela est possible.
2 Insérez le disque “Logiciels supplémentaires et Apple Hardware Test” fourni avec votre
ordinateur.
3 Double-cliquez sur “Installer les logiciels complémentaires Test”.
4 Suivez les instructions à l’écran.
5 Après avoir sélectionné le disque de destination pour l’installation, suivez les instructions
à l’écran pour une installation standard, ou cliquez sur “Personnaliser” pour choisir les
applications que vous désirez installer. 80 Chapitre 4 Dépannage
Optimisation des performances Ethernet
Votre ordinateur fonctionne de façon optimale lorsque le port Ethernet auquel il est
connecté est réglé sur la négociation automatique. Demandez à votre administrateur
de réseau de vérifier ce réglage.
Important : si vous rencontrez des problèmes de connexion sur votre réseau, vérifiez,
si possible, que le commutateur de réseau est réglé sur la négociation automatique.
Si le port du commutateur ne fonctionne pas en négociation automatique, votre
ordinateur détectera la vitesse appropriée, mais se réglera par défaut sur le mode semiduplex. Si le port du commutateur à l’autre extrémité de la liaison est configuré en
mode bidirectionnel simultané (full duplex), un grand nombre d’événements retardés
peuvent se produire sur la liaison. S’il n’est pas possible de régler le commutateur sur
la négociation automatique, réglez alors le port du commutateur sur semi-duplex.
Pour plus d’informations, reportez-vous à la documentation fournie avec le
commutateur Ethernet.
Remarque : si vous connectez votre ordinateur directement à un commutateur
Ethernet configurable, demandez à votre administrateur de réseau de désactiver
l’arborescence sur ce port. Dans le cas contraire, il se peut que votre ordinateur
duplique l’adresse AppleTalk d’un autre ordinateur du même réseau, ce qui rendrait
instables les deux connexions au réseau.
Localisation du numéro de série de votre produit
Le numéro de série de votre Power Mac G5 se trouve sur l’étiquette de configuration,
à l’intérieur du panneau latéral, directement sous le déflecteur d’air. Vous le trouverez
également dans les Informations Système. Ouvrez les Informations Système (dans
Applications/Utilitaires) et cliquez sur l’onglet Informations Système. 81
A Annexe
A Caractéristiques
Caractéristiques techniques du processeur et de la mémoire
Processeur
• Processeur PowerPC avec 512 Ko de mémoire cache sur puce L2 par processeur
Mémoire vive (RAM)
• Mémoire dynamique synchrone (SDRAM) à double vitesse de transfert (DDR)
• Toute la mémoire SDRAM DDR est fournie sous forme de modules DIMM
(Dual Inline Memory Modules)
• Modules DIMM installés par paires de capacité égale
• Quatre ou huit logements DIMM sont disponibles pour la mémoire PC 3200
SDRAM DDR à 400 MHz, en fonction du modèle de votre ordinateur
Les modules DIMM de 256 Mo doivent être conformes à la technologie 128 ou
256 mégabits (Mbits), les modules DIMM de 512 Mo à la technologie 256 Mbits
et les modules DIMM de 1 Go à la technologie 512 Mbits.
• 2,5 volts (V) sans tampon
• 184 broches
• Sans code de correction d’erreurs
• Sans parité
Les Informations Système, dans le répertoire Applications/Utilitaires, fournissent
des informations sur votre ordinateur et notamment sur la quantité de mémoire.
Contrôleur graphique
• Carte graphique AGP 8X Pro munie d’un connecteur ADC (Apple Display Connector)
et d’un connecteur DVI (Digital Visual Interface). Compatible AGP 3.0 ou AGP Pro.
Modes d’affichage vidéo
Pour les caractéristiques techniques de votre moniteur :
• Moniteurs Apple : rendez-vous sur le site Internet Apple et vérifiez les caractéristiques
de votre produit sur www.apple.com/displays.
• Moniteurs de tierce partie : rendez-vous sur www.apple.com/guide.82 Annexe A Caractéristiques
Caractéristiques techniques de l’unité Combo (DVD-ROM/CD-RW)
• Diamètres de disque gérés : 12 cm et 8 cm
Formats de données
• CD-ROM
• CD Audio
• CD-R
• CD-RW
• CD-I
• CD-I Bridge
• CD Extended (CD étendu)
• CD Mixed Mode (CD en mode mixte)
• CD Photo
• CD Vidéo
• CD Extra
• DVD vidéo
• DVD-ROM
• DVD-R (lecture seule)
Caractéristiques techniques de l’unité SuperDrive (DVD-R/CD-RW)
• Diamètres de disque gérés : 12 cm et 8 cm
Formats de données
• CD-ROM
• CD Audio
• CD-R
• CD-RW
• CD-I
• CD-I Bridge
• CD Extended (CD étendu)
• CD Mixed Mode (CD en mode mixte)
• CD Photo
• CD Vidéo
• CD Extra
• DVD vidéo
• DVD-ROM
• DVD-R Annexe A Caractéristiques 83
Caractéristiques techniques des ports USB
• Gestion d’Universal Serial Bus (USB) 2.0 et 1.1
• Cinq ports USB externes Type A
• Un port USB 2.0 en façade
• Deux ports USB 2.0 à l’arrière
• Deux ports USB 1.1 intégrés au clavier Apple
• Chaque port arrière se trouve sur un canal USB distinct de 480 mégabits par seconde
(Mbps).
• Intensité disponible pour chaque port USB de 500 milliampères (mA) à 5 V, pour un
total de 1,5 ampère
Caractéristiques techniques de FireWire
• Gestion de FireWire 400 et FireWire 800
• Trois ports FireWire externes
• Un port FireWire 400 en façade
• Un port FireWire 400 et un port FireWire 800 à l’arrière
• Vitesse de transfert de données :
• FireWire 400 : 100, 200 et 400 Mbps
• FireWire 800 : 100, 200, 400 et 800 Mbps
Puissance
• Plage de tension de sortie : environ 13 à 25 V
• Plage de puissance de sortie : jusqu’à 15 W
Caractéristiques techniques du réseau Ethernet
• Conforme à la directive IEEE 802.3
• Longueur maximale du câble : 100 mètres (m)
• Protocoles : Open Transport, AppleShare, AppleTalk, NetWare pour Macintosh, TCP/IP
• Connecteur : RJ-45 pour 10Base-T, 100Base-TX et 1000Base-T
• Support, 10Base-T : câble UTP de catégorie 3 ou supérieure sur 2 paires jusqu’à 100 m
• Support, 100Base-TX : câble UTP de catégorie 5 sur 2 paires jusqu’à 100 m
• Support, 1000Base-T : câble UTP de catégorie 5 et 6 sur 4 paires jusqu’à 100 m
• Vitesses de canal : auto-négociation IEEE de 10Base-T, 100Base-TX et 1000Base-T
Caractéristiques techniques du modem
• Norme de transmission de données : K56Flex et V.92
• Vitesse : 53 kilobits par seconde (Kbps)
• Norme de télécopie : ITU V.17
Caractéristiques Bluetooth (facultatif)
• Vitesse de transfert de données sans fil : jusqu’à 1 Mbps
• Portée : jusqu’à 10 mètres (le débit de transmission de données peut varier
en fonction des conditions ambiantes)
• Bande de fréquences : 2,4 gigahertz (GHz)84 Annexe A Caractéristiques
Caractéristiques AirPort Extreme Card (facultatif)
• Vitesse de transfert de données sans fil : jusqu’à 54 Mbps
• Portée : jusqu’à 45,72 mètres (le débit de transmission de données peut varier
en fonction des conditions ambiantes)
• Bande de fréquences : 2,4 gigahertz (GHz)
• Puissance de sortie radio : 15 dBm (nominal)
Compatibilité
• Norme 802.11 DSSS (Direct Sequence Spread Spectrum) 1 et 2 Mbps
• standard 802.11b 11 Mbps
• standard 802.11b 54 Mbps
Caractéristiques Audio numérique optique
• Format de données : Protocole Sony/Phillips Digital Interface (S/PDIF) (IEC60958-3)
• Type de connecteur : Optique Toslink (IEC60874-17)
• Bits par échantillon : 16 bits ou 24 bits
Sortie audio numérique optique
Basé sur situation typique, avec lecture d’une onde sinusoïdale 1 kHz, -1 dBFS 24 bits,
fréquence d’échantillonnage en sortie de 44,1 kHz, sauf indications contraires cidessous.
• Fréquence d’échantillonnage en sortie : 32 kHz, 44,1 kHz ou 48 kHz
• Rapport signal-bruit : Supérieur à 130 dB
• Total distorsion harmonique + bruit : Inférieur à -130 dB (0,00001 pour cent)
Entrée audio numérique optique
Basé sur situation typique, avec lecture d’une onde sinusoïdale 1 kHz, -1 dBFS 24 bits,
sauf indications contraires ci-dessous.
• Fsi–fréquence d’échantillonnage d’entrée (mode horloge externe) : 32 kHz, 44,1 kHz
ou 48 kHz
• Fsi–fréquence d’échantillonnage d’entrée (mode horloge interne) : 16 kHz à 96 kHz
• Rapport signal sur bruit (mode horloge externe) : Supérieur à 130 dB
• Rapport signal sur bruit (mode horloge interne, 16 kHz < Fsi < 96 kHz) : Inférieur
à -112 dB
• Total distorsion harmonique + bruit (mode horloge externe) : Inférieur à -130 dB
(0,00001 %)
• Total distorsion harmonique + bruit (mode horloge interne, 16 kHz < Fsi < 96 kHz) :
Inférieur à -112 dB (0,0003 %)Annexe A Caractéristiques 85
Caractéristiques audio analogique
• Fréquence d’échantillonnage : 32 kHz, 44,1 kHz ou 48 kHz
• Type de jack : Mini-jack 3,5 mm
• Bits par échantillon : 16 bits ou 24 bits
• Réponse en fréquence : 20 Hz à -20 kHz, +0,5 dB/-3 dB
Sortie audio via la prise d’écouteurs
• Tension de sortie : 1,4 volts (valeur efficace) (Vrms
) (+4 dbu)
• Impédance de sortie : 24 ohms
• Puissance de sortie : 20 milliwatts (mW)
• Rapport signal-bruit : supérieur à 90 dB
• Distorsion harmonique totale : inférieure à -80 dB (0,01 pour cent)
• Séparation des voies : supérieure à 65 dB
Entrée audio analogique
• Tension d’entrée maximale : 2 volts (valeur efficace) (Vrms
) (+8 dbu)
• Impédance d’entrée : supérieure à 47 kilohms
• Rapport signal-bruit : supérieur à 90 dB
• Distorsion harmonique totale : inférieure à -85 dB (0,006 percent)
• Séparation des voies : supérieure à 75 dB
Sortie audio analogique
• Tension de sortie : 1,4 volts (valeur efficace) (Vrms
) (+4 dbu)
• Impédance de sortie : 24 ohms
• Rapport signal-bruit : supérieur à 90 dB
• Distorsion harmonique totale : inférieure à -80 dB (0,01 pour cent)
• Séparation des voies : supérieure à 65 dB
Alimentation
Entrée de ligne CA
• Gamme de tensions : Courant alternatif (AC) de 100 à 240 V
• Intensité : 7,5 ampères (A) monoprocesseur ou 9,5 ampères (A) double processeur
• Fréquence : 50-60 Hz
Sortie du moniteur DC
• 4,0 A maximum pour un courant continu (CC) de tension nominale 25 V provenant
du connecteur ADC (Apple Display Connector)86 Annexe A Caractéristiques
Alimentation requise pour les périphériques que vous pouvez
connecter
Cartes d’extension
• La quantité maximale et totale d’énergie consommée par les cartes AGP et PCI
est de 90 W.
Périphériques USB
• Chacun des ports USB intégrés dispose de 500 mA.
Périphériques FireWire
• L’ordinateur peut fournir un total de 15 W aux ports FireWire.
Horloge et pile du système
• Circuit CMOS personnalisé avec pile longue durée au lithium. Vous pourrez remplacer
la pile de l’ordinateur (voir “Remplacement de la pile” à la page 70) par une nouvelle
pile que vous pouvez acheter auprès d’un distributeur agréé Apple.
Dimensions et conditions de fonctionnement
Dimensions
• Poids : 17,84 kg (39.32 lb)
Le poids dépend du modèle. Le poids indiqué ci-dessus correspond au modèle
de base : monoprocesseur, un lecteur optique et un disque dur. Le poids peut être
plus élevé si des périphériques optionnels sont installés.
• Hauteur : 511 mm (20,12 pouces)
• Largeur : 206 mm (8,11 pouces)
• Profondeur : 475 mm (18,70 pouces)
Conditions de fonctionnement
• Température de fonctionnement : 10 °C à 35 °C (50 °F à 95 °F)
• Température de stockage : 40 °C à 47 °C (40 °F à 116 °F)
• Humidité relative : 5 % à 95 % (sans condensation)
• Altitude : 0 à 3 048 mètres (0 à 10,000 pieds) 87
B Annexe
B Environnement de travail, sécurité
et entretien
Cette annexe contient des informations importantes
concernant les consignes de sécurité et l'entretien
ainsi que des remarques sur l'organisation de l'espace
de travail pour l'utilisation de votre ordinateur et
de votre moniteur.
Consignes de sécurité importantes
Le seul moyen de couper totalement l'alimentation de votre ordinateur consiste
à débrancher le câble d'alimentation de la source d'alimentation principale. Pour
déconnecter complètement votre moniteur, vous devez également débrancher le câble
d'alimentation qui le raccorde à l'ordinateur ou à la source d'alimentation. Assurez-vous
qu'au moins une des extrémités du câble d'alimentation du périphérique peut être
atteinte facilement de manière à pouvoir débrancher l'ordinateur ou le moniteur
quand cela est nécessaire.
Pour votre propre sécurité et celle de votre matériel, respectez toujours les
consignes suivantes.
Si l'un des cas suivants se présente, débranchez la fiche d'alimentation (en tirant sur
la fiche et non sur le câble) de l'ordinateur ou du moniteur et débranchez le câble
du téléphone :
• Le câble ou la fiche d'alimentation est usé(e) ou endommagé(e).
• Vous avez renversé quelque chose dans le boîtier de l'ordinateur.
• L'ordinateur ou le moniteur a été exposé à la pluie ou à tout autre type d'humidité
excessive.
• L'ordinateur ou le moniteur est tombé ou son boîtier a été endommagé.
• Vous pensez que l’ordinateur ou le moniteur doit faire l’objet d’une révision ou
d’une réparation.
• Vous voulez nettoyer l’écran ou le boîtier de l’ordinateur ou du moniteur.
• Vous remarquez une fuite du liquide de refroidissement à l’intérieur ou à l’extérieur
de votre ordinateur (pour les modèles de Power Mac G5 équipés d’un système de
refroidissement liquide)88 Annexe B Environnement de travail, sécurité et entretien
Si vous avez l’intention de ranger votre ordinateur pour une période prolongée, retirez
la batterie.
Pour prévenir les accidents et éviter d’endommager votre ordinateur ou votre
moniteur, veillez à toujours observer les consignes suivantes :
• Maintenez votre ordinateur éloigné de toute source de liquide et d’humidité.
• Ne placez aucun objet sur le dessus de l’ordinateur ou du moniteur.
• Veillez à ce que les grilles d’aération de l’ordinateur et du moniteur ne soient
pas obstruées.
• N’enlevez jamais le boîtier du moniteur et n’ouvrez pas l’ordinateur quand il est
allumé. Vous risquez de recevoir une décharge électrique.
• Lorsque le temps est orageux, déconnectez votre modem de la prise téléphonique
afin d’éviter qu’une surcharge de tension n’endommage ce dernier.
Déplacez avec soin votre ordinateur et votre moniteur. Pour soulever l’appareil, veillez
à suivre la procédure recommandée qui consiste à fléchir les jambes. Quand vous
transportez le moniteur, assurez-vous que vous faites face à l’écran. Ne le transportez
pas en le saisissant par le socle.
Système de refroidissement liquide
Certains modèles de Power Mac G5 utilisent un système de refroidissement liquide
pour contrôler la température à l’intérieur de l’ordinateur. Le système de refroidissement
liquide est scellé et conçu pour être ouvert uniquement par un fournisseur de services
agréé Apple (Apple Authorized Service Provider ou AASP).
Avertissement : votre Macintosh est équipé d’une prise de mise à la terre à trois fils,
c’est-à-dire une prise munie d’une troisième broche reliée à la terre. Il s’agit d’une
mesure de sécurité. Ne modifiez pas la fiche pour pouvoir l’insérer dans une prise
non reliée à la terre. Faites appel à un électricien agréé pour installer une prise
correctement reliée à la terre. Ne dérogez en aucun cas à cette consigne.
Avertissement : le matériel électrique peut s’avérer dangereux s’il n’est pas utilisé
correctement. L’utilisation de ce produit par un enfant doit toujours être supervisée
par un adulte. Ne permettez pas aux enfants de toucher les composants internes
de tout appareil électrique, ni de manipuler des câbles électriques.
Avertissement : n’essayez pas d’ouvrir ou de réparer le système de refroidissement
liquide. L’ouverture du système de refroidissement liquide peut endommager votre
matériel, et de tels dommages ne sont pas forcément couverts par la garantie limitée
de votre ordinateur.Annexe B Environnement de travail, sécurité et entretien 89
Pour des réparations ou des questions liées à votre garantie, contactez un fournisseur de
services agréé Apple (Apple Authorized Service Provider) ou Apple. La documentation
fournie avec votre ordinateur contient des informations relatives à l’assistance et
à la maintenance.
Apple et l’environnement
Apple reconnaît sa responsabilité en matière de minimisation de l’impact de ses
opérations et de ses produits sur l’environnement.
Pour plus d’informations
Rendez-vous sur le site Web www.apple.com/about/environment.
Avertissement : utilisez toujours votre ordinateur en position verticale. Au cas
improbable où le liquide fuirait à l’intérieur ou à l’extérieur de votre ordinateur,
déconnectez toute alimentation électrique de votre ordinateur et ne le redémarrez
pas. Contactez un fournisseur de services agréé Apple (Apple Authorized Service
Provider) ou contactez Apple pour obtenir des informations sur la réparation de
votre ordinateur.
Après avoir déconnecté l’alimentation électrique, vous pouvez nettoyer le liquide
de refroidissement avec un tissu absorbant. Évitez toute inhalation ou tout contact
direct avec la peau : le liquide peut entraîner une légère irritation de la peau. En cas
de contact avec la peau, laver abondamment au savon et à l’eau. En cas de contact
avec les yeux, rincer abondamment à l’eau. Les matériaux ayant servi au nettoyage
doivent être recyclés ou traités conformément aux lois, normes et directives locales.
Le liquide de refroidissement peut être nocif s’il est avalé. Des fiches toxicologiques
(Material Safety Data Sheets ou MSDS) sont disponibles sur le site
www.apple.com/about/environment/use/lcs.html.90 Annexe B Environnement de travail, sécurité et entretien
Entretien général
Pour nettoyer votre ordinateur ou le moniteur de manière plus complète, procédez
comme suit :
1 Éteignez l’ordinateur et le moniteur.
2 Déconnectez le câble d’alimentation de l’ordinateur au niveau de la prise ou multiprise
électrique. Si votre moniteur est branché sur une prise, débranchez-le également.
3 Débranchez les câbles du moniteur au niveau de l’ordinateur.
4 Nettoyez l’écran du moniteur à l’aide d’un papier absorbant ou d’un tissu doux et
non pelucheux imbibé d’eau légèrement savonneuse.
5 Nettoyez délicatement le boîtier de l’ordinateur ou du moniteur à l’aide d’un chiffon
propre, doux et humide.
Important : n’utilisez pas d’alcool, d’aérosols ni de produits solvants ou abrasifs
susceptibles d’endommager la finition du boîtier.
Protection de votre lecteur optique
Pour garantir le bon fonctionnement de votre lecteur optique :
• Placez votre ordinateur de sorte que le plateau du lecteur ne heurte aucun obstacle
lors de son ouverture.
• Laissez le lecteur fermé lorsque vous ne l’utilisez pas.
• Ne placez aucun objet sur le plateau du lecteur lorsqu’il est ouvert.
• Ne touchez pas la lentille du lecteur optique avec vos doigts. N’essuyez pas la lentille
du lecteur avec un mouchoir en papier ni aucune autre matière abrasive. Si vous
devez la nettoyer, procurez-vous les produits adéquats auprès d’un fournisseur de
services agréé Apple.
• Maintenez votre ordinateur éloigné de toute source d’humidité.
Entretien de votre moniteur
Pour entretenir votre moniteur et en garantir la longévité :
• N’appuyez pas sur la surface de l’écran.
• N’écrivez pas sur l’écran et ne le touchez pas avec un objet tranchant.
• Si vous comptez ne pas utiliser le moniteur ni l’ordinateur pendant au moins
une journée, éteignez-les ou utilisez les réglages Économiseur d’énergie.
• En cas d’inactivité prolongée de votre ordinateur, éteignez l’écran, baissez la
luminosité ou utilisez un programme d’économie d’écran qui assombrit ou
modifie l’image affichée.
Avertissement : ne vaporisez pas de liquide directement sur l’écran du moniteur. Une
partie de ce liquide pourrait s’infiltrer à l’intérieur et provoquer une décharge électrique.Annexe B Environnement de travail, sécurité et entretien 91
Informations importantes sur l’organisation de l’espace
de travail et la santé
Voici quelques conseils permettant d’adapter votre environnement de travail à votre
morphologie et prévenir la fatigue oculaire.
• Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise
confortables. Réglez la hauteur du siège de manière à ce que vos cuisses soient
légèrement inclinées et que vos pieds soient posés à plat sur le sol.
Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à-dire la partie
inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage
du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie.
• Lorsque vous utilisez le clavier de l’ordinateur, vos épaules doivent être détendues.
Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, ou presque, et votre main doit
être dans le prolongement du poignet.
Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient
placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent
plus à plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Si vous
disposez d’un bureau modulaire, vous pouvez abaisser le niveau du plan de travail
pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un
bureau dont le poste de saisie est situé plus bas que le plan de travail.
• Veillez à ce que la souris se trouve à hauteur du clavier. Prévoyez également un
espace suffisant pour pouvoir la manipuler commodément.
• Placez le moniteur de manière à ce que le haut de l’écran soit légèrement en dessous
du niveau de vos yeux quand vous êtes assis au clavier. Il vous appartient de juger
de la meilleure distance entre vos yeux et l’écran. Elle se situe en général entre 45
et 70 cm. 92 Annexe B Environnement de travail, sécurité et entretien
• Positionnez le moniteur de façon à éviter d’être ébloui par la réflexion sur ce dernier
de l’éclairage au plafond ou de la lumière des fenêtres de la pièce. Si possible, utilisez
un pied de moniteur inclinable. Le pied vous permet de régler le meilleur angle de
vision et de réduire ou d’éliminer l’éblouissement causé par les sources lumineuses
impossibles à déplacer.
Pour plus d’information sur l’hygiène, la sécurité et la maintenance, consultez la page
Internet d’Apple sur l’ergonomie à l’adresse www.apple.com/about/ergonomics.
Cuisses légèrement inclinées
Épaules détendues
Écran orienté de manière
à réduire les reflets
Mains dans le
prolongement
des avant-bras
Avant-bras à l’horizontale
ou légèrement relevés
Dossier soutenant
la région lombaire
Pieds à plat sur le sol
ou sur un repose-pied
Haut de l’écran au niveau
des yeux ou légèrement
en dessous. (Vous devrez
peut-être ajuster la hauteur
du moniteur en surélevant
votre plan de travail ou le
moniteur lui-même.)
Espace dégagé sous
le plan de travail
45–70 cm 93
C Annexe
C Connexion à Internet
Votre ordinateur vous permet de naviguer sur le Web,
d’échanger du courrier électronique avec vos amis et
votre famille ou de dialoguer en temps réel via Internet.
Suivez les instructions de ce guide détaillé pour vous
connecter à Internet.
Pour utiliser Internet, vous avez besoin d’un compte auprès d’un FAI. L’Assistant
réglages peut en configurer un pour vous. Dans certains pays, l’Assistant réglages
ne peut pas vous configurer un compte auprès d’un FAI. Vous devez donc contacter
un FAI pour obtenir un compte. Utilisez ensuite les informations contenues dans cette
annexe pour configurer votre connexion
Si vous n’avez pas utilisé l’Assistant réglages pour configurer votre connexion à
Internet, vous pouvez l’utiliser maintenant. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez
sur Réseau. Cliquez sur le bouton “Assistez-moi” pour ouvrir l’Assistant réglages de
réseau. Si vous ne souhaitez pas utiliser cet Assistant, vous pouvez réaliser votre
connexion manuellement à l’aide des informations données dans cet annexe.
Il existe quatre types de connexion à Internet :
• Connexion par ligne téléphonique : l’ordinateur est relié à une prise téléphonique
murale via un câble téléphonique (pour les ordinateurs comprenant un modem).
• Connexion via un modem câble ou DSL à haut débit : l’ordinateur est relié via
un câble Ethernet à un modem spécial fourni par un FAI.
• Connexion sans fil AirPort Extreme : votre ordinateur est connecté sans fil
à Internet via une borne d’accès AirPort Extreme.
• Réseau local (LAN) : l’ordinateur est connecté à un réseau local via un câble
Ethernet. C’est le type de connexion habituellement utilisé dans les entreprises.94 Annexe C Connexion à Internet
Avant de vous connecter à Internet :
1 Procurez-vous les informations de connexion auprès de votre FAI ou de votre
administrateur réseau. Consultez la section suivante, “Collecte des informations
nécessaires”, pour savoir quelles sont les informations dont vous avez besoin pour
chaque type de connexion.
Si un autre ordinateur se trouvant au même emplacement est déjà connecté à Internet,
vous pouvez probablement utiliser ses réglages.
Pour accéder aux réglages sur un ordinateur Mac OS X :
• Ouvrez la fenêtre Réseau des Préférences Système.
• Dans le menu local Afficher, sélectionnez votre mode de connexion.
• Copiez les informations concernant votre connexion.
Pour accéder aux réglages sur un ordinateur Mac OS 9 :
• Ouvrez le tableau de bord TCP/IP.
• Rechercher le mode de connexion dans le menu local “Connexion”.
• Recherchez la configuration dans le menu local Configurer.
• Notez l’adresse IP, le masque de sous-réseau et l’adresse du routeur figurant
dans les champs correspondants.
Pour accéder aux réglages sur un PC Windows :
Les informations de connexion d’un PC Windows se trouvent à deux endroits.
• Pour trouver l’adresse IP et le masque de sous-réseau, ouvrez le tableau de bord
“Connexions réseau et Internet”.
• Pour accéder aux informations relatives aux comptes d’utilisateurs, ouvrez le tableau
de bord Comptes d’utilisateurs.
Vous pouvez écrire ces informations directement sur les pages suivantes, puis les saisir
dans l’Assistant réglages.
2 Si vous utilisez un modem téléphonique, branchez un câble téléphonique (inclus avec
la plupart des ordinateurs Macintosh) sur le port modem de votre ordinateur et sur une
prise téléphonique murale. Si vous disposez d’un modem DSL ou câble, connectez-le
à votre ordinateur en suivant les instructions incluses.Annexe C Connexion à Internet 95
Collecte des informations nécessaires
Vous pouvez noter sur ces pages les informations obtenues auprès de votre Fournisseur
d’Accès à Internet (FAI), de votre administrateur réseau ou de votre autre ordinateur,
puis les saisir dans l’Assistant réglages de réseau.
Pour configurer une connexion téléphonique classique, procurez-vous
les informations suivantes :
• Nom du fournisseur d’accès
• Nom d’utilisateur ou de compte
• Mot de passe
• Numéro de téléphone du FAI
• Numéro de téléphone de remplacement
• Préfixe pour obtenir une ligne extérieure
Pour configurer une connexion DSL, modem câble, LAN ou sans fil
AirPort Extreme :
m
Choisissez d’abord votre méthode de connexion (en cas de doute, consultez votre
administrateur système ou votre FAI) :
• Manuellement
• Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle
• Via DHCP
• Via BootP
• PPP
Si vous ne savez pas quelle méthode utiliser, il est recommandé d’activer l’option
“Via DHCP”, car le réseau fournit alors la plupart des informations requises
automatiquement.
Si vous avez sélectionné “Manuellement” ou “Utilisation de DHCP avec une adresse
manuelle” procurez-vous les informations suivantes :
• Adresse IP
• Masque de sous-réseau
• Adresse du routeur
Remarque : si vous avez sélectionné “Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle”,
vous n’avez pas besoin d’un masque de sous-réseau ni d’adresse de routeur.96 Annexe C Connexion à Internet
Si vous avez sélectionné “Via DHCP”, procurez-vous les informations suivantes
facultatives (le cas échéant, consultez votre FAI) :
• ID client DHCP
• serveurs DNS
Si vous avez sélectionné “PPP” (pour des connexions PPPoE), procurez-vous les
informations suivantes :
• Fournisseur d’accès
• Nom du compte
• Mot de passe
• Nom du service PPPoE
Les informations ci-dessous sont facultatives. Consultez votre FAI ou votre
administrateur système si nécessaire.
• serveurs DNS
• Nom de domaine
• Serveur proxy
Saisie de vos informations
Après vous être procuré les informations de configuration spécifiques auprès de votre
FAI ou de votre administrateur réseau, vous pouvez soit cliquer sur le bouton “Assistezmoi” dans la fenêtre des préférences Réseau pour ouvrir l’Assistant réglages de réseau,
soit saisir les informations manuellement.
Pour saisir vos informations manuellement, suivez les étapes correspondant à votre
mode de connexion.
• Modem téléphonique avec connexion PPP (Point-to-Point Protocol) (voir la page 97)
• Connexion via modem câble, DSL ou réseau LAN (la page 100) avec les
configurations suivantes :
• Manuelle
• DHCP
• PPPoE
• Connexion sans fil AirPort Extreme (voir la page 105)Annexe C Connexion à Internet 97
Modem téléphonique avec connexions PPP (Point-To-Point
Protocol)
Le modem téléphonique constitue la manière la plus courante de se connecter
à Internet. Votre modem utilise une méthode appelée PPP (Point-to-Point Protocol)
pour se connecter à un FAI.
Assurez-vous que votre modem est branché sur une ligne téléphonique et que vous
disposez des informations fournies par votre FAI (voir la page 95).
Pour configurer l’utilisation du port de modem interne dans les préférences
Réseau :
1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système.
2 Cliquez sur Réseau.
3 Choisissez Configuration des ports réseau dans le menu local Afficher, puis cochez la
case Activé à côté de Modem interne.
4 Faites glisser Modem interne en haut de la liste Configurations de port pour en faire
l’interface réseau préférée ou principale.
5 Choisissez Modem interne dans le menu local Afficher et cliquez sur PPP. 98 Annexe C Connexion à Internet
6 Saisissez les informations fournies par votre FAI, puis cliquez sur Appliquer.
Pour tester votre configuration Internet :
1 Ouvrez l’application Connexion à Internet (dans le dossier Applications).
2 Cliquez sur l’icône Modem interne si nécessaire.
3 Tapez le numéro de téléphone de connexion de votre FAI, votre nom de compte
et votre mot de passe, si nécessaire.
4 Cliquez sur Se connecter.
L’application Connexion à Internet compose le numéro de votre FAI et établit
une connexion.Annexe C Connexion à Internet 99
Pour vous connecter automatiquement dès que vous ouvrez une application
TCP/IP, telle qu’un navigateur Web ou une messagerie électronique, procédez
de la manière suivante :
1 Cliquez sur Options PPP (dans la fenêtre PPP des préférences Réseau).
2 Cochez la case “Se connecter automatiquement si nécessaire”.
3 Cliquez sur OK, puis sur Appliquer.
Connexions à Internet par ligne DSL, modem câble ou
réseau LAN
Si vous vous connectez à Internet soit à l’aide d’un modem DSL ou câble, soit via un
réseau LAN Ethernet, demandez à votre FAI ou à votre administrateur réseau comment
vous devriez configurer votre connexion à Internet :
• Manuellement : dans le cas d’une configuration manuelle, votre FAI ou administrateur
réseau vous indique une adresse IP statique et d’autres informations que vous devez
saisir dans les préférences Réseau.
• Via le protocole DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol). avec une configuration
DHCP, le serveur DHCP saisit automatiquement les informations à votre place.
• Via le protocole PPPoE (Point-to-Point Protocol over Ethernet). si vous utilisez un
modem DSL et que vous avez besoin d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe
pour vous connecter à Internet, vous devrez éventuellement configurer votre réseau
pour qu’il utilise le protocole PPPoE.
Lors de la configuration de votre réseau, veillez à garder les informations fournies
par votre FAI à portée de main (voir la page 95).100 Annexe C Connexion à Internet
Pour configurer les Préférences réseau pour le port Ethernet intégré :
1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système.
2 Cliquez sur Réseau.
3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau.
4 Sélectionnez Ethernet intégré.
5 Faites glisser Ethernet intégré en haut de la liste Configurations de port pour en faire
l’interface réseau préférée ou principale.
Suivez ensuite les instructions de configuration manuelle de votre réseau, via DHCP
ou PPPoE, selon les recommandations de votre FAI ou de votre administrateur réseau.Annexe C Connexion à Internet 101
Configuration manuelle
Ayez à portée de main votre adresse IP statique, l’adresse du routeur et le masque
de sous-réseau fournis par votre FAI (voir la page 95).
Pour effectuer une configuration manuelle :
1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher.
2 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire.
3 Dans le menu local Configurer IPv4, choisissez Manuellement.
4 Remplissez le reste des champs.
5 Cliquez sur Appliquer.
Votre connexion est prête dès que vous avez configuré votre réseau. Ouvrez votre
navigateur Web (ou une autre application TCP/IP) afin de tester votre connexion
à Internet.102 Annexe C Connexion à Internet
Configuration DHCP
Après avoir choisi une configuration DHCP, le serveur DHCP fournit automatiquement
vos informations de réseau.
Pour configurer DHCP :
1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher.
2 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire.
3 Choisissez Via DHCP dans le menu local Configurer IPv4.
4 Cliquez sur Appliquer.
Ouvrez votre navigateur Web (ou une autre application TCP/IP) afin de tester votre
connexion à Internet.
Remarque : sauf instructions contraires de votre FAI, ignorez les champs Client DHCP
et Domaines de recherche.Annexe C Connexion à Internet 103
Configuration PPPoE
Certains FAI recourant à la technologie DSL utilisent le protocole PPPoE (Point-to-Point
Protocol over Ethernet)). Si vous utilisez un modem DSL et que vous avez besoin d’un
nom d’utilisateur et d’un mot de passe pour vous connecter à Internet, contactez votre
FAI pour savoir si vous devez vous connecter via PPPoE.
Pour configurer une connexion PPPoE :
Ayez à portée de main le nom d’utilisateur, le mot de passe et, si cela est nécessaire,
l’adresse du serveur DNS fournis par votre FAI (voir la page 95).
1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher.
2 Cliquez sur PPPoE et sélectionnez “Se connecter via PPPoE”.
3 Remplissez le reste des champs. Si vous souhaitez que tous les utilisateurs de votre
ordinateur utilisent la même méthode de connexion, sélectionnez “Enregistrer le mot
de passe”.
Remarque : pour vous connecter automatiquement au démarrage d’une application
TCP/IP, telle qu’un navigateur Web ou une application de courrier électronique, cliquez
sur Options PPPoE, puis sélectionnez “Se connecter automatiquement si nécessaire”.104 Annexe C Connexion à Internet
4 Cliquez sur TCP/IP et sélectionnez Via PPP ou Manuellement dans le menu local
Configurer IPv4, selon les instructions de votre FAI. Si votre FAI vous a communiqué une
adresse IP statique, choisissez Manuellement et tapez l’adresse dans le champ Adresse
IP.
5 Saisissez les adresses des serveurs de noms de domaine (DNS) dans le champ
Serveurs DNS.
6 Cliquez sur Appliquer.
Votre connexion à Internet est prête dès que vous avez configuré votre réseau. Vous
pouvez alors ouvrir votre navigateur Web ou une autre application TCP/IP afin de tester
votre connexion.
Important : si vous n’avez pas sélectionné l’option de connexion automatique, vous
devez ouvrir l’application Connexion à Internet, choisir la configuration adéquate, puis
cliquer sur Se connecter. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Connexion à
Internet dans la barre des menus située en haut de l’écran. Annexe C Connexion à Internet 105
Connexion sans fil AirPort Extreme
Vous pouvez configurer votre réseau AirPort Extreme et votre connexion Internet à
l’aide de l’Assistant réglages AirPort, situé dans le dossier Utilitaires de votre dossier
Applications. L’assistant vous aide à configurer votre borne d’accès AirPort Extreme et
à régler votre ordinateur pour qu’il utilise AirPort Extreme. Pour en savoir plus sur votre
borne d’accès AirPort Extreme, consultez le Guide de configuration de la borne d’accès
AirPort Extreme livré avec votre borne d’accès.
Si votre borne d’accès AirPort Extreme est déjà configurée, votre carte AirPort Extreme
peut dans la plupart des cas y accéder immédiatement.
Pour vérifier l’accès au réseau AirPort Extreme :
m
Cliquez sur l’icône d’état AirPort dans la barre des menus et choisissez un réseau
AirPort dans la liste.
Si aucun réseau AirPort n’y figure, vous pouvez utiliser l’Assistant réglages AirPort
pour vérifier ou modifier vos réglages ou bien les changer via la fenêtre Réseau
des Préférences Système. 106 Annexe C Connexion à Internet
Configuration manuelle d’une connexion AirPort Extreme
Pour configurer une connexion manuelle utilisant des adresses spécifiques affectées
par avance pour vos serveurs et votre ordinateur, procurez-vous les informations
suivantes auprès de votre administrateur de système.
Si vous vous connectez via DHCP, la plupart de ces informations sont automatiquement
transmises à votre ordinateur via le réseau. Consultez votre administrateur de système
pour obtenir les renseignements nécessaires.
• Adresses des serveurs de noms de domaine (DNS), si nécessaire
• Configuration d’adresse IP manuelle ou via DHCP
• Adresse IP
• Adresse du routeur
• Masque de sous-réseau
• Mot de passe, si nécessaire
Assurez-vous ensuite que les options de connexion AirPort sont activées dans les
préférences Réseau.
Pour régler vos Préférences réseau pour un port AirPort Extreme :
1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système.
2 Cliquez sur Réseau.
3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau.
4 Cochez la case Activé à côté d’AirPort.Annexe C Connexion à Internet 107
Suivez ensuite les instructions fournies par votre FAI ou votre administrateur réseau
pour configurer votre réseau manuellement ou via DHCP. Si vous configurez vousmême votre réseau, il est peut-être plus simple d’utiliser DHCP car le serveur attribue
automatiquement les adresses IP.
5 Choisissez AirPort dans le menu local Afficher.
6 Cliquez sur TCP/IP, si nécessaire.
7 Dans le menu local Configurer IPv4, choisissez Manuellement ou Via DHCP.
• Si vous choisissez Manuellement, saisissez les autres informations dans les champs
correspondants.
• Si vous choisissez Via DHCP, il est inutile de saisir d’autres informations, sauf
instructions contraires de votre administrateur de système.
8 Cliquez sur AirPort et sélectionnez les options requises pour vous connecter à un
réseau AirPort Extreme après le redémarrage ou lors de la réactivation de l’ordinateur
après une suspension d’activité.
9 Cliquez sur Appliquer.
Une fois les réglages AirPort configurés, vous êtes prêt à vous connecter.
Pour tester votre connexion AirPort Extreme :
m
Cliquez sur l’icône d’état AirPort dans la barre des menus et choisissez Activer AirPort.
Tout réseau AirPort Extreme situé dans la zone de couverture doit apparaître
dans le menu.108 Annexe C Connexion à Internet
Dépannage de votre connexion
Connexion à Internet par modem câble, ligne DSL et réseau LAN
Si vous ne parvenez pas à vous connecter à Internet à l’aide de votre modem câble
ou DSL ou via votre réseau local (LAN), suivez les étapes ci-après.
Important : les instructions relatives aux modems ne concernent pas les utilisateurs
de réseau LAN. Contrairement aux utilisateurs de modems câble et DSL, les utilisateurs
de réseau LAN peuvent disposer de concentrateurs, de commutateurs, de routeurs et
autres dispositifs de connexion. Ils doivent faire appel à leur administrateur réseau
plutôt qu’à un FAI.
Vérifiez les câbles et les sources d’alimentation
Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés, y compris
le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et le câble
raccordant le modem à la prise murale. Vérifiez les câbles et l’alimentation des routeurs
et des concentrateurs Ethernet.
Éteignez puis rallumez le modem et réinitialisez les composants matériels
du modem.
Éteignez votre modem DSL ou votre modem câble pendant quelques minutes puis
rallumez-le. Certains FAI conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem.
Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant
ou après avoir éteint puis rallumé le modem.Annexe C Connexion à Internet 109
Connexions PPPoE
Si vous n’arrivez pas à vous connecter à votre FAI via PPPoE, commencez par vérifier
les câbles et l’alimentation, puis éteignez le modem et rallumez-le et réinitialisez le
matériel modem.
Vérifiez les réglages de Préférences Système
1 Dans la barre des menus, sélectionnez le menu Pomme (K) > Préférences Système.
2 Cliquez sur Réseau.
3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau.
4 Sélectionnez Ethernet intégré, puis faites glisser cette configuration en haut de la liste
des configurations de ports.
5 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Ethernet intégré.
6 Cliquez sur PPPoE.
7 Sélectionnez Se connecter via PPPoE.
8 Vérifiez le champ Nom de compte pour vous assurer d’avoir tapé les informations
correctes fournies par votre FAI.
9 Si vous avez choisi d’enregistrer votre mot de passe, saisissez-le à nouveau afin d’être
sûr(e) qu’il est correct.
10 Cliquez sur TCP/IP. Assurez-vous d’avoir saisi dans cette fenêtre les informations
correctes fournies par votre FAI.
11 Cliquez sur Appliquer.110 Annexe C Connexion à Internet
Connexions au réseau
Si vous disposez de plusieurs ordinateurs tentant de partager une connexion à Internet,
assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre
FAI fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque
ordinateur.
Si une seule adresse IP est utilisée, vous devez disposer d’un routeur capable de
partager la connexion (on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de
“masquage d’adresse IP”). Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez
la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré
votre réseau. La borne d’accès AirPort Extreme peut être utilisée pour que plusieurs
ordinateurs partagent une adresse IP. Pour plus d’informations sur l’utilisation de la
borne d’accès AirPort Extreme, consultez l’aide à l’écran ou rendez-vous sur le site
Web AirPort, à l’adresse www.apple.com/airport.
Si ces instructions s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés,
contactez votre FAI. 111
Communications Regulation Information
FCC Compliance Statement
This equipment has been tested and found to
comply with the limits for a Class B digital device,
pursuant to part 15 of the FCC Rules. These limits are
designed to provide reasonable protection against
harmful interference in a residential installation.
This equipment generates, uses, and can radiate
radio frequency energy and, if not installed and used
in accordance with the instructions, may cause
harmful interference to radio communications.
However, there is no guarantee that interference will
not occur in a particular installation. If this
equipment does cause harmful interference to radio
or television reception, which can be determined by
turning the equipment off and on, the user is
encouraged to try to correct the interference by one
or more of the following measures:
• Reorient or relocate the receiving antenna.
• Increase the separation between the equipment
and receiver.
• Connect the equipment into an outlet on a circuit
different from that to which the receiver is
connected.
• Consult the dealer or an experienced radio/TV
technician for help.
If necessary, consult an Apple Authorized Service
Provider or Apple. See the service and support
information that came with your Apple product. Or,
consult an experienced radio/television technician
for additional suggestions.
Important: Changes or modifications to this product
not authorized by Apple Computer, Inc., could void
the EMC compliance and negate your authority to
operate the product.
This product was tested for EMC compliance under
conditions that included the use of Apple peripheral
devices and Apple shielded cables and connectors
between system components. It is important that
you use Apple peripheral devices and shielded
cables and connectors between system components
to reduce the possibility of causing interference to
radios, television sets, and other electronic devices.
You can obtain Apple peripheral devices and the
proper shielded cables and connectors through an
Apple Authorized Reseller. For non-Apple peripheral
devices, contact the manufacturer or dealer for
assistance.
Responsible party (contact for FCC matters
only): Apple Computer, Inc. Product Compliance, 1
Infinite Loop M/S 26-A, Cupertino, CA 95014-2084,
408-974-2000.
Industry Canada Statement
Complies with the Canadian ICES-003 Class B
specifications. Cet appareil numérique de la classe B
est conforme à la norme NMB-003 du Canada.
VCCI Class B Statement
Communauté Européenne
Conforme aux directives européennes 72/23/CEE,
89/336/CEE et 99/5/CEE.
Laser Information
Do not attempt to disassemble the cabinet
containing the laser. The laser beam used in this
product is harmful to the eyes. The use of optical
instruments, such as magnifying lenses, with this
product increases the potential hazard to your eyes.
For your safety, have this equipment serviced only
by an Apple Authorized Service Provider.
If you have an internal Apple CD-ROM, DVD-ROM, or
DVD-RAM drive in your computer, your computer is
a Class 1 laser product. The Class 1 label, located in a
user-accessible area, indicates that the drive meets
minimum safety requirements. A service warning
label is located in a service-accessible area. The
labels on your product may differ slightly from the
ones shown here.
Warning: Making adjustments or performing
procedures other than those specified in your
equipment’s manual may result in hazardous
radiation exposure.
Class 1 label Service warning label112
Laser Specifications
Laser on pickup unit (when reading a CD):
• Type: Semiconductor GaAlAs laser
• Wavelength: 790 nm
• Power out of objective lens: 3.3 mW
• Beam divergence: horizontal 12º vertical 35º
Exposure to Radio Frequency Energy
The radiated output power of the optional AirPort
Extreme Card is far below the FCC radio frequency
exposure limits. Nevertheless, it is advised to use the
wireless equipment in such a manner that the
potential for human contact during normal
operation is minimized.
Informations sur la souris et le clavier
La souris optique d’Apple est un appareil à diode
électroluminescente de catégorie 1. Ce produit est
conforme aux exigences des directives européennes
72/23/CEE et 89/336/CEE.
It also complies with the Canadian ICES-003 Class B
Specification.
Avertissement relatif aux activités à haut
risque
Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans
des installations nucléaires, pour la navigation ou la
communication aérienne, pour le contrôle du trafic
aérien, ni dans aucune autre situation où une panne
du système informatique pourrait entraîner la mort,
des blessures ou de graves dommages écologiques.
Conformité ENERGY STAR®
En tant que partenaire ENERGY STAR®
Apple a
configuré ce produit de telle sorte qu’il respecte les
recommandations d’économie d’énergie d’ENERGY
STAR®
. Le programme ENERGY STAR®
est un
partenariat avec les fabricants de matériel de bureau
visant à promouvoir une consommation efficace de
l’énergie. La réduction de la consommation
d’énergie des appareils de bureau permet de réaliser
des économies et contribue à réduire la pollution en
éliminant le gaspillage d’énergie.
Informations sur l’élimination
des piles usagées
Les batteries usagées doivent être recyclées ou
traitées conformément aux normes d’environnement
locales.
Nederlands
Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij
de chemokar of in een speciale batterijcontainer
voor klein chemisch afval (kca) worden
gedeponeerd.
Informations sur l’élimination
de l’ordinateur usagé
Votre Power Mac G5 doit être recyclé ou éliminé
conformément aux lois, normes et directives locales
pour les matériels électriques et électroniques.
Informations relatives au téléphone et
au modem Apple 56K
Informez votre opérateur téléphonique
Certains opérateurs téléphoniques exigent que vous
informiez votre agence locale lorsque vous raccordez
un modem à leur réseau.
Information You Need in the United States
The internal modem complies with Part 68 of the
FCC rules. On the back of this equipment is a label
that contains, among other information, the FCC
registration number and ringer equivalence number
(REN). If requested, provide this information to your
telephone company.
• Ringer equivalence number (REN) : 0.1B (part
numbers M9455 and M9457) and 0.6B (part
number M9454). The REN is useful for determining
the quantity of devices you may connect to your
telephone lines and still have all those devices ring
when your telephone number is called. In most,
but not all areas, the sum of the RENs of all devices
connected to one line should not exceed five (5.0).
To be certain of the number of devices you may
connect to your line, as determined by the REN,
you should contact your local telephone company
to determine the maximum REN for your calling
area.
• Telephone jack type: USOC, RJ-11 An FCC-compliant
telephone cord and modular plug are provided
with this equipment. This equipment is designed
to be connected to the telephone network or
premises wiring using a compatible modular jack
that complies with Part 68 rules. See the
installation instructions for details. 113
Telephone Line Problems
If your telephone doesn’t work, there may be a
problem with your telephone line. Disconnect the
modem to see if the problem goes away. If it doesn’t,
report the problem either to your local telephone
company or to your company’s telecommunications
department.
If disconnecting the modem eliminates the problem,
the modem itself may need service. Pour obtenir de
l’assistance, reportez-vous aux informations relatives
à l’assistance et à la maintenance fournies avec votre
produit Apple pour vous entrer en contact avec
Apple ou un fournisseur de services agréé Apple.
If you do not disconnect your modem when it is
adversely affecting the telephone line, the telephone
company has the right to disconnect your service
temporarily until you correct the problem. The
telephone company will notify you as soon as
possible. Also, you will be informed of your right to
file a complaint with the FCC.
The telephone company may make changes in its
facilities, equipment, operations, or procedures that
could affect the operation of your equipment. If this
happens, the telephone company will provide
advance notice in order for you to make the
necessary modifications to maintain uninterrupted
service.
The internal modem will not work with party lines,
cannot be connected to a coin-operated telephone,
and may not work with a private branch exchange
(PBX).
Telephone Consumer Protection Act
The Telephone Consumer Protection Act of 1991
makes it unlawful for any person to use a computer
or other electronic device to send any message via a
telephone fax machine unless such message clearly
contains, in a margin at the top or bottom of each
transmitted page or on the first page of the
transmission, the date and time it was sent and an
identification of the business, other entity, or
individual sending the message and the telephone
number of the sending machine of such business,
entity, or individual.
Information You Need in Canada
The Industry Canada (IC) label identifies certified
equipment. This certification means that the
equipment meets certain telecommunications
network protective, operational, and safety
requirements. The Department does not guarantee
the equipment will operate to a user’s satisfaction.
Before installing this equipment, make sure that you
are permitted to connect to the facilities of the local
telecommunications company. Be sure you use an
acceptable method of connection to install the
equipment. In some cases, you may extend the
company’s internal wiring for single-line individual
service by means of a certified telephone extension
cord. Be aware, however, that compliance with these
conditions may not prevent degradation of service
in some situations.
Repairs to certified equipment should be made by
an authorized Canadian maintenance facility
designated by the supplier. Any equipment
malfunctions or repairs or alterations that you make
to this equipment may cause the
telecommunications company to request that you
disconnect the equipment.
In Canada, contact Apple at: 7495 Birchmount Road,
Markham, Ontario, L3R 5G2, 800-263-3394
Users should not attempt to make such connections
themselves, but should contact the appropriate
electric inspection authority or electrician.
• Load number: 0.1 (part numbers M9455 and
M9457) and 0.2 (part number M9454). The load
number (LN) assigned to each terminal device
denotes the percentage of the total load to be
connected to the telephone loop that is used by
the device, to prevent overloading. The
termination of a loop may consist of any
combination of devices, subject only to the
requirement that the sum of the load numbers of
all devices does not exceed 100.
• Telephone jack type: CA-11
Informations destinées aux utilisateurs canadiens
L’étiquette d’Industrie Canada identifie un matériel
homologué. Cette étiquette certifie que le matériel
est conforme à certaines normes de protection,
d’exploitation et de sécurité des réseaux de
télécommunications. Le Ministère n’assure toutefois
pas que le matériel fonctionnera à la satisfaction de
l’utilisateur.
Avant d’installer ce matériel, l’utilisateur doit
s’assurer qu’il est permis de le raccorder au réseau de
l’entreprise locale de télécommunication. Le matériel
doit également être installé en suivant une méthode
acceptée de raccordement. Dans certains cas, le
câblage appartenant à l’entreprise utilisé pour un
service individuel à ligne unique peut être prolongé
au moyen d’un dispositif homologué de
raccordement (cordon prolongateur téléphonique).
Warning: Users should ensure for their own
protection that the electrical ground connections
of the power utility, telephone lines, and internal
metallic water pipe system, if present, are
connected together. This precaution may be
particularly important in rural areas. 114
L’abonné ne doit pas oublier qu’il est possible que la
conformité aux conditions énoncées ci-dessus
n’empêche pas la dégradation du service dans
certaines situations. De fait, les entreprises de
télécommunication ne permettent pas que l’on
raccorde un matériel aux prises d’abonnés, sauf dans
les cas précis prévus par les tarifs particuliers de ces
entreprises.
Les réparations de matériel homologué doivent être
effectuées par un centre d’entretien canadien
autorisé désigné par le fournisseur. La compagnie de
télécommunications peut demander à l’utilisateur de
débrancher un appareil suite à des réparations ou à
des modifications effectuées par l’utilisateur ou en
raison d’un mauvais fonctionnement.
Veuillez contacter Apple pour des informations
supplémentaires :
Apple Canada, Inc.
7495 Birchmount Road
Markham, Ontario
Canada L3R 5G2
Service clientèle d’Apple Canada : 800-263-3394
L’utilisateur ne doit pas tenter de faire ces
raccordements lui-même ; il doit avoir recours à un
service d’inspection des installations électriques ou à
un électricien, selon le cas.
• Numéro de charge : 0,2 L’indice de charge (IC)
assigné à chaque dispositif terminal indique, pour
éviter toute surcharge, le pourcentage de la
charge totale qui sera raccordée à un circuit
téléphonique bouclé utilisé par ce dispositif. La
terminaison du circuit bouclé peut être constituée
de n’importe quelle combinaison de dispositifs
pourvu que la somme des indices de charge de
l’ensemble des dispositifs ne dépasse pas 100.
• Type de prise téléphonique : CA-11
Information You Need in the United Kingdom
This terminal equipment is intended for direct
connection to the analogue Public Switched
Telecommunications Network and is approved for
use within the United Kingdom with the following
features:
• Modem facility
• Autocalling facility
• Autoanswer facility
• DTMF signaling
Operation in the absence of proceed indication or
upon detection of proceed indication
This product is in conformity with relevant
regulatory standards following the provisions of
European Council Directives 73/23/EEC (Low Voltage
Directive) and 89/336/EEC amended by 92/31/EEC
(EMC Directive).
Informationen für Deutschland
Diese Modem-Karte ist als Endeinrichtung
vorgesehen und muss an ein TAE mit F-Kodierung
angeschlossen werden. Diese Endeinrichtung ist in
Konformität gemäss Niederspannungsrichtlinie 73 /
23 / EWG sowie EMC-Richtlinien 89 / 336 / EWG und
92 / 31 / EWG.
Informations pour la France
Ce matériel est conforme aux normes applicables de
sécurité électrique d’après la directive 73/23/CEE et
aux normes applicables de comptabilité
électromagnétique d’après la directive 89/336/CEE,
modifiée par la directive 92/31/CEE.
Information You Need in Australia
All telecommunications devices are required to be
labelled as complying to the Australian
telecommunications standards, ensuring the health
and safety of the operator and the integrity of the
Australian telecommunications network. To provide
compliance with the Australian Communications
Authority’s technical standards, please ensure that
the following AT commands are maintained:
• ATB0 (ITU/CCITT operation)
• AT&G0 (no guard tone)
• AT&P1 (33/66 pulse dial make/break ratio)
• ATS0 = 0 or ATS0 = 1 (no answer or answer greater
than one ring)
• ATS6 = 95 (DTMF period between 70–255 ms)
• ATS11 = 95 (DTMF period between 70–255 ms)
For calls that are automatically generated, a total of
three call attempts are allowed to a telephone
number, with a minimum period between calls of 2
seconds. If the call does not connect after three
attempts, 30 minutes must expire before automatic
redialing may be initiated. Failure to set the modem
(and any associated communications software) to
the above settings may result in the modem being
non-compliant with Australian telecommunications
standards. Under these circumstances a user could
be subject to significant penalties under the
Telecommunications Act 1997.
Avertissement : Pour sa propre sécurité, l’utilisateur
doit s’assurer que tout les fils de mise à la terre du
secteur, des lignes téléphoniques et les
canalisations d’eau métalliques, s’il y en a, soient
raccordés ensemble. Cette précaution est
particulièrement importante dans les régions
rurales. 115
This modem must be properly secured in order for
you to use it. Telecommunications network voltages
exist inside the computer and the
telecommunications line connection must be
removed before opening the computer.
Information You Need in New Zealand
This modem is fully approved to operate on the New
Zealand telecommunications network under
Telepermit number PTC 211/04/002 (part numbers
M9455 and M9457) and PTC 211/01/062 (part
number M9454). All telecommunications devices are
required to hold a Telepermit and be labelled
accordingly with the approved Telepermit number to
comply with the New Zealand telecommunications
standards, ensuring the health and safety of the
operator and the integrity of the New Zealand
telecommunications network. To ensure compliance,
all calls that are automatically generated should not
make more than 10 call attempts to the same
number within any 30 minute period with a
minimum period between calls of 30 seconds.
Failure to adhere to these standards may result in
the modem being non-compliant with New Zealand
Telecom standards. Under these circumstances a
user could be subject to significant penalties.
Important: The grant of a Telepermit for any item of
terminal equipment indicates that only Telecom has
accepted that the item complies with minimum
conditions for connection to its network. It indicates
no endorsement of the product by Telecom, nor
does it provide any sort of warranty. Above all, it
provides no assurance that any item will work
correctly in all respects with another item of
Telepermitted equipment of a different make or
model, nor does it imply that any product is
compatible with all of Telecom’s network services.
Mac mini
Guide de
l’utilisateur
Inclut des informations
de configuration et de
dépannage pour votre
ordinateur Mac mini
F3188Q88.book Page 1 Friday, April 8, 2005 7:30 PMK Apple Computer, Inc.
© 2005 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés.
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loi du 3 juillet 1985 et par toutes les conventions
internationales applicables aux droits d’auteurs. En vertu
de ces lois et conventions, aucune reproduction totale ni
partielle de ce manuel n’est autorisée, sauf
consentement écrit préalable d’Apple.
Le logo Apple est une marque d’Apple Computer Inc.,
déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En
l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation
à des fins commerciales de ce logo via le clavier
(Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon
et/ou de concurrence déloyale.
Tout a été mis en œuvre pour que les informations
présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est
pas responsable des erreurs de reproduction ou
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1 Infinite Loop
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408-996-1010
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Les autres noms de produits et de sociétés sont la
propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits
commercialisés par des entreprises tierces ne sont
mentionnés que pour information, sans aucune
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et au fonctionnement de ces produits.
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“Pro Logic” et le logo double-D sont des marques
déposées de Dolby Laboratories. Travaux confidentiels
F3188Q88.book Page 2 Friday, April 8, 2005 7:30 PM3
Table de matières
7 Chapitre 1 : Premiers contacts
8 Installer votre Mac mini
14 Et ensuite ?
16 Procédure au terme de l’utilisation de votre Mac mini
19 Chapitre 2 : Prise en main de votre Mac mini
20 Caractéristiques de base de votre Mac mini
23 À propos de Mac OS X
25 Personnalisation du bureau et réglage des préférences
26 Connexion à une imprimante
28 Lecture d’un CD et connexion d’un casque d’écoute
29 Maintien à jour de votre logiciel
30 Connexion d’une caméra ou d’autres périphériques FireWire
30 Connexion à un réseau
30 Utilisation d’Internet
31 Transfert de fichiers vers un autre ordinateur
32 Lorsqu’une application ne répond plus
33 Réponses à vos questions grâce à l’Aide Mac
F3188Q88.book Page 3 Friday, April 8, 2005 7:30 PM4 Table de matières
35 Utilisation des applications
37 Chapitre 3 : Utilisation de votre ordinateur
38 Connecter un moniteur ou un périphérique Video
39 USB (Universal Serial Bus)
42 FireWire
45 Mise en réseau sans fil AirPort Extreme
47 Technologie sans fil Bluetooth
51 Ethernet (10/100Base-T)
53 Support audio
54 Utilisation de votre lecteur optique
58 Protection de votre ordinateur
59 Chapitre 4 : Dépannage
60 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur
62 Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur
64 Autres problèmes
67 Utilisation de Apple Hardware Test
68 En savoir plus, service et aide
70 Localisation du numéro de série de votre produit
71 Annexe A : Caractéristiques
73 Annexe B : Consignes d’entretien, d’utilisation et de sécurité
F3188Q88.book Page 4 Friday, April 8, 2005 7:30 PMTable de matières 5
73 Nettoyage de votre Mac mini
74 Déplacement de votre Mac mini
74 Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de votre ordinateur
76 Connecteurs et ports
76 Adaptateur secteur
78 Prévention des dommages auditifs
78 Ergonomie
80 Apple et l’environnement
81 Annexe C : Connexion à Internet
84 Fiche technique Assistant réglages
87 Configuration manuelle de votre connexion à Internet
88 Connexion commutée
92 Connexions à Internet par ligne DSL, modem câble
ou réseau LAN
99 Connexion sans fil AirPort Extreme
104 Dépannage de votre connexion
107 Communications Regulation Information
F3188Q88.book Page 5 Friday, April 8, 2005 7:30 PMF3188Q88.book Page 6 Friday, April 8, 2005 7:30 PM7
1
1 Premiers contacts
Votre ordinateur Mac mini a été conçu pour être
configuré rapidement et être utilisé immédiatement.
Si vous n’avez jamais utilisé de Mac mini ou n’êtes pas familiarisé avec les ordinateurs
Macintosh, vous trouverez dans ce chapitre des instructions pour débuter. Si vous avez
déjà de l’expérience, peut-être êtes-vous déjà en mesure d’utiliser votre nouvel ordinateur.
Veillez néanmoins à consulter les informations du chapitre 2, “Prise en main de
votre Mac mini” pour découvrir les nouvelles fonctionnalités de votre Mac mini.
Adaptateur
DVI-VGA
Câble CA Adaptateur secteur
F3188Q88.book Page 7 Friday, April 8, 2005 7:30 PM8 Chapitre 1 Premiers contacts
Installer votre Mac mini
Suivez ces étapes pour configurer votre Mac mini. Si un film protecteur enveloppe
l’ordinateur ou l’adaptateur secteur, retirez-le avant de configurer votre Mac mini.
1 Connectez le câble d’alimentation à l’adaptateur secteur. Connectez la prise de sortie
en courant continu de l’adaptateur secteur à la prise de l’ordinateur. Branchez le câble
d’alimentation sur une prise murale avec mise à la terre.
F3188Q88.book Page 8 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 1 Premiers contacts 9
2 Pour accéder à Internet, branchez un câble Ethernet ou un câble téléphonique.
F3188Q88.book Page 9 Friday, April 8, 2005 7:30 PM10 Chapitre 1 Premiers contacts
3 Connecter le câble USB de votre clavier et de votre souris
Votre Mac mini n’est pas livré avec un clavier et une souris, mais vous pouvez utiliser
presque n’importe quels clavier ou souris USB avec votre ordinateur. Si votre clavier
dispose d’un port USB, vous pouvez connecter votre souris au port de votre clavier.
Si ce n’est pas le cas, vous pouvez connecter la souris à un port USB situé à l’arrière
de l’ordinateur.
F3188Q88.book Page 10 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 1 Premiers contacts 11
Si vous utilisez un clavier USB qui n’est pas spécialement conçu pour Mac OS, il se peut
qu’il ne soit pas doté d’une touche Commande (x) ou Option, standard sur les claviers
Apple. La touche Commande (x) sur un clavier Apple correspond à la touche Windows
sur un clavier d’un autre fabricant (l’icône sur la touche ressemble au logo Windows).
La touche Option sur un clavier Apple correspond à la touche Alt sur un clavier d’un
autre fabricant.
Vous pouvez utiliser les préférences Clavier et souris pour modifier les équivalents
clavier. Pour ouvrir les préférences Clavier et souris, choisissez le menu Pomme () >
Préférences Système, cliquez sur Clavier et souris, puis sur Touches de modification,
et suivez les instructions à l’écran.
L’utilisation d’une souris ou d’un clavier USB provenant d’un autre fabricant peut
nécessiter des gestionnaires logiciels. Visitez le site Internet du fabricant pour trouver
les gestionnaires les plus récents.
Pour configurer un clavier Apple Wireless Keyboard et une souris Apple Wireless Mouse
sur votre Mac mini, suivez les instructions fournies avec le clavier et la souris.
F3188Q88.book Page 11 Friday, April 8, 2005 7:30 PM12 Chapitre 1 Premiers contacts
4 Connectez le câble DVI de votre moniteur au port vidéo. Pour connecter un moniteur
VGA, utilisez l’adaptateur Apple DVI-VGA fourni avec votre ordinateur. Pour en savoir
plus sur le branchement d’un moniteur, reportez-vous aux instructions dans
le chapitre 2, “Prise en main de votre Mac mini”.
Important : ne placez jamais d’objet sur votre Mac mini. Des objets placés dessus
pourraient provoquer des interférences avec le lecteur optique ou avec les signaux
sans fil AirPort ou Bluetooth®
, si vous avez installé la carte optionnelle AirPort Extreme
ou le module Bluetooth.
F3188Q88.book Page 12 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 1 Premiers contacts 13
5 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière de votre Mac mini pour
l’allumer.
®
F3188Q88.book Page 13 Friday, April 8, 2005 7:30 PM14 Chapitre 1 Premiers contacts
Et ensuite ?
Grâce à ces étapes, votre Mac mini est désormais opérationnel. Lorsque vous allumez
votre ordinateur pour la première fois, l’Assistant réglages démarre et vous aide à saisir
vos informations pour Internet et le courrier électronique et à configurer un utilisateur
pour votre ordinateur. Si vous possédez déjà un ordinateur Mac, l’Assistant réglages
peut également vous aider à transférer automatiquement des fichiers, des applications
et d’autres informations de votre ancien Mac vers votre nouveau Mac mini.
Transfert des informations sur votre Mac mini
Vous pouvez utiliser l’Assistant réglages pour transférer automatiquement des
informations d’un autre Mac sur votre nouveau Mac mini. Pour transférer des
informations, assurez-vous des points suivants :
 L’autre Mac doit être équipé d’une carte FireWire intégrée et doit prendre en charge
le mode disque cible FireWire.
 L’autre ordinateur Mac dont vous disposez doit Mac OS X 10.1 ou ultérieur installé.
 Il vous faut un câble FireWire pour relier les deux ordinateurs.
L’Assistant réglages vous guide tout au long du processus de transfert d’informations ;
il vous suffit de suivre les instructions à l’écran. Le transfert d’informations sur votre
Mac mini n’affecte pas les informations se trouvant sur votre autre Mac. Avec l’Assistant
réglages, vous pouvez transférer :
 les comptes d’utilisateur, y compris les préférences et le courrier électronique ;
 les réglages de réseau, pour que votre nouvel ordinateur soit automatiquement
configuré avec les mêmes réglages de réseau que votre autre Mac ;
F3188Q88.book Page 14 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 1 Premiers contacts 15
 votre dossier Applications, pour que les applications que vous utilisiez sur votre autre
Mac se trouvent à présent sur votre nouveau Mac mini (certaines des applications
transférées devront peut-être être réinstallées) ;
 des fichiers et dossiers stockés sur le disque dur. Cela vous permet d’accéder
facilement aux fichiers et dossiers que vous utilisiez sur votre ancien Mac.
Il peut s’avérer judicieux de retirer l’autorisation d’accès à votre ancien Mac pour
empêcher l’écoute de morceaux de musique d’iTunes Music Store ou de texte parlé
que vous avez achetés. Le cas échéant, indiquez également quels ordinateurs sont
autorisés à diffuser vos achats. Pour en savoir plus, sélectionnez Aide > Aide Mac, puis
Bibliothèque > Aide iTunes et Music Store et recherchez “Retirer l’autorisation d’accès”.
Si vous n’utilisez pas l’Assistant réglages pour transférer des informations lorsque vous
démarrez votre Mac mini pour la première fois, vous pouvez le faire ultérieurement à
l’aide de l’Assistant migration. Allez dans le dossier Applications, ouvrez le dossier
Utilitaires, puis double-cliquez sur l’icône de l’Assistant migration.
Remarque : si vous effectuez votre transfert d’informations à l’aide de l’Assistant
migration, veillez à ce que FileVault soit désactivé sur votre ancien ordinateur. Pour
désactiver FileVault, sélectionnez Pomme () > Préférences Système, cliquez sur
Sécurité, puis suivez les instructions qui s’affichent à l’écran.
F3188Q88.book Page 15 Friday, April 8, 2005 7:30 PM16 Chapitre 1 Premiers contacts
Configuration de votre Mac mini pour Internet
Si vous n’avez pas transféré vos réglages réseau, l’Assistant réglages peut vous guider
tout au long de la configuration de votre ordinateur en vue de sa connexion à Internet.
Pour les particuliers, l’accès à Internet requiert généralement l’ouverture d’un compte
auprès d’un fournisseur d’accès à Internet ou FAI (payant dans certains cas). Si vous
disposez d’un compte Internet, consultez l’annexe C, “Connexion à Internet”, à la page
81 pour savoir quelles sont les informations à saisir.
Procédure au terme de l’utilisation de votre Mac mini
Lorsque vous avez fini de travailler avec votre Mac mini, vous pouvez suspendre son
activité ou l’éteindre.
Suspendre l’activité de votre Mac mini afin d’économiser de
l’énergie
Si vous envisagez de ne pas utiliser votre Mac mini pendant une période inférieure
à quelques jours, suspendez-en l’activité. Lorsque l’activité de votre ordinateur est
suspendue, son écran est noir. Vous pouvez le réactiver rapidement sans passer par
la procédure de démarrage.
Pour suspendre rapidement l’activité de votre ordinateur, procédez de l’une des
façons suivantes :
 Choisissez le menu Pomme (?) > Suspendre l’activité.
 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière de l’ordinateur.
 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système, cliquez sur Économiseur
d’énergie et indiquez un délai pour suspendre l’activité.
F3188Q88.book Page 16 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 1 Premiers contacts 17
Pour réactiver votre ordinateur, appuyez sur une touche quelconque du clavier.
À la réactivation de l’ordinateur, vos applications, documents et réglages d’ordinateur
réapparaissent exactement tels que vous les aviez laissés.
Éteindre votre Mac mini
Si vous ne comptez pas utiliser votre Mac mini avant plusieurs jours, éteignez-le.
m Choisissez le menu Pomme (?) > Éteindre.
Avertissement : éteignez votre Mac mini avant de le déplacer. Tout déplacement de
votre ordinateur lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager
ce dernier et d’entraîner une perte de données ou l’impossibilité de démarrer à partir
du disque dur.
F3188Q88.book Page 17 Friday, April 8, 2005 7:30 PMF3188Q88.book Page 18 Friday, April 8, 2005 7:30 PM19
2
2 Prise en main de
votre Mac mini
Dans ce chapitre, vous trouverez des informations
élémentaires à propos de votre Mac mini.
La lecture de ce chapitre vous permettra d’avoir une vue d’ensemble sur les différents
éléments de votre ordinateur et Mac OS X, et des informations sommaires sur les
tâches basiques telles que personnaliser l’apparence du bureau, se connecter à une
imprimante, lire un CD, connecter un appareil photo numérique, utiliser Internet,
obtenir des réponses lorsque vous avez besoin d’aide, etc.
Pour obtenir les informations les plus récentes
Apple publiant fréquemment des nouvelles versions et mises à jour de ses logiciels
système, il est possible que les images de ce manuel soient légèrement différentes
de ce que vous voyez à l’écran.
Le site Web d’Apple, à l’adresse www.apple.com, vous donne accès aux informations,
téléchargements gratuits et catalogues en ligne des logiciels et du matériel Apple les
plus récents destinés à votre Mac mini.
Vous trouverez également les manuels de nombreux produits Apple, ainsi que
l’assistance technique pour tous les produits Apple, sur le site Web de service
et d’assistance d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support.
F3188Q88.book Page 19 Friday, April 8, 2005 7:30 PM20 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini
Caractéristiques de base de votre Mac mini
Bouton
d’alimentation
Logement
de sécurité
Témoin
lumineux
d’alimentation
Lecteur optique
à chargement par fente
Port
secteur
®
Port
écouteurs
Port Ethernet
(10/100Base-T)
Port modem
(en option)
Port de
sortie vidéo
Ports USB (2)
Port
FireWire
F3188Q88.book Page 20 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 21
Lecteur de disque optique à chargement par fente
Votre Mac mini est équipé d’un lecteur Combo ou d’un lecteur SuperDrive. Chaque
lecteur peut lire les CD-ROM, les CD de photos et les disques audio standard. Le lecteur
Combo peut lire les DVD et les films, graver de la musique, des documents et autres
fichiers numériques sur des disques CD-R et CD-RW. Outre ces types de disques, le
lecteur SuperDrive peut aussi lire et graver sur des disques DVD±R et DVD±RW.
Témoin lumineux d’alimentation
Un témoin lumineux blanc indique que votre Mac mini est allumé ; un témoin clignotant
indique que son activité est suspendue.
® Bouton d’alimentation
Il permet d’allumer votre Mac mini ou de suspendre son activité. Maintenez ce bouton
enfoncé pour réinitialiser l’ordinateur lors des procédures de dépannage.
¯ Port secteur
Il permet de connecter le câble d’alimentation relié à l’adaptateur secteur.
G Port Ethernet (10/100Base-T)
Il permet de connecter à un réseau Ethernet 10/100Base-T ou à un modem câble ou DSL.
W Port modem (selon le modèle)
Ce port permet de connecter une ligne téléphonique standard directement au modem
interne 56K v.92.
£ Port vidéo
Il permet de connecter des moniteurs utilisant un connecteur DVI. Vous pouvez
également connecter des moniteurs utilisant un connecteur VGA grâce à l’adaptateur
DVI-VGA livré avec votre ordinateur.
F3188Q88.book Page 21 Friday, April 8, 2005 7:30 PM22 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini
d Ports USB (Universal Serial Bus) 2.0
Ils permettent de connecter des périphériques USB comme des souris, des claviers,
des imprimantes, des scanneurs, des haut-parleurs amplifiés, des micros USB, des
concentrateurs USB, des Zip et autres disques durs, des caméras numériques, des
manettes de jeu, etc.
H Port FireWire 400
Ce port permet de connecter des périphériques à haute vitesse tels qu’un iPod, la caméra
iSight ou des caméras vidéo numériques.
f Port Ecouteurs
Il permet de connecter des écouteurs ou d’autres périphériques de sortie sonore, comme
les haut-parleurs amplifiés externes.
¥ Logement de sécurité
Vous pouvez y attacher un cadenas et un câble pour empêcher le vol (disponible sur
www.apple.com/francestore).
F3188Q88.book Page 22 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 23
À propos de Mac OS X
Votre ordinateur est livré avec Mac OS X, qui comporte une interface utilisateur
élégante, des capacités graphiques avancées, une meilleure stabilité et de meilleures
performances du système.
F3188Q88.book Page 23 Friday, April 8, 2005 7:30 PM24 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini
Lorsque vous vous sentirez prêt à en apprendre d’avantage sur Mac OS X et les
applications iLife reconnues livrées avec votre ordinateur, consultez le livret Bienvenue
sur Tiger fourni également avec votre ordinateur. Vous trouverez un grand volume
d’informations pour les utilisateurs novices et expérimentés, et pour ceux qui passent
au Mac.
Si vous rencontrez des problèmes lors de l’utilisation de Mac OS X, reportez-vous aux
informations de dépannage au dos de ce manuel ou allez dans la barre des menus en
haut de l’écran et sélectionnez Aide > Aide Mac. Pour obtenir des informations sur la
compatibilité des applications avec Mac OS X ou pour en savoir plus sur Mac OS X
en général, consultez le site Web d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr/macosx.
Remarque : si vous voulez utiliser les applications Mac OS 9 avec votre ordinateur,
vous devez installer Mac OS 9 (voir “Installation de Mac OS 9” à la page 63). Mac OS 9
ne peut pas être installé comme systèmed’exploitation principal sur votre Mac mini
et il n’est pas possible de démarrer l’ordinateur sous Mac OS 9. Si Mac OS 9 est installé
sur votre ordinateur, vous pouvez ouvrir et utiliser des applications Mac OS 9 dans
l’environnement Classic de Mac OS X.
F3188Q88.book Page 24 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 25
Personnalisation du bureau et réglage des préférences
Au moyen des Préférences Système, vous pouvez donner à votre bureau l’apparence
souhaitée sans perdre de temps. Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences
Système dans la barre des menus.
N’hésitez pas à changer et essayer ce qui suit :
 Bureau et économiseur d’écran : sélectionnez cette sous-fenêtre de préférences
pour changer la couleur et le motif du bureau ou pour la remplacer par la photo ou
l’image de votre choix. Vous pouvez également choisir un effet d’écran accrocheur
qui apparaîtra lorsque l’ordinateur reste inactif.
F3188Q88.book Page 25 Friday, April 8, 2005 7:30 PM26 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini
 Dock : sélectionnez cette sous-fenêtre de préférences pour changer l’apparence,
l’emplacement et le comportement de votre Dock.
 Apparence : sélectionnez cette sous-fenêtre de préférences pour changer entre
autres les couleurs des boutons, menus, fenêtres et la couleur de contraste.
Tout en vous familiarisant avec votre ordinateur, découvrez progressivement les autres
préférences système. Les Préférences Système constitue le centre de contrôle de la
plupart des réglages de votre Mac mini. Pour plus d’informations, ouvrez l’Aide Mac
et recherchez “Préférences Système” ou la préférence que vous voulez changer.
Connexion à une imprimante
Lorsque vous connectez une imprimante USB ou FireWire, votre ordinateur peut
en général la détecter et l’ajoute alors à la liste des imprimantes disponibles. Il peut
s’avérer nécessaire de configurer une imprimante connectée à un réseau avant de
pouvoir lui envoyer des travaux à imprimer. Suivez les instructions livrées avec
l’imprimante pour installer les logiciels requis et connecter l’imprimante à votre
ordinateur.
Remarque : si une carte AirPort Extreme est installée sur votre Mac mini et que vous
possédez une borne d’accès AirPort Extreme ou AirPort Express, vous pouvez raccorder
une imprimante USB à la borne d’accès (au lieu de la raccorder à votre ordinateur) et
imprimer sans fil.
F3188Q88.book Page 26 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 27
Pour configurer une imprimante :
1 Ouvrez Préférences Système et cliquez sur l’icône Imprimantes et fax.
2 Cliquez sur Impression et sur le bouton Ajouter (+) afin d’ajouter une imprimante.
3 Sélectionnez l’imprimante que vous souhaitez ajouter.
4 Utilisez les boutons Ajouter (+) et Supprimer (–) pour choisir les imprimantes qui
doivent apparaître dans la liste d’imprimantes.
Remarque : si vous vous connectez à une imprimante via un réseau, il vous faudra
peut-être savoir le nom de réseau ou l’adresse de l’imprimante pour la sélectionner.
Contactez votre administrateur système.
F3188Q88.book Page 27 Friday, April 8, 2005 7:30 PM28 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini
Contrôle de l’impression
Lorsque vous avez envoyé un document à l’impression, vous pouvez contrôler
l’impression, l’arrêter ou la mettre en attente temporairement.
Pour contrôler l’impression :
m Cliquez sur l’icône de l’imprimante dans le Dock pour ouvrir la fenêtre Liste des
imprimantes. Vous pourrez alors voir la liste des travaux d’impression et la file d’attente
sur lesquelles vous pouvez intervenir.
Plus d’informations
Pour plus d’informations, ouvrez l’Aide Mac et recherchez “impression”. Vous pouvez
également consulter le manuel fourni avec votre imprimante afin d’obtenir des
instructions spécifiques pour l’installation et la configuration.
Lecture d’un CD et connexion d’un casque d’écoute
Si vous souhaitez écouter de la musique pendant que vous travaillez sur votre
Mac mini, insérez un CD dans le lecteur optique. iTunes, un lecteur de musique
convivial, s’ouvre automatiquement. Vous pouvez connecter des écouteurs équipés
d’une prise mini-jack au port écouteurs de votre Mac mini pour une écoute privée.
Vous pouvez aussi connecter des haut-parleurs amplifiés au port écouteurs pour
écouter de la musique. Si vous avez installé une carte AirPort Extreme et AirPort
Express, vous pouvez diffuser de la musique en continu sans fil de votre Mac mini
vers votre chaîne stéréo.
F3188Q88.book Page 28 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 29
Pour en savoir plus sur iTunes :
m Ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes et Music Store.
Pour en savoir plus sur votre lecteur optique, consultez la section “Utilisation de votre
lecteur optique” à la page 54.
Maintien à jour de votre logiciel
Vous pouvez vous connecter à Internet et télécharger et installer automatiquement les
dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple.
Une fois connecté à Internet, l’application Mise à jour de logiciels recherche dans les
serveurs d’Apple les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. Vous pouvez
configurer votre Mac mini afin qu’il recherche régulièrement dans le serveur Apple
des mises à jour de logiciels, puis qu’il les télécharge et les installe sur votre ordinateur.
Pour rechercher des logiciels mis à jour :
1 Choisissez le menu Pomme (?) > Mise à jour de logiciels. La fenêtre Mise à jour de
logiciels s’ouvre. Les mises à jour disponibles apparaissent dans une liste.
2 Cochez les cases situées en regard des éléments à installer, puis cliquez sur Installer.
Saisissez un nom et un mot de passe d’administrateur (utilisés lors de la configuration
initiale de votre ordinateur).
Une fois les mises à jour terminées, l’application Mise à jour de logiciels relance une
recherche de mises à jour. En effet, certaines mises à jour requièrent l’installation des
mises à jour précédentes. Pour plus d’informations, recherchez “Mise à jour de logiciels”
dans l’Aide Mac (consultez la page 33).
F3188Q88.book Page 29 Friday, April 8, 2005 7:30 PM30 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini
Connexion d’une caméra ou d’autres périphériques FireWire
Si vous avez un iPod, une caméra iSight, un caméscope numérique FireWire ou un
autre périphérique équipé d’un connecteur FireWire, vous pouvez les connecter à votre
Mac mini. Suivez les instructions d’installation fournies avec votre appareil. Pour plus
d’informations à propos de FireWire, consultez “FireWire” à la page 42.
Connexion à un réseau
Si vous souhaitez connecter votre Mac mini à un réseau Ethernet, à un modem câble
ou DSL ou à un réseau sans fil, consultez “Ethernet (10/100Base-T)” à la page 51 et
“Mise en réseau sans fil AirPort Extreme” à la page 45 pour plus d’informations sur
la configuration d’une connexion Ethernet ou AirPort. Vous pouvez également ouvrir
l’Aide Mac (voir la page 34) et y rechercher “Ethernet” ou “AirPort”.
Utilisation d’Internet
Lors du réglage initial de votre Mac mini, des instructions vous ont été données
sur la manière de vous connecter à Internet. Pour utiliser une connexion de type
différent, telle que par modem DSL ou câble, réseau local (LAN) Ethernet ou réseau
AirPort Extreme, vous trouverez plus d’informations dans l’annexe C, “Connexion à
Internet”, à la page 81.
F3188Q88.book Page 30 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 31
Transfert de fichiers vers un autre ordinateur
Plusieurs solutions vous sont offertes pour transférer des fichiers ou des documents
de ou vers votre Mac mini :
 Il est facile de transférer des fichiers à l’aide de l’Assistant réglages lors de la première
configuration de votre ordinateur ou ultérieurement à l’aide de l’Assistant migration.
Pour plus d’informations, consultez la section “Transfert des informations sur votre
Mac mini” à la page 14.
 Vous pouvez transférer des fichiers via Internet en utilisant .Mac ou d’autres comptes
Internet. Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site www.mac.com.
 Si votre ordinateur est connecté à un réseau Ethernet, vous pouvez transférer des
fichiers vers un autre ordinateur en réseau. Pour accéder à un autre serveur ou
ordinateur, ouvrez une fenêtre du Finder et cliquez sur Réseau. Si vous connaissez
le nom ou l’adresse réseau de l’ordinateur, choisissez Aller > Se connecter au serveur
dans la barre des menus du Finder.
 Vous pouvez créer un réseau Ethernet de petite taille en reliant votre Mac mini
au port Ethernet d’un autre ordinateur à l’aide d’un câble Ethernet. Pour plus
d’informations, ouvrez l’Aide Mac et recherchez “Connexion de deux ordinateurs”.
 Vous pouvez également vous connecter à un autre Mac au moyen d’un câble
FireWire. Votre Mac mini apparaît en tant que lecteur de disque sur l’autre ordinateur,
et vous pouvez alors transférer des fichiers de ou vers celui-ci. Pour en savoir plus sur
l’utilisation de FireWire pour transférer des fichiers, consultez la section “Mode disque
cible FireWire” à la page 44 ou ouvrez l’Aide Mac et recherchez “cible FireWire”.
F3188Q88.book Page 31 Friday, April 8, 2005 7:30 PM32 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini
 Si votre ordinateur est équipé de la technolgie AirPort Extreme, vous pouvez
vous connecter à un réseau sans fil AirPort pour transférer des fichiers. Pour plus
d’informations, consultez la section “Mise en réseau sans fil AirPort Extreme” à la
page 45.
 Si vous disposez d’un lecteur de musique numérique iPod ou iPod mini, vous pouvez
transférer des fichiers vers votre iPod, puis connecter celui-ci à l’autre ordinateur.
Consultez le manuel accompagnant votre iPod pour en savoir plus.
Pour plus d’informations sur le transfert de fichiers et de documents, ouvrez l’Aide Mac
(voir la page 33) et recherchez “transfert de fichiers”.
Lorsqu’une application ne répond plus
Il est possible qu’une application se fige dans de rares occasions. Mac OS X permet de
quitter une application qui ne répond plus sans que vous deviez redémarrer votre
ordinateur, ce qui permet d’enregistrer le travail effectué dans d’autres applications
ouvertes.
Pour forcer une application à quitter :
1 Appuyez sur les touches Commande (x) + Option + Échap.
F3188Q88.book Page 32 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 33
La zone de dialogue Forcer des applications à quitter apparaît avec l’application
sélectionnée.
2 Cliquez sur Forcer à quitter.
L’application quitte, en laissant toutes les autres applications ouvertes.
Remarque : si besoin est, vous pouvez forcer la fermeture de l’environnement Classic,
ce qui fermera toutes les applications Classic. Vous pouvez également redémarrer le
Finder à partir de cette boîte de dialogue.
Si vous rencontrez d’autres difficultés, consultez le chapitre 4, “Dépannage”, à la page 59.
Réponses à vos questions grâce à l’Aide Mac
Vous pouvez trouver des réponses à la plupart de vos questions concernant l’utilisation
de votre ordinateur et de Mac OS X dans l’Aide Mac.
F3188Q88.book Page 33 Friday, April 8, 2005 7:30 PM34 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini
Pour ce faire :
1 Cliquez sur l’icône du Finder dans le Dock.
2 Sélectionnez Aide > Aide Mac.
3 Tapez une question dans le champ “Posez une question”, puis appuyez sur la touche
Retour du clavier.
4 Double-cliquez sur l’un des éléments apparaissant dans la liste des rubriques d’aide.
F3188Q88.book Page 34 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 35
Utilisation des applications
Votre Mac mini est fourni avec des logiciels, incluant la suite logicielle iLife, qui vous
permettront d’envoyer des messages électroniques, de naviguer sur Internet, de
discuter en ligne, d’organiser vos morceaux de musique et vos photos numériques,
de créer des vidéos, etc.
Pour plus d’informations sur ces applications, consultez le livret Bienvenue sur Tiger
fourni avec votre ordinateur. Pour en savoir plus sur une application en particulier,
ouvrez-la, puis ouvrez son aide spécifique. La section “À propos de” constitue une
bonne manière de commencer.
F3188Q88.book Page 35 Friday, April 8, 2005 7:30 PMF3188Q88.book Page 36 Friday, April 8, 2005 7:30 PM37
3
3 Utilisation de votre ordinateur
Votre Mac mini comporte de nombreuses
fonctionnalités intégrées permettant de le
personnaliser selon vos besoins.
Voici quelques-unes des fonctionnalités et capacités de votre ordinateur :
 des ports USB 2.0 à haut débit pour la connexion de matériel supplémentaire, tel
qu’un lecteur de musique numérique iPod shuffle, des imprimantes, des scanneurs,
des manettes de jeu, des claviers, des appareils photo numériques et des lecteurs
de disque ;
 un port FireWire pour la connexion de périphériques à haut débit tels que les
lecteurs de musique numérique iPod iPod mini, la caméra iSight, des caméras
vidéo numériques et des disques durs externes ;
 la technologie Bluetooth®
optionnelle pour la connexion sans fil à des périphériques
numériques, comme le clavier Apple Wireless Keyboard ou la souris Apple Wireless
Mouse ;
 les technologies de communication, telles qu’un modem 56 K v.92 (sur certains
modèles), une carte Ethernet 10/100 Base-T et une connexion facultative à un
réseau sans fil AirPort Extreme ;
F3188Q88.book Page 37 Friday, April 8, 2005 7:30 PM38 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
 un port Écouteurs pour connecter des écouteurs, des haut-parleurs amplifiés ou
un équipement audio.
Pour en savoir plus sur les capacités de votre Mac mini, commencez par lire ce chapitre.
Vous trouverez plus d’informations dans l’Aide Mac et sur le site Web d’Apple à
l’adresse www.apple.com/fr/support/macmini.
Connecter un moniteur ou un périphérique Video
Vous pouvez connecter des moniteurs à votre Mac mini grâce à un connecteur DVI.
A l’aide de l’un des adaptateurs décrits ci-dessous, vous pouvez aussi connecter des
moniteurs ayant un connecteur VGA ou un autre périphérique vidéo.
Adaptateur DVI-VGA
Pour connecter un moniteur avec connecteur VGA, utilisez l’adaptateur Apple DVI-VGA
qui vous a été fourni avec votre ordinateur.
Adaptateur
DVI-VGA
Connecteur VGA
sur le câble
du moniteur
Port de sortie vidéo Port de sortie vidéo
Adaptateur
DVI-Vidéo
Ports de sortie vidéo
et de sortie S-vidéo
composite
F3188Q88.book Page 38 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 39
Adaptateur DVI-Vidéo
Vous pouvez également connecter une télévision, un magnétoscope ou un autre
périphérique vidéo à votre ordinateur grâce à l’adaptateur Apple DVI à Vidéo,
disponible sur l’Apple Store : www.apple.com/francestore.
Pour obtenir des informations sur la compatibilité avec les écrans d’autres fabricants,
consultez la documentation fournie avec l’écran ou contactez le fabricant de cet écran.
USB (Universal Serial Bus)
Votre Mac mini est équipé de deux ports USB situé à l’arrière, que vous pouvez utiliser
pour connecter de nombreux types de périphériques externes, notamment un lecteur
de musique numérique iPod shuffle, un clavier, une souris, des imprimantes, des
scanneurs, des caméras numériques, des pavés de commandes, des manettes de jeu,
des claviers, et des lecteurs de disquettes. La technologie USB facilite la connexion de
périphériques. Dans la plupart des cas, vous pouvez connecter et déconnecter un
périphérique USB pendant que l’ordinateur fonctionne. Vous pouvez utiliser les
périphériques dès leur branchement,
Ports USB
F3188Q88.book Page 39 Friday, April 8, 2005 7:30 PM40 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
Utilisation de périphériques USB
Pour utiliser un périphérique USB, il suffit de connecter le périphérique à l’ordinateur.
L’ordinateur charge le logiciel adéquat chaque fois que vous connectez un nouveau
périphérique.
Les ports USB 2.0 situés à l’arrière de l’ordinateur vous permettent de brancher
des périphériques USB 1.1 et USB 2.0 à haute vitesse. Les périphériques USB 1.1
ne bénéficieront pas du taux de transfert plus rapide de l’USB 2.0.
Remarque : Apple fournit d’origine des logiciels compatibles avec de nombreux
périphériques USB. Si votre Mac mini ne trouve pas le logiciel adéquat pour un
périphérique USB connecté, vous pouvez installer le logiciel fourni avec ce
périphérique ou consulter le site Web du fabricant pour en connaître les
dernières versions.
Utilisation simultanée de plusieurs périphériques USB
Si tous vos ports USB sont occupés et que vous souhaitez connecter davantage de
périphériques USB, vous pouvez vous procurer un concentrateur USB. Ce dernier se
connecte à un port USB disponible de votre ordinateur et vous permet de disposer de
ports USB supplémentaires (en général quatre ou sept). La plupart des concentrateurs
USB disposent d’un adaptateur secteur et doivent être branchés sur une prise électrique.
F3188Q88.book Page 40 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 41
Remarque : si vous utilisez une chaîne de périphériques et de concentrateurs USB,
certains d’entre eux risquent de ne pas fonctionner s’ils sont connectés via une
combinaison de concentrateurs USB 2.0 à haut débit et de concentrateurs USB 1.1 à
débit normal ou faible. Il se peut, par exemple, qu’aucun disque dur externe USB ne
s’affiche sur votre bureau. Pour éviter ce problème, ne connectez pas ensemble des
périphériques USB présentant des vitesses différentes. Connectez directement votre
concentrateur à haut débit à votre ordinateur, puis connectez-y des périphériques
à haut débit. Connectez les concentrateurs à débit normal ou faible directement à
votre ordinateur, puis connectez-y les périphériques à débit similaire.
Informations supplémentaires sur la technologie USB
L’Aide Mac fournit des informations supplémentaires sur la technologie USB.
Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez “USB”. Vous trouverez d’autres
informations sur le site Web USB d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/usb.
Pour obtenir des informations sur les périphériques USB disponibles pour
votre ordinateur, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse
www.apple.com/fr/guide.
F3188Q88.book Page 41 Friday, April 8, 2005 7:30 PM42 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
FireWire
Votre ordinateur dispose d’un port FireWire 400, qui vous permet de connecter et de
déconnecter facilement des périphériques externes à haut débit tels que les lecteurs
de musique numérique iPod ou iPod mini, une caméra iSight, des caméras vidéo
numériques, des imprimantes, des scanneurs et des disques durs, et ce sans redémarrer
votre ordinateur.
La liste ci-dessous répertorie certaines des opérations possibles avec FireWire :
 Vous pouvez connecter votre iPod et transférer des morceaux à partir d’iTunes
ou synchroniser vos adresses et les données de votre agenda à l’aide d’iSync.
Vous pouvez aussi utiliser votre iPod en tant que disque dur externe.
 Connecter une caméra iSight Apple et utiliser l’application iChat AV fournie pour
participer à une vidéoconférence avec vos amis ou votre famille via une connexion
Internet à haut débit.
 Connecter une caméra vidéo numérique pour capturer, transférer ou monter de
la vidéo de grande qualité directement sur votre ordinateur grâce à l’utilisation
de logiciels de montage vidéo comme iMovie ou Final Cut Express.
Port FireWire
F3188Q88.book Page 42 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 43
 Connecter un disque dur FireWire externe sur le port FireWire et l’utiliser pour
sauvegarder des données ou transférer des fichiers.
 Démarrer à partir d’un disque dur externe FireWire. Connectez un disque FireWire
externe (équipé d’un système d’exploitation valide), ouvrez la sous-fenêtre
Démarrage des Préférences Système, et cliquez sur le disque FireWire. Redémarrez
votre ordinateur.
Utilisation de périphériques FireWire
Pour utiliser un périphérique FireWire avec votre ordinateur, il suffit de connecter ce
périphérique à l’ordinateur. Apple fournit d’origine des logiciels compatibles avec de
nombreux périphériques FireWire. Si votre Mac mini ne trouve pas le logiciel adéquat
pour un périphérique FireWire connecté, vous pouvez installer le logiciel fourni avec
ce périphérique ou consulter le site Web du fabricant pour en connaître les dernières
versions.
Remarque : le port FireWire est conçu pour alimenter les périphériques FireWire (8
watts maximum). Il est possible de connecter plusieurs périphériques entre eux puis
de connecter les périphériques “en chaîne” au port FireWire de votre ordinateur. Dans
la plupart des cas, l’ordinateur ne doit pas alimenter plus de deux périphériques. Si
vous connectez plus de deux périphériques, les autres périphériques branchés ainsi en
cascade doivent être alimentés par des adaptateurs secteur séparés. Connecter plus de
deux périphériques FireWire alimentés par l’ordinateur peut provoquer des problèmes.
En cas de problème, éteignez l’ordinateur, déconnectez les périphériques FireWire, puis
redémarrez l’ordinateur.
F3188Q88.book Page 43 Friday, April 8, 2005 7:30 PM44 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
Mode disque cible FireWire
Si vous souhaitez transférer des fichiers de votre Mac mini vers un autre ordinateur
équipé de la technologie FireWire ou que vous êtes confronté à un problème qui
empêche le démarrage de votre ordinateur, vous pouvez utiliser le mode disque
cible FireWire pour vous connecter à un autre ordinateur.
Pour connecter votre Mac mini en mode disque cible FireWire, suivez les étapes
suivantes :
1 Assurez-vous que votre Mac mini est éteint.
2 Utilisez un câble FireWire muni d’un connecteur standard à 6 broches à chaque
extrémité pour connecter votre Mac mini à un autre ordinateur équipé d’un port
FireWire.
3 Démarrez votre Mac mini tout en maintenant la touche T enfoncée. L’écran de votre
Mac mini affiche alors le logo FireWire. L’écran de l’autre ordinateur affiche l’icône
du disque dur interne et celle d’un CD ou d’un DVD dans le lecteur optique.
4 Une fois le transfert des fichiers terminé, faites glisser l’icône du disque dur du Mac
mini et celle du CD ou du DVD vers la Corbeille.
5 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) du Mac mini pour l’éteindre, puis
déconnectez le câble FireWire.
Informations supplémentaires sur la technologie FireWire
Des informations supplémentaires sur la technologie FireWire sont disponibles
dans l’Aide Mac. Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez “FireWire”. Vous
trouverez d’autres informations sur le site Web FireWire d’Apple, à l’adresse
www.apple.com/fr/firewire.
F3188Q88.book Page 44 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 45
Mise en réseau sans fil AirPort Extreme
Si vous avez commandé la technologie AirPort Extreme (également appelée WiFi ou
802.11b/g) au moment de l’achat de votre Mac mini, elle est déjà installée. AirPort
permet d’accéder sans fil à Internet en toute simplicité et sans vous ruiner n’importe
où, que ce soit chez vous, au bureau ou dans un établissement scolaire. Au lieu de faire
appel à des câbles classiques, AirPort utilise la technologie de réseau local (LAN) sans
fil permettant une communication sans fil entre plusieurs ordinateurs. Un réseau sans
fil vous permet d’établir un accès à Internet, de transférer des fichiers, de jouer à
plusieurs, d’imprimer sans fil, etc.
Remarque : si vous n’avez pas commandé AirPort avec Mac mini, vous pouvez faire
installer un module par un fournisseur de services agréé Apple ou dans un Apple Store.
L’accès sans fil à Internet requiert la technologie AirPort Extreme. Il faut également une
borne d’accès AirPort Extreme ou AirPort Express, ainsi qu’un accès à Internet (qui peut
être payant). Certains fournisseurs d’accès à Internet ne sont pas encore compatibles
avec AirPort. La portée varie en fonction des conditions d’emplacement.
Fonctionnement de l’accès sans fil à Internet via AirPort
Le système AirPort permet d’établir une connexion sans fil avec un appareil appelé
borne d’accès qui dispose, lui, d’une connexion physique à Internet. La technologie
AirPort fonctionne comme un téléphone sans fil. La carte AirPort Extreme installée sur
l’ordinateur permet d’effectuer une connexion sans fil à une borne d’accès, elle-même
connectée à Internet via une ligne téléphonique ou un modem DSL ou câble.
F3188Q88.book Page 45 Friday, April 8, 2005 7:30 PM46 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
Borne d’accès AirPort Express et AirPort Extreme
Utilisez AirPort Express pour écouter sur votre chaîne stéréo ou au travers de
haut-parleurs amplifiés de la musique iTunes via votre réseau sans fil. Avec une
borne d’accès AirPort Extreme ou AirPort Express, vous pouvez également partager
une connexion Internet à haut débit avec un maximum de 10 utilisateurs et une
imprimante USB (l’impression sans fil via USB nécessite l’utilisation d’une
imprimante compatible).
Connexion
à Internet
AirPort Express Prise CA
Modem câble ou DSL
F3188Q88.book Page 46 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 47
Important : pour vous assurer de la présence d’un signal Airport adéquat, ne placer
aucun objet sur votre Mac mini. Des objets placés au-dessus de l’ordinateur peuvent
provoquer des interférences avec les signaux AirPort. Consultez les instructions fournies
avec votre borne d’accès AirPort Extreme ou AirPort Express pour savoir comment
éviter les interférences. Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site de support
et de services Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support.
Informations complémentaires à propos d’AirPort
Pour acheter une borne d’accès AirPort Express ou AirPort Extreme, adressez-vous
à votre revendeur agréé Apple ou rendez-vous sur l’Apple Store en ligne à l’adresse
www.apple.com/francestore. Des informations supplémentaires sur AirPort sont
disponibles dans l’Aide AirPort. Sélectionnez Aide > Aide Mac, puis Bibliothèque >
Aide AirPort.
Technologie sans fil Bluetooth
Si vous avez commandé la technologie Bluetooth lors de l’achat de votre Mac mini,
elle est déjà installée. Avec la technologie Bluetooth, vous pouvez vous connecter à
des périphériques utilisant la technologie sans fil Bluetooth, tels que les téléphones
portables, les assistants personnels (PDA), les imprimantes, les claviers sans fil Apple
Wireless Keyboard et les souris sans fil Apple Wireless Mouse (en vente sur le site
www.apple.com/francestore).
F3188Q88.book Page 47 Friday, April 8, 2005 7:30 PM48 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
Remarque : si vous n’avez pas commandé la technologie Bluetooth pour votre
Mac mini, vous pouvez la faire installer par un fournisseur de services agréé Apple ou
dans un Apple Store. Vous pouvez également vous procurer un adaptateur Bluetooth
USB externe chez un revendeur agréé Apple, dans un centre de distribution Apple
Store, ou dans l’Apple Store en ligne à l’adresse at www.apple.com/francestore.
Si votre Mac mini est équipé de la technologie sans fil Bluetooth, vous pouvez :
 Vous connecter à des téléphones portables prenant en charge la technologie
Bluetooth. Votre téléphone peut servir de modem pour vous connecter à un
fournisseur de services sans fil, à un débit de 56 kilobits par seconde (Kbps)
suffisant pour vous connecter à Internet.
 Échanger des fichiers entre ordinateurs et périphériques prenant en charge
Bluetooth, même entre Mac et PC. Apple recommande l’utilisation du réseau sans
fil AirPort Extreme pour le transfert de tous vos fichiers à l’exception des plus petits.
 Synchroniser des données entre votre ordinateur et un assistant numérique
personnel (PDA) prenant en charge la technologie Bluetooth. À l’aide d’iSync, vous
pouvez exécuter une opération HotSync sans fil ou transmettre votre carte de visite
ou encore des événements de calendrier directement sur le PDA d’un collègue.
 Utiliser un clavier ou une souris sans fil Bluetooth.
 Imprimer sur une imprimante prenant en charge la technologie Bluetooth.
 Utiliser un casque d’écoute Bluetooth.
Important : pour vous assurer de la présence d’un signal Bluetooth adéquat, ne placer
aucun objet sur votre Mac mini. Des objets placés au-dessus de l’ordinateur pourraient
provoquer des interférences.
F3188Q88.book Page 48 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 49
Configuration d’un périphérique Bluetooth
Avant de pouvoir utiliser votre téléphone mobile pour accéder à Internet ou échanger
des informations de contact, partager des fichiers avec d’autres périphériques, ou
encore utilisez un clavier ou une souris Bluetooth, vous devez configurer le
périphérique pour qu’il fonctionne avec votre ordinateur. Une fois le périphérique
configuré, il est “jumelé” avec votre ordinateur et apparaît dans la sous-fenêtre
Périphériques des Préférences Bluetooth. Le jumelage du périphérique avec votre
ordinateur ne doit être effectué qu’une seule fois : les deux périphériques restent
jumelés tant que vous ne supprimez pas le jumelage.
Pour configurer un périphérique Bluetooth :
1 Vous pouvez également choisir “Configurer l’appareil Bluetooth” dans le menu d’état
Bluetooth (?) de la barre des menus.
2 Suivez les instructions affichées à l’écran pour le type de périphérique que vous
souhaitez configurer.
Important : si le menu d’état Bluetooth (?) n’apparaît pas dans la barre des menus,
ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Bluetooth. Cliquez sur Réglages, puis
sélectionnez “Afficher l’état Bluetooth dans la barre des menus”.
Pour supprimer un jumelage avec un autre périphérique :
1 Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Bluetooth.
2 Cliquez sur Périphériques et sélectionnez le périphérique dans la liste.
3 Cliquez sur Supprimer le jumelage.
F3188Q88.book Page 49 Friday, April 8, 2005 7:30 PM50 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
Configuration de l’Échange de fichiers Bluetooth
Vous pouvez contrôler la manière dont l’ordinateur gère les fichiers échangés entre
appareils Bluetooth. Vous pouvez choisir d’accepter ou de refuser les fichiers envoyés
à votre ordinateur, dans quel dossier placer les fichiers reçus et acceptés, les dossiers
de votre ordinateur que les autres appareils Bluetooth peuvent consulter et les
applications à utiliser pour exploiter les fichiers acceptés.
Pour configurer l’Échange de fichiers Bluetooth :
1 Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Bluetooth.
2 Cliquez sur Partage.
3 Cochez la case Activé pour l’Échange de fichiers Bluetooth, puis utilisez les menus
locaux pour paramétrer les réglages.
Remarque : cochez la case “Exiger un jumelage pour la sécurité” afin de sécuriser les
transactions d’échanges de fichiers et d’exiger une authentification par mot de passe
pour pouvoir transférer les fichiers.
Envoi d’un fichier à un appareil Bluetooth
Votre ordinateur peut envoyer des fichiers vers d’autres appareils Bluetooth situés dans
la zone de couverture de votre ordinateur. Si votre ordinateur n’est pas jumelé avec
l’appareil, il est possible que deviez vous authentifier auprès de celui-ci avant de
pouvoir envoyer le fichier. Si vous avez déjà jumelé votre ordinateur avec l’appareil,
vous n’aurez peut-être pas à vous authentifier auprès de ce dernier.
Pour envoyer un fichier à un appareil Bluetooth :
1 Choisissez le menu État Bluetooth (?) > Envoyer un fichier.
2 Sélectionnez le fichier que vous voulez envoyer, puis cliquez sur Envoyer.
F3188Q88.book Page 50 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 51
3 Choisissez un appareil dans la liste d’appareils, puis cliquez sur Envoyer.
4 Si l’appareil ne se trouve pas dans la liste, cliquez sur Rechercher. Une fois l’appareil
retrouvé, vous pouvez l’ajouter à votre liste de favoris.
Pour plus d’informations sur la technologie sans fil Bluetooth
Pour accéder à l’aide Bluetooth, ouvrez l’applications Échange de fichiers Bluetooth
(dans le dossier Utilitaires du dossier Applications) et sélectionnez Aide > Aide
Bluetooth. Vous trouverez d’autres informations sur le site Web d’Apple, à l’adresse
www.apple.com/fr/bluetooth.
Ethernet (10/100Base-T)
Votre ordinateur est doté de la technologie de mise en réseau Ethernet 10/100 mégabits
par seconde (Mbps) Base-T (paire torsadée), qui permet de vous connecter à un réseau
ou à un modem câble ou DSL.
Port Ethernet
(10/100Base-T)
F3188Q88.book Page 51 Friday, April 8, 2005 7:30 PM52 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
La connexion à un réseau vous donne accès à d’autres ordinateurs. Vous pourrez
éventuellement stocker et récupérer des informations, utiliser des imprimantes d’un
réseau et des modems, envoyer des courriers électroniques, ou encore vous connecter
à Internet. Vous pouvez également partager des fichiers entre deux ordinateurs ou
établir un petit réseau.
Le port Ethernet de votre Mac mini détecte automatiquement les autres périphériques
Ethernet. Pour établir des connexions à d’autres périphériques Ethernet, il est inutile
d’utiliser un câble croisé.
 Utilisez un câble Ethernet de catégorie 3 (Cat 3) à deux paires pour vous connecter
à un réseau Ethernet 10 Base-T.
 Utilisez un câble Ethernet de catégorie 5 (Cat 5) à quatre paires pour vous connecter
à un réseau Ethernet 10 Base-T ou 100 Base-T.
Informations supplémentaires sur l’utilisation d’Ethernet
De plus amples informations, notamment sur le réglage d’un réseau Ethernet et le
transfert de fichiers via Ethernet, sont disponibles dans l’Aide Mac (voir la page 33).
Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez “Ethernet” ou “réseau”. Pour obtenir des
informations sur les produits réseau que vous pouvez utiliser avec votre Mac mini,
consultez le guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/fr/guide.
F3188Q88.book Page 52 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 53
Support audio
Votre Mac mini est livré avec un port écouteurs (f) afin que vous puissiez connecter
des écouteurs et écouter de la musique sans déranger les personnes qui vous
entourent. Vous pouvez également ajouter des haut-parleurs amplifiés ou diffuser
de la musique via votre chaîne stéréo en utilisant iTunes et AirPort Express.
Il est très facile de connecter votre Mac mini à une chaîne stéréo. Utilisez un câble
mini-jack de 3,5 mm-RCA (non fourni) pour connecter le port écouteurs (f) de votre
Mac mini aux ports d’entrée audio de votre chaîne stéréo.
Informations supplémentaires sur l’utilisation de l’audio
L’Aide Mac contient des informations supplémentaires sur l’utilisation de l’audio (voir
la page 33). Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez “audio” ou “musique”. Pour
obtenir des informations sur les produits audio et musicaux que vous pouvez utiliser
avec votre Mac mini, consultez le guide des produits Macintosh à l’adresse
www.apple.com/fr/guide.
Port écouteurs
F3188Q88.book Page 53 Friday, April 8, 2005 7:30 PM54 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
Utilisation de votre lecteur optique
Votre lecteur optique permet d’installer ou d’exécuter des applications à partir de CD
et de DVD. Vous pouvez écouter de la musique à partir d’un CD audio et regarder des
films sur DVD. Vous pouvez également graver des CD de musique lisibles sur la plupart
des lecteurs de CD et enregistrer des documents et autres fichiers numériques sur des
CD-R et CD-RW.
Si votre Mac mini possède un lecteur SuperDrive, vous pouvez également graver vos
films maison afin de réaliser des DVD qui pourront être lus sur la plupart des lecteurs
de DVD domestiques, ou bien enregistrer des documents et autres fichiers numériques
sur des disques vierges DVD-R, DVD-RW, DVD+R et DVD+RW en utilisant le Finder.
Remarque : si vous possédez des logiciels anciens sur disquette, demandez à l’éditeur
s’ils sont disponibles sur CD ou téléchargeables en ligne ou achetez un lecteur de
disquette externe USB pour votre Mac mini auprès d’un distributeur Apple ou sur
le site Apple Store (www.apple.com/francestore).
F3188Q88.book Page 54 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 55
Insertion d’un CD ou d’un DVD
Pour installer ou utiliser des logiciels à partir d’un disque CD-ROM ou DVD-ROM,
procédez comme suit :
1 Insérez le disque dans le lecteur optique, en plaçant l’étiquette vers le haut.
2 Dès que son icône apparaît sur le bureau, le disque peut être utilisé.
Remarque : certains disques DVD ont deux faces gravées et aucune étiquette ne figure
sur chacune des faces.
Éjection d’un disque
Pour éjecter un disque, faites glisser l’icône du disque vers la Corbeille. Si vous ne
parvenez pas à éjecter le disque, fermez toutes les applications susceptibles d’utiliser
le disque et réessayez. Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez l’ordinateur tout
en maintenant le bouton de la souris enfoncé.
Important : ne placez jamais d’objet sur votre ordinateur. Des objets placés au-dessus
de votre Mac mini pourraient empêcher l’éjection d’un disque.
F3188Q88.book Page 55 Friday, April 8, 2005 7:30 PM56 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
Lecture de DVD
Insérez le DVD que vous voulez lire. L’application Lecteur DVD s’ouvre
automatiquement et lance la lecture du disque.
Enregistrement de disques CD-R et CD-RW
Vous pouvez enregistrer des disques CD-R ou CD-RW directement à partir de votre
bibliothèque iTunes.
Pour graver de la musique sur un CD-R ou CD-RW via iTunes :
1 Cliquez sur l’icône d’iTunes dans le Dock.
2 Sélectionnez la liste de lecture à enregistrer.
3 Insérez un disque vierge CD-R ou CD-RW. (Pour une compatibilité optimale avec les
lecteurs CD, utilisez un CD-R.)
4 En haut de la fenêtre iTunes, cliquez sur l’option Graver le CD.
Pour enregistrer des fichiers et dossiers sur des disques CD-R et CD-RW à l’aide
du Finder :
1 Insérez un disque vierge dans le lecteur optique.
2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque. Une icône
correspondant au CD apparaît sur le bureau.
3 Glissez des fichiers et dossiers sur l’icône du disque.
4 Choisissez Fichier > Graver le disque ou sélectionnez le disque, puis glissez-le sur
l’icône “Graver le disque“ située dans le Dock.
F3188Q88.book Page 56 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 3 Utilisation de votre ordinateur 57
Enregistrement d’informations sur un DVD
Si votre Mac mini est équipé d’un lecteur SuperDrive, vous pouvez enregistrer vos films
maison sur un disque vierge DVD±R ou DVD±RW. Vous pouvez également enregistrer
d’autres types de données numériques (sauvegarder vos fichiers, par exemple).
Pour enregistrer des données sur un disque DVD-R à l’aide du Finder :
1 Insérez un disque vierge DVD±R ou DVD±RW dans le lecteur.
2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque et sélectionnez
le format souhaité. Une icône représentant le DVD apparaît sur le bureau.
3 Double-cliquez sur l’icône du DVD, puis glissez-y des fichiers et dossiers.
4 Choisissez Fichier > Graver le disque ou sélectionnez le disque, puis glissez-le sur
l’icône “Graver le disque“ située dans le Dock.
Vous pouvez également utiliser iDVD pour créer votre propre DVD personnalisé, le
graver sur un DVD vierge et le lire sur la plupart des lecteurs DVD standard. Pour plus
d’informations sur l’utilisation d’iDVD, ouvrez iDVD puis choisissez Aide > Aide iDVD.
Pour plus d’informations
Pour obtenir des informations sur l’enregistrement de fichiers de musique sur un
CD-R à l’aide d’iTunes, ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes et Music Store.
Pour obtenir des instructions sur l’utilisation de l’application Lecteur DVD, ouvrez le
Lecteur DVD et choisissez Aide >Aide Lecteur DVD.
F3188Q88.book Page 57 Friday, April 8, 2005 7:30 PM58 Chapitre 3 Utilisation de votre ordinateur
Protection de votre ordinateur
Insérez un câble de sécurité (disponible sur www.apple.com/francestore) dans le
logement intégré prévu à cet effet pour attacher votre Mac mini à un objet fixe.
Des informations supplémentaires sur les fonctionnalités logicielles de sécurité de
votre Mac mini, notamment les divers mots de passe d’utilisateur et le cryptage des
fichiers, sont disponibles dans l’Aide Mac. Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez
“sécurité” ou “utilisateurs multiples”.
Logement de sécurité
F3188Q88.book Page 58 Friday, April 8, 2005 7:30 PM59
4
4 Dépannage
En cas de problèmes d’utilisation de votre Mac mini,
vous trouverez dans ce chapitre des solutions
possibles.
Ce chapitre apporte des solutions aux problèmes qui vous empêchent de travailler
avec votre ordinateur, tels que le blocage du système ou de l’ordinateur. Vous
pouvez trouver plus d’informations sur la résolution de problèmes dans l’Aide
Mac (voir la page 33) ou sur le site Web d’assistance et de services d’Apple à
l’adresse www.apple.com/fr/support.
Lorsque vous rencontrez un problème avec votre ordinateur, sachez qu’il existe
généralement une solution simple et rapide. Dans un tel cas, essayez de noter
les opérations que vous avez effectuées avant que le problème ne survienne. Ce
récapitulatif permet de restreindre les causes possibles du problème et de trouver
la solution. Les éléments à noter comprennent :
 Les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu. Les
problèmes qui n’apparaissent qu’avec une application spécifique peuvent indiquer
que cette application n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur
votre ordinateur.
F3188Q88.book Page 59 Friday, April 8, 2005 7:30 PM60 Chapitre 4 Dépannage
 Tout logiciel installé récemment. Certaines applications installent des extensions qui
peuvent ne pas être compatibles avec l’environnement Classic.
 Tout nouveau matériel (comme par exemple un périphérique) que vous avez
connecté.
Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur
Si l’ordinateur ne répond pas ou que le pointeur se fige
 Assurez-vous tout d’abord que la souris et le clavier sont connectés. Débranchez puis
rebranchez les connecteurs et vérifiez qu’ils sont correctement mis en place.
 Si cela ne donne pas de résultats, essayez de forcer la fermeture des applications posant
problème. Maintenez les touches Option et Commande (x) enfoncées, puis appuyez
sur Échap. Si une zone de dialogue apparaît, sélectionnez-y l’application et cliquez sur
Forcer à quitter. Ensuite, enregistrez le travail de toute application ouverte, puis
redémarrez l’ordinateur afin de vous assurer que le problème est entièrement réglé.
 Si vous ne parvenez pas à forcer la fermeture de l’application, maintenez pendant
cinq secondes le bouton d’alimentation (®) enfoncé qui se trouve à l’arrière de
l’ordinateur pour l’éteindre.
 Si cela reste sans effets, débranchez le câble d’alimentation de l’ordinateur.
Rebranchez-le, puis appuyez sur le bouton d’alimentation (®) de l’ordinateur
pour le rallumer.
Si le problème survient fréquemment lorsque vous utilisez une application particulière,
consultez le fabricant de cette dernière pour vérifier si elle est compatible avec votre
ordinateur.
F3188Q88.book Page 60 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 4 Dépannage 61
Pour l’assistance et les informations de contact relatives aux logiciels fournis avec votre
ordinateur, rendez-vous sur www.apple.com/fr/guide.
Si le problème se reproduit fréquemment, réinstallez éventuellement votre logiciel
système (voir “Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur” à la page 62).
Si l’ordinateur se bloque lors du démarrage ou si un point d’interrogation clignote
à l’écran
 Patientez quelques secondes. Si l’ordinateur ne démarre pas après un certain temps,
éteignez-le en maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant 5
secondes, jusqu’à ce qu’il s’éteigne complètement. Maintenez ensuite la touche
Option enfoncée, puis appuyez de nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour
démarrer votre ordinateur. Lorsque votre ordinateur démarre, cliquez sur l’icône du
disque dur, puis sur la flèche droite.
 Une fois que l’ordinateur a démarré, ouvrez Préférences Système et cliquez sur
Démarrage. Sélectionnez un dossier Système Mac OS X.
 Si le problème se reproduit fréquemment, réinstallez éventuellement votre logiciel
système (voir “Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur”).
Si l’ordinateur ne s’allume pas ou ne démarre pas
 Assurez-vous que le câble d’alimentation est connecté à l’ordinateur et branché
sur une prise électrique en état de marche.
 Si le problème persiste, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et maintenez
enfoncées les touches Commande (x), Option, P et R jusqu’à entendre une seconde
fois le signal de démarrage.
F3188Q88.book Page 61 Friday, April 8, 2005 7:30 PM62 Chapitre 4 Dépannage
 Si cela reste sans effet, débranchez le câble d’alimentation et attendez au moins
30 secondes. Rebranchez-le, puis appuyez de nouveau sur le bouton d’alimentation
(®) de l’ordinateur pour le démarrer.
 Si vous ne parvenez toujours pas à démarrer votre ordinateur, consultez les
informations d’assistance et de service à la page 68 pour savoir comment contacter
Apple pour obtenir de l’assistance.
Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur
Utilisez les disques d’installation fournis avec votre ordinateur pour réinstaller Mac OS X
et les applications livrées avec votre ordinateur ainsi que pour installer Mac OS 9 (si
vous souhaitez utiliser les applications Mac OS 9 sur votre ordinateur).
Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données de votre disque dur
avant de procéder à la restauration du logiciel. Apple décline toute responsabilité en
cas de perte de données.
Installation de Mac OS X
Pour installer Mac OS X :
1 Sauvegardez vos fichiers importants si cela est possible.
2 Insérez le disque “Mac OS X Install Disc 1” livré avec votre ordinateur.
3 Double-cliquez sur “Install Mac OS X and Bundled Software”.
4 Suivez les instructions à l’écran.
5 Sélectionnez le disque de destination pour l’installation, puis continuez de suivre
les instructions à l’écran.
F3188Q88.book Page 62 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 4 Dépannage 63
Il se peut que votre ordinateur redémarre et vous demande d’insérer le prochain
disque d’installation de Mac OS X.
Important : l’option “Effacer et installer” efface votre disque de destination. Il est
conseillé d’effectuer une copie de sauvegarde de vos fichiers importants avant
d’installer Mac OS X.
Installation d’applications
Votre ordinateur doit être déjà équipé de Mac OS X pour pouvoir installer les
applications livrées avec votre ordinateur.
Pour réinstaller les applications livrées avec votre ordinateur :
1 Sauvegardez vos fichiers importants si cela est possible.
2 Insérez le disque “Mac OS X Install Disc 1” livré avec votre ordinateur.
3 Double-cliquez sur “Install Bundled Software Only”.
4 Suivez les instructions à l’écran.
5 Sélectionnez le disque de destination pour l’installation, puis continuez de suivre
les instructions à l’écran.
Pour installer iCal, iChat AV, iSync, iTunes et Safari, suivez les instructions de la section
Installation de Mac OS X.
Installation de Mac OS 9
À la livraison de votre Mac mini, Mac OS 9 n’est pas installé. Pour utiliser les
applications Mac OS 9 avec votre ordinateur, vous devez installer Mac OS X à partir
du disque d’installation 2 de Mac OS X.
F3188Q88.book Page 63 Friday, April 8, 2005 7:30 PM64 Chapitre 4 Dépannage
Pour installer Mac OS 9 :
1 Sauvegardez vos fichiers importants si cela est possible.
2 Insérez le disque “Mac OS X Install Disc 2” livré avec votre ordinateur.
3 Double-cliquez sur “Install Mac OS 9 System Support”.
4 Suivez les instructions à l’écran.
5 Sélectionnez le disque de destination pour l’installation, puis continuez de suivre
les instructions à l’écran.
Autres problèmes
En cas de problème avec une application
 Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur
concerné. Les éditeurs de logiciels proposent souvent des mises à jour de leurs
produits sur leurs sites Web. Vous pouvez utiliser la sous-fenêtre Mise à jour de
logiciels des Préférences Système pour configurer votre Mac mini afin qu’il recherche
et installe automatiquement les derniers logiciels Apple. Pour plus d’informations,
choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez “mise à jour de logiciels”.
En cas de problèmes avec les communications sans fil AirPort
 Vérifiez que vous avez correctement configuré le logiciel en respectant les
instructions fournies avec la carte AirPort Extreme ou la borne d’accès AirPort.
 Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est
activé et dispose d’un point d’accès sans fil.
F3188Q88.book Page 64 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 4 Dépannage 65
 Assurez-vous que l’autre ordinateur ou le point d’accès au réseau se trouve dans la
zone de couverture de l’antenne de votre ordinateur. Des appareils électroniques
ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les
communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez
éventuellement améliorer la réception en réorientant l’ordinateur.
 Vérifiez la puissance du signal AirPort. L’icône d’état AirPort de la barre des menus
affiche jusqu’à quatre barres.
 Assurez-vous qu’aucun objet n’est placé sur votre ordinateur. Des objets installés sur
votre ordinateur pourraient interférer avec le signal AirPort.
 Des problèmes de fonctionnement de réseau peuvent survenir si votre borne d’accès
est fréquemment utilisée à proximité d’un four micro-ondes, d’un téléphone sans fil
ou autres sources d’interférences. Pour minimiser les interférences, placez votre
borne d’accès loin de ces appareils.
 Pour plus d’informations sur l’utilisation et le dépannage de AirPort, sélectionnez
Aide > Aide Mac, puis choisissez Bibliothèque > Aide AirPort.
En cas de problèmes avec l’éjection d’un disque
 Quittez toutes les applications susceptibles de solliciter le disque et appuyez sur la
touche d’éjection de disque (C) de votre clavier Apple. Sur d’autres claviers, il se peut
que vous puissiez utiliser une combinaison de touches pour éjecter des disques.
Consultez le manuel d’utilisation livré avec votre clavier.
 Si cela ne fonctionne pas, ouvrez une fenêtre du Finder et cliquez sur l’icône
d’éjection à côté de celle de disque dans la barre latérale ou faites glisser l’icône
du disque du bureau jusqu’à la Corbeille.
F3188Q88.book Page 65 Friday, April 8, 2005 7:30 PM66 Chapitre 4 Dépannage
 Assurez-vous qu’aucun objet n’est placé sur votre ordinateur. Des objets placés sur
votre ordinateur pourraient empêcher l’éjection du disque.
 Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez l’ordinateur tout en maintenant le
bouton de la souris enfoncé.
En cas de problèmes de connexion à Internet
 Assurez-vous que votre ligne téléphonique ou que votre câble réseau est connecté et
qu’il fonctionne correctement.
 Si vous utilisez une connexion Internet par appel commuté, vérifiez que votre câble
téléphonique est relié au port modem (représenté par le symbole W) et non au port
Ethernet (symbole G).
 Consultez “Connexion à Internet” à la page 81 pour en savoir plus sur la configuration
de votre ordinateur en vue de la connexion à Internet. Vous y découvrirez comment
localiser vos réglages Internet ainsi que les coordonnées de votre fournisseur d’accès
à Internet (si vous vous êtes servi de l’Assistant réglages pour établir votre compte
Internet).
 Consultez “Dépannage de votre connexion” à la page 104 en cas de problème de
connexion à Internet.
En cas de problèmes de fonctionnement de votre ordinateur ou de Mac OS
 Si les réponses à vos questions ne figurent pas dans ce manuel, recherchez des
instructions et des informations de dépannage complémentaires dans l’Aide Mac.
Sélectionnez Aide > Aide Mac.
 Pour obtenir les dernières informations de dépannage et des mises à jour de
logiciels, consultez le site Web d’assistance et de services d’Apple, à l’adresse
www.apple.com/fr/support.
F3188Q88.book Page 66 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 4 Dépannage 67
Si vos réglages de date et heure disparaissent régulièrement
 La pile de secours interne de votre ordinateur a peut-être besoin d’être remplacée.
Consultez les informations d’assistance et de service à la page 68 pour en savoir plus.
Utilisation de Apple Hardware Test
Apple Hardware Test vous aide à déterminer s’il existe un problème matériel sur votre
ordinateur.
Pour utiliser Apple Hardware Test :
1 Déconnectez tous les périphériques de votre ordinateur sauf le moniteur, le clavier
et la souris. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le.
2 Insérez le disque “Mac OS X Install Disc 1” livré avec votre ordinateur.
3 Puis redémarrez votre ordinateur en maintenant la touche Option enfoncée lors du
démarrage. Une liste de volumes de démarrage disponibles apparaît alors. Cliquez
sur Apple Hardware Test, puis sur la flèche droite.
4 Lorsque l’écran principal Apple Hardware Test apparaît (environ 45 secondes plus tard),
suivez les instructions affichées à l’écran.
5 Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. En cas de
détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Si Apple
Hardware Test ne détecte pas de panne de matériel, il est probable que le problème
soit lié aux logiciels.
Pour en savoir plus sur Apple Hardware Test, consultez le fichier Ouvrez-moi d’Apple
Hardware Test sur le disque 1 d’installation de Mac OS X.
F3188Q88.book Page 67 Friday, April 8, 2005 7:30 PM68 Chapitre 4 Dépannage
En savoir plus, service et aide
Votre Mac mini ne contient aucune pièce accessible à l’utilisateur. Si vous avez besoin
d’assistance, apportez votre Mac mini à un fournisseur de services agréé Apple ou
contactez Apple pour un dépannage. Vous pouvez trouver plus d’informations sur
votre Mac mini via des ressources en ligne, l’aide à l’écran, les Informations Système
ou Apple Hardware Test.
Si vous n’avez pas commandé de dispositif de la technologie AirPort Extreme
ou Bluetooth avec votre Mac mini ou si vous souhaitez installer de la mémoire
supplémentaire, contactez un fournisseur de services agréé Apple ou un Apple Store.
Ressources en ligne
Pour des informations d’aide et de dépannage en ligne, rendez-vous sur le site
www.apple.com/fr/support. Choisissez votre pays dans le menu local. Vous pouvez
rechercher les informations dans la base de connaissance AppleCare, consulter les
mises à jour de logiciels ou obtenir de l’aide auprès des groupes de discussion Apple.
Aide à l’écran
Vous retrouverez souvent des réponses à vos questions, ainsi que des instructions
et informations de dépannage, dans l’Aide Mac. Sélectionnez Aide > Aide Mac.
Informations Système
Pour obtenir des informations sur votre ordinateur, utilisez les Informations Système.
Les Informations Système vous indique quel matériel et quels logiciels sont installés,
le numéro de série et la version du système d’exploitation, la quantité de mémoire
installée, etc. Pour ouvrir les Informations Système, choisissez le menu Pomme (?) >
À propos de ce Mac dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos.
F3188Q88.book Page 68 Friday, April 8, 2005 7:30 PMChapitre 4 Dépannage 69
Apple Hardware Test
Vous pouvez utiliser Apple Hardware Test pour effectuer le diagnostic de problèmes sur
votre Mac mini. Pour plus d’informations, consultez la section “Utilisation de Apple
Hardware Test” à la page 67.
Applecare : informations d’assistance et de service
Lorsque vous achetez un Mac mini, vous avez droit à 90 jours d’assistance
téléphonique et un an de garantie pour les services dans un centre de réparations
agréé Apple. Vous pouvez étendre cette garantie en souscrivant au contrat AppleCare
Protection Plan. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site Web de votre pays indiqué
à la page 69.
Si vous avez besoin de plus d’assistance, les techniciens du centre téléphonique
AppleCare peuvent vous aider à installer et ouvrir des applications et à résoudre
certains problèmes de base. Appelez le centre d’appel le plus près de chez vous
(pendant les 90 premiers jours, ce service est gratuit). Au moment de votre appel,
il vous faudra connaître la date d’achat de votre Mac mini et son numéro de série.
Remarque : la période de 90 jours d’assistance téléphonique gratuite démarre le
jour de l’achat ; des coûts de communication téléphoniques peuvent être facturés.
Pays Téléphone Site Web
Autriche (43) 0810 300 427 www.apple.com/at/support
Belgique (flamand)
(français)
(32) 070 700 772
(32) 070 700 773
www.apple.com/benl/support
www.apple.com/befr/support
F3188Q88.book Page 69 Friday, April 8, 2005 7:30 PM70 Chapitre 4 Dépannage
Pour obtenir la liste complète, rendez-vous sur la page en anglais
www.apple.com/contact/phone_contacts.html. Les numéros de téléphone
sont susceptibles de changer et des coûts téléphoniques locaux ou nationaux
peuvent s’appliquer.
Localisation du numéro de série de votre produit
Vous pouvez trouver le numéro de série inscrit sous votre Mac mini. Vous le trouverez
également dans les Informations Système. Pour y accéder, choisissez le menu Pomme (?) >
À propos de ce Mac dans la barre de menus, puis cliquez sur Plus d’infos. Cliquez sur le
triangle Matériel pour afficher le numéro de série.
France (33) 0825 888 024 www.apple.com/fr/support
Allemagne (49) 01805 009 433 www.apple.com/de/support
Luxembourg (352) 800 24550 www.apple.com/befr/support
Suisse (français)
(allemand)
(41) 0848 000 132
(41) 0848 000 132
www.apple.com/chfr/support
www.apple.com/chde/support
Pays Téléphone Site Web
F3188Q88.book Page 70 Friday, April 8, 2005 7:30 PM71
A Annexe
A Caractéristiques
Vous pouvez utiliser Informations Système pour
trouver des informations détaillées sur votre Mac
mini, telles que la quantité de mémoire intégrée, la
taille du disque dur, les périphériques connectés et
le numéro de série du produit.
Pour accéder aux informations dans Informations Système, sélectionner Pomme (?) >
À propos de ce Mac dans la barre des menus puis cliquer sur Plus d’infos.
F3188Q88.book Page 71 Friday, April 8, 2005 7:30 PM72 Annexe A Caractéristiques
Des informations supplémentaires sont disponibles sur les sites www.apple.com
et www.apple.com/fr/support.
Dans la fenêtre apparaissant, cliquez sur
les triangles pour afficher ou cacher le
contenu des différentes catégories.
F3188Q88.book Page 72 Friday, April 8, 2005 7:30 PM73
B Annexe
B Consignes d’entretien,
d’utilisation et de sécurité
Afin d’assurer votre propre sécurité et de préserver
votre matériel, veillez à observer les consignes
exposées dans cette annexe pour le nettoyage
et la manipulation de votre ordinateur, ainsi que
l’aménagement d’un espace de travail confortable.
Nettoyage de votre Mac mini
Respectez les règles suivantes lors du nettoyage de votre ordinateur et de ses
accessoires :
 Éteignez votre Mac mini et débranchez tous les câbles.
 Pour nettoyer le boîtier de l’ordinateur, utilisez un chiffon doux, humide et non
pelucheux. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit.
Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’ordinateur.
 N’utilisez ni aérosols, ni dissolvant, ni abrasifs.
F3188Q88.book Page 73 Friday, April 8, 2005 7:30 PM74 Annexe B Consignes d’entretien, d’utilisation et de sécurité
Déplacement de votre Mac mini
Avant de soulever ou de repositionner votre ordinateur, vous devez l’éteindre et
débrancher tous les câbles et les prises connectés dessus.
Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de
votre ordinateur
Pour votre propre sécurité et celle de votre matériel, respectez toujours les consignes
suivantes.
Débranchez le câble d’alimentation (en tirant sur la fiche plutôt que sur le câble) et le
câble téléphonique si l’un des cas suivants se présente :
 Le câble ou la fiche d’alimentation est usé(e) ou endommagé(e).
 Vous avez renversé quelque chose dans le boîtier de l’ordinateur.
 votre ordinateur est exposé à la pluie ou à une humidité excessive ;
 votre ordinateur est tombé ou son boîtier a été endommagé de quelque autre façon ;
 votre ordinateur doit être inspecté ou réparé ;
 vous devez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions fournies
précédemment).
F3188Q88.book Page 74 Friday, April 8, 2005 7:30 PMAnnexe B Consignes d’entretien, d’utilisation et de sécurité 75
Important : la seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur
consiste à débrancher le câble d’alimentation et le câble téléphonique. Assurez-vous
qu’au moins une extrémité du câble d’alimentation se trouve à portée de main afin de
pouvoir débrancher l’ordinateur si nécessaire.
Observez toujours les consignes ci-dessous :
 Évitez de placer votre ordinateur à proximité d’un évier, d’un lavabo, d’une baignoire,
d’une douche, etc.
 Protégez votre ordinateur de l’humidité et des intempéries (neige, pluie...).
 Lisez soigneusement les instructions d’installation avant de brancher votre ordinateur
sur une prise murale.
 Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour vous et pour les
utilisateurs éventuels.
 Suivez toutes les instructions et mises en garde concernant votre système.
Avertissement : votre cordon d’alimentation CA est livré avec une fiche de terre à trois
broches (fiche équipée d’une troisième broche de mise à la terre). Cette fiche ne peut
être branchée que sur une prise CA reliée à la terre. Il est impératif que votre prise
électrique soit une prise de terre pour pouvoir brancher la fiche. Contactez un
électricien agréé pour remplacer votre prise électrique le cas échéant. Ne dérogez
en aucun cas à cette consigne.
F3188Q88.book Page 75 Friday, April 8, 2005 7:30 PM76 Annexe B Consignes d’entretien, d’utilisation et de sécurité
Important : le matériel électrique peut s’avérer dangereux s’il n’est pas utilisé
correctement. L’utilisation de ce produit ou de tout produit similaire doit toujours être
supervisée par un adulte. Ne laissez pas les enfants toucher les composants internes de
tout appareil électrique, ni manipuler des câbles électriques.
Connecteurs et ports
Ne forcez jamais un connecteur dans un port. Si vous ne parvenez pas à brancher sans
forcer le connecteur sur le port, c’est qu’ils ne sont pas adaptés. Assurez-vous que le
connecteur est adapté au port et que vous l’avez positionné correctement par rapport
à ce dernier.
Adaptateur secteur
Suivez ces instructions pour utiliser l’adaptateur secteur :
 Assurez-vous que vous avez parfaitement bien inséré dans l’adaptateur secteur
le câble reliant l’ordinateur à l’adaptateur et le câble d’alimentation secteur.
 Laissez toujours de l’espace autour de l’adaptateur secteur et assurez-vous que
celui-ci est placé dans un endroit permettant la circulation d’air.
Avertissement : n’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures du
boîtier. Ceci peut s’avérer dangereux.
F3188Q88.book Page 76 Friday, April 8, 2005 7:30 PMAnnexe B Consignes d’entretien, d’utilisation et de sécurité 77
 La seule façon de couper complètement l’alimentation consiste à débrancher le câble
d’alimentation en tirant sur la fiche, plutôt que sur le câble.
Important : l’adaptateur secteur de votre ordinateur est un composant haute tension et
ne doit en aucun cas être ouvert, même lorsqu’il est débranché. Ne laissez pas les
enfants toucher les composants internes de tout appareil électrique, ni manipuler des
câbles électriques. Si l’adaptateur secteur nécessite une réparation, reportez-vous au
chapitre “En savoir plus, service et aide” à la page 68.
Avertissement : utilisez exclusivement l’adaptateur secteur et le câble d’alimentation
secteur qui vous ont été fournis lors de l’achat de votre ordinateur. Les adaptateurs
secteur et les câbles d’alimentation d’autres appareils électroniques peuvent vous
sembler similaires ; cependant, leur utilisation peut affecter les performances de votre
ordinateur ou l’endommager. Votre câble d’alimentation secteur est livré avec une
fiche de terre à trois broches (fiche équipée d’une troisième broche de mise à la terre).
Cette fiche ne peut être branchée que sur une prise murale reliée à la terre. Il est
impératif que votre prise électrique soit une prise de terre pour pouvoir brancher
la fiche. Contactez un électricien agréé pour remplacer votre prise électrique le
cas échéant.
F3188Q88.book Page 77 Friday, April 8, 2005 7:30 PM78 Annexe B Consignes d’entretien, d’utilisation et de sécurité
Prévention des dommages auditifs
Ergonomie
Siège
Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise
confortables. Réglez la hauteur du siège de sorte que vos cuisses reposent à
l’horizontale et vos pieds à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre
région lombaire, c’est-à-dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions
du fabricant de sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre
morphologie.
Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient
placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus
à plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Vous pouvez
également abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied.
Enfin, vous pouvez utiliser un bureau équipé d’une tablette pour le clavier située plus
bas que le plan de travail.
Avertissement : l’utilisation d’écouteurs ou de casques d’écoute réglés sur un niveau
de volume trop élevé peut entraîner une perte durable de l’acuité auditive. Il est
possible de supporter petit à petit des volumes sonores de plus en plus élevés qui
peuvent sembler normaux à la longue, mais qui risquent néanmoins d’endommager
votre ouïe. Réglez le volume de votre Mac mini à un niveau normal avant que le
problème ne survienne. En cas de bourdonnements dans les oreilles, baissez le
volume ou cessez d’utiliser les écouteurs ou le casque d’écoute avec votre Mac mini.
F3188Q88.book Page 78 Friday, April 8, 2005 7:30 PMAnnexe B Consignes d’entretien, d’utilisation et de sécurité 79
Écran
Placez le moniteur de manière à ce que le haut de l’écran soit légèrement en dessous
du niveau de vos yeux quand vous êtes assis au clavier. Il vous appartient de juger de la
meilleure distance entre vos yeux et l’écran. Elle se situe en général entre 45 et 70 cm.
Orientez l’écran de manière à ce qu’il reflète le moins possible la lumière provenant de
l’éclairage et des fenêtres.
Souris
Veillez à ce que la souris se trouve à hauteur du clavier. Ménagez un espace suffisant
pour la manipuler avec aisance.
Cuisses
légèrement
inclinées
Épaules
détendues
Écran positionné de
manière à éviter les reflets
Avants-bras
et mains
alignés
Avants-bras
à plat ou
légèrement
inclinés
Bas du dos
maintenu
Pieds à plat sur le sol
ou sur un respose-pied
Partie supérieure de l’écran
au niveau des yeux ou
légèrement en dessous
(vous devrez éventuellement
régler la hauteur de votre
moniteur en surélevant
ou en abaissant votre
surface de travail).
Espace dégagé sous
la surface de travail
45–70 cm
F3188Q88.book Page 79 Friday, April 8, 2005 7:30 PM80 Annexe B Consignes d’entretien, d’utilisation et de sécurité
Clavier
Veillez à maintenir vos épaules relâchées lorsque vous utilisez le clavier. Le bras et
l’avant-bras doivent former un angle droit, la main étant placée dans le prolongement
du poignet.
Adoptez un frappe légère, mains et doigts détendus. Évitez de replier les pouces à
l’intérieur des paumes.
Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un
effort continu et intensif, certains utilisateurs ressentent des douleurs aux mains,
aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste.
Pour plus d’informations
Rendez-vous sur le site Web www.apple.com/about/ergonomics.
Apple et l’environnement
Apple Computer, Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact
de ses produits et de ses activités sur l’environnement. Pour plus d’informations,
rendez-vous sur le site en anglais www.apple.com/environment/summary.html.
F3188Q88.book Page 80 Friday, April 8, 2005 7:30 PM81
C Annexe
C Connexion à Internet
Votre ordinateur vous permet de naviguer sur le
Web, d’échanger du courrier électronique avec vos
amis et votre famille ou de dialoguer en temps réel
via Internet. Suivez les instructions de ce guide
détaillé pour vous connecter à Internet.
Lors du premier démarrage de Mac OS X, l’Assistant réglages vous aide à saisir les
informations de votre configuration Internet. Si vous n’avez pas utilisé l’Assistant
réglages pour configurer votre connexion à Internet, vous pouvez toujours l’utiliser
maintenant. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. Cliquez sur le bouton
“Assistez-moi” pour ouvrir l’Assistant réglages de réseau. Si vous ne souhaitez pas
utiliser l’Assistant réglages de réseau, vous pouvez utiliser les informations figurant
dans cette annexe pour configurer votre connexion manuellement.
Il existe quatre types de connexion à Internet :
 Connexion par ligne téléphonique : l’ordinateur est relié à une prise téléphonique
murale via un câble téléphonique (pour les ordinateurs comprenant un modem).
 Connexion via un modem câble ou DSL à haut débit : l’ordinateur est relié via un
câble Ethernet à un modem spécial fourni par un FAI.
F3188Q88.book Page 81 Friday, April 8, 2005 7:30 PM82 Annexe C Connexion à Internet
 Connexion AirPort Extreme ou AirPort Express sans fil : votre ordinateur est
connecté sans fil à Internet via une borne d’accès AirPort Extreme ou Airport Express.
 Réseau local (LAN) : l’ordinateur est connecté à un réseau local via un câble
Ethernet. C’est le type de connexion habituellement utilisé dans les entreprises.
Avant de vous connecter à Internet :
1 Procurez-vous un compte auprès d’un FAI si vous n’en possédez pas encore. Si vous
ne disposez pas encore d’un FAI, l’Assistant réglages peut vous assister dans cette
démarche. Si vous ne souhaitez pas utiliser le FAI suggéré par l’Assistant réglages, vous
pouvez en trouver un autre dans votre annuaire téléphonique. Consultez les rubriques
“accès Internet”, “services Internet” ou “en ligne”.
Remarque : si vous choisissez America Online, sautez l’étape Réglages Internet de
l’Assistant réglages. Ouvrez alors ce programme, puis suivez les instructions à l’écran
pour configurer AOL.
2 Procurez-vous les informations de connexion auprès de votre FAI ou de votre
administrateur réseau. Consultez la section “Fiche technique Assistant réglages” à la
page 84, pour savoir quelles sont les informations dont vous avez besoin pour chaque
type de connexion.
Dans certains cas, si un autre ordinateur se trouvant au même emplacement est
déjà connecté à Internet, vous pouvez probablement utiliser ses réglages.
Pour accéder aux réglages sur un ordinateur Mac OS X :
 Ouvrez la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système.
 Dans le menu local Afficher, sélectionnez votre mode de connexion.
 Copiez les informations concernant votre connexion.
F3188Q88.book Page 82 Friday, April 8, 2005 7:30 PMAnnexe C Connexion à Internet 83
Pour accéder aux réglages sur un ordinateur Mac OS 9 :
 Ouvrez le tableau de bord TCP/IP.
 Rechercher le mode de connexion dans le menu local Connexion.
 Recherchez la configuration dans le menu local Configurer.
 Notez l’adresse IP, le masque de sous-réseau et l’adresse du routeur figurant dans
les champs correspondants.
Pour accéder aux réglages sur un PC Windows :
Les informations de connexion d’un PC Windows se trouvent à deux endroits.
 Pour trouver l’adresse IP et le masque de sous-réseau, ouvrez le tableau de bord
“Connexions réseau et Internet”.
 Pour accéder aux informations relatives aux comptes d’utilisateurs, ouvrez le tableau
de bord Comptes d’utilisateurs.
Vous pouvez écrire ces informations directement sur les pages suivantes, puis les saisir
dans l’Assistant réglages.
1 Si vous utilisez un modem téléphonique, branchez un câble téléphonique (inclus avec
la plupart des ordinateurs Macintosh) sur le port modem de votre ordinateur et sur une
prise téléphonique murale. Si vous disposez d’un modem DSL ou câble, connectez-le
à votre ordinateur en suivant les instructions incluses.
2 Allumez votre ordinateur et saisissez les informations dans l’Assistant réglages pour
configurer votre connexion à Internet.
Remarque : si vous avez déjà démarré votre ordinateur et configuré votre connexion à
Internet sans utiliser l’Assistant réglages, choisissez le menu Pomme (?) > Préférences
Système et cliquez sur Réseau. Puis cliquez sur “Assistez-moi”. L’Assistant réglages
s’ouvre.
F3188Q88.book Page 83 Friday, April 8, 2005 7:30 PM84 Annexe C Connexion à Internet
Fiche technique Assistant réglages
Vous pouvez noter sur ces pages les informations obtenues auprès de votre
Fournisseur d’Accès à Internet (FAI), de votre administrateur réseau ou de votre autre
ordinateur, puis les saisir dans l’Assistant réglages de réseau.
Sélectionnez la méthode utilisée par votre ordinateur pour se connecter à Internet.
Pour configurer une connexion par ligne commutée, entrez les informations
suivantes :
Modem téléphonique
Modem câble
Modem DSL
Réseau local (Ethernet)
Nom d’utilisateur
Mot de passe
Numéro de téléphone FAI
Préfixe pour obtenir la ligne externe
F3188Q88.book Page 84 Friday, April 8, 2005 7:30 PMAnnexe C Connexion à Internet 85
Pour configurer une connexion par modem câble ou DSL, ou via un réseau local :
1 Choisissez votre type de connexion. Renseignez-vous auprès de votre FAI.
2 Saisissez les informations fournies par votre FAI :
Si vous avez sélectionné “Manuellement” ou “Manuellement via le routeur DHCP”,
saisissez :
Si vous avez sélectionné “Via DHCP”, saisissez :
Manuellement
Utilisation de DHCP avec une adresse manuelle
Via DHCP
Via BootP
PPP
Adresse IP
Masque de sous-réseau
Adresse du routeur
Numéro de client DHCP
F3188Q88.book Page 85 Friday, April 8, 2005 7:30 PM86 Annexe C Connexion à Internet
Remarque : le numéro de client DHCP est facultatif et il est possible qu’il ne soit pas
nécessaire. Demandez conseil à votre FAI.
Si vous avez sélectionné “PPP (pour les connexions PPPoE)”, saisissez :
Fournisseur d'accès (facultatif)
Nom de service PPPoE (facultatif)
Nom de compte
Mot de passe
F3188Q88.book Page 86 Friday, April 8, 2005 7:30 PMAnnexe C Connexion à Internet 87
Les informations ci-après sont facultatives. Demandez à votre FAI s’il est nécessaire
de les saisir.
Configuration manuelle de votre connexion à Internet
Lorsque vous avez accompli, à l’aide de l’Assistant réglages, les instructions des pages
précédentes, vous avez terminé la configuration de votre connexion à Internet. Si vous
ne souhaitez pas utiliser l’Assistant réglages ou si vous souhaitez simplement modifier
des parties spécifiques de votre configuration Internet, suivez les instructions suivantes
pour configurer manuellement votre connexion.
Pour saisir vos informations manuellement, suivez les étapes correspondant à votre
mode de connexion.
 Modem téléphonique avec connexion PPP (Point-to-Point Protocol) (voir la page 88)
 Connexion via modem câble, DSL ou réseau LAN avec les configurations suivantes :
Hôtes DNS (facultatif pour DHCP & BootP)
Nom de domaine (facultatif)
Serveur Proxy (facultatif)
F3188Q88.book Page 87 Friday, April 8, 2005 7:30 PM88 Annexe C Connexion à Internet
 Manuelle (voir la page 93)
 DHCP (voir la page 95)
 PPPoE (voir la page 96)
 Connexion sans fil AirPort Extreme (voir la page 99)
Connexion commutée
Un modem commuté est un moyen courant pour se connecter à Internet. Votre
modem utilise une méthode appelée PPP (Point-to-Point Protocol) pour se connecter
à un FAI.
Assurez-vous que votre modem est branché sur une ligne téléphonique et que vous
disposez des informations fournies par votre FAI (voir la page 84).
Pour configurer les préférences Réseau pour le port modem interne :
1 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système dans la barre des menus.
2 Cliquez sur Réseau.
F3188Q88.book Page 88 Friday, April 8, 2005 7:30 PMAnnexe C Connexion à Internet 89
3 Choisissez Configuration des ports réseau dans le menu local Afficher, puis cochez
la case Activé à côté de Modem interne.
4 Faites glisser Modem interne en haut de la liste Configurations de port pour en faire
l’interface réseau préférée ou principale.
5 Choisissez Modem interne dans le menu local Afficher et cliquez sur PPP.
F3188Q88.book Page 89 Friday, April 8, 2005 7:30 PM90 Annexe C Connexion à Internet
6 Saisissez les informations fournies par votre FAI, puis cliquez sur Appliquer.
Pour tester votre configuration Internet :
1 Ouvrez l’application Connexion à Internet (dans le dossier Applications).
2 Cliquez sur l’icône Modem interne, si elle n’est pas encore sélectionnée.
3 Tapez le numéro de téléphone de connexion de votre FAI, votre nom de compte
et votre mot de passe, si nécessaire.
4 Cliquez sur Se connecter.
F3188Q88.book Page 90 Friday, April 8, 2005 7:30 PMAnnexe C Connexion à Internet 91
L’application Connexion à Internet compose le numéro de votre FAI et établit
une connexion.
Pour vous connecter automatiquement au démarrage d’une application Internet,
telle qu’un navigateur Web ou une application de courrier électronique :
1 Cliquez sur Options PPP (dans la sous-fenêtre PPP des préférences Réseau).
2 Cochez la case “Se connecter automatiquement si nécessaire”.
3 Cliquez sur OK, puis sur Appliquer.
F3188Q88.book Page 91 Friday, April 8, 2005 7:30 PM92 Annexe C Connexion à Internet
Connexions à Internet par ligne DSL, modem câble
ou réseau LAN
Si vous vous connectez à Internet soit à l’aide d’un modem DSL ou câble, soit via un
réseau LAN Ethernet, demandez à votre FAI ou à votre administrateur réseau comment
vous devriez configurer votre connexion à Internet :
 Manuellement : avec une configuration manuelle, votre FAI ou votre administrateur
réseau vous communique une adresse IP statique et d’autres informations à saisir
dans les préférences Réseau.
 Utilisation du protocole DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) : avec une
configuration DHCP, le serveur DHCP saisit automatiquement les informations à
votre place.
 Utilisation du protocole PPPoE (Point-to-Point Protocol over Ethernet) : si vous
utilisez un modem DSL et que vous avez besoin d’un nom d’utilisateur et d’un mot
de passe pour vous connecter à Internet, vous devrez éventuellement configurer
votre réseau pour qu’il utilise le protocole PPPoE.
Lors de la configuration de votre réseau, veillez à garder les informations fournies par
votre FAI à portée de main (voir la page 84).
Pour configurer les préférences Réseau pour le port Ethernet intégré :
1 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système dans la barre des menus.
2 Cliquez sur Réseau.
3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau.
F3188Q88.book Page 92 Friday, April 8, 2005 7:30 PMAnnexe C Connexion à Internet 93
4 Cochez la case Activé à côté d’Ethernet intégré.
5 Faites glisser Ethernet intégré en haut de la liste Configurations de port pour en faire
l’interface réseau préférée ou principale.
Suivez ensuite les instructions de configuration manuelle de votre réseau, via DHCP
ou PPPoE, selon les recommandations de votre FAI ou de votre administrateur réseau.
Configuration manuelle
Ayez à portée de main votre adresse IP statique, l’adresse du routeur et le masque de
sous-réseau fournis par votre FAI (voir la page 84).
F3188Q88.book Page 93 Friday, April 8, 2005 7:30 PM94 Annexe C Connexion à Internet
Pour effectuer une configuration manuelle :
1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher.
2 Cliquez sur TCP/IP, si cette option n’est pas encore sélectionnée.
3 Dans le menu local Configurer IPv4, choisissez Manuellement.
4 Remplissez le reste des champs.
5 Cliquez sur Appliquer.
Votre connexion est prête dès que vous avez configuré votre réseau. Ouvrez votre
navigateur Web (ou une autre application TCP/IP) afin de tester votre connexion à Internet.
F3188Q88.book Page 94 Friday, April 8, 2005 7:30 PMAnnexe C Connexion à Internet 95
Configuration DHCP
Une fois la configuration DHCP effectuée, le serveur DHCP saisit automatiquement
vos informations réseau.
Pour effectuer une configuration DHCP :
1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher.
2 Cliquez sur TCP/IP, si cette option n’est pas encore sélectionnée.
3 Choisissez Via DHCP dans le menu local Configurer IPv4.
4 Cliquez sur Appliquer.
F3188Q88.book Page 95 Friday, April 8, 2005 7:30 PM96 Annexe C Connexion à Internet
Ouvrez votre navigateur Web (ou une autre application TCP/IP) afin de tester votre
connexion à Internet.
Remarque : sauf instructions contraires de votre FAI, ignorez les champs Client DHCP et
Domaines de recherche.
Configuration PPPoE
Certains FAI s’appuyant sur la technologie DSL utilisent le protocole PPPoE (Point-toPoint Protocol over Ethernet). Si vous utilisez un modem DSL et que vous avez besoin
d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe pour vous connecter à Internet, contactez
votre FAI pour savoir si vous devez vous connecter via PPPoE.
Pour configurer une connexion PPPoE :
Pour configurer votre réseau, ayez à portée de main votre nom d’utilisateur, votre mot
de passe et, si cela est nécessaire, l’adresse du serveur de noms de domaine (DNS)
fournis par votre FAI (voir la page 84).
1 Dans préférence Réseau, sélectionnez Ethernet intégré dans le menu local Afficher.
F3188Q88.book Page 96 Friday, April 8, 2005 7:30 PMAnnexe C Connexion à Internet 97
2 Cliquez sur PPPoE et sélectionnez “Se connecter via PPPoE”.
3 Remplissez le reste des champs. Si vous souhaitez que tous les utilisateurs de votre
ordinateur utilisent la même méthode de connexion, sélectionnez “Enregistrer le mot
de passe”.
Remarque : pour vous connecter automatiquement au démarrage d’une application
TCP/IP, telle qu’un navigateur Web ou une application de courrier électronique, cliquez
sur Options PPPoE, puis sélectionnez “Se connecter automatiquement si nécessaire”.
F3188Q88.book Page 97 Friday, April 8, 2005 7:30 PM98 Annexe C Connexion à Internet
4 Cliquez sur TCP/IP et sélectionnez Via PPP ou Manuellement dans le menu local
Configurer IPv4, selon les instructions de votre FAI. Si votre FAI vous a communiqué
une adresse IP statique, choisissez Manuellement et tapez l’adresse dans le champ
Adresse IP.
5 Saisissez les adresses des serveurs de noms de domaine (DNS) dans le champ
Serveurs DNS.
6 Cliquez sur Appliquer.
F3188Q88.book Page 98 Friday, April 8, 2005 7:30 PMAnnexe C Connexion à Internet 99
Votre connexion à Internet est prête dès que vous avez configuré votre réseau. Vous
pouvez alors ouvrir votre navigateur Web ou une autre application TCP/IP afin de tester
votre connexion.
Important : si vous n’avez pas sélectionné l’option de connexion automatique, vous
devez ouvrir l’application Connexion à Internet, choisir la configuration adéquate, puis
cliquer sur Se connecter. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Connexion à
Internet dans la barre des menus située en haut de l’écran.
Connexion sans fil AirPort Extreme
Si une carte AirPort Extreme est installée sur votre Mac mini, vous pouvez configurer
votre réseau AirPort et votre connexion à Internet à l’aide de l’Assistant réglages AirPort
ou AirPort Extreme qui se trouve dans le dossier Applications/Utilitaires. L’assistant
vous aide à configurer votre borne d’accès d’une part, et configure votre ordinateur
pour l’utilisation d’une borne d’accès AirPort Extreme ou AirPort Express d’autre part.
Pour en savoir plus sur votre borne d’accès, consultez le guide de configuration
l’accompagnant. Si votre borne d’accès est déjà configurée, votre carte AirPort Extreme
devrait dans la plupart des cas y accéder immédiatement.
F3188Q88.book Page 99 Friday, April 8, 2005 7:30 PM100 Annexe C Connexion à Internet
Pour vérifier si vous avez accès à un réseau AirPort Extreme :
m Cliquez sur l’icône d’état AirPort dans la barre des menus et choisissez un réseau
AirPort dans la liste.
Si aucun réseau AirPort n’y figure, vous pouvez utiliser l’Assistant réglages AirPort pour
vérifier ou modifier vos réglages ou bien les changer via la sous-fenêtre Réseau des
Préférences Système.
F3188Q88.book Page 100 Friday, April 8, 2005 7:30 PMAnnexe C Connexion à Internet 101
Configuration manuelle d’une connexion AirPort Extreme
Demandez les informations suivantes à votre administrateur système si vous prévoyez
d’effectuer une connexion manuelle.
Si vous vous connectez via DHCP, la plupart de ces informations sont automatiquement
transmises à votre ordinateur via le réseau. Consultez votre administrateur de système
pour obtenir les renseignements nécessaires.
 Adresses des serveurs de noms de domaine (DNS), si nécessaire
 Configuration d’adresse IP manuelle ou via DHCP
 Adresse IP
 Adresse du routeur
 Masque de sous-réseau
 Mot de passe, si nécessaire
Assurez-vous ensuite que les options de connexion AirPort sont activées dans les
préférences Réseau.
Pour configurer les préférences Réseau pour une connexion AirPort Extreme :
1 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système dans la barre des menus.
2 Cliquez sur Réseau.
3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau.
F3188Q88.book Page 101 Friday, April 8, 2005 7:30 PM102 Annexe C Connexion à Internet
4 Cochez la case Activé à côté d’AirPort.
Suivez ensuite les instructions fournies par votre FAI ou votre administrateur réseau
pour configurer votre réseau manuellement ou via DHCP. Si vous configurez vousmême votre réseau, il est peut-être plus simple d’utiliser DHCP car le serveur attribue
automatiquement les adresses IP.
1 Choisissez AirPort dans le menu local Afficher.
2 Cliquez sur TCP/IP, si cette option n’est pas encore sélectionnée.
F3188Q88.book Page 102 Friday, April 8, 2005 7:30 PMAnnexe C Connexion à Internet 103
3 Dans le menu local Configurer IPv4, choisissez Manuellement ou Via DHCP.
 Si vous choisissez Manuellement, saisissez les autres informations dans les champs
correspondants.
 Si vous choisissez Via DHCP, il est inutile de saisir d’autres informations, sauf
instructions contraires de votre administrateur de système.
F3188Q88.book Page 103 Friday, April 8, 2005 7:30 PM104 Annexe C Connexion à Internet
4 Cliquez sur AirPort et sélectionnez les options requises pour vous connecter à un
réseau AirPort Extreme après le redémarrage ou lors de la réactivation de l’ordinateur
après une suspension d’activité.
5 Cliquez sur Appliquer.
Une fois les réglages AirPort configurés, vous êtes prêt à vous connecter.
Pour tester votre connexion AirPort Extreme :
m Cliquez sur l’icône d’état AirPort dans la barre des menus et choisissez Activer AirPort.
Tout réseau AirPort Extreme situé dans la zone de couverture doit apparaître dans le
menu.
Dépannage de votre connexion
Connexion à Internet par modem câble, ligne DSL et réseau LAN
Si vous ne parvenez pas à vous connecter à Internet à l’aide de votre modem câble ou
DSL ou via votre réseau local (LAN), suivez les étapes ci-après.
Important : les instructions relatives aux modems ne concernent pas les utilisateurs de
réseau LAN. Contrairement aux utilisateurs de modems câble et DSL, les utilisateurs
de réseau LAN peuvent disposer de concentrateurs, de commutateurs, de routeurs
et autres dispositifs de connexion. Ils doivent faire appel à leur administrateur réseau
plutôt qu’à un FAI.
F3188Q88.book Page 104 Friday, April 8, 2005 7:30 PMAnnexe C Connexion à Internet 105
Vérifiez les câbles et les sources d’alimentation
Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés, y compris
le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et le câble
raccordant le modem à la prise murale. Vérifiez les câbles et l’alimentation des routeurs
et des concentrateurs Ethernet.
Allumez et éteignez le modem puis réinitialisez-le
Éteignez le modem câble ou DSL, puis rallumez-le après quelques minutes. Certains FAI
conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem. Si votre modem dispose
d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant ou après avoir éteint puis
rallumé le modem.
Connexions PPPoE
Si vous ne parvenez pas à vous connecter à votre fournisseur d’accès Internet via
PPPoE, vérifiez d’abord les câbles et l’alimentation, éteignez et rallumez le modem,
puis réinitialisez-le.
Vérifiez les réglages des Préférences Système :
1 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système.
2 Cliquez sur Réseau.
3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau.
4 Sélectionnez Ethernet intégré, puis faites glisser cette configuration en haut de la liste
des configurations de ports.
5 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Ethernet intégré.
6 Cliquez sur PPPoE.
7 Sélectionnez Se connecter via PPPoE.
F3188Q88.book Page 105 Friday, April 8, 2005 7:30 PM106 Annexe C Connexion à Internet
8 Vérifiez le champ Nom de compte pour vous assurer d’avoir tapé les informations
correctes fournies par votre FAI.
9 Si vous avez choisi d’enregistrer votre mot de passe, tapez-le à nouveau afin d’être sûr
qu’il est correct.
10 Cliquez sur TCP/IP. Assurez-vous d’avoir saisi dans cette sous-fenêtre les informations
correctes fournies par votre FAI.
11 Cliquez sur Appliquer.
Connexions au réseau
Si vous disposez de plusieurs ordinateurs tentant de partager une connexion à
Internet, assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir
si votre FAI fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque
ordinateur.
Si une seule adresse IP est utilisée, vous devez disposer d’un routeur capable de
partager la connexion (on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de
“masquage d’adresse IP”). Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez
la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré
votre réseau. La borne d’accès AirPort Extreme peut être utilisée pour que plusieurs
ordinateurs partagent une adresse IP. Pour plus d’informations sur l’utilisation de la
borne d’accès AirPort Extreme, consultez l’aide à l’écran ou rendez-vous sur le site Web
AirPort, à l’adresse www.apple.com/fr/airport.
Si ces instructions s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés,
contactez votre FAI.
F3188Q88.book Page 106 Friday, April 8, 2005 7:30 PM107
Communications Regulation Information
FCC Compliance Statement
This device complies with part 15 of the FCC rules.
Operation is subject to the following two conditions: (1)
This device may not cause harmful interference, and (2)
this device must accept any interference received,
including interference that may cause undesired
operation. See instructions if interference to radio or
television reception is suspected.
Radio and Television Interference
This computer equipment generates, uses, and can
radiate radio-frequency energy. If it is not installed and
used properly—that is, in strict accordance with Apple’s
instructions—it may cause interference with radio and
television reception.
This equipment has been tested and found to comply
with the limits for a Class B digital device in accordance
with the specifications in Part 15 of FCC rules. These
specifications are designed to provide reasonable
protection against such interference in a residential
installation. However, there is no guarantee that
interference will not occur in a particular installation.
You can determine whether your computer system is
causing interference by turning it off. If the interference
stops, it was probably caused by the computer or one of
the peripheral devices.
If your computer system does cause interference to
radio or television reception, try to correct the
interference by using one or more of the following
measures:
 Turn the television or radio antenna until the
interference stops.
 Move the computer to one side or the other of the
television or radio.
 Move the computer farther away from the television or
radio.
 Plug the computer into an outlet that is on a different
circuit from the television or radio. (That is, make
certain the computer and the television or radio are on
circuits controlled by different circuit breakers or
fuses.)
If necessary, consult an Apple Authorized Service
Provider or Apple. See the service and support
information that came with your Apple product. Or,
consult an experienced radio/television technician for
additional suggestions.
This product has demonstrated EMC compliance under
conditions that included the use of compliant peripheral
devices and shielded cables between system
components. It is important that you use compliant
peripheral devices and shielded cables (including
Ethernet network cables) between system components
to reduce the possibility of causing interference to
radios, television sets, and other electronic devices.
Important: Changes or modifications to this product
not authorized by Apple Computer, Inc., could void the
EMC compliance and negate your authority to operate
the product.
Responsible party (contact for FCC matters only):
Apple Computer, Inc.
Product Compliance
1 Infinite Loop, M/S 26-A
Cupertino, CA 95014-2084
408-974-2000
F3188Q88.book Page 107 Friday, April 8, 2005 7:30 PM108
Bluetooth Information
FCC Bluetooth Wireless Compliance
The antenna used with this transmitter must not be
colocated or operated in conjunction with any other
antenna or transmitter subject to the conditions of the
FCC Grant.
Bluetooth Industry Canada Statement
This Class B device meets all requirements of the
Canadian interference-causing equipment regulations.
Cet appareil numérique de la Class B respecte toutes les
exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du
Canada.
Industry Canada Statement
Complies with the Canadian ICES-003 Class B
specifications. Cet appareil numérique de la classe B est
conforme à la norme NMB-003 du Canada.
VCCI Class B Statement
Europe—UE Déclaration de conformité
Conforme aux directives européennes 72/23/EEC,
89/336/EEC et 1999/5/EC.
Laser Information
Do not attempt to disassemble the cabinet containing
the laser. The laser beam used in this product is harmful
to the eyes. The use of optical instruments, such as
magnifying lenses, with this product increases the
potential hazard to your eyes. For your safety, have this
equipment serviced only by an Apple Authorized
Service Provider.
Because of the optical disc drive in your computer, your
computer is a Class 1 laser product. The Class 1 label,
located in a user-accessible area, indicates that the drive
meets minimum safety requirements. A service warning
label is located in a service-accessible area. The labels on
your product may differ slightly from the ones shown
here.
Exposure to Radio Frequency Energy
The radiated output power of the optional AirPort
Extreme Card is far below the FCC radio frequency
exposure limits. Nevertheless, it is advised to use the
wireless equipment in such a manner that the potential
for human contact during normal operation is
minimized.
Warning: Making adjustments or performing
procedures other than those specified in your
equipment’s manual may result in hazardous radiation
exposure.
Class 1 label Service warning label
F3188Q88.book Page 108 Friday, April 8, 2005 7:30 PM109
Avertissement relatif aux activités
à haut risque
Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans
des installations nucléaires, pour la navigation ou la
communication aérienne, pour le contrôle du trafic
aérien, ni dans aucune autre situation où une panne
du système informatique pourrait entraîner la mort,
des blessures ou de graves dommages écologiques.
ENERGY STAR®
Compliance
As an ENERGY STAR®
partner, Apple has determined that
standard configurations of this product meet the
ENERGY STAR guidelines for energy efficiency. The
ENERGY STAR program is a partnership with office
product equipment manufacturers to promote energyefficiency. Reducing energy consumption of office
products saves money and reduces pollution by
eliminating wasted energy.
Disposal and Recycling Information
For information about Apple’s recycling program, go to
www.apple.com/environment/summary.html.
Élimination de la pile
Votre Mac mini contient une batterie au lithium-ion
conçue pour durer toute la vie du produit. Ne tentez pas
de changer la batterie. Seul un technicien agréé Apple
peut changer cette batterie.
Lorsque ce produit arrive en fin de cycle de vie, veuillez
l’éliminer en vous conformant aux directives
environnementales de votre pays.
Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden
ingeleverd bij de chemokar of in een speciale
batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden
gedeponeerd.
Deutschland: Das Gerät enthält Batterien. Diese gehören
nicht in den Hausmüll. Sie können verbrauchte Batterien
beim Handel oder bei den Kommunen unentgeltlich
abgeben. Um Kurzschlüsse zu vermeiden, kleben Sie die
Pole der Batterien vorsorglich mit einem Klebestreifen
ab.
Taiwan:
Informations relatives au téléphone
et au modem Apple 56K
Informez votre opérateur téléphonique
Certains opérateurs téléphoniques exigent que vous
informiez votre agence locale lorsque vous raccordez
un modem à leur réseau.
Information You Need in the United States
The internal modem complies with Part 68 of the FCC
rules. On the back of this equipment is a label that
contains, among other information, the FCC registration
number and ringer equivalence number (REN). If
requested, provide this information to your telephone
company.
F3188Q88.book Page 109 Friday, April 8, 2005 7:30 PM110
 Ringer equivalence number (REN): 0.1B The REN is useful
to determine the quantity of devices you may connect
to your telephone lines and still have all those devices
ring when your telephone number is called. In most,
but not all areas, the sum of the RENs of all devices
connected to one line should not exceed five (5.0). To
be certain of the number of devices you may connect
to your line, as determined by the REN, you should
contact your local telephone company to determine
the maximum REN for your calling area.
 Telephone jack type: USOC, RJ-11 An FCC-compliant
telephone cord and modular plug are provided with
this equipment. This equipment is designed to be
connected to the telephone network or premises
wiring using a compatible modular jack that complies
with Part 68 rules. See the installation instructions for
details.
Telephone Line Problems
If your telephone doesn’t work, there may be a problem
with your telephone line. Disconnect the modem to see
if the problem goes away. If it doesn’t, report the
problem either to your local telephone company or to
your company’s telecommunications people.
If disconnecting the modem eliminates the problem,
the modem itself may need service. See the service and
support information that came with your Apple product
for instructions on how to contact Apple or an Appleauthorized service provider for assistance.
If you do not disconnect your modem when it is
adversely affecting the telephone line, the telephone
company has the right to disconnect your service
temporarily until you correct the problem. The
telephone company will notify you as soon as possible.
Also, you will be informed of your right to file a
complaint with the FCC.
The telephone company may make changes in its
facilities, equipment, operations, or procedures that
could affect the operation of your equipment. If this
happens, the telephone company will provide advance
notice in order for you to make the necessary
modifications to maintain uninterrupted service.
The internal modem will not work with party lines,
cannot be connected to a coin-operated telephone, and
may not work with a private branch exchange (PBX).
Telephone Consumer Protection Act
The Telephone Consumer Protection Act of 1991 makes
it unlawful for any person to use a computer or other
electronic device to send any message via a telephone
fax machine unless such message clearly contains, in a
margin at the top or bottom of each transmitted page
or on the first page of the transmission, the date and
time it was sent and an identification of the business or
other entity, or individual sending the message and the
telephone number of the sending machine of such
business, entity, or individual.
Information You Need in Canada
The Industry Canada (IC) label identifies certified
equipment. This certification means that the equipment
meets certain telecommunications network protective,
operational, and safety requirements. The Department
does not guarantee the equipment will operate to a
user’s satisfaction.
F3188Q88.book Page 110 Friday, April 8, 2005 7:30 PM111
Before installing this equipment, make sure that you are
permitted to connect to the facilities of the local
telecommunications company. Be sure you use an
acceptable method of connection to install the
equipment. In some cases, you may extend the
company’s internal wiring for single-line individual
service by means of a certified telephone extension
cord. Be aware, however, that compliance with these
conditions may not prevent degradation of service in
some situations.
Repairs to certified equipment should be made by an
authorized Canadian maintenance facility designated by
the supplier. Any equipment malfunctions or repairs or
alterations that you make to this equipment may cause
the telecommunications company to request that you
disconnect the equipment.
In Canada, contact Apple at:
7495 Birchmount Road, Markham, Ontario,
L3R 5G2, 800-263-3394
Users should not attempt to make such connections
themselves, but should contact the appropriate electric
inspection authority or electrician.
 Load number: 0.1 The load number (LN) assigned to
each terminal device denotes the percentage of the
total load to be connected to the telephone loop that
is used by the device, to prevent overloading. The
termination of a loop may consist of any combination
of devices, subject only to the requirement that the
sum of the load numbers of all devices does not
exceed 100.
 Telephone jack type: CA-11
Informations Destinées aux Utilisateurs Canadiens
L’étiquette d’Industrie Canada identifie un matériel
homologué. Cette étiquette certifie que le matériel est
conforme à certaines normes de protection,
d’exploitation et de sécurité des réseaux de
télécommunications. Le Ministère n’assure toutefois pas
que le matériel fonctionnera à la satisfaction de
l’utilisateur.
Avant d’installer ce matériel, l’utilisateur doit s’assurer
qu’il est permis de la raccorder au réseau de l’enterprise
locale de télécommunication. Le matériel doit
également être installé en suivant une méthode
acceptée de raccordement. Dans certains cas, le câblage
appartenant à l’enterprise utilisé pour un service
individuel à ligne unique peut être prolongé au moyen
d’un dispositif homologué de raccordement (cordon
prolongateur téléphonique).
L’abonné ne doit pas oublier qu’il est possible que la
conformité aux conditions énoncées ci-dessus
n’empêche pas la dégradation du service dans certaines
situations. De fait, les enterprises de télécommunication
ne permettent pas que l’on raccorde un matériel aux
prises d’abonnés, sauf dans les cas précis prévus par les
terifs particuliers de ces enterprises.
Warning: Users should ensure for their own protection
that the electrical ground connections of the power
utility, telephone lines, and internal metallic water pipe
system, if present, are connected together. This
precaution may be particularly important in rural
areas.
F3188Q88.book Page 111 Friday, April 8, 2005 7:30 PM112
Les réparations de matériel homologué doivent être
effectuées par un centre d’entretien canadien autorisé
désigné par la fournisseur. La compagnie de
télécommunications peut demander à l’utilisateur de
débrancher un appareil suite à des réparations ou à des
modifications effectuées par l’utilisateur ou en raison
d’un mauvais fonctionnement.
Veuillez contacter Apple pour des informations
supplémentaires:
Apple Canada, Inc.
7495 Birchmount Road
Markham, Ontario
Canada L3R 5G2
Service à la clientèle d’Apple Canada: 800-263-3394
L’utilisateur ne doit pas tenter de faire ces
raccordements lui-même; il doit avoir recours à une
service d’inspection des installations électriques ou à un
électricien, selon le cas.
 Numéro de charge: 0.1 L’indice de charge (IC) assigné à
chaque dispositif terminal indique, pour éviter toute
surcharge, le pourcentage de la charge totale qui sera
raccordée à un circuit téléphonique bouclé utilisé par
ce dispositif. La terminaison du circuit bouclé peut être
constituée de n’importe quelle combinaison de
dispositifs pourvu que la somme des indices de charge
de l’ensemble des dispositifs ne dépasse pas 100.
 Type de prise téléphonique: CA-11
Information You Need in the United Kingdom
This terminal equipment is intended for direct
connection to the analogue Public Switched
Telecommunications Network and is approved for use
within the United Kingdom with the following features:
 Modem facility
 Autocalling facility
 Autoanswer facility
 DTMF signaling
Operation in the absence of proceed indication or upon
detection of proceed indication
This product is in conformity with relevant regulatory
standards following the provisions of European Council
Directives 73/23/EEC (Low Voltage Directive) and 89/
336/EEC amended by 92/31/EEC (EMC Directive).
Informationen fur Deutschland
Diese Modem-Karte ist als Endeinrichtung vorgesehen
und muss an ein TAE mit F-Kodierung angeschlossen
werden. Diese Endeinrichtung ist in Konformität gemäss
Niederspannungsrichtlinie 73 / 23 / EWG sowie EMCRichtlinien 89 / 336 / EWG und 92 / 31 / EWG.
Informations pour la France
Ce matériel est conforme aux normes applicables de
sécurité éléctrique d’après la directive 73 / 23 / CEE et
aux normes applicables de comptabilité
éléctromagnétique d’après la directive 89 / 336 / CEE,
modifié par la directive 92 / 31 / CEE.
Avertissement : Pour sa propre protection, l’utilisateur
doit s’assurer que tout les fils de mise à la terre du
secteur, des lignes téléphoniques et les canalisations
d’eau métalliques, s’il y en a, soient raccordés
ensemble. Cette précaution est particulièrement
importante dans les régions rurales.
F3188Q88.book Page 112 Friday, April 8, 2005 7:30 PM113
Information You Need in Australia
All telecommunications devices are required to be
labelled as complying to the Australian
telecommunications standards, ensuring the health and
safety of the operator and the integrity of the Australian
telecommunications network. To provide compliance
with the Australian Communications Authority’s
technical standards, please ensure that the following AT
commands are maintained:
 ATB0 (ITU/CCITT operation)
 AT&G0 (no guard tone)
 AT&P1 (33/66 pulse dial make/break ratio)
 ATS0 = 0 or ATS0 = 1 (no answer or answer greater
than one ring)
 ATS6 = 95
(DTMF period between 70–255 ms)
 ATS11 = 95
(DTMF period between 70–255 ms)
For calls that are automatically generated, a total of
three call attempts are allowed to a telephone number,
with a minimum period between calls of 2 seconds. If
the call does not connect after three attempts, 30
minutes must expire before automatic redialing may be
initiated. Failure to set the modem (and any associated
communications software) to the above settings may
result in the modem being non-compliant with
Australian telecommunications standards. Under these
circumstances a user could be subject to significant
penalties under the Telecommunications Act 1997.
This modem must be properly secured in order for you
to use it. Telecommunications network voltages exist
inside the computer and the telecommunications line
connection must be removed before opening the
computer.
Information You Need in New Zealand
This modem is fully approved to operate on the New
Zealand telecommunications network under Telepermit
number PTC 211/04/002. All telecommunications devices
are required to hold a Telepermit and be labelled
accordingly with the approved Telepermit number to
comply with the New Zealand telecommunications
standards, ensuring the health and safety of the
operator and the integrity of the New Zealand
telecommunications network. To ensure compliance, all
calls that are automatically generated should not make
more than 10 call attempts to the same number within
any 30 minute period with a minimum period between
calls of 30 seconds. Failure to adhere to these standards
may result in the modem being non-compliant with
New Zealand Telecom standards. Under these
circumstances a user could be subject to significant
penalties.
Important: The grant of a Telepermit for any item of
terminal equipment indicates that only Telecom has
accepted that the item complies with minimum
conditions for connection to its network. It indicates no
endorsement of the product by Telecom, nor does it
provide any sort of warranty. Above all, it provides no
assurance that any item will work correctly in all
respects with another item of Telepermitted equipment
of a different make or model, nor does it imply that any
product is compatible with all of Telecom’s network
services.
F3188Q88.book Page 113 Friday, April 8, 2005 7:30 PMF3188Q88.book Page 114 Friday, April 8, 2005 7:30 PM
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et effets Logic Studio, cliquez sur le
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WaveBurner
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Tous les efforts nécessaires ont été mis en œuvre pour
que les informations contenues dans ce manuel soient
les plus exactes possibles. Apple n’est pas responsable
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rer légèrement de ce que vous voyez à l’écran.
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1 Infinite Loop
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408-996-1010
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d’autres pays.
Finder et SuperDrive sont des marques d’Apple Inc.
Les autres noms de sociétés ou de produits mentionnés
ici sont des marques de leurs détenteurs respectifs. La
mention de produits tiers n’est effectuée qu’à des fins
informatives et ne constitue en aucun cas une approbation ni une recommandation. Apple n’assume aucune
responsabilité vis-à-vis des performances ou de l’utilisation de ces produits. 3
1 Table des matières
Préface 7 Introduction à WaveBurner
8 Création d’un CD avec WaveBurner
9 Présentation
Chapitre 1 11 Interface WaveBurner
12 Barre d’outils
13 Vue d’ensemble
13 Zone Vue onde
15 Liste des séquences
16 Liste des pistes
17 Fenêtre de module
18 Fenêtre Données de la séquence
21 Fenêtre Données de la piste
22 Fenêtre Données du point d’index
23 VU-mètre
23 Personnalisation de la barre d’outils
Chapitre 2 25 Premiers contacts avec WaveBurner
25 Éléments d’un projet
26 Création, ouverture et enregistrement de projets
26 Ajout de fichiers audio à un projet
27 Gestion des noms dans WaveBurner
27 Audition de projets et contrôle de la lecture
29 Navigation dans la zone Vue onde
Chapitre 3 31 Utilisation des séquences
31 Sélection de séquences
32 Copie de séquences
32 Réorganisation des séquences
32 Déplacement de séquences
33 Application de Trims aux séquences
33 Scission de séquences
34 Ajustement des niveaux
34 Recherche de la présence d’écrêtage dans une séquence4 Table des matières
35 Normalisation des séquences
37 Ajout et ajustement de fondus
39 Bounce d’une séquence
40 Changement de nom des séquences
40 Suppression de séquences
Chapitre 4 41 Utilisation des pistes
41 Liste des pistes
43 Fenêtre Données des pistes du CD
44 Bounce d’une piste
Chapitre 5 45 Utilisation de marqueurs
45 Types de marqueurs
46 Insertion et suppression de marqueurs
47 Déplacement de marqueurs
Chapitre 6 51 Utilisation des effets
51 Modules d’effet inclus dans WaveBurner
52 Utilisation de modules d’effet Audio Units
53 Ajout et suppression de modules
54 Dérivation de modules
54 Ajustement des paramètres des modules
55 Modification de l’ordre des modules
55 Utilisation du VU-mètre
Chapitre 7 57 Gravure d’un projet sur CD
57 Préparation à la gravure d’un CD
57 Graveurs de CD pris en charge
57 Définition des options du disque
59 Aperçu des transitions
60 Gravure du CD
Chapitre 8 61 Définition des préférences dans WaveBurner
61 Préférences générales
62 Préférences du gestionnaire audio
62 Préférences pour l’aperçu
63 Préférences pour la gravure
63 Préférences pour les bounces
64 Préférences SDII
65 Préférences pour les informationsTable des matières 5
Annexe 67 Raccourcis clavier de WaveBurner
67 Commandes de fichiers
67 Commandes d’édition
67 Exploitation des disques
68 Commandes de séquences
68 Commandes d’affichage
68 Exploitation des transports
69 Commandes de la zone d’affichage Onde
69 Commandes de fenêtres
69 Commandes d’aide 7
Préface
1 Introduction à WaveBurner
WaveBurner est une application qui vous permet d’assembler,
de mastériser et de graver des CD audio à l’aide du lecteur
SuperDrive ou du graveur de CD pris en charge par Mac OS X.
Les CD audio créés à l’aide de WaveBurner peuvent être lus sur n’importe quel lecteur
de CD audio et servir de prémasters pour la production de masse.
WaveBurner prend en charge toutes les options de la norme Livre rouge pour le stockage
des données de CD audio. Vous pouvez ajouter au maximum jusqu’à 99 pistes et 99 sousindex par piste allouable selon la norme Livre rouge, inclure des codes ISRC pour chaque
piste, définir des indicateurs d’anti-copie et de préaccentuation pour chaque piste, ainsi
qu’ajouter des codes UPC/EAN pour le CD. WaveBurner prend également en charge la
norme de texte du CD, ce qui vous permet d’ajouter des informations lisibles sur n’importe
quel lecteur CD compatible avec le texte du CD.
Vous créez un CD en ajoutant des fichiers audio à un projet WaveBurner. Ces fichiers
audio apparaissent sous forme de séquences dans la fenêtre du projet, dans laquelle
vous pouvez les modifier et les organiser graphiquement ou numériquement. Vous
pouvez ajouter des effets aux séquences individuelles ou au projet global en utilisant
les effets inclus ou les modules Audio Unit installés sur votre ordinateur. Vous pouvez
modifier les pauses entre les pistes et ajouter des fondus entrants, sortants et enchaî-
nés. Une fois votre projet terminé, vous pouvez le graver sur un CD.8 Préface Introduction à WaveBurner
Création d’un CD avec WaveBurner
WaveBurner facilite la création de CD audio de qualité professionnelle, de façon très simple. La rubrique suivante détaille le flux de travaux impliqué dans un projet WaveBurner
typique.
Étape 1 : Ajoutez des fichiers audio
Vous commencez par créer un projet et par y ajouter des fichiers audio. Lorsque vous
ajoutez un fichier audio, celui-ci est importé sous forme de séquence que vous pouvez
trier et modifier dans la zone Vue onde et la liste Séquence. Une piste est créée pour chaque nouvelle région. Vous pouvez la modifier dans la zone Vue onde et dans la liste Piste.
Étape 2 : Modifiez les séquences et les pistes
Vous pouvez modifier les séquences et les pistes de différentes façons : graphiquement
dans la zone Vue onde ou numériquement dans les listes Séquence et Piste. Vous pouvez
copier, réorganiser, diviser et normaliser les séquences, ainsi que régler leur gain ou leur
appliquer un Trim. Vous pouvez également combiner plusieurs séquences en une seule
piste ou créer plusieurs pistes avec une seule séquence. À mesure que vous travaillez, vous
pouvez lire tout ou partie du projet afin d’écouter immédiatement le résultat de vos
changements.
Étape 3 : Ajustez les fondus enchaînés
Lorsque vous ajoutez une séquence, WaveBurner crée une piste et ajoute des marqueurs
de piste pour définir la pause entre les pistes. Vous pouvez créer des fondus enchaînés entre
les séquences superposées et ajuster les fondus enchaînés dans la zone Vue onde. Vous
pouvez aussi insérer des marqueurs d’index pour créer des points d’index sur une piste.
Étape 4 : Ajoutez des effets
Vous pouvez ajouter des effets aux séquences individuelles et au mixage du projet global
afin d’amplifier et de mettre en forme le son. Un ensemble d’effets de mastérisation de
qualité professionnelle est livré avec WaveBurner, y compris l’égalisation (EQ), la compression, la limitation et la réduction du bruit, ainsi que des outils d’analyse qui vous aideront
à optimiser le mixage global. Vous pouvez ajuster les paramètres des effets, ainsi qu’enregistrer et réutiliser les réglages, y compris les chaînes d’effets et leurs réglages. Vous pouvez également utiliser des modules d’effet Audio Unit d’Apple ou de fabricants tiers.
Étape 5 : Gravez le projet sur CD
Vous gravez votre projet à l’aide d’un matériel de gravure de CD pris en charge qui est
connecté à (ou installé sur) votre Macintosh. Avant de graver le projet sur un CD, vous
pouvez utiliser le mode Test de gravure pour déterminer la vitesse maximale à laquelle
votre système peut écrire les données de façon fiable sur un CD-R.Préface Introduction à WaveBurner 9
Présentation
Vous pouvez graver rapidement un CD en utilisant des fichiers audio et des réglages
par défaut pour les pauses et les fondus enchaînés.
Pour graver rapidement un CD :
1 Ouvrez WaveBurner.
2 Choisissez Fichier > Nouveau pour créer un projet.
3 Faites glisser les fichiers audio souhaités vers la liste Séquence ou la zone Vue onde dans
l’ordre dans lequel vous souhaitez les voir apparaître sur le CD.
4 Cliquez sur le bouton Graver.
La zone de dialogue Graver s’affiche dans la partie supérieure de la fenêtre. Le nom du
graveur de CD s’affiche dans la zone de dialogue Graver. Si le plateau du graveur de CD
ne contient aucun disque vierge, la zone de dialogue Graver vous invite à en insérer un.
5 Insérez un CD-R vierge, si vous ne l’avez pas déjà fait.
6 Dans la zone de dialogue Graver, cliquez sur le bouton Graver.
WaveBurner lance immédiatement la gravure (l’écriture) de votre projet sur le CD vierge.
La zone de dialogue Graver affiche la progression du processus de gravure. Lorsque le processus d’écriture est terminé, le CD est éjecté du graveur et prêt à être lu.1
11
1 Interface WaveBurner
La création de projets s’effectue dans la fenêtre principale
de WaveBurner.
Vous pouvez ajouter des séquences à votre projet et les organiser, modifier graphiquement séquences, pauses et fondus enchaînés, lire le projet pour visionner un aperçu de
vos modifications et ajouter des modules d’effets dans la fenêtre WaveBurner.
L’interface WaveBurner se compose des principales zones suivantes :
 Barre d’outils personnalisable avec compteur (si visible) : vous pouvez personnaliser la barre
d’outils en y ajoutant un compteur et des boutons pour les commandes les plus
fréquemment utilisées. Reportez-vous à la rubrique « Personnalisation de la barre
d’outils » à la page 23 pour de plus amples informations.
 Vue d’ensemble : affiche le plan de montage de tout le projet, y compris l’ensemble
des séquences.
Barre d’outils
personnalisable
Vue d’ensemble
Zone Vue onde
Liste des séquences
Liste des pistes Listes Modules de séquences et Modules de mixage
Champ Durée, piste
et index12 Chapitre 1 Interface WaveBurner
 Zone Vue onde : affiche les séquences par ordre de durée. Vous pouvez modifier graphiquement séquences, marqueurs de piste, pauses et fondus enchaînés dans la zone
Vue onde.
 Champ Durée, piste et index : affiche le numéro de la piste en cours, son numéro d’index
et l’emplacement de la ligne de position.
 Liste des séquences : répertorie les séquences par ordre chronologique. La liste des
séquences vous permet d’ajouter des séquences et de les organiser.
 Liste des pistes : répertorie les pistes dans l’ordre dans lequel elles apparaîtront sur
le CD et affiche les informations relatives à chaque piste.
 Listes Modules de séquences et Modules de mixage : permet d’ajouter des modules
d’effets et de régler les paramètres de ces modules.
Remarque : vous pouvez librement ajuster la taille relative de chaque rubrique de
l’interface WaveBurner en cliquant sur les lignes parallèles aux extrémités des différents
panneaux et en les faisant glisser. Les bordures verticales peuvent être déplacées horizontalement, les bordures horizontales verticalement.
Barre d’outils
La barre d’outils de WaveBurner est personnalisable (reportez-vous à la rubrique
« Personnalisation de la barre d’outils » à la page 23). Elle contient un certain nombre
d’outils par défaut, parmi lesquels les boutons Importer, Contrôler l’écrêtage du disque, Normaliser séq., Graver, Bounce projet, Notes de mastérisation, Texte du CD et
Données de la séquence. Elle peut également disposer d’un compteur.
Compteur
Le champ Piste du Compteur affiche le numéro de la piste et, à droite, le marqueur
d’index. L’emplacement actuel de la ligne de position est indiqué en minutes et secondes dans le champ Durée. Le compteur se met à jour en temps réel à mesure qu’un
projet est lu. Il est conçu pour émuler l’affichage d’un lecteur CD. Un affichage plus
précis est disponible dans la règle temporelle.
Remarque : les informations affichées dans le compteur sont également visibles dans
les champs Durée, Piste et Index, en dessous de la zone Vue onde, ce qui vous permet
de ne pas afficher le compteur si vous le souhaitez.Chapitre 1 Interface WaveBurner 13
Vue d’ensemble
La Vue d’ensemble affiche la durée intégrale du projet. Un rectangle rouge dans la vue
d’ensemble indique la partie du projet actuellement visible dans la zone Vue onde. Vous
pouvez accéder à une autre partie du projet tout en effectuant un zoom avant ou arrière
sur la zone Vue onde, en faisant glisser le rectangle horizontalement (pour le déplacer) ou
verticalement (pour zoomer dessus).
Zone Vue onde
La zone Vue onde constitue l’espace de travail principal pour vos projets. Elle permet de
visualiser et de modifier graphiquement les séquences et les marqueurs. Les séquences
sont classées en alternance, entre la première et la dernière ligne de la zone Vue onde.
Fonctionnellement parlant, ces deux lignes sont identiques ; il n’en existe que deux afin
de simplifier l’édition des séquences qui se chevauchent.
Chaque séquence est affichée sous la forme d’un rectangle vert, contenant une forme
d’onde. Chaque séquence est également associée à une ligne de niveau de volume,
que vous pouvez ajuster. Les marqueurs de début de piste sont identifiés par des balises violettes, les marqueurs d’index par des balises marron.
Commande Zoom sur la
forme d’onde verticale
Règle temporelle Barre de marqueur
Ligne de
position
Boutons du mode d’édition Boutons de marqueurs Commandes de navigation Champs Durée, Piste et Index
Barre de marqueur
Commande Zoom
horizontal
Règle temporelle
Ligne de position14 Chapitre 1 Interface WaveBurner
La zone Vue onde est constituée des éléments suivants :
 Barres de marqueurs : ces barres, situées en haut et en bas de la zone Vue onde,
permettent d’ajouter et de trier les marqueurs.
 Règles temporelles : ces règles affichent les unités temporelles, ce qui vous permet de
placer précisément des séquences et des transitions à des emplacements bien spécifiques. Si vous cliquez sur le bouton fléché à droite de la commande Zoom, un menu
s’affiche, à partir duquel vous pouvez modifier le format des règles temporelles. Vous
pouvez également accéder à ce menu en cliquant sur les règles avec le bouton droit
de la souris ou en maintenant la touche Contrôle enfoncée. Si vous activez l’option
Durée de la piste du CD dans le menu, les règles temporelles affichent la durée de la
piste (et non celle du disque entier).
 Ligne de position : affiche la position actuelle dans le temps (si le projet est en cours
de lecture) ou le point de départ de la lecture (si le projet est arrêté).
 Boutons de navigation : ces boutons permettent de contrôler la lecture, de l’arrêter,
d’utiliser les fonctions d’avance et de rembobinage et de contrôler l’emplacement
de la ligne de position.
 Boutons du mode d’édition : cliquez sur un de ces boutons pour choisir l’un des modes
de pointeur d’édition, afin d’effectuer diverses tâches d’édition des séquences dans la
zone Vue onde. Appuyez sur Commande pour passer d’un mode de pointeur d’édition
à l’autre.
 Boutons de marqueurs : cliquez sur un de ces boutons pour sélectionner l’un des types
de marqueurs, pour ensuite l’ajouter à la barre de marqueurs. Appuyez sur Commande
pour passer d’un mode de pointeur d’édition à l’autre.
 Champs Durée, Piste et Index : ces champs indiquent l’emplacement actuel de la ligne
de position, la piste en cours et le point d’index actif (si le projet contient des marqueurs
d’index). Ces informations sont les mêmes que celles affichées dans le Compteur, ce qui
vous permet de masquer ce dernier si vous le souhaitez. Si vous cliquez sur l’icône repré-
sentant une horloge (en regard du champ Durée), cela ouvre un menu à partir duquel
vous pouvez opter pour l’un des formats de durée suivants : Temps écoulé de la piste,
Temps restant de la piste, Temps écoulé du disque, Temps restant du disque.
 Commande Zoom sur la forme d’onde verticale : cliquez sur cette commande pour définir le niveau de zoom appliqué sur l’écran de la forme d’onde verticale.
 Commande Zoom horizontal : cliquez sur cette commande pour faire glisser le curseur
et effectuer un zoom avant ou arrière.
 Barre de défilement : faites glisser cette barre pour changer la zone visible du projet.
Cliquez sur les boutons Défilement du zoom aux extrémités de la barre de défilement pour effectuer un zoom avant ou arrière sur l’écran afin de l’adapter à la taille
de la fenêtre.Chapitre 1 Interface WaveBurner 15
Liste des séquences
La liste des séquences vous permet d’ajouter des séquences à vos projets et de les
organiser. Les séquences sont classées par ordre chronologique (en fonction de leur
durée), de haut en bas. Lorsque vous sélectionnez une séquence dans la liste, elle est
également sélectionnée dans la zone Vue onde. Si vous cliquez sur l’icône de fichier
audio dans la première colonne tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé,
vous pouvez réorganiser les séquences en les faisant glisser vers le haut ou vers le bas.
Si vous faites glisser un nom de séquence en maintenant la touche Option enfoncée,
vous obtenez une copie de la séquence.
La liste des séquences affiche les informations suivantes concernant chaque séquence
et ses points de marqueur :
 Numéro
 Heure de début
 Titre
 Durée
 Commentaire
Le menu fléché disponible en haut à droite de la liste de séquences vous permet de
modifier le format de durée. Vous pouvez également déterminer si la durée des marqueurs doit être affichée sous forme de valeurs absolues (temps écoulé depuis le début
du CD) ou de valeurs relatives (temps écoulé depuis le début de la piste).
Vous pouvez librement changer la disposition des colonnes en cliquant sur le champ du
nom d’une colonne, en maintenant le bouton de la souris enfoncé et en faisant glisser
le champ vers la gauche ou vers la droite. Pour redimensionner la largeur des colonnes,
cliquez sur les lignes verticales qui séparent les champs des noms de colonne et faites-les
glisser. Si vous cliquez sur la ligne verticale entre la liste des séquences et la liste des pistes
et que vous la faites glisser, cela vous permet de régler la largeur de la liste des séquences
en affichant ou en masquant certaines colonnes. 16 Chapitre 1 Interface WaveBurner
Liste des pistes
La liste des pistes présente l’ordre des pistes tel qu’il apparaît sur le CD et affiche
des informations concernant chaque piste.
La liste des pistes contient les informations suivantes concernant chaque piste et ses
points de marqueur :
 Numéro
 Heure de début
 Titre
 Durée
 État de protection de la copie (SCMS)
 État de préaccentuation (PE)
 Code ISRC
 Heure de début de la pause
 Commentaires
Le menu fléché disponible en haut à droite de la liste de pistes vous permet de modifier
le format de durée. Vous pouvez également déterminer si la durée des marqueurs doit
être affichée sous forme de valeurs absolues (temps écoulé depuis le début du CD) ou
de valeurs relatives (temps écoulé depuis le début de la piste).
Vous pouvez librement changer la disposition des colonnes en cliquant sur le champ
du nom d’une colonne, en maintenant le bouton de la souris enfoncé et en faisant glisser le champ vers la gauche ou vers la droite. Pour redimensionner la largeur des colonnes, cliquez sur les lignes verticales qui séparent les champs des noms de colonne et
faites-les glisser. Si vous cliquez sur la ligne verticale entre la liste des séquences et
la liste des pistes et que vous la faites glisser, cela vous permet de régler la largeur de
la liste des pistes en affichant ou en masquant certaines colonnes. Chapitre 1 Interface WaveBurner 17
Listes Modules de séquences et Modules de mixage
Vous pouvez ajouter et organiser les différents modules dans les deux listes Modules.
La liste Modules de séquences contient les modules associés à la séquence actuellement
sélectionnée.
wwLa liste Modules de mixage contient les modules utilisés pour l’ensemble du projet.
Cliquez sur l’onglet correspondant pour sélectionner l’une des deux listes.
Le menu Ajouter un module vous permet de charger un module. Cliquez sur le menu
et accédez au nom du module souhaité. Cliquez sur le nom pour ajouter le module à
la liste, en dessous des modules existants, le cas échéant. Le menu Chaîne de modules
vous permet de charger et de configurer des chaînes de modules.
Fenêtre de module
Chaque module d’effet possède sa propre fenêtre, par le biais de laquelle vous pouvez
ajuster les paramètres du module en question. Les contrôles disponibles sont notamment
des curseurs, des boutons et des champs de valeurs, chacun étant libellé de façon à indiquer le paramètre contrôlé. Pour obtenir des informations sur les modules d’effet fournis
avec WaveBurner, reportez-vous au Guide des effets et des instruments Logic Studio .
Pour ouvrir la fenêtre d’un module :
m Double-cliquez sur le nom du module dans la liste Modules de séquences ou Modules
de mixage.18 Chapitre 1 Interface WaveBurner
Fenêtre Données de la séquence
La fenêtre Données de la séquence vous permet d’afficher et de modifier les informations relatives à la séquence actuellement sélectionnée et au fichier audio source associé.
Pour afficher la fenêtre Données de la séquence, effectuez l’une des opérations
suivantes :
 Sélectionnez une séquence, puis cliquez sur Séquence > Données de la séquence
(ou appuyez sur Commande + R).
 Double-cliquez sur la séquence souhaitée.
Les boutons Précédent et Suivant vous permettent de passer à la séquence précédente
ou suivante de la liste. Cela permet d’accélérer le processus d’édition d’un paramètre
donné au sein de plusieurs séquences.
Les boutons Annuler et OK permettent d’annuler ou d’exécuter les modifications
apportées dans la fenêtre Données de la séquence.
Remarque : le bouton Annuler ne fonctionne que pour la séquence actuellement
sélectionnée : si vous avez modifié une séquence, utilisé le bouton Précédent ou Suivant
pour passer à une autre séquence, puis cliqué sur Annuler, seules les modifications apportées à la séquence actuellement affichée seront annulées.
Onglet Général
L’onglet Général de la fenêtre Données de la séquence contient les informations suivantes :
 Nom de la séquence : double-cliquez et saisissez un nouveau nom pour modifier
cette valeur.
 Durée
 Écart avec séquence précédente : durée du blanc entre le début de la séquence sélectionnée et la fin de la séquence précédente. Une valeur négative fait référence à des
séquences qui se chevauchent, c’est-à-dire qu’une séquence donnée commence
avant la fin de la séquence précédente. Chapitre 1 Interface WaveBurner 19
 Début du Trim et Fin du Trim : ces deux valeurs indiquent les points au niveau desquels
la séquence commence (après le début du fichier audio) et finit (avant la fin du fichier
audio). Dès lors que la séquence couvre l’intégralité du fichier audio, les paramètres
Début du Trim et Fin du Trim ont une valeur égale à 0.
 Gain à gauche et Gain à droite : ces champs indiquent les paramètres de gain pour les
canaux audio de gauche et de droite. Pour les ajuster, cliquez sur les flèches de chaque
côté de la valeur numérique en maintenant le bouton de la souris enfoncé ou doublecliquez directement sur la valeur et saisissez-en une nouvelle.
 Position et niveau du pic de la séquence : indique la position (par rapport au début de la
séquence, pas du fichier audio) et le niveau du pic audio le plus élevé de la séquence.
Les éventuels changements de volume effectués dans WaveBurner (à l’aide de l’enveloppe de volume de la séquence, par exemple) ne sont pas pris en compte.
Onglet Fichier audio
L’onglet Fichier audio de la fenêtre Données de la séquence affiche les informations
suivantes concernant le fichier audio source de la séquence.
 Format du fichier audio, notamment la profondeur et la disposition des bits, la fréquence
d’échantillonnage et le type de fichier.
 Durée et taille du fichier.
 Dates de création et de modification.
 Position et niveau du pic.
 Emplacement du fichier audio sur le disque. Utilisez le bouton « Afficher dans le Finder »
pour afficher le fichier dans le Finder.20 Chapitre 1 Interface WaveBurner
Onglet Fondus
L’onglet Fondus de la fenêtre Données de la séquence vous permet de consulter et
d’éditer les informations de fondu suivantes pour les options Fondu entrant (en haut)
et Fondu sortant (en bas) de la séquence.
 Menu Fondu entrant et Fondu sortant : cliquez sur ce menu pour choisir un type de
fondu. Les options sont Pas de fondu, Disponible, Courbe en S et Concave/Convexe.
Cliquez sur le bouton Définir courbe linéaire pour réinitialiser les courbes de fondu
en une courbe linéaire (ligne droite).
 Durée du fondu : cliquez sur cette option pour indiquer la durée souhaitée pour le fondu.
 Forme : si un type de courbe de fondu autre que Disponible est sélectionné, le paramètre Forme vous permet de modifier les points de la courbe de fondu. Des valeurs
de forme peu élevées produisent une courbe peu profonde (la valeur zéro équivaut
à une ligne droite).
 Coordonnées x/y des points de la courbe : indique les positions des points sur l’enveloppe
de la courbe de fondu, telles qu’elles sont visibles dans la zone Vue onde. Si le type de
courbe est défini sur Disponible, vous pouvez modifier les coordonnées des points de
la courbe manuellement dans les champs de valeurs.
Onglet Commentaires
L’onglet Commentaires de la fenêtre Données de la séquence vous permet d’ajouter
des remarques et des informations concernant une séquence.Chapitre 1 Interface WaveBurner 21
Fenêtre Données de la piste
La fenêtre Données de la piste vous permet de consulter et de modifier les informations
relatives à la piste sélectionnée (dans la liste des pistes).
Pour afficher la fenêtre Données des pistes du CD, effectuez l’une des opérations
suivantes :
m Sélectionnez une piste dans la liste de pistes, puis cliquez sur Disque > Données des
pistes du CD (ou appuyez sur Commande + T).
m Cliquez sur le marqueur de début de la piste, puis sélectionnez Disque > Données de
la piste (ou appuyez sur Commande + T).
m Double-cliquez sur le marqueur de début de la piste.
Les boutons Précédent et Suivant vous permettent de passer à la piste précédente ou suivante de la liste. Cela permet d’accélérer le processus d’édition d’un paramètre donné au
sein de plusieurs pistes.
Les boutons Annuler et OK permettent d’annuler ou d’exécuter les modifications
apportées dans la fenêtre Données de la piste.
Onglet Général
L’onglet Général de la fenêtre Données de la piste vous permet de consulter ou de modifier
les informations suivantes :
 Numéro de piste
 Titre
 Durée de la pause : temps écoulé avant que la piste ne commence.
 Heure de début : heure de début de la piste telle qu’elle apparaîtra sur le CD.
 Durée de la piste
 Code ISRC
 SCMS (Serial Copy Management System)
 Pré-accentuation22 Chapitre 1 Interface WaveBurner
Onglet Texte du CD
L’onglet Texte du CD de la fenêtre Données de la piste vous permet de consulter
ou de modifier les informations suivantes :
 Numéro de piste
 Titre
 Interprète
 Parolier
 Compositeur
 Arrangeur
 Message
Remarque : le texte du CD peut être écrit sur votre disque uniquement si votre graveur
de CD prend en charge l’option Texte du CD et si l’option Écrire les données du texte du
CD est cochée dans WaveBurner > Préférences > Graver. Seuls les lecteurs de CD compatibles avec l’option Texte du CD affichent le texte en question.
Onglet Commentaires
L’onglet Commentaires de la fenêtre Données de la piste vous permet d’ajouter des remarques et des informations concernant une piste, à des fins de gestion. Ces commentaires
n’apparaîtront pas sur le CD.
Fenêtre Données du point d’index
La fenêtre Données du point d’index permet de consulter ou de modifier les informations
relatives au point d’index actuellement sélectionné.
Pour afficher la fenêtre Données du point d’index :
m Sélectionnez le marqueur d’index souhaité, puis cliquez sur Disque > Données du point
d’index (ou appuyez sur Commande + I).
m Double-cliquez sur le marqueur d’index souhaité.
Les boutons Précédent et Suivant vous permettent de passer aux points d’index précé-
dents ou suivants. Chapitre 1 Interface WaveBurner 23
Les boutons Annuler et OK permettent d’annuler ou d’exécuter les modifications
apportées dans la fenêtre Données du point d’index.
L’onglet Général de la fenêtre Données du point d’index contient les informations
suivantes :
 Nom du point d’index
 Numéro de piste
 Numéro du point d’index
 Position (du point d’index) par rapport à la piste
 Position (du point d’index) par rapport au disque
L’onglet Commentaires vous permet de saisir des remarques concernant le point d’index
sélectionné.
VU-mètre
La fenêtre VU-mètre affiche le niveau de volume des canaux de gauche et de droite
de votre projet, et ce en temps réel, au fur et à mesure de la lecture du projet.
Pour afficher la fenêtre VU-mètre :
m Cliquez sur Fenêtre > Ouvrir le VU-mètre (ou appuyez sur Commande + L).
Personnalisation de la barre d’outils
Vous pouvez personnaliser la barre d’outils de WaveBurner en y ajoutant des boutons
pour les commandes que vous utilisez le plus.
Pour personnaliser la barre d’outils de WaveBurner :
1 Cliquez sur la barre d’outils tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée (ou cliquez
avec le bouton droit si vous possédez une souris à deux boutons), puis sélectionnez Personnaliser la barre d’outils dans le menu contextuel.
2 Faites glisser les boutons souhaités de la boîte de dialogue Personnaliser la barre d’outils
vers une zone vide de la barre d’outils. Si vous faites glisser un bouton entre deux boutons existants, les boutons sont écartés afin de faire de la place au nouveau bouton.
3 Lorsque vous avez fini, cliquez sur Terminé.24 Chapitre 1 Interface WaveBurner
Remarque : vous pouvez également faire glisser l’intégralité du « jeu par défaut » situé au
bas de la boîte de dialogue Personnaliser la barre d’outils si les personnalisations apportées
ne vous conviennent pas.
Pour supprimer un élément de la barre d’outils :
m Cliquez sur l’icône souhaitée tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée (ou cliquez
avec le bouton droit si vous possédez une souris à deux boutons), puis sélectionnez Supprimer l’élément dans le menu.
Le menu contextuel et le menu Afficher de la boîte de dialogue vous permettent de visualiser les éléments de la barre d’outils sous la forme Icône et texte, Icône seulement ou
Texte seulement.2
25
2 Premiers contacts avec
WaveBurner
Vous assemblez des CD dans un projet WaveBurner. Un projet
contient des séquences audio et des pistes de CD qui sont
créées lorsque vous ajoutez des fichiers audio.
L’ensemble des modifications apportées aux séquences et aux pistes, des modules d’effet
et des marqueurs de piste et d’index est contenu dans le projet. Un projet peut également
inclure des informations sur le texte du CD, le disque et la mastérisation.
Les projets n’incluent les fichiers audio originaux, uniquement les références aux emplacements des fichiers sur le disque dur de votre ordinateur. Cela permet de limiter la taille
du fichier du projet. Les fichiers audio originaux ne sont pas modifiés lorsque vous apportez des modifications dans WaveBurner.
Remarque : si vous effectuez un bounce de votre projet, WaveBurner calcule le projet
complet hors ligne et de le restituer sous la forme d’un fichier audio continu. Le fichier
bounce est en fait un paquet Mac OS X qui contient un fichier audio continu, les données
du document et les informations de mastérisation.
Éléments d’un projet
Les éléments principaux d’un projet WaveBurner sont les fichiers audio, les séquences
et les pistes.
 Fichiers audio : les fichiers audio constituent le matériel source des séquences de
vos projets.
 Séquences : lorsque vous ajoutez un fichier audio à un projet, une séquence est créée.
Celle-ci peut inclure la totalité d’un fichier audio source ou une rubrique continue. Lorsque vous modifiez une séquence dans la zone Vue onde ou la liste Séquence, les modifications affectent uniquement la séquence et non le fichier audio source.
 Pistes : les pistes sont les sélections individuelles d’un CD, qu’une personne choisit à
l’aide du numéro de piste ou des boutons précédent/suivant du lecteur CD. Elles peuvent inclure plusieurs séquences et une séquence peut comporter plusieurs pistes.26 Chapitre 2 Premiers contacts avec WaveBurner
Création, ouverture et enregistrement de projets
La première étape pour élaborer un CD dans WaveBurner consiste à créer un projet.
Pour créer un nouveau projet :
m Choisissez Fichier > Nouveau (ou appuyez sur les touches Commande + N).
Un nouveau projet vide et sans nom apparaît. Vous pouvez lui donner un nom lorsque
vous l’enregistrez pour la première fois.
? Astuce : faites glisser les fichiers audio vers l’icône WaveBurner dans le Finder ou le Dock
pour créer un projet. Les fichiers audio sont automatiquement ajoutés au nouveau projet.
Pour ouvrir un projet existant :
1 Choisissez Fichier > Ouvrir (ou appuyez sur les touches Commande + O).
2 Recherchez et sélectionnez le projet dans la zone de dialogue Ouvrir, puis cliquez sur Ouvrir.
Remarque : vous pouvez ouvrir d’anciens documents WB 2 (Mac OS 9) dans
WaveBurner 1.5. Lorsque vous ouvrez ce type de document, son format est converti
au format WaveBurner 1.5. Lorsque vous enregistrez ce document pour la première
fois, une zone de dialogue du sélecteur de fichiers s’ouvre pour que l’ancien document
ne soit pas automatiquement écrasé. Une fois enregistré au format WB 1.5, un document
ne peut plus être ouvert dans les versions antérieures à 1.1.
Pour enregistrer un projet :
m Choisissez Fichier > Enregistrer (ou appuyez sur les touches Commande + S).
Remarque : vous pouvez définir des préférences pour différents aspects de WaveBurner
dans la fenêtre Préférences. Certaines préférences s’appliquent au projet en cours, d’autres
aux nouveaux projets. Avant de commencer à travailler sur vos projets, vous avez la possibilité de spécifier des préférences. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique
« Définition des préférences dans WaveBurner » à la page 61.
Ajout de fichiers audio à un projet
WaveBurner prend en charge les formats de fichiers audio suivants :
 AIFF
 WAV
 SDII
 AAC
 MP3
Les fichiers audio peuvent être de type mono, stéréo séparée ou stéréo entrelacée et
utiliser n’importe quelle combinaison parmi les fréquences d’échantillonnage et les
profondeurs de bits suivantes :
 Toutes les fréquences d’échantillonnage comprises entre 11 kHz et 192 kHz
 Profondeurs de bits de 8, 16 et 24Chapitre 2 Premiers contacts avec WaveBurner 27
Pour ajouter un ou plusieurs fichiers audio à un projet, procédez de l’une des façons
suivantes :
m Faites glisser les fichiers audio du Finder vers la liste Séquence ou la zone Vue onde.
m Faites glisser les fichiers audio vers l’icône WaveBurner dans le Finder ou le Dock. Les
fichiers sont insérés à la fin du projet.
m Choisissez Fichier > Importer fichier audio (ou appuyez sur les touches Commande + F),
sélectionnez les fichiers audio que vous souhaitez utiliser, puis cliquez sur Ajouter.
m Cliquez sur le bouton Importer dans le coin supérieur gauche de la liste Séquence,
puis choisissez le fichier audio dans le sélecteur de fichiers.
Gestion des noms dans WaveBurner
Il existe quatre types de nom dans WaveBurner : le nom du fichier, le nom de la séquence,
le nom de la piste et le nom du titre de la piste du texte du CD. Vous pouvez constater une
connexion entre le titre de la piste affiché dans la liste Piste et le panneau de titre des pistes du texte du CD dans la fenêtre Infos de piste. Il s’agit d’entités séparées, car vous pouvez choisir de disposer d’une autre entrée pour le texte du CD, affiché sur les lecteurs CD
appropriés. Par exemple, vous pouvez choisir d’établir une distinction entre une version
enregistrée en public (concert) et une version studio pour une piste particulière.
Audition de projets et contrôle de la lecture
Lorsque vous travaillez sur un projet, vous souhaitez pouvoir écouter les séquences, les
pistes, les pauses et les fondus enchaînés. Vous pouvez contrôler la lecture d’un projet
avec les boutons Transport ou en déplaçant la ligne de position.
Utilisation des boutons Transport
Vous pouvez contrôler la lecture du projet et définir l’emplacement de la ligne de position à l’aide des boutons Transport situés dans la partie inférieure de la zone Vue onde,
au centre.
Les boutons Transport sont les suivants, de gauche à droite :
 Aller au marqueur de début de piste précédent : déplace la ligne de position vers le
marqueur de début de piste précédent. Si le projet est en cours de lecture, celle-ci
continue à partir de ce point. Maintenez la touche Option enfoncée tout en cliquant
sur ce bouton pour déplacer la ligne de position vers le marqueur d’index précédent. 28 Chapitre 2 Premiers contacts avec WaveBurner
 Aller au marqueur de début de piste suivant : définit la ligne de position vers le marqueur
de début de piste suivant. Si le projet est en cours de lecture, celle-ci continue à partir
de ce point. Maintenez la touche Option enfoncée tout en cliquant sur ce bouton pour
déplacer la ligne de position vers le marqueur d’index suivant.
 Capture : active ou désactive le mode Capture. Lorsque le mode Capture est activé,
la partie visible de la zone Vue onde défile, garantissant ainsi que la ligne de position
reste toujours visible.
 Lecture/Pause : démarre la lecture à partir de l’emplacement de la ligne de position.
 Arrêt : interrompt la lecture.
 Précédent : retourne au début du projet (au moment où l’audio est diffusé). Cliquez
sur le bouton à utiliser et maintenez-le enfoncé.
 Avance : va à la fin du projet (au moment où l’audio est diffusé). Cliquez sur le bouton
à utiliser et maintenez-le enfoncé.
Pour lancer la lecture, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Cliquez sur le bouton Lecture dans Transport (ou appuyez sur la barre d’espace).
m Double-cliquez sur l’une des règles de temps pour lancer la lecture à partir de ce point.
Pour arrêter la lecture, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Cliquez sur le bouton Arrêt dans Transport (ou appuyez sur la barre d’espace). Si vous
appuyez une seconde fois sur le bouton Arrêt (ou sur la barre d’espace), la ligne de
position se déplace au début du projet.
m Double-cliquez sur l’une des règles de temps pour arrêter la lecture et déplacer la ligne
de position vers l’emplacement cliqué.
Déplacement de la ligne de position
Vous pouvez directement déplacer la ligne de position vers n’importe quel emplacement.
Pour déplacer la ligne de position, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Cliquez une fois sur le point vers lequel vous souhaitez déplacer la ligne de position
sur l’une des règles de temps.
m Faites glisser la ligne de position vers le point voulu.
En sélectionnant une séquence, une piste ou un marqueur dans la liste Piste ou Séquence,
vous définissez la position de lecture au début de cette séquence, de cette piste ou de ce
marqueur.
Lecture en boucle
Vous pouvez réaliser des boucles (cycles) avec une section de votre projet, pour qu’elle
soit lue de façon répétée. Cette opération peut s’avérer utile lorsque vous modifiez une
partie du montage du projet et que vous souhaitez entendre les résultats de vos changements en temps réel. Vous pouvez lancer une lecture en boucle en définissant une
zone de lecture en boucle dans l’une ou l’autre des règles de temps.Chapitre 2 Premiers contacts avec WaveBurner 29
Pour définir une zone de lecture en boucle :
m Dans l’une des règles de temps, effectuez le glissement depuis la position de départ
souhaitée de la boucle vers le point d’arrêt de votre choix.
En cliquant sur les poignées de la zone de lecture en boucle et en les faisant glisser,
vous pouvez redimensionner une zone de lecture en boucle existante.
Pour supprimer la zone de lecture en boucle :
m Cliquez à n’importe quel endroit situé hors de la zone de lecture en boucle actuelle dans
la règle de temps. Notez que cette opération déplace la ligne de position vers le point
cliqué.
Navigation dans la zone Vue onde
La navigation dans la zone Vue onde s’effectue à l’aide des commandes de zoom et de
la barre de défilement. Vous pouvez également vous déplacer vers différentes parties
de la zone Vue onde en utilisant le rectangle de la vue d’ensemble.
Vous pouvez effectuer un zoom avant afin de réaliser des modifications précises ou effectuer un zoom arrière pour afficher une plus grande partie de votre projet.
Le curseur de commande de zoom utilise une échelle graduée. Un déplacement du curseur vers la gauche ou un clic sur la partie gauche de l’échelle entraînent un zoom avant,
permettant d’obtenir une vue agrandie d’une section de la Vue onde. Un déplacement du
curseur vers la droite ou un clic sur la partie droite de l’échelle entraînent un zoom arrière,
permettant d’obtenir une vue plus large. Vous pouvez également effectuer un zoom avant
ou arrière à l’aide des commandes de menu, en cliquant sur les boutons Défilement du
zoom et en les faisant glisser, ou en effectuant un glissement vertical dans le rectangle
de vue d’ensemble.
Pour effectuer un zoom avant, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Faites glisser le curseur du zoom vers la gauche.
m Cliquez sur la partie gauche de la commande de zoom.
m Choisissez Vue > Zoom avant (ou appuyez sur la touche Flèche vers le bas).
m Cliquez et faites glisser vers le bas dans le rectangle rouge de la vue d’ensemble.
m Réduisez la barre de défilement en cliquant sur les boutons Défilement du zoom et en les
faisant glisser vers l’une des extrémités de la barre de défilement. Un clic sur les boutons
Défilement du zoom en appuyant sur la touche Maj et en les faisant glisser vous permet
d’effectuer un zoom avant sur un côté (d’une forme d’onde).
m Faites défiler la molette de la souris vers le bas.
Vous pouvez également choisir Vue > Zoom avant maximum (ou appuyer sur les touches
Option + Flèche vers le bas) pour définir l’affichage au niveau de zoom le plus élevé.30 Chapitre 2 Premiers contacts avec WaveBurner
Pour effectuer un zoom arrière, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Faites glisser le curseur du zoom vers la droite.
m Cliquez sur la partie droite de la commande de zoom.
m Choisissez Vue > Zoom arrière (ou appuyez sur la touche Flèche vers le haut).
m Cliquez et faites glisser vers le haut dans le rectangle rouge de la vue d’ensemble.
m Agrandissez la barre de défilement en cliquant sur les boutons Défilement du zoom et en
les faisant glisser vers l’une des extrémités de la barre de défilement. Un clic sur les boutons
Défilement du zoom en appuyant sur la touche Maj et en les faisant glisser vous permet
d’effectuer un zoom arrière sur un côté (d’une forme d’onde).
m Faites défiler la molette de la souris vers le haut.
Vous pouvez aussi choisir Vue > Zoom arrière maximum (ou appuyer sur les touches
Option + Flèche vers le haut) pour afficher au maximum votre projet dans la zone
Vue onde.
Remarque : l’activation de l’option WaveBurner > Préférences > Général > Zoom vers
la ligne de position garantit que la ligne de position reste centrée dans la zone Vue onde
au moment du zoom.
Vous pouvez naviguer vers différentes parties de votre projet en faisant glisser la barre
de défilement horizontale ou le rectangle rouge de la vue d’ensemble, vers la gauche
ou vers la droite. Vous pouvez également utiliser plusieurs raccourcis clavier de transport.
Consultez la rubrique « Exploitation des transports » à la page 68.3
31
3 Utilisation des séquences
Les séquences constituent les éléments de base de vos projets WaveBurner. Elles peuvent inclure la totalité d’un fichier
audio source ou une section continue.
Les changements que vous apportez à une séquence ne modifient pas le fichier audio
source. Vous pouvez donc toujours revenir à l’état d’origine du fichier.
Lorsque vous ajoutez un fichier audio à un projet, une séquence est créée. Cette nouvelle
séquence apparaît dans la zone Vue onde et dans la liste Séquence. Les séquences sont
affichées par ordre chronologique dans la zone Vue onde, de gauche à droite. Elles sont
affichées en alternance dans la moitié supérieure ou inférieure de la zone Vue onde, ce
qui permet de voir plus facilement les zones superposées entre deux séquences. Elles
sont affichées par ordre chronologique, de haut en bas, dans la liste Séquence.
Une fois qu’une séquence est ajoutée au projet, un marqueur de début de piste lui est
automatiquement attribué. Ce dernier contient le numéro de la piste affiché par le lecteur CD lors de la lecture. Ce marqueur de début de piste est reflété par une piste nouvellement créée qui utilise la nouvelle séquence et apparaît dans la liste Piste.
Vous pouvez modifier les séquences de différentes façons. Vous pouvez copier, réorganiser et séparer les séquences, leur appliquer un Trim, ajuster leurs niveaux de volume,
les normaliser, ainsi qu’y ajouter des fondus entrants, sortants et enchaînés.
Sélection de séquences
Vous devez sélectionner une séquence avant de la modifier.
Pour sélectionner une séquence :
m Cliquez sur le nom de la séquence dans la liste Séquence ou cliquez sur la forme
d’onde dans la zone Vue onde.
Remarque : vous pouvez sélectionner plusieurs séquences en utilisant la touche Commande ou en cliquant et en appuyant sur la touche Maj (séquences consécutives) dans
les séquences souhaitées. Vous pouvez également utiliser la sélection par étirement pour
les séquences consécutives.
Les séquences sélectionnées apparaissent dans une couleur plus sombre dans la zone
Vue onde. 32 Chapitre 3 Utilisation des séquences
Copie de séquences
Vous pouvez copier une séquence dans la liste Séquence.
Pour copier une séquence :
m Maintenez la touche Option enfoncée et faites glisser l’icône de la séquence vers le haut
ou vers le bas dans la première colonne de la liste Séquence.
Lors de cette opération, une ligne horizontale noire indique l’emplacement où la copie
de la séquence sera placée.
Réorganisation des séquences
Les séquences sont affichées par ordre d’apparition dans le projet, à savoir de haut en
bas dans la liste Séquence et de gauche à droite dans la zone Vue onde. Vous pouvez
réorganiser les séquences dans la liste Séquence.
Pour réorganiser la position des séquences :
m Faites glisser l’icône de la séquence vers le haut ou vers le bas (dans la colonne de
gauche de la liste Séquence).
Déplacement de séquences
Vous pouvez déplacer une séquence, ainsi que ses marqueurs, vers une nouvelle position
d’heure en la faisant glisser vers la zone Vue onde.
Pour déplacer une séquence vers une nouvelle position d’heure :
m Faites glisser la séquence à gauche ou à droite dans la zone Vue onde.
Lors du glissement, toutes les séquences suivantes sont également déplacées. Si vous
souhaitez isoler la séquence sélectionnée, maintenez la touche Option enfoncée avant
de sélectionner la séquence et de la faire glisser. Toutes les séquences suivantes conservent leurs positions. Les blancs au début et à la fin de la séquence déplacée sont modifiés en conséquence.
Lorsque vous faites glisser une séquence vers la droite, la durée de la pause (intervalle
entre le marqueur de début de piste et le point de départ de la pause) augmente. Lorsque vous faites glisser une séquence vers la gauche de façon à superposer la séquence
précédente, la durée de la pause est définie à zéro ; en outre, des fondus sont automatiquement ajoutés à la séquence déplacée (fondu entrant) et à la séquence précédente
(fondu sortant), réalisant ainsi un fondu enchaîné de la zone superposée.
Vous pouvez ajuster les fondus enchaînés. Pour plus d’informations sur l’ajustement
des fondus enchaînés, reportez-vous à la rubrique « Ajout et ajustement de fondus » à la
page 37.Chapitre 3 Utilisation des séquences 33
Remarque : le comportement du marqueur de début de piste illustré plus haut n’est
valable que lorsque vous n’avez pas modifié celui-ci manuellement (reportez-vous à la
section « Positionnement automatique des marqueurs de début de piste », à la
page 49.)
Application de Trims aux séquences
Vous appliquez un Trim à une séquence (la raccourcir) en ajustant son point de départ
ou son point de fin, voire les deux.
Pour appliquer un Trim à un point de départ ou de fin :
1 Déplacez le pointeur sur le bord gauche ou droit de la séquence.
Le pointeur se transforme en pointeur de redimensionnement.
2 Faites glisser le bord de la séquence. Vous pouvez faire glisser le point de départ vers
la droite ou le point de fin vers la gauche.
Remarque : lors du glissement, un Trim est appliqué à la séquence et toutes les séquences suivantes sont déplacées, afin de conserver leurs positions relatives. Le fait d’appuyer
sur la touche Option pendant l’opération de glissement vous permet d’appliquer un Trim
à une séquence, sans déplacer les séquences adjacentes.
Important : notez que la position absolue du matériel audio change lorsque vous appliquez un Trim au point de départ de la séquence. Le fait de modifier le point de fin d’une
séquence n’a pas d’incidence sur sa position absolue. Seule la position absolue du point
de fin est modifiée.
Scission de séquences
Vous pouvez scinder une séquence en deux séquences distinctes. Cette opération est
utile si vous souhaitez supprimer une portion de séquence ou déplacer une partie de
la séquence vers un autre emplacement dans le projet.
Pour scinder une séquence :
1 Cliquez sur le bouton Scission (ciseaux).
? Astuce : vous pouvez également appuyer sur la touche Contrôle pour désactiver
temporairement le mode d’édition. 34 Chapitre 3 Utilisation des séquences
2 Dans la zone Vue onde, cliquez sur la position de scission souhaitée dans la séquence.
La séquence est scindée en deux et la partie de séquence qui suit le point de scission
apparaît dans la moitié opposée (supérieure ou inférieure) de la zone Vue onde. Par
défaut, un marqueur de piste est créé au début de la nouvelle séquence. Vous pouvez
appuyer sur Option lors du découpage d’une séquence afin d’empêcher l’insertion du
marqueur de piste.
Ajustement des niveaux
Une ligne horizontale, appelée enveloppe de niveau est placée sur la partie supérieure
de chaque séquence dans la zone Vue onde. La ligne indique le niveau de volume de la
séquence. Vous pouvez ajuster le niveau de volume de la séquence en la déplaçant vers
le haut ou vers le bas.
Pour ajuster le niveau d’une séquence :
1 Déplacez le pointeur sur l’enveloppe de niveau horizontale que vous voulez ajuster.
Le pointeur se transforme en ligne verticale, avec des flèches pointant vers le haut et vers
le bas.
2 Faites glisser l’enveloppe vers le haut ou vers le bas, jusqu’à une nouvelle valeur.
Remarque : le fait d’appuyer sur la touche Option pendant le glissement vous permet
de manipuler indépendamment le niveau pour chaque côté stéréo.
Recherche de la présence d’écrêtage dans une séquence
Vous pouvez vérifier la présence d’écrêtage dans les séquences.
Pour vérifier la présence d’écrêtage dans les séquences :
1 Sélectionnez les séquences dans la zone Vue onde ou dans la liste Séquence.
2 Choisissez Séquence > Rechercher l’écrêtage dans la séquence.Chapitre 3 Utilisation des séquences 35
Après avoir terminé le processus, un historique détaillé affiche les résultats de l’analyse
de l’écrêtage.
Normalisation des séquences
En règle générale, vous souhaitez que le niveau de volume des séquences audio soit
aussi élevé que possible, sans provoquer d’écrêtage. L’opération qui consiste à faire
passer une séquence au niveau maximum sans provoquer d’écrêtage est appelée normalisation.
Lorsqu’une séquence est normalisée, elle est amplifiée pour que le pic du signal atteigne
(mais ne dépasse pas) le niveau numérique défini (maximum : 0 dB, mais voir ci-dessous). Toutes les autres portions de la séquence sont amplifiées de la même façon, afin
que la plage dynamique originale de l’enregistrement soit maintenue. Cela permet de
faire en sorte que la séquence soit jouée au niveau maximum sans provoquer d’écrêtage.
? Astuce : ne choisissez pas la valeur 0 dB dans la zone de dialogue Normaliser, car cela est
susceptible d’engendrer un phénomène d’écrêtage si vous souhaitez augmenter le gain
de l’ensemble du signal par la suite, avec un EQ par exemple. Un autre problème est que
de nombreux lecteurs CD écrêtent les signaux qui atteignent 0 dB. Il est recommandé de
conserver au minimum 3 à 6 dB de « marge » pour d’autres tâches de traitement audio,
telles que le mixage, et pour le traitement des effets.
Pour normaliser les séquences :
1 Sélectionnez les séquences dans la liste Séquence ou dans la zone Vue onde.
2 Choisissez Séquence > Normaliser la séquence. 36 Chapitre 3 Utilisation des séquences
3 Dans la fenêtre Normaliser, définissez le niveau cible sur une valeur inférieure au niveau
de pic maximal (0 dB) si vous le souhaitez.
4 Si plusieurs séquences sont sélectionnées, vous pouvez procéder d’une des deux manières
suivantes :
 maintenir les volumes relatifs des séquences en désactivant la case à cocher « Normaliser
chaque séquence de manière individuelle » ;
 les normaliser de manière individuelle (en activant l’option « Chaque piste de manière
individuelle »).
Bien que cette dernière option engendre des niveaux de volume plus élevés, elle peut
aussi provoquer un changement dans les volumes relatifs entre les séquences.Chapitre 3 Utilisation des séquences 37
Ajout et ajustement de fondus
Les fondus entrants et sortants sont fréquemment utilisés au début et à la fin des morceaux en production musicale. Les albums enregistrés commercialement utilisent souvent ces types de modifications pour créer une impression de continuité lors du passage
d’une piste à l’autre.
Pour ajouter un fondu :
1 Déplacez le pointeur sur la poignée de fondu située sur l’enveloppe de volume, sur le côté
gauche de la séquence.
Le pointeur se transforme en flèche gauche-droite.
2 Faites glisser le point de l’enveloppe vers la droite pour définir la durée du fondu.
Lors du glissement, l’enveloppe se transforme pour afficher la durée du fondu.
Pour ajouter un fondu sortant :
1 Déplacez le pointeur sur la poignée de fondu sortant située sur l’enveloppe de volume,
sur le côté droit de la séquence.
Le pointeur se transforme en flèche gauche-droite.
2 Faites glisser le point de l’enveloppe vers la gauche pour définir la durée du fondu sortant.
Lors du glissement, l’enveloppe se transforme pour afficher la durée du fondu.
Lorsque vous faites glisser une séquence (dans la zone Vue onde) vers une position qui se
superpose à une séquence adjacente, les parties superposées des séquences réalisent aussitôt un fondu enchaîné. Un fondu sortant est automatiquement ajouté à la première
séquence, et un fondu entrant est ajouté à la séquence qui suit.
Remarque : cette fonction de fondu automatique s’applique uniquement si vous n’avez
pas déjà créé un fondu manuellement. 38 Chapitre 3 Utilisation des séquences
Pour réactiver le paramètre automatique d’un fondu modifié manuellement :
1 Déplacez la poignée de durée du fondu vers la position qui coïncide avec le début
(ou la fin) de l’autre séquence superposée.
2 Lorsque le curseur se transforme en icône représentant une chaîne, libérez la poignée
de durée du fondu.
La fonction automatique de fondu sera rétablie.
Si vous déplacez la séquence vers une position dans laquelle elle ne se superpose pas
à une autre séquence, puis déplacez la poignée de durée de fondu correspondante vers
la position zéro, la fonction de fondu automatique est réactivée.
Remarque : maintenez la touche Option enfoncée pour empêcher la réactivation du paramètre de fondu automatique au niveau de la position de la chaîne.
Vous pouvez ajuster les fondus entrants et sortants en faisant glisser les poignées de fondu
de l’enveloppe de la séquence. Par défaut, la courbe de fondu est linéaire, ce qui signifie
que le niveau augmente de façon régulière (linéaire) pendant la durée du fondu. Vous
pouvez ajuster la courbe de fondu pour augmenter le niveau plus rapidement ou plus
lentement à mesure que le fondu progresse.
Remarque : vous pouvez également modifier numériquement vos fondus dans l’onglet
Fondu de la fenêtre « Données de la séquence ». Pour plus d’informations, reportez-vous
à la rubrique relative à la fenêtre « Données sur la séquence » à la page 18.Chapitre 3 Utilisation des séquences 39
Bounce d’une séquence
Lorsque vous effectuez un bounce d’une séquence dans WaveBurner, son audio, y compris
les modifications que vous avez apportées (changements, fondus et Trims), et les effets de
tous les modules de la séquence sont restitués sous la forme d’un nouveau fichier audio.
Remarque : les modules des séquences sont inclus lorsque vous effectuez un bounce
d’une séquence, mais pas les modules de mixage.
En effectuant un bounce d’une séquence, vous économisez de la puissance au niveau
du traitement. L’ordinateur lit simplement le fichier audio sur lequel un bounce a été
effectué et n’a pas besoin de traiter les modifications ou les modules en temps réel.
Pour effectuer un bounce d’une séquence :
1 Sélectionnez la séquence dans la liste Séquence ou dans la zone Vue onde.
2 Choisissez Séquence > Effectuer un bounce de la séquence.
3 Dans la zone de dialogue Bounce, accédez à l’emplacement cible destiné à l’enregistrement du fichier sur lequel un bounce a été effectué et définissez les options de fichiers
souhaitées : Vous pouvez choisir le format de fichier (AIFF, SDII, WAV), la profondeur de
bits, le type de stéréo (entrelacée, séparée, canal gauche, canal droit) et le mode de tramage aléatoire, s’il est appliqué.
4 Cliquez sur Enregistrer.
Selon les options définies dans WaveBurner > Préférences > Bounce, la séquence originale peut être automatiquement remplacée par le fichier audio sur lequel un bounce
a été effectué.
Remarque : vous pouvez également effectuer un bounce du projet complet en choisissant Fichier > Effectuer un bounce du projet. Cette opération permet de calculer le projet
complet hors ligne et de le restituer sous la forme d’un seul fichier audio. Le fichier bounce
est en fait un paquet Mac OS X qui contient un fichier audio continu, les données du document et les informations de mastérisation.40 Chapitre 3 Utilisation des séquences
Changement de nom des séquences
Lors de leur création, les séquences se voient par défaut attribuer le nom du fichier
audio source. Vous pouvez renommer les séquences dans la liste Séquence.
Pour renommer une séquence :
m Double-cliquez sur le nom de la séquence dans la liste Séquence, puis saisissez un nouveau
nom.
Suppression de séquences
Vous pouvez supprimer une séquence du projet si vous décidez de ne plus l’inclure.
Pour supprimer une séquence :
m Sélectionnez la séquence, puis choisissez Édition > Supprimer (ou appuyez sur la touche
Suppr/Arrière).4
41
4 Utilisation des pistes
Les pistes correspondent aux sélections individuelles d’un CD,
que l’auditeur choisit à partir des numéros de piste ou des
boutons Avance et Retour d’un lecteur de CD.
Par défaut, une piste est créée pour chaque séquence d’un projet. Il est également possible
de combiner plusieurs séquences en une piste ou de créer plusieurs pistes à partir d’une
même séquence. Une piste est identifiée par un marqueur de début de piste et un point
de début de pause correspondant, automatiquement inséré lorsque vous ajoutez une
séquence. Vous pouvez placer ce marqueur ailleurs que sur sa position par défaut et insérer
des marqueurs supplémentaires. Pour plus d’informations sur l’insertion et le déplacement
de marqueurs, reportez-vous à la rubrique « Utilisation de marqueurs » à la page 45.
Liste des pistes
Les pistes sont affichées par ordre chronologique dans la liste des pistes, de haut en bas.
Si vous réorganisez les séquences présentes dans la liste de séquences, la liste des pistes
est mise à jour pour refléter le nouveau classement.
La liste des pistes affiche des informations concernant chaque piste, notamment son
nom, sa durée, son heure de début et le temps de pause entre deux pistes. Il est possible de modifier les informations d’une piste depuis cette liste. Vous pouvez en effet
insérer des commentaires, ajouter des codes ISRC et définir des filtres de préaccentuation pour une piste.
Ajout de commentaires
Les commentaires vous permettent d’enregistrer des remarques et des informations concernant une piste, à des fins de gestion. Ces commentaires sont spécifiques à WaveBurner
et n’apparaîtront pas sur le CD.
Pour ajouter des commentaires à une piste :
m Cliquez sur le champ Commentaires de la piste en question, puis saisissez le texte de
votre choix.42 Chapitre 4 Utilisation des pistes
Ajout de codes ISRC
Le code ISRC (International Standard Recording Code) est un code d’enregistrement
unique pour les enregistrements sonores et audiovisuels. La norme ISRC a été établie
en 1986 par l’organisme de normalisation ISO (International Standards Organization),
dans le document ISO numéro 3901. L’IFPI (International Federation of the Phonographic Industry) a été désignée en 1989 comme agence d’enregistrement internationale.
Cet organisme recommande à ses membres d’inclure le code ISRC dans le sous-code,
afin que tous les enregistrements numériques possèdent une « empreinte digitale ».
En 1992, toutes les sociétés membres ont reçu leur code de « détenteur principal ».
Le code ISRC est stocké de façon permanente dans le sous-code d’un enregistrement.
Lorsque ce dernier est modifié, un nouveau code ISRC doit être utilisé. Un code ISRC ne
peut être attribué qu’une fois. Le détenteur principal peut intégrer des codes ISRC dans
un système de codage existant, à condition que cela ne requière pas plus de cinq chiffres (code de désignation). Un code ISRC complet contient 12 caractères, par exemple :
DE-K22-05-256-12
 Code pays (conforme à la norme ISO 3166, ici, l’Allemagne)
 Code du détenteur principal (maison de disques, ici, Polydor)
 Année du code d’enregistrement (2 chiffres)
 Code de désignation (5 chiffres)
Le code ISRC est utilisé par les stations de radio pour archiver les enregistrements. Les
sociétés d’auteurs telles que la GEMA ou la MCPS/PRS utilisent également ce code pour
générer automatiquement des historiques de transmission, simplifiant ainsi la comptabilité liée aux droits de licence. Pour les enregistrements commerciaux, le code ISRC correspond simplement au code fourni par le label du disque. Si ce dernier n’a pas reçu de code
de détenteur principal, il convient de prendre contact avec l’IFPI.
Pour ajouter un code ISRC :
m Cliquez sur le champ ISRC d’une piste, puis saisissez le code ISRC.
Remarque : vous pouvez uniquement taper des chiffres. Le champ ISRC n’accepte ni
les espaces, ni les traits d’union.Chapitre 4 Utilisation des pistes 43
Fenêtre Données des pistes du CD
La fenêtre Données des pistes du CD est l’élément le plus pratique pour consulter et modifier les informations relatives aux pistes, notamment la protection des copies et les filtres
de préaccentuation.
Pour afficher la fenêtre Données des pistes du CD, effectuez l’une des opérations
suivantes :
m Sélectionnez une piste dans la liste de pistes, puis cliquez sur Disque > Données des
pistes du CD (ou appuyez sur Commande + T).
m Cliquez sur le marqueur de début de la piste, puis sélectionnez Disque > Données de
la piste (ou appuyez sur Commande + T).
m Double-cliquez sur le marqueur de début de la piste.
Réglage du bit d’interdiction de copie
Pour toute piste, vous pouvez définir un bit d’interdiction de copie. Lorsque le bit d’interdiction de copie d’une piste est défini, la piste en question ne peut pas être copiée plus
d’une fois au format numérique par des appareils d’enregistrement qui prennent en
charge un système SCMS (Serial Copy Management System). Ces appareils génèrent
automatiquement un bit d’interdiction de copie pour empêcher la réalisation de copies
de deuxième génération (de la piste).
En général, les enregistreurs DAT grand public (et un certain nombre d’enregistreurs professionnels) sont dotés d’un système SCMS. Étant donné le nombre d’appareils d’enregistrement n’incluant pas ce type de protection de la copie, le fait de définir le bit d’interdiction
ne garantit pas qu’il sera impossible d’effectuer plusieurs copies d’une piste. WaveBurner
fournit l’option de réglage du bit d’interdiction de copie afin d’être conforme à la norme
Livre rouge.
Pour définir l’option Bit d’interdiction de copie, effectuez l’une des opérations
suivantes :
m Dans la liste de pistes, sélectionnez Disponible, Original protégé ou Copie protégée
dans le menu local SCMS.
m Dans l’onglet Général de la fenêtre « Données de la piste du CD », sélectionnez Disponible,
Original protégé ou Copie protégée dans le menu local SCMS.44 Chapitre 4 Utilisation des pistes
Réglage de la préaccentuation des pistes
La préaccentuation a fait son apparition dès les origines de la reproduction sonore numérique, lorsque les convertisseurs A/N 14 bits sans suréchantillonnage étaient fréquemment
utilisés. Les hautes fréquences des enregistrements numériques étaient augmentées ou
« accentuées » lors de la conversion (comme avec le processus d’égaliseur RIAA pour les
disques vinyles), puis atténuées (désaccentuation) après la conversion A/N. Cette approche avait tendance à masquer les imprécisions du processus de conversion.
De nos jours, les nouvelles technologies d’enregistrement numérique recommandent
de laisser l’option de préaccentuation désactivée, car les convertisseurs modernes sont
capables de fournir des conversions linéaires produisant beaucoup moins d’erreurs que
les filtres de désaccentuation.
Remarque : WaveBurner prend en charge la préaccentuation uniquement pour que les
anciens enregistrements numériques (qui avaient été traités avec un algorithme de préaccentuation) puissent être identifiés comme tels. Le filtre Préaccentuation de WaveBurner est
exclusivement destiné au lecteur de CD et le mode de traitement des données audio n’est
absolument pas modifié lorsque vous gravez un CD.
Pour activer la préaccentuation, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Cochez la case Préaccentuation dans la liste des pistes.
m Cochez la case Préaccentuation dans l’onglet Général de la fenêtre « Données de la piste
du CD ».
Bounce d’une piste
Vous pouvez effectuer le bounce d’une piste. Comme avec une séquence, le bounce d’une
piste présente deux avantages : il vous permet d’une part d’enregistrer une version traitée
de la piste (notamment ses modules), et d’autre part de faire des économies d’énergie.
Pour effectuer le bounce d’une piste :
1 Dans la liste des pistes, sélectionnez la piste souhaitée.
2 Cliquez sur Disque > Bounce d’une piste du CD.
3 Choisissez un dossier d’enregistrement et attribuez un nom à la piste dans la zone
de dialogue Enregistrer, puis cliquez sur OK.5
45
5 Utilisation de marqueurs
Les marqueurs font partie intégrante de la norme de format CD
audio Livre rouge.
Vous pouvez utiliser des marqueurs pour indiquer un point temporel spécifique sur le CD.
Types de marqueurs
WaveBurner utilise les types de marqueur suivants :
 Marqueurs de début de piste : indiquent le début d’une piste ; ils apparaissent sous
forme de numéros de piste sur l’affichage du lecteur CD et sont utilisés pour la navigation à l’aide des boutons Précédent, Suivant ou de numéro de piste d’un lecteur CD.
Les marqueurs de début de piste comportent un marqueur de début de piste effectif
(témoin violet pointant vers la droite) et le point de départ de la pause (témoin violet
pointant vers la gauche). Le point de départ de la pause indique la pause avant le point
de départ de la piste.
 Marqueurs d’index : indiquent la position des points d’index ; il s’agit de sous-marqueurs
supplémentaires dans une piste. Tous les lecteurs CD ne reconnaissent pas et ne signalent pas les points d’index.46 Chapitre 5 Utilisation de marqueurs
Insertion et suppression de marqueurs
Lorsque vous ajoutez un fichier audio à un projet, un marqueur de début de piste est
inséré au début de la séquence. Ce marqueur est associé à un point de départ de pause
inséré à la fin de la séquence précédente (y compris la première séquence du projet).La
durée de pause par défaut (le temps écoulé entre le point de départ de la pause et les
marqueurs de début de piste) dépendent à l’origine du paramètre Durée de la pause par
défaut, défini dans l’onglet Préférences générales. Pour plus d’informations sur le réglage
de la durée de la pause par défaut, reportez-vous à la rubrique « Préférences générales »
à la page 61. Vous pouvez utiliser le placement par défaut des marqueurs ou les déplacer
pour ajuster la durée de la pause.
Remarque : la fonction Disque > Définir la durée de la pause vous permet de modifier
les pauses existantes de pistes sélectionnées dans la liste des pistes. Si vous cochez la
case Ignorer les pistes sans vide, les bordures de titre sans pause ne seront pas modifiées. Si cette case est désactivée, la nouvelle durée de la pause est appliquée à toutes
les bordures de titre. Si vous cochez la case Décaler les séquences, les séquences seront
déplacées du fait du changement de la durée de la pause.
Vous pouvez insérer des marqueurs de début de piste manuellement. Les marqueurs
de début de piste insérés sont toujours accompagnés par un point de départ de pause
correspondant.
Pour insérer un marqueur de début de piste :
1 Cliquez sur le bouton « Marqueur de début de piste » (bouton de marqueur violet à gauche
des boutons Transport).
2 Cliquez sur la barre de marqueur (au-dessus ou en dessous de la séquence) au niveau
de la position à laquelle vous voulez insérer le marqueur de début de piste.
Un marqueur de début de piste et le point de départ de pause correspondant sont insérés
au niveau de la position cliquée. Pour modifier la durée de la pause qui précède le point de
départ de la piste, déplacez la portion gauche du marqueur (point de départ de la pause)
vers la gauche.
Les marqueurs d’index indiquent les sous-marqueurs, qui sont des positions d’heure
spécifiques sur une piste. Notez que tous les lecteurs CD ne peuvent pas reconnaître
les points d’index.
Bouton « Marqueur de
début de piste »Chapitre 5 Utilisation de marqueurs 47
Pour insérer un marqueur d’index :
1 Cliquez sur le bouton Marqueur d’index (bouton de marqueur orange à gauche des
boutons Transport).
2 Cliquez sur la barre de marqueur (au-dessus ou en dessous de la séquence) au niveau
de la position à laquelle vous voulez insérer le marqueur d’index.
Les marqueurs sont toujours « associés » à une séquence. Cela permet de s’assurer qu’ils
conservent leurs positions relatives. En d’autres termes, si la position d’une séquence de CD
est déplacée ultérieurement, les marqueurs associés à celle-ci sont également déplacés ; les
marqueurs associés à la séquence précédente conservent leur position absolue sur le CD. Si
vous insérez un marqueur à un emplacement dans lequel deux séquences se superposent,
vous pouvez déterminer celle à laquelle vous souhaitez associer le marqueur en le plaçant
dans la barre de marqueur appropriée (au-dessus/en dessous) dans la zone Vue onde.
Pour basculer entre deux pointeurs de marqueur :
m Tout en pointant sur la barre de marqueur, appuyez sur la touche Commande pour alterner
entre les pointeurs de marqueur de piste et de marqueur d’index.
Pour supprimer un marqueur :
m Cliquez sur le marqueur de piste ou d’index pour le sélectionner, puis appuyez sur
la touche Suppr.
Pour sélectionner plusieurs marqueurs, vous pouvez :
m Appuyez sur la touche Maj et cliquer sur les marqueurs dans la liste Piste.
m Cliquez sur l’arrière-plan de la ligne de marqueur et sélectionnez un groupe de marqueurs
par étirement.
Déplacement de marqueurs
Vous pouvez déplacer les marqueurs d’index et de début de piste dans la zone Vue onde.
Le marqueur de début de piste et le point de départ de pause peuvent être déplacés
ensemble ou séparément.
Bouton Marqueur
d’index48 Chapitre 5 Utilisation de marqueurs
Déplacement simultané du marqueur de début de piste et du point
de départ de la pause
Vous pouvez déplacer simultanément le marqueur de début de piste et le point de départ
de la pause pour modifier l’heure de début de la piste, tout en conservant la durée de
la pause.
Pour déplacer le marqueur de début de piste et le point de départ de la pause :
1 Placez le pointeur entre le point de départ de la pause et le marqueur de début de piste.
Le pointeur se transforme en flèche gauche-droite.
2 Faites glisser les marqueurs sur la position souhaitée.
Déplacement séparé du marqueur de début de piste et du point
de départ de la pause
Vous pouvez déplacer séparément le marqueur de début de piste et le point de départ
de la pause, ce qui a pour effet de modifier la durée de la pause.
Pour déplacer séparément un marqueur de début de piste et un point de départ
de pause :
1 Placez le pointeur directement sur le marqueur de piste que vous voulez déplacer.
Le pointeur se transforme en symbole de marqueur de piste divisé.
2 Faites glisser la portion de marqueur (de piste ou de pause) vers la position souhaitée.
Remarque : tant qu’aucune pause n’est définie (en d’autres termes, lorsque le marqueur de
piste est encore entier), le déplacement de la portion droite du marqueur entraîne le déplacement des deux marqueurs. Dans ce cas, déplacez la portion gauche vers la gauche : cela
a pour effet de diviser le marqueur de piste et de créer une pause. Une fois le marqueur de
piste divisé, chaque portion peut être déplacée séparément.Chapitre 5 Utilisation de marqueurs 49
Positionnement automatique des marqueurs de début de piste
Les marqueurs de début de piste sont repositionnés automatiquement lorsque les séquences sont déplacées : dans les séquences superposées, ceux-ci sont situés au centre de la
séquence superposée. Dans les séquences superposées, un début de pause est situé à la fin
de la première séquence et un début de piste est situé au début de la seconde séquence.
Si vous modifiez manuellement les positions des marqueurs, la fonction automatique
est désactivée.
Si vous avez modifié un marqueur de début de piste manuellement et que vous souhaitez
le déplacer vers la position automatique, libérez-le dès qu’une icône de « chaîne » apparaît
à la place du curseur de la souris.
Si vous souhaitez déplacer un marqueur de début de piste près de la position de
la « chaîne », mais que vous ne voulez pas que le positionnement soit automatique,
maintenez la touche Option enfoncée.6
51
6 Utilisation des effets
Vous pouvez ajouter des effets aux séquences individuelles
ou à l’ensemble du mixage d’un projet. Les effets vous permettent de modifier et de modeler le son des séquences
ou des projets de plusieurs façons différentes.
Vous ajoutez des effets au projet à l’aide de modules. WaveBurner inclut un ensemble
complet de modules d’effet de qualité professionnelle pouvant servir à mastériser un CD.
Vous pouvez aussi ajouter des modules d’effet de format Audio Unit, y compris ceux développés par des fournisseurs tiers. Vous pouvez librement ajuster les paramètres des modules d’effet pour obtenir le son exact recherché.
Modules d’effet inclus dans WaveBurner
WaveBurner inclut une suite complète d’effets à utiliser dans vos projets. Les effets livrés
avec WaveBurner sont les suivants :
 Modélisation d’ampli : Bass Amp, Guitar Amp Pro
 Effets retard : Delay Designer, Sample Delay, Stereo Delay, Tape Delay
 Effets de distorsion : Bitcrusher, Clip Distortion, Distortion, Distortion II, Overdrive,
Phase Distortion
 Dynamique : Adaptive Limiter, Compressor, DeEsser, Enveloper, Expander, Limiter,
Multipressor, Noise Gate, Silver Compressor, Silver Gate
 Égalisation : Channel EQ, DJ EQ, Fat EQ, High Cut, High Pass Filter, High Shelving, Linear
Phase EQ, Low Cut, Low Pass Filter, Low Shelving, Match EQ, Parametric EQ, Silver EQ
 Filtre : AutoFilter, EVOC 20 Filterbank, Fuzz-Wah, Spectral Gate
 Imagerie : Direction Mixer, Stereo Spread
 Mesure : BPM Counter, Correlation Meter, Level Meter, Multimeter, and Tuner
 Modulation : Chorus, Ensemble, Flanger, Microphaser, Modulation Delay, Phaser,
RingShifter, Rotor Cabinet, Scanner Vibrato, Spreader, Tremolo
 Tonalité : Pitch Correction, Pitch Shifter II, Vocal Transformer52 Chapitre 6 Utilisation des effets
 Réverbération : AVerb, Enverb, GoldVerb, PlatinumVerb, SilverVerb, Space Designer
 Effets spécialisés : Denoiser, Exciter, Speech Enhancer, SubBass
 Utilitaire : Gain
Reportez-vous au Guide des effets et des instruments de Logic Studio pour obtenir une
description complète de chaque effet.
Utilisation de modules d’effet Audio Units
Outre les modules d’effet inclus, vous pouvez ajouter des modules au format Audio Units.
Les modules Audio Units sont disponibles auprès d’Apple et d’autres fabricants. Lorsque
vous ajoutez des modules de fabricants tiers à votre ordinateur, prenez soin de lire la documentation, y compris les fichiers Ouvrez-moi et ceux d’installation accompagnant le
module.
Les modules Audio Unit d’Apple apparaissent dans le sous-menu Apple du menu local
Ajouter un module. Les modules Audio Unit de fabricants tiers apparaissent dans les sousmenus dans lesquels figure le nom du fabricant dans le menu local Ajouter un module.
Vous ajoutez des modules Audio Unit de la même manière que les effets inclus, en choisissant le module dans le sous-menu approprié du menu Ajouter un module. Vous ajustez les
paramètres des modules Audio Unit, vous affichez les fenêtres de module et supprimez
des modules de la même manière que vous le feriez avec les modules inclus.
Utilisation de l’Audio Units Manager
WaveBurner utilise l’outil de validation AU d’Apple pour garantir que seuls les modules
totalement compatibles avec la spécification Audio Unit sont utilisés. Cela permet de
limiter les problèmes provoqués par les modules Audio Unit de fabricants tiers lors de
l’exécution de WaveBurner.
Le processus de validation s’effectue automatiquement lorsque :
 WaveBurner est lancé pour la première fois,
 WaveBurner est mis à jour,
 vous installez de nouveaux modules Audio Unit ou mettez à jour ceux existant déjà,
vous pouvez voir les résultats de l’analyse dans l’Audio Units Manager.
Pour ouvrir l’Audio Units Manager :
m Choisissez WaveBurner > Audio Units Manager.
Les résultats du test s’affichent dans la colonne Compatibility (compatibilité). Les modules Audio Unit qui ont échoué peuvent être activés, mais sachez qu’ils peuvent poser
problème. L’utilisation de modules non validés risque de fausser les résultats des tests
d’autres modules analysés ou de provoquer des arrêts inopinés de WaveBurner, voire
des pertes de données (fichiers de morceau détruits).Chapitre 6 Utilisation des effets 53
Nous vous conseillons donc vivement de vous rendre sur le site web du fabricant pour
y télécharger les mises à jour des modules Audio Unit qui n’ont pas pu être validés.
L’Audio Units Manager permet également de désactiver les modules Audio Units que
vous ne souhaitez pas utiliser dans WaveBurner même s’ils sont validés. Pour désactiver
un module, il suffit de désélectionner la case à cocher correspondante dans la colonne
Use (utiliser). Pour enregistrer votre sélection de modules Audio Unit, cliquez sur OK.
Cliquez sur le bouton « Tout réinitialiser et réanalyser » pour effectuer un autre test de
validation après avoir installé les modules/mises à jour ou déplacé les composants dans
le Finder, WaveBurner ou l’Audio Units Manager étant ouverts.
Remarque : si vous appuyez sur les touches Contrôle + Maj au lancement de WaveBurner, le mode sans échec AU Safe Mode est alors utilisé : seuls les modules admis par le
test de validation seront disponibles ; les modules activés manuellement dont le test de
validation a échoué ne seront pas disponibles.
Ajout et suppression de modules
Vous ajoutez des modules aux séquences sélectionnées dans la liste Modules de
séquence ; vous ajoutez des modules au projet entier dans la liste Modules de mixage.
Pour ajouter un module à une séquence :
1 Cliquez sur l’onglet Modules de séquence pour afficher la liste Modules de séquence.
2 Dans la liste Séquence, cliquez sur la séquence cible à laquelle vous souhaitez ajouter
le module.
3 Choisissez la catégorie de module que vous souhaitez ajouter depuis le menu local
Ajouter un module, puis sélectionnez le module dans le sous-menu.
Ce module apparaît dans la liste Modules de séquence, en dessous de tout autre module
déjà ajouté à la séquence.
Pour ajouter un module au projet global :
1 Cliquez sur l’onglet Modules de mixage pour afficher la liste Modules de mixage.
2 Choisissez la catégorie de module que vous souhaitez ajouter depuis le menu local
Ajouter un module, puis sélectionnez le module dans le sous-menu.
Ce module apparaît dans la liste Modules de mixage, en dessous de tout autre module
déjà ajouté au projet.
Vous pouvez supprimer un module de la liste si vous ne souhaitez plus l’utiliser.54 Chapitre 6 Utilisation des effets
Pour supprimer un module :
m Sélectionnez le module dans la liste Modules de séquence ou Modules de mixage,
puis appuyez sur la touche Suppr/Arrière.
Remarque : vous pouvez copier les modules en appuyant sur la touche Option, en cliquant
sur le nom du module souhaité et en le faisant glisser en bas de la liste de modules.
Dérivation de modules
Vous pouvez dériver un module afin d’écouter la séquence ou le projet sans ce module,
sans perdre les modifications apportées aux paramètres du module.
Pour dériver un module :
m Cliquez sur la case située à droite de la ligne souhaitée dans la liste de modules. Cliquez
à nouveau sur la case pour entendre le module.
Ajustement des paramètres des modules
Chaque module contient un ensemble de paramètres contrôlant la façon dont il met
en forme le son. Vous pouvez afficher et ajuster les paramètres d’un module dans sa
fenêtre ou dans la liste de modules.
Pour accéder aux paramètres d’un module dans la liste de modules :
m Cliquez sur le triangle situé à gauche du nom du module dans la liste de modules. Cette
opération permet d’afficher les réglages de tous les paramètres du module. Les valeurs
des paramètres individuels peuvent être modifiées en cliquant sur la valeur affichée dans
la colonne Réglages et en la faisant glisser.
Remarque : vous pouvez charger des réglages de module existants en cliquant sur le nom
affiché dans la première colonne Réglages d’un module. Cette opération ouvre un menu
local qui vous permet de charger et d’enregistrer les réglages du module.
Pour accéder aux paramètres d’un module à partir de sa fenêtre :
m Double-cliquez sur le nom du module dans la liste de modules.
La fenêtre du module s’ouvre. Vous pouvez ajuster les paramètres du module en déplaçant
les curseurs ou les potentiomètres, en saisissant des valeurs dans les champs ou en cliquant
sur les boutons.
Le menu à flèche situé à droite de la fenêtre de la liste de modules vous permet d’ouvrir
et de fermer rapidement toutes les fenêtres de modules.
Remarque : tout changement apporté aux valeurs des paramètres d’un module dans
sa fenêtre ou dans la liste de paramètres (affichés dans la colonne Réglages) est reflété
dans l’autre.Chapitre 6 Utilisation des effets 55
Modification de l’ordre des modules
La modification de l’ordre des modules peut radicalement modifier le son de la séquence
ou du mixage en cours de traitement. L’alimentation d’une séquence via une chaîne de
type réverbération ? chorus ? retard offre des résultats d’une tonalité très différente au
fait d’alimenter la même séquence avec une chaîne de type retard ? chorus ? réverbé-
ration, même si des paramètres identiques sont utilisés pour chacun des trois effets. Cette
différence de tonalité est due au fait que des fréquences particulières de votre séquence
sont amplifiées/désamplifiées par chaque effet, puis intensifiées ou supprimées par les
processus suivants.
Pour modifier l’ordre des modules dans les listes de modules :
m Cliquez sur le nom du module, puis faites-le glisser vers la position souhaitée, vers le haut
ou vers le bas.
Utilisation des chaînes de modules
Vous pouvez enregistrer les chaînes de modules que vous avez définies dans les listes
de modules. Vous pouvez également charger les chaînes de modules enregistrées pré-
cédemment. Sélectionnez simplement la fonction appropriée dans le menu Chaîne de
modules à côté du menu Ajouter un module.
Utilisation du VU-mètre
Vous pouvez surveiller les niveaux de sortie audio de vos projets à l’aide du VU-mètre.
Pendant la lecture d’un projet, les niveaux de chaque canal stéréo changent constamment. Le VU-mètre affiche ces modifications sous la forme de barres bleues qui apparaissent de gauche à droite, celle située le plus à droite correspondant au niveau le plus
élevé pour ce canal. Les pics momentanés sont affichés sous la forme de barres jaunes
fines dans chaque canal.
Les barres du VU-mètre deviennent rouges si elles dépassent la valeur 0 dB, faisant ainsi
office d’indicateurs d’extraits.
Vous pouvez vérifier la présence d’écrêtage dans votre projet.
Pour vérifier la présence d’écrêtage dans votre projet :
m Choisissez Disque > Rechercher l’écrêtage sur le disque.7
57
7 Gravure d’un projet sur CD
Une fois votre projet terminé, vous pouvez le graver sur un CD.
Le CD audio qui en résulte respecte la norme Livre rouge et peut être lu sur n’importe
quel lecteur CD audio.
Préparation à la gravure d’un CD
Avant de graver votre projet sur un CD, vous devez effectuer plusieurs opérations :
 Vérifiez que le graveur de CD est connecté, activé et opérationnel.
 Vérifiez que WaveBurner reconnaît le graveur de CD.
 Définissez les options de disque du projet.
 Réalisez un aperçu des transitions entre les pistes.
Graveurs de CD pris en charge
WaveBurner fonctionne avec tous les graveurs de CD reconnus par Mac OS X, y compris
les lecteurs SuperDrive et les graveurs de CD de fabricants tiers.
Définition des options du disque
Vous pouvez définir de nombreuses options de disque pour un projet, notamment
les suivantes :
 Ajout d’un code UPC/EAN
 Définition des décalages pour les points de départ, les points de fin et les index
 Définition de la durée de la pause par défaut
 Ajout d’une période de silence à la fin du CD
 Ajout d’informations relatives au texte du CD, y compris le titre, l’interprète, l’auteur,
le compositeur et l’arrangeur, et d’un message de texte58 Chapitre 7 Gravure d’un projet sur CD
Ajout d’un code UPC/EAN
Les CD destinés à la vente incluent généralement un code universel des produits (UPC,
Universal Product Code) et une numérotation européenne des articles (EAN, European
Article Number). Ces données contiennent des informations sur la maison de disques
qui produit le CD, ainsi que d’autres informations éventuelles.
Pour ajouter un code UPC/EAN :
1 Choisissez Disque > Options du disque, puis cliquez sur l’onglet Général si nécessaire.
2 Saisissez le code dans le champ Code UPC/EAN.
3 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur OK.
Définition des réglages
Vous pouvez modifier globalement la position des marqueurs de point de départ, de point
de fin et d’index en définissant un décalage. L’unité de valeur d’unité pour les décalages
est une image CDDA (1/75e de seconde). Lorsque vous définissez un décalage, les marqueurs sont immédiatement déplacés avant que le projet ne soit gravé sur CD, puis
replacés à leurs positions d’origine une fois le CD gravé.
Les décalages ont pour but de compenser la désynchronisation de certains lecteurs CD,
notamment les modèles anciens.
La fenêtre Options du disque inclut des champs de décalage pour le premier point de
départ, les autres points de départ, les points de fin et les points d’index, ce qui vous
permet de décaler tout ou partie de ces marqueurs.
Le premier point de départ est spécial, car la norme Livre rouge stipule qu’il doit y avoir une
pause de deux à trois secondes avant le début de la première piste. En saisissant une valeur
supérieure à 0 (zéro) dans le champ Premier point de départ, vous insérez un temps de
silence de valeur correspondante avant la première piste. Toutes les pistes suivantes sont
décalées du temps requis afin de maintenir ce temps de silence. La durée globale du CD
s’accroît en fonction du nombre d’images CDDA requises pour conserver la période de
silence initiale.
Pour définir des décalages :
1 Choisissez Disque > Options du disque, puis cliquez sur l’onglet Général si nécessaire.
2 Saisissez les décalages que vous souhaitez définir dans les champs « Premier point de
départ », « Autres points de départ », Points d’arrêt et Index. (En images CDDA).
3 Lorsque vous avez terminé, cliquez sur OK.Chapitre 7 Gravure d’un projet sur CD 59
Enregistrement des notes de mastérisation
Vous pouvez ajouter des remarques d’informations de mastérisation relatives à votre
projet dans WaveBurner au cas où vous en auriez besoin par la suite. Vous pouvez enregistrer des informations sur la session, le client, les modules et le tramage aléatoire utilisé, ainsi que sur chaque piste.
 Les informations de session incluent l’identifiant de la session, la date et l’heure,
la maison de disques, le studio, l’ingénieur, le média source, la profondeur de bits
et la fréquence d’échantillonnage.
 Les informations sur les clients incluent le titre du disque, le client, l’artiste, le producteur
et le copyright.
 Les commentaires vous permettent d’ajouter des notes et des informations sur
une session.
Pour ajouter des informations de mastérisation à un projet :
1 Choisissez Disque > Notes de mastérisation pour afficher la fenêtre correspondante.
2 Cliquez sur l’onglet Session ou Client, selon le cas.
3 Saisissez les informations souhaitées dans le champ approprié.
4 Cliquez sur Appliquer.
Aperçu des transitions
Avant de graver un CD, il est recommandé de vérifier l’aperçu des transitions pour
vous assurer que le résultat correspond à vos attentes.
Pour vérifier l’aperçu de toutes les transitions de piste :
1 Ouvrez l’onglet Aperçu de la fenêtre Préférences et définissez le nombre de secondes
qui doivent s’écouler au début (Pre-roll) et à la fin (Post-roll) d’un titre.
2 Sélectionnez Disque > Aperçu du disque. La fin et le début de chaque piste du CD
seront lus.
Remarque : la fonction Disque > Aperçu de la piste vous permet de vérifier l’aperçu
du début et de la fin d’une piste choisie dans la liste des pistes.60 Chapitre 7 Gravure d’un projet sur CD
Gravure du CD
Après avoir terminé les étapes détaillées dans la rubrique « Préparation à la gravure
d’un CD » à la page 57, vous êtes prêt à graver le projet sur un CD.
Pour graver un projet sur un CD, procédez comme suit :
1 Choisissez Graver > Graver le disque.
La zone de dialogue Graver apparaît, avec le nom du graveur de CD répertorié. Si vous
n’avez pas déjà inséré un CD-R vierge sur le plateau du graveur, la zone de dialogue Graver
vous invite à le faire.
2 Insérez un CD-R vierge sur le plateau du graveur, si tel n’est pas déjà le cas.
Remarque : le CD-R doit être vierge. WaveBurner ne prend pas en charge la gravure sur
un CD-R contenant déjà d’autres sessions CDDA, car la norme Livre rouge ne serait
alors pas respectée.
3 Dans la zone de dialogue Graver, cliquez sur Graver.
La zone de dialogue Graver affiche la progression du processus de gravure. Lorsque
le processus de gravure est terminé, le CD est éjecté.8
61
8 Définition des préférences dans
WaveBurner
Vous pouvez définir des préférences pour différents aspects
de WaveBurner dans la fenêtre Préférences.
Certaines préférences s’appliquent au projet en cours, d’autres aux nouveaux projets.
Avant de commencer à travailler sur vos projets, vous avez la possibilité de spécifier
plusieurs préférences.
Pour ouvrir la fenêtre Préférences :
m Choisissez WaveBurner > Préférences (ou appuyez sur les touches
Commande + virgule).
Préférences générales
 Au démarrage : définit le comportement par défaut lorsque vous ouvrez WaveBurner.
Vous avez le choix entre les options « Créer un nouveau document » (pour créer un
projet vierge), Ouvrir le document (pour afficher une zone de dialogue Ouvrir), « Ouvrir
le dernier document » (pour ouvrir le dernier document sur lequel vous travailliez à la
dernière fermeture de WaveBurner) ou Ne rien faire.
 Durée de la pause par défaut : définit la durée de la pause par défaut qui est insérée
lorsque vous ajoutez une séquence. La modification de la durée de la pause par défaut
n’a pas d’incidence sur les documents déjà ouverts. Elle s’applique uniquement aux
documents ouverts après la définition d’une nouvelle valeur.62 Chapitre 8 Définition des préférences dans WaveBurner
 Zoom vers la ligne de position : lorsqu’elle est activée, la ligne de position reste centrée
dans la zone Vue onde lors du zoom.
 Définir le format temporel de forme générale : lorsque cette option est activée, le fait
de changer le format temporel dans la liste Séquence, la liste Piste ou la zone Vue
onde entraîne le changement du format dans toutes les autres vues.
Préférences du gestionnaire audio
 Gestionnaire : choisissez le périphérique audio (de sortie) dans le menu local.
 Sortie : choisissez les canaux en sortie, ou canaux, dans le menu local. Le nombre de
canaux disponibles dépend du périphérique sélectionné dans le menu local Gestionnaire.
Préférences pour l’aperçu
Si la fonction d’aperçu est activée (Disque > Aperçu du disque ou Aperçu de la piste),
WaveBurner lit un court segment audio autour de chaque marqueur de piste, de façon
consécutive.
 Pre-roll : la durée de lecture (en secondes) qui précède un marqueur de pause de piste
(lecture des x dernières secondes de la piste précédente).
 Post-roll : la durée de lecture (en secondes) qui suit un marqueur de début de piste
(lecture des x premières secondes de la piste suivante).Chapitre 8 Définition des préférences dans WaveBurner 63
Préférences pour la gravure
 Écrire les données du texte du CD : activez cette option pour inclure le texte du CD
sur le CD.
 Écrire les points d’index : activez cette option pour inclure les informations relatives
aux points d’index sur le CD.
 Écrire le code UPC/EAN : activez cette option pour inclure le code UPC/EAN sur le CD.
 Écrire les codes ISRC : activez cette option pour inclure les codes ISRC sur le CD.
 Écrire la préaccentuation : activez cette option pour inclure les indicateurs de préaccentuation sur le CD.
 Écrire les données SCMS : activez cette option pour inclure les données SCMS sur le CD.
Remarque : le texte du CD peut uniquement être écrit sur votre disque si votre graveur
prend en charge le texte de CD. Seuls les lecteurs de CD compatibles avec l’option Texte
du CD affichent le texte en question.
Préférences pour les bounces
 Dithering : ce menu local vous permet de choisir le type de tramage aléatoire à appliquer lorsque vous effectuez un bounce du projet ou que vous le gravez. Les choix sont
les suivants : « POW-r #1 (tramage aléatoire) », « POW-r #2 (mise en forme du son) »,
« POW-r #3 (mise en forme du son) » et « Pas de tramage aléatoire ».
Pour plus d’informations sur l’utilisation du tramage aléatoire et les différences entre
les différents types de tramage aléatoire, reportez-vous au Manuel de l’utilisateur
de Logic Pro 8.64 Chapitre 8 Définition des préférences dans WaveBurner
 Remplacer la séquence par le bounce : lorsque cette option est activée, le nouveau
fichier audio créé en choisissant Séquence > Effectuer un bounce de la séquence
remplace la séquence d’origine (cette opération est impossible si le fichier d’origine
est au format stéréo et le fichier sur lequel un bounce est effectué est au format
mono, car des informations seraient perdues lorsque le fichier stéréo a été remplacé
par le fichier mono).
 La détection de l’écrêtage arrête le bounce : lorsqu’elle est activée, le processus de
bounce est arrêté si un phénomène d’écrêtage est détecté dans la séquence ou
le projet sur lesquels un bounce est effectué.
Préférences SDII
WaveBurner peut importer des fichiers et des séquences au format SDII (Sound Designer II).
Les préférences SDII détermine la façon dont WaveBurner gère l’importation.
 Ajouter les séquences SDII en tant que séquences WaveBurner : si cette option est désactivée, un fichier SDII est importé sous forme de séquence WaveBurner unique. Activez
cette option pour ajouter plusieurs séquences SDII dans WaveBurner. Si le fichier SDII
ne contient aucune définition de séquence, une zone de dialogue vous invite à ajouter
le fichier entier en tant que séquence unique.
 Adopter la durée des pauses des séquences SDII : activez cette option pour utiliser
les durées de la pause des séquences SDII (du fichier d’origine) pour votre CD.
 Importer les marqueurs SDII en tant que : vous pouvez décider d’utiliser des marqueurs
SDII soit comme marqueurs d’index ou comme marqueurs de début de piste.
 Afficher la zone de dialogue d’importation SDII : si vous activez cette option, la zone
de dialogue Importation SDII apparaît chaque fois que vous importez une séquence SDII,
ce qui vous permet de changer les préférences d’importation SDII. Si la préférence
Afficher la zone de dialogue Importer SDII est désactivée, la zone de dialogue d’importation n’apparaît pas. Les fichiers sont importés comme spécifié par les préférences.
L’activation de l’option Ne plus afficher dans la zone de dialogue Importation SDII
désactive la préférence d’importation SDII.Chapitre 8 Définition des préférences dans WaveBurner 65
Préférences pour les informations
Cet onglet de préférence vous permet de définir le type d’informations de piste de CD à
inclure dans les informations de mastérisation. Vous pouvez activer ou désactiver l’heure
de début, le nom de la piste, la durée de la piste, l’arrêt de la piste, la pause de la piste, l’anticopie, la préaccentuation, le code ISRC, les commentaires de la piste et les points d’index. 67
Annexe
Raccourcis clavier de WaveBurner
Commandes de fichiers
Commandes d’édition
Exploitation des disques
Fonction Raccourci clavier
Nouveau Commande + N
Ouvrir Commande + O
Fermer Commande + W
Enregistrer Commande + S
Enregistrer sous Commande + Maj + S
Importer le fichier audio Commande + F
Graver le disque Commande + B
Fonction Raccourci clavier
Annuler Commande + Z
Rétablir Commande + Maj + Z
Couper Commande + X
Copier Commande + C
Coller Commande + V
Tout sélectionner Commande + A
Fonction Raccourci clavier
Aperçu du disque Commande + D
Aperçu de la piste Commande + K
Données des pistes du CD Commande + T
Données du point d’index Commande + I
Éjecter le disque Commande + E68 Annexe Raccourcis clavier de WaveBurner
Commandes de séquences
Commandes d’affichage
Exploitation des transports
Fonction Raccourci clavier
Données de la séquence Commande + R
Fonction Raccourci clavier
Zoom avant Flèche vers le bas
Zoom arrière Flèche vers le haut
Zoom arrière maximum Option + Flèche vers le bas
Zoom avant maximum Option + Flèche vers le haut
Fonction Raccourci clavier
Démarrer ou arrêter la lecture Barre d’espace, Retour
Retourner au début du disque Retour
Aller au début de la piste suivante Flèche droite
Aller au début de la piste précédente Flèche gauche
Aller au marqueur d’index suivant Option + Flèche droite
Aller au marqueur d’index précédent Option + Flèche gauche
Aller à la séquence suivante Option + Maj + Flèche droite
Aller à la séquence précédente Option + Maj + Flèche gaucheAnnexe Raccourcis clavier de WaveBurner 69
Commandes de la zone d’affichage Onde
Commandes de fenêtres
Commandes d’aide
Fonction Raccourci clavier
Basculer entre les outils Ciseaux et Pointeur Commande, lorsque le pointeur de la souris est sur
la séquence
Basculer entre les pointeurs de marqueur
de piste et de marqueur d’index
Commande, lorsque le pointeur de la souris est sur
la barre du marqueur
Insérer un marqueur de début de piste
à la ligne de position
T
Insérer un marqueur d’index à la ligne
de position
I
Aller au marqueur suivant Option + Flèche droite
Aller au marqueur précédent Option + Flèche gauche
Déplacer le début de la piste sans déplacer
le marqueur de début de pause quand le
marqueur de piste est fermé
Commande + Faire glisser le marqueur de début
de piste vers la droite
Appliquer un Trim à la fin de la séquence
sans incidence sur les séquences suivantes
Option + Faire glisser la fin de la séquence
Appliquer un Trim au début de la séquence
sans incidence sur les séquences suivantes
Option + Faire glisser le début de la séquence
Fonction Raccourci clavier
Placer dans le Dock Commande + M
Ouvrir le VU-mètre Commande + L
Fonction Raccourci clavier
Aide WaveBurner Commande + ? (point d’interrogation)
Logic Express 8
Instruments
et effets? Apple Inc.
© 2007 Apple Computer Inc.
En vertu des lois sur le copyright, il est interdit de copier
le présent manuel en tout ou partie sans l’autorisation
écrite d’Apple. Vos droits sur le logiciel sont régis par le
contrat de licence du logiciel annexé.
Le logo Apple est une marque d’Apple Computer, Inc.
déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation du logo Apple « clavier » (Option + 1 ) à des fins
commerciales sans l’autorisation écrite préalable
d’Apple peut constituer une contrefaçon de marque et
une concurrence déloyale en violation des lois fédérales
et nationales.
Tous les efforts ont été mis en œuvre pour garantir
l’exactitude des informations contenues dans le présent
manuel. Apple Computer, Inc. ne saurait être tenu pour
responsable des coquilles, ni des erreurs d’écriture.
Remarque :Apple mettant fréquemment à disposition
de nouvelles versions et des mises à jour de son logiciel
système, de ses applications et de ses sites Internet,
les illustrations présentes dans ce manuel peuvent
présenter de légères différences avec ce qui apparaît
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1 Infinite Loop
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408-996-1010
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Apple, le logo Apple, FireWire, Jam Pack, Logic, Mac,
Mac OS, Macintosh, QuickTime et Ultrabeat sont des
marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans
d’autres pays.
Finder et GarageBand sont des marques d’Apple Inc.
Tout autre nom de société et de produit mentionné
dans le présent manuel est une marque de son
détenteur respectif. La mention de produits tiers n’est
proposée que dans un souci d’information et ne constitue
en rien un cautionnement ou une recommandation.
Apple n’assume aucune responsabilité en ce qui concerne
les performances ou l’utilisation de ces produits. 3
1 Table des matières
Préface 9 Présentation des modules Logic Express
9 Effets et instruments Logic Express
Chapitre 1 13 Modelage d’amplificateur
13 Bass Amp
15 Guitar Amp Pro
Chapitre 2 21 Retard
22 Echo
22 Sample Delay
23 Stereo Delay
24 Tape Delay
Chapitre 3 27 Distortion
28 Bitcrusher
29 Clip Distortion
31 Distortion
31 Distortion II
32 Overdrive
33 Phase Distortion
Chapitre 4 35 Dynamique
37 Compressor
41 DeEsser
42 Ducker
44 Enveloper
46 Expander
48 Limiter
49 Noise Gate
52 Preset Multipressor
52 Silver Compressor
53 Silver Gate4 Table des matières
Chapitre 5 55 Égalisation
57 Channel EQ
61 DJ EQ
61 Fat EQ
63 Égaliseurs monobandes
64 Silver EQ
65 Plages de fréquences utilisées avec un égaliseur
Chapitre 6 67 Filtre
68 AutoFilter
72 EVOC 20 Filterbank
76 EVOC 20 TrackOscillator
87 Fuzz-Wah
90 Spectral Gate
Chapitre 7 93 Imaging
93 Direction Mixer
96 Stereo Spread
Chapitre 8 99 Metering
100 BPM Counter
100 Correlation Meter
101 Level Meter
101 Tuner
Chapitre 9 103 Modulation
104 Chorus
104 Ensemble
105 Flanger
106 Microphaser
106 Modulation Delay
107 Phaser
109 RingShifter
114 Rotor Cabinet
116 Scanner Vibrato
117 Spreader
117 TremoloTable des matières 5
Chapitre 10 119 Pitch
119 Pitch Correction
124 Pitch Shifter II
125 Vocal Transformer
Chapitre 11 129 Reverb
130 AVerb
131 EnVerb
132 GoldVerb
135 PlatinumVerb
138 SilverVerb
Chapitre 12 141 Modules spécialisés
142 Denoiser
144 Enhance Timing
145 Exciter
146 Grooveshifter
147 Speech Enhancer
148 SubBass
Chapitre 13 151 Utility
152 Gain
153 I/O
154 Test Oscillator
Chapitre 14 157 EVOC 20 PolySynth
158 Vocoder :Fondamentaux
158 Qu’est-ce qu’un vocoder?
158 Fonctionnement d’un vocoder
159 Fonctionnement d’une banque de filtres
160 Utilisation de l’EVOC 20 PolySynth
161 Paramètres EVOC 20 PolySynth
162 Paramètres de la section Synthesis
167 Paramètres de la section Sidechain Analysis
169 Paramètres Formant Filter
171 Paramètres de la section Modulation
173 Unvoiced/Voiced (U/V) Detection
176 Paramètres de la section Output
177 Schéma de principe
178 Conseils pour une meilleure intelligibilité des paroles
178 Modification des signaux d’analyse et de synthèse
179 Suppression des artefacts sonores
180 Obtenir les meilleurs signaux d’analyse et de synthèse
181 Histoire du vocoder6 Table des matières
Chapitre 15 183 EFM 1
184 Paramètres globaux
185 Modulator et Carrier
186 Paramètres FM
187 Section Output
189 Assignation de contrôleurs MIDI
Chapitre 16 191 ES E
Chapitre 17 193 ES M
Chapitre 18 195 ES P
Chapitre 19 197 ES1
197 Paramètres du module ES1
205 Liste des contrôleurs MIDI
Chapitre 20 207 ES2
208 Paramètres de l’ES2
209 Paramètres globaux
213 Paramètres des oscillateurs
221 Filtres
231 Partie dynamique (amplificateur)
232 Le Routeur
246 Les LFO
249 Les enveloppes (ENV 1 à ENV 3)
254 Le carré
255 L’enveloppe vectorielle
263 Processeur d’effets
264 Utilisation des contrôles et attribution de contrôleurs
265 Variations sonores aléatoires
269 Guides d’initiation
269 Atelier « son »
282 Modèles pour l’ES2
Chapitre 21 291 EXS24 mkII
293 À propos des instruments échantillonnés
295 Chargement d’instruments échantillonnés
297 Utilisation des réglages d’un instrument échantillonné
298 Gestion des instruments échantillonnés
299 Recherche d’instruments échantillonnés
300 Importation d’instruments échantillonnés
309 Fenêtre Parameters
328 Instrument EditorTable des matières 7
351 Réglage des préférences du Sampler
354 Configuration de la mémoire virtuelle
355 Utilisation de VSL Performance Tool
Chapitre 22 357 External Instrument
357 Paramètres du module External Instrument
358 Utilisation du module External Instrument
Chapitre 23 359 KlopfGeist
Chapitre 24 361 Ultrabeat
362 La structure d’Ultrabeat
363 Présentation d’Ultrabeat
364 Chargement et enregistrement de sons
365 La section d’assignation
371 Section Synthesizer
390 Modulation
400 Le séquenceur pas à pas
414 Création de sons de batterie dans Ultrabeat
Chapitre 25 429 Instruments GarageBand
430 Paramètres d’instruments GarageBand
Annexe 437 Notions élémentaires sur les synthétiseurs
437 Synthétiseur analogique et synthèse soustractive
438 Définition de la synthèse
439 Synthèse soustractive
Glossaire 445
Index 469 9
Préface
Présentation des modules
Logic Express
L’application de production musicale et audio Logic Express
comporte un ensemble complet de modules puissants.
Il s’agit de synthétiseurs innovants, de modules d’effets haute qualité et d’un échantillonneur puissant.
Ce manuel va vous présenter chacun des effets et des instruments ainsi que leurs paramètres. Tous les paramètres des modules sont abordés en détail. Les chapitres relatifs
aux instruments comprennent des didacticiels qui vous permettront de tirer le meilleur
parti de vos nouveaux instruments. Vous utiliserez plus facilement les modules si vous
connaissez bien les fonctions de base de chacune des applications de Logic Express.
Des informations sur celles-ci figurent dans le Manuel de l’utilisateur de Logic Express 8.
Effets et instruments Logic Express
Les tableaux suivants indiquent les effets et les instruments inclus dans Logic Express.
Catégorie d’effet Effets inclus
Distorsion  Bitcrusher (p. 28)
 Clip Distortion (p. 29)
 Distortion (p. 31)
 Distortion II (p. 31)
 Overdrive (p. 32)
 Phase Distortion (p. 33)
Dynamique  Compressor (p. 37)
 DeEsser (p. 41)
 Ducker (p. 42)
 Enveloper (p. 44)
 Expander (p. 46)
 Limiter (p. 48)
 Noise Gate (p. 49)
 Preset Multipressor (p. 52)
 Silver Compressor (p. 52)
 Silver Gate (p. 53)10 PréfacePrésentation des modules Logic Express
Égaliseur  Channel EQ (p. 57)
 DJ EQ (p. 61)
 Fat EQ (p. 61)
 Égaliseurs monobandes (p. 63)
 Silver EQ (p. 64)
Filtre  AutoFilter (p. 68)
 EVOC 20 Filterbank (p. 72)
 EVOC 20 TrackOscillator (p. 76)
 Fuzz-Wah (p. 87)
 Spectral Gate (p. 90)
Image  Direction Mixer (p. 93)
 Stereo Spread (p. 96)
Mesure  BPM Counter (p. 100)
 Correlation Meter (p. 100)
 Level Meter (p. 101)
 Tuner (p. 101)
Modelage d’amplificateur  Bass Amp (p. 13)
 Guitar Amp Pro (p. 15)
Modulation  Chorus (p. 104)
 Ensemble (p. 104)
 Flanger (p. 105)
 Microphaser (p. 106)
 Modulation Delay (p. 106)
 Phaser (p. 107)
 RingShifter (p. 109)
 Rotor Cabinet (p. 114)
 Scanner Vibrato (p. 116)
 Spreader (p. 117)
 Tremolo (p. 117)
Pitch  Pitch Correction (p. 119)
 Pitch Shifter II (p. 124)
 Vocal Transformer (p. 125)
Retard  Echo (p. 22)
 Sample Delay (p. 22)
 Stereo Delay (p. 23)
 Tape Delay (p. 24)
Réverbération  AVerb (p. 130)
 EnVerb (p. 131)
 GoldVerb (p. 132)
 PlatinumVerb (p. 135)
 SilverVerb (p. 138)
Catégorie d’effet Effets inclusPréface Présentation des modules Logic Express 11
Le tableau suivant présente les instruments inclus dans Logic Express.
Spécialisé Â Denoiser (p. 142)
 Enhance Timing (p. 144)
 Exciter (p. 145)
 Grooveshifter (p. 146)
 Speech Enhancer (p. 147)
 SubBass (p. 148)
Utilitaire  Gain (p. 152)
 I/O (p. 153)
 Test Oscillator (p. 154)
Catégorie d’effet Effets inclus
Catégorie d’instrument Instruments inclus
Synthétiseur  EFM 1 (p. 183)
 ES E (p. 191)
 ES M (p. 193)
 ES P (p. 195)
 ES1 (p. 197)
 ES2 (p. 207)
 KlopfGeist (p. 359)
Synthétiseur de batterie Ultrabeat (p. 361)
Logiciel échantillonneur EXS24 mkII (p. 291)
Synthétiseur vocodeur EVOC 20 PolySynth (p. 157)
Utilitaire External Instrument (p. 357)
Instruments GarageBand Analogique de base, Mono analogique, Nappe analogique, Tourbillon analogique, Synchro analogique, Basse, Numérique de base,
Mono numérique, Digital Stepper, Batteries, Clavicorde électrique,
Piano électrique, Guitare, Cors, Hybride de base, Métamorphose
hybride, Piano, Effets sonores, Cordes, Orgue à roues phoniques,
Percussion syntonisée, Voix, Instruments à vent (voir « Instruments
GarageBand » à la page 429)1
13
1 Modelage d’amplificateur
Vous pouvez ajouter le son d’une guitare et d’un amplificateur
de basse à vos enregistrements audio et instruments logiciels.
À l’aide d’une méthode appelée Modélisation de composants, vous pouvez émuler
le son et les fonctionnalités des amplificateurs d’instruments sous forme d’effets,
en particulier pour les guitares et les basses électriques. Ces effets recréent le son
des amplificateurs à tube comme des amplificateurs à semi-conducteurs et proposent
un ensemble très complet de commandes, notamment de réglage du pré-gain et de
la tonalité des graves, médiums et aigus, ainsi que du niveau de sortie. Ils permettent
de sélectionner un des nombreux modèles d’amplificateurs habituels fournis.
Les rubriques suivantes décrivent les différents modules fournis avec Logic Express.
 « Bass Amp » à la page 13
 « Guitar Amp Pro » à la page 15
Bass Amp
Le module Bass Amp (Ampli de basse) simule le son de plusieurs amplificateurs de
basse renommés. Vous pouvez traiter les signaux de guitare basse directement dans
Logic Express et reproduire le son des amplis de basse de haute qualité.
Vous pouvez également utiliser Bass Amp pour la conception sonore expérimentale.
Vous pouvez utiliser librement le module sur d’autres instruments, en fonction de vos
besoins, en appliquant le caractère sonore d’un ampli de basse à une partie vocale
ou de percussions, par exemple.14 Chapitre 1 Modelage d’amplificateur
Paramètres du module Bass Amp
 Menu local Model :sélectionnez l’un des neuf modèles d’amplis proposés. Les modèles
suivants sont disponibles :
Model Description
American Basic Modèle d’amplificateur de basses américain des années 70 équipé de
huit haut-parleurs de 10 pouces. Bien adapté aux enregistrements blues
et rock.
American Deep Dérivé du modèle American Basic avec une forte accentuation des
fréquences médium les plus faibles (à partir de 500 Hz). Bien adapté
aux enregistrements reggae et pop.
American Scoop Dérivé du modèle American Basic alliant les caractéristiques de fréquence
d’American Deep et American Bright, avec accentuation des fréquences
médium faibles (à partir de 500 Hz) et des médiums forts (à partir de
4,5 kHz). Bien adapté aux enregistrements funk et fusion.
American Bright Dérivé du modèle American Basic accentuant fortement les fréquences
des médiums les plus forts (au-delà de 4,5 kHz).
New American Basic Modèle d’ampli de basse américain des années 80, bien adapté aux
enregistrements blues et rock.
New American Bright Dérivé du New American Basic, ce modèle accentue fortement la plage
de fréquence au-delà de 2 kHz. Bien adapté aux enregistrements rock
et heavy metal.
Top Class DI Warm Simulation DI réputée, bien adaptée aux enregistrements reggae et pop.
Les médiums de la plage de fréquences large entre 500 et 5 000 Hz
sont réduits.Chapitre 1 Modelage d’amplificateur 15
 Curseur Pre Gain :détermine le niveau de préamplification du signal d’entrée.
 Curseurs Bass, Mid et Treble :ajustent respectivement les niveaux de graves, de
médiums et d’aigus.
 Curseur Mid Frequency :détermine la fréquence centrale de la bande moyenne
(comprise entre 200 Hz et 3 000 Hz).
 Curseur Output Level :détermine le niveau de sortie final de Bass Amp.
Guitar Amp Pro
Le module Guitar Amp Pro peut émuler le son d’une grande variété d’amplis de guitare
et d’enceintes/haut-parleurs utilisés avec ces derniers. Vous pouvez traiter les signaux de
guitare directement dans Logic Express, ce qui vous permet de reproduire le son des
systèmes d’amplification de guitare de haute qualité.
Guitar Amp Pro peut aussi être utilisé pour le traitement et la conception sonores expérimentaux. Vous pouvez utiliser librement le module sur d’autres instruments, en fonction
de vos besoins, pour appliquer le caractère sonore d’un amplificateur de guitare à une
partie de trompette ou vocale, par exemple.
Guitar Amp Pro comporte une grande variété de modèles d’amplificateurs, de hautparleurs et d’égaliseurs que vous pouvez combiner librement. Les égaliseurs sont
équipés des commandes de graves, de médiums et d’aigus habituels des amplis de
guitare. Pour les microphones, vous avez le choix entre deux types et positions de
micros différents. Pour arrondir le complément des paramètres, Guitar Amp Pro intègre
aussi des effets de guitare classique comme, par exemple, la réverbération, le vibrato
et le trémolo.
Top Class DI Deep Basé sur l’amplificateur Top Class DI Warm, ce modèle convient bien au
funk et à la fusion. Sa plage de fréquences médium est la plus forte autour
de 700 Hz.
Top Class DI Mid Basé sur l’amplificateur Top Class DI Warm, ce modèle comporte une plage
de fréquences plus ou moins linéaire n’accentuant aucune fréquence. Il est
adapté aux enregistrements blues, rock et jazz.
Model Description16 Chapitre 1 Modelage d’amplificateur
La fenêtre Guitar Amp Pro se compose de quatre sections principales.
 La section Amp contient les paramètres permettant de sélectionner le modèle
d’ampli (Amp), de haut-parleurs (Speaker) et d’égaliseur (EQ), ainsi qu’un ensemble
de commandes de tonalité, de gain et de niveau.
 La section Effects (FX) contient les commandes relatives aux effets de guitare intégrés.
En dessous se trouve la commande de sortie finale.
 La section Microphone Position permet de définir la position du micro sur le haut-parleur.
 La section Microphone Type permet de sélectionner le type de micro pour la capture
du son de l’ampli.
Section Amp
 Menu local Amp :sélectionnez le modèle d’ampli souhaité. Les modèles suivants sont
disponibles :
Section Amp
Section Effects
Section Microphone Position Section Microphone Type
Model Description
UK Combo 30W Son neutre convenant bien aux parties rythmiques au son clair ou un
peu mordant.
UK Top 50W Assez agressif dans les hautes fréquences, ce modèle convient bien aux
sons rock classiques.
US Combo 40W Son net convenant bien aux musiques de style funk et jazz.
US Hot Combo 40W Accentue les hauts-médiums, ce qui en fait le modèle idéal pour les solos.
US Hot Top 100W Produit des sons très gras, même avec des réglages Master bas qui donnent
des sons larges avec beaucoup de punch.
Custom 50W Convient bien aux sons lead assez doux avec un paramètre Presence
réglé sur 0.Chapitre 1 Modelage d’amplificateur 17
 Menu local Speaker :sélectionnez un des 15 modèles de haut-parleurs. Les modèles
suivants sont disponibles :
British Clean Simule les combos anglais classiques travaillant en classe A utilisés en
rock depuis les années 1960 sans avoir subi de modifications importantes.
Ce modèle convient très bien aux parties rythmiques claires ou mordantes.
British Gain Reproduit le son d’une tête à lampes anglaise, synonyme d’un son
typé rock, pour des rythmiques puissantes et des parties lead avec
un riche sustain.
American Clean Reproduit le son plein des combos à lampes, utilisés pour produire
des sons clairs et mordants.
American Gain Reproduit le son d’une tête d’amplification moderne réglée sur un
gain élevé convenant bien aux parties lead rythmiques avec beaucoup
de distorsion.
Clean Tube Amp Reproduit le son d’un modèle à lampes réglé sur un gain faible. La distorsion
n’apparaît que lorsque vous utilisez des niveaux d’entrée ou de réglages de
Gain/Master très élevés.
Model Description
Type de haut-parleurs Description
UK 1x12 open back Enceinte classique, ouverte et équipée d’un haut-parleur de 12".
Son neutre, bien équilibré, assez polyvalent.
UK 2x12 open back Enceinte classique ouverte, équipée de deux haut-parleurs de 12".
Son neutre, bien équilibré, assez polyvalent.
UK 2x12 closed Beaucoup de résonance dans les basses fréquences, convient donc bien
aux combos :possibilité de sons plus mordants avec des réglages de
commande de Bass (Graves) bas.
UK 4x12 closed slanted Lorsqu’il est utilisé en combinaison avec des micros décentrés, vous obtenez
une plage de médium intéressante. Il est le complément idéal des amplis à
gain élevé.
US 1x10 open back Peu de résonance dans les basses fréquences. Convient bien à l’harmonica
(blues).
US 1x12 open back 1 Enceinte ouverte d’un combo américain, son lead, un seul haut-parleur
de 12".
US 1x12 open back 2 Enceinte ouverte d’un combo américain pour son clair/légèrement saturé,
un seul haut parleur de 12".
US 1x12 open back 3 Enceinte ouverte d’un autre combo américain pour son clair/légèrement
saturé, un seul haut-parleur de 12".
US broad range Simulation d’une enceinte souvent utilisée sur un piano électrique classique.
Analog simulation Simulation du circuit de charge du haut-parleur interne d’un célèbre
préamplificateur anglais de 19".
UK 1x12 Amplificateur à lampes clos, anglais, classe A, un seul haut-parleur de 12".
UK 4x12 Enceinte close classique, équipée de quatre haut-parleurs de 12"
(série noire), convient au rock.18 Chapitre 1 Modelage d’amplificateur
 Menu local EQ :sélectionnez un des quatre modèles d’égaliseurs. Les modèles
suivants sont disponibles :British 1, British 2, American et Modern EQ.
 Bouton Amp–Speaker Link :lie les menus Amp et Speaker afin de charger automatiquement le haut-parleur associé à l’ampli choisi dans la section Model.
 Bouton Amp–EQ Link :lie les menus Amp et EQ afin de charger automatiquement
le modèle d’égaliseur associé à l’ampli choisi dans la section Model.
Chaque modèle d’ampli est associé à un modèle de haut-parleur et d’égaliseur.
C’est la combinaison d’un amplificateur, d’un haut-parleur et d’un égaliseur qui
permet de recréer un son de guitare connu. Vous pouvez toutefois combiner librement les modèles de haut-parleurs ou d’égaliseurs avec n’importe quel amplificateur
en désactivant ces deux boutons de lien.
 Potentiomètre Gain :détermine la quantité de préamplification appliquée au signal
d’entrée. Cette commande a un effet qui varie selon le modèle d’amplificateur sélectionné. Par exemple, lorsque vous utilisez le modèle d’amplificateur British Clean,
le réglage de gain maximum produit un son saturé puissant. Par contre, lorsque vous
utilisez les amplificateurs British Gain ou Modern Gain, les mêmes réglages de gain
produisent de très fortes distorsions qui conviennent aux solos.
 Potentiomètres Bass, Mids et Treble :ajustent les plages de fréquences des modèles
d’égaliseur de la même façon que les potentiomètres de tonalité des amplificateurs
matériels de guitare.
 Potentiomètre Presence :ajuste la plage des hautes fréquences. Le paramètre Presence
n’affecte que l’étage de sortie (Master) de Guitar Amp Pro.
 Potentiomètre Master :détermine le volume de sortie de l’ampli (en direction du
haut-parleur). En général, sur les amplificateurs à lampes, l’augmentation du niveau
de Master produit un son plus compressé et plus saturé, ce qui donne un signal plus
déformé et plus puissant (fort). Les réglages élevés peuvent produire une sortie
extrêmement forte. Dans Guitar Amp Pro, le paramètre Master modifie le caractère
sonique, tandis que le niveau de sortie final se définit à l’aide du paramètre Output
sous la section FX (pour plus d’informations, voir plus bas).
US 1x12 open back Enceinte ouverte d’un combo américain, son lead, un seul haut-parleur
de 12".
US 1x12 bass reflex Enceinte close, de type « bass reflex », un seul haut-parleur de 12".
DI Box Cette option permet de contourner la section de simulation de haut-parleur.
Type de haut-parleurs DescriptionChapitre 1 Modelage d’amplificateur 19
Section Effects
La section Effects contient les effets Reverb, Tremolo et Vibrato. Vous avez le choix
entre Tremolo (qui module l’amplitude ou le volume du son) ou Vibrato (qui module
la hauteur tonale) et pouvez utiliser la Reverb avec l’un ou l’autre, ou séparément.
Pour pouvoir utiliser ou ajuster un effet, vous devez l’activer en cliquant sur son bouton
On (pourvu d’une icône de mise sous tension). Le bouton On s’allume lorsque l’effet
est activé. Les boutons FX et Reverb On se trouvent à gauche des commandes des
différents effets.
Remarque :la section Effects se trouve devant la commande Master dans le flux
de signaux ;elle reçoit donc le signal préamplifié (en amont du master).
Paramètres FX
 Menu local FX :sélectionnez Tremolo ou Vibrato dans le menu.
 Potentiomètre Depth :détermine l’intensité de la modulation.
 Potentiomètre Speed :détermine la vitesse de modulation (en Hz). Les réglages bas
produisent un son doux et flottant alors que les réglages plus élevés produisent un
effet de rotor.
 Bouton Sync :lorsqu’il est activé, la vitesse est synchronisée avec le tempo du projet.
Si la synchronisation est activée, en ajustant le paramètre Speed, vous pouvez sélectionner différentes valeurs de notes de musique. Réglez le paramètre Speed sur la
valeur souhaitée et, quel que soit l’effet que vous avez sélectionné, il sera parfaitement
synchronisé avec le tempo du projet.
Paramètres Reverb
 Menu local Reverb :sélectionnez un des trois types de réverbération à ressort.
 Potentiomètre Level :détermine la quantité de réverbération appliquée au signal
préamplifié de l’amplificateur.
Sections Microphone Position et Microphone Type
Après avoir sélectionné un haut-parleur dans le menu Speaker, vous pouvez sélectionner
le type de micro à émuler et son emplacement par rapport au haut-parleur.
Paramètres Microphone Position
 Bouton Centered :place le micro au centre du cône du haut-parleur, c’est-à-dire dans
l’axe. Cette position produit un son plein et plus puissant qui convient aux sons de
guitare blues ou jazz.
 Bouton Off-Center :place le micro au bord du haut-parleur, c’est-à-dire de hors de
l’axe. Cette position produit un son plus clair et plus précis, mais aussi plus mince
qui convient aux sons de guitare rock ou rhythm and blues tranchants.
Lorsque vous sélectionnez l’un de ces deux boutons, l’écran de haut-parleur graphique
reflète le réglage en vigueur.20 Chapitre 1 Modelage d’amplificateur
Paramètres Microphone Type
 Bouton Condenser :émule le son d’un micro électrostatique de studio. Le son des
micros électrostatiques est fin, transparent et bien équilibré.
 Bouton Dynamic :émule le son d’un micro cardioïde dynamique. Ce type de micro
a un son plus clair et plus tranchant que les modèles électrostatiques. Par contre,
les médiums inférieurs sont moins prononcés, ce qui fait que ce modèle convient
mieux à l’enregistrement de guitares rock.
Remarque :dans la pratique, il peut s’avérer très intéressant de combiner les deux
types de micros. Dupliquez la piste de guitare et ajoutez Guitar Amp Pro comme
effet d’insertion sur les deux pistes. Sélectionnez des micros différents dans les deux
exemples Guitar Amp Pro tout en conservant des réglages identiques pour tous
les autres paramètres puis mixez les niveaux de signal des pistes. Vous pouvez,
bien entendu, faire varier les autres paramètres, si vous le souhaitez.
Output
En dessous de la section Effects se trouve le curseur Output, qui sert de commande
de niveau final pour la sortie de Guitar Amp Pro. Vous pouvez vous représenter le paramètre Output comme une commande de volume située en aval de l’enceinte et qui est
utilisée pour régler le niveau qui est envoyé vers les baies de modules suivants dans le
canal ou dans la sortie du canal.
Remarque :ce paramètre est distinct de la commande Master pour deux raisons :
pour la conception sonore et pour contrôler le niveau de la section Amp.2
21
2 Delay
Les effets Delay (de retard) enregistrent le signal d’entrée
et le conservent un court instant avant de l’envoyer à l’entrée
ou à la sortie de l’effet.
La plupart des retards vous permettent de renvoyer le pourcentage de signal retardé
à l’entrée et de créer ainsi un effet d’écho répétitif. Chaque répétition ultérieure est
légèrement plus faible que la précédente.
Le temps de retard peut être synchronisé avec le tempo du projet, via la mise en
correspondance de la résolution de grille du projet, généralement en valeur de
notes ou en millisecondes.
Vous pouvez utiliser les retards pour effectuer les opérations suivantes :
 doubler des sons isolés afin d’obtenir l’effet d’une même mélodie jouée par
un groupe d’instruments ;
 créer des effets d’écho et diffuser le son dans un espace indéfini ;
 améliorer la position stéréo des pistes d’un mixage.
Les effets de retard sont généralement utilisés comme insertion de canal ou effets
de bus. Il est plus rare d’en faire usage sur l’ensemble d’un mixage (dans un canal de
sortie), à moins que vous ne cherchiez à rendre un effet spécial, un peu « inquiétant ».
Le présent chapitre décrit les effets de retard proposés par Logic Express :
 Echo (reportez-vous à la rubrique ci-dessous)
 Sample Delay (reportez-vous à la rubrique « Sample Delay » à la page 22)
 Stereo Delay (reportez-vous à la rubrique « Stereo Delay » à la page 23)
 Tape Delay (reportez-vous à la rubrique « Tape Delay » à la page 24)22 Chapitre 2 Delay
Echo
Cet effet d’écho simple permet de synchroniser le temps de retard avec le tempo
du projet ;ainsi, vous pouvez créer rapidement des effets d’écho qui s’exécutent
« en rythme » avec votre composition.
Paramètres d’écho
 Time :définit la résolution de grille du temps de retard au niveau des longueurs
de notes, en fonction du tempo du projet. Les valeurs « T » représentent les triolets
et les « . » les notes pointées.
 Repeat :détermine la fréquence à laquelle l’effet de retard se répète.
 Color :définit le contenu harmonique (couleur) du signal de retard.
 Wet and Dry :chacune de ces options contrôle la valeur du signal original
et du signal d’effet.
Sample Delay
Sample Delay n’est pas vraiment un effet, mais plutôt un outil :vous pouvez l’utiliser
pour retarder un canal à l’aide de valeurs d’échantillons uniques. Si vous l’utilisez en
association avec les fonctionnalités d’inversion de phase de l’effet, Sample Delay est
parfaitement adapté à la correction des problèmes de synchronisation pouvant apparaître avec des micros multicanaux. Il peut également être utilisé dans le cadre de la
création, pour émuler l’effet de séparation de canaux des micros stéréo.
La version stéréo du module fournit des commandes séparées pour chaque canal.
Elle offre également une option Link L & R qui déplace les deux canaux du même
nombre d’échantillons.
Chaque échantillon (d’une fréquence de 44,1 kHz) correspond au temps nécessaire à
une onde sonore pour parcourir 7,76 millimètres. En d’autres termes :si vous retardez
le canal d’un micro stéréo de 13 échantillons, vous émulez une séparation acoustique
(micro) de 10 centimètres.Chapitre 2 Delay 23
Stereo Delay
Le fonctionnement de l’effet Stereo Delay est similaire à celui de Tape Delay
(voir ci-dessous) mais vous permet en outre de régler séparément les paramètres
Delay, Feedback et Mix pour le canal droit et le canal gauche.
Cet effet comprend également un potentiomètre d’intercommunication pour chaque
canal stéréo. Il détermine l’intensité du feedback, ou le niveau à partir duquel chaque
signal est acheminé vers le canal stéréo opposé.
Vous pouvez utiliser l’effet Stereo Delay librement sur les pistes ou sur les bus mono,
lorsque vous souhaitez créer des retards indépendants pour chacun des canaux stéréo.
Remarque :si vous utilisez cet effet sur des bandes de canal mono, la piste ou le bus
sera associé à deux canaux à partir du point d’insertion (tous les logements d’insertion
après le logement sélectionné seront stéréo).
Cette rubrique couvre uniquement les fonctionnalités supplémentaires que présente
l’effet Stereo Delay. Pour en savoir plus sur les paramètres communs avec l’effet Tape
Delay, reportez-vous à la rubrique correspondante ci-dessous.
 Left input et Right input :utilisez ces deux entrées pour choisir le signal d’entrée
des deux canaux stéréo. Vous pouvez choisir parmi les options Off (Désactivé),
Left (Gauche), Right (Droite), L+R (Gauche + Droite) et L-R ( Gauche - Droite).
 Bouton Feedback Phase :utilisez ce bouton pour inverser la phase du signal de
feedback pour le canal correspondant.
 Crossfeed Left to Right and Crossfeed Right to Left :utilisez cette option pour transférer
le signal de feedback du canal de gauche vers le canal de droite et inversement.
 Boutons Crossfeed Phase :utilisez ces boutons pour inverser la phase des signaux
de feedback d’intercommunication.24 Chapitre 2 Delay
Tape Delay
L’effet Tape Delay simule le son chaleureux des appareils à écho d’époque. Il a pour avantage de faciliter la synchronisation du temps de feedback avec le tempo de votre projet.
Tape Delay comporte des filtres passe-haut et passe-bas dans sa boucle de feedback,
afin de faciliter la création d’effets de « dub » (copie) authentiques. Il inclut également
un LFO pour la modulation du temps de retard. Le LFO produit une onde triangulaire
avec une intensité de vitesse et de modulation réglable. Vous pouvez l’utiliser pour
produire des effets de chœur agréables ou originaux, même sur les longs retards.
 Feedback :détermine la valeur du signal retardé et filtré qui est réacheminé vers
l’entrée de l’effet Tape Delay.
 Freeze :capture les répétitions de retard actuelles et les conserve jusqu’à ce que
le paramètre soit désactivé.
 Delay :définit le temps de retard actif en millisecondes (si vous synchronisez
le temps de retard avec le tempo du projet, ce paramètre est estompé).
 Tempo :définit le temps de retard actif en battements par minute (si vous synchronisez
le temps de retard avec le tempo du projet, ce paramètre est estompé).
 Bouton Sync :activez ce bouton pour synchroniser les répétitions du retard avec le
tempo du projet (y compris les modifications de tempo).
 Boutons Note :cliquez sur ces boutons pour définir la résolution de grille applicable
au temps de retard, en fonction de la durée des notes.
 Curseur Groove :détermine la proximité de chaque répétition de retard secondaire
par rapport à la position de grille absolue (c’est-à-dire l’éloignement de chaque
répétition de retard secondaire).
 Distortion Level (Extended Parameter) :détermine le niveau du signal déformé
(saturation de l’enregistrement).
 Low Cut and High Cut :les fréquences situées en dessous de la valeur Low Cut
(Passe-bas) et au-dessus de la valeur High Cut (Passe-haut) sont filtrées à partir
du signal source.
 LFO Speed :définit la fréquence (vitesse) du LFO.
 LFO Depth :définit le taux de modulation du LFO. Dans le cas d’une valeur nulle (0),
la modulation du retard est désactivée.Chapitre 2 Delay 25
 Flutter parameters :simule les irrégularités en termes de vitesse des mécanismes
d’entraînement utilisés dans les unités de retard analogiques. Flutter Rate (taux
de scintillement) ajuste la vitesse et Flutter Intensity (intensité du scintillement)
détermine l’ampleur de l’effet.
 Smooth :égalise le LFO et l’effet de scintillement.
 Dry and Wet :chacune de ces options contrôle la valeur du signal original et du
signal d’effet.
Réglage du feedback
Lorsque vous réglez le curseur Feedback sur la valeur la plus faible possible, l’effet Tape
Delay génère un écho simple. Si vous choisissez la valeur la plus haute, les échos sont
répétés à l’infini.
Remarque :les niveaux du signal initial et de ses taps (répétitions d’échos) ont tendance
à s’accumuler et risquent de causer des distorsions. Dans ce cas, le circuit de saturation
interne intervient pour résoudre le problème. Vous pouvez l’utiliser pour garantir que les
signaux de distorsion (overdrive) conservent un son satisfaisant.
Réglage de la valeur Groove
La valeur Groove détermine la proximité entre les répétitions de retard secondaires
et la position absolue sur la grille. Un Groove de 50 pour cent signifie que chaque
retard sera associé au même temps de retard. Avec un réglage inférieur à 50 pour
cent, le retard secondaire est joué plus tôt. Si le réglage est supérieur à 50 pour cent,
le retard secondaire intervient plus tard. Si vous souhaitez créer des valeurs de notes
pointées, déplacez le curseur Groove tout à droite (à 75 pour cent) ;pour les triolets,
choisissez le réglage 33,33 pour cent.
Filtrage de l’effet de retard
Vous pouvez ajuster le son des échos à l’aide des filtres passe-haut et passe-bas
intégrés. Ces filtres se trouvent dans le circuit de retour ;par conséquent l’effet de
filtre augmente en intensité à chaque répétition de retard. Si vous souhaitez obtenir
une tonalité de plus en plus « floue », déplacez le curseur du filtre High Cut vers la
gauche. Pour obtenir des échos encore plus « faibles », déplacez le curseur du filtre
Low Cut vers la droite.
Remarque :si vous ne parvenez pas à entendre l’effet souhaité, bien que votre configuration soit apparemment appropriée, assurez-vous que les commandes Dry/Wet sont
toutes deux activées et vérifiez les réglages de filtre :déplacez le curseur du filtre High
Cut (passe-haut) complètement à droite et le curseur du filtre Low Cut (passe-bas)
complètement à gauche.3
27
3 Distortion
Vous pouvez utiliser les effets Distortion pour recréer
le son de la distorsion analogique ou numérique et pour
transformer radicalement votre audio.
Les effets Distortion simulent la distorsion créée par les lampes à vide, les transistors ou
les circuits numériques. Les lampes étaient utilisées dans les amplificateurs audio avant
le développement de la technologie audio numérique et sont toujours utilisées dans
certains amplis d’instruments de musique de nos jours. Lorsqu’on les pousse, ils produisent un type de distorsion que de nombreuses personnes trouvent plaisante et qui est
devenue une caractéristique du son de la musique rock et pop. La distorsion de lampe
analogique ajoute au signal une chaleur particulière et une vivacité.
Il existe également des effets de distorsion qui génèrent intentionnellement un écrê-
tage (clipping) et une distorsion numérique du signal audio. Ils peuvent être utilisés
pour modifier des pistes vocales, musicales et autres afin de générer un effet intense
et artificiel, ou pour créer des effets sonores.
Les effets de distorsion comportent des paramètres pour la tonalité (tone), qui permettent de définir la façon dont la distorsion altère le signal (souvent sous la forme d’un
filtre de fréquences), et des paramètres pour le gain, qui permettent de contrôler
l’intensité de la distorsion pour le niveau de sortie du signal.
Les rubriques suivantes décrivent les différents effets fournis avec Logic Express.
 « Bitcrusher » à la page 28
 « Clip Distortion » à la page 29
 « Distortion » à la page 31
 « Distortion II » à la page 31
Avertissement :lorsqu’ils sont réglés sur des niveaux de sortie élevés, les effets de
distorsion peuvent endommager votre ouïe (et vos haut-parleurs). Lorsque vous
ajustez les réglages d’un effet, il est recommandé de baisser le niveau de sortie de
la piste et d’augmenter graduellement le niveau une fois que vous avez fini.28 Chapitre 3 Distortion
 « Overdrive » à la page 32
 « Phase Distortion » à la page 33
Bitcrusher
L’effet Bitcrusher est un effet de distorsion numérique de basse résolution. Vous pouvez
l’utiliser pour émuler le son des débuts des données audio numériques, créer du repliement artificiel en divisant la séquence d’échantillonnage ou déformer des signaux jusqu’à
ce qu’ils soient méconnaissables.
Paramètres de l’effet Bitcrusher
 Curseur et champ Drive :détermine le gain (en décibels) à appliquer au signal
d’entrée.
 Curseur et champ Resolution :détermine le débit binaire (entre 1 et 24 bits).
 Curseur et champ Downsampling :détermine de combien il faut réduire la fréquence
d’échantillonnage. La valeur 1 x laisse le signal inchangé, la valeur 2 x divise la fréquence
d’échantillonnage par deux et la valeur 10 x divise la fréquence d’échantillonnage
du signal original par dix (par exemple,si vous réglez le Downsampling sur 10 x, un signal
à 44,1 kHz sera échantillonné à exactement 4,41 kHz).
 Boutons Mode :cliquez sur l’un de ces boutons pour régler le mode de distorsion
sur Folded, Cut ou Displaced (ces modes sont décrits dans la section qui suit).
 Curseur et champ Clip Level :détermine le point en dessous du seuil normal auquel
vous voulez que le signal soit écrêté.
 Curseur et champ Mix (paramètre étendu) :détermine la balance entre les signaux
secs et humides.
Utilisation de l’effet Bitcrusher
En réglant le paramètre Résolution sur une valeur inférieure au débit binaire du
signal original, vous dégradez ce dernier en y introduisant de la distorsion numérique.
En effet, en baissant la valeur, vous augmentez le nombre d’erreurs d’échantillonnage,
ce qui génère plus de distorsion. Pour des débits binaires extrêmement bas, le niveau
de distorsion peut même devenir supérieur au niveau du signal utile.Chapitre 3 Distortion 29
Les boutons Mode déterminent si les crêtes de signal qui dépassent le niveau d’écrê-
tage doivent être repliées (Folded), coupées (Cut) ou déplacées (Displaced) (comme
représenté dans les icônes des boutons et la forme d’onde résultante dans l’affichage).
Le genre d’écrêtage qui se produit dans les systèmes numériques est généralement
plus proche du mode Cut (coupées). La distorsion interne peut produire un écrêtage
similaire aux types générés par les deux autres modes.
Augmenter le niveau de Drive tend aussi à augmenter la quantité d’écrêtage à la sortie
de l’effet Bitcrusher.
Clip Distortion
Clip Distortion est un effet de distorsion non linéaire qui produit un spectre imprévisible.
Vous pouvez l’utiliser pour simuler des sons chauds de saturation à lampes ou une
distorsion radicale.
L’effet Clip Distortion propose une combinaison inhabituelle de filtres connectés en
série. Le signal est d’abord amplifié selon la valeur du champ Drive, passe au travers
d’un filtre passe-haut, puis est soumis à une distorsion non linéaire contrôlée par le
paramètre Symétrie. Le signal passe ensuite au travers d’un filtre passe-bas. Le signal
ainsi modifié est alors mixé avec le signal original, puis envoyé au travers d’un autre
filtre passe-bas. Ces trois filtres ont une pente de 6 dB/octave.
Cette combinaison unique de filtres permet des blancs dans le spectre de fréquences qui
peuvent donner de bons résultats avec ce type de distorsion non linéaire. Le graphique
du circuit d’écrêtage représente visuellement tous les paramètres, à l’exception des paramètres du filtre High Shelving.
Paramètres de l’effet Clip Distortion
 Curseur et champ Drive :détermine le gain à appliquer au signal d’entrée. Après avoir été
amplifié par la valeur du champ Drive, le signal passe au travers d’un filtre passe-haut.
 Curseur et champTone :détermine la fréquence de coupure (en Hertz) du filtre passe-haut.
 Curseur et champ Symmetry :détermine la distorsion non linéaire (asymétrique)
à appliquer au signal.30 Chapitre 3 Distortion
 Curseur et champ Clip Filter :détermine la fréquence de coupure (en Hertz)
du premier filtre passe-bas au travers duquel le signal passe après la distorsion.
 Curseur Mix :détermine le rapport entre le signal soumis à l’effet (humide)
et le signal non soumis au filtre (sec) après le filtre d’écrêtage.
 Champ et curseur circulaire Sum LPF :détermine la fréquence de coupure (en Hertz)
du filtre passe-bas au travers duquel le signal mixé passe.
 Potentiomètre et champ High Shelving Frequency :détermine la fréquence (en Hertz)
du filtre de shelving haut.
 Potentiomètre et champ High Shelving Gain :détermine le gain à appliquer au signal
de sortie.
 Curseur et champ Input Gain (paramètre étendu) :détermine le gain à appliquer
au signal d’entrée.
 Curseur et champ Output Gain (paramètre étendu) :détermine le gain à appliquer
au signal de sortie.
Utilisation de l’effet Clip Distortion
Si vous réglez le paramètre High Shelving Frequency autour des 12 kHz, vous pouvez
l’utiliser comme contrôle des aigus sur une bande de canaux de mélangeur ou un amplificateur hi-fi stéréo. En revanche, contrairement à ces types de contrôles d’aigus, vous
pouvez amplifier ou couper le signal de jusqu’à ±30 dB à l’aide du paramètre Gain.Chapitre 3 Distortion 31
Distortion
Cet effet Distortion simule le son sale et lo-fi généré par un transistor bipolaire.
Vous pouvez l’utiliser pour simuler un instrument de musique au travers d’un
amplificateur fortement poussé ou pour créer des sons déformés uniques.
Paramètres de l’effet Distortion
 Curseur et champ Drive :détermine la saturation à appliquer au signal.
 Curseur et champ Tone :détermine la fréquence à laquelle le signal est filtré par un
filtre high cut. En filtrant un signal déformé riche en harmoniques, on obtient un son
plus doux légèrement moins râpeux.
 Curseur et champ Output :détermine le volume de sortie. Permet de compenser
les augmentations de contour provoquées par l’ajout de distorsion.
Distortion II
L’effet Distortion II émule l’effet de distorsion d’un orgue Hammond B3. Vous pouvez
l’utiliser sur des instruments de musique pour recréer cet effet classique ou l’utiliser
de façon plus créative dans le cadre de la conception sonore.
Paramètres de l’effet Distortion II
.
 Modulateur PreGain :détermine le gain à appliquer au signal d’entrée.
 Modulateur Drive :détermine la saturation à appliquer au signal.
 Modulateur Tone :détermine la fréquence à laquelle le signal est filtré. En filtrant
un signal déformé riche en harmoniques, on obtient un son plus doux légèrement
moins râpeux.
 Menu local Type :sélectionnez le type de distorsion à appliquer. Les modèles
suivants sont disponibles :Growl, Bity et Nasty.32 Chapitre 3 Distortion
 Growl :émule un amplificateur à lampe à deux niveaux semblable à celui que l’on
retrouve dans le modèle Leslie 122, souvent utilisé avec un orgue Hammond B3.
 Bity :émule le son d’un amplificateur de guitare blues (poussé).
 Nasty :produit une distorsion dure qui convient à la création de sons très agressifs.
Overdrive
L’effet Overdrive émule la distorsion générée par un transistor à effet de champ (FET),
généralement utilisée dans les amplificateurs d’instruments et les générateurs d’effets.
Lorsqu’ils sont saturés, les transistors à effet de champ génèrent une distorsion plus
chaleureuse que les transistors bipolaires.
Paramètres de l’effet Overdrive
 Curseur et champ Drive :détermine la saturation du transistor.
 Curseur et champ Tone :détermine la fréquence de coupure à laquelle le signal est
filtré. En filtrant un signal déformé riche en harmoniques, on obtient un son plus
doux légèrement moins râpeux.
 Curseur et champ Output :détermine le volume de sortie. L’utilisation du module
Overdrive tend à augmenter le niveau du signal original, mais vous pouvez compenser
cela en diminuant le niveau de sortie.Chapitre 3 Distortion 33
Phase Distortion
L’effet Phase Distortion s’appuie sur une ligne de retard modulée, similaire à un effet
de Chorus ou de Flanger (pour en savoir plus sur ces effets, consultez le chapitre 9,
« Modulation », à la page 103). En revanche, dans l’effet Phase Distortion, la durée du
retard n’est pas modulée par un oscillateur basse fréquence (LFO), mais par une version
à filtre passe-bas du signal d’entrée lui-même. Cela signifie que le signal module sa
propre position de phase. Le signal d’entrée ne passe que par la ligne de retard et n’est
affecté par aucun autre processus.
Paramètres de l’effet Phase Distortion
 Bouton Monitor :activez ce dernier pour n’entendre que le signal d’entrée
ou désactivez-le pour entendre le signal mixé.
 Champ et curseur circulaire Cutoff :détermine la fréquence de coupure du filtre
passe-bas résonnant au travers duquel passe le signal d’entrée.
 Champ et curseur circulaire Resonance :détermine la résonance du filtre passe-bas
résonnant au travers duquel passe le signal d’entrée.
 Curseur et champ Mix :ajuste le pourcentage de signal mixé soumis à l’effet
par rapport au signal original.
 Curseur et champ Max Modulation :détermine la durée du retard maximum.
 Curseur et champ Intensity :détermine la modulation à appliquer au signal.
 Menu local Phase Reverse (paramètre étendu) :choisissez On pour que les valeurs
d’entrée positives réduisent la durée du retard sur le canal droit. Disponible
uniquement pour les cas stéréo de l’effet Phase Distortion.34 Chapitre 3 Distortion
Utilisation de l’effet Phase Distortion
Le signal d’entrée ne passe que par la ligne de retard et n’est affecté par aucun autre
processus. Le paramètre Mix mélange le signal soumis à l’effet avec le signal original.
La durée du retard est modulée par un signal à chaîne latérale, en l’occurrence le signal
d’entrée. Le signal d’entrée passe au travers d’un filtre passe-bas résonnant possédant
une fréquence de coupure (Cutoff) dédiée et des commandes de résonance (Resonance).
Vous pouvez écouter la chaîne latérale filtrée (et non le signal mixé) en actionnant le
bouton Monitor. Pour définir la durée du retard maximum, utilisez le paramètre Max
Modulation. La quantité de modulation elle-même est contrôlée par le champ Intensité.
Sous les autres paramètres figure le paramètre Phase Reverse. Normalement, une valeur
d’entrée positive donne un temps de retard plus long. En activant le paramètre Phase
Reverse (Inversion de phase), les valeurs d’entrée positives engendrent une réduction
du temps de retard sur le canal droit uniquement. Cette fonctionnalité est uniquement
disponible dans les exemples stéréo de l’effet.4
35
4 Dynamique
Vous pouvez utiliser les effets de dynamique pour contrôler
le volume de vos données audio, donner plus d’intensité,
de « punch », à vos pistes et projets et optimiser la qualité
sonore de la lecture dans différentes situations.
La plage dynamique d’un signal audio correspond à l’intervalle entre la partie la plus basse
et la partie la plus forte du signal (en termes techniques, entre l’amplitude la plus faible et
l’amplitude la plus élevée). Grâce aux effets de dynamique, vous pouvez ajuster la plage
dynamique d’un fichier audio individuel, de plusieurs pistes ou de l’ensemble d’un projet,
afin d’augmenter le volume perçu et de mettre en valeur les sons les plus importants sans
pour autant rendre inaudibles les sons les plus doux. Les outils de dynamique sont les
compresseurs, les limiteurs et les portes de bruit.
Compresseurs
Un compresseur fonctionne comme une commande de volume automatique, qui réduit
ce volume dès qu’il dépasse un certain niveau, appelé seuil. Quel intérêt y a-t-il à réduire
l’amplitude de la dynamique ? En coupant les sections les plus fortes du signal (appelées
crêtes), le compresseur vous permet d’augmenter le niveau global de ce signal et ainsi
d’amplifier le volume sonore perçu. L’intensité du son est alors renforcée, dans la mesure
où les moments les plus forts prennent davantage de relief tout en empêchant que les
passages les plus doux en arrière-plan deviennent inaudibles. La compression a également pour effet de rendre le son plus vif, plus énergique, d’une part car les éléments
transitoires sont mis en valeur (en fonction des réglages d’attaque et de relâchement,
mais aussi parce que le volume maximal est plus rapidement atteint.
Par ailleurs, la compression peut contribuer à améliorer la qualité sonore d’un projet lors
de sa lecture dans différents environnements audio. Par exemple, la plage dynamique
des haut-parleurs d’un téléviseur ou d’un autoradio est bien moindre que celle d’une
salle de cinéma. La compression du mixage global permet d’amplifier et de clarifier le
son lors d’une lecture basse fidélité.36 Chapitre 4 Dynamique
Les compresseurs sont généralement utilisés sur des pistes vocales afin de mettre en
valeur la voix dans le mixage global. Ils peuvent également être utilisés sur les pistes
de musique et d’effets audio, mais rarement sur les pistes d’ambiance.
Certains compresseurs, appelés compresseurs multibandes, sont capables de diviser
le signal entrant en plusieurs bandes de fréquence, puis d’appliquer des réglages
de compression différents à chacune de ces bandes. Cette démarche, généralement
appliquée au mixage global du projet, permet d’obtenir un niveau optimal sans introduire d’effets de compression.
Expandeurs
Les expandeurs sont semblables aux compresseurs mais, lorsque le seuil fixé est atteint,
ils amplifient le signal au lieu de le réduire. Leur rôle est donc de rendre le signal audio
plus vivant.
Limiteurs
Les limiteurs (également appelés limiteurs de crête) fonctionnent de la même façon que
les compresseurs, dans la mesure où ils réduisent le signal audio lorsque celui-ci atteint
le seuil prédéfini. La différence est la suivante :alors qu’un compresseur réduit progressivement un signal dont le niveau est au-dessus du seuil, un limiteur ramène immédiatement un signal trop fort au niveau du seuil fixé. Le rôle principal d’un limiteur est
d’éviter l’écrêtage tout en préservant le niveau maximal du signal global.
Portes de bruit
Les portes de bruit modifient le signal de façon contraire au traitement appliqué par
les compresseurs ou les limiteurs. Alors qu’un compresseur réduit le niveau du signal
lorsque celui-ci franchit le seuil prédéfini, une porte de bruit réduit le signal lorsqu’il
est inférieur à ce seuil. Ainsi, les sons les plus forts passent la porte sans être modifiés,
alors que les sons plus faibles, tels que le bruit ambiant ou la chute d’une note tenue,
sont éliminés. Les portes de bruit servent à éliminer d’un signal audio les bruits parasites
et les bourdonnements basse fréquence.
Les sections suivantes décrivent les différents modules fournis avec Logic Express.
 « Compressor » à la page 37
 « DeEsser » à la page 41
 « Ducker » à la page 42
 « Enveloper » à la page 44
 « Expander » à la page 46
 « Limiter » à la page 48
 « Noise Gate » à la page 49
 « Preset Multipressor » à la page 52
 « Silver Compressor » à la page 53
 « Silver Gate » à la page 54Chapitre 4 Dynamique 37
Compressor
Le module Compressor est conçu pour émuler le son et la réponse d’un compresseur
(matériel) analogique professionnel. Il resserre vos données audio en réduisant les sons
qui excèdent un certain niveau de seuil, atténuant ainsi la dynamique et augmentant le
volume sonore global. La compression permet de mettre en valeur les moments clés
d’une piste ou d’un mixage, tout en évitant que les passages les plus doux deviennent
inaudibles. Avec l’égaliseur, il s’agit probablement de l’outil de traitement sonore le
plus polyvalent et le plus répandu dans le domaine du mixage.
Vous pouvez utiliser le module Compressor sur des pistes individuelles, y compris des
pistes vocales, instrumentales et d’effets, ou bien sur l’intégralité du mixage. Dans la
plupart des cas, vous devrez insérer directement le Compressor dans un canal.
Paramètres du module Compressor
 Curseur et champ Circuit Type :permettent de sélectionner le type de circuit émulé
par le module Compressor. Les options disponibles sont Platinum, Classic A_R,
Classic A_U, VCA, FET et Opto (optique).
 Écran Gain Reduction :indique le degré de compression appliqué au fur et à mesure
de la lecture des données audio.
 Potentiomètre et champ Attack :déterminent le temps d’attaque (temps que met
le compresseur à réagir lorsque le signal excède le seuil fixé).
 Potentiomètre et champ Release :déterminent le temps de relâchement (temps que
met le compresseur pour arrêter de réduire le signal une fois que celui-ci est repassé
en dessous du seuil fixé).
 Bouton Auto :lorsque ce bouton est sélectionné, le temps de relâchement s’ajuste
de façon dynamique en fonction des données audio.
 Écran Compression Curve :affiche la courbe de compression créée par les paramètres
Ratio et Knee, avec le signal d’entrée en abscisse et le signal de sortie en ordonnée.
 Curseur et champ Ratio :définissent le ratio de compression (selon lequel le signal est
réduit lorsqu’il dépasse le seuil fixé).
 Curseur et champ Knee :déterminent si le signal est compressé immédiatement ou
de façon progressive lorsque son niveau est proche du seuil.38 Chapitre 4 Dynamique
 Curseur et champ Compression Threshold :définissent le seuil pour le module
Compressor (niveau au-delà duquel le signal est réduit).
 Boutons Peak/RMS :activez l’un ou l’autre de ces boutons pour indiquer si le module
Compressor doit analyser le signal à l’aide de la méthode Peak ou RMS lorsqu’il utilise
le type de circuit Platinum.
 Curseur et champ Gain :détermine le gain à appliquer au signal de sortie.
 Menu local Gain :permet de sélectionner une valeur pour augmenter le niveau de
sortie afin de compenser la baisse du volume causée par la compression. Les options
possibles sont OFF, 0 dB et –12 dB.
 Curseur et champ Limiter Threshold :définissent le niveau de seuil du limiteur.
 Bouton Limiter :active ou désactive le limiteur intégré.
Paramètres étendus
 Menu local Output Distortion :permet d’indiquer si l’écrêtage doit être appliqué
au-dessus de 0 dB et de préciser le type d’écrêtage appliqué. Les valeurs possibles
sont off, soft, hard et clip.
 Curseur et champ Mix :détermine la balance entre les signaux sec et humide.
Filtre d’entrée latérale
 Menu local Activity :permet d’activer ou de désactiver l’entrée latérale du module
Compressor ou d’indiquer si elle doit être en mode d’écoute. Les options possibles
sont off, listen et on.
 Menu local Mode :permet d’indiquer le type de filtre utilisé pour l’entrée latérale.
Les options possibles sont BP (Band Pass, passe-bande), LP (Low Pass, passe-bas),
HP (High Pass, passe-haut), ParEQ (égaliseur paramétrique) et HS (High Shelving,
plateau d’aigus).
 Curseur et champ Frequency :définissent la fréquence pour le filtre d’entrée latérale.
 Curseur et champ Q :définissent la bande passante de la bande de fréquence affectée
par le filtre d’entrée latérale.
 Curseur et champ Gain :déterminent la quantité de gain appliquée au signal d’entrée
latérale.Chapitre 4 Dynamique 39
Utilisation du module Compressor
Les sections suivantes expliquent comment utiliser les principaux paramètres du
module Compressor.
Threshold et Ratio
Les paramètres les plus importants du module Compressor sont Threshold et Ratio.
Le paramètre Threshold correspond au niveau (en décibels) au-delà duquel le signal
doit être réduit de la valeur définie par le paramètre Ratio. Étant donné que cette
valeur Ratio correspond à un pourcentage du niveau global, la réduction du signal sera
proportionnelle au dépassement du seuil. Par exemple, si le paramètre Threshold est
défini sur -6 dB et le paramètre Ratio sur 4:1, une crête de -2 dB dans le signal (soit 4 dB
de plus que le seuil fixé) est réduite de 3 dB, de sorte qu’elle se retrouve juste à 1 dB
au-dessus du seuil ;en revanche, une crête de 6 dB (soit 4 dB au-dessus du seuil) sera
réduite de 1 dB pour se retrouver à 2 dB au-dessus du seuil. L’échelle de dynamique est
préservée mais les écarts entre les crêtes sont estompés.
Attaque et Relâchement
Après Threshold et Ratio, les autres paramètres les plus importants sont Attack et Release. Ils
permettent de mettre en forme la réponse dynamique du module Compressor.Le paramètre Attack définit le délai qui s’écoule entre le moment où le volume des données audio
dépasse le seuil fixé et celui où le module Compressor commence à réduire le signal. Pour
bon nombre de sons, notamment les voix et les instrumentaux, l’attaque initiale est essentielle pour définir le son. Par conséquent, opter pour une valeur Attack plus élevée permet
de s’assurer que l’attaque initiale ne sera pas modifiée. Pour maximiser le niveau d’un
mixage global, attribuez une valeur plus faible au paramètre Attack afin que le module
Compressor commence immédiatement à réduire le signal.
De même, le paramètre Release contrôle la vitesse avec laquelle le module Compressor
arrête de réduire le signal une fois qu’il repasse en dessous du seuil fixé. Si vous définissez
une valeur Release plus élevée, la différence de dynamique sera plus subtile, alors qu’une
valeur plus élevée est susceptible de rendre cette différence plus brusque. Un ajustement
correct des paramètres Attack et Release peut permettre d’éviter le phénomène de
« pompage », effet secondaire courant lié à la compression.40 Chapitre 4 Dynamique
Knee
Le paramètre Knee atténue l’effet du Compressor en contrôlant si le signal est légèrement compressé lorsqu’il s’approche du seuil. Si vous attribuez au paramètre Knee
une valeur proche de 0 (zéro), cela signifie que les niveaux juste en dessous du seuil
ne seront pas compressés du tout (ratio 1:1), alors que les niveaux ayant atteint le seuil
seront compressés en fonction de la valeur Ratio complète (4:1, 10:1 ou plus). C’est ce
type de compression que les ingénieurs du son qualifient de « hard knee », car elle
peut entraîner une transition brusque lorsque le signal atteint le seuil fixé. Si vous
augmentez la valeur du paramètre Knee, un degré de compression est appliqué au
signal à mesure qu’il se rapproche du seuil, d’où une transition bien plus subtile.
On parle alors de compression « soft knee ». Le réglage du paramètre Knee permet
de contrôler la forme de la compression autour du seuil, alors que les paramètres
Threshold et Ratio contrôlent son intensité.
Autres paramètres
Puisque le module Compressor a pour rôle de réduire les niveaux, le volume global
du signal de sortie se retrouve généralement plus bas que celui du signal d’entrée.
Vous pouvez néanmoins ajuster ce niveau de sortie à l’aide du curseur Gain.
Utilisez le paramètre Auto Gain pour compenser la réduction de gain engendrée par la
compression (12 dB ou 0 dB). Auto Gain permet de définir le niveau du gain (amplification) sur une valeur égale à T—(T/R), où T correspond au seuil (Threshold) et R au ratio.
Le paramètre Gain Reduction Meter affiche le degré de compression appliqué pendant
la lecture du signal. Il peut en effet s’avérer très pratique de regarder le niveau de compression de vos pistes et de vous assurer qu’elles ne font pas l’objet d’une compression
trop importante.
Lorsque vous utilisez le paramètre Platinum Circuit Type, le module Compressor peut
analyser le signal à l’aide de l’une des deux méthodes suivantes :Peak ou RMS (Root
Mean Square). La méthode Peak est plus précise techniquement parlant, mais la méthode
RMS fournit une indication plus poussée de la façon dont les gens percevront le signal.
Lorsque vous utilisez le module Compressor simplement comme un limiteur,sélectionnez
le bouton Peak. Si vous compressez des pistes individuelles, en particulier des pistes
musicales,sélectionnez le bouton RMS.
Si vous activez simultanément les options Auto Gain et RMS, le signal risque d’être
saturé. Si vous entendez la moindre distorsion, désactivez l’option Auto Gain et réglez
le curseur Gain jusqu’à ce que la distorsion ait disparu.Chapitre 4 Dynamique 41
DeEsser
Le module DeEsser est un compresseur spécifique de fréquences, conçu pour compresser
uniquement une bande de fréquence particulière au sein d’un signal audio complexe.
Il permet d’éliminer les sifflantes (également appelées « sibilance ») présentes dans le signal.
L’intérêt d’utiliser le DeEsser plutôt qu’un égaliseur pour couper les hautes fréquences
est que ce module compresse le signal de façon dynamique et non de façon statique.
Ainsi, lorsque aucune sibilance n’est détectée dans le signal, le son ne devient pas plus
sombre pour autant. Le DeEsser se caractérise par des temps d’attaque et de relâchement
extrêmement rapides.
Lorsque vous utilisez le DeEsser, vous pouvez définir la plage de fréquences compressée (fréquence Suppressor) indépendamment de celle analysée (fréquence Detector).
Ces deux plages apparaissent alors séparément dans la fenêtre DeEsser, ce qui permet
de les comparer facilement. Le module DeEsser effectue une réduction du gain sur
la plage de fréquences Suppressor jusqu’à ce que la fréquence Detector repasse en
dessous du seuil fixé.
DeEsser n’utilise pas de réseau de séparation des fréquences (cross-over utilisant des
filtres passe-haut et passe-bas). Au lieu de cela, il soustrait la bande de fréquence isolée
et ne modifie donc pas la courbe de la phase.
Paramètres du module DeEsser
Les paramètres Detector se trouvent sur le côté gauche de la fenêtre du DeEsser,
les paramètres Suppressor sur le côté droit. La partie centrale contient les écrans
Detector et Suppressor, ainsi que le curseur de lissage Smoothing.42 Chapitre 4 Dynamique
Section Detector
 Potentiomètre Detector Frequency :définit la plage de fréquences analysée par
DeEsser.
 Potentiomètre Detector Sensitivity :définit le degré de réponse au signal d’entrée.
Plus le ratio est élevé, plus la réponse du Detector est importante.
 Menu local Monitor :permet d’indiquer si l’élément à contrôler est le signal Detector
filtré (Det.), le signal Suppressor filtré (Sup.) ou le son supprimé du signal d’entrée en
réponse au paramètre Sensitivity (Sens.). Sélectionnez Off pour écouter le signal de
sortie DeEsser.
Section Suppressor
 Potentiomètre Suppressor Frequency :indique quelle bande de fréquence est réduite
lorsque le signal excède le seuil de sensibilité Detector.
 Potentiomètre Strength :règle l’importance de la réduction de gain autour de
la fréquence Suppressor.
Section centrale
 Écrans de fréquence Detector et Suppressor :l’écran du haut affiche la plage de
fréquences Detector, l’écran du bas la plage de fréquences Suppressor (en Hz).
 Curseur Smoothing :définit la vitesse de réaction des phases de début et de fin
de réduction du gain. Le curseur Smoothing contrôle à la fois le temps d’attaque
et le temps de relâchement (lors de leur utilisation par les compresseurs).
Ducker
L’atténuation (« ducking » en anglais) est une technique courante utilisée dans la diffusion radio et télé :lorsque le présentateur parle pendant la musique, le volume de
celle-ci est automatiquement réduit. Une fois l’annonce terminée, la musique reprend
automatiquement son niveau de volume original.
Le module Ducker offre un moyen simple d’effectuer ce processus. Il permet même
de réduire le niveau musical avant que le présentateur ne parle (même s’il en résulte un
léger temps de latence).Chapitre 4 Dynamique 43
Paramètres du module Ducker
 Intensity :définit le niveau de réduction du volume (de la piste musicale, ce qui
correspond en fait au signal de sortie).
 Threshold :détermine le niveau minimal qu’un signal d’entrée latérale doit atteindre
avant de commencer à réduire le niveau de sortie (du mixage musical), selon la
valeur définie à l’aide du curseur Intensity. Si le niveau du signal d’entrée latérale
n’atteint pas le seuil fixé, le volume de la piste (du mixage musical) reste inchangé.
 Attack :contrôle la vitesse avec laquelle le volume est réduit. Si vous souhaitez que
le signal (du mixage musical) soit légèrement atténué, réglez ce curseur sur une
valeur élevée. Cette valeur contrôle également si le volume doit être réduit avant
que le signal n’atteigne le seuil fixé (plus cela se produit tôt, plus le temps de latence
introduit est important). Il convient de noter que cela ne fonctionne que si le signal
d’atténuation n’a pas lieu « en direct » (autrement dit, le signal doit être un enregistrement existant) :Logic Expressdoit en effet analyser le niveau du signal avant de
le lire, afin d’anticiper quand débute l’atténuation.
 Hold :détermine le temps pendant lequel le volume de la piste (du mixage musical) est
réduit. Ce contrôle évite l’effet de broutement pouvant être provoqué par un niveau
d’entrée latérale évoluant rapidement. Si le niveau d’entrée latérale dépasse très légèrement le seuil, au lieu de le dépasser nettement ou de rester en deçà, configurez le paramètre Hold sur une valeur élevée afin de compenser les réductions rapides du volume.
 Release :contrôle la vitesse à laquelle le volume revient à son niveau d’origine.
Utilisez une valeur élevée si vous souhaitez que le volume du mixage musical
remonte progressivement une fois l’annonce terminée.44 Chapitre 4 Dynamique
Utilisation du module Ducker
Pour des raisons techniques, le module Ducker peut uniquement être inséré dans
les canaux de sortie et auxiliaires.
Pour utiliser le module Ducker :
1 Insérez le module Ducker dans une tranche de console audio ou auxiliaire.
2 Affectez à un bus toutes les sorties de piste devant être atténuées (concernées par
la réduction dynamique du volume de mixage), à l’aide d’un des effets d’envoi.
3 Sélectionnez le bus (c’est-à-dire la tranche de console auxiliaire) qui transporte le signal
d’atténuation (vocal) à l’aide du menu Side Chain du module Ducker.
Remarque :contrairement à tous les autres modules à entrée latérale, l’entrée latérale
du Ducker est mixée avec le signal de sortie une fois qu’elle est passée par le module.
Cela permet de garantir que le signal d’entrée latérale de l’atténuation (la voix off) sera
entendu en sortie.
4 Ajustez les paramètres du module Ducker.
Enveloper
Le module Enveloper est un outil plutôt inhabituel qui permet de mettre en forme les
éléments transitoires, c’est-à-dire les phases d’attaque et de relâchement d’un signal.
Vous disposez ainsi d’une fonctionnalité unique grâce à laquelle vous pouvez mettre en
forme un signal sonore et ainsi obtenir des résultats impressionnants, dont aucun autre
effet de dynamique n’est capable.
Paramètres du module Enveloper
Les commandes Gain et Time situées sur la gauche s’appliquent à la phase d’attaque
du signal, tandis que ces mêmes commandes disponibles à droite concernent la phase
de relâchement.
 Curseur et champ Threshold :fixent le seuil au-delà duquel les niveaux d’attaque et de
relâchement seront modifiés.
 Curseur et champ Gain (Attack) :définissent le gain pour la phase d’attaque du signal.
Lorsque le curseur est placé au centre (0), le signal reste inchangé.Chapitre 4 Dynamique 45
 Potentiomètre Time (Attack) :définit la durée de la période considérée comme
la phase d’attaque à partir du début du signal.
 Zone Display :affiche sous forme de graphique les courbes d’attaque et de
relâchement appliquées au signal.
 Potentiomètre Time (Release) :définit la durée de la période considérée comme
la phase de relâchement du signal.
 Curseur Gain (Release) :définit le gain appliqué à la phase de relâchement du signal.
Lorsque le curseur est placé au centre (0), le signal reste inchangé.
 Curseur Out Level :définit le niveau du signal de sortie.
 Champ et curseur Lookahead :déterminent la portée de l’analyse effectuée par le
module Enveloper sur le signal.
Utilisation du module Enveloper
Les paramètres les plus importants du module Enveloper sont les deux curseurs Gain,
situés de chaque côté de la zone d’affichage centrale et qui dirigent les phases Attack
(à gauche) et Release (à droite). Si vous augmentez la valeur Gain, la phase d’attaque
ou de relâchement associée est amplifiée ;si vous réduisez la valeur Gain, la phase
correspondante est atténuée.
Par exemple, si vous amplifiez l’attaque, un son de percussion présente davantage de
« mordant » et le son des cordes pincées (ou grattées) d’une guitare est alors amplifié.
Si au contraire vous coupez l’attaque, le volume des signaux percussifs augmentera
de façon plus douce. Vous pouvez également désactiver le son de l’attaque, afin de
la rendre virtuellement inaudible. Cet effet offre un autre avantage non négligeable,
celui de masquer la mauvaise synchronisation des instruments d’accompagnement.
Si vous amplifiez le relâchement, les effets de réverbération appliqués à la piste concernée deviennent également beaucoup plus intenses. Inversement, si vous atténuez la
phase de relâchement, les pistes jusqu’alors noyées dans la réverbération bénéficient
d’un son beaucoup plus vif. Ce traitement est particulièrement utile lorsque vous
travaillez avec des boucles de batterie, mais ses applications ne se limitent pas à ce
seul usage. Laissez parler votre imagination !
Lorsque vous utilisez le module Enveloper, définissez le paramètre Threshold sur la
valeur minimale et n’y touchez plus. Ce n’est que lorsque vous déciderez de remonter
de façon significative la phase de relâchement, entraînant ainsi une forte augmentation du niveau de bruit de l’enregistrement original, que vous devrez remonter légèrement le curseur Threshold. De cette façon, le champ d’action du module Enveloper est
limité pour que seule la partie utile du signal soit modifiée.
Une augmentation ou une réduction drastique de la phase d’attaque ou de relâchement est susceptible de modifier le niveau global du signal. Cela peut être compensé
en baissant le curseur Out Level.46 Chapitre 4 Dynamique
Les paramètres Time de l’attaque et du relâchement (en dessous de la zone d’affichage)
vous permettent d’accéder aux intervalles temporels interprétés par le module comme
correspondant aux phases d’attaque et de relâchement. En règle générale, des valeurs
d’environ 20 ms pour l’attaque et 1500 ms pour le relâchement constituent un bon
point de départ. Il vous suffit ensuite de les ajuster en fonction du type de signal que
vous traitez.
Le curseur Lookahead vous permet de définir la portée de l’analyse effectuée par le
module Enveloper sur le signal en vue d’anticiper les événements à venir. Normalement, vous n’aurez pas besoin de faire appel à cette fonctionnalité, à part peut-être
pour des signaux dont les éléments transitoires seraient très sensibles. Si toutefois
vous étiez amené à augmenter la valeur de Lookahead, vous devrez probablement
ajuster le temps d’attaque en conséquence.
Contrairement à un compresseur ou un expandeur, le module Enveloper agit indépendamment du niveau absolu du signal d’entrée, à condition que le curseur Threshold
soit réglé sur la valeur la plus basse possible.
Expander
Le module Expander est semblable à un compresseur, à cette différence près qu’il
amplifie la plage dynamique située au-dessus du niveau de seuil (au lieu de la réduire).
Vous pouvez utiliser l’Expander pour apporter plus de vie et de fraîcheur à vos données
audio, en particulier en accentuant les éléments transitoires des signaux faisant l’objet
d’une compression importante.
Paramètres du module Expander
 Curseur et champ Threshold :définissent le niveau au-dessus duquel l’Expander
accroît le signal.
 Curseur et champ Ratio :définissent le ratio selon lequel le signal est augmenté
lorsqu’il dépasse le seuil fixé.
 Potentiomètre et champ Attack :déterminent le temps que met l’expandeur à réagir
lorsque le signal excède le seuil fixé.Chapitre 4 Dynamique 47
 Potentiomètre et champ Release :déterminent le temps que met l’expandeur pour
arrêter d’amplifier le signal une fois que celui-ci est repassé en dessous du seuil.
 Curseur et champ Knee :indiquent si le signal doit être légèrement amplifié lorsque
son niveau est tout juste inférieur au seuil.
 Curseur et champ Gain :définit la quantité de gain de sortie.
 Bouton Auto Gain :lorsqu’il est sélectionné, le bouton Auto Gain a pour rôle de
compenser l’augmentation de gain produite par l’expansion.
 Écran Expansion :affiche la courbe d’expansion appliquée au signal.
 Boutons Peak/RMS :activez l’un ou l’autre de ces boutons pour indiquer si le module
Expander doit utiliser la méthode Peak ou RMS pour analyser le signal.
Étant donné que l’Expander est un véritable expandeur vers le haut (par opposition
à un expandeur vers le bas qui augmente la plage dynamique en dessous du seuil),
le curseur Ratio propose une gamme de valeurs comprises entre 1:1 et 0.5:1.
Lorsque vous utilisez le module Expander avec l’option Auto Gain activée, le signal
sonore paraît plus doux, même si le niveau de crête reste le même ;autrement dit,
l’expandeur réduit le niveau « subjectif » du son. Si vous modifiez de façon radicale
la dynamique d’un signal (en optant pour des valeurs Threshold et Ratio plus élevées),
vous serez peut-être contraint de réduire le niveau de sortie à l’aide du curseur Gain
pour éviter toute distorsion. Dans la plupart des cas, l’option Auto Gain ajuste le signal
au niveau approprié.48 Chapitre 4 Dynamique
Limiter
Le fonctionnement du module Limiter est très semblable à celui d’un compresseur,
à cette différence fondamentale près :alors qu’un compresseur réduit progressivement
le signal lorsque celui-ci excède le seuil fixé, un limiteur ramène toute crête trop élevée
au niveau du seuil fixé, limitant ainsi de façon effective le signal à ce niveau. Le module
Limiter est principalement utilisé comme outil de mastérisation.
Paramètres du module Limiter
 Compteur Gain Reduction :affiche l’importance de la limitation lors de la lecture
du signal.
 Curseur et champ Gain :détermine le gain à appliquer au signal d’entrée.
 Champ et curseur Lookahead :déterminent la portée (en millisecondes) de l’analyse
effectuée par le Limiter sur le signal audio.
 Curseur et champ Release :déterminent le délai qui s’écoule entre le moment où le
signal repasse en dessous du seuil et celui où le module Limiter arrête d’appliquer
une limitation.
 Potentiomètre et champ Output Level :définissent le niveau de sortie du signal.
 Bouton Softknee :lorsque ce bouton est sélectionné, le signal n’est limité qu’à
partir du moment où il atteint le seuil. Une fois le bouton activé, la transition vers
la limitation intégrale n’est pas linéaire, produisant ainsi un effet plus doux, moins
brusque, et réduisant les effets de distorsion qu’une limitation extrême est susceptible
de générer.
Le paramètre Lookahead permet au module Limiter d’anticiper les données audio,
de façon à pouvoir réagir rapidement aux volumes de crêtes en ajustant la réduction
appliquée. L’utilisation de ce paramètre entraîne un temps de latence, mais celui-ci n’est
pas perceptible lorsque vous employez le module Limiter comme outil de mastérisation
sur des données préalablement enregistrées. Attribuez des valeurs plus élevées au paramètre Lookahead si vous souhaitez que l’effet de limitation soit appliqué avant que le
niveau maximal soit atteint, créant ainsi une transition plus subtile.Chapitre 4 Dynamique 49
Généralement, le module Limiter est le dernier outil à appliquer dans la chaîne de
mastérisation d’un signal. Dans ce cas, il est utilisé pour augmenter le volume global
du signal, de façon à ce qu’il atteigne le seuil de 0 dB mais ne le dépasse pas.
Le module Limiter est conçu de telle sorte que,si les options Gain et Output Level
sont toutes les deux définies sur 0 dB, il ne produit aucun effet (sur un signal normalisé).
Si le signal doit être écrêté (ligne de gain rouge), le Limiter utilise ses réglages de base
et réduit le niveau avant que l’écrêtage puisse se produire (en revanche, le Limiter ne
peut pas « réparer » des données audio écrêtées lors de l’enregistrement).
Noise Gate
LE module Noise Gate est généralement utilisé pour supprimer les bruits indésirables
audibles lorsque le niveau du signal audio est faible. Vous pouvez l’utiliser, entre autres,
pour supprimer le bruit de fond, la diaphonie causée par d’autres sources de signal ou
encore le bourdonnement perceptible lorsque le volume est bas.
Voici comment fonctionne le Noise Gate :les signaux situés au-dessus du seuil fixé
sont autorisés à passer sans être altérés, alors que les signaux situés en dessous de
ce seuil sont réduits. Cela vous permet de supprimer les parties du signal dont le
niveau est le plus faible tout en autorisant le passage des zones audio que vous
souhaitez conserver.
Paramètres du module Noise Gate
Paramètres principaux
 Curseur et champ Threshold :définissent le niveau (en décibels) en dessous duquel
le signal doit être réduit.
 Curseur et champ Reduction :déterminent le degré de réduction du signal.
 Potentiomètre et champ Attack :déterminent le temps nécessaire pour que la porte
soit entièrement ouverte à partir du moment où le signal excède le seuil fixé.
 Potentiomètre et champ Hold :déterminent combien de temps la porte reste ouverte
une fois que le signal est repassé en dessous du seuil.50 Chapitre 4 Dynamique
 Potentiomètre et champ Release :déterminent le temps nécessaire pour que la porte
soit entièrement refermée une fois que le signal est repassé en dessous du seuil.
 Curseur et champ Hysteresis :définissent l’écart (en décibels) entre les valeurs de seuil
qui entraînent l’ouverture et la fermeture de la porte, afin d’éviter que celle-ci ne
s’ouvre ou ne se referme trop rapidement lorsque le signal d’entrée est proche du seuil.
 Champ et curseur Lookahead :déterminent la portée (en millisecondes) de l’analyse
effectuée par la porte de bruit sur le signal.
Paramètres d’entrée latérale
 Bouton Monitor :activez ce bouton pour afficher un aperçu du signal d’entrée
latérale, y compris l’effet des filtres High Cut et Low Cut.
 Curseur et champ High Cut :définissent la fréquence de coupure supérieure associée
au signal d’entrée latérale.
 Curseur et champ Low Cut :définissent la fréquence de coupure inférieure associée
au signal d’entrée latérale.
Lorsque aucune entrée latérale externe n’est sélectionnée, le signal d’entrée est utilisé
comme entrée latérale.
Utilisation du module Noise Gate
Le plus souvent, régler le curseur Reduction sur la valeur la plus basse possible permet
de s’assurer que les sons situés en dessous du seuil fixé seront intégralement supprimés.
Si vous optez pour une valeur plus élevée, les sons faibles seront atténués mais ils seront
toujours autorisés à passer. Vous pouvez également régler le curseur Reduction sur une
valeur supérieure à 0 (zéro) afin d’amplifier le signal de 20 dB maximum. Cette solution
est utile pour les effets d’atténuation.
Les trois potentiomètres rotatifs Attack, Hold et Release permettent de modifier la
réponse dynamique du Noise Gate. Si vous souhaitez que la porte s’ouvre très rapidement, par exemple pour les signaux percussifs tels que la batterie, réglez le potentiomètre Attack sur une valeur plus faible. Pour les autres sons (cordes, par exemple),
dont le signal augmente plus progressivement, attribuez une valeur plus élevée au
paramètre Attack afin d’obtenir un effet plus naturel. De même, lorsque vous utilisez
des signaux dont le volume diminue progressivement ou ayant une queue de réverbé-
ration plus longue, réglez le potentiomètre Release sur une valeur plus élevée pour que
le volume du signal augmente de façon naturelle.
Le potentiomètre Hold détermine la durée minimale pendant laquelle la porte reste
ouverte. Les changements brusques (appelés « broutement ») dus à une ouverture et
une fermeture trop rapides du Noise Gate sont ainsi évités.Chapitre 4 Dynamique 51
Le curseur Hysteresis permet lui aussi d’éviter le broutement, sans qu’il soit nécessaire
de définir une durée de maintien (Hold) minimale. Il vous permet de définir l’intervalle
entre les valeurs de seuil d’ouverture et de fermeture du Noise Gate, ce qui est particulièrement utile lorsque le niveau du signal « oscille » autour du seuil, c’est-à-dire qu’il
fluctue légèrement mais rapidement. Suite à ce phénomène, le Noise Gate ne cesse
de s’activer et se désactiver, d’où cet effet de cliquetis indésirable. À l’aide du curseur
Hysteresis, vous pouvez configurer le Noise Gate pour qu’il s’ouvre au niveau du seuil
et qu’il reste ouvert tant que le niveau ne passe pas en dessous d’un autre niveau plus
faible. Tant que l’écart entre ces deux valeurs est suffisamment important pour contenir
le niveau fluctuant du signal entrant, le Noise Gate peut fonctionner sans provoquer de
broutement. Cette valeur est toujours négative et, de manière générale, une valeur de
6 dB constitue une bonne base de départ.
Parfois, il peut arriver que les niveaux du signal que vous souhaitez conserver et les
niveaux de bruit soient si proches qu’il est difficile de les isoler. Par exemple, si vous
enregistrez un morceau de batterie et utilisez le Noise Gate pour isoler le son de la
grosse caisse, il est fort possible que la charleston entraîne elle aussi l’ouverture de
la porte. Pour résoudre ce genre de situation, vous pouvez utiliser les commandes
Sidechain pour isoler le signal souhaité à l’aide des filtres High Cut et Low Cut.
Pour utiliser les filtres Sidechain, cliquez sur le bouton Monitor pour activer le monitoring. Vous pouvez alors entendre l’impact des filtres High Cut et Low Cut sur le signal
entrant. Faites glisser les curseurs High Cut et Low Cut pour régler, respectivement, les
fréquences au-delà et en deça desquelles le signal doit être filtré. Ces filtres ne laissent
passer que les crêtes de signal les plus élevées. Dans notre exemple, vous pourriez
supprimer le signal de la charleston, dont la fréquence est plus élevée, à l’aide du filtre
High Cut, puis autoriser le passage du signal de la grosse caisse. Pour définir plus facilement un niveau de seuil adapté, désactivez le monitoring.52 Chapitre 4 Dynamique
Preset Multipressor
L’effet Preset Multipressor est une variante simple d’emploi au module Logic Pro Multipressor. Un compresseur multibande découpe le signal entrant en bandes de fréquence
avant l’application de la compression. Ces bandes de fréquence sont ensuite compressées indépendamment. Après compression, les bandes sont regroupées en un même
mixage puis envoyées par le module. L’avantage d’une compression distincte sur chaque
bande de fréquence est d’obtenir des niveaux élevés de compression sur les bandes le
nécessitant sans pour autant générer un effet de gonflement sur les autres bandes, géné-
ralement audible à des niveaux élevés de compression.
L’interface de l’effet Preset Multipressor propose un menu qui vous permet de choisir
parmi des réglages optimisés pour différents genres ;le nom des préréglages est relativement explicite. Testez les différents préréglages pour déterminer celui répondant au
mieux à vos besoins.Chapitre 4 Dynamique 53
Silver Compressor
Le module Silver Compressor est une version simplifiée du Compressor. Il possède
moins de paramètres et nécessite un processeur moins puissant.
Paramètres du module Silver Compressor
 Écran Gain Reduction :indique le degré de compression appliqué au fur et à mesure
de la lecture des données audio.
 Curseur et champ Threshold :définissent le seuil associé au module Compressor
(niveau au-delà duquel le signal est réduit).
 Potentiomètre et champ Attack :déterminent le temps d’attaque (temps que met
le compresseur à réagir lorsque le signal excède le seuil fixé).
 Potentiomètre et champ Release :déterminent le temps de relâchement (temps que
met le compresseur pour arrêter de réduire le signal une fois que celui-ci est repassé
en dessous du seuil fixé).
 Curseur et champ Ratio :définissent le ratio de compression (selon lequel le signal
est réduit lorsqu’il dépasse le seuil fixé).
Utilisation du module Silver Compressor
Les paramètres du Silver Compressor fonctionnent de la même façon que ceux du
Compressor. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Compressor » à la
page 37.
Silver Gate
Le module Silver Gate est une version simplifiée du Noise Gate. Il possède moins de
paramètres et nécessite un processeur moins puissant.54 Chapitre 4 Dynamique
Paramètres du module Silver Gate
 Champ t curseur Lookahead :déterminent la portée (en millisecondes) de l’analyse
effectuée par la porte de bruit sur le signal.
 Curseur et champ Threshold :définissent le niveau (en décibels) en dessous duquel le
signal doit être réduit.
 Potentiomètre et champ Attack :déterminent le temps nécessaire pour que la porte
soit entièrement ouverte à partir du moment où le signal excède le seuil fixé.
 Potentiomètre et champ Hold :déterminent combien de temps la porte reste ouverte
une fois que le signal est repassé en dessous du seuil.
 Potentiomètre et champ Release :déterminent le temps nécessaire pour que la porte
soit entièrement refermée une fois que le signal est repassé en dessous du seuil.
Utilisation du module Silver Gate
Les paramètres du Silver Gate fonctionnent de la même façon que ceux du Noise Gate.
Pour en savoir plus, reportez-vous au « Noise Gate » à la page 49.5
55
5 Égalisation
L’égalisation (ou EQ, abréviation du terme anglais
« Equalization ») vous permet de modeler le son de
vos données audio en modifiant le niveau de bandes
de fréquences spécifiques.
Il s’agit de l’un des effets audio les plus utilisés, que ce soit pour des projets musicaux
ou lors d’un travail de postproduction vidéo. Vous pouvez utiliser l’égalisation pour
modeler le son d’un fichier audio, d’une piste ou d’un projet en ajustant des fréquences
ou des plages de fréquences spécifiques. Grâce à l’égalisation, vous pouvez apporter au
son de vos projets des modifications plus ou moins flagrantes.
Les effets d’égalisation incluent divers filtres monobandes et égaliseurs multibandes.
Tous les effets d’égalisation utilisent des filtres dont le rôle est de permettre à certaines
fréquences de passer sans être altérées, tandis que d’autres fréquences seront augmentées ou diminuées (on parle également d’amplification ou de réduction des fréquences).
Un égaliseur peut servir d’outil global capable d’amplifier ou de réduire une plage de
fréquences importante ;certains (en particulier les égaliseurs paramétriques et multibandes) peuvent être utilisés davantage pour un travail plus précis.
Égaliseurs monobandes
Les effets d’égalisation les plus simples sont obtenus à l’aide d’égaliseurs monobandes
qui comprennent des égaliseurs coupe-haut et coupe-bas, passe-haut et passe-bas,
à plateau et paramétriques.
 Un égaliseur Low Cut (coupe-bas) atténue uniquement les fréquences inférieures à
une fréquence donnée, appelée fréquence de coupure, d’un nombre fixe de décibels
par octave, appelé pente. Un égaliseur High Cut (coupe-haut) atténue uniquement
les fréquences supérieures à la fréquence de coupure, selon une pente fixe.
 Un égaliseur Low Pass (passe-bas) atténue les fréquences supérieures à la fréquence
de coupure, alors qu’un égaliseur High Pass (passe-haut) diminue les fréquences
inférieures à cette fréquence de coupure. En outre, vous pouvez contrôler la pente
du filtre (la vitesse avec laquelle les fréquences au-delà de la coupure sont atténuées)
à l’aide du paramètre Order.56 Chapitre 5 Égalisation
 Un égaliseur High ou Low Shelving (à plateau de graves ou d’aigus) vous permet
de définir la fréquence de coupure et de contrôler le gain (degré d’amplification ou
de réduction), vous autorisant ainsi à modifier la valeur de ce gain selon une valeur
fixe et non en fonction d’une pente.
 Un égaliseur paramétrique amplifie ou réduit toutes les fréquences proches de
la fréquence centrale (qu’elles soient inférieures ou supérieures à cette dernière).
Vous pouvez définir la fréquence centrale, ainsi que la bande passante ou Q, ce qui
détermine l’étendue de la plage de fréquences affectée autour de la fréquence centrale.
Égaliseurs multibandes
Les égaliseurs multibandes vous permettent de contrôler un ensemble de filtres qui,
une fois réunis, couvrent une grande partie du spectre de fréquences. Sur les égaliseurs
multibandes, vous pouvez définir la fréquence, la bande passante et le facteur Q de
chaque bande de façon individuelle. Grâce à un égaliseur multibande (tel que le
Channel EQ ou le Fat EQ), vous pouvez modeler le son de toute source audio de façon
très élaborée. Les égaliseurs multibandes sont tout aussi utiles pour mettre en forme le
son d’une piste individuelle que pour modeler le son d’un mixage global.
Les rubriques suivantes décrivent les différents effets fournis avec Logic Express.
 « Channel EQ » à la page 57
 « DJ EQ » à la page 61
 « Fat EQ » à la page 61
 « Égaliseurs monobandes » à la page 63
 « High Cut et Low Cut Filter » à la page 63
 « High Pass et Low Pass Filter » à la page 63
 « High Shelving et Low Shelving EQ » à la page 63
 « Égaliseurs paramétriques » à la page 64
 « Silver EQ » à la page 64Chapitre 5 Égalisation 57
Channel EQ
Le module Channel EQ est un égaliseur multibande extrêmement polyvalent. Il propose
huit bandes de fréquence, incluant des filtres High Pass et Low Pass, des filtres High
Shelving et Low Shelving et quatre bandes paramétriques flexibles. Il comprend également un analyseur FFT (Transformée de Fourier rapide) intégré, grâce auquel vous pouvez
visualiser la courbe de fréquence des données audio à modifier et ainsi déterminer quelles
portions du spectre de fréquences doivent être amplifiées ou réduites.
Le Channel EQ peut être utilisé de diverses façons :pour modeler le son de pistes
ou de fichiers audio individuels ou bien pour modeler la tonalité d’un mix global.
Grâce à ses commandes graphiques et à l’Analyzer, il est très facile d’observer le
signal audio et d’y apporter des ajustements en temps réel.
Paramètres du module Channel EQ
Sur le côté gauche de la fenêtre Channel EQ se trouvent le bouton Gain et les paramè-
tres de l’Analyzer, tandis que la partie centrale de la fenêtre renferme l’écran graphique
et les paramètres permettant de modeler chaque bande de l’égaliseur.
 Curseur et champ Master Gain :définissent le niveau de sortie du signal. Après avoir
amplifié ou réduit des bandes de fréquence individuelles, vous pouvez utiliser le
curseur Master Gain pour ajuster le niveau de sortie.
 Bouton Analyzer :permet d’activer ou de désactiver l’Analyzer.
 Bouton Pre/Post EQ :lorsque le mode Analyzer est activé, ce bouton détermine
si l’Analyzer doit afficher la courbe de fréquence avant ou après application de
l’égalisation.
 Menu local Resolution :permet de sélectionner la résolution des échantillons pour
l’Analyzer. Les modèles suivants sont disponibles :une résolution faible (1024 points),
moyenne (2048 points) ou élevée (4096 points).58 Chapitre 5 Égalisation
Section de l’écran graphique
 Boutons Band on/off :boutons situés au-dessus de l’écran graphique. Le fait de
cliquer sur un bouton a pour effet d’activer ou de désactiver la bande correspondante. Chaque bouton est associé à une icône qui indique quel type d’égaliseur
il utilise :
 La bande 1 correspond à un filtre High Pass.
 La bande 2 correspond à un filtre Low Shelving.
 Les bandes 3 à 6 correspondent à des filtres paramétriques en cloche.
 La bande 7 correspond à un filtre High Shelving.
 La bande 8 correspond à un filtre Low Pass.
 Écran graphique :affiche la courbe de chaque bande de l’égaliseur.Vous pouvez ajuster
la fréquence de chaque bande en la faisant glisser vers la gauche ou vers la droite dans
la section de l’écran associée à la bande concernée, puis ajuster le gain de chaque
bande (à l’exception des bandes 1 et 8) en faisant glisser celle-ci vers le haut ou vers le
bas au sein de sa section. L’écran reflète immédiatement les modifications apportées.
Section Parameter
Sous l’écran graphique se trouvent les commandes qui permettent d’indiquer les
réglages et de les ajuster indépendamment pour chaque bande.
 Champs Frequency :permettent d’ajuster la fréquence de chaque bande.
 Champs Gain/Slope :permettent d’ajuster la quantité de gain pour chaque bande.
Pour les bandes 1 et 8, cette quantité modifie la pente du filtre.
 Champs Q :permettent d’ajuster le « facteur Q » ou la résonance de chaque bande
(plage de fréquences affectée autour de la fréquence centrale).
Le paramètre Q des bandes 1 et 8 n’a aucun effet lorsque la pente est définie sur
6 dB/oct. Lorsque le paramètre Q des bandes 3 à 6 est défini sur une valeur très
élevée (comme 100), ces filtres n’affectent qu’une bande de fréquence très étroite
et peuvent être utilisés comme filtres de rupture.
 Bouton Link :active le couplage Gain-Q, qui ajuste automatiquement le facteur Q
(bande passante) lorsque vous augmentez ou réduisez le gain sur l’une des bandes
de l’égaliseur, afin de préserver la bande passante perçue de la courbe en cloche.
Si vous réglez le paramètre Gain-Q-Couple sur strong, la bande passante perçue est
presque entièrement conservée, alors que les réglages light et medium permettent
quelques modifications lors de l’augmentation ou de la réduction du gain. Les réglages asymétriques entraînent un couplage plus fort pour les valeurs de gain négatives
que pour les valeurs positives, par conséquent la bande passante perçue est mieux
préservée lorsque vous réduisez le gain plutôt que lorsque vous l’amplifiez.
Remarque :si vous lancez l’automatisation du paramètre Q avec un réglage Gain-QCouple différent, les valeurs constatées du facteur Q sont alors différentes de celles
pendant l’enregistrement de l’automatisation.Chapitre 5 Égalisation 59
 Menu local Analyzer Mode (paramètre étendu) :permet de sélectionner la méthode
Peak ou RMS.
 Curseur et champ Analyzer Decay (paramètre étendu) :permettent d’ajuster le taux
de chute (en dB par seconde) de la courbe de l’Analyzer (chute de crête en mode
Peak ou chute moyenne en mode RMS).
 Menu local Gain-Q Couple Strength (paramètre étendu) :permet de sélectionner
le degré de couplage Gain-Q.
Utilisation du module Channel EQ
L’utilisation du Channel EQ dépend de vos données audio et de ce que vous souhaitez
faire. Néanmoins, voici un flux de travaux utile et applicable à bon nombre de
situations :lorsque le Channel EQ est réglé sur une réponse plane (aucune fréquence
amplifiée ou réduite), activez l’Analyzer et lancez la lecture des données audio tout en
observant l’écran graphique pour voir quelles portions du spectre de fréquences
présentent des crêtes fréquentes et quelles portions gardent toujours un niveau bas.
Notez en particulier les moments où le signal subit une distorsion ou un écrêtage.
Ensuite, à l’aide de l’écran graphique ou des commandes Parameter, ajustez les bandes
de fréquences comme vous le souhaitez pour obtenir le son recherché.
Vous pouvez atténuer les fréquences écrêtées afin de réduire ou d’éliminer la distorsion et
amplifier les zones calmes pour obtenir un son plus marqué. Ajustez la fréquence centrale
des bandes 2 à 7 pour affecter une fréquence spécifique (une que vous souhaitez
amplifier, telle que la note fondamentale de la musique, ou une que vous souhaitez éliminer, comme le bourdonnement ou tout autre bruit indésirable) ;ensuite, rétrécissez le
facteur Q de sorte que seule une plage de fréquences étroite soit affectée ou élargissez-le
pour modifier une plage plus large.
Dans l’écran graphique, chaque bande de l’égaliseur apparaît avec une couleur différente.
Vous pouvez ajuster la fréquence d’une bande dans le graphique en la faisant glisser horizontalement. Faites glisser la bande verticalement pour ajuster sa quantité de gain (pour les
bandes 1 et 8, les valeurs de pente peuvent uniquement être modifiées dans la zone de
paramètres, au-dessus de l’écran graphique). Chaque bande possède un point de pivot,
représenté par un petit cercle sur la courbe, au niveau de la fréquence de la bande ;vous
pouvez ajuster le facteur Q ou la largeur de la bande en faisant glisser ce point de pivot
verticalement.
Vous pouvez également ajuster l’échelle de décibels de l’écran graphique en faisant
glisser verticalement le bord gauche ou droit de l’écran (où figurent les valeurs dB)
lorsque l’Analyzer n’est pas activé. Lorsqu’il est activé et que vous faites glisser le bord
gauche, l’échelle de dB linéaire est ajustée ;si vous faites glisser le bord droit, c’est
l’échelle de dB de l’analyseur qui est ajustée.60 Chapitre 5 Égalisation
Pour augmenter la résolution d’affichage de la courbe d’égalisation dans la zone la plus
intéressante, voisine de la ligne du zéro, faites glisser vers le haut l’échelle de dB située
sur le côté gauche de l’écran graphique. Faites-la glisser vers le bas pour réduire la résolution. La plage globale est toujours de ±30, mais les valeurs faibles sont plus faciles à
reconnaître.
Lorsque vous travaillez avec le Channel EQ, vous pouvez désactiver toutes les bandes
que vous n’utilisez pas pour modeler le son. Les bandes inactives n’utilisent pas du
tout les ressources de l’ordinateur.
Utilisation de l’Analyzer
Si vous activez l’Analyzer, le module Channel EQ affiche une courbe en temps réel de
tous les composants fréquenciels du signal à mesure que les données audio sont lues.
Cette courbe est superposée aux courbes d’égalisation que vous définissez, à l’aide d’une
transformée de Fourier rapide (FFT). La courbe de l’Analyzer utilise la même échelle que
les courbes d’égalisation, ce qui vous permet de reconnaître les fréquences importantes
au sein des données audio et d’utiliser les courbes d’égalisation pour amplifier ou réduire
ces fréquences.
Dès que l’Analyzer est activé, vous pouvez modifier le paramètre Analyzer Top, qui
modifie la mise à l’échelle de l’analyseur FFT, sur le côté droit de l’écran graphique.
La zone visible représente une plage dynamique de 60 dB mais, si vous cliquez dessus
et la faites glisser verticalement en maintenant le bouton de la souris enfoncé, vous
pouvez régler la valeur maximale entre +20 dB et 40 dB. L’affichage de l’Analyzer est
toujours linéaire en dB.
Lorsque vous choisissez un paramètre Resolution dans le menu, n’oubliez pas que
plus la résolution est élevée, plus l’ordinateur sera sollicité. Une résolution élevée est
par exemple nécessaire lorsque vous avez besoin de résultats fiables dans les très
basses fréquences. Les bandes dérivées de l’analyse FFT sont divisées conformément
au principe linéaire de fréquence, ce qui signifie qu’il y a davantage de bandes dans
les octaves aiguës que dans les octaves graves.
Remarque :l’analyseur FFT sollicite davantage les ressources de l’ordinateur. En fait,
la quantité de ressources nécessaire augmente de façon significative avec des résolutions plus élevées. Il est donc recommandé de désactiver l’Analyzer ou de fermer la
fenêtre du Channel EQ lorsque vous lisez ou enregistrez le projet, après avoir défini
les paramètres d’égalisation souhaités. Ainsi, une partie des ressources de l’ordinateur
seront libérées pour d’autres tâches.Chapitre 5 Égalisation 61
DJ EQ
Le module DJ EQ associe des filtres High et Low Shelving, chacun caractérisé par une
fréquence fixe, et un égaliseur paramétrique pour lequel vous pouvez ajuster les paramètres Frequency, Gain et Q-Factor. L’une des caractéristiques spécifiques du DJ EQ est
qu’il permet de réduire le gain des filtres par pas allant jusqu’à – 30 dB.
Paramètres du module DJ EQ
 Champ et curseur High Shelf :déterminent la quantité de gain pour le filtre High Shelving.
 Champ et curseur Frequency :déterminent la fréquence centrale de l’égaliseur
paramétrique.
 Champ et curseur Q-Factor :déterminent la plage (bande passante) de l’égaliseur
paramétrique.
 Champ et curseur Gain :déterminent la quantité de gain pour l’égaliseur paramétrique.
 Champ et curseur LowShelf :déterminent la quantité de gain pour le filtre Low Shelving.
Fat EQ
Le module Fat EQ est un égaliseur multibande polyvalent pouvant posséder jusqu’à cinq
bandes de fréquence individuelles. Vous pouvez utiliser le Fat EQ pour des pistes individuelles ou des mixages globaux. Le Fat EQ comprend un écran graphique illustrant les
courbes d’égalisation, ainsi qu’un ensemble de paramètres pour chaque bande.
Paramètres du module Fat EQ
La partie principale de la fenêtre Fat EQ contient un écran graphique et une suite
de sections renfermant les paramètres de chaque bande de fréquence. À droite de
la section des paramètres figurent le curseur et le champ Master Gain.62 Chapitre 5 Égalisation
Section de l’écran graphique
 Boutons Band Type :boutons situés au-dessus de l’écran graphique. Pour les
bandes 1-2 et 4-5, cliquez sur l’une des paires de boutons pour sélectionner
le type d’égaliseur associé à la bande correspondante.
 Pour la bande 1, cliquez sur le bouton de filtre High Pass ou Low Shelving.
 Pour la bande 2, cliquez sur le bouton de filtre paramétrique ou Low Shelving.
 La bande 3 agit toujours comme une bande d’égaliseur paramétrique (cliquez
sur le bouton correspondant pour l’activer ou la désactiver).
 Pour la bande 4, cliquez sur le bouton de filtre paramétrique ou High Shelving.
 Pour la bande 5, cliquez sur le bouton de filtre Low Pass ou High Shelving.
 Écran graphique :affiche la courbe d’égalisation de chaque bande de fréquence.
Lorsque vous ajustez les réglages de chaque bande à l’aide des commandes de
la section Parameter, l’écran reflète immédiatement les modifications apportées.
Section Parameter
Sous l’écran graphique se trouvent les commandes qui, d’une part, indiquent les
réglages propres à chaque bande, d’autre part, vous permettent d’ajuster ces réglages.
 Champs Frequency :déterminent la fréquence de chaque bande.
 Potentiomètres Gain :déterminent la quantité de gain pour chaque bande.
 Champs Q/Order :déterminent le facteur Q ou la bande passante de chaque bande
(plage de fréquences affectée autour de la fréquence centrale). Pour les bandes 1
et 5, ces réglages modifient la pente du filtre.
 Boutons Band on/off :cliquez sur un bouton numéroté pour activer ou désactiver
la bande correspondante.
Les bandes inactives n’utilisent pas du tout les ressources de l’ordinateur.
Section Master Gain
 Curseur et champ Master Gain :éléments situés à droite de la section Parameter qui
définissent le niveau de sortie du signal. Après avoir amplifié ou réduit des bandes de
fréquence, vous pouvez utiliser le curseur Master Gain pour ajuster le niveau de sortie.
Utilisation du module Fat EQ
Les icônes situées au-dessus de l’écran graphique vous permettent de changer de type
d’égaliseur pour chaque bande, à l’exception de la bande 3, qui agit toujours comme
un filtre en cloche intégralement paramétrique. Vous pouvez utiliser les commandes de
la section Parameter pour régler la fréquence, le gain et le facteur Q de chaque bande,
ainsi que pour activer ou désactiver chacune des bandes.Chapitre 5 Égalisation 63
Si vous optez pour des valeurs Q faibles, l’égaliseur couvre une plage de fréquences
plus large, alors qu’avec des valeurs Q élevées, l’effet de la bande d’égalisation est
limité à une plage de fréquences très étroite. N’oubliez pas que la valeur Q peut avoir
un impact significatif sur le niveau d’audibilité de vos modifications :si vous travaillez
avec une bande de fréquence étroite, vous devrez généralement l’amplifier ou la
réduire de façon plus radicale pour constater une différence.
Égaliseurs monobandes
La rubrique ci-dessous décrit les différents effets disponibles dans le sous-menu
Single Band.
High Cut et Low Cut Filter
Comme leur nom l’indique, le Low Cut Filter (filtre coupe-bas) atténue la plage
de fréquences inférieure à la fréquence sélectionnée, tandis que le High Cut Filter
atténue la plage supérieure à cette fréquence. Chacun possède un paramètre
unique permettant de définir la fréquence de coupure.
High Pass et Low Pass Filter
Le High Pass Filter (filtre passe-haut) affecte la plage de fréquences inférieure à la fré-
quence définie. Le filtre laisse passer uniquement les fréquences supérieures à cette
dernière. Vous pouvez utiliser le High Pass Filter pour éliminer les basses situées en
dessous d’une fréquence donnée. Par opposition, le Low Pass Filter affecte la plage de
fréquences supérieure à la fréquence sélectionnée. Les deux modules Filter possèdent
les paramètres suivants :
 Champ et curseur Frequency :définissent la fréquence de coupure.
 Champ et curseur Order :définissent l’ordre de filtrage.
 Champ et curseur Smoothing :permettent d’ajuster le degré de lissage (en millisecondes).
High Shelving et Low Shelving EQ
Le Low Shelving EQ affecte uniquement la plage de fréquences inférieure à la fréquence
sélectionnée, tandis que le High Shelving EQ affecte uniquement la plage supérieure
à celle-ci. Chacun est associé à un paramètre Gain, qui permet d’amplifier ou de réduire
le niveau de la bande de fréquence sélectionnée, et à un paramètre Frequency, qui permet
de définir la fréquence de coupure.64 Chapitre 5 Égalisation
Égaliseurs paramétriques
Le module Parametric EQ est un simple filtre doté d’une fréquence centrale variable.
Il peut être utilisé pour amplifier ou réduire toute bande de fréquence du spectre
audio, soit avec une plage de fréquences étendue, soit sous la forme d’un filtre de
rupture associé à une plage très étroite. Ainsi, une plage de fréquences symétrique de
part et d’autre de la fréquence centrale est amplifiée ou réduite. Le module Parametric
EQ comprend les paramètres suivants :
 Champ et curseur Gain :définit la quantité de gain.
 Champ et curseur Frequency :définissent la fréquence de coupure.
 Champ et curseur Q-Factor :permettent d’ajuster le facteur Q (bande passante).
Silver EQ
Le module Silver EQ comporte trois bandes :un égaliseur High Shelving, un égaliseur
paramétrique et un égaliseur Low Shelving. Vous pouvez ajuster les fréquences de
coupure des égaliseurs High et Low Shelving ou ajuster la fréquence centrale, le gain
et le facteur Q de l’égaliseur paramétrique.
Paramètres du module Silver EQ
 Champ et curseur High Frequency :définissent la fréquence de coupure pour l’égaliseur
High Shelving.
 Champ et curseur Frequency :déterminent la fréquence centrale de l’égaliseur
paramétrique.
 Champ et curseur Q-Factor :permettent d’ajuster la plage (bande passante) de
l’égaliseur paramétrique.
 Champ et curseur Gain :déterminent la quantité de gain pour l’égaliseur paramétrique.
 Champ et curseur Low Frequency :définissent la fréquence de coupure pour l’égaliseur
Low Shelving.Chapitre 5 Égalisation 65
Plages de fréquences utilisées avec un égaliseur
Tous les sons peuvent être classés dans l’une des trois plages de fréquences de base
suivantes :les basses, les médiums et les aigus. Ces catégories peuvent elles-mêmes
être divisées en basses graves, hauts et bas médiums et hauts et bas aigus. Le tableau
ci-dessous décrit quelques-uns des sons faisant partie de chaque catégorie :
Remarque :les fréquences indiquées pour chaque plage sont approximatives.
La division du son en plages de fréquences présente un caractère quelque peu
arbitraire et ne constitue qu’une indication d’ordre général.
Nom
Plage de
fréquences Description
Hauts aigus 8–20 kHz Inclut les sons de cymbale et les harmoniques d’instruments
les plus aigus. Une légère augmentation des fréquences de
cette plage permet d’apporter plus d’intensité et de présence.
Aigus 5–8 kHz Cette plage correspond globalement à la commande de
tonalité des aigus sur une chaîne stéréo. L’amplification
des fréquences de cette plage permet d’augmenter la clarté
et l’éclat musical.
Bas aigus 2,5–5 kHz Inclut les harmoniques les plus aigus des voix et des instruments de musique. Cette plage est importante pour ajouter
de la présence. Une amplification excessive peut conférer à
la musique un son strident ou rauque.
Hauts médiums 1,2–2,5 kHz Inclut les consonnes des voix et les harmoniques aigus
des instruments de musique, en particulier des cuivres.
Une amplification excessive de cette plage peut produire
un son pincé et nasillard.
Médiums 750 Hz–1,2 kHz Inclut les voyelles des voix et les harmoniques des instruments
de musique qui créent la couleur tonale.
Bas médiums 250–750 Hz Inclut les harmoniques fondamentales et graves des voix
et des instruments de musique. Une égalisation minutieuse
de chacune peut les empêcher d’entrer en concurrence.
Une amplification excessive de cette plage peut donner
lieu à un son brouillé et trouble ;une atténuation excessive
peut au contraire générer un son trop clair.
Basse 50–250 Hz Correspond globalement à la commande de tonalité
des graves sur une chaîne stéréo. Inclut les fréquences
fondamentales des voix et des instruments de musique.
Une amplification excessive peut conférer à la musique
un son caverneux et sourd.
Basses graves 50 Hz et moins Également appelées sous-basses. Les sons de voix ou d’instruments de musique compris dans cette plage sont très
rares. De nombreux effets sonores utilisés dans les films,
tels que les explosions ou les tremblements de terre,
en font partie.6
67
6 Filtre
Outre les filtres des effets d’égalisation, vous pouvez en
utiliser pour changer le caractère de vos données audio
de façon habituelle ou plus insolite.
Le sous-menu Filtre contient divers effets s’appuyant sur des filtres permettant
de modifier vos données audio de façon libre, parmi lesquels des « autofilters »,
des banques de filtres, des vocoders, des effets wah-wah et une porte de bruit utilisant
la fréquence plutôt que l’amplitude (volume) comme critère de sélection de la partie
du signal autorisée à transiter.
Les rubriques suivantes décrivent les différents modules fournis avec Logic Express.
 « AutoFilter » à la page 68
 « EVOC 20 Filterbank » à la page 72
 « EVOC 20 TrackOscillator » à la page 76
 « Fuzz-Wah » à la page 87
 « Spectral Gate » à la page 9068 Chapitre 6 Filtre
AutoFilter
Le module AutoFilter est un effet de filtre polyvalent offrant plusieurs fonctions spécifiques. Vous pouvez l’utiliser pour créer des effets de synthétiseur analogique classique
ou comme outil de conception sonore créatif. La fréquence de coupure du filtre peut
être modulée de façon dynamique au moyen d’une enveloppe ADSR semblable à celle
d’un synthétiseur et d’un oscillateur sub-audio. En outre, vous pouvez choisir parmi une
variété de types et de pentes de filtres, contrôler le niveau de résonance, ajouter un
effet de distorsion pour obtenir des sons plus agressifs et mélanger le signal sec d’origine avec le signal traité.
Paramètres de l’AutoFilter
Les zones principales de la fenêtre Autofilter incluent les sections Enveloppe, LFO, Filter
et Distortion. Le contrôle Threshold général est situé dans l’angle supérieur gauche,
tandis que les contrôles Output figurent dans la partie droite de la fenêtre.
Curseur Threshold
Le curseur Threshold définit la fréquence de coupure qui s’applique à l’enveloppe et
à l’oscillateur LFO (sub-audio). Lorsque le niveau du signal d’entrée dépasse le seuil
Threshold, l’enveloppe et l’oscillateur sub-audio sont redéclenchés. Le paramètre
Threshold s’applique toujours à l’enveloppe. Il s’applique à l’oscillateur LFO uniquement si le bouton Retrigger est activé.
Section Enveloppe
 Potentiomètre et champ Attack :définissent le temps d’attaque de l’enveloppe.
 Potentiomètre et champ Decay :définissent le temps de chute de l’enveloppe.
 Potentiomètre et champ Sustain :définissent le temps de maintien de l’enveloppe.
 Potentiomètre et champ Release :définissent le temps de relâchement de l’enveloppe.Chapitre 6 Filtre 69
 Potentiomètre et champ Dynamic :définissent l’intensité de la modulation appliquée
par le signal d’entrée à la valeur crête de l’enveloppe.
 Curseur et champ Cutoff Mod. :définissent l’intensité de l’effet du signal de contrôle
sur la fréquence de coupure.
Section LFO
 Potentiomètres et champ Coarse/Fine Rate : utilisez conjointement ces paramètres
pour définir la fréquence de l’oscillateur sub-audio (LFO). Déplacez le curseur Coarse
pour définir la fréquence en Hertz de l’oscillateur sub-audio, puis utilisez le curseur
Fine pour régler plus précisément la fréquence au 1/000ème de Hertz.
 Bouton Beat Sync :lorsque ce bouton est sélectionné, l’oscillateur sub-audio est
synchronisé sur le tempo du séquenceur.
 Potentiomètre Phase : permet de décaler la relation de phase entre l’oscillateur
sub-audio et le séquenceur lorsque l’option Beat Sync est active.
 Potentiomètre Decay/Delay :indiquent le temps dont l’oscillateur sub-audio a besoin
pour passer de 0 à sa valeur maximale.
 Potentiomètre et champ Rate Mod. :définissent le taux de modulation de la fréquence
de l’oscillateur sub-audio, indépendamment du niveau du signal d’entrée. Lorsque le
signal d’entrée dépasse le seuil Threshold, la largeur de modulation de l’oscillateur
sub-audio passe de 0 à la valeur entrée pour Rate Mod.
 Potentiomètre et champ Stereo Phase :pour les instances stéréo de l’Autofilter,
définissent les relations de phase des modulations de l’oscillateur sub-audio sur
les deux canaux stéréo.
 Curseur et champ Cutoff Mod. :définissent l’intensité de l’effet du signal de contrôle
sur la fréquence de coupure.
 Bouton Retrigger :lorsque ce bouton est sélectionné, la forme d’onde commence à 0°
dès le dépassement du seuil Threshold.
 Boutons Waveform :cliquez sur un des boutons pour définir le type de forme d’onde
de l’oscillateur sub-audio.
 Curseur et champ Pulse Width :permettent de mettre en forme la courbe de la forme
d’onde sélectionnée.
Section Filter
 Potentiomètre Cutoff Freq. :définit la fréquence de coupure du filtre passe-bas.
 Potentiomètre Resonance :définit la largeur de la bande de fréquences voisine
de la fréquence de coupure qui est accentuée.
 Curseur et champ Fatness :règlent l’effet de « grossissement » du son (renforcement
des basses fréquences). Si vous définissez le paramètre Fatness sur sa valeur maximale,
le réglage de la résonance n’aura aucun effet sur les fréquences situées en deçà de la
fréquence de coupure.70 Chapitre 6 Filtre
 Boutons State Variable Filter : cliquez sur un des boutons pour indiquer si le filtre
est un filtre passe-haut (HP), passe-bande (BP) ou passe-bas (LP).
 Boutons 4-Pole Lowpass Filter:cliquez sur un des boutons pour définir la pente
du filtre passe-bas sur 6, 12, 18 ou 24 dB par octave.
Section Distortion
 Bouton Input : définit le niveau de la distorsion appliquée avant la section de filtre.
 Bouton Output : définit le niveau de la distorsion appliquée après la section de filtre.
Section Output
 Curseur et champ Dry Signal : définissent la portion de signal d’origine (sec) ajoutée
au signal filtré.
 Curseur et champ Main Out : définissent le volume de sortie final de l’Autofilter.
Utilisation de l’Autofilter
La présente section fournit des informations complémentaires sur l’utilisation des
paramètres de la fenêtre Autofilter.
Paramètres Filtre
Les paramètres les plus importants sont situés dans la partie droite de la fenêtre
Autofilter. Le bouton Filter Cutoff détermine le point à partir duquel le filtre entre
en action. Les fréquences plus élevées sont atténuées, tandis que les fréquences
plus basses sont autorisées à passer.
Le bouton Resonance contrôle la zone de fréquences voisine de la fréquence de coupure
qui est accentuée. Si vous affectez une valeur suffisante au paramètre Resonance, le filtre
lui-même commence à osciller à sa fréquence de coupure. Ce phénomène d’auto-oscillation commence avant que le paramètre Resonance ait atteint sa valeur maximale, tout
comme pour les filtres d’un synthétiseur Minimoog. Si vous augmentez la valeur de la
résonance, le filtre passe-bas provoque une chute des graves ;le signal se met à sonner
« plus maigre ». Vous pouvez compenser ce phénomène en utilisant le curseur Fatness.
Les paramètres Envelope et LFO permettent de moduler de façon dynamique la fréquence
de coupure. Le paramètre Threshold figurant dans l’angle supérieur gauche de la fenêtre
Autofilter s’applique aux deux sections et analyse le niveau du signal d’entrée. Si le niveau
du signal d’entrée dépasse le seuil Threshold, l’enveloppe et l’oscillateur sub-audio (LFO)
sont redéclenchés.Chapitre 6 Filtre 71
Paramètres d’enveloppe
Lorsque le signal d’entrée dépasse le seuil Threshold, le signal de contrôle est déclenché
à la valeur minimale. Après un délai dont la durée est déterminée par le paramètre
Attack, le signal atteint son niveau maximum Il diminue ensuite pendant la durée
définie par la valeur Decay, puis reste à un niveau constant pendant le laps de temps
correspondant à la valeur Sustain. Une fois que le niveau du signal tombe en dessous
de la valeur Threshold, il chute jusqu’à sa valeur minimale pendant la période déterminée par le paramètre Release. Si le signal d’entrée passe sous le niveau Threshold avant
que le signal de contrôle ait atteint le niveau Sustain, la phase Release est déclenchée.
Vous pouvez moduler la valeur crête de la section Envelope par le niveau du signal
d’entrée en ajustant le paramètre Dynamic. Le curseur Cutoff Mod. détermine l’intensité
de l’effet du signal de contrôle sur la fréquence de coupure.
Paramètres LFO
Vous pouvez définir la forme d’onde de l’oscillateur sub-audio (LFO) en cliquant sur
un des boutons Waveform. Les modèles suivants sont disponibles :dent de scie
descendante (saw down), dent de scie ascendante (saw up), triangle, onde d’impulsions ou forme d’onde aléatoire (valeurs aléatoires, mode Sample & Hold). Une fois
que vous avez sélectionné une forme d’onde, vous pouvez mettre en forme la courbe
avec le curseur Pulsewidth. Les potentiomètres Coarse et Fine Frequency permettent
de définir la fréquence de l’oscillateur sub-audio. Le potentiomètre Rate Mod. (Rate
Modulation) contrôle la modulation de la fréquence de l’oscillateur LFO indépendamment du niveau du signal d’entrée. Si le signal d’entrée dépasse le niveau Threshold,
la largeur de modulation de l’oscillateur passe de 0 à la valeur entrée pour Rate Mod.
Vous pouvez également définir le temps nécessaire à l’exécution de ce processus en
entrant la valeur souhaitée avec le potentiomètre Decay/Delay. Si le bouton Retrigger
est activé, la forme d’onde commence à 0° dès que le seuil Threshold est dépassé.
Pour les instances stéréo de l’AutoFilter, vous pouvez contrôler les relations de phase
des modulations de l’oscillateur sub-audio sur les deux canaux stéréo au moyen du
potentiomètre Stereo Phase.
L’activation de l’option Beat Sync permet de synchroniser l’oscillateur sub-audio (LFO) sur
le tempo du séquenceur. Les valeurs de vitesse sont exprimées en mesures, en triolets, etc.
Elles sont déterminées par le potentiomètre Rate situé juste en regard du bouton Beat
Sync. Utilisez Sync Phase pour décaler la relation de phase entre l’oscillateur sub-audio
et le séquenceur.
Paramètres de l’effet Distortion
Les paramètres Distortion Input et Output permettent de contrôler individuellement
la distorsion avant l’entrée et après la sortie. Même si ces deux modules de distorsion
fonctionnent de la même façon, leur position respective sur le parcours du signal,
respectivement avant et après le filtre, produit des sons très différents.72 Chapitre 6 Filtre
Paramètres Output
Le paramètre Dry Signal définit le niveau du signal d’effet (sec) qui est mélangé avec
le signal traité. Le paramètre Main Out permet de réduire le volume de sortie (jusqu’à
50 dB), de façon à compenser l’augmentation de niveau due à l’utilisation d’effets de
distorsion ou d’autres traitements.
EVOC 20 Filterbank
L’EVOC 20 FilterBank se compose de deux banques de filtres de formants, qui peuvent
également être utilisées dans le module de vocoder EVOC 20 PolySynth.
Le signal d’entrée traverse ces deux banques de filtres en parallèle. Chaque banque
dispose de curseurs de volume pour dix bandes de fréquences, vous permettant de
régler le volume de chaque bande indépendamment. En réglant un curseur sur sa
valeur minimale, vous supprimez complètement les formants de la bande correspondante. Vous pouvez contrôler la position et la largeur des bandes de filtre au moyen
des paramètres Formant Stretch et Formant Shift. En outre, vous avez également la
possibilité de réaliser un fondu enchaîné entre les deux banques de filtres.
Pour de plus amples informations sur les banques de filtres, reportez-vous à la section
« Fonctionnement d’une banque de filtres » à la page 159.
Paramètres de l’EVOC 20 FilterBank
La fenêtre EVOC 20 FilterBank est divisée en trois sections principales :la section
Formant Filter située au centre de la fenêtre, la section Modulation se trouvant dans
la partie centrale inférieure et la section Output figurant sur le côté droit.Chapitre 6 Filtre 73
Section Formant Filter
Les paramètres de cette section contrôlent les bandes de fréquences des deux banques
de filtres :la banque de filtres A et la banque de filtres B.
 Curseurs Frequency band:vous pouvez définir le volume de chaque bande de
fréquences de la banque de filtres A à l’aide des curseurs supérieurs (bleus) et
paramétrer le volume de chaque bande de fréquences de la banque de filtres
B au moyen des curseurs inférieurs (verts).
Vous pouvez facilement créer des courbes complexes en faisant glisser horizontalement une des lignes de curseurs. Cette méthode permet de modifier rapidement
et facilement plusieurs bandes de fréquences.
 Barre et champs de fréquences : la barre bleue située au-dessus de la ligne supérieure
de curseurs contrôle l’ensemble de la plage de fréquences des deux banques de filtres.
Faites glisser la barre pour déplacer toute la plage de fréquences, l’extrémité gauche
pour déplacer uniquement les fréquences inférieures (entre 75 et 750 Hz) ou bien
encore l’extrémité droite pour déplacer uniquement les fréquences supérieures (entre
800 et 8000 Hz). Vous pouvez également modifier les valeurs numériques directement
au-dessus de la barre (entre 80 et 8 000 Hz).
 Potentiomètre Formant Shift : déplace toutes les bandes des deux banques de filtres vers
le haut ou le bas de la plage de fréquences.Vous pouvez passer directement aux valeurs
–0,5, –1, 0,+0,5 or +1,0 en cliquant sur l’une d’elles sur le bord du potentiomètre.
 Champ de valeur Bands :définit le nombre de bandes de fréquences dans chaque
banque de filtres. Les valeurs possibles sont comprises entre 5 et 20 bandes.
Remarque :l’augmentation du nombre de bandes augmente également la charge
du processeur.
 Bouton Lowest :détermine si la bande la plus basse de chaque banque de filtres
fonctionne comme un filtre passe-bas ou passe-bande.
 Potentiomètre Resonance : contrôle le caractère sonore de base des deux banques
de filtres. L’augmentation de la valeur Resonance accentue les fréquences moyennes
de chaque bande. Des réglages faibles donnent un caractère plus doux, tandis que
des réglages élevés donnent un caractère plus abrupt.74 Chapitre 6 Filtre
 Potentiomètre Boost A : définit l’amplitude de l’amplification (ou de l’atténuation)
appliquée aux bandes de fréquences de la banque de filtres A. La plage est ±20 dB.
Cela permet de compenser la réduction de volume causée par la baisse du niveau
d’une ou de plusieurs bandes.
Boost est aussi très pratique pour régler les niveaux des deux banques de filtres l’une
par rapport à l’autre, de façon à ce que l’utilisation de Fade A/B (voir ci-dessous)
entraîne uniquement un changement de couleur sonore, mais pas un changement
de niveau.
 Bouton Highest :détermine si la bande la plus haute de chaque banque de filtres
fonctionne comme un filtre passe-haut ou passe-bande.
 Menu local Slope :détermine la valeur de la pente qui va être appliquée à tous les
filtres des deux banques. Valeurs possibles :1 (atténuation du filtre de 6 dB/oct.)
et 2 (atténuation du filtre de 12 dB/oct.). 1 sonne plus doux, 2 sonne plus serré.
 Potentiomètre Boost B :définit l’amplitude de l’amplification (ou de l’atténuation)
appliquée aux bandes de fréquences de la banque de filtres B. Valeurs possibles :
±20 dB. Cela permet de compenser la réduction de volume causée par la baisse
du niveau d’une ou de plusieurs bandes.
 Curseur Fade AB :applique un fondu enchaîné entre les banques de filtres A et B.
S’il est en position haute (0 %), seule la banque A est audible, tandis que s’il est en
position basse (100 %), seule la banque B est audible. Lorsque le curseur est en position intermédiaire (50 %), les banques sont mélangées de façon égale.
Section Modulation
Les paramètres de cette section contrôlent les oscillateurs sub-audio (LFO) qui modulent
respectivement les paramètres Formant Shift et Fade A/B de la section Formant Filter.
Les paramètres LFO Shift situés sur la gauche modulent le paramètre Formant Shift des
bandes de filtre, tandis que les paramètres LFO Fade figurant sur la droite modulent le
paramètre Fade AB.
 Curseur LFO Shift Intensity : définit l’intensité de la modulation appliquée par l’oscillateur sub-audio (LFO) au paramètre Formant Shift.
 Potentiomètre LFO Shift Rate :définit la vitesse de modulation du paramètre Formant
Shift. Les valeurs situées à gauche du centre sont synchronisées sur le tempo et
exprimées en mesures et d’autres valeurs musicales, tandis que les valeurs situées
à droite du centre sont des valeurs libres, exprimées en Hertz.Chapitre 6 Filtre 75
 BoutonsWaveform : sélectionnez les formes d’onde utilisées respectivement par les
paramètres d’oscillateurs sub-audio LFO Shift et LFO Fade.Du haut vers le bas, les formes
d’onde disponibles sont les suivantes :triangle, dent de scie (sawtooth) descendante
ou montante, dent de scie carrée montante ou descendante autour de zéro (bipolaire),
dent de scie carrée montante à partir de zéro (unipolaire),mode « sample and hold »
(forme d’onde aléatoire par palier) et forme d’onde « sample and hold » lissée.
 Curseur LFO Fade Intensity :définit l’intensité de la modulation appliquée par l’oscillateur sub-audio (LFO) au paramètre Fade AB.
 Potentiomètre LFO Fade Rate :définit la vitesse de modulation du paramètre Fade AB.
Les valeurs situées à gauche du centre sont synchronisées sur le tempo et exprimées
en mesures et d’autres valeurs musicales, tandis que les valeurs situées à droite du
centre sont des valeurs libres, exprimées en Hertz.
? Astuce : les modulations LFO Formant Shift et Fade sont à la base des sons les plus
extraordinaires de l’EVOC 20 Filterbank :veillez à configurer des courbes de filtre
complètement différentes ou complémentaires dans les deux banques de filtres.
Vous avez la possibilité d’utiliser un enregistrement rythmique, tel qu’une boucle
de batterie, comme signal d’entrée et de choisir des modulations synchronisées
sur le tempo avec des vitesses (Rates) différentes pour chaque oscillateur sub-audio.
Vous pouvez ensuite essayer le module Tape Delay synchronisé sur le tempo après
l’EVOC 20 FilterBank, afin d’obtenir des rythmes uniques.
Section Output76 Chapitre 6 Filtre
Les paramètres de cette section contrôlent la sortie générale de l’EVOC 20 FilterBank.
 Bouton Overdrive :permet d’activer ou de désactiver le circuit d’overdrive.
Remarque :pour entendre l’effet d’overdrive, vous devrez peut-être augmenter
le niveau d’une ou des deux banques de filtres.
 Curseur Level :définit le niveau du signal de sortie.
Menu local Stereo Mode :définit le mode d’entrée/sortie de l’EVOC 20 FilterBank.
Choix possibles :m/s (entrée mono vers sortie stéréo) et s/s (entrée stéréo vers
sortie stéréo).
Définissez Stereo Mode sur m/s si le signal d’entrée est monophonique et sur s/s si
le signal d’entrée est stéréophonique. En mode s/s, les canaux stéréo gauche et droit
sont traités par des banques de filtres séparées. Lorsque vous utilisez le mode m/s
sur un signal d’entrée stéréo, le signal est d’abord réduit en mono avant de passer
par les banques de filtres.
 Potentiomètre Stereo Width :contrôle la répartition des signaux de sortie des bandes
de filtre dans l’image stéréo.
 Lorsqu’il est positionné à gauche, la sortie de toutes les bandes est centrée.
 Lorsqu’il est en position centrale, la sortie de toutes les bandes passe de gauche
à droite.
 Lorsqu’il est positionné à droite, la sortie des bandes est répartie de façon égale
sur les canaux gauche et droit.
Le mode stéréo/stéréo (s/s) utilise une banque de filtres A/B par canal. Le positionnement des bandes de fréquences correspond à ce qui a été indiqué ci-dessus, mais les
bandes de chaque banque de filtres se déplacent dans des directions opposées,
de gauche à droite.
EVOC 20 TrackOscillator
L’EVOC 20 TrackOscillator est un vocoder équipé d’un oscillateur de suivi de la
hauteur tonale (pitch tracking oscillator) monophonique. L’oscillateur de suivi permet
à l’EVOC 20 TrackOscillator de contrôler la hauteur tonale d’un signal d’entrée monophonique. Par exemple, si ce signal est une mélodie chantée, chaque hauteur de note
chantée sera contrôlée et restituée par le moteur de synthèse.
L’EVOC 20 TrackOscillator comporte deux banques de filtres de formants :Analysis et
Synthesis. Chacune dispose de plusieurs paramètres d’entrée (configurables). Vous pouvez utiliser la piste dans laquelle l’EVOC est inséré comme source du signal Analysis ou
employer une autre piste audio comme source d’entrée via une entrée latérale (Side
Chain). La source Synthesis peut être la piste dans laquelle l’EVOC est inséré, une autre
piste audio ou l’oscillateur de suivi. Chaque bande de fréquences Analysis comporte
un suiveur d’enveloppe (« envelope follower ») qui contrôle le niveau de cette bande,
de façon à ce qu’elle puisse être remodelée plus précisément.Chapitre 6 Filtre 77
Le parcours du signal de l’EVOC 20 TrackOscillator est présenté dans le schéma de
principe à la page 177.
? Astuce :pour assurer un suivi correct de la hauteur tonale, il est essentiel d’utiliser
un signal monophonique (sans superposition de hauteurs) le moins traité possible.
Évitez absolument d’utiliser un signal comportant des bruits de fond. Par exemple,
l’utilisation d’un signal traité avec même un léger effet de réverbération donnera
des résultats plutôt étranges (et vraisemblablement indésirables). Des résultats encore
plus étranges seront obtenus lorsqu’un signal sans hauteur tonale audible (tel qu’une
boucle de batterie) est utilisé. Toutefois, il se peut que dans certains cas ce soit le
résultat recherché.
L’EVOC 20 TrackOscillator ne se limite pas à des effets de suivi de la hauteur tonale. Il peut
aussi agir sur un signal par lui-même, ce qui est très utile pour obtenir des effets de filtre
inhabituels. Essayez cette fonctionnalité avec différents réglages des paramètres Resonance, Formant Shift et Formant Stretch. Comme les deux signaux d’entrée d’analyse et
de synthèse sont disponibles, vous pouvez même « vocoder », par exemple, un orchestre
avec des bruits de train.
Pour en savoir plus sur les vocoders, consultez « Vocoder :Fondamentaux » à la
page 158.
Paramètres de l’EVOC 20 TrackOscillator
La fenêtre de l’EVOC 20 TrackOscillator est divisée en différentes sections, de gauche à
droite :Analysis In, Synthesis In, Tracking Oscillator, Formant Filter, LFO, U/V Detection
et Output.78 Chapitre 6 Filtre
Section Analysis In
Les paramètres de cette section contrôlent divers aspects du signal d’analyse.
 Potentiomètre Attack :détermine la vitesse à laquelle chaque suiveur d’enveloppe
(envelope follower) couplé à chaque bande de filtre Analysis réagit aux signaux
montants. Des temps d’Attack plus longs donneront une réponse plus lente du
suivi aux transitoires du signal d’entrée d’analyse.
Remarque :un temps d’attaque (Attack) long sur des signaux d’entrée de type
percussif (par exemple, des mots scandés ou un morceau de charleston) produira
un effet de vocoder moins articulé. Il convient de définir le paramètre Attack sur
une valeur la plus faible possible pour obtenir une articulation précise.
 Potentiomètre Release :détermine la vitesse à laquelle chaque suiveur d’enveloppe
(envelope follower) couplé à chaque bande de filtre Analysis réagit aux signaux
descendants. Des temps de relâchement (Release) plus longs prolongeront les
transitoires du son du signal d’entrée Analysis à la sortie du vocoder.
Remarque :un temps de relâchement (Release) long sur des signaux d’entrée
de type percussif produira un effet de vocoder moins articulé. Des temps Release
trop courts donneront des sons de vocoder bruts et granuleux. Des valeurs Release
comprises entre 8 et 10 ms représentent un bon point de départ.
 Bouton Freeze :lorsque ce bouton est sélectionné, le spectre du son actuellement
analysé est maintenu indéfiniment. Cela permet de capturer une caractéristique
particulière du signal source, qui sera ensuite imposée comme forme de filtre
complexe avec sustain sur la section Synthesis. Lorsque le bouton Freeze est sélectionné, la banque de filtres Analysis ignore la source d’entrée et les paramètres
Attack et Release n’ont aucun effet.
Ainsi, si vous utilisez une suite de mots parlés comme source, le paramètre Freeze
pourra capturer la phase d’attaque ou de fin d’un mot particulier (par exemple,
le son d’une voyelle).Chapitre 6 Filtre 79
Le paramètre Freeze peut également être utilisé pour compenser l’incapacité de
certains chanteurs à tenir longtemps une note sans reprendre leur souffle. Si le signal
Synthesis doit être tenu, alors que le signal source Analysis ne l’est pas, le paramètre
Freeze peut servir à bloquer les niveaux actuels du formant (d’une note chantée),
même pendant des interruptions de la partie vocale, comme il y en a entre les mots
d’une phrase vocale.
 Menu local Analysis In :définit le signal source Analysis. Les modèles suivants
sont disponibles :
 Track :définit la piste audio dans laquelle l’EVOC 20 TrackOscillator est inséré
en tant que signal Analysis.
 Side Chain :définit l’entrée latérale (une autre piste audio) comme signal Analysis.
Vous choisissez la piste source Side Chain dans le menu local Side Chain en haut
de la fenêtre de l’EVOC 20 TrackOscillator.
Remarque :si le paramètre Side Chain est sélectionné et qu’aucune piste Side Chain
n’est assignée, le signal de la piste est utilisé comme source Analysis.
Section Synthesis In
Les paramètres de cette section contrôlent divers aspects du signal de synthèse.
 Menu local Synthesis In :définit la source du signal Synthesis. Les modèles suivants
sont disponibles :
 Oscillator (Osc.) :définit l’oscillateur de suivi comme source Synthesis. L’oscillateur
suit la hauteur du signal d’entrée Analysis. La sélection du paramètre Osc. active
les autres paramètres de la section Synthesis. Si Osc. n’est pas sélectionné, FM
Ratio, FM Int et les autres paramètres de cette section n’auront aucun effet.
 Track :définit la piste audio dans laquelle l’EVOC 20 TrackOscillator est inséré en
tant que signal source Synthesis.
 Side Chain (SideCh) :définit l’entrée latérale (une autre piste audio) comme signal
source Synthesis. Vous choisissez la piste source Side Chain dans le menu local Side
Chain en haut de la fenêtre de l’EVOC 20 TrackOscillator.
Remarque :si le paramètre Side Chain est sélectionné et qu’aucune piste Side Chain
n’est assignée, le signal de la piste est utilisé comme source Synthesis.
 Champ de valeur Bands :détermine le nombre de bandes de fréquences utilisées
par les banques de filtres de l’EVOC 20 TrackOscillator. Les valeurs possibles vont de
5 à 20. Plus il y a de bandes, plus le son sera remodelé avec précision. L’augmentation
du nombre de bandes accroît aussi la charge du processeur.80 Chapitre 6 Filtre
Oscillateur de suivi
Les paramètres de la section Tracking Oscillator contrôlent différents aspects de
l’oscillateur de suivi.
Le générateur sonore FM de l’oscillateur de suivi est composé de deux oscillateurs,
chacun générant une onde sinusoïdale. La fréquence de l’oscillateur 1 (porteur) est
modulée linéairement par l’oscillateur 2 (modulateur), ce qui a pour effet de transformer
l’onde sinusoïdale de l’oscillateur 1 en une forme d’onde à la structure harmonique riche.
Le contrôle FM Int détermine si les oscillateurs de suivi délivrent une onde en dent
de scie ou le signal d’un générateur sonore FM.
 Potentiomètre FM Ratio : définit le rapport entre les oscillateurs 1 et 2, ce qui détermine
le caractère de base du son. Des valeurs paires (ou leurs multiples) produisent des sons
harmoniques, tandis que des valeurs impaires (ou leurs multiples) génèrent des sons
non harmoniques, perçus comme des sons métalliques.
 Un contrôle FM Ratio de 1 000 donne des résultats ressemblant à une forme
d’onde en dent de scie.
 Un contrôle FM Ratio de 2 000 donne des résultats ressemblant à une forme
d’onde carrée avec une largeur d’impulsion de 50 %.
 Un contrôle FM Ratio de 3 000 donne des résultats ressemblant à une forme
d’onde carrée avec une largeur d’impulsion de 33 %.
 Potentiomètre FM Int : sélectionne la forme d’onde de base et contrôle l’intensité
de la modulation FM.
 S’il est réglé sur 0, le générateur sonore FM est désactivé et une onde en dent
de scie est générée à la place.
 Pour des valeurs supérieures à 0, le générateur sonore FM est activé. Des valeurs
plus élevées produisent un son plus complexe et plus brillant.
 Champ de valeur Coarse Tune :définit le décalage de hauteur de l’oscillateur par
demi-tons, jusqu’à ±2 octaves.
 Champ de valeur Fine Tune :définit le décalage de hauteur par incréments d’un
cent. La valeur par défaut est le La de référence à 440 Hz. Les valeurs possibles
sont comprises entre 425 et 455 Hz.Chapitre 6 Filtre 81
Conjointement avec les touches de piano du clavier à l’écran, les contrôles Pitch
Quantize, Root/Scale et Max Track contrôlent la fonction de correction automatique
de la hauteur (Pitch Quantize) de l’oscillateur de suivi. Le contrôle Pitch Quantize peut
être utilisé avec les paramètres Root/Scale et Max Track pour limiter la hauteur de
l’oscillateur de suivi à une gamme ou un accord. Il permet d’obtenir des corrections
de hauteurs subtiles ou sauvages et peut aussi être employé de façon créative sur
des données dotées d’un contenu harmonique aigu mais dont la hauteur tonale n’est
pas déterminée, comme des cymbales et une charleston. Pour utiliser la quantification
de hauteur, le paramètre Strength doit être réglé sur une valeur supérieure à zéro et
au moins une des touches de piano du clavier à l’écran doit être activée.
 Curseur Pitch Quantize Strength :détermine l’amplitude de la correction automatique
de hauteur.
 Curseur Pitch Quantize Glide :détermine la durée de la correction de hauteur, ce qui
permet des transitions progressives vers les hauteurs quantifiées.
 Menu local et clavier Root/Scale :utilisez conjointement ces éléments pour définir
la ou les hauteurs sur lesquelles l’oscillateur de suivi est quantifié, comme indiqué
ci-dessous.
 Cliquez sur la valeur située sous le mot Scale pour afficher le menu local Root/Scale.
 Choisissez la gamme ou l’accord à utiliser comme base de la correction de hauteur
dans le menu local.
 Définissez la note fondamentale de la gamme ou de l’accord choisi en faisant
glisser verticalement le paramètre Root ou double-cliquez et entrez une note
fondamentale comprise entre Do et Si. Le paramètre Root n’est pas disponible
lorsque la valeur Root/Scale est définie sur chromatic (chromatique) ou user
(utilisateur).
 Vous avez la possibilité d’ajouter des notes à la gamme ou l’accord choisi en
cliquant sur les touches du petit et d’en supprimer en cliquant sur des notes
déjà sélectionnées. Les notes sélectionnées apparaissent en vert fluo. Lors de
la sélection d’une note, la valeur Root/Scale est définie sur user.
 Votre dernière modification est enregistrée. Si vous sélectionnez une nouvelle
gamme ou un nouvel accord, mais que vous n’apportez aucune modification,
vous pouvez revenir à la gamme user précédente.82 Chapitre 6 Filtre
Vous pouvez automatiser les paramètres Root et Scale ainsi que les touches du
clavier à l’écran de Logic Express.
 Champ de valeur Max Track :définit la fréquence au-delà de laquelle les fréquences
aiguës du signal Analysis sont coupées, ce qui rend la détection de hauteur plus
fiable. Si la détection de hauteur génère des résultats instables, réduisez la valeur
du paramètre Max Track en lui attribuant la valeur la plus faible possible.
Section Formant Filter
Les paramètres de cette section contrôlent les deux banques de filtres de formants
de l’EVOC 20 TrackOscillator.
 Affichage graphique Formant Filter : affiche les bandes de fréquences des paramètres
Analysis et Synthesis.
La fenêtre Formant Filter est divisée en deux sections par une ligne horizontale.
La partie supérieure concerne la section Analysis et la partie inférieure, la section
Synthesis. Les modifications apportées aux paramètres High/Low Frequency, Bands
ou Formant Stretch et Formant Shift entraîneront des changements visuels dans la
fenêtre Formant Filter. Vous disposez ainsi d’informations très précieuses décrivant ce
qui arrive au signal lorsqu’il passe à travers les deux banques de filtres de formants.
 Barre et champs de fréquences : la barre bleue située au-dessus de la ligne supérieure
de curseurs contrôle les fréquences les plus hautes et les plus basses des deux banques
de filtres. Faites glisser la barre pour déplacer à la fois la fréquence la plus haute et la
fréquence la plus basse, l’extrémité gauche pour déplacer uniquement la fréquence
la plus basse (la plage de valeurs possibles est comprise entre 75 et 750 Hz) ou bien
l’extrémité droite pour déplacer uniquement la fréquence la plus haute (la plage de
valeurs possibles est comprise entre 800 et 8000 Hz). Vous pouvez également modifier
les valeurs numériques directement au-dessus de la barre (entre 80 et 8 000 Hz).
 Bouton Lowest :détermine si la bande la plus basse de chaque banque de filtres
fonctionne comme un filtre passe-bas ou passe-bande.
 Bouton Highest :détermine si la bande la plus basse de chaque banque de filtres
fonctionne comme un filtre passe-haut ou passe-bande.Chapitre 6 Filtre 83
 Potentiomètre Formant Stretch :modifie la largeur et la répartition des bandes de
la banque de filtres Synthesis, de façon à étendre ou réduire la plage de fréquences
définie par la barre bleue (paramètres Low/High Frequency) pour la banque de
filtres Synthesis.
Si le paramètre Formant Stretch est défini sur 0, la largeur et la répartition des bandes
de la banque de filtres Synthesis seront équivalentes à la largeur des bandes de la
banque de filtres Analysis. Des valeurs faibles réduisent la largeur de chaque bande,
alors que des valeurs élevées l’augmentent. Les valeurs possibles sont comprises
entre 0,5 et 2 (par rapport à la bande passante totale).
Remarque :vous pouvez passer directement à la valeur 1 en cliquant sur celle-ci.
 Potentiomètre Formant Shift :déplace la position des bandes vers le haut ou le bas
dans la banque de filtres Synthesis. Lorsqu’il est défini sur 0, la position des bandes
dans la banque de filtres Synthesis est équivalente à celle des bandes de la banque
de filtres Analysis. Des valeurs positives déplaceront les bandes vers le haut, en terme
de fréquences, alors que des valeurs négatives les déplaceront vers les bas en fonction de la banque de filtres d’analyse. Vous pouvez passer directement aux valeurs
-0,5, -1, 0, +0,5 et +1 en cliquant sur celles-ci.
? Astuce :lorsqu’ils sont combinés, les paramètres Formant Stretch et Formant Shift
modifient la structure du formant du son de vocoder résultant, ce qui peut donner
des changements de timbre intéressants. Par exemple, utiliser des signaux vocaux
tout en réglant le paramètre Formant Shift plus haut produit un effet « Mickey Mouse ».
Les paramètres Formant Stretch et Formant Shift sont particulièrement utiles si le
spectre de fréquences du signal Synthesis ne complète pas celui du signal Analysis.
Par exemple, vous pouvez créer un signal Synthesis dans la plage de fréquences élevées à partir d’un signal Analysis qui module le son principalement dans une plage
de fréquences plus basses.
 Potentiomètre Resonance : contrôle le caractère sonore de base des deux banques de
filtres. L’augmentation de la valeur du paramètre Resonance accentue les fréquences
moyennes de chaque bande. Des réglages faibles donnent un caractère plus doux,
tandis que des réglages élevés donnent un caractère plus abrupt.
Remarque :l’utilisation individuelle ou combinée des paramètres Formant Stretch et
Formant Shift peut provoquer la génération de fréquences résonantes inhabituelles
lorsque des valeurs élevées sont définies pour le réglage Resonance.84 Chapitre 6 Filtre
Section LFO
Les paramètres de cette section contrôlent l’oscillateur sub-audio (LFO) permettant de
moduler la fréquence (Pitch) de l’oscillateur de suivi (vibrato) ou le paramètre Formant
Shift (Shift) de la banque de filtres Synthesis.
Ils permettent une modulation synchrone ou asynchrone selon la mesure, le battement
(triolet) ou toute autre valeur.
 Boutons Wave : sélectionnez la forme d’onde utilisée par l’oscillateur sub-audio (LFO).
Les options suivantes sont disponibles :triangle, dent de scie (sawtooth) montante
ou descendante, dent de scie carrée montante ou descendante autour de zéro (bipolaire, idéale pour les trilles), dent de scie carrée montante à partir de zéro (unipolaire,
idéale pour les changements entre deux hauteurs définissables), une forme d’onde
aléatoire par palier (S&H) et une forme d’onde aléatoire lissée. Il suffit de cliquer sur
le bouton approprié pour choisir un type de forme d’onde.
 Curseur LFO Formant Shift Intensity :contrôle l’importance de la modification de
formant effectuée par l’oscillateur sub-audio (LFO).
 LFO Pitch Intensity :contrôle l’amplitude de la modulation (vibrato) appliquée
par l’oscillateur sub-audio (LFO).
 Potentiomètre et champ LFO Rate :définissent la vitesse de la modulation appliquée
par l’oscillateur sub-audio (LFO). Les valeurs situées à gauche des positions centrales
sont synchronisées sur le tempo du séquenceur et incluent notamment des valeurs
de mesure et de triolet. Les valeurs situées à droite des positions centrales sont asynchrones et affichées en Hertz (cycles par seconde).
Remarque :la possibilité d’utiliser des valeurs de mesure synchrones peut servir
à effectuer une modification de formant toutes les quatre mesures sur une partie
de percussion à une mesure reprise en cycle. Vous pouvez aussi effectuer la même
modification de formant (formant shift) sur chaque croche d’un triolet au sein d’une
même partie. Chaque méthode peut produire des résultats intéressants et apporter
de nouvelles idées ou donner un nouvel essor aux équipements audio existants.Chapitre 6 Filtre 85
Section U/V Detection
La section U/V Detection détecte les portions non vocales du son dans le signal Analysis, améliorant ainsi l’intelligibilité vocale. Reportez-vous à la section « Unvoiced/Voiced
(U/V) Detection » à la page 173 pour en savoir plus sur le principe de fonctionnement
de la détection de signaux voisés/non voisés (U/V Detection). Pour plus d’informations
sur l’intelligibilité vocale, consultez « Conseils pour une meilleure intelligibilité des
paroles » à la page 178.
 Potentiomètre Sensitivity :définit le degré de réactivité de la fonction de détection des
signaux voisés/non voisés (U/V detection). En tournant ce potentiomètre vers la droite,
davantage de parties non vocales distinctes seront reconnues dans le signal d’entrée.
Lorsque des réglages élevés sont utilisés, la sensibilité accrue aux signaux non
vocaux peut conduire à ce que la source U/V, déterminée par le paramètre Mode,
soit utilisée sur la majeure partie du signal d’entrée, en incluant les signaux vocaux.
Cela aura pour résultat un son ressemblant à un signal radio, détérioré et contenant
beaucoup de bruit de fond.
 Menu local Mode :choisissez la ou les sources sonores pouvant être utilisées pour
remplacer le contenu non vocal du signal d’entrée. Les modèles suivants sont disponibles :Off, Noise, Noise + Synth, ou Blend.
 Noise :utilise le bruit seul pour les parties non-vocales du son.
 Noise + Synth :utilise le bruit et le synthétiseur pour les parties non vocales du son.86 Chapitre 6 Filtre
 Blend :utilise le signal d’analyse après son passage à travers un filtre passe-haut,
pour les parties non-vocales du son. Ce signal d’analyse filtré est alors mélangé
avec le signal de sortie de l’EVOC 20 TrackOscillator. Le paramètre Sensitivity n’a
aucun effet sur ce réglage.
 Curseur Level :contrôle la quantité de signal (Noise, Noise + Synth ou Blend) utilisée
pour remplacer le contenu non vocal du signal d’entrée.
Section Output
 Menu interne Signal :choisissez le signal qui va être envoyé aux sorties principales
de l’EVOC 20 TrackOscillator. Les modèles suivants sont disponibles :Voc(oder),
Syn(thesis) et Ana(lysis). Pour entendre l’effet de vocoder, choisissez Voc. Les deux
autres réglages servent au monitoring.
 Curseur Level :définit le niveau du signal de sortie.
 Menu local Stereo Mode :définit le mode d’entrée/sortie de l’EVOC 20 FilterBank.
Choix possibles :m/s (entrée mono vers sortie stéréo) et s/s (entrée stéréo vers
sortie stéréo).
Définissez Stereo Mode sur m/s si le signal d’entrée est monophonique et sur s/s si
le signal d’entrée est stéréophonique. En mode s/s, les canaux stéréo gauche et droit
sont traités par des banques de filtres séparées. Lorsque vous utilisez le mode m/s
sur un signal d’entrée stéréo, le signal est d’abord réduit en mono avant de passer
par les banques de filtres.
Avertissement :faites très attention avec ce contrôle,surtout si vous utilisez une valeur
de Sensitivity élevée, afin d’éviter toute saturation interne de l’EVOC 20 TrackOscillator.Chapitre 6 Filtre 87
 Potentiomètre Stereo Width :contrôle la répartition des signaux de sortie des bandes
de filtre dans l’image stéréo.
 Lorsqu’il est positionné à gauche, la sortie de toutes les bandes est centrée.
 Lorsqu’il est en position centrale, la sortie de toutes les bandes passe de gauche
à droite.
 Lorsqu’il est positionné à droite, la sortie des bandes est répartie de façon égale sur
les canaux gauche et droit.
Le mode stéréo/stéréo (s/s) utilise une banque de filtres A/B par canal. Le positionnement des bandes de fréquences correspond à ce qui a été indiqué ci-dessus, mais les
bandes de chaque banque de filtres se déplacent dans des directions opposées,
de gauche à droite.
Fuzz-Wah
Le Fuzz-Wah émule des effets wah-wah classiques souvent utilisés avec un Clavinet
et ajoute des effets de compression et de distorsion (fuzz).
Paramètres du Fuzz-Wah
 Boutons Effect Order : indiquez si l’effet wah précède l’effet fuzz dans la chaîne du
signal (Wah-Fuzz) ou vice versa (Fuzz-Wah).
Le compresseur intégré précède toujours l’effet fuzz. Lorsque l’option Wah-Fuzz
est sélectionnée, le compresseur est placé entre les effets wah et fuzz ;inversement,
lorsque l’option Fuzz-Wah est sélectionnée, le compresseur est placé en premier dans
la chaîne du signal.88 Chapitre 6 Filtre
Section Wah
 Menu local Wah Mode :choisissez un des six modes disponibles, qui émulent divers
effets wah classiques et types de filtres ou sélectionnez off.
 Bouton Auto Gain :l’effet wah peut faire varier considérablement le niveau de sortie.
L’activation du paramètre Auto Gain permet de compenser cette tendance et de
maintenir le signal de sortie dans une plage plus stable.
 Potentiomètre Wah Level : définit le niveau du signal filtré par l’effet wah.
 Curseur Relative Q : règle l’intensité du balayage wah en augmentant ou en réduisant
la crête du filtre. Le réglage 0 (zéro) conserve le niveau de crête d’origine pour chaque
mode.
 Curseur Pedal Range :définit la plage de balayage exacte du filtre wah contrôlé au
moyen de la pédale MIDI, permettant de compenser la différence entre les possibilités mécaniques offertes par une pédale MIDI et celles d’une pédale wah classique.
Vous pouvez définir indépendamment les limites supérieure et inférieure de la plage
en faisant glisser les bords gauche et droit du curseur Pedal Range. Vous avez également la possibilité de déplacer en même temps la plage entière en faisant glisser la
section centrale du curseur. Appuyez sur le bouton de normalisation pour réinitialiser
la plage de valeurs acceptées pour la pédale sur ses valeurs par défaut.
Section AutoWah
 Potentiomètre Depth : définit la profondeur de l’effet autowah.
 Potentiomètre Attack :définit le temps nécessaire à l’ouverture complète du filtre wah.
 Potentiomètre Release :définit le temps nécessaire à la fermeture du filtre wah.
Section Fuzz
 Potentiomètre Comp (Compression) Ratio :définit le taux de compression du
compresseur intégré.
 Potentiomètre Fuzz Gain :définit le niveau de distorsion de l’effet fuzz entre
0 dB et 20 dB.
 Potentiomètre Fuzz Tone :règle la tonalité de l’effet fuzz entre 2 kHz et 20 kHz.
AutoWah Attack/Release
Ces paramètres permettent de définir le temps d’ouverture et de fermeture du filtre
wah. Valeurs possibles (en millisecondes) :10 à 10 000Chapitre 6 Filtre 89
Utilisation du Fuzz-Wah
Les sections ci-dessous traitent de divers aspects des paramètres du Fuzz-Wah.
Réglage du niveau de l’effet wah avec le paramètre Auto Gain
L’effet wah peut faire varier considérablement le niveau de sortie. L’activation du
paramètre Auto Gain permet de compenser cette tendance et de maintenir le signal
de sortie dans une plage plus stable.
Pour entendre la différence apportée par le paramètre Auto Gain :
1 Activez la fonction Auto Gain.
2 Augmentez le niveau de l’effet en le définissant sur une valeur située juste en dessous
de la limite d’écrêtage de la table de mixage.
3 Faites un balayage avec un réglage Relative Q élevé.
4 Désactivez la fonction Auto Gain et répétez le balayage.
AutoWah Depth
L’effet wah peut non seulement être contrôlé au moyen des pédales MIDI (voir ci-dessus),
mais également par le biais de la fonction Auto Wah. La sensibilité de l’Auto Wah peut être
réglée à l’aide du paramètre Depth.Valeurs possibles :de 0,00 à 100.
Relative Q
La qualité de la crête du filtre principal peut être augmentée/réduite, en fonction du
réglage du modèle, afin d’obtenir un balayage wah plus ou moins intense. Si ce paramètre est réglé sur 0, le réglage d’origine du modèle est actif. Valeurs possibles :-1,00
à +1,00 (0,00 est la valeur par défaut).
Réglage du paramètre Pedal Range
Les pédales MIDI usuelles offrent des possibilités mécaniques bien plus étendues que la
plupart des pédales wah classiques.
La plage de balayage exacte du filtre wah affecté par la pédale MIDI est définie par les
paramètres Pedal Range. Les valeurs extrêmes pouvant être atteintes par la pédale sont
représentées graphiquement par un crochet gris le long du curseur Pedal Position (qui
représente la position actuelle de la pédale wah). Vous pouvez définir les limites gauche
et droite en cliquant sur ce crochet et en le faisant glisser avec la souris. Vous avez la possibilité de déplacer les deux valeurs simultanément en cliquant au centre du crochet et
en déplaçant celui-ci vers la gauche ou la droite.
Avertissement :pendant ces manipulations, vos oreilles et votre système d’amplification peuvent être soumis à une pression sonore élevée.90 Chapitre 6 Filtre
Spectral Gate
Le module Spectral Gate sépare les parties du signal situées au-dessus et au-dessous
du niveau Threshold en deux plages de fréquences indépendantes pouvant être modulées individuellement. Il permet de produire des effets de filtre riches et inhabituels.
Paramètres du module Spectral Gate
 Curseur et champ Threshold :définissent le niveau du seuil à partir duquel la bande de
fréquences définie par les paramètres Center Freq. et Bandwidth est divisée en plages
de fréquences supérieure et inférieure.
 Curseur et champ Speed :déterminent la fréquence de modulation pour la bande
de fréquences définie.
 Curseur et champ CF (Center Frequency) Modulation : règlent l’intensité de la modulation
de la fréquence centrale.
 Curseur et champ BW (BandWidth) Modulation : définissent le niveau de la modulation
de la largeur de bande.
 Écran graphique :affiche la bande de fréquences définie par les paramètres Center
Freq. et Bandwidth.
 Potentiomètre et champ Center Freq. (Frequency) : définissent la fréquence centrale
de la bande de fréquences devant être traitée par le module Spectral Gate.
 Potentiomètre et champ Bandwidth :définissent la largeur de bande de la bande
de fréquences devant être traitée par le module Spectral Gate.
 Curseur et champ Low Level : mélangent les fréquences du signal d’origine situées
au-dessous la bande de fréquences sélectionnée avec le signal traité.
 Potentiomètre et champ Super Energy :contrôlent le niveau de la plage de fréquences
située au-dessus du seuil.
 Potentiomètre et champ Sub Energy : contrôlent le niveau de la plage de fréquences
située au-dessous du seuil.
 Curseur et champ High Level : mélangent les fréquences du signal d’origine situées
au-dessus de la bande de fréquences sélectionnée avec le signal traité.
 Curseur et champ Gain : règlent le niveau de gain du signal de sortie final.Chapitre 6 Filtre 91
Utilisation du module Spectral Gate
À l’aide des paramètres Center Freq. et Bandwidth, définissez la bande de fréquences
que vous souhaitez traiter avec le module Spectral Gate. La représentation graphique
indique visuellement la bande définie par ces deux paramètres.
Une fois la bande de fréquences définie, utilisez le paramètre Threshold pour déterminer
le niveau au-delà et en deçà duquel la bande de fréquences est divisée en plages supé-
rieure et inférieure. Utilisez le potentiomètre Super Energy ou Sub Energy pour contrôler
respectivement le niveau des fréquences situées au-dessus et au-dessous du seuil
Threshold.
Vous pouvez également mélanger avec le signal traité les fréquences issues du signal
d’origine qui se trouvent hors de la bande de fréquences définie par les paramètres
Center Freq. et Bandwidth. Utilisez le curseur Low Level pour effectuer cette opération
avec les fréquences graves situées au-dessous de la bande de fréquences définie et le
curseur High Level pour l’exécuter avec les fréquences situées au-dessus de cette
bande de fréquences.
Vous pouvez moduler la bande de fréquences définie à l’aide des paramètres Speed,
CF Modulation et BW Modulation. Speed détermine la fréquence de modulation,
CF (Center Frequency) Modulation définit l’intensité de la modulation de la fréquence
centrale et BW (Band Width) Modulation contrôle la modulation de la largeur de bande.
Une fois vos réglages effectués, vous pouvez utiliser le curseur Gain pour ajuster le
niveau de sortie final du signal traité.
Pour mieux vous familiariser avec le fonctionnement du module Spectral Gate, vous
pouvez commencer par utiliser une boucle de batterie. Définissez le paramètre Center
Freq.sur sa valeur minimale (20 Hz) et le paramètre Bandwidth sur sa valeur maximale
(20 000 Hz) (de façon à ce que la plage de fréquences entière soit traitée). Faites tourner
les potentiomètres Super Energy et Sub Energy l’un après l’autre, puis essayez différents
réglages pour le paramètre Threshold. Cela devrait vous donner un bon aperçu de la
façon dont les différents niveaux Threshold affectent le son dans les bandes contrôlées
par Super Energy et Sub Energy. Lorsque vous avez trouvé un son qui vous plaît ou qui
vous semble simplement utile, vous pouvez réduire considérablement la largeur de
bande (Bandwidth), augmenter progressivement la fréquence centrale ( Center Freq.),
puis utiliser les curseurs Low Level et High Level de façon à ajouter un peu d’aigus et de
basse provenant du signal d’origine. Pour des réglages bas du paramètre Speed,servezvous du potentiomètre CF Mod. ou BW Mod..7
93
7 Imaging
Vous pouvez utiliser les modules Imaging de Logic Express
pour étendre la base stéréo d’un enregistrement et modifier
les positions du signal perçues.
Ces effets permettent de rendre certains sons, ou la totalité du mixage plus larges et
plus amples. Vous pouvez aussi modifier la phase des sons individuels dans un mixage,
pour améliorer ou supprimer des éléments transitoires particuliers.
Les sections suivantes décrivent les modules Imaging inclus dans Logic Express :
 « Direction Mixer » à la page 93.
 « Stereo Spread » à la page 96.
Direction Mixer
Vous pouvez utiliser le module Direction Mixer pour décoder les enregistrements
audio MS (Middle and Side - milieu et côté) (voir la section « Explication sur MS » à la
page 95) ou pour diffuser la base stéréo d’un enregistrement (gauche/droit) et
déterminer sa balance.
 Boutons Input :utilisez les boutons LR ou MS pour déterminer si le signal d’entrée est
de type LR (Left Right - Gauche Droite) standard ou s’il s’agit d’un signal encodé MS
(Middle and Side - Milieu et côté).
 Curseur et champ Spread :détermine la diffusion de la base stéréo.
 Potentiomètre et champ Direction :détermine la direction depuis laquelle le centre du
signal stéréo enregistré va émettre depuis le mixage ou plus simplement, sa balance.94 Chapitre 7 Imaging
Utilisation de Direction Mixer
Direction Mixer est un module simple à utiliser car il ne comporte que deux
paramètres :Spread et Direction Chacun modifie le signal entrant de façon
différente lorsque les boutons d’entrée LR ou MS sont actifs.
Utilisation du paramètre Spread sur des signaux d’entrée LR
À la valeur neutre 1, le côté gauche du signal est positionné précisément sur la gauche
et le côté droit précisément sur la droite. Lorsque la valeur Spread baisse, les deux
côtés se rapprochent du centre de l’image stéréo. La valeur 0 génère un signal mono
(les deux côtés du signal d’entrée sont acheminés vers les deux sorties au même
niveau : un véritable signal central). Aux valeurs supérieures à 1, la base stéréo est
diffusée vers un point imaginaire au-delà des limites spatiales des haut-parleurs.
Remarque :en utilisant simplement le Direction Mixer pour répartir la base stéréo, la
compatibilité monaurale décroît avec des valeurs de Spread supérieures à 1. Si un signal
stéréo a été traité avec le réglage Spread maximal (à savoir, 2), il est alors annulé entiè-
rement en cas de lecture en mono ;en effet, G–D plus D–G ne donne absolument
aucun résultat audible.
Utilisation du paramètre Spread sur des signaux d’entrée MS
Lorsque vous modifiez les niveaux MS avec le paramètre Spread (au-dessus d’une
valeur de 1), le niveau du signal devient plus élevé que le signal du centre. À la valeur 2,
vous n’entendez que le signal latéral (sur la gauche vous pouvez entendre G-D et sur la
droite D-G).
Définition du paramètre Direction
Lorsque le paramètre Direction a la valeur 0, le centre de l’enregistrement stéréo sera
le point mort au sein du mixage. Si vous utilisez des valeurs positives, le point central
de l’enregistrement stéréo est déplacé vers la gauche. Des valeurs négatives déplacent
le point central vers la droite. Le mode de fonctionnement est le suivant :
 À 90 °, le point central de l’enregistrement stéréo est décalé de façon importante
à gauche.
 À l’inverse, à – 90 °, le point central de l’enregistrement stéréo est décalé de façon
importante à droite.
 Des valeurs plus élevées ramènent le point central vers le centre du mixage stéréo,
mais elles intervertissent également les côtés stéréo de l’enregistrement. Autrement
dit :aux valeurs 180 ° ou – 180 °, le point central de l’enregistrement est le point
mort du mixage, mais les côtés gauche et droit de l’enregistrement restent échangés.Chapitre 7 Imaging 95
Explication sur MS
Longtemps oubliée, la stéréo MS (milieu-côté par opposition à gauche-droite) a récemment connu une sorte de renaissance.
Réalisation d’un enregistrement MS
Deux micros sont positionnés le plus près possible l’un de l’autre (généralement sur un
pied ou accrochés au plafond du studio). L’un est un micro cardioïde (ou unidirectionnel)
qui fait directement face à la source sonore à enregistrer, dans un alignement droit.
L’autre est un micro bidirectionnel dont les axes pointent sur la gauche et la droite
(de la source sonore) à des angles de 90 °.
 Le micro cardioïde enregistre le signal central sur le côté gauche d’une piste stéréo.
 Le micro bidirectionnel enregistre le signal latéral sur le côté droit d’une piste stéréo.
Les enregistrements MS réalisés de cette façon peuvent être décodés par Direction Mixer.
Intérêt des enregistrements MS
L’avantage des enregistrements MS par rapport aux enregistrements XY (deux micros
cardioïdes dirigés vers un point à mi-chemin sur la gauche et la droite de la source
sonore) est que le centre stéréo est situé sur l’axe du faisceau principal (direction
d’enregistrement principale) du micro cardioïde. Cela signifie que les légères fluctuations de la réponse en fréquence qui se produit hors de l’axe du faisceau principal,
comme c’est le cas avec tous les micros, sont moins gênantes.
En principe, les signaux MS et LR sont équivalents et peuvent être convertis à tout
moment. Lorsque « – » signifie une inversion de phase, ce qui suit s’applique :
M = L+R
S = L–R
En outre, L peut aussi être dérivé de la somme de M et S et R de la différence entre M
et S.
Notez que les diffusions radiophoniques (FM) utilisent la stéréo M et S. Le signal MS est
converti en un signal adéquat pour les haut-parleurs gauche et droit par le récepteur.96 Chapitre 7 Imaging
Stereo Spread
Le module Stereo Spread est généralement utilisé pour la mastérisation. Il existe plusieurs
moyens d’étendre la base stéréo (ou perception de l’espace), notamment l’utilisation de
réverbérations et d’autres effets et la modification de la phase du signal. Ils peuvent tous
être très intéressants, mais ils risquent aussi d’affaiblir le son global de votre mixage en
annihilant les réponses des éléments transitoires, par exemple.
Le module Stereo Spread étend la base stéréo en distribuant un nombre (sélectionnable)
de bandes de fréquences depuis la plage de fréquences centrale vers les canaux gauche
et droit. Ceci est effectué tour à tour :les fréquences centrales vers le canal gauche, puis
vers le canal droit, etc. La perception de largeur stéréo en est grandement accrue sans
que le son perde sa qualité naturelle, particulièrement lors d’une utilisation sur des enregistrements mono.
Paramètres du module Stereo Spread
 Curseur et champ Lower Int.. :définit la quantité d’extension de base stéréo pour
les bandes de fréquences inférieures.
 Curseur et champ Upper Int. :définit la quantité d’extension de base stéréo pour
les bandes de fréquences supérieures.
Notez que lorsque vous définissez les curseurs d’intensité inférieure et supérieure,
l’effet stéréo est le plus visible dans les fréquences centrales et supérieures et que
la distribution de faibles fréquences entre les haut-parleurs gauche et droit réduit
de façon significative l’énergie de ceux-ci. Vous devez donc utiliser une intensité
inférieure plus faible et éviter d’utiliser moins de 300 Hz pour la fréquence inférieure.
 Écran graphique :montre le nombre de bandes constituant le signal et l’intensité
de l’effet Stereo Spread dans les bandes de fréquences supérieure et inférieure.
La section supérieure représente le canal gauche et la section inférieure, le canal
droit. L’échelle de fréquence affiche les fréquences par ordre croissant, de gauche
à droite.Chapitre 7 Imaging 97
 Curseur et champs Upper and Lower Freq. :permettent de déterminer les limites supé-
rieures et inférieures de la fréquence la plus haute et la bande la plus basse, à distribuer
dans l’image stéréo.
 Potentiomètre Order :définit le nombre de bandes de fréquences constituant
le signal. La valeur 8n est généralement suffisante pour la plupart des tâches,
mais vous pouvez utiliser jusqu’à 12 bandes.8
99
8 Metering
Vous pouvez utiliser les modules Metering de Logic Express
pour analyser l’audio de différentes façons.
Chaque module Metering permet de visualiser différentes caractéristiques d’un signal
audio. Exemples :BPM Counter affiche le tempo d’un fichier audio, Correlation Meter
affiche la relation de phase et Level Meter affiche le niveau d’un enregistrement audio.
Ce chapitre décrit les modules Metering inclus dans Logic Express :
 « BPM Counter » à la page 100
 « Correlation Meter » à la page 100
 « Level Meter » à la page 101
 « Tuner » à la page 101100 Chapitre 8 Metering
BPM Counter
Vous pouvez utiliser le module BPM Counter pour analyser le tempo d’une piste audio.
Insérez le module dans une piste pour analyser les événements dynamiques du signal
audio.
Le circuit de détection recherche les éléments transitoires dans le signal d’entrée.
Les éléments transitoires sont des événements sonores très rapides, non périodiques
dans la partie d’attaque du signal. Plus l’impulsion est nette, plus il est facile pour
le compteur BPM de détecter le tempo. Par conséquent, les pistes de percussion
et instrumentales (lignes de basse, par exemple) sont très bien adaptées à l’analyse
de tempo. Les sons feutrés ne constituent pas un bon choix.
Le voyant DEL indique l’état de l’analyse en cours. S’il clignote, il s’agit d’une mesure de
tempo. Lorsqu’il est allumé, l’analyse est terminée et le tempo s’affiche. La mesure va
de 80 à 160 battements par minute. La valeur mesurée est affichée avec une décimale.
BPM Counter détecte aussi la variation de tempo dans le signal et tente de l’analyser
de façon précise. Si le voyant DEL commence à clignoter au cours de la lecture, cela indique que BPM a détecté un tempo qui a dévié du dernier tempo reçu (ou défini). Dès
qu’un nouveau tempo constant est reconnu, le voyant DEL s’allume en continu.
Cliquez sur le voyant DEL pour réinitialiser BPM Counter.
Correlation Meter
Le module Correlation Meter affiche la relation de phase d’un signal stéréo.
 Une corrélation de +1 (plus un, la position la plus à droite) signifie que les canaux
gauche et droit sont à 100 % en corrélation (ils sont complètement en phase).
 Une corrélation de 0 (zéro, position centrale) indique la divergence gauche/droite
la plus large autorisée, souvent perçue comme un effet stéréo extrêmement large.
 Les valeurs de corrélation inférieures à zéro indiquent que du matériel hors phase
est détecté, ce qui peut conduire à des annulations de phase si le signal stéréo est
combiné en un signal monaural.Chapitre 8 Metering 101
Level Meter
Le module Level Meter affiche le niveau de signal en cours sur une échelle de décibels.
Le niveau du signal pour chaque canal est représenté par une mesure bleue. Lorsque le
niveau dépasse 0 dB, la partie de la mesure au-dessus du point 0 dB devient rouge.
Les instances stéréo de Level Meter montrent les mesures gauche et droite indépendantes, les instances mono n’affichant qu’une mesure.
Les valeurs de crête en cours sont affichées numériquement, superposées sur l’écran
graphique. Vous pouvez redéfinir ces valeurs en cliquant dans l’écran.
Le module Level Meter peut être défini afin d’afficher les niveaux via les caractéristiques
Peak, ou Peak & RMS. Sélectionnez simplement le réglage de votre choix dans le menu
local (en dessous de la représentation graphique). Les niveaux RMS apparaissent sous
forme de barres bleu foncé. Les niveaux Peak apparaissent sous forme de barres bleu
foncé. Vous pouvez également choisir de visualiser simultanément les niveaux Peak
et RMS.102 Chapitre 8 Metering
Tuner
Vous pouvez accorder les instruments de musique acoustiques et électriques branchés
sur votre système à l’aide du Tuner. Cette opération garantit que vos enregistrements
seront accordés avec les instruments logiciels, les échantillons ou les enregistrements
existants dans vos projets.
Paramètres du Tuner
 Écran Graphic tuning :lorsque vous jouez, la hauteur tonale de la note s’affiche dans
la zone semi-circulaire, centrée autour de la tonique. Si le trait se déplace par rapport
au centre vers la gauche, la note est trop basse. Si le trait tend vers la droite, la note
va trop dans les aigus. Les numéros autour du bord de l’écran montrent la variance,
en cents, avec la hauteur tonale cible.
 Écran Keynote/Octave :la zone Keynote en haut montre la hauteur tonale cible de la
note jouée (la hauteur tonale la plus proche par rapport à l’accord). La zone Octave
en bas indique l’octave à laquelle appartient la note. Cela correspond à l’échelle des
octaves MIDI, le Do au-dessus du Do central étant représenté par C4, et le Do central
représenté par C3.
 Potentiomètre et champ Tuning Adjustment :définit la hauteur tonale de la note utilisée
comme base pour réaliser l’accord. Par défaut, le Tuner est défini pour que la hauteur
tonale du La soit égale à 440 Hz. Tournez le potentiomètre vers la gauche pour baisser
la hauteur tonale correspondant à La ou vers la droite pour l’augmenter. La valeur en
cours est affichée dans la zone.
Utilisation du Tuner
Le Tuner est facile à utiliser.Votre instrument (ou votre micro enregistrant le son d’un
instrument acoustique) étant connecté au canal avec le Tuner, jouez une note et observez
l’écran. Si la note est accordée trop bas par rapport à la tonique, les segments à gauche du
centre sont mis en surbrillance, montrant de combien (en cents) la note est hors tonalité.
Si la note est trop aiguë, les segments à droite du centre sont mis en surbrillance. Accordez
votre instrument jusqu’à ce que le segment central soit mis en surbrillance (rouge).
Sur l’écran d’accord, la plage est marquée en étapes de demi-tons de ±6 cents près
du centre et en incréments plus importants d’un maximum de ±50 cents.9
103
9 Modulation
Les effets de modulation sont utilisés pour ajouter
du mouvement et de la profondeur à vos sons.
Parmi les effets de modulation on trouve, entre autres, le Chorus, le Flanger et le Phaser,
qui enrichissent les sons ou les animent. On obtient souvent ces effets en utilisant un
oscillateur basse fréquence (LFO) contrôlé avec des paramètres comme la vitesse,
la fréquence et la profondeur (également appelées largeur, la quantité ou l’intensité).
Vous pouvez aussi contrôler le rapport du signal soumis à l’effet (humide) et du signal
d’origine (sec). Certains effets de modulation comportent des paramètres de retour
qui remettent une partie de la sortie de l’effet dans l’entrée.
Logic Express contient les effets de modulation suivants :
 « Chorus » à la page 104
 « Ensemble » à la page 104
 « Flanger » à la page 105
 « Microphaser » à la page 106
 « Modulation Delay » à la page 106
 « Phaser » à la page 107
 « RingShifter » à la page 109
 « Rotor Cabinet » à la page 114
 « Scanner Vibrato » à la page 116
 « Spreader » à la page 117
 « Tremolo » à la page 117104 Chapitre 9 Modulation
Chorus
L’effet Chorus retarde le signal original. Le temps de retard est modulé à l’aide d’un
oscillateur basse fréquence (LFO). Le signal retardé et modulé est mixé avec le signal
original sec.
Vous pouvez utiliser l’effet Chorus pour enrichir le son et donner l’impression qu’il est
joué à l’unisson par plusieurs instruments ou voix. Les légères variations dans le temps
de retard générées par l’oscillateur basse fréquence simulent les différences subtiles de
durée et de hauteur tonale perceptibles lorsque plusieurs personnes jouent ensemble.
Le chorus confère en outre davantage d’ampleur et de richesse au signal et peut
augmenter le mouvement des sons graves ou soutenus.
 Curseur et champ Intensity :détermine la quantité de modulation.
 Potentiomètre et champ Rate :détermine la fréquence et donc la vitesse du LFO.
 Curseur et champ Mix :détermine la balance entre les signaux sec et humide.
Ensemble
L’effet Ensemble permet de combiner jusqu’à huit effets de chorus. Deux oscillateurs
standard et un oscillateur aléatoire (qui génère des modulations aléatoires) vous
permettent de créer des modulations complexes. Le graphique de l’effet Ensemble
représente visuellement les signaux traités.
 Curseur et champ Voices :détermine le nombre de chorus à utiliser simultanément et
donc le nombre de voix (ou signaux) à générer, en plus du signal original.Chapitre 9 Modulation 105
 Potentiomètres et champs Rate :utilisez les potentiomètres pour contrôler la fréquence
de chaque LFO.
 Curseurs et champsIntensity :utilisez ces derniers pour définir la quantité de modulation
des différents LFO.
 Potentiomètre et champ Phase :contrôle la relation de phase entre les différentes
modulations de voix. La valeur sélectionnée ici dépend du nombre de voix, c’est
pourquoi elle est représentée sous la forme d’un pourcentage plutôt qu’en degrés.
La valeur 100 (ou –100) correspond à la plus grande distance possible entre les
phases de modulation de toutes les voix.
 Curseur et champ Spread :utilisez ces derniers pour répartir les voix dans le champ
Stéréo. Avec la valeur 200 %, la base Stéréo est étendue artificiellement. Notez que
ce réglage peut nuire à la compatibilité monaurale.
 Curseur et champ Mix :détermine la balance entre les signaux sec et humide.
 Potentiomètre et champ Effect Volume :utilisez ces derniers pour déterminer le niveau
du signal de l’effet de manière indépendante. Cet outil s’avère très utile pour compenser
les modifications de volume provoquées par les changements du paramètre Voices.
Flanger
L’effet Flanger fonctionne un peu comme l’effet Chorus, si ce n’est qu’il utilise un temps
de retard nettement plus court. De plus, le signal de l’effet peut être renvoyé dans
l’entrée de la ligne de retard.
On utilise principalement l’effet Flanger pour donner un style « espace » ou
« subaquatique ».
 Potentiomètre et champ Rate :détermine la fréquence et donc la vitesse du LFO.
 Curseur et champ Intensity :détermine la modulation.
 Curseur et champ Feedback :détermine la quantité de signal d’effet renvoyée dans
l’entrée. Les valeurs négatives inversent la phase du signal renvoyé.
 Curseur et champ Mix :détermine la balance entre les signaux sec et humide.106 Chapitre 9 Modulation
Microphaser
L’effet Microphaser est un simple effet de modulation de phase qui permet de créer
rapidement des effets de « bruissement » et de phaser avec seulement trois paramètres.
 Curseur et champ LFO Rate :détermine la fréquence et donc la vitesse du LFO.
 Curseur et champ Feedback :détermine la quantité de signal d’effet renvoyée
dans l’entrée.
 Curseur et champ Intensity :détermine la quantité de modulation.
Modulation Delay
L’effet Modulation Delay reprend les mêmes principes que les effets Flanger et Chorus,
mais vous pouvez régler le temps du retard, ce qui permet de générer de l’effet Chorus
et Flanger. Il peut aussi être utilisé sans modulation pour créer des effets de résonance
ou de doublage. La section de modulation comprend deux oscillateurs basse fréquence
à fréquence variable.
 Curseur et champ Feedback :détermine la quantité de signal d’effet renvoyée dans
l’entrée. Pour des effets de Flanger radicaux, saisissez une valeur élevée. Pour un
doublage, ne définissez aucun feedback.
 Potentiomètre et champ Flanger-Chorus :détermine le temps de retard élémentaire.
Positionnez le curseur à l’extrême gauche pour créer des effets de Flanger, au centre
pour des effets de Chorus et à l’extrême droite pour entendre très nettement un retard.
 Curseur et champ Intensity :définit le taux de modulation.
 Bouton De-Warble :activez-le pour vous assurer que la hauteur tonale du signal
modulé reste constante.
 Bouton Constant Mod. (Modulation constante) :activez-le pour vous assurer que la
largeur de modulation reste constante, quelle que soit la fréquence de modulation.
Notez que lorsque cette option est activée, les fréquences de modulation hautes
réduisent la largeur de modulation.
 Curseur et champs LFO Mix :détermine la balance entre deux oscillateurs.Chapitre 9 Modulation 107
 Potentiomètres et champs LFO 1 et LFO 2 Rate :utilisez le potentiomètre gauche pour
régler la fréquence de modulation du canal stéréo gauche et le bouton droit pour
régler celle du canal stéréo droit. Le potentiomètre LFO Rate de droite n’est disponible
qu’en Stéréo et ne peut être réglé séparément que lorsque le bouton Left Right Link
n’est pas activé.
 Bouton LFO Left Right Link (disponible uniquement en Stéréo) :activez ce dernier pour
lier entre elles les fréquences de modulation des canaux stéréo gauche et droite.
 Potentiomètre et champ LFO Phase (disponible uniquement en Stéréo) :contrôlent la relation de phase entre les différentes modulations de canal. Sur 0°, les valeurs extrêmes de
la modulation sont atteintes en simultané sur tous les canaux. Les valeurs 180° et –180 °
correspondent aux plus grandes distances possibles entre les phases de modulation
des canaux. Le paramètre LFO Phase n’est disponible que si le bouton LFO Left Right
Link est actif.
 Curseur et champ Vol.Mod. (Modulation du volume) :utilisez ces derniers pour déterminer
l’incidence de la modulation du LFO sur l’amplitude du signal de l’effet.
 Curseur et champ Output Mix :détermine la balance entre les signaux sec et humide.
 Menu True Analog (paramètre étendu) :utilisez ce dernier pour introduire un filtre
passe-tout supplémentaire sur le parcours du signal. Un filtre passe-tout décale
l’angle de la phase d’un signal, ce qui influence son image stéréo.
 Curseurs et champs Analog Left et Analog Right (paramètre étendu) :contrôlent la
fréquence à laquelle le déphasage traverse 90 ° (le point à mi-chemin de 180 °)
pour chacun des canaux Stéréo.
Phaser
L’effet Phaser allie le signal original à une copie de l’original légèrement déphasée.
Cela signifie que l’amplitude des deux signaux atteint son point maximal et minimal
avec un léger décalage temporel. Le décalage entre les deux signaux est modulé par
deux LFO indépendants.
De plus, l’effet Phaser comprend un circuit de filtrage et un suiveur d’enveloppe intégré
qui détecte tout changement de volume dans le signal d’entrée et génère un signal de
contrôle dynamique.108 Chapitre 9 Modulation
 Bouton Filter :cliquez sur ce bouton pour activer la section de filtrage permettant
de traiter le signal de retour du déphaseur de hauteur tonale.
 Potentiomètres et champs LP et HP :utilisez ces derniers pour régler la fréquence
de coupure des filtres passe-haut et passe-bas.
 Curseur et champ Feedback :détermine la quantité de signal de l’effet renvoyée
dans l’entrée.
 Curseur et champs Ceiling and Floor :utilisez les poignées du curseur pour définir
la plage de fréquences sur laquelle les modulations du LFO doivent porter.
 Curseur et champ Order :vous permet de sélectionner un algorithme de modulateur
de phase. Plus un modulateur de phase a d’ordres, plus l’effet est fort.
 Curseur et champ Env Follow (section Sweep) :détermine la modulation de la plage
de fréquences (définie par les contrôles Ceiling and Floor) en fonction du signal
d’entrée.
 Potentiomètres et champs LFO 1 et LFO 2 Rate :utilisez ces derniers pour définir
la vitesse des différents oscillateurs de façon indépendante.
 Curseur et champs LFO Mix :détermine la balance entre deux oscillateurs.
 Curseur et champ Env Follow (section LFO) :utilisez ces derniers pour définir la
modulation de la vitesse du LFO 1 en fonction du signal d’entrée.
 Potentiomètre et champ Phase (disponible uniquement en Stéréo) :contrôlent la relation
de phase entre les différentes modulations de canal. Sur 0°, les valeurs extrêmes de la
modulation sont atteintes en simultané sur tous les canaux. Les valeurs 180° et –180 °
correspondent aux plus grandes distances possibles entre les phases de modulation
des canaux.
 Curseur et champ Output Mix :détermine la balance entre les signaux sec et humide.
Les valeurs négatives donnent un mixage de phase inversée de l’effet et un signal
direct (sec).
 BoutonWarmth :cliquez dessus pour activer un circuit de distorsion supplémentaire,
ce qui permet de créer des effets d’overdrive chauds.
Réglage des ordres de Phaser
Plus un modulateur de phase a d’ordres, plus l’effet est fort. Les réglages 4, 6, 8, 10 et 12
vous permettent d’accéder à cinq algorithmes de phaser différents reproduisant tous
les circuits analogiques sur lesquels ils sont modelés et tous conçus pour une application particulière. Rien ne vous empêche de sélectionner des réglages impairs (5, 7, 9,
11), mais ils ne génèrent pas de phasing à proprement parler. Les effets de filtrage en
peigne plus subtils produits par les réglages impairs peuvent toutefois s’avérer pratiques à l’occasion.Chapitre 9 Modulation 109
RingShifter
L’effet RingShifter combine un modulateur en anneau avec un effet de décaleur de
fréquence. Ces deux effets étaient populaires dans les années 70 et vivent une sorte
de renaissance.
 Le modulateur en anneau module l’amplitude du signal d’entrée à l’aide de l’oscillateur
intégré ou d’un signal de chaîne latérale. Le spectre de fréquence du signal d’effet qui
en résulte est égal à la somme et la différence des fréquences contenues dans les deux
signaux originaux. On dit souvent qu’il donne un son métallique. Le modulateur en
anneau fut beaucoup utilisé sur des enregistrements de jazz, de rock et de fusion au
début des années 70.
 Le décaleur de fréquence déplace le contenu de fréquence du signal d’entrée d’une
valeur fixe et, ce faisant, altère la relation de fréquence des harmoniques originales.
Les sons qui en résultent vont d’effets de phasing mélodieux et amples à des timbres
robotiques étranges. Il ne faut pas confondre le décalage de fréquence avec le décalage de hauteur tonale. Le décalage de hauteur tonale transpose le signal original sans
altérer sa relation de fréquence harmonique.
L’effet RingShifter est composé des groupes de paramètres suivants :
 Boutons Mode :déterminent si l’effet RingShifter doit fonctionner comme un décaleur
de fréquence ou un modulateur en anneau.
 Paramètres Oscillator :configurent l’oscillateur d’onde sinusoïdale interne qui module
l’amplitude du signal d’entrée, tant en mode décaleur de fréquence qu’en mode OSC
du modulateur en anneau.
 Paramètres du suiveur d’enveloppe et du LFO :la fréquence de l’oscillateur et le signal
de sortie peuvent être modulés à l’aide d’un suiveur d’enveloppe et d’un LFO.
Boutons Mode
Paramètres des
oscillateurs
Paramètres du suiveur
d’enveloppe
Paramètres LFO
Paramètres Delay Paramètres Output110 Chapitre 9 Modulation
 Paramètres Delay :utilisez ces derniers pour retarder le signal de l’effet.
 Paramètres Output :la section output de l’effet RingShifter comporte une boucle
de retour et des contrôles permettant de définir la largeur stéréo et la quantité de
signaux sec et humide.
Modes
Les quatre boutons de mode déterminent si l’effet RingShifter doit fonctionner comme
un décaleur de fréquence ou un modulateur en anneau.
 Bouton Single (Frequency Shifter) :le décaleur de fréquence génère un seul signal
d’effet, décalé. La commande Frequency de l’oscillateur détermine si le signal doit
être décalé vers le haut (valeur positive) ou vers le bas (valeur négative).
 Bouton Dual (Frequency Shifter) :le glissement de fréquence produit un signal d’effet
décalé pour chaque canal stéréo, l’un étant décalé vers le haut, l’autre vers le bas.
Le contrôle Frequency de l’oscillateur détermine la direction du décalage dans le
canal gauche ou droit.
 Bouton OSC (Ring Modulator) :le modulateur en anneau utilise l’oscillateur d’onde
sinusoïdale pour moduler le signal d’entrée.
 Bouton Side Chain (Ring Modulator) :le modulateur en anneau module l’amplitude
du signal d’entrée avec le signal audio attribué via l’entrée latérale. L’oscillateur d’onde
sinusoïdale est désactivé et les commandes Frequency ne sont pas accessibles
lorsque le mode Side Chain est actif.Chapitre 9 Modulation 111
L’oscillateur
Dans les deux modes du décaleur de fréquence et dans le mode OSC du modulateur
en anneau, l’oscillateur d’onde sinusoïdale interne est utilisé pour moduler l’amplitude
du signal d’entrée. La commande Frequency contrôle la fréquence de l’oscillateur
d’onde sinusoïdale.
 Dans les modes du décaleur de fréquence, ce paramètre contrôle le glissement
de fréquence (vers le haut et/ou vers le bas) à appliquer au signal d’entrée.
 Dans le mode OSC du modulateur en anneau, ce paramètre contrôle le contenu
de fréquence (timbre) de l’effet qui en résulte. Ce timbre va des effets de trémolo
subtils aux sons métalliques.
 Commande Frequency :définit la fréquence de l’oscillateur d’ondes sinusoïdales.
 Boutons Lin(éaire) et Exp(onentiel) :utilisez ces boutons pour changer l’échelle de
la commande Frequency :
 L’échelle exponentielle offre des incréments extrêmement petits autour du point 0,
ce qui est utile pour la programmation d’effets de phasing et de trémolo.
 En mode Lin (linéaire), la résolution de l’échelle est la même sur toute la plage de
la commande.
 Curseur et champ Env Follower :utilisez ceci pour définir la modulation de l’oscillateur
en fonction du signal d’entrée.
 Curseur et champ LFO :à utiliser pour déterminer la modulation d’oscillateur par le LFO.112 Chapitre 9 Modulation
Delay
Le signal de l’effet est routé après un retard, suivant l’oscillateur.
 Potentiomètre et champ Time :détermine le temps de retard.
 Bouton Sync :activez-le pour synchroniser le retard par rapport au tempo de votre
projet, en valeurs de notes de musique.
 Potentiomètre et champ Level :définit le niveau du retard à ajouter au signal
du modulateur en anneau ou de décalage de fréquence. Un niveau de 0 passe
le signal de l’effet directement à la sortie (dérivation).
Output
 Potentiomètre et champ Feedback :détermine le signal qui est renvoyé dans l’entrée
de l’effet.
 Potentiomètre et champ Stereo Width :détermine la largeur du signal de l’effet dans
le champ stéréo. La largeur stéréo n’affecte que le signal de l’effet RingShifter, pas le
signal d’entrée sec.
 Potentiomètre et champ Dry/Wet :détermine le ratio entre le signal d’entrée sec et
de signal d’effet humide pour le mixage.
 Curseur et champ Env Follower :à utiliser pour définir la modulation du paramètre
Dry/Wet en fonction du signal d’entrée.
 Curseur et champ LFO :détermine la profondeur de modulation du paramètre
Dry/Wet par rapport au LFO.Chapitre 9 Modulation 113
Configuration du Feedback
Le retour donne au son de l’effet RingShifter un petit quelque chose de plus et est très
utile pour une série d’effets spéciaux. Il produit un son de phasing riche lorsqu’il est
utilisé en combinaison avec un mouvement d’oscillateur lent. Les effets de filtrage
en peigne sont créés en utilisant un feedback élevé avec un retard de courte durée
(< 10 ms). L’utilisation de retards plus longs avec le feedback crée des effets de glissement de fréquence en spirale montant et descendant constamment.
Sources de modulation
La fréquence de l’oscillateur et les paramètres Dry/Wet peuvent être modulés à l’aide
du suiveur d’enveloppe et du LFO. La fréquence de l’oscillateur permet même la modulation au travers du point 0 Hz, ce qui permet de changer la direction des oscillations.
Envelope Follower
Envelope Follower analyse l’amplitude (volume) du signal d’entrée et l’utilise pour créer
un signal de contrôle changeant continuellement, une enveloppe de volume dynamique
du signal d’entrée. Ce signal de contrôle peut être utilisé pour la modulation.
 Bouton Power :active ou désactive le suiveur d’enveloppe.
 Curseur et champ Sens(ibilité) :détermine la réactivité du suiveur d’enveloppe par
rapport au signal d’entrée. Réglé sur des valeurs basses, il ne réagit qu’aux crêtes
de signal dominantes. Réglé sur des valeurs élevées, il suit le signal de plus près,
mais peut réagir de façon moins dynamique.
 Curseur et champ Attack :détermine le temps de réponse du suiveur d’enveloppe.
 Curseur et champ Decay :contrôle le temps que prend le suiveur d’enveloppe pour
passer d’une valeur élevée à une valeur basse.114 Chapitre 9 Modulation
LFO
Le LFO est la seconde source de modulation. Il produit des signaux de contrôle continus
et en cycle.
 Bouton Power :active ou désactive le LFO.
 Curseurs et champs Symmetry et Smooth :ces contrôles forment l’onde du LFO.
L’écran de forme d’onde du LFO donne un retour visuel.
 Potentiomètre et champ Rate :détermine la vitesse de cycle du LFO.
 Bouton Sync :activez-le pour synchroniser les cycles du LFO (fréquence du LFO)
avec le tempo du projet à l’aide de valeurs de notes de musique.
Rotor Cabinet
L’effet Rotor Cabinet émule le style « Leslie » de l’enceinte de haut-parleur rotative
d’un orgue Hammond. Il simule à la fois l’enceinte de haut-parleur rotatif avec et sans
déflecteurs et les microphones qui captent le son.
 Boutons Rotor speed :déterminent la vitesse du rotor. Chorale permet de sélectionner
un mouvement lent, Tremolo un mouvement rapide et Brake arrête le rotor.
 Menu Cabinet Type :vous avez le choix entre plusieurs tailles, formes et matériaux
de cabine.
 Curseur Horn Deflector :active ou désactive le déflecteur du double pavillon de
l’enceinte du rotor. La désactivation du déflecteur augmente la modulation de
l’amplitude, son activation diminue la modulation de fréquence.
 Menu Motor Control :permet de sélectionner un des modes qui définissent la vitesse
des contrôles de graves et d’aigus séparément.
 Curseur Rotor Fast Rate :à utiliser pour définir la vitesse de rotor maximum possible
pour le mode Tremolo. Pendant que vous déplacez le curseur, la vitesse de trémolo
(rotation) est affichée en Hertz.Chapitre 9 Modulation 115
 Curseur Acc/Dec Scale :détermine la vitesse à laquelle le moteur Leslie accélère les
rotors (le temps qu’il faut pour amener les rotors à une vitesse déterminée) et le
temps nécessaire pour ralentir.
 Curseur Mic Angle :modifie l’angle des microphones simulés. Un angle de 0° donne
un son mono tandis qu’un angle de 180° provoque des annulations de phase.
 Curseur Mic Distance :détermine la distance des microphones simulés par rapport à la
source sonore. Les valeurs élevées donnent des sons plus sombres et moins définis.
Sélection du type de cabine
Vous avez le choix entre les types de cabines suivants dans le menu Cabinet Type :
 Off :permet de désactiver le rotor. Pour désactiver l’effet du rotor, vous pouvez aussi
procéder comme suit :en mode Brake, les haut-parleurs ne tournent pas mais sont
toujours captés par les microphones simulés dans une position aléatoire (voir « Vitesse
du rotor » plus bas).
 Wood :simule une Leslie équipée d’une enceinte en bois et sonne comme les modèles
Leslie 122 ou 147.
 Proline :simule une Leslie équipée d’une enceinte plus ouverte semblable au modèle
Leslie 760.
 Single :simule le son d’une Leslie équipée d’un rotor simple full-range. Le son
ressemble au modèle Leslie 825.
 Split :le signal du rotor de graves est dirigé plus à gauche tandis que le signal
du rotor des aigus est dirigé vers la droite.
 Wood & Horn IR :ce réglage utilise une réponse d’impulsion (un enregistrement)
de Leslie équipée d’une enceinte en bois.
 Proline & Horn IR :ce réglage utilise une réponse d’impulsion de Leslie équipée
d’une enceinte plus ouverte.
 Split & Horn IR :ce réglage utilise une réponse d’impulsion de Leslie dont le signal
du rotor des graves est dirigé plus à gauche tandis que le signal du rotor des aigus
est dirigé plus à droite.
Sélection d’un mode de contrôle du moteur
Dans le menu Motor Control, vous pouvez sélectionner différentes vitesses pour
les rotors des graves et des aigus :
 Normal :les deux rotors utilisent la vitesse définie par les boutons de vitesse de rotor.
 Inv (mode inversé) :en mode Tremolo, le compartiment des graves tourne à grande
vitesse, alors que le compartiment du pavillon acoustique tourne lentement.
C’est l’inverse en mode Chorale. En mode Brake, les deux rotors sont arrêtés.116 Chapitre 9 Modulation
 910 :le 910, ou mode Memphis, arrête la rotation du tambour des graves à basse
vitesse, tandis que la vitesse du compartiment du pavillon acoustique peut être
réglée. Cela peut être utile si vous recherchez un son de graves solide, mais souhaitez conserver un peu de mouvement dans les aigus.
 Sync :l’accélération et la décélération du pavillon acoustique et du tambour de graves
sont pratiquement identiques. On a l’impression que les deux sont synchronisés, mais
ce n’est clairement audible que pendant l’accélération ou la décélération.
Remarque :si vous sélectionnez Single Cabinet dans le menu Cabinet Type, le réglage
Motor Ctrl est inopérant, parce qu’il n’y a pas de rotors de graves et d’aigus séparés
dans une enceinte acoustique simple.
Scanner Vibrato
L’effet Scanner Vibrato simule la section d’effet Scanner vibrato d’un orgue Hammond.
Vous avez le choix entre trois types de vibrato et de chorus. La version stéréo de l’effet
comporte deux paramètres supplémentaires :Stereo Phase et Rate Right. Ces derniers
permettent de régler la vitesse de modulation des canaux gauche et droite de façon
indépendante.
 Potentiomètre Vibrato :détermine les types de vibrato ou de chorus. Le réglage C0
désactive les effets de vibrato et de chorus.
 Potentiomètre Chorus Int :détermine l’intensité du type d’effet de chorus sélectionné.
Si vous avez choisi un effet de type vibrato, ce paramètre n’a pas d’effet.
 Potentiomètre Stereo Phase :s’il est réglé sur une valeur comprise entre 0 et 360 degrés,
il détermine la relation de phase entre les modulations du canal gauche et du canal
droit, ce qui donne des effets stéréo synchronisés. Si vous sélectionnez « free », vous
pouvez régler la vitesse de modulation du canal gauche et du canal droit séparément.
 Potentiomètre Rate Left :détermine la vitesse de modulation du canal gauche lorsque
Stereo Phase est réglé sur « free ». S’il est réglé sur une valeur comprise entre 0 et
360 degrés, Rate Left détermine la vitesse de modulation des canaux gauche et droit.
Rate Right est inopérant dans ce mode.
 Potentiomètre Rate Right :détermine la vitesse de modulation du canal droit lorsque
Stereo Phase est réglé sur « free ».
Les paramètres stéréo de la
version mono de l’effet Scanner
Vibrato sont masqués derrière
un cache transparent à droite.Chapitre 9 Modulation 117
Spreader
Vous pouvez utiliser l’effet Spreader pour élargir le spectre stéréo d’un signal.
L’effet décale périodiquement la plage de fréquences du signal d’origine de
façon non linéaire, ce qui modifie la largeur perçue du signal.
 Curseur et champ Intensity :détermine la modulation.
 Potentiomètre et champ Speed :détermine la fréquence et donc la vitesse du LFO.
 Curseur et champ Channel Delay :détermine la durée du retard en échantillons.
 Curseur et champ Mix :détermine la balance entre les signaux sec et humide.
Tremolo
L’effet Tremolo module l’amplitude d’un signal, ce qui donne des changements de volume
périodiques. On reconnaît parfois cet effet dans les vieux amplis mixtes de guitare (où on
l’appelle parfois à tort un vibrato). Le graphique montre tous les paramètres, à l’exception
de la fréquence.
 Curseur et champ Depth :détermine la modulation.
 Potentiomètre et champ Rate :détermine la fréquence et donc la vitesse du LFO.
 Potentiomètres et champs Symmetry et Smoothing :utilisez-les pour définir la forme
de la modulation.118 Chapitre 9 Modulation
 Potentiomètres et champs Phase (disponibles uniquement en Stéréo) :contrôlent la relation de phase entre les différentes modulations de canal. Sur 0°, les valeurs extrêmes
de la modulation sont atteintes en simultané sur tous les canaux. Les valeurs 180° et
–180 ° correspondent aux plus grandes distances possibles entre les phases de
modulation des canaux.
 Curseur et champ Offset (paramètre étendu) :détermine le décalage de la modulation
(cycle) vers la gauche ou vers la droite, ce qui donne des variations de trémolo subtiles
ou plus évidentes.
Symmetry et Smoothing
Si Symmetry est réglé sur 50 % et Smoothing sur 0 %, la modulation prend une forme
rectangulaire. Cela signifie que le timing du signal à plein volume est égal à celui du
signal à faible volume, et que le passage d’un état à l’autre se fait de façon abrupte.
Vous pouvez définir le rapport de temps entre le son et le silence à l’aide de Symmetry
et définir un fondu d’entrée ou de sortie à l’aide de Smoothing.10
119
10 Pitch
Vous pouvez utiliser les effets Pitch de Logic Express pour
transposer ou corriger la hauteur tonale des pistes audio.
Ces effets peuvent aussi être utilisés pour créer des parties à l’unisson ou légèrement
plus fournies ou même des voix harmoniques.
Logic Express inclut les effets de hauteur tonale suivants :
 « Pitch Correction » à la page 119
 « Pitch Shifter II » à la page 124
 « Vocal Transformer » à la page 125
Pitch Correction
Vous pouvez utiliser le module Pitch Correction pour corriger la hauteur tonale des pistes
audio. Une intonation incorrecte est un problème courant dans le cas de pistes vocales, par
exemple. Les artefacts acoustiques pouvant être introduits par le processus sont infimes et
peuvent être à peine entendus, tant que vos corrections restent modérées. La correction
fonctionne en accélérant et en ralentissant la vitesse de lecture, en vérifiant que le signal
d’entrée (le chant) correspond toujours à la hauteur tonale de note correcte. Si vous utilisez
l’algorithme pour corriger des intervalles plus importants, vous pouvez créer des effets
spéciaux. Les éléments naturels de la performance, comme la respiration,sont préservés.
Une gamme peut-être définie comme une grille de quantification de hauteur tonale.
Les notes dont l’intonation est incorrecte seront corrigées en fonction de cette grille.
Remarque :il n’est pas possible d’ajuster les enregistrements polyphoniques (choeurs sur
une piste) et les signaux hautement percussifs, constitués de parties fortes prédominantes,
en fonction d’une hauteur tonale spécifique.Que cela ne vous empêche pas de tenter
d’utiliser le module sur des pistes de batterie.120 Chapitre 10 Pitch
Paramètres du module Pitch Correction
 Boutons Normal et Low :déterminent le plage de hauteur tonale analysée (pour
les notes devant être corrigées).
 Bouton Use Global Tuning :permet d’utiliser les réglages Tuning du projet pour le
processus de correction de hauteur tonale. Si ce bouton est désactivé, vous pouvez
utiliser le champ Ref. Pitch pour définir l’accord de référence voulu, en cents.
 Champ Scale :cliquez pour choisir différentes grilles de quantification de hauteur
tonale dans le menu Scale.
 Champ Root :cliquez pour choisir la note d’origine de la gamme.
 Clavier :cliquez sur une tonalité pour exclure la note correspondant des grilles de
quantification de hauteur tonale. La tonalité est supprimée de la gamme, aboutissant
à des corrections de notes qui sont forcées vers la hauteur tonale (tonalité) disponible
la plus proche.
 Boutons Bypass :permettent d’exclure la note correspondante de la correction de
hauteur tonale. En d’autres termes, toutes les notes correspondant à cette hauteur
tonale ne seront pas corrigées. Cela est applicable aux grilles de quantification de
gammes utilisateur et prédéfinies. Le bouton Bypass All permet de comparer rapidement les signaux corrigés et d’origine ou peut être utilisé pour les modifications
d’automatisation.
 Boutons Show Input et Show Output :ces boutons permettent d’afficher la hauteur
tonale du signal d’entrée et de sortie, respectivement, sur les notes du clavier.
 Écran Correction Amount :indique le niveau de modification de la hauteur tonale.
Le marqueur rouge indique le niveau de correction moyen sur une longue période.
 Curseur et champ Response :déterminent la vitesse à laquelle la voix atteint la hauteur
tonale de destination corrigée.
 Curseur et champ Detune :désaccordent le signal entrant de la valeur définie.Chapitre 10 Pitch 121
Utilisation du module Pitch Correction
Vous pouvez utiliser les boutons Normal et Low pour déterminer la plage de hauteur
tonale où rechercher les notes à corriger. Normal est la plage par défaut, qui fonctionne
pour la plupart des morceaux audio. Low ne doit être utilisé que pour le morceau audio
contenant des fréquences extrêmement basses (sous 100 Hz), ce qui peut aboutir à
une détection de hauteur tonale inexacte. Ces paramètres n’ont aucun effet sur le son,
il s’agit simplement d’options de suivi pour la plage de hauteur tonale cible choisie.
Définition de la grille de quantification de hauteur tonale
Le menu Scale permet de choisir différentes grilles de quantification de hauteur tonale.
La gamme définie manuellement (avec le clavier) est appelée la gamme utilisateur.
Le réglage par défaut est la gamme chromatique. Les autres noms de gammes sont
explicites. Si vous n’êtes pas sûr des intervalles utilisés dans une gamme donnée,
faites votre choix dans le menu Scale et vérifiez les valeurs figurant sur le clavier.
Vous pouvez modifier toute note de la gamme en cliquant sur les touches du clavier.
De tels ajustements écraseront les réglages de la gamme utilisateur existante.
Il n’existe qu’une seule gamme utilisateur par projet. Vous pouvez cependant en créer
plusieurs et les enregistrer comme fichiers de réglages Pitch Correction.
? Astuce :la gamme Drone utilise une quinte comme grille de quantification, la gamme
Single définit une seule note. Ces deux gammes ne sont pas censées produire des voix
chantées réalistes, par conséquent, si vous recherchez des effets un peu spéciaux, vous
devriez les essayer.
Cliquez sur le champ Root pour choisir la note d’origine de la gamme dans un menu
local. Deux gammes sont exclues :les gammes utilisateur et chromatique—car il
n’existe pas de note d’origine (aucune). Vous pouvez transposer librement les gammes
majeures et mineures, ainsi que les gammes portant des noms d’accords.
Vous pouvez utiliser le clavier pour exclure des notes de la grille de quantification de
hauteur tonale. Lorsque vous ouvrez le module pour la première fois, toutes les notes
de la gamme chromatique sont sélectionnées. Cela signifie que chaque note entrante
sera modifiée pour correspondre à la prochaine étape de demi-ton de la gamme chromatique. Si l’intonation du chanteur est insuffisante, cela peut aboutir à une identification et donc à une correction incorrecte des notes. Par exemple, le chanteur peut avoir
eu l’intention de chanter un Mi, mais il est plus proche d’un Ré#. Si vous ne voulez pas
de Ré# dans le morceau, la touche Ré# peut être désactivée sur le clavier. Étant donné
que la hauteur tonale d’origine était plus proche d’un Mi que d’un Ré, elle sera corrigée
en Mi.
Remarque :les réglages sont valables pour toutes les plages d’octaves. Il n’existe pas
de réglages individuels pour les différentes octaves.122 Chapitre 10 Pitch
Exclusion de notes de la correction
L’utilisation des petits boutons bypass (byp) au-dessus des touches vertes (noires) et
sous les touches bleues (blanches) exclut les notes de la correction. Ceci est très utile
pour les notes caractéristiques du blues. Il s’agit de notes passant d’une hauteur tonale
à une autre, rendant la tonalité difficile à identifier comme étant majeure ou mineure.
Comme vous le savez peut-être, l’une des principales différences entre le Do mineur et
le Do majeur est le Mib (Mi bémol) et le Sib (Si bémol), au lieu du Mi et du Si. Les chanteurs de Blues glissent entre ces notes, créant un incertitude ou une tension entre les
gammes. L’utilisation des boutons bypass permet de laisser inchangées des tonalités
particulières
Si vous activez le bouton Bypass All, le signal d’entrée n’est ni traité ni corrigé. Ceci est
utile pour les corrections ponctuelles de hauteur tonale via l’utilisation de l’automatisation. Le bouton Bypass All est optimisé pour effectuer un contournement transparent
dans toutes les situations.
? Astuce :vous vous rendrez souvent compte qu’il vaut mieux ne corriger que les notes
ayant le plus de gravité harmonique. Par exemple, choisissez la gamme « sus 4 » et définissez la note d’origine en fonction de la tonalité du projet. Cela va limiter la correction
à la note d’origine, la quarte et la quinte de la gamme de tonalités. Mettez toutes les
autres notes en mode Bypass et seulement les notes les plus importantes et les plus
sensibles seront corrigées, le reste du chant restant inchangé.
Définition de l’accord de référence
Les réglages File > Project Settings > Tuning déterminent la référence d’accord pour
tous les instruments logiciel. Si vous employez“Use Global Tuning”dans la fenêtre Pitch
Correction, les réglages d’accord du projet seront utilisés pour le processus de la hauteur
tonale. Si ce paramètre est désactivé, vous pouvez utiliser le champ Ref. Pitch pour définir
l’accord de référence voulu.
Par exemple :l’intonation d’une ligne vocale est souvent légèrement trop haute ou
trop basse sur un morceau entier. Utilisez le paramètre Reference Pitch pour résoudre
ce problème à l’entrée du processus de détection de la hauteur tonale. Définissez la
Tonalité de référence pour refléter la déviation de tonalité constante en centièmes.
Cela permet une correction plus précise de la tonalité.
Remarque :des accords différents de l’accord des instruments logiciels peuvent être
intéressants, lorsque vous voulez corriger individuellement les notes des chanteurs d’un
choeur. Si toutes les voix étaient toutes corrigées individuellement et parfaitement à la
même hauteur tonale, l’effet du choeur serait partiellement perdu. Vous pouvez éviter
cela en (dés)accordant les corrections de hauteur tonale individuellement.Chapitre 10 Pitch 123
Définition de la réponse aux modifications de hauteur tonale
Utilisez le paramètre Response pour déterminer la vitesse à laquelle la voix atteint la hauteur
tonale (corrigée) de destination. Les chanteurs utilisent le portamenti et d’autres techniques de glissé. Si vous choisissez une valeur Response trop élevée, les portamenti transparents deviennent des glissandi sur demi-ton,mais l’intonation sera parfaite. Si la valeur de
réponse est trop faible, la hauteur tonale du signal de sortie ne changera pas assez vite.
La réponse aux modifications de hauteur tonale est indiquée en millisecondes. Le réglage
optimal pour ce paramètre dépend du style de chant, du tempo, du vibrato et de la qualité
des performances d’origine.
Présentation de l’écran Correction Amount
Le degré de hauteur tonale modifié est indiqué dans la mesure horizontale affichée
sous le clavier. Le marqueur rouge indique le niveau de correction moyen sur une
longue période.
Si vous consultez attentivement cet écran, vous pouvez l’utiliser pour deux tâches
importantes :pour mieux comprendre le fonctionnement interne de l’algorithme et
ajuster la réponse en conséquence. Vous pouvez aussi faire appel à cet écran lors de
discussions (et d’optimisations) relatives à l’intonation vocale avec un chanteur au
cours d’une session d’enregistrement.
Automatisation du module Pitch Correction
Ce module peut être entièrement automatisé. Cela signifie que vous pouvez automatiser
les paramètres Scale et Root afin qu’ils soient conformes aux harmonies du morceau.
Selon la qualité de l’intonation d’origine, la définition de la gamme de tonalités peut
suffire. Des intonations plus faibles peuvent nécessiter des modifications plus importantes
des paramètres Scale et Root.124 Chapitre 10 Pitch
Pitch Shifter II
Le module Pitch Shifter II offre un moyen simple de combiner une version du signal
dont la tonalité a été changée avec le signal d’origine.
Paramètres du module Pitch Shifter II
 Curseur et champ Semi Tones : définissent la valeur de changement de tonalité en
demi-tons.
 Curseur et champ Cents : contrôlent le désaccordage de la valeur de changement
de tonalité en cents (100èmes d’un demi-ton).
 Boutons Drums, Speech et Vocals :sélectionnez l’un des trois préréglages pour optimiser
le fonctionnement de Pitch Shifter II pour les types courants de morceau audio :
 Drums laisse le groove de la piste d’origine intact.
 Vocals conserve l’intonation de l’original sans changement. Ce bouton convient
donc bien pour les signaux harmoniques ou mélodieux par nature, comme les
nappes de cordes.
 Speech offre un compromis entre les deux en tentant de conserver les aspects
rythmiques et harmoniques du signal. Il convient bien pour les signaux complexes
comme les enregistrements parlés, le rap et d’autres signaux hybrides comme une
guitare rythmique.
 Curseur et champ Mix :définit la quantité de signal traité mixé avec le signal d’origine.
 Menu local Timing (paramètres étendus) :définit si le contrôle du temps est conforme
aux préréglages (Preset) sélectionnés, crée un préréglage en analysant le signal
entrant (auto), ou utilise les réglages des paramètres Delay, Crossfade et Stereo Link,
décrit ci-dessous (Manual).
Les trois paramètres suivants sont actifs uniquement lorsque l’option Manual est choisie
dans le menu local Timing
 Curseur et champ Delay :définissent le délai appliqué au signal d’entrée. Plus les
fréquences du signal d’entrée sont profondes, plus le délai défini doit être élevé
(long) afin de transposer réellement la hauteur tonale du signal.
 Curseur et champ Crossfade :définissent le degré de fondu enchaîné entre les deux
pointeurs qu’utilise Pitch Shifter afin d’analyser le signal d’entrée.Chapitre 10 Pitch 125
 Menu local Stereo Link :choisissez Inv. pour inverser les signaux des canaux stéréo,
le traitement pour le canal droit ayant lieu à gauche et vice versa. Choisir Normal
ne génère aucun changement du signal.
Utilisation de Pitch Shifter II
Définissez le degré de transposition (changement de tonalité) avec le paramètre Semi
Tones, puis définissez le degré de désaccordage via le paramètre Cents. Utilisez l’un
des trois préréglages (Drums, Vocals ou Speech) en fonction du morceau que vous
utilisez. Pour les autres types de morceau, vous pouvez essayer chacun des préréglages
(en commençant par Speech), comparer les résultats et utiliser celui qui convient le
mieux. Lors d’essais et de comparaisons de différents réglages, il est souvent utile de
définir temporairement le paramètre Mix sur 100 % pour entendre l’effet maximal du
traitement. N’oubliez pas que les effets de Pitch Shifter II sont beaucoup plus difficiles
à entendre si le paramètre Mix est défini sur un pourcentage inférieur.
Dans la présentation Controls du Pitch Shifter II, vous pouvez créer vos propres préréglages
à l’aide des paramètres Delay et Crossfade. Ces paramètres ne sont actifs que lorsque vous
sélectionnez l’option Manual dans le menu Timing.Vous pouvez aussi sélectionner l’option
Auto ;Pitch Shifter créera alors automatiquement des préréglages en analysant le signal
entrant. Le paramètre Stereo Link permet d’inverser les signaux des canaux stéréo, le traitement pour le canal droit ayant lieu à gauche et vice versa.
Vocal Transformer
Vocal Transformer permet de manipuler les pistes vocales de nombreuses façons diffé-
rentes. Vous pouvez l’utiliser pour transposer la hauteur tonale d’une ligne vocale, pour
augmenter ou réduire la plage de la mélodie ou même la réduire à une seule note,
afin de mettre en miroir les hauteurs tonales d’une mélodie. Quelle que soit la façon
dont vous modifiez les hauteurs tonales de la mélodie, les formants restent inchangés.
Vous pouvez modifier les formants de façon indépendante, ce qui signifie que vous
pouvez transformer une piste vocale en une voix de type « Mickey Mouse », tout en
conservant la hauteur tonale d’origine.
Vocal Transformer est bien adapté aux effets vocaux extrêmes. Les meilleurs résultats
sont obtenus avec les signaux monophoniques, y compris les pistes instrumentales
monophoniques. Le module n’est pas conçu pour les voix polyphoniques (un choeur
sur une seule piste, par exemple) ou d’autres pistes « choristiques ».126 Chapitre 10 Pitch
Paramètres Vocal Transformer
 Potentiomètre et champ Pitch :détermine le degré de transposition appliqué au
signal d’entrée.
 Glide (paramètre étendu) :détermine la durée de la transformation vocale, autorisant
des transitions par glissement vers la valeur Pitch définie.
 Potentiomètre et champ Formant :changent les formants du signal d’entrée.
 Menu Formants (paramètres étendus) :détermine si Vocal Transformer traite tous
les formants (réglage « Process always »), ou uniquement les ceux de type sonore
(réglage « Keep unvoiced formants »). L’option « Keep unvoiced formants » laisse
inchangé le bruit sifflant caractéristique d’une représentation vocale. Pour certaines
applications, ce réglage produit un effet de transformation avec une sonorité plus
naturelle.
 Bouton Robotize :cliquer sur ce bouton permet de faire passer Vocal Transformer
en mode Robotize. Le mode Robotize est utilisé pour augmenter, diminuer ou
mettre en miroir la mélodie.
 Curseur et boutons Tracking (uniquement disponible en mode Robotize) :contrôlent
la façon dont la mélodie est modifiée en mode Robotize.
 Curseur et champ Pitch Base (uniquement disponible en mode Robotize) :permettent
de transposer la note suivie par le paramètre Tracking.
 Curseur et champ Mix :définissent le rapport de niveaux entre les signaux d’origine
(secs) et d’effet.
 Champ et curseur Grain Size (paramètre étendu) :l’algorithme de Vocal Transformer
est basé sur une synthèse granulaire. Le paramètre Grain Size vous permet de définir
la taille des grains et affecte donc la précision du processus. Faites des essais afin de
déterminer le meilleur paramètre. Essayez d’abord Auto.
Définition des paramètres Pitch et Formant
Le paramètre Pitch transpose la hauteur tonale du signal jusqu’à deux octaves vers
le haut ou vers le bas. Les ajustements sont faits par étapes de demi-ton. Les hauteurs
tonales entrantes sont indiquées par une ligne verticale sous le champ Pitch Base.
Les transpositions d’une quinte vers le haut (hauteur tonale de + 7), une quarte vers
le bas (hauteur tonale de – 5) ou d’une octave (hauteur tonale de ± 12) sont les plus
utiles harmoniquement.Chapitre 10 Pitch 127
En modifiant le paramètre Pitch, vous remarquerez peut-être que les formants ne
changent pas.
Les formants sont des emphases caractéristiques de certaines plages de fréquences.
Ils sont statiques et ne changent pas avec la hauteur tonale. Les formants définissent
le timbre spécifique d’une voix humaine donnée.
Le paramètre Pitch est expressément utilisé pour modifier la hauteur tonale d’une voix,
pas son caractère. Si vous définissez des valeurs Pitch négatives pour une voix de
soprano féminine, vous pouvez la transformer en voix alto, sans modifier le caractère
spécifique de la voix de la chanteuse.
Le paramètre Formant change les formants, tout en conservant —ou en modifiant de
façon indépendante—la hauteur tonale. Si vous définissez ce paramètre sur des valeurs
positives, le chanteur a la voix de Mickey Mouse. En baissant la valeur du paramètre,
vous pouvez obtenir des voix similaires à celle de Dark Vador.
? Astuce :si Pitch est défini sur 0 demi-tons, Mix sur 50 % et Formant sur + 1 (Robotize
étant désactivé), vous pouvez véritablement rajouter un chanteur (avec une plus petite
tête) en parallèle au vrai chanteur. Ils chanteront tout deux avec la même voix, comme
un choeur de deux personnes. Cet effet de choeur est très convaincant et est facilement
contrôlé avec le paramètre Mix.
Utilisation du mode Robotize
Si vous activez le mode Robotize, Vocal Transformer peut augmenter ou diminuer
la mélodie. Vous pouvez contrôler l’intensité de cette distorsion avec le paramètre
Tracking.
Les quatre boutons -1, 0, 1 et 2 définissent le curseur Tracking sur les valeurs -100 %,
0 %, 100 % et 200 %, respectivement. Ces boutons ont un rôle pratique car ils permettent de définir plus simplement le paramètre Tracking sur les réglages les plus utiles.
 À une valeur de 100 % (bouton 1), la plage de la mélodie est conservée. Les valeurs
les plus élevées augmentent la mélodie et les valeurs les plus faibles la diminuent.
 Sur la valeur de 200 % (bouton 2) les intervalles sont doublés.
 La valeur 0 % (bouton 0) donne des résultats intéressants, chaque syllabe de la piste
vocale étant chantée à la même hauteur tonale. Les valeurs faibles transforment les
lignes chantées en énoncé parlé.
 À une valeur de -100 % (bouton -1), tous les intervalles sont mis en miroir.
Le paramètre Pitch Base est utilisé pour transposer la note suivie par le paramètre
Tracking. Par exemple :la note parlée, si Tracking est défini sur 0%.11
129
11 Reverb
Vous pouvez utiliser les effets de type Reverb (réverbération)
pour simuler le son d’environnements acoustiques tels que
des pièces, des salles de concerts, des cavernes ou le son d’un
espace infini.
Les sons rebondissent sur les surfaces ou les objets d’un espace donné, de manière
répétée, puis s’éteignent progressivement jusqu’à devenir inaudibles. Les ondes
sonores du bounce produisent un « schéma de réflexion », plus connu sous le nom
de réverbération (Reverb).
La première étape d’une réverbération consiste en un certain nombre de réflexions
séparées que vous pouvez distinguer clairement avant que l’apparition du champ diffus
(ou queue de réverbération). Ces réflexions précoces sont essentielles à la perception
que vous avez de l’espace d’une pièce. Toutes les informations relatives à la taille et à la
forme d’une pièce et qui peuvent être distinguées par l’oreille humaine sont contenues
dans ces réflexions précoces.
Signal Réflexions
séparées
Queue de réverbération diffuse
Motif de réflexion/réverbération
Durée130 Chapitre 11 Reverb
Effets de plateau et de réverbération numérique
La première forme de réverbération utilisée dans la production musicale était une
pièce spéciale dotée de surfaces rigides, appelée chambre d’écho. Elle était utilisée
pour ajouter des échos au signal. Des appareils mécaniques, y compris des planches
et des ressorts, étaient utilisés pour ajouter un effet de réverbération à la sortie des
instruments musicaux et des microphones.
Avec l’enregistrement numérique sont apparus les effets de réverbération numériques,
qui se composent de milliers de retards de longueur et d’intensité variables. L’intervalle
entre le signal d’origine et l’arrivée des réflexions précoces peut être ajusté par un paramètre généralement appelé un predelay (pré-retard). Le nombre moyen de réflexions
dans une période donnée est défini par le paramètre de densité. La régularité ou l’irré-
gularité de la densité est contrôlée par le paramètre de diffusion.
Le présent chapitre décrit les effets de réverbération inclus dans Logic Express :
 « AVerb » à la page 130
 « EnVerb » à la page 131
 « GoldVerb » à la page 132
 « PlatinumVerb » à la page 135
 « SilverVerb » à la page 138
AVerb
Le module AVerb est un effet de réverbération simple qui utilise un paramètre pour
contrôler à la fois les réflexions précoces de l’effet et le champ diffus :Density/Time.
Une valeur faible génère souvent des groupes de réflexions précoces clairement
perceptibles et crée un effet similaire à l’écho. L’utilisation de valeurs élevées produit
un effet similaire à la réverbération.
Le module AVerb constitue un outil rapide et facile permettant de créer toute une
gamme d’effets sonores intéressants « d’espace » et « d’écho ». Il ne représente
toutefois pas le choix idéal pour la simulation d’environnements acoustiques réels.
 Predelay :détermine l’intervalle de temps entre le signal d’origine et les réflexions
précoces du signal de réverbération.Chapitre 11 Reverb 131
 Reflectivity :définit le degré de réflexivité des murs, plafonds et sols imaginaires.
La rigidité d’un mur et sa composition (verre, pierre, bois, moquette, etc.), ont un
impact considérable sur la tonalité de la réverbération.
 Room Size :définit les dimensions des pièces simulées.
 Density/Time :détermine à la fois la densité et la durée de la réverbération.
 Mix :détermine la balance entre les signaux d’effet (mouillés) et directs (secs).
EnVerb
Le module EnVerb est un effet de réverbération polyvalent doté d’une fonctionnalité
unique :il vous permet d’ajuster librement l’enveloppe de la queue de réverbération
diffuse.
L’interface peut être divisée en trois zones :
 Paramètres Time :ces paramètres déterminent le temps de retard du signal d’origine
et de la queue de réverbération et modifient la queue de réverbération dans le
temps. L’écran graphique fournit une représentation numérique de l’enveloppe
de la réverbération.
 Paramètres Sound :cette zone vous permet de définir le son du signal de réverbération. Vous pouvez également utiliser le paramètre Crossover pour fractionner le
signal entrant en deux bandes et définir le niveau de la bande de fréquence basse.
 Paramètre Mix :détermine la balance entre les signaux d’effet (mouillés) et directs (secs).
Paramètres Time
 Dry Signal Delay :détermine le retard du signal d’origine. Vous ne pouvez entendre
le signal sec que lorsque le paramètre Mixage est défini sur une valeur autre que
100 pour cent.
 Predelay :définit l’intervalle de temps entre le signal d’origine et le point de départ
de la phase d’attaque de la réverbération (toute première phase de la première
réflexion).
 Attack :définit le temps nécessaire à la réverbération pour atteindre son niveau
le plus haut.132 Chapitre 11 Reverb
 Decay :définit le temps nécessaire pour que le niveau de réverbération passe du
point culminant au niveau de maintien (Sustain).
 Sustain :définit le niveau de réverbération qui reste constant tout au long de la
phase de maintien. Ce niveau est exprimé en pourcentage du volume total du signal
de réverbération.
 Hold :définit la durée de la phase de sustain.
 Release :définit le temps nécessaire à la réverbération pour se terminer en fondu,
une fois la phase de maintien terminée.
Paramètres du son
 Density :définit la densité de la réverbération.
 Spread :contrôle l’image stéréo de la réverbération. À une valeur de 0 pour cent,
l’effet génère une réverbération monophonique. À 200 pour cent, la base stéréo
est étendue de manière artificielle.
 High Cut :les fréquences situées au-dessus de la valeur définie sont filtrées à partir
de la queue de réverbération.
 Crossover :définit la fréquence à laquelle le signal d’entrée est fractionné en deux
bandes de fréquences pour qu’elles soient traitées séparément.
 Low Freq Level :détermine le niveau relatif de réverbération des fréquences situées
au-dessous de la fréquence de répartition. Dans la plupart des cas, on obtient des
résultats sonores plus satisfaisants en définissant des valeurs négatives pour ce
paramètre.
GoldVerb
Le module GoldVerb vous permet de modifier les réflexions précoces et les queues
de réverbération diffuses séparément, ce qui facilite l’émulation précise des environnements réels.
L’interface peut être divisée en quatre groupes de paramètres :
 Paramètres Early Reflections :cette section permet d’émuler les premières réflexions du
signal d’origine lorsqu’elles rebondissent sur les murs, le plafond ou le sol d’une pièce.
 Paramètres Reverb :cette section contrôle les réverbérations diffuses.Chapitre 11 Reverb 133
 Paramètre Balance ER/Reverb :contrôle la balance entre les sections Early Reflections
et Reverb. Lorsque vous placez le curseur sur l’une des extrémités, la section inutilisée
est désactivée.
 Paramètre Mix :détermine la balance entre les signaux d’effet (mouillés) et directs (secs).
Paramètres Early Reflection
 Predelay :détermine l’intervalle de temps entre le début du signal d’origine et l’arrivée
des réflexions précoces.
 Room Shape :définit la forme géométrique de la pièce. La valeur numérique
(entre 3 et 7) représente le nombre d’angles dans la pièce. L’écran graphique
fournit une représentation visuelle de ce réglage.
 Room Size :définit les dimensions de la pièce. La valeur numérique indique la longueur
des murs, c’est-à-dire la distance entre deux angles.
 Stereo Base :définit la distance entre les deux microphones virtuels que vous utilisez
dans la pièce simulée. Le fait d’éloigner légèrement les microphones d’une largeur
plus importante que la distance entre les deux oreilles offre généralement de
meilleurs résultats. Vous pouvez obtenir des résultats plus proches de la réalité si
vous choisissez d’utiliser la distance entre les deux oreilles. Ce paramètre n’est
disponible que pour les effets en stéréo.
Paramètres Reverb
 Initial Delay :détermine l’intervalle de temps entre le signal d’origine et la queue
de réverbération diffuse.
 Density :contrôle la densité de la queue de réverbération diffuse.
 Diffusion (paramètres étendus) :définit la diffusion de la queue de réverbération.
 Reverb Time :temps nécessaire pour que le niveau de réverbération diminue de
60 dB.
 High Cut : les fréquences situées au-dessus de la valeur définie sont filtrées à partir
du signal de réverbération.
 Spread :contrôle l’image stéréo de la réverbération. À une valeur de 0 pour cent,
l’effet génère une réverbération monophonique. À 200 pour cent, la base stéréo est
étendue de manière artificielle.
Réglage du pré-retard et du retard initial
En pratique, un pré-retard trop court a tendance à rendre difficile le repérage de la
position du signal. Il peut également colorer le son du signal original. Inversement,
un pré-retard trop long peut être perçu comme un écho non naturel. Cela peut également séparer le signal d’origine de ses réflexions précoces et faire apparaître un intervalle de temps audible.134 Chapitre 11 Reverb
Le réglage optimal du pré-retard dépend du type (ou de l’enveloppe) du signal.
Les signaux percussifs requièrent généralement des pré-retards plus courts que les
signaux pour lesquels les attaques diminuent progressivement. Il est recommandé
d’utiliser le pré-retard le plus long possible avant d’entendre des effets secondaires
indésirables, tels qu’un écho audible.
Si vous souhaitez obtenir une sonorité naturelle et une réverbération harmonieuse,
la transition entre les réflexions précoces et la queue de réverbération doit être aussi
fluide et transparente que possible. Réglez le retard initial de sorte qu’il soit le plus long
possible, sans qu’il soit possible de percevoir un intervalle de temps entre les réflexions
précoces et la queue de réverbération.
Réglage de la densité et de la diffusion
En règle générale, vous souhaitez que le signal soit aussi dense que possible. Toutefois,
le fait d’utiliser une valeur de Density faible signifie que l’effet consomme moins de puissance. Au-delà, dans de rares cas, une valeur haute peut colorer le son. Vous pouvez
résoudre ce problème en réduisant simplement la valeur de la densité. Inversement,
si vous sélectionnez une valeur trop faible, la queue de réverbération aura un son
granuleux.
Les valeurs de diffusion haute représentent une densité régulière, avec quelques
modifications en termes de niveau, de temps et de balance. Des valeurs de diffusion
basse génèrent une densité de réflexion irrégulière et granuleuse. Le spectre stéréo
est également modifié.
Réglage du temps de réverbération
Le temps de réverbération est souvent considéré comme le temps nécessaire pour que le
niveau d’un signal de réverbération diminue de 60 dB. C’est pourquoi le temps de réverbé-
ration indiqué est souvent RT60. La plupart des pièces réelles possèdent un temps de
réverbération compris entre une et trois secondes. Cette durée est réduite par les surfaces
absorbantes et les meubles. Pour un grand hall ou une grande église vide, ce temps peut
atteindre jusqu’à huit secondes, voire plus pour les lieux caverneux ou les cathédrales.
Réglage du High Cut
Les surfaces inégales ou absorbantes (papier peint, lambris, tapis, etc.) ont tendance
à mieux renvoyer les basses fréquences que les hautes. Le filtre High Cut reproduit cet
effet. Si vous définissez le filtre passe-haut de façon qu’il soit totalement ouvert, le son
de la réverbération sera proche du son d’une pièce en pierre ou en verre.Chapitre 11 Reverb 135
PlatinumVerb
Le module PlatinumVerb vous permet de modifier les réflexions précoces et les queues
de réverbération diffuse séparément, ce qui facilite l’émulation précise des environnements réels. La section Reverb à double bande divise le signal entrant en deux bandes,
chacune d’entre elles pouvant alors être traitée et modifiée séparément.
L’interface peut être divisée en quatre groupes de paramètres :
 Paramètres Early Reflections :émule les premières réflexions du signal d’origine
lorsqu’elles rebondissent sur les murs, le plafond ou le sol d’une pièce.
 Paramètres Reverb :contrôle les réverbérations diffuses.
 Paramètre Balance ER/Reverb :contrôle la balance entre les sections Early Reflections et
Reverb. Lorsque vous placez le curseur sur l’une des extrémités, la section inutilisée est
désactivée.
 Section Output :détermine la balance entre les signaux d’effet (mouillés) et directs (secs).
Paramètres Early Reflection
 Predelay :détermine l’intervalle de temps entre le début du signal d’origine et l’arrivée
des réflexions précoces.
 Room Shape :définit la forme géométrique de la pièce. La valeur numérique (entre 3
et 7) représente le nombre d’angles dans la pièce. L’écran graphique fournit une
représentation visuelle de ce réglage.
 Room Size :définit les dimensions de la pièce. La valeur numérique indique la longueur
des murs, c’est-à-dire la distance entre deux angles.136 Chapitre 11 Reverb
 Stereo Base (disponible uniquement dans les instances stéréos) :définit la distance entre
les deux microphones virtuels que vous utilisez dans la pièce simulée. Le fait d’éloigner
légèrement les microphones d’une largeur plus importante que la distance entre
les deux oreilles offre généralement de meilleurs résultats. Vous pouvez obtenir des
résultats plus proches de la réalité si vous choisissez d’utiliser la distance entre les
deux oreilles.
 ER Scale (paramètre étendu) :définit les réflexions précoces le long de l’axe temporel
et influence simultanément les paramètres de forme de la pièce, de taille de la pièce
et de base stéréo.
Paramètres Reverb
 Initial Delay :détermine l’intervalle de temps entre le signal d’origine et la queue
de réverbération diffuse.
 Spread :contrôle l’image stéréo de la réverbération. À une valeur de 0 pour cent,
l’effet génère une réverbération monophonique. À 200 pour cent, la base stéréo
est étendue de manière artificielle.
 Crossover :définit la fréquence à laquelle le signal d’entrée est fractionné en deux
bandes de fréquences pour qu’elles soient traitées séparément.
 Low Ratio :détermine le temps de réverbération de la bande basse par rapport au
temps de réverbération de la bande haute. Ce rapport est exprimé en pourcentage,
entre 0 et 200 pour cent.
 Low Freq Level : définit le niveau de la réverbération basse. À 0 dB, le volume des
deux bandes est identique.
 High Cut :les fréquences situées au-dessus de la valeur définie sont filtrées à partir
du signal de réverbération.
 Density :contrôle la densité de la queue de réverbération diffuse.
 Diffusion :définit la diffusion de la queue de réverbération.
 Reverb Time :détermine le temps de réverbération de la bande haute.
Paramètres Output
 Dry :détermine le taux du signal d’origine.
 Wet :détermine le taux du signal d’effet.
Réglage du pré-retard et du retard initial
En pratique, un pré-retard trop court a tendance à rendre difficile le repérage de la
position du signal. Il peut également colorer le son du signal original. Inversement,
un pré-retard trop long peut être perçu comme un écho non naturel. Cela peut également séparer le signal d’origine de ses réflexions précoces et faire apparaître un intervalle de temps audible.Chapitre 11 Reverb 137
Le réglage optimal du pré-retard dépend du type (ou de l’enveloppe) du signal.
Les signaux percussifs requièrent généralement des pré-retards plus courts que
les signaux pour lesquels les attaques diminuent progressivement. Il est recommandé
d’utiliser le pré-retard le plus long possible avant d’entendre des effets secondaires
indésirables, tels qu’un écho audible.
Si vous souhaitez obtenir une sonorité naturelle et une réverbération harmonieuse,
la transition entre les réflexions précoces et la queue de réverbération doit être aussi
fluide et transparente que possible. Réglez le retard initial de sorte qu’il soit le plus long
possible, sans qu’il soit possible de percevoir un intervalle de temps entre les réflexions
précoces et la queue de réverbération.
Réglage de la densité et de la diffusion
En règle générale, vous souhaitez que le signal soit aussi dense que possible. Toutefois,
le fait d’utiliser une valeur de Density faible signifie que l’effet consomme moins de
puissance. Au-delà, dans de rares cas, une valeur haute peut colorer le son. Vous pouvez
résoudre ce problème en réduisant simplement la valeur de la densité. Inversement,
si vous sélectionnez une valeur trop faible, la queue de réverbération aura un son
granuleux.
Les valeurs de diffusion haute représentent une densité régulière, avec quelques modifications en termes de niveau, de temps et de balance. Des valeurs de diffusion basse
génèrent une densité de réflexion irrégulière et granuleuse. Le spectre stéréo est également modifié.
Réglage du temps de réverbération
Le temps de réverbération est souvent considéré comme le temps nécessaire pour que
le niveau d’un signal de réverbération diminue de 60 dB. C’est pourquoi le temps de
réverbération indiqué est souvent RT60. La plupart des pièces réelles possèdent un
temps de réverbération compris entre une et trois secondes. Cette durée est réduite par
les surfaces absorbantes et les meubles. Pour un grand hall ou une grande église vide,
ce temps peut atteindre jusqu’à huit secondes, voire plus pour les lieux caverneux ou
les cathédrales.
Réglage du High Cut
Les surfaces inégales ou absorbantes (papier peint, lambris, tapis, etc.) ont tendance
à mieux renvoyer les basses fréquences que les hautes. Le filtre High Cut reproduit cet
effet. Si vous définissez le filtre passe-haut de sorte à ce qu’il soit totalement ouvert,
le son de la réverbération sera proche du son d’une pièce en pierre ou en verre.138 Chapitre 11 Reverb
Réglage du temps de réverbération et de la bande de fréquence basse
Vous pouvez utiliser le contrôle du faible rapport pour corriger le temps de réverbération de la bande de fréquence basse. À 100 pour cent, le temps de réverbération des
deux bandes est identique. Avec des valeurs moins élevées, le temps de réverbération
des fréquences situées en deçà de la fréquence de répartition est plus court. Avec des
valeurs supérieures à 100 pour cent, le temps de réverbération des fréquences basses
est plus long.
Ces deux phénomènes se produisent dans les environnements naturels. Dans la plupart
des mixages, il est préférable d’utiliser un temps de réverbération plus court. Par exemple,
si vous utilisez le module PlatinumVerb sur une boucle de batterie de type « kick and
snare », l’utilisation d’un temps de réverbération court pour le battement bas (kick) vous
permet de définir un signal mouillé beaucoup plus élevé.
Le curseur Low Freq Level vous permet d’augmenter ou d’atténuer le niveau de la
bande de fréquence basse. Dans la plupart des mixages, il est particulièrement
recommandé de définir le signal de réverbération de la fréquence basse à un niveau
inférieur. Cela vous permet d’augmenter le niveau de l’instrument grave et de le rendre
plus vivant. Les effets de masque de l’extrémité inférieure en sont par ailleurs atténués.Chapitre 11 Reverb 139
SilverVerb
Le module SilverVerb est similaire au module AVerb,mais il fournit un LFO supplémentaire
que vous pouvez utiliser pour moduler le signal résultant de la réverb. Il comprend également un filtre passe-haut et un filtre passe-bas qui vous permettent de filtrer les fréquences
à partir du signal de réverbération. Les fréquences hautes produisent généralement un
son peu agréable, altèrent l’intelligibilité des paroles ou masquent les accents du signal
d’origine. Les queues de réverbération longue dont l’extrémité est importante produisent
généralement un mixage « mou ».
 Predelay :détermine l’intervalle de temps entre le signal d’origine et le signal
de réverbération.
 Reflectivity :définit le degré de réflexivité des murs, plafonds et sols imaginaires.
 Room Size :définit les dimensions des pièces simulées.
 Density/Time :détermine à la fois la densité et la durée de la réverbération.
 High Cut :les fréquences situées au-dessus de la valeur définie sont filtrées à partir
du signal de réverbération. Notez que cela n’affecte que la tonalité de la réverbération, et non le signal source.
 Low Cut :les fréquences situées en dessous de la valeur définie sont filtrées à partir
de la queue de réverbération. Comme indiqué précédemment, cela affecte uniquement le signal de réverbération.
 Mod Rate :définit la fréquence (vitesse) du LFO.
 Modulation Phase :définit la phase de modulation entre les canaux gauche et droite
du signal de réverbération. À une valeur de 0°, les valeurs extrêmes (minimum ou
maximum) de la modulation sont atteintes simultanément sur les canaux gauche et
droite. À une valeur de 180°, les valeurs extrêmes opposées l’une à l’autre (le canal
de gauche au minimum et le canal de droite au maximum, ou inversement) sont
atteintes simultanément.
 Mod. Intensity :définit le taux de modulation. Dans le cas d’une valeur nulle ( 0),
la modulation du retard est désactivée.
 Mix :détermine la balance entre le signal d’effet et le signal sec.12
141
12 Modules spécialisés
Logic Express inclut un ensemble de modules spécialisés
conçus pour traiter les tâches récurrentes au cours de la
production audio.
Prenez connaissance de ces effets spécialisés si vous voulez effectuer l’une des
opérations suivantes :
 Éliminer ou réduire le bruit sous un niveau de seuil (voir la section « Denoiser »
à la page 142).
 Améliorer le contrôle du temps des enregistrements audio (voir la section
« Enhance Timing » à la page 144).
 Ajouter des enregistrements numériques plus vivants en ajoutant des composants
haute fréquence (voir la section « Exciter » à la page 145).
 Varier les enregistrements rythmiquement (voir la section « Grooveshifter »
à la page 146).
 Améliorer les enregistrements parlés effectués avec le micro interne de votre
ordinateur (voir la section « Speech Enhancer » à la page 147).
 Ajouter des signaux graves artificiels, dérivés du signal entrant (reportez-vous
à la rubrique « SubBass » à la page 148).142 Chapitre 12 Modules spécialisés
Denoiser
Le module Denoiser élimine ou réduit les bruits en dessous d’un niveau de volume seuil.
Paramètres du module Denoiser
 Curseur et champ Threshold : définissent le niveau de volume (le seuil) sous lequel
Denoiser réduit le signal.
 Curseur et champ Reduce :définissent la quantité de réduction de bruit appliquée aux
sons sous le seuil. Lors de la réduction du bruit, n’oubliez pas que chaque réduction
de 6 dB est équivalente à la réduction de moitié du niveau de volume (et chaque
augmentation de 6 dB correspond au doublement du niveau de volume).
Par exemple, si le bruit de fond de votre enregistrement est très élevé (supérieur à
68 dB), le réduire à un niveau compris entre 83 et 78 dB devrait suffire, si cela n’introduit pas d’effets secondaires audibles. Le bruit est réduit de plus de 10 dB, moins de
la moitié du volume (bruit) d’origine.
 Curseur et champ Noise Type :la valeur indiquée doit être appropriée pour le type
de bruit à réduire.
 La valeur 0 est égale à un bruit blanc (distribution de fréquences égales);
 Les valeurs positives changent le type de bruit en bruit rose (bruit harmonique,
plus grande réponse de basse);
 Les valeurs négatives changent le type de bruit en bruit bleu (bruit de bande de
type « souffle »).
 Potentiomètre Smoothing Frequency :ajuste la façon dont le lissage est appliqué aux
fréquences voisines. Lorsque le Denoiser reconnaît que seul du bruit est présent dans
une certaine bande de fréquences, plus le paramètre Frequency Smoothing est
élevé, plus il modifie également les bandes de fréquences voisines afin d’éviter le
bruit de verre.
 Potentiomètre Smoothing Time :définit combien de temps met le Denoiser pour
atteindre (ou déclencher) une réduction maximale. Il s’agit de la forme la plus simple
de lissage.Chapitre 12 Modules spécialisés 143
 Potentiomètre Smoothing Transition :ajuste la façon dont le lissage est appliqué aux
niveaux de volume voisins. Lorsque le Denoiser reconnaît que seul du bruit est pré-
sent dans une certaine plage de volumes, plus le paramètre Transition Smoothing
est élevé, plus il modifie également les valeurs de niveau similaires afin d’éviter le
bruit de verre.
 Écran graphique : montre comment les niveaux de volume les plus bas de votre
morceau audio (qui doit être majoritairement ou entièrement du bruit) sont réduits.
Les changements apportés aux paramètres sont instantanément pris en compte sur
cet écran, vous devez donc le consulter régulièrement.
Utilisation du Denoiser
Localisez une section du morceau audio où uniquement du bruit est audible et définissez
la valeur Threshold de sorte que seuls les signaux inférieurs ou égaux à ce niveau soient
filtrés. Lancez ensuite la lecture et définissez la valeur Reduce au fil de l’écoute de l’audio
de façon à réduire le bruit le plus possible sans pour autant réduire le signal voulu de trop.
Le Denoiser utilise l’analyse FFT (Fast Fourier Transform) pour reconnaître les bandes de
fréquences de volume plus faible et de structure harmonique moins complexe, puis les
réduit au niveau de dB voulu. En principe, cette méthode est complètement discrète,
les fréquences voisines étant aussi affectées.
Cependant, si vous utilisez le Denoiser de façon trop agressive, l’algorithme génère
alors des effets qui sont artificiels et sonnent donc moins bien que le bruit existant
dans la plupart des cas. Si l’utilisation du Denoiser génère ces effets, vous pouvez
utiliser les trois potentiomètres Smoothing pour les réduire ou les éliminer.144 Chapitre 12 Modules spécialisés
Enhance Timing
L’effet Enhance Timing améliore de façon non destructrice le contrôle du temps des
enregistrements audio.
Paramètres du module Enhance Timing
 Curseur et champ Intensity :détermine le degré d’amélioration du contrôle du temps.
Les éléments transitoires audio qui ne tombent pas sur les divisions de grille (déterminées par la valeur choisie dans le menu Grille) sont corrigées.
 Menu Grid :permet de choisir entre plusieurs divisions de grille. Comme décrit
ci-dessous, les divisions de grille servent de points de référence pour le processus
de correction de contrôle du temps.
Utilisation de l’effet Enhance Timing
Le module Enhance Timing est conçu pour « resserrer » la lecture (de l’audio enregistré)
dans une production. Il peut être utilisé sur divers morceaux et fonctionne en temps réel.
À l’évidence, ce type de quantification en temps réel présente certaines limitations.
Il ne fonctionne pas bien sur les enregistrements qui ont été lus avec trop de décalage
par rapport au rythme. Il en va de même pour les pistes de percussion très complexes,
à plusieurs couches. Il améliorera de façon notable le contrôle du temps sur les morceaux
percussifs et mélodiques raisonnablement serrés (lus sur la base de croches et de noires).
Si de nombreuses corrections du contrôle de temps sont requises et si les éléments transitoires sont modifiés trop avant, il se peut que vous remarquiez un certain nombre d’effets
audio. Il est donc important de tenter d’équilibrer la qualité du son et les améliorations du
contrôle du temps.
Important :pour des raisons techniques, le module Enhance Timing ne fonctionne
que sur les pistes audio et doit être inséré dans le logement d’insertion supérieur.
Astuce pour les triolets, essayez le réglage de note 1/12 pour les triolets de notes
d’un huitième.Chapitre 12 Modules spécialisés 145
Exciter
Exciter génère des composants haute fréquence qui ne font pas partie du signal d’origine, à travers un processus de distorsion non linéaire qui ressemble aux effets de type
Overdrive et Distortion. Cependant, contrairement à ces effets, Exciter transmet le
signal d’entrée par le biais d’un filtre passe-haut avant de l’intégrer dans le générateur
(de distorsion) à formant. Les harmoniques artificiels ajoutés au signal ont alors des
fréquences d’au moins une octave supérieure au seuil du filtre passe-haut. Le signal
distordu est mixé avec le signal sec d’origine.
Vous pouvez utiliser Exciter pour rendre plus vivants des enregistrements numériques.
Il convient particulièrement bien aux pistes audio ayant une plage de fréquences à
aigus faibles. Exciter est aussi utile pour améliorer les pistes de guitare.
Paramètres du module Exciter
 Curseur et champ Frequency :détermine la fréquence de coupure (en Hertz) du filtre
passe-haut. Le signal d’entrée passe par ce filtre avant que la distorsion (harmonique)
ne soit introduite.
 Écran Frequency :le graphique affiche la plage de fréquences utilisée comme signal
source pour le processus.
 Bouton Input : lorsqu’il est sélectionné, le signal d’origine (avant effet) est mixé au
signal avec effet. Si vous désactivez Input, seul le signal avec effet est entendu.
 Potentiomètre et champ Harmonics :définit la quantité du signal avec effet mixé
avec le signal d’origine (exprimé en pourcentage). Si le bouton Input est désactivé,
cela n’a aucun effet sur le signal. Dans la plupart des cas, des valeurs Frequency et
Harmonics plus élevées sont préférables, car l’oreille humaine ne peut pas facilement faire la distinction entre les hautes fréquences artificielles et d’origine.
 Boutons Color 1 et Color 2 : cliquez sur Color 1 pour générer un spectre de distorsion
harmonique moins dense. Cliquez sur Color 2 pour obtenir une distorsion plus
intense. Color 2 introduit aussi plus de distorsions intermodulation (indésirables).146 Chapitre 12 Modules spécialisés
Grooveshifter
L’effet Grooveshifter permet de varier rythmiquement les enregistrements, donnant
un feeling « swing » à la piste. Imaginez un solo de guitare joué en 1/8 ou 1/16 de
notes fixes. Grooveshifter est à même de réaliser ce solo franc et direct.
Le tempo de référence est celui du projet. Grooveshifter va automatiquement suivre
toutes les modifications du tempo du projet.
Remarque :Grooveshifter repose sur une mise en correspondance parfaite du tempo
du projet avec celui de l’enregistrement traité. Toute variation de tempo aboutira à un
résultat moins précis.
Paramètres de Grooveshifter
 Boutons Tonal et Beat :il s’agit de deux algorithmes, chacun optimisé pour différents
types de morceau audio.
 L’algorithme Beat est optimisé pour les morceaux d’entrée percussifs. Le curseur
Grain n’a aucun effet lorsque Beat est choisi.
 L’algorithme Tonal est optimisé pour les morceaux d’entrée tonaux. Cet algorithme
étant basé sur la synthèse granulaire, il offre un curseur Grain supplémentaire,
qui permet de définir la taille des grains et donc la précision de l’analyse.
 Curseur et champ Swing :déterminent de combien les battements pairs seront
retardés. Une valeur de 50 % n’introduit aucun swing, ce qui est typique de la
majeure partie des morceaux de pop et de rock. Plus la valeur est élevée, plus
l’effet swing est important.
 Boutons Grid :déterminent la division de battement utilisée comme référence
de contrôle du temps par l’algorithme pour analyser le morceau audio. Choisissez
1/8ème si le morceau audio contient principalement des croches et 1/16 s’il est
constitué principalement de doubles croches.
 Curseur et champ Accent :augmente ou réduit le niveau des battements pairs,
en les accentuant. Ces accents sont typiques de plusieurs styles rythmiques,
comme le swing ou le reggae.Chapitre 12 Modules spécialisés 147
Speech Enhancer
Vous pouvez utiliser l’effet Speech Enhancer pour améliorer les enregistrements
parlés effectués avec le micro interne de votre ordinateur (le cas échéant). Il combine
la réduction du bruit, la remodélisation avancée des fréquences du micro et la compression multibande.
 Curseur et champ Denoise :détermine le bruit de fond (votre estimation) dans votre
enregistrement et donc la quantité de bruit qui doit être éliminée. Les réglages vers
100 dB permettent de conserver davantage de bruit. Les réglages tendant vers 0 dB
suppriment plus avant le bruit de fond, mais augmentent aussi proportionnellement
les effets.
 Bouton Mic Correction :activez ce bouton pour améliorer la réponse en fréquence
des enregistrements effectués avec votre micro intégré. Cela donne l’impression
qu’un micro haut de gamme a été utilisé.
 Menu Mic Model :choisissez le modèle approprié de micro. Vous pouvez utiliser
l’effet Speech Enhancer avec d’autres micros, mais les modèles de correction de
micro sont uniquement proposés pour les micros Macintosh intégrés. Si un micro
non Macintosh est utilisé, le résultat sera meilleur si l’option Mic Correction a la
valeur « Generic ».
 Bouton Voice Enhance et menu Enhance Mode :l’activation de ce bouton entraîne celle
de la compression multibande de Speech Enhancer. Vous pouvez choisir entre quatre
réglages du menu Enhance Mode, afin de rendre la voix enregistrée plus audible et
intelligible. Choisissez le réglage offrant les meilleurs résultats dans votre situation
d’enregistrement.148 Chapitre 12 Modules spécialisés
SubBass
Le module SubBass génère des fréquences sous celles du signal d’origine, en d’autres
termes, une basse artificielle. Le plus simple consiste à utiliser SubBass comme diviseur
d’octaves, similaire aux pédales d’effet Octaver pour les guitares basses électriques.
Si de telles pédales peuvent uniquement traiter une source sonore d’entrée monophonique d’une hauteur tonale clairement définie, SubBass peut être utilisé avec des
signaux cumulés complexes. SubBass crée deux signaux graves, dérivés de deux
parties distinctes du signal entrant. Ils sont définis avec les paramètres High et Low.
Paramètres de SubBass
 Potentiomètre High Ratio :ajuste le rapport entre le signal généré et le signal
de bande supérieure d’origine.
 Potentiomètre High Center :définit la fréquence centrale de la bande supérieure.
 Potentiomètre High Bandwidth :définit la bande passante de la bande supérieure.
 Écran graphique :affiche les bandes de fréquences supérieure et inférieure sélectionnées.
 Curseur et champ Mix :ajuste le rapport de mixage entre les bandes de fréquences
supérieure et inférieure.
 Potentiomètre Low Ratio :ajuste le rapport entre le signal généré et le signal de
a bande inférieure d’origine.
 Potentiomètre Low Center :définit la fréquence centrale de la bande inférieure.
 Potentiomètre Low Bandwidth :définit la bande passante de la bande inférieure.
Avertissement :SubBass peut générer des signaux de sortie extrêmement forts.
Choisissez des niveaux de monitoring modérés et n’utilisez que des haut-parleurs
pouvant reproduire les très basses fréquences générées. N’essayez jamais de forcer
un haut-parleur à émettre ces bandes de fréquences avec un égaliseur.Chapitre 12 Modules spécialisés 149
 Curseur et champ Dry : définit la quantité de signal (sans effet) sec.
 Curseur et champ Wet :définit la quantité de signal (avec effet) mouillé.
Utilisation de SubBass
Contrairement à un Pitch Shifter (appareil qui permet d’entendre la transposition d’une
note), la forme d’onde du signal généré par SubBass n’est pas basée sur celle du signal
d’entrée, mais est sinusoïdale (elle utilise une onde sinusoïdale). Étant donné que les
ondes sinusoïdales pures s’intègrent rarement bien dans des arrangements complexes,
vous pouvez contrôler la quantité (et l’équilibre entre) les signaux généré et d’origine
via les curseurs Dry et Wet.
Les deux bandes de fréquences (utilisées par SubBass pour générer des tons) sont
définies via les paramètres High et Low. High Center et Low Center définissent la
fréquence centrale de chaque bande ;High Bandwidth et Low Bandwidth définissent
la bande passante de chaque bande.
Les potentiomètres High Ratio et Low Ratio définissent de combien le signal généré
est transposé pour chaque bande. Ceci est exprimé sous la forme d’un ratio du signal
d’origine. Par exemple :Ratio = 2 transpose le signal d’une octave vers le bas.
Important :dans chaque bande de fréquences, le signal filtré doit avoir une hauteur
tonale raisonnablement stable pour être analysé correctement.
En général, des bandes passantes étroites génèrent les meilleurs résultats, car elles évitent
les intermodulations non souhaitées. Définissez High Center une quinte plus haut que Low
Center, ce qui signifie une facteur de 1,5 pour la fréquence centrale. Dérivez la sous-basse
à synthétiser depuis la partie grave existante du signal et transposez d’une octave dans les
deux bandes (Ratio = 2). Ne poussez pas trop le processus ou vous introduirez de la distorsion. Si vous entendez des écarts de fréquence, tournez l’un des potentiomètres Center
Frequency (ou les deux) ou élargissez un peu la bande passante (d’une ou des deux plages
de fréquences).
? Astuce :utilisez SubBass de façon raisonnable et comparez le contenu d’extrême basse
fréquence de vos mixages avec d’autres productions. Il est très facile de le surutiliser.13
151
13 Utility
Les modules Utility sont des outils pratiques pouvant vous
assister dans les tâches et les situations classiques générées
par la création musicale.
Il s’agit des tâches suivantes :
 Ajustement du niveau ou de la phase des signaux d’entrée (consultez « Gain »
à la page 152).
 Intégration d’effets audio externes dans Logic Express (voir « I/O » à la page 153).
 Génération d’une fréquence statique ou d’un balayage sinusoïdal (voir « Test
Oscillator » à la page 154).152 Chapitre 13 Utility
Gain
Gain permet d’amplifier (ou de réduire) le signal d’une certaine quantité de décibels.
Cela s’avère très utile lorsque vous utilisez des pistes automatisées au cours du posttraitement et souhaitez ajuster rapidement les niveaux. C’est le cas si vous avez inséré
un autre effet ne disposant pas de son propre contrôle de gain, ou quand vous voulez
modifier le niveau d’une piste pour une version remixée.
Paramètres du module Gain
 Curseur et champ Gain :définit la quantité de gain.
 Boutons Phase Invert (Left et Right) : ces boutons inversent la phase des canaux
de gauche et de droite, respectivement.
 Potentiomètre Balance :ajuste la balance du signal entrant entre les canaux de
gauche et de droite.
 Bouton Swap L/R (Left/Right) :permet d’échanger les canaux de sortie de gauche
et de droite. L échange a lieu après la balance dans le chemin de signal.
 Bouton Mono : émet le signal mono cumulé sur les canaux de gauche et de droite.
Remarque :le module Gain est disponible en configurations m ? m, m ? s et s ? s.
En modes m ? m et m ? s, un seul bouton Phase Invert est disponible. Dans la
version ? m, les paramètres Stereo Balance, Swap Left/Right et Mono sont désactivés.
Utilisation de l’inversion de phase
L’inversion de phase permet de combattre les problèmes de réglage de temporisation,
particulièrement ceux causés par l’enregistrement avec plusieurs micros en même
temps. Lorsque vous inversez la phase d’un signal entendu de façon isolée, il a le
même son que l’original. Mais, lorsque le signal est entendu conjointement avec
d’autres signaux, l’inversion de phase a un effet audible. Par exemple, si vous placez
des micros au-dessus et en dessous d’une caisse claire, vous devez inverser la phase
du signal du micro du bas afin qu’il soit « en phase » avec le signal du micro du haut.Chapitre 13 Utility 153
I/O
Le module I/O permet d’utiliser des unités d’effets audio externes de façon similaire
aux effets internes de Logic Express. Cela n’a de sens que si vous utilisez une interface
audio qui fournit des entrées et des sorties discrètes (analogiques ou numériques),
utilisées pour envoyer des signaux vers et depuis l’unité d’effets audio externes.
Paramètres du module I/O
 Curseur et champ Output Volume :ajuste le volume du signal de sortie.
 Menu Output :affecte la sortie respective (ou paire de sorties) de votre matériel
audio au module.
 Menu Input :affecte l’entrée respective (ou paire d’entrées) de votre matériel audio
au module.
 Curseur et champ Input Volume :ajuste le volume du signal d’entrée.
Utilisation du module I/O
La section suivante indique les étapes à suivre pour intégrer des effets audio externes
au chemin de signal Logic Express.
Pour intégrer et utiliser une unité d’effets externes dans Logic Express :
1 Connectez une sortie (ou paire de sorties) de votre interface audio à l’entrée
(paire d’entrées) de votre unité d’effets.
2 Connectez la sortie (ou paire de sorties) de votre unité d’effets à une entrée
(paire d’entrées) de votre interface audio.
Remarque :il peut s’agir aussi bien de connexions analogiques que numériques si
votre interface audio et l’unité d’effets sont équipées de l’une ou de l’autre, ou bien
des deux.
3 Cliquez sur un logement d’insertion du canal que vous souhaitez traiter avec l’unité
d’effets externes, puis choisissez Utilitaire > E/S.154 Chapitre 13 Utility
4 Dans la fenêtre du module I/O, choisissez les sortie (Output) et entrée (Input)
(indiquées sous la forme de numéros) auxquelles votre unité d’effets est connectée.
5 Ajustez le volume d’entrée ou de sortie si nécessaire.
Dès que la lecture commence, le signal du canal audio est traité par l’unité d’effets
externes.
Test Oscillator
Le module Test Oscillator génère une fréquence statique ou un balayage sinusoïdal.
Ce dernier est un balayage sonore du spectre de fréquences défini par l’utilisateur.
Paramètres du module Test Oscillator
 Boutons Waveform :permettent de sélectionner le type de forme d’onde à utiliser
pour la génération du bruit rose.
 Les formes d’onde Square Wave (onde carrée) et Needle Pulse (largeur très réduite)
sont disponibles en versions repliement ou anti-repliement. Cette dernière version
étant obtenue via le bouton Anti Aliased.
 Needle Pulse est une forme d’onde à une seule impulsion très réduite.
 Si le bouton Sine Sweep est actif, les réglages de l’oscillateur fixe dans la section
Waveform au-dessus sont désactivés.
 Frequency :détermine la fréquence de l’oscillateur (la valeur par défaut est 1 kHz).
 Level :détermine le niveau de sortie global de Test Oscillator.
 Bouton Sine Sweep :permet de générer un balayage d’onde sinusoïdale du spectre
de fréquences défini par l’utilisateur.
 Champ Time :détermine la durée du balayage.
 Champs Start Freq et End Freq :définissent la fréquence de l’oscillateur au début et
à la fin du balayage sinusoïdal.
 Sweep Mode (paramètre étendu) :choisissez une courbe de balayage de type Linear
ou Logarithmic.Chapitre 13 Utility 155
 Bouton Trigger :permet de déclencher un balayage sinusoïdal. Le comportement
du bouton Trigger peut être modifié via le menu ci-dessous :
 Single :cliquer sur le bouton Trigger déclenche le balayage une fois.
 Continuous :cliquer sur le bouton Trigger déclenche le balayage indéfiniment.
Utilisation du module Test Oscillator
Si vous insérez l’Oscillateur de test dans un logement d’insertion d’une voie audio,
vous devez transmettre l’audio via cette voie afin de générer un signal.
Pour utiliser le module Test Oscillator dans un logement d’insertion d’une voie audio :
1 Placez une région audio sur une piste.
2 Insérez le module Test Oscillator dans le canal de cette piste et lancez la lecture.
Vous pouvez également insérer le module Test Oscillator dans le logement Instrument
des tranches de console instrumentales. Test Oscillator commence à générer le signal
test dès qu’il est inséré. Vous pouvez le désactiver en l’ignorant.14
157
14 EVOC 20 PolySynth
L’EVOC 20 PolySynth combine un vocoder avec un synthétiseur
polyphonique, et peut être joué en temps réel.
L’EVOC 20 PolySynth est un vocoder sophistiqué, équipé d’un synthétiseur polyphonique,
capable de recevoir des notes MIDI entrantes. Il vous permet, par exemple, de jouer des
sons de chœur de vocoder classiques.Des notes et des accords isolés joués avec l’EVOC 20
PolySynth polyphonique sonneront avec l’articulation de la source audio d’analyse.Au cours
de ce processus, les caractéristiques sonores et les changements du signal audio arrivant à
l’entrée Analysis (c’est-à-dire la piste audio que vous avez sélectionnée comme Side Chain)
sont imposés au signal de sortie de synthétiseur intégré (section Synthesis).
Le parcours du signal de l’EVOC 20 PolySynth est présenté dans le schéma de principe à
la page 177.158 Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth
Vocoder :Fondamentaux
Si vous n’êtes pas familier des vocoders, vous êtes invité à lire cette section. Elle contient
les informations de base au sujet des vocoders et de leurs fonctionnalités.Vous y trouverez
également des astuces sur l’utilisation des vocoders, afin d’atteindre une bonne intelligibilité vocale.
Qu’est-ce qu’un vocoder?
Le terme vocoder est la contraction de VOice enCODER. Un vocoder analyse et transfère
le caractère sonore du signal audio arrivant à son entrée Analysis vers le signal audio
présent à son entrée Synthesis. Le résultat de ce processus est entendu à la sortie du
vocoder.
Le son classique du vocoder utilise la voix comme signal d’analyse et un son de synthétiseur comme signal de synthèse. Ce son classique a été popularisé à la fin des années 1970
et au début des années 1980. Vous le connaissez probablement grâce aux morceaux
« O Superman » de Laurie Anderson, « Funky Town » de Lipps Inc. et de nombreux morceaux de Kraftwerk, d’« Autobahn » à « Europe Endless », en passant par « The Robots »
et « Computer World ».
Outre ces sons de « robots chantants », le vocoder a également été utilisé dans de
nombreux films. Exemples :les Cylons dans Battlestar Galactica, et plus connue
encore, la voix de Dark Vador dans la Guerre des étoiles.
Le vocodage, en tant que processus, n’est pas strictement limité aux performances
vocales. Vous pouvez utiliser une boucle de batterie comme signal d’analyse afin de
former un son d’ensemble à corde arrivant à l’entrée Synthesis.
Fonctionnement d’un vocoder
L’analyseur et le synthétiseur vocaux mentionnés ci-dessus sont en fait deux banques de
filtres de type passe-bande. Les filtres passe-bande permettent à une bande de fréquence
(une tranche) d’un spectre de fréquences global de transiter sans être modifiée, et coupent
les fréquences qui ne font pas partie de la plage de la bande.
Dans les modules EVOC 20, ces banques de filtres sont nommées sections Analysis et
Synthesis. Elles disposent d’un nombre de bandes correspondantes identique. Si la
banque de filtres d’analyse dispose de cinq bandes (1, 2, 3, 4 et 5), il y aura un ensemble
correspondant de cinq bandes dans la banque de filtres de synthèse. La bande 1 de la
banque d’analyse est associée à la bande 1 de la banque de synthèse, la bande 2 à la
bande 2, et ainsi de suite.
Le signal audio qui arrive à l’entrée Analysis passe à travers la banque de filtres d’analyse,
où il est divisé en 20 bandes.Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth 159
Une enveloppe de type follower est couplée avec chaque bande de filtre. Chacune
de ces enveloppes piste (suit) toutes les modifications de volume dans la partie de
la source audio autorisée à passer par le filtre passe-bande associé. De cette façon,
l’enveloppe follower de chaque bande génère des signaux de contrôles dynamiques.
Ces signaux de contrôles sont alors envoyés vers la banque de filtre de synthèse où ils contrôlent les niveaux des bandes de filtres de synthèse correspondantes. Cela est effectué via
des VCA, amplificateurs commandés en tension. Cela permet d’imposer des modifications
de volume des bandes, et donc des modifications du son d’origine, de la banque de filtres
d’analyse sur les bandes correspondantes de la banque de filtres de synthèse.
Plus un vocoder offre de bandes, plus le caractère du son d’origine sera remodelé de
façon précise.
Fonctionnement d’une banque de filtres
Si vous supprimez tous les circuits responsables du transfert des caractéristiques sonores
du signal Analysis vers le signal de synthèse à partir d’un vocoder, et offrez la détection
de signaux vocaux ou non vocaux, il vous restera deux banques de filtres, les filtres d’analyse et de synthèse. Pour les utiliser à des fins musicales, vous devrez garantir que vous
pouvez contrôler le niveau de sortie de chaque filtre passe-bande. Avec ce niveau de
contrôle, vous pouvez appliquer des modifications considérables et uniques au spectre
de fréquences.
Source
audio
d'analyse
Source
audio de
synthèse
Bande 1-5 de
banque de
filtres d'analyse
Bande 1-5 de
banque de filtres
de synthèse
Suiveur
d'enveloppe
1-5
VCA
1-5
Signal de contrôle 1-5
Sortie audio
U/V
detection160 Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth
Utilisation de l’EVOC 20 PolySynth
Pour pouvoir utiliser l’EVOC 20 PolySynth, vous devez l’insérer dans un emplacement Instrument d’un canal d’instrument, et fournir un signal audio comme source audio d’analyse.
Pour cela, effectuez les étapes ci-dessous :
1 Sélectionnez ou créez une nouvelle piste audio dans la fenêtre Arrangement.
2 Insérez (ou enregistrez) un fichier audio (utilisez une partie vocale pour commencer)
dans cette piste audio.
? Astuce :il peut être utile de définir une zone de cycle dans la fenêtre Arrangement,
afin de lire en continu cette partie audio. Cela facilitera votre expérimentation.
3 Insérez l’EVOC 20 PolySynth dans l’emplacement Instrument d’un canal d’instrument.
4 Dans le menu Side Chain de l’EVOC 20 PolySynth, choisissez la piste audio qui contient
le fichier audio.
5 Vérifiez que la piste d’instrument correspondante est sélectionnée dans la fenêtre
Arrangement.
L’EVOC 20 PolySynth est à présent prêt pour accepter des données MIDI entrantes,
et a été assigné pour accueillir la sortie provenant de la piste audio sélectionnée via
un Side Chain.
6 Dans la table de mixage, désactiver le son de la piste audio (piste vocale) utilisée comme
entrée Side Chain.
7 Lancez la lecture.
8 Pendant que le fichier audio est relu, jouez sur votre clavier MIDI.
9 Dans la table de mixage, réglez les niveaux de volume de l’EVOC 20 PolySynth et la piste
audio utilisée comme Side Chain à votre convenance.
10 Faites quelques petites expérimentations avec les potentiomètres, les curseurs et autres
contrôles. Amusez-vous et n’hésitez pas à insérer davantage de modules d’effets dans
le canal ou les bus pour améliorer le son.Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth 161
Paramètres EVOC 20 PolySynth
L’interface de l’EVOC 20 PolySynth est divisée en six sections principales.
 Section Synthesis :contrôle le synthétiseur polyphonique de l’EVOC 20 PolySynth.
Reportez-vous à la rubrique « Paramètres de la section Synthesis » à la page 162.
 Section Sidechain Analysis :les paramètres de cette section définissent le comportement de l’EVOC 20 PolySynth face au signal Analysis. Reportez-vous à la rubrique
« Paramètres de la section Sidechain Analysis » à la page 167.
 Section Formant Filter :configure les banques de filtres d’analyse et de synthèse.
Reportez-vous à la rubrique « Paramètres Formant Filter » à la page 169.
 Section Modulation :la section Modulation dispose de deux LFPO pour contrôler
les paramètres Formant Shift et Pitch de l’EVOC 20 PolySynth. Reportez-vous à la
rubrique « Paramètres de la section Modulation » à la page 171.
 Section U/V Detection :détecte les portions non vocales du son dans le signal Analysis,
améliorant ainsi l’intelligibilité vocale. Reportez-vous à la rubrique « Unvoiced/Voiced
(U/V) Detection » à la page 173.
 Section Output :configure le signal de sortie de l’EVOC 20 PolySynth. « Paramètres
de la section Output » à la page 176.
Section Sidechain Analysis Section Formant Filter
Section Synthesis
Section Modulation Section U/V Detection
Section Output162 Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth
Paramètres de la section Synthesis
L’EVOC 20 PolySynth est équipé d’un synthétiseur polyphonique, capable de recevoir
des notes MIDI. Les paramètres de la section Synthesis sont décrits ci-dessous.
Boutons Mode
Ces boutons déterminent le nombre de voix utilisées par l’EVOC 20 PolySynth :
 Lorsque Poly est sélectionné, le nombre maximal de voix est défini via le champ
numérique situé à côté du bouton Poly.
Remarque :le fait d’augmenter le nombre de voies augmente aussi la charge
du processeur.
 Lorsque Mono ou Legato est sélectionné, l’EVOC 20 PolySynth est monophonique,
et utilise une seule voix.
 En mode Legato, la fonction Glide n’est active que sur les notes liées. Les enveloppes
ne sont pas redéclenchées lorsque les notes liées sont jouées (single trigger, un seul
déclenchement).
 En mode Mono, Glide est toujours actif et les enveloppes sont redéclenchées
par chacune des notes jouées (multi trigger, déclenchement multiple).
 Le bouton Unison permet d’activer ou de désactiver le mode Unison. Dans ce mode,
chaque voix de l’EVOC 20 PolySynth est doublée, ce qui réduit de moitié la polyphonie
(à un maximum de 8 voix) comme l’indique le champ numérique Voices. Les voix
doublées sont désaccordées selon la valeur du paramètre Analog.
 En mode Unison-Mono (les deux boutons Unison et Mono ou Legato sont engagés),
16 voix maximum peuvent être empilées et jouées monophoniquement. Dans ce mode,
le champ Voices indique le nombre de voix empilées qui jouent en même temps.
Avertissement :les voix empilées en mode Unison-Mono augmentent le volume de
sortie de l’EVOC 20 PolySynth. Pour éviter de saturer la sortie de canal d’instrument,
réglez en conséquence le curseur Level de l’EVOC 20 PolySynth.Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth 163
Section Oscillator
L’EVOC 20 PolySynth est équipé d’un synthétiseur numérique à deux oscillateurs
disposant d’un certain nombre de formes d’onde, et de la synthèse FM (Modulation
de fréquence). Outre ces générateurs sonores, la section Synthesis dispose également
d’un générateur de bruit indépendant.
Il existe deux modes de fonctionnement pour les oscillateurs.
 Dual :les deux oscillateurs emploient des formes d’onde numériques à un seul cycle
comme source(s) sonore(s) de synthèse.
 FM :un moteur FM à deux opérateurs, avec Oscillator 1 comme porteur d’onde
sinus, et Oscillator 2 comme modulateur. L’Oscillator 2 peut utiliser n’importe
quelle forme d’onde numérique à un seul cycle.
Vous pouvez passer du mode Dual au mode FM en cliquant sur le libellé Dual ou FM
situé en haut à gauche de la section représentée dans les captures d’écran ci-dessus.
Comme vous pouvez le constater, il existe de légères différences entre les deux modes.
Cette section décrit d’abord les paramètres communs, puis les options propres à chaque
mode.
Paramètres Wave 1
Les valeurs en pieds (footages) situées sous la mention Wave 1 dans les deux modes
nous renvoient aux orgues à tuyaux. Plus le tuyau est long, plus le son est profond.
Ceci s’applique également à Wave 1. Cliquez simplement sur les valeurs en pieds 16,
8 ou 4 pour sélectionner une plage dans laquelle Wave (oscillateur) 1 fonctionne.
Votre sélection sera mise en surbrillance.
La valeur numérique située à côté du libellé Wave 1 indique le type de forme d’onde
actuellement sélectionné. L’EVOC 20 PolySynth dispose de 50 formes d’onde avec
différentes caractéristiques sonores.
Cliquez ici pour
basculer entre
les modes Dual et FM.164 Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth
Pour passer d’une forme d’onde à l’autre, procédez comme suit :
m Cliquez, sans relâcher le bouton de la souris, sur le champ numérique relatif aux formes
d’onde et faites-le glisser vers le haut ou vers le bas.
Lorsque le numéro de la forme d’onde souhaité est visible, relâchez le bouton de la souris.
m Double-cliquez sur le champ numérique et entrez la valeur désirée.
Remarque :notez qu’en mode FM, la forme d’onde de Wave 1 est une onde sinus fixe.
Le paramètre Waveform de Wave 1 n’a aucun effet dans ce mode.
Paramètres Wave 2
La valeur numérique située à côté de Wave 2 indique le type de forme d’onde actuellement sélectionné. L’EVOC 20 PolySynth dispose de 50 formes d’onde numériques à un
seul cycle avec différentes caractéristiques sonores.
Pour passer d’une forme d’onde à l’autre, procédez comme suit :
m Cliquez,sans relâcher le bouton de la souris,sur le champ numérique relatif aux formes
d’onde et faites-le glisser vers le haut ou vers le bas.
Lorsque le numéro de la forme d’onde souhaité est visible, relâchez le bouton de la souris.
m Double-cliquez sur le champ numérique et entrez la valeur désirée.
Paramètres Noise
Le générateur de bruit (Noise) fournit une source sonore supplémentaire pouvant être
utilisée en plus des deux oscillateurs (Wave 1 et Wave 2).
 Potentiomètre Level :contrôle la quantité de bruit ajoutée aux signaux des deux
oscillateurs.
 Potentiomètre Color :contrôle le timbre du signal de bruit. Lorsque le potentiomètre
Color est tourné complètement à gauche, le générateur de bruit crée un bruit blanc
pur. Lorsqu’il est tourné complètement à droite, il génère un bruit bleu (filtré par un
filtre passe-haut). Le bruit blanc sert à créer des effets de pluie et de vent. Il a la
même énergie dans chaque intervalle de fréquence. Le bruit bleu sonne d’une
façon plus claire, car sa partie de basses est supprimée par un filtre passe-haut.Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth 165
Il est important de noter que le générateur de bruit de la section Oscillator est indépendant du générateur de bruit de la section U/V Detection. Pour plus d’informations sur
les signaux vocaux et non vocaux, reportez-vous à la rubrique « Unvoiced/Voiced (U/V)
Detection »,à partir de la page 173.
? Astuce :tournez Color complètement sur la droite et Level juste un petit peu pour
obtenir un signal de synthèse plus vivant et plus frais.
Paramètres Dual Mode
Les paramètres spécifiques au mode Dual se trouvent dans la section Wave 2,
plus le curseur Balance situé à droite.
 Paramètre Semi :définit l’accord du second oscillateur (Wave 2) par pas d’un demi-ton.
 Paramètre Detune :permet un accord précis de Wave 1 et Wave 2 en centièmes.
100 cents correspondent à un demi-ton. Ce paramètre permet de désaccorder
Wave 1 par rapport à Wave 2 autour du point d’accord zéro.
 Curseur Balance :permet de mélanger les signaux des deux oscillateurs (Wave 1
et Wave 2).
Paramètres FM Mode
Les paramètres propres au mode FM se trouvent dans la section Wave 2, plus le curseur
FM Int situé à droite.
 Paramètre Ratio c(oarse) :règle le rapport de fréquence approximatif du second
oscillateur en fonction du premier.166 Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth
 Paramètre Ratio f(ine) :règle le rapport de fréquence précis du second oscillateur en
fonction du premier.
 Curseur FM Int :détermine l’intensité de modulation de l’onde sinusoïdale de Wave 1
d’après celle de Wave 2. Des réglages FM Int supérieurs entraînent une forme d’onde
plus complexe présentant plus de sons dominants.
Lorsqu’ils sont combinés, les paramètres Ratio et FM Int donnent une forme d’onde FM
complexe et définissent donc leur contenu harmonique.
Paramètres Tuning et Pitch
 Potentiomètre Analog :simule l’instabilité des circuits analogiques dans des vocoders
vintages. Analog modifie la hauteur de chaque note de manière aléatoire. Ce comportement ressemble à celui des synthétiseurs analogiques polyphoniques. Le potentiomètre Analog contrôle l’intensité de ce désaccordage aléatoire.
 Tune :définit l’étendue du désaccordage.
 Glide :glide détermine le temps que met la hauteur pour glisser d’une note à l’autre
(portamento).
 Bend Range :détermine la fourchette de modulation, en demi-tons pour la modulation du Pitch Bend.
Cutoff et Resonance
 Cutoff :définit la fréquence de coupure du filtre passe-bas. Plus vous tournez ce
potentiomètre vers la gauche, plus il y aura de fréquences aiguës qui seront filtrées
du signal.Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth 167
 Resonance :augmenter la Resonance revient à accentuer la zone de fréquence
entourant celle qui a été définie par le paramètre Cutoff. Le filtre sert a effectué
un premier modelage du signal, avant que celui-ci ne soit articulé par les circuits
du vocoder.
? Astuce :réglez le paramètre Cutoff aussi élevé que possible, et poussez un petit peu
le paramètre Resonance pour obtenir un son agréable et clair.
Paramètres d’enveloppe
L’EVOC 20 PolySynth dispose d’un générateur d’enveloppes Attack/Release utilisé
pour contrôler le niveau dans la section Oscillator.
 Curseur Attack :détermine le temps que mettent les oscillateurs de la section
Synthesis pour atteindre leur niveau maximum.
 Curseur Release :détermine le temps que mettent les oscillateurs de la section
Synthesis pour atteindre leur niveau minimal.
Paramètres de la section Sidechain Analysis
Les paramètres de la section Sidechain Analysis contrôlent différents aspects du signal
d’analyse. Ils nécessitent un contrôle précis pour garantir le suivi et l’intelligibilité les
meilleurs possibles.
Attack
Le potentiomètre Attack détermine la vitesse à laquelle chaque enveloppe follower
(couplé à chaque bande de filtre d’analyse) réagit aux signaux montants. Des temps
d’Attack plus longs donneront une réponse plus lente du suivi aux transitoires du
signal d’entrée d’analyse.168 Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth
Remarque :un temps d’Attack long sur des signaux d’entrée de type percussif (des mots
scandés ou une partie de charley, par exemple) seront transformés en un effet de vocoder
moins articulé. Régler Attack sur une valeur aussi faible que possible pour renforcer une
articulation.
Release
Le paramètre Release détermine la vitesse à laquelle chaque enveloppe follower (couplé
à chaque bande de filtre d’analyse) réagit aux signaux descendants. Des temps de Release
plus longs prolongeront les transitoires du signal d’entrée Analysis en sortie du vocoder.
Remarque :un temps de Release long sur des signaux d’entrée de type percussif
(des mots scandés ou une partie de charley, par exemple) seront transformés en un
effet de vocoder moins articulé. Notez que des temps de Release qui sont trop courts
donneront des sons de vocoder bruts et granuleux. Les valeurs de Release autour de
8 à 10 ms ont prouvé qu’elles étaient de bons points de départ.
Freeze
Ce bouton Freeze permet de maintenir indéfiniment le spectre du son actuellement
analysé. Le signal d’analyse gelé peut capter une caractéristique particulière du signal
source qui sera ensuite imposée comme forme de filtre complexe avec sustain à la
section Synthesis. Si Freeze est activé, la banque de filtres d’analyse ignore la source
d’entrée, et les paramètres Attack et Release n’ont aucun effet.
Par exemple,si vous utilisez une suite de mots parlés comme source, le bouton Freeze
pourra capturer la phase d’attaque ou la fin d’un mot particulier, la voyelle a, par exemple.
Autre usage du paramètre Freeze (qui peut être automatisé) :compenser la tenue des
notes chantées par des chanteurs ne pouvant pas tenir trop longtemps une note sans
reprendre leur souffle. Si le signal de synthèse doit être tenu, alors que le signal source
d’analyse (partie vocale) ne l’est pas, Freeze peut servir à bloquer les niveaux actuels du
formant (d’une note chantée), même pendant des interruptions de la partie vocale, tel
qu’il y en a entre les mots d’une phrase vocale.
Bands
Le paramètre Bands détermine le nombre de bandes de fréquence utilisées par
l’EVOC 20 PolySynth.
Plus il y a de bandes, plus le son sera remodelé avec précision. Si vous réduisez le nombre
de bandes, la plage de fréquences du signal source sera divisée en moins de bandes et le
son résultant sera formé avec moins de précision par le moteur de synthèse.
Remarque :le fait d’augmenter le nombre de bandes augmente aussi la charge
du processeur.Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth 169
Il faut souvent trouver un compromis entre la précision sonore, qui permet aux signaux
reçus (paroles et chants, en particulier) de rester intelligibles, et l’usage des ressources
qui se trouve entre 10 et 15 bandes.
Paramètres Formant Filter
La fenêtre Formant Filter est divisée en deux sections par une ligne horizontale.
La partie supérieure concerne la section Analysis et la partie inférieure, la section
Synthesis. Les modifications apportées aux paramètres High/Low Frequency, Bands,
Formant Stretch et Shift provoqueront des changements visuels dans la fenêtre
Formant Filter. Vous disposez ainsi d’informations très précieuses décrivant ce qui
arrive au signal lorsqu’il passe à travers les deux banques de filtres de formants.
High/Low Frequency
La barre bleue située juste sous le logo EVOC 20 PolySynth est un contrôle qui sert à
déterminer les fréquences les plus hautes et les plus basses autorisées à passer par la
section du filtre. La longueur de cette barre bleue représente la plage des fréquences
pour l’analyse et la synthèse. Les fréquences de toute entrée audio se trouvant en
dehors de ces limites seront coupées. Toutes les bandes de filtre sont réparties réguliè-
rement sur l’ensemble de l’étendue définie par les valeurs High/Low Frequency.
 Pour régler la valeur de la fréquence basse, cliquez,sans relâcher le bouton de la souris,
sur le curseur argenté situé à gauche de la barre bleue puis faites-le glisser vers la droite
(ou la gauche). Les valeurs vont de 75 à 750 Hz.
 Pour régler la valeur de la fréquence aiguë, cliquez,sans relâcher le bouton de la souris,
sur le curseur argenté situé à droite de la barre bleue puis faites-le glisser vers la gauche
(ou la droite). Les valeurs vont de 800 à 8000 Hz.
Contrôle les hautes et
basses fréquences170 Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth
 Pour régler simultanément les deux curseurs, cliquer sur la zone située entre les deux
moitiés de curseur (directement sur la barre bleue) et faites-la glisser vers la gauche
ou la droite.
 Vous pouvez modifier les valeurs High/Low Frequency directement en éditant les
champs numériques en dessous de la barre bleue.
Lowest/Highest
Ces paramètres se trouvent dans deux petits champs situés de chaque côté de la
fenêtre Formant Filter. Ces commutateurs déterminent si les bandes de filtres les plus
basses et hautes seront des filtres passe-bande (comme toutes les autres bandes
intermédiaires), ou s’ils agissent respectivement comme des filtres passe-bas/passehaut. Cliquer dessus une fois pour passer d’une courbe à l’autre.
 Avec le réglage Bandpass, les fréquences situées au-dessous ou au-dessus des bandes
les plus basses et hautes sont ignorées pour l’analyse et la synthèse.
 Avec le réglage Highpass (ou Lowpass), toutes les fréquences au-dessous des bandes
les plus basses (ou au-dessus des plus hautes) seront considérées pour l’analyse et la
synthèse.
Formant Stretch
Ce paramètre modifie la largeur et la répartition de toutes les bandes de la banque de
filtres de synthèse, pour étendre ou resserrer la plage de fréquences définie par la barre
bleue (paramètres Low/High Frequency) pour la banque de filtre de synthèse.
Avec le paramètre Formant Stretch défini sur 0, la largeur et la répartition des bandes
de la banque de filtres de synthèse est égale à la largeur des bandes de la banque de
filtre d’analyse. Des valeurs faibles réduiront la largeur de chaque bande, alors que des
valeurs élevées l’élargiront. La plage de contrôle va de 0,5 à 2 (par rapport à la bande
passante totale).
Remarque :vous pouvez passer directement à la valeur 1 en cliquant sur ce nombre.
Formant Shift
Formant Shift déplace la position de toutes les bandes vers le haut et vers le bas dans
la banque de filtres de synthèse. Avec Formant Shift réglé sur 0, la position des bandes
de la banque de filtres de synthèse est la même que celle des bandes de la banque de
filtres d’analyse. Des valeurs positives déplaceront les bandes vers le haut, en terme de
fréquences, alors que des valeurs négatives les déplaceront vers les bas en fonction de
la banque de filtres d’analyse.
Remarque :vous pouvez passer directement aux valeurs –0,5, –1, +0,5 et +1 en cliquant
sur leurs nombres.Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth 171
Lorsqu’ils sont associés, Formant Stretch et Formant Shift modifient la structure du
formant du son de vocoder résultant, ce qui peut donner des changements de timbre
intéressants. Par exemple, utiliser des signaux vocaux tout en réglant le paramètre
Formant Shift plus haut produit un effet « Mickey Mouse ».
Les paramètres Formant Stretch et Formant Shift sont également très utiles si le spectre des
fréquences du signal Synthesis ne complète pas celui du signal Analysis.Vous pouvez créer
un signal Synthesis dans la plage haute des fréquences à partir d’un signal Analysis qui
module le son principalement dans la plage basse des fréquences, par exemple.
Resonance
Le paramètre Resonance est à la base du caractère sonore du vocoder :des valeurs
basses lui donneront un caractère doux, des valeurs élevées lui donneront un caractère
plus abrupte et plus criard. Le fait d’augmenter la valeur de Resonance accentue la
fréquence moyenne de chaque bande de fréquences.
Remarque :l’utilisation de l’un des paramètres Formant Stretch et Formant Shift,
voire des deux, peut provoquer la génération de fréquences résonnantes inhabituelles,
lorsque des valeurs élevées de Resonance sont utilisées.
Paramètres de la section Modulation
La section Modulation dispose de deux LFO pour contrôler les paramètres Formant
Shift et Pitch de l’EVOC 20 PolySynth. Ces LFO peuvent fonctionner librement ou être
synchronisés au tempo du morceau.
 Pitch LFO :contrôle la modulation de hauteur Pitch (Vibrato) des oscillateurs intégrés
au synthétiseur. Il est câblé pour accepter des données provenant de la molette
de modulation de votre clavier MIDI (ou des données MIDI correspondant) afin de
contrôler l’intensité de la modulation.
 Shift LFO :contrôle le paramètre Formant Shift de la banque de filtres Synthesis afin
de produire des effets de type phasing dynamiques.172 Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth
Boutons Wave
Les boutons Wave de cette section vous permettent de sélectionner le type de forme
d’onde utilisé par Pitch LFO et Shift LFO. Pour chaque LFO, vous avez le choix entre
les différentes formes d’onde suivantes :Triangle, Sawtooth (en dent de scie), Square
(carrée) montante et descendante autour de zéro (bipolaire, idéale pour les trilles),
Square (carrée) montante à partir de zéro (unipolaire, idéale pour les changements
entre deux hauteurs définissables), une forme d’onde aléatoire par palier (S&H),
et une forme d’onde aléatoire lissée.
Intensity et Int via Whl
Le curseur Intensity contrôle la valeur de la modulation Formant Shift modulation
par Shift LFO.
Le curseur Int via Whl de Pitch LFO permet de régler plusieurs paramètres. L’intensité de la
modulation de hauteur par le LFO peut être contrôlée par la molette de modulation d’un
clavier MIDI connecté. La partie supérieure du curseur détermine l’intensité lorsque la
molette de modulation est poussée au maximum, et la partie inférieure quand cette
molette est réglée au minimum. En cliquant et faisant glisser la souris dans la zone située
entre les deux segments du curseur, vous pouvez déplacer les deux simultanément.
Potentiomètres Rate
Ces potentiomètres déterminent la vitesse de la modulation. Les valeurs situées
à gauche des positions centrales sont synchronisées au tempo du séquenceur et
incluent des valeurs de mesure, de triolet et autres. Les valeurs situées à droite des
positions centrales sont asynchrones, et sont affichées en Hertz (cycles par seconde).Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth 173
Remarque :la possibilité d’utiliser des valeurs de mesure synchrones peut servir à
effectuer une modification de formant (formant shift) toutes les quatre mesures sur
une partie de percussion à une mesure reprise en cycle. Vous pouvez aussi effectuer
la même modification de formant (formant shift) sur chaque croche d’un triolet au sein
d’une même partie. Chacune de ces méthodes peut donner des résultats intéressants
et apporter de nouvelles idées ou un second souffle aux anciens équipements audio.
Unvoiced/Voiced (U/V) Detection
Le discours humain est constitué d’une série de sons vocaux (sons tonals) et de sons
non vocaux (bruits). La différence principale entre sons vocaux et non vocaux est que
les sons vocaux sont produits par une oscillation des cordes vocales, alors que les sons
non vocaux sont produits par des blocages et des restrictions imposés sur le flux d’air
par les lèvres, la langue, le palais, la gorge et le larynx.
Ce type de discours, contenant à la fois des sons vocaux et non vocaux, pourrait être
utilisé comme signal d’analyse d’un vocoder, mais le moteur de synthèse ne pourrait
pas les différencier, et il en résulterait un son sans relief. Pour éviter cela, la section
Synthesis du vocoder doit produire des sons différents pour les parties vocales et non
vocales du signal.
C’est pourquoi l’EVOC 20 PolySynth est équipé d’un détecteur non vocal/vocal (Unvoiced/
Voiced, U/V). Cette unité détecte les parties non vocales du son dans le signal d’analyse,
puis remplace les parties correspondantes dans le signal de synthèse par du bruit (Noise),
un mélange de bruit et de synthétiseur (Noise + Synth) ou par le signal d’origine (Blend).
Si le détecteur U/V identifie des parties vocales, il transmet ces informations à la section
Synthesis, qui utilise le signal de synthèse normal pour ces parties.174 Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth
? Astuce :l’intelligibilité d’un discours est fortement dépendante de son contenu en
fréquences aiguës, car l’ouïe humaine se base sur celles-ci pour déterminer les syllabes
composant les mots. Gardez cela à l’esprit lorsque vous utilisez l’EVOC 20 PolySynth,
et réglez soigneusement la fréquence de filtre dans les sections Synthesis et Formant
Filter. Pour contribuer à l’intelligibilité, il peut être intéressant de recourir à une égalisation afin d’accentuer certaines fréquences dans la plage de fréquences moyennes à
hautes, avant de traiter le signal avec l’EVOC 20 PolySynth. Pour plus d’informations,
reportez-vous à la section « Conseils pour une meilleure intelligibilité des paroles » à la
page 178.
Sensitivity
Ce paramètre détermine la sensibilité de la détection U/V. En tournant ce potentiomètre
vers la droite, davantage de parties non vocales distinctes seront reconnues dans le signal
d’entrée.
Lorsque des réglages élevés sont utilisés, la sensibilité accrue aux signaux non vocaux
peut conduire à ce que la source U/V, déterminée par le paramètre Mode, soit utilisée
sur la majeure partie du signal d’entrée, en incluant les signaux vocaux. Cela donnera
un son ressemblant à un signal radio, détérioré et contenant beaucoup de parasites
et de bruit de fond.
Mode
Le paramètre Mode permet de sélectionner des sources sonores pouvant être utilisées
pour remplacer le contenu non vocal du signal d’entrée. Les réglages disponibles sont
Off, Noise, Noise + Synth ou Blend.
 Noise :utilise le bruit seul pour les parties non vocales du son.
 Noise + Synth :utilise le bruit et le synthétiseur pour les parties non vocales du son.Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth 175
 Blend :utilise le signal d’analyse après son passage à travers un filtre passe-haut,
pour les parties non vocales du son. Ce signal d’analyse filtré est ensuite combiné
au signal de sortie de l’EVOC 20 PolySynth. Le paramètre Sensitivity n’a aucun effet
lorsque ce réglage est utilisé.
Level
Le potentiomètre Level contrôle le volume du signal (Noise, Noise + Synth ou Blend)
utilisé pour remplacer le contenu non vocal du signal d’entrée.
Avertissement :faites très attention avec ce contrôle, surtout si vous utilisez
une valeur de Sensitivity élevée, afin d’éviter toute saturation interne de
l’EVOC 20 PolySynth.176 Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth
Paramètres de la section Output
Cette section présente les différents paramètres disponibles dans la section Output
de l’EVOC 20 PolySynth.
Signal
Ce menu permet de choisir parmi les options Voc(oder), Syn(thesis) et Ana(lysis).
Ces réglages vous permettent de déterminer le signal que vous voulez envoyer vers
les sorties principales de l’EVOC 20 PolySynth. Pour entendre l’effet du vocoder, le paramètre Signal doit être réglé sur Voc. Les deux autres réglages servent au monitoring.
Ensemble
Les trois boutons Ensemble permettent d’activer ou de désactiver les effets d’ensemble.
Ensemble I est un effet de chorus spécial. Ensemble II est une variation, créant un son
plus rond et plus riche en utilisant une routine de modulation plus complexe.
Level
Le curseur Level contrôle le volume du signal de sortie de l’EVOC 20 PolySynth.
Stereo Width
Stereo Width répartit les signaux de sortie des bandes de filtre de la section Synthesis
dans l’image stéréo.
 Lorsqu’il est positionné à gauche, la sortie de toutes les bandes est centrée.
 Lorsqu’il est en position centrale, la sortie de toutes les bandes passe de gauche
à droite.
 Positionné à droite, la sortie des bandes est répartie, de manière alternative,
sur les canaux gauche et droit.Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth 177
Schéma de principe
Ce schéma de principe illustre le parcours du signal dans l’EVOC 20 TrackOscillator
(reportez-vous à « EVOC 20 TrackOscillator » à la page 76) et l’EVOC 20 PolySynth.
Source
d'analyse
Piste
------------
Entrée latérale
D G
Stéréo/mono
OS : analyse
de tonalité
Sensibilité
OS : Max./
Quant./Glissé
Section d'analyse
Section de synthèse
U/V
detection
SP:
MIDI
clavier
Bruit,
N + synth.
Source de
synthèse
SP EVOC20 :
synth. poly.
tonalité
Niveau
Gamme de fréquences de plus élevée
à moins élevée (1-5)
Suiveur
d'enveloppe
1-5
A
B
Freeze
Étirement
Résonance
Changement
Filter bank with five bands
(example)
Niveau
Largeur
stéréo
L
R
Entrée de
la banque
de filtres
Banque de filtres à cinq bandes
(exemple)
Oscillateur
commandé
en tension 1-5
LFO
EVOC20 OS :
Oscillateur de suivi;
Piste ou entrée latérale
Mélange
LFO
Contrôle des paramètres
Légende
Signal audio
Signal de contrôle178 Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth
Conseils pour une meilleure intelligibilité des paroles
L’effet classique du vocoder est très exigeant quant à la qualité des deux signaux
d’analyse et de synthèse. De plus, les paramètres du vocoder nécessitent un réglage
soigneux. Voici quelques conseils concernant ces deux points.
Modification des signaux d’analyse et de synthèse
La section suivante vous explique comment modifier les signaux d’analyse et de
synthèse pour obtenir une meilleure intelligibilité des paroles.
Compression du signal d’analyse
Moins le niveau change, meilleure sera l’intelligibilité du vocoder. Il est donc
recommandé de compresser le signal d’analyse dans la plupart des cas.
Améliorer l’énergie des fréquences élevées
D’une certaine façon, le vocoder génère toujours le point d’intersection des signaux
d’analyse et de synthèse. Autrement dit :s’il n’y a pas d’aigus dans le signal d’analyse,
la sortie résultante du vocoder manquera aussi d’aigus. C’est aussi le cas lorsque
le signal de synthèse présente beaucoup d’aigus. Cela se vérifie pour chaque bande
de fréquence. Ainsi, le vocoder nécessite un niveau stable dans toutes les bandes de
fréquence pour les deux signaux d’entrée, afin de donner de bons résultats.
Du fait des caractéristiques de l’ouïe humaine, l’intelligibilité de la parole est très liée
à la présence d’aigus. Pour aider à conserver un discours clair, il peut être utile d’utiliser
une égalisation pour accentuer ou réduire certaines fréquences dans les signaux d’analyse avant de les traiter via un vocoder.
Si le signal d’analyse comporte des voix ou un discours, un simple filtre de type shelving
sera suffisant. Il ne nécessite pas beaucoup de puissance de calcul et accentue efficacement les médiums et les aigus, ce qui est primordial pour l’intelligibilité des paroles.
Si le signal de synthèse manque d’énergie dans les aigus, celle-ci peut être générée à
l’aide d’un effet de distorsion. L’effet Overdrive est parfait pour cela (voir la rubrique
« Overdrive », à partir de la page 32).Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth 179
Suppression des artefacts sonores
Un problème apparaît fréquemment avec les sons de vocoder, il s’agit d’interruptions
soudaines du signal (sons hachés, interrompus) et d’apparitions rapides de bruits
pendant les pauses au cours du discours.
Paramètre Release de la section Analysis
Le paramètre Release définit la vitesse à laquelle une bande de fréquence de synthèse
donnée peut décroître en niveau, si le niveau du signal de la bande d’analyse correspondante décroît brutalement. Le son est plus régulier lorsque les niveaux décroissent
lentement. Pour obtenir ce caractère plus régulier, utilisez des valeurs de Release plus
élevées dans la section Analysis de l’interface. Des temps de relâchement plus longs
donneront un son insipide.
Des valeurs d’Attack courtes ne sont pas un problème. Elles peuvent, en fait, être souhaitables lorsqu’une réaction rapide du vocoder aux signaux d’impulsion est nécessaire.
Bloquer les bruits de fond dans le signal d’analyse
Si le signal d’analyse est compressé, ce qui est recommandé, le niveau de souffle,
de ronronnement et des bruits de fond augmentera. Ces bruits de fond peuvent
entraînerl’ouverture des bandes du vocoder, ce qui n’est pas souhaitable. Pour éliminer
ces bruits, il peut être judicieux d’utiliser un Noise Gate avant la compression et
l’accentuation des aigus. Si le signal d’analyse est correctement traité par le Noise
Gate, vous devrez peut-être réduire la valeur de Release de la section Analysis.
Lorsque des paroles et des voix sont traitées par un Noise Gate, le paramètre Hysteresis
devient important. Threshold définit un niveau de seuil au-delà duquel la porte
s’ouvrira. Hysteresis définit un niveau de seuil plus faible, au-dessous duquel la porte
se fermera. Cette valeur est relative au niveau de seuil (Threshold).
Le graphique ci-dessus montre un réglage de Threshold parfaitement adapté aux
paroles compressées. Un déclenchement intempestif par un bruit de fréquence
basse ou aiguë est évité par les filtres sidechain dédiés du Noise Gate. Les valeurs
Hold, Release et Hysteresis affichées sont adaptées à des niveaux d’enveloppe
typiques de la plupart des signaux vocaux et de discours.180 Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth
Obtenir les meilleurs signaux d’analyse et de synthèse
Pour une bonne intelligibilité du discours, veuillez garder à l’esprit ces quelques points :
 Le spectre des signaux d’analyse et de synthèse doivent se recouvrir presque complè-
tement. Les voix d’hommes basses avec des signaux de synthèse dans les aigus ne
fonctionnent pas très bien.
 Le signal de synthèse doit être constamment maintenu, sans interruption. La piste
doit être jouée legato, car des interruptions dans le signal de synthèse arrêteraient
la sortie du vocoder. Sinon, le paramètre Release du signal de synthèse (à ne pas
confondre avec le temps Release de la section Analysis) peut être réglé sur un temps
plus long. De jolis effets peuvent également être obtenus en utilisant un signal de
réverbération comme signal de synthèse. Notez que ces deux dernières méthodes
peuvent provoquer des superpositions harmoniques.
 Ne pas saturer le vocoder. Cela peut se produire facilement, ce qui entraînera de
la distorsion.
 Prononcer son discours clairement, si l’enregistrement doit être utilisé comme signal
d’analyse. Des paroles, à une hauteur relativement basse, fonctionnent mieux que
des voix chantées, même si la création d’un chœur de vocoder est votre objectif !
Prononcer correctement les consonnes. Un bel exemple :le R roulé de « We are the
Robots » de Kraftwerk, un classique du vocoder. Cette prononciation a été spécialement étudiée en fonction du vocoder.
Réglez les paramètres Formant à votre convenance. L’intelligibilité des paroles est étonnamment peu affectée par le décalage, l’étirement ou la compression des formants.
Même le nombre de bandes de fréquences utilisé a un impact minimal sur la qualité
de l’intelligibilité. Cela s’explique par notre aptitude à différencier intuitivement les voix
d’enfants, de femmes et d’hommes, dont la boîte crânienne et la gorge varient énormé-
ment par nature. De telles différences physiques provoquent des variations dans les
formants qui composent leur voix. Notre perception (identification) des paroles est
basée sur une analyse des relations entre ces formants. Dans les modules EVOC 20,
ceux-ci restent intacts, même lorsque des réglages de formant extrêmes sont utilisés.Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth 181
Histoire du vocoder
Vous serez sans doute surpris d’apprendre que les voder et vocoder datent respectivement
des années 1939 et 1940.
Homer Dudley, un chercheur en physique des Laboratoires Bell, New Jersey (USA) a
développé le Voice Operated reCOrDER comme machine de recherche. Il a été conçu à
l’origine pour tester des schémas de compression pour la sécurisation de la transmission
de signaux vocaux sur des lignes téléphoniques en cuivre.
Il était composé d’un dispositif associant un analyseur et un synthétiseur de voix
artificielle. Il s’agissait des :
 Parallel bandpass vocoder (vocoder à bande-passante parallèle) :un analyseur de
paroles et un resynthétiseur, inventé en 1940.
 Vocoder speech synthesizer (synthétiseur de paroles vocoder) :modèle de reproduction
vocal inventé en 1939, dirigé par un opérateur humain. Cette machine, pilotée par
des soupapes, était dotée de deux claviers, de boutons pour recréer les consomnes,
d’une pédale pour le contrôle de la fréquence de l’oscillateur et d’une manette pour
activer et désactiver le son des voyelles.
L’analyseur détectait les niveaux d’énergie des échantillons sonores successifs mesurés
sur l’ensemble du spectre des fréquences audio via une série de filtres à bande étroite.
Les résultats de cette analyse pouvaient être visualisés graphiquement sous forme de
fonctions de fréquence évoluant dans le temps.
Le synthétiseur inversait le processus en scannant les données fournies par l’analyseur
et en donnant ces résultats à un certain nombre de filtres analytiques reliés à un
générateur de bruit. Cette combinaison produisait alors des sons.
Le voder a été présenté à l’Exposition Universelle de 1939, où il fit sensation. Lors de
la Seconde Guerre Mondiale, le vocoder (il s’appelle désormais VOice enCODER) a fait
preuve de son importance cruciale, en brouillant les conversations transocéaniques
entre Winston Churchill et Franklin Delanore Roosevelt.
Werner Meyer-Eppler, directeur de Université de phonétique de Bonn, a reconnu la
pertinence des machines pour produire de la musique électronique, après que Dudley
lui eût rendu visite à l’université en 1948. Meyer-Eppler se servit du Vocoder comme
base de ses travaux publiés qui, à leur tour, devinrent l’inspiration du mouvement
allemand « Elektronische Musik ».
Dans les années 1950, quelques enregistrements suivront.
En 1960, le synthétiseur Siemens a été développé à Munich. Parmi ses nombreux
oscillateurs et filtres, il comportait un circuit de vocoder à lampes.182 Chapitre 14 EVOC 20 PolySynth
En 1967, une société appelée Sylvania créait un certain nombre de machines numériques
utilisant l’analyse temporelle des signaux d’entrée, plutôt que l’analyse basée sur des filtres
passe-bande.
En 1971, après avoir étudié la machine de Dudley, Bob Moog et Wendy Carlos modifiaient
un certain nombre de modules de synthétiseurs pour créer leur propre vocoder pour la
bande originale du film Orange mécanique.
La société « EMS » de Peter Zinovieff, basée à Londres, a développé un vocoder autonome, et donc davantage portable. Cette société est probablement plus connue pour
ses synthétiseurs « Synthi AKS » et VCS3. Le Vocoder proposé par EMS Studio fût la
première machine au monde, en 1976, à être proposée sur le marché. Il fût plus tard
renommé EMS 5000. Ses utilisateurs comptent parmi Stevie Wonder et Kraftwerk.
Stockhausen, le pionnier allemand du mouvement « Elektronische Musik », utilisait
également un vocoder EMS.
Sennheiser met en vente le VMS 201 en 1977, et EMS lance l’EMS 2000, qui était une
version simplifiée de son frère aîné.
1978 voit les débuts de l’usage intensif du vocoder, qui gagne en popularité grâce à la
musique de Herbie Hancock, Kraftwerk, et quelques autres artistes. Parmi les fabricants
qui sont passés à la production de vocoders cette année-là, on trouve :Synton/Bode,
Electro-Harmonix et Korg, avec le VC-10.
En 1979, Roland lance le VP 330, un ensemble vocoder/clavier.
La fin des années 1970 et le début des années 1980 voient l’apogée du vocoder.
Les artistes qui l’utilisent se nomment :ELO, Pink Floyd, Eurythmics, Tangerine Dream,
Telex, David Bowie, Kate Bush et bien d’autres encore.
Côté production, les vocoders étaient (et sont toujours) assemblés pour pas cher
sous forme de kits vendus par les magasins d’électronique.
Depuis les années 1980 et jusqu’à aujourd’hui, EMS au Royaume-Uni, Synton en
Hollande et PAiA aux USA sont toujours les principaux étendards du vocoder.
En 1996, Doepfer en Allemagne et Music & More ont rejoint la grande famille des
fabricants de vocoders.
Au cours des années 1990, sont apparus de nombreux vocoders autonomes basés
sur des logiciels.15
183
15 EFM 1
L’EFM1 à 16 voix est un synthétiseur à la fois simple et
performant qui s’appuie sur la modulation de fréquence.
Il produit les sonorités numériques et les sons de cloche riches typiques de la synthèse
par modulation de fréquence, plus communément appelée synthèse FM.
Au cœur du moteur de l’EFM1, se trouvent un oscillateur à ondes multiples modulator
et un oscillateur sinusoïdal carrier. Le rôle de l’oscillateur Modulator est de moduler la
fréquence de l’oscillateur Carrier au sein du spectre audio, produisant ainsi de nouvelles
harmoniques. Ces harmoniques sont connus sous le nom de bandes latérales.184 Chapitre 15 EFM 1
Le module EFM 1 se divise en plusieurs parties.
 La partie supérieure contient les paramètres globaux Transpose, Tune, Glide, Voices
et Unison.
 Le moteur FM se compose des paramètres Modulator et Carrier (sections plus sombres,
en relief) et des commandes FM, notamment l’enveloppe de modulation (Modulation
Env) et l’oscillateur basse fréquence (LFO) figurant dans la zone centrale en forme de
champignon.
 La partie inférieure renferme la section Output, composée des paramètres Sub Osc
Level et Stereo Detune, ainsi que des commandes Volume Envelope, Main Level et
Velocity. Dans le coin inférieur droit figure également un champ Randomize.
 Le panneau des paramètres étendus (accessible en cliquant sur le triangle d’affichage
en bas à gauche) vous permet d’assigner des contrôleurs MIDI aux paramètres FM
Amount (profondeur FM) et Vibrato.
Paramètres globaux
Ces paramètres ont un impact sur le son instrumental global produit par l’EFM 1.
Transpose
La tonalité de base est déterminée par le paramètre Transpose. Vous pouvez transposer
l’EFM 1 de ±2 octaves.
Tune
Le paramètre Tune permet d’accorder avec précision l’EFM 1 à ± 50 cents. Un cent
équivaut à 1/100e d’un demi-ton.
Unison
Lorsque vous activez le bouton Unison, deux voix EFM 1 complètes sont superposées ;
le son de l’EFM 1 devient alors plus lourd et plus épais. En mode Unison, l’EFM 1 peut
être joué avec une polyphonie de 8 voix.
Voices
Le nombre de voix pouvant être jouées simultanément (polyphonie) est déterminé
par le paramètre Voices. Les valeurs possibles sont :Mono (une voix), Legato (une voix)
et de 2 à 16 voix. En mode monophonique Legato, la lecture de notes superposées ne
redéclenche pas les enveloppes de l’EFM 1.
Glide
Le paramètre Glide permet d’introduire une modulation de hauteur continue entre deux
notes consécutives. La valeur Glide (en ms) détermine le temps que met la hauteur tonale
pour passer d’une note jouée à la suivante. Vous pouvez utiliser le paramètre Glide en
mode monophonique Mono ou Legato, ainsi qu’en mode polyphonique (de 2 à 16 voix).Chapitre 15 EFM 1 185
Randomize
La fonction Randomize (disponible dans l’angle inférieur droit de l’interface) génère
de nouveaux sons chaque fois que vous cliquez sur le bouton correspondant. Le degré
de randomisation (ou variance par rapport au son d’origine) est déterminé par la valeur
indiquée dans le champ numérique. Il est conseillé d’utiliser des valeurs inférieures
à 10 % si vous souhaitez juste modifier légèrement le son actuel.
Modulator et Carrier
Les paramètres Modulator et Carrier sont expliqués ci-après.
Harmonic
En synthèse FM, la structure harmonique de base est déterminée par la relation d’accord
entre le Modulator et le Volume envelope. Cette relation est souvent appelée rapport
d’accord. Dans le module EFM 1, ce rapport est établi à l’aide des commandes Harmonic
du Modulator et du Carrier. L’accord peut également être réglé par le biais des paramètres
Fine (Tune).
Vous pouvez accorder le Modulator et Volume envelope sur l’un des 32 premiers
harmoniques. La relation (ou rapport) d’accord modifie de façon considérable le son
de base de l’EFM 1, c’est pourquoi il est préférable de régler ce paramètre à l’oreille.
En règle générale, voici ce que l’on peut dire :les rapports d’accord pairs ont tendance
à produire un son plus harmonique ou plus musical, tandis que les rapports impairs
produisent des sonorités beaucoup moins mélodieuses, parfaites pour les sons de
cloche et les bruits métalliques.
Par exemple,si vous réglez le Modulator et le Volume envelope sur le premier harmonique
(rapport de 1:1), vous obtiendrez un son en dent de scie. Si vous réglez le Modulator sur
le deuxième harmonique et le Volume envelope sur le premier (rapport 2:1), la tonalité
produite vous fera penser à une onde carrée. Le rapport d’accord peut, par conséquent,
être comparé au sélecteur de forme d’onde d’un synthétiseur analogique.
Fine
Le paramètre Fine permet d’ajuster l’accord entre deux harmoniques adjacents (tel qu’il
est déterminé par la commande Harmonic). Cette commande a une plage de ±0,5 harmonique. Selon le degré de désaccord, cela peut soit créer un « battement » subtil du timbre,
soit,si un effet de désaccord important est utilisé, ajouter de nouvelles notes, harmoniques
et inharmoniques
En position centrale (0), le paramètre Fine n’a aucun effet. Vous pouvez facilement
le centrer en le réglant sur 0.186 Chapitre 15 EFM 1
Modulator Wave
En synthèse FM classique, les sinusoïdes sont utilisées en tant que formes d’onde pour
le Modulator et le Carrier. Pour étendre ses capacités acoustiques, l’oscillateur Modulator
de l’EFM 1 fournit un certain nombre de formes d’onde numériques supplémentaires.
Lorsque le bouton est tourné complètement vers la gauche, le Modulator produit une
sinusoïde. Si vous tournez le paramètre Wave dans le sens des aiguilles d’une montre,
vous verrez défiler une suite de formes d’onde numériques complexes. Ces formes
d’onde offrent une dimension harmonique supplémentaire aux sons FM obtenus.
Bouton Fixed Carrier
Ce bouton vous permet de déconnecter la fréquence porteuse des modulations du
clavier, de la hauteur tonale et du LFO.
Paramètres FM
Ces paramètres concernent les aspects de modulation de fréquence du module EFM 1.
FM (Intensity)
L’oscillateur Modulator a pour effet de moduler la fréquence du Volume envelope, ce
qui génère de nouvelles bandes latérales et donc de nouveaux harmoniques. Si vous
augmentez la valeur FM (Intensity) à l’aide du gros bouton central, le nombre d’harmoniques augmente et le son devient plus clair. Le paramètre FM (Intensity) est parfois
appelé FM Index.
Remarque :bien que la technologie sous-jacente soit très différente, le paramètre FM
(Intensity) peut être comparé au paramètre Filter Cutoff d’un synthétiseur analogique.
Modulation Env(elope)
Pour contrôler le paramètre FM (Intensity) de façon dynamique, l’EFM 1 fournit une
enveloppe de modulation ADSR (FM), composée de quatre curseurs :A (Attack, temps
d’attaque), D (Decay, temps de chute), S (Sustain, niveau de tenue) et R (Release, temps
de relâchement). L’enveloppe Modulation Env se déclenche dès qu’elle reçoit une note
MIDI. Le curseur Attack détermine le temps nécessaire pour atteindre le niveau d’enveloppe maximal. Le curseur Decay détermine le temps nécessaire pour atteindre le
niveau de tenue (lui-même déterminé par le curseur Sustain). Le niveau Sustain est
maintenu jusqu’à ce que la note MIDI soit relâchée. Le curseur Release détermine le
temps nécessaire pour atteindre le niveau zéro une fois que la note MIDI a été relâchée.
FM Depth
La force, ou impact, de l’enveloppe Modulation Env sur l’intensité FM est déterminée
par la commande FM Depth.Chapitre 15 EFM 1 187
Si vous tournez le bouton FM Depth dans le sens des aiguilles d’une montre, l’effet de
l’enveloppe de modulation augmente. Si vous tournez ce même bouton dans le sens
contraire, l’effet de l’enveloppe de modulation est inversé, ce qui signifie que l’enveloppe descend lors de la phase d’attaque et remonte pendant les phases de chute et
de relâchement.
En position centrale (0), l’enveloppe n’a aucun effet. Vous pouvez facilement centrer
le bouton FM Depth en le réglant sur 0.
Modulator Pitch
L’impact de l’enveloppe de modulation sur la tonalité de l’oscillateur Modulator est
déterminé par la commande Modulator Pitch.
Si vous tournez le bouton Modulator Pitch dans le sens des aiguilles d’une montre,
l’effet de l’enveloppe de modulation augmente. Si vous tournez ce même bouton dans
le sens contraire, l’effet de l’enveloppe de modulation est inversé, ce qui signifie que
l’enveloppe descend lors de la phase d’attaque et remonte pendant les phases de
chute et de relâchement.
En position centrale (0), l’enveloppe n’a aucun effet. Vous pouvez facilement centrer
le bouton Modulator Pitch en le réglant sur 0.
LFO
Le LFO (Low Frequency Oscillator, oscillateur basse fréquence) sert de source de modulation cyclique pour les paramètres FM Intensity ou Vibrato. Si vous tournez le bouton
LFO dans le sens des aiguilles d’une montre, l’effet du LFO sur l’intensité FM augmente.
Si vous le tournez dans le sens inverse, cela introduit un vibrato.
En position centrale (0), le LFO n’a aucun effet. Vous pouvez facilement centrer le bouton
LFO en le réglant sur 0.
Rate
Le rapport vitesse/fréquence des cycles du LFO est défini à l’aide du paramètre Rate.
Section Output
Le module EFM1 fournit plusieurs commandes de niveau, présentées ci-après.
Sub Osc Level
Pour obtenir une meilleure réponse dans les basses, l’EFM 1 comprend un oscillateur
sinusoïdal secondaire. Celui-ci agit une octave en dessous du moteur FM (selon la
valeur déterminée par le paramètre Transpose). Si vous montez le bouton Sub Osc
Level, la sinusoïde de l’oscillateur secondaire est mélangée à la sortie du moteur FM
de l’EFM 1.188 Chapitre 15 EFM 1
Stereo Detune
Stereo Detune ajoute un effet de chorus riche et varié au son de l’EFM 1. Pour cela,
la voix de l’EFM 1 est doublée à l’aide d’un second moteur FM désaccordé. Pour régler
le degré de désaccord, utilisez le bouton Stereo Detune. Un effet stéréo de grande
ampleur est également ajouté, ce qui augmente la « dimension spatiale » et la
« largeur » de votre son.
Vol(ume) Envelope
L’enveloppe de volume (Volume Envelope) détermine la forme globale du volume. Elle est
constituée de quatre curseurs :Attack (temps d’attaque), Decay (temps de chute), Sustain
(niveau de tenue) et Release (temps de relâchement). L’enveloppe de volume se déclenche
dès qu’elle reçoit une note MIDI. Le curseur Attack détermine le temps nécessaire pour
atteindre le niveau de volume maximal. Le curseur Decay détermine le temps nécessaire
pour atteindre le niveau de tenue (lui-même déterminé par le curseur Sustain). Le niveau
Sustain est maintenu jusqu’à ce que la note MIDI soit relâchée. Le curseur Release détermine le temps nécessaire pour atteindre un niveau de volume égal à zéro une fois que la
note MIDI a été relâchée.
Main Level
Le bouton Main Level permet d’ajuster le niveau de sortie global de l’EFM 1. Si vous
le tournez dans le sens des aiguilles d’une montre, le volume de sortie de l’EFM 1 augmente. Tournez-le dans le sens inverse et le volume de sortie diminuera.
Velocity
Le module EFM 1 est capable de répondre à la vélocité MIDI ;il réagit au moyen de
changements dynamiques de son et de volume. Ainsi, plus votre jeu est puissant, plus
le son sera fort et clair. La sensibilité de l’EFM 1 en réponse aux informations de vélocité entrantes est déterminée par le paramètre Velocity.
Tournez le bouton Velocity complètement vers la gauche si vous souhaitez que l’EFM 1
ne réagisse pas à la vélocité des notes. Plus vous tournez le bouton vers la droite, plus
la sensibilité à la vélocité augmente et, par la même occasion, les changements de son
dynamiques que l’EFM 1 est capable de produire.Chapitre 15 EFM 1 189
Assignation de contrôleurs MIDI
La section des paramètres étendus de l’EFM 1 vous permet d’assigner le contrôleur
MIDI de votre choix aux paramètres suivants :
 FM Intensity
 Vibrato
Sélectionnez simplement le contrôleur souhaité dans les menus Ctrl FM et Ctrl Vibrato,
puis réglez le degré de modulation ou de vibrato à l’aide des curseurs associés.
Remarque :le module EFM 1 répond également aux données de modulation de
hauteur :cette dernière est liée à la hauteur globale de l’EFM1.16
191
16 ES E
Ce chapitre présente le synthétiseur ES E polyphonique
huit voix.
L’ES E (ES Ensemble) est conçu pour les sons de nappe et d’ensemble. Il permet
d’ajouter des effets atmosphériques à votre musique, et requiert un temps système
faible. Tous les paramètres de l’ES E sont présentés dans la section ci-dessous.
 Boutons 4, 8 et 16 :détermine la transposition d’octaves de l’ES E.
 Potentiomètre Wave :si vous réglez le paramètre Wave complètement à gauche,
les oscillateurs produisent des signaux en dent de scie, qui peuvent être modulés
en fréquence par l’oscillateur sub-audio (LFO) intégré. Pour toute la plage restante,
les oscillateurs produisent des ondes pulsées dont la largeur moyenne d’impulsion
est définie par le paramètre Wave.
 Potentiomètre Vib/PWM :si le paramètre Wave est réglé sur une onde en dent de scie,
ce paramètre permet de définir l’amplitude de modulation de fréquence, donnant un
effet de vibrato ou de « sirène », selon l’intensité et la vitesse de l’oscillateur sub-audio
(LFO). S’il est réglé sur une onde pulsée, il contrôle l’amplitude de la modulation de la
largeur d’impulsion (PWM). Lorsque la largeur d’impulsion devient très réduite, le son
semble être « interrompu ». Compte tenu de cet effet potentiel, il convient de régler
l’intensité PWM avec précaution et de choisir la position centrale (équivalent à midi
sur le cadran d’une montre) du paramètre Wave (rectangulaire à 50 %) pour la largeur
d’impulsion, si vous souhaitez obtenir une plage de modulation maximale.
 Potentiomètre Speed :contrôle la fréquence de modulation de la tonalité (dent de scie)
ou de la largeur d’impulsion.192 Chapitre 16 ES E
 Potentiomètre Cutoff :définit la fréquence de coupure du filtre passe-bas dynamique
à résonance.
 Potentiomètre Resonance :définit la résonance du filtre passe-bas dynamique de l’ES E.
 Potentiomètre AR Int :l’ES E possède un générateur d’enveloppe pour chaque voix,
et comporte les paramètres Attaque et Relâchement. Le paramètre AR Int définit
l’amplitude de la modulation de la fréquence de coupure appliquée par le générateur d’enveloppe.
 Potentiomètre Velo Filter :détermine la sensibilité à la vélocité de la modulation de
la fréquence de coupure appliquée par le générateur d’enveloppe. Ce paramètre
n’a aucune incidence si le paramètre AR Int est défini sur 0.
 Curseur Attack :détermine le temps d’attaque du générateur d’enveloppe.
 Curseur Release :détermine le temps de relâchement du générateur d’enveloppe.
 Potentiomètre Velo Volume :contrôle la sensibilité à la vélocité, le volume sonore
de chaque note dépendant de la force avec laquelle elle a été créée.
 Potentiomètre Volume :définit le niveau de sortie de l’ES E.
 Bouton Chorus I, Chorus II et Ensemble :active/désactive l’une des trois variations
d’effets chorus/ensemble ES E.17
193
17 ES M
L’ES M monophonique (ES Mono) est un bon point de départ
si vous recherchez des sons de basse qui apportent plus
d’intensité à votre mixage.
Le synthétiseur compact ES M présente un mode de jeu portamento automatique,
facilitant le glissement de basses. Il comporte également un circuit de compensation
de filtre automatique qui offre des sons de basse riches et crémeux, même lors de
l’utilisation de valeurs de résonances plus importantes. Tous les paramètres de l’ES M
sont présentés dans la section ci-dessous.
 Boutons 8, 16 et 32 :détermine la transposition d’octaves de l’ES M.
 Potentiomètre Glide :l’ES M fonctionne en permanence dans un mode de jeu portamento, c’est-à-dire que les notes sont jouées en legato, ce qui permet de glisser
(effet portamento) d’une hauteur à l’autre. La vitesse du glissé est définie par le
paramètre Glide. S’il est réglé sur 0, aucun effet de glissé n’est utilisé.
 Potentiomètre Mix :effectue un fondu enchaîné entre une onde en dent de scie
et une onde rectangulaire à 50 %, qui sonne une octave plus bas.
 Potentiomètre Cutoff :définit la fréquence de coupure du filtre passe-bas dynamique
à résonance. Sa pente est de 24 dB/octave.194 Chapitre 17 ES M
 Potentiomètre Resonance :définit la résonance du filtre passe-bas dynamique.
L’augmentation de la valeur de résonance provoque une réjection des graves
(énergie dans les basses fréquences) lorsque vous utilisez des filtres passe-bas.
L’ES M compense en interne cet effet secondaire, de façon à produire un son
plus chargé en basses.
 Potentiomètre Int :l’ES M dispose de deux générateurs d’enveloppes très simples
offrant un seul paramètre Decay. Int permet la modulation de la fréquence de
coupure par l’enveloppe du filtre.
 Potentiomètre Decay (Filter) :détermine le temps de chute de l’enveloppe du filtre.
Il ne s’applique que si Int n’est pas défini sur 0.
 Potentiomètre Velo (Filter) :détermine la sensibilité à la vélocité de l’enveloppe du filtre.
Ce paramètre ne s’applique que si Int n’est pas défini sur 0.
 Potentiomètre Decay (Volume) :détermine le temps de chute de l’amplificateur
dynamique. Les temps d’attaque, de relâchement et de maintien du synthétiseur
sont réglés en interne sur 0.
 Potentiomètre Velo (Volume) :détermine la sensibilité à la vélocité de l’amplificateur
dynamique.
 Potentiomètre Vol :règle le volume général de l’ES M.
 Potentiomètre Overdrive :règle le niveau de saturation/distorsion de la sortie de l’ES
M. Attention :l’effet Overdrive augmente le niveau de sortie de façon significative.
 Curseurs Bender Range (paramètres étendus) :règle la sensibilité de la modulation
de hauteur par incréments d’un demi-ton.18
195
18 ES P
Ce chapitre présente le synthétiseur polyphonique 8 voix
ES P (ES Poly) de Logic.
Son fonctionnement, (à l’exception de sa sensibilité à la vélocité) rappelle un peu les
synthétiseurs polyphoniques abordables produits par les plus grands fabricants japonais dans les années 1980.Sa conception est facile à comprendre, il est capable de produire un grand nombre de sons utiles en musique et avec lui, vous aurez certainement
du mal à créer des sons qui ne puissent s’intégrer dans la plupart des styles musicaux.
Les sons classiques de cuivres synthétiques analogiques ne sont qu’une de ses nombreuses spécialités. Vous trouverez dans la section suivante, une description de chacun
des paramètres ES P.
 Boutons 4, 8 et 16 :les boutons 4, 8 et 16 servent à régler la transposition d’octave
de l’ES P.
 Curseurs de forme d’onde :les curseurs situés sur le côté gauche de la fenêtre vous
permettent de mélanger plusieurs formes d’onde, produites par les oscillateurs de
l’ES P. En plus des ondes triangulaires, en dent de scie et rectangulaires, des ondes
rectangulaires de deux sous-oscillateurs sont également disponibles. L’une d’elles
« sonne » une octave en dessous des oscillateurs principaux et l’autre, deux octaves
en dessous. La largeur d’impulsion de toutes les ondes rectangulaires est de 50 pour
cent. Le curseur situé tout à fait à droite permet d’ajouter du bruit blanc au mélange.
C’est la « matière première » des effets sonores classiques de synthétiseur, comme
ceux évoquant les vagues de l’océan, le vent et les hélicoptères.196 Chapitre 18 ES P
 Potentiomètre Vib/Wah :l’ES P dispose d’un LFO qui peut moduler soit la fréquence
des oscillateurs, pour un effet de vibrato, soit la fréquence de coupure du filtre
passe-bas dynamique, donnant un effet « Wah-Wah ». Tournez le bouton vers la gauche pour obtenir un vibrato ou vers la droite pour moduler le filtre de façon cyclique.
 Potentiomètre Speed :contrôle la vitesse de la modulation de la fréquence de l’oscillateur ou de la fréquence de coupure.
 Potentiomètre Frequency :définit la fréquence de coupure du filtre passe-bas
dynamique à résonance.
 Potentiomètre Resonance :définit la résonance du filtre passe-bas dynamique.
L’augmentation de la valeur de résonance provoque une réjection des graves
(énergie dans les basses fréquences) lorsque vous utilisez des filtres passe-bas.
L’ES P compense cet effet secondaire en interne, ce qui donne un son avec plus
de basses.
 Boutons 1/3, 2/3 et 3/3 :la fréquence de coupure peut être modulée par un numéro
de note MIDI (position sur le clavier) ;vous connaissez peut être ce paramètre sous
le nom de « Keyboard Follow » (Suivi du Clavier) sur d’autres synthétiseurs. Vous avez
le choix entre :pas de modulation, suivi sur un tiers, deux tiers ou sur la totalité du
clavier (3/3). Réglé sur 3/3, le contenu harmonique relatif de chaque note est le
même, indépendamment de la hauteur de celle-ci.
 Potentiomètre ADSR :l’ES P dispose d’un générateur d’enveloppe ADSR par voie.
ADSR Int règle la valeur de la modulation de la fréquence de coupure par le générateur d’enveloppe ADSR.
 Potentiomètre Velo Filter :la modulation de la fréquence de coupure par le générateur d’enveloppe ADSR est sensible à la vélocité. Le degré de sensibilité à la vélocité
est définit par le potentiomètre Velo Filter.
 Potentiomètre Volume :règle le volume général de l’ES P.
 Potentiomètre Velo Volume : contrôle la sensibilité à la vélocité, le volume de chaque
note dépendant de la force avec laquelle elle a été créée.
 Curseur A (Attack) :détermine le temps d’attaque du générateur d’enveloppe.
 Curseur D (Decay) :détermine le temps de chute du générateur d’enveloppe.
 Curseur S (Sustain) :détermine le niveau de maintient du générateur d’enveloppe.
 Curseur R (Release) : détermine le temps de relâchement du générateur d’enveloppe.
 Potentiomètre Chorus : règle l’intensité de l’effet chorus intégré.
 Potentiomètre Overdrive :règle le niveau de saturation/distorsion de la sortie de l’ES P.
Attention :l’effet Overdrive augmente le niveau de sortie de façon significative.19
197
19 ES1
Ce chapitre présente le synthétiseur analogique virtuel ES1.
Le système très flexible de génération sonore de l’ES1 et ses options de modulation
intéressantes mettent à votre disposition toute une palette de sons analogiques :
basses dynamiques, atmosphères, leads mordants et percussions marquées.
Paramètres du module ES1198 Chapitre 19 ES1
Boutons 2’, 4’, 8’, 16’, 32’
Ces valeurs de séquence permettent de changer de tonalité en passant d’une octave à
une autre. 32 pieds correspond au réglage le plus grave, 2 pieds au réglage le plus aigu.
L’utilisation du terme « pied » pour mesurer les octaves vient du fait que l’on employait
cette unité pour mesurer la longueur des tuyaux d’un orgue.
Wave
Le paramètre Wave vous permet de sélectionner la forme d’onde de l’oscillateur, sur
laquelle repose la couleur sonore de base du morceau. Vous pouvez choisir n’importe
quelle largeur d’impulsion comprise entre les symboles d’onde carrée et d’onde pulsée.
La largeur d’impulsion peut également être modulée via la section de modulation
(reportez-vous à la section « Router », à la page 202). Par exemple, une modulation de
la largeur d’impulsion à l’aide d’un LFO à cycle lent permet de rendre provisoirement
muets les sons de basses graves.
Sub
L’oscillateur secondaire (Sub) génère des ondes carrées (inférieures d’une ou deux octaves
par rapport à la fréquence de l’oscillateur principal), ainsi qu’une onde pulsée (inférieure
de deux octaves par rapport à la fréquence de l’oscillateur principal). Outre les ondes
carrées pures, le sélecteur de formes d’onde permet de choisir entre différents mixages
et différentes relations de phase entre ces ondes, ce qui produit des sons différents.
Vous pouvez également utiliser un bruit blanc ou mettre l’oscillateur secondaire en position OFF. Vous pouvez diriger un signal Side Chain (depuis n’importe quelle piste) dans
le filtre du synthétiseur (sélectionnez EXT). Pour sélectionner la piste source Side Chain,
cliquez sur le menu Side Chain situé en haut de la fenêtre du module.
Mix
Ce curseur définit la relation de mixage entre le signal de l’oscillateur principal et celui
de l’oscillateur secondaire. Lorsque l’onde de l’oscillateur secondaire est désactivée
(position OFF), son signal de sortie est totalement supprimé du mixage.
? Astuce :des valeurs de résonance élevées permettent de provoquer une auto-oscillation du filtre, ce qui peut être utile si vous souhaitez utiliser le filtre comme oscillateur.Chapitre 19 ES1 199
Paramètres Filter
Cette section décrit les paramètres de filtrage disponibles dans le module ES1.
Drive
Il s’agit d’une commande du niveau d’entrée associée au filtre passe-bas, qui vous permet
d’appliquer un effet d’Overdrive au filtre. Son utilisation modifie le comportement du
paramètre Resonance et le son la forme d’onde peut subir une distorsion.
Cutoff et Resonance
Le paramètre Cutoff contrôle la fréquence de coupure du filtre passe-bas de l’ES1.
Le paramètre Resonance accentue les portions du signal qui entourent la fréquence
définie par le paramètre Cutoff. Cette accentuation peut être définie de façon si intense
que le filtre commence à osciller par lui-même. Lorsqu’il atteint l’auto-oscillation, le filtre
génère une oscillation sinusoïdale (ou sinusoïde). Si le paramètre Key est réglé sur 1,
vous pouvez jouer le filtre de façon chromatique à partir d’un clavier MIDI.
Il existe un autre moyen de définir la fréquence de coupure :cliquez sur le mot Filter
(entouré par les sélecteurs de pente), maintenez le bouton de la souris enfoncé et
déplacez le curseur verticalement pour ajuster la fréquence de coupure. Déplacez la
souris horizontalement pour ajuster la résonance.
Boutons Slope
Le filtre passe-bas offre quatre pentes différentes de rejet de bandes au-dessus
de la fréquence de coupure.
 Le réglage « 24 dB classic » imite le comportement d’un filtre de type Moog :
si vous augmentez la résonance, la partie basse du signal est réduite.
 Le réglage « 24 dB fat » compense cette réduction du contenu basse fréquence.
Une augmentation de la résonance ne diminue pas la partie basse du signal ;
ce réglage est donc proche d’un filtre de type Oberheim.
 Le réglage 18 dB tend à faire ressembler le son du filtre à celui du TB-303 de Roland.
 Le réglage 12 dB produit un son doux et homogène qui rappelle celui des premiers
Oberheim SEM.
Key
Ce paramètre contrôle l’intensité de modulation de la fréquence de coupure en fonction de
la tonalité du clavier (numéro de note). Si le paramètre Key est réglé sur zéro, la fréquence
de coupure reste inchangée, quelle que soit la note jouée. Ainsi, les notes graves auront un
son relativement plus clair que celui des notes aiguës. Si le paramètre Key est réglé sur la
valeur maximale, le filtre suit la tonalité, afin que la relation entre la fréquence de coupure
et la tonalité soit constante.200 Chapitre 19 ES1
ADSR Via Vel
Le générateur d’enveloppe principal (ADSR) module la fréquence de coupure pendant
toute la durée d’une note. L’intensité de cette modulation peut avoir une valeur positive
ou négative et peut réagir aux informations de vélocité. Si vous jouez pianissimo
(Velocity = 1), la modulation aura lieu au niveau de la flèche du bas. Si vous jouez
vraiment fortissimo (Velocity = 127), la modulation aura lieu au niveau de la flèche
du haut. La barre bleue entre les flèches illustre la dynamique de cette modulation.
Vous pouvez ajuster simultanément l’étendue et l’intensité de la modulation en attrapant la barre et en déplaçant les deux flèches en même temps. En procédant ainsi,
vous pourrez constater que la distance relative entre les deux est préservée.
Level Via Vel
La flèche du haut agit comme une commande de volume principale pour le synthétiseur. Plus elle est éloignée de la flèche du bas (indiquée par les barres bleues), plus le
volume est affecté par les messages de vélocité entrants. La flèche du bas indique le
niveau lorsque vous jouez pianissimo (vélocité =1). Vous pouvez ajuster simultané-
ment l’étendue et l’intensité de la modulation en attrapant la barre et en déplaçant
les deux flèches en même temps. En procédant ainsi, vous pourrez constater que la
distance relative entre les deux est préservée. Afin de conserver la meilleure résolution
possible pour la sensibilité à la vélocité, même lorsque le volume est bas, le module
ES1 dispose d’un paramètre Out Level supplémentaire, accessible depuis la présentation Controls.
Sélecteur de l’enveloppe d’amplification
Les boutons AGateR, ADSR et GateR déterminent quelles commandes du générateur
d’enveloppe ADSR ont une incidence sur l’enveloppe d’amplification.
 AGateR :active les commandes de temps d’attaque et de relâchement mais permet de
conserver un niveau constant entre le moment où le niveau de crête est atteint et celui
où la note est relâchée, quels que soient les réglages de chute et de tenue définis.
 ADSR :active toutes les commandes de la section de l’amplificateur.
 GateR :définit le temps d’attaque de la section de l’amplificateur sur zéro, de sorte
que seule la commande de relâchement continue d’agir sur l’enveloppe de volume.Chapitre 19 ES1 201
Tous les paramètres ADSR resteront toujours actifs pour le filtre (ADSR via Vel). A correspond au temps d’attaque, R au temps de relâchement et Gate est le nom d’un signal de
contrôle utilisé dans les synthétiseurs analogiques, qui indique à un générateur d’enveloppe qu’une touche est pressée. Tant qu’une touche de synthétiseur analogique reste
enfoncée, le signal Gate garde une tension constante. Utilisé comme source de modulation dans l’amplificateur contrôlé en tension (et non dans l’enveloppe elle-même),
il crée une enveloppe de type orgue sans aucun paramètre d’attaque, de chute ou de
relâchement.
Glide
Le paramètre Glide définit la durée (portamento) appliquée à chaque note déclenchée.
Le comportement du déclencheur Glide dépend de la valeur définie pour le paramètre
Voices (reportez-vous à la section « Voices » à la page 204). La valeur 0 désactive la
fonction Glide.
LFO Waveform
Le LFO propose plusieurs formes d’onde :triangulaire, en dents de scie ascendantes
et descendantes, onde carrée, Sample & Hold (aléatoire) et une onde aléatoire décalée
dont la forme change en douceur. Vous pouvez également assigner un signal Side
Chain (toute piste audio) comme source de modulation (EXT). Sélectionnez la piste
source Side Chain via le menu Side Chain situé en haut de la fenêtre du module.
Rate
Ce paramètre définit la vitesse (fréquence) de modulation. Si vous choisissez des valeurs
situées à gauche du zéro, la phase du LFO est verrouillée sur le tempo du projet, avec
des durées de phase ajustables entre 1/96 de mesure et 32 mesures. Si vous optez pour
des valeurs situées à droite du zéro, la phase du LFO peut évoluer librement. S’il est
défini sur zéro, le LFO produit un niveau constant (et complet), ce qui vous permet
d’utiliser la roulette de modulation pour moduler, entre autres, la largeur d’impulsion :
un déplacement de la roulette de modulation modifie la largeur d’impulsion en fonction
du réglage « Int via Whl »,sans introduire de modulation du LFO.
Int Via Whl
La flèche du haut définit l’intensité de modulation du LFO si la roulette de modulation
(contrôleur MIDI 1) est réglée sur sa valeur maximale. La flèche du bas définit l’intensité de modulation du LFO si la roulette de modulation est réglée sur zéro. La distance
entre les flèches (représentée par une barre verte) indique la portée de la roulette de
modulation de votre clavier. Vous pouvez ajuster simultanément l’étendue et l’intensité de la modulation en attrapant la barre et en déplaçant les deux flèches en même
temps. En procédant ainsi, vous pourrez constater que la distance relative entre les
deux est préservée.202 Chapitre 19 ES1
Router
La section Router définit la cible pour la modulation du LFO et l’enveloppe de modulation. Une cible peut être définie pour le LFO, une autre pour l’enveloppe de modulation.
Vous pouvez moduler les éléments suivants :
 La tonalité (fréquence) de l’oscillateur.
 La largeur d’impulsion de l’onde pulsée.
 Le mixage entre l’oscillateur principal et l’oscillateur secondaire.
 La fréquence de coupure du filtre.
 La résonance du filtre.
 Le volume principal (amplificateur).
Les deux cibles suivantes sont uniquement disponibles pour l’enveloppe de modulation :
 Filter FM (intensité de modulation de la fréquence de coupure par l’onde triangulaire de
l’oscillateur) :les caractéristiques de la modulation ne sont pas linéaires. Par consé-
quent, vous pouvez obtenir une pseudo-distorsion des sons existants ou, si seule
l’auto-oscillation du filtre de résonance est perceptible, créer des sons métalliques,
de style FM. Pour ce faire, réglez l’option Sub sur off et l’option Mix sur Sub.
 LFO Amp (intensité globale de la modulation du LFO) :l’une des applications consiste à
créer un vibrato décalé en modulant l’intensité de la modulation du LFO,si le paramètre
Router du LFO est réglé sur Pitch. La forme de l’enveloppe de modulation contrôle
l’intensité du vibrato. Sélectionnez un réglage de style d’attaque (valeur élevée pour
l’option form).
Int Via Vel
La flèche vers le haut contrôle le réglage de l’intensité de modulation supérieure associée à l’enveloppe de modulation, si vous frappez une touche selon le paramètre fortissimo le plus élevé (vélocité = 127). La flèche vers le bas contrôle le réglage de l’intensité
de modulation inférieure associée à l’enveloppe de modulation, si vous frappez une
touche selon le paramètre pianissimo le plus doux (vélocité = 1). La barre verte entre
les flèches illustre l’impact de la sensibilité à la vélocité sur l’enveloppe de modulation
(ou sur l’intensité de cette dernière). Vous pouvez ajuster simultanément l’étendue et
l’intensité de la modulation en attrapant la barre et en déplaçant les deux flèches en
même temps. En procédant ainsi, vous pourrez constater que la distance relative entre
les deux est préservée.Chapitre 19 ES1 203
Mod Envelope
La section Mod Envelope (enveloppe de modulation) n’est constituée que d’un paramè-
tre. Vous pouvez définir une enveloppe de chute de type percussif (valeurs faibles) ou
des enveloppes de type attaque (valeurs élevées). Un réglage maximal de l’enveloppe
de modulation produit un niveau constant et maximal, ce qui est utile lorsque vous souhaitez qu’un paramètre soit modulé uniquement en fonction de la vélocité. Pour ce faire,
sélectionnez une destination de modulation (LFO Amplitude, par exemple), réglez l’enveloppe de modulation sur la valeur maximale et ajustez le paramètre Int via Vel de façon
appropriée afin d’obtenir un niveau de modulation LFO Amplitude sensible à la vélocité
mais ne variant pas au fil du temps.
ADSR
L’enveloppe ADSR affecte le filtre (ADSR via Vel) et l’amplificateur (s’il est réglé sur
ADSR). Les paramètres sont le temps d’attaque (A), le temps de chute (D), le niveau
de tenue (S) et le temps de relâchement (R). Si vous n’avez pas l’habitude de ces
paramètres :réglez l’amplificateur sur ADSR, le réglage Cutoff sur une valeur faible,
le réglage Resonance sur une valeur élevée et déplacez les deux flèches « ADSR via
Vel » vers le haut, afin de voir la fonction de ces paramètres.
Tune
Le réglage Tune définit la tonalité de l’ES1.
Analog
Le réglage Analog modifie légèrement la hauteur de chaque note, ainsi que la fréquence
de coupure, de façon aléatoire. Comme dans un synthétiseur analogique polyphonique,
les valeurs Analog supérieures à zéro permettent au cycle des oscillateurs de toutes les
voix déclenchées d’évoluer librement. Notez que si le réglage Analog a la valeur zéro,
les points de départ de chaque cycle d’oscillateur de toutes les voix déclenchées sont
synchronisés. Cela peut s’avérer utile pour les sons percussifs, lorsque vous cherchez à
obtenir une caractéristique d’attaque plus franche. Pour obtenir un son chaud de type
analogique, le paramètre Analog doit être défini sur des valeurs plus élevées, chaque
voix déclenchée sera alors associée à des variations plus subtiles.
Bender Range
Le réglage Bender Range permet de sélectionner la sensibilité du modulateur de hauteur
en demi-tons.
Out Level
Out Level correspond à la commande de volume principale du synthétiseur ES1.204 Chapitre 19 ES1
Voices
Le nombre affiché correspond au nombre maximal de notes pouvant être jouées simultanément. Chaque instance de l’ES1 offre une polyphonie de 16 voix maximum. Si vous
jouez moins de voix, vous aurez besoin de moins de ressources système.
Si vous réglez le paramètre Voices sur Legato, l’ES1 se comporte comme un synthétiseur
monophonique à déclencheur simple et avec la fonction Fingered portamento activée.
Cela signifie que, si vous jouez legato, un effet portamento correspondant au réglage
Glide se produira ;en revanche, si vous relâchez chaque touche avant d’appuyer sur la
suivante, il n’y aura aucun effet de portamento. L’enveloppe ne sera pas déclenchée par
la nouvelle note. Ainsi, vous obtenez des effets de modulation de hauteur sans vous
servir du modulateur. N’oubliez pas de sélectionnez une valeur Glide plus élevée lorsque vous utilisez le réglage Legato.
Chorus
L’ES1 offre des effets Chorus/Ensemble stéréo classiques.Quatre réglages sont disponibles :
Off, C1, C2 et Ens.
L’option Off désactive l’effet Chorus. C1 et C2 constituent des effets Chorus typiques.
C2 est une variante de C1, caractérisée par une modulation plus importante. En comparaison, l’effet Ensemble (Ens) fait appel à une routine de modulation plus complexe,
qui crée un son plus riche et plus dense.Chapitre 19 ES1 205
Liste des contrôleurs MIDI
Numéro de contrôleur Nom de paramètre
12 Boutons de tonalité de l’oscillateur
13 Forme d’onde de l’oscillateur
14 Curseur Mix
15 Forme d’onde de l’oscillateur secondaire
16 Curseur Drive
17 Curseur Cutoff
18 Curseur Resonance
19 Boutons Slope
20 ADSR via Vel :curseur inférieur
21 ADSR via Vel :curseur supérieur
22 Curseur Attack
23 Curseur Decay
24 Curseur Sustain
25 Curseur Release
26 Curseur Key
27 Boutons du sélecteur de l’enveloppe d’amplification
28 Level via Velocity :curseur inférieur
29 Level via Velocity :curseur supérieur
30 Paramètre Chorus
31 Cible de l’enveloppe de modulation
102 Curseur de forme de l’enveloppe de modulation
103 Enveloppe de modulation :paramètre Int via Vel :curseur inférieur
104 Enveloppe de modulation :paramètre Int via Vel :curseur supérieur
105 Fréquence du LFO
106 Forme d’onde du LFO
107 Cible de modulation du LFO
108 LFO :Int via Whl :curseur inférieur
109 LFO :Int via Whl :curseur supérieur
110 Curseur Glide
111 Paramètre Tune
112 Paramètre Analog
113 Paramètre Bender Range
114 Paramètre Out Level
115 Paramètre Voices20
207
20 ES2
Le synthétiseur ES2 associe un puissant moteur de synthèse
sonore à de nombreuses fonctionnalités de modulation.
L’ES2 fournit trois oscillateurs synchronisables. Ces derniers peuvent, en outre, utiliser
la fonction de modulation en anneau. La modulation par largeur d’impulsion est également possible. L’oscillateur 2 permet de moduler la fréquence de l’oscillateur 1 et ce
dernier vous permet de produire des sons de synthétiseur de style FM.
Outre les formes d’onde des synthétiseurs analogiques classiques, les oscillateurs de
l’ES2 fournissent 100 formes d’onde à cycle unique, connues sous le nom de Digiwaves.
Chacune a une couleur sonore totalement différente des autres. Vous pouvez même,
à l’aide de la matrice de modulation, réaliser des fondus enchaînés ou des pas entre
ces formes d’onde. Vous obtenez de cette manière des sons évoquant les synthétiseurs
à tables d’ondes.
La matrice de modulation (connue sous le nom de routeur) peut être utilisée en plus
d’un certain nombre de configurations de modulation câblées en dur. Le concept
d’association d’une source de modulation à une cible de modulation (pour effectuer des
processus) de modulation, est pratiquement aussi ancien que le synthétiseur lui-même.
Au centre de ce concept, il y a la possibilité d’insérer d’importants ensembles de cibles
et de sources de modulation dans des canaux de modulation. L’ES2 propose 10 canaux
dans le routeur.
Deux filtres multimodes dynamiques (utilisables en parallèle ou en série) peuvent
fournir des sons épais, proches de ceux des synthétiseurs analogiques.
Le mode Unison d’ES2 peut être utilisé à la fois en monophonique et polyphonique.
Il est ainsi facile de recréer, quasi à l’identique, les sons volumineux des synthétiseurs
analogiques classiques tels que le Roland Jupiter 8, le SCI Prophet V ou l’Oberheim OB 8.
Vous pouvez directement mixer une onde sinusoïdale (issue de l’oscillateur 1) dans
l’amplificateur dynamique afin d’épaissir le son.208 Chapitre 20 ES2
Des contrôles macros dédiés simplifient et accélèrent l’ajustement simultané de
plusieurs paramètres de génération de sons dans l’ES2. Pour régler ces contrôles,
vous pouvez utiliser la souris ou les potentiomètres et curseurs de votre clavier MIDI,
comme sur un vrai synthétiseur.
Dernière caractéristique, et non des moindres, les effets de type Distortion, Chorus,
Phaser et Flanger sont intégrés dans l’ES2.
Paramètres de l’ES2
Pour résumer le principe des synthétiseurs soustractifs, on pourrait s’exprimer ainsi :
l’oscillateur génère l’oscillation (ou forme d’onde), le filtre enlève les harmoniques
superflus (de la forme d’onde) et l’amplificateur dynamique règle le volume de
l’oscillation permanente (la forme d’onde filtrée) sur zéro tant qu’aucune touche
n’est appuyée.
Sur un synthétiseur analogique, ces trois sections sont communément appelées VCO,
VCF et VCA, VC correspondant à Voltage Controlled (contrôlé en tension), les autres
lettres signifiant respectivement Oscillateur, Filtre et Amplificateur.
Les paramètres élémentaires d’un synthétiseur sont contrôlés (modulés) par des tensions :
tonalité pour l’oscillateur, timbre pour le filtre, niveau sonore dans l’amplificateur.
Ces tensions sont générées par des sources de modulation. Dans l’ES2, le routeur
détermine quelles sources contrôlent quels paramètres.Chapitre 20 ES2 209
Pour terminer, il faut signaler que le son du synthétiseur est affiné par des effets
de type Distortion ou Chorus.
Le simple cheminement du signal est retracé ici pour présenter les différents modules
internes de l’ES2 et leurs paramètres.
Paramètres globaux
Ces paramètres affectent le son instrumental global produit par l’ES2. Les paramètres
globaux se trouvent sur la partie gauche des oscillateurs, et au-dessus de la section Filter.
Tune (Accord)
Ce paramètre permet de régler la tonalité de l’ES2 au cent près. 100 cents correspondent
à un demi-ton. Une valeur de 0 c (zéro cent),signifie que le La’ correspond à 440 Hz,soit
le diapason de concert.
Analog
Ce paramètre modifie la tonalité de chaque note, ainsi que la fréquence de coupure
de manière aléatoire. Comme avec les synthétiseurs analogiques polyphoniques,
les trois oscillateurs utilisés par chaque voix de synthétiseur conservent leur propre
déviation, mais sont décalés d’autant, aléatoirement. Des valeurs moyennes simulent
les instabilités d’accord typiques des circuits des synthétiseurs analogiques. Cela peut
être utile notamment pour reproduire cette chaleur très recherchée des vrais synthétiseurs analogiques.
Si l’ES2 est réglé en mono ou legato, le paramètre Analog n’est effectif que lorsque
le mode Unison est activé. Dans ce cas, le paramètre Analog permet de déterminer
l’ampleur du désaccord entre les différentes voix superposées (unisson).
Si les voix sont réglées sur 1 et que le mode Unison est désactivé, le paramètre Analog
n’a aucun effet.
Pour en savoir davantage sur ces paramètres, reportez-vous à la section « Mode clavier
(Poly/Mono/Legato) », à la page 210.
Paramètres globaux
Paramètres globaux210 Chapitre 20 ES2
CBD
Ce paramètre permet de désaccorder les oscillateurs 1, 2 et 3 au cent près (1/100 pour
cent d’un demi-ton). Cela engendre des battements (effet de phasing), dont la vitesse
est déterminée par la différence entre les fréquences (presque identiques) des deux
oscillateurs. Plus la hauteur tonale est haute, plus rapides sont les battements. Les notes
aiguës peuvent donc sembler plus désaccordées que les graves.
Le paramètre CBD (Constant Beat Detuning) recrée cet effet naturel en désaccordant
les basses fréquences selon un taux proportionnel aux fréquences élevées. Lorsqu’il
n’est pas désactivé, il est possible de lui affecter quatre valeurs différentes :25, 50, 75,
100 pour cent. Si vous choisissez 100 pour cent, les battements sont (presque) constants sur toute la gamme. Cette valeur peut toutefois se révéler trop élevée :les notes
graves peuvent être trop désaccordées, alors que tout se passe bien au niveau des plus
aiguës. Dans ce type de cas, essayez des valeurs plus faibles pour CBD (et réaliser un
désaccord, bien sûr).
La tonalité de référence pour CBD correspond à Do3 (Do central) :le désaccord de
cette note reste identique, quelle que soit la valeur de CDB.
Glide
Le paramètre Glide permet de définir la durée de portamento. Il s’agit du temps nécessaire
pour que la tonalité passe d’une note à une autre. Le comportement de ce paramètre
dépend du réglage des paramètres relatifs au mode clavier.
Si le mode clavier est réglé sur Poly ou Mono et que le paramètre Glide possède une
valeur autre que 0, le portamento est activé. Si le mode clavier est réglé sur Legato et
que Glide possède une valeur autre que 0, vous devez jouer legato (appuyer sur une
nouvelle touche tandis que l’autre est toujours enfoncée) pour activer le portamento.
Si vous ne jouez pas legato, le portamento est inactif. Ce comportement est également
appelé « fingered portamento ».
Bend Range
Bend Range permet de déterminer l’amplitude de la modulation de hauteur tonale
(pitch bend). L’amplitude est définie par ±36 demi-tons.Vous pouvez régler séparément le
pitch bend supérieur et le pitch bend inférieur, et utiliser un mode de couplage optionnel.
Mode clavier (Poly/Mono/Legato)
Lors de l’utilisation d’un instrument polyphonique, plusieurs notes peuvent être jouées
simultanément, comme le permettent notamment un orgue ou un piano.De nombreux
synthétiseurs sont monophoniques,surtout les plus anciens. Autrement dit, vous ne pouvez
jouer qu’une seule note à la fois, comme avec un instrument à vent (à embouchure ou à
anche). Ce n’est pas un inconvénient en soi :la monophonie autorise des styles de jeu
impossibles avec des instruments à clavier polyphoniques.Chapitre 20 ES2 211
Pour passer du mode monophonique au mode polyphonique, il suffit de cliquer sur
les boutons Poly et Mono. Le mode Legato est également monophonique, toutefois,
il présente une différence :les générateurs d’enveloppe sont redéclenchés uniquement
si vous jouez staccato. (Autrement dit,si vous relâchez chaque note avant de jouer la suivante.) Si vous jouez legato (c’est-à-dire,si vous appuyez sur une nouvelle touche tout en
maintenant l’ancienne enfoncée), les générateurs d’enveloppe ne sont déclenchés qu’à la
première note jouée et leurs courbes poursuivent leur évolution jusqu’à ce que vous relâ-
chiez la dernière note jouée legato. Si vous passez en Mono, un jeu legato ou staccato n’a
aucune influence :les générateurs d’enveloppe sont redéclenchés à chaque nouvelle note.
Remarque :si vous passez en mode Legato, il faut réellement jouer legato pour
entendre l’effet produit par le paramètre Glide.
Remarque :sur plusieurs synthétiseurs monophoniques, le comportement en mode
Legato est désigné par l’expression « déclenchement unique », alors que le mode
Mono est appelé « déclenchements multiples ».
Voices
Ce paramètre permet de définir le nombre maximal de notes pouvant être jouées
simultanément. La valeur maximale est 32.
La valeur de ce paramètre a un impact significatif sur les ressources consommées
par l’ES2 pour jouer en polyphonie maximale. Réduisez cette valeur au nombre de
voix dont vous avez effectivement besoin pour votre morceau. Si vous affectez une
valeur supérieure au paramètre, vous exigez davantage de votre processeur et
gaspillez ses ressources.
Unison
Le mode Unison est l’un des éléments clés des synthétiseurs analogiques. Traditionnellement, en mode Unison, les synthétiseurs analogiques polyphoniques fonctionnent
en monophonie, tous leurs oscillateurs jouant alors simultanément la même note.
Comme ils ne sont jamais parfaitement accordés, il en résulte un son d’une épaisseur
incroyable, avec un effet de chorus et une grande profondeur. Faites passer l’ES2 en
mode Mono ou Legato et activez le mode Unison pour reproduire cet effet. L’intensité
de l’effet d’unisson dépend du nombre de voix sélectionnées. Gardez à l’esprit que
les ressources de traitement exigées sont directement proportionnelles au nombre
de voix. L’intensité du désaccord (déviation de la voix) se règle par l’intermédiaire
du paramètre Analog.212 Chapitre 20 ES2
Outre cet effet classique d’unisson monophonique, l’ES2 possède également un effet
d’unisson polyphonique. En mode Poly/Unison, chaque note jouée est effectivement
doublée, ou, plus exactement, la valeur de polyphonie du paramètre Voices est divisée
en deux. Les deux voix sont ensuite utilisées pour chaque note déclenchée.
En activant simultanément Poly et Unison, vous obtenez le même effet qu’en réglant
l’ES2 sur Mono, Unison et Voices = 2, sauf que vous pouvez jouer polyphoniquement.
Osc Start
Les oscillateurs peuvent fonctionner indépendamment ou avoir la même position de
début de phase dans le cycle de leur forme d’onde à chaque fois qu’une touche est
enfoncée (chaque fois qu’ES2 reçoit un message de début de note).
 Si Osc Start (Oscillator Start) est défini sur Free, le point de départ de la phase initiale
de chaque oscillateur est aléatoire, pour chaque note jouée. Le son est alors plus vivant
et moins statique, comme avec un vrai synthétiseur analogique. En contrepartie,
le niveau de sortie peut varier à chaque note jouée et l’attaque peut voir son impact
émoussé.
 Si vous réglez le paramètre Osc Start sur Soft, la phase initiale de chaque oscillateur
débute à un point de passage par zéro, à chaque fois qu’une note est jouée.
Cela imite le caractère acoustique d’un synthétiseur numérique ordinaire.
 Si vous réglez le paramètre Osc Start sur Hard, à chaque touche enfoncée, la phase
initiale de chaque oscillateur commence au niveau le plus élevé du cycle de la forme
d’onde. Cet effet est perceptible uniquement si une faible valeur est affectée au paramètre ENV3 Attack Time (ce qui correspond à une attaque très rapide). Un tel réglage
est particulièrement recommandé pour les sons de percussions électroniques et de
basses plutôt durs.
Remarque :le réglage d’Osc Start sur Soft ou Hard assure un niveau de sortie constant
de la phase initiale de l’oscillateur, à chaque fois que le son est rejoué. Ce comportement
peut être d’une importance particulière lorsque vous utilisez la fonction Bounce de
Logic Express à un niveau d’enregistrement proche du maximum.Chapitre 20 ES2 213
Paramètres des oscillateurs
La section suivante décrit les paramètres pouvant être définis pour chaque oscillateur.
Ces paramètres se situent dans la zone argentée,sur la droite de l’interface ES2.
Désactivation du son des oscillateurs
En cliquant sur les numéros verts à droite des oscillateurs, vous pouvez activer ou
désactiver leur son indépendamment. Cela permet d’économiser les ressources
de traitement.
Potentiomètres de fréquence
Les potentiomètres de fréquence permettent de régler la tonalité par pas d’un demi-ton
pour une plage de ±3 octaves. Une octave comprend 12 demi-tons, les réglages ±12, 24
et 36 représentent donc des octaves. Vous pouvez cliquer sur ces options pour définir
rapidement l’octave correspondante.
L’affichage des valeurs fonctionne comme suit :les chiffres à gauche indiquent les
demi-tons (s, pour semitone en anglais), les chiffres à droite indiquent les cents
(c, 1 cent = 1/100 de demi-ton). Vous pouvez ajuster ces deux valeurs séparément.
Par exemple :un oscillateur réglé sur 12 s et 30 c sonne une octave (12 demi-tons)
et 30 cents plus haut qu’un oscillateur réglé sur 0 s, 0 c.
Remarque :la quinte (qui équivaut à 7 demi-tons) et tous les réglages correspondant
aux harmoniques d’un oscillateur réglé sur 0 demi-ton (par exemple, 19 ou 28 demi-tons)
donnent des résultats harmoniques.214 Chapitre 20 ES2
Onde
Chacun des trois oscillateurs présente un potentiomètre rotatif permettant de sélectionner
une forme d’onde. Cela détermine le contenu harmonique de base et la couleur tonale
du son. Les oscillateurs 2 et 3 sont pratiquement identiques mais diffèrent de l’oscillateur 1.
L’oscillateur 1 est capable de générer une onde sinusoïdale, la fréquence servant à moduler
les sons de synthèse FM dans la plage audio. Les oscillateurs 2 et 3 sont synchronisables, ou
peuvent être modulés en anneau, avec l’oscillateur 1. Ils présentent également des ondes
rectangulaires, dont la largeur d’impulsion fixe est entièrement paramétrable, et sont dotés
de fonction de modulation de largeur d’impulsion (PWM, Pulse Width Modulation).Via le
routeur, les ondes rectangulaires et pulsées de l’oscillateur 1 peuvent être modulées en
largeur en association avec les ondes rectangulaires synchronisées et modulées en anneau
des oscillateurs 2 et 3.
Remarque :le bouton Filter permet de désactiver la totalité de la section de filtrage.
Cela permet d’écouter facilement les formes d’onde pures qui sont générées par les
oscillateurs.
Formes d’onde de l’oscillateur 1
L’oscillateur 1 génère des formes d’onde standard (impulsion, rectangle, dent de scie,
triangle) ou encore une des 155 Digiwaves disponibles. Il peut également générer une
onde sinusoïdale pure.
L’onde sinusoïdale peut être modulée en fréquence par l’oscillateur 2 dans la plage
de fréquences audio. Ce type de modulation de fréquence linéaire est au centre de la
synthèse FM. La synthèse FM a été généralisée par les synthétiseurs tels que le DX7
de Yamaha (dont l’architecture est bien plus complexe, en ce qui concerne la synthèse FM).
En cliquant sur son numéro, vous désactivez la sortie de l’oscillateur 1.
Remarque :toutefois, même dans ce cas, l’oscillateur 1 reste disponible comme source
de modulation et de synchronisation pour les oscillateurs 2 et 3.
Digiwaves
L’ES2 propose non seulement les formes d’onde les plus courantes, mais aussi
une sélection de 100 formes d’onde supplémentaires, appelées Digiwaves.Chapitre 20 ES2 215
Pour sélectionner une Digiwave :
m Sélectionnez la sinusoïde avec le potentiomètre de forme d’onde, puis effectuez l’une
des opérations suivantes :
 Cliquez sur l’étiquette de la forme sinusoïdale en maintenant la touche Ctrl enfoncée,
puis choisissez la forme d’onde souhaitée à partir du menu contextuel.
 Cliquez sur l’étiquette de la forme sinusoïdale et, tout en maintenant le bouton
de la souris enfoncé, déplacez la souris verticalement.
? Astuce :vous pouvez sélectionner la Digiwave en utilisant son numéro et la touche
Maj. enfoncée.
Le numéro de la Digiwave est un paramètre modulable. En modulant la cible OscWave,
vous déroulez la liste des DigiWaves. Choisissez une vitesse et une fréquence de modulation suffisamment faibles pour entendre le fondu enchaîné entre une DigiWave et la
suivante. Les Digiwaves des trois oscillateurs peuvent être modulées séparément ou
conjointement. Les cibles de modulation sont expliquées dans la section « OscWaves »,
à la page 235, jusqu’à la section « OscWaveB », à la page 236.
Grâce à cette fonction de modulation de DigiWave, l’ES2 peut produire des sons
ressemblant à ceux des célèbres synthétiseurs à tables d’ondes, comme les PPG,
Waldorf ou Wavestation de Korg.
Modulation de fréquence linéaire
Le principe de la synthèse par modulation de fréquence (FM) linéaire a été développé
vers la fin des années 60 et au début des années 70 par John Chowning. Cette technique
de synthèse sonore est si souple et puissante qu’elle a constitué la base de toute une
génération de synthétiseurs exploitant exclusivement la synthèse FM, le plus célèbre
d’entre eux étant,sans conteste, le DX7 de Yamaha. La synthèse FM a aussi été employée
dans d’autres modèles de la gamme DX et dans certains pianos électroniques Yahama.
En termes de synthèse FM pure, l’ES2 ne peut pas être comparé à ces synthétiseurs, mais
il est parfaitement capable de créer des sons relevant de cette signature caractéristique.216 Chapitre 20 ES2
Entre le réglage sinusoïdal (quand le symbole de forme sinusoïdale est sélectionné)
et le symbole FM du potentiomètre de l’oscillateur 1, une plage de contrôle permet
un réglage progressif de l’intensité de la modulation de fréquence. Ce paramètre est
également disponible comme cible de modulation.
Remarque :Osc1Wave est optimisé pour des sons de type FM subtils, utilisant des
intensités modérées pour la modulation de fréquence. Pour des modulations FM plus
extrêmes, le routeur propose la cible Osc1WaveB. Voir la section « Cibles de
modulation », à la page 234.
La fréquence de l’oscillateur 1 est modulable par le signal en sortie de l’oscillateur 2.
En émettant une tension positive, la fréquence de l’oscillateur 1 augmente. Quand elle
est négative, la fréquence de l’oscillateur 1 diminue.
L’effet est similaire à celui obtenu avec une modulation par oscillateur basse fréquence
(LFO, Low Frequency Oscillator) pour créer un vibrato (modulation périodique de la fré-
quence) ou un lent effet de sirène. Toutefois, comparé à un LFO, l’oscillateur 2 n’oscille
pas lentement. Dans la plage audio, il oscille même un peu plus rapidement que
l’oscillateur 1 lui-même. Ainsi, l’oscillation obtenue de l’oscillateur 1 s’accélère et ralentit
aussi en une seule phase, provoquant une distortion de la ligne sinusoïdale de base de
l’oscillateur 1. Cette distorsion présente l’avantage qu’un certain nombre de nouveaux
sons harmoniques deviennent audibles.
L’effet obtenu par la modulation de fréquence dépend à la fois de l’intensité (profondeur)
de la modulation et des rapports de fréquences entre les deux oscillateurs concernés.
Il dépend également de la forme d’onde utilisée par l’oscillateur de modulation (Oscillateur
2). Les effets obtenus par la modulation varient selon la forme d’onde sélectionnée pour
l’oscillateur 2, laquelle peut parfaitement être synchronisée à l’oscillateur 1.Vous disposez de
100 DigiWaves différentes et il existe d’innombrables combinaisons d’intensités de modulation et de rapports de fréquences modulateur/porteur :l’ES2 autorise donc une infinité de
spectres et de couleurs sonores.
Formes d’onde des oscillateurs 2 et 3
Les oscillateurs 2 et 3 offrent les mêmes choix de formes d’onde analogiques que
l’oscillateur 1 :sinusoïdales, triangulaires, en dents de scie et rectangulaires. La largeur
d’impulsion peut varier progressivement de 50 pour cent à presque rien, et être
modulée de diverses façons (voir la section « Modulation de la largeur d’impulsion », à
la page 217).
Les oscillateurs 2 et 3 proposent également :
 une onde rectangulaire, synchronisée sur l’oscillateur 1 ;
 une onde en dents de scie, synchronisée sur l’oscillateur 1 ;Chapitre 20 ES2 217
 un modulateur en anneau, alimenté par la sortie de l’oscillateur 1 et une onde carrée
issue de l’oscillateur 2 ;
 un bruit coloré pour l’oscillateur 3.
La synchronisation et la modulation en anneau permettent de créer des spectres
harmoniques très complexes et souples. Le principe de la synchronisation d’oscillateurs est décrit à la page 218 et celui de la modulation en anneau à la page 218.
Modulation de la largeur d’impulsion
Les oscillateurs 2 et 3 permettent d’attribuer n’importe quelle valeur à la largeur
d’impulsion. Or, le spectre et la couleur sonore générés par ces oscillateurs dépendent
de la largeur d’impulsion. Celle-ci peut d’ailleurs être modulée. Vous pouvez même
moduler la largeur d’impulsion des ondes carrées et pulsées de l’oscillateur 1, celle des
signaux pulsés synchronisés issus des oscillateurs 2 et 3, et même celle du signal carré
du modulateur en anneau de l’oscillateur 2.
Cette modulation de la largeur d’impulsion se contrôle dans le routeur (la matrice
de modulation). La largeur d’impulsion est définie par la position du potentiomètre
de forme d’onde. Le schéma ci-dessous montre une onde pulsée dont la largeur est
modulée par un LFO. Vous pouvez clairement observer l’évolution de la largeur
d’impulsion dans le temps.
Remarque :en modulant la largeur d’impulsion d’un signal par l’intermédiaire d’un
LFO générant un signal sinusoïdal, vous pouvez rendre le son d’un seul oscillateur plus
vivant, ondulant et riche en harmoniques. Au niveau sonore, le résultat évoque le
son obtenu en combinant les signaux de deux oscillateurs légèrement désaccordés.
Cela est particulièrement intéressant avec les sons de nappes et de basses tenus.
Définissez soigneusement l’intensité et la vitesse de la modulation. En effet, lorsque
les impulsions deviennent très étroites (largeur inférieure à 10 pour cent), le volume
général (et le niveau du premier partiel) diminue et un léger désaccord apparaît.
Les modulations de largeur d’impulsion via des générateurs d’enveloppe sensibles
à la vélocité engendrent un jeu particulièrement dynamique. Cet effet intéressant
convient tout spécialement aux sons percussifs de basses.218 Chapitre 20 ES2
Sync
Les formes d’onde rectangulaires et en dent de scie comportent également une option
Sync.Dans ce mode, la fréquence de l’oscillateur 2 (ou 3, respectivement) est synchronisée
sur la fréquence de l’oscillateur 1.
Cela ne signifie pas que leurs contrôles de fréquence sont tout simplement désactivés.
En fait, ils oscillent toujours aux fréquences sélectionnées, mais à chaque fois que
l’oscillateur 1 entame une nouvelle phase, l’oscillateur synchronisé est forcé de repartir
au début d’une phase. Entre les impulsions de l’oscillateur 1, l’oscillateur synchronisé
fonctionne indépendamment.
Les sons obtenus en synchronisant les oscillateurs sont particulièrement intéressants
lorsqu’on module la fréquence de l’oscillateur synchronisé par un générateur d’enveloppe. De cette façon, le nombre de phases contenues dans une section (phase) du
cycle de synchronisation change continuellement, et donc le spectre aussi. Les sons
typiques obtenus en synchronisant les oscillateurs ont tendance à être agressifs.
Ils donnent ces sons lead un peu criards dont les fabricants de synthétiseurs parlent
souvent.
Ring (Modulation en anneau)
Le sélecteur de forme d’onde de l’oscillateur 2 présente également une position Ring.
Dans le mode Ring, la sortie de l’oscillateur 2 est celle d’un modulateur en anneau.
Ce modulateur en anneau est alimenté par le signal en sortie de l’oscillateur 1 et une
onde carrée issue de l’oscillateur 2. La largeur de pulsation de cette onde carrée peut
être modulée.
Rappelons qu’un modulateur en anneau possède toujours deux entrées. À sa sortie,
vous obtenez la somme et la différence fréquentielle des signaux d’entrée. Si vous
utilisez la modulation en anneau sur une cible sinusoïdale de 200 Hz avec une source
sinusoïdale de 500 Hz, le signal de sortie du modulateur en anneau est caractérisé par
la somme des fréquences, soit 700 Hz, et une différence fréquentielle de 300 Hz.
Les fréquences négatives conduisent à un changement de polarité des signaux de
sortie. Avec des signaux en dents de scie et rectangulaires en entrée, la sortie est bien
plus complexe. En effet, les formes d’onde de départ, riches en harmoniques, produisent
un grand nombre de « bandes latérales » supplémentaires.Chapitre 20 ES2 219
Remarque :le modulateur en anneau est un puissant outil de création de sons métalliques et inharmoniques, car le spectre obtenu en sortie est inharmonique pour presque
tous les rapports de fréquences des signaux d’entrée. C’était un outil de choix pour les
sons de type cloche, dès les premiers synthétiseurs (voir section « RingShifter », à la
page 109).
Bruits blancs et colorés (sur l’oscillateur 3 uniquement)
Contrairement à l’oscillateur 2, l’oscillateur 3 ne peut générer ni signaux modulés en
anneau ni signaux sinusoïdaux. En revanche, sa palette sonore est élargie par l’inclusion d’un générateur de bruits. Par défaut, le générateur de bruits de l’oscillateur 3
génère un bruit blanc. Il s’agit d’un signal contenant toutes les fréquences (un nombre
infini) sonnant simultanément et avec la même intensité, sur une bande de fréquences
donnée. La largeur de la bande de fréquences se mesure en Hertz. On qualifie ce bruit
de « blanc » par analogie avec la lumière blanche qui contient, à parts égales, toutes les
longueurs d’ondes optiques (c’est-à-dire, toutes les couleurs de l’arc-en-ciel). En termes
sonores, le bruit blanc se situe entre le son de la consonne F et les vagues déferlantes
(surf). Pour synthétiser des bruits de vagues ou de vent, ou encore des sons de caisse
claire électronique, le bruit blanc est indispensable.
L’oscillateur 3 permet, certes, de générer ce bruit blanc qui est relativement neutre,
mais également de changer la « couleur » du bruit généré en un souffle ou un grondement. De plus, vous pouvez moduler la couleur du son en temps réel, sans utiliser les
principaux filtres de l’ES2.
Si la forme de l’oscillateur 3 est modulée (cible de modulation :Osc3Wave), la couleur
du bruit change. Le signal de sortie peut être filtré par un filtre passe-haut ou passe-bas
dédié avec une pente de 6 dB/octave. Avec des valeurs négatives, le son devient plus sombre (rouge) ;le filtre passe-haut peut être réglé sur 18 Hz avec un réglage de –1. Lorsque la
cible Osc3Wave est modulée de manière positive, le bruit devient plus lumineux (bleu) :
avec une valeur de +1 affectée à Osc3Wave, la fréquence de coupure du filtre passe-haut
est de 18 kHz. Ce filtrage du signal de bruit est effectué indépendamment des filtres
principaux de l’ES2 et peut être automatiquement modifié en temps réel.220 Chapitre 20 ES2
Zone de mixage des oscillateurs :le triangle
En faisant glisser le curseur dans le triangle, vous pouvez effectuer des fondus enchaînés
entre les signaux de sortie des trois oscillateurs. Le fonctionnement de cette zone de
mixage est assez intuitif. Par exemple, en déplaçant le curseur le long d’un des côtés
du triangle, vous effectuez un fondu enchaîné entre les sons de deux oscillateurs,
le troisième restant muet.
L’emplacement du curseur peut être contrôlé par l’enveloppe vectorielle, exactement
comme dans le cas du Track Pad (le carré), que nous expliquerons dans la section « Le
carré », à la page 254.
Veuillez noter que l’enveloppe vectorielle possède une fonction de boucle. Cette fonction étend ses capacités et vous pouvez la considérer comme un pseudo-LFO de luxe,
doté d’une forme d’onde programmable. Vous pouvez l’utiliser pour modifier l’emplacement des curseurs dans le triangle et dans le carré. Pour en savoir davantage à ce sujet,
consultez la section « Menu Vector Mode », à la page 254 et la section « L’enveloppe
vectorielle », à la page 255.
Valeurs du triangle dans la présentation des contrôles
En interne, l’emplacement du curseur dans le triangle est décrite par deux paramètres
(en réalité, des coordonnées) qui sont prises en compte lors de l’automation du mixage
des signaux issus des oscillateurs. Ces paramètres, appelés OscLevelX et OscLevelY,
figurent dans la présentation des contrôles. Attention à ne pas les confondre avec
les positions X et Y du carré.
Si vous souhaitez modifier une région de données d’automation du mixage dans
l’Hyper Editor, vous devez utiliser les valeurs de contrôleur MIDI suivantes. Lisez les
informations ci-dessous pour mieux comprendre leur fonctionnement.
Pour écouter uniquement l’oscillateur 1 :
m définissez OscLevelX sur 1,0 (MIDI :127) et OscLevelY sur 1,154 (MIDI :127).
Pour écouter uniquement l’oscillateur 2 :
m définissez OscLevelX sur 0,0 (MIDI :0) et OscLevelY sur 0,577 (MIDI :64).
Pour écouter uniquement l’oscillateur 3 :
m définissez OscLevelX sur 1,0 (MIDI :127) et OscLevelY sur 0,0 (MIDI :127).Chapitre 20 ES2 221
Pour écouter uniquement l’oscillateur 1 et le 2 :
m définissez OscLevelX sur 0,5 (MIDI :64) et OscLevelY sur 0,866 (MIDI :95).
Pour écouter uniquement l’oscillateur 1 et le 3 :
m définissez OscLevelX sur 1,0 (MIDI :127) et OscLevelY sur 0,577 (MIDI :64).
Pour écouter uniquement les oscillateurs 2 et 3 :
m définissez OscLevelX sur 0,5 (MIDI :64) et OscLevelY sur 0,288 (MIDI :32).
Pour régler tous les oscillateurs au même niveau :
m définissez OscLevelX sur 0,667 (MIDI :85) et OscLevelY sur 0,577 (MIDI :64).
Filtres
L’ES2 possède deux filtres dynamiques. Ils remplacent les filtres commandés en tension
(VCF, Voltage Controlled Filters) des synthétiseurs analogiques. Ces deux filtres ne sont
pas identiques. Le premier filtre propose plusieurs modes :passe-bas, passe-haut,
passe-bande, rejet de bande, pic. Le second, en revanche, fonctionne toujours en mode
passe-bas. En outre, le second filtre est le seul à offrir des valeurs de pente variables
(mesurées en dB/octave).
Le bouton Filter permet de contourner (désactiver) la totalité de la section de filtrage
de l’ES2. En désactivant les filtres, il est plus facile d’entendre les modifications apportées aux autres paramètres. En effet, les filtres influent énormément sur le son généré.
Si le mot Filter apparaît en vert, les filtres sont actifs. La désactivation des filtres permet
d’économiser les ressources de traitement.
Bouton Filter222 Chapitre 20 ES2
Cheminement du signal dans les filtres :configuration en série
ou en parallèle
Vous pouvez faire pivoter toute la partie circulaire relative aux filtres dans l’interface
utilisateur de l’ES2. Pour ce faire, cliquez sur le bouton libellé Parallel ou Series.
L’étiquette et la position/direction des contrôles de filtrage indiquent clairement
le cheminement actuel du signal.
Dans l’image de gauche, les filtres sont câblés en série. Le signal issu de la section
de mixage des oscillateurs (le triangle) passe donc d’abord dans le premier filtre,
puis ce signal filtré passe dans le second filtre, dans le cas où le paramètre Blend est
sur 0 (position médiane). Consultez la section « Utilisation du paramètre Blend des
filtres :application d’un fondu enchaîné aux filtres », à la page 223 pour obtenir
une description détaillée de ce paramètre.
Le signal mono en sortie issu du second filtre est ensuite transmis à l’entrée de
l’amplificateur dynamique (ce qui correspond à un VCA sur un synthétiseur analogique).
Il est alors placé dans le spectre stéréo, puis dirigé vers le processeur d’effets.
Dans l’image de droite, les filtres sont câblés en parallèle. Si le paramètre de filtrage
Blend est sur 0, vous entendez un mixage à 50/50 du signal source via le premier filtre
et via le second filtre. Le signal ainsi obtenu est ensuite envoyé vers l’entrée mono de
l’amplificateur dynamique. À ce stade, il est placé dans le spectre stéréo, puis dirigé
vers le processeur d’effets.
Cheminement du signal
du filtre Series
Cheminement du signal
du filtre ParallelChapitre 20 ES2 223
Utilisation du paramètre Blend des filtres :application d’un fondu
enchaîné aux filtres
Vous pouvez effectuer un fondu enchaîné entre les deux filtres. Lorsqu’ils sont en
parallèle, l’utilité de la fonction Blend est facile à voir et à comprendre :si le filtre
Blend est défini sur sa position maximale, seul le premier filtre est entendu. À l’inverse,
si le filtre Blend est défini sur sa position minimale, c’est alors le second filtre qui est
entendu. Entre ces deux positions, un fondu enchaîné est appliqué aux filtres.
Dans la majorité des cas, les filtres sont utilisés en série. Vous pouvez alors effectuer un
fondu enchaîné entre les sons filtrés. Pour ce faire, il faut utiliser des entrées latérales
(voies de contournement) contrôlables. Dans ce cas de figure, les circuits de distorsion,
contrôlés par le paramètre Drive, doivent également être pris en considération :
ils figurent avant ou entre les filtres, selon la valeur du paramètre Blend.
Remarque :le paramètre Blend peut être modulé de manière dynamique via le routeur.224 Chapitre 20 ES2
Blend et cheminement du signal
Que la configuration en série ou en parallèle soit choisie,si la valeur – 1 est affectée au
paramètre Blend,seul le son du premier filtre est audible. Le réglage d’un filtre Blend sur
+ 1 limite l’écoute au deuxième filtre. Ceci se reflète également dans l’interface utilisateur.
Si le circuit de distorsion/saturation (Drive) et une configuration en série sont utilisés,
le cheminement du signal dans l’ES2 est assez particulier. Les illustrations représentent
le cheminement du signal entre la zone de mixage des signaux des oscillateurs
(le triangle) et l’amplificateur dynamique, toujours contrôlé par le générateur ENV 3.
Le passage du signal à travers les filtres, les circuits de distorsion et les entrées latérales
dépend de la valeur du paramètre Blend.
Blend et configuration en série :Astuces
 Avec des valeurs positives affectées au réglage du filtre Blend, le premier filtre
est partiellement contourné.
 Avec des valeurs négatives affectées au réglage du filtre Blend, le second filtre
(passe-bas) est partiellement contourné.
 Si la valeur zéro et des valeurs positives sont affectées au paramètre Filter Blend,
un seul circuit de distorsion est employé pour les deux filtres.
 Dans les cas de valeurs négatives, un second circuit est utilisé :il permet d’effectuer
la distorsion du signal de sortie de la zone de mixage des oscillateurs, avant le transit
par le premier filtre, si Filter Blend = -1.
Remarque :si le paramètre Drive est défini sur 0, aucune distorsion n’est effectuée.
Mixage
Filtre 1
Disque
Filtre 2
Blend et mode Parallel.
Filtre 1
Filtre 1
Filtre 1
Disque
Disque
Disque
Disque
Disque
Filtre 1
Filtre 1
Filtre 2
Filtre 2
Filtre 2
Disque
Disque
Filtre 2
Filtre 2
+1:
–0,5:
+0,5:
–1:
0:
Blend et mode Series. Entre 0 et –1, deux circuits de distorsion sont
actifs, un avant chaque filtre. Blend permet de combiner en fondu
enchaîné jusqu’à trois lignes de contournement simultanément.Chapitre 20 ES2 225
Blend et configuration en parallèle :Astuces
Le circuit de distorsion/saturation (Drive) figure toujours après la zone de mixage des
oscillateurs et avant les filtres. Les filtres reçoivent un signal d’entrée mono en provenance du circuit de distorsion. Les sorties des deux filtres sont mixées en mono selon
le paramètre Blend.
Remarque :si le paramètre Drive est défini sur 0, aucune distorsion n’est effectuée.
Amplification (Drive)
Les filtres sont équipés de modules internes de distorsion/saturation (overdrive)
distincts. L’intensité de la distorsion est définie par le paramètre Drive. Si les filtres sont
en parallèle, la distorsion est réalisée avant le passage par les filtres. Si les filtres sont en
série, l’emplacement des circuits de distorsion dépend du paramètre Blend, comme
expliqué ci-dessus.
Distorsions polyphoniques réelles
L’ES2 propose, dans la section relative aux effets, une fonction fournissant un effet de
distorsion et équipée d’un réglage de tonalité. Aussi, vous vous demandez peut-être
quel est l’intérêt de la fonction Drive dans la section de filtrage ?
Le circuit de distorsion de la section des effets affecte la totalité du jeu au niveau de
la synthèse polyphonique. Par conséquent, des accords complexes (plus évolués que
les classiques accords parfaits, quintes et octaves parallèles) sonnent de façon un peu
rugueuse lorsque vous utilisez la distorsion. Tous les guitaristes rock connaissent ce
phénomène :à cause des distorsions d’intermodulation, ils doivent se limiter, lorsqu’ils
jouent saturé, à des accords comptant peu de notes ou à des quintes et à des octaves
parallèles.
Le paramètre Drive, en revanche, affecte chaque voix séparément. Or, chaque voix de
l’ES2 subissant sa propre saturation (comme si les guitaristes jouaient avec six pédales
de distorsion, une par corde), vous pouvez jouer les harmonies et accords les plus complexes sur toute l’étendue du clavier. Le son obtenu reste propre et n’est pas perturbé
par ces phénomènes d’intermodulation indésirables.
En outre, les différents réglages du paramètre Drive confèrent au son un caractère distinct. En effet, le comportement des filtres analogiques en cas de saturation est spécifique à la personnalité sonore du synthétiseur. Chaque modèle de synthétiseur est
unique dans ce domaine. L’ES2 est extrêmement souple à ce niveau et autorise aussi
bien le fuzz le plus subtil que les distorsions les plus marquées.226 Chapitre 20 ES2
Enfin, en mode série, la distorsion intervient toujours avant le filtre passe-bas (le second
filtre). Comme ce dernier peut atténuer les harmoniques apparus par distorsion,
la fonction Drive peut être considérée (et utilisée) comme un autre outil permettant
de déformer les formes d’onde issues des oscillateurs.
Pour comprendre le fonctionnement du circuit de distorsion situé entre les filtres,
programmez un son en procédant comme suit :
 Forme d’onde simple et statique (en dents de scie)
 Filtre réglé en mode Series
 Paramètre Blend réglé sur 0 (position centrale)
 Premier filtre réglé en mode Peak
 Premier filtre avec une valeur de résonance élevée
 Modulation de la fréquence de coupure du premier filtre (Cut) en manuel
ou viale routeur.
 Paramètre Drive défini à votre convenance.
 Filtrage (atténuation) des hautes fréquences via le second filtre, à votre convenance.
Le résultat sonore ressemble à l’effet obtenu par la synchronisation des oscillateurs.
Lorsque les valeurs de résonance sont élevées, le son devient un peu criard. Modulez,
si vous le souhaitez la valeur de résonance du premier filtre.
Paramètres Filter
Cette section explique en détail les paramètres de filtrage de l’ES2.
Coupure et résonance
Tout filtre passe-bas (dans l’ES2 :mode Lo pour le premier filtre et tous les modes
du second filtre) permet d’atténuer l’ensemble des plages de fréquences supérieures
à la fréquence de coupure (Cut). La fréquence de coupure permet d’agir sur la brillance
du son. Plus la fréquence définie est élevée, plus les fréquences des signaux autorisés
à passer par le filtre passe-bas sont élevées.
Remarque :le filtre passe-bas dynamique est le module interne essentiel de tout
synthétiseur soustractif. C’est la raison pour laquelle le second filtre fonctionne
toujours en mode passe-bas.Chapitre 20 ES2 227
Le paramètre de résonance (Res) accentue les plages du signal proches de la fréquence
de coupure. Cette accentuation peut être définie de manière si intense dans le second
filtre que le filtre lui-même se met à entrer en auto-oscillation. À ce stade, le signal en
sortie est une oscillation sinusoïdale (onde sinusoïdale). Cette auto-oscillation peut être
prise en charge par le paramètre Flt Reset. Pour en savoir davantage, consultez la section
« Réinitialisation du filtre (Flt Reset) » à la page 227.
? Astuce :si vous êtes novice en matière de synthétiseurs, essayez de produire une simple
onde en dents de scie à l’aide de l’oscillateur 1 et du second filtre seul (filtre passe-bas,
Filter Blend = +1). Testez les paramètres de fréquence de coupure et de résonance. Vous
apprendrez vite à émuler un certain nombre de sons reconnaissables et vous assimilerez
intuitivement les principes de base de la synthèse soustractive.
Les symboles de chaîne
Savoir jouer en temps réel sur les valeurs des paramètres de coupure et de résonance
est crucial pour la production de sons de synthétiseurs expressifs. Vous serez donc
heureux d’apprendre que vous pouvez contrôler simultanément deux paramètres
de filtrage :pour ce faire, il vous suffit de cliquer sur un des trois petits symboles
de chaîne situés dans la représentation graphique du filtre, et de le faire glisser.
 La chaîne située entre les paramètres Cut et Res du premier filtre permet de contrôler
simultanément la résonance (mouvements de souris horizontaux) et la fréquence de
coupure (mouvements de souris verticaux) de ce filtre.
 La chaîne située entre les paramètres Cut et Res du second filtre permet de contrôler
simultanément la résonance (mouvements de souris horizontaux) et la fréquence de
coupure (mouvements de souris verticaux) de ce filtre.
 La chaîne située entre les paramètres Cut du premier filtre et du second filtre permet
de contrôler simultanément la fréquence de coupure (mouvements de souris verticaux)
du premier filtre et la fréquence de coupure (mouvements de souris horizontaux) du
second filtre.
Réinitialisation du filtre (Flt Reset)
Si vous réglez le paramètre de résonance sur des valeurs plus élevées, le filtre entre en
auto-oscillation et commence à résonner seul. Une onde sinusoïdale est alors générée.
Vous êtes probablement familier de ce phénomène si vous avez déjà utilisé des synthé-
tiseurs soustractifs.228 Chapitre 20 ES2
Pour pouvoir initier ce type d’oscillation, le filtre nécessite un déclencheur. Dans un
synthétiseur analogique, le signal de déclenchement peut être le bruit de fond ou
la sortie de l’oscillateur. Dans le cadre numérique de l’ES2, le bruit de fond est quasi
éliminé. De ce fait, lorsque le son des oscillateurs est coupé, aucun signal d’entrée
n’est acheminé vers le filtre.
Toutefois, lorsque le mode de réinitialisation du filtre (Flt Reset) est activé, chaque note
commence avec un signal de déclenchement, qui sert à faire résonner immédiatement
le filtre. Le bouton Filter Reset se trouve dans la partie supérieure droite de l’interface
de l’ES2.
pente de filtre
Un filtre ne peut pas supprimer complètement les fréquences situées en-dehors de
la plage définie par la fréquence de coupure. La pente de la courbe du filtre, exprimée
en dB par octave, indique l’ampleur de l’atténuation apportée par le filtre passe-bas
(au-delà de la fréquence de coupure).
Le second filtre propose trois valeurs de pente différentes :12 dB, 18 dB et 24 dB par
octave. En d’autres termes, plus la valeur de pente est élevée, plus la pente est raide et
plus l’atténuation au-delà de la fréquence de coupure est marquée, pour chaque octave.
Épaisseur du son (Fat)
L’augmentation de la valeur de résonance provoque une réjection des graves (énergie
dans les basses fréquences) lorsque vous utilisez des filtres passe-bas. Le bouton Fat
(situé sous les boutons Pente de filtre) permet de compenser cet effet secondaire et
fournit un son plus riche.
Mode de filtrage (Lo, Hi, Peak, BR, BP)
Le premier filtre peut fonctionner dans plusieurs modes, ce qui permet d’atténuer
et/ou d’accentuer des plages de fréquences spécifiques.Chapitre 20 ES2 229
 Un filtre passe-bas laisse passer toutes les fréquences inférieures à la fréquence de
coupure. Réglé en mode Lo, le filtre fonctionne comme ce type de filtre. La pente
du premier filtre est de 12 dB/octave en mode Lo.
 Un filtre passe-haut laisse passer toutes les fréquences supérieures à la fréquence
de coupure. Réglé en mode Hi, le filtre fonctionne comme ce type de filtre. La pente
du premier filtre est de 12 dB/octave en mode Hi.
 Réglé en mode Peak, le premier filtre fonctionne comme un filtre de type Peak. Il permet
alors d’augmenter le niveau d’une bande de fréquences particulière, dont la largeur est
définie par le paramètre de résonance.
 L’abréviation BR signifie band rejection (réjection de bande). Dans ce mode, une
bande de fréquences proches de la fréquence de coupure est rejetée (atténuée)
tandis que les autres fréquences peuvent passer. Le paramètre de résonance définit
la largeur de la bande de fréquences à rejeter.
 L’abréviation BP signifie bandpass (passe-bande). Dans ce mode, seule la bande de
fréquences situées directement de part et d’autre de la fréquence de coupure peut
passer. Toutes les autres fréquences sont atténuées. Le paramètre de résonance sert,
cette fois, à définir la largeur de la bande de fréquences autorisée. Ce filtre est bipolaire et sa pente est de 6 dB/octave à chaque extrémité.
FM et second filtre
La fréquence de coupure du second filtre peut être modulée par l’onde sinusoïdale
de l’oscillateur 1. Cette modulation peut donc s’effectuer dans la plage des fréquences
audio.
L’effet de telles modulations de filtre sur le spectre audio reste difficilement prévisible.
Les résultats obtenus semblent, toutefois, toujours harmonieux tant que l’intensité
(profondeur) de la modulation reste modérée. Le paramètre FM détermine l’intensité
de la modulation de fréquence. Il peut être modulé en temps réel :dans le routeur,
cette modulation est désignée sous l’abréviation LPF FM.
La source de modulation utilisée est toujours un signal sinusoïdal pur, à la fréquence
de l’oscillateur 1.230 Chapitre 20 ES2
Remarque :ne confondez pas ce type de modulation de fréquence par filtre avec
la fonction FM de l’oscillateur 1, laquelle est modulable par l’oscillateur 2 tel qu’il est
décrit dans la section « Modulation de fréquence linéaire », à la page 215. Si une modulation de fréquence de l’oscillateur 1 par l’oscillateur 2 est utilisée, elle n’influe pas sur
le signal (sinusoïdal) permettant de moduler les fréquences de coupure.
Vous pouvez pousser le filtre 2 jusqu’à l’auto-oscillation. Si vous entrez une valeur très élevée pour le paramètre de résonance, le filtre génère alors une forme d’onde sinusoïdale.
Cette onde subit une auto-oscillation et sa distorsion correspond à la valeur de résonance
maximale. Si vous coupez le son (Mute) de tous les oscillateurs, vous n’entendez plus que
cette oscillation sinusoïdale. En modulant la fréquence de coupure, vous pouvez alors créer
des effets proches de ceux obtenus via la modulation de la fréquence de l’oscillateur 1 par
l’oscillateur 2.
Gestion économique de la puissance de traitement
La conception de l’ES2 vise à utiliser le plus efficacement possible la puissance de traitement de l’ordinateur hôte :les modules internes et fonctions non utilisés ne consomment pas de puissance de calcul. Ce principe vaut pour tous les éléments de l’ES2.
Exemples :si vous n’utilisez qu’un seul des trois oscillateurs et que le son des autres
est coupé (Mute), vous consommez moins de puissance. Si vous ne modulez pas les
DigiWaves ou si vous désactivez les filtres, vous économisez, là encore, les ressources
de traitement. En matière de filtrage, voici quelques astuces pour utiliser le plus efficacement possible les ressources :
 Si vous pouvez obtenir le même son filtré par passe-bas avec le premier et le second
filtre, préférez le premier. Il utilise moins de ressources et, bien qu’il produise un son
légèrement différent, il n’est pas du tout moins bon.
 Le filtre FM demande davantage de puissance. Si vous n’en avez pas besoin,
ne l’utilisez pas.
 La modulation du paramètre Blend nécessite pas mal de puissance supplémentaire,
dès lors qu’elle intervient au niveau du routeur.
 Le paramètre Drive demande également des ressources supplémentaires. Cela est
particulièrement vrai quand les filtres sont en série et que les réglages Blend utilisent
deux circuits de distorsion. Pour en savoir davantage, consultez la section « Blend et
cheminement du signal », à la page 224.Chapitre 20 ES2 231
Partie dynamique (amplificateur)
L’amplificateur dynamique définit le niveau, c’est-à-dire le volume sonore perçu, de la
note jouée. L’évolution du niveau sonore au fil du temps est définie par un générateur
d’enveloppe.
ENV 3 et l’amplificateur dynamique
Le générateur d’enveloppe ENV 3 est « câblé en dur » au niveau de l’amplificateur
dynamique. Il est utilisé en permanence pour contrôler le niveau sonore. Pour en savoir
davantage sur les paramètres d’enveloppe, consultez la section « Les enveloppes
(ENV 1 à ENV 3) », à la page 249.
Cible de modulation dans le routeur :Amp
La partie dynamique peut être modulée par n’importe laquelle des sources de modulation du routeur. La cible de la modulation est alors désignée par AMP dans le routeur.
Remarque :si vous sélectionnez AMP comme cible, LFO1 comme source, et que vous
n’activez pas le paramètre Via dans le routeur, le niveau sonore change périodiquement, selon la fréquence actuelle du LFO. Vous entendez alors un effet de trémolo.
Sine Level
Le potentiomètre Sine Level (situé en regard de la section du second filtre) permet de
mélanger une onde sinusoïdale (à la fréquence du premier oscillateur) directement lors
de la phase dynamique, indépendamment des filtres. Même si vous avez éliminé la
tonalité partielle fondamentale de l’oscillateur 1 via un filtre passe-haut, vous pouvez
la reconstituer ici en utilisant ce paramètre. Remarque :
 Lorsque l’oscillateur 1 est modulé en fréquence par l’oscillateur 2 (si vous avez activé
la fonction FM avec le sélecteur de forme d’onde), seule la forme d’onde sinusoïdale
est mixée dans l’amplificateur dynamique, et non la forme d’onde FM distordue.232 Chapitre 20 ES2
 Les modulations de basses fréquences pour la tonalité de l’oscillateur 1, réglées dans
le routeur, affectent la fréquence du signal sinusoïdal qui y est mixé.
Remarque :sine Level convient parfaitement pour ajouter de la chaleur et de la densité
dans les graves. Les sons légers peuvent se voir renforcer par l’intermédiaire de cette
fonction, l’oscillateur 1 jouant effectivement la tonalité de base de la note.
Le Routeur
L’ES2 possède une matrice de modulation, appelée le routeur. Si l’enveloppe vectorielle
est affichée, cliquez sur le bouton Routeur pour afficher ce dernier.
Toute source de modulation peut être associée à n’importe quelle cible de modulation,
un peu comme sur un ancien standard téléphonique ou un tableau de raccordement.
L’intensité de la modulation, c’est-à-dire à quel point la cible est influencée par la
source, est définie à l’aide du curseur vertical associé.
Remarque :pour régler l’intensité de la modulation sur zéro, il suffit de cliquer sur
le petit symbole avec un zéro (le petit cercle), en regard du paramètre via.
L’intensité de la modulation elle-même peut être modulée :le paramètre via permet
de déterminer encore une autre source de modulation, qui définit la profondeur ou
l’intensité de la modulation.
Il est possible d’effectuer dix modulations de type Source, Via et Target simultanément,
en plus de celles « câbles en dur » hors du routeur. Le paramètre de contournement
(b/p) permet d’activer/désactiver les différents chemins de modulation, sans perdre les
réglages.
Remarque :certaines modulations sont impossibles, pour des raisons techniques.
Par exemple, les durées d’enveloppe ne peuvent être modulées que par des paramètres
disponibles uniquement lors de messages de début de note. Par conséquent, il existe
des situations où les enveloppes ne sont pas disponibles en tant que cibles. Par ailleurs,
le LFO 1 ne peut moduler sa propre fréquence. Les valeurs non disponibles figurent
en grisé.Chapitre 20 ES2 233
Valeurs de Via
L’intensité de la modulation est définie à l’aide du curseur vertical. L’utilisation du curseur
est intuitive, tant que le curseur « via » est réglé sur Off. De ce cas, l’intensité de la modulation est constante,sauf si elle est affectée par un autre contrôleur (roulette de modulation ou aftertouch).
Dès que vous sélectionnez une valeur autre que Off pour le paramètre « via », le curseur
est divisé en deux sections. La section inférieure définit l’intensité minimale de la modulation, lorsque le contrôleur via a une valeur minimale. La section supérieure définit
l’intensité maximale de la modulation. Celle-ci est appliquée lorsque le contrôleur via
(roulette de modulation) se trouve à sa valeur maximale. La zone située entre les deux
sections de curseur définit la région contrôlée par le paramètre via.
Vous pouvez cliquer avec la souris sur la zone située entre les deux sections et ainsi
faire glisser simultanément les deux sections. Si cette zone est trop petite pour utiliser
la souris, il suffit de cliquer dans une partie libre de la course du curseur et de faire glisser
la souris vers le haut ou vers le bas pour déplacer la zone.
Dans l’exemple ci-dessous, la section inférieure du curseur définit l’intensité du vibrato
lorsque la roulette de modulation se trouve à sa valeur minimale (désactivée). La section
supérieure définit l’intensité du vibrato lorsque la roulette de modulation atteint sa valeur
maximale.
Remarque :pour inverser l’effet de la source de modulation via, il suffit d’activer
le paramètre « Via » invert (inv) dans le routeur.
Exemple de modulation
Supposons que vous ayez effectué les réglages suivants :
 Target :Pitch 123
 Via :Wheel
 Source :LFO1
 Intensité de la modulation :position du curseur, à votre convenance234 Chapitre 20 ES2
Dans cette configuration, la source de modulation, LFO1, est utilisée pour moduler la
fréquence (tonalité) des trois oscillateurs (Pitch 123). (Pitch 123) est la cible de la modulation dans notre exemple. Vous entendrez un vibrato (une modulation de la tonalité)
intervenant selon la fréquence du LFO 1. L’intensité de la modulation est contrôlée par
la roulette (de modulation), laquelle est déterminée par le paramètre via. Vous pouvez
donc contrôler la profondeur du vibrato (intensité de la modulation de tonalité) via la
roulette de votre clavier de commande. Ce type de configuration est utilisé pour bon
nombre de réglages (sonorités prédéfinies).
Vous pouvez utiliser n’importe lequel des dix canaux de routeur.
Vous pouvez sélectionner la même cible pour plusieurs canaux, en parallèle. Vous pouvez
utiliser librement, et aussi souvent que vous le désirez, les mêmes sources et les mêmes
contrôleurs via pour un ou plusieurs canaux de routeur.
Cibles de modulation
Les cibles suivantes sont disponibles pour la modulation en temps réel.
Remarque :ces cibles de modulation sont également disponibles au niveau des axes X
et Y du modulateur X/Y (le carré). Reportez-vous à la rubrique « Le carré » à la page 254.
Pitch 123
Cette cible permet de moduler en parallèle les fréquences (tonalités) des trois oscillateurs. Si vous sélectionnez un LFO comme source avec cette cible, des effets de sirène
ou de vibrato sont créés. Sélectionnez un des générateurs d’enveloppe avec une attaque nulle, une chute courte, un paramètre Sustain sur zéro et un temps de libération
court comme source pour les sons de tom et de grosse caisse.
Pitch 1
Cette cible permet de moduler la fréquence (tonalité) de l’oscillateur 1. Des modulations d’enveloppe de petite ampleur peut influencer sur le désaccordement sur la
durée, lorsque l’oscillateur 1 sonne à l’unisson avec un autre (non modulé). Cela peut
être utile avec des sons de cuivres synthétisés.
Pitch 2
Cette cible permet de moduler la fréquence (tonalité) de l’oscillateur 2.
Pitch 3
Cette cible permet de moduler la fréquence (tonalité) de l’oscillateur 3.
Detune
Cette cible permet de contrôler l’importance du désaccord entre les trois oscillateurs.Chapitre 20 ES2 235
Remarque :veuillez noter que la sensibilité de toutes les cibles décrites ci-dessus
dépend de l’intensité de la modulation. Cette gradation de la sensibilité autorise aussi
bien des vibratos très délicats, dont l’amplitude se compte en cents (rappelons qu’un
cent = 1/100 de demi-ton), que des sautes de hauteur tonale très prononcées, d’une
ou plusieurs octaves.
 Intensité de modulation de 0 à 8 :les pas sont de 1,25 cents.
 Intensité de modulation de 8 à 20 :les pas sont de 3,33 cents.
 Intensité de modulation de 20 à 28 :les pas sont de 6,25 cents.
 Intensité de modulation de 28 à 36 :les pas sont de 12,5 cents.
 Intensité de modulation de 36 à 76 :les pas sont de 25 cents.
 Intensité de modulation de 76 à 100 :les pas sont de 100 cents.
Il en résulte les réglages d’intensité de modulation suivants.
 À une intensité de modulation de 8, on obtient une modification de la tonalité
de 10 cents.
 À une intensité de modulation de 20, on obtient une modification de la tonalité
de 50 cents, soit un quart de ton.
 À une intensité de modulation de 28, on obtient une modification de la tonalité
de 100 cents, soit un demi-ton.
 À une intensité de modulation de 36, on obtient une modification de la tonalité
de 200 cents, soit deux demi-tons.
 À une intensité de modulation de 76, on obtient une modification de la tonalité
de 1 200 cents, soit une octave.
 À une intensité de modulation de 100, on obtient une modification de la tonalité
de 3 600 cents, soit trois octaves.
OscWaves
Selon les formes d’onde définies pour les trois oscillateurs, cette cible peut servir
à moduler :
 la largeur d’impulsion des formes d’onde rectangulaires et pulsées,
 l’intensité de la modulation de fréquence (oscillateur 1 uniquement),
 la couleur du bruit (oscillateur 3 uniquement),
 la position des Digiwaves.
La cible OscWaves affecte l’ensemble des oscillateurs. En revanche, les cibles Osc1Wave,
Osc2Wave et Osc3Wave n’affectent que l’oscillateur correspondant. Consultez les paragraphes suivants pour comprendre l’effet de la modulation sur les trois oscillateurs.236 Chapitre 20 ES2
Pour en savoir plus sur les effets de ces modulations, veuillez lire la section
« Modulation de la largeur d’impulsion », à la page 217. La section « Modulation
de fréquence linéaire », à la page 215, « Bruits blancs et colorés (sur l’oscillateur 3
uniquement) », à la page 219 et la section « Digiwaves », à la page 214 peuvent
également s’avérer utiles.
Osc1Wave
Selon la forme d’onde sélectionnée, vous pouvez agir sur la largeur d’impulsion des
formes d’onde rectangulaires et pulsées de l’oscillateur 1, l’intensité de la modulation
de fréquence (l’oscillateur 1 jouant le rôle de porteur et l’oscillateur 2, le rôle du modulateur) ou la position de la DigiWave. Par conséquent, la largeur d’impulsion des formes
d’onde rectangulaires et pulsées n’est pas restreinte à deux valeurs fixes pour l’oscillateur 1.
Remarque :dans les synthétiseurs FM classiques, l’intensité de la modulation de
fréquence est contrôlée en temps réel par des générateurs d’enveloppe sensibles
à la vélocité. Sélectionnez un des générateurs ENV comme source pour générer ce
type de son.
Osc2Wave
Cette cible fonctionne comme Osc1Wave, sauf que l’oscillateur 2 ne présente pas la
fonction FM. Veuillez noter que la modulation de largeur d’impulsion s’applique également aux formes d’onde rectangulaires synchronisées et à celles modulées en anneau.
Osc3Wave
Cette cible fonctionne comme Osc1Wave et Osc2Wave, sauf que l’oscillateur 3 ne
présente ni la fonction FM ni la modulation en anneau. Il propose, en revanche, la
fonction Noise, dont la couleur peut être modulée à l’aide de ce paramètre.
OscWaveB
Les transitions entre DigiWaves lors d’une modulation par table d’ondes sont toujours
progressives. Selon l’intensité de la modulation, vous pouvez utiliser une cible OscWaveB
supplémentaire pour moduler en permanence la forme des transitions, et ainsi passer de
transitions progressives à brutales. Cela est possible avec tous les oscillateurs.
Osc1WaveB
Si vous avez activé la modulation par table d’ondes pour une DigiWave via Osc1Wav,
vous pouvez utiliser cette cible pour moduler la forme de la transition.
Mode Osc1 FM :l’Osc1-FM câblé en dur et la cible de modulation Osc1Wave offrent
une intensité FM nettement moins élevée que la cible de modulation Osc1WaveB.
Osc2WaveB
Si vous avez activé la modulation par table d’ondes pour une DigiWave via Osc2Wav,
vous pouvez utiliser cette cible pour moduler la forme de la transition.Chapitre 20 ES2 237
Osc3WaveB
Si vous avez activé la modulation par table d’ondes pour une DigiWave via Osc3Wav,
vous pouvez utiliser cette cible pour moduler la forme de la transition.
SineLevl
SineLevl (niveau sinusoïdal) permet de moduler le niveau de l’onde sinusoïdale de
l’oscillateur 1, qui peut être mixée directement en entrée de l’amplificateur dynamique,
sans transiter par les filtres. Ce paramètre définit le niveau de la tonalité fondamentale
(premier partiel) de l’oscillateur 1. Voir la section « Sine Level », à la page 231.
OscLScle
OscLScle (échelle du niveau des oscillateurs) permet de moduler les niveaux des trois
oscillateurs simultanément. Une valeur de modulation de 0 coupe le son de tous les
oscillateurs, tandis qu’une valeur de 1 augmente le gain du signal mixé de 12 dB.
La modulation est appliquée avant l’étape de distorsion (Overdrive), autorisant ainsi
les distorsions dynamiques.
Osc1Levl
Osc1Levl (niveau de l’oscillateur 1) permet la modulation du niveau de l’oscillateur 1.
Osc2Levl
Osc2Levl (niveau de l’oscillateur 2) permet de moduler le niveau de l’oscillateur 2.
Osc3Levl
Osc3Levl (niveau de l’oscillateur 3) permet la modulation du niveau de l’oscillateur 3.
Cutoff 1
Cette cible permet la modulation de la fréquence de coupure du premier filtre.
Voir la section « Coupure et résonance » à la page 226.
Reso 1 (résonance 1)
Cette cible permet la modulation de la résonance du second filtre. Voir la section
« Coupure et résonance » à la page 226.
Cutoff 2
Cette cible permet la modulation de la fréquence de coupure du second filtre.
Reso2 (résonance 2)
Cette cible permet la modulation de la résonance du second filtre.
LPF FM
Un signal sinusoïdal, présentant la même fréquence que l’oscillateur 1, peut moduler
la fréquence de coupure du second filtre (qui opère en permanence en tant que filtre
passe-bas). Le paramètre LPF FM (Lowpass Filter Frequency Modulation, modulation
de fréquence du filtre passe-bas) permet de moduler l’intensité de la modulation FM
du second filtre. Il est présenté plus en détail dans la section « FM et second filtre » à la
page 229.238 Chapitre 20 ES2
Cut 1+2
Cut 1+2 (coupure 1 et 2) modulate les fréquences de coupure des filtres en parallèle,
exacteemnt comme si vous appliquiez la même modulation aux paramètres Cutoff 1
et Cutoff 2 dans deux canaux Router.
Cut1inv2
Cut1inv2 (coupure 1 normale et coupure 2 inversée) permet de moduler simultanément
les fréquences de coupure du premier et du second filtre, de façon inverse (dans des
directions opposées). Autrement dit, lorsque la valeur de la fréquence de coupure du
premier filtre augmente, la coupure du second filtre diminue, et vice versa.
Remarque :si vous combinez en mode série le premier filtre (paramétré en mode
passe-haut) et le second (toujours en mode passe-bas), les deux constituent un filtre
passe-bande. Dans cette configuration, la modulation du paramètre cible Cut1 inv 2
provoque une modulation de la largeur de bande du filtre passe-bande ainsi créé.
FltBlend
FltBlend (Filter Blend) permet de moduler le mélange des sons issus des filtres
(fondu enchaîné entre les deux filtres), comme expliqué dans la section « Blend
et cheminement du signal » à la page 224.
Remarque :si le paramètre FilterBlend est défini comme cible dans un ou plusieurs
canaux du routeur, les données de modulation sont calculées même si FilterBlend
a une valeur de 1,0 ou +1,0. Par conséquent, soyez vigilant lorsque vous définissez
ce paramètre comme cible de modulation car il risque de solliciter davantage votre
système.
Amp
Cette cible module l’amplificateur dynamique, autrement dit le niveau ou le volume
de la voix. Si vous sélectionnez Amp comme cible et que vous la modulez avec un LFO
comme source, le niveau change régulièrement et vous entendez un effet de trémolo.
Pan
Si vous définissez la balance (Pan) en tant que cible, le positionnement du son dans
le spectre stéréo est modulé. Si vous modulez la balance avec un LFO, vous obtenez
un trémolo stéréo (également appelé panoramique automatique ou autopan).
En mode Unison, les différentes voix utilisées se voient réparties sur toute la largeur
du spectre stéréo. Vous pouvez néanmoins encore moduler le paramètre Pan :
les différents positionnements sont alors modifiés en parallèle.
Lfo1Asym
Lfo1Asym (asymétrie Lfo1) peut moduler la forme d’onde sélectionnée pour LFO 1.
S’il s’agit d’une onde carrée, l’effet modifie sa largeur de pulsation. Pour une onde
de forme triangulaire, il fait évoluer la forme entre triangles et dents de scie. Enfin,
s’il s’agit d’une onde en dents de scie, il change son point de passage par zéro.Chapitre 20 ES2 239
Lfo1Curve
Cette cible permet de moduler le lissage de la forme d’onde d’un signal carré vers un
signal aléatoire. Dans le cas d’un signal triangulaire ou en dents de scie, elle modifie les
courbes, en les faisant passer par les stades convexes, linéaires et concaves.
Modulations démultipliées
L’ensemble des cibles suivantes subissent une modulation par démultiplication.
Cela signifie que les valeurs de modulation ne sont pas simplement ajoutées à la valeur
de paramètre de la cible, mais que cette valeur cible est multipliée. Le fonctionnement
de cette fonction peut s’expliquer de la manière suivante :une valeur de modulation
de 0,0 n’a aucun effet alors qu’une valeur de modulation de +1,0 revient à multiplier
par 10 et une valeur de modulation de -1,0 revient à multiplier par 0,04.
LFO1Rate
Cette cible permet de moduler la fréquence (vitesse, taux) du LFO 1.
Remarque :prenons pour exemple que vous avez créé un effet de vibrato à travers
un autre canal Router en modulant la hauteur tonale cible 123 par le biais du LFO 1.
Au besoin, vous pouvez accélérer ou ralentir automatiquement le LFO 1 (en d’autres
termes, la vitesse du vibrato). Pour ce faire, modulez le paramètre cible LFO1Rate avec
un des générateurs d’enveloppe (ENV). Sélectionnez LFO 2 comme source et diminuez
la valeur Rate, afin que le vibrato accélère et ralentisse régulièrement.
Env2Atck
Le paramètre Env2Atck (attaque de l’enveloppe 2) module le temps d’attaque du
deuxième générateur d’enveloppe.
Env2Dec
Le paramètre Env2Dec (chute de l’enveloppe 2) module le temps de chute du
deuxième générateur d’enveloppe.
Si vous avez sélectionné ENV2 Dec comme cible et Velocity comme source, le temps
de chute de la note jouée dépend de la force avec laquelle vous avez appuyé sur cette
note. Si vous sélectionnez Keyboard comme source, les notes aiguës ont une chute
plus rapide (ou plus lente).
Env2Rel
Le paramètre Env2Rel (libération de l’enveloppe 2) module le temps de libération
du deuxième générateur d’enveloppe.
Env2Time
Env2Time (tous les temps de l’enveloppe 2) module l’ensemble des paramètres de
temps de l’ENV2 :temps d’attaque, temps de chute, temps de maintien et temps
de libération.240 Chapitre 20 ES2
Env3Atck
Le paramètre Env3Atck (attaque de l’enveloppe 3) module le temps d’attaque du
troisième générateur d’enveloppe.
Env3Dec
Le paramètre Env3Dec (chute de l’enveloppe 3) module le temps de chute du troisième
générateur d’enveloppe.
Env3Rel
Le paramètre Env3Rel (libération de l’enveloppe 3) module le temps de libération
du troisième générateur d’enveloppe.
Env3Time
Le paramètre Env3Time (tous les temps de l’enveloppe 3) module l’ensemble des paramètres de temps de l’ENV3 :temps d’attaque, temps de chute, temps de maintien et
temps de libération.
Glide
Cette cible module la durée de l’effet Glide (portamento).
Remarque :si vous modulez l’effet Glide en utilisant Velocity comme source, la vélocité
(force du jeu) détermine la durée nécessaire pour que les notes jouées atteignent leur
tonalité. Voir la section « Glide » à la page 210.
Sources de modulation
Certaines sources de modulation sont unipolaires, c’est-à-dire que les valeurs qu’elles
produisent sont comprises entre 0 et 1. D’autres sont bipolaires, c’est-à-dire que leurs
valeurs en sortie se situent entre – 1 et + 1. Les sources de modulation suivantes sont
disponibles :
LFO1
Le LFO 1 est décrit dans la section « Les LFO » à la page 246.
LFO2
Le LFO 2 est décrit dans la section « Les LFO » à la page 246.
ENV1
Le premier générateur d’enveloppe est décrit dans la section « Les enveloppes
(ENV 1 à ENV 3) », à la page 249.
ENV2
Le second générateur d’enveloppe est décrit dans la section « Les enveloppes
(ENV 1 à ENV 3) », à la page 249.
ENV3
Le troisième générateur d’enveloppe est décrit dans la section « Les enveloppes
(ENV 1 à ENV 3) », à la page 249.Chapitre 20 ES2 241
Remarque :le troisième générateur sert toujours à contrôler le niveau sonore global.
Pad-X, Pad-Y
Ces sources de modulation vous permettent de définir les axes du carré en vue d’une
utilisation avec la cible de modulation sélectionnée. Vous pouvez déplacer le curseur
n’importe où au sein du carré, soit manuellement, soit via le contrôle d’une enveloppe
vectorielle. Voir les sections « Le carré » à la page 254 et « L’enveloppe vectorielle » à la
page 255.
Max
Si vous sélectionnez Max en tant que source, la valeur de cette source sera définie
sur +1 de façon permanente. Cela offre des options intéressantes avec via, car les
valeurs disponibles possibles pour via contrôlent l’intensité de la modulation.
Kybd
Le paramètre Kybd (Keyboard, clavier) correspond à la touche enfoncée sur le clavier
(numéro de note MIDI). La note centrale correspond à Do3 (valeur de sortie 0). Si on se
place cinq octaves plus bas ou plus haut, les valeurs de sortie correspondantes sont –1
et, respectivement.
Remarque :ce paramètre peut servir à contrôler les fréquences de coupure des filtres
selon les touches du clavier :lorsque vous montez ou descendez la gamme sur le
clavier, les fréquences de coupure changent. Pour ce faire, modulez la cible Cut 1+2
avec le clavier comme source. Avec une intensité de modulation de 0,5, les fréquences
de coupure augmentent proportionnellement aux tonalités jouées au clavier.
Velo
Si vous sélectionnez le paramètre de vélocité (Velo), la sensibilité à la vélocité sert
de source de modulation.
Bender
Si le paramètre Bender est sélectionné, le levier « pitch bend » sert de source de
modulation bipolaire. Cela est également possible lorsque le paramètre Bend Range
des oscillateurs est sur 0.
ModWhl
Si le paramètre ModWhl est sélectionné, la roulette de modulation est une source
de modulation unipolaire.
Remarque :dans la plupart des applications standard, vous utilisez la roulette comme
contrôleur via. Traditionnellement, elle permet de contrôler l’intensité des modulations
périodiques produites par le LFO. Dans notre cas précis, vous pouvez l’employer pour
des modulations directes et statiques, notamment pour le contrôle des fréquences de
coupure des filtres (Target = Cut 1+2).242 Chapitre 20 ES2
Remarque :la roulette de modulation s’utilise également avec le contrôleur LSB
(Least Significant Byte, octet dont le poids est le plus faible).
Touch (Toucher)
Le paramètre Aftertouch peut servir de source de modulation. L’ES2 réagit aux messages
d’aftertouch polyphonique (poly pressure). Il utilise la somme de la pression de canal
(channel pressure) et de la valeur d’aftertouch polyphonique spécifique à la note.
Remarque :si vous définissez comme cible le paramètre Cut 1+2, les fréquences de
coupure augmentent et diminuent, selon la force du jeu après la première note jouée
sur le clavier MIDI sensible au toucher.
Whl+To
La roulette de modulation et le paramètre Aftertouch sont utilisés comme sources
de modulation.
Contrôleurs MIDI A–F
Les contrôleurs MIDI disponibles dans la matrice de modulation sont nommés Ctrl A
à F. Ils peuvent être assignés à des numéros de contrôleurs arbitraires (via les menus
d’assignation de contrôleurs MIDI situés en bas de l’interface de l’ES2).
Remarque :les anciennes versions de l’ES2 proposaient comme sources de modulation les éléments suivants :messages Control Change MIDI(16 à 19), Expression et
Breath. Ces contrôleurs MIDI correspondent aux valeurs d’assignation par défaut et
garantissent une compatibilité descendante.
Les valeurs des menus d’assignation des contrôleurs MIDI ne sont mises à jour que si le
réglage par défaut est chargé ou si un réglage sauvegardé avec un projet particulier est
chargé. Si vous passez simplement le curseur sur ces réglages, les valeurs d’assignation
restent inchangées.
Les menus d’assignation des contrôleurs MIDI vous permettent d’affecter vos contrôleurs
MIDI favoris à des valeurs telles que Ctrl A, Ctrl B, etc.
Tous ces menu disposent d’une option Learn. Si elle est sélectionnée, le paramètre est
automatiquement assigné par le premier message entrant de données MIDI approprié.
Le mode d’apprentissage présente une fonction de délai de 20 secondes :si l’ES2
ne reçoit aucun message MIDI dans les 20 secondes, l’assignation de contrôleur MIDI
initiale est rétablie.
Remarque :si aucun contrôleur (Ctrl A–F) n’est assigné au paramètre Expression,
le message Expression CC (Ctrl #11) contrôle le volume de sortie.
Remarque :par exemple, le Vector Stick (manette) du synthétiseur Korg Wavestation
génère les messages des contrôleurs 16 et 17. Si vous utilisez cet instrument comme
clavier maître, vous pouvez contrôler directement n’importe quelle paire de paramètres
ES2 avec la manette.Chapitre 20 ES2 243
Remarque :dans la norme MIDI, pour tous les contrôleurs dont le numéro est compris
entre 0 et 31, un contrôleur LSB est également défini (avec un numéro compris entre
32 et 63). Ce contrôleur Least Significant Byte permet une résolution de 14 bits au
lieu de 7. L’ES2 reconnaît correctement ces messages de modification de contrôleur
(Control Change), par exemple, pour un contrôleur Breath (souffle) ou Expression.
RndN01
Le paramètre RndNO1 (Note On Random1) génère une valeur de modulation aléatoire
comprise entre -1,0 et 1,0 (même plage de valeurs qu’avec un LFO). Cette valeur change à
chaque déclenchement ou redéclenchement de note. La modulation (aléatoire) par note
entrée reste constante pendant toute la durée de la note jouée, jusqu’au déclenchement
de note suivant.
Remarque :en mode legato, aucun changement de valeur n’intervient lorsque vous
jouez legato.
RndN02
Le comportement du paramètre RndNO2 (Note On Random2) est similaire à celui de
Note On Random1, sauf que ce paramètre permet de glisser vers la nouvelle valeur
générée aléatoirement selon le temps Glide défini (comprenant la modulation).
Autre différence avec le paramètre NoteOnRandom1 :en mode legato, la valeur
issue de la modulation aléatoire change lorsque vous jouez en mode legato.
SideCh
Le paramètre SideCh (Side Chain) utilise une entrée latérale (pistes, entrées, bus)
pour créer le signal de modulation. Vous pouvez sélectionner la source à utiliser
comme entrée latérale dans la zone grisée située en haut de la fenêtre. Le signal
correspondant est envoyé vers le suiveur d’enveloppe interne. Ce dernier crée une
valeur de modulation en fonction du niveau actuel du signal Side Chain.
Via :Contrôle de l’intensité de la modulation
Certaines sources de modulation sont unipolaires, c’est-à-dire que les valeurs qu’elles
produisent sont comprises entre 0 et 1. D’autres sont bipolaires, c’est-à-dire que leurs
valeurs en sortie se situent entre – 1 et + 1. Les sources suivantes peuvent être utilisées
pour faire varier l’intensité de la modulation.
LFO1
Le LFO1 contrôle l’intensité de la modulation en fonction de la vitesse et de la forme
d’onde de son signal.
LFO2
Le LFO2 contrôle l’intensité de la modulation en fonction de la vitesse et de la forme
d’onde de son signal.
ENV1
L’ENV1 contrôle l’intensité de la modulation.244 Chapitre 20 ES2
ENV2
L’ENV2 contrôle l’intensité de la modulation.
ENV3
L’ENV3 (l’enveloppe de niveau) contrôle l’intensité de la modulation.
Pad-X, Pad-Y
Les deux axes du carré (l’enveloppe vectorielle) sont également utilisables comme
sources via. Vous pouvez donc contrôler l’intensité de la modulation avec le carré.
Kybd
Le paramètre Kybd (Keyboard, clavier) correspond à la touche enfoncée sur le clavier
(numéro de note MIDI). La note centrale correspond à Do3 (valeur de sortie 0). Si on se
place cinq octaves plus bas ou plus haut, les valeurs de sortie correspondantes sont –1
et +1, respectivement.
Si vous sélectionnez Pitch 123 comme cible, que vous la modulez avec LFO1 comme
source, et que vous utilisez Kybd comme valeur via, la profondeur du vibrato varie
selon la note jouée. Autrement dit, l’intensité du vibrato est différente lorsque des
notes plus aiguës ou plus graves que le positionnement Kybd défini sont jouées.
Velo
Si vous sélectionnez le paramètre de vélocité (Velo) comme valeur via, l’intensité
de la modulation dépend de la vélocité. La modulation est plus ou moins accentuée
selon la rapidité (force) du jeu.
Bender
Le levier « pitch bend » contrôle l’intensité de la modulation.
ModWhl
Si vous sélectionnez ModWhl (Modulation Wheel) comme valeur via, l’intensité
de la modulation est contrôlée par la roulette de modulation de votre clavier MIDI.
La roulette de modulation s’utilise également avec le contrôleur LSB (Least Significant Byte).
Touch (Toucher)
Si vous sélectionnez le paramètre Touch (Aftertouch) comme valeur via, l’intensité de
la modulation dépend de la force utilisée pour appuyer sur les touches du clavier MIDI
sensible au toucher, une fois la première note jouée. (L’aftertouch est également connu
sous l’expression « sensibilité à la pression ».)
Whl+To
Lorsque ce paramètre est sélectionné, la roulette de modulation et l’aftertouch
contrôlent tous deux la modulation.Chapitre 20 ES2 245
Contrôleurs MIDI A–F
Les contrôleurs MIDI disponibles dans la matrice de modulation sont nommés Ctrl A
à F, au lieu de Expression, Breath et General Purpose 1–4. (Les messages MIDI Control
Change de 16 à 19 sont aussi appelés General Purpose Slider 1/2/3/4). Ces contrôleurs
peuvent être assignés à des numéros de contrôleurs arbitraires via les menus d’assignation de contrôleurs MIDI situés en bas de l’interface. (Appuyez sur le bouton MIDI pour
accéder aux menus à A à F.)
Les valeurs par défaut de ces assignations garantissent la compatibilité descendante.
Les valeurs des menus d’assignation ne sont mises à jour que si le réglage par défaut est
chargé ou si un réglage sauvegardé avec un projet particulier est chargé. Si vous passez
simplement le curseur sur ces réglages, les valeurs d’assignation restent inchangées.
Cette fonction est particulièrement utile si vous souhaitez utiliser le Contrôleur n° 4
(pédale), par exemple, comme source de modulation. Elle vous permet, en effet,
d’assigner vos contrôleurs MIDI temps réel favoris à des valeurs telles que Ctrl A,
Ctrl B, etc.
Tous les paramètres vous permettant de sélectionner un contrôleur MIDI disposent
d’une option Learn (Apprendre). Si elle est sélectionnée, le paramètre est automatiquement assigné par le premier message entrant de données MIDI approprié. Le mode
d’apprentissage présente une fonction de délai de 20 secondes :si l’ES2 ne reçoit
aucun message MIDI dans les 20 secondes, l’assignation de contrôleur MIDI initiale
est rétablie.
Remarque :comme la nouvelle entrée est ajoutée en haut de la liste, les données
d’automation existantes sont incrémentées de un. Dans le cas d’assignations supplé-
mentaires, chaque nouvelle entrée entraîne une incrémentation de un.
Remarque :si aucun contrôleur (Ctrl A–F) n’est assigné au paramètre Expression,
le message Expression CC (Ctrl #11) contrôle le volume de sortie.
Remarque :par exemple, le Vector Stick (manette) du synthétiseur Korg Wavestation
génère les messages des contrôleurs 16 et 17. Si vous utilisez cet instrument comme
clavier maître, vous pouvez contrôler directement les intensités de modulation avec
la manette.
Remarque :dans la norme MIDI, pour tous les contrôleurs dont le numéro est compris
entre 0 et 31, un contrôleur LSB est également défini (avec un numéro compris entre 32
et 63). Ce contrôleur Least Significant Byte permet une résolution de 14 bits au lieu de
7. L’ES2 reconnaît correctement ces messages de modification de contrôleur (Control
Change), par exemple, pour un contrôleur Breath (souffle) ou Expression.
RndN01
RndN01 (NoteOnRandom1) contrôle l’intensité de la modulation (Voir RndNO1
à la page 243).246 Chapitre 20 ES2
RndN02
RndNO2 (NoteOnRandom2) contrôle l’intensité de la modulation (Voir RndNO2
à la page 243).
SideCh
Une source d’entrée latérale (pistes, bus) est utilisée pour créer le signal de modulation.
Les LFO
Le terme « oscillateur basse fréquence » est abrégé en LFO (Low Frequency Oscillator).
Sur les synthétiseurs analogiques, le LFO génère des signaux de modulation, dont la
fréquence est inférieure à la plage de fréquences audibles :leur bande passante se situe
entre 0,1 et 20 Hz ;parfois elle atteint 50 Hz. Le LFO sert à créer des effets de modulation cycliques. Si vous modulez légèrement la tonalité d’un oscillateur audio avec une
fréquence de LFO d’environ 3 à 8 Hz, vous entendez un effet de vibrato. Si vous modulez
la fréquence de coupure d’un filtre passe-bas, vous entendrez un effet wah-wah ;
si vous modulez l’amplificateur dynamique, vous obtenez un effet de trémolo.
L’ES2 possède deux LFO, dont les sorties peuvent servir de sources dans le routeur.
 Le LFO 1 est polyphonique :si vous l’utilisez pour moduler plusieurs voix, celles-ci ne
sont pas verrouillées en phase. Par ailleurs, il est synchronisé sur les touches :chaque
fois que vous enfoncez une touche, le signal LFO 1 de la voix associée repart de zéro.
Autrement dit, lorsqu’elle est utilisée sur une entrée polyphonique (un accord joué
sur le clavier), la modulation est indépendante pour chaque voix (note). La tonalité
d’une voix peut donc monter, celle d’une autre, descendre et celle d’une troisième,
atteindre sa valeur minimale.
 Le LFO 2 est monophonique :si vous modulez, par exemple, la tonalité des trois
oscillateurs (avec Pitch123 comme cible et LFO2 comme source), la hauteur tonale
de chaque note de l’accord monte ou baisse simultanément.
Les deux LFO offrent un certain nombre de formes d’onde différentes. Le LFO 1 permet
d’effectuer automatiquement des fondus entrants et sortants, sans recourir à un géné-
rateur d’enveloppe distinct. Les paramètres des LFO sont décrits ci-après :Chapitre 20 ES2 247
EG (LFO1)
Si le curseur EG a une position médiane (pour ce faire, cliquez sur le repère du milieu),
l’intensité de la modulation est statique :elle ne subit aucune variation (ni fondu
entrant, ni fondu sortant). Avec des valeurs positives, la modulation subit une fondu
entrant. Plus la valeur est élevée, plus le temps de retard est long. Avec des valeurs
négatives, elle subit un fondu sortant. Plus le curseur est bas (à l’écran), plus le temps
de chute est court.
Ce curseur est appelé EG car les fondus entrants et sortants sont effectués en interne
par un générateur d’enveloppe extrêmement simple.
Le plus souvent, il permet de retarder le vibrato. (De nombreux instrumentistes et
chanteurs tiennent de cette façon les notes longues.) Pour ce faire, montez le curseur
au niveau de la moitié supérieure (Delay) et modulez la cible Pitch123 avec la source
LFO1. Entrez une intensité de modulation modérée. Sélectionnez une valeur Rate de
5 Hz environ et une forme d’onde triangulaire pour le LFO.
? Astuce :si vous modulez rapidement, de façon chaotique, les fréquences des oscillateurs Pitch123 selon le signal LFO 1 avec Sample&Hold retardé comme forme d’onde,
une valeur Rate élevée et un fondu sortant court, la phase d’attaque de la note produit
un son Moog « rugueux », un peu comme dans le cas des cuivres.
Rate
Ce paramètre permet de définir la fréquence (vitesse) de la modulation. La valeur sélectionnée est indiquée en Hertz (Hz), sous le curseur.
Wave
La partie Wave vous permet de sélectionner la forme d’onde souhaitée pour le LFO.
Essayez l’effet obtenu avec chacune des formes, lorsque la modulation Pitch123 est
activée. Les symboles des diverses formes possibles sont assez significatifs.
Onde triangulaire
La forme d’onde triangulaire convient bien aux effets de vibrato.
Onde en dents de scie ou en dents de scie inversées
La forme d’onde en dents de scie convient bien aux effets sonores d’hélicoptères et
d’épées laser. Une modulation marquée des fréquences des oscillateurs avec une onde
en dents de scie inversée génère des sons de type bulle, ébullition ou environnement
sous-marin. Un modulation marquée, en dents de scie, au niveau des signaux issus des
filtres passe-bas (le second filtre, notamment) crée des effets rythmiques.248 Chapitre 20 ES2
Ondes rectangulaires
Les formes d’onde rectangulaires font varier régulièrement le signal LFO entre deux
valeurs. Une forme rectangulaire saillante évolue entre une valeur positive et zéro.
Une forme rectangulaire en creux évolue entre une valeur positive et une valeur
négative ;ces valeurs sont symétriques par rapport à zéro.
Remarque :vous pouvez obtenir un effet intéressant en modulant Pitch123 selon une
intensité appropriée, de façon à obtenir un intervalle de quinte. Pour ce faire, utilisez
l’onde rectangulaire saillante.
Sample & Hold
Les deux derniers réglages de forme d’onde pour le LFO génèrent des valeurs aléatoires.
Une valeur aléatoire est déterminée à intervalles réguliers, selon la fréquence du LFO.
L’avant-dernière forme d’onde fournit les pas aléatoires exacts. Avec la dernière,
en revanche, l’onde aléatoire est lissée ;les transitions entre les différentes valeurs
sont donc plus fluides.
L’expression Sample & Hold (abrégée en S & H) fait référence à la procédure qui consiste
à prendre des échantillons d’un signal de bruit à intervalles réguliers. La valeur de tension
de l’échantillon est ensuite maintenue jusqu’au prochain échantillon. Lors de la conversion
de signaux audio analogiques en signaux numériques, une procédure similaire est
utilisée :des échantillons de la tension du signal audio analogique sont prélevés selon
la fréquence d’échantillonnage.
? Astuce :une modulation aléatoire de Pitch123 permet de produire l’effet de génération
de modèle de tonalité aléatoire, communément appelé « sample and hold ». Essayez
cette modulation avec des notes très aiguës, à des fréquences et intensités très élevées,
vous reconnaîtrez cet effet sonore très populaire, présent dans des centaines films de
science fiction.
Rate (LFO 2)
Le contrôle LFO2 Rate (fréquence) permet l’exécution libre (dans la moitié supérieure de
la course du curseur) ou synchronisé sur le tempo du projet (dans la moitié inférieure)
du LFO 2. Ce taux est exprimé en Hertz ou en valeurs rythmiques, selon que la synchronization au tempo du projet est active ou non. La plage rythmique va de la quadruple
croche à 32 mesures. Les triolets et les notes pointées sont également possibles.
Le LFO 2 convient particulièrement aux effets rythmiques nécessitant une synchronicité
parfaite, même en cas de changement de tempo au sein du projet.Chapitre 20 ES2 249
Les enveloppes (ENV 1 à ENV 3)
Outre l’enveloppe vectorielle complexe, décrite dans la section « L’enveloppe
vectorielle », à la page 255, l’ES2 présente trois générateurs d’enveloppe par voix.
Sur l’interface utilisateur et dans la section source du routeur, ces générateurs sont
abrégés en ENV 1, ENV 2 et ENV 3.
Remarque :l’origine de l’expression générateur d’enveloppe et les fonctionnalités
élémentaires sont expliquées dans la section « Enveloppes », à la page 443.
Les fonctions disponibles dans l’ENV 2 et l’ENV 3 sont identiques. L’ENV 3 définit l’évolution du niveau de chaque note jouée. Autrement dit, ce générateur est « câblé en dur »
à la cible de modulation AMP dans le routeur.
Les paramètres de l’ENV 2 et de l’ENV 3 sont identiques ;toutefois, le générateur ENV 3
est toujours utilisé pour contrôler le niveau sonore.
Contrairement à la plupart des synthétiseurs, il n’existe dans l’ES2 aucune connexion
en dur entre un des générateurs d’enveloppe et les fréquences de coupure des filtres.
La modulation des fréquences de coupure doit être paramétrée séparément dans le
routeur. Cela est déjà le cas dans le réglage par défaut :dans le canal de routeur situé
juste en dessous du filtre (voir illustration).
Pour définir ce type de modulation, configurez un canal de routeur comme
suit :définissez la cible sur Cutoff 1, Cutoff 2 ou Cut 1+2, la source sur, par exemple,
ENV 2. Le curseur du canal Router fait alors office de paramètre du filtre EG Depth.
Remarque :ENV 2 et ENV 3 sont tous deux sensibles à la vélocité, il est donc inutile de
régler le paramètre via sur Velo dans le canal routeur :vous pouvez le laisser désactivé.250 Chapitre 20 ES2
Les paramètres de l’ENV 1
À première vue, le générateur ENV 1 semble assez rudimentaire. Ses quelques paramè-
tres s’avèrent, cependant, utiles pour de nombreuses fonctions de synthétiseur.
Modes de déclenchement :Poly, Mono et Retrig
En mode Poly, le générateur d’enveloppe se comporte comme sur n’importe quel
synthétiseur polyphonique :chaque voix dispose de sa propre enveloppe.
Avec les modes Mono et Retrig, un même générateur d’enveloppe module toutes
les voix en parallèle, c’est-à-dire, de manière identique.
 Si l’ENV 1 est réglé sur Mono, toutes les notes doivent être relâchées pour que l’enveloppe puisse être à nouveau déclenchée. Si vous jouez legato ou tant qu’une touche
reste enfoncée, l’enveloppe ne reprend pas sa phase d’attaque.
 En mode Retrig, l’enveloppe est déclenchée à chaque fois que vous enfoncez une
touche, qu’il y ait ou non des notes tenues dans le même temps. Toutes les notes
tenues sont affectées par le redéclenchement de l’enveloppe.
Dans les premiers synthétiseurs analogiques polyphoniques, toutes les voix des instruments polyphoniques transitaient par un seul et même filtre passe-bas. Ce choix de
conception était essentiellement motivé par des raisons économiques. Les exemples
les plus connus d’instruments polyphoniques sont le Moog Polymoog, le Yamaha SK20
et le Korg Poly 800. Le seul filtre passe-bas de ces instruments est contrôlé par un seul
générateur d’enveloppes. Pour reproduire un tel comportement, utilisez les modes
Mono ou Retrig.
Prenons l’exemple suivant :vous modulez la cible Cutoff 2 avec une source percussive
telle que l’ENV1 en mode Retrig. Si vous jouez une note grave et que vous tenez la
note, celle-ci subit un effet de filtre percussif à chaque fois qu’une nouvelle touche
est enfoncée. La nouvelle note jouée est également affectée par ce filtre. Lorsque vous
jouez un son configuré de la sorte, la sonorité obtenue est proche de celle d’un synthé-
tiseur polyphonique avec un seul filtre. et ce, même si les filtres ES2 sont toujours polyphoniques et peuvent donc être modulés simultanément par plusieurs sources
polyphoniques.
Menu Trigger Modes
Bouton Decay Release
Curseur Attack via VelocityChapitre 20 ES2 251
? Astuce :si vous désirez simuler l’effet percussif d’un orgue Hammond, vous devez
également utiliser les modes Mono ou Retrig.
Chute/libération
L’ENV 1 peut être configuré en tant que générateur d’enveloppe avec les paramètres
Temps d’attaque et Temps de chute ou Temps d’attaque et Temps de libération.
Pour basculer entre ces deux modes, il suffit de cliquer sur D (pour Decay en anglais,
chute) ou sur R (pour Release en anglais, libération) au-dessus du curseur ENV 1 de
droite.
 En mode attaque/chute, le niveau tombe à zéro une fois la phase d’attaque terminée, que la note soit tenue ou non. Le temps de chute est le même, même si vous
relâchez la note. Il est défini à l’aide du curseur de temps de chute, signalé par la
lettre D.
 En mode attaque/libération, le niveau de l’enveloppe reste à son maximum une fois
la phase d’attaque terminée, tant que la touche reste enfoncée. Une fois la touche
relâchée, son niveau descend progressivement selon la durée définie à l’aide du
curseur R (représentant le temps de libération).
Temps d’attaque et Attaque via Vel
Le curseur relatif au temps d’attaque est divisé en deux sections. La section inférieure
définit le temps d’attaque, lorsque la force du jeu est élevée (vélocité maximale).
La section supérieure détermine le temps d’attaque, à une vélocité minimale.
Vous pouvez cliquer avec la souris sur la zone située entre les deux sections et ainsi
faire glisser simultanément les deux sections. Si cette zone est trop petite pour utiliser
la souris, il suffit de cliquer dans une partie libre de la course du curseur et de faire
glisser la souris vers le haut ou vers le bas pour déplacer la zone.252 Chapitre 20 ES2
Les paramètres de l’ENV 2 et de l’ENV 3
Les fonctions disponibles dans les générateurs ENV 2 et ENV 3 sont identiques. Toutefois,
l’ENV 3 sert toujours à définir le niveau de chaque note, pour moduler l’amplificateur
dynamique. Vous pouvez aussi utiliser simultanément l’ENV 3 comme source dans le
routeur. Les paramètres temporels de l’enveloppe peuvent également être utilisés
comme cibles de modulation dans le routeur.
Remarque :pour en savoir davantage sur les fonctions élémentaires et la signification
des générateurs d’enveloppe, consultez la section « Enveloppes », à la page 443.
Attack Time
À l’instar du curseur d’attaque de l’ENV 1, les curseurs relatifs aux temps d’attaque de
l’ENV 2 et de l’ENV 3 sont divisés en deux sections. La section inférieure définit le temps
d’attaque, à une vélocité maximale. La section supérieure détermine le temps d’attaque,
à une vélocité minimale.
Vous pouvez cliquer avec la souris sur la zone située entre les deux sections et ainsi
faire glisser simultanément les deux sections. Si cette zone est trop petite pour utiliser
la souris, il suffit de cliquer dans une partie libre de la course du curseur et de faire
glisser la souris vers le haut ou vers le bas pour déplacer la zone.
Temps de chute (D)
Le paramètre relatif au temps de chute définit la durée nécessaire pour qu’une note
tenue atteigne le niveau Sustain défini, une fois la phase d’attaque terminée. Si le
niveau Sustain est réglé à son maximum, le paramètre de chute (Decay) n’a aucun effet.
En revanche, lorsqu’une valeur minimale est affectée, le paramètre Decay détermine la
durée du fond sortant de la note.
Le paramètre Decay figure comme cible de modulation dans le routeur. Une valeur
distincte peut être définie pour l’ENV 2 et l’ENV 3 (ENV2Dec, ENV3Dec).
? Astuce :sur les pianos et les instruments à cordes pincées, les notes aiguës résonnent
moins longtemps que les notes graves. Pour simuler cet effet, il suffit de définir le
temps de chute comme cible et Kybd comme source de modulation dans le routeur.
Le curseur du canal du routeur doit avoir une valeur négative.
Symbole au centre
Cliquez dessus pour régler le curseur
Sustain Time sur la valeur centrale.Chapitre 20 ES2 253
Notes tenues (S) et temps de maintien (Time)
Lorsque le paramètre de temps de maintien a une valeur médiane (cliquez sur le symbole
central indiqué ci-dessous pour ce faire), le niveau Sustain joue le rôle de tout paramètre
Sustain pour une enveloppe ADSR de synthétiseur.
À cette valeur, le niveau Sustain (abrégé par S) définit le niveau maintenu pendant tout
le temps où la touche reste enfoncée, une fois le temps d’attaque et le temps de chute
terminés.
Le curseur relatif au temps de maintien (Time) définit la durée nécessaire pour que le
niveau atteigne sa valeur maximum, ou tombe à zéro, une fois la phase de chute terminée. Les réglages effectués dans la section inférieure (Fall) déterminent la vitesse de la
chute, autrement dit, la durée nécessaire pour que le niveau passe de la valeur S à zéro.
Plus le curseur est bas, plus la chute est rapide. Les réglages effectués dans la section
supérieure (Rise) déterminent la vitesse de la hausse, autrement dit, la durée nécessaire
pour que le niveau passe de la valeur S à la valeur maximum. Plus le curseur est haut,
plus la hausse est rapide.
Temps de libération
Comme pour n’importe quelle enveloppe de synthétiseur de type ADSR, le paramètre
de temps de libération (R pour Release en anglais) définit la durée de chute nécessaire
pour que le niveau tombe à zéro une fois la touche relâchée.
Vel
Le paramètre Vel définit la sensibilité à la vélocité pour l’ensemble de l’enveloppe.
Lorsqu’il est à son maximum, l’enveloppe ne produit un niveau maximal que lorsque
vous frappez les touches très fort (vélocité maximale).254 Chapitre 20 ES2
Le carré
Le carré possède deux axes :X et Y. Tous deux possèdent des plages de valeurs négatives
et positives. On dit qu’ils sont bipolaires. En cliquant sur le curseur puis en le déplaçant
à l’aide de la souris, les valeurs des deux axes sont transmises en continu. En effet, vous
pouvez moduler un paramètre de votre choix sur X et un autre sur Y, et ainsi utiliser la
souris comme une manette de jeu.
Outre ce contrôle en temps réel, vous pouvez utiliser l’enveloppe vectorielle pour
moduler la position du curseur, exactement comme pour le mixage des signaux des
trois oscillateurs dans le triangle. La fonction de boucle du générateur d’enveloppe
vectorielle permet d’obtenir des mouvements cycliques. De nombreuses possibilités
s’offrent donc à vous, vous permettant d’obtenir un pseudo-LFO de qualité, travaillant
en deux dimensions, avec une forme d’onde programmable. Pour en savoir davantage,
consultez la section « L’enveloppe vectorielle », à la page 255.
Menu Vector Mode
Le menu Vector Mode situé sous le bouton Enveloppe vectorielle permet de désactiver
le contrôle du curseur carré via l’enveloppe vectorielle. Il permet également de définir
si le triangle (la table de mixage de l’oscillateur) doit être géré ou non par l’enveloppe
vectorielle.
 Off :l’enveloppe vectorielle n’affecte ni le triangle ni le carré. Elle est simplement
désactivée. Vous pouvez donc régler et contrôler les curseurs du triangle et du carré
en temps réel.
 Mix :l’enveloppe vectorielle contrôle le triangle (mixage des signaux des oscillateurs), mais pas le carré.
 XY :l’enveloppe vectorielle contrôle le carré, mais pas le triangle.
 Mix+XY :l’enveloppe vectorielle contrôle simultanément le carré et le triangle.
Menu Vector Mode
Paramètres Vector Intensity
Menus Vector Target
SquareChapitre 20 ES2 255
Remarque :à l’instar de tous les paramètres ES2, le déplacement des curseurs (triangle
et carré) peut être enregistré et automatisé dans Logic Express. Ces données d’automation peuvent ensuite être éditées et converties en boucles dans Logic Express. Ce fonctionnement est totalement indépendant des modulations cycliques déterminées par
l’enveloppe vectorielle. Pour ce faire, la modulation vectorielle doit être désactivée pour
le carré et le triangle (Vector Mode = Off).
Cible vectorielle et destinations de modulation
Les menus de cible Vector X et Vector Y déterminent l’effet des déplacements du curseur
dans le carré. Les cibles de modulation sont identiques à celles disponibles dans le routeur.
Veuillez consulter la section « Cibles de modulation », à la page 234 pour une description
de ces cibles. La position du curseur dans le carré est également disponible dans le routeur,
avec les options Source et Via :Pad-X et Pad-Y.
Vector Int (intensité de la modulation)
L’intensité maximale, la sensibilité et la polarité de la modulation se règlent par l’intermédiaire des paramètres Vector X Int et Vector Y Int.
L’enveloppe vectorielle
Le triangle et le carré sont les éléments les plus spécifiques et les plus particuliers de
l’interface graphique utilisateur de l’ES2. Alors que le triangle agit sur le mixage des
signaux issus des trois oscillateurs, les axes X et Y du carré peuvent moduler n’importe
quelle cible.
L’enveloppe vectorielle permet de contrôler en temps réel le déplacement des curseurs
dans le triangle et le carré. Chaque voix possède sa propre enveloppe vectorielle, dont
le déclenchement depuis son point de départ se produit à chaque nouvelle frappe de
touche (ou, plus précisément, à chaque message MIDI de début de note).
Triangle Square
Vector Envelope256 Chapitre 20 ES2
Les concepts d’enveloppe vectorielle, de carré et de triangle peuvent intriguer au
premier abord, mais lorsqu’ils sont combinés à d’autres options de synthèse d’ES2,
vous obtiendrez des sons totalement uniques et, en quelque sorte, prenants.
Enveloppe :Points, durées et boucles
L’enveloppe vectorielle comporte jusqu’à 16 points sur l’axe temporel. Chaque point
peut contrôler l’emplacement des curseurs du triangle et du carré.
Les points sont numérotés de façon séquentielle. Le point 1 est le point de départ.
Pour modifier un point, il suffit de le sélectionner en cliquant dessus.
Remarque :plusieurs commandes de modification de l’enveloppe vectorielle sont
rapidement accessibles via un menu contextuel. Cliquez en tout point de l’enveloppe
en maintenant la touche Ctrl enfoncée pour ouvrir ce menu.
Point Sustain
Tout point peut être défini comme point Sustain. En supposant que la note jouée soit
tenue suffisamment longtemps et qu’aucune boucle ne soit en cours, tout mouvement
d’enveloppe s’arrête lorsque le point Sustain est atteint. Le mouvement sera maintenu
jusqu’à ce que la note soit relâchée (commande MIDI de fin de note).
Pour définir un point en tant que point Sustain, cliquez sur le bandeau turquoise situé
au-dessus du point désiré. Le point sélectionné est indiqué par un S, figurant entre le
point et son numéro, sur le bande turquoise.Chapitre 20 ES2 257
Point Loop
Tout point peut être défini comme point Loop. En supposant que la note jouée soit
tenue suffisamment longtemps, l’enveloppe peut être répétée en boucle.
La région convertie en boucle se situe entre le point Sustain et le point Loop. Entre ces
deux points, vous pouvez définir plusieurs points décrivant le déplacement des curseurs
du carré et du triangle.
Pour définir un point comme point Loop, cliquez sur la bande turquoise située sous
ce point. Le point Loop est indiqué par la lettre L sur la bande.
Pour visualiser ou définir le point Loop, la fonction de boucle doit être activée.
Voir la section « Mode Loop », à la page 261.
? Astuce :une fois la fonction de boucle activée, l’enveloppe vectorielle fonctionne
comme un LFO multidimensionnel, polyphonique et à forme d’onde programmable.
Durées d’enveloppe vectorielle
Hormis le premier point, qui dépend du début de chaque note jouée, chaque point
dispose d’un paramètre Time. Ce paramètre définit la durée nécessaire au curseur
pour aller d’un point vers le suivant. Les durées sont généralement exprimées en
millisecondes (ms).
Pour modifier une durée, vous pouvez directement cliquer sur la valeur numérique
et utiliser votre souris en guise de curseur.258 Chapitre 20 ES2
Réglage par défaut de l’enveloppe vectorielle
Le réglage par défaut de l’enveloppe vectorielle comporte trois points. Le point 1 est
le point de départ, le point 2 est défini comme point Sustain et le point 3 est le point
final, désigné par défaut.
L’impact de l’enveloppe vectorielle sur le triangle de mixage des oscillateurs ou sur
le carré est désactivé par défaut. ES2 peut ainsi se comporter comme un synthétiseur
non doté de générateur d’enveloppe vectorielle. Cette configuration initiale classique
est plus pratique lorsque vous créez des sonorités entièrement nouvelles.
Il existe deux façons de désactiver l’enveloppe vectorielle :
 Vous pouvez activer le point Solo (paramètre décrit à la page 259). Lorsqu’il est
activé, seul le positionnement des curseurs du triangle et du carré pour le point
sélectionné est actif.
 Vous pouvez également désactiver l’enveloppe vectorielle dans son ensemble
(ou uniquement pour le triangle ou le carré), comme décrit dans la section « Menu
Vector Mode » à la page 254.
Création et suppression de points
Plus vous définissez de points, plus les mouvements d’enveloppe vectorielle peuvent
être complexes. Vous pouvez :
 Créer un nouveau point en cliquant entre deux points existants avec la touche Maj.
enfoncée. Le segment situé entre les deux anciens points est alors divisé à l’emplacement défini par le pointeur de la souris. La somme des durées de ces deux nouveaux
segments est égale à celle de l’ancien segment entier. De ce fait, les points conservent
leurs positions temporelles absolues. De plus, les emplacements des curseurs dans le
triangle et le carré sont fixes et la création de nouveaux points ne risque donc pas de
modifier les mouvements déjà définis.
 Supprimer des points en cliquant dessus tout en maintenant la touche Ctrl. enfoncée.
Réglage des durées d’enveloppe vectorielle
Pour modifier une durée sur l’enveloppe vectorielle, il suffit de cliquer sur une valeur
temporelle puis de déplacer la souris. La durée nécessaire à l’enveloppe pour aller du
point précédant cette valeur temporelle au point suivant est alors modifiée. Pour ce
faire, vous pouvez procéder de deux façons :
 Faites glisser simplement le paramètre temporel verticalement afin d’atteindre les
points ultérieurs plus tardivement (ou plus tôt, selon le cas).
 Faites glisser le paramètre avec la touche Ctrl enfoncée ;vous diminuez ou augmentez
alors d’autant la durée du point suivant. Vous êtes ainsi assuré que le point adjacent et
tous les points ultérieurs conservent leurs positions temporelles absolues.Chapitre 20 ES2 259
Rétablissement des valeurs d’un point
Vous pouvez revenir aux positions de curseur par défaut pour le triangle et le carré
de la manière suivante :
 Cliquez dans le triangle tout en maintenant la touche Option enfoncée. Tous les
oscillateurs ont alors le même niveau de sortie. Le curseur est placé au centre du
triangle.
 Cliquez sur le carré tout en maintenant la touche Option enfoncée. Le curseur est
alors situé au centre du carré. Les valeurs sont égales à zéro sur les deux axes.
Point Solo
Le bouton Point Solo désactive l’ensemble du générateur d’enveloppe vectorielle. Si
le point Solo est activé, aucune modulation dynamique n’est appliquée par l’enveloppe vectorielle. Dans ce cas, les positionnements actuellement visibles des curseurs
dans le triangle et le carré sont toujours en vigueur. Ils correspondent au point d’enveloppe vectorielle actuellement sélectionné.
Si vous sélectionnez un autre point de l’enveloppe vectorielle (en cliquant dessus), vous
activez immédiatement les emplacements de curseur correspondants dans le triangle
et le carré. Si le paramètre de point Solo est activé, le nouveau point sélectionné
devient le point solo.
Remarque :vous pouvez désactiver séparément la modulation vectorielle du carré
en réglant le paramètre Vector Mode sur off, comme décrit à la page 254.
Modes d’enveloppe :Normal et Finish
Si le menu Env Mode est défini sur Normal, la phase de libération (phase suivant le
point Sustain) commence dès que la touche est relâchée (fin de note). La phase de libé-
ration débute au point d’enveloppe vectorielle correspondant au moment où vous avez
relâché la touche.
 Si la fonction de boucle est désactivée et que l’enveloppe vectorielle atteint le point
Sustain (S), ce point est joué tant que vous maintenez la touche enfoncée.
 Si la fonction de boucle est activée (voir section « Mode Loop », à la page 261) et que
le point Loop est placé avant le point Sustain, la boucle est rejouée tant que vous
maintenez la touche enfoncée.
 Si la fonction de boucle est activée et que le point Loop est placé après le point
Sustain, la boucle est jouée une fois la touche relâchée.260 Chapitre 20 ES2
Lorsque le paramètre Env Mode est défini sur Finish, l’enveloppe vectorielle ne commence
pas immédiatement la phase de libération lorsque la touche est relâchée. Elle joue en
revanche tous les points (selon leur durée totale) jusqu’au dernier, que la touche soit
relâchée ou non.
 Si la fonction de boucle est désactivée, le point Sustain est ignoré. L’enveloppe
vectorielle se termine une fois son dernier point joué, que vous mainteniez la
touche enfoncée ou non.
 Si la fonction de boucle est activée, l’enveloppe vectorielle joue tous les points
jusqu’au point Loop, puis joue la boucle jusqu’à la fin du son. Dans ce cas, cela n’a
aucune importance que le point Loop figure avant ou après le point Sustain (S).
 Si la fonction de boucle est activée et que le paramètre Loop Count a une valeur
différente de « Infinite », l’enveloppe vectorielle poursuit avec les points suivants,
une fois le nombre de boucles sélectionné effectué. Si le paramètre Loop Count est
défini sur la valeur « Infinite », le nombre de segments postérieurs à la boucle n’a
aucune importance. Reportez-vous à la rubrique « Nombre de boucles », à la page 262.
Curve
Le paramètre Curve définit la forme de la transition entre les différents points. Vous
avez le choix entre neuf formes convexes et neuf concaves. Il existe également deux
formes extrêmes :« hold+step » et « step+hold », permettant une modulation par pas.
La forme « step+hold » permet de faire la transition au début, alors que « hold+step »
permet de le faire à la fin.
Remarque :vous pouvez utiliser « hold+step » pour créer des grooves vectoriels de
15 pas maximum.
Boucles d’enveloppe vectorielle
L’enveloppe vectorielle peut, comme toute enveloppe, fonctionner en mode exécution
unique (tant que la note est tenue). Elle peut aussi s’exécuter plusieurs fois ou selon un
cycle infini, un peu comme un LFO. Pour cela, vous devez utiliser des boucles.
Remarque :ces paramètres de boucle vous rappellent peut-être ceux disponibles au
niveau des échantillons. Pour plus de clarté, nous rappelons que l’enveloppe vectorielle
fournit uniquement des signaux de contrôle pour le positionnement du curseur dans
le triangle ou le carré. Les données audio de l’ES2 ne sont absolument pas converties
en boucle.Chapitre 20 ES2 261
Mode Loop
L’ES2 comporte les modes Loop suivants :
 Off :si le mode Loop est désactivé, l’enveloppe vectorielle fonctionne en mode
exécution unique, du début à la fin, en supposant que la note soit tenue suffisamment
longtemps. Tous les autres paramètres de boucle sont également désactivés.
 Forward :si le mode Loop est défini sur Forward, l’enveloppe va jusqu’au point de
Sustain, puis commence à répéter périodiquement la section comprise entre le point
de boucle et le point de Sustain, toujours vers l’avant.
 Backward :si le mode Loop est défini sur Backward, l’enveloppe va jusqu’au point de
Sustain, puis commence à répéter périodiquement la section comprise entre le point
de boucle et le point de Sustain, toujours vers l’arrière.
 Alternate :si le mode Loop est défini sur Alternate, l’enveloppe vectorielle va jusqu’au
point de Sustain et revient au point de boucle, puis repart jusqu’au point de Sustain,
périodiquement. Elle est donc parcourue de façon alternée en avant et en arrière.
Fréquence des boucles
De la même manière que chaque LFO dispose de son propre paramètre de fréquence
(ou Rate), le cycle des boucles peut être défini selon un paramètre Loop Rate. De plus,
toujours comme avec les LFO, la fréquence des boucles de l’enveloppe vectorielle peut
être automatiquement synchronisée au tempo du projet.
 Si vous définissez le paramètre sur As set, la durée du cycle d’une boucle est égale
à la somme des durées situées entre les points Sustain et Loop. Cliquez sur le champ
As set (sous le curseur Rate) pour sélectionner cette valeur.
 Si vous attribuez au paramètre Loop Rate une des valeurs rythmiques (Sync (moitié
gauche du curseur) ou 32 bars jusqu’à 64th Triplet Note), la fréquence des boucles
s’adapte au tempo du projet.
 Vous pouvez également définir la valeur Loop Rate dans le petit panneau à droite du
curseur (Free). La valeur indiquée correspond au nombre de cycles par seconde. Utilisez la souris en guise de curseur pour le réglage.
Remarque :si Loop Rate n’a pas la valeur « As set », et que la fonction de boucle est
activée (Loop Mode Forward, Backward ou Alternate), les durées des points situés entre
les points Loop et Sustain, ainsi que la valeur de Loop Smooth, sont exprimées comme
pourcentages de la durée de la boucle, plutôt qu’en millisecondes.262 Chapitre 20 ES2
Lissage des boucles
Lorsque Loop Mode est défini sur Forward ou Backward, inévitablement, à un moment
donné, une transition du point Sustain au point Loop a lieu. Pour éviter tout changement brutal de positionnement du curseur, le paramètre Loop Smooth permet de lisser cette transition.
 Si Loop Rate est défini sur Sync ou Free, la durée de lissage de la boucle est affichée
comme pourcentage de la durée du cycle de la boucle.
 Si Loop Rate est défini sur As set, la durée de lissage de la boucle est exprimée en
millisecondes (ms).
Nombre de boucles
Les cycles de boucles de l’enveloppe vectorielle ne sont pas nécessairement infinis,
vous pouvez définir un cycle de quelques boucles seulement. Une fois le nombre
de répétitions définies effectué, l’enveloppe vectorielle s’exécute à partir du point S
et se poursuit, comme lorsque Loop Mode est désactivé. Utilisez la souris en guise
de curseur pour définir la valeur Loop Count. Les valeurs possibles vont de 1 à 10
ou l’infini.
Mise à l’échelle
Vous pouvez étendre ou comprimer l’ensemble de l’enveloppe vectorielle. Par exemple, si vous désirez doubler la vitesse de l’enveloppe vectorielle, il n’est pas nécessaire
de réduire de moitié les valeurs temporelles de chaque point. Vous pouvez tout simplement définir le paramètre Time Scaling sur 50 pour cent.
 La plage de valeurs pour le paramètre Time Scaling s’étend de 10 à 1 000 pour cent.
selon une échelle logarithmique.
 Si Loop Rate est défini sur « As set », la mise à l’échelle a également une incidence
sur la boucle. À défaut (Loop Rate = Free ou Sync), le réglage n’est pas affecté par
le paramètre Time Scaling.
Fix Timing :Normalisation des paramètres Time Scaling et Loop Rate
Lorsque vous cliquez sur le bouton Fix Timing en regard du paramètre Time Scaling, la
valeur Time Scaling est multipliée par l’ensemble des valeurs des paramètres de temps
et le paramètre Time Scaling est à nouveau défini sur 100 pour cent. Aucune différence
audible ne peut être notée. Il s’agit simplement d’une procédure de normalisation, tout
à fait similaire à la fonction de normalisation des paramètres de lecture de régions dans
Logic Express.
Si vous utilisez une boucle synchronisée sur le tempo du projet (Loop Rate = sync),
en cliquant sur Fix Timing, vous définissez également Loop Rate sur « As set ». Cela
permet de respecter la valeur absolue de la fréquence.Chapitre 20 ES2 263
Processeur d’effets
L’ES2 possède un processeur d’effets intégré. Toute modification au niveau des réglages
de ces effets est enregistrée comme partie intégrante de chaque programme sonore.
Malgré l’intégration de ce processeur d’effets, n’hésitez pas à traiter les sons issus de
l’ES2 avec les autres modules d’effets inclus dans Logic Express. Les sons et les jeux
de paramètres du processeur intégré rappellent ceux des pédales d’effets des guitares
électriques. Sur scène, il était courant que les musiciens utilisent ce type de pédale
pour guitare sur des synthétiseurs analogiques.
Distorsion
En mode Soft, le circuit de distorsion se comporte comme une pédale d’overdrive à
lampe, tandis qu’en mode Hard, la sonorité est proche de celle d’une pédale fuzz entiè-
rement transistorisée. Le potentiomètre Distortion permet de définir l’intensité tandis
que le potentiomètre Tone agit sur les aigus de la sortie du processus de distorsion.
Chorus, Phaser, Flanger
Ces effets de modulation classiques et leurs paramètres (Intensity et Speed) simulent
le son d’effets du même genre, à une exception près :le bruit est nettement moindre.
 Un effet de chœur (chorus ) est basé sur une ligne à retard dont la sortie est mixée
avec le signal d’origine, pur. Le temps de retard est court, modulé de façon périodique,
provoquant ainsi des variations de tonalité. Ces variations, combinées à la tonalité
du signal initial, produisent l’effet de cœur.
 L’effet Flanger fonctionne de la même manière que l’effet Chorus. Cependant, les temps
de retard sont encore plus courts et le signal de sortie est réinjecté en entrée de la ligne
à retard.De cette façon, de nombreuses résonances harmoniques sont créées, évoluant
de manière cyclique sur le spectre et conférant un son métallique.264 Chapitre 20 ES2
 L’effet Phaser est basé sur un mixage du signal d’origine et d’un signal retardé.
Le retard est produit par un filtre passe-tout qui applique au signal un délai relatif
à la fréquence. Ce dernier est exprimé en tant qu’angle de phase. L’effet repose sur
un filtre en peigne. Il s’agit essentiellement d’une rangée de crans inharmoniques
(et non des résonances, comme avec l’effet Flanger), parcourant également le spectre
de fréquences.
Utilisation des contrôles et attribution de contrôleurs
La section au bas de l’interface ES2 propose trois modes, accessibles en cliquant
sur les boutons respectifs à gauche :
 Macro :propose un certain nombre de macro-paramètres qui affectent des groupes
de plusieurs autres paramètres.
 MIDI :permet d’assigner des contrôleurs MIDI à des canaux de routeur particuliers
(reportez-vous à la section « Contrôleurs MIDI A–F » à la page 242).
 Macro Only :remplace l’interface ES2 par une présentation dédiée (plus petite)
et limitée aux macro-paramètres.
Paramètres d’une macro
Les macro-paramètres fournissent un accès rapide à plusieurs paramètres liés
(et connexes). Lorsque vous modifiez les contrôles de ces macros, un, deux, voire
plusieurs paramètres de l’interface ES2 sont mis à jour en conséquence. Par exemple,
le réglage du contrôle macro Detune peut affecter simultanément les paramètres
Analog, Coarse et Fine Tune.
Important :l’impact de chaque contrôle macro dépend entièrement des valeurs de
paramètres du réglage actuel. Dans certaines sonorités, il est possible que plusieurs
contrôles macro n’aient aucun effet.
Un autre avantage des macro-paramètres est qu’ils sont compatibles avec les réglages
des instruments GarageBand basés sur l’ES2. Vous pouvez donc utiliser l’ES2 ou certains
réglages de synthétiseur GarageBand indifféremment.Chapitre 20 ES2 265
Variations sonores aléatoires
L’ES2 offre une fonction unique, permettant de faire varier les paramètres du son de
façon aléatoire. Vous pouvez définir l’amplitude de cette variation aléatoire et limiter
les variations à des éléments spécifiques du son. Ces variations seront, sans nul doute,
une source d’inspiration, voire d’amusement, et une aide pour la création de sons.
En cliquant sur le bouton RND (pour Random en anglais), vous altérez le son de manière
aléatoire. D’un simple clic vous pouvez donc lancer cette fonction et la réutiliser aussi
souvent que vous le souhaiter.
Remarque :attention, cette fonction n’a rien à voir avec les modulations aléatoires en
temps réel. Elle modifie les paramètres de manière aléatoire à chaque clic de souris sur
le bouton RND. Les modulations aléatoires en temps réel, en revanche, s’effectuent via
les formes d’onde aléatoires des LFO et avec le paramètre Analog, pour le réglage aléatoire de la tonalité.
Intensité des variations aléatoires
Le paramètre RND Int définit l’intensité de l’altération aléatoire. Plus vous faites glisser
le curseur vers la droite, plus vous augmentez l’amplitude de la variation aléatoire.
La fonction de variation aléatoire altère toujours les valeurs actuelles des paramètres,
non celles mémorisées dans le fichier de réglage. De ce fait, si vous cliquez plusieurs
fois de suite sur RND, le son devient de plus en plus éloigné de l’original. Lorsque vous
souhaitez comparer plusieurs légères altérations du même réglage actuel, vous pouvez
recharger le réglage initial après chaque variation aléatoire.266 Chapitre 20 ES2
Destination des variations aléatoires
Il est possible que certains aspects du son généré vous conviennent déjà parfaitement.
Dans ce cas, il est préférable de ne pas les altérer. Par exemple, si votre son a un côté
percussif plaisant et que vous avez envie d’essayer quelques variations de couleur
sonore tout en le préservant, vous pouvez éviter l’altération aléatoire des temps
d’attaque en limitant la variation aux paramètres d’oscillation et de filtrage, et en
excluant les paramètres d’enveloppe. Pour ce faire, il suffit de régler le paramètre
RND Destination sur Waves ou Filters.
Remarque :
 Les paramètres Master Level, Filter Bypass ainsi que les paramètres On/Off des trois
oscillateurs et les options de présentation Vector/Router ne subissent jamais de
variation aléatoire.
 Lorsqu’une variation aléatoire est appliquée à l’enveloppe vectorielle, le point Solo
est toujours désactivé.
Il est possible de restreindre les variations sonores aléatoires aux groupes de paramètres
répertoriés ci-dessous :
Tout
Tous les paramètres ES2, hormis ceux cités ci-dessus, sont altérés.
All except Router and Pitch
Tous les paramètres ES2, hormis ceux relatifs au routeur et à la tonalité de base (réglages
demi-tons des oscillateurs),sont altérés. L’accord fin des oscillateurssubit quand même la
variation, afin d’offrir des sons musicalement plus pertinents.
All except Vector Env
Tous les paramètres ES2, hormis les paramètres d’enveloppe vectorielle, sont altérés.
Cela permet de préserver le feeling rythmique d’un réglage donné.
Waves
Seuls les paramètres Wave et DigiWave des oscillateurs sont altérés. Les autres paramètres
des oscillateurs (accord, mixage et modulations dans le routeur) sont préservés.
DigiWaves
Les DigiWaves sont sélectionnées dans tous les oscillateurs. Le numéro Digiwave sera
modifié. Les autres paramètres des oscillateurs (accord, mixage et modulations dans
le routeur) sont préservés.Chapitre 20 ES2 267
Filters
Les paramètres de filtrage sont altérés. Les paramètres concernés sont les
suivants :Filter Structure (configuration en série ou en parallèle), Blend, Filter Mode,
Cutoff Frequency et Resonance pour les filtres 1 et 2, Fatness, Filter FM pour le filtre 2
uniquement.
Envs
Tous les paramètres des trois générateurs d’enveloppe (ENV 1, ENV 2 et ENV 3) sont
affectés. L’enveloppe vectorielle en est exclue.
LFOs
L’ensemble des paramètres de tous les LFO sont altérés.
Router
L’ensemble les paramètres de tous les canaux de routeur sont altérés par les paramètres
Intensity, Target, via et Source.
FX
Tous les paramètres relatifs aux effets subissent des variations aléatoires.
Vector Envelope
Tous les paramètres d’enveloppe vectorielle sont altérés, y compris les assignations
sur les axes XY du carré.
Vector Env Mix Pad
Les niveaux de mixage des oscillateurs (positionnement du curseur dans le triangle)
pour les points de l’enveloppe vectorielle sont altérés. En revanche, le rythme et le
tempo de la modulation (les paramètres temporels des points) ne sont pas modifiés.
Options Vector Env XY Pad
Le positionnement du curseur dans le carré pour les points de l’enveloppe vectorielle est
modifié. En revanche, les assignations sur les axes XY restent inchangées. Le rythme et le
tempo de la modulation (les paramètres temporels des points) ne sont pas modifiés.
Vous pouvez définir un sens d’altération unique en choisissant l’une des options
suivantes :
 Vector Env XY Pad X only
 Vector Env XY Pad Y only268 Chapitre 20 ES2
Vec Env Times
Seuls les paramètres temporels des points de l’enveloppe vectorielle sont altérés.
Vec Env Structure
La structure même de l’enveloppe vectorielle est altérée :tous les paramètres
temporels, le point Sustain (S), le nombre de points et tous les paramètres de boucle.
Vec Env Shuffle Times
Les temps de réorganisation de l’enveloppe vectorielle (au sein des boucles) sont
altérés :cela inclut la valeur Loop Smooth, si Loop Mode est réglé sur Forward ou
Backward.
Remarque :nous vous recommandons d’enregistrer, au fur et à mesure, tous les sons
intéressants obtenus avec la fonction RND. Enregistrez-les sous un nouveau nom dans
le menu Settings de la fenêtre du module.Chapitre 20 ES2 269
Guides d’initiation
Vous trouverez les réglages correspondants à ces guides d’initiation dans le dossier
Tutorial Settings du menu Settings (au niveau de l’en-tête de la fenêtre de l’ES2).
Atelier « son »
Cet atelier vous explique la création complète de sons courants. La section suivante
vous guide également au cours du processus de création de sons, mais à partir de
différents modèles.
Conception de sons à partir de zéro, réglage du filtrage et des
DigiWaves
Le réglage « Analog Saw Init » est conçu comme un point de départ pour la programmation de sons entièrement nouveaux. Les professionnels apprécient ce type de
réglage pour la programmation de sons nouveaux :un son non filtré avec une forme
d’onde en dents de scie, sans enveloppe, modulation ni gimmick. Ce type de réglage
s’avère également utile lorsque vous apprenez à utiliser un nouveau synthétiseur.
Vous pouvez, en effet, accéder à l’ensemble des paramètres sans vous soucier d’éventuelles valeurs préréglées.
 Nous allons commencer par nous attaquer aux filtres, au centre de tout synthétiseur
substractif. Testez les quatre types de filtre passe-bas 12 dB, 18 dB, 24 dB et fat
(filtre 2) avec différentes valeurs de coupure (Cutoff Frequency) et de résonance (Res).
Définissez Env 2 comme générateur d’enveloppe pour le filtre. Cette configuration de
modulation est prédéfinie dans le routeur.
 Placez le curseur Blend complètement à gauche. Vous pouvez ainsi entendre le son
issu du premier filtre seul. Dans de nombreux cas, vous préférerez certainement
utiliser le second filtre. Toutefois, le premier filtre a certains avantages. Outre le mode
passe-bas avec une pente de 12 dB/octaves (Lo), le second filtre dispose des modes
suivants :passe-haut, pic, passe-bande (BP) et réjection de bande (BR). Le passe-bas
du premier filtre semble « plus doux » si on le compare au deuxième filtre. Il est plus
adapté à des sons où l’effet du filtre est/doit être moins audible (par exemple, des
cordes, des sons FM). Les sons distordus de type TB-303 sont obtenus plus facilement avec le premier filtre.
 Ce réglage permet, en outre, d’observer les différentes formes d’onde des oscillateurs. Les formes d’onde analogiques se définissent dans la présentation Editor.
Pour sélectionner les DigiWaves, réglez le paramètre Osc 1 Wave sur DigiWave.270 Chapitre 20 ES2
Trois sons en dents de scie issus d’oscillateurs désaccordés
et mode Unison
Les sons de synthétiseur « épais » ont toujours été prisés et la tendance risque de
se poursuivre, si on considère les styles de musique moderne trance, techno, R n’ B,
et plus encore. Le réglage « Analog Saw 3 Osc » présente trois oscillateurs désaccordés
et génère un son particulièrement gras. Nous vous présentons ci-dessous quelques
outils supplémentaires permettant d’obtenir un son encore plus épais.
 Vérifiez le son de base obtenu avec les trois oscillateurs, en utilisant différents réglages
de filtre et d’enveloppe.
 Testez l’effet Chorus avec différentes intensités et vitesses.
 Lancez le mode Unison et affectez une valeur supérieure à Analog. Le son étant polyphonique, chaque note est doublée. Le nombre de notes jouables simultanément est
alors réduit de 10 à 5. Ceci enrichit et rend ainsi plus profond le son. En associant le
mode Unison à des valeurs Analog plus élevées, vous diffusez le son sur l’ensemble
du spectre stéréo.
Dans la plupart des réglages prédéfinis, le mode Unison est activé. Or, ce mode demande
énormément de puissance de traitement. Si votre ordinateur n’est pas assez puissant,
vous pouvez le désactiver et insérer un effet Ensemble sur un bus, en vue d’une utilisation avec plusieurs modules. Vous économisez ainsi les ressources de traitement.
Un autre moyen d’économiser les ressources consiste à appliquer la fonction Freeze
ou Bounce à plusieurs pistes d’instruments logiciels.
Sons analogiques, monophoniques et extrêmement désaccordés avec
application d’effets
Le réglage « Analog Unison » produit un son de base non filtré, gras et très désaccordé.
Comme dans l’exemple ci-dessus, trois oscillateurs en dents de scie sont utilisés, mais
leur désaccord est ici amplifié. L’association du mode Unison à une valeur Analog élevée
joue un rôle central,sauf que cette fois le mode monophonique est utilisé pour assembler dix voix. Sans ajout d’effets, le son obtenu est extrêmement chargé, comme dans les
innombrables productions dance et trance. À l’aide des réglages de filtre et d’enveloppe
appropriés, il est facile de définir les sons électroniques (convenant parfaitement pour
l’arpégiation et le séquençage).
 Définissez le réglage Cutoff Frequency (fréquence de coupure) du deuxième filtre
sur 0. Ceci permet d’activer l’enveloppe du filtre préréglée. N’hésitez pas à essayer
différents réglages d’enveloppe.
 Réglez l’oscillateur 1 pour obtenir un son une ou deux octaves plus bas.
 Augmentez la valeur du paramètre Drive ou Distortion.Chapitre 20 ES2 271
 Définissez le générateur Env 2 de sorte qu’il prenne en compte la vélocité du jeu.
Vous pouvez ainsi effectuer des modulations de filtre sensibles à la vélocité.
 Ajoutez un effet de retard à une bande de canal instrumental de l’ES2. Pour retarder
plusieurs canaux instrumentaux logiciels, vous souhaiterez peut-être ajouter l’effet
sur un bus, accessible via le paramètre Send de chaque canal.
Logic Express intègre les effets de réverbération et de retard essentiels à de nombreux
sons de synthétiseurs. Ces effets ne sont pas proposés dans l’ES2, évitant ainsi le
gaspillage des ressources de traitement.
Réglages d’un son de basse pur avec un seul oscillateur
Il n’est pas obligatoire d’utiliser plusieurs oscillateurs pour générer un son. De nombreux
sons simples et efficaces requiert uniquement un oscillateur. Les sons de basse synthétisés
en sont un exemple type :ils peuvent être créés rapidement et facilement avec le réglage
élémentaire « Analog Bass clean ».
Le son de base a une forme d’onde rectangulaire et il est transposé une octave en
dessous. Le son est alors filtré par le deuxième filtre. Ce que ce son a de particulier est
son association de Legato et de Glide (portamento). Lorsque le jeu est staccato, aucun
effet glissé n’est appliqué. Lorsque vous jouez legato, la tonalité passe délicatement
d’une note à une autre. Pour redéclencher les enveloppes, il faut relâcher toutes les
touches avant de jouer une nouvelle note.
 Essayez différents réglages pour le filtre et le générateur d’enveloppe.
 Remplacez la forme d’onde rectangulaire par un signal en dents de scie.
 Modifiez les valeurs du paramètre Glide.
Mieux vaut effectuer des modifications lorsqu’une ligne de basse est en cours de
lecture. Créez une région MIDI monophonique, la plupart des notes étant jouées
staccato et certaines, legato. Vous pouvez obtenir des résultats très intéressants
avec des glissés très longs.
Basse analogique distordue
Pour ce réglage « Analog Bass distorted », le premier filtre est activé avec des valeurs
élevées pour les paramètres Drive et Distortion. Ce filtre convient mieux à la création
de sons analogiques distordus que le second filtre.
 Essayez le second filtre en plaçant le curseur Blend totalement à droite. Vous pouvez
constater que le premier filtre est plus adapté aux sons distordus.
 Pour contrôler la modulation du filtre, déplacez les curseurs verts du premier canal
de modulation dans le routeur. Ce canal contrôle l’intensité de la modulation.272 Chapitre 20 ES2
Intensité FM et fréquence
Le réglage FM Start permet de vous habituer à la synthèse de modulation de fréquence
(FM) linéaire. Vous remarquerez alors un son sinusoïdal non modulé généré par l’oscillateur 1. L’oscillateur 2 est activé et réglé de façon à produire aussi une oscillation sinusoï-
dale, mais son niveau est défini sur 0 :déplacez le curseur vers le sommet supérieur
du triangle.
Dans l’ES2, l’oscillateur 1 est toujours le porteur et l’oscillateur 2, le modulateur.
En d’autres termes, l’oscillateur 2 module l’oscillateur 1.
 Réglez l’intensité de la fréquence de modulation en déplaçant doucement le sélecteur de forme d’onde de Sine vers FM. Vous entendez alors un spectre FM typique,
avec le porteur et le modulateur sur une même fréquence.
 Modifiez alors la fréquence du modulateur (oscillateur 2) en faisant passer le paramè-
tre Fine Tune de 0 c à 50 c. Il en résulte une modulation de fréquence très lente,
comparable à l’effet d’un LFO. Toutefois, cette modulation se produit au sein du
spectre audio. Elle est réglable par pas d’un demi-ton via le sélecteur de fréquence.
Vérifiez l’intégralité de la plage s’étendant de – 36 s à + 36 s pour l’oscillateur 2.
Vous pouvez alors entendre tout un spectre de sonsFM. Il est possible que certains
réglages vous évoquent certains sons classiques de synthétiseurs FM.
 Sélectionner d’autres formes d’onde pour l’oscillateur 2. La forme sinusoïdale est la
forme classique et standard en FM. Cependant, d’autres formes d’onde procurent
d’intéressants résultats, en particulier les DigiWaves.
 Il est possible de générer d’autres sons remarquables en modifiant la fréquence du
porteur (oscillateur 1). Essayez les diverses valeurs de la plage allant de –36 s à +36 s
demi-tons, là encore. Les intervalles impairs sont particulièrement étonnants.
Notez que la tonalité de base est alors modifiée.
Contrôle de l’intensité FM par une enveloppe et une mise à l’échelle FM
À partir du réglage FM Envelope, vous pouvez contrôler l’intensité FM à l’aide d’une
enveloppe générée par l’enveloppe 2. La cible de la modulation correspond à la plage
entre Sine et FM, définie dans le sélecteur d’onde de l’oscillateur. Pour ce faire, vous
utilisez le premier canal de routeur. Vous pouvez contrôler une plus grande plage
d’intensités en recourant à des modulations supplémentaires prédéfinies. Pour ce faire,
vous devez simplement attribuer des valeurs à ces modulations. Étant donné qu’elles
ne sont pas sensibles à la vélocité, vous pouvez les définir dans la présentation Editor,
en déplaçant à la fois les sections inférieures et supérieures des curseurs vers leurs
valeurs maximum.
 Réglez le second canal de modulation sur 1,0. Vous pouvez entendre la modulation
évoluée sur une plage sonore plus vaste.
 Réglez également les canaux de modulation 3 et 4 sur 1,0, puis écoutez l’élargissement
de plage sonore.Chapitre 20 ES2 273
 Suite à ces fortes augmentations de la plage de modulation, le son est inégalement
réparti sur le clavier. Au niveau des notes graves et médium, le son est agréable,
mais dans les aigus, l’intensité FM est trop prononcée. Vous pouvez compenser cet
effet en modulant la cible Osc 1 Wave grâce à la position définie sur le clavier (kybd),
dans les canaux de modulation 5 et 6. Ceci entraîne un échelonnement de l’intensité
FM issu du clavier.
 La plage sonore obtenue est tellement vaste (à cause des 4 modulations) qu’il est
nécessaire d’utiliser deux canaux de modulation. Abaissez au maximum les deux
sections de curseur inférieures. Une bonne mise à l’échelle au clavier est essentielle
à tout son FM.
FM avec distorsion et filtre FM
Le réglage FM Drive illustre comment vous pouvez modifier considérablement le
caractère des sons FM en définissant les paramètres Drive et Filter FM. Les sons ainsi
produits rappellent ceux des circuits à réinjection (feedback) des synthétiseurs FM
classiques.
 Testez différents réglages pour Drive et Filter FM.
 Réduisez la valeur du réglage Cutoff Frequency du deuxième filtre sur 0. L’enveloppe
2 module le deuxième filtre. Ce routage de la modulation est déjà présent dans le
réglage.
FM et Digiwaves
Dans le réglage « FM DigiWave », une DigiWave sert de modulateur FM. Il en résulte
un spectre sonore évoquant un son de cloche utilisant deux opérateurs seulement.
En général, lorsque vous utilisez une synthèse FM traditionnelle, ce type de timbre
est uniquement obtenu avec davantage d’oscillateurs sinusoïdaux.
Pour créer un son plus épais, évocateur et ondulant, le mode Unison polyphonique est
activé. Les enveloppes de filtre et d’amplitude ont été préréglées pour définir la forme
du son.
 Testez les nombreuses DigiWaves en tant que sources de modulation FM.
 Utilisez différentes valeurs pour le paramètre Analog.
FM avec tables d’ondes
Vous pouvez programmer des sons FM particulièrement colorés par métamorphose
de la source de modulation entre les différentes Digiwaves. Le morphing défini dans le
réglage FM Digiwave est contrôlé par le LFO 2. Le tempo du LFO 2 (et donc sa morphologie) dépend du tempo du séquenceur (dans notre cas, 2 mesures).
 Définissez différentes formes d’onde pour le LFO 2. La valeur Lag S/H (lissage aléatoire),
notamment, donne souvent des résultats amusants.274 Chapitre 20 ES2
 Essayez diverses intensités FM et fréquences d’oscillateur.
 Modifiez l’intensité de la modulation du premier canal de modulation (LFO2 modulant
Osc2 Wave) et la fréquence du LFO 2.
FM avec distorsion et mode Unison monophonique
Le réglage « FM Megafat » convient parfaitement aux sons de basse ou de guitare
distordus. Ce son devient assez « rude » dans les aigus. Or, il est impossible de contrebalancer cela par une mise à l’échelle des notes. Cependant, on ne cherche pas forcé-
ment à ne produire que des sons « agréables » sur tout le clavier.
 Essayez des désaccords extrêmes en modifiant le paramètre Analog.
 Testez ce son avec l’effet Flanger.
 Activez l’enveloppe de filtre en abaissant à 0 la fréquence de coupure du second filtre.
 Ajoutez un effet Glide aux sons lead.
 Comme toujours en FM, vous pouvez altérer considérablement le son en faisant varier
les fréquences des oscillateurs. N’oubliez pas de tester également les intervalles impairs.
FM avec spectre inhabituel
Si la tonalité n’a aucune importance, vous pouvez obtenir le spectre le plus étrange
qu’il soit grâce à des rapports de fréquences impairs (intervalles d’oscillateur).
Le réglage « FM Out of Tune » offre un son semblable à celui d’une cloche, évoquant
un modulateur en anneau. Il est obtenu avec les valeurs suivantes :30 s 0 c, le modulateur étant sur 0 s 0 c. Dans les années 80, les sons de ce type étaient très populaires.
Ils connaissent désormais un regain d’intérêt grâce aux styles modernes tels que la
musique d’ambiance et la trance.
Vous pouvez développer davantage ce son en appliquant des modulations de filtre
et d’enveloppe, ainsi que des effets. Il n’en reste pas moins, qu’hélas, il est désaccordé.
 Utilisez l’oscillateur 3 comme référence pour accorder le son FM, en déplaçant
le curseur dans le triangle.
 Vous constatez que le son est trop haut de 5 demi-tons (ou trop bas de 7,
respectivement).
 Transposez les oscillateurs 1 et 2 cinq demi-tons en dessous (500 c). Il n’est pas pratique
d’effectuer une transposition vers le haut. En effet, dans ce cas vous devez sélectionner
37 s 0 c pour l’oscillateur 1, alors que sa valeur maximale est 36 s 0 c.
 Il est important de conserver le rapport de fréquence (c’est-à-dire, l’intervalle)
entre les oscillateurs 1 et 2. En d’autres termes, l’oscillateur 1 émet son son à 25 s O c
tandis que l’oscillateur 2 le produit à – 5 s 0 c.Chapitre 20 ES2 275
Modulations d’impulsions lentes et rapides avec l’oscillateur 2
La modulation de la largeur d’impulsion (PWM, Pulse Width Modulation) est une des
fonctions essentielles de tout synthétiseur analogique sophistiqué.
 Choisissez le réglage « PWM Start » et sélectionnez tour à tour l’onde de forme
rectangulaire et celle pulsée dans la section Wave. Les deux symboles correspondants
sont verts. Ce que vous entendez alors est une modulation manuelle de la largeur
d’impulsion.
 Choisissez le réglage « PWM Slow ». À présent la source de la modulation de la largeur
d’impulsion est contrôlée par le LFO 1 et non manuellement. Le résultat doit être sensiblement identique.
 Augmentez la fréquence du LFO 1 en le faisant passer de sa valeur prédéfinie 0,230
à 4,400. Le résultat est une PWM rapide et classique.
 Dans ce réglage et le suivant, la PWM doit être définie de sorte qu’elle paraisse plus
lente dans le bas du clavier et plus rapide dans la partie haute. Cela est souhaitable
pour de nombreux sons, comme les sons de cordes synthétiques. Réduisez tout
d’abord la fréquence du LFO 1 à 3,800.
 Changez ensuite l’intensité de la modulation du second canal de routeur (Target =
LFO1 Rate, Source = Kybd) en lui affectant une valeur de 0,46. La mise à l’échelle de
la PWM est ainsi modifiée et le son semble plus rapide dans les aigus. Ce type d’effet
est également utilisé dans le réglage « PWM Scaled ».
? Astuce :évitez d’utiliser les paramètres Drive et Distortion avec les sons PWM.
Modulation de la largeur d’impulsion avec deux oscillateurs,
PWM Strings
Pour générer un son plus épais, ajoutez l’oscillateur 3, lequel peut également subir une
modulation de sa largeur d’impulsion. En fait, même le premier oscillateur peut fournir
une PWM. Avec le réglage PWM 2 Osc, les deux oscillateurs sont désaccordés de
manière plutôt significative. Développez votre propre son de cordes PWM en utilisant
ce réglage comme base de départ.
 Ajustez l’intensité du cœur (Chorus). Vous affecterez probablement des valeurs plus
élevées pour conférer davantage de largeur au son.
 Programmez le générateur Env 3 à votre guise. Vous devez, au moins, augmenter ses
temps d’attaque et de libération. Vous pouvez aussi le paramétrer en fonction de la
vélocité, si vous préférez. Si vous n’avez pas l’intention d’utiliser ce son uniquement
comme simple nappe, il peut être indiqué de définir un Temps de chute plus court
et un Temps de maintien de seulement 80 à 90 pour cent.
 Diminuez la fréquence de coupure et la résonance du premier filtre afin d’adoucir
le son.
 Enregistrez ce nouveau réglage.276 Chapitre 20 ES2
 Comparez le son obtenu avec celui du réglage PWM 2 Osc. Vous pouvez constater
que le son a considérablement évolué.
 Comparez-le au réglage PWM Soft Strings, lequel a été créé comme décrit ci-dessus.
Des ressemblances notables peuvent être observées.
Modulation en anneau
Un modulateur en anneau a deux signaux en entrée et produit en sortie leur somme
ainsi que leur rapport de fréquences.
Dans l’ES2, la sortie de l’oscillateur 2 peut jouer le rôle de modulateur en anneau.
Elle peut être alimentée par, d’une part, une onde de forme carrée produite par
l’oscillateur 2 et, d’autre part, par le signal de l’oscillateur 1, tandis que la forme
d’onde sélectionnée pour l’oscillateur 2 est Ring.
Les intervalles (rapports de fréquences) impairs entre les oscillateurs, en particulier,
créent des spectres de type son de cloche, rappelant ceux du réglage « RingMod Start ».
Comme expliqué dans la section relative au réglage « FM Out of Tune », à la page 274,
le troisième oscillateur peut être utilisé comme référence pour l’accord, afin de conserver un
certain accord fondamental. Il est possible que vous trouviez parfois qu’un son désaccordé
est utile, notamment comme source d’inharmoniques et d’harmoniques pour une autre
onde élémentaire, fournie par le troisième oscillateur.
Essayez de programmer un son de cloches atmosphérique. Ayez recours à votre
imagination, mais voici entre autres quelques conseils pouvant vous être utiles :
 Testez les différents rapports de fréquence des oscillateurs 1 et 2. Vous pourriez être
amené à utiliser le rapport 29 s 0 c/21 s 0 c, ce qui ne sonne pas désaccordé pour
autant. La modulation en anneau ne sert pas uniquement aux sons de type cloche,
elle permet également d’obtenir une grande diversité de spectres qui tendent à
paraître assez étonnants avec des basses fréquences. Essayez aussi de modifier
l’accord fin des oscillateurs.
 Pour l’effet Chorus, essayez une intensité de 50 pour cent et une valeur Rate équivalente à 2/3 environ de la valeur maximum.
 Réglez à votre guise les temps d’attaque et de libération du générateur Env 3.
 Utilisez les paramètre Drive et Filter FM, si vous aimez les sons un peu « débridés ».
 Pour le reste, à vous de jouer !Chapitre 20 ES2 277
Synchronisation des oscillateurs
Si vous sélectionnez les formes d’onde synchronisées carrées et en dents de scie pour
les oscillateurs respectifs 2 et 3, ces formes sont alors synchronisés avec l’oscillateur 1.
Dans le réglage Sync Start, seul l’oscillateur 2 s’entend alors que le son de l’oscillateur 3
est coupé.
Les sons synchronisés typiques présentent des balayages de fréquences dynamiques sur
de larges plages. Ces modulations de fréquence (ou balayages) peuvent être utilisées de
différentes manières.
 Essayez tout d’abord la modulation de tonalité préprogrammée, affectée à la roulette
de modulation.
 Dans le deuxième canal du routeur, un générateur d’enveloppe a été prédéfini
pour moduler la tonalité (Target = Pitch 2, Source = Env 1). En définissant 1,0
comme valeur minimum, on obtient une enveloppe synchronisée typique.
Essayez également des temps de chute plus courts pour le générateur Env 1.
 Pour éviter l’aspect stérile et sans vie (une fois la phase de chute de l’enveloppe
terminée), vous pouvez également moduler la fréquence de l’oscillateur avec un
LFO. Utilisez le troisième canal du routeur :définissez sur 0,50 la valeur minimale
de modulation appliquée par le LFO 1.
 Remplacez l’onde carrée avec synchronisation par l’onde en dent de scie avec
synchronisation, observez le résultat et voyez si celui-ci vous convient.
Remarque :la modulation par largeur d’impulsion est également disponible à travers
l’onde carrée synchronisée des oscillateurs 2 et 3. Une modulation des paramètres
d’onde (concernant ces deux oscillateurs) génère une modulation PWM lorsque l’onde
carrée synchronisée est sélectionnée.278 Chapitre 20 ES2
Premières étapes de la synthèse vectorielle
Cette section fournit des conseils utiles vous permettant de programmer des enveloppes vectorielles. Dans le réglage Vector Start, le mixage des sons issus des oscillateurs
est contrôlé par une enveloppe vectorielle. Chaque oscillateur a été défini avec une
forme d’onde différente.
 Passez de la présentation Router à la présentation Vector.
 Le réglage élémentaire (par défaut) de l’enveloppe vectorielle consiste en 3 points
d’enveloppe, le premier étant le point de départ, le deuxième, le point Sustain et le
troisième, la cible de la phase de libération. En cliquant sur ces points, vous pouvez
voir, dans le triangle, que le mixage est à chaque fois défini sur 100 pour cent pour
l’oscillateur 1.
 Cliquez sur Point 2 et placez le curseur Triangle sur Oscillateur 2. Vous entendez alors
une onde carrée au lieu d’une en dents de scie de l’oscillateur 1.
 Lancez l’enveloppe vectorielle en désactivant le paramètre Solo Point. En effet, tant
qu’il est activé, vous entendez uniquement le point sélectionné, sans modulation
dynamique. Une fois qu’il est désactivé, vous entendez le son osciller entre dents
de scie et carrés, à chaque déclenchement de note.
 Modifiez la durée préréglée de 498 ms, entre les points 1 et 2.
 Toute en maintenant la touche Maj enfoncée, cliquez sur entre les points 1 et 2.
Un Point 2 est alors créé et l’ancien point portant ce nom devient à présent le
Point 3. L’espace de temps total séparant le Point 1 du Point 3 est réparti entre
les Points 1 et 2, puis 2 et 3. Cette répartition s’effectue à l’endroit même du clic.
Si vous avez cliqué à mi-chemin exactement, les deux nouvelles sections sont alors
de durée égale.
 Cliquez sur le nouveau point 2 et, dans le triangle, déplacez le curseur vers
l’oscillateur 2.
 Faites glisser le curseur du Point 3 dans le Triangle sur Oscillateur 3. Écoutez la
morphologie sonore des trois oscillateurs, passant d’un son en dents de scie en
onde carrée, puis d’une forme carrée en une triangulaire, au point final de Sustain.
 Cliquez sur le point 4 (le point de fin) et, dans le triangle, déplacez le curseur vers
l’oscillateur 1 (si ce n’est pas déjà le cas). Une fois la touche jouée relâchée, vous pouvez
entendre le son revenir vers la forme d’onde en dents de scie de l’oscillateur 1.Chapitre 20 ES2 279
Synthèse vectorielle :Carré XY
Cet exemple d’enveloppe vectorielle reprend le résultat obtenu à l’exercice précédent.
Vous disposez donc d’une simple enveloppe vectorielle comprenant 4 points, définie
pour moduler le mixage des sons issus des oscillateurs (le triangle).
Dans cet exemple, l’enveloppe vectorielle sert à contrôler deux paramètres
supplémentaires :la fréquence de coupure du second filtre et le panorama. Ces deux
paramètres sont prédéfinis comme cibles X et Y dans le carré. La valeur 0,50 leur est
affectée à chacun.
 Activez le paramètre Solo Point pour entendre plus facilement les réglages de
chaque point.
 Cliquez sur Point 1. À ce stade, seule la forme en dents de scie de l’oscillateur 1
s’entend.
 Déplacez le curseur du carré complètement à gauche ;vous définissez ainsi une
faible fréquence de coupure pour l’oscillateur 2.
 Cliquez sur Point 2. C’est à présent l’onde rectangulaire de l’oscillateur 2 qui est émise.
 Déplacez le curseur du carré complètement vers le bas ;vous définissez ainsi
une position panoramique totalement à droite.
 Cliquez sur Point 3. L’onde passe à une forme triangulaire pour l’oscillateur 3.
 Déplacez le curseur du carré complètement vers le haut ;vous définissez ainsi
une position panoramique totalement à gauche.
 Activez Solo Point. Au départ le son a une forme d’onde en dents de scie, avec un
filtrage très marqué, puis il prend une forme carrée et sans filtrage. Il vient alors de
la droite, puis va vers la gauche à mesure que la métamorphose tend vers une onde
triangulaire. Une fois la note relâchée, un signal en dents de scie est perçu.280 Chapitre 20 ES2
Synthèse vectorielle :Boucles
Le son de base du réglage « Vector Loop » (sans l’enveloppe vectorielle) consiste en
trois éléments :
 L’oscillateur 1 génère un spectre FM de caractère métallique, modulé par la table
d’ondes de l’oscillateur 2.
 L’oscillateur 2 produit des DigiWaves avec fondu enchaîné (soit, une table d’ondes),
modulées par le LFO 2.
 L’oscillateur 3 joue un son PWM bien équilibré, selon la vitesse du LFO 1 et mis
à l’échelle au clavier.
L’utilisation des modes Unison et Analog confère corps et largeur au son.
Ces couleurs sonores plutôt hétérogènes servent de sources sonores à la boucle
vectorielle.
Une boucle de lecture en avant lente est prédéfinie. Elle passe de l’oscillateur 3 (son PWM,
point 1) à l’oscillateur 1 (son FM, point 2), puis de nouveau à l’oscillateur 3 (PWM, point 3)
et à l’oscillateur 2 (table d’ondes, point 4). Finalement, elle revient à l’oscillateur 3 (PWM,
point 5). Les points 1 et 5 sont identiques, empêchant toute transition depuis le point 5
vers le point 1, dans la boucle en avant. Il est possible d’adoucir ce genre de transition
à l’aide du paramètre Loop Smooth. Toutefois, cela complexifie la programmation des
éléments rythmiques.
Les distances entre les différents points de l’enveloppe vectorielle ont été définies pour
une rythmique exacte. Avec le paramètre Loop Rate activé, les valeurs temporelles ne
sont pas exprimées en ms, mais en pourcentages. On compte quatre valeurs temporelles (chacune de 25 pour cent), ce qui facilite la conversion en valeurs de notes.
 Pour désactiver l’enveloppe vectorielle, il suffit d’activer la fonction Solo Point.
Elle permet d’écouter un à un les différents points.
 Profitez-en pour déplacer le curseur du carré selon vos goûts. Comme dans l’exemple
précédent, les axes X/Y du carré contrôlent la fréquence de coupure du second filtre
ainsi que la position panoramique. Vous pouvez ajuster ces paramètres pour rendre
le son plus vivant.
 Pour activer l’enveloppe vectorielle, désactivez la fonction Solo Point. Écoutez
le résultat obtenu et affinez le positionnement du curseur dans le carré.
 Changez la valeur du paramètre Loop Rate en la passant de 0,09 (valeur prédéfinie)
à 2,00, maximum. Vous observez alors une modulation périodique, proche de celle
d’un LFO. À ce stade, la modulation n’est pas synchronisée au tempo du projet.
Pour synchroniser la lecture de la boucle avec le tempo du projet, placez le curseur
Rate complètement à gauche et entrez une valeur de note ou un nombre de mesure.
 Vous pouvez créer des valeurs de notes avec un rythme plus rapide en cliquant entre
deux points, puis en affectant le pourcentage 12,5, par exemple, aux nouvelles
valeurs temporelles (créées suite à la division en nouvelles sections).Chapitre 20 ES2 281
Grosse caisse avec filtre auto-oscillant et enveloppe vectorielle
Les sons de grosse caisse électroniques sont souvent créés en modulant des filtres autooscillants. L’ES2 permet de recourir à cette technique, notamment si vous utilisez l’enveloppe vectorielle comme source de modulation du filtre. Par rapport aux générateurs
d’enveloppe de type ADSR conventionnels, l’enveloppe vectorielle présente l’avantage
de pouvoir définir/fournir deux phases de chute distinctes et indépendantes. L’effet de
distorsion permet d’appliquer le « drive » approprié, sans pour autant perdre le caractère sonore original du son de batterie.
Remarque :pour ajouter un aspect plus incisif au réglage « Vector Kick », vous devez
activer le paramètre Flt Reset. Cette opération est nécessaire, car tous les oscillateurs
sont désactivés pour ce réglage, et le filtre met un certain temps avant de démarrer le
processus d’oscillation. Au début de chaque note, Flt Reset envoie une impulsion très
courte vers le filtre, de façon à ce qu’il oscille tout de suite.
En ajustant le réglage Vector Kick, vous pouvez très certainement arriver à produire
tous les sons de grosse caisse possibles pour enthousiasmer les pistes de danse.
Voici les paramètres à privilégier pour essayer des variantes efficaces et significatives :
 Pentes du second filtre (12 dB, 18 dB et 24 dB)
 Intensité de la distorsion (Soft/Hard)
 Temps de chute du générateur Env 3 (D)
 Enveloppe vectorielle :durée 1 > 2 (valeur prédéfinie :9,0 ms)
 Enveloppe vectorielle :durée 2 > 3 (valeur prédéfinie :303 ms)
 Mise à l’échelle de la durée vectorielle
Sons de synthétiseurs et de basses percussifs avec deux phases
de chute pour le filtre
Comme « Vector Kick », le réglage « Vector Perc Synth » utilise l’enveloppe vectorielle
pour contrôler la fréquence de coupure du filtre (avec deux phases de chute pouvant
être ajustées séparément). Cela est impossible à réaliser avec un générateur d’enveloppe
de type ADSR conventionnel. Essayez de créer d’autres sons percussifs de synthétiseur
et de basses en jouant sur les paramètres suivants :
 Enveloppe vectorielle :durée 1 > 2 (= Decay 1).
 Enveloppe vectorielle :durée 2 > 3 (= Decay 2).
 Mise à l’échelle de la durée vectorielle.
 Emplacements du curseur du carré pour les points 1, 2 et 3 (= Cutoff Frequency).
 Sélection d’autres formes d’onde.282 Chapitre 20 ES2
Modèles pour l’ES2
Voici une brève présentation de la programmation avec l’ES2.
Lors de la programmation des sons prédéfinis fournis avec l’ES2, un certain nombre
de testeurs, de programmeurs et d’autres personnes impliquées dans ce projet ont
émis le souhait de disposer de modèles pour leur travail de programmation, au lieu
de partir de zéro.
Inutile de le préciser, créer des modèles englobant tous les genres s’avère être mission
impossible. En vous familiarisant avec l’architecture de l’ES2, vous commencerez à comprendre pourquoi.
Nous avons toutefois inclus ce petit guide de la programmation avec l’ES2 dans la barre
d’outils afin de vous aider à connaître et comprendre l’architecture de l’ES2 par la pratique.
L’approche choisie est amusante.De plus, par le biais de quelques opérations simples, vous
allez découvrir qu’il est possible d’obtenir des résultats rapidement lorsque vous commencerez à créer votre bibliothèque personnelle de sons.
Une fois familiarisé avec l’ES2, l’utilité de tous ces paramètres et fonctions vous paraîtra
plus claire et vous pourrez créer vos propres modèles. Ils vous serviront de points de
départ pour la conception de nouveaux sons.
Clean Stratocaster (Slap Strat)
Le but avec ce préréglage était de s’approcher au maximum du son d’une guitare
électrique Stratocaster, avec le sélecteur (switch) entre chevalet et micro central en
position médiane (en phase). Celui-ci tente de reproduire les caractéristiques sonores
typiques de ce grattement de cordes criard.
Ce modèle peut être une bonne base de travail pour émuler des sons proches de ceux
produits par des instruments frettés, des clavecins ou des clavinets, notamment.
Commençons par décrire sa structure :
Les oscillateurs 1 et 3 fournissent la combinaison de formes d’onde de base, dans le cadre
de Digiwave. La modification des Digiwaves des deux oscillateurs (en combinaison) fournit de nombreuses variations basiques, dont certaines conviennent également bien aux
sons de type piano électrique.
L’oscillateur 2 ajoute des harmoniques, grâce à sa forme d’onde synchronisée.
Par conséquent, faites varier uniquement sa tonalité ou sa forme d’onde. Diverses
valeurs peuvent être modifiées afin d’obtenir un son plus équilibré et plus virulent.Chapitre 20 ES2 283
Nous avons usé d’un vieux stratagème pour avoir cette attaque vigoureuse que l’utilisation d’une onde nue ne permettrait pas d’obtenir, même avec les filtres les plus
perfectionnés et les plus rapides :une enveloppe (dans ce cas, l’enveloppe N° 1)
est utilisée pour donner une « poussée » rapide à une fenêtre de table d’ondes
(ou à toutes les tables d’ondes ensemble, le cas échéant).
Il faut ensuite configurer le temps de chute de l’enveloppe 1 en fonction de cette courte
poussée. Pour ce faire, déplacez les sélecteurs de formes d’onde de tous les oscillateurs
sur l’attaque. (En fait, cela n’a aucun intérêt au niveau du signal en dents de scie synchronisé du deuxième oscillateur, mais il s’agit de son mode de fonctionnement …)
Vous pouvez faire varier la vivacité du contenu avec les éléments suivants :
 La contribution d’Env 1 au bruit d’attaque global, selon la vitesse de chute :
une chute lente engendre une crête tandis qu’une longue produit un grondement,
puisque plusieurs ondes de la table sont alors lues.
 La destination de la modulation :vous pouvez toujours l’assigner à chacun des
oscillateurs séparément.
 Le point de départ :vous faites varier le début de la fenêtre de l’onde avec le potentiomètre minimum/maximum régissant la modulation EG1/ondes osc. ; des valeurs
négatives permettent d’avoir une onde de départ avant l’onde sélectionnée,
des valeurs positives permettent de commencer la lecture après l’onde sélectionnée
et de remonter la table…
 N’hésitez pas à tester cette astuce relative à la table d’onde. L’effet de grondement
fonctionne bien pour les sons de cuivres et certains sons d’orgues se révèlent
complètement en leur ajoutant un petit clic, obtenu en poussant la table d’onde.
Le générateur Env 2, qui contrôle le filtre, génère une légère attaque, utilisée pour
l’aspect « frappé » (slap). En lui affectant la valeur la plus rapide, vous éliminez l’attaque
de type wah (tout en gardant suffisamment de punch).
Au niveau du jeu, le LFO 2 est utilisé comme source de vibrato en temps réel. La roulette
de modulation et la force du jeu (pression) lui sont assignées.
N’accordez pas trop d’attention aux différents réglages de roulette et de pression.
N’hésitez pas à les modifier !284 Chapitre 20 ES2
Le paramètre de vélocité est configuré de façon à être très réactif :en effet, de nombreux
joueurs de synthétiseur n’appuient pas sur les touches à la manière d’un pianiste habitué
aux touches « lourdes ». C’est pourquoi nous vous recommandons de jouer cette sonorité
assez doucement,sous peine d’entendre l’aspect frappé glisser légèrement. À défaut, vous
pouvez ajuster la sensibilité à la vélocité pour la modulation du filtre afin qu’elle corresponde à votre jeu.
Par ailleurs, n’hésitez pas à entrer une valeur maximale pour le paramètre Voices ;
six cordes sont suffisantes pour des sons de guitare, toutefois, pour les notes tenues
ou suspendues, quelques voix supplémentaires peuvent être utiles.
Son tournant élémentaire (Wheelrocker)
Ce son d’orgue, assez ordinaire, ne recèle pas de grand secret de programmation :
les trois oscillateurs sont combinés, et leurs niveaux d’onde sont mixés. Vous découvrirez
vraisemblablement une combinaison différente, qui correspond davantage à l’idée que
vous vous faites d’un son d’orgue. Testez les Digiwaves.
Prêtez plus particulièrement attention aux répercussions de la roulette de
modulation :tenez un accord et faites tourner doucement la roulette vers le haut,
jusqu’à la valeur maximum.
La programmation de cette modulation (roulette) vise à simuler une enceinte rotative
Leslie accélérée.
La configuration de la modulation permet d’assurer les tâches suivantes :
 Modulation 1 (Cutoff 1) assigne le générateur Env 2 au premier filtre (le seul utilisé
dans ce son) et produit, avec l’enveloppe, un léger clic de touche d’orgue. Le filtre
est légèrement ouvert (avec Keyboard comme via) pour les aigus (avec la valeur
maximale).
 Modulation 2 et 3 (Pitch 2/Pitch 3) gèrent le vibrato du LFO 1 et les deux oscillateurs
sont modulés hors phase.
 Modulation 5 réduit le volume général ;le niveau de sortie d’un orgue ne doit pas
augmenter de façon trop prononcée lorsque toutes les modulations sont au maximum.
 Modulations 6 et 7 (Pitch 2/Pitch 3) désaccordent les oscillateurs 2 et 3 l’un par rapport
à l’autre, avec des valeurs symétriques. (Cela permet d’éviter des désaccords globaux
trop importants.) Là encore, tous deux travaillent hors phase avec les modulations 2 et
3 ;l’oscillateur 1 reste à une tonalité stable.
 Modulation 8 utilise le LFO 1 comme modulateur pour les déplacements à l’intérieur de
l’image stéréo (panorama) ;en effet, ce son passe de mono à stéréo. Si vous préférez un
vrai son stéréo, avec un effet Leslie lent au repos, entrez la valeur minimale de l’ampleur
désirée.Vous obtenez ainsi une rotation lente et continue.Vous pouvez, éventuellement,
essayer une valeur plus élevée, permettant d’atteindre une séparation des canaux plus
marquée.Chapitre 20 ES2 285
 Modulation 9 accélère la fréquence de modulation du LFO 2.
 Modulation 10 Une faible valeur Cutoff a été ajoutée au premier filtre, ce qui permet
d’augmenter l’intensité de l’effet tournant.
N’hésitez pas à définir vos propres valeurs. Gardez alors à l’esprit qu’il existe deux couples
de modulation, qui ne doivent être modifiés que de manière symétrique :Mod.2 et 3
fonctionnent comme des jumeaux, de même que Mod.6 et 7. Autrement dit,si vous abaissez la valeur de Pitch 2 (à une valeur négative), pensez à augmenter d’autant la valeur de
Pitch 3 (en affectant une valeur positive). La paire de modulation 6 et 7 fonctionne de la
même manière.
Vous pouvez également introduire le LFO 2 pour accroître la diffusion de la tonalité,
contre les mouvements panoramiques et la tonalité du LFO 1. Utilisez-le simplement
à la place du LFO 1 pour la modulation 2 et 3. Notez, cependant, qu’il n’y aura aucune
source de modulation pour l’accélération de l’effet Leslie. Vous devrez donc l’utiliser
de manière statique, en appliquant un fondu entrant uniquement. À défaut, vous
devrez sacrifier l’une des autres modulations au profit d’un second effet tournant.
Pour une autre modification stéréo du son au repos, vous pouvez utiliser le mode
Unison, avec un léger désaccord. (Pour ce faire, agissez sur le paramètre Analog.)
Son de type cuivres (Crescendo Brass)
Avant tout, les oscillateurs permettent d’effectuer les tâches suivantes :
 L’oscillateur 1 fournit l’onde de base pour les sons de cuivres ;elle est en forme
de dents de scie.
 L’oscillateur 2 fournit une forme d’onde de type « impulsion », un peu plus éloignée
du son d’un cuivre. Elle contribue à l’effet d’ensemble. Sa largeur d’impulsion est
modulée par le LFO 1 (modulation 4).
Remarque :le point majeur suivant doit être pris en compte lors de tout type de modulation. Il y a quatre (4) paramètres dont le comportement change complètement si l’un
d’eux est modifié. Par conséquent, il faut agir sur les quatre lorsque vous procédez à des
modifications :
 Vous pouvez modifier la largeur d’impulsion initiale en jouant sur le paramètre Wave
de l’oscillateur 2. Une position de son « épais » (fat), proche de l’onde carrée idéale,
a été choisie pour cette tonalité afin de programmer un son complet alliant des
effets de cuivres et de synthétiseur.
 La modulation 4 permet de régler l’intensité de la modulation, soit :l’étendue de la
plage de sons allant d’épais à étroit, lorsque la modulation de la largeur d’impulsion
est utilisée. Définissez-la avec le paramètre Minimum.
 La fréquence du LFO1 contrôle directement la vitesse du mouvement pour la modulation de la largeur d’impulsion. Avec ce réglage, les deux LFO sont utilisés pour
obtenir un effet de diffusion plus marqué à diverses vitesses de modulation.286 Chapitre 20 ES2
? Astuce :vous devez utiliser les LFO1 pour l’ensemble des modulations automatiques et
permanentes car vous pouvez retarder son impact à l’aide du paramètre EG. Le LFO 2
peut servir aux modulations en temps réel. Celles-ci sont accessibles via la roulette de
modulation, le paramètre de sensibilité à la force du jeu ou d’autres contrôles pendant
que vous jouez.
 Une assignation de clavier a été définie en tant que source de modulation 4. Cela est
dû au fait que les modulations par tonalité, ou par largeur d’impulsion, ont tendance
à provoquer un déréglage plus important dans les graves, alors que l’effet de diffusion
souhaité est obtenu pour les notes du milieu et les aigus. Lorsque vous utilisez le
clavier, il faut d’abord régler les paramètres pour la région des graves, jusqu’à atteindre
un effet de désaccord (résultant de la modulation) acceptable. Ensuite, vérifiez que
les modulations dans les aigus sont également satisfaisantes. Modifiez les relations entre
les valeurs d’intensité (Max) et de mise à l’échelle (Min).
L’oscillateur 3 génère une Digiwave suffisamment proche d’un son de cuivre lorsqu’elle
est incluse dans le mixage global. À la place d’une Digiwave, il est possible d’utiliser
une autre onde pulsée modulée pour prendre en charge l’ensemble ou une onde en
dents de scie pour obtenir un son « plus épais ». Pour ce faire, il faut la désaccorder par
rapport à l’onde en dents de scie de l’oscillateur 1.
Le principal objectif reste cependant d’obtenir un certain « grondement » à travers
une courte table d’onde, tel qu’il est décrit pour le patch Stratocaster (page 282).
Cette configuration s’opère dans Modulation 3 (onde de l’oscillateur 3 déplacée
parla chute de l’enveloppe 1).
Autres contrôles
L’enveloppe 1 influe également sur la tonalité de l’oscillateur 2 vis-à-vis de l’oscillateur
3. Les deux tonalités entrent alors en conflit l’une et l’autre, mais aussi avec celle stable
de l’oscillateur 1 (lors de la phase d’attaque du son).
La conception de l’enveloppe du filtre provoque une fermeture avec un court accident
lors de la phase d’attaque, puis le filtre s’ouvre de nouveau pour une phase de crescendo
plus lente.
Un autre crescendo en temps réel a été assigné à la roulette de modulation. Cela
provoque également une modulation de la tonalité globale, contrôlée par le LFO 2.
Enfin, nous avons programmé une modulation en temps réel (par pression) « contraire »,
qui ferme les filtres. Vous pouvez ainsi jouer avec un decrescendo supplémentaire,
commandé par la force du jeu. Essayez de sentir les réactions au niveau de la sonorité.
Vous pourrez constater que cela permet un certain contrôle sur l’expression :vélocité,
pression après début de note et pression à l’avance. Écoutez ce qui se passe lorsque
vous appuyez sur les touches avec la main gauche avant de plaquer un nouvel accord
de la main droite, en laissant le crescendo entrer.Chapitre 20 ES2 287
MW-Pad-Creator 3
Il s’agit de créer une sonorité capable de générer automatiquement de nouvelles
sonorités.
Les fondamentaux
Là encore, l’oscillateur 2 permet d’obtenir une modulation de la largeur d’impulsion,
afin de créer une impression d’ensemble prononcée (pour en savoir davantage,
consultez la section « Son de type cuivres (Crescendo Brass) », à la page 285).
Les oscillateurs 1 et 3 servent à la combinaison initiale des formes d’onde, avec leurs tables
Digiwave respectives.Vous pouvez,si vous le souhaitez, les modifier et commencer
d’emblée avec une autre combinaison de Digiwaves.
La modulation 3 « contrôle » les tables d’onde des trois oscillateurs, via la molette de
modulation. Autrement dit :vous pouvez faire défiler simultanément les tables d’onde
des oscillateurs 1 et 3, et modifier la largeur d’impulsion de l’oscillateur 2 en agissant
sur la molette de modulation.
Essayez de bouger, prudemment et très lentement, la roulette de modulation ;vous
entendez alors des modifications assez marquées dans la configuration des formes
d’onde. À chaque incrément de la roulette, un son de nappe numérique différent est
produit. Évitez de faire des mouvements rapides,sinon le son produit sera similaire
à celui d’une radio AM.
Un autre type de modification peut être réalisé par le biais de l’intensité de la modulation
des paramètres Wave des oscillateurs 1, 2 et 3. Comme nous l’avons déjà mentionné à
propos du réglage Stratocaster, la valeur du paramètre d’intensité définit à la fois la largeur
des pas et la direction suivie pour la lecture des tables d’ondes.Vous pouvez essayer de
modifier les valeurs, à l’aide de valeurs positives ou négatives.
Un effet secondaire provoqué par l’assignation FM au second filtre (modulation 4/filtre
passe-bas FM) survient lorsque la molette de modulation est déplacée vers les aigus :
la fréquence de modulation du filtre est augmentée, ce qui entraîne une accentuation
des battements cycliques (tonalités vibrantes, désaccords, largeur d’impulsion). Il en
résulte également une qualité rugueuse, « sifflante » du son émis.288 Chapitre 20 ES2
La FM offre un vaste champ d’expérimentation et vous avez le choix entre les modulations suivantes :
 Une FM initiale, via le paramètre FM du second filtre que vous pouvez remettre en
forme (en affectant une valeur de modulation négative comme maximum pour la
modulation 4) en plaçant la roulette de modulation tout en haut de sa course.
 Une FM permanente (et une autre configuration de modulation, enregistrée pour
une assignation différente). Vous pouvez également désactiver la FM, si vous trouvez
que l’effet produit donne un son trop « sale ».
Le contrôle en temps réel s’effectue via la pression pour un vibrato (modulation 10)
et aussi pour une légère ouverture de filtre (paramètre Cutoff) afin de mettre en valeur
la modulation (modulation 9).
Une autre approche de « Crybaby » (Wheelsyncer)
Les sons synchronisés ne sont jamais devenus obsolètes et ils connaissent même
aujourd’hui un renouveau avec les derniers styles de musique électronique populaires.
Les aspects techniques de la procédure permettant de forcer la synchronisation d’un
oscillateur sont décrits dans la section « Sync » à la page 218. Voici, en pratique, comment procéder :
Wheelsyncer est un son lead n’utilisant qu’un seul oscillateur. (Tous les autres sont
désactivés.)
Bien que l’oscillateur 2 soit le seul à générer activement un son, il dépend directement
de l’oscillateur 1.
Si vous modifiez la tonalité ou l’accord de l’oscillateur 1, la tonalité globale du son
devient fausse ou subit une transposition.
La tonalité de l’oscillateur 2 crée la couleur sonore (les harmoniques) du son synchronisé. Les changements de tonalité sont régis par la configuration de la modulation 7,
dans laquelle la tonalité de l’oscillateur 2 est définie par la roulette de modulation.
En faisant varier la roulette, vous pouvez explorer les différents spectres harmoniques
programmés pour les changements en temps réel. Toute modification apportée ici
commence par s’appliquer à la tonalité de l’oscillateur 2 lui-même. Ce dernier est réglé
trois demi-tons en dessous de la tonalité globale. N’hésitez pas à entrer une autre tonalité pour l’oscillateur 2 ;elle ne modifie pas l’accord du réglage.
La modification suivante peut porter, par exemple, sur l’intensité (ou l’intervalle) de la
modulation 7. La valeur maximale a été définie ;or, si celle-ci est trop extrême pour vos
besoins, n’hésitez pas à la diminuer.Chapitre 20 ES2 289
Une autre modification concerne la couleur tonale du son lead lui-même. L’oscillateur 1
est désactivé et la tonalité vous convient. Si vous l’activez, toutes les formes d’onde de
l’oscillateur 1 (Digiwaves, formes d’onde standard ou onde sinusoïdale pouvant être
davantage modulée par la FM) peuvent être utilisées.
Tous les contrôles en temps réel s’effectuent via la roulette de modulation :elle sert
alors à l’ouverture du filtre sur la modulation 6, à un mouvement de balance sur la
modulation 8, et à l’accélération d’un mouvement de balance sur la modulation 9.
Si vous cherchez à aller plus loin sur la manipulation de modulation, reportez-vous
à la rubrique « Son tournant élémentaire (Wheelrocker) » à la page 284 où une configuration similaire à la simulation d’un haut-parleur Leslie est reprise.21
291
21 EXS24 mkII
L’EXS24 mkII est un logiciel échantillonneur, c’est-à-dire qu’il
ne dispose pas de bloc sonore intégré mais lit simplement
les fichiers audio (appelés échantillons) que vous chargez.
Ces échantillons sont ensuite regroupés en collections accordées et organisées, appelées
instruments échantillonnés. L’EXS24 mkII permet de lire, d’éditer et de créer des instruments
échantillonnés. Il est possible d’attribuer certaines plages de notes et de vélocité aux échantillons (des instruments échantillonnés), puis de les traiter à l’aide des filtres et des modulateurs de l’EXS24 mkII. Les instruments échantillonnés étant basés sur des enregistrements
audio, ils conviennent parfaitement à l’émulation de vrais instruments.
L’EXS24 mkII est fourni avec une bibliothèque d’instruments échantillonnés, disponible au
format natif, EXS. Il est également possible d’importer des instruments échantillonnés aux
formats de fichiers d’échantillons AKAI S1000 et S3000, SampleCell, Gigasampler, DLS et
SoundFont2.292 Chapitre 21 EXS24 mkII
L’interface de l’EXS24 mkII est composée de deux fenêtres :
 Fenêtre des paramètres :elle offre de nombreuses options de traitement et de synthèse
d’échantillons, vous permettant de personnaliser les sons instrumentaux EXS.
 Instrument Editor :il permet de créer et d’éditer des instruments échantillonnés.Chapitre 21 EXS24 mkII 293
Lorsque vous travaillez avec l’EXS24 mkII, vous êtes généralement amené
à effectuer les étapes suivantes :
1 Charger ou importer un instrument échantillonné.
2 Modifier le son d’un instrument échantillonné dans la fenêtre des paramètres
de l’EXS24 mkII à l’aide des potentiomètres, des commutateurs et des curseurs.
Il est également possible d’automatiser ces contrôles, ce qui permet d’effectuer
des modifications dynamiques au fil du temps.
3 Éditer certains échantillons dans l’Instrument Editor. Les utilisateurs avancés peuvent
également créer de toutes pièces un instrument. Dans ce cas, ils commenceront par
cette étape, puis passeront à l’étape 2 ci-dessus.
À propos des instruments échantillonnés
Un instrument échantillonné correspond au type de fichier chargé pour lecture dans
l’EXS24 mkII. L’instrument échantillonné indique à l’EXS24 mkII les échantillons (fichiers
audio) à charger, ainsi que la façon dont ils doivent être organisés en zones et groupes.
L’EXS24 mkII vous permet de lire et d’enregistrer l’instrument comme vous le feriez
avec n’importe quel instrument logiciel.
Dans l’EXS24 mkII, le menu de l’instrument échantillonné permet de charger des instruments échantillonnés. Lorsque vous sélectionnez un instrument échantillonné, les fichiers
audio associés sont automatiquement trouvés sur le (ou les) disque(s) dur(s) et chargé(s)
dans la mémoire RAM de votre ordinateur.
Les instruments échantillonnés sont distincts des réglages du module, qui sont chargés
et enregistrés dans l’en-tête du module. Dans la hiérarchie de fichiers, les réglages du
module se situent au-dessus des instruments échantillonnés :un réglage contient un
pointeur vers un instrument échantillonné, et lorsqu’un nouveau réglage est sélectionné, l’instrument échantillonné vers lequel il pointe est chargé automatiquement.
Les réglages du module stockent tous les ajustements de paramètres réalisés dans
la fenêtre des paramètres. Ils ne font pas partie de l’instrument échantillonné en cours
de chargement.
Réglage de module
Réglage de
paramètre
Fichiers audio
L'instrument échantillonné
pointe sur les fichiers audio
Réglage
d'instrument
échantillonné294 Chapitre 21 EXS24 mkII
? Astuce :cette distinction vous permet d’utiliser des instruments échantillonnés tels que
des formes d’ondes dans un synthétiseur. Créez un réglage pour le module et définissez
l’enveloppe, la modulation et les autres paramètres correspondants en fonction de vos
besoins. Utilisez ensuite le menu de l’instrument échantillonné pour charger diverses
« formes d’ondes » et créer des sons « de synthétiseur ».
Vous avez cependant la possibilité de stocker les réglages actuels de la fenêtre Parameters dans un instrument échantillonné (pour en savoir plus, reportez-vous à la section
« Utilisation des réglages d’un instrument échantillonné » à la page 297). Les réglages
enregistrés dans l’instrument échantillonné sont alors annulés.
L’EXS24 mkII est compatible avec tous les formats de fichiers audio pris en charge par
Logic Express :AIFF,WAV, SDII, CAF. Chaque fichier audio est chargé dans l’EXS24 mkII
comme échantillon distinct. Une zone est ensuite automatiquement attribuée à chaque
fichier audio dans l’Instrument Editor de l’EXS24 mkII. Ces zones peuvent ensuite être
éditées et organisées en instruments échantillonnés. Pour obtenir de plus amples informations sur l’utilisation des fichiers audio dans les zones, reportez-vous à la section
« Édition de zones et de groupes ».
Notez que les fichiers audio eux-mêmes ne se trouvent pas dans l’instrument échantillonné. Ce dernier stocke uniquement les informations relatives au nom d’un fichier
audio, aux réglages des paramètres qui lui correspondent et à son emplacement sur
le disque dur. Si vous supprimez ou renommez un fichier audio, tous les instruments
échantillonnés utilisant ce fichier ne seront pas capables de le trouver. Pensez-y lorsque
vous travaillez sur des fichiers audio. Par contre, vous pouvez déplacer des fichiers audio
vers un autre emplacement au sein du système. L’EXS24 mkII pourra les retrouver une
fois les instruments échantillonnés chargés.Chapitre 21 EXS24 mkII 295
Chargement d’instruments échantillonnés
L’EXS24 mkII est fourni avec une bibliothèque d’instruments échantillonnés prête
à l’emploi.
Pour charger un instrument, procédez comme suit :
1 Cliquez sur le champ de l’instrument échantillonné qui se trouve juste au-dessus
du potentiomètre Cutoff, dans la fenêtre des paramètres de l’EXS24 mkII. Le menu
de l’instrument échantillonné s’ouvre alors.
2 Sélectionnez un instrument échantillonné.
Pour apparaître dans le menu de l’instrument échantillonné de l’EXS24 mkII, les instruments doivent être stockés dans le sous-dossier Sampler Instruments de l’un des dossiers
suivants :
 ~/Bibliothèque/Application Support/Logic :emplacement de stockage des instruments
édités ou définis par l’utilisateur.
 /Bibliothèque/Application Support/Logic :emplacement d’installation des instruments
EXS fournis par l’usine.
 /Applications/Logic 6 Series :emplacement de stockage des instruments EXS
de Logic 6 Series.
 …/Nom_projet :Logic Express recherche également les instruments EXS dans
le dossier du projet.
Remarque :les instruments échantillonnés peuvent être stockés dans n’importe quel
dossier des différents disques durs de votre ordinateur. Si vous créez un alias qui pointe
vers ce dossier dans le dossier Sampler Instruments (se trouvant lui-même dans l’un
des dossiers énumérés ci-dessus), les instruments s’affichent dans le menu de l’instrument échantillonné.296 Chapitre 21 EXS24 mkII
Pour atteindre l’instrument suivant ou précédent au sein de votre bibliothèque
d’instruments échantillonnés, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Cliquez sur le bouton plus ou moins, de part et d’autre du menu de Sampler Instruments.
m Cliquez sur Next Instrument ou sur Previous Instrument dans le menu Sampler
Instruments (ou utilisez les raccourcis clavier correspondants).
Si la fenêtre EXS24 mkII est masquée, vous pouvez également utiliser les deux raccourcis
clavier suivants :
 Next Channel Strip ou Plug-In Settingoou EXS Instrument
 Previous Channel Strip ou Plug-In Setting ou EXS Instrument
? Astuce :vous pouvez également naviguer dans vos instruments échantillonnés à l’aide
du clavier MIDI. Dans la fenêtre Sampler Preferences, il existe deux préférences pour
Previous Instrument et pour Next Instrument. Elles vous permettent de choisir un événement MIDI (par exemple, une note MIDI), de contrôler ou programmer un changement,
etc., pour sélectionner l’instrument précédent ou suivant dans la liste des instruments
échantillonnés. Pour en savoir plus, reportez-vous à la section « Réglage des préférences du Sampler ».
Le menu Instrument de l’Instrument Editor permet de charger manuellement des
instruments échantillonnés qui n’apparaissent pas dans le menu Sampler Instruments.
Pour charger des instruments échantillonnés à partir d’un autre emplacement,
procédez comme suit :
1 Ouvrez l’Instrument Editor en cliquant sur le bouton Edit en haut à droite de la fenêtre
des paramètres.Chapitre 21 EXS24 mkII 297
2 Sélectionnez Instrument > Open, puis recherchez l’instrument voulu dans le sélecteur
de fichiers qui s’affiche.
Il est fortement conseillé de copier sur vos disques durs tous les instruments échantillonnés EXS avec les fichiers audio qui leur sont associés. Vous aurez ainsi un accès
direct et immédiat à vos instruments échantillonnés, sans avoir à rechercher et insérer
des CD-ROM ou des DVD. Cela vous permet également d’organiser vos instruments
échantillonnés en fonction de vos besoins.
Pour copier des instruments échantillonnés sur vos disques durs, procédez
comme suit :
1 Copiez le fichier de l’instrument échantillonné dans le dossier ~/Bibliothèque/
Application Support/Logic/Sampler Instruments.
2 Copiez les échantillons associés dans un dossier Samples, dans le même répertoire
que celui dans lequel se trouve le dossier Sampler Instruments.
Utilisation des réglages d’un instrument échantillonné
Ne confondez pas les réglages du module, qui sont chargés et enregistrés dans l’en-tête
du module, et les instruments échantillonnés. Les réglages du module, qui peuvent être
stockés et récupérés dans la fenêtre Parameters de l’EXS24 mkII, ne font pas partie de
l’instrument échantillonné en cours de chargement. Ces réglages doivent être enregistrés et chargés comme des réglages de module standard dans l’en-tête du module.
Dans le menu Options de la fenêtre Parameters de l’EXS24 mkII, il existe cependant
quelques commandes qui vous permettent de définir et de récupérer des réglages
du module intégrés à votre instrument échantillonné. Ces méthodes sont les suivantes :
 Recall default EXS24 settings :rétablit le réglage neutre de tous les paramètres de la
fenêtre Parameters. Cela vous donne une bonne « base de départ »pour l’ajustement
des paramètres de votre instrument échantillonné.
 Recall settings from instrument :rétablit les réglages d’origine des paramètres de l’instrument échantillonné chargé. Ce paramètre s’avère très utile si vous avez fait preuve
d’excès de zèle dans vos modifications et que vous souhaitez revenir aux réglages
d’origine des paramètres de l’instrument échantillonné.
 Save settings to instrument :stocke les réglages actuels de la fenêtre Parameters
dans le fichier de l’instrument échantillonné. Ces réglages sont restaurés lorsque
l’instrument est rechargé.
 Delete settings from instrument :supprime les réglages stockés de l’instrument.298 Chapitre 21 EXS24 mkII
Gestion des instruments échantillonnés
La liste des instruments échantillonnés s’allonge au fur et à mesure que votre bibliothèque
d’échantillons grossit. Pour que la liste des instruments échantillonnés reste gérable,
l’EXS24 mkII offre une méthode de gestion simple mais élaborée.
Pour classer hiérarchiquement vos instruments échantillonnés, procédez comme suit :
1 Créez un dossier dans le Finder (Basses, par exemple) et faites-le glisser dans le dossier
Sampler Instruments voulu.
2 Faites glisser les instruments échantillonnés EXS24 mkII voulus dans le dossier qui vient
d’être créé.
La structure de leur menu est reproduite lorsque vous cliquez sur le menu des
instruments échantillonnés de l’EXS24.
Remarque :lorsque vous modifiez la hiérarchie des dossiers contenus dans le dossier
Sampler Instruments, vous devez cliquer sur l’option Refresh menu, dans le menu
Sampler Instruments.
Le menu affiche uniquement les sous-menus des dossiers qui contiennent des fichiers
d’instruments EXS. Les autres dossiers ne figurent pas dans le menu. Il est également
possible d’ajouter dans ce menu les alias pointant vers des dossiers (contenant des
fichiers d’instruments EXS) qui ne se trouvent pas dans les dossiers Sampler Instruments.
Même le dossier Sampler Instruments peut être lui-même l’alias d’un dossier qui se
trouve sur un autre lecteur ou à un emplacement différent.
Sauvegarde d’instruments
Vous pouvez utiliser le raccourci clavier « Backup audio files of all used and active instruments of current project » pour copier dans un fichier de votre choix les fichiers audio
et ceux des instruments échantillonnés de tous les instruments échantillonnés actifs du
projet. Les dossiers des fichiers audio associés à ces instruments échantillonnés sont créés
dans l’emplacement cible.Chapitre 21 EXS24 mkII 299
Il est ainsi plus aisé de conserver tous vos instruments échantillonnés et vos échantillons
audio à un seul endroit, et vous êtes assuré que chaque dossier de projet contient tous
les instruments échantillonnés et les fichiers audio dont vous aurez besoin, même si vous
n’avez pas accès à votre bibliothèque d’instruments échantillonnés.
? Conseil :vous pouvez arriver au même résultat en configurant votre projet de telle sorte
que les instruments échantillonnés et les échantillons de l’EXS24 soient copiés dans le
dossier de projet. Pour en savoir plus, reportez-vous au Logic Express 8 User Manual.
Recherche d’instruments échantillonnés
Pour que le nombre d’instruments échantillonnés affichés dans le menu Sampler Instruments ne soit pas trop important, vous pouvez utiliser la fonction Find. Apparaissent alors
dans le menu Sampler Instruments uniquement le nom des instruments échantillonnés
qui contiennent le mot recherché.
Pour rechercher des instruments échantillonnés, procédez comme suit :
1 Cliquez dans le champ Sample Instrument qui se trouve juste au-dessus du potentiomètre Cutoff, dans la fenêtre Parameters de l’EXS24 mkII, puis cliquez sur Find dans le
menu Sample Instruments.
2 Dans la fenêtre Filter, entrez la chaîne de caractères (terme) à rechercher.
Pour désactiver le filtre de recherche, procédez comme suit :
m Choisissez Clear Find dans le menu Sampler Instruments.
L’intégralité du menu Sampler Instruments s’affiche, mais le terme recherché entré
dans la fenêtre Filter n’est pas effacé. Pour revenir au menu restreint, sélectionnez le
réglage Enable Find dans le menu Sampler Instruments. Vous pouvez ainsi passer
de l’un à l’autre sans avoir à retaper le terme recherché.
Pour rechercher une autre chaîne de caractères, cliquez à nouveau sur l’option
Rechercher et entrez le terme à rechercher.300 Chapitre 21 EXS24 mkII
Importation d’instruments échantillonnés
L’EXS24 mkII est compatible avec les formats d’échantillons AKAI S1000 et S3000,
SampleCell, ReCycle, Gigasampler, DLS et SoundFont2, ainsi qu’avec Vienna Library.
Importation de fichiers SoundFont2, SampleCell, DLS et Gigasampler
L’EXS24 mkII reconnaît automatiquement les fichiers SoundFont2, SampleCell, DLS et
Gigasampler placés dans le dossier Sampler Instruments et les convertit en instruments
échantillonnés.
Pour importer des fichiers SoundFont2, SampleCell, DLS ou Gigasampler dans
l’EXS24 mkII, procédez comme suit :
1 Copiez ou déplacez vos fichiers SoundFont2, SampleCell, DLS ou Gigasampler dans
le dossier ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/Sampler Instruments.
2 Cliquez sur le fichier SoundFont2, SampleCell, DLS ou Gigasampler dans le menu
Sampler Instruments de l’EXS24 mkII.
L’EXS24 mkII convertit automatiquement les fichiers SoundFont2, SampleCell, DLS
ou Gigasampler en instrument échantillonné EXS :
 Un fichier d’instrument EXS est créé dans le dossier Sampler Instruments qui contient
le fichier dans son format d’origine.
 Les échantillons bruts associés à l’instrument échantillonné sont placés dans l’un
des dossiers suivants (en fonction du format à convertir) :
 ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/SoundFont Samples
 ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/SampleCell Samples
 ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/Gigasampler Samples
 ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/DLS Samples
Instruments
échantillonnés
DLS Samples
(dossier)
SampleCell
Samples
(dossier)
Gigasampler
Samples
(dossier)
SoundFont
Samples
(dossier)
Sampler
Instruments
(dossier)
Logic
(dossier)
Instrument
échantillonné
Gigasampler
Instrument
échantillonné
DLS
Instrument
échantillonné
SampleCell
Instrument
échantillonné
SoundFontChapitre 21 EXS24 mkII 301
La procédure indiquée ci-dessus peut également être utilisée pour importer des
fichiers SoundFont2 et SampleCell Bank, qui contiennent plusieurs sons, en plus des
fichiers mono-instrumentaux. Si vous chargez un fichier SoundFont2 ou SampleCell
Bank dans l’EXS24 mkII, un dossier Bank et un dossier Samples sont créés, d’après le
nom du fichier SoundFont2/SampleCell Bank. Les termes « Bank » ou « Samples » sont
ajoutés à chaque nom de dossier.
Pour chaque son contenu dans le fichier Bank, un fichier d’instrument échantillonné EXS
est automatiquement créé et placé dans le nouveau dossier Bank. Dans l’EXS24 mkII,
le menu Sampler Instruments est automatiquement mis à jour pour reproduire la
nouvelle hiérarchie. Pour chaque échantillon associé au fichier Bank, un dossier Samples
est automatiquement créé dans le dossier SoundFont/SampleCell Samples.
Par exemple, si vous chargez dans l’EXS24 mkII un fichier SoundFont2 Bank nommé
Vintage Drums contenant plus de 50 batteries individuelles provenant de batteries
vintage différentes :
 Un nouveau dossier nommé Vintage Drums Bank est créé dans le dossier Sampler
Instruments, dans le dossier ~/Bibliothèque/Application Support/Logic.
 Un second dossier nommé Vintage Drums Samples est créé dans le dossier
SoundFont Samples, dans le dossier ~/Bibliothèque/Application Support/Logic.
 La hiérarchie du menu Sampler Instruments est mise à jour et l’entrée Vintage Drums
d’origine est remplacée par une entrée Vintage Drums.Bank. Cette nouvelle entrée est
un dossier contenant chaque instrument échantillonné. Elle peut être sélectionnée et
chargée normalement.
Une fois la conversion terminée, les fichiers source SoundFont2, SampleCell ou
Gigasampler d’origine peuvent être librement supprimés des disques durs.
Catégorie
d'instrument
échantillonné
Logic
(folder)
Instruments
échantillonnés
Sampler
Instruments
(dossier)
EXS
Samples
(dossier)
SoundFont
Samples
(dossier)
Basses
(dossier)
Vintage
Drums Bank
(dossier)
Acoustic Bass
(instrument
échantillonné)
Vintage Drums Kit 1
(instrument
échantillonné)
Exemples
de batterie
vintage
Exemples
de basse
acoustique302 Chapitre 21 EXS24 mkII
Remarque :les instruments échantillonnés importés peuvent être stockés dans n’importe
quel dossier des disques durs de votre ordinateur. Pour vous assurer que ces instruments
s’affichent bien dans le menu Sampler Instruments, vous devez créer un alias pointant
vers ce dossier, dans le dossier ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/Sampler
Instruments.
Conversion de fichiers ReCycle en instruments EXS
ReCycle, un logiciel Propellerhead d’édition d’échantillons, permet de diviser un échantillon en petits segments (appelés coupes) en fonction des crêtes de la forme d’onde,
appelées éléments transitoires, dans un fichier audio. ReCycle est donc capable de
découper un fichier audio en coupes musicales pertinentes. ReCycle peut générer
un certain nombre de types de fichiers que Logic Express et l’EXS24 mkII peuvent lire.
L’EXS24 mkII prend en charge les types de fichiers ReCycle suivants :
 Fichier Old ReCycle:ce type de fichier possède l’extension .rcy Leur abréviation
est RCSO. Ils ne sont actuellement plus beaucoup utilisés.
 Fichier d’exportation Old ReCycle :ces fichiers ont pour suffixe .rex. Leur abréviation
est REX. Les anciennes bibliothèques d’échantillons prenant en charge les fichiers
REX ont souvent ce format.
 Fichier ReCycle 2.0 :ces fichiers ont pour suffixe .rx2. Leur abréviation est REX2.
Ils sont beaucoup utilisés par le logiciel Propellerheads Reason et de nombreuses
bibliothèques d’échantillons incluent ce format de fichier.Chapitre 21 EXS24 mkII 303
Génération d’une zone pour chaque coupe
La commande « Extract MIDI Region and Make New Instrument » permet de créer un
instrument EXS24 à partir d’un fichier ReCycle et de générer une zone indépendante
pour chaque coupe.
Pour créer un instrument EXS et attribuer chaque coupe à une zone, procédez
comme suit :
1 Dans l’Instrument Editor, sélectionnez Instrument > ReCycle Convert > « Extract MIDI
Region and Make New Instrument ».
2 Recherchez et sélectionnez le fichier ReCycle voulu dans le sélecteur de fichiers,
puis cliquez sur Open.
3 Entrez un facteur de vélocité dans la fenêtre Create MIDI Region.
Le facteur de vélocité détermine la façon dont le volume sonore de chaque coupe du
fichier ReCycle importé affecte les valeurs de vélocité de la note MIDI générée pour
déclencher cette coupe.
 Si vous entrez une valeur positive (jusqu’à 100), les coupes dont le volume est plus
fort génèreront des notes MIDI avec des valeurs de vélocité plus élevées.
 Si vous entrez une valeur négative, ces mêmes coupes génèreront des vélocités
de notes MIDI moins élevées.
4 Cliquez sur OK.
L’EXS24 mkII génère une zone pour chaque coupe du fichier ReCycle importé et attribue
ces zones à un groupe (pour obtenir de plus amples informations sur les zones et les groupes, reportez-vous à la section « Édition de zones et de groupes »). Le nouvel instrument
EXS portera le nom de la boucle ReCycle. S’il existe déjà un instrument EXS portant ce nom,
il sera suivi du symbole # et d’un numéro. Ainsi,si vous importez par exemple un fichier
ReCycle nommé « Tricky Backbeat » mais qu’un instrument échantillonné portant ce nom
existe déjà, l’instrument importé se voit alors attribué le nom de « Tricky Backbeat#2 » afin
que le nom de ce fichier soit unique dans le dossier Sampler Instruments.
Une région MIDI est également générée sur la piste sélectionnée, au niveau du projet
en cours (arrondi à la mesure). Cette région MIDI permet de déclencher les coupes au
moment défini par le fichier ReCycle. Vous pouvez librement modifier ou supprimer
cette région car il est possible d’en générer de nouvelles à tout moment à partir de
l’instrument EXS importé (voir la rubrique « Génération d’une région MIDI à partir d’un
instrument ReCycle », à partir de la page 304).304 Chapitre 21 EXS24 mkII
La commande « Extract MIDI Region and Add Samples to Current Instrument » permet
d’ajouter les coupes d’une boucle ReCycle à n’importe quel instrument EXS ouvert dans
l’Instrument Editor. Vous pouvez ainsi utiliser plusieurs boucles ReCycle différentes dans
un seul instrument échantillonné.
Attribution de toute la boucle ReCycle à une zone
La commande Instrument > ReCycle Convert > « Slice Loop and Make New Instrument »
permet de créer un instrument EXS à partir d’une boucle ReCycle dans laquelle chaque
zone lit la boucle jusqu’à la fin (au tempo du projet en cours), en commençant par les
points de coupe attribués au départ à chaque zone. La zone inférieure lira donc toute
la boucle, tandis que la zone supérieure lira uniquement la dernière coupe.
Ces techniques permettent de déclencher une boucle à l’ancienne, dans le style
« drum’n’bass », le point de départ de la boucle d’échantillonnage étant déterminé
en jouant les notes respectives au clavier.
La commande Instrument > ReCycle Convert > « Slice Loop and Add Samples to the
Current Instrument » permet d’ajouter les zones de la boucle découpée à l’instrument
échantillonné actif.
Collage de boucles à partir du Presse-papiers
La commande Edit > « Paste ReCycle Loop as New Instrument » permet de créer
un instrument EXS à partir d’une boucle ReCycle copiée dans le Presse-papiers via
la fonction Copy Loop de ReCycle.
Cette méthode de création d’instrument donne le même résultat que lorsque vous
utilisez la commande « Extract MIDI Region and Make New Instrument ».
La commande Edit > « Paste ReCycle Loop to Current Instrument » permet d’ajouter
les zones à l’instrument échantillonné actif.
Génération d’une région MIDI à partir d’un instrument ReCycle
Vous pouvez générer une région MIDI dans les instruments EXS à partir de fichiers
ReCycle importés, en déclenchant les coupes importées au moment défini par les
fichiers ReCycle.
Pour générer une nouvelle région MIDI à partir d’un instrument ReCycle, procédez
comme suit :
m Sélectionnez Instrument > ReCycle Convert > « Extract Region(s) from ReCycle
Instrument ».
Les régions MIDI sont créées sur la piste sélectionnée, au niveau du projet en cours
(arrondi à la mesure). Une région MIDI est générée pour chaque boucle ReCycle importée
dans l’instrument ouvert. Cette fonction nécessite également un facteur de vélocité
(voir ci-dessus).Chapitre 21 EXS24 mkII 305
Conversion de fichiers AKAI
L’EXS24 mkII permet d’importer des échantillons aux formats AKAI S1000 et S3000.
La fonction de conversion AKAI permet d’importer :
 l’intégralité d’un CD-ROM au format AKAI,
 une partition AKAI,
 un volume AKAI,
 un programme AKAI,
 un fichier audio seul (échantillon).
Pour convertir des fichiers AKAI, procédez comme suit :
1 Cliquez sur le bouton Options dans la fenêtre Parameters, puis sélectionnez
AKAI Convert dans le menu qui s’affiche.
La fenêtre AKAI Convert s’ouvre alors, avec le texte « Waiting for AKAI CD » apparaissant
sur les quatre colonnes.
2 Insérez un disque d’échantillon au format AKAI dans votre lecteur de CD-ROM.
Le contenu du CD-ROM s’affiche. La colonne Partition contient les informations :
Partition A, Partition B, etc.
3 Pour visualiser le contenu d’une partition, cliquez avec la souris sur l’entrée correspondante. Les informations relatives au volume contenu dans la partition s’affichent.306 Chapitre 21 EXS24 mkII
4 Pour naviguer dans l’architecture du CD-ROM, cliquez sur les entrées de volumes
pour afficher les programmes qu’ils contiennent, et sur les entrées de programmes
pour afficher les fichiers audio bruts (échantillons).
Pour écouter un fichier audio AKAI avant de décider de l’importer ou pas, cliquez sur
le bouton en dessous, en dessous de la colonne Audio File.
5 Vous pouvez régler en fonction de vos besoins un ou plusieurs des paramètres de
conversion AKAI supplémentaires, en bas de la fenêtre (voir ci-dessous la section
« Paramètres de conversion AKAI supplémentaires »).
6 Une fois que vous avez sélectionné une partition, un volume ou un programme, cliquez
sur le bouton Convert, sous la colonne correspondante. Pour convertir l’intégralité d’un
CD-ROM AKAI, cliquez sur le bouton « Convert entire CD », en bas à droite de la fenêtre
AKAI Convert.
La partition, le volume ou le programme sélectionné(e) est alors importé(e),
ainsi que tous les fichiers audio associés.
Logic
(dossier)
Instruments
échantillonnés
(dossier)
Instruments
échantillonnés
AKAI
AKAI
Samples
(dossier)
Fichiers audio
(exemples)Chapitre 21 EXS24 mkII 307
 Tous les fichiers audio importés sont stockés dans un dossier dont le nom correspond
à celui du volume. Ce dossier est créé dans le dossier ~/Bibliothèque/Application
Support/Logic/AKAI Samples.
 Le nom des instruments échantillonnés créés par importation est le même que celui
du programme correspondant. Ces instruments échantillonnés sont placés dans le
dossier ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/Sampler Instruments, ou dans le
sous-dossier déterminé par le paramètre « Save converted instrument file(s) into sub
folder ». Les sous-dossiers (dont le nom correspond au volume) sont créés lors de la
conversion d’une partition. Si le volume ne contient qu’un seul programme, aucun
sous-dossier n’est créé. Les sous-dossiers dont le nom correspond à la partition sont
créés lors de la conversion de plusieurs partitions.
Les instruments convertis sont affichés dans le menu Sampler Instruments
de la façon suivante :
Paramètres de conversion AKAI supplémentaires
Les paramètres supplémentaires indiqués ci-dessous sont disponibles dans la fenêtre
AKAI Convert.
Paramètre « Save converted instrument file(s) into sub folder »
Ce paramètre peut être utile lorsque vous importez un CD entier. Il permet de créer un
dossier dont le nom correspond à celui du CD-ROM. Vous avez également la possibilité
d’enregistrer vos instruments convertis en fonction d’une catégorie, par exemple, Strings.
De cette façon,si votre CD AKAI est constitué d’échantillons d’instruments à cordes,
tous les programmes ou volumes importés seront ajoutés au sous-dossier Strings.
Pour entrer le nom d’un sous-dossier dans le champ de ce paramètre, cliquez dessus
avec la souris et saisissez un nom, puis appuyez sur la touche Retour. Tous les volumes
et programmes importés seront automatiquement ajoutés à ce dossier.308 Chapitre 21 EXS24 mkII
Remarque :si le nom utilisé existe déjà, l’instrument échantillonné importé est ajouté
au dossier. Ainsi, aucun nouveau dossier portant ce nom n’est créé.
Default instrument output volume (head room)
Au format AKAI, les sons de nappe de niveau constant et les instruments polyphoniques
ont généralement un niveau de sortie plus élevé qu’un « drum groove », par exemple.
Les niveaux de sortie de certains instruments AKAI convertis peuvent ainsi être beaucoup
plus élevés que ceux du reste de votre bibliothèque d’instruments échantillonnés
EXS24 mkII (les programmes convertis ont parfois un tel niveau sonore qu’ils se coupent).
Vous pouvez régler ce paramètre à votre convenance, de façon à limiter la réserve dynamique (le niveau de sortie) des réglages des paramètres de l’EXS24 mkII pour chaque
programme AKAI converti.
Pour trouver la valeur adéquate pour un CD AKAI, rien de tel que faire vous-même
quelques essais et d’apporter des corrections en fonction de vos besoins.Voici néanmoins
quelques suggestions qui pourront vous aider :
 Pour les CD de batterie, commencez soit sans rien changer (0 dB), soit avec une
réserve dynamique de –3 dB.
 Pour les CD de piano, cordes ou nappes, vous pouvez essayer une valeur de –9 dB.
 Pour les programmes très sonores, tels que ceux des synthétiseurs analogiques
superposés, vous pouvez même essayer avec –12 dB.
 Si vous ne savez pas trop quelle valeur de réserve dynamique sélectionner, commencez
par un réglage de –6 dB (valeur moyenne).
Merge programs (same MIDI cha. and prog. change number) into one EXS instrument
De nombreux CD-ROM créés pour les échantillonneurs AKAI proposent des programmes
contenant plusieurs couches de vélocité « élémentaires » par instrument. Les échantillonneurs AKAI exigent le chargement de tout le volume, ou de tous les programmes
« élémentaires » nécessaires, pour pouvoir jouer toutes les couches de vélocité.
Tous ces programmes sont automatiquement assignés au même canal MIDI et
réagissent au même numéro de changement de programme MIDI.
La fonction de conversion AKAI de l’EXS24 mkII vérifie intelligemment tous ces réglages et crée un unique instrument échantillonné EXS à partir de plusieurs programmes
« élémentaires ». En général, cette option doit être activée lors de l’importation de ce
type d’échantillons.
Le principe est le même pour les CD-ROM de batterie, dans lesquels des programmes
« élémentaires » contiennent un seul instrument d’une batterie complète (grosse
caisse, caisse claire, charleston, etc., sous forme d’entités séparées). Vous souhaiterez
probablement rassembler ces programmes AKAI « élémentaires » en un seul instrument échantillonné EXS, afin de constituer une batterie complète.Chapitre 21 EXS24 mkII 309
Il existe toutefois un certain nombre de CD AKAI dans lesquels un seul volume AKAI
issu d’un programme contient tout l’instrument et où les autres programmes du
même volume possèdent le même canal MIDI et le même numéro de changement
de programme MIDI préréglés. Pour ce type de CD, il n’est pas souhaitable d’utiliser
le paramètre Merge programs. L’option doit donc être désactivée.
Create interleaved stereo files whenever possible
Il est conseillé de garder cette option toujours activée, car les fichiers entrelacés offrent
de meilleures performances avec l’EXS24 mkII. Lors de la conversion d’échantillons au
format AKAI, certains fichiers audio sont créés comme fichiers stéréo séparés et comme
fichiers stéréo entrelacés.
Ce sont les informations stockées avec le programme AKAI et les fichiers audio qui
permettent de savoir s’il est possible ou non de créer un fichier entrelacé. Les fichiers
correspondant aux canaux droit et gauche doivent disposer de réglages identiques,
sinon ils ne peuvent pas être utilisés pour créer un fichier entrelacé.
Fenêtre Parameters
Les réglages de la fenêtre des paramètres déterminent la façon dont l’EXS24 mkII traite
l’intégralité de l’instrument échantillonné chargé.
Cette fenêtre contient les groupes de paramètres suivants :
 Paramètres General :paramètres permettant de sélectionner et de configurer
les instruments échantillonnés, les fondus enchaînés, de déterminer le nombre
de voix que l’EXS24 mkII jouera en même temps et de configurer les échantillons
en tant que destinations de modulation.
Matrice de modulation
Paramètres Pitch
Paramètres General
Paramètres Volume
et Pan
Paramètres LFO
Paramètres Filter
Paramètres General
Filtre et enveloppes d’amplitude
Paramètres General310 Chapitre 21 EXS24 mkII
 Paramètres Pitch :permettent d’ajuster l’accord, la transposition, la modulation
de hauteur tonale, etc.
 Paramètres Filter :permettent d’activer et de configurer des paramètres contrôlant
la résonance, la pente, l’amplification et l’enveloppe du filtre de l’EXS24 mkII.
 Paramètres Volume et Pan :permettent d’ajuster le volume, l’enveloppe du volume
et la balance de l’instrument échantillonné chargé.
 Paramètres LFO :permettent d’ajuster les trois LFO disponibles, qui peuvent être
utilisés comme modulateurs.
 Matrice de modulation :permet de régler jusqu’à dix parcours de modulation complexes,
afin de sélectionner un paramètre de source de modulation pour moduler un paramètre
de destination ;il est même possible de moduler la source de modulation, à l’aide du
paramètre via.
Paramètres généraux
Vous trouverez dans cette section une description des paramètres généraux de
l’EXS24 mkII.
Boutons Legato/Mono/Poly
Ces boutons permettent de déterminer le nombre de voix utilisées par l’EXS24 mkII
(c’est-à-dire combien de notes peuvent être jouées simultanément) :
 Lorsque Poly est sélectionné, le nombre maximum de voix est fixé par le champ numé-
rique situé à droite du bouton Poly. Pour modifier la valeur, cliquez avec la souris et
faites glisser le curseur vers le haut ou vers le bas pour augmenter ou diminuer la polyphonie. En général, ce sont les instruments qui permettent de jouer des accords
(le piano ou la guitare, par exemple) qui sont polyphoniques et se prêtent particulièrement à ce mode.
 Lorsque Mono ou Legato est sélectionné, l’EXS24 mkII passe en mode monophonique,
n’utilisant alors qu’une seule voix. En général, ce sont les instruments qui ne jouent
qu’une seule note à la fois (la flûte ou le synthétiseur monophonique Moog,
par exemple) qui se prêtent au mode Mono ou Legato.Chapitre 21 EXS24 mkII 311
 En mode Legato, la fonction Glide n’est active que sur les notes liées. Les enveloppes
ne sont pas redéclenchées lorsque vous jouez des notes liées (en d’autres termes,
lorsque plusieurs notes liées sont jouées, il n’y a qu’un seul déclenchement d’enveloppe). Pour en savoir plus sur la fonction Glide, reportez-vous à la section « Glide » à
la page 317.
 En mode Mono, la fonction Glide est toujours active et les enveloppes sont redé-
clenchées à chaque note jouée.
Voices
Ce paramètre détermine le nombre de voix (polyphonie) que l’EXS24 mkII doit jouer.
Le champ used indique le nombre de voix effectivement utilisées. Si les deux champs
ont tendance à indiquer en permanence la même valeur (provoquant sans doute
une perte audible d’échantillons), il est souhaitable de régler une valeur plus élevée
pour Voices.
Mode Unison
En mode Unison, plusieurs voix d’EXS24 mkII sont jouées à chaque fois que vous
enfoncez une touche :
 En mode Poly, deux voix par note.
 En mode Mono ou Legato, vous pouvez définir le nombre de voix par note grâce
au paramètre Voices.
Les différentes voix sont équitablement réparties dans le champ du panorama et sont
désaccordées de façon symétrique, en fonction de la valeur du potentiomètre Random.
Remarque :le nombre de voix effectivement utilisées par note augmente proportionnellement au nombre de zones comprenant des superpositions d’échantillons.
Menu Sampler Instruments
Cliquez dans le menu Sampler Instruments pour charger un instrument échantillonné
dans l’EXS24 mkII. Pour obtenir de plus amples informations sur ce menu, reportezvous à la section « Chargement d’instruments échantillonnés ».312 Chapitre 21 EXS24 mkII
Bouton Edit
Ce bouton, situé à droite du menu Sampler Instruments de l’instrument échantillonné,
permet d’ouvrir l’instrument échantillonné chargé dans Instrument Editor dans
EXS24 mkII. Si aucun instrument échantillonné n’est chargé, l’Instrument Editor s’ouvre
pour vous permettre de créer un nouvel instrument échantillonné. Pour en savoir plus
sur l’Instrument Editor, reportez-vous à la section « Instrument Editor ».
Bouton Options
Le fait de cliquer sur le bouton Options permet d’ouvrir un menu dans lequel figurent
les options suivantes :
 Recall default EXS24 settings :rétablit le réglage neutre de tous les paramètres de la
fenêtre Parameters. Cela vous donne une bonne « base de départ » pour l’ajustement
des paramètres de votre instrument échantillonné.
 Recall settings from instrument :rétablit les réglages d’origine des paramètres de l’instrument échantillonné chargé. Ce paramètre s’avère très utile si vous avez fait preuve
d’excès de zèle dans vos modifications et que vous souhaitez revenir aux réglages
d’origine des paramètres de l’instrument échantillonné.
 Save settings to instrument :stocke les réglages actuels de la fenêtre Parameters dans
le fichier de l’instrument. Lorsque l’instrument est rechargé, ces réglages sont restaurés
dans la fenêtre Parameters.
 Delete settings from instrument :supprime les réglages stockés de l’instrument.
 Rename instrument :ouvre une zone de dialogue de fichier dans laquelle vous
pouvez entrer un nouveau nom pour l’instrument. Le nom existant de l’instrument
est alors supprimé.
 Save instrument as :permet d’enregistrer l’instrument échantillonné ouvert sous
un autre nom. Lorsque vous appelez cette fonction, une zone de dialogue s’ouvre.
 Delete instrument :supprime l’instrument échantillonné ouvert.
 (Recall default EXS24 mkI settings) :destiné aux instruments échantillonnés qui ont été
créés avec la version précédente de l’EXS24. Les réglages des paramètres de la version
précédente sont rétablis pour l’instrument échantillonné, notamment ceux correspondant aux précédents parcours de modulation (voir la rubrique « Parcours de modulation de l’EXS24 mkI », à partir de la page 326). Pour les instruments échantillonnés
créés avec l’EXS24 mkII, ce paramètre est inutile.
 Extract MIDI Region(s) from ReCycle Instrument :permet d’extraire les régions contenues
dans un instrument ReCycle. Si aucun instrument ReCycle n’est sélectionné, cette
option apparaît en grisé.Chapitre 21 EXS24 mkII 313
 AKAI Convert :ouvre la fenêtre AKAI Convert (voir la section « Conversion de fichiers
AKAI » à la page 305).
 SoundFont Convert, SampleCell Convert, DLS Convert, Giga Convert :chacune de ces
commandes fait apparaître une zone de dialogue expliquant comment procéder
à ces conversions.
 Preferences :ouvre la fenêtre des préférences de l’EXS24 mkII (voir la rubrique
« Réglage des préférences du Sampler », à partir de la page 351).
 Virtual Memory :ouvre une fenêtre comprenant divers réglages pour la configuration
des fonctions de la mémoire virtuelle de l’EXS24 mkII. La mémoire virtuelle autorise
la lecture d’échantillons d’une durée quasiment illimitée, grâce à des flux de données
(audio) récupérés directement sur le disque dur en temps réel. Pour en savoir plus,
reportez-vous à la section « Configuration de la mémoire virtuelle ».
Vel Offset
Le paramètre Vel Offset, qui se trouve en haut à gauche de l’interface de l’EXS24 mkII,
permet de décaler la valeur de la vélocité des notes MIDI entrantes de ±127. Ceci permet de limiter ou d’étendre la réponse dynamique de l’EXS24 mkII s’appliquant aux
événements de notes entrantes.
Hold via
Ce paramètre détermine la source de modulation qui déclenche la fonction de la pédale
Sustain (toutes les notes jouées sont alors maintenues et leur message de fin de note est
ignoré tant que la valeur de la source de modulation reste supérieure à 64). La valeur par
défaut est le numéro de contrôleur MIDI 64 (numéro de contrôleur standard MIDI pour
toutes les fonctions Hold). Vous pouvez la modifier si vous pensez qu’il faut désactiver
l’assignation de la fonction de Sustain au contrôleur continu (CC) 64, ou si vous voulez
déclencher la fonction de Sustain avec une autre source de modulation.
Paramètres Crossfade (Xfade)
Si vous maîtrisez le concept de superposition de zones d’échantillons par plage de
vélocité, les paramètres de fondu vous permettent de passer par fondu enchaîné
d’un échantillon à un autre dans une zone où plusieurs échantillons sont superposés,
avec des réglages de plage de vélocité adjacents. Si vous ne connaissez pas ce concept,
en voici une brève explication :314 Chapitre 21 EXS24 mkII
Lorsque vous assignez un échantillon à une zone, vous avez la possibilité de régler la
vélocité la plus basse et la vélocité la plus haute qui auront pour effet de déclencher
cette zone. La plage comprise entre ces deux valeurs est appelée « plage de vélocité »
de la zone. Les zones peuvent être superposées en les faisant déclencher par une
même touche, mais à des vélocités différentes.
Par exemple, supposons que vous possédez l’échantillon d’un battement léger non
centré sur une caisse claire, et qu’il est assigné à la zone n°1, ainsi qu’un échantillon
d’un frappement fort bien au centre de la caisse claire en direction de la zone n°2.
Si la plage de vélocité de la zone n°1 s’étend de 24 à 90, que celle de la zone n°2 va
de 91 à 127, et que ces deux zones sont assignées à la note MIDI A#2, ces zones sont
alors dites « en couches » sur A#2.
Dans cet exemple, la valeur supérieure de la plage de vélocité de la zone n°1 et la
valeur inférieure de celle de la zone n°2 sont adjacentes. À ce point, un changement
assez abrupt se fait sentir entre l’échantillon audio utilisé dans la zone n°1 et celui
utilisé dans la zone n°2. Les paramètres de fondu enchaîné permettent de passer d’un
échantillon à l’autre de façon moins abrupte. Lorsque vous disposez d’échantillons
audio très différents dans des zones adjacentes, le fondu enchaîné s’avère très utile
pour créer des instruments échantillonnés réalistes.
Les fondus enchaînés sont contrôlés par deux paramètres :Amount et Type.
Le paramètre Amount correspond à la plage des valeurs de vélocité dans laquelle intervient le fondu. En d’autres termes, le fondu est appliqué de façon symétrique autour de
chaque zone superposée, le niveau de fondu déterminant le chevauchement des deux
zones. Le réglage Velocity Range de toutes les zones se verra augmenté par cette valeur,
le fondu enchaîné intervenant dans la zone étendue. Lorsque le paramètre Amount est
réglé sur 0, l’EXS24 mkII passe d’une zone à une autre normalement, sans fondu.
Comme vous le verrez plus loin dans la section « Matrice de modulation », vous pouvez
également régler d’autres sources de modulation (par exemple, la roulette de modulation du contrôleur MIDI) pour moduler le paramètre Amount. Dans ce cas, le paramètre
Amount fonctionne toujours de la même façon, mais le fondu enchaîné n’est pas
déclenché par la vélocité mais par le modulateur choisi.Chapitre 21 EXS24 mkII 315
Le menu Type offre trois types de courbes de fondu différents pour le fondu enchaîné
par vélocité :
 dB lin (dB linear) :courbe logarithmique avec laquelle le fondu enchaîné est joué de
façon régulière des deux côtés.
 linear (gain linear) :courbe convexe avec laquelle le fondu enchaîné est joué comme
si rien ne se passait au début, puis avec un fondu rapide du volume vers la fin.
 Eq. Pow (equal power) :courbe non linéaire avec laquelle le volume augmente plus
rapidement au début, puis revient à la normale plus lentement. Ce paramètre est
utile lorsque l’intensité du volume d’un fondu enchaîné semble baisser au milieu.
Paramètres Pitch
Ces paramètres permettent d’ajuster l’accord et la transposition de l’instrument
échantillonné chargé.
Tune
Ce potentiomètre permet d’augmenter ou de diminuer la hauteur tonale des échantillons chargés, par incréments de demi-tons. Lorsque le potentiomètre est réglé au
centre (en cliquant sur le petit bouton 0), la hauteur tonale reste inchangée.
Transpose
Ce paramètre vous permet également de transposer l’EXS2 mkII par incréments de
demi -tons. Contrairement au paramètre Tune, le paramètre Transpose intervient
non seulement au niveau de la hauteur tonale, mais déplace également les zones
en fonction de la façon dont il est réglé.
Random
Ce potentiomètre rotatif permet de doser le désaccord aléatoire appliqué à chaque
note jouée.
Le paramètre Random (detune) est très utile pour simuler les dérives de l’accord des
synthétiseurs analogiques. Il est également très efficace pour retrouver un certain
« feeling naturel » pour certains instruments à cordes.316 Chapitre 21 EXS24 mkII
Fine
Ce paramètre permet d’accorder l’instrument échantillonné chargé par incréments
de cents. Vous pouvez l’utiliser pour corriger des échantillons qui sont légèrement
désaccordés ou pour créer un effet de style solo d’instrument soliste complet.
Pitch Bend Up
Ce paramètre détermine la limite supérieure de la modulation de hauteur (en demi-tons)
pouvant être définie en plaçant la roulette Pitch Bend en bout de course supérieure.
La plage de ce paramètre s’étend de 0 demi-ton (la roulette Pitch Bend placée en bout
de course supérieure n’augmente pas du tout la tonalité) à 12 demi-tons (la roulette
Pitch Bend placée en bout de course supérieure augmente la tonalité d’une octave).
Pitch Bend Down
Ce paramètre détermine la limite inférieure de la modulation de hauteur (en demi-tons)
pouvant être définie en plaçant la roulette Pitch Bend en bout de course inférieure.
La plage de ce paramètre s’étend de 0 demi-ton (la roulette Pitch Bend placée en bout
de course inférieure ne diminue pas du tout la tonalité) à 36 demi-tons (la roulette
Pitch Bend placée en bout de course inférieure diminue la tonalité de trois octaves).
Lorsque Linked est sélectionné, c’est la valeur Pitch Bend Up qui est utilisée.
Remote
Ce paramètre permet d’intervenir en temps réel sur la hauteur tonale d’instruments
EXS24 mkII complets. Pour ce faire, réglez le paramètre Remote sur la touche de votre
clavier MIDI que vous souhaitez utiliser comme hauteur tonale d’origine. Toutes les
touches voisines situées à ±1 octave autour de cette touche redéfinissent alors la
hauteur de tout l’instrument, au lieu de le déclencher. Cette plage de deux octaves
est similaire à la fonction Pitch Bend, mais quantifiée en demi-tons.
Notez que les 2 octaves des touches distantes ne permettent alors plus de déclencher
l’instrument, elles servent exclusivement à l’accorder par demi-tons.Chapitre 21 EXS24 mkII 317
Glide
L’effet de ce curseur dépend du réglage du curseur Pitcher :lorsque ce dernier est
centré, le paramètre Glide détermine la durée nécessaire à la tonalité pour glisser d’une
note à l’autre (ce que l’on appelle le portamento). Lorsque le paramètre Pitcher est
réglé au-dessus de la valeur centrale, le paramètre Glide détermine la durée nécessaire
à la tonalité pour repasser de cette valeur supérieure à la valeur normale. Lorsque le
paramètre Pitcher est réglé en dessous de la valeur centrale, le paramètre Glide détermine la durée nécessaire à la tonalité pour repasser de cette valeur inférieure à la
valeur normale.
Pitcher
Le curseur Pitcher fonctionne conjointement avec le curseur Glide :lorsque le curseur
Pitcher est réglé au centre (en cliquant sur le petit bouton Port(amento)), le paramètre
Glide détermine la durée du portamento. Lorsque le curseur Pitcher est réglé sur une
valeur supérieure ou inférieure, une enveloppe de hauteur tonale est activée. Dans cette
situation, le paramètre Glide détermine la durée nécessaire à la tonalité pour repasser de
ce réglage tonal supérieur ou inférieur à la valeur d’origine.
Le paramètre Pitcher peut voir sa valeur modulée par la vélocité :la moitié supérieure du
curseur détermine le réglage correspondant à la valeur maximale de vélocité, la moitié
inférieure celui qui correspond à la valeur minimale de vélocité. Pour agir simultanément
sur les deux, cliquez puis faites glisser le curseur de la souris dans la zone située entre les
deux segments de curseur.
Notez que la moitié supérieure du curseur Pitcher peut être amenée au-dessus de la
position centrale, et la moitié inférieure en dessous de la position centrale. Lorsque les
curseurs Pitcher sont réglés de cette façon, les valeurs de vélocité basses font remonter la
tonalité vers la hauteur d’origine de la note, tandis que les valeurs de vélocité élevées font
retomber la tonalité à la hauteur d’origine. En d’autres termes, il est possible de modifier
la polarité de l’enveloppe de hauteur tonale en fonction des valeurs de vélocité.318 Chapitre 21 EXS24 mkII
Lorsque les deux moitiés du curseur Pitcher sont réglées en dessous ou au-dessus de
la position centrale, une vélocité basse ou élevée fera glisser la tonalité vers le haut
ou vers le bas par rapport à la hauteur tonale d’origine. Selon la position des moitiés
supérieure et inférieure du curseur par rapport à la position centrale, la durée nécessaire pour le glissement vers le haut ou vers le bas jusqu’à la hauteur tonale d’origine
de la note peut être définie de façon indépendante pour les vélocités modérées et les
vélocités élevées.
Paramètres Filtre
Ces paramètres permettent de contrôler la section de filtrage de l’EXS24 mkII.Vous pouvez
configurer le type de filtre,sa résonance,sa fréquence de coupure,son amplification et le
nombre de touches concernées, ainsi qu’ajuster son enveloppe ADSR (Attack Decay Sustain
Release ;en français :attaque, chute,soutien, relâchement).
Bouton Filter On/Off
Ce bouton permet d’activer ou de désactiver la section du filtre. Notez que les potentiomètres et boutons du panneau argenté et l’enveloppe de filtre ne sont actifs que
lorsque le filtre est activé (On). Lorsque la section du filtre est désactivée (Off),
l’EXS24 mkII consomme beaucoup moins de ressources processeur.
Lowpass (LP)
Cliquez sur l’un des quatre boutons sous le sigle LP pour activer la pente lowpass voulue.
Le trait orange au-dessus du bouton indique la pente lowpass sélectionnée.Quatre réglages différents permettent de définir la valeur de pente (efficacité du filtrage) du filtre
lowpass :24 dB (4 pôles), 18 dB (3 pôles), 12 dB (2 pôles) et 6 dB (1 pôle). La valeur 24 dB
est tout à fait adaptée pour des effets spectaculaires de balayage, par exemple une coupe
ne laissant subsister que quelques notes, ou pour la création de sons graves profonds, en ne
laissant que les harmoniques vraiment nécessaires. La pente de 6 dB par octave est très utile
pour obtenir un son légèrement plus chaud, dénué de tout effet drastique de filtrage,
par exemple pour lisser des échantillons au son « trop brillant ».Chapitre 21 EXS24 mkII 319
Fat (Fatness)
Cliquez sur le bouton Fat pour activer la fonction Fatness. Cette fonction est indépendante du réglage de la pente et peut donc être utilisée avec toutes les valeurs de
pente. La fonction Fatness respecte la réponse dans les graves, même avec des valeurs
élevées de résonance. Notez que ce paramètre s’applique uniquement dans le cas de
filtres lowpass. Il n’a aucune fonction avec les filtres de type highpass ou bandpass.
Highpass (HP)
Cliquez sur le bouton sous le sigle HP pour activer le filtre highpass. Il s’agit d’un filtre
à 2 pôles (12 dB/octave). Son rôle est d’atténuer les fréquences situées en dessous de
la fréquence de coupure. Il s’avère utile pour supprimer la basse et la grosse caisse dans
un échantillon par exemple, ou pour créer des effets classiques de balayage de filtre
highpass.
Bandpass (BP)
Cliquez sur le bouton sous le sigle BP pour activer le filtre bandpass. Il s’agit d’un filtre
à 2 pôles (12 dB/octave). Son rôle est de ne laisser passer que les bandes de fréquences
situées de part et d’autre de la valeur de fréquence de coupure. Les fréquences situées
à l’extérieur de ces bandes de fréquences sont coupées.
Drive
Ce potentiomètre permet de saturer l’entrée du filtre. Si vous tournez le potentiomètre
Drive vers le haut, vous obtenez un signal saturé, plus dense, faisant apparaître des
harmoniques supplémentaires.
Cutoff
Ce potentiomètre permet de régler la fréquence de coupure du filtre. Plus vous le
tournez vers la gauche, plus le nombre de hautes fréquences atténuées par filtrage
est élevé. La valeur Cutoff sert également de point de départ pour toute modulation
faisant intervenir le filtre.
Resonance
L’augmentation de la valeur Resonance a pour effet d’accentuer la bande de fréquences
située de part et d’autre de la fréquence définie par la valeur du paramètre Cutoff.
Pour des valeurs de résonance très élevées, un phénomène d’auto-oscillation apparaît
et le filtre se met à produire un signal sinusoïdal qui lui est propre.320 Chapitre 21 EXS24 mkII
Contrôle simultané des paramètres Cutoff et Resonance
Pour contrôler simultanément les valeurs des paramètres Cutoff et Resonance, cliquez
sur le symbole de chaîne situé entre les potentiomètres correspondants et faites-le
glisser :déplacez la souris verticalement pour modifier les valeurs de coupure ou
horizontalement pour agir sur les valeurs de résonance. Vous pouvez ainsi tester les
différentes coupures et résonances du filtre tout en conservant la relation entre ces
deux paramètres.
Key
Ce potentiomètre définit l’évolution de la fréquence de coupure du filtre en fonction
du numéro de note. Lorsque le potentiomètre Key est tourné complètement vers la
gauche, la fréquence de coupure n’est pas modifiée par le numéro de note :elle reste
identique quelle que soit la note jouée. Lorsque le potentiomètre Key est tourné
complètement vers la droite, la fréquence de coupure suit le numéro de note dans
un rapport 1:1 (c’est-à-dire que si vous jouez une octave plus haut, la fréquence de
coupure se voit elle aussi décalée d’une octave). Ce paramètre est très utile pour éviter
de filtrer de façon excessive les notes aiguës.
Filter Envelope
Dans la partie inférieure de l’interface de l’EXS24 mkII, le paramètre ENV1 correspond
au générateur d’enveloppe ADSR du filtre. Cette enveloppe permet de contrôler l’évolution du filtre dans le temps. Il offre les paramètres Attack, Decay, Sustain et Release.Chapitre 21 EXS24 mkII 321
Faites glisser les curseurs A, D, S et R en fonction du paramètre que vous souhaitez
configurer. Le temps d’attaque peut se voir réduit en fonction de la vélocité :la moitié
supérieure du curseur détermine le temps correspondant à la valeur minimale de v élocité, la moitié inférieure celui qui correspond à la valeur maximale de vélocité.
Pour déplacer les deux curseurs simultanément, cliquez puis faites glisser le curseur
de la souris dans la zone située entre les deux segments de curseur.
Time Curve
Ces curseurs s’appliquent aux enveloppes de filtre (ENV1) et de volume (ENV2) ;le curseur
de gauche peut être utilisé pour dimensionner (raccourcir ou allonger) les intervalles des
deux enveloppes. Notez que la position C3 est le point central ;la longueur des intervalles
de toutes les zones affectées aux touches au-dessus de C3 peut être réduite avec ce curseur. Tous les intervalles des zones affectées aux touches sous C3 peuvent être allongés.
Le curseur (Attack) Curve détermine la forme de l’attaque de l’enveloppe.
Paramètres Volume et Pan
Vous trouverez dans cette section une description des paramètres Volume et Pan de
l’EXS24 mkII.
Level via Vel
Ce curseur permet de contrôler le niveau du son. Le paramètre Level peut voir sa valeur
modulée par la vélocité :la moitié supérieure du curseur détermine le volume correspondant à la valeur maximale de vélocité, la moitié inférieure celui qui correspond à la
valeur minimale de vélocité. En cliquant et en faisant glisser la zone entre les deux segments du curseur, vous pouvez les déplacer simultanément.
Volume
Ce potentiomètre correspond au volume principal de l’EXS24 mkII. Réglez ce potentiomètre pour trouver l’équilibre approprié entre l’apparition de distorsions et l’obtention
de la meilleure résolution (la plus haute) possible sur l’équilibreur de canal et sur le
curseur Level via Vel.322 Chapitre 21 EXS24 mkII
Key Scale
Ce paramètre permet de moduler le niveau du son en fonction du numéro de note
(c’est-à-dire en fonction de l’emplacement sur le clavier de la touche jouée). Pour des
valeurs négatives, le niveau des notes graves augmente. Pour des valeurs positives,
c’est le niveau des notes aiguës qui augmente.
Amp Envelope (ENV 2)
Il s’agit d’un générateur d’enveloppe de type ADSR, permettant de contrôler l’évolution
du niveau du son dans le temps. Il offre les paramètres Attack, Decay, Sustain et Release.
Faites glisser les curseurs A, D, S et R en fonction du paramètre que vous souhaitez
configurer. Le temps d’attaque peut se voir réduit en fonction de la vélocité :la moitié
supérieure du curseur détermine le temps correspondant à la valeur minimale de
vélocité, la moitié inférieure celui qui correspond à la valeur maximale de vélocité.
Pour déplacer les deux curseurs simultanément, cliquez puis faites glisser le curseur
de la souris dans la zone située entre les deux segments de curseur.
Paramètres LFO
L’EXS24 mkII intègre trois LFO (oscillateurs basse fréquence) qui peuvent servir de
sources de modulation. Les paramètres des LFO sont expliqués dans cette section.
LFO 1 EG
Ce potentiomètre permet de diminuer le volume sonore du LFO 1 (lorsqu’il est réglé
dans la zone Decay) ou de l’augmenter (lorsqu’il est réglé dans la zone Delay ). Lorsque
le potentiomètre est réglé au centre (en cliquant sur le petit bouton 0), l’intensité du
LFO est constante.Chapitre 21 EXS24 mkII 323
LFO 1 Rate
Il s’agit de la fréquence de LFO 1. Ses valeurs peuvent être saisies sous forme de notes
(zone de gauche) ou de Hertz (zone de droite). Lorsque le potentiomètre est réglé au
centre (en cliquant sur le petit bouton 0), le LFO est arrêté et génère une valeur de
modulation constante, à niveau nominal (DC = Direct Current).
Forme d’onde pour LFO 1 et LFO 2
Ces deux colonnes de boutons radio permettent de choisir le type de forme d’onde
utilisé respectivement par le LFO 1 et le LFO 2. Pour chaque LFO, les formes disponibles
sont un triangle, une dent de scie descendante et une ascendante, un signal carré
ascendant et un descendant, une forme d’onde aléatoire par paliers et une forme
d’onde aléatoire lissée.
Le LFO 1 est un LFO polyphonique avec fonction de synchronisation de touches. Autrement dit, lorsque le LFO 1 est utilisé, chaque voix de l’EXS24 dispose de son propre LFO
séparé. Dès qu’une note est jouée, le LFO correspondant à cette voix entame son cycle.
Ce principe de fonctionnement signifie que les cycles de LFO de chaque voix jouée ne
sont pas synchronisés et évoluent indépendamment les uns des autres, ce qui ouvre un
grand nombre de possibilités. Par exemple, à un instant donné, le LFO d’une voix pourrait générer la valeur de modulation maximale, tandis que le LFO assigné à une autre
voix pourrait générer sa valeur minimale. Cette approche extrêmement souple peut
donner des modulations très vivantes.
À l’inverse, le LFO 2 est un LFO monophonique, dépourvu de fonction de synchronisation de touches. Autrement dit, le LFO 2 fonctionne en permanence et n’est pas redé-
marré à chaque nouvelle note. Toutes les voix sont modulées par un même LFO,
le degré de modulation à un instant donné est donc le même pour toutes les voix.
Cela donne des modulations assez synthétiques à l’oreille.
Optimisez ces différentes caractéristiques pour personnaliser le son en fonction de
vos besoins.
LFO 2 Rate
Ce potentiomètre correspond à la fréquence du LFO 2. Vous pouvez entrer des valeurs
de note (zone de gauche) ou des valeurs en Hertz (zone de droite). Lorsque le potentiomètre est réglé au centre (en cliquant sur le petit bouton 0), le LFO est arrêté et génère
une valeur de modulation constante, à niveau nominal (DC = Direct Current).
LFO 3 Rate
Il existe un troisième LFO, qui utilise toujours une forme d’onde triangulaire. Le LFO 3
peut osciller librement entre 0 et 35 Hz, ou peut se synchroniser au tempo, pour des
valeurs comprises entre 32 mesures et un triolet d’octuple croche (1/128).324 Chapitre 21 EXS24 mkII
Matrice de modulation
La matrice de modulation est la bande horizontale sur fond sombre apparaissant au
centre de l’interface de l’EXS24 mkII. Elle est constituée de dix parcours de modulation,
chacun mettant en relation une source de modulation (l’élément qui effectuera la
modulation) avec une destination de modulation (le paramètre sonore à moduler).
Ce concept est similaire à l’utilisation des cordons de patch d’un synthétiseur modulaire, mais avec une possibilité supplémentaire de contrôler l’intensité de modulation
via une autre source de modulation (appelée via).
Pour créer un parcours de modulation, procédez comme suit :
1 Choisissez d’abord la destination de modulation dans le menu Dest(ination).
2 Choisissez ensuite la source de modulation souhaitée dans le menu Src (Source).
3 Réglez l’intensité de modulation à l’aide du curseur triangulaire vert situé à droite
de chaque parcours de modulation.
Dans l’exemple ci-dessus, le paramètre LFO 1 Speed est modulé par les messages
de pression (Pressure) par canal, ou « aftertouch », émis par un clavier MIDI.
Vous avez la possibilité d’insérer une autre source de modulation dans l’emplacement
du milieu intitulé « via ». La source de modulation via ne module pas directement la
destination, mais la source (en fait, on peut dire qu’elle module le modulateur).Chapitre 21 EXS24 mkII 325
Dans ce cas de figure, le curseur triangulaire vert se fend et vous permet de définir une
valeur pour l’intensité de modulation. L’étendue de la modulation dépend des valeurs
autorisées par la source de modulation via.
Dans l’exemple ci-dessous, le numéro de touche sur le clavier MIDI (Key) détermine
dans quelle mesure l’Aftertouch contrôle le paramètre LFO1 Speed. Les utilisateurs plus
expérimentés s’exprimeraient ainsi :« Pressure vers LFO1 Speed via numéro de touche
(Key) ».
Inversion des sources
Vous pouvez également inverser l’influence de l’effet de la source sur l’intensité
de modulation. Pour ce faire, cliquez sur le bouton inv (à droite du mot Src ou via),
selon la source dont vous désirez inverser l’influence.
Dans l’exemple ci-dessous, la source de modulation via est inversée. Remarquez que les
triangles vert et orange ont interverti leurs emplacements. Le triangle orange indique
toujours l’intensité de modulation correspondant à la valeur maximale de la source via,
tandis que le triangle vert indique toujours l’intensité de modulation correspondant
à la valeur minimale de la source via. Ils se retrouvent intervertis si vous inversez la
modulation.326 Chapitre 21 EXS24 mkII
Contournement des parcours de modulation
Le bouton b/p (pour « bypass ») situé en regard du terme « Dest » permet de désactiver
provisoirement tout le parcours de modulation.
Dans notre exemple, les deux sources de modulation (Pressure et Key) sont déconnectées
de la destination de la modulation, LFO1 Speed. Si vous cliquez à nouveau sur le bouton
b/p, le parcours de modulation est reconstitué et les anciennes valeurs d’intensité de modulation sont rétablies.
Modulations de second ordre
L’EXS24 permet également d’utiliser des destinations de modulation de second ordre :
 Une mêmesource peut être utilisée aussi souvent que vous le voulez pour contrôler
différentes destinations.
 Une même destination peut être contrôlée par différentes sources. Les diverses
valeurs entrées se cumulent.
Parcours de modulation de l’EXS24 mkI
De nombreux parcours de modulation câblés auparavant directement accessibles sous
forme de curseurs sur l’EXSP24 d’origine (mkI) font désormais partie de la matrice de
modulation. Pour reconstituer les curseurs de modulation de la version mkI, cliquez sur
le bouton Options en haut à droite, puis sur (« Recall default EXS24 mkI settings ») dans
le menu local. Les parcours de modulation de la version mkI sont chargés dans la
matrice de la façon suivante :
 Velocity vers Sample Select
 LFO 1 vers Pitch via ModWheel (= Ctrl#1)
 Velocity vers Sample Start (inv)
 LFO 2 vers Filter Cutoff via ModWheel
 Velocity vers Filter Cutoff
 Envelope 1 vers Filter Cutoff via Velocity
 LFO 2 vers Pan via ModWheel
Vous pouvez bien entendu modifier le réglage de ces parcours de modulation en
fonction de vos besoins, par exemple en remplaçant certaines sources de modulation
par des sources qui n’étaient pas disponibles dans l’EXS24 mkI (voir la liste complète
des sources et des destinations ci-après).Chapitre 21 EXS24 mkII 327
Remarque :pour des raisons d’ordre technique, les réglages de la matrice de
modulation ne peuvent pas s’appliquer à l’EXS24 mkI.
Sources et destinations de modulation disponibles
Voici les différentes sources et destinations de modulation disponibles dans l’EXS24 mkII :
Sources de modulation :
 Side Chain (level)
 Maximum
 Env 1
 Env 2 (Amp)
 LFO 1, LFO2 et LFO 3
 Release Velocity
 Pressure
 Modulation de hauteur
 Key
 Velocity
 Control Nr. 1 - Control Nr. 120
Destinations de modulation :
 Sample Select
 Sample Start
 Glide Time
 Pitch
 Filter Drive, Filter Cutoff et Filter Resonance
 Volume
 Pan
 Relative Volume
 LFO 1 Dcy./Dly (LFO 1 Decay/Delay)
 LFO 1 Speed, LFO 2 Speed, LFO 3 Speed
 Env 1 Attack, Env 1 Decay, Env 1 Release
 Env 2 Attack, Env 2 Decay, Env 2 Release
 Time
 Hold
Remarque :les contrôleurs n° 7 et 10 sont repérés comme (non disponibles).
Logic Express utilise ces contrôleurs pour l’automation du volume et de la balance des
bandes de canaux audio. Le contrôleur n° 11 est repéré comme (Expression). Il dispose
d’une connexion fixe à cette fonctionnalité mais peut également être utilisé pour
contrôler d’autres sources de modulation.328 Chapitre 21 EXS24 mkII
Sample Select
Cette destination de modulation mérite une explication un peu plus approfondie.
Par défaut, la destination Sample Select est contrôlée par la vélocité, par l’intermédiaire
du parcours de modulation par défaut Velocity vers Sample Select. C’est donc la valeur
de vélocité de la note reçue qui détermine la zone écoutée, parmi les zones superposées
avec différents réglages de plage de vélocité.
La vélocité n’est pas le seul moyen de déterminer l’échantillon joué :si vous assignez
d’autres sources de modulation que Velocity à la destination de modulation Sample
Select (par exemple, la roulette de modulation, ModWheel), vous pouvez déterminer
l’échantillon en cours de lecture autrement qu’à l’aide de la vélocité. La matrice de
modulation vous permet même d’utiliser plusieurs sources, telles que Velocity associée
à ModWheel, par exemple.
Cependant, lorsque vous utilisez plusieurs sources de modulation (ou toute autre
source que Velocity ou Key), n’oubliez pas que toutes les couches de vélocité risquent
alors de fonctionner simultanément, utilisant autant de voix qu’il y a de zones superposées. Ce phénomène peut également se produire lorsque les zones sont inaudibles au
niveau de contrôle sélectionné. Dans ce cas, le processeur est très sollicité, car même
si vous ne les entendez pas, toutes les couches de vélocité sont actives en mémoire.
Le choix d’un contrôleur continu, tel que ModWheel, pour moduler la destination
Sample Select vous permet de franchir les couches de vélocité pendant la lecture.
Dans ce cas, les paramètres de fondu enchaîné (XFade) sont essentiels à la réalisation
de transitions douces entre chaque point de séparation de la vélocité.
Instrument Editor
L’Instrument Editor de l’EXS24 mkII permet de créer et d’éditer des instruments
échantillonnés.
Un instrument échantillonné est constitué de zones et de groupes :
 Une zone est un emplacement dans lequel un échantillon unique (ou fichier audio,
si vous préférez ce terme) peut être chargé à partir du disque dur ou d’un CD-ROM.
 Les zones peuvent être assignées à des groupes, qui offrent plusieurs paramètres
de contrôle simultané de toutes les zones assignées. Vous pouvez définir autant de
groupes que vous le souhaitez. Les paramètres de groupe peuvent être édités en
mode d’affichage Group.Chapitre 21 EXS24 mkII 329
Pour ouvrir Instrument Editor :
m Cliquez sur le bouton Edit, en haut à droite de la fenêtre des paramètres de l’EXS24 mkII
(ou utilisez le raccourci clavier Open EXS24 Instrument Editor).
L’Instrument Editor présente deux modes d’affichage :Zones et Groups. L’affichage
Zones présente les zones et leurs paramètres, dans la section des paramètres. En mode
d’affichage Zones, la section au-dessus du clavier s’intitule Zones et affiche les barres
correspondant aux zones créées. L’affichage Groups présente les groupes et leurs paramètres. En mode d’affichage Groups, la section au-dessus du clavier s’intitule Groups
et affiche les barres correspondant aux groupes créés. Les éléments généraux (menus,
boutons, etc.) sont visibles dans les deux modes d’affichage.
La capture d’écran ci-dessous montre l’Instrument Editor en mode d’affichage Zones.
Cliquez pour basculer
entre les vues Zones et
Groups
Colonne Zone
Section Zones/Groups
Section Parameters
Clavier
Section Velocity330 Chapitre 21 EXS24 mkII
 Colonne Zones :affiche tous les groupes de zones de l’instrument. Les groupes All
Zones et Ungrouped Zones existent par défaut pour chaque instrument. Cliquez s
ur un groupe pour afficher les zones associées dans la section des paramètres.
Vous pouvez également sélectionner et afficher plusieurs groupes de zones à la
fois (uniquement si le groupe All Zones n’est pas sélectionné).
 Section des paramètres :affiche les paramètres du groupe de zones sélectionné
dans la colonne Zones.
 Section de la vélocité :affiche la plage de vélocité de la zone sélectionnée.
 Section des zones/groupes :affiche les zones ou les groupes qui apparaissent graphiquement au-dessus du clavier.
 Clavier :permet de déclencher des notes pour l’EXS24 mkII, dans la piste sélectionnée.
Le clavier sert également de référence visuelle pour le placement des zones ou des
groupes dans la section des zones ou des groupes.
Pour passer en mode d’affichage Groups, cliquez sur le bouton Groups, en haut à
gauche. Pour passer en mode d’affichage Zones, cliquez sur le bouton Zones, en haut
à gauche. Vous pouvez également utiliser le raccourci clavier Toggle Zones/Groups
View pour passer d’un mode d’affichage à l’autre.
Le bouton EXS24 en haut à droite de l’Instrument Editor permet d’ouvrir à nouveau une
fenêtre des paramètres de l’EXS24 mkII fermée. Ce bouton ne permet pas d’amener la
fenêtre des paramètres au premier plan lorsqu’elle se trouve masquée par d’autres
fenêtres flottantes.
Instrument Editor dans
la vue GroupsChapitre 21 EXS24 mkII 331
Création d’instruments, de zones et de groupes
Vous pouvez soit ajouter des zones et des groupes à des instruments chargés, soit créer
un nouvel instrument et y intégrer des zones et des groupes.
Pour créer un instrument, procédez comme suit :
m Dans le menu Instrument Editor, sélectionnez Instrument > New.
Pour en savoir plus sur le chargement d’instruments échantillonnés existants, reportezvous à la section « Chargement d’instruments échantillonnés » à la page 295.
Zones
Une zone est un emplacement dans lequel un échantillon unique (ou fichier audio,si vous
préférez ce terme) peut être chargé. L’échantillon chargé dans la zone réside en mémoire,
c’est-à-dire qu’il utilise la mémoire RAM de votre ordinateur. Une zone offre divers paramè-
tres permettant de contrôler la lecture de l’échantillon. Chaque zone vous permet de
déterminer la plage de notes sur laquelle l’échantillon doit être écouté (plage de touches)
ainsi que la note fondamentale (la note à laquelle l’échantillon est à sa hauteur tonale
d’origine). Plusieurs autres paramètres, tels que le début, la fin de l’échantillon, les points
de boucle ou le volume (entre autres) peuvent être ajustés dans la zone. Vous pouvez
définir autant de zones que vous le souhaitez. Chaque zone nécessite au moins une voix
EXS24 mkII lors de la lecture.
Pour créer une zone et y assigner un échantillon, procédez comme suit :
1 Sélectionnez Zone > New Zone (ou utilisez le raccourci clavier correspondant).
Une nouvelle entrée de zone apparaît dans l’Instrument Editor.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Cliquez sur la flèche dans la colonne Audio File, puis sélectionnez Load Audio Sample
dans le menu local (ou utilisez le raccourci clavier correspondant).
 Double-cliquez sur la zone vide dans la colonne des fichiers audio.
3 Sélectionnez le fichier audio voulu dans la zone de dialogue de sélection de fichier.
Si vous cochez la case « Hide used Audio Files », les fichiers utilisés par l’instrument EXS
chargé apparaissent en grisé.332 Chapitre 21 EXS24 mkII
4 Appuyez sur le bouton Play pour avoir un aperçu du fichier audio :
 Cliquez sur le bouton Play pour lire en boucle le fichier d’échantillon sélectionné.
 Cliquez une deuxième fois sur ce bouton pour arrêter la lecture.
 Pour écouter plusieurs fichiers à la suite, appuyez une fois sur Play, puis passez d’un
fichier à l’autre.
L’option « Preview audio file in EXS instrument » replace temporairement les fichiers
d’échantillons dans la zone sélectionnée. La zone n’est pas directement déclenchée par
cette option, mais elle peut être déclenchée par des notes MIDI lorsque vous sélectionnez différents fichiers dans la zone de dialogue de sélection de fichier. L’échantillon
sélectionné peut être écouté en tant que partie intégrante de la zone avec le traitement du synthétiseur appliqué dans son intégralité (c’est-à-dire incluant l’application
de filtres, d’effets de modulation, etc.).
5 Une fois que vous avez choisi l’échantillon à inclure, cliquez sur Open pour le charger.
Une fois chargé, le nom de l’échantillon s’affiche dans le champ grisé.
Création de zones par glisser-déposer
Vous pouvez également créer une zone (et un instrument, si aucun n’apparaît dans
l’éditeur) en faisant glisser un fichier sur l’une des touches du clavier affiché à l’écran.
La note de début, la note de fin et la note fondamentale sont toutes les trois accordées
sur la note sur laquelle le fichier est déposé. Cette fonctionnalité de glisser-déposer est
valable pour les fichiers audio provenant des sources suivantes :navigateur, chutier
audio et Finder.
Vous pouvez également créer une zone (et un instrument, si aucun n’apparaît dans
l’éditeur) en faisant glisser un fichier directement dans la section Zone.
La note fondamentale de la zone correspond à la note à laquelle l’échantillon est joué à
sa hauteur tonale enregistrée. Cette information est inscrite dans l’en-tête de l’échantillon. Si aucune note fondamentale n’est définie dans l’en-tête de l’échantillon, la note
Do3 est utilisée par défaut.Chapitre 21 EXS24 mkII 333
Remarque :si vous faites glisser un fichier audio dans une zone existante, le fichier
référencé par cette zone est remplacé par le nouveau (le fichier déposé). Le curseur
de la souris se transforme alors en flèche de repositionnement.
Si vous faites glisser un échantillon unique dans la partie vide en dessous de la section
Ungrouped Zones, une zone et un groupe par défaut sont créés, la nouvelle zone par
défaut étant placée dans le groupe par défaut.
Il est également possible de charger plusieurs échantillons à la fois. Dans ce cas,
l’Instrument Editor crée automatiquement de nouvelles zones, dans lesquelles
il place les échantillons chargés.
Pour charger plusieurs échantillons à la fois en une seule opération, procédez
comme suit :
1 Dans l’Instrument Editor,sélectionnez Zone > « Load Multiple Samples in the Instrument
Editor » (ou utilisez le raccourci clavier correspondant).
2 Accédez à l’emplacement souhaité, puis utilisez les boutons Add, Add All, Remove
ou Remove All pour sélectionner les échantillons voulus.
3 Lorsque vous avez fini, cliquez sur le bouton Done.
4 Choisissez l’un des trois modes de mappage automatique dans la zone de dialogue
Load Multiple Samples :
 « Assignation Auto » en lisant la note d’origine du fichier audio :utilise la note fondamentale stockée dans les fichiers audio et place les échantillons (en tant que zones) sur la
plage correspondante du clavier. Le nombre de notes constituant une zone est déterminé de façon « intelligente » en fonction du placement des zones avoisinantes.
 « Baterie » zone sans limite, note originale du fichier audio :utilise la note fondamentale stockée dans les fichiers audio. Chaque zone contient une note unique sur le clavier, déterminée d’après la note fondamentale.334 Chapitre 21 EXS24 mkII
 Zones contigües :ignore toutes les informations sur la note fondamentale indiquées
dans les fichiers audio et place les échantillons sur le clavier par ordre chromatique.
Le champ « Zone width » vous permet d’indiquer la largeur des nouvelles zones géné-
rées. Le champ Start Note définit la note de début des nouvelles zones générées.
Vous pouvez également charger plusieurs échantillons en les faisant glisser dans l’Instrument Editor. Lorsque vous faites glisser plusieurs échantillons dans un dossier de
groupes, chacun d’entre eux est assigné à son groupe respectif. Lorsque vous faites
glisser plusieurs échantillons en dessous de la section Ungrouped Zones, les fichiers
audio sont assignés à un nouveau groupe par défaut.
Si vous faites glisser plusieurs fichiers sur l’une des touches du clavier, la zone de
dialogue Load Multiple Samples n’inclut pas le champ Start Note, puisque la note
de début, la note de fin et la note fondamentale sont toutes les trois accordées sur
la note sur laquelle le fichier est déposé.
Groupes
Imaginons par exemple qu’une batterie vient d’être créée, à l’aide d’un certain nombre
d’échantillons utilisés dans plusieurs zones, répartis sur l’ensemble du clavier. Dans de
nombreuses situations musicales, il serait appréciable de pouvoir traiter les paramètres
d’édition du son indépendamment pour chaque échantillon (pour modifier la chute de
la caisse claire, ou pour utiliser une valeur de coupure différente pour les échantillons
de charleston, par exemple).
C’est dans ce cas de figure qu’intervient la fonctionnalité Groupes de l’EXS24 mkII.
Les groupes permettent une grande souplesse d’organisation des échantillons.
Vous pouvez définir un nombre illimité de groupes et chaque zone peut être assignée
à l’un de ces groupes. Dans le cas d’une batterie, par exemple, vous pouvez assigner
toutes les grosses caisses au groupe 1, toutes les caisses claires au groupe 2, toutes les
charlestons au groupe 3, et ainsi de suite.
À quoi cela sert-il ?
Un groupe permet, par exemple, de définir une plage de vélocité pour toutes les zones
assignées. Vous pouvez ainsi spécifier une fenêtre de vélocité dans laquelle les zones
groupées doivent être jouées. Chaque groupe offre également des paramètres de
décalage des valeurs de l’enveloppe d’amplitude et du filtre entrées dans la fenêtre
des paramètres.
Il est également possible de lire toutes les zones sans définir ni assigner un seul groupe.
Dans ce cas, les valeurs des paramètres s’appliquent de manière identique à tous les
échantillons de toutes les zones.Chapitre 21 EXS24 mkII 335
Pour créer un groupe, procédez comme suit :
m Dans l’Instrument Editor, sélectionnez Group > New Group (ou utilisez le raccourci
clavier correspondant).
Un nouveau groupe apparaît dans la colonne Zones, dans la partie gauche de
l’Instrument Editor.
Pour assigner une zone à un groupe, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Sélectionnez un groupe dans le menu Group de la zone.
m Sélectionnez une zone dans l’Instrument Editor EXS, le Finder, le chutier audio ou le
navigateur et faites-la glisser vers l’un des groupes affichés dans la colonne Zones.
m Pour faire passer à un nouveau groupe l’assignation de groupe d’une zone (ou d’une
sélection de plusieurs zones), faites-la glisser hors du groupe et déposez-la dans un autre.
m Pour faire passer à « unassigned » l’assignation de groupe d’une zone (ou d’une sélection de plusieurs zones), faites-la glisser hors du groupe et déposez-la dans la section
Ungrouped Zones.
m Pour créer un groupe contenant la ou les zone(s) déposée(s), faites glisser une zone
non groupée (ou une sélection de plusieurs zones) dans la partie vide en dessous de
la section Ungrouped Zones.
m Pour créer un groupe contenant la ou les zone(s) déposée(s), faites glisser une zone
(ou une sélection de plusieurs zones) hors d’un dossier de groupes vers la partie vide
en dessous de la section Ungrouped Zones.
? Astuce :pour copier les zones sélectionnées, cliquez sur Option tout en faisant glisser
les zones vers un autre groupe.
Les paramètres de groupe affecteront désormais l’échantillon qui se trouve dans la zone.
Pour supprimer tous les groupes qui ne disposent pas d’assignation de zone,
procédez comme suit :
m Dans l’Instrument Editor, sélectionnez Group > Delete Unused Groups.336 Chapitre 21 EXS24 mkII
Édition de zones et de groupes
Zones et groupes disposent d’un certain nombre de paramètres que vous pouvez
éditer pour personnaliser votre instrument échantillonné. Les paramètres de hauteur
tonale, de plage de vélocité, de panorama, de boucle, ainsi que ceux d’autres fonctions
des zones peuvent être édités. Vous pouvez également éditer, entre autres, les paramè-
tres de groupe concernant la vélocité, la sortie et les filtres et enveloppes de décalage.
Alors que certaines techniques d’édition (édition graphique, options de menu, modification de valeurs par simple clic, etc.) sont similaires, les zones et les groupes disposent
de paramètres distincts, qui seront abordés plus loin dans cette documentation.
Techniques d’édition générales
Le menu Edit gère toutes les opérations de base relatives à l’édition d’instruments
échantillonnés, telles que la copie de zones, l’annulation d’opérations d’édition, etc.
 Undo :permet d’annuler la modification la plus récente apportée à l’instrument
échantillonné.
 Redo :annule la dernière commande Undo.
 Cut, Copy, Paste :commandes classiques permettant de couper, copier et coller
des valeurs. Vous pouvez aussi couper, copier et coller des zones ou des groupes
sélectionnés. Lorsque vous procédez à la copie de groupes en mode d’affichage
Zones, les groupes sélectionnés ainsi que les zones qui y sont associées sont copiés.
Les assignations de groupe des zones sont conservées. Lorsque vous procédez à la
copie de groupes en mode d’affichage Groups, seuls les groupes eux-mêmes sont
copiés, sans les zones qui y sont associées.
 Delete :supprime la zone ou le groupe sélectionné(e).
Sélection de zones et de groupes
Il existe plusieurs façons de sélectionner des zones et des groupes pour les éditer.
Tout d’abord, le menu Edit comporte des commandes spécifiques à la sélection de
zones et de groupes EXS24 mkII :
 Select All :permet de sélectionner toutes les zones et tous les groupes de l’instrument échantillonné chargé.
 Toggle Selection (également disponible en raccourci clavier) :permet d’inverser la sélection entre les zones ou groupes sélectionnés et les zones ou groupes non sélectionnés.
Vous pouvez également cliquer sur les zones et les groupes dans la section des
paramètres :
 Cliquez sur les paramètres d’une zone ou d’un groupe pour sélectionner cette zone
ou ce groupe.
 En mode d’affichage Zones, si vous cliquez sur deux zones tout en appuyant sur la
touche Maj., toutes celles qui se trouvent entre ces deux zones sont sélectionnées.
 Si vous cliquez sur plusieurs zones tout en maintenant la touche Commande enfoncée,
toutes les zones sur lesquelles vous cliquez sont sélectionnées.Chapitre 21 EXS24 mkII 337
Pour sélectionner la zone ou le groupe suivant(e) ou précédent(e), vous pouvez également utiliser les touches Flèche vers le haut et Flèche vers le bas.
Sélection de la zone de la dernière note jouée
Si vous sélectionnez l’élément de menu « Select Zone of Last Played Key », dans le
menu Zone, vous pouvez passer d’une zone à l’autre en appuyant simplement sur
une touche, sur un clavier MIDI connecté. Même lorsque cette fonction est activée,
vous pouvez toujours sélectionner des zones en cliquant dessus dans l’éditeur.
Réglage des paramètres de zone
Les paramètres de zone offrent un large contrôle sur chaque zone (échantillon)
de votre instrument échantillonné.
Zone Name
Les nouvelles zones sont numérotées de façon consécutive. Double-cliquez sur
le numéro d’une zone pour entrer un nom à la place du numéro.
Audio File
Le fichier audio d’une zone s’affiche dans cette colonne. Lorsque vous passez la souris
sur un fichier audio, une info-bulle apparaît avec des informations complémentaires
sur ce fichier (format, profondeur de bits, fréquence d’échantillonnage, etc.). Si vous
appuyez sur la touche Commande avant que l’info-bulle apparaisse, celle-ci indique
alors également le chemin d’accès complet au fichier audio. Cliquez sur la flèche pour
ouvrir un menu contextuel proposant les commandes suivantes :
 Load Audio Sample :ouvre une zone de sélection de fichier, dans laquelle vous pouvez
sélectionner un fichier audio. Consultez « Zones » à la page 331 pour de plus amples
informations.
 Open in Sample Editor :ouvre l’échantillon sélectionné dans l’Éditeur des échantillons
de Logic Express (ou dans l’éditeur d’échantillons choisi dans la zone de préférence
Open External Sample Editor), pour poursuivre l’édition.
 Reveal in Finder : affiche le fichier audio (chargé) dans le Finder.
? Astuce :double-cliquer sur la colonne Audio File (lorsqu’un fichier audio est chargé)
permet d’ouvrir le fichier audio dans l’Éditeur des échantillons. Lorsqu’il n’y a pas de
fichier audio chargé, le sélecteur de fichiers audio s’ouvre.
Groupe
Indique l’assignation de groupe d’une zone. Pour en savoir plus, reportez-vous
à la section « Groupes ».338 Chapitre 21 EXS24 mkII
Paramètres Pitch
La colonne Key permet de déterminer la note fondamentale de l’échantillon (c’est-à-dire
la note à laquelle l’échantillon est à sa hauteur tonale d’origine. Les colonnes Coarse et
Fine permettent d’accorder l’échantillon par incréments de demi-tons et de cents.
Key Range
Les deux paramètres Key Range permettent de définir une plage de notes pour la zone.
 Lo(w) :règle la note la plus basse à laquelle la zone est jouée.
 Hi(gh) :règle la note la plus haute à laquelle la zone est jouée.
Les notes jouées en dehors de cette plage n’auront pas pour effet de déclencher
l’échantillon assigné à cette zone.
Velocity Range
Cochez la case Velocity Range pour définir une plage de vélocité pour la zone. La valeur
Lo(w) définit la vélocité la plus basse à laquelle la zone est jouée, la valeur Hi(gh) la
vélocité la plus haute. Les notes jouées en dehors de cette plage n’auront pas pour
effet de déclencher l’échantillon assigné à cette zone.
Paramètres Output
La colonne Vol permet de régler le volume de la zone.
La colonne Pan permet de régler la balance de la zone. Ce paramètre fonctionne
uniquement lorsque l’EXS24 mkII est utilisé en stéréo.
Pour des valeurs négatives du paramètre Scale, les notes plus basses que l’emplacement
défini par la note fondamentale sonneront plus fort que les notes plus hautes, tandis
que pour des valeurs positives, vous obtiendrez l’effet inverse. Ce paramètre permet
d’équilibrer le volume d’un échantillon tout au long de la plage de notes sélectionnée.
Le paramètre Routing détermine les sorties qu’utilise la zone. Vous avez le choix
entre des sorties principales et des canaux jumelés 3 et 4, 5 et 6, 7 et 8, puis 9 et 10,
ou encore des sorties autonomes allant de 11 à 16. Ceci permet à des zones d’être acheminées indépendamment des canaux auxiliaires d’une instance EXS24 mkII multisortie.
Note fondamentaleChapitre 21 EXS24 mkII 339
Paramètres Playback
Cochez la case Pitch pour permettre à l’échantillon de modifier sa hauteur tonale en fonction des différentes touches qui le déclenchent. Lorsque cette case est décochée, l’échantillon est toujours joué à sa hauteur tonale d’origine, quelle que soit la note jouée.
Lorsque la case 1Shot est cochée, la zone ne tient pas compte de la durée des notes
jouées pour déclencher l’échantillon. Celui-ci est toujours joué jusqu’au bout. Cette
option s’avère utile dans le cas d’échantillons de batterie, pour lesquels il n’est le plus
souvent pas souhaitable que la durée de la note MIDI soit prise en compte pour la
lecture de l’échantillon.
Cochez la case Rvrs (Reverse) pour lire l’échantillon à l’envers, de la fin au début.
Début et fin de l’échantillon
Les paramètres Sample Start et End permettent de régler respectivement le point de
début et le point de fin de l’échantillon. Si vous cliquez sur les deux valeurs tout en
maintenant la touche Contrôle enfoncée, un menu contextuel s’affiche, permettant
d’ouvrir l’échantillon dans l’Éditeur des échantillons de Logic Express. Dans cet Éditeur,
vous avez la possibilité de définir graphiquement les points de début et de fin de
l’échantillon. Reportez-vous à la section « Édition d’échantillons dans Sample Editor »
ci-dessous.
Paramètres Loop
Lorsque vous déclenchez la lecture d’un échantillon audio, l’EXS24 mkII peut lire en
boucle tout ou partie de cet échantillon. En d’autres termes, l’échantillon est lu en
boucle lorsque des notes MIDI soutenues sont reçues.
 Case Loop On :cochez cette case pour que les autres paramètres de bouclage
puissent être édités.
 Loop Start, Loop End :vous pouvez définir des points de début et de fin de bouclage
discrets dans ces champs, pour pouvoir lire une partie d’un fichier audio en boucle.
Cliquez sur le petit bouton E entre les deux valeurs pour ouvrir le fichier audio dans
l’Éditeur des échantillons de Logic Express et définir graphiquement les points de
début et de fin de la lecture en boucle : le marqueur LS (Loop Start) indique le point
de début de la boucle et le marqueur LE (Loop End) sont point de fin. Reportez-vous
à la section « Édition d’échantillons dans Sample Editor » ci-dessous. 340 Chapitre 21 EXS24 mkII
 Tune :permet d’affiner l’accord de la partie du fichier audio lue en boucle,
par incréments de cents.
 Xfade (Crossfade) :dans une boucle avec fondu enchaîné, il n’y a aucune coupure
brutale entre le point de fin et le point de début de la boucle : la transition est progressive, grâce au fondu enchaîné. Cette fonction s’avère particulièrement pratique
pour les échantillons difficiles à lire en boucle, pour lesquels surviendraient des clics
au point de jonction de la boucle. Le champ XFade permet de déterminer le moment
du fondu enchaîné. Plus la valeur est élevée et plus la transition entre les points de
début et de fin de boucle est progressive.
 Case E. Pwr (Equal Power) :permet d’appliquer au fondu enchaîné une forme d’onde
exponentielle, créant une augmentation du volume sonore de 3 dB au milieu du
fondu enchaîné. Dans ce cas, la fin et le début de la boucle sont lus de façon à
maintenir un volume sonore constant.
Remarque :les valeurs parfaites des paramètres régissant le fondu enchaîné dépendent
des particularités de l’échantillon. Une boucle se lisant déjà sans discontinuité trop marquée constitue un point de départ idéal pour obtenir une boucle parfaite avec un fondu
enchaîné, mais, à l’inverse, ce n’est pas parce que vous lui appliquez un fondu enchaîné
qu’un raccord de boucle sonne forcément mieux. Faites plusieurs essais de valeurs de
paramètres et vous découvrirez rapidement par vous-même de quelle façon, à quels
moments et à quels endroits elles fonctionnent le mieux.
Édition d’échantillons dans Sample Editor
La façon la plus intuitive de régler les points de début et de fin d’un échantillon et
d’une boucle consiste à disposer d’une représentation visuelle de la forme d’onde,
qui vous aidera à déplacer graphiquement les points sur la courbe en fonction de vos
besoins. Vous obtiendrez ainsi les valeurs voulues de façon bien plus précise et plus
rapide que si vous deviez entrer des valeurs numériques sans guide visuel. Chapitre 21 EXS24 mkII 341
L’Instrument Editor n’offre pas de représentation graphique de la forme d’onde d’un
échantillon. Pour définir les points de début et de fin de boucle d’un échantillon dans
l’Instrument Editor, il faut donc d’abord entrer des valeurs numériques. Si vous cliquez
sur les paramètres des points de début et de fin de bouclage tout en maintenant la
touche Contrôle enfoncée, un menu contextuel s’affiche, qui vous permet d’ouvrir
l’échantillon sélectionné dans l’Éditeur des échantillons de Logic Express (ou dans
l’éditeur d’échantillons externe défini dans les préférences). Cela vous permet d’éditer
les limites de l’échantillon et les points de la boucle de manière graphique. Vous n’avez
alors plus qu’à enregistrer l’échantillon et les nouvelles valeurs sont retranscrites dans
l’en-tête du fichier audio pour être utilisées par l’EXS24 mkII.
Une fois enregistré un échantillon édité dans l’Éditeur des échantillons de Logic Express
ou dans un éditeur d’échantillons tiers, il est probable que lorsque vous l’ouvrez à nouveau, les points de début et de fin ou les points de bouclage de la section des paramè-
tres ne soient plus exacts. La commande « Update Selected Zone(s) Info from Audio
File » (du menu Zone), lit les valeurs de bouclage et les points de début et de fin
contenus dans le fichier audio et met à jour les réglages de la zone en conséquence.
La fenêtre de l’Éditeur des échantillons offre également les fonctions Edit > Sample
Loop ? Selection, Edit > Selection ? Sample Loop et Edit > Write Sample Loop to
Audio File.342 Chapitre 21 EXS24 mkII
Pour utiliser les commandes Sample Editor Loop :
1 Choisissez les commandes de sélection dans le menu Edit de l’Éditeur des échantillons :
 Sample Loop ? Selection : la zone de la boucle (définie par les points de début
et de fin de la boucle) permet de sélectionner une partie du fichier audio.
 Selection ? Sample Loop : la zone sélectionnée permet de définir les points de début
et de fin de la boucle.
2 Après avoir sélectionné la zone de votre choix à l’aide de l’une des commandes
ci-dessus, choisissez Edit > Write Sample Loop to Audio File.
Les nouvelles valeurs de la boucle seront inscrites dans l’en-tête du fichier audio.
Réglage des paramètres de groupe
Les groupes offrent plusieurs paramètres pour le contrôle simultané de toutes les zones
assignées.
Key Range
Les deux paramètres Key Range permettent de définir une plage de notes pour
le groupe.
 Lo(w) :règle la note la plus basse à laquelle le groupe est joué.
 Hi(gh) :règle la note la plus haute à laquelle le groupe est joué.
Les notes jouées en dehors de cette plage n’auront pas pour effet de déclencher
les zones assignées à ce groupe.
Velocity Range
Les deux paramètres Velocity Range permettent de configurer une plage de vélocité
pour le groupe. Servez-vous en pour les sons pour lesquels vous désirez mélanger ou
choisir plusieurs échantillons de façon dynamique, selon que vous appuyez plus ou
moins fort sur les touches de votre clavier MIDI (par exemple, dans le cas de superpositions de sons, ou encore pour passer d’un échantillon de percussion à un autre).
La valeur Low définit la vélocité la plus basse à laquelle le groupe est joué, la valeur
High la vélocité la plus haute. Les notes jouées en dehors de cette plage n’auront pas
pour effet de déclencher l’échantillon assigné à ce groupe.
Le cas échéant, ces réglages sont prioritaires par rapport à ceux des zones : lorsque la
plage de vélocité d’une zone est supérieure à celle autorisée par le réglage défini pour
le groupe, elle se voit limitée de fait par ce dernier.Chapitre 21 EXS24 mkII 343
Paramètres Output
 Volume :permet de régler le volume du groupe, et donc simultanément le volume
de toutes les zones assignées. Ce paramètre fonctionne de façon similaire au curseur
du volume d’un sous-groupe sur une console de mixage.
 Pan :permet de régler la balance du groupe (la balance stéréo dans le cas d’échantillons stéréo), et donc simultanément la balance de toutes les zones assignées.
 Routing :détermine les sorties utilisées par le groupe. Vous avez le choix entre des
sorties principales et des canaux jumelés 3 et 4, 5 et 6, 7 et 8, puis 9 et 10, ou encore
des sorties autonomes allant de 11 à 16. Ceci permet à des groupes d’être acheminés
indépendamment des canaux auxiliaires d’une instance EXS24 mkII multisortie.
Paramètres Voices
 Poly. (Polyphony) :détermine le nombre de voix que le groupe est autorisé à utiliser.
Application pratique : le mode charleston classique à l’intérieur d’une batterie complète, dont les sons sont répartis sur toute l’étendue du clavier. Vous pouvez dans ce
cas assigner deux échantillons, un de charleston ouvert et un fermé, à un groupe,
puis définir le paramètre Voices du groupe sur 1. Dans cet exemple, l’échantillon
déclenché le plus récemment entre les deux charlestons coupe le son de l’autre puisque une seule voix n’est autorisée pour le groupe. Ce comportement est conforme
à la réalité : un son de charleston ne peut être à la fois ouvert et fermé. Lorsque les
échantillons se trouvant dans des zones sont assignés à un autre groupe, les autres
sons de batterie peuvent toujours être joués de façon polyphonique. L’option Max
permet de s’assurer que le groupe utilise le nombre maximum de voix autorisé par
le paramètre Voices de la fenêtre des paramètres.
 Menu Trigger :détermine si les zones pointant sur ce groupe sont déclenchées en
appuyant sur une touche (réglage Key Down) ou en relâchant une touche (réglage
Key Release). Ce paramètre est utile pour simuler les « clics » de touches d’un orgue,
par exemple : dans ce cas vous pouvez vouloir déclencher une note en appuyant sur
une touche, mais déclencher un « clic » en relâchant une touche.
 Case Dc (Decay) :cochez cette case pour accéder au paramètre Decay Time.
 (Decay) Time :détermine la durée de chute du volume d’un échantillon déclenché
par le relâchement d’une touche. N’oubliez pas que les paramètres de Decay fonctionnent uniquement lorsque Trigger est défini sur Key Release.
Filter Offsets
Ce paramètre permet de décaler séparément pour chaque groupe les réglages Cutoff
et Resonance de la fenêtre des paramètres. Il peut s’avérer utile si vous souhaitez que
l’impact initial d’une note ne soit pas filtré pour un groupe, mais qu’il le soit pour
les autres.344 Chapitre 21 EXS24 mkII
Paramètres Envelope 1 et Envelope 2 Offsets
Ces paramètres permettent de décaler séparément pour chaque groupe les réglages
de l’enveloppe, à partir de la fenêtre des paramètres. Il peut s’avérer utile si vous
souhaitez que les enveloppes de filtre ou de volume affectent les échantillons
d’un groupe après l’impact initial des sons déclenchés.
Remarque :lorsque le paramètre Trigger est défini sur Key Release, c’est le paramètre
Decay Time qui détermine la chute du volume, et non le paramètre Envelope 2
(l’enveloppe de volume). Ainsi, lorsque le paramètre Trigger est défini sur Key Release,
le paramètre Envelope 2 Offsets n’a aucun effet.
Le paramètre H (Hold) détermine la période pendant laquelle l’enveloppe sera conservée
au niveau d’attaque maximum, avant le début de la phase de chute.
Select Group By
Les paramètres de cette colonne permettent de définir un événement de sélection
spécifique pour sélectionner un groupe. Dès que l’événement de sélection défini est
déclenché, les zones pointant vers ce groupe peuvent être lues, tandis que les autres
groupes (sélectionnés à l’aide d’un événement de sélection différent) ne sont pas lus.
L’événement défini n’est lui-même pas déclenché, il sert simplement de commande
à distance pour la sélection du groupe en question.
Cette fonctionnalité peut être utilisée pour les événements MIDI (notes, contrôleurs,
modulations, canal MIDI) et les groupes, une fois que vous avez défini le numéro de
groupe qui permet de lancer la commande Select By. Par la suite, lorsque vous sélectionnez ce groupe, seules les zones pointant vers ce groupe sont lues (les autres
groupes ne sont pas lus).
Par exemple, si vous souhaitez que l’EXS24 mkII bascule automatiquement entre deux
groupes d’échantillons d’instruments à cordes, l’un pour les échantillons en staccato
et l’autre pour ceux en legato, vous pouvez utiliser pour les notes MIDI la sélection de
menu Select Group By, et assigner une note MIDI différente pour le déclenchement de
chaque groupe. Vous pouvez ainsi utiliser une note que vous ne jouez pas pour choisir
un des deux groupes et basculer automatiquement d’un groupe à l’autre en jouant sur
le clavier. Pour consulter un autre exemple d’utilisation de cette fonction pour basculer
automatiquement d’un groupe à l’autre, reportez-vous à la section « Réassociation des
événements des roulettes de Pitch Bend et de modulation » ci-dessous.
Cliquez sur l’icône plus située en haut à gauche de la colonne « Select Group By » pour
affiner les conditions de sélection d’un groupe. Cliquez sur l’icône moins pour supprimer
une condition Select Group By et élargir les critères de sélection d’un groupe.Chapitre 21 EXS24 mkII 345
Réassociation des événements des roulettes de Pitch Bend et
de modulation
Pour créer des performances réalistes de manière simple et intuitive, les instruments
Jam Pack 4 (orchestre symphonique) utilisent la roulette de modulation pour basculer
entre les articulations (legato, staccato, etc.) et la roulette de Pitch Bend pour changer
l’expression (crescendo, diminuendo, etc.). Vous trouverez davantage d’informations
à ce sujet dans la documentation de Jam Pack 4.
Ceci s’obtient en remappant en interne les événements du Pitch Bend au contrôleur
MIDI 11 et les événements de la molette de modulation au contrôleur MIDI 4.
Pour assurer la compatibilité avec les instruments Jam Pack 4, l’EXS24 mkII utilise
automatiquement ce type de remappage aux instruments Jam Pack 4.
Vous pouvez également utiliser ce modèle de réassociation pour d’autres instruments en activant le réglage « Map Mod & Pitch Wheel to Ctrl 4 & 11 » dans le menu
Instrument.
L’EXS24 mkII réassocie alors respectivement les événements entrants de la roulette de
Pitch Bend et ceux de la roulette de modulation au contrôleur n°11 ou au contrôleur
n°4. Les fonctionnalités par défaut des molettes de Pitch Bend et de modulation ne
peuvent pas être utilisées.346 Chapitre 21 EXS24 mkII
Édition graphique de zones et de groupes
L’édition des zones et des groupes ne se fait pas uniquement dans la section des paramètres. Vous pouvez aussi éditer graphiquement certains paramètres de zone et de
groupe, dans la zone d’affichage Zones ou la zone d’affichage Groups, au-dessus du
clavier de l’Instrument Editor.
Pour déplacer une zone ou un groupe :
1 Placez le curseur de la souris sur une zone ou un groupe existant(e).
La flèche du curseur se dédouble.
2 Cliquez sur la zone ou le groupe et maintenez le bouton de la souris enfoncé tout
en faisant glisser la zone ou le groupe jusqu’à l’emplacement souhaité.
Remarque :vous pouvez également changer la note fondamentale d’une zone :
pour ce faire, appuyez simultanément sur les touches Option et Commande tout
en faisant glisser la zone.
Pour déplacer plusieurs zones ou groupes en même temps, vous pouvez les sélectionner
soit par étirement, soit en appuyant simultanément sur la touche Maj., soit en appuyant
simultanément sur la touche Commande.Chapitre 21 EXS24 mkII 347
Pour modifier la note de début ou de fin d’une zone ou d’un groupe, procédez
comme suit :
1 Placez le curseur de la souris au début ou à la fin d’une zone ou d’un groupe.
La flèche du curseur se dédouble.
2 Cliquez sur le point de début ou de fin de la zone ou du groupe et maintenez le bouton
de la souris enfoncé tout en faisant glisser le point jusqu’à l’emplacement souhaité.
Vous pouvez également déplacer une zone vers la gauche ou vers la droite, à l’aide
de l’un des deux raccourcis clavier suivants :
 Déplacer la ou les zones/le ou les groupes sélectionné(e)s vers la gauche : Option +
touche Flèche vers la gauche
 Déplacer la ou les zones/le ou les groupes sélectionné(e)s vers la droite : Option +
touche Flèche vers la droite
Pour déplacer la note fondamentale de la zone en même temps que la zone elle-même,
utilisez l’un des deux raccourcis clavier suivants :
 Déplacer la ou les zones/le ou les groupessélectionné(e)s versla gauche (avec note fondam.) :
Maj. + Option + touche Flèche vers la gauche
 Déplacer la ou les zones/le ou les groupes sélectionné(e)s vers la droite (avec note fondam.) :
Maj. + Option + touche Flèche vers la droite348 Chapitre 21 EXS24 mkII
Pour éditer la plage de vélocité d’une zone ou d’un groupe, procédez comme suit :
1 Cliquez sur le bouton Show Velocity, tout en haut à droite de l’Instrument Editor
(ou utilisez le raccourci clavier correspondant).
La zone d’affichage de la vélocité s’ouvre au-dessus de la zone d’affichage des zones
ou des groupes.
2 Dans la zone d’affichage, cliquez sur un(e) ou plusieurs zones ou groupes.
Les barres de vélocité des zones sélectionnées apparaissent en surbrillance dans
la zone d’affichage de la vélocité.
3 Cliquez sur la valeur haute ou la valeur basse de la barre de vélocité de la zone
ou du groupe à éditer et maintenez le bouton de la souris enfoncé.
4 Faites glisser le paramètre vers le haut pour augmenter la valeur, ou vers le bas
pour la diminuer.Chapitre 21 EXS24 mkII 349
Tri de zones et de groupes
Pour trier des zones et des groupes dans l’Instrument Editor EXS24 mkII, il suffit de
cliquer sur l’en-tête de la sous-colonne de référence du tri. Par exemple, pour trier
les zones par nom, cliquez sur l’en-tête de sous-colonne Name. Les zones seront
alors triées par ordre alphabétique en fonction de leur nom.
Par exemple, pour trier des groupes par ordre croissant de vélocité de départ
(de la plus basse à la plus haute), cliquez sur l’en-tête de sous-colonne Low, dans
la colonne Velocity Range. Les groupes sont alors triés, en commençant par celui
dont la plage de vélocité de départ est la plus faible.
Affichage/masquage des paramètres Zone et Group
Le menu View vous permet de déterminer les paramètres de zone et de groupe que
vous souhaitez voir apparaître dans la section des paramètres de l’Instrument Editor :
 View All :affiche toutes les colonnes et sous-colonnes disponibles (raccourci clavier
correspondant : View : View All).
 Individual Group and Zone display settings :permet d’afficher les colonnes et souscolonnes de votre choix. Les entrées de zones sont disponibles en mode d’affichage
Zones, les entrées de groupes en mode d’affichage Groups.
? Astuce :si vous appuyez sur la touche Option et que vous sélectionnez une colonne
de zone ou de groupe désactivée, seule la colonne sélectionnée s’affiche.
 Restore to Default :permet de revenir à l’affichage par défaut (raccourci clavier correspondant : View : Restore to Defaults).
 Save as Default :enregistre les paramètres de zone et de groupe en cours comme
présentation par défaut pour chaque ouverture de l’Instrument Editor EXS24 mkII.350 Chapitre 21 EXS24 mkII
Enregistrer, supprimer, renommer et exporter des instruments
Toutes les opérations de base relatives aux instruments échantillonnés sont accessibles
via le menu Instrument de l’Instrument Editor.
Save
Enregistre l’instrument échantillonné chargé. Lors de la création d’un instrument, lorsque
vous l’enregistrez pour la première fois, le système vous demande de lui attribuer un
nom. Si vous éditez un instrument échantillonné existant et que vous l’enregistrez à l’aide
de cette commande, c’est le nom du fichier existant qui est utilisé et l’ancien instrument
est remplacé. Vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier Save Instrument.
Save As
Cette commande permet aussi d’enregistrer l’instrument échantillonné chargé. Lorsque
vous utilisez l’option Save As, le système vous demande d’attribuer un nom au fichier.
Utilisez cette commande pour enregistrer une copie ou plusieurs versions d’un instrument échantillonné édité, au lieu d’écraser la version d’origine.
Rename
Cette commande permet de renommer l’instrument échantillonné chargé. La version
renommée remplace la précédente sur le disque dur.
Export Sampler Instrument and Sample Files
Copie dans un autre dossier de votre choix, l’instrument échantillonné sélectionné et
les fichiers audio associés. Lorsque vous utilisez cette commande, une boîte de dialogue
standard de navigation dans les fichiers du système d’exploitation s’ouvre. En fonction
de vos besoins, vous pouvez utiliser un dossier existant ou en créer un avec un nouveau
nom. Vous pouvez également utiliser le raccourci clavier correspondant (par défaut :
Contrôle + C).Chapitre 21 EXS24 mkII 351
Réglage des préférences du Sampler
L’EXS24 mkII offre une fenêtre séparée Sampler Preferences, qui permet de configurer
diverses préférences relatives au fonctionnement et à l’échantillon même : qualité de
la conversion de la fréquence d’échantillonnage, réactivité de la vélocité, stockage des
échantillons, paramètres de recherche, etc.
Pour ouvrir la fenêtre Sampler Preferences, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Cliquez sur le bouton Options dans la fenêtre des paramètres, puis sélectionnez
Preferences dans le menu local.
m Dans l’Instrument Editor, sélectionnez Edit > Preferences.
Sample Rate Conversion
Choisissez la qualité d’interpolation utilisée par l’EXS24 mkII. Lorsque le paramètre
Sample Rate Conversion est réglé sur Best, la transposition des échantillons fait
intervenir la meilleure qualité sonore possible.
Sample Storage
Ce paramètre permet de choisir le format auquel les données des échantillons chargés
vont être gérées par l’EXS24 mkII. Lorsqu’il est réglé sur Original, les échantillons sont
chargés dans la RAM à leur résolution originale et sont ensuite convertis, au moment de
la lecture, au format interne de Logic Express, 32 bits virgule flottante. Lorsque l’option
32 Bit Float est sélectionnée, les échantillons sont stockés et chargés dans ce format.
Il n’est alors plus nécessaire de réaliser une conversion en temps réel, ce qui permet à
l’EXS24 mkII de gérer les données des échantillons de façon plus efficace et de lire un
plus grand nombre de voix en simultané. Notez cependant que les échantillons 16 bits
requièrent deux fois plus de RAM et les échantillons 24 bits un tiers de plus.
Velocity Curve
Ce paramètre détermine la manière dont l’EXS24 mkII répond aux valeurs de vélocité
reçues depuis votre clavier MIDI. Les valeurs négatives accentuent la réponse aux
frappes douces sur les touches, tandis que les valeurs positives la modèrent.352 Chapitre 21 EXS24 mkII
Search Samples On
Ce paramètre définit l’emplacement auquel rechercher les échantillons d’instruments.
Vous pouvez choisir soit les lecteurs généralement utilisés par le système d’exploitation,
soit des lecteurs SCSI externes, FireWire ou USB, accessibles directement ou via le réseau.
Les lecteurs peuvent être sélectionnés individuellement ou par groupes, comme suit :
 Local Volumes : supports de stockage internes (disques durs et CD-ROM) reliés à
l’ordinateur ou directement installés dessus.
 External Volumes : supports de stockage externes accessibles via le réseau.
 All Volumes : tous les supports, internes et en réseau, sont explorés pour rechercher
les données appropriées.
Remarque :si vous sélectionnez External Volumes ou All Volumes, le temps nécessaire
à l’EXS24 mkII pour rechercher et charger les instruments échantillonnés et les fichiers
peut augmenter de façon spectaculaire.
Read Root Key From
Permet de déterminer la façon dont l’EXS24 mkII définit la note fondamentale des
fichiers audio chargés. Vous pouvez choisir entre les options suivantes :
 File/filename :lors du chargement d’un fichier audio dans une zone, l’EXS24 mkII
consulte d’abord les informations relatives à la note fondamentale contenues dans
le fichier lui-même (dans l’en-tête du fichier AIFF ou WAVE). Si ce type d’information
ne figure pas dans l’en-tête du fichier, une analyse intelligente du nom du fichier
peut aider à retrouver la note fondamentale. Si cette seconde méthode ne donne
aucun résultat utile, c’est la note Do3 qui est utilisée par défaut comme note fondamentale dans la zone.
 Filename/file :comme pour l’option précédente, mais inversée. La recherche de la
note fondamentale s’effectue d’abord dans le nom du fichier, puis dans l’en-tête.
 Filename only :recherche uniquement à partir du nom de fichier. Si aucune information
n’est trouvée sur la note fondamentale, c’est la note Do3 qui est automatiquement
assignée à la zone comme note fondamentale.
 File only :recherche uniquement à partir de l’en-tête du fichier. Si aucune information
n’est trouvée sur la note fondamentale, c’est la note Do3 qui est automatiquement
assignée à la zone comme note fondamentale.
Root Key at File Name Position
Normalement, l’EXS24 mkII détermine de façon intelligente la note fondamentale
à partir de l’en-tête du fichier audio chargé. Il peut cependant parfois arriver que vous
souhaitiez contrôler ce paramètre manuellement, si vous pensez que la note fondamentale n’est pas déterminée correctement. Dans ce cas, utilisez le paramètre Root
Key at File Name Position. Les options proposées dans le menu local sont Auto,
ou des valeurs numériques allant de 1 à 30.Chapitre 21 EXS24 mkII 353
La valeur recommandée est Auto. Elle effectue une analyse intelligente des chiffres et
des notes éventuellement présents dans le nom du fichier. Un chiffre est reconnu dans
un nom de fichier, quel que soit son format (« 60 » et « 060 » sont tous les deux valides,
par exemple). Les autres nombres valides s’étendent de 21 à 127. Les valeurs numériques
dépassant ces données ne correspondent généralement qu’à des numéros de version.
Un numéro de touche exprimé à l’anglaise (C3, C 3, C_3, A–1, A –1 ou #C3, C#3, par
exemple) est également une valeur reconnue. Les valeurs possibles s’échelonnent
de C–2 à G8.
Remarque :dans certains cas, le concepteur sonore a intégré plusieurs valeurs dans le
nom du fichier : c’est souvent le cas pour les boucles, où une valeur indique le tempo
(par exemple, « loop60-100.wav »). Dans ce cas, il n’est pas toujours évident de savoir
à quoi correspondent ces valeurs : 60 ou 100 peuvent par exemple indiquer le numéro
de fichier dans une collection, le tempo, la note fondamentale, etc. Vous pouvez définir
la valeur « 8 » pour lire la note fondamentale à la position (lettre/caractère) huit du
nom du fichier (dans notre exemple, 100, soit Mi6). De même, si vous définissez la
valeur 5, c’est la valeur 60 (soit Do3) qui est définie comme position de la note
fondamentale.
Previous Instrument et Next Instrument
Les préférences Previous Instrument et Next Instrument permettent de déterminer
le type d’événement MIDI (et la valeur de données) qui sera pris en compte pour
la sélection de l’instrument précédent ou suivant.
Choisissez un type d’événement MIDI dans les menus Previous Instrument et Next
Instrument. Vous avez le choix entre Note, Poly Pressure, Control Change, Program
Change, Channel Pressure et Pitch Bend.
Le champ en regard des menus vous permet d’entrer soit le numéro de note,
soit la valeur du premier octet de données. Lorsque le paramètre Control Change
est sélectionné, la valeur entrée dans le champ définit le numéro de contrôleur.
Giga convert includes release trigger
Ce paramètre permet de déterminer si la fonction de déclencheur de relâchement
du format Gigasampler est exécutée ou non par l’EXS24 mkII. 354 Chapitre 21 EXS24 mkII
Ignore release velocity
Cette option se rapporte également à la fonction de déclencheur de relâchement du format Gigasampler et doit toujours être activée si vous utilisez ce dernier. Que votre clavier
soit ou non capable d’envoyer des messages de vélocité de relâchement, vous pouvez
alors faire en sorte que les échantillons joués par la fonction de déclencheur de relâchement soient plus forts ou moins forts que l’échantillon original, ou que les échantillons
soient toujours lus au même niveau de volume sonore, quelle que soit la vélocité initiale.
À l’inverse, lorsque vous jouez avec la fonction de déclencheur de relâchement, vous
pouvez disposer d’une valeur de vélocité de relâchement identique à la valeur de vélocité initiale. Pour ce faire, vous pouvez désactiver la vélocité de relâchement.
Keep common samples in memory when switching projects
Ce paramètre permet de définir si les échantillons utilisés en commun par deux fichiers
de projets ouverts doivent être rechargés lorsque vous passez d’un projet à l’autre.
Configuration de la mémoire virtuelle
Nombre de bibliothèques d’échantillons contiennent maintenant plusieurs gigaoctets
d’échantillons audio, afin de créer des instruments échantillonnés les plus précis possible.
Ces bibliothèques d’échantillons sont souvent trop imposantes pour être entièrement
intégrées dans la mémoire RAM de votre ordinateur. Pour vous permettre d’accéder à ces
gigantesques bibliothèques d’échantillons, l’EXS24 mkII peut utiliser une portion de votre
disque dur comme mémoire virtuelle. Lorsque vous activez la mémoire virtuelle de
l’EXS24 mkII, seules les attaques initiales des échantillons audio sont chargées dans la RAM
de votre ordinateur, le reste de l’échantillon est diffusé en continu en temps réel à partir du
disque dur.
La fonction de mémoire virtuelle de l’EXS24 mkII peut être configurée dans la fenêtre
Virtual Memory.
Pour ouvrir la fenêtre Virtual Memory, procédez comme suit :
m Cliquez sur le bouton Options dans la fenêtre des paramètres, puis sélectionnez Virtual
Memory dans le menu local.
 Case Active :cochez cette case pour activer la fonction de mémoire virtuelle de
l’EXS24 mkII.Chapitre 21 EXS24 mkII 355
 Disk Drive Speed :il s’agit de la vitesse de votre disque dur. Si vous disposez d’un
disque cadencé à au moins 7200 RPM pour vos échantillons audio, sélectionnez le
réglage Fast. Si vous utilisez un ordinateur portable cadencé à 5400 RPM pour vos
échantillons audio, sélectionnez Medium. Avec les Macintosh modernes, vous n’aurez
généralement pas l’occasion d’utiliser le réglage Slow.
 Hard Disk Recording Activity :indique la proportion d’enregistrements et de diffusion
en continu de fichiers audio non échantillonnés. Par exemple, si vous enregistrez des
batteries entières avec plus d’une douzaine de micros, en diffusant des guitares et
des basses live en continu, en enregistrant des chœurs, etc., réglez le paramètre Hard
Disk Recording Activity sur High. Par contre, si vos projets sont principalement constitués d’instruments logiciels, avec éventuellement un(e) ou deux instruments ou voix
enregistré(e)s, réglez le paramètre Hard Disk Recording Activity sur Low. Si vous
n’êtes pas sûr, laissez ce paramètre sur Average.
 Champ Requires Constant RAM Allocation of :indique la quantité de mémoire nécessaire aux deux paramètres mentionnés ci-dessus. Plus votre disque dur est lent et
plus votre activité d’enregistrement du disque est élevée, plus vous aurez besoin
d’allouer de RAM à la mémoire virtuelle.
 Section Performance :indique le trafic d’E/S sur le disque et les données non lues à
temps. Si ces valeurs augmentent, l’EXS24 mkII risque de rencontrer des problèmes
pour diffuser vos échantillons en continu à partir du disque par rapport à vos performances. Si vous remarquez que ces valeurs atteignent des niveaux trop élevés, il est
conseillé de modifier les réglages généraux afin de libérer de la RAM supplémentaire
pour la mémoire virtuelle. Si le problème persiste, il est conseillé d’installer de la
mémoire RAM supplémentaire sur votre Macintosh.
Utilisation de VSL Performance Tool
L’EXS24 mkII intègre une interface complémentaire pour le logiciel Vienna Symphonic
Library Performance Tool. Pour y accéder, vous devez installer le logiciel Performance
Tool de VSL. Pour en savoir plus, reportez-vous à la documentation de VSL.22
357
22 External Instrument
Vous pouvez utiliser le module External Instrument pour faire
passer les données de vos générateurs de sons MIDI externes
à travers la table de mixage de Logic Express, de façon à pouvoir les traiter avec des effets Logic Express.
L’idéal serait d’utiliser une interface audio à plusieurs entrées et sorties, pour éviter
d’avoir à constamment modifier le raccordement des périphériques. Le module
External Instrument peut être inséré dans les canaux d’instruments logiciels à la
place d’un instrument logiciel.
Paramètres du module External Instrument
 Menu MIDI Destination :choisissez l’objet Instrument MIDI souhaité dans votre
environnement.
 Menu Input :choisissez les entrées du matériel audio auxquelles le générateur
de sons MIDI est connecté.
 Curseur et champ Input Volume :déterminent le niveau du signal entrant.358 Chapitre 22 External Instrument
Utilisation du module External Instrument
La section ci-dessous décrit la procédure à suivre pour faire passer les données de
vos générateurs de sons MIDI externes à travers la table de mixage de Logic Express.
Pour traiter des instruments MIDI externes avec des effets :
1 Connectez la sortie (ou paire de sorties) de votre module interne MIDI à une entrée
(paire d’entrées) de votre interface audio.
Remarque :il peut s’agir aussi bien de connexions analogiques que numériques si
votre interface audio et l’unité d’effets sont équipées de l’une ou de l’autre, ou bien
des deux.
2 Créez un canal d’instrument.
3 Cliquez sur le logement Instrument et choisissez External Instrument dans le menu
local.
4 Choisissez la destination MIDI dans le menu de la fenêtre External Instrument.
5 Choisissez l’entrée (de votre interface audio) à laquelle le générateur de son MIDI
est connecté dans le menu local Entrée.
6 Ajustez le volume d’entrée, si nécessaire.
7 Insérez les effets voulus dans les logements d’insertion du canal.
Étant donné que la piste est acheminée vers un canal d’instrument (qui est destiné à
un module de son MIDI externe), elle se comporte comme une piste d’instrument logiciel standard, ce qui signifie que vous pouvez y enregistrer et y lire des régions MIDI.
Cela présente les avantages suivants :
 Vous pouvez tirer parti des sons et du moteur de synthèse de votre module MIDI,
sans augmenter la charge du processeur de votre Macintosh (à part les effets utilisés
sur le canal).
 Vous pouvez, bien entendu, utiliser des effets d’insertion, mais pouvez également
utiliser des effets d’envoi (Send) en acheminant le canal Instrument vers des canaux
auxiliaires.
 Vous pouvez effectuer un bounce en temps réel des parties d’instrument MIDI
externe, avec ou sans les effets, dans un fichier audio. Cela permet de créer un mixage,
avec tous les périphériques et pistes internes et externes, en une seule étape.
Autres points à prendre en compte
Si vous utilisez des sources sonores MIDI multitimbrales, n’oubliez pas que chaque
module External Instrument exige une sortie audio séparée.
La fonction Freeze n’est pas possible sur une piste External Instrument, comme pour
toute opération de bounce impliquant du matériel MIDI.23
359
23 KlopfGeist
KlopfGeist est un instrument optimisé pour fournir
le battement d’un métronome dans Logic Express.
KlopfGeist est inséré sur le canal d’instrument 128 par défaut et utilisé pour générer
le battement du métronome MIDI.
En théorie, tout autre instrument logiciel de Logic Express ou tiers est utilisable comme
source de son du métronome, sur le canal instrumental 128. De même, le Klopfgeist peut
s’insérer sur n’importe quel autre canal instrumental pour l’utiliser en tant qu’instrument.
Une étude des paramètres de KlopfGeist va toutefois clairement démontrer qu’il
s’agit d’un synthétiseur conçu pour créer le son du battement d’un métronome.
 Boutons Trigger Mode :permettent de faire fonctionner KlopfGeist comme un
instrument monophonique ou polyphonique (4 voix).
 Potentiomètre et champ Tune :accordent KlopfGeist par étapes de demi-ton.
 Potentiomètre et champ Detune : permettent de réaliser un accord fin du KlopfGeist
en centièmes.
 Curseur et champ Tonality :modifient le son de KlopfGeist, qui passe d’un bref battement
à un son de percussion ayant une tonalité, comme un bloc de bois ou des claves. 360 Chapitre 23 KlopfGeist
 Curseur et champ Damp :contrôlent le temps de libération. Le temps de libération
le plus court est atteint lorsque Damp a sa valeur maximale (1,00).
 Curseur et champs Level Via Vel :déterminent la sensibilité de KlopfGeist en matière
de vélocité. La moitié supérieure du curseur (qui compte deux parties) détermine
le volume pour la vélocité maximale, la moitié inférieure pour la vélocité minimale.
En cliquant et en faisant glisser la zone entre les deux segments du curseur, vous
pouvez les déplacer simultanément.24
361
24 Ultrabeat
Ultrabeat est un synthétiseur de sons rythmiques,
équipé d’un séquenceur pas à pas.
Le moteur de synthèse d’Ultrabeat est optimisé pour créer des sons de percussions
ou de batterie acoustiques et électroniques. Il regroupe un large éventail de technologies de synthèse sonore : modulation de phase, lecture d’échantillon, modulation
de fréquence (FM) et modélisation physique. Vous pouvez même utiliser une entrée
latérale audio comme source sonore.
Ultrabeat propose un séquenceur pas à pas intégré que vous pouvez utiliser pour créer
des grooves rythmiques composés d’assemblages de motifs (patterns). Le séquenceur
affiche des commandes de style « défilement de LED » comme sur les boîtes à rythmes
classiques. Il offre également des fonctions d’automatisation pas à pas, permettant
de varier le timbre du son selon la dynamique du jeu ou des rythmes programmés.
Le séquenceur joue un rôle important dans la mise en forme dynamique des rythmes
et des sons produits avec le module Ultrabeat.
Ultrabeat permet de charger des échantillons audio ainsi que ses propres réglages,
mais aussi d’importer des instruments EXS. Vous avez ainsi accès à davantage d’options
de traitement des rythmes et de conception des sons pour les instruments EXS.
Vous pouvez également utiliser la présentation intuitive « drum mixer » d’Ultrabeat
pour jouer les kits de batterie EXS.
Enfin, Ultrabeat offre une très large gamme de fonctions de modulation : quasiment
tous ses composants peuvent être modulés.362 Chapitre 24 Ultrabeat
La structure d’Ultrabeat
La plupart des synthétiseurs logiciels présentent un synthétiseur par occurrence
de module. Ultrabeat, en revanche, vous propose 25 synthétiseurs indépendants.
Ces synthétiseurs, appelés drum voices (voix de batterie) dans Ultrabeat, sont adaptés
à la création de sons de batterie et de percussions.
La répartition des sons de batterie sur le clavier MIDI est simple et s’explique facilement
de la manière suivante : chacune des 24 premières touches du clavier MIDI (en partant
du bas) est affectée à un son de batterie unique. Le 25e son de batterie constitue une
exception ; il peut être joué chromatiquement.
Ultrabeat peut être comparé à une boîte à rythmes composée de 24 pads de batterie
et d’un clavier intégré.
Ces 24 pads de batterie sont affectés aux 24 premières touches du clavier MIDI standard
(Notes MIDI C1-B2 soit Do1-Si2). La correspondance avec les notes MIDI est compatible
avec celle de la configuration clavier standard Roland GM. Le clavier chromatique du
25e synthétiseur commence au Do3 ou C3 (la note la plus grave de sa tessiture).
Remarque :si votre clavier MIDI n’est pas assez large ou ne prend pas en charge la
transposition d’octave pour utiliser les octaves inférieures et supérieures d’Ultrabeat,
vous pouvez définir le paramètre de transposition dans l’Inspecteur Logic Express pour
décaler les notes MIDI suivantes.
Pour des raisons de simplicité (et pour maintenir l’analogie avec une boîte à rythmes),
nous désignerons chaque synthétiseur indépendant (voix de batterie) par le terme son.
Leur combinaison forme un kit de batterie Ultrabeat.
Voix de batterie 1 à 24
La 25e voix de batterie
peut être jouée de façon
chromatiqueChapitre 24 Ultrabeat 363
Présentation d’Ultrabeat
L’interface utilisateur d’Ultrabeat comporte trois sections fonctionnelles.
 Section d’assignation :elle affiche tous les sons d’un kit de batterie ; vous pouvez
ainsi les sélectionner, les renommer ou les organiser. Cette section comporte également une petite table de mixage que vous pouvez utiliser pour ajuster le volume
et la balance de chaque son.
 Section synthétiseur : la majeure partie de l’interface utilisateur d’Ultrabeat est consacrée à la création et à la mise en forme de sons de batterie distincts ; c’est-à-dire
à la fonction Ultrabeat de synthétiseur. Les paramètres du son de batterie sélectionné
dans la section d’assignation s’affichent dans cette section synthétiseur.
 Séquenceur pas à pas: dans cette section, vous pouvez créer et contrôler des séquences
et des patterns. Une séquence déclenche un son de batterie particulier et peut inclure
jusqu’à 32 pas. Un pattern contient la totalité des séquences des 25 sons. Vous pouvez
vous servir du séquenceur pas à pas à la place des notes MIDI ou en complément de
celles-ci, en allant dans Ultrabeat (à partir de Logic Express) pour contrôler les sons.
Une description plus complète de séquenceur pas à pas figure dans la rubrique section
« Le séquenceur pas à pas », à la page 400.
Section Assignment
Séquenceur pas à pas
Section synthétiseur364 Chapitre 24 Ultrabeat
Chargement et enregistrement de sons
Vous pouvez procéder de la même manière qu’avec tous les autres instruments
Logic Express pour enregistrer et charger des réglages dans Ultrabeat. Pour en savoir
plus, consultez le Manuel de l’utilisateur Logic Express 8.
Un réglage Ultrabeat comporte les éléments suivants :
 Le kit de batterie, incluant 25 sons et comprenant les réglages d’assignation
et de mixage correspondants.
 La totalité des réglages des paramètres des 25 sons.
 Les réglages du séquenceur et la totalité des 24 patterns, y compris l’automatisation
pas à pas ainsi que les rangées de déclencheurs, de vélocité et porte (durée des
notes) des 25 sons.
Remarque :le rappel de l’ensemble de ces données lors du chargement d’un réglage
Ultrabeat est particulièrement utile. En effet, l’effet musical des patterns, notamment
de ceux incluant des paramètres séquencés de vélocité et de porte, est souvent étroitement lié aux sons utilisés.Chapitre 24 Ultrabeat 365
La section d’assignation
La section d’assignation affiche la totalité des sons de batterie inclus dans un kit
de batterie et présente une petite table de mixage. Cette section vous permet de :
 sélectionner, organiser et nommer des sons de batterie,
 importer des sons de batterie à partir d’autres réglages Ultrabeat ou d’autres
instruments EXS,
 mixer des sons de batterie.
Sélection de sons
Les 25 sons d’un kit de batterie Ultrabeat sont associés au clavier représenté dans
la partie gauche de la fenêtre Ultrabeat. L’ordre des sons sur le clavier correspond
aux notes du clavier MIDI connecté, en commençant par C1 (Do1) pour le premier
son (le plus bas à l’écran).
Cliquez sur le nom du son dans la section d’assignation pour sélectionner le son
de batterie souhaité. Les paramètres du son s’affichent dans la section synthétiseur,
à droite.
Vérifiez que le son joué via le clavier MIDI correspond à celui que vous modifiez : vous
pouvez identifier le son sélectionné par le cadre gris qui entoure son nom dans la
zone d’assignation. La touche correspondante sur la représentation du clavier à l’écran,
à gauche du nom du son, devient bleue selon les données MIDI envoyées. Vous pouvez
également cliquer sur ces touches pour jouer le son.
Dans cet exemple, le son de batterie 2 est joué (touche bleue) alors que le son
de batterie 4 est sélectionné (cadre gris).
Vous pouvez également sélectionner des sons en entrant des notes MIDI. Pour ce
faire, activez le bouton Voice Auto Select dans le coin supérieur gauche de la fenêtre
Ultrabeat.366 Chapitre 24 Ultrabeat
Remarque :il est fort probable qu’à certains moments Ultrabeat reçoive de nombreuses
notes à partir de Logic Express ou du séquenceur pas à pas intégré. Dans ce cas, la sélection automatique de sons provoquerait des changements incessants dans l’affichage des
paramètres, rendant leur visualisation difficile. Pour éviter cela, la fonction de sélection
de voix Voice Select est automatiquement désactivée lors d’un enchaînement rapide
de notes.
Désignation et organisation des sons
Si vous double-cliquez sur le nom d’un son de batterie, le champ de saisie de texte
correspondant s’ouvre et vous pouvez alors lui affecter un nom. Appuyez sur la touche
Retour ou cliquez en dehors du champ de saisie afin de continuer.
La permutation ou la copie de sons de batterie au sein d’un kit Ultrabeat peut s’effectuer
par une opération de glisser-déposer ou en utilisant un menu contextuel.
Pour permuter ou copier un son de batterie avec la fonction glisser-déposer :
1 Cliquez sur le son de batterie souhaité dans la section d’assignation (et non sur
un bouton ou un menu) et maintenez le bouton de la souris enfoncé.
2 Faites ensuite glisser le nom jusqu’à l’emplacement voulu.
 Une opération de glisser-déposer simple permet de permuter deux sons de batterie
(dont les réglages Mixer suivants : volume, panoramique, activation et désactivation
du son, solo et configuration de la sortie). Les séquences ne sont pas permutées.
 Si vous maintenez la touche Commande enfoncée durant cette opération, les deux
sons de batterie permutent. Les séquences sont permutées.
 Si vous maintenez la touche Option enfoncée durant l’opération, le son est copié.
Les séquences ne sont pas copiées.
 Si vous maintenez les touches Option + Commande enfoncées durant l’opération,
le son est copié. Les séquences sont copiées.Chapitre 24 Ultrabeat 367
Pour permuter ou copier un son de batterie via un menu contextuel :
1 Cliquez en maintenant la touche Contrôle enfoncée ou cliquez avec le bouton droit
de la souris sur un son de batterie dans la section d’assignation.
2 Un menu contextuel s’affiche, dans lequel vous sélectionnez la commande souhaitée :
 Copy (Voice & Seq) : cette commande copie le son sélectionné, y compris les séquences et les réglages Mixer, dans le Presse-papiers.
 Paste Voice : cette commande remplace le son sélectionné par le son figurant dans
le Presse-papiers, sans modifier les séquences associées.
 Paste Sequence > (sous-menu) :le sous-menu Paste Sequence permet de remplacer
la totalité des séquences du son de batterie cible ou seulement certaines de ses
séquences. Cette opération n’affecte pas les paramètres du son de batterie. Si une seule
séquence est collée, elle vient remplacer la séquence actuellement active (identifiée
dans le menu Pattern) du son de batterie cible. Vous avez ainsi la possibilité de coller
des séquences dans chacun des 24 emplacements possibles de pattern.
 Swap with Clipboard : cette commande remplace le son sélectionné par le son
du Presse-papiers et place l’ancien son dans le Presse-papiers.
 Init > (sous-menu) :le sous-menu Init contient quelques sons servant de points de
départ (Init). Si vous en sélectionnez un, il vient remplacer le son de batterie cible.
L’échantillon Init initialise le filtre ainsi que les paramètres de tonalité selon des
réglages neutres. Il s’agit du point de départ pour la programmation de sons de
batterie basés sur des échantillons.
Remarque :les commandes Paste et Swap with Clipboard du menu contextuel
nécessitent bien évidemment une opération de copie préalable (afin de placer
les données appropriées dans le Presse-papiers) avant de pouvoir les utiliser.
Elles n’affectent que le son de batterie sélectionné ; toutes les données de séquence
et les données audio des 24 autres sons de batterie restent inchangées. 368 Chapitre 24 Ultrabeat
Importation de sons de batterie et d’instruments EXS
Vous pouvez importer des sons de batterie et des séquences à partir d’autres réglages
Ultrabeat vers votre kit de batterie actif. Vous avez également la possibilité d’importer
des sons provenant d’autres instruments EXS : Ultrabeat reproduit la présentation EXS
aussi fidèlement que possible. Les zones EXS formatées sont configurées en tant que
sons de batterie formatés, en utilisant le mode de lecture d’échantillons de l’Osc 2.
Pour ouvrir un réglage Ultrabeat ou un instrument EXS dans la liste d’importation :
1 Cliquez sur le champ Import dans la partie supérieure gauche de la fenêtre Ultrabeat.
2 Naviguez jusqu’au réglage Ultrabeat ou jusqu’à l’instrument EXS à partir duquel vous
souhaitez importer des sons, sélectionnez-le, puis cliquez sur Open.
Une liste de tous les sons issus du réglage ou de l’instrument EXS sélectionné s’affiche
en regard de la section relative au mixage. Chapitre 24 Ultrabeat 369
Remarque :dans le cas d’importations d’instrument EXS qui comportent plus de
25 sons, vous pouvez parcourir des jeux de 25 sons à l’aide des flèches vers le haut
et le bas situées à gauche et à droite du nom de l’instrument EXS en question, en haut
de la liste d’importation.
Deux méthodes permettent de transférer des sons à partir de la liste d’importation
vers la section d’assignation. La méthode la plus simple consiste à faire glisser les
sons depuis la liste d’importation vers la section relative au mixage. Le maintien de
la touche Commande pendant cette opération permet d’inclure toutes les séquences.
Vous pouvez également utiliser un menu contextuel.
Pour transférer des sons à l’aide d’un menu contextuel :
1 Dans la liste d’importation, cliquez en maintenant la touche Contrôle enfoncée
(ou cliquez avec le bouton droit de la souris) sur le nom du son désiré.
2 Dans le menu contextuel qui s’affiche, sélectionnez Copy (Voice & Seq).
Le son sélectionné et ses séquences sont alors copiés dans le Presse-papiers.
3 Cliquez en maintenant la touche Contrôle enfoncée (ou cliquez avec le bouton droit
de la souris) sur le son à remplacer dans le kit de batterie ouvert, puis, dans le menu
contextuel, utilisez l’une des commandes suivantes :
 Paste Voice :remplace le son de batterie cible, sans changer ses séquences.
 Paste Sequence > (sous-menu) :permet de remplacer la totalité des séquences du son
de batterie cible ou seulement certaines séquences. Cette commande n’affecte pas le
son de batterie cible. Si une seule séquence est collée, elle vient remplacer la séquence
actuellement active (identifiée dans le menu Pattern) du son de batterie cible.
Cela vous permet d’importer des séquences de son de batterie vers l’un des
24 emplacements possibles de pattern. Ces commandes affectent uniquement
le son de batterie sélectionné ; toutes les données de séquence et les données
audio des 24 autres sons de batterie restent inchangées.
 Swap with Clipboard :remplace le son de batterie cible par le contenu du Presse-papiers
et place l’ancien son dans le Presse-papiers. La permutation porte à la fois sur le son de
batterie et les données de séquence ; cette commande est donc particulièrement utile
pour réorganiser un kit de batterie.370 Chapitre 24 Ultrabeat
Faire glisser des instruments EXS dans la section d’assignation
Vous pouvez également faire glisser un instrument EXS directement dans la section
d’assignation pour importer la totalité de l’instrument. Cette méthode ne permet pas
de parcourir les sons inclus dans l’instrument EXS (si ce dernier comporte plus de
25 sons de matériel d’échantillon). Seules ces couches et zones d’échantillon seront
mises en correspondance dans la tessiture de son de batterie d’Ultrabeat, entre C1
et C3 (Do1 et Do3), le reste.
Le mixage
La section d’assignation comporte une table de mixage pour les 25 sons figurant dans
le kit de batterie Ultrabeat. Elle permet d’ajuster le volume et la balance de chaque son.
Elle comporte, en outre, les boutons Mute et Solo.
Volume
Le volume de chaque son est représenté par une barre bleue ; vous pouvez ainsi visualiser
un aperçu complet des divers niveaux au sein du kit. Vous avez la possibilité d’ajuster le
volume du son, selon le niveau de sortie global dans Ultrabeat, en faisant glisser la barre
bleue sous le nom du son. Le contrôle (de volume) principal figure au-dessus du 25e son
de batterie et permet de régler le niveau de tous les sons de batterie du kit : autrement dit,
il agit sur le niveau de mixage global de tous les sons de batterie.
Mute
Vous pouvez rendre muets certains des sons d’un kit de batterie en cliquant sur
le bouton Mute (M), situé à droite du nom du son en question.
Solo
Vous pouvez écouter certains sons séparément en cliquant sur le bouton Solo (S),
à côté du bouton Mute.
Pan
Le potentiomètre rotatif, à droite des boutons Mute et Solo, contrôle le positionnement
du signal dans le champ stéréo (Panorama).
Bouton Mute
Curseur de volume
Volume principal Potentiomètre Pan
Menu Output Selection
Bouton SoloChapitre 24 Ultrabeat 371
Sorties individuelles
Ultrabeat présente huit sorties stéréo et mono distinctes qui peuvent être insérées en
tant qu’instrument à sorties multiples. Dans ce cas, chaque son de batterie peut être
envoyé séparément vers une sortie particulière (ou des paires de sorties) en paramétrant
le menu de sélection de sortie, figurant à côté du potentiomètre Panorama. Les sons de
batterie acheminés vers une paire de sorties autre que la principale sont automatiquement supprimés des sorties principales. Le contrôle des paires de sorties autres que 1–2
s’effectue via des canaux auxiliaires.
Section Synthesizer
La section synthétiseur est au cœur d’Ultrabeat. Comme nous l’avons indiqué précé-
demment, chaque son de batterie dispose de sa propre section synthétiseur. Le nombre de paramètres de synthétiseur Ultrabeat présentés dans une seule fenêtre du
module est, certes, impressionnant ; toutefois, le cheminement du signal est assez
facile à comprendre.
Le cheminement du signal
Le moteur de synthèse d’Ultrabeat est basé sur les règles de la synthèse soustractive
classique.
Oscillateur 1
Oscillator 2
Noise Generator
Filtre
Bouton Signal flow Modulateur en anneau
Bouton Signal flow Bouton Signal flow372 Chapitre 24 Ultrabeat
Si vous observez la section synthétiseur de gauche à droite, vous reconnaîtrez la
structure traditionnelle et le cheminement du signal d’un synthétiseur soustractif.
Tout d’abord, le matériel sonore de base est créé par les oscillateurs et le générateur
de bruit. Un filtre permet ensuite de supprimer certaines fréquences du son brut, puis
une mise en forme du volume (avec des enveloppes) est effectuée. L’interface en trois
dimensions permet d’avoir une présentation claire des détails et de l’importance des
diverses fonctions Ultrabeat. Elle permet, en outre, d’identifier les différents niveaux,
du premier au dernier.
La section relative au filtre se situe au milieu. Il s’agit d’un gros dispositif de contrôle
rond. Son emplacement et sa représentation sont à la fois symboliques et pratiques.
La section de filtrage joue, en effet, un rôle central dans Ultrabeat.
Le filtre reçoit les signaux en provenance des sources sonores suivantes : oscillateur 1,
oscillateur 2, générateur de bruit et modulateur en anneau. Leurs sections de sortie
sont représentées par quatre dispositifs entourant le filtre (trois objets ronds et un
plus petit, rectangulaire et situé à droite du filtre, pour le modulateur en anneau).
En dessous, vous trouverez les éléments de contrôle de ces sources sonores.
Pour chaque dispositif, vous pouvez voir un petit bouton signalant le parcours du signal
et indiquant en rouge si les signaux doivent transiter par le filtre ou aller directement
à la section de sortie du synthétiseur. Dans le parcours de droite vers la sortie, le signal
transite par deux égaliseurs et une phase d’expansion stéréo ou de modulation du
panoramique.
Le signal de sortie du son de batterie passe ensuite par la table de mixage intégrée
à la section d’assignation (voir la section « Le mixage », à la page 370).
Paramètres communs aux oscillateurs 1 et 2
Pour utiliser l’oscillateur 1 (ou 2), vous devez d’abord l’activer. Pour ce faire, utilisez le
bouton On/Off situé complètement à gauche de la section Osc 1 ou Osc 2. Une fois
activé, le bouton devient rouge.
Remarque :lors de la programmation d’un son de batterie, vous pouvez activer ou
désactiver des sources sonores particulières à l’aide des boutons On/Off. Cela vous
permet, en outre, d’écouter certaines composantes sonores séparément et de les
supprimer, si nécessaire.Chapitre 24 Ultrabeat 373
Le volume de l’oscillateur 1 ou 2 est contrôlé via le potentiomètre Volume correspondant, situé complètement à droite. Le volume peut être modulé par les sources figurant dans les menus Mod et Via. Pour en savoir plus, consultez « Modulation » à la
page 390.
Les curseurs incurvés à gauche des potentiomètres Volume contrôlent la tonalité des
oscillateurs par demi-ton. En appuyant sur la touche Maj, vous pouvez ajuster la tonalité par centièmes.
La valeur de la tonalité apparaît à gauche du curseur. Pour la modifier, cliquez dessus,
puis, sans relâcher le bouton de la souris, déplacez la souris vers le haut.
La tonalité peut également être modulée par les sources figurant dans les menus Mod
et Via.
Vous trouverez un bouton permettant de contrôler le parcours du signal entre chaque
oscillateur et la section Filter (bouton de contournement du filtre). En cliquant sur
ce bouton une ou deux fois, vous pouvez diriger le signal de l’oscillateur vers le filtre
(le bouton de contournement devient rouge), ou l’envoyer directement vers la section
de l’égaliseur (le bouton reste grisé).
La direction de la flèche sur ce bouton de contournement du filtre illustre le parcours
du signal.
Remarque :le bouton de contournement détermine simplement le sens du signal.
Il n’agit pas sur le fonctionnement de l’oscillateur. Utilisez le bouton On/Off pour
activer ou désactiver l’oscillateur (comme expliqué précédemment).374 Chapitre 24 Ultrabeat
Propriétés propres à l’oscillateur 1
Cet oscillateur peut utiliser trois types de technologies de synthèse différentes :
modulation de phase, modulation de fréquence et chaîne latérale (entrée audio
externe). Pour utiliser l’une ou l’autre, il suffit de cliquer sur le bouton approprié
dans la partie supérieure de la section Osc 1.
Phase Oscillator
Une onde de modulation de phase onde peut être déformée en fonction des paramètres
relatifs à la pente (Slope), à la Saturation et à l’asymétrie (Asymmetry), et prendre la forme
de quasiment toute onde élémentaire de synthétiseur. Les effets de ces paramètres sont
illustrés par l’affichage de la forme d’onde dans la section de l’oscillateur. Si vous affectez
la valeur zéro à ces trois paramètres, une onde sinusoïdale sera représentée.
 Slope : cette valeur détermine la pente ou l’inclinaison de la forme d’onde. Plus elle
est élevée, plus la forme d’onde est inclinée. Le son prend alors un caractère d’autant
plus « nasal » que la pente est inclinée.
 Saturation : si les valeurs de la saturation augmentent, cela se traduit par un écrêtage
et la forme d’onde prend un aspect plus rectangulaire. Les harmoniques de rang
impair sont alors plus nombreuses.
 Asym (Asymétrie) :l’onde a une forme en dent de scie, le son étant alors plus agressif.
L’asymétrie peut être modulée par les sources figurant dans les menus Mod et Via.
Cela permet de créer des changements sonores plus dynamiques au niveau de
l’oscillateur. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Modulation » à la
page 390.
Remarque :les formes d’onde élémentaires des synthétiseurs analogiques classiques
peuvent être facilement reproduites grâce à la modulation de phase : les ondes sinusoïdales, rectangulaires ou en dents de scie résultent des différentes combinaisons de
valeurs affectées aux paramètres Slope, Saturation et Asym. Ainsi, si vous définissez
des valeurs de pente et de saturation maximales et une valeur d’asymétrie minimale,
vous obtenez une onde carrée classique. Si la pente est définie à –0,20, la saturation
au minimum et l’asymétrie au maximum, vous obtenez une onde en dents de scie. Chapitre 24 Ultrabeat 375
FM (Modulation de fréquence)
En mode FM, l’oscillateur 1 génère une onde sinusoïdale. Sa fréquence est modulée
par la forme d’onde de l’oscillateur 2. N’oubliez pas d’activer ce dernier au préalable.
Lors du processus FM, plus la forme d’onde de l’oscillateur 2 est complexe, plus le
nombre de partiels est important (en augmentant la valeur FM Amount). Vous pouvez
visualiser l’onde sinusoïdale à l’écran et observer son évolution vers une forme de plus
en plus complexe.
Le paramètre FM Amount peut être modulé par les sources figurant dans les menus
Mod et Via. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Modulation » à la
page 390.
Remarque :Phase Oscillator convient parfaitement aux simulations de formes d’ondes
analogiques et de sons de style analogique. Le mode FM, en revanche, offre des sonorités numériques de type sonnerie et des sons métalliques.
Side Chain
En mode Side Chain, Ultrabeat utilise l’entrée Side chain externe comme source de
l’oscillateur 1. Cela revient à dire que n’importe quel canal audio, auxiliaire ou d’entrée
live est envoyé aux filtres, aux enveloppes, au LFO et au séquenceur pas à pas d’Ultrabeat.
Une fois le mode Side Chain sélectionné pour l’oscillateur 1, vous devez sélectionner
le canal à utiliser en tant qu’entrée latérale. Comme pour tout autre module disposant
d’une entrée latérale, vous devez, pour ce faire, choisir le canal souhaité à partir du
menu Side Chain dans Ultrabeat.376 Chapitre 24 Ultrabeat
Le mode Side Chain vous offre un large éventail d’options de création avec Ultrabeat.
Vous pouvez utiliser une entrée audio pour l’oscillateur 1 et le moteur de synthèse pour
l’oscillateur 2 afin de créer un son de batterie en partie en audio direct et en partie synthé-
tisé. Les autres sons de batterie et le séquenceur Ultrabeat continuent de fonctionner
normalement, vous pouvez donc associer des programmations de batterie analogiques
à un traitement d’entrée latérale, par exemple, en définissant un groove programmé et
un son de batterie ajouté via le filtre d’une entrée audio externe.
Remarque :un signal d’entrée latérale, seul, ne suffit pas au déclenchement des traitements Ultrabeat. Pour entendre le signal d’entrée latérale audio, Ultrabeat doit être
déclenché via le clavier MIDI ou son séquenceur pas à pas intégré.
Propriétés propres à l’oscillateur 2
Cet oscillateur peut utiliser trois types de technologies de synthèse différentes :
modulation de phase, échantillonnage et modélisation. Pour utiliser l’une ou l’autre,
il suffit de cliquer sur le bouton approprié dans la partie inférieure de la section Osc 2.
Phase Oscillator
L’oscillateur de phase 2 fonctionne de façon presque identique à celui de l’oscillateur 1.
La différence réside dans le mode Phase Oscillator, où la saturation est modulable dans
l’oscillateur 2 plutôt que l’asymétrie dans l’oscillateur 1. En d’autres termes, quand les deux
oscillateurs sont en mode Phase Oscillator, ils peuvent alors produire des sons différents.
Pour en savoir davantage sur le mode Phase Oscillator, consultez le paragraphe intitulé
« Phase Oscillator » dans la rubrique « Propriétés propres à l’oscillateur 1 ».
Sample
En mode Sample, l’oscillateur 2 utilise un fichier audio en tant que source sonore.
En cliquant sur la flèche située dans la partie gauche de l’affichage de la forme d’onde,
un menu s’ouvre. Il permet de charger et de décharger des échantillons ou d’afficher
l’échantillon chargé dans le Finder.
La flèche Reverse permet de changer la direction de lecture de l’échantillon
(avant/arrière).Chapitre 24 Ultrabeat 377
Les deux curseurs horizontaux Min/Max (Velocity) déterminent le point de départ de
l’échantillon, selon la dynamique du jeu. Le curseur Min identifie le point de départ de
l’échantillon au niveau de vélocité minimal (vélocité = 1), le curseur Max, au niveau
maximal (vélocité = 127). Si les curseurs Min et Max ont la même valeur, le point de
départ de l’échantillon est un paramètre statique.
Les échantillons Ultrabeat fournis ainsi que les sons importés depuis des instruments EXS
sont généralement constitués de plusieurs couches sélectionnées par le paramètre de
vélocité, selon la dynamique du jeu. La couche d’échantillon particulière à laquelle les
valeurs de vélocité entrées permettent d’accéder est déterminée par le petit curseur
Vel Layer situé à droite. Ce curseur indique la couche déclenchée au niveau minimal
(vélocité = 1). L’autre petit curseur, à gauche cette fois, signale la couche utilisée au
niveau maximum (vélocité = 127). Si vous n’avez chargé qu’un échantillon contenant
une seule couche, les réglages du curseur Vel Layer n’ont aucun effet.
Pour charger un fichier audio :
1 Cliquez sur la flèche située dans la partie supérieure de l’affichage de la forme d’onde,
puis choisissez Load Sample depuis le menu local.
2 Dans la fenêtre Load Sample, localisez et sélectionnez le fichier audio souhaité.
Une sélection d’échantillons de sons de percussions ou de batterie multicouches spécifiquement créés pour Ultrabeat est fournie. Vous pouvez, par ailleurs, charger vos propres échantillons dans un format stéréo entrelacé (AIFF, WAV, CAF ou SDII). Cependant,
sachez que la fonction relative aux couches de vélocité n’est pas disponible pour ce
type d’échantillons.378 Chapitre 24 Ultrabeat
Le bouton Play de la fenêtre Load Sample vous permet d’obtenir un aperçu des fichiers
audio (AIFF, WAV, SD2, CAF, UBS) avant leur chargement.
 Appuyez sur le bouton Play pour lire en boucle le fichier échantillon actuellement
sélectionné. L’échantillon est lu directement à partir du disque dur, sans autre opération nécessaire : les filtres, égaliseurs, enveloppes et autres paramètres de synthétiseur sont ignorés.
 La lecture s’interrompt si vous cliquez de nouveau sur le bouton.
Vous pouvez écouter plusieurs fichiers à la suite en cliquant une fois sur Play, puis en
passant d’un fichier à l’autre.
Remarque :dans le cas de fichiers USB multicouches, l’échantillon est lu avec une
vélocité fixe de 75 %. L’écoute indépendante de toutes les couches n’est pas possible.
Seule la couche concernée par cette valeur Velocity est lue.
La fonction Preview Sample dans l’option Ultrabeat Voice remplace temporairement les
fichiers échantillons dans le son de batterie actuellement sélectionné. Le son de batterie
n’est pas directement déclenché lorsque vous activez cette option. En revanche, il peut
toujours être activé via les notes MIDI (notes jouées, événements de la région MIDI ou
événement du séquenceur Ultrabeat) tandis que la fenêtre Load Sample est ouverte et
que des fichiers différents y sont sélectionnés. L’échantillon sélectionné peut être écouté
au sein du son de batterie actif, en prenant en compte l’ensemble des traitements du
synthétiseur. Une fois que vous avez choisi l’échantillon à inclure, cliquez sur Open pour
le charger. Cliquez sur Cancel pour revenir à l’échantillon précédemment chargé.
Important :les effets ajoutés via le canal d’instrument Ultrabeat affectent les aperçus.
Si vous enregistrez un kit de batterie à l’aide du menu Settings, l’emplacement de
l’échantillon est stocké dans le paramètre. Ultrabeat n’enregistre pas les fichiers audio
à proprement parler —il garde seulement la référence de leur emplacement. Si vous
chargez un réglage qui comporte une référence à un échantillon qui a été déplacé ou
supprimé, Ultrabeat affiche une zone de dialogue dans laquelle il vous demande de le
localiser. Pour éviter cela, il est fortement recommandé d’utiliser un dossier d’échantillons
Ultrabeat dédié.
Model
Ce type d’oscillateur propose le modèle physique d’un instrument à cordes pour créer
des sons percussifs. Les paramètres dont vous disposez correspondent aux propriétés
physiques d’une vraie corde.Chapitre 24 Ultrabeat 379
Deux exciteurs distincts, chacun avec des caractéristiques sonores bien particulières,
sont disponibles. Vous pouvez passer de l’un à l’autre en utilisant leurs boutons respectifs (Type 1 et Type 2).
Remarque :dans le modèle pour l’oscillateur 2 Ultrabeat, un exciteur est un agent ou
un dispositif de déclenchement utilisé pour initier la vibration d’une corde. Il ne faut
pas le confondre avec le module à effets du même nom.
Dans le graphique Material Pad, vous pouvez définir les paramètres de corde Inner Loss
et Stiffness. Ils déterminent les caractéristiques matérielles du modèle physique.
Inner Loss définit l’amortissement de la corde. Ce phénomène dépend, dans la réalité,
de la matière qui constitue la corde (acier, verre, nylon ou bois). L’amortissement touche
principalement les hautes fréquences et produit un son plus étouffé et plus doux lors de
la phase de chute (decay).
Le paramètre Stiffness agit sur la rigidité de la corde. Encore une fois, ce phénomène
dépend, dans la réalité, de la matière qui constitue les cordes, mais aussi de leur diamètre
(ou, plus précisément : de la vitesse de vibration ou de réponse suite à leur pincement,
par exemple). Des cordes rigides créent des vibrations inharmoniques ; en effet, elles ne
représentent pas des multiples de nombres entiers dans la fréquence fondamentale.
Elles sont, en fait, légèrement plus aiguës. Des valeurs élevées de rigidité (raideur) transforment, au final, la corde en tige métallique.
L’axe des abscisses du graphique Material Pad représente les valeurs possibles du paramètre Stiffness, l’axe des ordonnées, les valeurs d’Inner Loss. Pour ajuster ces paramètres
de manière graphique, cliquez sur le losange et, tout en maintenant le bouton de la
souris enfoncé, déplacez-le à l’endroit souhaité.
Remarque :si vous souhaitez rétablir les valeurs par défaut des paramètres, cliquez sur
le losange tout en maintenant la touche Option enfoncée.
À droite du graphique Material Pad, vous pouvez voir le paramètre Resolution. Contrairement aux autres paramètres gérant l’oscillateur Model, la résolution ne reproduit pas
une propriété réelle et prédéfinie du modèle physique. En revanche, elle influe sur
le processus de modélisation même : des valeurs élevées améliorent la résolution
au niveau des calculs, augmentant ainsi le nombre d’harmoniques. Des valeurs plus
faibles réduisent la précision des calculs. Par conséquent, le nombre d’harmoniques
diminue et, en général, le spectre évolue vers davantage d’inharmoniques.380 Chapitre 24 Ultrabeat
Ring Modulator
Le modulateur en anneau fonctionne comme sa propre source sonore ; son signal
peut transiter à travers le filtre ou non, indépendamment des oscillateurs 1 et 2.
Il est, en outre, possible de régler son volume. Les deux oscillateurs doivent être
activés pour que le modulateur soit utilisable.
Le son issu du modulateur en anneau dépend fortement des deux oscillateurs.
En effet, il module les signaux de sortie de chacun des oscillateurs. La modification
des paramètres, et en particulier, la relation avec le réglage de chaque oscillateur,
a un impact direct sur le son issu du modulateur en anneau. En revanche, le volume
de chacun des oscillateurs n’influence pas le traitement au niveau de la modulation
en anneau.
Le modulateur en anneau ne dispose pas d’un bouton On/Off comme les oscillateurs.
Il est activé en cliquant directement sur l’étiquette Ring Model elle-même. Une fois
activé, son nom s’affiche rouge. Lorsqu’il est éteint, son nom est grisé.
Remarque :le modulateur en anneau a besoin des signaux des deux oscillateurs
pour produire le son de sortie. Si l’un d’eux est éteint, le modulateur reste silencieux.
Si vous souhaitez écouter le signal du modulateur séparément (pour un meilleur
réglage), baissez temporairement le volume des oscillateurs à 0.
Le curseur permet d’ajuster le volume de la sortie au niveau du modulateur en anneau.
Il peut être modulé par les sources figurant dans les menus Mod et Via. Pour plus
d’informations, reportez-vous à la rubrique « Modulation » à la page 390.
Entre le modulateur en anneau et la section de filtrage, vous trouverez un bouton
permettant de contrôler le parcours du signal (bouton Filter Bypass). En cliquant
dessus une ou deux fois, vous pouvez diriger le signal vers le filtre (le bouton devient
rouge), ou l’envoyer directement vers la section EQ de l’égaliseur (le bouton reste
grisé). La direction de la flèche sur ce bouton de contournement du filtre illustre
le parcours du signal.
Remarque :le bouton Filter Bypass détermine simplement le sens du signal. Il n’agit pas
sur le fonctionnement du modulateur. Cliquez sur le champ Ring Mod pour l’activer ou
le désactiver (voir détails ci-dessus).Chapitre 24 Ultrabeat 381
Noise Generator
Le quatrième moteur de synthèse est le générateur de bruit.
Par bruit, on désigne (au sens technique) l’ensemble des fréquences sonores ;
c’est pourquoi, il nous est impossible d’identifier, à l’oreille, une tonalité particulière
dans un signal de bruit. Toutefois (ou plutôt, en conséquence), le bruit est essentiel
pour créer des sons de batterie. C’est pourquoi, le générateur de bruit d’Ultrabeat
fournit de nombreuses fonctionnalités.
Pour utiliser Noise Generator, vous devez d’abord l’activer. Pour ce faire, cliquez su
r le bouton On/Off. Une fois activé, le bouton devient rouge.
Le volume du générateur de bruit est contrôlé via le potentiomètre Volume. Il peut
être modulé par les sources figurant dans les menus Mod et Via. Pour en savoir plus,
consultez la rubrique « Modulation » à la page 390
Le générateur de bruit dispose de son propre filtre, indépendant du filtre multimode
Ultrabeat. Les quatre boutons LP, HP, BP et Byp permettent de passer d’un mode de
filtrage à un autre (passe-bas, passe-haut ou passe-bande) ou de le désactiver
(Contournement).
Les noms des types de filtrage indiquent leur rôle : le filtre passe-bas (LP) autorise
les fréquences inférieures à la fréquence de coupure (voir détails ci-après). Ce type de
filtrage atténue les fréquences supérieures, le son étant alors moins aigu et moins clair.
Le filtre passe-haut (HP) produit exactement l’effet inverse. Il filtre les fréquences infé-
rieures, sans affecter les fréquences supérieures.382 Chapitre 24 Ultrabeat
Le filtre passe-bande (BP) n’autorise qu’une certaine fourchette de fréquences (une bande
de fréquences) définie par rapport à la fréquence de coupure. Ce filtre peut être utilisé à la
fois dans la partie supérieure et la partie inférieure du spectre de fréquences afin de diminuer les aigus et les graves pour un même son.
Le potentiomètre Cut détermine la valeur de la fréquence de coupure. Il définit le point
dans le spectre de fréquences à partir duquel le filtre s’applique. Selon le type de filtrage
choisi, vous pouvez rendre le son plus sombre (LP), plus fin (HP) ou plus nasal (BP) en
modifiant la valeur Cut.
La coupure (Cutoff) peut être modulée par les sources figurant dans les menus Mod et
Via. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Modulation » à la page 390.
L’augmentation de la résonance accentue les fréquences proches de la fréquence de
coupure. La fourchette de résonance s’étend de 0 (aucune accentuation) jusqu’aux plus
hautes valeurs permettant l’auto-oscillation du filtre.
Remarque :l’auto-oscillation est typique des circuits de filtrage analogiques. Elle se
produit avec des valeurs de résonance élevées, lorsque le filtre fonctionne en boucle
fermée et commence à osciller à sa fréquence naturelle.
Dirt est un paramètre conçu spécifiquement pour Noise Generator. À mesure que vous
tournez le potentiomètre de poussière, le son blanc et pur de départ évolue vers
davantage de granulosité.
Remarque :les effets du paramètre Dirt sont d’autant plus marqués que les valeurs de
résonance sont élevées.
Entre le générateur de bruit et la section de filtrage, vous trouverez un bouton permettant
de contrôler le parcours du signal (bouton Filter Bypass). En cliquant dessus une ou deux
fois, vous pouvez diriger le signal vers le filtre (le bouton devient rouge), ou l’envoyer directement vers la section EQ de l’égaliseur (le bouton reste grisé). La direction de la flèche sur
ce bouton de contournement du filtre illustre le parcours du signal.
Remarque :le bouton Filter Bypass détermine simplement le sens du signal. Il n’agit
pas sur le fonctionnement du générateur. Il faut utiliser le bouton On/Off pour activer
ou désactiver le générateur (voir ci-dessus).
Le bouton Filter Bypass ne concerne pas le filtre intégré au générateur de bruit.
Ce dernier est désactivé en cliquant sur le bouton Byp dans la section de filtrage
du générateur de bruit.
Il est donc possible de filtrer le signal du générateur de bruit deux fois. Toutefois dans
la majorité des cas, il vaut probablement mieux éviter que le signal du générateur de
bruit passe par le filtre principal pour ne pas surcharger le filtre (composant essentiel
pour la programmation des sons de batterie).Chapitre 24 Ultrabeat 383
La section Filter
Les signaux de sortie des deux oscillateurs, du modulateur en anneau et du générateur
de bruit passent par la section de filtrage centrale d’Ultrabeat (sauf s’ils la contournent
via les boutons de contournement du filtre). La section de filtrage offre un filtre multimode et une unité de distorsion.
L’ordre de passage des sons dans le filtre et l’unité Distortion est contrôlé par la flèche
située au centre de la section Filter. En cliquant dessus, vous pouvez en changer le sens
et l’ordre de passage : flèche vers le haut (distorsion, puis filtre) et flèche vers le bas
(filtre, puis distorsion).
Remarque :la suite de ce document donne une description des paramètres de filtrage
d’Ultrabeat et des concepts fondamentaux relatifs à la synthèse soustractive et aux filtres
analogiques. Si vous n’êtes pas familier avec les synthétiseurs, reportez-vous à la section
« Notions élémentaires sur les synthétiseurs » à la page 437 pour plus d’informations.
Filtre multimode
En cliquant sur Filter dans la partie supérieure de la section centrale, vous activez ou
désactivez le filtre multimode. S’il est désactivé (c’est-à-dire, s’il apparaît en grisé et
non en rouge, comme lorsqu’il est activé), aucun signal issu du moteur de synthèse
n’est traité par le filtre. Dans ce cas, les signaux sont directement transmis à l’unité
de distorsion.
Le filtre multimode présente plusieurs types de filtrage : passe-bas (LP), passe-haut
(HP), passe-bande (BP) et rejet de bande (BR).
Filtre multimode
Unité Distortion384 Chapitre 24 Ultrabeat
Vous pouvez passer d’un type de filtrage à un autre en cliquant sur les boutons correspondants (situés directement sous le mot Filter).
Les noms des types de filtrage indiquent leur rôle : un filtre passe-bas (LP) autorise
les fréquences inférieures à la fréquence de coupure. Il supprime (coupe) les aigus,
rendant le son plus sombre et moins clair.
Le filtre passe-haut (HP) autorise les fréquences supérieures à la fréquence de coupure.
Les graves sont coupés.
Le filtre de passe-bande (BP) autorise une fourchette de fréquences supérieures et
inférieures à la fréquence de coupure. Les autres fréquences (inférieures et supérieures
mais non comprises dans la bande) sont éliminées. Le son obtenu contient alors essentiellement des fréquences moyennes.
L’abréviation BR correspond au filtre de rejet de bande. Ce mode de filtrage permet
d’éliminer la zone (la bande de fréquences, pour être exact) autour de la fréquence de
coupure et de garder uniquement les autres fréquences, plus éloignées (de la fréquence
de coupure). Les fréquences moyennes sont ainsi atténuées tandis que les hautes et
basses fréquences restent inchangées.
Sous les boutons de type de filtre se trouvent deux autres boutons portant la mention
12 et 24. Ceux-ci vous permettent de sélectionner la pente d’un filtre. Chaque type de
filtre Ultrabeat propose, en effet, une pente de 12 ou de 24 dB/octave.
Remarque :les filtres ne suppriment pas totalement les parties du signal à éliminer et
s’appliquent toujours avec une précision limitée sur la bande sélectionnée. L’inclinaison
ou la pente est mesurée en décibels par octave (dB/oct). Les fréquences à proximité de
la fréquence de coupure sont généralement moins atténuées que celles plus éloignées.
Plus la valeur de la pente augmente, plus la différence de niveau entre les fréquences
devient frappante entre les fréquences proches de la coupure et celles plus distantes.
Le potentiomètre Cut indique la fréquence de coupure du filtre.
Remarque :en jouant sur la valeur de la fréquence de coupure, vous pouvez rendre
un son plus sombre (LP), plus fin (HP), plus nasal (BP) ou plus transparent (BR), selon le
type de filtre choisi.
La coupure (Cutoff) peut être modulée par les sources figurant dans les menus Mod et
Via. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Modulation » à la page 390. Chapitre 24 Ultrabeat 385
L’augmentation de la résonance accentue les fréquences proches de la fréquence de
coupure. La fourchette de résonance s’étend de 0 (aucune accentuation) jusqu’aux plus
hautes valeurs permettant l’auto-oscillation du filtre. La résonance peut, en outre, être
modulée par les sources figurant dans les menus Mod et Via.
Remarque :l’auto-oscillation est typique des circuits de filtrage analogiques. Elle se
produit avec des valeurs de résonance élevées, lorsque le filtre fonctionne en boucle
fermée et commence à osciller à sa fréquence naturelle.
Distortion Unit
La flèche située au centre de la section de filtrage détermine l’ordre de traitement :
les signaux transitent par l’unité de distorsion (Distortion Unit) avant ou après leur
passage dans le filtre multimode. Un effet de grésillement (Bitcrusher) ou de distorsion
est alors créé.
L’effet souhaité est activé en cliquant sur le bouton Crushou Distort. L’effet activé figure
en rouge. Si aucun bouton n’apparaît en rouge, cela signifie que l’unité de distorsion
n’est pas du tout utilisée.
L’effet de distorsion est modélisé à partir d’une unité de distorsion analogique, qui fonctionne par augmentation du niveau du signal jusqu’à écrêtage. L’effet de grésillement
est réalisé de manière numérique : en réduisant volontairement la résolution numérique
du son (mesurée en bits), on obtient une coloration numérique intentionnelle du son.
Ces deux effets conduisent à des distorsions dont la tonalité diffère autant que les deux
approches utilisées. La distorsion offre un caractère plus analogique tandis que le
Bitcrusher ne peut dissimuler ses origines numériques (il aurait du mal à les cacher !).
Ces deux effets sont contrôlés à l’aide des trois mêmes potentiomètres :
 Drive :si vous augmentez la valeur de ce paramètre, le degré de distorsion augmente.
 Color : détermine le son de base de la distorsion. Des valeurs élevées permettent
d’obtenir un son plus clair, tandis que des valeurs plus faibles donnent une sonorité
plus sombre et plus chaude.
 Level/Clip : en mode Distortion, cette valeur (Niveau) correspond au volume de la
sortie. En mode Bitcrusher, ce potentiomètre détermine le niveau initial requis pour
la distorsion (Clip).386 Chapitre 24 Ultrabeat
Section Output
Selon la position des différents boutons de contournement du filtre, les signaux de
sortie des deux oscillateurs, du modulateur en anneau et du générateur de bruit vont
directement vers la section de sortie d’Ultrabeat ou transitent par la section de filtrage.
La section de sortie envoie les signaux dans deux égaliseurs (EQ) et dans la section pan
modulation/stereo spread (selon un ordre défini préalablement) avant la définition du
niveau final. Le comportement de déclenchement (des signaux) est alors ajusté.
Égaliseur deux bandes
Les deux bandes de l’égaliseur ont des caractéristiques quasiment identiques.
Leur configuration est expliquée en combinant leurs paramètres, mais vous pouvez,
bien évidemment, ajuster la bande 1 (l’égaliseur du haut dans la section Output)
et la bande 2 séparément.
Pour activer ou désactiver un égaliseur (EQ), il suffit de cliquer respectivement sur
la bande 1 ou la bande 2. Si la bande est active, son nom figure en rouge. Si aucun
égaliseur n’est activé, le signal ne subit aucun traitement à ce stade.
Il est possible de passer d’un type d’égaliseur à un autre en utilisant les boutons
suivants : shelving et peak.
En mode shelving, toutes les fréquences supérieures ou inférieures à la fréquence
définie sont accentuées ou atténuées. En mode peak, seules les fréquences proches
de la fréquence définie sont traitées.
Parmi les deux boutons d’égaliseur, celui du haut active le mode shelving. Le bouton
du bas active le mode peak.
La bande 1 propose un shelving bas et la bande 2, un shelving haut. Le shelving bas
n’affecte que les fréquences inférieures à la fréquence définie. Le shelving haut ne traite
que les fréquences supérieures à celle définie.Chapitre 24 Ultrabeat 387
Remarque :le shelving de l’égaliseur a un fonctionnement semblable aux filtres passebas et passe-haut du synthétiseur. La principale différence est la suivante : alors que les
filtres passe-bas et passe-haut permettent uniquement d’atténuer certaines fréquences,
le plateau permet également leur accentuation.
Le potentiomètre Gain de l’égaliseur est bipolaire. Les valeurs positives amplifient
une certaine fourchette de fréquences (identifiée par le type EQ et les réglages Hz).
À l’inverse, les valeurs négatives ont un effet d’atténuation. Si le potentiomètre Gain
est réglé sur 0, l’égaliseur n’a aucun effet (position neutre).
Remarque :pour revenir à cette position neutre, vous pouvez cliquer dessus en maintenant la touche Option enfoncée. Vous pouvez également cliquer sur le petit 0 audessus du potentiomètre Gain.
La fréquence est définie en cliquant sur le paramètre Hz et en le faisant glisser vers le
haut, jusqu’à la valeur souhaitée. Cela détermine la fourchette de fréquences à accentuer ou à atténuer.
Remarque :si vous cliquez sur le paramètre Hz tout en appuyant sur la touche Option,
le paramètre Hz revient à une position neutre. Cette position correspond à 200 Hz pour
la première bande et 2 000 Hz, pour la seconde. Le choix de ces fréquences par défaut
a été effectué en fonction des différentes caractéristiques de shelving pour chaque
bande de fréquences. La bande 1 est conçue pour filtrer les basses fréquences et la
bande 2, les hautes.
Le facteur Q est géré en cliquant sur le paramètre correspondant, puis en le faisant
glisser vers le haut, jusqu’à la valeur souhaitée. L’effet de ce facteur sur le son dépend
largement du choix du type d’égaliseur :
 Avec les filtres shelving, si la valeur Q augmente, la zone autour de la fréquence-seuil
devient plus accentuée.
 Avec l’égaliseur peak, la valeur Q détermine la largeur de la bande de fréquences
à traiter : les valeurs basses sélectionnent une bande large et les valeurs élevées,
une bande étroite, à amplifier ou à atténuer avec le contrôle Gain.
Modification graphique des bandes de l’égaliseur
Chaque bande dispose de sa propre représentation graphique signalant les modifications sur la courbe de réponse en fréquence. Cette représentation permet d’accéder
directement aux paramètres Gain, Hz et Q. Cliquez simplement sur la courbe à l’aide de
la souris, puis modifiez-la en la déplaçant verticalement ou horizontalement. Les déplacements horizontaux modifient la fréquence de l’égaliseur, et les verticaux, le gain.
Le sommet de la courbe (point le plus élevé) présente une poignée permettant de
modifier le facteur Q en fonction de son déplacement vertical. 388 Chapitre 24 Ultrabeat
Pan Modulation et Stereo Spread
Le signal de sortie de l’égaliseur transite par la section Pan Modulation/Stereo Spread.
Dans cette section, le positionnement du son dans le champ stéréo (défini dans la table
de mixage de la section d’assignation) peut être modulé (mode Pan Modulation). Il est
également possible d’élargir la base stéréo du son (mode Stereo Spread). Activez le
mode souhaité en cliquant sur le bouton approprié (Pan Mod ou Spread).
Si aucun de ces modes n’est activé, le signal ne subit aucun traitement à ce stade.
Pan Modulation
La modulation de balance (Pan modulation) modifie la position du panorama du son
de batterie en fonction d’une source Mod ou Via. La modulation définie ici est relative
à la position du panorama indiquée dans la table de mixage Ultrabeat.
La position du panorama dans la table de mixage est représentée dans cette
section par une fine ligne rouge. À gauche et à droite de la ligne, de petits curseurs
(et les menus associés) permettent d’ajuster les processus de modulation Mod et Via.
Remarque :dans cette section, vous ne pouvez pas cliquer sur la ligne rouge et la
déplacer ainsi directement. Pour ce faire, vous devez tourner le potentiomètre Pan
dans la section de la table de mixage.
Bouton Pan Mod
Bouton SpreadChapitre 24 Ultrabeat 389
Diffusion stéréo
La diffusion stéréo élargit l’image stéréo, augmentant ainsi la sensation d’espace.
Le paramètre pour les fréquences graves applique l’effet de diffusion aux basses
fréquences : plus la valeur est élevée, plus l’effet est marqué. Le paramètre pour les
fréquences aiguës permet, quant à lui, d’appliquer l’effet aux hautes fréquences.
Voice Volume
Ce potentiomètre rotatif permet de régler le volume de sortie des différents sons de
batterie. Pour être plus exact, vous contrôlez le volume voix avec Env 4. Vous ajustez
ainsi le volume maximal atteint après la phase d’attaque d’Env 4.
L’effet de l’enveloppe sur le volume voix peut, en outre, être modulé par la source Via.
Remarque :l’étape de réglage pour le volume voix est antérieure à celle des curseurs
de mixage. Vous pouvez ainsi commencer à ajuster le volume de chaque son de batterie,
un par un, indépendamment de leurs niveaux relatifs dans le mixage du kit de batterie.
Menus Trigger et Group
Le mode de traitement dans Ultrabeat d’une succession de notes entrantes est défini
pour chaque son individuellement. Les paramètres correspondants se trouvent dans
la section Output, sous le potentiomètre Voice Volume.
Pour ouvrir le menu Trigger, cliquez sur le bouton figurant sous ce nom de menu.
Choisissez ensuite entre les modes Single et Multi trigger.
 Single : le déclenchement (trigger) d’une nouvelle note coupe la (même) note
actuellement jouée.
 Multi : lorsqu’une nouvelle note est jouée, les notes précédentes (actuellement
jouées) poursuivent leur chute selon les réglages de leur enveloppe d’amplitude
respective (Env 4).390 Chapitre 24 Ultrabeat
Pour ouvrir le menu Group, cliquez sur le bouton figurant sous ce nom de menu.
Choisissez ensuite de désactiver la fonction associée ou sélectionnez un groupe de
1 à 8. Si deux sons différents sont affectés au même groupe, ils se coupent mutuellement.
En général, cette fonction est utilisée pour la programmation de sons charlestons :
lorsque vous jouez un vrai charleston, la note charleston de fermeture coupe net le
charleston ouvert. Cette fonction est souvent désignée par « hi-hat group ».
Remarque :en mode Single Trigger, seule la note (du même son) sonnant actuellement
est coupée. En revanche, si le son est affecté à un groupe, il coupe tous les autres sons
du groupe (quelle que soit la note).
Pour activer ou désactiver la fonction Gate, cliquez sur le bouton du même nom. Si elle
est active, le son est coupé dès que la note MIDI n’est plus enfoncée (relâchement de la
note MIDI), indépendamment des réglages de l’enveloppe.
Remarque :la fonction Gate permet d’empêcher qu’un son donné continue d’être joué
au-delà d’un événement de relâchement de note, comme défini dans le séquenceur.
Le paramètre Gate Length du séquenceur pas à pas d’Ultrabeat permet d’indiquer la
définition rythmique correspondant à la durée exacte du relâchement de la note.
Le séquenceur Logic Express vous permet de quantifier les événements de relâchement
de note et de les modifier manuellement avec précision. La longueur des notes peut
être un élément créatif important lors de la programmation des pistes rythmiques.
Modulation
De nombreux paramètres de son peuvent être contrôlés dynamiquement (modulés)
dans Ultrabeat. Ultrabeat fournit deux puissants oscillateurs basse fréquence (LFO),
quatre générateurs d’enveloppe, un contrôleur de vélocité et quatre contrôleurs MIDI
librement définissables en tant que sources de modulation. Le réglage des processus
de modulation suit un principe universel (présenté dans la suite de ce chapitre).
Principle des processus de modulation
Les processus de modulation Ultrabeat reposent sur trois composantes clés :
 le paramètre du synthétiseur à moduler (la cible de modulation),
 la source de la modulation (la source de modulation),
 une autre source de modulation affectant l’intensité de la première modulation
(appelée modulation Via).
Modulations Mod et Via
Avec le paramètre Mod, vous pouvez moduler un paramètre de son à l’aide d’une
valeur ajustable (nommée profondeur de modulation). Les sources de modulation
disponibles sont les suivantes : deux LFO, quatre générateurs d’enveloppe et Max.Chapitre 24 Ultrabeat 391
Via permet de préciser davantage l’effet de modulation. En d’autres termes, la profondeur de la première modulation (Mod) peut être modulée par une source distincte et
autonome. L’intensité de l’effet est indiquée à l’aide du paramètre Via. Les sources des
modulations Via comprennent le contrôleur de vélocité et quatre contrôleurs MIDI
pouvant être définis librement.
Généralement, la fonction Via permet d’augmenter la vitesse de balayage de la tonalité si
la vélocité du jeu est élevée, par exemple. Pour ce faire, une enveloppe (Env) est choisie
comme source Mod pour la tonalité de l’oscillateur utilisé et la vélocité (Vel) sert de source
Via. Plus la touche est enfoncée fermement, plus le son généré est élevé (en termes de
hauteur tonale) : c’est typique, notamment, des sons de toms synthétisés.
Fonctions de modulation particulières
La conception des options de modulation Mod et Via est très innovante, si on compare
Ultrabeat aux autres synthétiseurs, plus traditionnels. En effet, dans les options Mod et
Via d’Ultrabeat, l’utilisateur indique une valeur cible à atteindre par la modulation des
paramètres cible respectifs. Il ne définit pas la modulation ou l’intensité de l’effet par
un pourcentage. Le résultat de ce processus de modulation (l’effet minimal et maximal
à appliquer sur le paramètre à moduler) peut donc être défini simplement et visualisé
rapidement ; l’utilisation de modulations primaires et secondaires devient alors une
opération tout à fait intuitive.
Voici un exemple permettant de mieux en comprendre le fonctionnement :
La valeur moyenne (par défaut) du paramètre Cut (Coupure) est 0,50. Ce paramètre
n’est pas encore modulé car aucune source de modulation n’a été sélectionnée,
que ce soit dans le menu rouge, Mod, ou le menu bleu, Via, (actuellement sur Off).392 Chapitre 24 Ultrabeat
Dès qu’une source de modulation est sélectionnée dans le menu Mod (Env 1, par
exemple), l’anneau autour du potentiomètre rotatif devient actif. À l’aide de la souris,
vous pouvez utiliser cet anneau pour définir la valeur cible du paramètre devant être
amplifié par la source Mod (0,70 par exemple).
Dès qu’une source de modulation est sélectionnée dans le menu Via (Vel, par exemple),
un curseur apparaît sur l’anneau Mod. Vous pouvez le déplacer à l’aide de la souris afin
de définir la valeur de modulation maximale à atteindre avec la source Via (0,90 par
exemple).
Les réglages sont à présent terminés. Que signifient les repères figurant autour du
potentiomètre Cut ? Que se passe-t-il au niveau du son ?
Les contrôles Mod et Via indiquent les valeurs minimale et maximale que le paramètre
modulé peut atteindre (par rapport à sa valeur moyenne) ; autrement dit, le résultat de
la modulation. Ces contrôles n’indiquent pas un pourcentage d’intensité, comme c’est
généralement le cas sur les autres synthétiseurs, mais énoncent clairement : « les valeurs
minimale et maximale possibles pour le paramètre modulé ».
Revenons à notre exemple ; la valeur moyenne de 0,50 est affectée à la fréquence
du filtre. Lorsque la source Mod Env 1 est utilisée, le générateur d’enveloppe Env 1
augmente la valeur Cut de 0,50 à 0,70 (lors de la phase Attack) et la redescend à 0,50
(lors de la phase Decay).
Remarque :les valeurs exactes figurent dans les info-bulles qui s’affichent lorsque
vous cliquez sur la poignée propre à chacun des paramètres.Chapitre 24 Ultrabeat 393
Si la source Via Ctrl A est également utilisée, les interactions suivantes se produisent :
si la valeur minimale de Ctrl A est utilisée, aucun changement ne se produit (pour le
moment) ; la coupure (Cutoff) est toujours modulée entre 0,50 et 0,70 par l’enveloppe.
En revanche, la valeur maximale de Ctrl A conduit le générateur d’enveloppe à faire
varier le paramètre entre 0,50 (la valeur moyenne) et 0,90 (l’amplitude Via).
Vous pouvez, en un coup d’œil, estimer le degré d’influence maximal des sources de
modulation Mod et Via sur les paramètres élémentaires : la zone située entre les points
Mod et Via montre jusqu’où la profondeur de modulation peut être (encore plus) affectée par la source de modulation Via. Dans notre exemple, la coupure peut atteindre les
valeurs comprises entre 0,70 et 0,90, selon la valeur transmise par Ctrl A.
Voici un autre exemple :
La coupure est de nouveau définie à 0,50, mais Env 1 descend désormais la valeur
à 0,25 et une valeur maximale Ctrl A réduit la fréquence de coupure à 0.
L’exemple suivant illustre la facilité d’utilisation et la rapidité des options de modulation
Ultrabeat :
Dans cet exemple, vous ne changez pas simplement l’intensité de la modulation appliquée par Env 1 (qui affecte la coupure) selon la dynamique de votre jeu (Vel), vous allez
également contrôler sa direction. Essayez d’effectuer ces réglages dans Ultrabeat afin
de créer des sons particulièrement intéressants.394 Chapitre 24 Ultrabeat
Configuration du processus de modulation
En cliquant sur Mod, vous ouvrez le menu du même nom. Vous pouvez alors sélectionner
l’un des oscillateurs basse fréquence (LFO) ou des générateurs d’enveloppe (Env) comme
source de modulation.
Le paramètre Off désactive le processus de modulation ; il n’est alors plus possible
d’utiliser l’anneau Mod. Dans un tel cas de figure, aucune modulation Via ne peut être
effectuée (en effet, il n’existe aucune cible de modulation Via). En outre, le curseur Via
est masqué.
Remarque :le réglage Max conduit à une modulation statique, au plus haut niveau.
Dans ce cas, le paramètre Via est affecté directement à la cible de modulation. La vélocité peut alors être utilisée comme source de modulation directe, même si elle n’est pas
disponible en tant que source dans le menu Mod.
Un autre exemple de réglage consiste à définir une unité de contrôle MIDI externe avec
Ctrl A, B, C ou D (voir ci-après). Vous pouvez alors utiliser l’élément Max dans le menu
Mod pour affecter la source Via (Ctrl A, B, C ou D) au paramètre que vous souhaitez
contrôler à l’aide de l’un des curseurs de votre console de contrôle MIDI.
Cliquez sur Via pour ouvrir le menu du même nom. Dans ce menu, vous pouvez choisir
Vel ou les paramètres Ctrl A à Ctrl D.
Vel représente la vélocité.
Ctrl A à Ctrl D représentent les quatre contrôleurs continus pouvant être affectés aux
quatre contrôleurs MIDI externes. Cette correspondance est effectuée dans la zone
d’assignation de contrôleur MIDI, située dans la partie supérieure droite de la fenêtre
Ultrabeat (voir ci-dessous). Les correspondances définies s’appliquent à l’ensemble
des sons dans l’instance de module Ultrabeat active.Chapitre 24 Ultrabeat 395
Contrôleurs MIDI A–D
Dans la zone d’assignation de contrôleur MIDI (dans la partie supérieure de la fenêtre
Ultrabeat), vous pouvez attribuer un contrôleur MIDI standard à chacun des quatre
logements de contrôleur : Ctrl A, B, C ou D. Ctrl A, B, C et D peuvent servir de source
de modulation Via dans Ultrabeat.
Utilisez ces correspondances pour configurer votre matériel de contrôleur MIDI externe
afin qu’il fonctionne avec Ultrabeat, Exemples : pour utiliser l’aftertouch ou la mollette
de modulation de votre clavier MIDI.
Remarque :chaque menu d’assignation de contrôleur MIDI comporte une option Learn.
Si vous la sélectionnez, le paramètre actif est automatiquement attribué au premier
message de données MIDI entrant approprié. Le mode d’apprentissage présente une
fonction de délai de 20 secondes : si Ultrabeat ne reçoit pas un message MIDI dans les
20 secondes suivantes, le paramètre est de nouveau attribué au contrôleur MIDI initial.
LFO 1/2
Parmi les sources de modulation possibles, deux LFO sont disponibles dans le menu Mod
Le terme LFO est utilisé pour l’oscillateur basse fréquence. Le signal LFO est utilisé
comme source de modulation. Avec un synthétiseur analogique, la fréquence LFO
se situe généralement entre 0,1 et 20 Hz (au-delà du spectre de fréquences audibles).
Remarque :la fréquence du LFO Ultrabeat peut atteindre 100 Hz. Une telle fréquence offre
un grand nombre de possibilités, en comparaison avec les synthétiseurs analogiques.
Ultrabeat présente deux LFO dotés d’un ensemble de fonctions identiques. Leurs paramètres sont décrits de manière indissociée ; toutefois, vous pouvez, bien évidemment,
régler LFO 1 et LFO 2 de manière totalement indépendante.
Les boutons indiquant 1 et 2 permettent de sélectionner le LFO correspondant ;
vous pouvez ensuite régler les paramètres du LFO sélectionné. Le bouton bleu On/Off
permet d’activer ou de désactiver le LFO sélectionné.396 Chapitre 24 Ultrabeat
La section LFO affiche la forme d’onde de l’oscillateur. Elle est gérée à l’aide du curseur
Shape, situé directement en dessous. En le déplaçant vers la gauche ou la droite, vous
pouvez faire évoluer progressivement la forme d’onde vers une courbe sinusoïdale,
un triangle et, enfin, un carré (avec une largeur d’impulsion variable), ce qui comprend
également l’ensemble des variations intermédiaires. Si le curseur est placé complètement
à droite, le LFO génère des formes d’onde aléatoires.
La vitesse du LFO (Rate) peut être définie de manière indépendante (bouton Free) ou
synchronisée (bouton Sync) par rapport au tempo du morceau Logic Express. En cliquant
une fois sur l’un de ces deux boutons, vous activez le mode correspondant.
Le potentiomètre Rate permet de fixer la vitesse du LFO. Selon le réglage Free/Sync,
elle s’affiche en Hz, ou en unités musicales (de mesure).
Avec le potentiomètre Ramp, vous déterminez si un fondu en entrée ou en sortie est
utilisé pour le signal de sortie du LFO. Ce potentiomètre est bipolaire : si vous le tournez
vers la droite, vous augmentez la durée de l’attaque, vers la gauche, vous diminuez le
temps de chute (decay). En position médiane, il n’a aucun effet sur le LFO. La valeur
Ramp est indiquée en millisecondes dans le champ correspondant au paramètre.
Normalement, un LFO oscille en permanence. Cependant, pour les signaux percussifs,
il peut être intéressant de limiter les cycles du LFO à un nombre déterminé. Ultrabeat
vous permet d’indiquer le nombre de cycles LFO dans le paramètre Cycles. Une fois ce
nombre défini atteint, le LFO cesse d’osciller. Essayez avec des valeurs de cycle faibles
et utilisez le volume de l’oscillateur pour créer des effets de claquements de mains et
de roulement typiques.
La plage de valeurs de Cycle s’étend de 1 à 100. Tourner le potentiomètre jusqu’à sa valeur
maximale (complètement à droite) entraîne une oscillation permanente (c’est-à-dire un
nombre de cycles infini). Une valeur de cycle de 1 permet au LFO de fonctionner comme
un générateur d’enveloppe supplémentaire (mais simple).
Le paramètre Cycle peut également déterminer si le LFO (forme d’onde) commence en
partant du point initial (zéro) à chaque déclenchement de note, ou s’il continue simplement d’osciller. La valeur de cycle Inf (Infini) force le LFO à osciller librement. Il n’est pas
réinitialisé à chaque message de note MIDI entrante. Lorsque des valeurs inférieures à
100 sont affectées au Cycle, le LFO est réinitialisé à chaque nouveau message de note
MIDI entrante (réinitialisation à chaque nouvelle note).
Le choix de déclencher un cycle LFO à partir du même point ou de laisser le LFO osciller
librement, indépendamment de la phase n’est qu’une question de goût. La partie
aléatoire dans la libre oscillation des LFO peut alourdir de nombreux sons. Toutefois,
cela peut nuire à l’attaque des sons percussifs ; ce qui est souvent indésirable dans
le cadre d’un synthétiseur de batterie.Chapitre 24 Ultrabeat 397
Remarque :vous pouvez, bien sûr, tirer avantages des légères déviations de la phase
LFO (avec la valeur Cycle définie sur Infini), en ajoutant un caractère analogique au son
de batterie, par exemple.
Env 1 à 4
Parmi les autres sources de modulation dont vous disposez dans le menu Mod, il existe
quatre générateurs d’enveloppe dotés de spécifications identiques. Les paramètres
d’enveloppe sont décrits dans cette rubrique.
Remarque :outre ses relations potentielles avec les menus Mod des différents paramè-
tres de son, Env 4 dispose d’une connexion permanente avec Voice Volume. Autrement
dit, Ultrabeat dispose d’un générateur d’enveloppe de volume bien connecté.
Structure des générateurs d’enveloppe
Le réglage par défaut des générateurs d’enveloppe est appelé mode Envelope à déclenchement unique : lorsqu’on appuie sur une touche (message à chaque note), les enveloppes
suivent leur cours, quelle que soit la durée pendant laquelle la touche est maintenue
enfoncée. Ce réglage convient parfaitement aux signaux percussifs car il permet d’émuler
simplement le comportement des sons de percussion naturels. Dans des cas particuliers,
par exemple, pour des sons de cymbales soutenus, vous pouvez activer le mode Sustain.
Les enveloppes suivent alors la durée des notes jouées.
Modification graphique des enveloppes
Avant d’aborder chacun des paramètres, prenez le temps de vous familiariser avec
la représentation graphique d’une enveloppe, illustrée ci-dessous.
L’écran relatif aux enveloppes d’Ultrabeat fournit un nouveau mode de conception
d’enveloppes, incluant des courbes de Bézier dans lesquelles deux segments, l’attaque
et la chute (decay), constituent l’enveloppe.
Dans la représentation d’une enveloppe, vous pouvez distinguer plusieurs points de
jonction de deux tailles différentes. Les deux poignées les plus larges sur l’axe des
abscisses (l’axe horizontal ou l’axe du temps) contrôlent les temps d’attaque et de
chute (decay), respectivement. Une ligne verticale part de la première des deux
poignées et divise l’enveloppe en phase d’attaque et de chute. Les deux segments
contiennent chacun deux points de jonction de courbe. Vous pouvez les déplacer
dans n’importe quelle direction afin de déformer le contour de l’enveloppe et définir
librement son amplitude.398 Chapitre 24 Ultrabeat
Pour déplacer les points de jonction de courbe, cliquez simplement dessus et faites
les glisser jusqu’à l’emplacement souhaité. Essayez de déplacer les différents points
de jonction. Vous réaliserez rapidement que leur manipulation est très intuitive.
Vous pouvez, en outre, cliquer directement sur un angle de la courbe et le faire glisser
en maintenant le bouton de la souris enfoncé.
Paramètres d’enveloppe
Pour modifier les paramètres d’une enveloppe, sélectionnez tout d’abord l’enveloppe
en cliquant sur le bouton approprié parmi les quatre disponibles. Les paramètres de
l’enveloppe sélectionnée peuvent à présent être directement modifiés dans la fenêtre
d’affichage des enveloppes.
Attack Time
Attack time définit le temps que met l’enveloppe à atteindre sa valeur maximale.
Cette durée est calculée à partir du moment où vous appuyez sur une touche
(nouvelle note). Elle correspond à la phase d’attaque.
À l’aide de la souris, cliquez sur le point de jonction de l’attaque (la poignée la plus
à gauche parmi celles situées sur l’axe des abscisses), puis déplacez-le pour raccourcir
ou prolonger la durée de l’attaque.
Remarque :pour modifier la forme de l’enveloppe lors de la phase d’attaque, vous
pouvez déplacer les deux points de jonction figurant dans ce segment. Vous pouvez
également cliquer sur la courbe et la modifier.
Decay Time
La durée de chute détermine le temps que met l’enveloppe à redescendre vers une
amplitude zéro, après avoir atteint sa valeur maximale (définie dans la phase d’attaque).
Si vous déplacez le second point de jonction le long de l’axe des abscisses, vous raccourcissez ou prolongez la phase de chute.
Remarque :pour modifier la forme de l’enveloppe lors de la phase de chute, vous pouvez
déplacer les deux points de jonction figurant dans ce segment. Vous pouvez également
cliquer sur la courbe et la modifier.
Modulation d’enveloppe
La durée et la forme des enveloppes peuvent être modulées par la vélocité. En cliquant
sur le champ situé sous les boutons 1 à 4, vous ouvrez le menu Mod Env. Choisissez
Time ou Shape de la phase (A)ttack ou (D)ecay comme cible de modulation.
L’intensité de la modulation est réglée à l’aide du curseur mod, sous l’affichage de
l’enveloppe.
Remarque :lorsque vous modulez le paramètre Shape, de faibles valeurs de vélocité
font « fléchir » la forme de l’enveloppe, tandis que des valeurs élevées font « saillir »
le segment d’enveloppe sélectionné.Chapitre 24 Ultrabeat 399
Remarque :lorsque vous modulez la durée, l’augmentation des valeurs de vélocité
conduit au raccourcissement de la longueur du segment considéré. Des valeurs de
vélocité faibles, à l’inverse, augmentent la longueur du segment.
Sustain
Si vous activez le bouton Sustain, une poignée rouge (et une ligne verticale) apparaît
sur l’axe des abscisses. Vous pouvez déplacer la poignée horizontalement, mais uniquement au sein de la zone du segment de chute. L’amplitude atteinte par l’enveloppe au
niveau du point de jonction Sustain est prolongée jusqu’à ce que la note MIDI soit relâ-
chée. Une fois la commande de relâchement de la note MIDI reçue, l’enveloppe poursuit son évolution pendant la durée de chute restante.
Remarque :si le bouton Sustain n’est pas activé, l’enveloppe utilise le mode
« déclenchement unique », et la longueur de la note (commande de relâchement MIDI)
n’est pas prise en compte.
Zoom ( to fit)
En cliquant sur le bouton Zoom, vous augmentez la taille de l’enveloppe pour qu’elle
remplisse la totalité de la largeur de l’affichage. Il vous est ainsi plus facile d’ajuster les
points de jonction et les courbes. Après la modification des valeurs Attack et Decay, le
nouveau graphique s’affiche rapidement.
Remarque :lorsque la fonction Zoom est sélectionnée, le point de jonction de chute
peut être déplacé complètement à droite de la zone d’affichage, afin d’augmenter le
délai de chute. Lorsque vous relâchez le bouton de la souris, le graphique de l’enveloppe est automatiquement redimensionné en fonction de la zone d’affichage.
Zoom A/D
Le bouton Zoom A permet de montrer uniquement la phase d’attaque sur la totalité
de la zone d’affichage et le bouton Zoom D, uniquement la phase de chute (Decay).
Vous pouvez ainsi modifier les formes d’enveloppe (shape) plus facilement et plus
précisément (jusqu’à des valeurs en millisecondes).400 Chapitre 24 Ultrabeat
Affichage de la cible de modulation des LFO et des enveloppes
L’interface d’Ultrabeat comporte une fonction qui accélère la recherche des cibles de
modulation des LFO et des enveloppes : appuyez simplement sur le champ numérique de
la source de modulation souhaitée afin de sélectionner toutes ses cibles de modulation.
Le séquenceur pas à pas
Le séquenceur pas à pas intégré permet de combiner tous les sons Ultrabeat en
séquences, selon des patterns. Sa conception et son utilisation (entrée de programmation pas à pas) sont basées sur ces prédécesseurs analogiques. Cependant, contrairement à eux, vous pouvez également y programmer des changements automatiques
pour quasiment la totalité des paramètres du synthétiseur.
Selon vos goûts personnels et votre style de musique préféré, vous souhaiterez, pour la
programmation de rythmes, contrôler Ultrabeat via le séquenceur pas à pas intégré ou
à partir de Logic Express. Il est également possible de combiner les deux séquenceurs.
En effet, ils peuvent être activés en même temps. Dans ce cas, ils se synchronisent automatiquement. Le tempo Logic Express détermine alors le tempo du séquenceur pas à
pas interne d’Ultrabeat.
Si vous ne connaissez pas le concept de « séquencement pas à pas », voici une brève
présentation de l’avènement du séquenceur. Cela vous aidera à comprendre la conception du séquenceur pas à pas Ultrabeat.
Le principe du séquenceur pas à pas
Le principe de base au cœur des séquenceurs pas à pas analogiques était de configurer
une progression de tensions de contrôle et de les « sortir » pas à pas. Au départ, trois
tensions de contrôle étaient généralement créées par pas, permettant ainsi de gérer
différents paramètres. En général, elles concernaient le contrôle de la tonalité (pitch),
de l’amplitude et du timbre (cutoff) du son pour chaque pas.
Cible de modulation
sélectionnée pour
l’enveloppe 1
Cliquez ici pour sélectionner toutes les
cibles de modulation de l’enveloppe 1.Chapitre 24 Ultrabeat 401
La surface de contrôle des séquenceurs analogiques présentait souvent trois rangées
de potentiomètres (ou boutons) les unes au-dessus (ou à côté) des autres ; chaque
rangée comprenait 16 pas. Chaque rangée avait, en outre, sa propre sortie de tension
de contrôle et le paramètre ainsi contrôlé était déterminé par la sortie de contrôle
(du synthétiseur) à laquelle il était relié. Une impulsion de déclenchement (trigger)
définissait le tempo des pas. Un défilement à LED (succession de diodes électroluminescentes) indiquait le pas joué. Ce principe permettait de créer un style de musique
électronique dont l’attrait résidait dans l’effet hypnotisant de la répétition des patterns.
Le concept de programmation à défilement à LED a, par la suite, été utilisé dans
les boîtes à rythmes. Les plus connues de ces boîtes à rythmes étaient les Roland
de la série TR, très répandues à l’époque.
L’introduction de la norme MIDI et l’utilisation croissante des ordinateurs personnels
pour faire de la musique ont conduit à un rapide déclin du séquenceur pas à pas et des
technologies associées. Le concept de programmation pas à pas semblait alors désuet
tandis que le principe de pattern était en vogue.
Toutefois, les séquenceurs pas à pas n’ont pas totalement disparu. Les Groove Box
autonomes ont même connu un net regain de popularité ces dernières années. Grâce
à leur maniement intuitif, ce sont désormais des outils de programmation rythmique
extrêmement précieux.
Ultrabeat propose un séquenceur pas à pas intégré totalement innovant, qui conjugue
les avantages de ces prédécesseurs analogiques au présent. Il forme avec Logic Express
un « duo dynamique » et porte la programmation rythmique à un niveau jamais atteint.
Séquencement pas à pas avec Ultrabeat
Le séquenceur pas à pas Ultrabeat comporte 24 séquences, chacune incluant 32 pas.
Le séquenceur est divisé en trois sections.
 Paramètres globaux : ces paramètres contrôlent de manière globale les patterns
et les sons, quelles que soient leurs caractéristiques individuelles.
 Paramètres de Pattern : contrôlent le pattern actuellement sélectionné.
Paramètres de Pattern Grille des pas
Paramètres globaux Paramètres de Pattern402 Chapitre 24 Ultrabeat
 Step Grid : c’est ici que s’effectue le séquencement à proprement parler. Un pattern
de 32 pas est indiqué pour chaque son. La grille de pattern du son actuellement
sélectionné dans la section d’attribution s’affiche. Vous pouvez ajouter des éléments
dans la grille, ou en supprimer, en cliquant simplement sur l’emplacement du pas
concerné. Les valeurs des paramètres de chaque pas sont modifiées en cliquant
dessus et en les déplaçant à l’aide de la souris.
Paramètres globaux
Les paramètres s’appliquant de manière globale à tous les patterns sont décrits ci-après.
Bouton On/Off
Ce bouton permet d’activer ou de désactiver le séquenceur pas à pas.
Bouton Edit Mode
Bouton permettant de passer du mode Voice au mode Step, et vice versa.
 Mode Voice (par défaut) :dans ce mode, la modification des paramètres d’un son
de batterie définit les paramètres du son de batterie lui-même.
 Mode Step : vous permet d’automatiser un paramètre de son d’un pas vers le suivant.
Les valeurs sont décalées, et non définies : l’ensemble de vos réglages de son de
batterie initiaux restent intacts. Les modifications effectuées dans le cadre de l’automatisation pas à pas n’affectent les paramètres que lorsque le séquenceur est activé.
Ces changements au niveau des paramètres se produisent individuellement, par pas.
Cela signifie que si le séquenceur est désactivé, vous entendez toujours le son initial.
Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Mode Step » à la page 409.
Bouton Transport
Le bouton Transport lance et arrête le pattern du séquenceur. Vous pouvez ainsi analyser
le motif du séquenceur pas à pas alors que Logic Express est arrêté, par exemple.
Le séquenceur pas à pas est toujours synchronisé sur le tempo Logic Express.
Remarque :si le bouton Transport est bleu, le séquenceur considère les notes MIDI
entrantes (situées entre C1 et B0 soit Do1 et Si0) comme des informations d’interprétation. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Utilisation de MIDI pour contrôler le
séquenceur », à partir de la page 413.
Swing
Ce potentiomètre rotatif détermine globalement l’intensité du swing pour tous les sons
dont la fonction Swing est activée (voir « Activation du paramètre Swing » à la
page 404). Chapitre 24 Ultrabeat 403
La fonction Swing modifie la distance entre les notes : celles se trouvant sur des pas
impairs restent inchangées, tandis que celles se trouvant sur des pas pairs subissent un
léger décalage. La fonction Swing n’est pas activée si son réglage est sur 0, c’est-à-dire
si le potentiomètre est complètement à gauche. Si vous le tournez vers la droite, les
notes affectées sont décalées vers la note suivante.
Remarque :la fonction de Swing n’est active que pour des résolutions de grille
de 1/8 et 1/16.
Paramètres de Pattern
Un pattern contient un nombre maximum de 32 pas et inclut l’ensemble des événements
de chacun des 25 sons. Tout en bas de la fenêtre Ultrabeat, vous pouvez sélectionner un
des 24 patterns et définir les paramètres de chacun pour la totalité des sons.
Menu Pattern
Il vous permet de choisir un pattern parmi les 24 disponibles.
Paramètre Length
Ce paramètre définit la durée d’un pattern. La longueur de la grille peut être ajustée en
déplaçant la valeur du paramètre Length ou la barre située sous les boutons Swing.
Resolution
Ce paramètre détermine la résolution du pattern. Il définit l’unité métrique utilisée pour
une mesure représentée par des pas distincts.
Par exemple : si la résolution est de 1/8, chaque pas de la grille représente une croche.
Si la durée du pattern est de 32 pas, le pattern s’exécute sur 4 mesures (32 ÷ 8).
Le paramètre Resolution s’applique à la totalité de la grille, et donc, à tous les sons de
la même manière.
Remarque :si vous utilisez conjointement les paramètres Length et Resolution, vous
pouvez créer différents types de mesures. Voici quelques exemples : les valeurs Length
= 14 et Resolution = 1/16 donnent une mesure à 7/8, Length = 12 et Resolution = 1/16,
une mesure à 3/4, et Durée = 20 et Résolution = 1/16, une mesure à 5/4.404 Chapitre 24 Ultrabeat
Accent
Des pas particuliers peuvent être fortement appuyés ou accentués.
Pour activer la fonction Accent, cliquez sur le voyant bleu à droite du curseur du même
nom. Le curseur détermine le volume global des accentuations programmées.
Si vous voulez programmer une accentuation pour un pas donné, cliquez sur le voyant
bleu situé au-dessus du pas en question. Ce pas sera alors joué plus fort.
Remarque :pour chaque son de batterie, vous pouvez activer ou désactiver le réglage
de l’accentuation. Vous pouvez ainsi, activer l’accentuation des cymbales, mais désactiver
celle de la grosse caisse.
Activation du paramètre Swing
Si vous activez le bouton Swing bleu sous le bouton Accent, la grille du son actuellement
sélectionné est jouée conformément au réglage du potentiomètre Swing.
Seuls les pas pairs sont affectés par le paramètre Swing ; pour savoir exactement
à quels temps ils correspondent, il faut prendre en compte le réglage du paramètre
Resolution, comme expliqué dans l’exemple suivant.
Avec une résolution de 1/8 et une durée de 8, les notes des pas 1, 3, 5 et 7 représentent
des noires sur la mesure. Elles ne sont pas affectées par ces modifications. Seules les
croches intermédiaires (pas 2, 4 et ainsi de suite) sont décalées par la fonction Swing.
L’ampleur du décalage est fonction de l’intensité du swing (voir la rubrique « Swing » à
la page 402).
Remarque :la fonction Swing n’est active que sur des résolutions de grille de 1/8
(croche) et 1/16 (double croche).Chapitre 24 Ultrabeat 405
Grille des pas
Dans la grille des pas, le pattern est représenté par plusieurs rangées et pas. Les rangées
correspondent toujours au son actuellement sélectionné dans la zone d’assignation.
Si vous choisissez un autre son, l’affichage du séquenceur change afin de représenter
les rangées du nouveau son sélectionné.
La zone de la grille des pas contient deux rangées, comprenant chacune 32 champs.
 Rangée Trigger : en cliquant sur l’un des boutons de cette rangée vous activez
ou désactivez le son pour le battement correspondant.
 Rangée Velocity/Gate : ici, vous définissez la longueur (gate time) et la vélocité des
notes entrées dans la rangée trigger. Ces deux paramètres sont représentés sous
la forme d’une barre graphique unique. La hauteur de la barre indique la vélocité et
sa longueur, la durée de la note.
Rangée Trigger
Dans cette rangée, constituée des boutons 1 à 32, les événements de déclenchement
sont placés sur les pas correspondants. En d’autres termes, c’est ici que vous indiquez
quand (sur quel battement) le son sélectionné doit être joué.
En cliquant sur l’un de ces 32 boutons, vous activez ou désactivez le son pour
le battement correspondant. Dans l’exemple précédent, les pas concernés étaient
les pas 1, 4, 8, 9 et 14.
Remarque :en faisant glisser le curseur de la souris sur les boutons, vous pouvez rapidement activer ou désactiver les déclencheurs correspondants.
Menu xontextuel Trigger
Cliquez en maintenant la touche Ctrl enfoncée (ou cliquez avec le bouton droit
de la souris) sur l’un des boutons de déclenchement pour ouvrir le menu Trigger.
Ce menu propose les commandes suivantes :
 Copy :copie l’ensemble des déclencheurs activés dans le Presse-papiers.
 Paste :colle l’ensemble des déclencheurs à partir du Presse-papiers.
 Clear :désactive l’ensemble des déclencheurs activés.
Rangée Trigger
Rangée Velocity/Gate406 Chapitre 24 Ultrabeat
 Add Every Downbeat :ajoute des déclencheurs pour chaque temps frappé (downbeat),
jusqu’à ce que la séquence soit complète. La définition exacte des pas à frapper
dépend de la résolution de la grille. Par exemple, si la résolution est de 1/16, Add Every
Downbeat crée un déclencheur à chaque quatrième pas. Si le premier temps frappé
est joué sur le pas 1, des événements de déclencheur sont alors définis pour les pas 5,
9, 13 et ainsi de suite. Cette commande n’affecte pas les événements de déclencheur
déjà existants, elle ne fait qu’en ajouter.
 Add Every Upbeat : ajoute des déclencheurs pour chaque temps levé (upbeat),
jusqu’à ce que la séquence soit complète. La définition exacte des pas à lever
dépend de la résolution de la grille. Par exemple, si la résolution est de 1/16, « Add
Every Upbeat » crée un déclencheur à chaque quatrième pas. Si le premier temps
levé est joué sur le pas 3, des événements de déclencheur sont alors définis pour
les pas 7, 11, 15 et ainsi de suite. Cette commande n’affecte pas les événements de
déclencheur déjà existants, elle ne fait qu’en ajouter.
 Alter Existing Randomly : réorganise les pas du séquenceur de façon aléatoire,
en gardant les mêmes numéros de déclencheurs activés.
 Reverse Existing :inverse l’ordre des pas actuels du séquenceur.
 Shift Left by 1 Step :décale les données du séquenceur un pas vers la gauche.
 Shift Left by 1 Beat : décale les données du séquenceur d’un battement vers la gauche.
Le nombre exact de pas inclus dans un battement dépend de la résolution actuelle de
la grille. Par exemple, avec une résolution de 1/16, un battement équivaut à quatre
pas ; avec une résolution de 1/8, un battement équivaut à deux pas et ainsi de suite.
 Shift Left by 1/2 Beat : décale les données du séquenceur d’un demi battement vers la
droite. Le nombre exact de pas inclus dans un demi battement dépend de la résolution actuelle de la grille. Par exemple, avec une résolution de 1/16, un battement
équivaut à quatre pas, et donc un demi battement, à deux pas ; avec une résolution
de 1/8, un battement équivaut à deux pas, et donc un demi, à un pas, etc.
 Shift Right by 1 Step : décale les données du séquenceur d’un pas vers la droite.
 Shift Right by 1 Beat : décale les données du séquenceur d’un battement vers la droite.
Le nombre exact de pas inclus dans un battement dépend de la résolution actuelle de
la grille. Par exemple, avec une résolution de 1/16, un battement équivaut à quatre
pas ; avec une résolution de 1/8, un battement équivaut à deux pas et ainsi de suite.
 Shift Right by 1/2 Beat : décale les données du séquenceur d’un demi battement vers
la droite. Le nombre exact de pas inclus dans un demi battement dépend de la résolution actuelle de la grille. Par exemple, avec une résolution de 1/16, un battement
équivaut à quatre pas, et donc un demi battement, à deux pas ; avec une résolution
de 1/8, un battement équivaut à deux pas, et donc un demi, à un pas, etc.
 Create & Replace Randomly : efface puis crée aléatoirement de nouveaux déclencheurs
de séquence ; autrement dit, une toute nouvelle séquence est créée. Le nombre de
créations dépend de la résolution de la grille.Chapitre 24 Ultrabeat 407
 Create & Replace Few : semblable à « Create & Replace Randomly », toutefois, seulement
quelques événements de déclencheur sont créés. Le nombre de créations dépend de
la résolution de la grille.
 Create & Replace Some : semblable à « Create & Replace Randomly », toutefois, le
nombre d’événements de déclencheur créés est inférieur. Le nombre de créations
dépend de la résolution de la grille.
 Create & Replace Many : semblable à « Create & Replace Randomly », toutefois, le
nombre d’événements de déclencheur créés est supérieur, augmentant le nombre
d’événements dans le séquenceur.
Ragée Velocity/Gate
Dans cette rangée, vous définissez la longueur (gate time) et la vélocité des notes
entrées dans la rangée de déclencheurs. Ces deux paramètres sont représentés sous
la forme d’une barre graphique unique. La hauteur de la barre indique la vélocité et
sa longueur, la durée de la note.
En cliquant sur la barre appropriée et en la faisant glisser, vous pouvez modifier les
valeurs de vélocité et de longueur de chaque pas.
La durée de gate est divisée en quatre parties égales. Il est ainsi plus facile de définir
la durée rythmique précise des notes. Pour que l’enveloppe à déclenchement unique
fonctionne avec le gate time, il faut activer la fonction Gate au niveau du son lui-même
(voir la rubrique « Menus Trigger et Group » à la page 389) ou utiliser les enveloppes en
mode Sustain (voir la rubrique « Sustain » à la page 399), en association avec des
durées de chute (decay time) rythmiquement utiles (courtes).
Reset
Le bouton Reset, situé à gauche de la rangée Velocity/Gate, rétablit les valeurs par
défaut des paramètres Velocity/Gate (valeur de vélocité par défaut : 75 pour cent ;
valeur de porte par défaut : les quatre sections sont actives).
Menu contextuel Velocity/Gate
Cliquez en maintenant la touche Ctrl enfoncée (ou cliquez avec le bouton droit de
la souris) sur des pas dans la rangée velocity/gate pour accéder au menu contextuel
proposant les commandes suivantes :
 Alter Vel(ocities) : modifie aléatoirement les valeurs de vélocité de l’ensemble des
pas, en gardant les mêmes battements sélectionnés (la rangée de déclencheurs
reste inchangée).408 Chapitre 24 Ultrabeat
 Alter Gate (Time) : modifie aléatoirement la longueur des notes de l’ensemble des
pas, en gardant les mêmes battements sélectionnés (la rangée de déclencheurs reste
inchangée).
 Randomize Vel(ocities) : identique à Alter Velocities, toutefois, le critère aléatoire
est renforcé.
 Randomize Gate (Time) : identique à Alter Gate, toutefois, le critère aléatoire
est renforcé.
Affichage de la grille des pas en plein écran
Si vous cliquez sur le bouton Full View dans la partie inférieure droite d’Ultrabeat,
les contrôles du synthétiseur apparaissent dans une grande grille contenant les boutons
de déclenchement. Cette grille affiche les 32 boutons de déclenchement pour chacun des
25 sons de batterie simultanément, indépendamment du son actuellement sélectionné.
Le son sélectionné est toujours visible dans le séquenceur pas à pas. Vous pouvez donc
définir les paramètres velocity et gate time pour chaque pas ainsi que des décalages en
mode Pas à pas. La voie du séquenceur pour le son de batterie sélectionné est repré-
sentée à la fois dans la grille en plein écran et dans la voie du séquenceur. La grille et
la voie du séquenceur sont toutes deux activées pour le son de batterie sélectionné.
Vous pouvez donc, par exemple, créer rapidement des événements de déclencheur
dans la grille, puis définir des accentuations dans la voie du séquenceur.Chapitre 24 Ultrabeat 409
Mode Step
L’activation du bouton Edit Mode en mode Step lance la fonction d’automatisation pas
à pas Ultrabeat. Elle permet de programmer des modifications de paramètre par pas,
pour chaque son de batterie. Vous pouvez automatiser tous les paramètres disponibles
dans la fonction d’automatisation que vous souhaitez.
Les paramètres de son qui peuvent être modifiés par pas incluent l’ensemble des
fonctions de la section synthétiseur, hormis les menus (processus de modulation, etc.),
les boutons (boutons de type d’oscillateur, boutons de la section trigger/group) et les
paramètres Pan/Spread.
Tous les paramètres que vous automatisez s’affichent dans un menu local, au-dessus
de la rangée Parameter offset (voir la rubrique « Rangée Parameter offset » ci-après).
Lorsque vous lancez le mode Step, l’affichage de l’interface Ultrabeat est le suivant :
 Des cadres jaunes entourent tous les paramètres de la section synthétiseur disponibles
pour l’automatisation. Les autres paramètres sont toujours visibles, mais désactivés.
 La rangée Velocity/Gate dans la grille des pas affiche désormais la rangée
Parameter offset.
Menu Offset Rangée Parameter Offset410 Chapitre 24 Ultrabeat
Rangée Parameter offset
Dans cette rangée, vous pouvez voir et saisir des valeurs de décalage par pas pour
chaque paramètre de la section synthétiseur encadré en jaune. La modification des paramètres eux-mêmes est faite, comme avant, à l’aide des contrôles figurant dans la section
synthétiseur. En outre, vous pouvez modifier les valeurs de décalage directement dans la
rangée offset.
Remarque :ces valeurs affectent uniquement le paramètre actuel. En d’autres termes,
une valeur saisie dans la rangée offset est soit ajoutée à la valeur définie dans la section
synthétiseur (si la valeur de décalage est positive) soit soustraite (si elle est négative).
Saisie de valeurs de décalage
En cliquant sur la rangée Parameter offset, vous sélectionnez le pas pour lequel vous
souhaitez saisir une valeur. Toutes les modifications effectuées ensuite sur les paramètres
du synthétiseur sont enregistrées comme valeurs de décalage pour ce pas dans la rangée
Parameter offset. Pour une présentation plus claire, les décalages des paramètres de la
section synthétiseur sont indiqués par une fourchette de valeurs apparaissant en jaune.
Pour saisir un décalage pour un nouveau paramètre, cliquez sur le paramètre (encadré
en jaune) souhaité et faites-le glisser.
Une fois le décalage créé, il est représenté de deux manières. Tout d’abord, une ligne jaune
est ajoutée, allant du paramètre d’origine vers le nouveau. Dans la rangée Parameter offset,
le décalage du paramètre d’origine est indiqué par une ligne jaune, partant du point zéro et
augmentant progressivement vers des valeurs de décalage positives ou descendant vers
des valeurs négatives.Chapitre 24 Ultrabeat 411
Menu Parameter de la rangée Parameter Offset
Tous les paramètres modifiés en mode Step sont automatiquement ajoutés au menu
Parameter de la rangée Parameter offset. Vous pouvez également sélectionner d’autres
paramètres dans ce menu et ainsi afficher les enregistrements de leurs valeurs de
décalage :
Vous pouvez modifier ces valeurs de deux manières :
 En utilisant simplement la souris, vous pouvez modifier ou ajouter des valeurs
de décalage.
 En cliquant sur un pas donné dans la rangée Parameter offset et en cliquant sur le
contrôle correspondant dans la section synthétiseur et en le déplaçant, vous pouvez
modifier la valeur de décalage du paramètre affiché.
Remarque :si vous déplacez un élément de contrôle de la section synthétiseur alors
que sa valeur n’a pas encore été modifiée en mode Step, une entrée supplémentaire
est ajoutée dans le menu de décalage.
Boutons de la rangée Parameter offset
La rangée Parameter offset possède trois boutons : Mute, Solo et Reset.
Les fonctions de ces boutons sont les suivantes :
 Mute : rend silencieux les décalages du paramètre sélectionné.
 Solo : permet d’écouter les décalages séparément pour le paramètre sélectionné.
 Reset : affecte la valeur zéro à tous les décalages du paramètre sélectionné (aucun
décalage). Si vous cliquez de nouveau sur ce bouton, le paramètre est supprimé du
menu Parameter.
Passage du mode Step au mode Voice
Lors de la création de décalages en mode Step, il est possible que vous décidiez de
faire une modification rapide sur le son de batterie initial. Pour une simple modification,
il est inutile de basculer d’un mode à l’autre ; en effet, vous pouvez appuyer sur Option
et Commande pour accéder temporairement au mode Voice dans Ultrabeat.412 Chapitre 24 Ultrabeat
Copie et réorganisation des patterns
Vous pouvez réorganiser les 24 patterns d’un son dans le menu Pattern, par des
opérations de copier-coller.
Pour copier un pattern à l’aide d’un menu contextuel :
1 Sélectionnez un pattern dans le menu Pattern.
2 Cliquez en maintenant la touche Ctrl enfoncée (ou cliquez avec le bouton droit
de la souris) sur le menu Pattern, puis choisissez Copy dans le menu contextuel.
3 Choisissez le pattern cible dans le menu Pattern.
4 Cliquez en maintenant la touche Ctrl enfoncée sur le menu Pattern, puis choisissez
Paste dans le menu contextuel.
Vous pouvez également utiliser des raccourcis clavier pour copier des patterns.
Pour copier un pattern en utilisant un raccourci clavier :
1 Sélectionnez le pattern souhaité dans le menu Pattern.
2 Appuyez sur Option, ouvrez le menu Pattern et sélectionnez un autre pattern Ultrabeat.
Le pattern cible est alors remplacé.
Toutes les données de séquenceur présentes dans le nouveau numéro de pattern sont
remplacées. Si vous changez d’avis en cours de processus, sélectionnez le numéro du
pattern source.
Pour sélectionner un pattern :
1 Sélectionnez le motif musical souhaité dans le menu Pattern.
2 Cliquez en maintenant la touche Ctrl enfoncée (ou cliquez avec le bouton droit
de la souris) sur le menu Pattern, puis choisissez Clear dans le menu contextuel.
Exportation des patterns en tant que régions MIDI
Les patterns programmés dans le séquenceur pas à pas interne d’Ultrabeat peuvent
être exportés en tant que régions MIDI dans la zone Arrange de Logic Express.
Pour exporter un pattern Ultrabeat dans la zone Arrange :
1 Sélectionnez le motif souhaité dans le menu Pattern d’Ultrabeat.
2 Cliquez sur la zone à gauche du menu Pattern et maintenez le bouton enfoncé.
3 Faites glisser le pattern jusqu’à l’emplacement voulu sur la piste Ultrabeat correspondante. Chapitre 24 Ultrabeat 413
Une région est créée, contenant tous les événements MIDI, y compris les réglages
Swing et Accent. Les accentuations sont interprétées comme des événements de
pression polyphonique.
Remarque :pour éviter un double déclenchement lors de la lecture de la région MIDI
exportée, vous pouvez désactiver le séquenceur interne d’Ultrabeat.
Remarque :toute automatisation créée en mode Step est également exportée dans la
région MIDI.
Utilisation de MIDI pour contrôler le séquenceur
Le jeu du pattern peut être influencé par les notes MIDI entrantes. Vous pouvez ainsi
interagir librement avec le séquenceur pas à pas et Ultrabeat peut alors parfaitement
être utilisé comme instrument pour des performances en direct. Le mode de réaction
d’Ultrabeat par rapport au contrôle MIDI est déterminé par les modes Pattern, Playback
et Voice Mute.
Mode Pattern
Si ce mode est activé, vous pouvez changer de pattern et lancer les différents patterns
à l’aide de commandes de notes MIDI entrantes.
Le bouton Transport devient bleu pour indiquer qu’il est désormais prêt à recevoir
les commandes de contrôle.
Les notes MIDI C1 à B0 (Do1 à Si0) permettent de passer d’un pattern à l’autre :
C–1 (Do1) sélectionne le pattern 1, C#–1 (Do#1) sélectionne le pattern 2, etc.
jusqu’au pattern 24, sélectionné par la note MIDI B0 (Si0).
Mode Playback
La réponse au niveau des patterns face aux notes MIDI entrées est définie dans le menu
du mode Playback. Dans ce menu, vous trouverez les options suivantes :
 One Shot Trigger : la réception d’une note MIDI lance le pattern. Il est alors joué une
fois dans sa totalité, puis s’arrête. Si la note suivante est reçue avant la fin du pattern,
elle stoppe la lecture du premier et le second commence à être joué immédiatement
(il peut s’agir d’un pattern différent ou du même pattern, selon la note MIDI reçue).
 Sustain : la réception d’une note MIDI lance le pattern. Il est alors joué en boucle
indéfiniment jusqu’à ce que la note MIDI correspondante soit relâchée.
 Toggle : la réception d’une note MIDI lance le pattern. Il est alors joué en boucle
indéfiniment jusqu’à ce que la note suivante soit reçue. S’il s’agit de la même note,
le pattern s’arrête immédiatement. S’il s’agit d’une autre note, le séquenceur passe
immédiatement au nouveau pattern.414 Chapitre 24 Ultrabeat
Remarque :en mode Toggle, vous pouvez changer de pattern au milieu d’une mesure
sans crainte : le séquenceur garde le rythme et saute automatiquement au battement
correspondant dans le nouveau pattern. Ce n’est pas le cas en mode One Shot Trigger.
En effet, dans ce mode, dès que vous changez de pattern, le nouveau est joué depuis
le début.
 Toggle on Step 1 : le comportement est le même qu’en mode Toggle sauf que l’arrêt
du pattern ou le changement ne se produit que lorsque le prochain battement 1 est
atteint : au début du prochain cycle du pattern en cours.
Mode Voice Mute
Lorsque le mode Voice Mute est activé, si vous jouez une note MIDI (C1 ou Do1 et
au-dessus), le son correspondant est tu dans la table de mixage Ultrabeat. Une autre
note MIDI de même pitch permet de rétablir le son.
Ce mode convient parfaitement pour l’arrangement libre de patterns préprogrammés
et permet de taire certains éléments d’un pattern sans avoir à les supprimer. Cela s’avère
particulièrement utile dans le cadre de performances en direct, mais pas seulement.
Le déclenchement du séquenceur pas à pas via les notes MIDI ouvre un large champ
de possibilités de remixage. Enfin, la totalité des options créatives concernant les changements de motifs (présentées dans cette rubrique) sont réalisées en utilisant des
messages de notes MIDI et peuvent donc facilement être enregistrées, modifiées,
arrangées et automatisées dans Logic Express.
Création de sons de batterie dans Ultrabeat
La rubrique suivante présente certaines astuces spécifiques à la création de sons.
Prenez le temps d’explorer les nombreuses possibilités qu’offrent Ultrabeat, en utilisant
les astuces suivantes comme point de départ. Vous découvrirez qu’il n’existe pratiquement aucun son de batterie électronique ne pouvant être créé aisément à l’aide
d’Ultrabeat.
Remarque :dans le dossier Ultrabeat’s Settings > Factory > Tutorial Settings, vous trouverez un kit de batterie nommé Tutorial Kit. Il contient tous les sons de batterie utilisés
dans le cadre de l’initiation. Il comprend également un son de batterie appelé Standard
Tut(orial), qui correspond à un jeu par défaut de paramètres neutres fournissant un très
bon point de départ pour la plupart des exemples suivants.Chapitre 24 Ultrabeat 415
Création d’une grosse caisse
Les sons de grosse caisse créés électroniquement sont basés essentiellement sur
un signal sinusoïdal de fréquence très grave.
Pour programmer un son de grosse caisse dans Ultrabeat :
1 Chargez le son de base Standard Tutorial.
Notez que l’oscillateur 1 est en mode Phase Oscillator.
2 Trouvez le pitch souhaité dans les octaves inférieures en écoutant en solo la grosse
caisse avec d’autres éléments de tonalité importants du morceau (un son de basse ou
de pad, par exemple). Utilisez le curseur Pitch de l’oscillateur 1 pour régler la tonalité.
3 Utilisez Env 4 pour mettre en forme le volume de la grosse caisse.
Pour un tempo plus lent, vous augmentez la phase de chute (decay), alors que pour
un tempo plus rapide, vous la raccourcissez. La phase d’attaque d’Env 4 doit être très
courte dans tous les cas (zéro, dans la plupart des cas) ; sinon, le son perd de son
caractère percussif et devient moins reconnaissable une fois mixé.
Pour le moment, le son est encore très doux et rappelle un peu le célèbre son de
grosse caisse de la boîte à rythmes Roland TR-808. Il lui manque encore une attaque
clairement définie.
Pour y remédier, contrôlez la tonalité (pitch) avec une enveloppe :
1 Vérifiez qu’Env 1 est bien sélectionnée dans le menu Mod du paramètre Pitch de
l’oscillateur 1.
2 Définissez le degré de modulation en déplaçant le curseur Mod bleu d’environ 3
ou 4 octaves au-dessus de la tonalité initiale.
3 Définissez la phase d’attaque dans Env 1 sur zéro en déplaçant complètement à gauche
les deux points de jonction figurant le plus à gauche sur l’axe des abscisses.416 Chapitre 24 Ultrabeat
4 Modifiez la phase de chute (decay) en déplaçant les deux points de jonction figurant
le plus à droite sur l’axe des abscisses ; vous constaterez que plus les valeurs de chute
sont élevées (en déplaçant la poignée de Bézier à droite), plus le son s’approche des
toms synthétisés, tandis que si les valeurs de chute sont plus faibles (déplacement vers
la gauche), on obtient l’aspect incisif recherché.
5 Modifiez de nouveau la modulation (le contrôle Mod bleu) du paramètre Pitch de
l’oscillateur 1 (voir étape 1).
L’interaction entre ce paramètre et la phase de chute de l’enveloppe permet diverses
mises en forme du caractère percussif ou incisif du son de grosse caisse.
Remarque :le son de grosse caisse claire simple est appelé Kick 1 dans le kit d’initiation
(note C1 = Do1).
Suppression d’une tonalité
Les sons de grosse caisse basés sur un signal sinusoïdal ont l’avantage de pouvoir être
réglés précisément pour correspondre au morceau. L’inconvénient est qu’iln’est pas
toujours souhaitable de disposer d’une tonalité reconnaissable. Ultrabeat propose
diverses méthodes pour diminuer la tonalité d’un son. Il existe notamment un outil
très performant : l’égaliseur deux bandes.
Pour diminuer la tonalité à l’aide de l’égaliseur deux bandes :
1 Pour la bande 1, sélectionnez le mode Shelving avec une fréquence de 80 Hz environ,
une valeur Q élevée et une valeur Gain négative.
2 Pour la bande 2, sélectionnez le mode Peak avec une fréquence de 180 Hz environ,
une valeur Q moyenne et une valeur Gain, là encore, négative.
Sur le graphique de l’égaliseur, vous observez l’accentuation des fréquences proches
de 80 Hz et l’atténuation des autres.
3 Modifiez la fréquence de la bande 2 (facilement reconnaissable dans la partie bleue
sur le graphique de l’égaliseur) afin de régler la tonalité du son de grosse caisse.
Une autre méthode pour diminuer la tonalité d’un son de batterie riche en harmoniques
consiste à utiliser un filtre passe-bas. Dans l’exemple suivant, vous allez contrôler la
fréquence de coupure du filtre via une enveloppe.Chapitre 24 Ultrabeat 417
Pour diminuer la tonalité à l’aide d’un filtre passe-bas :
1 Chargez de nouveau le son de base Standard Tutorial, sélectionnez un Pitch A#0 (La#0)
dans l’oscillateur 1 et modulez-le (comme indiqué dans l’exemple page 415) en utilisant
Env 1.
2 Augmentez la valeur du paramètre Saturation pour souligner les harmoniques du son
de batterie.
Notez que, lorsque le bouton de contournement de filtre est activé (entre Osc 1
et lefiltre), la sortie de l’oscillateur 1 est envoyée vers le filtre.
3 Effectuez les réglages indiqués ci-dessous dans la section filter :
 Filter type : LP 24
 Valeur Cutoff : 0,10
 Source Mod pour Cut : Env 3
 Ampleur Mod pour Cut : 0,60
 Resonance : 0,30
4 Affectez la valeur zéro à Attack time de l’Env 3. Utilisez le Decay time de l’Env 3 pour
mettre en forme le son filtré de la grosse caisse.
5 Vous pouvez également choisir de contrôler avec une enveloppe la résonance du filtre.
Veillez à n’utiliser qu’une seule enveloppe pour ce faire (dans ce cas, utilisez l’Env 2
comme source Mod pour Res.) Fixez l’ampleur de la modulation de la résonance
(Mod de Res) autour de 0,80. Sélectionnez une valeur Decay time plus longue dans
l’Env 2 que dans l’Env 3 et écoutez attentivement le son de grosse caisse obtenu qui
devient plus lourd et atonal (à cause d’une plus grande résonance du filtre).
Remarque :le son de grosse caisse décrit dans l’exemple ci-dessus est appelé Kick 2
dans le kit d’initiation (C#1=Do1). Il présente aussi un réglage d’égalisation intéressant
(reportez-vous au paragraphe ci-dessous).
Davantage de graves
Utilisez le son de grosse caisse filtré Kick 2 comme point de départ et essayez les autres
paramètres disponibles dans Phase Oscillator. Vous pourrez alors observer, par exemple,
que des valeurs de saturation élevées génèrent un son plus rond et plus grave. Le caractère
du son utilisé pour cet exemple commence à se rapprocher de celui d’un son de TR-909.418 Chapitre 24 Ultrabeat
Davantage d’impulsion
Pour que le son s’approche encore de celui d’une TR-909, utilisez le réglage d’égaliseur
indiqué ci-après. Le point de pression dans les basses fréquences (situé à 60 Hz environ,
dans la zone rouge sur le graphique de l’égaliseur) ainsi que l’impulsion ou l’impact
puissant (dans la zone bleue, au-dessus de 460 Hz) d’un son de grosse caisse 909 sont
renforcés. (Ce réglage de l’égaliseur est déjà effectué dans le Kick 2.)
Davantage de contour
Cet exemple utilise les quatre enveloppes. Prenez le temps d’essayer diverses formes
d’enveloppe, sans modifier les réglages Attack et Decay. Déplacez les points de jonction
de la phase decay sur les différentes enveloppes pour vous familiariser avec les options
permettant la mise en forme du son. Commencez par la phase de chute de l’Env 4 qui
contrôle le volume de l’oscillateur 1, ainsi que la résonance du filtre. Vous pouvez ainsi
observer l’effet des modifications de la forme « ventrue » de l’enveloppe sur le caractère
du son : de net et court, il devient rond et volumineux.
La grosse caisse Ultrabeat
Les nombreuses fonctionnalités d’Ultrabeat permettent de créer des sons de grosse
caisse spécifiquement « Ultrabeat ». Effectuez la modulation de la tonalité avec un LFO,
par exemple, plutôt que via une enveloppe.
Pour créer un son de grosse caisse modulé par LFO :
1 Utilisez le son de base Standard Tutorial correspondant à la note A#0 (Pitch de
l’oscillateur 1), puis sélectionnez LFO 1 comme source Mod dans la section Pitch d’Osc 1.
2 Réglez le degré de la modulation en déplaçant le contrôle Mod bleu vers la valeur
A3 (La3).
3 Indiquez pour LFO 1 : un nombre de Cycles réduit (entre 25 et 35), un Rate élevé
(supérieur ou égal à 70 Hz) et une valeur moyenne de Decay (potentiomètre Ramp
sur -190 environ).
4 En modifiant la forme d’onde LFO, vous pouvez constater qu’il est possible de nuancer
le caractère de l’attaque de la grosse caisse.
5 Modulez le paramètre Asym (Asymétrie) avec le même LFO et faites varier également
les valeurs de Slope et de Saturation. Chapitre 24 Ultrabeat 419
Vous pouvez ainsi créer des sons de grosse caisse très différents avec un seul oscillateur,
un LFO et une enveloppe (pour le volume). Le son peut prendre toutes les nuances
de caractère, allant de doux à incisif, et vous pouvez choisir la hauteur tonale selon
vos goûts.
Remarque :le son de grosse caisse décrit est appelé Kick 3 dans le kit d’initiation
(D1 = Ré1).
Utilisez le second oscillateur (avec un réglage identique ou en mode Sample) ou le filtre
associé au modulateur en anneau. Tout est possible, laissez libre cours à votre imagination et créez le prochain son de batterie à la mode.
Remarque :vous trouverez une émulation de la légendaire grosse caisse 808 sous
le nom Kick 4 dans le kit d’initiation (note D#1 = Ré#1).
Création d’une caisse claire
Le son d’une caisse claire acoustique est essentiellement composé de deux éléments
sonores : le son du fût lui-même et celui du timbre. Essayez de reproduire ce son dans
Ultrabeat avec un seul oscillateur et le générateur de bruit.
Pour créer un son de caisse claire basique :
1 Chargez le son de base Standard Tutorial. Désactivez l’oscillateur 1 et activez
l’oscillateur 2 (en mode Phase Oscillator).
2 Pour éliminer la courbe sinusoïdale (qui n’est pas vraiment souhaitable pour un
son de caisse claire, contrairement au cas de la grosse caisse), modulez le pitch de
l’oscillateur 2 avec un LFO oscillant rapidement et une valeur moyenne de Ramp Decay.
Pour ce faire, sélectionnez LFO 1 dans le menu Mod du Pitch de l’oscillateur 2. Le pitch
de cet oscillateur doit se situer autour de G#2 (Sol#2) et la modulation (réglée avec le
contrôle Mod bleu) doit être supérieure de 3 ou 4 octaves.
3 Indiquez un Rate élevé pour LFO 1. Définissez le nombre de Cycles sur 20 et affectez la
valeur -20 au paramètre Ramp. Le paramètre Waveform du LFO doit avoir une valeur
avoisinant 0,58 ce qui correspond à une onde carrée.
4 À l’aide d’Env 1, contrôlez le volume de l’oscillateur 2 en affectant la plus petite valeur
possible (-60 dB) à Vol, en sélectionnant Env 1 dans le menu Mod et en réglant l’intensité de la modulation sur un point en dessous de sa valeur maximale.420 Chapitre 24 Ultrabeat
La capture d’écran montre les réglages d’Osc 2 et d’Env 1 correspondants aux étapes 2
et 3.
5 Modifiez les valeurs Slope et Asym pour donner un caractère plus ou moins électronique
au son.
6 Activez le générateur de bruit et réglez son volume avec les mêmes réglages rapides
d’enveloppe que ceux utilisés pour le volume de l’oscillateur 2.
7 Utilisez les paramètres de filtrage du générateur de bruit pour salir, épurer ou éclaircir
le bruit composant le son de caisse claire. Sélectionnez un filtre de type LP et essayez
une fréquence de filtre comprise entre 0,60 et 0,90. Effectuez ensuite la modulation
avec LFO 1 (déjà utilisé pour contrôler le pitch de l’oscillateur 2).
Remarque :le son de caisse claire est appelé Snare 1 dans le kit d’initiation
(note E1 = Mi1).
Pour épurer le son de caisse claire en utilisant la synthèse FM :
1 Activez le mode FM de l’oscillateur 1. Utilisez Env 1 pour contrôler le volume
de l’oscillateur 1 également.
2 Choisissez une hauteur tonale pour l’oscillateur 1, d’environ une octave inférieure
à celle de l’oscillateur 2. Faites en sorte d’éviter des intervalles strictement égaux entre
les oscillateurs ; désaccordez-les légèrement les uns des autres. Par exemple, essayez le
pitch F#2 (Fa#2) pour Osc 2 et E1 (Mi1) pour Osc 1, puis réglez Osc 1 quelques centiè-
mes plus haut en maintenant la touche Maj enfoncée pendant que vous déplacez le
curseur Pitch.
3 Jouez sur le niveau FM et ajoutez, selon vos goûts, un aspect plus « tonal » (niveau FM
faible) ou « bruité » (niveau FM plus élevé). Essayez également de moduler le niveau FM
avec un réglage rapide pour le LFO.
Remarque :vous trouverez un exemple de son de caisse claire utilisant la FM dans le kit
d’initiation (note F1 = Fa1). Il s’appelle Snare 2.
Un niveau FM plus élevé augmente considérablement le nombre d’harmoniques et
accentue le caractère électronique du son. Si vous souhaitez obtenir un son plus acoustique, envoyez les sorties de l’oscillateur 1 (et, éventuellement, de l’oscillateur 2) vers le
filtre principal. Utilisez les réglages suivants pour commencer : mode LP 24, Cutoff de
0,60 environ.Chapitre 24 Ultrabeat 421
La caisse claire 808
Le célèbre son de la caisse claire 808 utilise deux filtres de résonance et un générateur
de bruit, le signal transitant ensuite par un filtre passe-haut. Il est possible d’ajuster la
combinaison des deux filtres et du volume du générateur de bruit. Ultrabeat ne permet
pas de répliquer cette structure totalement.
Pour cloner le son de la caisse claire 808 :
1 Chargez le son de base Standard Tutorial.
2 Reproduisez les filtres de résonance de la 808 par deux Phase Oscillators bien
programmés :
 Affectez-leur des valeurs de Slope légèrement différentes et désaccordez-les d’une
octave quasiment.
 Leurs tonalités doivent également différer (E3 (Mi3) et F2 (Fa2), par exemple).
3 Contrôlez le volume de chaque oscillateur avec une enveloppe distincte. L’enveloppe
de l’oscillateur accordé sur un son plus grave doit avoir une phase de chute plus longue
que le réglage d’enveloppe très punchy de l’oscillateur accordé sur un son plus aigu.
4 Envoyez la sortie de chacun des oscillateurs vers le filtre principal d’Ultrabeat et creusez
le son avec un filtre passe-haut. Pour ce faire, activez le bouton de contournement du
filtre pour les deux oscillateurs. Réglez le filtre sur HP 12, puis définissez une valeur
approximative de Cutoff de 0,40 et une résonance de 0,70 environ.
Vous venez d’émuler d’une façon ingénieuse les deux filtres de résonance de la 808.
En outre, en modifiant la tonalité des oscillateurs, vous simulez le comportement du
contrôle de Tone de la 808.
Pour ajouter du bruit afin de compléter l’émulation :
1 Activez le générateur de bruit et le mode passe-haut de son filtre (HP). Définissez une
valeur de Cutoff de 0,65 environ ainsi qu’une résonance de 0,35 et augmentez la valeur
du paramètre Dirt (autour de 0,06).
2 Le générateur de bruit produit un son de caisse claire soutenu. Pour obtenir un son r
essemblant à celui de la 808, le signal doit être mis en forme par sa propre enveloppe,
indépendamment des phases de chute des deux oscillateurs. En modifiant le volume
du générateur de bruit, vous pouvez reproduire le claquement de la 808.
Remarque :le son de caisse claire de type 808 est appelé Snare 3-808 dans le kit
d’initiation (note F1 = Fa1). Il présente aussi un réglage d’égalisation intéressant. 422 Chapitre 24 Ultrabeat
Dynamique et vélocité
Utilisez les sons de caisse claire 808 du kit d’initiation pour étudier les possibilités
offertes par Ultrabeat en matière de vélocité.
Pour mettre en pratique la vélocité :
1 Sélectionnez le son Snare 3-808.
2 Cliquez sur Off sous le potentiomètre Volume de l’oscillateur 1.
3 Dans le menu Via qui s’affiche, sélectionnez Vel.
Un curseur apparaît sur la bague entourant le potentiomètre.
4 Faites-le tourner dans le sens des aiguilles d’une montre. Lorsque vous cliquez sur
le curseur, une info-bulle indique sa valeur. Déplacez le curseur sur -0 dB.
5 Répétez les étapes 1 à 4 pour l’oscillateur 2 et le générateur de bruit.
Vous pouvez désormais jouer les sons dynamiquement en utilisant la vélocité.
Pour augmenter la dynamique du jeu :
1 Baissez les volumes individuels de chacun des oscillateurs et du générateur de bruit en
utilisant les potentiomètres appropriés. Observez comment la bague Mod et les curseurs
Via reviennent, eux aussi, en arrière. Modifiez les positions des curseurs Via, jusqu’à ce
que les trois potentiomètres Volume aient le même aspect que sur la capture d’écran
suivante :Chapitre 24 Ultrabeat 423
En utilisant des intensités différentes pour chaque potentiomètre Volume à l’étape 1,
vous pouvez définir des réactions distinctes face à la vélocité pour chacune des composantes du son.
2 Augmentez la dynamique globale du son en réglant le potentiomètre Voice Volume
comme suit :
Vous disposez à présent d’un son de caisse claire type 808 particulièrement réactif à
la vélocité. Comme vous le savez peut-être, une telle réactivité était impossible avec
la 808 originale ; et même avec un échantillon de la 808, il est impossible de contrôler
le volume des différentes composantes sonores de façon dynamique comme nous
venons de le faire avec Ultrabeat. En effet, un échantillon permet simplement d’obtenir
une copie du son dans sa globalité, mais pas de chacun de ses éléments constitutifs.
Dans l’étape suivante, vous allez utiliser la vélocité pour contrôler le caractère du son
(individuellement, pour chaque composant) ainsi que le volume, bien évidemment :
3 Dans le menu Saturation Mod de l’oscillateur 2, sélectionnez Max, puis Velocity dans
le menu Via correspondant.
4 Définissez le contrôle supplémentaire comme illustré ci-dessous, afin de contrôler
le caractère du son en fonction de la vélocité :424 Chapitre 24 Ultrabeat
5 Répétez cette procédure pour les autres paramètres de l’oscillateur 2, ainsi que le pitch :
6 Modulez le générateur de bruit comme suit :
 Paramètre Cut : indiquez Max pour la source de modulation, puis réglez le contrôle
de modulation comme indiqué ci-après.
 Paramètre Dirt : sélectionnez LFO 2 comme source de modulation, puis définissez
le contrôle de modulation comme indiqué ci-après.
Le son ne ressemble absolument plus à celui d’une caisse claire de type 808 ; notre but
est donc atteint. Continuez à changer les valeurs de vélocité et déterminez les cas où il
est opportun de s’en servir comme source de modulation directe ou indirecte, dans sa
forme positive ou négative.
Remarque :le son de caisse claire de type 808 dynamique est appelé Snare 4—Vel
dans le kit d’initiation, (note G1 = Sol1).
Caisse claire Kraftwerk
Un autre son de caisse claire électronique classique est celui obtenu par un filtre
passe-bas de synthétiseur analogique, très résonant, qui se termine par un claquement
caractéristique. Ce son est très utilisé chez Kraftwerk.
Pour reproduire le son d’une caisse claire Kraftwerk avec Ultrabeat :
1 Sélectionnez le son Snare 1.
2 Envoyez les signaux des deux oscillateurs et du générateur de bruit vers le filtre principal.
3 Modulez le Cutoff avec Env 1 (qui module déjà le volume du générateur de bruit).
4 Modulez la résonance du filtre avec Env 2.
5 Modifiez les paramètres décrits aux étapes 1 à 5 (notamment ceux des enveloppes) et
utilisez l’égaliseur. Vous constaterez ainsi l’étendue des possibilités offertes par ces trois
réglages élémentaires.Chapitre 24 Ultrabeat 425
Remarque :un son présenté en exemple intitulé Snare 5—KW dans le kit d’initiation
(note G1 = Sol1). Analysez-le puis comparez-le à votre création.
Création de toms et autres sons de percussion
Les sons de percussion tonals tels que les toms ou congas sont relativement faciles à
émuler électroniquement à l’aide d’oscillateurs à ondes sinusoïdales ou triangulaires.
Phase Oscillator d’Ultrabeat offre un large éventail de sons élémentaires pouvant servir
de points de départ. Contrôlez le pitch des oscillateurs avec des enveloppes et utilisez
les techniques de programmation expliquées dans les sections relatives à la grosse
caisse et à la caisse claire pour modifier la tonalité. Vous devriez être en mesure de
créer facilement une palette étendue de sons de toms ou assimilés.
Remarque :les notes allant de A1 (La1) à B0 (Si0) dans le kit d’initiation correspondent
aux sons de toms 808 typiques. Analysez ces sons et modifiez-les à votre convenance.
Expérimentez avec le mode Model de l’oscillateur 2 avant d’aller plus loin. Tentez de
vous familiariser avec l’effet produit par chaque paramètre, et créez des sons de percussion de votre propre cru, allant des tambourins tabla aux maracas de verre.
Remarque :les sons Tabla et Glass (verre) correspondant aux notes C2 et C#2 (Do2 et
Do#2) du kit d’initiation combinent le mode Model de l’oscillateur 2 et la FM. Ce sont
également de bons exemples de l’usage complexe de la vélocité comme source de
modulation.
Création de sons de charleston et de cymbales
La création des sons de charleston électroniques est très rapide avec Ultrabeat.
Pour créer un son de charleston dans Ultrabeat :
1 Chargez le son de base Standard Tutorial.
2 Désactivez l’oscillateur 1 et activez le générateur de bruit.
3 Effectuez les réglages suivants pour le générateur de bruit :
Dan la capture d’écran ci-dessus, vous pouvez voir que le paramètre Cutoff est modulé
par Env 1. La modulation est négative car la position du curseur Mod est inférieure à la
valeur du paramètre de base.
4 Préférez des valeurs decay faibles pour Env 1 et Env 4.426 Chapitre 24 Ultrabeat
5 Affectez la valeur 0 à Attack time (temps d’attaque) de l’Env 4. Le temps d’attaque de
l’enveloppe 1 doit également être court, mais pas pour autant égal à zéro.
Remarque :vous trouverez un son créé avec la même méthode dans le jeu d’initiation.
Il se nomme HiHat 1 (note F2 = Fa2). Vous pouvez également analyser le son HiHat 2
(note F#2 = Fa#2).
Les sons de charleston et de cymbales sont très proches : la principale différence est
la longueur de leur phase de chute (decay time). Pour produire des sons de cymbales
différents, il est essentiel d’affecter correctement les enveloppes.
Sélectionnez les sons Cym 1 et Cym 2 dans le kit d’initiation et essayez différentes affectations d’enveloppe et divers réglages pour les paramètres Cutoff et Volume du générateur de bruit, du filtre principal, etc.
Sons métalliques
Si vous souhaitez créer des sons métalliques dans Ultrabeat, le modulateur en anneau
et le mode Model de l’oscillateur conviennent parfaitement.
Pour utiliser le modulateur en anneau :
1 Chargez le son de base Standard Tutorial.
2 Activez un oscillateur en mode Phase Oscillator et un autre en mode Model. Définissez
le pitch de chaque oscillateur au-dessus de C3 (Do3), de sorte qu’un léger intervalle de
désaccord soit créé.
3 Dans le graphique Material Pad de l’oscillateur Model, choisissez un réglage incluant
de nombreuses harmoniques, comme illustré ci-après.
4 Affectez une valeur de -60 dB à chaque oscillateur et activez le modulateur en anneau
en cliquant sur son nom.
Vous venez de créer un son semblable à celui d’une cloche. Vous pouvez le filtrer
(avec une valeur de résonance élevée) si nécessaire.
Remarque :le même type de son, appelé Ring Bell figure dans le kit d’initiation
(note A2 = La2).Chapitre 24 Ultrabeat 427
Création de clics et de réglages extrêmes
Ultrabeat présente des générateurs d’enveloppe extrêmement rapides et des LFO d’une
puissance peu commune. Utilisez ces sources de modulation pour réaliser des modulations extrêmes au niveau des paramètres d’oscillation et de filtrage. Pour créer des sons
« sortant de l’ordinaire », vous devez essayer de moduler autant de cibles que possible
et ne pas hésiter à faire des réglages excessifs : utilisez une enveloppe rapide pour conduire le filtre à l’auto-oscillation pendant une fraction de seconde, définissez certains
cycles LFO à un taux bien plus élevé ou jouez avec les paramètres Dirt ou Bitcrusher.
Programmation par blocs
Plus vous vous familiariserez avec la programmation de sons rythmiques, plus vous
aurez tendance à penser directement en termes de blocs de construction. Autrement
dit, vous intégrerez dès le départ le fait que les sons de batterie sont généralement
la combinaison de plusieurs éléments. Une fois la liste de ces éléments dressée, vous
pouvez essayer d’émuler chaque composant contribuant au caractère du son en utilisant les différents générateurs de sons disponibles dans Ultrabeat. En affectant des
enveloppes (amplitudes) dédiées à certains composants, vous pouvez contrôler leur
comportement dans le temps séparément. Par exemple : vous pouvez émuler le fût
d’une batterie avec l’oscillateur 1, le son de la baguette frappant la peau (transitoire)
avec le générateur de bruit et les harmoniques supplémentaires peuvent être fourn
ies pas l’oscillateur 2 ou le modulateur en anneau. Lorsque vous être capable de penser
la création de sons de
batterie en termes de couches ou de blocs constitutifs, le rôle des potentiomètres de
volume au niveau des différents générateurs de son devient plus clair. Ce sont, en effet,
les outils nécessaires à la combinaison, à l’équilibrage et au contrôle des différents blocs.25
429
25 Instruments GarageBand
Les instruments GarageBand sont automatiquement installés
avec Logic Express. Vous pouvez les insérer comme n’importe
quel autre instrument logiciel.
Les instruments GarageBand sont des modules d’instruments logiciels utilisés dans
l’application GarageBand d’Apple. Leur inclusion permet d’importer sans problème
des fichiers GarageBand dans Logic Express.
Les instruments GarageBand sont en fait des versions moins consommatrices en ressources processeur (CPU) et en mémoire que les modules d’instruments Logic Express
ou Logic Pro équivalents. Dans le cas de sons de synthétiseurs, l’ES2 représente le
« grand frère » des instruments GarageBand. Dans le cas de sons d’orgue, c’est l’EVB3
qui joue ce rôle, tandis que pour les sons de piano électrique, il s’agit de l’EVP88, et
ainsi de suite avec le Clavinet (EVD6) ou d’autres sons (alors, l’EXS24 mkII).
L’interface des instruments GarageBand consiste en un simple panneau d’aspect
« métal brossé » contenant un certain nombre de curseurs de paramètres et de champs
de valeurs associés. Par exemple, l’instrument Digital Stepper est présenté ci-dessous.430 Chapitre 25 Instruments GarageBand
De nombreux paramètres GarageBand sont en fait des macros intervenant sur plusieurs
paramètres spécifiques et utiles de l’EXS24 mkII, l’ES2 (ou tout autre instrument
Logic Express équivalent).
Il en résulte deux avantages principaux :
 Étant donné que les modules d’instruments GarageBand consomment moins de
ressources processeur (CPU) et de mémoire, ils se chargent plus rapidement que
les instruments logiciels Logic Express équivalents.
 Le fait de se limiter à un nombre réduit de paramètres puissants simplifie considérablement l’utilisation des instruments. Explorez les différents paramètres disponibles
pour découvrir comme il est facile d’obtenir des sons spectaculaires !
Les curseurs de macro-paramètres disponibles sont différents pour chaque Instrument
GarageBand. En effet, les paramètres de l’instrument Logic Express équivalent peuvent
être différents ou inutiles : pas besoin d’inclure un paramètre de tirettes d’orgue sur
un instrument piano GarageBand Piano par exemple (à moins d’avoir une imagination
fertile et des dons de bricolage sur Steinway !).
Paramètres d’instruments GarageBand
De nombreux instruments GarageBand utilisent les mêmes paramètres, qui fonctionnent
de façon identique pour chacun d’eux. La section suivante présente ces paramètres
universels, tandis que les sections portant des noms spécifiques fournissent des informations sur un instrument GarageBand donné et décrivent les paramètres ou les fonctions
qui lui sont propres. Notez que tous les instruments GarageBand ne contiennent pas
l’ensemble des macro-paramètres décrits ci-dessous.
Paramètres d’instruments GarageBand universels
 Volume :définit le niveau général de l’instrument.
 Accord :définit la tonalité générale de l’instrument.
 Mix :mixe deux tonalités en les modulant.
 Cutoff :permet de faire passer un son amplifié (valeur haute) ou atténué (valeur basse),
qui devient ainsi plus clair ou plus sourd.
 Resonance :détermine l’emplacement d’une crête aiguë dans la plage de fréquences.
 Attack :fait démarrer le son plus lentement ou plus rapidement. Avec un réglage
rapide, le son est « frappé » comme une touche de piano tandis qu’avec un réglage
lent, il s’apparente à la vibration d’une corde de violon sous l’effet d’un archet.
 Decay :maintient la partie harmonique du son (clarté) plus longtemps à des valeurs
plus faibles.Chapitre 25 Instruments GarageBand 431
 Sustain :détermine la durée pendant laquelle une note va être maintenue à son
volume maximum.
 Release :détermine la vitesse à laquelle le volume sonore des notes rapides diminue
une fois que vous avez relâché les touches du clavier.
Analogique de base
Le son Analogique de base est basé sur l’ES2. Il correspond au son d’un synthétiseur
analogique simple, utile pour divers styles musicaux.
Basse
Le son Basse est basé sur un échantillon. Il offre divers sons de basse, accessibles à partir
du menu Réglages et peut être utilisé pour une variété de styles musicaux. Les basses
Fingerstyle, Fretless, Muted et Slapped Electric sont incluses, ainsi qu’une basse Upright Jazz.
Batteries
Les sons Batteries sont basés sur des échantillons. Le menu Réglages offre diverses
batteries, et notamment Dance, Hip-Hop, Jazz, Pop, Rock et Techno.
Clavicorde électrique
Le son Clavicorde électrique est basé sur l’EVD6. Il émule le Clavinet Hohner D6.
Il offre le paramètre spécifique suivant :
 Atténuation :modifie la tonalité du Clavinet, la rendant moins soutenue et renforçant
l’effet « sonorité boisée » à mesure que vous progressez vers la valeur haute.
Cors
Le son Cors est basé sur un échantillon. Il émule une Section Cors, une Section Cors
Pop et une Section Trompette, accessibles via le menu Réglages.
Digital Stepper
Le son Digital Stepper est basé sur l’ES2. Il correspond à un son de synthétiseur numérique
qui passe par différents niveaux de tonalités, de façon à créer un motif rythmique.
Paramètres spécifiques :
 Balance :définit l’équilibre entre un son plus dur et plus aigu (numérique) et un son
plus chaud et plus doux (analogique).
 Modulation :accélère (valeur haute) ou ralentit (valeur basse) les étapes tonales.
 Harmoniques:épaissit (valeur supérieure) ou affine (valeur inférieure) légèrement le son.
 Étapes harmoniques :rend les étapes tonales plus ou moins perceptibles, selon
qu’elles sont larges ou petites.
 Étapes de coupure :définit l’importance de la coupure appliquée à chaque étape.
Une valeur élevée (étape large) accentue l’effet de coupure.
 Durée :définit la longueur des étapes.432 Chapitre 25 Instruments GarageBand
Guitare
Le son Guitare est basé sur un échantillon. Il offre les sons de guitare Acoustique classique,
Son clair et Cordes métalliques qui sont accessibles à partir du menu Réglages.
Hybride de base et métamorphose hybride
Hybride de base et Métamorphose hybride sont des synthétiseurs basés sur des
échantillons, capables de créer des sons spectaculaires. Paramètres spécifiques :
 Forme d’onde :choisissez le jeu d’échantillons utilisé pour générer le son du synthétiseur de base. Chaque onde du synthétiseur Métamorphose hybride est basée sur
deux couches d’échantillons.
 Métamorphose :contrôle les fondus entre les deux couches d’échantillons.
 Enveloppe de métamorphose :permet de contrôler la métamorphose au fil du temps.
Par exemple, si vous définissez le paramètre Métamorphose sur B et son enveloppe
Métamorphose sur « De A à B », la forme de l’onde du son se modifie de la valeur A
à la valeur B selon les réglages d’enveloppe ADSR.
 Type de coupure :ce menu contient diverses courbes de filtres prédéfinies. Essayez-les
et testez les paramètres Coupure et Résonance.
Remarque :si vous réglez le paramètre Métamorphose sur A et l’enveloppe Métamorphose sur « De A à B », certains réglages ADSR n’entraîneront aucun son. Dans ce cas,
vous pouvez obtenir des résultats intéressants en utilisant le contrôle de modulation
afin de faire décaler la valeur du paramètre Métamorphose lors de représentations
en direct.
Dans le synthétiseur Hybride de base, utilisez les curseurs concernant la Molette pour
vibrato et la Molette pour Coupure afin de déterminer les paramètres propres au
contrôle de modulation.
Instruments à vent
Le son Instruments à vent est basé sur un échantillon. Il reproduit le son des instruments à vent, tels que les flûtes et les saxophones.
Mono analogique
Il correspond au son principal (lead) d’un synthétiseur analogique monophonique
(pouvant jouer une seule note à la fois). Macro-paramètres spécifiques :
 Glissé :détermine le temps nécessaire pour qu’une note soit remplacée par une
autre (par un effet de « glissement »).
 Richesse :détermine la complexité de la texture du son, de façon à enrichir ce dernier.Chapitre 25 Instruments GarageBand 433
Mono numérique
L’instrument Mono numérique est basé sur l’ES2. Il correspond au son principal (lead)
d’un synthétiseur numérique monophonique. Paramètres spécifiques :
 Harmoniques:épaissit (valeur supérieure) ou affine (valeur inférieure) légèrement le son.
 Timbre :change la couleur du son (de sombre à brillant).
 Enveloppe de timbre :change la couleur du son, en fonction de la force avec laquelle
les touches du clavier sont frappées. Si un niveau bas est sélectionné, la couleur du
son ne change pas beaucoup, quelle que soit la force avec laquelle vous frappez
les touches. Si un niveau élevé est sélectionné, le son change de façon dynamique,
selon que le jeu est plus ou moins affirmé.
 Richesse :désaccorde légèrement les notes jouées les unes par rapport aux autres,
de façon à épaissir le son à mesure que des valeurs plus élevées sont utilisées.
 Distorsion :déforme le son général, de façon à le rendre très désagréable et agressif.
Notez toutefois que ce paramètre amplifie considérablement le son.
Nappe analogique
La fonction Nappe analogique est basée sur l’ES2. Il correspond à une nappe de
synthétiseur analogique aux sonorités chaudes, utile pour divers styles musicaux.
Paramètres spécifiques :
 Modulation :accélère ou ralentit le mouvement de balayage de nappe.
 Caractère :détermine si le son est doux ou aigu.
 Env. fréq. coupure :détermine où la coupure de l’enveloppe est positionnée dans
la plage de fréquences.
 Durée :détermine la durée du mouvement de balayage.
 Animation :détermine le nombre d’animations ajoutées à la nappe par l’enveloppe.
Numérique de base
L’instrument Numérique de base est basé sur l’ES2. Il correspond à un son de synthétiseur
numérique de base, utile pour divers styles musicaux. Paramètres spécifiques :
 Harmoniques:modifie sensiblement le son à mesure que de nouveaux harmoniques
(partiels) sont ajoutés. L’impact de ce paramètre étant difficile à décrire, il est préférable
que vous l’expérimentiez vous-même.
 Timbre :change la couleur du son (de sombre à brillant).
Orgue à roues phoniques
Le son Orgue à roues phoniques est basé sur l’EVB3. Il émule l’orgue Hammond B3.
Cet instrument étant capable de générer une grande variété de sons d’orgue, nous
vous conseillons d’essayer les divers paramètres disponibles. Paramètres spécifiques :
 Tirettes :épaissit (valeur supérieure) ou affine (valeur inférieure) légèrement le son.
 Niveau de percussion :ajoute un deuxième ou troisième harmonique au son, ce qui
change à la fois la couleur et le timbre d l’instrument.434 Chapitre 25 Instruments GarageBand
 Temps de percussions :maintient le deuxième ou le troisième harmonique lorsqu’il est
défini sur une valeur longue. Si une valeur courte est sélectionnée, l’harmonique ne
sera entendu que lors de la frappe initiale.
 Clic :introduit un clic dans la frappe. Sélectionnez un niveau élevé si vous souhaitez
entendre distinctement ce son.
 Distorsion :rend le son grossier et bruyant. Ce paramètre est parfaitement adapté
si vous souhaitez faire des reprises de Deep Purple !
 Enceinte à effet Leslie :ces commutateurs permettent d’effectuer une sélection parmi
trois effets de haut-parleur différents. L’option Choral donne un effet
« tourbillonnant » au son. L’option Frein donne initialement un effet
« tourbillonnant » au son, puis ralentit le mouvement. L’option Trémolo fait
« trembler » le son.
Percussion syntonisée
Le son Percussion syntonisée est basé sur un échantillon. Il émule un vibraphone.
Piano électrique
Le son Piano électrique est basé sur l’EVP88. Il s’apparente à celui du piano électrique
Fender Rhodes. Ses macro-paramètres sont les suivants :
 Modèle :un son s’apparentant à celui d’une cloche est obtenu lorsque le bouton
Lamelles est sélectionné.
 Decay :une valeur courte produira un son « pincé », tandis qu’un réglage long
maintiendra le son tant que les touches sont enfoncées.
Piano, effets sonores et cordes
Les sons Piano, Effets sonores et Cordes sont basés sur des échantillons. Comme pour
les autres instruments GarageBand, le menu Réglages offre plusieurs variantes.
Synchro analogique
L’instrument Synchro analogique est basé sur l’ES2. Il émule les tonalités de synthétiseurs
analogiques qui produiraient leur son en synchronisant deux oscillateurs. L’instrument
Synchro analogique est tout particulièrement utile pour générer les sons principaux
(lead) très marqués des synthétiseurs analogiques. Paramètres spécifiques :
 Sync :détermine la synchronisation (ou la perte de synchronisation) entre les deux
oscillateurs et par conséquent, la rugosité du son.
 Modulation de synchro. :détermine l’intensité de modulation de la synchronisation
des deux oscillateurs, ce qui engendre des tonalités plus complexes (et plus dures).
 Enveloppe de synchro. :détermine dans quelle proportion les paramètres de l’enveloppe influent sur le son.Chapitre 25 Instruments GarageBand 435
Tourbillon analogique
L’instrument Tourbillon analogique est basé sur l’ES2. Il correspond à une nappe
de synthétiseur analogique aux sonorités chaudes produisant un effet de chorus
tourbillonnant. Il offre un paramètre spécifique :
 Modulation :accélère ou ralentit le mouvement de balayage de nappe.
Voix
Le son Voix est basé sur un échantillon. Il émule un chœur mixte. 437
Annexe
Notions élémentaires sur
les synthétiseurs
Si vous êtes novice dans le monde des synthétiseurs,
vous êtes invité à lire ce chapitre.
Il aborde des faits importants sur les synthétiseurs et explique la différence entre les
synthétiseurs analogiques, numériques et analogiques virtuels. Des termes importants
tels que fréquence de coupure (cutoff ), résonance, enveloppe ou forme d’onde sont
aussi expliqués.
Synthétiseur analogique et synthèse soustractive
Un signal de synthétiseur est un signal électrique, mesuré en volts. Pour faire une brève
comparaison avec une technologie qui vous est probablement plus familière, étudions
les haut-parleurs. Les membranes des haut-parleurs bougent lorsque la tension, amplifiée
par un amplificateur de puissance et arrivant au haut-parleur, change. Lorsque la tension
monte, la membrane du haut-parleur avance et elle recule lorsque la tension baisse.
Dans un synthétiseur numérique, le flux du signal est numérique. Il s’agit de descriptions
binaires du signal (une suite de zéros et de uns) qui passent d’un algorithme à un autre.
Cette distinction est importante. Ce n’est pas le signal lui-même qui arrive d’un oscillateur
virtuel pour passer à un filtre virtuel et ainsi de suite.
Un synthétiseur analogique virtuel est un synthétiseur numérique qui imite l’architecture et reprend les particularités d’un synthétiseur analogique. Il dispose d’une face
avant avec tous les contrôles, qui permettent accès direct à tous les paramètres de
génération sonore.
L’ES1 de Logic Express est un exemple de synthétiseur analogique virtuel. Son flux de
signal virtuel ressemble à celui des synthétiseurs analogiques. Il inclut même certaines
particularités intéressantes des circuits analogiques, qui peuvent parfois donner un
joli son, tels que des niveaux d’oscillateur élevés saturant le filtre. L’ES1 dispose d’une
surface de contrôle graphique à l’écran. Le traitement du signal (dont les oscillateurs
virtuels etc.) est réalisé par l’unité centrale (CPU) de votre ordinateur.438 Annexe Notions élémentaires sur les synthétiseurs
Les phénomènes indésirables propres aux synthétiseurs analogiques, tels que leur
tendance à se désaccorder complètement, ne sont pas simulés par les synthétiseurs
analogiques virtuels. Vous pouvez toutefois régler les voix de l’ES1 sur un désaccordage aléatoire, ce qui rendra le son du synthétiseur plus vivant. Contrairement à ses
homologues analogiques, l’ES1 est aussi complètement programmable (vous pouvez
sauvegarder vos réglages de sons), peut être entièrement automatisé (vous pouvez
enregistrer et relire les mouvements de l’équilibreur), il est polyphonique (vous pouvez
lire jusqu’à 16 notes en même temps), il est multitimbral (vous pouvez lire différents
sons en même temps sur différents canaux d’instruments), et il est sensible à la
vélocité.
Il s’agit d’atouts importants, dont ne disposaient pas les anciens synthétiseurs,
plus limités. Si vous pensez qu’il est plus stimulant de ne pas utiliser ces fonctions,
vous pouvez toujours les désactiver.
Définition de la synthèse
La synthèse, dans ce contexte, est la (re)production d’un son qui émule ou synthétise
le son d’un autre instrument, d’une voix, d’un hélicoptère, d’une voiture, l’aboiement
d’un chien, ou tout autre son.
La reproduction synthétique d’autres sons est la fonction principale du synthétiseur,
d’où son nom. Il va sans dire que les synthétiseurs peuvent aussi générer des sons qui
n’existent pas dans la réalité. Cette capacité à générer des sons qui ne peuvent pas être
créés d’une autre façon fait du synthétiseur un outil musical unique. Son impact sur
la musique moderne a été énorme et continuera à l’être dans le futur, bien qu’il soit
probable qu’il existera sous une forme virtuelle plutôt que matérielle.Annexe Notions élémentaires sur les synthétiseurs 439
Synthèse soustractive
La synthèse soustractive fait appel à des filtres. Tous les synthétiseurs analogiques et
analogiques virtuels utilisent la synthèse soustractive pour générer des sons. Dans les
synthétiseurs analogiques, le signal audio de chaque voix est généré par un oscillateur.
L’oscillateur génère un courant alternatif, utilisant une sélection de formes d’onde
contenant des quantités diverses (plus ou moins) d’harmoniques. La fréquence fondamentale du signal détermine principalement la hauteur tonale perçue, sa forme d’onde
est responsable de la couleur sonore de base du son, et l’amplitude (niveau) détermine
le volume perçu.
Fréquence de coupure et résonance, illustrées à l’aide d’une onde
en dent de scie
Cette illustration montre un aperçu d’une onde en dent de scie (a = 220 Hz). Le filtre
est ouvert avec sa fréquence de coupure réglée à son maximum, sans résonance.
Cette capture d’écran montre le signal de sortie de l’ES1 de Logic Express, acheminé
vers un canal de sortie Logic Express monophonique. L’enregistrement a été effectué
à l’aide de la fonction Bounce de ce canal et il est affiché dans l’Éditeur des échantillons
avec un réglage de zoom élevé.
? Astuce :la documentation classique sur les synthétiseurs conseille l’utilisation de l’onde
en dent de scie pour créer un son similaire à celui d’un violon. Le son chaud et dense de
l’onde en dent de scie en fait la forme d’onde de synthétiseur la plus utilisée. Elle sert de
base pour créer des sons de cordes et de cuivres synthétiques. Elle est aussi pratique pour
créer des sons graves synthétiques. 440 Annexe Notions élémentaires sur les synthétiseurs
Lorsqu’il lui a été demandé comment il allait faire pour sculpter un lion dans un bloc de
pierre, Michel-Ange a répondu « Je vais juste enlever tout ce qui ne ressemble pas à un
lion ». C’est le principe même de la synthèse soustractive : il s’agit simplement de filtrer
(supprimer) les composants du son qui ne doivent pas être émis ; en d’autres termes,
des parties du spectre du signal de l’oscillateur sont soustraites. Après avoir été filtrée,
une onde en dent de scie sonnant de manière brillante devient un son adouci, chaud
et sans aigus agressifs. Les synthétiseurs analogiques et analogiques virtuels ne sont pas
les seuls appareils qui font usage des techniques de synthèse soustractive. Les échantillonneurs et les lecteurs d’échantillons l’utilisent également, mais emploient des
modules internes qui lisent les enregistrements numériques (échantillons) à la place
des oscillateurs, qui fournissent les formes d’onde en dent de scie et autres.
L’illustration ci-dessous montre une onde en dent de scie avec le filtre à moitié fermé
(24 dB/Fat). L’effet du filtre ressemble un peu à celui d’un égaliseur graphique avec un
équilibreur réglé sur la fréquence de coupure donnée (la fréquence la plus haute autorisée
à passer), poussé à fond (réjection totale), afin que les aigus soient atténués. Avec ce
réglage, les pointes de l’onde en dent de scie sont arrondies, ce qui la fait ressembler
à une onde sinusoïdale.
La longueur de l’onde ici n’est pas vraiment plus élevée, c’est le réglage du zoom qui l’est.
Théorème de Fourier et harmoniques
« Chaque onde périodique peut être considérée comme la somme des ondes sinusoï-
dales ayant certaines longueurs et amplitudes d’onde, dont les longueurs d’onde ont
des relations harmoniques (rapports de petits nombres) ». C’est ce que l’on appelle le
Théorème de Fourier. Si l’on traduit en termes plus musicaux, cela signifie que tout son
ayant une certaine hauteur tonale peut être considéré comme un mélange de sons
sinusoïdaux partiels. Ceux-ci étant composés du son fondamental de base et de ses
harmoniques. (sons dominants). Par exemple : l’oscillation de base (le premier son
partiel) est un La à 220 Hz. Le second partiel a une fréquence double (440 Hz),
le troisième oscille trois fois plus vite (660 Hz), et les suivants 4 et 5 fois plus vite
et ainsi de suite.Annexe Notions élémentaires sur les synthétiseurs 441
Vous pouvez accentuer les partiels situés autour de la fréquence de coupure grâce à
des réglages élevés des valeurs de résonance. L’illustration ci-dessous montre une onde
en dent de scie ES1 avec un réglage élevé de résonance et une fréquence de coupure
de 60% environ. Vous obtenez ainsi un intervalle d’une octave et d’une quinte plus
élevé que le son de base. Il apparaît qu’exactement trois cycles du son dominant ayant
été fortement accentué tiennent dans un cycle de l’onde de base.
L’effet du filtre résonant est comparable à celui d’un égaliseur graphique ayant tous
ses équilibreurs supérieurs à 660 Hz complètement baissés, avec seulement le 660 Hz
(Fréquence de coupure) en position maximum (résonance). Les équilibreurs des fréquences
inférieures à 660 Hz restant au milieu (0 dB).
Si vous coupez le signal de l’oscillateur, un réglage de résonance maximum fera entrer
le filtre en auto-oscillation. Ce qui génère une onde sinusoïdale.442 Annexe Notions élémentaires sur les synthétiseurs
Autres formes d’onde d’oscillateur
Les formes d’onde sont nommées sawtooth (dent de scie), square (carrée), pulse
(impulsion) ou triangular (triangulaire) à cause de leur forme représentée par un
oscillogramme (comme dans l’Éditeur des échantillons de Logic Express). Voici par
exemple l’onde triangulaire :
L’onde triangulaire a peu d’harmoniques, ce qui semble évident du fait qu’elle ressemble
plus à une onde sinusoïdale qu’à une onde en dent de scie. Cette onde ne contient que
des harmoniques de rangs impaires, c’est-à-dire pas d’octaves.
La documentation classique sur les synthétiseurs conseille l’utilisation de l’onde triangulaire pour la création de sons de type flûte. Cependant à l’ère de l’échantillonnage,
il est assez improbable que qui que ce soit souhaite utiliser une onde triangulaire pour
créer un son de flûte.
La capture d’écran ci-dessus montre une onde rectangulaire. Elle contient toutes
les harmoniques impaires, dont les amplitudes diminuent proportionnellement avec
leur nombre. La rectangularité peut être définie sur toute valeur et sert d’adresse de
modulation.
La documentation classique sur les synthétiseurs apparente l’onde rectangulaire au son
d’une clarinette, celle-ci ne comportant pas non plus d’harmoniques paires dans une
certaine plage de fréquences.Annexe Notions élémentaires sur les synthétiseurs 443
Enveloppes
Que signifie le terme enveloppe dans ce contexte ? Dans cette illustration, vous voyez
l’oscillogramme d’un son percussif. On voit clairement comment le niveau monte
immédiatement à son maximum et comment il décroît. Si vous aviez dessiné une ligne
autour de la moitié supérieure de l’oscillogramme, celle-ci s’appellerait l’enveloppe du
son : un graphique représentant le niveau comme une fonction de temps. C’est ce que
fait le générateur d’enveloppe pour définir la forme de l’enveloppe.
Cette capture d’écran montre l’enregistrement d’un son d’ES1 créé avec ce réglage
des paramètres ADSR (temps d’attaque, temps de chute, niveau de Sustain et temps de
relâchement) : attaque aussi courte que possible, valeur moyenne pour la chute, zéro
pour le Sustain, valeur moyenne pour le relâchement.
Lorsque vous utilisez une touche, l’enveloppe passe de zéro au niveau maximum pendant
le temps d’attaque, redescend de ce niveau maximum jusqu’au niveau de Sustain dans le
temps de chute, puis reste au niveau de Sustain tant que la touche reste enfoncée. Lorsque
la touche est relâchée, l’enveloppe descend du niveau de Sustain à zéro pendant le temps
de relâchement. L’enveloppe de type cuivre ou cordes du son suivant (l’enveloppe ellemême n’est pas représentée dans ce graphique) a des temps d’attaque et de relâchement
plus longs et un niveau de Sustain plus élevé.444 Annexe Notions élémentaires sur les synthétiseurs
Le générateur d’enveloppe peut aussi contrôler la montée et la descente de la fréquence
de coupure. Vous pouvez également utiliser les générateurs d’enveloppe pour moduler
d’autres paramètres. Dans ce contexte, la modulation peut être considérée comme une
commande à distance d’un certain paramètre. Bien d’autres sources peuvent servir de
sources de modulation : par exemple la hauteur tonale (numéro de note), la sensibilité
à la vélocité ou la molette de modulation. 445
Glossaire
Glossaire
AACAbréviation d’Advanced Audio Codec. Algorithme de compression/décompression
et format de fichier pour données audio.
AAFAbréviation d’Advanced Authoring Format. Format de fichier permettant
d’échanger des projets entre plates-formes. Il permet d’importer plusieurs pistes
audio, avec références aux pistes, positions temporelles et automatisation du volume.
accelerandoAccélération graduelle du tempo (voir tempo).
ADATAbréviation d’Alesis Digital Audio Tape. Magnétophone multipiste numérique à
huit pistes faisant appel à une cassette vidéo S-VHS pour enregistrer des données audio
en 16 ou 20 bits.
ADAT optiqueInterface optique pour la transmission en parallèle de huit canaux audio
via un câble à fibre optique. Il s’agit d’une norme sûre pour les interfaces numériques
multicanaux.
AES/EBUAbréviation d’Audio Engineering Society/European Broadcasting Union.
Cette association dispose d’un format de transmission standard pour les signaux audio
numériques stéréo professionnels, appelée AES/EBU. Ce format est similaire au format
S/P-DIF mais fait appel à des pseudo-modems dont la tension équilibrée est plus élevée. Selon le type de périphériques utilisé, les interfaces coaxiales AES/EBU et S/P-DIF
peuvent communiquer directement.
affichage ContrôlesTous les modules de Logic Express (et les Audio Units) offrent une
autre solution, non graphique, pour l’affichage des paramètres d’effets et d’instruments
dans l’Éditeur. Pour accéder à la présentation Contrôles, utilisez l’option Contrôles du
menu Présentation dans l’en-tête du module, dans la partie supérieure de la fenêtre de
chaque module. Cette présentation permet d’accéder à des paramètres supplémentaires
tout en utilisant moins de place à l’écran.
affichage ÉditeurPratiquement tous les modules de Logic Express (et les Audio Units)
proposent une présentation graphique des paramètres d’effets et d’instruments.
L’éditeur est la présentation par défaut mais il est possible d’y accéder via l’option
Éditeur du menu Présentation, dans la partie supérieure de chaque fenêtre de module,
si c’est la présentation Contrôles qui est affichée.446 Glossaire
affichage verticalAutre terme pour plage dynamique. Voir plage dynamique.
aftertouchMessage MIDI généré lors de la pression exercée sur une touche, une fois
jouée la note correspondant à cette touche. Il en existe deux types : l’aftertouch par
canal, dont la valeur se mesure à l’aide d’un capteur sur toute la longueur du clavier,
et qui concerne toutes les notes jouées ; l’aftertouch polyphonique (rare), mesuré et
transmis individuellement pour chaque touche. L’Aftertouch est également appelé
« key pressure » (pression sur une touche) ou « pressure sensitivity » (sensibilité à la
pression).
AIFFAbréviation d’Audio Interchange File Format. Format de fichier multi-platesformes pris en charge par de nombreuses applications d’édition numérique audio et
vidéo. Le format audio AIFF peut utiliser plusieurs profondeurs de bits, généralement
16 et 24 bits.
aigusDésigne des sons, ou des composants d’un son, dont la fréquence est très élevée.
Voir fréquence.
AKAIFormat de données d’échantillon standard, compatible avec l’EXS24 mkII.
ALACAbréviation d’Apple Lossless Audio Codec, un algorithme de codage/décodage
offrant une compression audio sans perte.
aliasPointeur vers une région MIDI, dans la zone Arrangement. Un alias ne contient
aucune donnée, il pointe simplement vers les données de la région MIDI d’origine.
Pour créer un alias, faites glisser la région MIDI d’origine vers l’emplacement voulu tout
en maintenant les touches Majuscule et Option enfoncées. Un alias ne peut pas être édité
directement. Toute modification apportée à la région d’origine est répercutée dans l’alias.
amplificateurAppareil permettant d’augmenter le niveau d’un signal.
amplificationAction d’augmenter le niveau audio (voir l’entrée réduire).
amplitudeCe terme décrit l’intensité d’un signal. Pour un signal audio, l’amplitude
se rapporte au volume sonore, mesuré en décibels (dB).
ASCIIAcronyme d’American Standard Code for Information Interchange. Jeu de caractè-
res standard permettant aux ordinateurs de traiter les caractères textuels. Lorsque vous
entrez des caractères ASCII au clavier, l’ordinateur les interprète comme s’il s’agissait de
caractères binaires, afin de pouvoir les lire, les manipuler, les stocker et les récupérer.
Voir également code scan.
attaquePhase de départ d’un événement acoustique. Également partie d’une
enveloppe (voir enveloppe).
atténuerAction de diminuer le niveau d’un signal audio (voir amplifier et réduire).Glossaire 447
Audio MIDI Setup (AMS)L’utilitaire Configuration audio et MIDI (utilitaire AMS)
permet de configurer les périphériques d’entrée et de sortie audio et MIDI connectés
à votre ordinateur.
Audio Units (AU)Audio Units est le format Mac OS X standard pour les modules en
temps réel. Il peut être utilisé pour des effets audio, des instruments logiciels et des géné-
rateurs. Le format Audio Unit est intégré au système d’exploitation ; les modules Audio
Unit installés sont accessibles simultanément par tous les programmes appropriés.
auto-oscillationL’auto-oscillation est une caractéristique des circuits de filtrage analogiques. Elle se produit, à des valeurs de résonance élevées, lorsque le filtre fonctionne
en boucle fermée et commence à osciller à sa fréquence naturelle.
automatisationL’automatisation désigne la capacité à enregistrer, éditer et lire les
mouvements de tous les potentiomètres, contrôles et boutons (notamment curseurs
de volume, panoramique, égaliseur et effet d’envoi aux), ainsi que la plupart des paramètres d’effets et d’instruments du module.
balancePlacement des signaux audio mono dans le champ stéréo, par réglage
des différents niveaux des deux côtés (voir Balance).
bande de canaux de sortieDans la table de mixage, type de bande de canaux qui
contrôle le niveau de sortie et la fonction de pan/balance de chaque sortie physique
de votre interface audio.
bande de canaux masterBande de canaux de la table de mixage permettant une
atténuation distincte en modifiant le gain de toutes les bandes de canaux de sortie,
sans altérer les relations de niveaux qui existent entre elles.
barre de défilementBarre grise s’étendant sur le côté d’une fenêtre. Un curseur permet
d’y sélectionner la rubrique du projet affichée dans la fenêtre.
barre de menus locauxMenu d’une fenêtre ne contenant que les fonctions relatives
à cette fenêtre.
barre principale de menusBarre située dans la partie supérieure de l’écran, qui offre
des fonctions générales telles que l’ouverture, l’enregistrement, l’exportation ou
l’importation de projets. Cette barre de menus n’offre pas d’accès aux fonctions
de fenêtre locale.
basculerPasser d’un état à un autre. Exemple : activer/désactiver (fenêtres, valeurs
de paramètres, etc.).
BasseInstrument de musique. Ce terme fait également référence à des sons
ou composants d’un son basse fréquence. Voir fréquence.448 Glossaire
battementIntervalle de temps, correspondant à la pulsation rythmique régulière
d’une composition musicale. Il correspond généralement à un quart de note.
battements par minuteVoir bpm.
boucleFichier audio contenant des éléments musicaux rythmiques récurrents
ou des éléments propices à la répétition.
boucles Apple LoopsFormat de fichier audio, généralement utilisé pour des éléments
musicaux rythmiques récurrents ou des éléments propices à la répétition. Les boucles
Apple Loops contiennent des balises et des éléments transitoires auxquels Logic Express
fait appel pour les tâches d’étirement temporel et de changement de tonalité. Ces balises
permettent également de retrouver rapidement des fichiers par instrument, genre ou
ambiance dans le navigateur de boucles.
bouncePour traiter des régions MIDI ou audio avec des effets appliqués, tels que
le délai ou la compression, et les combiner dans un même fichier audio.
bouton LierBouton situé dans le coin supérieur gauche de la plupart des fenêtres
de Logic Express, sur lequel est représenté une chaîne. Il permet de contrôler les liens
entre différentes fenêtres.
bpmAbréviation de battements par minute, mesure du tempo d’un morceau de
musique. Par exemple : 120 bpm signifie qu’en une minute il y aura 120 battements
musicaux (quarts de notes).
Broadcast WaveVoir Wave.
bruit blancType de bruit comportant toutes les fréquences (nombre infini) émises
simultanément, de même intensité, sur une bande de fréquences donnée. On qualifie
ce bruit de « blanc » par analogie avec la lumière blanche qui contient, à parts égales,
toutes les longueurs d’ondes optiques (c’est-à-dire, toutes les couleurs de l’arc-en-ciel).
En termes sonores, le bruit blanc se situe entre le son de la consonne F et les vagues
déferlantes (surf). Pour synthétiser des bruits de vagues ou de vent, ou encore des sons
de caisse claire électronique, le bruit blanc est indispensable.
bruit bleuSon blanc filtré par passe-haut, qui ressemble au sifflement de ruban.
bruit roseType de bruit harmonique qui contient plus d’énergie dans la plage de
fréquences basses.
bulle d’aidePetite fenêtre de texte qui s’affiche lorsque le curseur de la souris se
trouve sur un élément de l’interface. Elle précise le nom ou la valeur de l’élément. Lors
de certaines opérations d’édition, telles que le déplacement ou le découpage d’une
région, une bulle d’aide un peu plus grande apparaît en temps réel au niveau de la
position (de début) en cours de la région ou de la fonction.Glossaire 449
busLes bus permettent d’envoyer des données audio aux bandes de canaux auxiliaires,
pour traitement ou sous-mixage.
cadreUnité de temps. Dans le cadre de la norme SMPTE, une seconde est divisée en
images fixes uniques d’un fichier ou d’une bande vidéo.
CAFAbréviation de Core Audio Format. Ce format de fichier peut être utilisé comme
conteneur pour des fichiers audio compressés ou non, quelles que soient leur taille,
fréquence d’échantillonnage ou profondeur de bits. Le format CAF peut gérer des
enregistrements audio d’environ 3 heures (pour une fréquence d’échantillonnage de
44,1 kHz, et des enregistrements moins longs pour des fréquences d’échantillonnage
plus élevées).
canal d’instrumentLogic Express prend en charge les instruments logiciels. Les modules
des instruments logiciels sont insérés dans le logement correspondant des canaux d’instruments.
canal MIDIUn canal MIDI est une sorte de « tube » de données MIDI, qui circule par
les ports MIDI. Il peut y avoir simultanément jusqu’à 16 canaux MIDI différents par port.
Les pistes enregistrées dans Logic Express peuvent être dirigées vers différents tubes
(canaux), qui peuvent contenir diverses informations et jouer différents sons, assignés
à chaque canal. Exemple : canal 1 pour lepiano, canal 2 pour lesbasses, canal 3 pour
les cordes, etc. Cela suppose que les périphériques récepteurs sont capables de recevoir des données sur plusieurs canaux et de jouer des sons différents simultanément
(voir multi-timbre).
casePetite case sur laquelle vous pouvez cliquer pour cocher ou décocher (activer ou
désactiver) une option.
CD AudioAbréviation de Compact Disc audio. Norme relative aux CD musicaux
stéréo : fréquence d’échantillonnage de 44,1 kHz et profondeur de 16 bits.
centDivision d’accord d’un demi-ton : centième partie d’un demi-ton. De nombreux
instruments logiciels Logic Express contiennent un paramètre Fin qui permet d’accorder
les sons par incréments de cents.
chemin de modulationUn chemin de modulation détermine quel paramètre cible
sera affecté par un modulateur précis (source de modulation).
chuteParamètre d’enveloppe qui détermine la durée nécessaire à un signal pour
passer du niveau d’attaque maximum au niveau de maintien. Voir enveloppe.
clicMétronome, ou son du métronome.450 Glossaire
code d’analyseSur un clavier d’ordinateur, un code scan est associé à chaque touche,
à la place d’un symbole ASCII. Par exemple : les touches « plus » et « moins » du pavé
numérique et les touches correspondantes au-dessus du clavier ont un code scan diffé-
rent, mais utilisent le même symbole ASCII.
CompressorEffet qui restreint la plage dynamique d’un signal audio (voir également
expander).
contrôle du tempsMesure de la capacité à jouer des notes au moment voulu. Ce concept peut également se rapporter à la synchronisation d’événements, de régions et de
périphériques.
contrôleurType de données MIDI. Exemples : curseurs, pédales ou paramètres standard
(volume ou panoramique, par exemple). Le type de commande est encodé dans le
premier octet de données, et la valeur envoyée ou reçue dans le second.
Convertisseur AD ou ADCConvertisseur analogique-numérique ; dispositif permettant
de convertir un signal analogique en signal numérique.
convertisseur de la fréquence d’échantillonnageDispositif ou algorithme qui
convertit une fréquence d’échantillonnage en une autre.
Core AudioSystème de gestion audio normalisé pour tous les ordinateurs Macintosh
fonctionnant sous Mac OS X version 10.2 ou ultérieure. Core Audio fait partie intégrante
de Mac OS X, ce qui permet d’accéder à toutes les interfaces audio compatibles avec
Core Audio.
Core MIDISystème de gestion MIDI normalisé pour tous les ordinateurs Macintosh
fonctionnant sous Mac OS X version 10.2 ou ultérieure. Core MIDI fait partie intégrante
de Mac OS X, ce qui permet les connexions à tous les périphériques MIDI compatibles
avec Core MIDI.
correctionVoir égaliseur.
coupe (cut)Action d’abaisser un niveau ou une fréquence, lors de l’utilisation de
l’égaliseur ou d’autres filtres. Également utilisé pour décrire l’action de diviser et de
supprimer physiquement des rubriques de fichiers, de régions, etc. (voir amplifier et
atténuation).
courbe de BezierCourbe créée à partir d’une ligne contenant deux points. Ces points
ont un effet direct sur la ligne, permettant d’en faire une courbe. Dans une application
informatique, les courbes de Bézier sont créées en déplaçant des poignées au niveau
de ces deux points pour ajuster la forme de la courbe. Nommée d’après Pierre Bézier,
qui découvrit la formule mathématique de ces courbes.
crénelageArtefact numérique qui se produit quand l’échantillon contient des
fréquences supérieures de moitié à la fréquence d’échantillonnage. Glossaire 451
crête1) Niveau le plus élevé d’un signal audio. 2) Partie d’un signal audio numérique
dépassant 0 dB, ce qui génère un écrêtage.
crête d’amplitudePoint auquel l’intensité sonore d’un signal audio est la plus forte.
DACConvertisseur numérique-analogique ; dispositif permettant de convertir un
signal numérique en signal analogique.
DAWAcronyme de Digital Audio Workstation. Ordinateur utilisé pour l’enregistrement,
le mixage et la production de fichiers audio.
dBAbréviation de décibel, unité de mesure décrivant les relations entre niveaux de
tension, intensité ou puissance, en particulier dans les systèmes audio.
débit binairePour des fichiers MP3, il s’agit du débit de transfert auquel les fichiers
sont encodés. En langage courant, ce terme décrit généralement la qualité relative
d’un fichier, un faible débit entraînant une moins bonne qualité audio.
décalage CCErreur pouvant entraîner la superposition d’un courant continu (CC) par
dessus le signal audio, aboutissant à un décalage vertical de la forme d’onde affichée
dans l’Éditeur des échantillons.
décompteBattements audibles avant le début d’un enregistrement (ou d’une lecture).
deesserProcesseur audio qui élimine les sifflements des signaux audio.
demi-tonPlus petit intervalle séparant deux hauteurs tonales dans la gamme diatonique
standard, égal à la moitié d’un ton. Également appelé demi-mesure.
destructifUn traitement audio destructeur implique un changement complet
des données d’un fichier audio, par opposition à une simple édition des paramètres
périphériques ou de lecture.
DFSAbréviation de Digital Full Scale (niveau maximal d’enregistrement numérique),
parfois exprimée sous la forme « 0 dB DFS ». Il s’agit du niveau théorique maximum
qu’un signal numérique peut atteindre avant l’écrêtage et d’autres types de distorsion
peuvent être introduites.
Digital Full ScaleVoir DFS.
distorsionEffet produit lorsque la limite de reproduction correcte d’un signal numérique
est dépassée, aboutissant à un son aigu crépitant.
DSP (digital signal processing)Le traitement mathématique des informations
numériques en vue de modifier un signal. Par exemple, le logement Insert des bandes
de canaux Logic Express attribue des effets DSPtels que la compression dynamique
et un retard de signal de canaux. Même des opérations toutes simples comme la modification du volume et de la balance sont calculées par DSP.452 Glossaire
dynamiqueSe rapporte aux modifications du volume, ou aux autres aspects d’un
morceau de musique, au fil du temps.
échantillonEnregistrement numérique d’un son à un instant donné.
échantillonnageProcessus de conversion des données audio analogiques en informations numériques. La fréquence d’échantillonnage d’un flux audio indique le nombre
d’échantillons capturés par seconde (voir fréquence d’échantillonnage). Plus la fréquence
d’échantillonnage est élevée, plus les données audio sont de bonne qualité.
échantillonneurDispositif permettant de réaliser des échantillons. Dans Logic Express,
il s’agit généralement du logiciel EXS24 mkII.
échelleGroupe de notes musicales liées (ou hauteurs tonales) qui constitue la base
de la mélodie et de l’harmonie d’un morceau de musique. Les plus courantes sont la
gamme majeure et la gamme mineure.
écrêtage (d’enregistrement numérique)Génération d’un signal trop fort par une
bande de canaux, qui dépasse la limite de reproduction sonore correcte et provoque
un son distordu dénommé écrêtage.
effetType d’algorithme logiciel qui modifie le son d’un signal audio de différentes façons.
Logic Express inclut un ensemble d’effets de type égaliseur, dynamique, temporels, modulation et distorsion.
effet chorusEffet obtenu par la superposition de deux sons identiques avec un retard
et une légère modulation du temps de retard de l’un ou des deux. Le signal audio
produit par l’effet semble plus dense, donnant l’impression que plusieurs voix jouent
en même temps.
effet d’envoiAbréviation d’effets d’envoi auxiliaires. Sur un périphérique audio, sortie
permettant d’acheminer une quantité donnée du signal vers un autre périphérique.
Les effets d’envoi servent souvent à envoyer plusieurs signaux ayant le même effet,
ce qui est particulièrement utile pour les effets demandant beaucoup de ressources
processeur, tels que la réverbération.
effet de filtrageLes filtres sont des effets destinés à atténuer l’énergie d’une certaine
fréquence dans un signal. Le nom de chaque filtre indique sa fonction. Par exemple :
le filtre passe-bas laisse passer les fréquences inférieures à la fréquence de coupure
(voir fréquence de coupure).
effet de filtre en peigneOn nomme généralement « filtre en peigne » le léger retard
du retour qui amplifie certaines harmoniques d’un signal. Ce nom est lié à l’apparence
du graphique spectral des fréquences, qui fait penser aux dents d’un peigne.
égaliseurLes égaliseurs permettent d’accentuer ou d’atténuer les fréquences d’un
signal audio. Les applications Logic Express offrent plusieurs types d’égaliseur. Glossaire 453
élément transitoirePosition d’un enregistrement audio à laquelle le signal devient
beaucoup plus fort sur une durée très courte (pointe de signal). Les éléments transitoires
se retrouvant beaucoup dans les enregistrements de batterie, ils peuvent être utilisés
pour indiquer l’emplacement des battements dans un signal audio.
enregistrementOpération de capture d’une performance en tant que données audio
ou MIDI. Ce terme est aussi généralement utilisé pour désigner les données elles-mêmes
(dans Logic Express, les termes région ou fichier permettent de faire la distinction).
enveloppeL’enveloppe est une représentation graphique de la variation que présente
un son au fil du temps. Utilisée comme dispositif de contrôle, une enveloppe permet
de déterminer la façon dont un son débute, se poursuit et se termine. Les enveloppes
de synthétiseurs comportent généralement quatre phases : attack (attaque), decay
(chute), sustain (soutien) et release (relâchement).
événementCommande MIDI distincte. Exemple : commande de début de note.
Les mouvements continus de certains contrôleurs (par exemple, la roulette de modulation) produisent une succession rapide d’événements individuels, ayant chacun une
valeur absolue.
expanderEffet qui permet d’élargir la plage dynamique d’un signal audio.
C’est l’inverse de l’effet de compression (voir Compressor).
exporterCréer dans un autre format une version d’un fichier (un projet Logic Express
par exemple) que d’autres applications pourront diffuser et utiliser.
Facteur QTerme généralement associé aux égaliseurs. Le facteur Q est le facteur de
qualité de l’égalisation et permet de sélectionner une plage de fréquences plus étroite
ou plus large dans le spectre sonore global du signal entrant.
fenêtre de moduleFenêtre qui s’ouvre à l’insertion d’un module, ou lorsque vous
double-cliquez sur le logement d’insertion ou d’instrument. Elle permet l’interaction
avec les paramètres du module.
fenêtre flottanteVoir type de fenêtre.
fichier audioTout enregistrement numérique d’un son, stocké sur votre disque dur.
Les fichiers audio peuvent être stockés aux formats AIFF, WAV, Sound Designer II (SDII)
et CAF dans Logic Express. Tous les fichiers WAV enregistrés et ceux ayant subi un
bounce sont au format Broadcast Wave.
filmVoir vidéo.
filtre allpassFiltre permettant le passage de toutes les fréquences, fournissant uniquement un décalage de phase ou un délai de phase sans modifier notablement la caractéristique d’amplitude.454 Glossaire
filtre coupe-bandeCe filtre coupe la bande de fréquences la plus proche de la
fréquence de découpe, tout en autorisant le passage de toutes les autres fréquences.
filtre de réjection de bandeCe filtre coupe la bande de fréquences centrée autour
de la fréquence de coupure, tout en autorisant le passage des fréquences éloignées.
Les fréquences moyennes sont ainsi atténuées tandis que les hautes et basses
fréquences restent inchangées.
filtre high cutUn filtre high cut est un filtre passe-bas qui n’offre aucun contrôle
d’inclinaison ou de résonance. Comme son nom l’indique, il atténue les fréquences
au-dessus de la coupure.
filtre Low CutUn filtre Low Cut est un filtre passe-haut qui n’offre aucun contrôle
d’inclinaison ou de résonance. Il atténue toutes les fréquences qui se trouvent sous
la coupure définie.
filtre passe-hautUn filtre passe-haut laisse passer toutes les fréquences supérieures
à la fréquence de coupure. Un filtre passe-haut est un filtre qui n’offre aucun contrôle
d’inclinaison ou de résonance et qui est dénommé filtre Low Cut.
FireWireNom commercial attribué par Apple à la norme IEEE 1394. Il s’agit d’une interface série rapide et polyvalente, généralement utilisée pour connecter à des ordinateurs des interfaces audio et des unités de traitement audio. FireWire convient
parfaitement aux applications gérant des données très volumineuses et permet de
connecter disques durs, scanners ou d’autres types de périphériques informatiques.
Il existe deux versions de FireWire : FireWire 400 et FireWire 800. Cette dernière est une
variante plus rapide utilisant un autre type de connecteur. Il est possible d’utiliser des
dispositifs FireWire 400 sur un port FireWire 800 grâce à un câblage spécifique, mais
tous les périphériques connectés sur ce port verront alors leur bande passante réduite
de moitié (voir également M-LAN).
flangerL’effet flanger est proche de l’effet chorus : un signal légèrement retardé
(mais plus court que dans le cas d’un chorus) est renvoyé à l’entrée de la ligne de
retard. Avec le « flanging », le son est plus épais et légèrement déphasé.
focus du clavierDans Logic Express, la fenêtre qui est sélectionnée est dite « active ».
En d’autres termes, elle a le « focus principal ». La plupart des raccourcis clavier ne fonctionnent que dans la fenêtre qui a le « focus principal ». La rubrique Inspecteur est également mise à jour en fonction de cette fenêtre pour afficher les paramètres
appropriés.
fonction d’annulationFonction qui annule l’opération de modification précédente. Glossaire 455
fonction FreezeLa fonction Freeze effectue des processus de bounce hors ligne individuels pour chaque piste à laquelle a été appliquée la fonction Freeze, réalisant de cette
manière une économie proche de 100% des ressources processeur destinées aux
modules d’instruments logiciels et d’effets. L’ensemble des modules de la piste
(dont les modules d’instruments logiciels, le cas échéant, ainsi que toutes les données
d’automation qui s’y rapportent) sont alors rendus sous forme de fichier de Freeze.
forme d’ondeReprésentation visuelle d’un signal audio. Les graphiques de formes
d’ondes évoluent de la gauche vers la droite et sont centrés sur une ligne horizontale.
Dans une forme d’onde, les portions où le son est plus fort (crêtes d’amplitude) sont
indiquées sous forme de pics ou de courbes plus hautes.
fréquenceNombre de fois par seconde où un signal sonore vibre. La fréquence se
mesure en cycles par seconde, ou Hertz (Hz).
fréquence d’échantillonnageLors de la conversion d’un signal audio analogique en
signal numérique, ce terme désigne le nombre de fois par seconde où le fichier audio
est échantillonné.
fréquence de coupureFréquence à laquelle le signal audio passant par un filtre
passe-bas ou passe-haut est atténué de 3 dB.
fusionnerCombiner au moins deux événements ou régions MIDI en un seul
événement ou une seule région.
gestionnaireLes gestionnaires sont des programmes logiciels qui permettent à différents
matériels et logiciels d’être reconnus par les applications informatiques. Si le gestionnaire
correspondant à votre matériel audio n’est pas correctement installé, votre ordinateur
risque de ne pas reconnaître ce dernier ou de ne pas fonctionner correctement avec lui.
Voir onglet Périphériques.
glisser-déposerFait de saisir des objets à l’aide de la souris, de les déplacer, puis de
relâcher le bouton de la souris.
GMAbréviation de General MIDI. Norme des modules sons externes MIDI, qui attribue
un ensemble uniformisé de sons d’instruments aux 128 numéros de programmes,
normalise les définitions de touches pour les sons de batterie et de percussion sur le
canal MIDI 10, classe les performances multitimbrales en 16 familles et au moins 24 voix
de polyphonie. La spécification GM vise à assurer la compatibilité entre les divers dispositifs MIDI. Toute séquence musicale générée par un instrument GM doit pouvoir être lue
correctement sur n’importe quel autre synthétiseur ou module sons externe GM.
GSExtension de la norme GM développée par Roland Inc.456 Glossaire
horlogeImpulsion électrique de synchronisation, transmise à chaque 1/96e de note.
Utilisée dans les anciennes boîtes à rythmes, avant l’avènement de l’interface MIDI
(l’horloge MIDI est l’implémentation moderne des signaux d’horloge simples ; elle
fonctionne à 24 ppqn -pulses per quarter note, c’est-à-dire le nombre d’impulsions
par noire- ou 96 impulsions par note).
Horloge de référenceSignal de référence temporelle nécessaire aux interfaces audio
numériques pour assurer la synchronisation des fréquences d’échantillonnage des
différents périphériques connectés. Lorsque deux périphériques sont connectés via
une interface audio numérique standard (telle que S/P-DIF ou ADAT optique), le signal
Horloge de référence est transmis via le circuit audio. Pour que plus de deux périphériques audio numériques communiquent entre eux, vous devrez généralement utiliser
des ports Horloge de référence distincts pour la synchronisation.
horloge MIDIMessage MIDI court pour les signaux d’horloge, Ces messages fournissent
une impulsion temporelle entre les différents matériels MIDI. Sa précision est de 24 ppqn
(pulses per quarter note, c’est-à-dire le nombre d’impulsions par noire), mais certains
périphériques réalisent une interpolation de ces valeurs d’impulsion, offrant un signal
d’horloge plus précis, à condition que chacun des périphériques soit en mesure d’interpréter correctement cette information complémentaire. Voir égalementSPP.
icônePetit symbole graphique. Dans Logic Express, une icône différente peut être
assignée à chaque piste.
importationProcessus d’insertion de fichiers de différents types dans un projet.
Les fichiers importés peuvent être créés dans une autre application, capturés à partir
d’un autre périphérique ou extrait d’un autre projet.
inactifPermet de désactiver un module. Les modules contournés n’utilisent pas de
ressources système. In
inclinaison de filtreLa pente de filtre correspond à la raideur de courbe de l’atténuation du filtre, c’est-à-dire à l’efficacité du filtrage. Exemples : avec une pente de filtre de
6 dB par octave, la sonorité sera bien plus douce qu’avec une pente de filtre de 12 dB
par octave.
indicateur de crêteLevel meter audio numérique qui affiche le volume absolu
d’un signal audio pendant la lecture de ce dernier. Baptisé ainsi en raison du fait
que chaque crête du signal est tout à fait visible.
Insérer SlotPanneau apparaissant dans les bandes de canaux Logic Express, dans lequel
vous pouvez insérer un module d’effet.Glossaire 457
InspecteurZone figurant dans la partie gauche de la fenêtre Arrange de Logic Express
et des éditeurs, contenant les options de paramètres et les bandes de canaux (Arrange)
de la piste sélectionnée. Voir également zones de paramètres. La rubrique Inspecteur
est mise à jour en fonction de la fenêtre qui a le « focus principal », afin d’afficher les
paramètres appropriés.
instrument logicielÉquivalent logiciel d’échantillons matériels ou de modules de
synthétiseurs, ou encore de sources sonores acoustiques, tels que des percussions
ou des guitares. Les sons générés par les instruments logiciels sont calculés par le
processeur de l’ordinateur et lus via les sorties de l’interface audio. Également familièrement appelé synthé logiciel.
interface1) Composant matériel, tel qu’un périphérique MIDI ou audio permettant
à vos applications Logic Express d’établir une connexion avec le monde extérieur.
Une interface audio ou MIDI est nécessaire pour faire entrer ou sortir du son de votre
ordinateur. Voir également interface audio. 2) Terme décrivant des éléments graphiques
dans vos applications Logic Express avec lesquels vous pouvez interagir. Par exemple, la
fenêtre Arrange de Logic Express contient des éléments d’interface graphique, tels que
des régions, avec lesquels vous pouvez créer un projet dans l’interface globale
Logic Express.
interface audioDispositif permettant de faire entrer et sortir du son de votre ordinateur.
Une interface audio convertit les données audio numériques envoyées par votre ordinateur en signaux analogiques, pouvant être diffusés par les haut-parleurs. Dans l’autre
sens, une interface audio convertit les signaux analogiques (par exemple, une performance vocale) en données audio numériques, pouvant être traitées par votre ordinateur.
latenceIl se peut que vous remarquiez un léger décalage entre le moment où vous
appuyez sur les touches du clavier et celui où vous entendez le son produit. Il s’agit
d’un temps de latence. Ce phénomène est dû à un certain nombre de facteurs, parmi
lesquels l’interface audio utilisée et les gestionnaires audio et MIDI. Vous pouvez cependant agir sur l’un de ces facteurs : la taille de la mémoire tampon E/S, que vous pouvez
régler dans les préférences des périphériques.
lectureAction de lire une région audio ou MIDI, un fichier audio ou tout un arrangement, pour vous permettre de l’écouter.
legatoTechnique de performance musicale qui permet de lier harmonieusement
les notes entre elles.
level meterDispositif de contrôle du niveau d’entrée et de sortie audio de votre ordinateur. Vous pouvez utiliser les VU-mètres dans vos applications Logic Express lors de
l’enregistrement, de l’arrangement et du montage de fichiers audio et lors de la création d’un mixage. 458 Glossaire
LFOAbréviation de Low Frequency Oscillator. Oscillateur qui génère des signaux
de modulation, dont la fréquence est inférieure à la plage de fréquences audibles :
leur bande passante se situe entre 0,1 et 20 Hz et atteint parfois 50 ou 400 Hz.
longueur de motVoir profondeur de bits.
M-LANVariante de l’interface FireWire, conçue par Yamaha. Elle permet aux tables de
mixage numériques et aux autres périphériques Yamaha de se connecter directement
à un port FireWire Macintosh (voir FireWire).
matrice de modulationEXS24 mkII et quelques autres instruments Logic Express contiennent une grille permettant de faire varier un certain nombre de paramètres cible,
tels que la hauteur tonale, avec un certain nombre de modulateurs (sources de modulation). Cette grille est connue sous le nom de matrice de modulation dans EXS24 mkII.
mémoire virtuelleZone du disque dur que l’ordinateur utilise comme extension de
la mémoire RAM. L’inconvénient est que le temps d’accès à la mémoire virtuelle est très
lent, par rapport à celui de la mémoire physique RAM.
menu hiérarchiqueMenu structuré ouvrant des sous-menus en cascade lorsqu’une
entrée individuelle est sélectionnée à un niveau supérieur.
menu RéglagesMenu de l’en-tête gris figurant dans la partie supérieure de toutes les
fenêtres de module Logic Express. Il permet d’enregistrer, de charger, de copier et de
coller les réglages, c’est-à-dire les valeurs des paramètres d’effets et d’instruments logiciels.
message de hauteur tonaleMessage MIDI transmis à la roulette de hauteur tonale
(pitch bend) d’un clavier MIDI.
message MIDIMessage transmis via MIDI, constitué d’un octet de statut et de zéro,
un, deux ou plusieurs octet(s) de données (avec commandes « system exclusive »).
Voir événement.
mesureEn notation musicale, une mesure est une unité contenant un certain nombre
de battements, qui établit la structure rythmique d’un morceau de musique.
métadonnéesLes métadonnées constituent les informations descriptives complémentaires qui sont stockées dans l’en-tête d’un certain nombre de types de fichiers (AAF,
par exemple). Elles permettent de faire référence à des données multimédia externes
afin, entre autres, de simplifier les recherches.
métronomeAppareil produisant un son qui marque les battements. Dans Logic Express,
il peut être configuré dans la fenêtre de réglages Métronome.Glossaire 459
MIDIAbréviation de Musical Instrument Digital Interface. Interface normalisée asynchrone de type série, orientée événements, pour le matériel aussi bien que pour les
logiciels d’instruments musicaux électroniques. La norme industrielle MIDI permet
à des appareils tels que synthétiseurs et ordinateurs de communiquer entre eux.
Elle contrôle, entre autres caractéristiques, la hauteur tonale, la durée et le volume
d’un événement de note musicale.
mixTerme couramment employé pour désigner le résultat obtenu suite à la réalisation
d’un bounce (voir bounce) ou d’une fusion de pistes (voir fusionner).
mixageMise en forme du son général d’un projet à l’aide de divers réglages (volume,
balance), de l’ajout d’égaliseurs et d’autres effets, et au recours à l’automation pour
altérer, entre autres, ces aspects de façon dynamique.
mode Local OffMode opérationnel d’un clavier MIDI qui consiste à ne pas déclencher
directement le générateur de sons intégré au clavier. Pratique lorsque le clavier est utilisé comme clavier principal de vos applications Logic Express.
mode multi MIDIMode opérationnel multitimbral d’un module sons MIDI, grâce auquel
il est possible de contrôler différents sons (en polyphonie) sur différents canaux MIDI.
Un module sons en mode multi se comporte comme plusieurs modules sons polyphoniques. La norme General MIDI décrit un mode multi 16 timbres (c’est-à-dire la capacité
à contrôler indépendamment 16 timbres différents). La plupart des générateurs audio
actuels prennent en charge le mode multi. Dans Logic Express, les modules sons en
mode multi sont adressés via des objets multi instrument. Ce mode MIDI, ainsi que les
modules sons en mode multi, sont généralement décrits comme étant multitimbraux
(voir multitimbral).
mode Multi TriggerCe terme est associé aux synthétiseurs tels que l’ES1. Dans ce
mode, une enveloppe de synthétiseur est généralement redéclenchée par chaque
événement de note entrante.
mode Single TriggerCe terme est associé aux synthétiseurs tels que l’ES1. Dans ce
mode, les enveloppes ne sont pas redéclenchées lorsque des notes liées (legato)
sont jouées.
modèleProjet contenant les réglages et les paramètres que vous avez définis.
Les modèles servent de point de départ pour les nouveaux projets (tâches de sonorisation, projets audio uniquement, projets MIDI uniquement, etc., selon vos besoins).
Tous les projets peuvent servir de modèle et il est possible de créer et d’enregistrer
plusieurs modèles.
ModulationGénéralement, modification variable continue et légère. La plupart des
effets Logic Express et des synthétiseurs contiennent des modulateurs. 460 Glossaire
moduleApplication logicielle qui améliore les fonctionnalités du programme principal
(dans le cas présent, l’une de vos applications Logic Express).
monoReproduction monophonique d’un son. Action de mixer des canaux audio en
une seule piste, en utilisant la même quantité de signaux dans les canaux audio droite
et gauche. Contraire de stéréo.
MP3Abréviation de MPEG-2 Audio Layer 3. Format de fichier audio compressé,
fréquemment utilisé lors de la transmission de fichiers audio sur Internet.
MTCVoir MIDI Time Code.
MTC (MIDI Time Code)Traduction d’un signal de code temporel SMPTE en signal de
code temporel standard MIDI. Le MTC permet de synchroniser Logic Express avec les
périphériques MIDI, d’autres séquenceurs, bandes vidéo et audio ou disques durs prenant en charge le code temporel MIDI. Le MTC définit les positions temporelles absolues
et prend en charge les messages indiquant lorsqu’il faut démarrer, arrêter ou continuer.
MuetPermet de désactiver la sortie audio d’un canal ou d’une piste. Pour désactiver
le son d’une piste ou d’un canal, cliquez sur le bouton Silence dans la liste des pistes
ou en bas de la bande de canaux.
multi-timbreCe terme désigne un instrument ou autre dispositif capable de jouer
plusieurs sons différents en même temps, via plusieurs canaux MIDI. Voir mode
multi MIDI.
natifCe terme fait référence au traitement appliqué aux effets et aux instruments
logiciels à partir de l’hôte dans Logic Express. C’est le processeur de l’ordinateur qui
calcule en natif les effets et les instruments. Le terme « natif » désigne également le
format de module interne à Logic Express, qui diffère du format d’Audio Unit.
Les modules natifs Logic Express fonctionnent uniquement avec Logic Express.
niveau de zoomLe degré d’agrandissement du contenu d’une fenêtre. Un zoom avant
de haut niveau permet de réaliser des modifications plus précises. À l’inverse, vous
pouvez effectuer un zoom arrière complet pour visualiser le projet dans son ensemble
et travailler sur de grandes rubriques.
normaliserCette fonction permet d’appliquer les réglages de la zone des paramètres
aux événements MIDI sélectionnés (par modification de ces éléments) et de supprimer
les réglages existants. En ce qui concerne l’audio, une autre fonction Normaliser permet
d’augmenter jusqu’au niveau numérique maximum le volume d’un fichier audio enregistré, sans modifier son contenu dynamique.
numériqueDescription de données stockées ou transmises sous la forme d’une
séquence de uns et de zéros. Plus communément, se rapporte aux données binaires
représentées par des signaux électroniques ou électromagnétiques. Tous les fichiers
utilisés dans les applications Logic Express sont numériques. Voir également analogique.Glossaire 461
numéro de noteHauteur tonale d’une note MIDI, contrôlée par le premier octet de
données d’un événement de note MIDI.
objet instrumentObjet de l’environnement Logic Express destiné à communiquer
avec un dispositif MIDI monocanal. Un objet instrument représente un dispositif physique
ou virtuel qui gère des informations MIDI. Voir également objet multi instruments.
objet multi instrumentObjet de l’environnement Logic Express, qui représente un
périphérique matériel ou logiciel multitimbral réagissant à l’interface MIDI. Il équivaut
à 16 objets instrument réunis en un seul objet. Chacun d’entre eux, appelé sous-instrument, dispose d’un canal MIDI fixe. Tous les sous-canaux utilisent le même port MIDI.
Tous les autres paramètres peuvent être réglés séparément. On utilise en général
les objets multi instrument pour adresser des périphériques MIDI multi-canaux qui
peuvent recevoir des données MIDI (et jouer des sons différents) sur des canaux MIDI
distincts.
octet de statutPremier octet d’un message MIDI, qui définit le type de message.
octets de donnéesIls définissent le contenu d’un message MIDI. Le premier octet
de données représente la note ou le numéro de contrôleur, le second la vélocité ou
la valeur du contrôleur.
OpenTLAbréviation d’Open Track List. Ce format de fichier, généralement utilisé pour
l’échange de données avec des enregistreurs sur disque dur Tascam, tels que le MX 2424,
peut être importé et exporté par Logic Express. Seul l’échange de données audio
(régions audio, avec informations de position de piste) est pris en charge par ce format
de fichier. Les données MIDI et les données d’automation sont ignorées lorsque vous
utilisez la fonction d’exportation OpenTL de Logic Express.
optionChoix dans une fonction, apparaissant souvent sous forme de case à cocher,
ou parfois sous forme d’entrée de menu.
OptionTouche de modification, également appelée touche Alt dans MS Windows.
oscillateurUn synthétiseur génère un courant alternatif, utilisant une sélection
de formes d’onde contenant des quantités diverses d’harmoniques.
par défautValeur préréglée pour un paramètre.
paramètre SwingModifie la temporisation stricte d’une grille de quantification en
retardant une note sur deux d’un laps de temps défini, dans une subdivision donnée.
passe-bande, filtreCe filtre permet uniquement le traitement de la bande de fréquences
centrée autour de la fréquence de coupure, alors que les fréquences plus éloignées
(fréquences basses et fréquences hautes) sont écartées. Il en résulte un son contenant
de nombreuses fréquences moyennes. Voir également filtre. 462 Glossaire
passe-bas, filtreLe filtre passe-bas définit la fréquence maximale d’un son sans altération
de celui-ci ; ce filtre contrôle la clarté du son. Tout signal au-dessus de cette fréquence
sera coupé. Plus la fréquence de coupure est élevée, plus les fréquences admissibles le sont
également. Un filtre passe-bas qui n’offre aucun contrôle d’inclinaison ou de résonance est
un filtre High Cut.
pédale sustainPédale d’interruption connectée aux claviers MIDI. Elle transmet
le contrôleur MIDI 64, qui est enregistré et lu par Logic Express.
plage dynamiqueLa plage dynamique correspond à la différence de niveau entre le
pic du signal le plus élevé pouvant être reproduit par un système audio (ou tout dispositif du système) et l’amplitude du composant spectral le plus élevé du bruit de fond.
En d’autres termes, la plage dynamique correspond à la différence entre le signal le
plus fort et le signal le plus faible que le système peut reproduire. Elle se mesure en
décibels (dB). Voir décibels.
point d’ancragePoint de départ d’un fichier audio sur lequel se base une région
audio. Voir également Éditeur des échantillons.
point zéroDans un fichier audio, point au niveau duquel la forme d’onde passe sur
l’axe de l’amplitude zéro. Si vous coupez un fichier audio au moment d’un passage
à zéro, il n’y aura pas de clic au point de coupure.
porteuseDans la synthèse FM, la porteuse est l’équivalent de l’oscillateur de synthétiseur
analogique qui produit une onde sinusoïdale. La fréquence de porteuse est modulée par
le modulateur.
post-équilibreurDans les mélangeurs analogiques, les envois sont positionnés avant
(pré) ou après (post) l’équilibreur. « Post-équilibreur » implique un positionnement
après le curseur du volume dans le cheminement du signal, ce qui signifie que le
niveau envoyé à l’effet d’envoi varie en fonction des mouvements du curseur.
pré-équilibreurSur les tables de mixage analogiques, les effets d’envoi sont positionnés
soit avant (pré), soit après l’équilibreur (post). « Pré-équilibreur » implique un positionnement avant le curseur du volume dans le cheminement du signal, ce qui signifie que le
niveau envoyé à l’effet d’envoi demeure constant, quels que soient les mouvements du
curseur.
préréglageEnsemble de valeurs de paramètres d’un module, qu’il est possible de
charger, enregistrer, copier ou coller via le menu Réglages, dans l’en-tête de la fenêtre
du module. Voir réglage et menu Réglages.
Presse-papiersLe Presse-papiers est une partie invisible de la mémoire, dans laquelle
vous pouvez couper ou copier des données sélectionnées, à l’aide du menu Édition.
Les données stockées dans le Presse-papiers peuvent être collées dans différents
emplacements. Glossaire 463
pressionVoir aftertouch
prisesUne prise est tout simplement un enregistrement. Logic Express permet
de créer plusieurs prises, l’une après l’autre, sans quitter le mode d’enregistrement.
Ces prises peuvent ensuite être compilées en une seule (voir compilation).
profondeur de bitsNombre de bits utilisés par un enregistrement ou un périphérique
numérique. Le nombre de bits de chaque échantillon détermine la plage dynamique
maximale (théorique) des données audio, quelle que soit la fréquence d’échantillonnage.
PWMModulation de la largeur d’impulsion (PWM, Pulse Width Modulation). Les synthétiseurs implémentent souvent cette fonction, dans laquelle une forme d’onde
carrée est déformée par sa largeur d’impulsion. Une forme d’onde carrée correspond
généralement à un son caverneux, alors qu’une forme d’onde carrée modulée correspond à un son nasillard.
quantificationCorrection temporelle des positions des notes en les déplaçant vers
le point le plus proche sur une grille sélectionnable.
quantité de modulationForce ou intensité de modulation.
QuickTimeNorme multi-plates-formes d’Apple pour la lecture et l’encodage de
données vidéo numériques compressées.
raccourci clavierFonction pouvant être exécutée à l’aide d’une ou plusieurs touches
du clavier de votre ordinateur ou du contrôleur MIDI.
RAMAbréviation de random-access memory. Capacité mémoire de l’ordinateur,
mesurée en méga-octets (Mo), qui définit la quantité de données que l’ordinateur
peut traiter et stocker temporairement à tout moment.
ReCycleReCycle est le nom d’une application éditée par Propellerhead, qui sert principalement d’outil de production et d’édition des boucles (échantillons audio répétés).
ReCycle fait appel à des formats de fichiers spécifiques (.REX), qui peuvent être importés
dans Logic Express.
régionLes régions figurent dans les pistes Arrange de Logic Express : il s’agit de ligatures
rectangulaires qui servent de conteneurs pour les données audio ou MIDI. Il en existe trois
types : régions audio, régions MIDI et régions dossier (généralement simplement appelées
dossiers). Voir égalementrégion audio, région MIDI et dossier.
réglage1) Valeur d’un paramètre. 2) Ensemble de valeurs des paramètres d’un module
pouvant être chargé, enregistré, copié ou collé via le menu Réglages. On dit aussi d’un
réglage de module qu’il est préréglé. Voir également préréglage et menu Réglages.
repérageMonitoring (lecture) pendant l’avance rapide ou le rembobinage.464 Glossaire
résolution binaireAutre terme pour « profondeur de bits ». Voir les entrées profondeur
de bits et débit.
résonanceTerme généralement associé aux filtres, en particulier à ceux des synthétiseurs. La résonance amplifie la plage de fréquences autour de la fréquence de coupure.
Voir fréquence de coupure.
réverbérationLa réverb(ération) est la persistance d’un son, c’est-à-dire la réflexion
des ondes sonores, dans un espace physique. Par exemple, un frappement dans les
mains dans une cathédrale fait réverbération tant que les ondes sonores rebondissent
sur les surfaces de la pierre de l’espace. Un frappement de main dans un espace réduit
produit peu de réverbération car les ondes sonores atteignent les murs et rebondissent
si rapidement que la réverbération est pratiquement inaudible.
ReWireTechnologie de diffusion et de synchronisation audio propre aux logiciels
Propellerhead. Les données en sortie des applications ayant subi une opération ReWire
peuvent être transmises à la table de mixage Logic Express, qui va ensuite pouvoir
les traiter. Logic Express peut également contrôler les opérations de transport des programmes ayant subi une opération ReWire. Outre ces fonctions, les pistes d’instrument
de Logic Express peuvent piloter les instruments logiciels des applications ReWire.
ritardandoRalentissement graduel du tempo (voir tempo).
roue de modulationContrôleur MIDI qui se trouve sur la plupart des claviers MIDI.
routageCe terme désigne généralement la façon dont les données audio sont
envoyées aux unités de traitement. Il qualifie aussi souvent des assignations d’entrée
ou de sortie spécifiques.
S/P-DIFAbréviation de Sony/Philips Digital Interface, norme de format de transmission
pour les signaux audio numériques stéréo professionnels. Il s’agit d’un format similaire
à AES/EBU, mais utilisant des câbles et connecteurs coaxiaux ou optiques de 75 ohms.
Selon le type de périphériques utilisé, les interfaces coaxiales AES/EBU et S/P-DIF peuvent communiquer directement. La plupart des interfaces audio numériques actuelles
intègrent des connecteurs S/P-DIF.
saisir (un objet)Positionner le curseur de la souris sur un objet et maintenir le bouton
de la souris enfoncé.
saturationTerme généralement associé à une légère distorsion de bande ou aux
caractéristiques des amplificateurs à tubes. Il désigne un gain de volume sonore très
élevé aboutissant à une légère distorsion du signal entrant, qui donne un son arrondi
et chaud.Glossaire 465
SDIIFormat de fichier audio Sound Designer II, dont la structure est similaire à celle du
format de fichier AIFF.
sélection par étirementTechnique de sélection de régions, objets ou événements consécutifs en cliquant sur le bouton de la souris, en le maintenant enfoncé, puis en faisant
glisser le curseur de la souris autour des éléments souhaités. Une enveloppe de sélection par étirement (contour) s’étend alors à partir de la position de départ du curseur
de la souris. Tous les objets touchés ou entourés par cette enveloppe sont sélectionnés.
séquenceurDe nos jours, un séquenceur est considéré comme une application
informatique permettant d’enregistrer des données audio et MIDI numériques et de
fusionner les sons dans une console de mixage. Il y a quelques décennies, un séquenceur contrôlait des synthétiseurs via une série de portes et tensions de contrôle, ou uniquement via MIDI. Aucun enregistrement ni contrôle audio n’était possible.
séquenceur pas à pasTandis que tous les séquenceurs, y compris Logic Express, parcourent une série d’événements, ce terme permet de décrire un périphérique depuis
les origines des synthétiseurs analogiques. les potentiomètres (généralement 8) étaient
disposés sur deux rangées et l’on réglait chacun séparément pour contrôler le temps
de maintien (durée de la note) et la hauteur tonale d’un synthétiseur connecté.
Le séquenceur traitait ces réglages soit en une seule fois, soit régulièrement. Bon nombre d’instruments logiciels actuels, notamment les synthétiseurs de batterie, intègrent
un séquenceur pas à pas synchronisé sur la lecture de Logic Express. Ultrabeat intègre
un séquenceur pas à pas infiniment plus souple que ses anciens cousins analogiques.
shelving EQType EQ permettant d’augmenter ou de réduire la plage de fréquences
au-dessus ou au-dessous de la fréquence spécifiée.
side chainAutre signal d’entrée (généralement acheminé dans un effet) servant à contrôler un paramètre d’effet. Exemple : vous pouvez utiliser une piste avec entrée laté-
rale contenant une boucle de batterie comme signal de contrôle pour une porte
insérée dans une piste avec atténuateur constant, créant ainsi un effet de déclenchement rythmique du son de l’atténuateur.
signal analogiqueDescription de données consistant en un niveau de tension variable sans fin qui représente les informations audio. Les signaux numériques doivent être
numérisés ou capturés pour être utilisés dans une application Logic Express. Contraire
de numérique.
signal mouillé/secDésigne le rapport entre un signal sur lequel des effets ont été
ajoutés (mouillé) et le signal d’origine, non traité (sec).
SMFVoir Standard MIDI File. 466 Glossaire
SMPTEAbréviation de Society of Motion Picture and Television Engineers. Il s’agit de
l’organisme responsable de l’établissement d’un système de synchronisation qui divise
le temps en heures, minutes, secondes, images et sous-images (code temporel SMPTE).
Le code temporel SMPTE permet également de synchroniser différents périphériques.
L’équivalent MIDI du code temporel SMPTE est le MTC (MIDI Time Code). Voir MTC.
soloMise en évidence temporaire d’un(e) ou plusieurs piste(s), région(s) ou événement(s),
pour pouvoir les écouter indépendamment.
sous-imageSubdivision d’une image SMPTE, correspondant à chaque bit. Une image
est constituée de 80 bits.
SPPAbréviation de Song Position Pointer, sous-message d’horloge MIDI indiquant la
position de lecture dans le morceau de musique en cours (projet). Ce sous-message est
adapté aux mesures (et aux battements pour certains périphériques) mais ne l’est pas
en tant que code MTC (MIDI Time Code).
Standard MIDI File (SMF)Format de fichier standard pour l’échange de morceaux
entre différents séquenceurs ou lecteurs de fichiers MIDI. Les fichiers MIDI standard ne
sont pas spécifiques à un programme de séquenceur, un type d’ordinateur ou un périphérique en particulier. N’importe quel séquenceur doit être capable d’interpréter au
moins le format de fichier MIDI de type 0. Les fichiers MIDI standard contiennent des
informations relatives aux événements MIDI, notamment les positions temporelles et les
assignations de canaux, le nom de chaque piste, le nom des instruments, les données
de contrôleur, les changements de tempo, etc.
stéréoReproduction sonore stéréophonique de deux canaux audio différents.
Contraire de mono.
synchronisationMéthode qui permet que plusieurs périphériques d’enregistrement
ou de lecture s’exécutent en même temps. Dans quasiment toutes les configurations
synchronisées, il y a un périphérique principal et un ou plusieurs périphérique(s)
secondaire(s), qui règle(nt) leur horloge de synchronisation par rapport à celle du
périphérique principal.
synchroniseurUnité centrale utilisée pour le contrôle de la synchronisation de
plusieurs périphériques.
synthétiseurPériphérique (matériel ou logiciel) utilisé pour générer des sons. Ce terme
vient des toutes premières tentatives d’émulation (ou synthétisation) de sons d’instruments musicaux, de voix, de chants d’oiseaux, etc., à l’aide de machines mécaniques et
électroniques. Logic Express comprend plusieurs synthétiseurs logiciels, tels que ES1,
ES2, EFM1, ES E, ES P et ES M.Glossaire 467
SysExAbréviation de données System Exclusive. Les données SysEx constituent le
niveau supérieur de la hiérarchie des commandes MIDI. Ces messages disposent d’un
numéro d’identification pour chaque fabricant (ID fabricant SysEx). Le contenu de ces
commandes MIDI dépend du fabricant. Les données SysEx servent souvent à transférer
des programmes sonores ou des réglages système individuels, ou à adresser des paramètres de génération de sons ou de traitement de signaux.
tempoVitesse de lecture d’un morceau de musique, mesurée en battements par minute.
tickPlus petite unité de résolution temporelle dans un séquenceur MIDI. Dans
Logic Express, il s’agit d’1/3 840e de note. Logic Express est capable de zoomer jusqu’à
un échantillon simple pour les opérations d’édition et de positionnement, mais le protocole MIDI n’est pas suffisamment rapide pour prendre en charge une telle précision.
timecodeFormat (et signal) permettant d’assigner une unité temporelle séquentielle
unique à chaque image d’une position de lecture dans une vidéo ou un projet.
Au format SMPTE, ce timecode est exprimé en heures : minutes: secondes: images
et sous-images.
tonalitéGamme utilisée pour un morceau de musique, centrée sur une hauteur tonale
spécifique, appelée note fondamentale. On parle également de « hauteur tonale ».
tonalité Différence de hauteur (aigu/grave) d’un son musical. Correspond à la
fréquence de l’onde sonore.
touche de modificationTouches du clavier de l’ordinateur qui, utilisées en association
avec des touches alphabétiques, permettent de modifier une fonctionnalité. Il s’agit
notamment des touches Contrôle, Majuscule, Option et Commande.
TranspositionLa transposition consiste à modifier la hauteur tonale d’une région
(ou d’un événement) audio ou MIDI d’un certain nombre de demi-tons.
triangle d’affichagePetit triangle sur lequel vous cliquez pour afficher ou masquer
certains détails de l’interface utilisateur.
type de fenêtreÉtat d’une fenêtre : flottante ou normale. Les fenêtres flottantes se
trouvent toujours au premier plan, les fenêtres normales ne peuvent pas les masquer.
Voir aussi fenêtre flottante.
unicodeLes ordinateur traitent essentiellement des chiffres. Chaque lettre ou autre
caractère est stocké(e) en lui assignant un numéro. Le protocole Unicode offre un
numéro unique pour chaque caractère, quels que soient la plate-forme, le programme
ou la langue.468 Glossaire
utilitaire de boucles Apple LoopsL’utilitaire de boucles Apple Loops vous permet de
créer vos propres boucles Apple Loops. Pour l’utiliser, sélectionnez une région audio
dans la zone Arrangement, puis sélectionnez Audio > Ouvrir dans l’utilitaire de boucles
Apple Loops.
vélocitéForce avec laquelle une MIDI note est jouée. La vélocité est contrôlée par
le second octet de données d’un événement de note.
VU-mètreDe l’anglais Volume Unit meter. Compteur analogique permettant de
contrôler le niveau sonore audio.
WAV, WAVEPrincipal format de fichier audio utilisé par les ordinateurs compatibles
Windows. Dans Logic Express, tous les fichiers WAV enregistrés et tous ceux sur lesquels
un bounce a été effectué sont au format Broadcast Wave, qui permet de stocker des
informations de positionnement avec un horodatage haute résolution, ce qui facilite
l’intégration de ces fichiers dans d’autres applications audio et vidéo.
zone de dialogueFenêtre contenant une requête ou un message. Vous devez
y répondre (en appuyant sur un bouton) avant de continuer.
XGExtension de la norme General MIDI propre à Yamaha, compatible avec Roland GS.
zoomOpération de grossissement (zoom avant) ou de rétrécissement (zoom arrière)
de l’affichage dans une fenêtre.
469
Index
Index
A
acheminement, description 464
aigus, plage de fréquences 65
AKAI
importation de fichier avec EXS24 mkII 305–309
AKAI, fichier
description 446
aliasing
description 450
allpass, filtre 453
amplifier 446
amplitude, description 446
Analogique de base (instrument GarageBand) 431
atténuation 446
audio
amélioration des enregistrements parlés 147
amélioration du contrôle du temps 144
amplification 152
application de la distorsion 27
correction de la hauteur tonale 119
feeling swing 146
rendre des enregistrements numériques plus
vivants 145
rythmes variables 146
transformation des pistes vocales 125
transposition 119
transposition de la hauteur tonale 124
Audio Unit, module 447
AutoFilter 68–72
curseur Seuil 68
paramètres de l’effet Distortion 70, 71
paramètres Envelope 68, 71
paramètres Filter 69, 70
paramètres LFO 69, 71
paramètres Output 70, 72
automatisation 447
AVerb 130
B
balayage sinusoïdal 154
bande de fréquence
analyse 60
réglage 55
bande passante (Égaliseur) 56
banque de filtres 159
base stéréo, extension 93, 96
Bass Amp 13–15
basse (instrument GarageBand) 431
basse, génération artificielle 148
basses, plage de fréquences 65
battement 448
battement de métronome. Voir KlopfGeist
battements par minute 448
batteries (instrument GarageBand) 431
Bitcrusher 28
boîte de dialogue 451
Bounce, description 448
bpm. Voir battements par minute
bruit
description 381
réduction 142
suppression 49
bruit blanc 219, 448
bruit bleu 448
bruit coloré 219
bruit rose 448
bus (table de mixage), description 449
C
CAF (fichier), description 449
Carlos, Wendy 182
case à cocher 449
cent 449
chambre d’écho 130
Channel EQ 57–60
activation d’Analyzer 57
écran graphique 58
section Parameter 58
utilisation 59
utilisation d’Analyzer 60
Chorus (module d’effet) 104
clavinet électrique (instrument GarageBand) 431
Clip Distortion 29
compresseur
décrit 35–36470 Index
description 450
spécifique de fréquences 41
Compressor 37–40
menu Circuit Type 40
paramètre Auto Gain 40
utilisation 39
vue d’ensemble des paramètres 37
Compteur BPM 100
contrôle du temps
amélioration 144
description 450
contrôleur, description 450
cordes (instrument GarageBand) 434
Core Audio 450
Core MIDI 450
Correlation Meter 100
cors (instrument GarageBand) 431
courbe de Bézier 450
crête, description 451
crête, limiteurs 36
D
débit 451
décaleur de fréquence 109
décibel 451
DeEsser 41
section Detector 42
section Suppressor 42
Denoiser 142–143
utilisation 143
vue d’ensemble des paramètres 142
densité (effet de réverbération) 130
désactivation du son, description 460
diffusion (effet de réverbération) 130
Digital Signal Processing 451
Digital Stepper (instrument GarageBand) 431
Digiwave 214
Direction Mixer 93–95
Distortion (module d’effet) 31
Distortion II (module d’effet) 31
DJ EQ (module d’effet) 61
DLS, importation de fichier 300
doublage, effet 106
DSP. Voir Digital Signal Processing
Ducker 42
utilisation 44
vue d’ensemble des paramètres 43
Dudley, Homer 181
dynamique, effets 35–53
E
échantillonnage 452
Echo (module d’effet) 22
écrêtage 27, 452
effet audio externe, intégration dans la table de
mixage Logic 153
effet de « dub » 24
effet de chœur, décrit 263, 452
effet de distorsion numérique 28
effet de filtre en peigne 108, 452
effets, inclus dans Logic Express 9
effets d’égalisation
monobandes 55
Effets d’égaliseur 55–65
multibande 56
effets d’égaliseur
plages de fréquences utilisées 65
effets Delay (de retard) 21–25
effets Distortion 27–34
effets du modelage d’amplificateur 13–20
effets Imaging 93–97
effets sonores (instrument GarageBand) 434
effets spécialisés 141–149
effet XG 468
EFM 1 183–189
EFM1
Assignation d’un contrôleur MIDI 189
bouton Fixed Carrier 186
bouton Unison 184
formes d’onde 186
LFO 187
paramètre Glide 184
paramètre Randomize 185
paramètres carrier 185
paramètres de sortie 187
paramètres FM 186
paramètres modulator 185
paramètre Transpose 184
paramètre Tune 184
paramètre Voices 184
potentiomètre FM 186
potentiomètre FM Depth 186
potentiomètre Main Level 188
potentiomètre Modulator Pitch 187
potentiomètre Modulator Wave 186
potentiomètre Rate 187
potentiomètres Fine 185
potentiomètres Harmonic 185
potentiomètre Stereo Detune 188
potentiomètre Sub Osc Level 187
potentiomètre Velocity 188
potentiomètre Vol Envelope 188
section Modulation Env 186
Égaliseurs monobandes 55
égaliseurs multibandes 56
égaliseur Voir Effets d’égaliseur
élément transitoire
description 453
mise en forme 44
Enhance Timing (module d’effet) 144Index 471
enregistrement parlé, amélioration 147
Ensemble (module d’effet) 104
Enveloper 44–46
utilisation 45
vue d’ensemble des paramètres 44
enveloppe 443, 453
attaque 443
chute 443
relâchement 443
Sustain 443
EnVerb 131
ES1 197–205
2’, 4’, 8’, 16’, 32’, boutons 198
acheminement de la modulation 202
ADSR via la section Vel 200
Analog, paramètre 203
Assignation d’un contrôleur MIDI 205
Bender Range, paramètre 203
Chorus, paramètre 204
curseur Cutoff 199
curseur Drive 199
curseur Glide 201
curseur Int via Vel 202
curseur Int via Whl 201
curseur Key 199
curseur Mix 198
curseur Resonance 199
Enveloppe de volume, commandes 203
Level via la section Vel 200
LFO Waveform 201
Mod Envelope, commande 203
modulation de la fréquence de coupure 200
oscillateur secondaire (Sub) 198
Out Level, paramètre 203
Rate, commande 201
réglage de la fréquence de coupure 199
router 202
sélecteur de l’enveloppe de volume 200
slope, boutons 199
transposition d’octaves 198
Tune, paramètre 203
Voices, paramètre 204
Volume, commande 200
Wave, potentiomètre 198
ES2 207–289
acheminement du filtre en parallèle 222
acheminement du filtre en série 222
Amp, cible de modulation 231, 238
amplificateur 231
Blend. Voir Filter Blend, curseur
bouton BP 228
bouton BR 228
bouton Chorus 263
bouton D (ENV 1) 251
bouton Fat 228
bouton Fix Timing 262
bouton Flanger 263
bouton Flt Reset 227
bouton Hi 228
bouton inv (Router) 233
bouton Legato 210
bouton Lo 228
bouton Mono 210
bouton Peak 228
bouton Phaser 263
bouton Poly 210
bouton R (ENV 1) 251
bouton RND 265
boutons Wave 247
bouton Unison 211
bruit 219
carré 254
chaîne, symbole 227
cible de modulation 234
cible de modulation démultipliée 239
Env2Atck 239
Env2Dec 239
Env2Rel 239
Env2Time 239
Env3Atck 240
Env3Dec 240
Env3Rel 240
Env3Time 240
Glide 240
LFO1Rate 239
contournement de la modulation 232
curseur Attack via Vel (ENV 1) 251
curseur Attack via Vel (ENV 2 et 3) 252
curseur Chute (ENV 2 et 3) 252
curseur EG (LFO 1) 247
curseur Libération 253
curseur Rate (LFO 1) 247
curseur Rate (LFO 2) 248
curseur RND Int 265
curseurs Notes tenues et Temps de maintien 253
curseur Vel 253
Cut 1+2, cible de modulation 238
Cut1inv2, cible de modulation 238
Cutoff 1, cible de modulation 237
Cutoff 2, cible de modulation 237
désactivation du son des oscillateurs 213
Detune, cible de modulation 234
Digiwave 214
distorsion 225
dynamique, partie 231
ENV 1 250
ENV 2 252
ENV 3 252
enveloppes 249–253
enveloppe vectorielle 255–262
désactivation 258
mise à l’échelle 262472 Index
exemple de modulation 233
Filter Blend, curseur 223
filtrage
mode 228
filtre 221–230
acheminement 222
fondu enchaîné 223
modulation 229
pente 228
réinitialisation 227
FltBlend, cible de modulation 238
FM (modulation de fréquence) 215
fondu enchaîné aux filtres 223
fondu enchaîné entre les signaux des
oscillateurs 220
forme d’onde LFO 247
formes d’onde de l’oscillateur 1 214
formes d’onde des oscillateurs 2 et 3 216
guide d’initiation 269–289
enveloppe vectorielle 279
réglage Analog Bass clean 271
réglage Sync Start 277
inversion de la modulation via 233
LFO 246–248
Lfo1Asym, cible de modulation 238
Lfo1Curve, cible de modulation 239
LPF FM, cible de modulation 237
matrice de modulation 232–246
menu CBD 210
menu Curve 260
menu Env Mode 259
menu Mode Loop 261
menu Osc Start 212
menu RND Destination 266
menus Vector X et Y Target 255
menu Vector Mode 254
menu via (Router) 233
modèles 282
modes de déclenchement de l’enveloppe 250
modulation en anneau 218
option Sync 218
Osc1Levl, cible de modulation 237
Osc1Wave, cible de modulation 236
Osc1WaveB, cible de modulation 236
Osc2Levl, cible de modulation 237
Osc2Wave, cible de modulation 236
Osc2WaveB, cible de modulation 236
Osc3Levl, cible de modulation 237
Osc3WaveB, cible de modulation 237
oscillateur
désactivation du son 213
réglage 213
synchronisation 218
OscLScle, cible de modulation 237
OscWaveB, cible de modulation 236
OscWaves, cible de modulation 235
Pan, cible de modulation 238
paramètre Bend Range 210
paramètre Loop Count 262
paramètre Loop Rate 261
paramètre Loop Smooth 262
paramètres 208–268
paramètres des oscillateurs 213–221
paramètres globaux 209–212
paramètres OscLevelX et OscLevelY 220
paramètres Vector X et Y Int 255
paramètre Time Scaling 262
paramètre Tune 209
paramètre Voices 211
Pitch 1, cible de modulation 234
Pitch 123, cible de modulation 234
Pitch 2, cible de modulation 234
Pitch 3, cible de modulation 234
point d’enveloppe vectorielle
modification 258
réglage 258
rétablissement 259
point d’une enveloppe vectorielle 256
point Loop (enveloppe vectorielle) 257
point Solo (enveloppe vectorielle) 259
point sustain (enveloppe vectorielle) 256
potentiomètre Analog 209
potentiomètre Cut (fréquence de coupure) 226
Potentiomètre de fréquence 213
potentiomètre Distortion 263
potentiomètre Drive 225
potentiomètre FM (second filtre) 229
potentiomètre Glide 210
potentiomètre Intensity 263
potentiomètre Res (résonance) 227
potentiomètre Sine Level 231
potentiomètre Speed 263
potentiomètre Tone 263
potentiomètre Wave 214
processeur d’effets 263
puissance de traitement, gestion
économique 230
PWM 217
Random, fonction 265
réglage par défaut de l’enveloppe vectorielle 258
réglage Ring 218
Reso 1, cible de modulation 237
Reso 2, cible de modulation 237
routeur 232–246
SineLevl, cible de modulation 237
source de modulation 240
Bender 241
contrôleurs MIDI A–F 242
ENV1 240
ENV2 240
ENV3 240
Kybd 241Index 473
LFO1 240
LFO2 240
Max 241
ModWhl 241
Pad-X 241
Pad-Y 241
RndNO1 243
RndNO2 243
SideCh 243
Touch 242
Velo 241
Whl+To 242
source via 243
Bender 244
ENV1 243
ENV2 244
ENV3 244
Kybd 244
LFO2 243
ModWhl 244
Pad-X 244
Pad-Y 244
RndNO1 245
RndNO2 246
SideCh 246
Touch 244
Velo 244
Whl+To 244
Stratocaster 282
synthèse à tables d’ondes 215
Target. Voir cible de modulation 234
triangle (zone de mixage des oscillateurs) 220
utilisation de la souris comme manette de
jeu 254
via la source
LFO1 243
vibrato retardé 247
vue Macro 264
vue MIDI 264
ES E 191–192
ES M 193–194
ES P 195–196
événement aftertouch 446
événement MIDI, description 453
événement SysEx 467
EVOC 20 Filterbank 72–76
EVOC 20 PolySynth
Formant Filter, fenêtre 169
EVOC 20 Filterbank
paramètres de banque de filtres 73
paramètres LFO 74
section Output 75
EVOC 20 PolySynth 157–180
Analog, potentiomètre 166
Attack, curseur (enveloppe) 167
bande de fréquence la plus basse/la plus haute
définition du type de filtre 170
détermination de la valeur 169
bandes d’analyse 168
Bands, paramètre 168
barre bleue 169
Bend Range, paramètre 166
Cutoff, potentiomètre 166
détecteur U/V 173
Dual, mode 163, 165
Ensemble, boutons 176
enveloppe, paramètres 167
FM (Frequency Modulation), mode 163, 165
Formant Shift, paramètre 170
Formant Stretch, paramètre 170
gel du spectre du son analysé 168
générateur de bruit 164
Glide, potentiomètre 166
insertion 160
intelligibilité, augmentation 168, 178–180
Int via Whl, curseur 172
Legato, bouton 162
Level, curseur (section Output) 176
LFO, forme d’onde 172
menu Mode (section U/V Detection) 174
modulation, paramètres 171
Mono, bouton 162
nombre de bandes de fréquence 168
oscillateur, paramètres 163
paramètres 161–176
paramètres LFO 171
Pitch LFO, curseur 171
Poly, bouton 162
potentiomètre Level (section U/V Detection) 175
Rate, potentiomètres (modulation) 172
Release, curseur (enveloppe) 167
Resonance (Formant Filter), paramètre 171
Resonance, potentiomètre 167
schéma de principe 177
Sensitivity, potentiomètre 174
Shift LFO, curseur 171
Sidechain Analysis In, section 167
signal de sortie 176
Stereo Width, potentiomètre 176
synthétiseur 162
Tune, paramètre 166
Tuning 166
Unison, bouton 162
utilisation des ressources de l’UC, diminution 168
voix 162
Wave 1, paramètres 163
Wave 2, paramètres 164
EVOC 20 TrackOscillator 76–87
correction de hauteur 81
paramètres de banque de filtres 82
paramètres de l’oscillateur de suivi 80
paramètres LFO 84474 Index
schéma de principe 177
section Analysis In 78
section Output 86
section Synthesis In 79
section U/V 85, 173
source du signal Analysis, définition 79
source du signal Synthesis, définition 79
Exciter (module d’effet) 145
Expander (module d’effet) 46
expandeurs 36
EXS24 mkII 291–355
AKAIfenêtre Convert 307
boutons Wave (LFO 1, LFO 2) 323
curseur Glide 317
curseur Level via Vel 321
curseur Pitcher 317
désactivation du filtre de recherche 299
destinations de modulation 327
dossiers de l’instrument échantillonné 295
échantillon. Voir fichier audio
Edit, bouton 312
fichier audio
aperçu 332
chargement 331, 337
formats pris en charge 294
note fondamentale 338
Filter Envelope 320
Filter On/Off, bouton 318
filtre bandpass 319
groupe 334
création 335
déplacement 346
déterminer la sortie 343
édition 336
édition de la plage de vélocité 348
édition graphique 346
réglage du volume 343
sélection 336
suppression 336
suppression des groupes inutilisés 335
tri 349
instrument à sortie multiple 343
instrument échantillonné 293
attribution d’un nouveau nom 350
chargement 295
création 331
enregistrement 350
gestion 298
importation 300–309
recherche 299
sauvegarde 298
Instrument Editor 328–350
ouverture 329
View, menu 349
inversion de la source de modulation 325
matrice de modulation 324–328
modulation de second ordre 326
Options, bouton 312
paramètre Hold via 313
paramètre Remote 316
paramètres Pitch Bend 316
paramètres zone
colonne Audio File 331, 337
paramètre Transpose 315
paramètre Vel Offset 313
paramètre Xfade 313
parcours de modulation 324
parcours de modulation de l’EXS24 mkI 326
pentes de filtre highpass 319
pentes de filtre lowpass 318
potentiomètre Cutoff 319
potentiomètre Drive 319
potentiomètre Fine 316
potentiomètre Key 320
potentiomètre Random 315
potentiomètre Resonance 319
potentiomètre Tune 315
potentiomètre Volume 321
Preferences 351–354
réassociation des événements des roulettes de
Pitch Bend et de modulation 345
sources de modulation 327
symbole chaîne (filtre) 320
Zone
création 331–334
zone 331
assignation de fichier audio 331
attribution de noms 337
déplacement 346
édition 336
édition de la plage de vélocité 348
édition graphique 346
sélection 336
suppression 336
tri 349
EXS24 mkII
Amp Envelope 322
bouton b/p (matrice de modulation) 326
bouton Fat 319
bouton inv (matrice de modulation) 325
bouton Legato 311
bouton Mono 310
bouton Poly 310
bouton Show Velocity 348
bouton Unison 311
case à cocher 1Shot 339
case à cocher Pitch (zone) 339
case à cocher Rvrs (Reverse) 339
commande Clear Find 299
commande Enable Find 299
commande Extract MIDI Region and Add Samples
to Current Instrument 304Index 475
commande Extract MIDI Region and Make New
Instrument 303
commande Extract Region(s) from ReCycle
Instrument 304
commande Load Multiple Samples 333
commande Paste ReCycle Loop as New
Instrument 304
commande Paste ReCycle Loop to Current
Instrument 304
commande Slice Loop and Add Samples to the
Current Instrument 304
commande Slice Loop and Make New
Instrument 304
contrôle simultané des paramètres Cutoff et
Resonance 320
conversion de fichier AKAI 305–309
curseurs Time Curve 321
Destination de modulation Sample Select 328
enregistrer les réglages des paramètres dans
l’instrument échantillonné 297
ENV 1 320
ENV 2 322
fenêtre Parameters 309–328
fichier audio
chargement de plusieurs fichiers en une seule
fois 333
hauteur tonale de lecture 338
ouverture dans Sample Editor 337, 340
fichier DLS 300
fichier Gigasampler 300
fichier SampleCell 300
fichier SoundFont2 300
forme d’onde LFO 323
groupe
assignation à une zone 335
modification du point de début/fin 347
réglage de la balance 343
ignorer le parcours de modulation 326
importation
fichier AKAI 305–309
fichier DLS 300
fichier Gigasampler 300
fichier ReCycle 302–304
fichier SampleCell 300
fichier SoundFont2 300
importation de fichier ReCycle 302–304
instrument échantillonné
copie sur le disque dur 297
création depuis un fichier ReCycle 303–304
exportation avec les fichiers audio 350
Instrument Editor
configuration de l’affichage de la zone des
paramètres 349
mémoire virtuelle 354
menu Dest(ination) (matrice de modulation) 324
menu Sampler Instruments 295
actualisation 298
organisation 298
menu Src (Source) (matrice de modulation) 324
menu via (matrice de modulation) 324
note fondamentale 338
paramètre Amount (section Xfade) 314
paramètre Key Scale 322
paramètre Pan (zone) 338
paramètre Scale 338
paramètres de filtre 318–321
paramètres de groupe 342–344
paramètres de l’instrument échantillonné 297
paramètres de zone 337–342
paramètres généraux 310–315
paramètres Key Range (groupe) 342
paramètres Key Range (zone) 338
paramètres LFO 322
paramètres Loop 339
paramètres Pitch (fenêtre Parameters) 315–318
paramètres Pitch (zone) 338
paramètres Sample Start et End 339
paramètres Velocity Range 338
paramètres Voices (groupe) 343
paramètres Volume 321
paramètre Type (section Xfade) 315
paramètre Voices (fenêtre Parameters) 311
potentiomètre EG (LFO 1) 322
potentiomètre Rate (LFO 1) 323
potentiomètre Rate (LFO 2) 323
potentiomètre Rate (LFO 3) 323
réglage Map Mod & Pitch Wheel to Ctrl 4 &
11 345
rétablissement des paramètres de
l’instrument 297
rétablissement du paramètre par défaut 297
suppression des réglages de l’instrument 297
Vienna Symphonic Library Performance Tool 355
zone
assignation à un groupe 335, 337
balance 338
création de plusieurs fichiers à la fois 333
création par glisser-déplacer 332
modification du point de début/fin 347
zones superposées de fondu 313
External Instrument 357
Input Volume 357
MIDI Destination 357
F
Facteur Q (Égaliseur) 56
Fat EQ 61–63
utilisation 62
vue d’ensemble des paramètres 61
feeling swing, application au signal audio 146
fenêtre de module 453476 Index
fichier AIFF 446
fichier numérique 460
filtre 440
fréquence de coupure 440
résonance 441
filtre, effets 67–91, 452
Flanger 263
Flanger (module d’effet) 105
formant
description 127
transposition 125
forme d’onde 442
Freeze, fonction 455
fréquence d’échantillonnage 455
fréquence de coupure 55, 440
Fuzz-Wah 87–89
fonction Auto Gain 89
Pedal Range 89
vue d’ensemble des paramètres 87
G
Gain (module d’effet) 152
gamme, description 452
General MIDI. Voir norme GM
gestionnaire 455
Gigasampler, importation de fichier 300
GoldVerb 132–134
densité et diffusion 134
Early Reflection, paramètres 133
High Cut, paramètre 134
Initial Delay, paramètre 134
Predelay, paramètre 133
Reverb, paramètres 133
temps de réverbération 134
Grooveshifter 146
Guitar Amp Pro 15–20
Amp, section 16
curseur Output 20
Effects, section 19
microphone position 19
microphone type 20
vue d’ensemble 16
guitare (instrument GarageBand) 432
H
hauteur tonale
correction 119
transposition 124
High Cut Filter (module d’effet) 63
High Pass Filter (module d’effet) 63
High Shelving EQ (module d’effet) 63
hybride de base (instrument GarageBand) 432
hysteresis 51
I
inactivation, description 456
Inspecteur, description 457
instrument à vent (instrument GarageBand) 432
instrument GarageBand
effets sonores 434
percussion syntonisée 434
instruments, inclus dans Logic Express 11
Instruments GarageBand 429–432
instruments GarageBand
analogique de base 431
basse 431
batteries 431
Clavicorde électrique 431
cordes 434
cors 431
Digital Stepper 431
guitare 432
hybride de base 432
instrument à vent 432
macro-paramètres 430
métamorphose hybride 432
mono analogique 432
mono numérique 433
nappe analogique 433
numérique de base 433
orgue à roues phoniques 433
paramètres universels 430
piano 434
piano électrique 434
synchro analogique 434
tourbillon analogique 435
voix 435
vue d’ensemble 429
interface, description 457
inversion de phase 152
K
KlopfGeist 359
L
legato 457
Level Meter (module) 101
LFO 246, 458
Lier (bouton), description 448
Limiter (module) 48
limiteurs 36
longueur de mot. Voir profondeur de bits
Low Cut Filter (module d’effet) 63
Low Pass Filter (module d’effet) 63
Low Shelving EQ (module d’effet) 63
M
médiums, plage de fréquences 65
mesure, description 458Index 477
métamorphose hybride (instrument
GarageBand) 432
Metering, modules 99–102
Meyer-Eppler, Werner 181
Microphaser 106
MIDI Time Code, description 460
mode de déclenchements multiples 211, 459
mode de déclenchement unique 211, 459
modélisation de composants 13
modulateur en anneau 109
modulation, description 444
modulation, effets 103–118
modulation de fréquence 183, 215
modulation de la fréquence 185–187
oscillateur Carrier 183
oscillateur Modulator 183
relation entre les accords 185
Modulation de la largeur d’impulsion (PWM) 217,
463
Modulation Delay 106–107
module d’Entrée/Sortie 153
mono analogique (instrument GarageBand) 432
mono numérique (instrument GarageBand) 433
montage destructif, description 451
Moog, Bob 182
MS (Middle Side), enregistrement stéréo 95
multitimbral 460
N
nappe analogique (instrument GarageBand) 433
niveau
ajustement 152
analyse 101
Noise Gate (module d’effet) 49–51
curseur Hysteresis 51
utilisation 50
vue d’ensemble des paramètres 49
norme GM, description 455
numérique de base (instrument GarageBand) 433
O
onde rectangulaire 442
onde triangulaire 442
orgue à roues phoniques (instrument
GarageBand) 433
oscillateur 461
oscillateur Carrier 183
oscillateur de suivi 76
oscillateur Modulator 183
oscillation autoentretenue 447
Overdrive (module d’effet) 32
P
Parallel Bandpass Vocoder 181
Parametric EQ (module d’effet) 64
passe-bande, filtre 382
passe-bas, filtre 381
passe-haut, filtre 381, 454
pente 55
pente de filtre 384, 456
percussion syntonisée (instrument GarageBand) 434
phase d’attaque (enveloppe) 443, 446
Phase Distortion (module d’effet) 33
Phaser (module d’effet) 107–108
Phaser, effet 264
piano (instrument GarageBand) 434
piano électrique (instrument GarageBand) 434
Pitch, effets 119–127
Pitch Correction 119–123
automatisation 123
définition de la grille de quantification de hauteur
tonale 121
écran Correction Amount 123
exclusion de notes de la correction 122
référence, accord 122
Root, champ 121
Scale, menu 121
temps de réponse 123
vue d’ensemble des paramètres 120
Pitch Shifter II 124–125
utilisation 125
vue d’ensemble des paramètres 124
plage dynamique 462
augmentation 46
compression 37
limitation 48
lissage 37
plages de fréquences 65
PlatinumVerb 135–138
bande de fréquence basse, paramètres 138
densité et diffusion 137
Early Reflection, paramètres 135
High Cut, paramètre 137
Initial Delay, paramètre 137
Output, paramètres 136
Predelay, paramètre 136
Reverb, paramètres 136
temps de réverbération 137
point zéro, description 462
portes de bruit 36
post-équilibreur 462
pré-équilibreur 462
pré-retard (effet de réverbération) 130
présentation Contrôles (module) 445
présentation Éditeur (module) 445
problèmes de synchronisation, correction 22
profondeur de bits, description 463478 Index
Q
queue de réverbération, ajustement de
l’enveloppe 131
R
réflexions précoces 129
relation de phase, analyse 100
repliement
création artificielle 28
résolution en bits. Voir profondeur de bits
résonance 441, 464
résonance, effet 106
retard de canaux à l’aide de valeurs
d’échantillonnage 22
Reverb, effets 129–139, 464
réverbération 129
RingShifter 109–114
Delay, section 112
LFO, section 114
mode de fonctionnement 110
Oscillator, section 111
Output, section 112
sources de modulation 113
suiveur d’enveloppe 113
vue d’ensemble 109
Rotor Cabinet 114
rythme, variation 146
S
Sample & Hold 248
SampleCell, importation de fichier 300
Sample Delay 22
saturation 464
Scanner Vibrato 116
sélection par étirement 465
séquenceur, description 465
séquenceur pas à pas 400
seuil (compresseur) 35
sibilance, élimination 41
Side Chain (fonction), description 465
sifflante, élimination 41
signal analogique 465
Silver Compressor 52
Silver EQ 64
Silver Gate 53
SilverVerb 138
sons vocaux/non vocaux 173
SoundFont2, importation de fichier 300
Spectral Gate 90–91
Speech Enhancer 147
Spreader 117
Stereo Delay 23
Stereo Spread 96–97
SubBass 148–149
utilisation 149
vue d’ensemble des paramètres 148
synchro analogique (instrument GarageBand) 434
synthèse 438
FM. Voir modulation de fréquence
soustractive 439
synthèse soustractive 439
synthétiseur
analogique 437
analogique virtuel 437
description 466
notions élémentaires 437–444
numérique 437
synthétiseur analogique 437
synthétiseur analogique virtuel 437
synthétiseur numérique 437
T
Tape Delay 24–25
ajustement du son 25
feedback 25
réglage de la valeur Groove 25
tempo
analyse 100
description 467
temps de latence 457
temps de réverbération 134, 137
Test Oscillator 154
Théorème de Fourier 440
tick 467
timecode, description 467
tonalité
description 467
touche de modification 467
tourbillon analogique (instrument GarageBand) 435
traitement natif 460
transistor à effet de champ 32
transitoire
analyse 100
transposition
description 467
signal audio 119, 124, 125
Tremolo (module d’effet) 117
Tuner (module) 101
U
Ultrabeat 361–427
Accent, curseur 404
assignation, section 363, 365–371
augmentation de la dynamique des
performances 422
automatisation des pas
saisie des décalages 410
automatisation du séquenceur pas à pas Voir
automatisation pas à pas
automatisation pas à pas 409–411Index 479
désactivation des décalages du paramètre 411
passage rapide au mode Voice 411
sélection du paramètre d’automatisation 411
Band 1/2, boutons 386
caisse claire 419
caisse claire 808 421
caisse claire Kraftwerk 424
charleston 425
cheminement du signal (section Filter) 383
cheminement du signal (section Synthesizer) 371
clics et réglages extrêmes 427
Clip, potentiomètre 385
Color, potentiomètre 385
Crush, bouton 385
curseur Asym (modulation de phase) 374
curseur Resolution 379
curseur Saturation (modulation de phase) 374
curseurs Min/Max (Velocity) 377
curseur Vel Layer 377
Cut, potentiomètre (section Filter) 384
Cycles, potentiomètre 396
découvrir les assignations de contrôleur MIDI 395
Dirt, potentiomètre 382
distorsion 385
Distort, bouton 385
Drive, potentiomètre 385
drum mixer 370
Mute, bouton 370
Pan, potentiomètre 370
Solo, bouton 370
sorties individuelles 371
Volume fader 370
drum voice 362
échantillon
aperçu 378
inversion 376
égaliseur
activer/désactiver 386
facteur Q 387
gain 387
modification graphique 387
plage de fréquences 387
type 386
élargissement de l’image stéréo 389
entrée audio 376
enveloppe 397–399
Attack, paramètre 398
Decay, paramètre 398
déclenchement unique 397
modification graphique 397
modulation 398
sélection 398
Sustain, bouton 399
zoom 399
Zoom, bouton 399
enveloppe de volume 397
EQ 386
fichier audio. Voir échantillon
Filter, section 383–385
bouton en forme de flèche 383
cheminement du signal 383
Slope, boutons 384
Type, boutons 383
flèche Reverse 376
formes d’onde de base 374
Full View, bouton 408
Gate, bouton 390
générateur de bruit
activer/désactiver 381
boutons de filtrage 381
parcours du signal vers le filtre 382
réglage du volume 381
grille des pas 405
grosse caisse 415
Group, menu 390
guide d’initiation 414–427
importation
sons d’instrument EXS 368–370
sons Ultrabeat 368–370
instrument à sorties multiples 371
interface 363
kit de batterie 362
Length, menu 403
Level, potentiomètre 385
LFO 395
cycles 396
forme d’onde 396
on/off 395
Ramp, potentiomètre 396
taux 396
Material Pad 379
MIDI Controller Assignment, menu 395
mode FM (oscillateur 1) 375
Model, bouton 378
mode Side Chain 375
modulateur en anneau
activer/désactiver 380
parcours du signal vers le filtre 380
réglage du volume 380
modulation 390–400
acheminement 394
Mod, paramètre 390
principe de base 390
sélection de la cible 400
Via, paramètre 391
modulation de fréquence 375
modulation de phase (oscillateur 2) 376
modulation de phase (oscillator 1) 374
Mute, bouton 370
Noise Generator 381–382
oscillateur
activer/désactiver 372480 Index
parcours du signal vers le filtre 373
Pitch, paramètre 373
Volume, paramètre 373
oscillateur 1 374–376
oscillateur 2 376–379
Output, section 386–390
Pan, potentiomètre 370
Pan Mod, bouton 388
Parameter Offset, menu 411
paramètre Inner Loss 379
paramètres de l’oscillateur 372–379
paramètre Stiffness 379
pattern 403
accentuation des étapes individuelles 404
choix 403
copie 412
définition de la longueur 403
effacement 412
exportation en tant que région MIDI 412
intensité de swing 402, 404
réglage de la durée et de la vélocité d’un
son 407
résolution 403
son déclencheur 405
Pattern, menu 403
Pattern Mode, bouton 413
percussion tonale 425
performances en direct 413
Playback Mode, menu 413
potentiomètre Cut (générateur de bruit) 382
potentiomètre FM Amount 375
potentiomètre Res(onance) (générateur de
bruit) 382
potentiomètre Slope (modulation de phase) 374
Ramp, potentiomètre 396
Rate, potentiomètre (LFO) 396
réglage 364
Res(onance), potentiomètre (section Filter) 385
Reset, bouton 407
Resolution, menu 403
Ring Modulator 380
sample
loading 376, 377
Sample, mode 376
séquenceur pas à pas 400–414
affichage simultané des boutons de
déclenchement de tous les sons 408
ajout d’un déclencheur sur chaque temps
frappé/levé 406
automatisation Voir automatisation pas à pas
copies de déclencheurs dans le Pressepapiers 405
décalage des déclencheurs 406
Edit Mode, bouton 402
effacement des déclencheurs 405
inversion des déclencheurs 406
lancement/interruption 402
MIDI, contrôle 413
on/off 402
paramètres globaux 402
passage au plein écran 408
principe 400
réglage de la durée et de la vélocité d’un
son 407
remplacement aléatoire des déclencheurs 406
réorganisation aléatoire des déclencheurs 406
son déclencheur 405
Swing, potentiomètre 402
Solo, bouton 370
son de batterie
automatisation des paramètres dans un
séquenceur pas à pas. Voir automatisation pas
à pas
copie 366–367
déclenchement 405
désignation 366
importation 368–370
organisation 366–367
paste 367
permutation 366–367
réglage du volume 389, 397
sélection par saisie de note MIDI 365
sons de batterie
sélection 365
sons métalliques 426
sources de modulation 395–399
Spread, bouton 389
Step, mode. Voir automatisation pas à pas
step automation
décalages du paramètre, solo 411
réinitialisation des décalages du
paramètre 411
Swing, bouton 404
Swing, potentiomètre 402
Synthesizer, section 371–390
toms 425
Trigger, menu 389
Trigger, menu contextuel 405
Trigger, rangée 405
Type, boutons (section Model) 379
Velocity/Gate, rangée 407
Voice, mode 402
Voice Auto Select, fonction 365
Voice Mute Mode, bouton 414
Voice Volume, contrôle 389
Volume fader 370
vue d’ensemble 362
Utility, effets 151–155
V
vélocité, description 468Index 481
Vocal Transformer 125–127
Pitch Base 127
Robotize, mode 127
vue d’ensemble des paramètres 126
Vocoder
éviter les artefacts sonores 179
signaux d’analyse/de synthèse adaptés 180
vocoder 158
avec oscillateur de suivi 76
Carlos, Wendy 182
Dudley, Homer 181
fonctionnement 158
histoire 181
intelligibilité des paroles 178
Meyer-Eppler, Werner 181
Moog, Bob 182
Parallel Bandpass Vocoder 181
Unvoiced/Voiced, détecteur 173
voder 181
Zinovieff, Peter 182
voder 181
voix (instrument GarageBand) 435
volume
augmentation 37
contrôle à l’aide du signal d’entrée latérale 42
volume sonore, augmentation 37
VU-mètre, description 468
Z
Zinovieff, Peter 182
zoom 468
Nouvelles fonctionnalités de Logic Pro 8
Ce document vous offre une vue d’ensemble sur toutes les nouvelles fonctionnalités
de Logic Pro 8. Pour en savoir plus sur ces fonctionnalités et leur utilisation,
consultez les divers documents mentionnés dans les rubriques suivantes.
Modifications apportées à Logic Pro 8
Cette rubrique décrit brièvement les nouvelles fonctions, ainsi que les améliorations
apportées à Logic Pro 8. Pour en savoir plus sur ces fonctions et leur utilisation,
consultez le Manuel de l’utilisateur de Logic Pro 8.
Interface
L’interface utilisateur de Logic Pro 8 a subi une véritable refonte, comprenant des transformations graphiques d’ordre général visant à améliorer la visibilité et à simplifier l’utilisation des divers éléments de l’interface. Ces transformations concernent également les
fenêtres et les zones de dialogue, dont plusieurs ont été repensées et d’autres ajoutées.
Par ailleurs, les préférences et les réglages du projet ont été simplifiés. Quant aux structures des menus, elles ont aussi été modifiées pour garantir un usage plus simple.
Ces modifications de l’interface ont entraîné la nouvelle appellation de nombreux élé-
ments à l’écran, réglages et autres préférences. La documentation tient évidemment
compte de ces changements. Pour en savoir plus sur les principales évolutions, consultez
la rubrique « Nouvelle appellation de fonctions et d’éléments » à la page 6.
Nouvelle fenêtre Arrangement
Le changement majeur apporté à Logic Pro 8 concerne la nouvelle fenêtre Arrangement,
qui intègre désormais toutes les fenêtres des éditeurs, la table de mixage, plusieurs nouvelles fenêtres ainsi que de nouveaux éléments à l’écran :
 Zone Média ou Listes : il est possible d’afficher cette nouvelle zone sur la droite de
la fenêtre Arrangement. Elle comporte tous les éditeurs de listes, le chutier Audio,
le navigateur de boucles, la Bibliothèque et le Navigateur. Reportez-vous à la rubrique « Zone Média et Listes » à la page 2.2
 Inspecteur : cet Inspecteur remplace la zone Paramètres affichée dans les précédentes
versions de Logic. Reportez-vous à la rubrique « Inspecteur » à la page 4.
 Barres d’outils et de transport : une barre d’outils personnalisable s’affiche dorénavant
en haut de la fenêtre Arrangement. Elle contient des boutons permettant d’ouvrir et
de fermer les différentes zones de la fenêtre Arrangement, ainsi que plusieurs boutons
activant des fonctions. Quant à la barre de transport, elle occupe la partie inférieure de
la fenêtre Arrangement. Reportez-vous à la rubrique « Barres d’outils et de transport
personnalisables dans la fenêtre Arrangement » à la page 4.
 Zone d’édition : il vous suffit de cliquer sur l’un des boutons situés juste au-dessus de la
barre de transport pour ouvrir la Table de mixage, l’Éditeur des échantillons, l’Éditeur
Clavier, l’Éditeur de partition et l’Hyper Editor directement dans la fenêtre Arrangement.
L’intégration entre l’ensemble de ces fenêtres et éléments facilite votre flux de travaux.
À titre d’exemple, vous avez la possibilité de créer une nouvelle piste (et la tranche de console de canal correspondante) en faisant tout simplement glisser des fichiers audio depuis
le Navigateur vers la fenêtre Arrangement ou d’insérer un instrument et divers effets dans
une tranche de console (réglages compris) d’un simple clic dans la Bibliothèque.
Ces fonctions offrent un autre avantage : il n’est généralement plus nécessaire de
passer par la fenêtre Environnement pour des tâches telles que la création de canaux
et le routage. En réalité, la configuration a été simplifiée à un tel point (par rapport
aux versions précédentes) que l’Assistant réglages Logic et plusieurs préférences ont
purement et simplement été supprimés.
D’ailleurs, comme dans les versions précédentes, vous pouvez toujours ouvrir des fenêtres
indépendamment les unes des autres et utiliser des screensets (auxquels vous pouvez
désormais attribuer un nom). Toutefois, les fonctions offertes dans la nouvelle fenêtre
Arrangement vont très certainement modifier votre approche.
Remarque :les screensets des projets créés dans Logic Pro 7 vont être « adaptés » pour
vous permettre de tirer parti des nouvelles fonctionnalités de l’interface.
Zone Média et Listes
Le côté droit de la fenêtre Arrangement peut dorénavant afficher les zones Média et Listes.
Pour ouvrir la zone Listes, il vous suffit de cliquer sur le bouton Listes dans la barre d’outils
de la fenêtre Arrangement. Cette zone contient quatre sous-fenêtres accessibles en cliquant sur l’onglet correspondant situé dans la partie supérieure :Liste des événements,
Liste des marqueurs, Liste des tempos et Liste des altérations. D’un point de vue esthétique, ces sous-fenêtres sont légèrement différentes des fenêtres affichées par les anciennes
versions de Logic. Elles présentent quelques petites améliorations liées à leur utilisation
mais elles restent, dans l’ensemble, d’un fonctionnement identique.3
Accessible via le bouton Média dans la barre d’outils de la fenêtre Arrangement, la zone
Média affiche tous les fichiers de médias au sein du projet ou sur tout périphérique de
stockage connecté à votre ordinateur, y compris les disques en réseau local. Vous avez
ainsi directement accès depuis la fenêtre Arrangement à tous les fichiers audio, boucles Apple Loops, bibliothèques d’échantillons, etc. disponibles. La zone Média vous
permet d’accéder aux quatre sous-fenêtres suivantes :
Chutier Audio
Il s’agit d’un catalogue de tous les fichiers audio (et régions) du projet, qui équivaut à la
fenêtre Audio affichée par les versions antérieures de Logic.Vous avez la possibilité d’ouvrir
une version étendue du chutier Audio,sous forme de fenêtre indépendante, pour procéder
à des opérations directes de modification des régions.
Navigateur de boucles
Vous pouvez y consulter et y rechercher toutes les boucles Apple Loops (et les autres
formats de fichiers de boucles, comme les fichiers ReCycle), puis les ajouter à votre
arrangement. Il s’agit d’une version améliorée du Navigateur de boucles présent dans
les versions antérieures de Logic.
Bibliothèque
La Bibliothèque est une nouveauté de Logic Pro 8. Elle permet d’accéder à tous les
fichiers de réglages pour l’ensemble des tranches de console, effets et modules d’instruments (y compris les instruments EXS). Elle intègre également les périphériques MIDI
et les applications ReWire (actives), offrant ainsi un accès rapide aux sous-canaux MIDI
et aux instruments ReWire.
Cette Bibliothèque est étroitement liée aux tranches de console de Logic Pro 8. Elle est
d’ailleurs mise à jour pour refléter le type actuel de la tranche de console (audio, instrument logiciel ou MIDI externe) et de l’élément sélectionné (menu Réglages des tranches de console, Insérer slot ou instrument). Vous pouvez donc facilement modifier les
réglages des tranches de console et des modules depuis la fenêtre Arrangement, ce qui
s’avère particulièrement pratique dans le cas des instruments logiciels.
Navigateur
Le Navigateur vous offre un accès direct à tous les fichiers de médias pris en charge (à
l’exception des fichiers de réglages auxquels vous accédez plus facilement via la Bibliothè-
que) et situés sur tout périphérique de stockage connecté à votre ordinateur, y compris les
disques en réseau local. Il bénéficie de fonctions de recherche étendue, ce qui simplifie la
recherche des fichiers, même dans les bibliothèques de fichiers de médias les plus volumineuses. Seuls les fichiers pris en charge par Logic sont affichés : projets Logic, fichiers OMF,
AAF, OpenTL, XML (Final Cut Pro), audio (SDII, AIFF,Wave, CAF, Apple Lossless, AAC, MP3,
boucles Apple Loops), fichiers MIDI, SysEx (SYX) et films. Le Navigateur remplace le Gestionnaire de projet des précédentes versions de Logic Pro.4
Inspecteur
Vous pouvez afficher l’Inspecteur en cliquant sur le bouton Inspecteur dans la barre
d’outils de la fenêtre Arrangement. Il remplace avec efficacité la zone Paramètres affichée
dans les précédentes versions de Logic. En effet, le contenu de l’Inspecteur dépend de la
zone active,qu’il s’agisse de la fenêtre Arrangement ou d’une des nombreuses zones
d’édition (il vous suffit de cliquer sur une zone, une région, un événement, la barre de titre
d’une zone, un menu, un onglet ou tout autre élément pour qu’il soit considéré comme
l’élément actif). Logic Pro 8 offre également un certain nombre de nouveaux raccourcis
clavier que vous pouvez utiliser pour passer rapidement d’une zone ou d’une fenêtre à
l’autre. Par exemple,appuyez sur la touche de tabulation ou sur Maj + Tab pour parcourir
les diverses zones de la fenêtre Arrangement :la touche Tabulation les passe en revue
l’une après l’autre, alors que la combinaison Maj + Tabulation les parcourt en sens inverse.
En fait, l’Inspecteur est constitué de la zone Paramètres de la fenêtre active, ainsi que
des tranches de console de la fenêtre Arrangement (voir ci-dessous). Si la fenêtre active
ne dispose d’aucune zone Paramètres (Table de mixage, Éditeur des échantillons, Éditeur
Clavier, tous les onglets des zones Média et Listes), l’Inspecteur affiche les paramètres
de la zone Arrangement.
Si le projet en cours contient un fichier de film, la partie supérieure de l’Inspecteur de
la zone Arrangement (au-dessus du cadre Paramètres de région) peut alors afficher une
petite fenêtre de film.
Tranches de console de la fenêtre Arrangement
Une seconde tranche de console a été ajoutée à l’Inspecteur de la zone Arrangement.
Elle affiche la tranche de console de destination primaire de la tranche de console de la
piste. Vous pouvez ainsi modifier les réglages du bus (tranche de console auxiliaire), de
la sortie ou de la tranche de console master associé à une piste/un canal, sans être
obligé de quitter la fenêtre Arrangement.
Barres d’outils et de transport personnalisables dans la fenêtre Arrangement
Une barre d’outils personnalisable s’affiche dorénavant en haut de la fenêtre Arrangement.
Elle contient des boutons permettant d’ouvrir ou de fermer les différentes zones de la fenê-
tre Arrangement (Média, Inspecteur, etc.), ainsi que d’autres boutons pour accéder directement aux fonctions principales. Vous pouvez modifier cette barre d’outils pour qu’elle
corresponde davantage à votre méthode de travail.
Quant à la barre de transport, elle occupe la partie inférieure de la fenêtre Arrangement.
Elle est totalement personnalisable et affiche un nouveau curseur Niveau du master, qui
sert de télécommande au curseur Master présent dans la Table de mixage. Elle comporte
d’autres améliorations, notamment des indicateurs de charge (UC/DD) intégrés et un
bouton Mode de faible latence (voir « Instruments logiciels en mode Live » à la page 25).
Cliquez sur la barre d’outils ou la barre de transport tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez Personnaliser la barre de transport/d’outils dans le menu
contextuel pour accéder aux options de personnalisation et les modifier à votre gré.5
Fonctions étendues de la règle Mesure
Il est désormais possible de modifier l’apparence de la règle Mesure en cliquant sur la
petite icône représentant une note située à l’extrême droite. Un menu est alors ouvert.
Il vous propose d’autres réglages d’affichage de la mesure et du temps (SMPTE), y compris les nouvelles présentations linéaires du temps.Vous avez ainsi la garantie que les lignes
de la grille et les longueurs des régions sont modifiées par les changements de tempo.
(Les présentations linéaires de mesure proposées par les anciennes versions de Logic Pro
espaçaient de manière uniforme les lignes de la grille et les longueurs des régions, même
si le projet contenait des changements de tempo.)
Pour activer une présentation linéaire du temps :
m Choisissez Temps ou Temps et mesure dans le menu.
Pour activer une présentation linéaire de mesure :
m Choisissez Mesure ou Mesure et temps dans le menu.
Ce menu vous propose également le réglage Outil Sélecteur. Si vous activez cette
option, une fine ligne apparaît en haut de la règle Mesure (voir « Fonctionnement de
l’outil Sélecteur » à la page 7).
Modification du fonctionnement du bouton Lien
La fonction Lien au contenu est désormais activée en cliquant sur le bouton Lien tout en
maintenant la touche Option enfoncée (vous pouvez également double-cliquer dessus).
Vous devez alors cliquer sur le bouton tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée
(ou cliquer dessus et maintenir le bouton de la souris enfoncé) pour accéder à un menu
contextuel qui vous propose les modes suivants : Pas de lien, Lien de même niveau et
Lien au contenu.
Éditeur Clavier
Le bouton Lien de l’Éditeur Clavier dispose dorénavant de deux états :Activé et Désactivé.
Une fois activé :
 Si vous sélectionnez une seule région dans la zone Arrangement, l’Éditeur Clavier
affiche uniquement le contenu de cette région, avec les marqueurs de début et de
fin indiqués sur la règle Mesure.
 Si vous sélectionnez plusieurs régions dans la zone Arrangement, l’Éditeur Clavier
affiche le contenu de toutes ces régions.
Les boutons Hiérarchie et Afficher les régions sélectionnées uniquement de
l’Éditeur Clavier étant devenus obsolètes, ils ont tout simplement été supprimés.6
Hyper Editor
Le bouton Lien de l’Hyper Editor dispose dorénavant de deux états : Activé et Désactivé.
Si vous l’activez, vous activez également la fonction Lien au contenu : l’Hyper Editor affiche toujours le contenu de la région sélectionnée dans la zone Arrangement. L’affichage
est mis à jour en fonction de la sélection actuelle.
De ce fait, le bouton Hiérarchie de l’Hyper Editor est devenu obsolète et a donc
été supprimé.
En dehors de ces évolutions, la présentation par niveau de l’arrangement dans l’Éditeur
Clavier et l’Hyper Editor a été supprimée, car elle ne présentait plus aucun intérêt dans
cette nouvelle interface.
Nouvelle appellation de fonctions et d’éléments
Les modifications apportées à l’interface ont entraîné un certain nombre de changements
terminologiques. Plusieurs fonctions, commandes, préférences, réglages et zones de
dialogue d’avertissement ont été repensés afin de les rendre plus simples et plus clairs.
Le tableau suivant répertorie les principaux changements relatifs aux éléments à l’écran:
Ancien terme Nouveau terme
objet audio tranche de console
instrument audio instrument logiciel
instrument logiciel multicanal instrument logiciel multi-sortie
zone Paramètres Inspecteur
Éditeur de matrice Éditeur Clavier
fenêtre Audio chutier Audio
mixeur de pistes/mélangeur audio table de mixage
présentation Globale (mixeur de pistes) présentation Tout
couche Audio (Environnement) couche Table de mixage
trait de position dans le morceau tête de lecture
morceau projet
enregistrement Drop enregistrement Punch
valeur de format (barre de transport) valeur de division
outil Réticule (Hyper Editor) outil Ligne
jeu d’instruments (Éditeur de partition) jeu de partitions
style de partition style de portée7
Arrangement
Hormis sa nouvelle apparence, la fenêtre Arrangement offre plusieurs nouvelles fonctions qui facilitent les opérations d’édition. Consultez la rubrique « Améliorations
générales concernant les modifications » à la page 9, qui couvre l’ensemble des modifications à l’échelle de l’application (concernant également la fenêtre Arrangement).
Modification précise des échantillons dans la fenêtre Arrangement
La fenêtre Arrangement vous permet désormais de procéder à des modifications
précises des régions d’échantillons grâce aux menus Niveau de zoom et Alignement.
Pour faire preuve de la plus grande précision :
 Sélectionnez un niveau de zoom élevé.
 Choisissez Intelligent ou Échantillons dans le menu Alignement.
Dans le même domaine, une autre amélioration concerne la possibilité d’aligner les
modifications d’automation à un échantillon près et l’ajout d’une fonction de décalage
de l’automation (voir « Alignement des nœuds d’automation sur les valeurs de la grille »
à la page 19).
Fonctionnement de l’outil Sélecteur
Le nouvel outil Sélecteur de la règle Mesure peut servir d’outil de sélection, mais aussi
de navigation. Une fois qu’il est activé, une fine bande de sélection apparaît en haut de
la règle Mesure. Il vous suffit alors de faire glisser le pointeur sur cette zone pour créer
un rectangle de sélection.
Pour activer l’outil Sélecteur :
m Cliquez sur l’icône représentant une note à droite de la règle Mesure, puis choisissez
Sélecteur dans le menu.
Pour créer un rectangle de sélection :
m Cliquez dans la bande de sélection, puis faites glisser le pointeur pour tracer un rectangle
de sélection (également affiché sur les pistes sélectionnées dans la fenêtre Arrangement).
Pour supprimer un rectangle de sélection :
m Cliquez en dehors du rectangle de sélection.
Pour ajouter des pistes au rectangle de sélection ou en supprimer :
m Cliquez sur des noms de pistes dans la liste des pistes.
Accès direct à un élément transitoire
Vous pouvez allonger ou réduire la longueur du rectangle de sélection en déplaçant ses
points de départ et de fin vers :
 des éléments transitoires dans des régions audio,
 des positions de notes activées et désactivées dans des régions MIDI,
 des points de début et de fin de régions.8
Pour modifier le point de départ ou de fin du rectangle de sélection :
m Appuyez sur la touche Flèche gauche/droite pour accéder directement au point de fin
du rectangle de sélection.
Il s’agit des raccourcis clavier par défaut Sélectionner la région ou l’événement précédent
(suivant), dont le fonctionnement est décrit ci-dessus en fonction du type de région sélectionnée (lorsque la bande de sélection est visible).
m Maintenez enfoncée la touche Maj tout en utilisant les touches fléchées pour déplacer
le point de départ du rectangle de sélection.
Il s’agit des raccourcis clavier par défaut Basculer sur région/événement précédent (suivant), dont le fonctionnement correspond à la description lorsque la bande de sélection
est visible.
Pour déplacer l’intégralité du rectangle de sélection, procédez de l’une des manières
suivantes :
m Appuyez simultanément sur les touches Maj + Début (raccourci clavier par défaut
pour Sélectionner Premier).
m Appuyez simultanément sur les touches Maj + Fin (raccourci clavier par défaut pour
Sélectionner Dernier).
Étirement temporel graphique des régions audio
La fenêtre Arrangement vous permet désormais d’étirer dans le temps ou de compresser
directement une région audio : pour ce faire, faites simplement glisser sa fin vers l’emplacement choisi tout en maintenant la touche Option enfoncée. Ce traitement recourt à
l’algorithme Time Machine actuellement sélectionné.
Nouvel outil Jonction
Activé automatiquement, le nouvel outil Jonction vous permet de redimensionner rapidement deux régions adjacentes : il vous suffit de positionner le pointeur au-dessus de l’angle
supérieur droit d’une région suivie d’une région adjacente (ou au-dessus de l’angle supé-
rieur gauche d’une région précédée par une région adjacente). Faites ensuite glisser le
pointeur vers la gauche ou la droite pour redimensionner simultanément la région sélectionnée et la région adjacente.
Curseur Zoom de forme d’onde
Le nouveau bouton Zoom de forme d’onde (en regard du curseur de zoom horizontal)
vous permet d’accéder au curseur Zoom de forme d’onde de la fenêtre Arrangement. Ce
curseur effectue un zoom vertical automatique sur la forme d’onde au sein des régions
audio,sans pour autant redimensionner les régions correspondantes, ce qui facilite grandement les opérations de modification précise des échantillons.9
Améliorations générales concernant les modifications
Plusieurs des améliorations apportées ont pour but de simplifier l’accès aux outils d’édition
et de faciliter les opérations. Associés à ces diverses évolutions, les nouveaux réglages du
menu Alignement vous permettent d’effectuer des modifications avec plus de précision et
de rapidité.
Ajouts au menu Alignement
Le menu Alignement vous propose trois nouveaux réglages :
 Aligner sur la valeur absolue : active l’alignement sur une valeur absolue (en non sur
une valeur relative), ce qui permet de se caler au début d’une mesure, par exemple,
si vous avez choisi Mesure dans le menu Alignement.
 Échantillons (fenêtre Arrangement uniquement) : active l’alignement à un échantillon
près. La précision de ce type de modifications est directement liée au niveau de zoom.
En d’autres termes, vous devez effectuer un zoom avant avec un niveau de grossissement suffisant (à l’aide des curseurs de zoom) pour pouvoir procéder à un alignement
à un échantillon près. Si le grossissement est trop faible, l’alignement utilise automatiquement la résolution la plus élevée possible, en fonction du niveau de zoom.
 Aligner l’automation : active l’alignement des nœuds d’automation des pistes et
Hyper Draw (basés sur les régions) sur les positions de la grille. Les modifications
apportées aux données d’automation s’alignent toujours sur une position absolue,
que l’option « Aligner sur la valeur absolue » soit activée ou non.
Menus contextuels
Dans toute l’application, cliquez au sein des diverses zones d’édition (ainsi que dans
d’autres zones, telles que la règle Mesure et la liste des pistes) tout en maintenant la touche
Contrôle enfoncée ou avec le bouton droit de la souris pour dérouler des menus contextuels. Ces menus vous permettent d’accéder rapidement à un certain nombre de fonctions
propres à une fenêtre ou à une zone.D’ailleurs, ils sont mis à jour pour afficher les opérations possibles en fonction du ou des éléments sélectionnés dans la fenêtre. À titre d’exemple, les options disponibles dans la zone Arrangement sont différentes si une région est ou
n’est pas sélectionnée.
Remarque :vous pouvez modifier le fonctionnement du bouton droit de la souris
via l’onglet Logic Pro > Préférences > Globales > Édition. Par défaut, il est réglé
sur « Ouvre le menu contextuel ». Vous avez néanmoins le choix entre les options
suivantes : « Est assignable à un outil » ou « Ouvre le menu Outil ».10
Menus Outil
Des menus Outil sont désormais à votre disposition dans l’angle supérieur droit des fenê-
tres pour sélectionner les outils. Il vous suffit de cliquer sur l’icône appropriée dans ces
menus pour changer l’outil actuellement activé. Le pointeur change de forme en fonction
de l’outil choisi, ce qui vous permet de le reconnaître plus facilement.
Vous pouvez également sélectionner un deuxième outil, en cliquant dessus tout en
maintenant la touche Commande enfoncée. Il est ensuite disponible si vous appuyez
sur la touche Commande tout en procédant à vos modifications. Par ailleurs, vous avez
la possibilité d’assigner un troisième outil au bouton droit de la souris (si vous utilisez
une souris à plusieurs boutons), ce qui vous permet d’utiliser trois outils au sein de
chaque fenêtre :
 Outil accessible via un clic gauche : choisissez-le dans le menu Outil de gauche.
 Outil accessible via clic + Commande : choisissez-le dans le menu Outil de droite
(ou du milieu, voir ci-dessous).
 Outil accessible via un clic droit : choisissez-le dans le menu Outil de droite.
Remarque :le troisième menu Outil apparaît uniquement si la préférence Logic Pro >
Globales > Édition > Bouton droit de la souris est réglée sur « Est assignable à un outil ».
Par défaut, cette préférence est réglée sur « Ouvre le menu contextuel ».
Comme dans les versions précédentes, appuyez sur la touche Échap de votre clavier
pour afficher un menu Outil flottant à la position actuelle du pointeur et accéder ainsi
rapidement aux outils.
Création et configuration améliorées des pistes
Logic Pro 8 vous offre un grand nombre de fonctions qui facilitent la création des pistes
et des tranches de console.
Création des régions, pistes et canaux en une seule étape
Faites tout simplement glisser un fichier de média sur une section vierge de la zone
Arrangement pour créer une nouvelle piste et la tranche de console correspondante.
 Les fichiers audio standard et les boucles audio Apple Loops créent de nouvelles
pistes audio et leurs tranches de console.
 Les boucles d’instrument logiciel Apple Loops créent une nouvelle piste instrumentale
et sa tranche de console mais insèrent également un réglage de tranche de console
adapté (un module d’instrument et généralement quelques modules d’effets).
Dans ces deux cas, une nouvelle région audio ou MIDI est créée à la position de dépôt
sur la nouvelle piste.11
Boutons et zone de dialogue Nouvelles pistes
Deux nouveaux boutons sont maintenant affichés en haut de la liste des pistes de la fenê-
tre Arrangement. Le bouton de gauche (+) ouvre la zone de dialogue Nouvelles pistes,
qui vous permet de créer autant de pistes audio, d’instruments (logiciels) ou MIDI externes que nécessaire. Les tranches de console correspondantes (les destinations des pistes) sont créées automatiquement. La zone de dialogue Nouvelles pistes vous propose
également des options avancées pour configurer le format ainsi que d’autres aspects de
la tranche de console (mono,stéréo, active pour l’enregistrement, instruments multitimbraux, etc.). Vous pouvez également accéder à cette zone de dialogue en choisissant
Piste > Nouvelle dans la zone Arrangement (ou à l’aide du raccourci clavier correspondant).
Le bouton de droite crée une nouvelle piste vide qui utilise la même affectation de tranche de console et les mêmes réglages que la piste sélectionnée. De cette manière, vous
pouvez créer facilement et rapidement la copie d’une piste et d’une tranche de console
existantes,sans avoir à recopier les données dans la nouvelle piste.
Nouvelle zone de dialogue de configuration de l’en-tête de piste
Une seule zone de dialogue permet dorénavant de définir l’apparence de l’en-tête de
piste (les informations affichées dans la liste des pistes), y compris les options d’attribution de nom, les boutons affichés, les icônes, etc. Cliquez dans la liste des pistes tout en
maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez « Configurer l’en-tête de piste ».
Méthode modifiée de réassignation des pistes
La fonction de réassignation des pistes des versions précédentes (cliquer sur l’icône d’une
piste tout en maintenant le bouton de la souris enfoncé) a été modifiée. Cliquez désormais
dans la liste des pistes tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez
« Réassigner l’objet de piste » pour ouvrir une liste hiérarchique de toutes les destinations
de pistes disponibles (ports ou sous-canaux MIDI, voire toute tranche de console disponible dans la Table de mixage).
Enregistrement
Logic Pro 8 introduit un grand nombre de nouvelles fonctions d’enregistrement plus
performantes, ce qui inclut notamment l’enregistrement de prises MIDI ou audio et
l’apparition d’un nouveau bouton Monitoring de l’entrée pour les pistes audio.
Prises et accompagnement
Logic Pro 8 met à votre disposition des fonctionnalités avancées de gestion des prises.
Une prise est un morceau (tel qu’un solo de guitare) joué et enregistré plusieurs fois.
Grâce aux prises, vous pouvez par exemple enregistrer plusieurs versions consécutives
d’un solo et conserver la meilleure. Les prises sont créées à l’aide d’un enregistrement
en mode cyclique ou d’un simple enregistrement dans les régions existantes. Vous
pouvez aussi bien enregistrer des prises MIDI qu’audio.12
Les prises apparaissent sous forme de dossiers situés sur une seule piste. Vous pouvez
ensuite ouvrir un dossier de prises pour modifier la moindre région de prise contenue à
l’intérieur. En réalité, l’enregistrement d’une prise (audio) est constitué d’un seul fichier
audio.
Les prises audio représentent également la base des tâches de comping (ou d’accompagnement). Vous utilisez alors les meilleures performances (extraites de différentes prises)
pour compiler une seule « super prise ». La toute nouvelle fonction « Comping rapide par
glissement » vous permet de cliquer sur une section particulière et de la faire glisser au
sein d’une région de prise. Cette section est désélectionnée dans toutes les autres prises.
Cet accompagnement sert alors de version finale pour votre prise. Vous ne pouvez pas
créer d’accompagnements MIDI.
Commandes d’enregistrement modifiées
Comme dans les versions précédentes, la commande par défaut Enregistrement lance
l’enregistrement. Toutefois, si vous l’utilisez en cours d’enregistrement, elle n’a aucun effet
et l’enregistrement continue. Pour obtenir le même résultat qu’avec l’ancienne commande
Enregistrement (qui supprimait l’enregistrement si elle était utilisée en cours d’enregistrement), choisissez plutôt « Enregistrement/Répétition d’enregistrement » dans Logic Pro 8.
Pour définir le comportement du bouton Enregistrement, cliquez dessus dans la barre de
transport tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée. Choisissez alors Enregistrement
(par défaut), Activation-Désactivation de l’enregistrement ou Répétition d’enregistrement
dans le menu.
Le nouveau raccourci clavier « Abandonner l’enregistrement et revenir à la dernière
position de lecture » arrête l’enregistrement en cours, supprime les fichiers correspondants du chutier Audio et replace la tête de lecture sur la dernière position de lecture.
La différence entre cette commande et la fonction Enregistrement/Répétition de l’enregistrement est qu’elle ne lance pas automatiquement et immédiatement un nouvel
enregistrement. Les communications rétroactives sont ainsi autorisées quand Logic Pro
est arrêté. Vous devez ensuite lancer manuellement un nouvel enregistrement (avec
n’importe quelle commande d’enregistrement). Par défaut, le raccourci clavier équivalent est le suivant : Commande + Point.
Monitoring de l’entrée
Vous pouvez utiliser les nouveaux boutons Monitoring de l’entrée pour contrôler les pistes audio qui ne sont pas armées. Activez simplement le bouton Monitoring de l’entrée
sur une piste audio (ou sur une tranche de console dans la fenêtre Arrangement ou Table
de mixage). Cette fonction est activée que Logic Pro soit arrêté ou en cours de lecture.13
La nouvelle préférence Logic Pro > Préférences > Audio > Appareils > Core Audio > Niveau
de monitoring indépendant (pour les tranches de console où l’enregistrement est activé)
permet de déterminer si un niveau de monitoring indépendant est disponible pour les
canaux audio où l’enregistrement est activé (ce qui était toujours le cas dans les anciennes
versions de Logic Pro).
Remarque :le bouton Monitoring de l’entrée n’est pas disponible pour les tranches de
console DAE. En effet, l’enregistrement doit être activé sur les tranches de console DAE
pour pouvoir activer le monitoring de l’entrée.
Prise en charge des fichiers CAF
Le menu « Type de fichier enregistré » des préférences Logic Pro > Préférences > Audio >
Générales propose un nouveau réglage, les fichiers CAF. Ces fichiers sont capables de gérer
des enregistrements audio d’une taille supérieure à 4 Go.
Compatibilité totale avec le format Surround
Les fonctions Surround de Logic Pro 8 intègrent dorénavant les possibilités suivantes :
 Importation, enregistrement et bounce de fichiers Surround (dans tous les principaux
formats Surround). Vous pouvez même effectuer le bounce d’un fichier directement
vers le format DVD-A.
 Mixage et traitement des modules Surround : plusieurs des modules intégrés d’instruments et d’effets disposent maintenant de versions réellement Surround. Les autres
modules proposent des versions multicanaux qui s’adaptent automatiquement
au format Surround du projet. Pour en savoir plus sur chaque effet et instrument,
consultez les rubriques suivantes de ce document.
 Onglet En-tête et configuration de module multicanal (pour en savoir plus,
voir « Modifications apportées aux instruments et aux effets » à la page 25).
 Fenêtre Panoramique Surround améliorée.
 Mesure des niveaux Surround.
 Possibilité d’encoder des fichiers Surround grâce à l’application intégrée Compressor.
Compressor comprend également un certain nombre d’outils de conversion et de
traitement par lot.
 Nouvelle tranche de console Surround master.14
Mixage
Du fait de l’extension des fonctions Surround et de la nouvelle interface, les options
de mixage proposées par Logic Pro 8 ont évolué de différentes manières.
Nouvelle fenêtre Table de mixage
Logic Pro 8 regroupe les fonctions Mixeur de pistes et Table de mixage de l’environnement
en une seule fenêtre Table de mixage.
Des tranches de console sont automatiquement générées lors de la création de nouvelles
pistes (bien qu’il soit activé par défaut, vérifiez que le réglage Fichier > Réglages du projet
> Audio > Gestion automatique des objets dans les tranches de console est bien activé).
La fenêtre Table de mixage offre également une méthode rapide pour créer de nouvelles
tranches de console auxiliaires : cliquez sur le bouton représentant le signe plus (à gauche de la fenêtre) ou choisissez Options > Créer des tranches de console auxiliaires. Ces
deux méthodes ouvrent une zone de dialogue qui vous permet de saisir (et générer) le
nombre voulu de tranches de console auxiliaires.
Nouvelles présentations de la fenêtre Table de mixage
La fenêtre Table de mixage met à votre disposition trois nouveaux boutons correspondant
à des présentations différentes : Simple, Arrangement et Tout. Recourez à ces diverses pré-
sentations pour limiter l’affichage aux tranches de console dont vous avez réellement
besoin pour votre opération de mixage.
 Présentation Simple : l’affichage de la table de mixage est limité à la piste d’arrangement
sélectionnée et au cheminement de son signal.
 Présentation Arrangement : la table de mixage affiche toutes les tranches de console qui
correspondent aux pistes (audio, instruments ou MIDI externes) utilisées dans la fenê-
tre Arrangement, ainsi que le cheminement de leurs signaux. Les tranches de console
de cheminement de signaux ne sont affichées que si le réglage « Ajouter des tranches
de console pour le cheminement du signal » est activé dans le menu Présentation.
 Présentation Tout : la table de mixage affiche toutes les tranches de console qui correspondent aux pistes d’instruments MIDI, d’instruments logiciels, audio, auxiliaires et
master présentes dans votre projet.
Nouvelle relation entre les boutons Muet et Solo
Le menu « Muet/Solo de la piste » des préférences Audio générales vous propose deux
choix qui ont un impact sur la relation entre les boutons Muet/Solo des pistes et des
tranches de console :
 Non intensive (réaction lente) : les boutons Muet et Solo peuvent présenter des états
indépendants pour les pistes et les tranches de console (comme dans les précédentes versions de Logic Pro).
 Rapide (tranches de console distantes) : il s’agit du réglage par défaut. Les boutons
Muet et Solo présentent toujours le même état pour les pistes et les tranches de console, ce qui inclut toutes les pistes acheminées vers la même destination (la même
tranche de console d’instrument, par exemple).15
Tranches de console auxiliaires étendues
Les tranches de console auxiliaires étendues de Logic Pro 8 regroupent les fonctions
précédemment disponibles dans les canaux ReWire et du bus. Ces types de canaux ne
sont plus utilisés dans Logic Pro 8 (mais ils sont toujours disponibles pour assurer la
compatibilité avec les projets créés dans des versions antérieures de Logic).
 Les bus sont disponibles pour servir de source d’entrée aux tranches de console auxiliaires. Lors de la création d’un bus (en utilisant un envoi sur n’importe quelle tranche
de console), une tranche de console auxiliaire est générée automatiquement, la plage
du bus servant de source d’entrée auxiliaire.
 Tous les bus ReWire (flux audio en provenance d’une application esclave ReWire activée) sont répertoriés comme des sources d’entrée possibles pour les tranches de console auxiliaires.
Remarque :les morceaux/projets importés (créés dans des versions antérieures de Logic)
qui contiennent des objets bus ou ReWire ne sont pas modifiés. Ces types de canaux sont
utilisés « tels quels » dans Logic Pro 8 (sans aucune conversion).
Amélioration des VU-mètres
Le nouveau menu Logic Pro > Préférences > Affichage > Générales > Échelle vous permet d’activer au choix une échelle dB-linéaire de section ou exponentielle pour les VUmètres. L’échelle exponentielle offre une meilleure résolution d’affichage dans la plage
supérieure. L’échelle dB-linéaire de section fournit la meilleure résolution possible sur
toute la plage de niveaux.
Les préférences Affichage vous permettent également de modifier l’ordre des VU-mètres
multicanaux (Surround). Vous avez le choix entre Interne (l’ordre par défaut du format
Surround d’un projet), ITU, Centré et Groupé par LCR.
Fenêtre Configuration audio supprimée
La fenêtre Configuration audio est remplacée par la fenêtre Étiquettes E/S d’une utilisation bien plus simple. Elle vous propose toutes les options nécessaires pour travailler
avec des étiquettes de tranches de console personnalisées.
L’amélioration des fonctions d’importation rend les options de conversion des anciennes
versions totalement superflues : en effet, les projets importés (avec une configuration audio
native) utilisent automatiquement le modèle de gestionnaire natif activé. Pour en savoir
plus sur l’importation de projets à gestionnaires natifs vers des configurations Direct
TDM/DAE, consultez le document Guide TDM Logic Pro 8.
Nouveau réglage proposé par le menu Envoi
Le menu Envoi vous propose désormais le réglage Post-balance :si vous optez pour ce
réglage, le signal est non seulement en post-curseur, mais aussi en post-balance. Autrement dit, la position panoramique du signal d’envoi sur l’auxiliaire (qui doit être un canal
réglé sur stéréo ou multicanal) suit la position Pan/Balance ou Panoramique Surround de
la tranche de console.16
Un codage par couleur facilite l’identification de la position/de l’acheminement d’envoi.
 Les logements d’envoi post-curseur sont affichés en bleu.
 Les logements d’envoi pré-curseur sont affichés en vert.
 Les logements d’envoi post-balance sont affichés en orange.
Module Balance binaurale et post-traitement
Le menu Sortie des tranches de console audio et d’instruments propose désormais le
réglage Binaural :si vous activez cette option, la commande Pan/Balance des tranches de
console est remplacée par une Balance binaurale. Cette Balance binaurale est un processeur psycho-acoustique capable de simuler des positions de sources sonores arbitraires (y
compris les informations montantes et descendantes) par le biais d’un signal stéréo standard. Ce processus imite l’oreille humaine qui est capable d’interpréter des informations
de position (d’où arrive un son), malgré le fait que seuls deux « récepteurs » (vos oreilles)
sont utilisés pour capturer le son.
Le module de post-traitement binaural n’est disponible qu’avec les tranches de console auxiliaires et de sortie. Il s’insère comme tout autre module (via le sous-menu Imagerie). Ce module vous permet d’appliquer différents modes de compensation sur un bus
ou une sortie stéréo, à travers lesquels plusieurs, voire tous les signaux de canaux à
balance binaurale sont acheminés. Vous économisez ainsi la puissance de traitement et
basculez facilement d’un mode de compensation à l’autre.
Nouvelles commandes dans le menu Réglage de tranche de console
Le menu Réglage de tranche de console propose les deux nouvelles commandes
suivantes :
 Réinitialiser la tranche de console.
 Supprimer le réglage de tranche de console.
Modèles et gestion des projets
La gestion des projets a été optimisée dans Logic Pro 8, pour vous garantir rapidité
et simplicité lors de la création et de la gestion de vos projets, qu’ils soient nouveaux
ou existants.
Modèles
Très facile à utiliser, une nouvelle zone de dialogue Modèles est maintenant disponible.
Un grand nombre de modèles prédéfinis vous est proposé. Ils peuvent vous servir de
point de départ pour différents types de projets. Qui plus est, vous pouvez enregistrer
n’importe quel projet comme un modèle.17
Nouveau menu Action de démarrage
Vous pouvez configurer Logic Pro de telle sorte qu’il ouvre ou crée automatiquement
des projets au démarrage, en choisissant une action de démarrage dans l’onglet
Logic Pro > Préférences > Globales > Gestion du projet.
 Ne rien faire : comme son nom l’indique, si vous choisissez cette option, rien ne se
produit lorsque vous ouvrez Logic Pro. Vous devez alors créer un projet ou ouvrir
un projet existant ou un modèle pour commencer à travailler.
 Ouvrir le projet le plusrécent :ouvre automatiquement le dernier projet ouvert la dernière
fois que vous avez quitté Logic Pro.
 Ouvrir un projet existant : affiche automatiquement la zone de dialogue Ouvrir, dans
laquelle vous pouvez rechercher un projet existant.
 Créer un projet d’après un modèle :ouvre automatiquement la zone de dialogue Modèles.
 Créer un projet vide : charge automatiquement un projet vide et ouvre la zone de dialogue Enregistrer sous, dans laquelle vous pouvez nommer et enregistrer votre projet.
 Créer un projet via un modèle par défaut : ouvre automatiquement le modèle par défaut
et la zone de dialogue Enregistrer sous, dans laquelle vous pouvez nommer et enregistrer votre projet. Vous avez la possibilité de définir n’importe quel projet comme le
modèle « par défaut ». Cette option correspond à la commande Chargement automatique proposée par les anciennes versions de Logic.
Remarque :le morceau par défaut chargé par les versions antérieures (un projet Plain
Vanilla) est toujours accessible. Il vous suffit de maintenir la touche Option enfoncée
alors que vous choisissez Fichier > Nouveau. Dans Logic Pro 8, un nouveau projet vide
est alors généré et la zone de dialogue Nouvelles pistes est automatiquement affichée.
Suppression du Gestionnaire de projet
En raison des améliorations apportées à Logic Pro 8, le Gestionnaire de projet des précé-
dentes versions a été supprimé. Il est remplacé par le Navigateur (voir « Navigateur » à la
page 3), la Bibliothèque (voir « Bibliothèque » à la page 3) et les options étendues d’enregistrement des projets.
Meilleure gestion des ressources des projets
Vous avez la possibilité d’enregistrer l’une ou l’intégralité des ressources des types suivants
dans le dossier de projet :tous les fichiers audio, instruments EXS (et échantillons), échantillons Ultrabeat, réponses d’impulsion SpaceDesigner et fichiers de film enregistrés
(et importés).
Ces options vous sont proposées dans la zone de dialogue standard Enregistrer ou Enregistrer sous d’un projet. Cochez simplement la case Inclure les ressources, puis cochez les cases
correspondant à vos besoins dans les Options avancées. Ces ressources sont également
disponibles sous forme de réglages de projet.
Vous pouvez modifier et enregistrer à tout moment les ressources d’un projet.18
Durée prolongée des projets
Logic Pro 8 intègre un nouveau format d’horloge interne pour les événements qui autorise
des projets d’une durée nettement supérieure. À un tempo normal, cette durée équivaut
approximativement à 12 heures.
Compatibilité des projets
Les projets enregistrés dans Logic Pro 8 ne sont pas compatibles avec les versions anté-
rieures de Logic (du fait du nouveau format d’horloge interne).
Les projets enregistrés au format Logic 5.x, 6.x ou 7.x peuvent être importés dans
Logic Pro 8.
Les morceaux plus anciens (enregistrés dans Logic version 4.x ou antérieure) doivent
être ouverts dans Logic 5, 6 ou 7, puis enregistrés afin de pouvoir être ouverts dans
Logic Pro 8.
Modification du fonctionnement de la sauvegarde automatique
Lorsque vous enregistrez un projet, Logic Pro 8 effectue automatiquement une copie
de sécurité (une sauvegarde) du fichier du projet. Les fichiers de sauvegarde sont placés dans le dossier du projet et portent le même nom que le projet, suivi du caractère
« ~ ». La préférence relative à la sauvegarde automatique a donc été supprimée.
Modification du fonctionnement à la fermeture des fenêtres
La fermeture de toutes les fenêtres ouvertes ferme désormais automatiquement le projet
en cours. Une zone de dialogue vous invite alors à enregistrer et quitter le projet, à quitter
le projet (sans enregistrer) ou à annuler l’opération.
Ouverture de fichiers MIDI
Lorsque vous ouvrez un fichier MIDI, Logic Pro 8 crée automatiquement des pistes
d’instruments logiciels pour chaque piste MIDI et affecte à chacune un instrument
GarageBand approprié.
Si vous souhaitez utiliser des pistes/appareils MIDI externes pour chaque piste MIDI (au
lieu des instruments GarageBand), appuyez sur la touche Option alors que vous ouvrez
le fichier MIDI.
Automation
Logic Pro 8 améliore les fonctions d’automation disponibles dans les précédentes versions
de diverses façons :
Création de nœuds au bord d’une région
Le menu Options > Automation de piste propose deux commandes supplémentaires
pour la création de nœuds d’automation au niveau du bord d’une région :
 Créer 2 nœuds au bord de la région.
 Créer 4 nœuds au bord de la région.19
Alignement des nœuds d’automation sur les valeurs de la grille
Une nouvelle option du menu Alignement vous permet d’aligner les nœuds d’automation des pistes et Hyper Draw (basés sur les régions) sur les positions de la grille. Pour
ce faire, il vous suffit de choisir Aligner l’automation dans le menu Alignement.
Remarque :les modifications apportées aux données d’automation s’alignent toujours sur
une position absolue, que l’option « Aligner sur la valeur absolue » soit activée ou non.
Décalage des données d’automation
Le nouveau paramètre Décalage d’alignement affiché par les préférences Automation
vous permet d’avancer ou de reculer légèrement dans le temps les données d’automation (en ticks), si l’option Aligner l’automation est activée. Vous pouvez également activer ce paramètre directement via le menu Alignement.
Suite à l’activation du paramètre Décalage d’alignement, toutes les données d’automation
créées à partir de cet instant sont décalées du nombre de ticks défini (sur les pistes ou dans
les régions contenant des données d’automation Hyper Draw).
Modifications de l’outil Automation
Vous pouvez maintenant accéder aux deux modes de l’outil Automation sous forme
de deux outils distincts :
 L’outil Sélection d’automation remplace l’ancien mode Sélection de l’outil Automation.
 L’outil Courbe d’automation remplace l’ancien mode Courbe de l’outil Automation.
Création automatique de pistes
Si vous activez l’un des modes Write d’automation sur une tranche de console qui n’est utilisée par aucune piste de la fenêtre Arrangement, une nouvelle piste est créée (ainsi qu’une
voie d’automation).
Amélioration des fonctions relatives aux pistes globales
Les pistes globales ont été améliorées comme suit :
Nouvelle zone de dialogue de configuration
Les réglages des pistes globales affichés dans le menu Présentation des anciennes versions
de Logic Pro ont été déplacés. En effet, tous les réglages de présentation de ces pistes sont
dorénavant accessibles via la commande Présentation > Configurer les pistes globales (ou
en cliquant sur la zone d’en-tête des pistes globales avec le bouton droit de la souris). La
zone de dialogue Configurer les pistes globales apparaît alors. Elle met à votre disposition
des cases à cocher pour chaque type de piste globale, ainsi que des boutons Tout activer
et Tout désactiver.20
Nouvelle zone de dialogue Table des battements
Le menu Sensibilité (Détection) situé dans l’en-tête des pistes de la Table des battements
vous propose des valeurs comprises entre 0 et 99. Cliquez dans la zone d’en-tête, puis faites glisser le pointeur à la verticale ou double-cliquez, puis saisissez une nouvelle valeur.
Vous obtenez ainsi une plus grande précision, ce qui améliore d’autant les résultats de
l’analyse.
Cliquez sur le bouton « Battements issus de la région » pour ouvrir une nouvelle zone
de dialogue. Vous pouvez y choisir la valeur de la note, comme dans les précédentes
versions, mais aussi y sélectionner l’un des deux algorithmes disponibles pour l’analyse
de la région.
 Tolérer les événements manquants ou supplémentaires : ce nouvel algorithme porte bien
son nom car il procède tel qu’indiqué. Utilisez-le pour les régions audio.
 Utiliser exactement toutes les notes existantes : cet algorithme détecte tous les éléments
transitoires. Utilisez-le (comme dans les versions antérieures) pour les régions MIDI qui
attribuent une note à chaque élément transitoire.
Marqueurs et altérations alternatifs
La zone d’en-tête des pistes globales des marqueurs et des altérations contient maintenant un menu Alternative. Il fonctionne de manière très semblable au menu Tempo alternatifs, en vous permettant de créer jusqu’à neuf pistes discrètes de marqueurs et altérations
alternatifs, chacune contenant un ensemble différent de marqueurs ou d’altérations.
Partage de données Logic Pro sur un réseau
Grâce à Logic Pro 8, vous pouvez partager et sauvegarder les types de données suivants
sur un réseau :
 réglages des modules,
 réglages des tranches de console,
 jeux de raccourcis clavier.
Vous pouvez ainsi collaborer en toute simplicité avec d’autres utilisateurs de Logic Pro.
Pour partager ou sauvegarder vos données, procédez de l’une des manières suivantes :
 via un réseau local, grâce à Bonjour,
 sur Internet, grâce à .Mac (un compte .Mac est alors nécessaire).
Traitement audio distribué (nœuds)
La gestion des nœuds a été grandement simplifiée. Une fois que vous avez configuré un
nœud et activé son utilisation sur un hôte, vous pouvez couper la connexion réseau ou
éteindre le nœud,sans causer le moindre problème du côté de l’hôte. Dès que le nœud
est redémarré, il établit automatiquement sa connexion avec l’hôte et est prêt à être utilisé.
Un nouvel état a été ajouté au bouton « Sync en attente » pour indiquer les cas où
la synchronisation des données entre l’hôte et le nœud n’est pas terminée.21
Traitement des effets Audio Unit
Logic Pro 8 autorise le traitement d’effets Audio Unit sur les ordinateurs nœuds.
Remarque :les modules d’effets Audio Unit doivent être installés correctement (y compris
les mécanismes de protection contre la copie) sur tous les ordinateurs nœuds.
Vous pouvez désactiver le traitement des nœuds pour des effets Audio Unit incompatibles,
via Audio Units Manager.
Notation
L’Éditeur de partition offre plusieurs nouvelles fonctions.
Nouvelles appellations d’éléments existants
Les ensembles d’instruments s’appellent désormais des jeux de partitions. Quant aux
styles de partition, il s’agit maintenant de styles de portée.
Fenêtre Style de portée : paramètre Plage de notes
La nouvelle fenêtre Style de portée vous permet de définir une plage de notes correspondant à un style de portée : les notes situées en dehors de cette plage ne sont pas
affichées dans l’Éditeur de partition. Vous pouvez ainsi masquer les notes utilisées pour
les opérations de changements de clé (par exemple, les bibliothèques d’échantillons
VSL chargées dans le module EXS24 mkII).
Redimensionnement d’un indicateur de portée
Le nouveau paramètre Taille présent dans l’onglet Clés et altérations des réglages de
partition pour le projet vous permet de modifier l’apparence de l’indicateur sur la portée (souvent en le rendant plus large à des fins de conduite). Il est exprimé sous forme
de valeurs standard et de pourcentages. Dans les systèmes simples, les deux nombres
sont affichés (par exemple, 4/4). Dans les systèmes doubles, le nombre supérieur est
affiché sur le système supérieur, le nombre inférieur sur le système inférieur.
Définition de la valeur de quantification de la partition
Vous pouvez utiliser les commandes Fonctions > Quantification > Fixer la position des
notes affichées et Fixer la position et la durée des notes affichées pour « figer » la quantification de l’affichage de tous les événements MIDI du projet. Ces commandes peuvent
être utiles pour l’exportation de projets (accompagnés des réglages de quantification de
l’affichage) vers d’autres programmes de notation qui ne bénéficient pas d’une option de
quantification de l’affichage.22
Symboles de saut de page et de fin de ligne
La palette des symboles inclut un nouveau groupe de symboles, notammentles évé-
nements Fin de ligne, Saut de page, Pas de fin de ligne et Pas de saut de page. Une fois
insérés, il est impossible de les déplacer automatiquement (lorsque vous modifiez les
réglages de présentation du projet, redimensionnez la fenêtre, etc.).
Vous pouvez toutefois annuler l’emplacement des événements Fin de ligne, Saut de page,
Pas de fin de ligne et Pas de saut de page à l’aide de l’outil Mise en page.
Vous pouvez déterminer les fins de ligne et les marges de portées individuelles pour
chaque jeu de partitions, ainsi que pour chaque partie extraite.
Importation de styles de texte
Vous pouvez désormais utiliser la fonction Importer réglages pour importer des styles
de texte de partition. Il vous suffit de choisir Fichier > Réglages du projet > Importer
réglages, puis de cocher la case Styles de texte en bas de la fenêtre Importer réglages.
Épaisseur de hampe et de liaison
Les paramètres Épaisseur de hampe et de liaison (onglet Fichier > Réglages du projet >
Partition > Style) sont dorénavant affectés par le paramètre Échelle des jeux de partitions
et le paramètre Taille des styles de portée.
Fenêtre Triolets optimisée
La fenêtre Triolet contient désormais une case à cocher Accepter les demi-valeurs. Si cette
case est cochée, les N-triolets peuvent posséder des valeurs de notes deux fois moins longues que la valeur de triolet standard.
Modification des raccourcis clavier
Il existe un certain nombre de nouveaux raccourcis clavier dans Logic Pro 8pour les
nouvelles fonctions et opérations, ainsi que pour répondre aux évolutions de l’interface. Il va sans dire que plusieurs raccourcis clavier existants ont changé de nom pour
correspondre aux éléments, fonctions et commandes modifiées dans l’application.
Suppression de la fonction d’apprentissage des commandes MIDI
La fonction d’apprentissage des commandes MIDI (présente dans la fenêtre Raccourci
clavier des versions précédentes) a été supprimée. L’assignation des événements ou
des données MIDI aux commandes de Logic Pro 8 se fait maintenant dans la fenêtre
Assignation de contrôleur.
Préréglages et exportation
Un sous-menu Préréglages a été ajouté au menu Options pour vous permettre de faire
une sélection rapide parmi tous les jeux de raccourcis clavier enregistrés dans le dossier
~Bibliothèque/Application Support/Logic/Key Commands.
Grâce à la nouvelle commande Exporter, vous pouvez très simplement exporter le jeu
de raccourcis clavier actuel vers l’emplacement de votre choix.23
Prise en charge des surfaces de contrôle
Cette rubrique offre une vue d’ensemble des fonctionnalités de Logic Pro 8 en matière de
prise en charge des surfaces de contrôle. Pour en savoir plus sur ces fonctionnalités et
leur utilisation, consultez le manuel Prise en charge des surfaces de contrôle de Logic Pro 8.
Nouvelles appellations
 Les présentations Multicanal et Tranche de console s’appellent aujourd’hui les présentations Table de mixage et Canal.
 Le mode Pistes est maintenant appelé le mode Tranches de console.
 Le menu Mode de visualisation de piste a été renommé en Mode de présentation
des tranches de console. Ce mode offre trois nouvelles présentations pour la table
de mixage : Simple, Arrangement et Tout, en plus des pistes (l’ancien mode de
présentation Arrangement).
Contournement des surfaces de contrôle
Vous pouvez à l’heure actuelle ignorer temporairement vos surfaces de contrôle en
choisissant Logic Pro > Préférences > Surfaces de contrôle > Ignorer toutes les surfaces
de contrôle. Cette option s’avère particulièrement utile pour faire taire momentanément
les curseurs motorisés des surfaces de contrôle lorsque vous enregistrez dans la même
pièce. Elle est également très pratique pour résoudre des erreurs de données MIDI ou
pour réduire la bande passante MIDI nécessaire.
La nouvelle préférence Logic Pro > Préférences > Surfaces de contrôle > Préférences >
Ignorer tout à l’arrière-plan vous permet même de partager votre surface de contrôle
avec d’autres applications, lorsque Logic Pro 8 n’est plus le programme activé.
Nouvelle case à cocher « Cliquer sur le curseur sélectionne la piste »
L’onglet Logic Pro > Préférences > Surfaces de contrôle > Générales comporte une nouvelle case à cocher intitulée « Cliquer sur le curseur sélectionne la piste » :si cette case est
cochée, vous sélectionnez la piste correspondante dès que vous cliquez sur un curseur de
la surface de contrôle.
Remarque :cette fonction n’est disponible qu’avec les appareils comportant des curseurs
sensibles aux clics.
Simplification accrue de la présentation Simple
La présentation Simple de la fenêtre Assignation de contrôleur a été mise à jour pour
simplifier et accélérer davantage les tâches d’assignation de base sur les surfaces de
contrôle.24
Prise en charge du matériel audio
Les paragraphes suivants détaillent les changements survenus au niveau de la prise
en charge du matériel audio dans Logic Pro 8.
Prise en charge optimisée du matériel Apogee
Le tableau de bord Apogee dédié proposé par Logic Pro 8 a été amélioré. Outre le
matériel Ensemble, vous pouvez maintenant contrôler du matériel Duet d’Apogee.
Consultez le document Utilisation d’Apogee Logic Pro 8 pour en savoir plus.
Choix du matériel de lecture
L’Éditeur des échantillons, le chutier Audio et la Navigateur vous autorisent à écouter
vos données audio par le biais d’un matériel particulier. Par défaut, il s’agit de Core
Audio. Cliquez sur le bouton Pré-écoute (icône représentant un haut-parleur) tout en
maintenant la touche Contrôle enfoncée pour changer le matériel affecté à la sortie.
D’un point de vue technique, une nouvelle tranche de console de pré-écoute est créée
dans la table de mixage (avec un numéro plus élevé que toutes les tranches de console déjà présentes dans le projet). Si vous effectuez votre pré-écoute sur du matériel
DAE, la tranche de console portant le numéro le plus élevé (possible avec la configuration matérielle actuelle) est utilisée.
Environnement
La nouvelle interface n’a introduit que quelques modifications mineures dans la fenêtre
Environnement.
 La couche Audio s’appelle dorénavant la couche Table de mixage.
 Une nouvelle commande Présentation > Fenêtre flottante sans cadre a été ajoutée.
Elle vous sert à configurer une couche Environnement redimensionnée, que vous
pouvez par la suite ouvrir sous la forme d’une fenêtre flottante (généralement de
petite taille) au sein d’un screenset. Les barres de menus et d’autres éléments sont
alors supprimés de la fenêtre flottante Environnement, ce qui vous permet de libérer
de l’espace à l’écran. Le tableau de bord MMC constitue un parfait exemple d’utilisation de cette nouvelle commande.
 L’élément de menu Nouveau > Objet audio a été remplacé par l’élément de sous-menu
Tranche de console. Vous pouvez donc créer de nouvelles tranches de console audio
(audio, instruments logiciels, auxiliaires, etc.) en choisissant l’option appropriée. En
règle générale, vous n’aurez pas besoin de procéder de la sorte, du fait des nouvelles
fonctions de création de pistes/tranches de console disponibles dans la fenêtre Arrangement. Vous pouvez toujours créer les tranches de console du bus et d’entrée
(objets) via ce menu. D’un point de vue fonctionnel, ces commandes sont identiques
aux précédentes versions. Elles ont uniquement été conservées pour assurer la compatibilité avec des projets créés dans des versions antérieures à Logic Pro 8. Toutefois,
les fonctions qu’elles offrent sont aujourd’hui directement accessibles dans les tranches de console audio et auxiliaires, ce qui vous garantit une plus grande flexibilité.25
Vidéo
Une nouvelle option Suivre Tempo a été ajoutée aux réglages vidéo pour le projet. Lorsque
cette case est cochée, vous pouvez définir un tempo de base dans le champ numérique
situé en dessous. Comme son nom l’indique, cette option permet à la vidéo de suivre les
changements de tempo survenant dans Logic Pro 8.
Modifications apportées aux instruments et aux effets
Cette rubrique offre une vue d’ensemble des fonctionnalités de Logic Pro 8 en matière
d’instruments et d’effets. Pour en savoir plus sur ces fonctionnalités et leur utilisation,
consultez le manuel Instruments et effets de Logic Studio. Les modifications d’ordre
général ayant un impact sur l’utilisation des modules dans toute l’application sont
décrites dans le Manuel de l’utilisateur de Logic Pro 8.
Généralités
Cette rubrique décrit les nombreuses modifications affectant l’utilisation de tous les modules d’effets et d’instruments dans Logic Pro 8.
Utilisation d’instruments multi-sortie
La configuration des instruments multi-sortie a été simplifiée dans Logic Pro 8 : lorsque
vous insérez un module d’instrument multi-sortie dans un canal d’instrument, un bouton
+ apparaît en dessous de la tranche de console.
Cliquez sur ce bouton et une tranche de console auxiliaire est affichée à droite du canal
d’instrument précédemment assigné à l’instrument multi-sortie inséré. Répétez cette
étape pour créer d’autres tranches de console auxiliaires (assignées automatiquement),
jusqu’au nombre maximal autorisé par le module d’instrument.
Suite à la création de la première tranche de console auxiliaire pour l’instrument multi-sortie, un bouton « – » apparaît à côté du bouton « + ». Cliquez sur ce bouton « – » pour supprimer des canaux auxiliaires.
Instruments logiciels en mode Live
Les instruments logiciels en mode Live (prêts pour la lecture) requièrent beaucoup plus
de ressources que ceux qui se contentent de lire des régions existantes. Pour un usage
moins intensif de la puissance de traitement, la sélection de la piste d’un instrument
logiciel dans Logic Pro 8 n’active pas immédiatement le mode Live. En fait, il n’est activé
qu’après la réception d’un événement MIDI en Live. Le bouton Enregistrement activé
des pistes d’instruments reflète l’état actuel.
Remarque :si vous lancez un enregistrement, l’instrument passe immédiatement en
mode Live (comme dans Logic Pro 7). Vous avez également la possibilité de cliquer sur
le bouton Enregistrement activé d’une piste d’instrument pour activer le mode Live.26
Nouveau mode de faible latence
Le mode de faible latence vous permet de limiter le délai maximal occasionné par l’utilisation des modules. Les modules sont alors ignorés, afin de s’assurer que le retard maximal éventuellement subi (sur l’intégralité du cheminement du signal de la piste actuelle)
reste inférieur à la valeur sélectionnée. Le mode de latence faible s’avère extrêmement
utile lorsque vous devez jouer d’un instrument logiciel (ou le contrôler via un canal audio)
et que des modules impliquant des temps de latence élevés sont utilisés, quel que soit
l’emplacement sur le cheminement du signal pour la piste ou le canal sélectionné.
Vous définissez le retard maximal lié aux modules dans l’onglet Générales des préférences
Audio. Cliquez sur le bouton Mode de faible latence de la barre de transport ou cochez la
case du même nom dans l’onglet Générales des préférences Audio pour activer ce mode.
Nouvelles interfaces pour les effets
L’interface utilisateur de tous les modules d’effets différenciés par la couleur bleue a été
améliorée afin de les rendre plus faciles à utiliser. L’interface de Multipressor a également
été optimisée pour un usage plus simple.
Nouvel en-tête pour les modules
L’en-tête de tous les modules a été repensé. Il est désormais plus facile à lire et comporte
des boutons Précédent et Suivant (réglage de module). Un bouton Comparer a également
été ajouté dans le but de simplifier l’accès aux états des paramètres des modules modifiées/
non modifiés.
L’en-tête des modules en versions Surround multicanaux affiche un groupe supplémentaire de boutons. Ces boutons vous permettent d’accéder aux options d’acheminement
et de configuration Surround du module concerné.
Menu Module simplifié
Deux niveaux ont été supprimés dans la hiérarchie du menu Module afin d’accélérer
la recherche et la sélection des modules. Vous pouvez dorénavant directement cliquer
sur le nom d’un module pour l’insérer, plutôt que d’avoir à choisir entre mono et sté-
réo. Le module est alors automatiquement inséré dans une variante qui correspond
au mieux au format du canal (entrée et sortie).
Éditeur d’instruments EXS24 mkII modifié
Le nouvel Éditeur d’instruments EXS24 mkII offre une interface utilisateur plus intuitive,
ce qui facilite son utilisation. Les fonctions relatives aux notes incluent la possibilité de
modifier graphiquement les plages de vélocité des groupes et des zones.27
Ultrabeat
La nouvelle version de Logic Pro 8 assure à Ultrabeat son lot de nouvelles fonctions et
d’améliorations.
Automation pas à pas
En mode Édition, un nouveau commutateur vous permet d’enclencher le mode d’automation pas à pas d’Ultrabeat. Ce mode d’automation vous sert à programmer plusieurs
modifications de paramètres, pas à pas, pour chaque son de percussion. Vous pouvez
ainsi automatiser autant des paramètres disponibles que vous le souhaitez, en procédant
pas à pas. Vous avez la possibilité de modifier tous les paramètres sonores intégrés aux
fonctions de la section Synthétiseur, à l’exception des menus (modulation, routages, etc.),
des boutons (types d’oscillateurs, boutons de la section Déclencheur/Groupe) et des
paramètres Balance/Diffusion.
Grille du séquenceur en présentation complète
Cliquez sur le bouton Présentation complète dans l’angle inférieur droit d’Ultrabeat pour
activer/désactiver l’affichage des commandes du synthétiseur sur une large grille, remplie
par les boutons des déclencheurs. Indépendamment du son actuellement sélectionné,
cette grille affiche 32 boutons de déclencheurs, pour chacun des 25 sons de percussion.
Importation d’instruments EXS
Vous pouvez désormais utiliser la fonction Importer d’Ultrabeat pour importer des sons
issus d’instruments EXS : Ultrabeat reproduit ensuite au plus près le style EXS. Les zones
EXS multicouches sont configurées comme des sons de percussion en plusieurs couches
grâce au mode de lecture des échantillons de l’Oscillateur 2.
Source sonore Side Chain pour l’Oscillateur 1
L’Oscillateur 1 propose un nouveau mode Side Chain : lorsque ce mode est activé, Ultrabeat utilise une entrée externe Side Chain comme source de l’Oscillateur 1.Vous pouvez
ainsi envoyer le signal de tout canal audio, auxiliaire ou entrée en mode Live vers les filtres,
les enveloppes, l’oscillateur sub-audio et le séquenceur pas à pas d’Ultrabeat.
Accent par voix
Le séquenceur pas à pas d’Ultrabeat affiche maintenant un bouton Accent (identique au
bouton Swing) qui vous permet d’activer et de désactiver le réglage Accent à l’échelle de
chaque son de percussion. Vous pouvez alors accentuer les cymbales,sans influencer la
grosse caisse, par exemple.
Commandes supplémentaires de génération de pas
Cliquez sur l’un des boutons des déclencheurs tout en maintenant la touche Contrôle
enfoncée (ou avec le bouton droit de la souris) dans la rangée des déclencheurs du
séquenceur pas à pas pour ouvrir le menu contextuel Déclencheur. Ce menu vous propose un certain nombre de commandes de création de pas et de réorganisation, y
comprisdes commandes pour ajouter un pas sur chaque temps faible ou fort, pour
rendre aléatoires les pas existants ou pour décaler des pas d’un montant défini.28
Nouveau son d’initialisation des échantillons
Le menu contextuel Son de percussion (ouvert si vous cliquez avec le bouton droit de
la souris ou tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée sur un son de percussion
dans la section Assignation) propose un nouveau son d’initialisation des échantillons.
Ce son initialise les paramètres du filtre et de la tonalité (avec des réglages neutres), ce
qui correspond à des conditions idéales pour commencer à créer des sons de percussion
basés sur des échantillons.
ES2
La nouvelle version de Logic Pro 8 intègre à ES2 des nouvelles fonctions et des
améliorations.
Fonctions Surround
Lorsqu’ils sont insérés comme une instance Surround, les paramètres étendus ES2
comportent les paramètres Plage Surround et Diversité du Surround :
 Plage Surround :détermine la plage de l’angle Surround, comprise entre 0 et 360 °.
Autrement dit, ce paramètre définit la largeur de la trame Surround.Vous pouvez
moduler le mouvement des sons, au sein de cette plage Surround, en utilisant la cible
Diversité du Routeur.
 Diversité du Surround : détermine la répartition du signal de sortie entre vos haut-parleurs
Surround. Si vous choisissez une valeur égale à 0,seuls les haut-parleurs situés au plus
près de la position du signal d’origine transmettent le signal. Une valeur de diversité
égale à 1 répartit uniformément le signal sur tous les haut-parleurs.
Présentation Macro
La section située en bas de l’interface ES2 vous permet de basculer entre deux présentations Macro :
 Macro : affiche un certain nombre de paramètres de macro qui ont un impact sur
des groupes d’autres paramètres.
 Macro uniquement : remplace l’interface ES2 par une présentation dédiée (et bien
plus petite) limitée aux paramètres de macro.
En présentation Macro, des commandes réservées aux macros vous permettent de régler
rapidement et en toute simplicité plusieurs paramètres de génération de sons ES2 simultanément. Vous pouvez utiliser votre souris ou les boutons et les curseurs de votre clavier
MIDI, comme si vous disposiez d’un vrai synthétiseur.
Amélioration des enveloppes de vecteurs
Vous pouvez dorénavant ajouter jusqu’à 16 points à l’axe temporel d’une enveloppe de
vecteur.Vous avez également accès à un nouveau menu contextuel en cliquant n’importe
où dans l’enveloppe de vecteur tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée.29
Nouveaux groupes aléatoires
ES2 vous offre quatre nouvelles destinations aléatoires :
 Vector Env XY Pad X only.
 Vector Env XY Pad Y only.
 Vector Env Shuffle Times.
 Vector Env Shuffles Times.
Sculpture
La nouvelle version de Logic Pro 8 assure à Sculpture de nouvelles fonctions et des
améliorations.
Fonctions Surround
Lorsqu’ils sont insérés comme une instance Surround, les paramètres étendus Sculpture comportent les paramètres Plage Surround et Diversité du Surround :
 Plage Surround : détermine la plage de l’angle Surround. Autrement dit, ce paramètre
définit la largeur de la trame Surround. Pour comprendre encore plus facilement l’utilisation de ce paramètre, imaginez un oscillateur sub-audio routé vers la position de
balance d’un capteur d’une valeur de 1,0. Si vous choisissez une forme d’onde en dents
de scie pour l’oscillateur sub-audio et que la Plage Surround est réglée sur 360, vous
obtenez un mouvement circulaire de la sortie vocale (autour de l’ensemble du cercle
Surround). Le paramètre Plage Surround influence de la même façon la diffusion des
notes et du capteur.
 Diversité du Surround : détermine la répartition du signal de sortie entre vos haut-parleurs
Surround. Si vous choisissez une valeur égale à 0,seuls les haut-parleurs situés au plus
près de la position du signal d’origine transmettent le signal. Une valeur de diversité
égale à 1 signifie que tous les haut-parleurs transmettent la même proportion du signal.
De plus, la nouvelle cible de modulation Diversité vous permet de contrôler dynamiquement la répartition de la sortie vocale sur les canaux Surround (tout comme si vous étiez
en train de régler le paramètre Diversité dans le Panoramique Surround).
Qui plus est, les instances Surround garantissent un vrai délai Surround : la nappe
Temps de retard est convertie en nappe purement « groove » dans le but de contrôler
le retard entre :
 les canaux Droite et Gauche (haut-parleurs) à l’horizontale,
 les canaux Avant et Arrière (haut-parleurs) à la verticale.
Vous pouvez accéder séparément au paramètre Diffusion sous la forme d’un champ
d’édition situé à gauche de la nappe.30
La commande Intercommunication contrôle toujours le retour croisé entre les lignes
de retard, mais elle offre en plus d’autres modes d’intercommunication. Vous pouvez
y accéder dans la section Paramètres étendus de Sculpture :
 Gauche-Droite.
 Avant-Arrière.
 Sens des aiguilles d’une montre.
 Sens inverse des aiguilles d’une montre.
 Zig-zag.
Effacement et copie des paramètres Retard
Vous pouvez désormais cliquer sur la nappe Temps de retard tout en maintenant la
touche Contrôle enfoncée pour accéder à un menu contextuel contenant les commandes Effacer, Copier et Coller pour les réglages de retard. Utilisez ces commandes pour
copier et coller des réglages de retard entre plusieurs instances Sculpture ou entre des
réglages chargés à la suite. La commande Effacer vous permet de réinitialiser les réglages de retard en cours.
Nouveau mode Sustain
Le menu « Mode Sustain de l'enveloppe de métamorphose » propose le nouveau mode
Analyser via CtrlB : lorsque ce mode est activé, la position du plan de montage au sein
de l’enveloppe est « déconnectée » du temps réel et vous pouvez alors « analyser »
l’ensemble de la plage de temps en utilisant le contrôleur MIDI choisi pour Ctrl + B.
EFM 1
Les paramètres étendus d’EFM 1 proposent dorénavant des fonctions d’assignation du
contrôleur MIDI. Vous avez toute latitude pour assigner n’importe quel contrôleur MIDI
(et le niveau de modulation correspondant) aux deux paramètres suivants :
 Intensité FM.
 Vibrato.
Nouveau Delay Designer
Logic Pro 8 intègre Delay Designer, un retard multi-tap qui assure jusqu’à 26 taps (points
de lecture). Delay Designer vous permet de contrôler les aspects suivants de chaque tap :
 Niveau et balance.
 Filtres passe-haut et passe-bas.
 Transposition de tonalité de deux octaves (vers le haut ou le bas).
Parmi les autres paramètres ayant un impact sur l’effet dans son ensemble figurent
la synchronisation, la quantification, le retour, etc.31
Delay Designer vous offre une large palette en matière de conception de sons.Vous pouvez d’ailleurs l’utiliser dans la quasi-totalité des cas, du simple effet d’écho au séquenceur
de motif audio. Il peut vous servir à créer des rythmes complexes et fluctuants en synchronisant le positionnement des taps, puis en combinant judicieusement la transposition de
la tonalité et le filtrage. Comme vous le feriez avec la commande Retour dans le cas d’un
retard simple, vous pouvez définir plusieurs taps comme de simples « répétitions » d’autres
taps mais vous disposez alors d’un contrôle individuel sur chaque répétition.
Vous avez la possibilité d’utiliser Delay Designer avec des canaux dotés d’entrées et/ou
de sorties mono, stéréo ou Surround.
Nouvel effet Echo
Logic Pro 8 comprend le module d’effet Echo d’une extrême simplicité. Cet effet
synchronise toujours le retard sur le tempo du projet, ce qui vous permet de créer
rapidement des échos sur la durée de votre composition.
Nouvel effet Microphaser
Logic Pro 8 comporte un effet très simple, appelé Microphaser, qui vous permet de créer
rapidement des effets de « swooshing » et de phases avec seulement trois paramètres.
Amélioration de Space Designer
La nouvelle version de Space Designer assure une compatibilité totale avec le format
Surround :
 Space Designer prend maintenant en charge le format de réponse d’impulsion
jusqu’à 7.1 (y compris le format B).
 La bibliothèque de réponses d’impulsion a été enrichie et propose des impulsions
Surround de sites très populaires, comme le clocher Münster de la cathédrale d’Ulm
ou les studios Bavaria Film.
 Les instances Surround de Space Designer proposent quatre curseurs de sortie.
Ensemble, ils constituent une petite table de mixage de sortie Surround.
 Dans les instances Surround, le curseur Entrée laisse la place au curseur LFE vers réverbé-
ration. Il détermine la proportion du signal LFE mixée avec les signaux Surround alimentant la réverbération.
Space Designer comporte également un nouveau filtre d'égalisation à 4 bandes : deux
bandes moyennes de paramétrage, une low shelving (inférieure) et une high shelving
(supérieure).Vous pouvez activer l’ancien affichage Enveloppe pour observer la courbe EQ.
Vous êtes alors en mesure de modifier graphiquement la bande EQ SpaceDesigner,
comme s’il s’agissait de Channel EQ ou de Linear Phase EQ.32
Application Deconvolver séparée de Space Designer
Les fonctions Deconvolver de Space Designer ont été étendues et sont désormais regroupées dans une application distincte, accessible via le dossier Applications/Utilitaires.
Le bouton Déconvolutionner a été supprimé de Space Designer et vous ne pouvez donc
plus ouvrir l’application DeConvolver à partir de Logic Pro 8.
L’application Deconvolver est un programme d’enregistrement audio multipiste et de
déconvolution. Il vous permet de créer vos propres réponses d’impulsion mono, stéréo
et Surround pour la réverbération dans Space Designer. Pour en savoir plus, consultez
le Manuel de l’utilisateur Deconvolver.
Amélioration de la compression stéréo
La version modifiée de Stereo Compressor vous permet d’intervertir le circuit entre divers
modèles, y compris : Platinum, Classic A_R, Classic A_U, VCA, FET et Opto (optique).
Cette nouvelle version intègre également un limiteur qui est déclenché par la sortie (après
le contrôle du gain). Les informations du déclencheur servent à adapter de manière dynamique la compression (pour obtenir l’effet de limitation). Il en résulte une transition musicale et fluide entre la compression et la limitation.
Le bouton Auto est également une nouveauté spéciale. Si vous cliquez dessus, le temps
de libération s’adapte automatiquement au matériel audio.
D’autres fonctions avancées, telles que le filtrage Side Chain et certains paramètres de
coloration/overdrive par type analogique, ont été ajoutées aux paramètres étendus. Un
nouveau paramètre Mixage est également disponible.
Nouveaux effets Surround
Logic Pro 8 intègre des versions réellement Surround des modules d’effets suivants :
 DownMixer.
 MultiMeter.
 VU-mètre.
 Compressor.
 Gain.
 SpaceDesigner.
 Delay Designer.
 Effets de modulation (Chorus, Flanger, Microphaser, Ensemble, Modulation Delay,
Phaser, Tremolo).33
Match EQ
La version Surround de l’effet Match EQ vous permet de filtrer séparément les réponses par canal grâce à des modèles multicanaux. Chaque canal peut donc être modifié
individuellement. Si la configuration des canaux (du signal audio analysé et mis en correspondance) est incompatible, la somme mono de tous les canaux des modèles est
utilisée. Le bouton Gestion LFE vous permet d’ignorer le canal LFE.
Effets de modulation
Logic Pro 8 comprend également les versions Surround des effets de modulation suivants :
Chorus, Flanger, Microphaser, Ensemble, Modulation Delay, Phaser et Tremolo.
Les phases des cycles de l’oscillateur sub-audio de ces effets sont verrouillées et réparties
uniformément parmi les canaux Surround.
Dans le cas des effets Modulation Delay, Tremolo et Phaser, vous pouvez contrôler le
comportement Surround à l’aide des paramètres suivants :
 Paramètre Phase de l’oscillateur sub-audio : contrôle le rapport des phases entre les
différentes modulations des canaux. À 0°, des valeurs extrêmes de modulation sont
obtenues simultanément sur tous les canaux. À 180° ou -180°, la distance possible
entre les phases de modulation des canaux est la plus grande.
 Menu Répartition : définit de quelle manière le décalage de phase entre les différents
canaux est réparti dans la trame Surround. Vous avez le choix entre une répartition
Circulaire, Aléatoire, Avant <> Arrière et Gauche <> Droite. Si vous chargez un
réglage utilisant l’option Aléatoire, la valeur enregistrée pour le décalage de phase
est récupérée. Si vous souhaitez ajouter un caractère aléatoire au réglage de phase,
choisissez « Rendre à nouveau aléatoire » dans le menu Répartition.
L’effet Ensemble met à votre disposition le paramètre Diffusion qui vous permet de
répartir les voix au sein de la trame Surround.
Remarque :l’effet Ensemble convertit le signal d’entrée en mono avant de le traiter. Par
conséquent, il est inséré comme un effet multicanal en Surround dans les canaux Surround.
Pour accéder aux paramètres Surround de l’effet Ensemble, vous devez insérer cet effet
comme une instance Mono vers Surround ou Stéréo vers Surround.
Down Mixer
Grâce au nouveau module Down Mixer, vous pouvez régler le format d’entrée de la
tranche de console Surround master, ce qui vous permet de vérifier rapidement le
mixage Surround en stéréo, par exemple.Linear Phase EQ et Channel EQ
Les effets Linear Phase EQ et Channel EQ proposent tous les deux un nouveau bouton
Lien. Ce bouton active le couplage Gain-Q, qui règle automatiquement le Q (la bande
passante) lorsque vous augmentez ou diminuez le gain sur n’importe quelle bande EQ,
afin de préserver la bande passante perçue de la courbe en cloche.
La section Paramètre étendu affiche désormais le menu Intensité de Gain-Q :si vous
réglez le couple Gain-Q sur fort, vous préservez la quasi-totalité de la largeur de bande
perçue, alors que si vous choisissez léger et médium vous autorisez des fluctuations
lorsque vous augmentez ou diminuez le gain. Des réglages asymétriques permettent
d’obtenir un couple plus fort avec des valeurs de gain négatives qu’avec des valeurs
positives. Vous préservez donc mieux la bande passante perçue lorsque vous réduisez
le gain plutôt qu’en l’accentuant.
Match EQ
Match EQ affiche un nouveau menu Extrêmes du fondu parmi ses paramètres étendus :
choisissez Activé pour lisser la courbe du filtre aux extrémités supérieure et inférieure
du spectre de fréquences.
AutoFilter
Totalement modifiée, l’interface AutoFilter met à votre disposition trois nouveaux boutons
d’état du filtre, qui vous permettent d’activer au choix AutoFilter en mode Passe-haut,
Passe-bande, et Passe-bas.
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Personnalisation des raccourcis clavier
L’éditeur de commandes d’Aperture permet de
personnaliser les raccourcis clavier et rationnaliser votre méthode de travail.
Pour activer l’éditeur de commandes dans
Aperture :
n Choisissez Aperture > Commandes >
Personnaliser.
alt –
alt +
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Apple et le logo Apple sont des marques d’Apple Inc.
déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Aperture est une marque d’Apple Inc.
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alt retour
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Utilitaire de réponse
d’impulsion
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informatives et ne constitue en aucun cas une approbation ni une recommandation. Apple n’assume aucune
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Utilisation de l’Utilitaire
de réponse d’impulsion
L’Utilitaire de réponse d’impulsion est une application de déconvolution et d’enregistrement audio multipiste. Il vous permet de créer vos propres réponses d’impulsion mono,
stéréo et Surround pour Space Designer, l’effet de réverbération à convolution de
Logic Studio.
Tous les paramètres et toutes les fonctions dont vous avez besoin pour créer des réponses
d’impulsion sont réunis dans un même écran.
L’interface de l’Utilitaire de réponse d’impulsion est divisée en quatre zones :
 Zone Hardware I/O Assignment : comprend des menus locaux permettant de sélectionner l’entrée et la sortie audio.
 Section du Monitor and Sweep Generator : offre des paramètres de monitoring et de
génération de balayage sinusoïdal, ainsi que des boutons permettant de déconvoluer
vos pistes audio en une réponse d’impulsion et d’écouter cette dernière.
 Section Inputs/Track : répertorie toutes les pistes audio utilisées pour vos enregistrements de réponse d’impulsion.
 Zone Editing : affiche les informations audio de la piste audio sélectionnée.4
La déconvolution est le processus utilisé pour créer des réponses d’impulsion à partir de
balayages sinusoïdaux audio à large bande (enregistrés). La rubrique ci-dessous traite de la
déconvolution et de son rôle dans le processus de création des réponses d’impulsion. Les
rubriques suivantes présentent le matériel nécessaire à l’enregistrement des réponses
d’impulsion et expliquent comment utiliser l’Utilitaire de réponse d’impulsion pour créer
vos propres fichiers de réponse d’impulsion Space Designer (.sdir).
La déconvolution et l’Utilitaire de réponse d’impulsion
Space Designer combine, ou convolue, la réponse d’impulsion d’un espace acoustique
avec un signal audio. Cela a pour effet de placer votre audio « dans » l’espace acoustique,
représenté par cette réponse d’impulsion. Une réponse d’impulsion peut être vue
comme la somme des échos (réflexions) produits dans un espace physique donné après
le pic initial d’un signal. Le fichier de réponse d’impulsion est en fait un enregistrement
audio réalisé dans un espace contenant ces échos.
Enregistrement d’une réponse d’impulsion
Deux méthodes pratiques peuvent être utilisées pour enregistrer une réponse
d’impulsion.
Utilisation d’un enregistrement d’élément transitoire
La première méthode consiste à enregistrer une impulsion dans un espace à l’aide,
par exemple, d’un pistolet de starter. Le coup de feu constitue l’impulsion, et le fichier
audio que vous enregistrez capture à la fois cette impulsion et la réponse de la pièce.
L’avantage de cette méthode est que le fichier audio enregistré peut être utilisé dans
Space Designer sans être traité auparavant. Vous pouvez utiliser l’Utilitaire de réponse
d’impulsion pour enregistrer les impulsions de votre pistolet de starter, puis les combiner dans un fichier de réponse d’impulsion Space Designer (.sdir) (et un fichier de
réglage Space Designer).
L’inconvénient de cette méthode est qu’il est extrêmement difficile de réaliser un enregistrement parfait de coup de feu sans distorsion. Cela s’explique par la très forte intensité
sonore de l’élément transitoire initial du coup de feu. L’autre problème est que les coups
de feu d’un pistolet de starter contiennent très peu d’informations de basse ou haute fré-
quence, ce qui limite la plage de fréquences utilisable de la réverbération convoluée. 5
Utilisation d’un balayage sinusoïdal à large bande
La seconde méthode (recommandée) permettant de créer des réponses d’impulsion consiste à lire un balayage sinusoïdal audio à large bande dans un espace et à enregistrer ce
balayage (ainsi que la réponse de l’espace) à des niveaux d’enregistrement optimaux. Un
balayage sinusoïdal couvrant la totalité de la plage de fréquences audible est utilisé, ce
qui permet d’obtenir une réponse d’impulsion bien souvent de meilleure qualité avec
une plage de fréquences étendue.
Le fichier audio du balayage sinusoïdal enregistré ne peut pas être utilisé directement
comme réponse d’impulsion. Il contient en effet tous les échos et toutes les réflexions,
c’est-à-dire la réponse, de l’espace, et ce sur toute la longueur du balayage sinusoïdal, ce
qui est très différent de l’approche avec le pistolet de starter, où la réponse est contenue
au début du fichier dans une impulsion.
Lorsque vous utilisez un balayage sinusoïdal, l’Utilitaire de réponse d’impulsion utilise un
processus appelé déconvolution pour réaliser un alignement temporel et de niveau de
toutes les réflexions enregistrées, qui sont présentes sur la totalité du balayage sinusoïdal
enregistré, au tout début du fichier. Cela produit une réponse d’impulsion que Space
Designer peut utiliser pour combiner, ou convoluer, avec votre signal audio. L’Utilitaire
de réponse d’impulsion peut ensuite générer un fichier de réglage .sdir à partir de cette
réponse d’impulsion.
Configuration de votre système d’enregistrement
de réponse d’impulsion
Avant de pouvoir utiliser l’Utilitaire de réponse d’impulsion pour créer une réponse
d’impulsion, vous devez configurer votre matériel d’enregistrement pour qu’il puisse lire
et enregistrer le balayage sinusoïdal généré par l’Utilitaire de réponse d’impulsion.
Dans l’idéal, vous devez disposer des éléments suivants :
 Un haut-parleur pour chaque emplacement (de haut-parleur) requis par le format choisi,
si vous prévoyez de générer des balayages d’onde sinusoïdale. Exemples : si vous enregistrez une vraie réponse d’impulsion stéréo, il vous faut deux haut-parleurs. Si vous
enregistrez une réponse d’impulsion Surround à six canaux, il vous en faut six, etc.
Si vous ne générerez pas de balayages d’onde sinusoïdale, vous n’avez pas besoin de
haut-parleurs pour les lire (le son est généré par le pistolet de starter).
Remarque : dans la plupart des cas, vous pouvez vous contenter d’enregistrer
une seule position de haut-parleur (mais toutes les positions de micro requises par
le format de réponse d’impulsion choisi) et de créer une réponse d’impulsion discrète
mono/omni. Cela permet d’obtenir une réponse d’impulsion nécessitant moins de
puissance de l’unité centrale dans le format requis. Voir « Enregistrement d’une
réponse d’impulsion à 5 canaux Mono vers Omni » à la page 33.6
 Un ou plusieurs micros pour enregistrer l’audio résultant produit par chaque hautparleur (ou par le coup de feu) combiné avec ses échos/réflexions. Le nombre de
micros dont vous avez besoin dépend du format de réponse d’impulsion choisi.
Exemples : si vous enregistrez une réponse d’impulsion Surround à six canaux,
il y a six positions de micro, vous devez donc dans l’idéal disposer de six micros. Si
vous enregistrez une réponse d’impulsion encodée au format B à six canaux, pour
laquelle une seule position de micro et quatre pistes sont nécessaires, il vous en faut
moins, etc. Voir « Encodage Surround au format B » à la page 29 pour en savoir plus.
 Une interface audio dotée de suffisamment de sorties pour envoyer un balayage sinusoï-
dal audio à large bande à chaque haut-parleur (en cas d’utilisation de balayages sinusoï-
daux) et de suffisamment d’entrées pour enregistrer l’audio résultant de chaque position.
Remarque : vous pouvez également avoir besoin de préamplificateurs de micro supplé-
mentaires si vos micros ne sont pas en mesure de capturer un signal suffisamment fort
ou si votre interface audio ne dispose pas d’assez d’entrées avec préamplificateur de micro.
Il est possible de créer des réponses d’impulsion multipiste discrètes, même si vous
n’avez pas suffisamment de haut-parleurs ou de micros. Dans la mesure où vous n’enregistrerez qu’un seul balayage sinusoïdal à la fois, vous pouvez installer les haut-parleurs
dont vous disposez, les enregistrer dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion, puis les placer sur de nouvelles positions et répéter la procédure. Imaginez par exemple que vous
n’ayez qu’une seule paire de haut-parleurs stéréo, mais que vous souhaitiez créer une
réponse d’impulsion quadriphonique, ce qui nécessite l’enregistrement de quatre pistes dans quatre positions de haut-parleur différentes. Vous pourriez dans ce cas installer votre paire de moniteurs, enregistrer leur sortie, puis les déplacer pour enregistrer
l’autre paire de pistes dans les deux autres positions de haut-parleur.
Exemple de haut-parleurs et de micros configurés pour la capture d’une réponse d’impulsion
Ordinateur
Interface audio
Système
de micros
Surround
C
L R
Ls Rs7
Cette méthode de création de réponses d’impulsion prend évidemment plus de temps, et
le fait de ne pas pouvoir installer tous vos haut-parleurs en même temps rend leur positionnement optimal l’un par rapport à l’autre difficile. Avec du temps et une planification
minutieuse, vous pouvez toutefois obtenir les mêmes résultats.
? Astuce : vous pouvez également créer des réponses d’impulsion à plusieurs canaux
dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion en utilisant le format « Mono to Omni Discrete ».
Ce format ne nécessite l’enregistrement que d’un seul haut-parleur par autant de micros
« canal » que nécessaire (pour le format choisi). La réponse d’impulsion obtenue nécessite
moins de puissance de l’unité centrale. Voir « Enregistrement d’une réponse d’impulsion
à 5 canaux Mono vers Omni » à la page 33.
Si vous avez suffisamment de moniteurs mais pas assez de micros, vous pouvez installer
les haut-parleurs requis et vous contenter de déplacer les micros disponibles de l’un
à l’autre. Cette méthode rend le positionnement optimal des micros l’un par rapport
à l’autre difficile, mais vous conservez tout de même l’avantage du positionnement idéal
des haut-parleurs (et il faut bien avouer qu’il est beaucoup plus facile de déplacer des
micros que des haut-parleurs !).
Si votre interface audio n’offre pas suffisamment d’entrées et de sorties pour le nombre
de haut-parleurs et de micros que vous utilisez pour créer votre réponse d’impulsion,
vous pouvez tout de même installer tous les micros et haut-parleurs. Lors de l’enregistrement des différentes pistes dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion, vous devrez déconnecter/reconnecter les haut-parleurs et les micros à tour de rôle.
Vous trouverez une présentation plus détaillée des haut-parleurs et des micros convenant à la création des réponses d’impulsion, ainsi que des suggestions concernant leur
positionnement, dans la rubrique « Recommandations relatives aux micros et hautparleurs » à la page 23.
Création de réponses d’impulsion dans l’Utilitaire
de réponse d’impulsion
Les étapes nécessaires à la création d’une réponse d’impulsion dans l’Utilitaire
de réponse d’impulsion sont les suivantes :
Étape 1 : création d’un projet de réponse d’impulsion
Configurez votre projet Utilitaire de réponse d’impulsion pour le nombre de pistes
nécessaire au format de réponse d’impulsion choisi.
Étape 2 : définition des paramètres de l’Utilitaire de réponse d’impulsion
Définissez les paramètres d’entrée et de sortie matérielles, du moniteur et du balayage
pour l’enregistrement de vos pistes audio.8
Étape 3 : enregistrement
Utilisez l’Utilitaire de réponse d’impulsion pour enregistrer les pistes audio nécessaires à
votre réponse d’impulsion.
Étape 4 : déconvolution de vos enregistrements audio
Si vous avez enregistré des balayages sinusoïdaux, cliquez sur Déconvoluer une fois toutes
les pistes audio enregistrées. L’Utilitaire de réponse d’impulsion génère alors une
réponse d’impulsion à partir de vos pistes.
Étape 5 : édition et écoute
Coupez les parties de silence, appliquez des fondus, etc., pour optimiser votre réponse
d’impulsion.
Étape 6 : création d’un réglage Space Designer
Cliquez sur « Create Space Designer » une fois toutes les étapes ci-dessus terminées. Cela
ajoute la réponse d’impulsion créée à votre liste de réglages Space Designer disponibles.
Les sous-rubriques suivantes décrivent chaque étape en détail.
Création de votre projet
Lorsque vous ouvrez l’Utilitaire de réponse d’impulsion pour la première fois, la zone de dialogue « New Impulse Response Project » s’affiche. Il s’agit de la première étape de la
création d’un projet de réponse d’impulsion. Vous pouvez également créer un projet en
choisissant File > New Project (ou en appuyant sur Commande + N).
L’Utilitaire de réponse d’impulsion propose divers formats allant des formats conventionnels stéréo, véritable stéréo (où chaque canal est traité individuellement) et quadriphoniques, aux formats Surround à cinq, six ou sept canaux. Ces derniers peuvent être de deux
types : multipiste standard ou avec encodage au format B. Voir « Encodage Surround au
format B » à la page 29 pour en savoir plus.
Vous pouvez également créer des réponses d’impulsion à plusieurs canaux dans
l’Utilitaire de réponse d’impulsion en utilisant le format « Mono to Omni Discrete ».
Ce format ne nécessite l’enregistrement que d’un seul haut-parleur par autant de micros
« canal » que nécessaire (pour le format choisi). La réponse d’impulsion obtenue nécessite
moins de puissance de l’unité centrale. Voir « Enregistrement d’une réponse d’impulsion
à 5 canaux Mono vers Omni » à la page 33.9
Pour créer un projet de réponse d’impulsion :
1 Choisissez le format de réponse d’impulsion souhaité dans le menu Configuration.
Dans la fenêtre située sous le menu Configuration, la zone de dialogue affiche le nombre
de positions de haut-parleur et de micro requis par le format sélectionné.
2 Cliquez sur OK.
La zone de dialogue « New Impulse Response Project » se ferme et le nombre de pistes
requis (déterminé par le format choisi) s’affiche dans la section Inputs/Tracks.
Définition des paramètres de l’Utilitaire de réponse
d’impulsion
Après avoir créé un projet de réponse d’impulsion, vous devez assigner le périphérique
d’entrée et de sortie audio et définir les réglages du moniteur et du générateur de balayage.
Assignation du matériel d’entrée et de sortie
Vous devez configurer le périphérique d’entrée et de sortie audio dans la zone « Hardware
I/O Assignment » avant de pouvoir utiliser l’Utilitaire de réponse d’impulsion.
La sélection de l’entrée audio détermine le périphérique audio utilisé pour enregistrer
les pistes audio. La sélection de la sortie audio détermine le périphérique audio utilisé
pour contrôler le signal enregistré et lire le balayage sinusoïdal généré.
Pour sélectionner un périphérique d’entrée audio :
m Dans le menu Audio Input, choisissez le pilote d’interface audio souhaité.
Pour sélectionner un périphérique de sortie audio :
m Dans le menu Audio Output, choisissez le pilote d’interface audio souhaité.
Modification de la fréquence d’échantillonnage
La zone « Hardware I/O Assignments » affiche également la fréquence d’échantillonnage
actuelle. Vous ne pouvez pas modifier la fréquence d’échantillonnage de votre projet de
réponse d’impulsion dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion. Si vous souhaitez enregistrer
vos pistes audio à une autre fréquence d’échantillonnage, vous devez la modifier dans
l’utilitaire Configuration audio et MIDI ou dans le logiciel de votre interface audio (le cas
échéant). En cas de doutes, reportez-vous à la documentation de votre interface audio.10
Configuration des commandes du moniteur
Après avoir enregistré des pistes de balayage sinusoïdal dans l’Utilitaire de réponse
d’impulsion, vous pouvez les contrôler via la sortie stéréo de votre choix. Les commandes
du moniteur déterminent le canal et le niveau de ce dernier. Vous pouvez également
désactiver le son de la section du moniteur.
Pour sélectionner les canaux de sortie du moniteur stéréo :
m Choisissez la paire de sorties stéréo souhaitée dans le menu Monitor Channel.
Pour ajuster le niveau de sortie du signal contrôlé :
1 Cliquez dans le champ Monitor Level.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Faites glisser le pointeur vers la gauche (ou le bas) pour réduire le volume ou vers
la droite (ou le haut) pour l’augmenter.
 Saisissez une valeur numérique pour le niveau du moniteur (toute valeur supérieure
à 0 dB règle le niveau du moniteur sur 0 dB).
Important : pour éviter l’effet de Larsen pendant l’enregistrement, veillez à désactiver
le son de la sortie du moniteur.
Pour désactiver le son de la sortie du moniteur :
m Cochez la case Monitor Mute.
Configuration du générateur de balayage
Le générateur de balayage produit une onde sinusoïdale balayant progressivement
la plage de fréquences de 20 Hz à 20 kHz. Les paramètres du générateur de balayage
définissent la sortie matérielle, le volume, la longueur, le temps de réverbération et le
pre-roll du balayage sinusoïdal.11
Pour définir le canal de sortie matérielle du balayage sinusoïdal :
m Choisissez le canal de sortie souhaité dans le menu Sweep Channel.
Pour définir le niveau de sortie du balayage sinusoïdal :
1 Cliquez dans le champ Sweep Level.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Faites glisser le pointeur vers la gauche (ou le bas) pour réduire le volume ou vers
la droite (ou le haut) pour l’augmenter.
 Saisissez une valeur numérique pour le niveau du balayage (toute valeur supérieure
à 0 dB règle le niveau du balayage sur 0 dB).
Longueur du balayage
Trois options de longueur sont disponibles pour le balayage sinusoïdal :
 10 s : balayage sinusoïdal de dix secondes.
 50 s : balayage sinusoïdal de cinquante secondes.
 Désactivé : aucun balayage sinusoïdal. Choisissez ce réglage si vous enregistrez
une impulsion de pistolet de starter.
Dans l’idéal, l’onde sinusoïdale doit être courte. Cela permet d’éviter les artefacts dus au
déplacement d’air, au bruit de la pièce et aux autres bruits ambiants dans votre enregistrement. Un balayage sinusoïdal de 10 secondes est donc un choix judicieux. Malheureusement, les balayages courts peuvent ne pas produire un rapport signal/bruit suffisamment
élevé dans certaines situations d’enregistrement. Si vous estimez que les résultats obtenus à
partir d’un enregistrement de 10 secondes ne sont pas satisfaisants, essayez avec une durée
de 50 secondes.
Pour définir la longueur du balayage sinusoïdal :
m Choisissez la longueur de balayage souhaitée dans le menu Sweep Length.
Reverb Time
Le paramètre Reverb Time détermine la durée d’enregistrement maximale de chaque
piste. Pour capturer avec précision les propriétés acoustiques d’un espace, vous devez
définir un temps suffisamment long pour capturer la phase de rétablissement de toutes
les réverbérations et de tous les échos.
Si vous utilisez le générateur de balayage, le temps de réverbération commence lorsque
le balayage sinusoïdal se termine. Si vous avez réglé le paramètre Sweep Length sur
Désactivé (en vue d’enregistrer la réponse d’impulsion d’un coup de pistolet de starter),
le paramètre Reverb Time détermine la longueur totale de l’enregistrement.12
Pour définir le temps de réverbération :
1 Cliquez dans l’affichage Reverb Time.
2 Effectuez l’une des opérations suivantes :
 Faites glisser le pointeur vers la gauche (ou le bas) pour réduire le temps
ou vers la droite (ou le haut) pour l’augmenter.
 Saisissez une valeur numérique pour le temps de réverbération.
Preroll
Le but est de s’assurer qu’aucun bruit d’opérateur, tels que les bruits de frappe ou encore
ceux dus au réajustement des micros, n’est enregistré. Pour ce faire, vous pouvez définir
un preroll. L’enregistrement ne débutera pas immédiatement, ce qui vous laissera le
temps de terminer la frappe, de corriger la position des micros au dernier moment si
nécessaire, etc. La durée du preroll est identique à celle définie pour le paramètre Reverb
Time.
Pour activer/désactiver le preroll :
m Cochez la case Preroll.
Générateur de signal de test
L’Utilitaire de réponse d’impulsion inclut un générateur de signal d’onde sinusoïdale
tenue (c’est-à-dire, sans balayage) intégré permettant d’étalonner vos sorties matérielles.
Plusieurs fréquences sont disponibles : 100 Hz, 1 kHz, 5 kHz et 10 kHz. Utilisez ce signal de
test pour vérifier que le canal de sortie matérielle est correctement connecté et que vos
haut-parleurs peuvent reproduire la fréquence d’onde sinusoïdale sélectionnée.
Pour définir la fréquence du signal de test :
m Choisissez la fréquence souhaitée dans le menu Test Tone.
Pour activer/désactiver le signal de test :
m Cliquez sur la case On.
Lorsque la case est cochée, vous entendez immédiatement le signal de test via le canal
de balayage sélectionné.
Remarque : le niveau du signal de test est déterminé par le paramètre Sweep Level.13
Enregistrement audio dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion
Après avoir sélectionné vos assignations matérielles et configuré le moniteur ainsi que le
générateur de balayage sinusoïdal, vous pouvez commencer à enregistrer vos pistes audio.
L’enregistrement dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion se fait en trois étapes :
1 Sélectionnez une piste audio dans la section Inputs/Tracks.
2 Configurez la piste audio pour l’enregistrement.
3 Répétez cette étape pour chaque piste requise par le format choisi.
4 Cliquez sur le bouton Sweep/Record pour lancer l’enregistrement.
Si vous utilisez le générateur de balayage, vous entendrez le balayage d’onde sinusoïdale
sur toute sa plage de fréquences. L’Utilitaire de réponse d’impulsion enregistre le résultat
sur la ou les pistes audio sélectionnées.
Si vous avez désactivé le générateur de balayage, cliquez sur Enregistrement et tirez un
coup de pistolet de starter. L’Utilitaire de réponse d’impulsion enregistre la réponse
d’impulsion résultante sur la piste audio sélectionnée.
Pour sélectionner une piste audio, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Cliquez dans la bande de piste souhaitée.
m Utilisez les touches Flèche vers le haut et Flèche vers le bas pour parcourir la liste des pistes.
Configuration des pistes audio pour l’enregistrement
La section Inputs/Tracks affiche automatiquement le nombre de pistes requis pour l’enregistrement de la réponse d’impulsion en fonction de vos sélections dans la zone de dialogue « New Impulse Response Project ». Chaque bande de piste de la section Inputs/Tracks
présente un certain nombre de paramètres. Certains d’entre eux sont automatiquement
configurés par l’Utilitaire de réponse d’impulsion, les autres doivent être définis par l’utilisateur avant l’enregistrement.
Paramètres des pistes
 Menu Speaker Position : permet de choisir l’étiquette de position du haut-parleur pour
la piste sélectionnée. L’Utilitaire de réponse d’impulsion et Space Designer utilisent tous
deux ces étiquettes pour identifier et traiter les fichiers audio composant une réponse
d’impulsion stéréo ou Surround multicanal. L’Utilitaire de réponse d’impulsion définit
automatiquement l’étiquette de position du haut-parleur pour chaque piste, mais vous
pouvez en sélectionner une autre (parmi celles disponibles dans le format de réponse
d’impulsion actuel) si vous le souhaitez.14
 Menu Mic Position : permet de choisir l’étiquette de position du micro pour la piste sélectionnée. L’Utilitaire de réponse d’impulsion et Space Designer utilisent tous deux ces étiquettes pour identifier, et traiter, les fichiers audio composant une réponse d’impulsion
stéréo ou Surround multicanal. L’Utilitaire de réponse d’impulsion définit automatiquement l’étiquette de position du micro pour chaque piste, mais vous pouvez en sélectionner une autre (parmi celles disponibles dans le format de réponse d’impulsion actuel) si
vous le souhaitez.
 Menu Input : permet de définir l’entrée physique de chaque piste. Veillez à sélectionner la
bonne entrée avant l’enregistrement.
 Bouton S[olo] : cliquez dessus pour activer ou désactiver le mode Solo pour la piste sélectionnée. Lorsque le bouton Solo est activé (jaune), le signal d’entrée est acheminé vers la
section du moniteur et le niveau d’entrée est affiché dans le VUmètre (voir « VU Meter »
ci-dessous). Vous ne pouvez mettre qu’une seule piste à la fois en mode Solo.
 Bouton R[ecord-Enable] : met la piste sélectionnée en mode « Prêt pour
l’enregistrement ». Le bouton E devient rouge lorsqu’il est activé. Le fait de cliquer
sur ce bouton active également le bouton Solo pour la piste sélectionnée, ce qui
vous permet de contrôler le signal d’entrée avant l’enregistrement. Vous pouvez
activer plusieurs pistes à la fois pour un enregistrement multicanal. Lorsque vous
cliquez sur le bouton Sweep/Record, un enregistrement est réalisé sur
toutes les pistes activées pour l’enregistrement.
 Bouton L[ock] : verrouille les paramètres Sweep Length et Reverb Time pour garantir
que tous les enregistrements suivants utilisent les mêmes valeurs.
 Peak : affiche la valeur du niveau de crête en dB. Si le niveau vient à dépasser 0 dB,
la valeur de crête est conservée jusqu’à ce qu’elle soit effacée. Le fait de cliquer sur
l’en-tête de la colonne Crête réinitialise la mesure Crête de toutes les pistes.
 Level : affiche le VU Meter de chaque piste. Ce VU Meter affichent toujours
le niveau actuel des entrées physiques.
Mode de verrouillage et générateur de balayage
Lorsqu’une piste est verrouillée, les paramètres du générateur de balayage le sont également. Cela permet de garantir que tous les enregistrements suivants utilisent les mêmes
réglages de balayage. Chaque piste doit en effet utiliser un balayage sinusoïdal identique
pour pouvoir produire une réponse d’impulsion multicanal avec une phase cohérente et
une sonorité précise.15
VU Meter
L’Utilitaire de réponse d’impulsion offre un VU Meter mesurant soit le niveau du signal au
niveau de l’entrée de la piste (mise en mode Solo), soit la sortie du générateur de
balayage. Pendant la lecture de l’audio enregistré, le VU Meter affiche le niveau de la piste
sélectionnée. Un message d’état affiché sous le VU Meter indique son mode de fonctionnement actuel. L’échelle du VU Meter va de 0 à 100 %, où 100 % représente 0 dB.
Enregistrement
Après avoir configuré et activé les pistes souhaitées pour l’enregistrement, cliquez sur
le bouton Sweep/Record. Si vous utilisez le générateur de balayage, le bouton indique
« Sweep ». Si vous n’utilisez pas le générateur de balayage (paramètre Longueur du
balayage réglé sur Off), le bouton indique « Record ».
 Le fait de cliquer sur Sweep lance automatiquement l’enregistrement et génère
le balayage sinusoïdal (en utilisant les paramètres du générateur de balayage choisis).
Le VU Meter affiche automatiquement la sortie du générateur de balayage.
 Le fait de cliquer sur Record lance automatiquement l’enregistrement. Tirez un coup
de pistolet de starter et l’Utilitaire de réponse d’impulsion enregistrera
la réponse d’impulsion.
L’enregistrement se poursuit jusqu’à ce que la durée définie pour le balayage sinusoïdal
(si le générateur de balayage est utilisé) et le paramètre Reverb Time soit écoulée. Il
s’arrête automatiquement. Vous pouvez également l’arrêter manuellement
en cliquant sur le bouton Sweep/Record.
Remarque : le bouton Sweep/Record est désactivé si aucune piste n’est
activée pour l’enregistrement.
Enregistrement automatique des projets
L’Utilitaire de réponse d’impulsion enregistre l’audio dans la mémoire RAM plutôt que
sur le disque dur. Cela signifie que l’audio enregistré n’est pas sauvegardé tant
que vous n’avez pas enregistré votre projet.
Pour plus de commodité, l’Utilitaire de réponse d’impulsion enregistre automatiquement
votre projet sur disque après chaque enregistrement audio. 16
Si vous n’avez pas encore enregistré votre projet, la zone de dialogue Enregistrer s’ouvre
pour vous permettre de lui attribuer un nom et de choisir un emplacement sur votre disque dur. Si vous l’avez déjà enregistré auparavant, l’enregistrement se fait automatiquement. Voir « Enregistrement et ouverture des projets » à la page 22 pour en savoir plus.
Déconvolution de votre réponse d’impulsion
Si vous utilisez le générateur de balayage, vous devez déconvoluer vos enregistrements
audio pour pouvoir les utiliser comme réponse d’impulsion.
Pour déconvoluer vos pistes audio, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Cliquez sur le bouton Deconvolve.
m Choisissez Edit > Deconvolve (ou appuyez sur Maj + Commande + D).
Après la déconvolution, vos pistes audio ne forment plus qu’une seule et même réponse
d’impulsion que vous pouvez écouter, éditer et convertir en fichier de réglage .sdir.
Remarque : bien qu’il soit possible de déconvoluer chaque piste audio après son enregistrement, cela ne présente aucun intérêt. Il est beaucoup plus efficace d’attendre que toutes
les pistes soient enregistrées avant de les déconvoluer.
Édition et écoute de votre réponse d’impulsion
Après avoir enregistré (ou déconvolué vos pistes audio en) une réponse d’impulsion,
vous pouvez utiliser la zone Editing pour la « retoucher ». Vous pouvez également utiliser
la fenêtre Audition IR pour écouter le résultat obtenu lorsqu’elle est appliquée à un fichier
audio test.
Édition de votre réponse d’impulsion
Une fois vos pistes audio enregistrées, il se peut que vous constatiez trop de silence
au début ou à la fin, qu’elles ne s’atténuent pas suffisamment tôt, etc. Pour corriger
ces problèmes mineurs, l’Utilitaire de réponse d’impulsion vous permet de couper, de
tronquer et d’appliquer un fondu à vos fichiers audio dans la zone Editing.17
Pour afficher un fichier audio dans la zone Editing :
m Sélectionnez le fichier audio.
Il apparaît alors automatiquement dans la zone Editing.
Vous pouvez choisir l’un des trois modes d’affichage disponibles dans la zone Editing :
 Waveform : affiche l’audio enregistré sous la forme d’une forme d’onde standard.
L’axe horizontal affiche le temps écoulé. L’axe vertical affiche le niveau sonore sous
forme de pourcentage.
 Energy : affiche la répartition de l’énergie acoustique dans le temps. L’axe horizontal
affiche le temps écoulé. L’axe vertical affiche les niveaux sonores en dB.
 Spectrogram : affiche la répartition des fréquences dans le temps. L’axe horizontal
affiche le temps écoulé. L’axe vertical affiche les fréquences, qui sont colorées en
fonction de la plage de décibels. La légende des couleurs dans le coin supérieur droit
de la zone Editing indique le système de couleurs utilisé.
Ces modes d’affichage vous permettent d’analyser efficacement vos formes d’onde
et d’identifier facilement les parties à couper ou à tronquer, ou celles nécessitant un
fondu. Le mode Spectrogramme, qui affiche simultanément la fréquence, le niveau et
le temps, est particulièrement bien adapté à une analyse très détaillée de votre audio.18
Boutons de transport
La zone Editing contient deux boutons de transport :
 Play : lance ou arrête la lecture de la piste audio sélectionnée. Vous pouvez également
utiliser la barre d’espace à cette fin.
 Cycle : active/désactive le mode Cycle. Lorsque ce mode est activé (bouton assombri),
la piste sélectionnée est lue en boucle.
Fonctions d’édition
L’Utilitaire de réponse d’impulsion offre trois fonctions d’édition utilisables à l’aide des
deux boutons d’édition situés en haut à gauche de la fenêtre Editing : Cut, Crop, et Fade.
Toutes les fonctions d’édition sont utilisables de la même manière :
1 Cliquez et faites glisser le pointeur sur une portion de l’audio dans la zone Editing.
2 Cliquez sur le bouton de la fonction d’édition de votre choix.
 Crop : si vous effectuez une sélection n’incluant ni le début ni la fin de l’audio,
le bouton d’édition de gauche active la fonction Crop. Le fait de cliquer sur ce bouton
supprime l’audio se trouvant à droite et à gauche de votre sélection, sans affecter
l’audio sélectionné. Vous pouvez également choisir Editing > Crop (ou appuyer sur
Commande + X) à cette fin.
 Cut : si vous effectuez une sélection incluant le début ou la fin de l’audio, le bouton
d’édition de gauche active la fonction Cut. Le fait de cliquer sur ce bouton supprime la
sélection sans affecter l’audio non sélectionné. Vous pouvez également choisir
Editing > Cut (ou appuyer sur Commande + X) à cette fin.
 Fade : si vous effectuez une sélection incluant le début ou la fin de l’audio, vous pouvez sélectionner la fonction Fade. Le fait de cliquer sur ce bouton crée un fondu progressif sur toute la longueur de la zone sélectionnée. Vous pouvez également choisir
Editing > Fade (ou appuyer sur Commande + F).
Remarque : pour préserver la cohérence de phase entre toutes les pistes de votre réponse
d’impulsion, les opérations d’édition sont appliquées de la même manière à toutes les pistes. Pour que votre réponse d’impulsion ne comporte aucune piste éditée de manière diffé-
rente, vous ne pouvez plus enregistrer d’autres pistes après une session d’édition.19
Écoute de votre réponse d’impulsion
Pour vous faire une idée du son de votre réponse d’impulsion lorsqu’elle sera utilisée
dans Space Designer, vous devez pouvoir l’écouter en contexte. L’Utilitaire de réponse
d’impulsion inclut à cette fin une fenêtre Écoute dans laquelle vous pouvez convoluer la
réponse d’impulsion chargée avec des fichiers audio test. La fenêtre Audition est divisée
en trois sections : la zone Impulse Response, la zone Monitor et la zone Audio Test File.
L’Utilitaire de réponse d’impulsion permet de charger/d’utiliser jusqu’à cinq fichiers
audio comme sources lors de l’écoute de votre réponse d’impulsion. La fenêtre Audition
comprend également quatre fichiers sources de test intégrés.
Pour ouvrir la fenêtre Audition :
m Cliquez sur le bouton Audition IR.
La fenêtre Audition s’ouvre. Toutes les fonctions d’édition sont désactivées lorsque
cette fenêtre est ouverte.
La fenêtre Audition comporte les paramètres suivants :
 Case Enable : permet d’activer ou de désactiver les différents enregistrements de
réponse d’impulsion. Utilisez ces cases pour sélectionner le ou les fichiers à écouter.
 Étiquette Input ID : identifie le fichier de réponse d’impulsion à l’aide de ses positions
de haut-parleur > micro.
 Menu Output Channel : permet de sélectionner le canal de sortie physique utilisé
pour la lecture de la réponse d’impulsion sélectionnée.
 Champ Mix : détermine le rapport signal source test sec/signal d’effet.20
 Champ Monitor Level : permet de définir le niveau d’écoute global.
 Boutons Test Audio File : permet de lire l’un des quatre fichiers audio sources
de test intégrés.
 Boutons Ouvrir : cliquez dessus pour charger un fichier audio à utiliser comme source
de test. Vous pouvez utiliser n’importe quel fichier audio non compressé.
 Boutons Play : cliquez dessus pour lire le fichier audio sélectionné combiné avec
le ou les fichiers de réponse d’impulsion activés.
Réponses d’impulsion en format B
L’apparence de la fenêtre Audition change légèrement lorsque vous utilisez une
réponse d’impulsion en format B. La fenêtre Audition du format B supprime le paramè-
tre Output Channel de la zone Piste et comprend une zone Loudspeaker :
La zone Loudspeaker comprend les paramètres suivants :
 Number of Loudspeakers : permet de définir le nombre de haut-parleurs utilisés par
l’Utilitaire de réponse d’impulsion pour décoder la réponse d’impulsion. Cliquez sur les
flèches pour augmenter ou diminuer le nombre de haut-parleurs, ou double-cliquez
sur le nombre affiché et saisissez une nouvelle valeur.
 Loudspeaker Angle : permet de configurer l’angle de chaque haut-parleur. Le décodage du format B prend ce paramètre en compte pour recréer l’espace enregistré.
 Output Channel : permet de définir le canal de sortie physique du haut-parleur sélectionné.21
Création d’un réglage Space Designer
Lorsque vous êtes satisfait de votre réponse d’impulsion, vous pouvez générer un fichier
.sdir, ainsi qu’un réglage de module. Une fois cette opération réalisée, vous pourrez utiliser
votre nouvelle réponse d’impulsion dans Space Designer.
Pour créer un réglage Space Designer, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Cliquez sur le bouton Create Space Designer Setting.
m Choisissez File > Create Space Designer Setting.
L’Utilitaire de réponse d’impulsion génère un fichier .sdir de votre réponse d’impulsion et
l’enregistre dans le répertoire suivant : ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/Impulse
Responses.
Il génère également un fichier de réglage de module pour votre réponse d’impulsion et
l’enregistre dans le répertoire suivant : ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/
Plug-In Settings/Space Designer.
La prochaine fois que vous ouvrirez Logic, votre nouvelle réponse d’impulsion
sera disponible dans la Bibliothèque, ainsi que dans l’interface de Space Designer.22
Enregistrement et ouverture des projets
Comme indiqué précédemment, l’Utilitaire de réponse d’impulsion enregistre automatiquement votre projet dès que vous effectuez un enregistrement audio. Vous pouvez toutefois
l’enregistrer manuellement à tout moment. Vous pouvez également ouvrir un projet pré-
cédemment enregistré ou revenir à la dernière version enregistrée du projet ouvert.
Pour enregistrer votre projet en utilisant son nom et son emplacement actuels :
m Choisissez File > Save Project (ou appuyez sur Commande + S) pour enregistrer votre projet de réponse d’impulsion sous son nom actuel dans son emplacement actuel.
Pour enregistrer votre projet en utilisant un nouveau nom ou un nouvel emplacement :
m Choisissez File > Save As (ou appuyez sur Commande + Maj + S).
Le fichier de projet de réponse d’impulsion est un paquet Mac OS X contenant
tous les fichiers associés au projet.
Ouverture des projets
Si vous souhaitez poursuivre votre travail sur un projet précédemment enregistré,
vous devez d’abord l’ouvrir.
Pour ouvrir un projet, effectuez l’une des opérations suivantes :
m Choisissez File > Open Project (ou appuyez sur Commande + O), puis recherchez votre
fichier de projet.
m Choisissez File > Open Recent pour ouvrir un menu hiérarchique des fichiers de projet
récemment ouverts.
Retour à la version enregistrée
Si vous n’êtes pas satisfait des modifications ou des enregistrements effectués dans
le projet en cours et que vous avez déjà enregistré ce dernier, vous pouvez utiliser
la commande File > Revert to Saved. Cela permet de revenir à la dernière version
enregistrée du projet.
Remarque : lorsque vous utilisez la commande Revert to Saved, vous perdez toutes
les modifications non enregistrées.23
Recommandations relatives aux micros et haut-parleurs
La réponse d’impulsion d’un espace n’est jamais uniquement la réponse d’impulsion de
cet espace. La réponse d’impulsion enregistrée est toujours la réponse de l’ensemble du
système, c’est-à-dire de chaque élément de l’équipement que vous utilisez pour réaliser
vos enregistrements. Cela inclut, dans l’ordre du trajet du signal : le convertisseur numé-
rique-analogique, l’amplificateur et les haut-parleurs (ou les haut-parleurs amplifiés),
les caractéristiques de la pièce, le ou les micros et, enfin, le préamplificateur du micro
et le convertisseur analogique-numérique. Par conséquent, avant de quitter votre studio
pour aller enregistrer la réponse d’impulsion d’un espace, vous devez penser à l’équipement que vous allez emporter. De nos jours, même les convertisseurs bon marché
offrent une qualité acceptable, votre attention devra donc se porter sur la sélection
des haut-parleurs et des micros.
Recommandations pour la sélection des micros
et des haut-parleurs
Il n’existe aucune règle quant à la marque de micro ou de haut-parleur qui permettra
d’obtenir la meilleure réponse d’impulsion. Un bon point de départ consiste à utiliser des
haut-parleurs et des micros ayant une réponse linéaire (ce qui signifie qu’ils produisent un
signal égal à toutes les fréquences). Vous trouverez des micros et des haut-parleurs offrant
des réponses relativement linéaires à pratiquement tous les prix. Les micros à lampe, géné-
ralement appréciés pour la « couleur » qu’ils ajoutent au signal, ne constituent pas nécessairement la meilleure option pour l’enregistrement de réponses d’impulsion. Les micros
utilisés comme micros d’ambiance sont généralement de bons candidats. 24
Recommandations pour le positionnement des haut-parleurs
et des micros
L’endroit où vous placez vos haut-parleurs et vos micros dans l’espace d’enregistrement
a un impact important sur les échos et les réflexions particuliers capturés par votre réponse
d’impulsion. Il va sans dire que la créativité est la clé du succès et que tout repose sur
l’expérimentation.
Il existe toutefois quelques recommandations et principes généraux qui pourront vous
aider à prendre un bon départ.
Recommandation générale pour le positionnement dans les environnements présentant
des sols durs faits de matériaux tels que le béton : il se peut qu’un son strident soit enregistré au début de votre réponse d’impulsion. Ce son est en fait le balayage sinusoïdal
généré transmis par le sol et capté par le micro. Le son se propage en effet beaucoup plus
vite dans les sols et le béton que dans l’air, ce qui produit une réponse pré-impulsionnelle
avant celle que vous souhaitez enregistrer. Pour éviter ce problème potentiel, vous pouvez
utiliser des pieds de batterie de « studio » et des suspensions de micro spéciaux dotées de
puissants absorbeurs acoustiques intégrés. Si vous ne pouvez pas emmener de pieds de
batterie ou si vous n’avez pas les moyens d’acheter des supports de micro onéreux, essayez
de placer un tapis épais sous les haut-parleurs et le ou les pieds de micro.
Vous trouverez ci-dessous certaines approches spécifiques que vous pouvez essayer lors de
la création de réponses d’impulsion. Gardez à l’esprit qu’il ne s’agit que de suggestions. Il
n’existe aucune règle quant à la distance à laquelle les haut-parleurs doivent être éloignés
de la batterie de micros, aux angles optimaux, à la distance idéale entre les haut-parleurs et
les micros, etc. Vous pouvez essayer différentes techniques et différents positionnements
pour trouver la configuration idéale. La création de réponses d’impulsion est un art !
Approche de l’auditeur virtuel
Il s’agit sans doute de la technique la plus courante pour positionner les haut-parleurs
et les micros en vue de créer des réponses d’impulsion. L’objectif est de capturer
l’effet des échos et des réflexions produits par tout l’espace, tels qu’ils sont entendus
à la position d’écoute. Dans cette approche, les haut-parleurs sont installés sur les côtés
de la pièce et le micro est placé à la position d’écoute. 25
La réponse d’impulsion résultante (lorsque vous l’utilisez plus tard dans Space Designer
pour ajouter de la réverbération à votre signal) doit donner l’impression que votre audio
provient des différentes positions de haut-parleur dans l’« espace ». Il n’est pas nécessaire
d’avoir plusieurs micros pour cette méthode ; un seul micro peut être dirigé tour à tour
vers chacun des haut-parleurs et plusieurs enregistrements audio peuvent être réalisés
depuis le même emplacement. L’image ci-dessous illustre l’approche de l’auditeur virtuel
pour positionner cinq haut-parleurs (pour une réponse d’impulsion Surround à cinq
canaux), avec un micro placé au centre de l’espace.
Cette méthode permet de donner l’impression que le signal audio est complètement
immergé dans l’espace simulé.
C
L R
Ls Système Rs
de micros
Surround26
Approche de l’auralisation
L’auralisation est une autre méthode courante pour le positionnement des haut-parleurs
et des micros dans un espace. Cette technique consiste à essayer de capturer les réflexions
depuis la position de l’interprète. Installez un ou plusieurs haut-parleurs à la position de
l’interprète (ou d’une autre source audio) et placez un micro à la position d’écoute. La
réponse d’impulsion résultante (lorsque vous l’utilisez dans Space Designer) doit donner
l’impression que votre audio provient de l’endroit précis où les haut-parleurs sont positionnés. Vous pouvez utiliser la technique de l’auralisation pour créer, par exemple, une réponse
d’impulsion stéréo d’une scène particulière. Lorsque vous utilisez cette réponse d’impulsion dans Space Designer, votre audio doit donner l’impression qu’il provient de cette
scène. L’image ci-dessous illustre l’utilisation de la technique de l’auralisation pour positionner vos haut-parleurs et vos micros en vue de créer une réponse d’impulsion stéréo
véritable.
Pour capturer une réponse d’impulsion Surround donnant l’impression d’être « dans le
public » d’un espace, installez deux haut-parleurs à la position de l’interprète comme
illustré ci-dessus, mais placez un ensemble Surround de micros autour de la pièce. Cela
permet de créer l’impression (et l’effet) réaliste d’être « dans le public », comme si l’interprétation avait lieu face à vous. Vous pouvez ainsi créer un effet Surround à partir d’un
enregistrement stéréo en direct.
Scène
Public
L R27
Approche de la chambre d’échos virtuelle
Une bonne alternative à l’approche de l’auralisation consiste à placer vos haut-parleurs et
vos micros de façon à créer un espace virtuel ressemblant à une chambre d’échos réelle.
Pour créer ce genre de réponse d’impulsion, orientez les haut-parleurs vers deux coins de
la pièce et les micros vers les coins opposés. C’est ainsi que seraient positionnés les
micros dans une chambre d’échos réelle. Cela élimine tout chemin direct entre le hautparleur et le micro et permet de capturer davantage de réflexions. L’image ci-dessous illustre la façon dont vous pouvez positionner deux haut-parleurs et deux micros pour créer
une réponse d’impulsion stéréo à l’aide de cette approche de chambre d’échos virtuelle.
Vous pouvez ainsi mixer la réverbération avec le signal sec sans problèmes d’annulation
de phase causés par les premières réflexions ou les signaux directs. Cette approche fonctionne particulièrement bien si vous souhaitez conserver un signal pratiquement sec, non
altéré ni coloré par la réverbération, tout en ajoutant une pointe de réverbération haute
fidélité à votre audio.
Vous pouvez également utiliser cette méthode pour créer des réverbérations Surround
ou à plusieurs canaux. Le principal concept à garder à l’esprit est que les haut-parleurs
doivent être orientés vers le mur afin d’éliminer tout chemin direct entre ces derniers et
les micros. L’illustration ci-dessous présente une disposition possible pour une chambre de réverbération à cinq canaux. Les haut-parleurs, positionnés en cercle, sont dirigés vers les murs, et l’ensemble de micros est placé au centre du cercle.
L R
Système
de micros
Surround
C
L R
Ls Rs28
Enregistrement de réponses d’impulsion de haut-parleurs de
guitare et de périphériques matériels
Vous n’êtes pas limité à la création de réponses d’impulsion de pièces et d’espaces.
Vous pouvez créer une réponse d’impulsion de tout appareil permettant de lire un
balayage sinusoïdal à large bande (et d’enregistrer le résultat). Voici deux exemples :
les enceintes acoustiques de guitare et les périphériques de traitement matériels tels
que les égaliseurs à lampes et les unités de réverbération.
Le son d’une guitare électrique émis par un amplificateur de guitare est très influencé par
la réponse en fréquence et la couleur de l’enceinte acoustique. Si vous créez une réponse
d’impulsion d’une enceinte acoustique de guitare et que vous combinez ensuite un
signal d’amplificateur de guitare direct avec cette réponse d’impulsion dans Space Designer (avec l’effet réglé à 100 %), le signal direct sonnera comme s’il était émis par l’enceinte.
Vous devez toujours disposer d’un micro et d’une interface audio pour créer une réponse
d’impulsion d’une enceinte acoustique de guitare, mais vous n’avez pas besoin d’un
haut-parleur de monitoring supplémentaire pour le balayage sinusoïdal à large bande
dans la mesure où celui-ci est lu via le haut-parleur/l’amplificateur de guitare lui-même.
Si votre amplificateur de guitare est doté d’un retour d’effets, vous pouvez l’utiliser pour
créer la réponse d’impulsion. S’il en est dépourvu, vous pouvez utiliser un boîtier de
« ré-amplification » (qui augmente l’impédance de la sortie de ligne de votre interface
audio au niveau requis par l’entrée de votre amplificateur de guitare) ou un amplificateur
de niveau de ligne en lieu et place de votre amplificateur de guitare (pour amplifier le
balayage sinusoïdal via l’enceinte acoustique de guitare).
Vous pouvez tester plusieurs positionnements de micro tout comme vous le feriez pour
la prise de son d’un espace physique, mais sachez que le positionnement le plus courant
est la « prise de son de proximité », qui consiste à placer votre micro très près du hautparleur (jusqu’à 2,5 cm). L’illustration ci-dessous montre comment vous pouvez installer
votre enceinte acoustique de guitare pour créer votre réponse d’impulsion.
Ampli de guitare
avec micro
Interface audio Ordinateur29
Imaginons que vous souhaitiez créer une réponse d’impulsion de votre préamplificateur de micro à lampe favori pour pouvoir appliquer sa couleur unique à votre audio.
Vous pourriez ainsi combiner un signal avec cette réponse d’impulsion dans Space
Designer (avec l’effet réglé à 100 %) en vue d’ajouter la couleur de votre préamplificateur de micro à ce signal.
Ce scénario ne nécessite ni haut-parleurs ni micros. Il suffit de brancher la sortie de
votre interface audio sur l’entrée de votre périphérique matériel et de lire le balayage
sinusoïdal via ce dernier. Branchez ensuite la sortie de votre périphérique matériel sur
l’entrée de votre interface audio pour enregistrer le signal dans l’Utilitaire de réponse
d’impulsion. Vous pouvez utiliser cette méthode pour créer des réponses d’impulsion
d’unités de réverbération, d’unités multi-effets ou encore d’égaliseurs matériels.
Vous devez être prudent lors de la création de réponses d’impulsion de périphériques
d’effets matériels incluant des effets de modulation. Les modulations telles que les rotophaseurs, les chorus, etc. interfèrent avec le balayage sinusoïdal lui-même, ce qui rend
la déconvolution difficile, voire impossible. Cela vaut également pour certaines unités
de réverbération telles que les périphériques de réverbération matériels Lexicon classiques,
dans lesquels les queues de réverbération sont modulées. Dans ces cas, il est préférable
d’envoyer une impulsion enregistrée (telle qu’un pic ou un coup de feu) au périphérique
d’effets matériel plutôt qu’un balayage sinusoïdal.
Encodage Surround au format B
Le format B est une technique spéciale d’encodage d’informations spatiales. Il représente
l’espace à l’aide de quatre flux audio : un pour capturer la pression acoustique (W) et trois
pour capturer les coordonnées X (avant vers arrière), Y (gauche à droite) et Z (haut vers bas)
de la pièce. L’illustration ci-dessous montre comment ces quatre flux audio interagissent
entre eux pour créer une image spatiale en trois dimensions.
Hauteur
Z
Avant
X
Droite
Y
Z
Y
Gauche
X
Arrière
W30
Space Designer peut décoder et convoluer ces quatre flux audio en réverbérations dans
tous les formats Surround pris en charge. Space Designer offre une bibliothèque complète
de réponses d’impulsion au format B utilisant les quatre flux (W, X, Y et Z). Dans la
mesure où les réponses d’impulsion n’utilisent pas les informations de l’axe Z, l’Utilitaire de
réponse d’impulsion n’enregistre et n’encode que les informations des signaux W, X et Y,
ce qui permet d’économiser de l’espace disque et les ressources de l’unité centrale. L’Utilitaire de réponse d’impulsion permet d’encoder tous les formats de réponse d’impulsion Surround pris en charge au format B.
Avantages de l’encodage Surround au format B
L’un des avantages du format B est qu’il permet de capturer une image Surround avec
moins de fichiers audio. En temps normal, vous devez enregistrer chaque position de
haut-parleur depuis chaque position de micro pour enregistrer correctement toutes les
informations Surround. Avec le format B, ces quatre (ou trois, dans l’Utilitaire de réponse
d’impulsion) flux audio sont tout ce dont vous avez besoin pour capturer l’audio de chaque haut-parleur.
Imaginons par exemple que vous utilisiez une installation à cinq canaux et que vous souhaitiez créer une réponse d’impulsion à cinq canaux à l’aide de l’Utilitaire de réponse d’impulsion. Avec les méthodes classiques, vous devriez enregistrer les cinq haut-parleurs
depuis les cinq positions de micro, ce qui générerait 25 fichiers audio. Si vous choisissez de
créer un projet de réponse d’impulsion à cinq canaux au format B, vous n’aurez à enregistrer que 15 fichiers audio, soit trois enregistrements audio (W, X et Y) pour chacune des cinq
positions de haut-parleur. Comme vous pouvez le constater, les réponses d’impulsion Surround encodées au format B nécessitent beaucoup moins de fichiers audio, ce qui signifie
moins d’espace disque, et également moins de mémoire RAM et de cycles d’unité centrale
lors du décodage dans Space Designer.
Un autre avantage de l’encodage au format B est la cohérence de phase lors de l’utilisation
simultanée de plusieurs micros. Lorsque vous utilisez plusieurs micros, les différences de
temps nécessaire au son pour atteindre chacun d’eux peuvent produire des annulations
de phase et des déphasages, ce qui peut affecter la qualité de votre réponse d’impulsion.
Dans la mesure où le point de référence est toujours le même avec l’encodage au
format B, il n’y a pas de problèmes de phase, même lorsque vous utilisez plusieurs micros
pour enregistrer votre réponse d’impulsion.31
Micros recommandés pour l’enregistrement au format B
Les meilleurs micros pour l’enregistrement au format B sont probablement les micros
Surround de marque SoundField. Ces micros contiennent toutes les capsules dont vous
avez besoin pour réaliser un enregistrement de référence complet au format B en une seule
prise et incluent les composants matériels nécessaires à l’envoi des flux d’axe distincts aux
différentes pistes de l’Utilitaire de réponse d’impulsion. Il suffit de faire pivoter le micro une
fois en direction de chaque position de haut-parleur et le matériel du micro et de traitement s’occupe du reste. Pour les personnes ne pouvant pas investir dans des micros
SoundField, l’Utilitaire de réponse d’impulsion offre d’autres options de micro pour
l’enregistrement au format B.
La capture du signal W (pression acoustique) nécessite un micro omnidirectionnel. La
capture des signaux d’axe X et Y nécessite un micro bidirectionnel (pour capturer le signal
à l’avant et à l’arrière du micro). Ainsi, vous pouvez enregistrer chaque position de hautparleur en une seule prise à l’aide de deux micros bidirectionnels, l’un étant dirigé directement vers la source du haut-parleur (X) et l’autre placé perpendiculairement (Y), et d’un
micro omnidirectionnel pour la pression acoustique (W). Veillez à positionner les micros de
façon à ce que leurs capsules soient aussi proches que possible l’une de l’autre, l’idéal étant
d’avoir un point de référence unique compact pour chaque position de haut-parleur.
Vous devrez faire pivoter chaque micro bidirectionnel vers chaque position de haut-parleur.
Il n’est pas nécessaire de déplacer le micro omnidirectionnel car sa capsule capte le son
à 360 degrés.
Même si votre budget est trop limité pour acquérir trois micros différents, vous pouvez
toujours créer des réponses d’impulsion au format B en enregistrant chaque flux audio
séparément dans l’Utilitaire de réponse d’impulsion. Il vous suffit pour cela de disposer
d’un micro permettant de basculer entre une courbe omnidirectionnelle et une courbe
bidirectionnelle. De nombreux micros performants (à tous les prix) offrent cette possibilité. Vous devrez souvent basculer d’une courbe de directivité à une autre et faire pivoter
les micros, mais cela est faisable.
Guide d’initiation
Cette rubrique vous guide tout au long du processus de création d’une réponse d’impulsion, de la création du projet à la génération du réglage Space Designer final. Pour ce guide
d’initiation, imaginons que vous ayez l’autorisation d’enregistrer dans une salle de concert
locale ayant une acoustique particulièrement bonne. Dans la mesure où cette opportunité
ne se présentera probablement plus jamais, vous avez décidé d’enregistrer une réponse
d’impulsion Surround à cinq canaux distincts.32
Création d’une réponse d’impulsion Surround à cinq canaux
Suivez les étapes présentées ci-dessous pour créer une réponse d’impulsion Surround à
cinq canaux distincts.
Étape 1 : préparation : installation des micros et des haut-parleurs
La première étape consiste à installer vos haut-parleurs et vos micros. Imaginons que vous
ayez décidé d’utiliser l’approche de l’auditeur virtuel, qui nécessite cinq haut-parleurs et au
moins un micro placé au centre que vous pouvez orienter tour à tour vers chacun des hautparleurs. Vous devriez idéalement disposer de cinq moniteurs amplifiés identiques. Cela
vous fera gagner du temps lors de l’enregistrement et vous permettra de voir tous les hautparleurs à la fois, de vous assurer qu’ils sont tous à la même distance des coins et des
murs, etc. Une fois tous les haut-parleurs positionnés, vous devez installer votre micro au
centre de la salle. Vérifiez que tous les composants sont correctement connectés à votre
interface audio.
Étape 2 : création d’un projet
L’étape suivante consiste à ouvrir l’Utilitaire de réponse d’impulsion et à créer un projet de
réponse d’impulsion à cinq canaux. La zone de dialogueNew Impulse Response Project
vous informe que ce format nécessite cinq positions de haut-parleur et de micro. Lorsque
vous fermez la zone de dialogue, vingt-cinq pistes audio s’affichent dans la section Inputs/
Tracks, une pour chaque position de haut-parleur depuis chaque position de micro.
Étape 3 : configuration des paramètres de l’Utilitaire de réponse d’impulsion
Orientez votre micro vers le haut-parleur à enregistrer (celui situé devant à gauche, par
exemple). Configurez la section Monitor, le générateur de balayage et l’entrée pour la
piste sélectionnée.
Étape 4 : enregistrement
Activez la piste sélectionnée pour l’enregistrement, puis cliquez sur le bouton Sweep.
L’Utilitaire de réponse d’impulsion vous invite à saisir un nom pour le nouveau projet et à
l’enregistrer une fois le premier enregistrement terminé.
Faites pivoter le micro vers la deuxième position Surround, activez la piste pour l’enregistrement, puis cliquez sur le bouton Sweep. Une fois l’enregistrement terminé, le projet est
automatiquement enregistré en arrière-plan. Si vous le souhaitez, vous pouvez lire la piste
dans la zone Editing pour contrôler l’enregistrement.
Répétez cette procédure vingt-trois fois de plus jusqu’à ce que vous ayez enregistré les
vingt-cinq pistes audio nécessaires à la capture de toutes les combinaisons de positions
de micro et de haut-parleur possibles.
Étape 5 : déconvolution
Cliquez sur le bouton Deconvolve après avoir enregistré (et contrôlé) les fichiers audio
pour chaque position. À ce stade, vous devriez enregistrer manuellement le projet.33
Étape 6 : édition et écoute
Si vous constatez la présence de silence superflu au début ou à la fin de votre réponse
d’impulsion, utilisez la zone Editing pour le supprimer. Utilisez la fenêtre Audition pour
écouter des données de test combinées avec votre réponse d’impulsion pour vous assurer que le résultat est bien celui escompté. Si le résultat n’est pas satisfaisant, continuez
d’éditer votre réponse d’impulsion. Si vous n’êtes toujours pas satisfait du résultat, recommencez à partir de l’étape deux ou trois.
Étape 7 : création d’un réglage Space Designer
Lorsque vous êtes entièrement satisfait de votre réponse d’impulsion, vous pouvez cliquer sur Create Space Designer Setting. L’Utilitaire de réponse d’impulsion génère alors
les fichiers .sdir et de réglages Space Designer. Votre nouvelle réponse d’impulsion sera
disponible à la prochaine ouverture de Space Designer.
Ce processus de base est toujours le même, quel que soit le format de réponse
d’impulsion ou l’approche de positionnement des micros et des haut-parleurs que vous
choisissez. Il n’y a rien d’autre à faire !
Enregistrement d’une réponse d’impulsion à 5 canaux Mono
vers Omni
La procédure ci-dessus décrit l’enregistrement d’une véritable réponse d’impulsion Surround. Bien souvent, vous pouvez vous contenter d’enregistrer une seule position de
haut-parleur pour créer une réponse d’impulsion mono/omni discrète. Les réponses
d’impulsion mono/omni discrètes sont non seulement plus faciles et plus rapides
à enregistrer, mais elles nécessitent également moins de puissance de l’unité centrale.
Pour créer une réponse d’impulsion à 5 canaux Mono vers Omni :
1 Choisissez le modèle de canaux Mono/Omni to 5 dans la zone de dialogue New Projects.
Vous verrez que les projets de réponse d’impulsion mono/omni discrète ne nécessitent
qu’un seul haut-parleur.
2 Orientez votre haut-parleur vers le plafond ou vers un mur situé derrière.
3 Orientez votre micro vers la première position Surround : devant à gauche, par exemple.
4 Enregistrez le balayage.
5 Répétez cette procédure pour toutes les autres positions de micro.
Vous regardez Apple TV.
Tout un programme.
Ce guide contient toutes les informations nécessaires
de la configuration... à votre fauteuil.Table des matières
1. Connectez
2. Configurez
7 Inclus dans le pack
8 Avant toute chose
10 Apple TV – Vue d’ensemble
13 Branchement de votre Apple TV
20 Configuration du réseau
21 Connexion à iTunes 24 Utilisation de votre télécommande Apple Remote
25 Fonctions élémentaires de la télécommande
26 Jumelage de l’Apple TV et d’une télécommande
27 Déjumelage de l’Apple TV et de la télécommande
28 Comment changer la pile de la télécommande
29 Location de films
32 Dépannage
38 Voyant d’état
39 Service et assistance
40 Numéro de série
40 Précautions d’emploi et entretien
3. Installez-vous, le spectacle va commencer
4. Un problème ? Pas de problème1
1 Connectez.
www.apple.com/fr/support/appletv6 Chapitre 1 Connectez.
Apple TV vous permet de louer des films ou acheter des programmes télévisés, de
la musique et des clips vidéo depuis l’iTunes Store, ainsi que regarder des podcasts
et des vidéos YouTube, le tout tranquillement depuis votre canapé. Visualisez avec plaisir
vos photos numériques en haute définition depuis votre galerie web .Mac, Flickr ou
votre ordinateur Mac ou PC. Vous pouvez visualiser tout contenu depuis votre ordinateur
Mac ou PC à tout moment.
Utilisez les informations qui vous sont données dans ce chapitre pour commencer
à utiliser l’application.
Pour en savoir plus sur Reportez-vous à la section
Ce dont vous avez besoin au préalable « Avant toute chose » à la page 8
Installation « Branchement de votre Apple TV » à la page 13
Configuration de votre connexion réseau « Configurez. » à la page 19
Utilisation de la télécommande Apple Remote « Installez-vous, le spectacle va commencer. »
à la page 23
Dépannage de l’Apple TV « Un problème ? Pas de problème. »
à la page 31Chapitre 1 Connectez. 7
Inclus dans le pack
Remarque : il se peut que le câble d’alimentation dont vous disposez soit légèrement
différent du câble illustré ici.
Sécurité et garantie Apple TV Guide d’informations importantes sur le produit
Apple TV
Pour en savoir plus sur Reportez-vous à la section
Câble d’alimentation secteur Télécommande Apple Remote
MENU8 Chapitre 1 Connectez.
Avant toute chose
Pour pouvoir utiliser votre Apple TV, vous devez disposer des éléments suivants :
Téléviseur à écran large
Téléviseur à écran large, de définition améliorée ou de haute définition, et acceptant
au moins l’une des résolutions suivantes :
 1080p
 1080i
 720p
 576p
 480p
Câblage
 Un câble HDMI – ou
 Des câbles vidéo en composantes et des câbles audio analogiques ou audio optiques
Réseau
 Un réseau câblé ou sans fil
 Une connexion Internet haut débit (DSL, câble, réseau local)
 Votre mot de passe d’accès au réseau sans fil (le cas échéant)Chapitre 1 Connectez. 9
Équipement informatique et logiciel
Pour reproduire le contenu sur Apple TV à partir d’un Mac ou d’un PC, votre ordinateur
doit satisfaire la configuration requise suivante :
 Un Mac doté de Mac OS X 10.3.9, Mac OS X 10.4.7 ou ultérieur
 Un PC doté de Windows XP Home ou Professional (SP2), ou une version 32 bits de
Windows Vista
 iTunes 7.6 ou ultérieur
 Un compte iTunes Store10 Chapitre 1 Connectez.
Apple TV – Vue d’ensemble
optical
audio
£ d G audio video R L
Récepteur à
infrarouge
Voyant d’état
£
d
Port
secteur
Port
HDMI
Ports vidéo
en composantes
Ports audio
analogiques
Port
USB
Port audio
numérique
optique
G Port
EthernetChapitre 1 Connectez. 11
Récepteur à infrarouge
À utiliser avec la télécommande Apple Remote incluse pour contrôler l’Apple TV.
Voyant d’état
Le voyant d’état émet une lumière jaune ambre clignotante au démarrage
de l’Apple TV. Une fois l’Apple TV allumé, ce voyant devient blanc et ne clignote plus.
Pour plus d’informations concernant le voyant d’état, reportez-vous à la section
« Voyant d’état » à la page 38.
d Port USB
Destiné à la maintenance et aux diagnostics.
= Port secteur
Utilisez-le pour brancher le câble d’alimentation secteur sur l’Apple TV.
G Port Ethernet
Si vous vous connectez à votre réseau via Ethernet, branchez-y un câble Ethernet.
£ Port HDMI
Permet de brancher l’Apple TV soit par un câble HDMI sur un téléviseur à écran
large doté d’un port HDMI, soit par un câble HDMI/DVI sur un téléviseur à écran
large doté d’un port DVI.12 Chapitre 1 Connectez.
Ports vidéo en composantes
Utilisez-les pour brancher l’Apple TV sur un téléviseur à écran large doté de ports
vidéo en composantes (Y, Pb et Pr) au moyen d’un câble vidéo en composantes
à connecteurs rouge, bleu et vert.
Ports audio analogiques
Permettent de connecter, au moyen d’un câble audio analogique, l’Apple TV
à un téléviseur à écran large ou à un récepteur home cinéma doté de ports
audio analogiques (rouge et blanc).
Port audio numérique optique
Utilisez ce port pour connecter, au moyen d’un câble audio numérique optique
(également appelé S/PDIF ou TOSLINK), l’Apple TV à un récepteur de home
cinéma doté d’un port audio numérique optique.
Z Connectivité sans fil Wi-Fi/AirPort intégrée
Connectez l’Apple TV à votre réseau sans fil.Chapitre 1 Connectez. 13
Branchement de votre Apple TV
Apple TV se branche sur votre téléviseur par un port HDMI transmettant l’audio
et la vidéo à votre téléviseur, ou par des ports vidéo en composantes et audio séparés.
Avant tout branchement, regardez les ports situés à l’arrière de votre téléviseur pour
vous assurer que vous possédez les bons câbles.
Pour commencer :
 Connectez les câbles audio et vidéo à l’Apple TV et à votre téléviseur à écran large.
 Connectez l’Apple TV à votre réseau sans fil ou Ethernet.
 Installez la dernière version d’iTunes sur votre ordinateur si vous cherchez à lire
du contenu depuis votre ordinateur sur Apple TV.
Vous pouvez connecter l’Apple TV à un téléviseur à écran large disposant :
 d’un port HDMI, à l’aide d’un câble HDMI pour la vidéo et l’audio ;
 de ports vidéo en composantes (Y, Pb et Pr), à l’aide d’un câble vidéo en composantes
doté de connecteurs vert, bleu et rouge, et d’un câble audio.
Vous pouvez aussi brancher Apple TV sur un récepteur de home cinéma ou sur un
téléviseur possédant un port DVI à l’aide d’un câble adaptateur HDMI-DVI pour la vidéo
et d’un câble audio.
Important : avant de brancher Apple TV sur une prise de courant, lisez attentivement
toutes les instructions d’installation suivantes et les informations relatives à la sécurité
dans le Guide d’informations importantes sur le produit inclus.14 Chapitre 1 Connectez.
Étape 1 : Connexion des câbles
Choisissez la configuration correspondant aux ports de votre téléviseur ou de votre
récepteur.
Pour connecter un téléviseur à écran large doté d’un port HDMI :
1 Branchez une extrémité du câble HDMI sur la partie arrière de votre téléviseur.
2 Branchez l’autre extrémité sur le port situé à l’arrière de l’Apple TV.
Si le port HDMI votre téléviseur est utilisé par un autre appareil ou si votre téléviseur
n’est pas doté de port HDMI, vous pouvez le connecter à l’Apple TV par le biais de
vidéo en composantes et d’audio séparés.
optical
audio
G £ d audio video R L
Apple TV
TV
Port HDMI
Port HDMI
Câble HDMIChapitre 1 Connectez. 15
Pour connecter un téléviseur à écran large doté d’un port vidéo en composantes
et d’un port audio analogique :
1 Branchez les connecteurs vert, bleu et rouge de l’une des extrémités d’un câble vidéo
en composantes sur les ports Y, Pb et Pr de votre téléviseur, et les connecteurs de
l’autre extrémité sur votre Apple TV.
2 Reliez l’Apple TV et le téléviseur à l’aide d’un câble audio analogique avec connecteurs
rouge et blanc.
optical
audio
G £ d audio video R L
Câble
vidéo en
composantes
Câble audio
analogique
Apple TV
TV
Audio gauche
(blanc)
Entrée vidéo (Y, Pb, Pr)
Audio droit
(rouge)16 Chapitre 1 Connectez.
Remarque : les composants Wi-Fi 802.11 intégrés connectent l’Apple TV à votre réseau
sans fil. Si votre réseau est un réseau Ethernet, reliez l’Apple TV à votre réseau à l’aide
d’un câble Ethernet (vendu séparément).
Étape 2 : Connexion du câble d’alimentation
Branchez une extrémité du câble d’alimentation sur l’arrière de l’Apple TV et l’autre
extrémité sur une prise de courant.
Important : veillez à ne rien déposer sur l’Apple TV. Les objets placés sur l’appareil risquent
de provoquer des interférences avec le signal sans fil.
Port
secteur
optical
audio
£ d G audio video R LChapitre 1 Connectez. 17
Étape 3 : Allumez votre téléviseur et sélectionnez l’entrée
Lorsque vous utilisez l’Apple TV pour la première fois, une série d’étapes vous guide
pour effectuer le choix de la langue, la sélection d’un réseau, la configuration de
l’Apple TV pour que l’appareil fonctionne avec votre réseau (le cas échéant) et la
connexion à iTunes. Reportez-vous à la section chapitre 2, « Configurez. » à la page 19.
Remarque : si vous voyez apparaître un écran noir la première fois que vous utilisez
l’Apple TV, assurez-vous que l’entrée sélectionnée sur votre téléviseur correspond à
l’entrée sur laquelle vous avez branché les câbles sur le téléviseur ou sur le récepteur.
Si les entrées concordent, il se peut que vous deviez sélectionner une résolution d’écran
prise en charge par votre téléviseur. Pour obtenir des informations sur les différentes
entrées de votre téléviseur, consultez la rubrique « Un problème ? Pas de problème. »
à la page 31 et lisez la documentation fournie avec votre téléviseur.2
2 Configurez.
www.apple.com/fr/support/appletv20 Chapter 2 Configurez.
Apple TV vous permet de sélectionner et de configurer votre connexion au réseau sans
fil et, si vous cherchez à regarder ou écouter du contenu de votre bibliothèque iTunes,
de vous connecter à iTunes sur votre ordinateur.
Configuration du réseau
Gardez à portée de main votre mot de passe réseau (si vous en avez un) et votre télé-
commande Apple Remote pour configurer votre Apple TV. Assurez-vous que rien ne se
trouve entre la télécommande et l’Apple TV. Reportez-vous au chapitre « Installez-vous,
le spectacle va commencer. » à la page 23 pour en savoir plus sur l’utilisation de votre
télécommande.
 Si vous vous connectez à un réseau Ethernet câblé, l’Apple TV détecte automatiquement
votre réseau.
 Si vous vous connectez à un réseau sans fil, l’Apple TV vous aide à sélectionner
et à configurer votre connexion réseau.
Connexion à votre réseau sans fil
L’Apple TV vous aide à vous connecter à votre réseau sans fil. Si un mot de passe
est établi pour accéder au réseau, vous devez le connaître. Utilisez la télécommande
Apple Remote pour :
 sélectionner votre réseau dans une liste ou saisir le nom du réseau s’il s’agit d’un
réseau caché ;
 saisir votre mot de passe (le cas échéant) ;
 indiquer votre adresse IP, le masque de sous-réseau, le routeur et l’adresse DNS
(si vous configurez manuellement votre réseau).Chapter 2 Configurez. 21
Si vous ne vous connectez pas via DHCP, vous devrez peut-être saisir votre adresse IP,
le masque de sous-réseau, le routeur et les adresses DNS.
Pour terminer la configuration de la connexion à votre réseau, suivez les instructions
à l’écran.
Connexion à iTunes
Pour accéder au contenu de votre bibliothèque iTunes sur l’Apple TV, vous devez disposer
sur votre ordinateur d’iTunes 7.6 ou ultérieur. Reportez-vous à la rubrique « Équipement
informatique et logiciel » à la page 9 pour retrouver la liste complète reprenant la configuration informatique requise.
Mise à jour de votre logiciel iTunes
Vous pouvez télécharger la dernière version d’iTunes à l’adresse
www.apple.com/fr/itunes/download.
Sur un Mac, vous pouvez également utiliser l’application « Mise à jour de logiciels »
pour effectuer la mise à jour à l’aide de la version la plus récente d’iTunes. Pour utiliser
« Mise à jour de logiciels », choisissez le menu Pomme (?) > Mise à jour de logiciels.
Pour utiliser iTunes 7.6 sur un Mac, vous devez mettre à jour votre logiciel système à
Mac OS 10.3.9 ou 10.4.7 ou ultérieur et installer la mise à jour de QuickTime 7.4 ou ultérieur.
Sur un ordinateur Windows, vous pouvez également accéder à l’Aide iTunes pour effectuer la mise à jour avec la version la plus récente du logiciel. Ouvrez iTunes, puis choisissez Aide > Rechercher les mises à jour.22 Chapter 2 Configurez.
Pour utiliser iTunes 7.6 sur un ordinateur Windows, vous devez disposer de Windows XP
ou ultérieur.
Jumelage avec une télécommande
Une fois votre connexion réseau configurée, l’écran de votre téléviseur affiche un code
composé de cinq chiffres que vous devez saisir dans iTunes pour synchroniser du contenu
avec l’Apple TV ou diffuser du contenu vers ce dernier.
Pour configurer l’Apple TV avec votre bibliothèque iTunes :
1 Ouvrez iTunes sur votre ordinateur.
2 Sélectionnez dans la liste Appareils l’icône Apple TV en regard de laquelle se trouve
la mention « Cliquer pour configurer ».
3 Saisissez le code à cinq chiffres affiché sur l’écran du téléviseur.
Après avoir saisi votre code, vous pouvez attribuer un nom à votre Apple TV et configurer
iTunes pour qu’il gère votre contenu.
Pour en savoir plus sur iTunes, ouvrez iTunes puis choisissez Aide > Aide iTunes.3
3 Installez-vous, le spectacle
va commencer.
www.apple.com/fr/support/appletv24 Chapitre 3 Installez-vous, le spectacle va commencer.
La lecture de ce chapitre vous permettra d’en savoir plus sur le jumelage et l’usage
de votre télécommande avec l’Apple TV.
Utilisation de votre télécommande Apple Remote
Utilisez la télécommande Apple Remote pour contrôler les réglages de l’Apple TV
et parcourir votre contenu. Assurez-vous que rien ne se trouve entre la télécommande
et l’Apple TV.
Suivant/avance rapide
Sélection/lecture/pause
Logement de la pile
Menu haut/défilement Fenêtre IR
Menu bas/défilement
Précédent/rebobinage
Menu
MENUChapitre 3 Installez-vous, le spectacle va commencer. 25
Fonctions élémentaires de la télécommande
Votre télécommande Apple Remote possède les fonctions élémentaires décrites ci-dessous.
Remarque : les touches ? et D sur la télécommande Apple Remote ne servent pas
à contrôler le volume de votre téléviseur ou de votre récepteur. Utilisez la
télécommande livrée avec votre téléviseur ou votre récepteur pour influer sur le
volume.
Pour : procédez ainsi :
se déplacer parmi les options du menu appuyez sur ? ou D
sélectionner une option de menu appuyez sur ’
retourner au menu précédent appuyez sur »
retourner au menu principal maintenez » enfoncé
mettre l’Apple TV en mode veille maintenez ’ enfoncé durant environ
six secondes
réinitialiser l’Apple TV maintenez simultanément » et D enfoncés
pendant environ six secondes
jumeler l’Apple TV et une télécommande maintenez simultanément » et ‘ enfoncés
pendant environ six secondes26 Chapitre 3 Installez-vous, le spectacle va commencer.
Jumelage de l’Apple TV et d’une télécommande
La télécommande Apple Remote est compatible avec le récepteur à infrarouge intégré
à l’Apple TV. Vous pouvez configurer l’Apple TV afin qu’il fonctionne exclusivement
avec la télécommande incluse, en jumelant l’Apple TV et cette télécommande.
Pour jumeler l’Apple TV avec la télécommande incluse :
1 Choisissez Réglages dans le menu principal de l’Apple TV.
2 Choisissez Jumeler la télécommande.
Vous pouvez également maintenir simultanément enfoncés » et ‘ pendant six
secondes pour jumeler l’Apple TV et la télécommande.
Une fois que vous avez jumelé votre télécommande Apple Remote, l’Apple TV affiche
un symbole en forme de chaîne ( ) au-dessus de l’image représentant une télécommande. L’Apple TV fonctionne désormais exclusivement avec la télécommande jumelée. Chapitre 3 Installez-vous, le spectacle va commencer. 27
Déjumelage de l’Apple TV et de la télécommande
Si vous égarez la télécommande Apple Remote que vous avez jumelée avec l’Apple TV,
vous pouvez utiliser n’importe quelle télécommande Apple Remote pour annuler
le jumelage entre l’Apple TV et la télécommande égarée, en maintenant simultané-
ment enfoncés les boutons » et ] pendant six secondes. Vous pouvez également
suivre les étapes décrites ci-dessous.
Pour déjumeler l’Apple TV et son ancienne télécommande :
1 Choisissez Réglages dans le menu principal de l’Apple TV.
2 Choisissez « Annuler le jumelage de la télécommande ».
Une fois que vous avez déjumelé la télécommande égarée, l’Apple TV affiche un symbole
en forme de chaîne brisée ( ) au-dessus de l’image représentant une télécommande.
Vous pouvez dès lors jumeler l’Apple TV et une autre télécommande Apple.28 Chapitre 3 Installez-vous, le spectacle va commencer.
Comment changer la pile de la télécommande
Si la pile de votre télécommande Apple Remote arrive en fin d’usage, l’Apple TV affiche
l’image d’une télécommande et le symbole d’avertissement (·). Il vous faut alors remplacer la pile par une nouvelle pile de type CR2032.
Pour remplacer la pile :
1 Ouvrez le logement de la pile en appuyant sur le bouton à l’aide d’un petit objet
jusqu’à ce que le logement soit partiellement éjecté.
2 Faites sortir le logement et retirez la pile.
3 Insérez la nouvelle pile, le signe plus (?) tourné vers le haut.
4 Replacez le logement de la pile dans la télécommande.
5 Débarrassez-vous de la pile usagée conformément aux lois et directives relatives
à la protection de l’environnement de votre pays.
Appuyez sur ce bouton à l’aide d’un petit objet.
Borne positive (+)
vers le haut.
Retirez le logement
de la batterie.
MENUChapitre 3 Installez-vous, le spectacle va commencer. 29
Location de films
Vous pouvez louer des films à définition standard avec son stéréo ou des films à haute
définition avec son Surround Dolby Digital 5.1, directement à partir de l’Apple TV. Vous
disposez de 30 jours pour lancer la lecture d’un film après le début de sa location. Une
fois que vous avez appuyé sur Lecture, vous disposez de 24 heures pour terminer de
regarder un film avant son expiration.
Le menu Films en location affiche la date d’expiration prévue de vos films. Lorsqu’un
film expire, il est supprimé afin d’économiser de l’espace sur l’Apple TV.
Remarque : les films en location ne sont pas disponibles partout. 4
4 Un problème ?
Pas de problème.
www.apple.com/fr/support/appletv32 Chapitre 4 Un problème ? Pas de problème.
Vous pourrez résoudre la plupart des problèmes de l’Apple TV si vous suivez les conseils
de ce chapitre. Pour retrouver des astuces complémentaires et de plus amples informations sur le dépannage, rendez-vous à la page d’assistance Apple TV à l’adresse
www.apple.com/fr/support/appletv.
Dépannage
Il existe généralement une solution simple et rapide à tout problème rencontré avec
l’Apple TV. Vous devez tout d’abord vous assurer que :
 les câbles audio et vidéo reliant l’Apple TV et votre téléviseur sont fermement connectés ;
 les câbles d’alimentation de l’Apple TV et de votre téléviseur sont correctement branchés
sur une source électrique en état de fonctionnement ;
 votre téléviseur est allumé et réglé sur la bonne entrée ;
 l’Apple TV est connecté à votre réseau (allez dans le menu Réglages sur l’Apple TV,
sélectionnez Réseau, puis vérifiez si l’Apple TV possède une adresse IP) ;
 vos connexions au réseau et à Internet sont activées et fonctionnent correctement.
Si les problèmes persistent, vous pouvez essayer de réinitialiser votre matériel en
débranchant l’Apple TV, votre téléviseur, votre matériel de réseau sans fil ou votre
borne d’accès AirPort et votre routeur de leur source électrique. Attendez 30 secondes,
puis branchez à nouveau le matériel.Chapitre 4 Un problème ? Pas de problème. 33
Si la télécommande ne fonctionne pas :
 Si vous avez jumelé une télécommande Apple Remote avec l’Apple TV, assurez-vous
que vous utilisez bien la télécommande jumelée.
 Si vous utilisez la télécommande jumelée et que le voyant d’état de l’Apple TV
émet une lumière blanche clignotante lorsque vous appuyez sur les boutons de
la télécommande, le problème ne provient alors pas de la télécommande. Reportez-vous à la rubrique « Si vous obtenez une image, mais que l’Apple TV ne répond
plus » à la page 35.
 Si vous utilisez une télécommande qui n’a pas été jumelée, le voyant d’état
de l’Apple TV émet une lumière jaune ambre clignotante.
 Si vous avez jumelé l’Apple TV avec une télécommande Apple Remote et que vous
ne parvenez pas à retrouver la télécommande jumelée, réglez l’Apple TV pour qu’il
fonctionne avec n’importe quelle télécommande en maintenant les boutons »
et ] enfoncés pendant six secondes.
 Dirigez bien la télécommande sur l’Apple TV.
 Assurez-vous que le récepteur à infrarouge situé à l’avant de l’Apple TV n’est pas obstrué
par un objet quelconque.
 Si l’Apple TV affiche l’image d’une télécommande et le symbole d’avertissement (·),
vous devez remplacer la pile de la télécommande. Reportez-vous à la rubrique
« Comment changer la pile de la télécommande » à la page 28.34 Chapitre 4 Un problème ? Pas de problème.
Si l’Apple TV n’arrive pas à accéder au réseau
 Vérifiez l’adresse IP que l’Apple TV utilise. Si elle commence par 169.x.x.x, il se peut
que la borne d’accès ou le routeur ne soit pas configuré correctement. Vérifiez que
l’accès DHCP est fonctionnel, ou configurez Apple TV de façon à utiliser une adresse
IP manuelle.
 Vérifiez que rien n’obstrue la réception de la borne d’accès ou de l’Apple TV et changez
son emplacement au besoin.
 Si le réseau est sécurisé, désactivez temporairement la sécurité sur la borne d’accès
et tentez de vous reconnecter.
 Apple TV ne peut pas se connecter à un réseau sans fil contenant des caractères
de valeur élevée (étendus) ASCII ou codés sur deux octets (Unicode), comme c’est
le cas pour le japonais, le coréen ou le chinois, dans leur nom ou leur mot de passe.
 Si votre réseau est sécurisé, assurez-vous d’avoir saisi le bon mot de passe.
Si vous constatez que l’écran de votre téléviseur est noir ou brouillé :
 Assurez-vous que vous utilisez les bons câbles vidéo et qu’ils sont correctement branchés
à l’Apple TV et à votre téléviseur.
 Assurez-vous que le réglage d’entrée choisi sur le téléviseur correspond à l’entrée sur
laquelle vos câbles vidéo sont branchés. Pour plus d’informations, lisez la documentation
fournie avec votre téléviseur.
Si l’écran de votre téléviseur demeure noir ou brouillé, vous devez peut-être sélectionner
un mode vidéo pris en charge par votre téléviseur.Chapitre 4 Un problème ? Pas de problème. 35
Pour sélectionner un mode vidéo :
1 Appuyez simultanément sur les boutons » et ? de la télécommande Apple Remote
pendant environ six secondes.
2 Appuyez sur le bouton ? ou D de la télécommande Apple Remote pour passer d’une
résolution d’écran à l’autre.
3 Une fois que l’Apple TV a trouvé une résolution d’écran acceptable et que vous voyez
apparaître à l’écran le message « Si vous pouvez voir le logo Apple, cliquez sur OK »,
appuyez sur le bouton ’ .
Si vous obtenez une image, mais que l’Apple TV ne répond plus
 Maintenez enfoncé le bouton » de la télécommande Apple Remote pour revenir
au menu principal de l’Apple TV.
 Vérifiez que votre téléviseur est allumé et qu’il fonctionne correctement. Pour plus
d’informations, lisez la documentation fournie avec votre téléviseur.
 Si vous avez jumelé une télécommande Apple Remote avec l’Apple TV, assurez-vous
que vous utilisez bien la télécommande jumelée. Reportez-vous à la rubrique
« Jumelage de l’Apple TV et d’une télécommande » à la page 26.
 Réinitialisez l’Apple TV en le débranchant de son alimentation électrique, attendez
environ cinq secondes, puis rebranchez-le. Vous pouvez également maintenir simultanément enfoncés les boutons » et D de la télécommande Apple Remote pendant
environ six secondes pour réinitialiser l’Apple TV. Vos films et tous les éléments demeureront sur l’Apple TV.36 Chapitre 4 Un problème ? Pas de problème.
Si l’Apple TV ne répond toujours pas, essayez de régler le problème en rétablissant
les réglages d’origine de l’appareil
 Maintenez simultanément enfoncés les boutons » et D de la télécommande Apple
Remote pendant six secondes ou jusqu’à ce que le voyant d’état émette une lumière
jaune ambre clignotante.
 Choisissez une langue.
 Choisissez « Rétablir les réglages d’origine ».
Pendant la restauration des réglages d’origine, l’indicateur de progression (une roue
d’engrenage en action) peut tourner pendant un certain temps. Soyez patient.
 Si votre réseau n’exploite pas DHCP, choisissez Configurer TCP/IP puis saisissez
la configuration TCP/IP.
 Si vous ne retrouvez toujours pas l’Apple TV dans la liste Source d’iTunes, accédez
à la page d’assistance d’Apple TV pour en savoir plus, à l’adresse suivante :
www.apple.com/fr/support/appletv.
Si vous n’obtenez aucun son
 Si l’Apple TV est connecté à un récepteur A/V, assurez-vous que ce dernier est allumé.
 Assurez-vous que le réglage d’entrée choisi sur le récepteur correspond à l’entrée sur
laquelle vos câbles audio sont branchés. Pour plus d’informations, lisez la documentation fournie avec votre récepteur.
 Assurez-vous que le volume de votre téléviseur ou de votre récepteur est suffisamment
élevé et qu’il n’est pas désactivé.
 Assurez-vous d’utiliser le bon câble audio (reportez-vous à la page 14) et vérifiez s’il
est correctement branché sur l’Apple TV et sur votre téléviseur.Chapitre 4 Un problème ? Pas de problème. 37
 Si vous utilisez le port HDMI du téléviseur et de l’Apple TV, assurez-vous que le téléviseur accepte l’audio à travers son port HDMI. Les ports HDMI de certains modèles de
téléviseurs anciens ne prennent en charge que la vidéo.
Si l’Apple TV n’apparaît pas dans iTunes
 Assurez-vous que l’Apple TV est allumé et connecté à votre réseau. Allez dans le menu
Réglages sur l’Apple TV, sélectionnez Réseau, puis vérifiez si l’Apple TV possède une
adresse IP.
 Choisissez Préférences dans iTunes, cliquez sur Apple TV et assurez-vous que l’option
« Rechercher les Apple TV » n’est pas sélectionnée.
 Si le coupe-feu est activé (dans la sous-fenêtre Partage des Préférences Système),
assurez-vous que « Partage Apple TV » est sélectionné pour autoriser la diffusion
du contenu à travers le coupe-feu.
Si iTunes affiche régulièrement d’autres Apple TV dans la liste Appareils
 Cela signifie que l’application a détecté d’autres Apple TV sur votre réseau. Pour éviter
cela, choisissez Préférences dans iTunes, cliquez sur Apple TV et assurez-vous que l’option
« Rechercher les Apple TV » n’est pas cochée.
Si Apple TV n’affiche pas vos albums photo ou vos diaporamas
 Assurez-vous qu’il existe des photos dans votre photothèque ou dans un dossier
de votre ordinateur.38 Chapitre 4 Un problème ? Pas de problème.
Voyant d’état
L’Apple TV possède, à l’avant, un voyant d’état qui fournit des indications sur l’état
de l’appareil.
Si l’Apple TV Le voyant d’état
est allumée émet une lumière blanche continue
est éteinte ou en veille est éteint
est en cours de démarrage émet une lumière jaune ambre
accepte une commande provenant
de la télécommande
clignote une seule fois en émettant
une lumière blanche
refuse une commande provenant
de la télécommande
(vous avez jumelé une télécommande avec
l’Apple TV, mais vous utilisez une télécommande
qui n’est pas jumelée)
clignote une seule fois en émettant
une lumière jaune ambre
rencontre des problèmes alterne entre une lumière blanche
et une lumière jaune ambreChapitre 4 Un problème ? Pas de problème. 39
Service et assistance
Vous trouverez plus d’informations sur l’utilisation de l’Apple TV dans l’aide à l’écran
et sur le web. Le tableau suivant décrit où trouver de plus amples informations sur
les services et les logiciels.
Pour en savoir plus sur : procédez ainsi :
le service et l’assistance, les forums de
discussions, les guides d’initiation (didacticiels)
et les téléchargements de logiciels Apple
Accédez à www.apple.com/fr/support/appletv.
l’utilisation d’iTunes Ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes.
Pour obtenir le guide d’initiation iTunes
à l’écran (uniquement disponible dans certains
pays), consultez la page
www.apple.com/fr/support/itunes
l’utilisation d’iPhoto (sous Mac OS X) Ouvrez iPhoto et sélectionnez Aide > Aide iPhoto.
les toutes dernières informations sur l’Apple TV Accédez à www.apple.com/fr/support/appletv.
les informations sur la sécurité et les normes
à appliquer
Reportez-vous au Guide d’informations importantes sur le produit fourni avec l’Apple TV.
l’obtention de services dans le cadre
de la garantie
Suivez d’abord les conseils qui figurent dans
le présent manuel, le Guide d’informations
importantes sur le produit, l’aide à l’écran et
les ressources en ligne. Si l’appareil ne fonctionne
toujours pas, rendez-vous sur
www.apple.com/fr/support/appletv pour obtenir
des informations sur le service de garantie.
l’enregistrement de l’Apple TV Accédez à www.apple.com/register40 Chapitre 4 Un problème ? Pas de problème.
Numéro de série
Le numéro de série est imprimé en dessous de l’Apple TV. Il est également mentionné
dans le menu des réglages de l’Apple TV. Sur l’Apple TV, choisissez Réglages > À propos de.
Précautions d’emploi et entretien
Utilisation des connecteurs et des ports
Ne forcez jamais un connecteur dans un port. Vérifiez que rien ne bloque l’entrée
au port. Si le connecteur et le port ne s’assemblent pas facilement, c’est probablement
parce qu’ils ne sont pas compatibles. Assurez-vous que le connecteur est compatible
avec le port et que vous l’avez positionné correctement par rapport à ce dernier.
Maintien de l’Apple TV à des températures normales
Utilisez l’Apple TV dans un endroit où la température est toujours comprise entre
0º et 40º C.
AVIS: tout manquement aux présentes instructions concernant l’entretien et les mesures
de précaution peut endommager l’Apple TV ou d’autres éléments en relation.Chapitre 4 Un problème ? Pas de problème. 41
Entretien de l’extérieur de l’Apple TV
Pour nettoyer l’Apple TV, débranchez le câble d’alimentation et tous les autres câbles.
Utilisez ensuite un chiffon doux non pelucheux. Évitez toute pénétration d’humidité
dans les orifices de l’appareil. N’utilisez pas de produits pour le nettoyage des vitres,
de produits d’entretien ménager, d’aérosols, de solvants, d’alcool, d’ammoniac ou
d’abrasifs pour nettoyer l’Apple TV.
Respect des consignes en matière d’élimination pour l’Apple TV
Pour obtenir des informations sur la mise au rebut de l’Apple TV, y compris d’importantes
informations sur le respect des normes en vigueur, reportez-vous au Guide d’informations
importantes sur le produit.K Apple Inc.
aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du
consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra
constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence
déloyale.
Tout a été mis en œuvre pour que les informations pré-
sentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas
responsable des erreurs de reproduction ou d’impression.
Apple
1 Infinite Loop
Cupertino, CA 95014-2084
408-996-1010
www.apple.com
Apple, le logo Apple, AirPort, Apple TV, iLife, iPhoto,
iTunes, Mac, Macintosh, Mac OS et QuickTime sont des
marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans
d’autres pays.
Apple Store et .Mac sont des marques de service
d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres
pays.
iTunes Store est une marque de service d’Apple Inc.
Fabriqué sous licence de Dolby Laboratories. « Dolby »,
« Pro Logic » et le symbole double-D sont des marques
de Dolby Laboratories. Ouvrages confidentiels inédits,
© 1992-1997 Dolby Laboratories, Inc. Tous droits réservés.
Le produit décrit dans ce manuel inclut une technologie
de protection de droits d’auteur protégée par des
réclamations de méthodes de certains brevets et
d’autres droits de propriété intellectuelle aux États-Unis,
détenus par Macrovision Corporation et d’autres
titulaires. L’utilisation de cette technologie de protection
des droits d’auteur doit être autorisée par Macrovision
Corporation et est conçue uniquement pour un usage
familial et autres usages limités, sauf autorisation de
Macrovision Corporation. L’ingénierie inverse et le
désassemblage sont interdits.
Réclamations d’appareils des brevets (États-Unis)
numéro 4631603, 4577216, 4819098 et 4907093 autorisés
pour un usage limité uniquement.
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ne sont mentionnés que pour information, sans aucune
intention de préconisation ni de recommandation.
Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation
et au fonctionnement de ces produits.
F034-4570-B
LiveType 2
Vos droits quant à ce logiciel sont régis par le contrat
de licence accompagnant le logiciel. Le propriétaire
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le but d’apprendre à utiliser ce logiciel. Aucune partie
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transmise à des fins commerciales telles que la vente
de copies de cette publication ou la fourniture de
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aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du
consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins
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concurrence déloyale.
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des informations contenues dans ce manuel. Apple
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ou d’écriture.
Remarque : Apple publie fréquemment de nouvelles
versions et des mises à jour de ses logiciels système,
applications et sites Internet ; par conséquent, les
images affichées dans ce manuel peuvent varier
légèrement de celles que vous visualisez à l’écran.
Apple Inc.
1 Infinite Loop
Cupertino, CA 95014–2084
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Apple, le logo Apple, AppleWorks, Final Cut, Final Cut Pro,
Final Cut Studio, FireWire, Keynote, LiveType, Mac,
Macintosh et QuickTime sont des marques d’Apple Inc.,
déposées aux États-Unis et dans d’autres pays.
Finder est une marque d’Apple Inc. AppleCare est une
marque de service d’Apple Inc., déposée aux États-Unis
et dans d’autres pays.
Helvetica est une marque déposée d’Heidelberger
Druckmaschinen AG, disponible auprès de Linotype
Library GmbH.
Tous les autres noms de produits sont des marques de
leurs propriétaires respectifs. Les produits commercialisés
par des entreprises tierces ne sont mentionnés qu’à titre
d’information, sans aucune intention de préconisation ni
de recommandation. Apple décline toute responsabilité
quant aux performances et à l’utilisation de ces produits. 3
1 Table des matières
Préface 7 Introduction à LiveType
7 Comment fonctionne le titrage ?
8 Un nouveau monde de créativité
9 Procédure de création de titres
10 À propos de ce guide
10 Guide de l’utilisateur LiveType à l’écran
11 Sites Web Apple
Chapitre 1 13 L’interface LiveType
14 Canevas
20 Inspecteur
25 Navigateur média
26 Timeline
29 Fichiers média LiveType
Chapitre 2 31 Configuration d’un projet
31 Modèles
33 Démarrage d’un projet et définition des réglages par défaut
34 Réglage des attributs du projet
Chapitre 3 41 Ajout d’un fond
41 Sélection d’une couleur de fond
42 Ajout d’une texture de fond
43 Importation d’un film ou d’une image fixe comme fond
45 Instructions de rendu du fond
Chapitre 4 47 Manipulation de pistes
49 Positionnement de pistes dans le Canevas
50 Création d’angles et de courbes
52 Liaison d’extrémités
53 Ajout, copie et suppression de pistes
54 Manipulation de pistes dans la Timeline4 Table des matières
Chapitre 5 59 Manipulation de texte
59 Insertion de texte
62 Réglage du chronométrage des LiveFonts
63 Formatage du texte
70 Amélioration du texte avec des styles
74 Création d’un remplissage
79 Modification de caractères individuels
80 Désactivation de polices dans Mac OS X
Chapitre 6 81 Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés
82 Manipulation d’objets LiveType
83 Manipulation de textures LiveType
84 Importation de graphismes, d’images et de films
85 Transformation d’objets, de textures et d’éléments importés
Chapitre 7 89 Manipulation d’effets et animation d’images clés
90 Effets prédéfinis
90 Application d’effets prédéfinis
92 Réglage du chronométrage d’un effet
95 Changer l’ordre des effets
95 Duplication des effets et des pistes
95 Modification d’un effet prédéfini
106 Création d’un effet en partant de zéro
Chapitre 8 111 Aperçu et rendu total de votre film de titrage
111 Aperçu de votre travail
114 Optimisation des performances d’aperçu
115 Rendu, enregistrement et exportation de votre film de titrage
Chapitre 9 121 Techniques avancées de conception
121 Imbrication de mots
123 Déformation d’ombres et d’éclats
125 Pistes courbes
127 Emploi créatif de caractères spéciaux
130 LiveFonts et couches
132 Création de défilements et de glissementsTable des matières 5
Annexe A 135 Solutions aux problèmes fréquents et assistance client
135 Foire aux questions
137 Page Apple destinée aux développeurs d’applications professionnelles
138 Contact de l’assistance AppleCare
Annexe B 139 Création et modification d’EffectScripts
139 En-tête
139 Chronométrage par défaut
140 Images clés
144 Exemples d’EffectScripts
Glossaire 147
Index 153 7
Préface
Introduction à LiveType
Bienvenue dans LiveType, une application de composition de titres avec effets spéciaux, particulièrement
puissante, conviviale et polyvalente (qu’il s’agisse de
créer des titres de films, des génériques, des publicités
radiophoniques et télévisées ou des bannières Web).
La création de titres vidéo dynamiques et percutants peut demander une bonne dose
d’efforts : l’opération impliquant des réglages manuels et les images clés s’accumulant,
au point de rebuter plus d’un animateur, même expérimenté. LiveType vous permet
d’obtenir en un rien de temps des résultats stupéfiants dans le format désiré.
Comment fonctionne le titrage ?
En général, le titrage désigne l’ajout de texte à un film. L’évolution des graphismes
numériques et des technologies vidéo a élargi la définition, laquelle porte désormais
sur toute combinaison de texte et d’images ajoutée à un film. Le titrage correspond
au processus de création d’un repère numérique ajouté aux images montées dans
votre éditeur non linéaire ou programme de composition. LiveType représente le studio
de création dans lequel vous générez des titres que vous importez ensuite dans
Final Cut Pro.
La technique du canal alpha sert de base au titrage. La plupart des programmes de
composition et d’animation vous permettent de créer vos propres oeuvres à l’aide d’un
canal alpha. Par ailleurs, les éditeurs non linéaires emploient le plus souvent des canaux
alpha qu’il détectent dans une image ou un film afin de placer l’élément à l’endroit
approprié dans la vidéo.8 Preface Introduction à LiveType
Un canal alpha se compose de huit bits de pixels d’informations en niveaux de gris
dans un fichier 32 bits. Les huit bits en niveaux de gris déterminent les parties de
l’image à superposer à d’autres couches. Les pixels blancs rendent l’image superposée
totalement opaque alors que les pixels noirs la rendent transparente ou invisible. Les
niveaux de gris correspondent aux divers niveaux d’opacité.
LiveType crée automatiquement un canal alpha pour votre projet au moment d’un
rendu avec un fond transparent.
Un nouveau monde de créativité
LiveType a révolutionné la composition de titres. En premier lieu, une nouvelle
approche de l’animation de texte a été développée grâce aux polices LiveFonts
32 bits, dans lesquelles chaque caractère constitue une séquence d’animation
distincte. De plus, LiveType gère mieux les effets et les animations que d’autres
applications de titrage.
Animation de polices, d’objets et de textures
LiveType inclut trois types d’éléments animés :
 Les objets LiveType sont des graphismes animés.
 Les textures LiveType sont des images animées servant à orner les fonds, le texte
ou les objets.
 Les LiveFonts correspondent à des jeux de caractères animés.
Tous ces éléments sont en soi animés, avant même de leur appliquer des chemins
d’animation et des effets spéciaux.
LiveType est fourni avec des dizaines de LiveFonts et des centaines d’objets et de
textures. En outre, vous pouvez créer vos propres polices animées à l’aide de l’utilitaire
LiveType FontMaker, en créant des caractères via un objet graphique, à partir d’animations 3D, d’images créées dans Photoshop ou de plans vidéo, et leur appliquer des
effets comme s’il s’agissait de mots.
Gestion d’effets
Dans LiveType, les effets sont gérés comme des entités distinctes (ou « packages »)
intégrant des paramètres de mouvement, de transformation et de chronométrage
applicables à un nombre illimité d’éléments du Canevas. À votre disposition se trouvent plus de 100 effets personnalisables fournis avec LiveType, parmi lesquels fondus,
zooms, rotations et chemins d’animation. Vous pouvez également créer vos propres
styles en modifiant les effets existants ou en créant intégralement de nouveaux effets. Préface Introduction à LiveType 9
Du point de vue de l’animation, LiveType est plus abordable que les autres applications
de titrage, sachant qu’un seul marqueur d’image clé contient l’ensemble des paramè-
tres d’un élément à un moment donné, ce qui évite l’accumulation d’images clés.
Par ailleurs, de puissantes fonctions de chronométrage vous permettent de contrôler
tous les aspects d’une animation. Outre les fonctions de base telles que boucle, vitesse
et durée, LiveType vous permet de séquencer vos effets. Grâce au séquençage, vous
pouvez animer individuellement des caractères d’une ligne de texte possédant leurs
propres éléments de chronométrage ; vous n’êtes ainsi pas limité à des animations de
blocs de texte solidaires.
Que votre production soit le fruit de la combinaison d’éléments existants ou de la
création pure, vous pouvez obtenir des compositions originales et percutantes sans
déployer beaucoup d’efforts.
Procédure de création de titres
La production vidéo est généralement envisagée en termes de couches d’arrière vers
l’avant, du tournage et du montage d’images à la génération d’effets, puis à l’application de titres et de son. La création de titres doit être plus ou moins abordée de la
même façon. Le processus de conception étant libre, il n’existe pas d’instructions
strictes. La procédure ci-après vous donne tout de même une idée de ce qu’implique
généralement la réalisation d’un projet donné.
Étape 1 : Configurez l’environnement de travail
 Choisissez la résolution, la vitesse de défilement et d’autres Attributs du projet.
 Configurez la grille, les guides et les règles du Canevas selon vos préférences
de travail.
Étape 2 : Appliquez un fond si nécessaire
Étape 3 : Créez un par un les éléments (texte ou objets) dans le Canevas
 Choisissez la position et la forme d’une piste pour l’élément.
 Ajoutez un élément à cette piste.
 Sélectionnez une police.
 Adaptez les attributs et appliquez des styles à l’élément.
Étape 4 : Animez les éléments
 Fixez la durée du film.
 Appliquez des effets et réglez le chronométrage.
 Personnalisez l’animation en réglant les images clés.10 Preface Introduction à LiveType
Étape 5 : Réalisez un aperçu et une mise au point du film
Étape 6 : Rendez le film final pour une composition dans votre vidéo
Étape 7 : Exportez le film dans un autre format, si nécessaire
Vous pouvez gagner beaucoup de temps grâce aux modèles LiveType : il s’agit de
fichiers de projet fournis avec le logiciel qui donnent des exemples de formats de titres.
Il se peut que l’un d’eux ne requière que quelques changements pour répondre à vos
besoins ou que certains de ses éléments puissent vous être utiles en les copiant dans
votre projet. Pour en savoir plus sur les modèles, reportez-vous au chapitre 2,
« Configuration d’un projet », à la page 31.
À propos de ce guide
LiveType étant un outil de création, la documentation ne peut pas aller plus loin que la
présentation de ses possibilités. Ce guide offre une description détaillée de l’interface,
des caractéristiques et des fonctions de LiveType tout en vous initiant aux ressources
et modèles que le produit inclut pour en saisir la souplesse. Votre seule limite est votre
créativité. Il ne vous reste qu’à vous plonger dans LiveType et à créer vos projets.
Ce guide commence par présenter l’interface, puis comporte une série de chapitres
expliquant les tâches à effectuer et diverses techniques avancées.
Remarque : ce guide s’adresse aux personnes possédant des bases rudimentaires en
matière de production vidéo. La terminologie employée sera déjà familière aux utilisateurs plus expérimentés. Les autres remarqueront que la plupart des termes sont
abordés en contexte et que le glossaire en fin de guide peut s’avérer utile.
Guide de l’utilisateur LiveType à l’écran
Le guide de l’utilisateur LiveType à l’écran vous donne la possibilité d’accéder aux
informations, directement à l’écran, pendant que vous travaillez dans LiveType.
Pour visualiser ce guide, choisissez Aide > Guide de l’utilisateur LiveType. Le guide
de l’utilisateur à l’écran offre une version du guide dotée d’hyperliens et assortie
de nombreuses fonctions facilitant la recherche d’informations.
 La page d’accueil offre un accès rapide à diverses fonctionnalités, dont les
Informations de dernière minute, l’index et le site Web de LiveType.
 Une liste complète de signets vous permet de choisir rapidement les éléments
à afficher et de les consulter en un simple clic.Préface Introduction à LiveType 11
Outre ces outils de navigation, le guide de l’utilisateur à l’écran vous donne les moyens
de rechercher rapidement des informations :
 Toutes les références croisées dans le texte sont liées. Vous pouvez cliquer sur l’une
d’elles pour passer immédiatement à son contenu. Utilisez ensuite le bouton « Page
précédente » de la barre de navigation pour revenir à la page où vous avez cliqué sur
la référence croisée.
 La table des matières et l’index sont également dotés de liens. Si vous cliquez sur
l’entrée d’une section, vous passez directement à cette dernière dans le guide de
l’utilisateur.
 Vous pouvez également utiliser la zone de dialogue Rechercher pour localiser une
expression ou une phrase déterminée.
L’Aide LiveType comporte également des informations sur les logiciels de tierce partie
et les problèmes connus. Ces informations se trouvent dans la section Informations de
dernière minute de l’Aide LiveType.
Pour accéder aux informations de dernière minute :
m Choisissez Aide > Infos de dernière minute.
Remarque : vous devez être connecté à Internet pour télécharger le fichier des Infos
de dernière minute.
Par ailleurs, l’Aide LiveType contient un lien vers le fichier PDF consacré à la création
de LiveFonts (Creating LiveFonts). Ce document détaille le processus de création de
polices LiveFonts personnalisées, pour une utilisation dans LiveType.
Pour accéder au fichier PDF de création de LiveFonts :
m Choisissez Aide > Création de LiveFonts.
Sites Web Apple
Vous trouverez une série de forums de discussion et de ressources pédagogiques se
rapportant à LiveType.
Site Web LiveType
Pour obtenir des informations générales et des mises à jour, ainsi que les informations
de dernière minute sur LiveType consultez :
 http://www.apple.com/fr/finalcutpro/livetype.html12 Preface Introduction à LiveType
Site Web de service et d’assistance Apple
Pour obtenir des mises à jour et des réponses aux questions les plus fréquemment
posées sur tous les produits Apple, dont LiveType, consultez :
 http://www.apple.com/fr/support
Vous pouvez également accéder aux caractéristiques des produits, à la documentation
de référence et à des articles techniques sur des produits Apple et de tierce partie.
Pour des informations d’assistance sur LiveType, consultez :
 http://www.apple.com/fr/support/livetype/index.html
Autres site Web Apple
Rendez-vous à la page d’accueil d’Apple pour obtenir les dernières informations sur
les produits Apple.
 http://www.apple.com/fr
QuickTime est la technologie d’Apple devenue une norme dans la manipulation de
vidéo, de son, d’animation, de graphismes, de texte, de musique et de réalité virtuelle
à 360°. QuickTime offre un niveau élevé de performances, de compatibilité et de qualité
en termes de vidéo numérique. Visitez le site Web QuickTime pour en savoir plus sur les
types de supports gérés, découvrir l’interface et les caractéristiques de QuickTime.
 http://www.apple.com/fr/quicktime
FireWire est l’un des protocoles les plus rapides pour périphériques, notamment ceux
multimédias tels que caméscopes et disques durs externes haut débit. Visitez ce site
Web pour des informations sur la technologie FireWire et sur les produits FireWire
disponibles auprès d’autres fabricants :
 http://www.apple.com/fr/firewire
Pour des informations sur les séminaires, les événements et les outils d’autres fournisseurs utilisés dans le domaine de l’édition sur Internet, de la création et de l’impression,
de la musique et de l’audio, de la vidéotique, de l’image numérique et des arts médiatiques, consultez :
 http://www.apple.com/fr/pro
Pour rechercher des ressources, des anecdotes et des informations sur des projets
développés par des utilisateurs évoluant dans le domaine de l’éducation à l’aide de
logiciels Apple, dont LiveType, consultez :
 http://www.apple.com/fr/education
Visitez l’Apple Store pour acheter directement auprès d’Apple des logiciels, du matériel
et des accessoires et pour y découvrir des promotions spéciales, notamment sur le
matériel et les logiciels d’autres fabricants :
 http://www.apple.com/f/store1
13
1 L’interface LiveType
L’interface LiveType est composée de quatre fenêtres
primaires : le Canevas, l’Inspecteur, le Navigateur média
et la Timeline.
 Canevas : l’emplacement où les projets prennent forme. Il vous sert à positionner du
texte et des objets, à créer des chemins d’animation et à vérifier le résultat obtenu au
fur et à mesure.
 Inspecteur : une boîte à outils de réglages et de paramètres, incluant quasiment
toutes les options de création et de personnalisation de titres.
 Navigateur média : cette zone vous permet d’accéder à l’ensemble des polices,
textures, objets et autres effets pour créer vos titres.
Canevas Inspecteur Navigateur média
Timeline14 Chapitre 1 L’interface LiveType
 Timeline : c’est l’espace de gestion image par image de vos projets de titrage.
Les images clés sont créées et positionnées dans la Timeline, ce qui vous permet
d’organiser le mouvement des titres.
Ces quatre fenêtres sont autonomes : elles peuvent être déplacées et redimensionnées
selon vos préférences.
Pour restaurer la disposition par défaut de LiveType :
m Choisissez Fenêtre>Appliquer le modèle par défaut.
Canevas
Le Canevas est un environnement de création reflétant les dimensions de sortie que
vous configurez dans la zone de dialogue Attributs du projet. (Reportez-vous à la
section « Réglage des attributs du projet » à la page 34.) Le Canevas est conçu pour
vous aider à organiser et à consulter facilement votre projet de titrage, qu’il se trouve
au format HDTV, NTSC, PAL ou autre.
À propos de l’interface Canevas
Les différents éléments et commandes d’interface du Canevas sont présentés
ci-dessous.
Fond (transparent) Instructions d’action sécurisée
Piste, affichant
plusieurs lignes de
texte sur une piste
Menu local Zoom
Instructions de titre sécurisé
Commandes de lectureChapitre 1 L’interface LiveType 15
Fond
À la première ouverture de LiveType, le modèle damier par défaut dans le Canevas
représente un fond transparent, ce qui permet aux titres de canal alpha de recouvrir les
données vidéo lors d’une composition dans un éditeur non linéaire tel que Final Cut Pro.
Le fond peut être le résultat de n’importe quelle combinaison des éléments suivants :
 transparent
 couleur opaque
 texture ou objet animés
 image fixe
 film
Les fonds occupent souvent l’intégralité du Canevas. Toutefois, si vous choisissez la fonction de remplissage de l’onglet Attributs de l’Inspecteur, l’élément semble « traverser »
un autre sous-jacent afin de dévoiler la couleur, l’image ou le film en fond. Reportezvous à la section « Création d’un remplissage » à la page 74 pour en savoir plus sur
cette fonction.
Pistes
La ligne horizontale de couleur bleue qui se trouve dans le Canevas est une piste. Les
pistes sont essentielles à toute composition avec LiveType. Chaque élément d’un projet
est placé sur une piste. Les pistes déterminent :
 la position du texte et des objets dans le Canevas ;
 la superposition des éléments ;
 dans certains cas, le chemin suivi pour déplacer des éléments.
Les pistes possèdent deux extrémités et peuvent être dotées d’un nombre illimité
de « points de contrôle », à savoir des noeuds créant des angles et des courbes sur la
piste. Lorsque le Canevas comporte plusieurs pistes, seules les extrémités de la piste
sélectionnée (active) sont visibles. Ce mode d’identification est fort utile lorsque vous
appliquez des attributs à une piste.
Guides d’action sécurisée et de titre sécurisé
Les contours de couleur verte dans le Canevas délimitent les zones « action sécurisée »
et « titre sécurisé ». La zone d’action sécurisée, démarquée par la ligne externe, repré-
sente la portion de l’écran où l’image est encore visible, selon la courbe du tube
cathodique. La zone de titre sécurisé, délimitée par la ligne interne, marque quant à
elle la frontière au-delà de laquelle le texte ne se lit pas facilement.
Pour activer ou désactiver les guides d’action sécurisée et de titre sécurisé :
m Choisissez Présentation>Titre sécurisé.16 Chapitre 1 L’interface LiveType
Menu local Zoom Canevas
En bas du Canevas figure un menu local permettant de changer le grossissement du
Canevas.
Pour changer le zoom du Canevas, procédez de l’une des façons suivantes :
m Ouvrez le menu local Zoom Canevas au bas de la fenêtre et choisissez l’une des options
de grossissement.
m Dans ce même menu, choisissez Adapter à la fenêtre, puis redimensionnez la fenêtre
selon un nouveau grossissement.
m Choisissez Présentation > Zoom avant ou Zoom arrière.
m Lorsque le Canevas est actif, utilisez le raccourci clavier Commande + Z pour Ajuster
à la fenêtre.
m Lorsque le Canevas est actif, utilisez le raccourci clavier Commande suivie respectivement d’un + (plus) ou d’un - (moins) pour effectuer un zoom avant ou arrière.
Contrôles de transport
Les contrôles de transport vous permettent de générer un aperçu RAM de votre projet,
afin de pouvoir visualiser votre titrage à l’intérieur même du Canevas. Lorsque vous
cliquez sur le bouton Lecture, LiveType rend chaque image dans la mémoire RAM.
Cette caractéristique est appelée aperçu RAM.
Menu local Zoom
Canevas
Image précédente
Lecture Image suivante
BoucleChapitre 1 L’interface LiveType 17
Pour rendre l’aperçu RAM de votre projet dans le Canevas :
1 Cliquez sur le bouton Lecture (ou appuyez sur la barre d’espace lorsque le Canevas
ou la Timeline sont actifs).
L’aperçu rend chaque image avant de défiler en temps réel.
2 Arrêtez l’aperçu en cliquant n’importe où dans le Canevas.
L’icône Lecture se transforme en Pause lorsque l’aperçu RAM est en cours. Le bouton
Boucle permet de basculer d’une lecture unique à la répétition en boucle de l’aperçu.
Reportez-vous au chapitre 8, « Aperçu et rendu total de votre film de titrage », à la
page 111 pour en savoir plus sur l’affichage d’un aperçu de votre travail.
Personnalisation du Canevas
La plupart des réglages du Canevas peuvent être personnalisés dans le menu Présentation, ce qui permet de configurer les guides et le grossissement et de choisir les
éléments apparaissant dans le Canevas. La grille, les règles et les guides sont utiles
pour aligner et positionner avec exactitude les éléments dans le Canevas.
Pour afficher les règles ou la grille :
m Choisissez Présentation > Règles.
m Choisissez Présentation > Quadrillage.
Vous pouvez définir le nombre de pixels entre chaque ligne de la grille dans la zone
de dialogue Attributs du projet.
Grille
Règle pour des
guides verticaux
Règle pour des
guides horizontaux18 Chapitre 1 L’interface LiveType
Pour personnaliser la grille :
1 Choisissez Édition > Attributs du projet.
2 Entrez une nouvelle valeur dans le champ Largeur de la grille au bas de la zone Réglages
de la règle et de la grille.
Pour ajouter un guide au Canevas :
m Cliquez dans l’une des règles pour insérer un guide identifié par sa position horizontale
ou verticale de pixels.
Pour ajouter des réticules au Canevas :
m Cliquez dans l’une des règles et placez le pointeur dans le Canevas.
Pour supprimer des guides du Canevas, procédez de l’une des façons suivantes :
m Glissez les marqueurs du guide au-delà de l’une des extrémités de la règle.
m Choisissez Présentation > Effacer les guides pour effectuer une suppression globale.
Vous pouvez isoler une piste et afficher tous les autres éléments comme des cadres de
délimitation (contours illustrant grossièrement la taille, la position et l’orientation d’un
élément). Cette option est utile pour « nettoyer » le Canevas lorsque vous travaillez sur
une seule piste. Elle permet par ailleurs de gagner du temps lors du rendu de l’aperçu
car un seul élément de votre composition est alors rendu.
Marqueur du guide montrant
la position des pixels
Guide réticulesChapitre 1 L’interface LiveType 19
Pour isoler une piste dans le Canevas :
m Sélectionnez la piste à isoler et choisissez Présentation > Sélectionné seulement.
Revenez à la vue normale en choisissant à nouveau Présentation > Sélectionné
seulement.
L’option Image proxy seulement du menu Présentation (qui ne s’applique que lorsque
vous utilisez des données LiveType installées) rend les LiveFonts, les textures et les
objets sous forme d’images proxy dans le Canevas, ce qui fige leur animation.
Dans le cas d’un élément animé dont le contenu varie énormément d’une image à
l’autre (par exemple, les objets Particle, qui contiennent peu ou pas de pixels dans les
images de début et de fin), il est plus facile d’utiliser l’image proxy car elle offre une
forme plus représentative de l’objet, quelle que soit la position de la tête de lecture.
Les cadres de délimitation montrent
la taille et la position des éléments
non sélectionnés.
Choisissez Présentation > Sélectionné
seulement pour afficher uniquement
le contenu de la piste sélectionnée.20 Chapitre 1 L’interface LiveType
Inspecteur
l’Inspecteur est votre boîte à outils pour transformer des éléments (texte, objets ou
images). Il existe un nombre illimité de combinaisons de paramètres et d’attributs pour
créer des titres dynamiques et originaux.
l’Inspecteur se compose d’une zone de saisie de texte et d’un aperçu filaire animé dans
sa partie supérieure, ainsi que de cinq onglets de paramètres. Les réglages de l’Inspecteur s’appliquent toujours à la piste, au caractère ou à l’effet sélectionné dans
le Canevas ou la Timeline.
Zones de saisie de texte
Deux zones de l’Inspecteur vous permettent d’ajouter du texte à une piste. L’une se
trouve dans le coin supérieur gauche de la fenêtre. Du fait qu’elle est toujours visible,
quel que soit l’onglet sélectionné, elle permet d’identifier la piste active et d’ajouter
ou de modifier le texte sur une piste car vous pouvez le saisir directement. L’autre zone,
plus grande, est située au bas de l’onglet Texte ; par sa taille, elle permet de saisir une
quantité de texte plus importante.
Les zones de saisie de texte vous permettent également de sélectionner des lettres ou
des mots déterminés sur une piste. Lorsque vous mettez du texte en évidence dans ces
zones, les caractères sont sélectionnés dans le Canevas. Cette opération est pratique si
vous voulez modifier du texte masqué par d’autres éléments dans le Canevas.
Zone de saisie de texte
Aperçu filaire animé
Onglets de l’Inspecteur
Zone de saisie de texte
(uniquement dans l’onglet Texte)Chapitre 1 L’interface LiveType 21
Aperçu filaire animé
Dans le coin supérieur droit de l’Inspecteur, l’aperçu filaire animé lit en continu votre
titre, de petits cadres de délimitation illustrant le mouvement de chaque caractère ou
objet. Cette fonction permet de vérifier rapidement l’impact de vos changements sur
l’animation sans devoir rendre chaque fois l’aperçu complet.
Pour figer ou activer l’aperçu filaire animé :
m Cliquez dans la zone d’aperçu.
Onglets de l’Inspecteur
l’Inspecteur comporte cinq onglets.
 Onglet Texte : vous permet de saisir du texte et de modifier la taille, l’alignement
et l’espacement du texte d’une piste active.
Tête de lecture de l’aperçu
De petits cadres de délimitation
illustrent le mouvement
des éléments du Canevas.
Cliquez ici pour activer
ou désactiver l’aperçu.
Réglages de l’onglet Texte22 Chapitre 1 L’interface LiveType
 Onglet Style : cet onglet offre les options de traitement Ombre, Éclat, Contour et
Volume applicables au texte et aux objets. Elles servent souvent à ajouter de la
profondeur et à mettre le texte ou l’objet en évidence, même si une large gamme
d’effets graphiques sont également possibles.
 Onglet Effets : cet onglet répertorie les effets appliqués à la piste active et permet
d’afficher et de modifier des paramètres n’importe où dans votre titre. Les effets sont
des combinaisons de mouvement et de transformation applicables aux pistes. La
colonne Activé de l’onglet des Effets vous permet d’activer ou de désactiver un effet
pour des caractères individuels sur la piste.
Réglages onglet Style
Onglet EffetsChapitre 1 L’interface LiveType 23
 Onglet Chronométrage : les paramètres de chronométrage des pistes et des effets
sont contrôlés dans cet onglet. La Timeline fournit un graphique image par image
des pistes et des effets, ainsi que des images clés associées. Pour sa part, l’onglet
Chronométrage permet de régler le chronométrage d’ensemble et de modifier les
paramètres de votre animation.
Certains réglages sont plus faciles à réaliser en déplaçant les éléments dans la Timeline qu’en saisissant des valeurs dans l’onglet Chronométrage. Toutefois, cet onglet
vous offre l’accès à toute la gamme des variables et à des paramètres d’effets qui
vous permettent de peaufiner votre animation.
Onglet Chronométrage24 Chapitre 1 L’interface LiveType
 Attributs : vous permet d’affecter une série d’ attributs (opacité, flou, échelle, décalage, rotation et couleur) aux éléments du Canevas. Les attributs s’appliquent
à des pistes entières ou seulement à certains caractères d’une piste.
L’onglet Attributs offre également des options pour créer un effet de remplissage,
c’est-à-dire qu’un élément apparaît sous forme de fenêtre découpée révélant
l’élément en dessous. Par exemple, une ligne de texte peut « prélever » un plan, qui
« remplit » le texte. L’option Prélever dans Texture vous permet de remplir le
contenu des pistes (même s’il s’agit de caractères individuels) avec une texture
animée, sans devoir ajouter celle-ci au projet sous forme d’élément distinct.
Les réglages de remplissage
sont des variables permettant
de créer des découpes et des
remplissages avec texture.
Les réglages de glyphe
incluent des attributs
tels que forme, couleur
et position du texte et
des objets.
Onglet Attributs dans la
sous-fenêtre Remplissage
Onglet Attributs dans la
sous-fenêtre GlypheChapitre 1 L’interface LiveType 25
Navigateur média
La plupart des ressources installées disponibles pour vos projets de titrage se trouvent
dans le Navigateur média (à l’exception des modèles, images et films LiveType importés
d’autres sources). Différents onglets représentant différents éléments sont installés sur
votre ordinateur : LiveFonts, polices système, textures, objets et effets. À l’aide du Navigateur média, vous pouvez faire défiler et visualiser des représentations de tous ces
éléments avant de les appliquer à votre projet.
L’aperçu du Navigateur média est le seul moyen de savoir comment les données de
LiveType (LiveFonts, textures et objets) se déplacent et évoluent tant que vous n’avez
pas installé le fichier de données sur votre ordinateur. Lorsque vous appliquez pour
la première fois l’un de ces éléments dans le Canevas, une image représentative apparaît, et non la séquence animée entière. L’installation du fichier de données vous
permet d’obtenir une représentation réelle de la LiveFont dans chaque image du film.
Voir « Fichiers média LiveType » à la page 29 pour en savoir plus sur la gestion de
fichiers LiveType.
Aperçu du navigateur
Onglets de données (média) et d’ effets26 Chapitre 1 L’interface LiveType
Timeline
La Timeline illustre l’organisation image par image de votre projet de titrage et fournit
divers outils pour choisir le mouvement et le chronométrage des titres. La Timeline
vous permet d’effectuer ce qui suit :
 définir le chronométrage et la durée des pistes et des effets ;
 gérer l’ordre des pistes, ou les couches ;
 regrouper des pistes pour conserver leur position les unes par rapport aux autres ;
 activer et désactiver des pistes et des effets ;
 employer des images clés pour personnaliser votre animation ;
 sélectionner des images à afficher ou à modifier ;
 placer des marqueurs pour rendre uniquement une partie du film, soit dans le cadre
d’aperçus, soit dans le cadre de la sortie finale.
À propos de l’interface Timeline
Les éléments et les contrôles de l’interface pour la Timeline sont présentés ci-dessous :
Onglets de projets
Les onglets dans le coin supérieur gauche de la Timeline indiquent quels projets sont
ouverts et lequel est actif.
Tête de lecture, timecode et règle d’image
La tête de lecture et le timecode sur la règle d’image indiquent quelle image s’affiche
dans le Canevas. Lors de la lecture d’un projet, la tête de lecture glisse le long de la
règle. Vous pouvez la placer sur n’importe quelle image.
Tête de lecture
Curseur de zoom
de la Timeline
Onglet du projet
Boutons de
regroupement
Image clé Barre de fond
Timecode
Boutons Activer/
Désactiver
Piste
Effet
Règle de
l’image
Point de sortie du
rendu de la sélectionChapitre 1 L’interface LiveType 27
Pour afficher une image donnée, procédez de l’une des façons suivantes :
m Glissez la tête de lecture à l’image souhaitée.
m Cliquez sur une image dans la règle d’image.
Le Canevas indique toujours l’image qui se trouve sous la tête de lecture.
Marqueurs de sélection de rendu
Les marqueurs des points d’entrée et de sortie dans la règle de l’image vous permettent
de délimiter la partie du film à rendre. Grâce à ces marqueurs, vous pouvez :
 gagner du temps lors du rendu d’aperçus si vous n’avez pas besoin de visualiser le
film dans son intégralité ;
 choisir le nombre exact d’images à inclure dans le projet final.
Pour changer la sélection de rendu, procédez de l’une des façons suivantes :
m Glissez à l’endroit désiré les marqueurs des points d’entrée et de sortie dans la règle
de l’image.
m Placez la tête de lecture sur ce point et appuyez sur la touche I pour définir le point
d’entrée de la sélection de rendu, ou sur la touche O pour définir son point de sortie.
La Timeline doit être active pour que ces raccourcis fonctionnent.
Lorsque vous limitez le nombre d’images à rendre, la zone d’information dans le coin
supérieur gauche de la Timeline indique la nouvelle durée et le nouveau nombre
d’images.
Remarque : pour repérer rapidement le marqueur du point de sortie lorsqu’il se trouve audelà de la fin de la Timeline, placez le curseur de zoom de la Timeline à l’extrême droite.
Pistes et effets
Les pistes sont numérotées dans la colonne de gauche de la Timeline selon leur niveau
de superposition (couche). La piste 1 correspond toujours à celle du dessus.
Les effets apparaissent sous forme de barres distinctes en dessous de la piste à laquelle
ils s’appliquent. Un effet peut s’appliquer à toute la durée de la piste ou seulement à un
passage. Plusieurs effets peuvent être appliqués à une piste. Ils peuvent soit se suivre,
soit se chevaucher.
Barre de fond
Tout élément tombant sous la barre de fond constitue un élément du fond. Vous
pouvez déplacer verticalement la barre de fond entre les pistes de la Timeline. Pour
en savoir plus, consultez « À propos de la barre de fond » à la page 43.28 Chapitre 1 L’interface LiveType
Images clés
Les images clés sont les éléments de base de l’animation numérique. Elles contiennent
les paramètres que les éléments du Canevas illustrent à un point donné dans le temps.
Au moment de rendre un film, LiveType intercale le mouvement des éléments entre les
images clés pour donner une animation fluide. Lorsque la longueur d’un effet est
augmentée, les images clés s’adaptent à ce changement et l’effet prend plus de temps
pour s’exécuter. Reportez-vous au chapitre 7, « Manipulation d’effets et animation
d’images clés », à la page 89 pour en savoir plus sur les images clés.
Boutons de regroupement
Les boutons de regroupement vous permettent de rassembler des pistes dans le
Canevas (en verrouillant leur position les unes par rapport aux autres) et de déplacer
le groupe comme un bloc solidaire.
Boutons Activer/Désactiver
Ces boutons permettent d’Activer/Désactiver les pistes et les effets. Lorsqu’une piste
est désactivée, son contenu est supprimé du Canevas même si la ligne bleue demeure.
Les pistes désactivées ne sont rendues ni dans les aperçus, ni dans le projet final.
De la même façon, les effets peuvent être désactivés.
Contrôles de zoom de la Timeline
Les contrôles de zoom de la Timeline servent à ajuster le temps représenté dans la
Timeline. Ceci est particulièrement utile lorsque vous travaillez sur le chronométrage
d’une composition longue et complexe.
Le curseur de zoom de la Timeline représente le principal contrôle de zoom. Lorsque
vous faites glisser le curseur, celui-ci effectue un zoom avant et arrière autour de la tête
de lecture.
Vous pouvez aussi utiliser le raccourci clavier Commande associé au signe + ou
Commande associé au signe – pour effectuer un zoom avant ou arrière sur la tête de
lecture lorsque la Timeline est active. La commande Maj + Z est une autre commande
utile, puisqu’elle positionne la Timeline de manière à afficher en une seule fois
l’ensemble du projet.
Raccourcis clavier
L’interface LiveType présente de nombreuses options de menu et raccourcis pour une
utilisation simple et efficace de l’application. Notez que la fonction de ces options
dépend de la fenêtre LiveType active.
Par exemple, lorsque le Canevas est actif, les touches fléchées déplacent progressivement la piste active. Toutefois, lorsque la Timeline est active, les touches fléchées vers
la droite et vers la gauche font avancer ou reculer la tête de lecture d’une image.Chapitre 1 L’interface LiveType 29
Fichiers média LiveType
LiveType comprend des centaines de fichiers média et effets, qui constituent les
ressources mises à votre disposition à travers les navigateurs média et modèles. Les
fichiers animés incluent les LiveFonts, les objets et les textures. Les effets et les modè-
les prédéfinis, comme bien d’autres ressources LiveType, sont également fournis avec
l’application. Ces fichiers sont regroupés sous le nom de fichiers média LiveType.
LiveType utilise désormais un seul format de fichier pour des médias comme les
LiveFonts, les textures et les objets, mais les médias utilisant le format précédent
« pair format » est encore pris en charge.
Recherche des fichiers média LiveType
Lorsque vous installez LiveType, une hiérarchie de dossiers est créée à l’emplacement
suivant : /Bibliothèque/Application Support/LiveType/. C’est à cet emplacement que
LiveType recherche d’abord les fichiers média comme les LiveFonts, les objets, les
textures, les effets, les images, les films et les modèles. Les fichiers média LiveType
peuvent aussi être installés sur d’autres disques durs, notamment un serveur réseau.
Vous pouvez affecter n’importe quel emplacement aux fichiers média via la zone de
dialogue des Préférences.
À propos de l’installation des fichiers média LiveType
Le processus d’installation de LiveType vous permet d’installer les fichiers média
LiveType à l’emplacement de votre choix. Pour en savoir plus sur l’installation
de LiveType et sur les fichiers média LiveType, consultez le document Installation
de votre logiciel, fourni avec les disques d’installation.
Types de fichiers média Noms des fichiers média Contenu des fichiers média
Effects LTFX Fichiers d’effets et extraits pour
chaque effet
LiveFonts LTLF Caractères de polices animés
Objects .LTOB Animations pré-rendues avec
un canal alpha
Templates LTTM Projets LiveType
Textures LTTX Fonds animés plein écran. Ces
animations peuvent aussi être
incorporées à n’importe quel
caractère de police ou élément
du Canevas LiveType.30 Chapitre 1 L’interface LiveType
Gestion des fichiers média LiveType
Chaque élément des onglets LiveFonts, Textures, Objets et Effets du Navigateur média
possède un fichier média correspondant qui contient les composants permettant
de travailler avec LiveType. Lorsque ces fichiers média sont installés dans le dossier
/Bibliothèque/Application Support/LiveType, vous pouvez les déplacer vers un
disque différent.
Pour utiliser les fichiers média LiveType qui sont situés en dehors du dossier
support de l’application :
m Affectez l’emplacement des fichiers média depuis LiveType à l’aide de la zone de
dialogue des Préférences. Choisissez LiveType > Préférences.
Remarque : pour utiliser les fichiers média LiveType situés en dehors du dossier
support de l’application, affectez leur emplacement depuis LiveType à l’aide de la
zone de dialogue des Préférences. Si vous aviez déjà installé des médias pour une
version précédente de LiveType, le Navigateur média indique « Oui » ou « Non » dans
la colonne Installé pour ce média, indiquant ainsi si les fichiers média sont installés ou
non. Cette convention s’applique uniquement aux formats précédents « file pair ». De
nouveaux contenus sont repérés par des fichiers média qui apparaissent dans le Navigateur média avec un double tiret dans la colonne Installé, indiquant ainsi qu’ils sont
installés. Les boutons Installer et Désinstaller dans l’angle inférieur gauche du Navigateur média ne s’appliquent pas aux contenus les plus récents, mais seulement aux
fichiers média LiveType des versions précédentes de l’application.
Création de catégories personnalisées pour les fichiers
média LiveType
Vous pouvez créer des catégories personnalisées pour les fichiers média LiveType
en créant simplement un nouveau dossier à l’intérieur du dossier Média, comme par
exemple LiveFont/Mon dossier/Ma police.
LiveType reconnaît uniquement un niveau de dossier après la catégorie média d’origine.
Vous pouvez déplacer des fichiers média « file pair » de versions précédentes de
LiveType vers un autre disque, mais ceux-ci doivent conserver une arborescence identique à celle de leur emplacement précédent.
Utilisation des fichiers importés
Lorsque vous utilisez des graphismes ou des films provenant d’autres sources dans
votre projet, LiveType doit se référer aux fichiers sources de ces éléments externes. Par
conséquent, après avoir placé une image ou un film, il est préférable de ne pas déplacer
ou renommer son fichier source. Le dossier Images dans l’arborescence de LiveType est
l’emplacement idéal pour stocker des images associées à vos projets.2
31
2 Configuration d’un projet
L’étape la plus importante au début d’un projet LiveType
consiste à configurer les propriétés de ce dernier.
Même s’il est tentant de commencer sans attendre à concevoir vos titres, vous devez
d’abord choisir vos paramètres et enregistrer le projet sur le disque afin que vos titres
soient générés à la taille et à la résolution de votre choix.
Si vous créez directement un titre sans d’abord configurer le projet, vous vous exposez
à des difficultés. Même si ces réglages sont à tout moment modifiables, une composition de titrage créée pour une diffusion standard par exemple ne remplira qu’une partie
de l’écran si sa définition est augmentée.
Vous devez d’abord ouvrir un nouveau projet. Pour ce faire, deux options sont possibles :
 Commencer avec un modèle LiveType.
 Commencer avec un projet LiveType existant.
Modèles
LiveType inclut des dizaines de modèles correspondant à des fichiers de projets LiveType
organisés par catégorie. Vous pouvez utiliser ces modèles de diverses manières :
 comme point de départ pour vos propres créations ;
 comme référentiels d’éléments préconfigurés que vous pouvez coller dans vos projets ;
 comme ressource pour stimuler l’imagination et découvrir les possibilités offertes
par LiveType.
Les modèles comportent divers types de projets préétablis, tous étant adaptables
à vos besoins.32 Chapitre 2 Configuration d’un projet
Pour ouvrir un modèle :
1 Choisissez Fichier > Ouvrir le modèle.
2 Explorez les catégories de modèles dans le navigateur modèles.
3 Dans le Navigateur média, choisissez NTSC, PAL, ou HD à partir du menu local Format.
4 Choisissez un modèle puis cliquez sur OK.
Chaque fois que vous ouvrez un modèle, assurez-vous de définir immédiatement les
attributs du projet. Reportez-vous à la section « Réglage des attributs du projet » à la
page 34.
Vous pouvez enregistrer vos projets sous forme de modèles afin de pouvoir y accéder
via le navigateur de modèles.
Pour enregistrer votre projet comme modèle :
1 Placez le fichier de projet (.ipr) dans un dossier à cet emplacement : /Bibliothèque/
Application Support/LiveType/Templates.
2 Générez un petit film QuickTime du projet (avec le même nom mais avec l’extension
de film appropriée, comme .mov ou .mp4).
Le modèle apparaît alors dans la fenêtre d’aperçu du navigateur modèles.
Le navigateur modèlesChapitre 2 Configuration d’un projet 33
Démarrage d’un projet et définition des réglages
par défaut
À l’ouverture de LiveType, un projet par défaut sans titre s’affiche dans l’interface.
Si vous voulez démarrer un nouveau projet lorsque LiveType est déjà ouvert, vous
devez ouvrir un autre projet par défaut.
Pour ouvrir un nouveau projet :
m Choisissez Fichier > Nouveau.
Un nouveau projet au Canevas vide apparaît et un onglet de projet « Sans nom » est
ajouté à la Timeline.
Remarque : au moins un projet LiveType doit être à tout moment ouvert ; ainsi, à la
fermeture de l’unique projet ouvert, un autre par défaut s’ouvre automatiquement.
Vous pouvez configurer l’interface LiveType et enregistrer vos réglages comme valeurs
par défaut. Les réglages par défaut concernent, entre autres, les Propriétés du projet,
les choix de polices et des données, les options du Canevas, les onglets visibles à
l’écran. Ils permettent notamment d’enregistrer votre format préféré, ce qui vous
évite de devoir reconfigurer les propriétés chaque fois que vous ouvrez un projet.
Pour enregistrer vos réglages par défaut :
1 Configurez un projet LiveType avec les réglages et la configuration de votre choix.
2 Choisissez LiveType > Réglages > Mémoriser les réglages.
Désormais, à chaque ouverture d’un nouveau projet ou de LiveType, ces réglages par
défaut s’appliqueront. Les éléments du projet d’origine ne sont en revanche pas enregistrés comme contenu du projet par défaut.
La configuration par défaut de votre choix peut très bien ne pas vous plaire ou compliquer vos tâches. Il est très facile d’effacer vos réglages et de revenir aux réglages
LiveType d’origine.
Pour supprimer vos réglages de projet :
m Choisissez LiveType > Réglages > Effacer les réglages.34 Chapitre 2 Configuration d’un projet
Réglage des attributs du projet
Après l’ouverture d’un nouveau projet et son enregistrement sur le disque, vous devez
déterminer le résultat escompté. Tous les réglages importants s’effectuent dans la zone
de dialogue Propriétés du projet.
Pour ouvrir la zone de dialogue Propriétés du projet :
1 Choisissez Édition > Propriétés du projet.
2 Effectuez les modifications souhaitées, puis cliquez sur OK.
Pour des informations plus détaillées, consultez la section suivante, « Réglages dans la
zone de dialogue Propriétés du projet ».
La zone de dialogue
Propriétés du projetChapitre 2 Configuration d’un projet 35
Réglages dans la zone de dialogue Propriétés du projet
Différents menus locaux, réglages et couleurs peuvent être sélectionnés lorsque vous
spécifiez les attributs de votre projet.
Préréglages
Ceux-ci déterminent la largeur, la hauteur, la vitesse et l’aspect des pixels selon le format
sélectionné.
 Préréglages : ce menu local répertorie les formats de sortie les plus fréquents. Après avoir
sélectionné un préréglage différent, vous remarquerez comment sont modifiés les
réglages. Vous pouvez également en vérifier l’impact sur la forme et la taille du Canevas.
Si aucun préréglage ne correspond à votre projet, vous pouvez configurer manuellement les dimensions et la vitesse. « Personnalisé » apparaîtra alors automatiquement
dans le champ Préréglages.
Remarque : les options multimédia et de bannière Web figurent parmi les préré-
glages, sachant que LiveType permet de créer des animations pour le Web et
pour Keynote, qui importe directement les séquences QuickTime. Pour rappel,
les bannières Web sont généralement créées au format GIF. Pour créer un GIF,
vous devez utiliser un autre programme afin de convertir votre sortie LiveType.
 Largeur : il s’agit de la largeur, en pixels et en centimètres.
 Hauteur : il s’agit de la hauteur, en pixels et en centimètres.
 Vitesse : il s’agit de la fréquences, en images par seconde.
Les propriétés de préréglages définissent
automatiquement la résolution du projet,
la vitesse, etc., et ce pour les formats de
sortie les plus fréquents.36 Chapitre 2 Configuration d’un projet
 Priorité de trame : lorsque votre projet est prévu pour une sortie vidéo entrelacée,
choisissez soit Supérieure (impaire) ou Inférieure (paire) pour l’animation la plus lisse.
Une fois la bonne option choisie, LiveType effectue un rendu des trames, avec la
trame du bas ou la trame du haut en premier. Choisissez Aucun pour des images non
entrelacées. Les images numériques sont généralement trame en bas en premier,
tandis que certaines cartes de capture vidéo peuvent avoir besoin d’un rendu avec
l’option Supérieure (impaire). Dans tous les cas, utilisez l’option correspondant à vos
réglages système vidéo. Pour en savoir plus à ce sujet, consultez « Sélection de
l’ordre de rendu des trames » à la page 38.
 Aspect des pixels : le rapport entre la largeur et la hauteur d’un pixel, c’est-à-dire sa
proportion, varie d’un format à l’autre. La proportion des pixels dépend des propriétés prédéfinies, même si vous pouvez indiquer une valeur de votre choix.
 Début : vous pouvez faire correspondre l’heure de début de votre projet avec un
point précis de votre vidéo montée, ce qui facilite les superpositions au moment de
la composition. Les unités de l’heure de début illustrent le format temporel saisi dans
le champ de droite.
 Format temporel : ce réglage détermine comment la position des données audio
et vidéo est indiquée dans le temps. Plusieurs choix sont possibles : Images, SMPTE,
et SMPTE Drop.
Champ de description
Le champ de description est pratique pour garder des notes sur le projet ainsi que la
description de tout paramètre de sortie non standard que vous avez configuré et que
vous réutiliserez.
Réglages de qualité
Les réglages de qualité peuvent faire énormément varier le temps consacré à un projet.
Au fil de la conception de votre animation et de l’application d’effets, vous devez
consulter à plusieurs reprises un aperçu de votre film. Chaque fois, votre système doit
effectuer un rendu image par image.
Options de format temporel
Options de qualité pour
le Canevas, rendus et
aperçus de filmsChapitre 2 Configuration d’un projet 37
Ces réglages dans cette zone vous permettent de configurer la qualité de trois
éléments distincts :
 Canevas : un aperçu RAM dans le Canevas
 Rendu : un rendu séquence complet
 Aperçu : un aperçu standard accessible à partir du menu Fichier
Le mode d’aperçu de votre film dépend de votre avancement dans la conception. Vous
devrez parfois changer plusieurs fois ces réglages lors de la création de titres, notamment dans le cas de compositions complexes demandant un temps de rendu important.
L’aperçu filaire, qui affiche les cadres de délimitation de chaque caractère, permet un
temps de rendu très court. Lorsque vous vous attachez à l’animation des éléments du
Canevas plutôt qu’à leurs attributs visuels, l’aperçu filaire s’avère fort efficace. Les réglages
Fil de fer, Brouillon, Normale rendent votre projet avec des niveaux croissants de résolution.
Réglages du fond
Ces réglages vous permettent de sélectionner une couleur du Canevas et son niveau
d’opacité.
 Couleur : vous permet de choisir une couleur de fond dans le Canevas.
 Opacité : ce réglage reflète l’opacité de la couleur sélectionnée ci-dessus. Un niveau
d’opacité de 0 équivaut à l’absence de couleur et le Canevas affiche alors le modèle
damier indiquant un fond transparent.
 Rendre le fond : quand cette case est sélectionnée, toute couleur de fond, ainsi que les
autres éléments du fond sont rendus dans les aperçus ou dans les films achevés.
Important : la case Rendre le fond s’applique à tous les éléments se trouvant en
dessous de la barre de fond dans la Timeline, ainsi qu’à la couleur du fond, absente
de la Timeline. Si cette case n’est pas cochée, la couleur du fond et les autres
éléments de fond ne sont pas rendus dans les aperçus et le projet final. Pour plus
d’informations, consultez le chapitre 3, « Ajout d’un fond », à la page 41 qui présente
une explication complète sur la façon de travailler avec les fonds dans LiveType.
Réglages des règles et de la grille
Vous pouvez afficher ou masquer les règles et la grille du Canevas, ainsi que choisir
l’espace séparant les lignes de la grille au bas de la zone de dialogue Propriétés du
projet. Reportez-vous à la section « Personnalisation du Canevas » à la page 17 pour
en savoir plus sur les règles et la grille.
La fréquence des lignes, à
savoir la largeur de la grille,
est définie dans la zone de
dialogue Propriétés du projet.38 Chapitre 2 Configuration d’un projet
Sélection de l’ordre de rendu des trames
Vous pouvez effectuer un test pour savoir quel est l’ordre le plus approprié à votre
système. Lorsque vous créez un film, l’ordre de rendu (commençant par la trame
la plus haute ou la plus basse) doit correspondre à la méthode employée par votre
équipement pour éviter que les images soient déformées.
Remarque : l’ordre des trames dans lesquelles vous enregistrez avec votre équipement
vidéo est modifiable en changeant le matériel ou les logiciels de votre configuration
de production. Par exemple, le changement de votre carte vidéo, du logiciel de contrô-
le de périphérique ou du magnétoscope une fois l’ordre établi peut inverser ce dernier.
Ainsi, chaque fois que vous modifiez votre configuration, vous devez effectuer ce test
pour l’ordre de rendu des trames.
Pour tester votre système, réalisez le rendu de deux projets LiveType, l’un avec la trame
du dessus en premier, l’autre avec celle du bas.
Important : il est conseillé de vous familiariser avec les fonctions de base de LiveType
avant de suivre cette procédure.
Pour tester l’ordre de rendu des trames :
1 Démarrez un nouveau projet LiveType.
2 Choisissez Édition > Propriétés du projet.
3 Dans la zone de dialogue des Propriétés du projet, effectuez les actions suivantes :
a Choisissez un réglage NTSC ou PAL dans le menu local Préréglages.
b Choisissez Inférieure (paire) dans le menu local Priorité de trame.
Ne choisissez pas Supérieure (impaire). Dans ce cas, vous effectuez le rendu à partir
de la trame du bas.
4 Dans l’Inspecteur, effectuez les actions suivantes :
a Saisissez la lettre capitale « O » dans une police système sur la Piste 1.
b Augmentez sa taille pour remplir l’ensemble du Canevas.
c Choisissez la couleur rouge pour la lettre, puis le noir pour le fond.
5 Appliquez un effet de déplacement rapide à la piste (tel que Jumpy) dans la catégorie
d’effet Caricature dans le Navigateur média.
6 Dans l’onglet Chronométrage, optez pour une vitesse de 100 %.
7 Choisissez Fichier > Rendre le film.
8 Nommez le fichier lower.mov dans le champ Enregistrer sous, puis cliquez sur
Enregistrer.
Le film est rendu à l’emplacement que vous avez choisi.
9 Prenez à présent le bleu comme couleur de la lettre O. Cochez alors Supérieure (impaire)
dans la zone de dialogue Propriétés du projet.Chapitre 2 Configuration d’un projet 39
10 Enregistrez le fichier, en le nommant upper.mov.
11 Rendez le deuxième film.
12 Importez les fichiers rendus dans Final Cut Pro, puis effectuez la lecture des deux films
sur un moniteur NTSC.
L’un d’eux apparaît déformé, l’autre se lit correctement et ses bords sont nettement
marqués. Chaque fois que vous rendez un film LiveType pour ce système, employez
les réglages de celui non déformé à l’écran.3
41
3 Ajout d’un fond
Dans LiveType, les fonds jouent généralement l’un de
ces deux rôles : soit ils forment partie intégrante de la
composition du titre, soit ils sont utilisés pour aider à
positionner des éléments et à adapter le chronométrage
du film de titrage.
Même si tout peut servir de fond, il s’agit en général d’une couleur uniforme, d’une
texture animée, d’une image fixe ou d’un film remplissant le Canevas. Même si les
images de fond, les films et les textures ont tendance à remplir le Canevas et ne sont
pas particulièrement modifiés, ils peuvent être dimensionnés, positionnés et transformés de différentes manières. Pour en savoir plus, consultez le chapitre 6,
« Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés », à la page 81.
Sélection d’une couleur de fond
Le fond le plus simple est une couleur couvrant toute la surface du Canevas et qu’il est
impossible de modifier, à part son niveau d’opacité. Mieux vaut envisager la couleur de
fond comme une propriété de projet, et non un élément déplaçable ou modifiable.
Par défaut, l’opacité du fond est de 0 % et le Canevas affiche alors un fond transparent
symbolisé par le modèle damier gris et blanc.
Réglages de fond dans la zone
de dialogue Propriétés du projet42 Chapitre 3 Ajout d’un fond
Pour choisir une couleur de fond :
1 Choisissez Édition > Propriétés du projet.
2 Cliquez sur le bouton Couleur dans la zone de dialogue Propriétés du projet.
3 Dans la fenêtre Couleurs, choisissez une couleur, puis fermez la fenêtre.
Remarque : assurez-vous de toujours fermer cette fenêtre après avoir sélectionné
une couleur.
4 Glissez le curseur d’opacité ou entrez dans le champ une valeur supérieure à 0 %.
Cliquez sur OK.
La couleur de fond apparaît dans le Canevas.
Ajout d’une texture de fond
Les textures LiveType créent des fonds animés et dynamiques. Elles sont aussi souvent
employées avec la fonction de remplissage, ce qui permet d’appliquer un remplissage
avec texture à du texte ou un objet. Reportez-vous au chapitre 5, « Manipulation de
texte », à la page 59 pour en savoir plus sur la création d’un remplissage.
Pour créer un fond texturé :
1 Cliquez sur l’onglet Textures dans le Navigateur média.
2 Explorez les catégories de textures et sélectionnez une texture.
3 Cliquez sur le bouton Appliquer à la nouvelle piste.
La texture remplit le Canevas et apparaît sous forme de piste de fond dans la Timeline.
Texture sélectionnée
Menu local Catégorie
Texture de fond (colorée
ou éclairée)Chapitre 3 Ajout d’un fond 43
Importation d’un film ou d’une image fixe comme fond
Vous pouvez importer des images ou des films d’autres sources et les utiliser comme
fonds pour votre projet de titre. Pour tous vos projets, utilisez l’un des éléments ci-après :
 une image ou un plan vidéo comme fond temporaire afin de définir avec exactitude
la position et la durée de l’action de vos titres ;
 un film à incorporer dans vos titres ;
 une image ou un graphisme statique.
LiveType peut importer des éléments de fond dans divers formats :
 AVI
 BMP
 DV
 GIF
 JPEG
 MPEG-2 et MPEG-4
 Photoshop
 PICS
 PICT
 PLS
À propos de la barre de fond
La couleur de fond se distingue des éléments de fond. Ces derniers sont présents
dans la Timeline et manipulables de diverses manières. Un projet peut comprendre
plusieurs éléments (ou aucun). L’unique façon de distinguer un élément de fond, qu’il
s’agisse d’un objet ou d’une texture LiveType, d’un film ou d’une image, consiste à
vérifier s’il se trouve en dessous de la barre de fond dans le Canevas.
Vous pouvez déplacer verticalement la barre de fond entre les pistes de la Timeline.
Le comportement de tous les éléments se trouvant en dessous de la barre de fond
dépend de l’option Rendre le fond de la zone de dialogue Propriétés du projet.
Barre de fond Texture de fond44 Chapitre 3 Ajout d’un fond
 PNG
 fichier d’images QuickTime
 film QuickTime
 SGI
 Targa
 TIFF
Pour importer un film de fond :
1 Choisissez Fichier > Placer un film en fond.
2 Recherchez et sélectionnez le fichier de séquence à placer et cliquez sur Ouvrir.
Remarque : lorsque vous importez un film de fond, les dimensions et la vitesse s’adaptent automatiquement. Il est conseillé de vérifier les Propriétés du projet lorsque vous
importez un nouveau film de fond.
Pour importer une image de fond :
1 Choisissez Fichier > Placer.
2 Recherchez et sélectionnez le fichier à placer dans le Canevas, puis cliquez sur Ouvrir.
3 Dans la Timeline, procédez de l’une des façons suivantes :
 Glissez la piste d’image en dessous de la barre de fond.
 Glissez la barre de fond au-dessus de la piste d’image.
Remarque : le placement d’une image ou d’un film à l’aide de l’option Fichier > Placer
est sans incidence sur la résolution et la vitesse du projet. En effet, l’image ou le film
respecte les attributs du projet.
Film de fond placéChapitre 3 Ajout d’un fond 45
Importation d’un film de fond avec des marqueurs
de chronométrage
Final Cut Pro vous permet d’enregistrer des films comportant des marqueurs de chronométrage, ce qui s’avère utile pour déterminer avec exactitude le chronométrage de vos
titres. Lorsque vous placez un film Final Cut Pro dans LiveType, les marqueurs apparaissent dans la règle de l’image de la Timeline. Les marqueurs ne sont pas déplaçables dans
la Timeline. Cliquez toutefois dessus pour déplacer la tête de lecture à l’image marquée.
Instructions de rendu du fond
Vous êtes libre de rendre ou non le fond de votre projet. Les réglages du fond de
la zone de dialogue Propriétés du projet (Couleur, Opacité et Rendre le fond) offrent
plusieurs options modifiant l’environnement de travail et le résultat final.
Si vous créez une animation indépendante, une bannière Web ou un composant multimédia, par exemple, il est préférable d’incorporer un fond complet comme élément de
votre film. Si vous créez une superposition de titres, il est le plus souvent inutile de
rendre le fond.
Prenez ce qui suit en compte :
 Pour inclure une image, un film ou une texture animée comme fond dans le film final,
conservez une opacité de couleur de 0 % et cochez la case Rendre le fond.
 Pour obtenir un fond d’une couleur unie opaque ou à moitié transparente, choisissez
une couleur et un niveau d’opacité et cochez la case Rendre le fond.
 Si vous ne voulez aucun élément de fond dans votre film final, désactivez la case Rendre
le fond. Vous pouvez alors effectuer ce qui suit :
 Importer un film ou une image comme fond pour référence de placement et de
chronométrage seulement, sans devoir l’incorporer au titre créé.
 Déterminer une couleur de Canevas autre que le modèle damier par défaut, selon
vos préférences de travail.
Marqueur importé en tant que
partie d’un film Final Cut Pro4
47
4 Manipulation de pistes
Pour toute création dans LiveType, vous devez maîtriser
le concept de pistes. Tout élément d’une composition de
titrage appartient à une piste, chacune d’elles pouvant
contenir une ou plusieurs lignes de texte, une image, un
film, un objet ou une texture animés.
Les pistes sont des « conteneurs » illustrés par des lignes bleu foncé dans le Canevas
et des barres correspondantes dans la Timeline. Une piste comporte toutes les informations sur son contenu :
 position, forme et ligne standard
 attributs tels que couleur, ombre, police et espacement
 effets et chronométrage48 Chapitre 4 Manipulation de pistes
Le présent chapitre explique comment les pistes sont déplacées et formées dans le
Canevas, ainsi que leur mode de manipulation dans la Timeline. Les trois chapitres
suivants exposent en détail l’application de texte, d’objets et d’effets à des pistes afin
d’assembler votre composition.
Piste videChapitre 4 Manipulation de pistes 49
Positionnement de pistes dans le Canevas
À la première ouverture de LiveType, le Canevas par défaut contient une piste vide avec
deux extrémités.
La forme d’une piste détermine l’interligne par défaut sur lequel se trouve son contenu.
Les pistes sont manipulables à tout moment, qu’elles contiennent ou non des éléments.
Si vous créez une piste sur laquelle placer du texte ou si vous voulez que le texte
s’adapte à une forme précise, il est préférable de modeler et de positionner la piste
avant d’ajouter ce dernier.
Pour positionner une piste :
m Pour déplacer une piste dans le Canevas ou l’en sortir partiellement, glissez-la.
Les pistes peuvent déborder des limites du Canevas, ce qui permet aux éléments
d’entrer et de sortir de la zone de visualisation.
Pour incliner ou redimensionner une piste :
m Glissez l’une des extrémités de la piste.
Remarque : maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous positionnez un élément
dans le Canevas afin d’en forcer la position horizontale, diagonale ou verticale. Cette
opération est valable pour les pistes, les extrémités, les objets et les caractères.
Piste active débordant
du Canevas
Extrémité
Limite du titre sécurisé
Limite de l’action sécurisée
Fond blanc du Canevas
Menu local Zoom
Canevas réglé sur 50 %
Pistes50 Chapitre 4 Manipulation de pistes
Création d’angles et de courbes
Les pistes peuvent suivre n’importe quel chemin linéaire. Vous pouvez également relier
les extrémités d’une piste afin que l’élément se déplace selon une boucle continue.
Pour créer un angle sur une piste, vous devez la doter d’un point de contrôle. Le nombre
de points de contrôle possibles sur une piste est illimité.
Pour créer un angle sur une piste :
1 En maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur la piste à l’endroit où vous
souhaitez créer l’angle, puis choisissez Ajouter un point de contrôle dans le menu
contextuel.
2 Glissez le nouveau point et les extrémités pour créer l’angle souhaité.
Les points de contrôle servent également à créer des courbes. Si vous connaissez les
courbes de Bézier, l’opération sera un jeu d’enfant. Dans le cas contraire, il est probable
que vous deviez recommencer plusieurs fois.Chapitre 4 Manipulation de pistes 51
Pour créer une piste courbe :
1 Répétez les étapes 1 et 2 précédentes.
2 En maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur le point de contrôle, puis
choisissez Courbe intérieure dans le menu contextuel.
3 Glissez la poignée de Bézier de manière à obtenir la courbe souhaitée.
4 En maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur le même point de contrôle,
puis choisissez Courbe extérieure dans le menu contextuel.
Une autre poignée apparaît et la courbe s’adoucit au point de contrôle.
Une poignée de Bézier
apparaît sous forme de
point sur la piste, près
du point de contrôle.52 Chapitre 4 Manipulation de pistes
Remarque : vous pouvez également appliquer une courbe à une extrémité. Dans ce
cas, seule l’une des deux options (Courbe intérieure ou Courbe extérieure) sera disponible car la piste part dans une seule direction à partir de ce point.
Liaison d’extrémités
Le paramètre Glisser, utile dans divers effets prédéfinis, permet au texte de se déplacer
le long d’une piste. Si les extrémités sont liées, le texte se déplace alors selon une boucle
continue. Reportez-vous au chapitre 7, « Manipulation d’effets et animation d’images
clés », à la page 89 pour en savoir plus sur les effets et les chemins d’animation.
Pour créer un chemin d’animation en forme de boucle continue, vous devez relier
les extrémités de la piste. Il est inutile que les extrémités se chevauchent. En fait, elles
peuvent être liées même si elles se trouvent de chaque côté du Canevas. La liaison
d’extrémités permet au texte ou aux objets de passer immédiatement de la fin au
début d’une piste (lecture en boucle) lorsqu’un effet utilisant le paramètre Glisser leur
est appliqué.
Pour relier les extrémités d’une piste :
m En maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur l’une des extrémités d’une piste,
puis choisissez Relier les extrémités dans le menu contextuel.
De la même façon, vous pouvez délier des extrémités.Chapitre 4 Manipulation de pistes 53
Ajout, copie et suppression de pistes
L’ajout de pistes au Canevas peut s’effectuer de plusieurs façons.
Pour ajouter une piste vide, procédez de l’une des façons suivantes :
m Choisissez Piste > Nouvelle Piste de texte (ou appuyez sur les touches Commande + T).
m Choisissez une police dans le Navigateur média puis sélectionnez Appliquer à la
nouvelle piste.
Il est parfois utile de créer une piste en double, identique à une piste déjà créée du
point de vue de la position, de la forme, du contenu, du chronométrage et des effets.
Pour créer un double de piste :
1 Sélectionnez la piste en question.
2 Choisissez Piste > Dupliquer la piste (ou appuyez sur les touches Commande + D).
Le double se superposant exactement à la piste d’origine, sa création ne peut se vérifier que par l’ajout d’une nouvelle piste dans la Timeline. La superposition de pistes
com-portant des éléments identiques mais des effets et paramètres différents permet
de produire des animations très sophistiquées. Séparez le double de la piste d’origine
pour que les deux soient visibles.
Pour supprimer une piste :
1 Sélectionnez la piste en question.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Choisissez Piste > Supprimer la piste.
 Appuyez sur la touche Suppr.
Vous pouvez également copier dans votre projet en cours une piste d’un autre projet,
tel qu’un modèle LiveType ou un projet créé auparavant.
Pour copier une piste d’un projet dans un autre :
1 Ouvrez les projets source et cible.
Un onglet apparaît pour chacun d’eux dans la Timeline.
2 Dans le projet source, sélectionnez la piste à copier puis choisissez Édition > Copier.
3 Cliquez sur l’onglet du projet cible dans la Timeline puis choisissez Édition > Coller.54 Chapitre 4 Manipulation de pistes
Manipulation de pistes dans la Timeline
Lorsque vous ajoutez des pistes dans le Canevas, elles apparaissent sous forme de
barres numérotées dans la Timeline. Si des effets sont appliqués aux pistes, ils apparaissent alors sous forme de barres non numérotées en dessous des pistes.
Réglage du chronométrage d’une piste
Lorsque vous ajoutez une piste au Canevas, elle commence par défaut à l’image désignée par la tête de lecture. La durée d’une piste varie en fonction de son contenu. Une
piste comportant du texte dans une police système ou une image statique dure par
défaut deux secondes. La durée d’une piste contenant quant à elle des données
LiveType ou tout film importé est fonction de la durée de ce dernier.
Pour modifier ces paramètres de base de chronométrage dans la fenêtre Timeline, il
suffit d’allonger ou de déplacer les barres de pistes. Vous pouvez également choisir un
retard et la durée dans l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur, à l’instar de nombreux
autres paramètres.
Piste 2
Piste 1
Piste 1
Piste 2Chapitre 4 Manipulation de pistes 55
Pour régler la durée d’une piste, procédez de l’une des façons suivantes :
m Glissez l’un des bords de la barre vers la droite ou vers la gauche.
Remarque : la modification de la durée des pistes contenant des films ou des données
LiveType entraîne celle de la vitesse à laquelle le film est lu. Si vous réduisez la durée
d’une piste LiveFont par exemple, celle-ci est lue plus rapidement.
m Sélectionnez la piste et procédez de l’une des façons suivantes :
 Pour un contenu statique, modifiez le paramètre Durée dans l’onglet Chronomé-
trage de l’Inspecteur.
 Dans le cas de films et de contenu animé, modifiez le paramètre Vitesse dans l’onglet
Chronométrage.
Si vous le souhaitez, vous pouvez faire apparaître le contenu de la piste après
la première image.
Pour retarder l’apparition d’une piste, procédez de l’une des façons suivantes :
m Cliquez à l’intérieur de la barre et glissez-la vers la droite.
m Sélectionnez la piste et déplacez le curseur Retard dans l’onglet Chronométrage
de l’Inspecteur.
Vous pouvez également repositionner plusieurs pistes à la fois, ce qui permet d’en
conserver la place relative au moment de changer leur temps de retard. Cette opération correspond à un glissement ripple.
Pour déplacer deux pistes ou plus à la fois dans la Timeline :
m Appuyez sur la touche Option et glissez la piste la plus à gauche (celle commençant
en premier) du groupe à déplacer.
Toutes les pistes à droite de celle sélectionnée (avec des heures de début ultérieures)
et les effets qui leur sont associés se déplacent en bloc.
Tête de lecture
Glissez l’une des extrémités
d’une piste pour en changer
la durée ou la vitesse.
Glissez une piste
pour changer son
heure de début.56 Chapitre 4 Manipulation de pistes
Couches et ordre des pistes
Sachant que des éléments du Canevas se chevauchent en permanence, il est important de gérer les couches de pistes. Lorsque vous créez une piste, elle devient toujours
la couche supérieure. Le contenu ajouté à cette piste se trouvera devant tous les autres
éléments du Canevas.
Remarque : dans la Timeline, les pistes sont affichées de l’avant vers l’arrière, la piste
1 étant en première position.
Pour changer la position avant/arrière de la piste, procédez de l’une des façons
suivantes :
m Cliquez à l’intérieur de la barre d’une piste dans la Timeline et déplacez-la verticalement vers une nouvelle position.
m Sélectionnez la piste à déplacer, que ce soit dans le Canevas ou dans la Timeline, puis
choisissez l’une des options du menu Disposition : Faire passer au premier plan, Faire
passer à l’arrière-plan, Avancer d’un plan [une couche] et Reculer d’un plan.
Les numéros de pistes changent pour refléter le nouvel ordre.
Piste 1 (couche
supérieure)
Boutons Activer/
DésactiverChapitre 4 Manipulation de pistes 57
Désactivation des pistes
Dans le fenêtre Timeline, vous pouvez désactiver des pistes et les effets qui leur sont
appliqués. Cette opération est utile pour réduire l’encombrement du Canevas et le temps
de rendu des aperçus si vous ne souhaitez visualiser que peu d’éléments. La désactivation d’éléments permet également de comparer diverses possibilités de conception.
Pour désactiver une piste ou un effet :
m Cliquez sur le bouton Activer/Désactiver juste à gauche d’une piste ou d’un effet dans
la Timeline.
La ligne bleue d’une piste désactivée demeure dans le Canevas mais son contenu n’y
apparaît plus, n’est plus représenté dans l’aperçu filaire animé de l’Inspecteur et n’est
pas rendu lors de la génération d’un aperçu ou du film final.
Regroupement de pistes
Il est souvent utile de regrouper deux pistes ou plus afin de conserver leurs positions
les unes par rapport aux autres dans le Canevas. Les pistes regroupées peuvent être
déplacées dans le Canevas mais restent solidaires. Dans le cas de piles de pistes, le
regroupement est le seul moyen de déplacer l’ensemble en un bloc.
Vous pouvez par exemple, vouloir créer un effet en deux couches, avec un mot disparaissant en fondu et révélant le même mot en dessous, doté d’une texture animée. Pour
ce faire, vous devez créer une piste se superposant exactement à celle d’origine à l’aide
de la commande Dupliquer la piste du menu Piste. Pour repositionner les pistes dans le
Canevas, vous devez alors les regrouper.
Pour regrouper deux pistes ou plus :
1 Assurez-vous que le Canevas comporte plusieurs pistes.
2 Sélectionnez-en une, dans le Canevas même ou dans la Timeline.
Il s’agit désormais de la piste active, le bouton de regroupement à son extrémité
gauche étant alors désactivé.
3 Cliquez sur le bouton de regroupement d’une autre piste.
L’icône de liaison apparaît et indique que la piste est associée à celle active
(sélectionnée à l’étape 2).
Piste active
Bouton de regroupement58 Chapitre 4 Manipulation de pistes
4 Dans le Canevas, déplacez l’une des pistes regroupées. Vous remarquez qu’elles se
déplacent ensemble.
5 Dans la Timeline, cliquez sur le bouton de regroupement d’une troisième piste.
Trois pistes sont à présent regroupées.
Pour dissocier des pistes :
m Sélectionnez l’une des pistes associées, puis cliquez sur son bouton de regroupement.
L’icône de liaison disparaît et les pistes peuvent alors se déplacer individuellement.
Remarque : même si les pistes regroupées conservent leur position relative, il est
possible d’en modifier et d’en déplacer le contenu. Si vous glissez une piste faisant
partie d’un groupe, les autres pistes du groupe la suivent. En revanche, si vous glissez
un glyphe se trouvant sur l’une des pistes du groupe, son déplacement est autonome.
Le paramètre Offset change, alors que la piste reste la même.5
59
5 Manipulation de texte
Les titres peuvent intégrer une série d’effets visuels, leur
fonction première restant toutefois l’affichage de texte.
Le présent chapitre explique comment insérer et formater
du texte, y compris comment manipuler individuellement les caractères d’une piste.
L’ajout de mouvement au texte (au-delà de l’animation propre aux LiveFonts) est traité
au chapitre 7, « Manipulation d’effets et animation d’images clés », à la page 89.
Insertion de texte
Comme tout élément du Canevas, le texte doit se trouver sur une piste. Trois méthodes
d’ajout de texte dans une police donnée sont possibles :
 Créez une piste, sélectionnez une police et ajoutez du texte à la piste.
 Créez une piste, ajoutez-lui du texte et appliquez ensuite une police.
 Commencez par choisir une police, cliquez sur le bouton Appliquer à la nouvelle
piste dans le Navigateur média et saisissez du texte.
Les étapes ci-après illustrent la première approche.
Pour ajouter du texte au Canevas :
1 Créez une nouvelle piste en choisissant Piste > Nouvelle piste de texte (ou appuyez
sur les touches Commande + T).
Remarque : une piste correspondante dans la Timeline apparaît.
2 Choisissez une police :
a Cliquez sur l’onglet LiveFonts ou Polices dans le Navigateur média. 60 Chapitre 5 Manipulation de texte
LiveType est livré avec un grand choix de polices LiveFonts. Cliquez sur le menu local
Catégorie pour accéder aux différents ensembles de polices LiveFonts, notamment
les LiveFonts d’autres fabricants et les polices personnalisées que vous pouvez créer.
b Sélectionnez une police système ou une LiveFont.
c Cliquez sur le bouton Appliquer.
3 Saisissez du texte dans la piste active en procédant de l’une des façons suivantes :
 Saisissez du texte dans l’une des zones de saisie de l’Inspecteur.
 Coupez et collez du texte d’une autre application dans une zone de saisie (le formatage depuis d’autres applications n’est pas conservé dans LiveType).
Remarque : si vous ajoutez du texte à une piste avant de choisir une police, il apparaît
dans le Canevas avec une police, une taille, une couleur et un espacement par défaut.
Pour changer la police d’une piste de texte :
1 Sélectionnez la piste de texte en question.
2 Choisissez une police dans l’onglet LiveFonts ou Polices du Navigateur média.
3 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Cliquez sur le bouton Appliquer.
 Double-cliquez sur le nom de la police.
Remarque : l’option Appliquer ne gère pas les différents types de contenu. Aussi ne
pouvez-vous pas appliquer une texture ou un objet à une piste comportant déjà du
texte. De la même façon, vous ne pouvez pas appliquer une police à une piste contenant une texture, un objet, une image ou un film.
Onglet LiveFonts Onglet Polices
Options d’application
de policesChapitre 5 Manipulation de texte 61
Plusieurs lignes de texte peuvent cohabiter sur une même piste. Vous pouvez ainsi créer
un élément textuel assez long et défini par un ensemble de paramètres. Dans le cas
d’un générique par exemple, il est possible de copier le texte dans un autre programme,
d’effectuer un copier/coller dans la zone de saisie, puis de lui appliquer la police et les
attributs avec un effet de défilement.
Pour appliquer une autre police système à une piste :
1 Créez une piste de texte comportant un ou deux mots dans une police système.
2 Sélectionnez un ou plusieurs caractères sur la piste en les mettant en évidence dans
la zone de saisie ou en les sélectionnant dans le Canevas.
3 Choisissez une police système, autre que celle déjà employée, dans l’onglet Polices
du Navigateur média.
4 Cliquez sur le bouton Appliquer au bas de l’onglet Polices.
LiveFonts et polices système
Les deux types de polices disponibles dans LiveType sont fort différents. Les LiveFonts
sont plus dynamiques car elles sont dotées d’animations complètes. Les polices
système en revanche ressemblent davantage à des ardoises blanches adaptables pour
obtenir diverses apparences. Les deux types de polices peuvent être transformés
grâce aux paramètres décrits dans ce chapitre, mais certains de ces paramètres n’ont
pas un grand intérêt visuel s’ils sont appliqués à des LiveFonts.
Remarque : le bouton Utiliser les réglages par défaut dans l’onglet Texte de l’Inspecteur restaure la plupart des attributs originaux des LiveFonts, des objets et des
textures, dont le chronométrage, la couleur, etc. Cette option s’avère notamment utile
pour revenir à l’état d’origine de ces éléments LiveType lorsque vous essayez diverses
combinaisons de formatage.
Les LiveFonts et les polices système présentent également d’autres divergences dans
LiveType :
 Vous pouvez appliquer deux polices système ou plus à la même piste, mais une
seule LiveFont.
 Les LiveFonts sont des films numériques et possèdent en cela des options de chronométrage que vous pouvez contrôler dans l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur.
Reportez-vous à la section « Réglage du chronométrage des LiveFonts » à la
page 62.
 Les polices système sont toujours basées sur des vecteurs, alors que les LiveFonts
peuvent être basées sur des trames ou sur des vecteurs. Il est donc possible
d’employer des LiveFonts d’une taille telle (plus de 500 points) que les bords ne
sont plus lisses.
 L’impact des LiveFonts sur les temps d’aperçus et de rendus est plus important.62 Chapitre 5 Manipulation de texte
Jeu de caractères LiveFont
Les LiveFonts incluses dans LiveType se composent de LiveType127 caractères pour
l’anglais, le français, l’allemand et l’espagnol :
Pour accéder à des caractères qui ne sont pas représentés sur votre clavier, utilisez le
Visualiseur de clavier, que vous pouvez sélectionner dans la fenêtre Menu saisie, après
avoir accédé à la fenêtre International des préférences Système.
Réglage du chronométrage des LiveFonts
Lorsque vous créez une piste de police système, sa durée par défaut est toujours de
deux secondes. Pour leur part, les LiveFonts sont de durées variables, comme le montre
la colonne du milieu dans l’onglet LiveFonts du Navigateur média.
Comme il s’agit de films, les LiveFonts sont fonction de plusieurs paramètres de
chronométrage disponibles dans l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur.
Aa Bb Cc Dd Ee Ff Gg Hh Ii Jj Kk Ll Mm Nn Oo Pp Qq Rr Ss Tt Uu Vv Ww Xx Yy Zz
! # $ % & ( ) , . < > @ + = : ; _ - ? “ ‘/ * 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9
Áá Àà Ââ Ää Çç Èè Éé Êê Ëë Îî Íí Ïï Ññ Ôô Öö Óó ß Üü Úú Ùù Ûû €
Réglages dans l’onglet
ChronométrageChapitre 5 Manipulation de texte 63
Réglages pour les LiveFonts dans l’onglet Chronométrage
 Aléatoire et Séquence : vous permet d’appliquer le film LiveFont à chaque caractère
de la piste dans un ordre différent, avec un délai variable entre chaque lettre.
 Vitesse : vous permet de lire le film LiveFont plus ou moins rapidement. Lorsque vous
changez la vitesse, la durée de la piste augmente ou diminue dans la Timeline. De la
même façon, si vous modifiez la durée de la piste dans la Timeline, le paramètre de
vitesse change dans l’onglet Chronométrage.
 Retard : vous permet de fixer l’heure de début de la piste.
 Boucle : détermine le nombre de fois que le film LiveFont est lu. Le réglage par défaut
est 1, c’est-à-dire qu’il n’y a qu’une seule lecture. La valeur 2 indique que le film est
lu deux fois. La durée de la piste est multipliée par deux, avec dans la plupart des cas
une valeur de boucle de 2.
Remarque : plusieurs LiveFonts, dont Burn Barrel, Cool et Gutter, profitent d’une
« animation segmentée » marquant les segments de début, de milieu et de fin du
film. Lorsque vous modifiez le paramètre Boucle pour ces polices, seul le segment
du milieu de l’animation passe en boucle.
 Durée : ne s’applique pas aux pistes LiveFont.
 Suspendre premier et Suspendre dernier : vous permet de faire apparaître la première
image de la LiveFont pour une durée donnée avant que la lecture du film ne
commence. L’option Suspendre dernier agit de la même façon, pour la dernière
image cette fois.
Formatage du texte
Une fois la police sélectionnée, vous disposez de multiples options de formatage disponibles via l’Inspecteur pour modifier l’apparence du texte. Lorsque vous changez les
paramètres de formatage, le contenu de la piste active change de façon dynamique
dans le Canevas, ce qui facilite vos tâches. Ces options peuvent s’appliquer à toute la
piste ou à un ou plusieurs caractères s’y trouvant.
Pour formater un élément dans le Canevas, vous devez d’abord sélectionner la piste
où il se trouve.64 Chapitre 5 Manipulation de texte
Pour sélectionner une piste entière, procédez de l’une des façons suivantes :
m Cliquez sur la ligne bleue dans le Canevas.
m Cliquez sur la piste correspondante dans la Timeline.
Remarque : si vous cliquez directement sur du texte, un cadre de délimitation se
dessine autour du caractère sur lequel vous avez cliqué et vos modifications n’affectent que ce dernier. Reportez-vous à la section « Modification de caractères
individuels » à la page 79.
Une fois la piste à formater sélectionnée, cliquez sur les onglets Texte, Style et Attributs
de l’Inspecteur pour indiquer les options d’alignement, de taille, de crénage, d’interligne
et de couleur.
Alignement, taille, crénage et interligne
Dans l’onglet Texte de l’Inspecteur, vous pouvez changer la taille, le crénage et l’interligne de la piste de texte, ainsi que son alignement horizontal et vertical. Les valeurs de
taille s’expriment en points, celles de crénage et d’interligne en pourcentage de l’espacement par défaut de la police.
Options de formatage
dans l’onglet Texte
de l’InspecteurChapitre 5 Manipulation de texte 65
 Alignement : les options d’alignement permettent la lecture horizontale ou verticale du
texte sur la piste. Les boutons d’alignement à gauche, au centre et à droite s’appliquent
aux deux orientations. La position de la piste n’est pas affectée par les réglages d’alignement. Les options d’alignement sont également importantes pour placer le texte
correctement lorsque la piste est utilisée avec un effet sollicitant le paramètre Glisser.
Par exemple, si vous souhaitez glisser du texte de gauche à droite, créez une piste
commençant du côté gauche du Canevas. Le texte doit être aligné à gauche pour
qu’il débute à l’extrémité gauche de la piste, en dehors du Canevas. Appliquez alors
l’effet Glisser à droite de la catégorie chemin d’animation.
 Dimensions : la taille du texte se change en glissant le curseur, en cliquant dans
la piste du curseur ou en entrant une valeur dans la case à droite du curseur.
Remarque : les LiveFonts étant des images à trame faites de pixels, leurs bords
perdent en précision dans de très grandes tailles (en général au-delà de 500 points).
Les polices système sont quant à elles vectorielles et conservent donc la même
qualité dans n’importe quelle taille.
 Crénage : le réglage de crénage permet de modifier l’espacement des caractères.
La valeur d’espacement normal est de 100 %. Un réglage de 110 % ajoute un petit
espace supplémentaire entre les lettres. Lorsque le crénage est de 0 %, tous les
caractères sont superposés.
 Interligne : il s’agit de l’espace entre la base d’une ligne de texte et la suivante.
Ce réglage ne s’applique qu’aux pistes comportant plusieurs lignes de texte, et non
à l’écart séparant des pistes. La valeur par défaut est de 100 %. Un interligne de 0 %
superpose toutes les lignes de texte d’une piste.66 Chapitre 5 Manipulation de texte
Couleur
Les options de couleur se trouvent dans la fenêtre Glyphe de l’onglet Attributs
de l’Inspecteur. La partie inférieure de l’onglet contient les contrôles de couleur.
 Couleur : le paramètre Couleur remplace les pixels de l’élément sélectionné par la
couleur indiquée dans la zone Couleur tout en conservant les mêmes valeurs de
luminosité. Un réglage de 100 % remplace complètement les couleurs existantes,
alors que celui de 20 % combine une partie de la nouvelle couleur avec celle
d’origine. Cliquez sur la zone Couleur pour en choisir une autre.
Remarque : une fois une couleur sélectionnée, fermez la fenêtre Couleurs. Vous
devez la rouvrir pour faire d’autres choix.
 Teinte, Saturation et Luminosité (HSL) : ces trois curseurs sont interdépendants pour
déterminer la couleur de l’élément sélectionné. La teinte définit, en degrés, le
changement de valeur de couleur sur un spectre de 360°. La saturation définit, en
pourcentage, l’intensité de la couleur. La luminosité définit, en pourcentage également, l’intensité selon un axe noir et blanc.
La couleur par défaut d’une police système est le noir, ce qui rend inutiles les curseurs
Teinte, Saturation et Luminosité. Les paramètres HSL et Couleur servent à modifier
des éléments basés sur des trames, tels que des LiveFonts, alors que des couleurs
doivent généralement être attribuées aux polices système et autres éléments basés
sur des vecteurs via la fonction Couleur.
 menu local Alpha : si vous avez un plan ou un graphisme importé dans une composition LiveType, vous pouvez choisir un type de canal alpha à partir de ce menu.
Choisissez entre Prémultiplier blanc, Prémultiplier noir ou Droit.
Réglages de couleurs
dans la fenêtre Glyphe
de l’onglet AttributsChapitre 5 Manipulation de texte 67
Pour modifier la couleur d’une police système :
1 Sélectionnez une piste contenant une police système noire.
2 Dans la fenêtre Glyphe de l’onglet Attributs, cliquez à l’intérieur de la zone Couleur
puis choisissez dans la fenêtre Couleurs une couleur (de préférence primaire et vive).
3 Optez pour un réglage de 100 %.
Le contenu de la piste prend cette couleur.
En général, les LiveFonts sont conçues avec des couleurs primaires, ce qui permet
d’utiliser les curseurs Teinte, Saturation et Luminosité, en plus du paramètre Couleur.
Transformation du texte
Au-delà du formatage standard du texte, LiveType permet d’appliquer de nombreux
autres traitements afin d’étirer, de rendre flou, de fondre, de repositionner et de faire
pivoter du texte. Toutes ces fonctions se trouvent dans la fenêtre Glyphe de l’onglet
Attributs.
Paramètres Glyphe
dans l’onglet Attributs
de l’Inspecteur68 Chapitre 5 Manipulation de texte
 Opacité : elle détermine dans quelle mesure le contenu sous-jacent est visible. Une
opacité de 0 rend le texte totalement transparent et, le plus souvent, un réglage de
100 le rend opaque. Lorsque l’attribut de flou est désactivé (valeur 0), un caractère
opaque à 50 % possède des bords nets et est légèrement transparent.
Remarque : LiveType permet de choisir des valeurs d’opacité supérieures à 100 %.
Elles peuvent s’avérer utiles avec des paramètres d’éclats (onglet Style) ou des LiveFonts et des éléments flous ou un peu transparents. Par exemple, la LiveFont Charge
laisse voir en partie le fond malgré une opacité de 100 %. À 150 % (valeur à entrer
dans le champ Opacité), la police laisse à peine entrevoir le fond.
 Flou : l’attribut de flou ressemble à celui d’opacité, sauf qu’il fond et étend les bords
externes comme si le texte était flou. Le flou peut s’appliquer, dans la même mesure
ou non, aux axes X et Y. Un réglage de 0 signifie que le flou est désactivé. La valeur
maximum est de 25.
 Échelle : l’échelle étire ou compacte le texte sur les axes X et Y, la valeur 100 correspondant à la taille du texte d’origine. Les paramètres d’échelle s’appliquent de façon
indépendante à chaque caractère autour de son point pivot, et non à la piste en
tant que bloc.
Remarque : contrairement au paramètre Échelle, le paramètre Taille de l’onglet Texte
agit sur le texte à partir de l’interligne et prend en compte le crénage.
Un glyphe dont la taille est
déterminée avec le paramètre
Dimensions conserve sa
ligne d’origine et s’aligne aux
caractères adjacents.
Un glyphe dont la taille est
déterminée avec le paramètre
Échelle s’étend autour de son
point pivot sans modifier la
position des autres glyphes
de la piste.Chapitre 5 Manipulation de texte 69
 Offset : ce réglage replace le texte à sa position d’origine sur la piste. Un décalage
de 0 ne suppose aucun changement de position sur cet axe.
 Rotation : grâce au disque de rotation, vous pouvez placer un élément dans la gamme
de 360° et configurer le nombre de tours dans le contexte d’un effet.
Par exemple, vous pouvez créer une première image clé à 45°, puis une autre à quatre
tours, plus 180°. Lorsque vous lisez le film, l’élément tourne quatre fois dans le sens
des aiguilles d’une montre, plus 135° entre ces deux images clés. Les valeurs positives
illustrent un mouvement dans le sens des aiguilles d’une montre, les valeurs négatives un déplacement en sens inverse. La manipulation d’images clés est présentée
en détail au chapitre 7, « Manipulation d’effets et animation d’images clés ».
Exemple de texte avec une
opacité de 35 % dans l’onglet
Attributs
Exemple de texte illustrant
les options de flou et d’échelle
dans l’onglet Attributs
Exemple de texte avec l’ombre
par défaut
Couleur de fond unie70 Chapitre 5 Manipulation de texte
Amélioration du texte avec des styles
L’onglet Style de l’Inspecteur fournit quatre options permettant d’enjoliver votre texte.
Les styles vous permettent d’ajouter de la profondeur à un texte (ou un objet) et de le
mettre en évidence. Pour ce faire, il est le plus souvent question de changer l’espace
autour de chaque caractère.
Les boutons Ombre, Éclat, Contour et Volume de l’onglet Style indiquent les réglages
disponibles pour ce traitement.
Ombre et éclat
Les styles Ombre et Éclat sont en fait deux variantes d’un même style et utilisent des
paramètres similaires pour des résultats assez différents.
 Caractère : ce réglage vous permet de rendre l’élément d’origine invisible en isolant le
traitement de style dans le Canevas. Cette opération peut s’avérer utile pour réduire
l’encombrement lors de la composition de votre traitement. Vous pouvez également
conserver l’élément d’origine invisible dans le produit fini.
 Activer : cette case à cocher permet d’activer ou de désactiver un style sans incidence sur les réglages choisis. Là encore, cette option est utile pour éliminer l’encombrement ou pour comparer des styles et combinaisons de styles divers.
 Couche : ce menu local vous permet de placer l’ombre ou l’éclat devant ou derrière
l’élément d’origine. Le réglage Seulement au premier plan cantonne l’effet d’ombre
ou d’éclat aux contours de l’élément d’origine, sans extension au-delà des bords des
lettres ou de l’objet.
Paramètres d’ombre dans
l’onglet Style de l’Inspecteur
Tout réinitialiser
Réinitialise les réglages
de déformationChapitre 5 Manipulation de texte 71
 Opacité : ce réglage définit l’intensité de l’ombre ou de l’éclat. Un réglage de 0 rend
l’ombre ou l’éclat totalement transparent (invisible), celui de 100 complètement
opaque (le fond ne se distingue pas). Si le flou est désactivé (valeur 0), une ombre
opaque à 50 % possède des bords nets correspondant à l’élément d’origine et tout
ce qui se trouve derrière elle se distingue à travers.
 Flou : ce paramètre s’apparente à celui d’opacité, sauf qu’il fond et étend les bords
externes comme si l’éclat ou l’ombre étaient flous. Un réglage de 0 signifie que le
flou est désactivé. La valeur maximum est de 25. Le flou s’applique aux axes X et Y
de façon indépendante. Un flou dans la direction Y donne une impression de déplacement vertical même si l’image est statique.
 Échelle : l’échelle étire ou compacte l’éclat ou l’ombre sur les axes X et Y, la valeur 100
correspondant à la taille de l’élément d’origine. Les paramètres d’échelle sont appliqués de façon indépendante à chaque caractère d’une piste, et non à l’ombre ou à
l’éclat en tant que bloc.
 Décalage : ce réglage repositionne l’ombre ou l’éclat par rapport à l’élément d’origine.
Un décalage de 0 ne suppose aucun changement de position sur cet axe.
 Couleur : cette zone permet de sélectionner la couleur de l’ombre ou de l’éclat.
 Déformation : cette zone permet d’étirer ou de reformer l’ombre ou l’éclat en glissant
les quatre angles, ou en insérant les coordonnées X et Y pour chacun d’eux. L’une des
possibilités de cette fonction consiste à étirer les ombres pour simuler différentes
situations d’éclairage.
Exemple de texte avec des options
d’éclat dans l’onglet Style
Exemple de texte avec un contour
et une ombre décalée agrandie
Exemple de texte avec le style
Volume
Couleur de fond unie72 Chapitre 5 Manipulation de texte
Contour
Ce style ajoute un contour au contenu d’une piste. Reportez-vous à la section antérieure pour connaître la définition des paramètres Opacité, Flou, Couleur et Déformation.
Cliquez sur le bouton Contour en haut de l’onglet pour modifier les réglages de contour.
 Épaisseur : cette valeur, qui détermine l’épaisseur du contour, est exprimée en pixels.
 Afficher contour seulement : cette option élimine l’élément d’origine et crée un effet
de contour qui rend le fond visible.
Remarque : cette option est employée avec le paramètre de caractère Visible. Sinon,
le contour et le caractère sont invisibles.
Paramètres de contour dans
l’onglet Style de l’InspecteurChapitre 5 Manipulation de texte 73
 Extrusion du contour : lorsque le texte a été vidé (voir ci-dessous), cochez cette case
pour étendre le contour autour de l’extrusion.
Volume
Les réglages de volume concernent la direction, la longueur et la couleur. Le réglage
de direction indique dans quel sens orienter le volume et celui de longueur, jusqu’à
quel point.
Exemple de texte avec les options
Afficher contour seulement et Extrusion
du contour dans l’onglet Style
Exemple de texte avec les options
d’échelle X et Y dans l’onglet Attributs
et doté d’un contour
Exemple de texte avec l’option de
caractère invisible et les styles Ombre
et Éclat dans l’onglet Style
Couleur de fond unie74 Chapitre 5 Manipulation de texte
 Durée totale: cette valeur est exprimée en pixels.
 Direction : cette valeur est exprimée en degrés, de 0 à 360.
 Couleur : cette case permet de sélectionner la couleur du volume.
Création d’un remplissage
Cette fonction de LiveType vous permet de révéler un élément du fond à travers un
élément du premier plan en « découpant » les couches intermédiaires. Lorsque vous
créez un remplissage, chaque pixel de l’élément au premier plan est remplacé par un
pixel correspondant de celui du fond. En d’autres termes, un remplissage s’apparente
à une fenêtre dans une autre couche.
LiveType vous offre trois options de création de remplissage se trouvant dans la fenêtre
Remplissage de l’onglet Attributs de l’Inspecteur. La première, intitulée Prélever dans
Fond, permet soit de remplir l’élément au premier plan avec un élément du fond, soit de
créer une fenêtre vide pouvant rester transparente lorsque vous rendez le film de titrage.
Pour créer un remplissage avec deux éléments :
1 Créez l’élément de fond en plaçant une texture, une image, un film ou un objet comme
couche inférieure dans la Timeline.
Reportez-vous au chapitre 3, « Ajout d’un fond », à la page 41 et au chapitre 6,
« Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés », à la page 81 pour en
savoir plus sur l’insertion de ce type d’éléments dans le Canevas.
2 Assurez-vous que le fond se trouve en dessous de la barre de fond dans la Timeline et
qu’aucun élément ne figure sous cette barre.
Barre de fond Texture de fondChapitre 5 Manipulation de texte 75
3 Créez une texture ou tout autre élément rendant le fond plus sombre.
4 Créez un élément au premier plan, à savoir du texte ou un objet que le fond doit
« remplir ».
5 Sélectionnez la piste au premier plan et cliquez sur le bouton Remplissage dans
l’onglet Attributs de l’Inspecteur.
6 Choisissez Fond dans le sous menu Prélever dans.
L’image de fond semble remplir l’élément au premier plan.
Pour créer une fenêtre dans un fond transparent :
1 Créez une texture ou toute combinaison d’éléments remplissant le Canevas.
Reportez-vous au chapitre 3, « Ajout d’un fond », à la page 41 et au chapitre 6,
« Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés », à la page 81 pour
en savoir plus sur l’insertion de textures et d’autres éléments dans le Canevas.
2 Créez un élément au premier plan, à savoir du texte ou un objet ayant la forme de
la fenêtre.
3 Si des éléments se trouvent en dessous de la barre de fond dans la Timeline, glissez
cette barre tout en bas (en dessous des éléments).
4 Sélectionnez la piste au premier plan et cliquez sur l’onglet Attributs de l’Inspecteur,
puis sur le bouton Remplissage.
5 Choisissez Fond dans le sous menu Prélever dans. 76 Chapitre 5 Manipulation de texte
Le Canevas transparent (ou couleur de fond si le choix est effectué dans la zone
de dialogue Propriétés du projet) semble remplir l’élément au premier plan.
Les deux autres options de remplissage, Prélever dans Film ou image et Prélever
dans Texture, sont différentes car le fond n’apparaît pas comme élément visible dans
la Timeline. Par ailleurs, il est inutile que le remplissage « transperce » la couche. À la
place, le contenu de la piste est simplement rempli avec l’image spécifiée.
Ces deux possibilités de remplissage font appel à des options d’échelle, de vitesse et de
séquence disponibles dans la fenêtre Remplissage. L’échelle modifie la taille de l’image
de fond, la vitesse définit la vitesse du film ou de la texture de fond et la séquence
permet de décaler le chronométrage du fond pour chaque lettre se trouvant sur la piste
au premier plan.
Remarque : lorsque vous remplissez un mot avec un film ou une image, LiveType
calcule la portion de l’image sous-jacente à chaque lettre pour donner l’effet d’une
véritable fenêtre dans une couche plus petite. Lorsque vous déplacez les lettres sur
la piste, leur contenu reste le même. Cette caractéristique peut donner un résultat
intéressant si vous appliquez un mouvement au texte, notamment si le remplissage
se fait avec un film.
Texture à l’échelle réduite
sur l’axe Y
Fond du Canevas
transparent
Piste de texte remplie
avec le fond transparentChapitre 5 Manipulation de texte 77
Pour remplir le contenu d’une piste avec une image ou un film :
1 Sélectionnez la piste contenant le texte ou l’objet à remplir avec une image ou un film.
2 Cliquez sur l’onglet Attributs de l’Inspecteur.
3 Sélectionnez Film ou Image dans le menu local Prélever dans de la fenêtre
Remplissage.
4 Recherchez le fichier dans la zone de dialogue Choisir séquence ou image, puis cliquez
sur Ouvrir.
Le contenu de la piste est rempli par le film ou l’image de fond.
Remarque : pour dévoiler une partie donnée de l’image ou du film dans votre élément
au premier plan, cette option n’est pas forcément appropriée car il est impossible de
modifier la position de l’image et de l’élément en question. Dans ce cas, vous devez
utiliser l’option Prélever dans Fond présentée auparavant, ce qui vous permet de positionner les deux composants indépendamment.
Piste de texte
remplie par un film78 Chapitre 5 Manipulation de texte
Pour remplir le contenu d’une piste avec une texture :
1 Sélectionnez une piste contenant le texte ou l’objet à remplir avec une texture.
2 Choisissez une texture dans le Navigateur média, puis cliquez sur Appliquer au remplissage.
La texture par défaut remplit le contenu de la piste active.
Remarque : un grand choix de remplissages est disponible dans l’onglet Objets du
Navigateur média dans le menu local Catégorie. Les zones bleues d’un remplissage
LiveType définissent la zone où s’effectuera la lecture de la texture. Le texte ou les
glyphe de la palette de caractères peuvent aussi être utilisés en tant que remplissages.
Remarque : les caractères individuels d’une même piste peuvent être remplis avec
différentes textures, séquences ou images. Reportez-vous à « Modification de
caractères individuels », à la section suivante.
Vous pouvez obtenir un résultat intéressant en associant la fonction de remplissage
et le style Contour.Chapitre 5 Manipulation de texte 79
Pour remplir le contour d’un élément invisible :
1 Créez ou sélectionnez une piste de texte.
2 Dans l’onglet Style de l’Inspecteur, cliquez sur le bouton Visible.
3 Dans ce cas, vérifiez que la case Activer n’est pas cochée pour les styles Ombre, Éclat
et Volume.
4 Cliquez sur le bouton Contour dans l’onglet Style et cochez la case Activer.
5 Cochez la case Afficher contour seulement et augmentez l’épaisseur du contour pour
qu’il soit assez épais.
6 Choisissez une texture pour remplir le contour, puis cliquez sur Appliquer
au remplissage.
Le contour est alors rempli avec la texture.
Modification de caractères individuels
Vous pouvez également affecter des attributs à des caractères d’une piste. Tous les
attributs abordés dans ce chapitre s’appliquent à un ou plusieurs caractères d’une
même piste.
Il s’agit d’une option importante de LiveType, car elle permet de repositionner des
caractères isolés (ou glyphes) sans modifier leur relation avec la piste.
Par exemple, ce type de modification permet de faire flotter un mot d’une phrase
au-dessus de la piste, de l’étendre et de lui attribuer un éclat, avant de le faire revenir à
la piste. Cette animation ne demande que très peu temps. De la même façon, plusieurs
caractères peuvent présenter des transformations similaires, l’un après l’autre.
Poignée de rotation
Poignée de redimensionnement
Tous les caractères appartiennent
à une même piste.
Cadre de délimitation du glyphe80 Chapitre 5 Manipulation de texte
Pour modifier un ou plusieurs caractères d’une piste, procédez comme suit :
1 Sélectionnez ou créez une piste contenant du texte.
2 Sélectionnez une ou plusieurs lettres en procédant de l’une des façons suivantes :
 Sélectionnez l’une des lettres dans le Canevas et, pour modifier plusieurs caractères
à la fois, maintenez la touche Maj enfoncée lorsque vous cliquez sur d’autres lettres
adjacentes. Un cadre de délimitation se dessine autour de la ou des lettres sélectionnées, avec une poignée à chaque coin supérieur.
 Mettez en évidence une ou plusieurs lettres dans l’une des zones de saisie de l’Inspecteur. Des cadres de délimitation apparaissent autour des lettres sélectionnées dans le
Canevas.
 Maintenez le bouton gauche de la souris enfoncée et glissez celle-ci pour faire apparaître un cadre de sélection autour d’une ou plusieurs lettres dans le Canevas. Toute
lettre en contact avec ce cadre est sélectionnée et possède un cadre de délimitation.
3 Cliquez à l’intérieur du cadre de délimitation et glissez la lettre n’importe où dans
le Canevas.
4 Glissez la poignée du coin supérieur gauche pour faire pivoter la lettre.
5 Glissez la poignée du coin supérieur droit pour changer la taille de la lettre.
Remarque : vous pouvez restaurer la taille et la position d’origine en choisissant
Disposition > Réinitialiser la position.
6 Changez les attributs de la lettre dans l’onglet Attributs ou Style de l’Inspecteur.
7 Cliquez dans le Canevas, en dehors de la piste.
Le cadre de délimitation autour du caractère disparaît, mais la piste demeure
sélectionnée.
8 Replacez la piste dans le Canevas et modifiez-en les attributs.
Remarque : ces modifications portent sur toute la piste, y compris la lettre que vous
venez de changer.
Désactivation de polices dans Mac OS X
Dans la version 10.3 de Mac OS X, vous pouvez utiliser l’application Font Book pour
désactiver les polices. Toutefois, LiveType nécessitant certaines polices (Geneva et
Helvetica), celles-ci ne devraient pas être désactivées. Si vous les désactivez, il se peut
que LiveType ait un comportement imprévisible. 6
81
6 Manipulation d’objets, de
textures et d’éléments importés
Les mots sont souvent les éléments clé des compositions
de titrage, mais toutes sortes de composants
supplémentaires viennent les encadrer, les améliorer
et les compléter.
Dans le présent guide, trois catégories d’éléments sont relevées :
 Objets inclus dans LiveType
 Textures incluses dans LiveType
 Les images statiques et les films provenant d’autres sources
Tous ces éléments se modifient et se déplacent de la même façon dans le Canevas.
Contrairement au texte, ils ne se trouvent pas sur une piste linéaire, sauf si vous ajoutez
plusieurs objets identiques à une piste (voir la section « Création de chaînes ou de piles
d’éléments » à la page 86). Si vous les sélectionnez, un cadre de délimitation apparaît
comme lorsque vous sélectionnez un caractère sur une piste de texte. Les deux angles
supérieurs des cadres de délimitation sont dotés de poignées de rotation et de
dimensionnement. 82 Chapitre 6 Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés
Manipulation d’objets LiveType
Dans LiveType, les objets sont des éléments graphiques possédant un canal alpha
et conçus pour encadrer du texte ou le mettre en valeur. La plupart sont animés et,
comme les LiveFonts, il est possible de les redimensionner, de les faire pivoter, de
leur appliquer de la couleur et de les étirer. Par ailleurs, vous pouvez leur ajouter une
ombre, un éclat ou un volume. Vous pouvez également appliquer des effets aux objets.
Les objets placés dans le Canevas sont symbolisés par des pistes dans la Timeline,
comme tous les autres éléments de titrage.
Pour ajouter un objet LiveType au Canevas :
1 Cliquez sur l’onglet Objets dans le Navigateur média.
2 Explorez les catégories d’objets visibles dans le menu local Catégorie, puis sélectionnez un objet dans la colonne Nom de l’onglet Objets.
3 Cliquez sur le bouton Appliquer à la nouvelle piste.
L’objet apparaît dans le Canevas ; une piste correspondante apparaît dans la Timeline.
Objets LiveType disponibles
dans le Navigateur médiaChapitre 6 Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés 83
Manipulation de textures LiveType
Les textures de LiveType sont des motifs colorés animés pouvant être utilisés en tant
que fond partiel ou plein écran, ou en tant que remplissage animé lorsqu’ils sont
couplés à la fonction remplissage, décrite dans le chapitre 5, « Manipulation de texte »,
à la page 59. Les textures sont facilement adaptables et peuvent être transformées de
la même manière que peuvent l’être les objets, particulièrement si la taille de la texture
est réduite pour couvrir uniquement une partie du Canevas.
Pour ajouter une texture au Canevas :
1 Cliquez sur l’onglet Textures du Navigateur média.
2 Explorez les catégories de textures affichées dans le menu local Catégorie et sélectionnez une texture dans la colonne Nom de l’onglet Textures.
3 Cliquez sur le bouton Appliquer à la nouvelle piste au bas de l’onglet Textures.
La texture remplit le Canevas et une piste apparaît dans la Timeline, juste au-dessus
de la barre de fond.
Textures disponibles
dans le Navigateur
média84 Chapitre 6 Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés
Importation de graphismes, d’images et de films
Des éléments graphiques de formats variés peuvent être intégrés à un projet LiveType.
Par ailleurs, des images, photos et illustrations scannées ainsi que des séquences et
des animations peuvent être employées dans votre composition de titrage. À l’instar
des objets et des textures, ces éléments graphiques peuvent être modifiés et placés à
votre guise.
LiveType peut importer des éléments dans des formats très variés.
Pour importer un graphisme, une image ou un film :
1 Choisissez Fichier > Placer.
2 Recherchez le fichier, sélectionnez-le et cliquez sur Ouvrir.
L’élément apparaît dans le Canevas et une piste correspondante apparaît dans
la Timeline.
Formats d’importation LiveType
AVI JPEG PICT séquence QuickTime
BMP MPEG-2 et MPEG-4 PLS SGI
DV Photoshop PNG Targa
GIF PICS fichier d’image
QuickTime
TIFF
Film importé, redimensionné,
avec rotation
Texture LiveType redimensionnée,
avec rotationChapitre 6 Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés 85
Transformation d’objets, de textures et d’éléments
importés
Les éléments importés peuvent être placés, modifiés et animés aussi facilement que
du texte. Vous pouvez par exemple faire rebondir une photo dans le Canevas, lui appliquer un fondu entrant ou sortant, la faire grossir ou rapetisser, ou encore la doter
d’une teinte pourpre.
Redimensionnement et positionnement d’objets, de textures
et d’éléments importés
Lorsque vous placez un film ou une texture dans le Canevas, sa position est par défaut
verrouillée. Ces types d’éléments sont souvent utilisés comme fonds remplissant l’écran
et ne requérant pas de changement de taille ni de position. Si vous souhaitez les modifier, il est facile de les déverrouiller.
Pour déverrouiller la position d’une texture ou d’un film importé :
1 Sélectionnez la piste à déverrouiller (il est parfois plus facile de réaliser l’opération dans
la Timeline).
2 Choisissez Disposition > Verrouiller la position.
La marque en regard de Verrouiller la position disparaît et les poignées du cadre de
délimitation autour de l’élément sont désormais actives.
Lorsque vous sélectionnez un élément non textuel dans le Canevas, un cadre de délimitation apparaît autour, identique à celui d’un caractère individuel sur une piste de
texte. Si vous sélectionnez un élément plein écran, il est plus facile d’en voir le cadre
de délimitation en effectuant un zoom arrière dans le Canevas.
Pour redimensionner, faire pivoter et repositionner un élément non textuel
dans le Canevas :
m Glissez le cadre de délimitation ou ses poignées (dans les coins supérieurs gauche
et droit).
Les éléments non textuels peuvent également être transformés avec les attributs
disponibles pour les caractères : ombre, couleur, flou, etc.86 Chapitre 6 Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés
Création de chaînes ou de piles d’éléments
D’une certaine façon, LiveType aborde les textures, les objets et les éléments importés
comme des types de glyphes ou des caractères. Plus précisément, les éléments individuels sont traités comme des polices dont le jeu de caractères se compose d’un glyphe
unique.
Vous pouvez ainsi effectuer une opération inhabituelle dans LiveType :créer des chaînes,
ou plusieurs copies, de ces éléments, ce qui équivaut en fait à une piste de texte. Tout
ce que vous pouvez faire avec une lettre est également valable avec des objets, des
textures et des éléments importés.
Remarque : les objets ne peuvent toutefois pas être formatés sous forme de lignes
multiples sur une piste.
Pour créer une chaîne d’éléments sur une piste :
1 Ajoutez un objet, une texture ou un élément importé au Canevas.
2 Donnez à l’objet une taille suffisamment petite pour le copier en plusieurs exemplaires
dans le Canevas :
a Cliquez sur l’onglet Attributs de l’Inspecteur puis sur le bouton Glyphe.
b Assurez-vous que l’icône de verrou en regard des curseurs Échelle est fermé pour
que la mise à l’échelle soit proportionnelle. S’il n’est pas fermé, cliquez sur l’icône
pour le verrouiller.
c Déplacez les curseurs Échelle ou entrez une valeur dans l’un des champs Échelle.
Un graphisme importé
et copié sur une pisteChapitre 6 Manipulation d’objets, de textures et d’éléments importés 87
3 Cliquez dans la zone de saisie située dans le coin supérieur gauche de l’Inspecteur.
Vous remarquez que la fenêtre comporte une seule puce symbolisant l’objet sous
forme de glyphe.
4 Lorsque le curseur clignote dans la zone de saisie, appuyez sur la barre d’espace ou
sur toute autre touche.
Une autre puce apparaît dans la zone de saisie et deux objets identiques se trouvent
sur une piste linéaire dans le Canevas. Ajoutez autant d’objets que désiré.
5 Modifiez l’alignement dans l’onglet Texte de l’Inspecteur, ainsi que tous les autres attributs applicables à une chaîne de lettres, y compris le formatage d’éléments individuels
sur la piste.
Modification des attributs et des styles
De la même façon que des éléments non textuels peuvent être traités comme des
glyphes, il est possible de leur affecter les mêmes styles et attributs disponibles pour
du texte. Le chapitre 5, « Manipulation de texte », à la page 59 décrit toutes les transformations disponibles dans l’Inspecteur.
Vous pouvez procéder comme suit dans le cas d’une image numérique ou d’un film :
 Réduisez la taille de l’image, placez-la dans le Canevas et faites-la pivoter de 20° à
l’aide des commandes Échelle, Décalage et Rotation de la fenêtre Glyphe de l’onglet
Attributs (dans l’Inspecteur).
 Ajoutez une ombre, un contour ou un volume à l’image grâce aux fonctions Style.
 Changez la couleur de l’image à l’aide des commandes Couleur de la fenêtre Glyphe
de l’onglet Attributs (dans l’Inspecteur).
 Appliquez un effet prédéfini à l’image ou animez-la en concevant un effet personnalisé. Le chapitre 7, « Manipulation d’effets et animation d’images clés », à la page 89
explique comment procéder.
D’autres éléments importés (logos, dessins, graphismes) sont encore plus facilement
adaptables. Ils peuvent se prêter à un remplissage, un éclat, un flou, voire un contour
où l’élément d’origine est rendu invisible. Les possibilités sont illimitées.
Remplacement de données dans une piste
À tout moment, vous pouvez facilement remplacer un film ou une image sur une piste
de la Timeline.
Pour remplacer un film ou une image par un nouveau contenu :
1 Cliquez sur la piste, tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez >
Relier les données dans le menu contextuel.
2 Allez vers le nouveau fichier dans la zone de dialogue Ouvrir, puis cliquez sur Ouvrir.
Le média existant est remplacé par la nouvelle séquence ou la nouvelle image.7
89
7 Manipulation d’effets
et animation d’images clés
Grâce aux effets, les éléments du Canevas se déplacent
et se transforment. Ils s’apparentent à des « paquets »
d’animation contenant les paramètres qui déterminent
l’animation et le chronométrage, ainsi que les attributs
des éléments de chaque image.
Les idées fondamentales relatives aux effets sont les suivantes :
 Toutes les animations et transformations intégrées au titrage sont contrôlées par
des effets, qu’ils soient de votre propre création ou déjà préconfigurés dans LiveType.
 Les effets sont appliqués à des pistes. Ils apparaissent dans la Timeline sous forme
de barres sous la piste à laquelle ils correspondent.
 Plusieurs effets sont applicables à une même piste, y compris de façon simultanée.
 Vous pouvez modifier un effet après son application à une piste et enregistrer un
effet modifié afin qu’il soit disponible pour d’autres pistes et projets.
 Lorsque les paramètres d’une piste et d’un effet sont incompatibles, ceux de l’effet
l’emportent. Par exemple, si un effet désactive le style Éclat, les réglages d’éclat de
la piste sont sans incidence.
 Lorsque les paramètres d’une piste et d’un effet sont complémentaires, ils se combinent. Par exemple, si vous appliquez à une piste d’une opacité de 50 % un effet
possédant la même valeur, l’opacité dans le Canevas sera de 25 %, soit la moitié
de celle de la piste.
 Vous pouvez modifier ou créer un effet en dehors de l’interface LiveType. Les
instructions d’écriture de code EffectScript se trouvent à l’annexe B, « Création et
modification d’EffectScripts », à la page 139.
 Les effets peuvent être appliqués à des caractères individuels sur une piste et gérés
à partir de l’onglet Effets dans l’Inspecteur.90 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés
Effets prédéfinis
Le tableau ci-dessous donne la liste des 41 effets prédéfinis disponibles dans LiveType.
Ces effets sont situés dans l’onglet Effets du Navigateur média.
Application d’effets prédéfinis
Les effets prédéfinis dans LiveType rendent vos titres plus percutants et peuvent servir
à déterminer le ton de votre composition. Explorez les effets disponibles dans le Navigateur média pour vous faire une meilleure idée des résultats possibles.
Pour appliquer un effet prédéfini à une piste :
1 Créez une piste contenant du texte ou tout autre type d’élément. Veillez à ce que la
piste soit active.
2 Cliquez sur l’onglet Effets dans le Navigateur média.
Le menu local Catégorie présente les catégories d’effets installés correspondant aux
sous-dossiers situés dans /Bibliothèque/Application Support/LiveType/Effects.
Effets LiveType
Caricature
 Renversant
 Compression à
rebonds
 Rebond
 Rebondissant
 Élastique
 Essorage rapide
Fondus
 Cluster
 Premier plan
 Amoncellement
Fantaisie
 Envolée
 Dispersion
 Dilatation
 Idées
 Invention
 Au revoir
 Axe vertical
Éclats
 Éclat bleu
 Combustible
 Exhalation
 Dédoublé
 Impression
 Éclair entrant
 Éclair sortant
 Forme
 Paix
 Lever de soleil
 Défilé
 Spectral
 Zappeur
Grunge
 Parasites
Mécanique
 Assemblage
 Scie circulaire
 Extinction de
téléviseur
Chemin
d’animation
 Départ
 Fuite
 Séparation
 Chute aléatoire
 Glissade en
suspension
 Canal d’air
Ombré
 Arrêt au stand
Zooms
 BelvédèreChapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 91
3 Choisissez un effet dans la colonne Nom de l’onglet Effets.
L’aperçu du navigateur illustre l’effet, la colonne Durée affiche sa longueur par défaut
et le champ Description répertorie des notes sur le meilleur moyen d’appliquer l’effet.
4 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Sélectionnez le nom de l’effet et cliquez sur Appliquer.
 Double-cliquez sur l’effet.
 Faites glisser l’effet dans l’onglet Effets de l’Inspecteur.
Lorsque vous appliquez un effet, une barre portant le nom de l’effet apparaît sous
la piste active de la Timeline.
Si l’effet suppose une animation, vous voyez immédiatement le mouvement dans
l’aperçu filaire animé de l’Inspecteur.
Selon la position de la tête de lecture dans la Timeline, les changements observables
dans le Canevas sont variables. Déplacez la tête de lecture pour voir l’évolution des
éléments à différents points ou cliquez sur le bouton Lecture dans le Canevas pour
observer un rendu RAM.
L’effet apparaît également dans l’onglet Effets de l’Inspecteur. L’onglet Effets présente
une liste des effets appliqués à une piste. L’ordre est sans incidence sur la séquence ou
le chronométrage d’un effet.
L’onglet Effets
du Navigateur média92 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés
Pour désactiver un effet :
m Cliquez sur le bouton Activer/Désactiver dans la Timeline, en regard de l’effet.
Pour désactiver un effet pour un ou plusieurs glyphes d’une même piste :
1 Sélectionnez la piste.
2 Sélectionnez le ou les caractères auxquels il ne faut pas appliquer l’effet en les mettant
en évidence dans la zone de saisie ou en les sélectionnant dans le Canevas.
Sachant qu’il est impossible de sélectionner en même temps des caractères non
adjacents, vous devrez éventuellement répéter ces étapes.
3 Dans l’onglet Effets de l’Inspecteur, décochez la case en regard de l’effet à désactiver
pour les caractères sélectionnés.
Réglage du chronométrage d’un effet
Tous les paramètres de chronométrage applicables aux pistes contenant des données
LiveType sont également valables pour les effets.
Les éléments du Canevas reflètent
l’image en cours, indiquée par la
position de la tête de lecture.
L’onglet Effets de l’Inspecteur
montre les effets appliqués
à la piste active.
Des effets prédéfinis
sont appliqués à partir
de l’onglet Effets du
Navigateur média.
Tête de lecture Effects PisteChapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 93
Tout comme les pistes, vous pouvez glisser un effet dans la Timeline pour changer son
point de départ et sa durée. Les réglages de l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur
conditionnent l’application d’un effet à chaque lettre d’une piste, sa vitesse d’exécution
et le nombre de fois où il est répété.
L’onglet Chronométrage présente une série d’options permettant de choisir le mouvement des éléments du Canevas. Les réglages de cet onglet concernent l’effet
sélectionné dans la Timeline.
Pour modifier les paramètres de chronométrage d’un effet :
1 Dans la Timeline, sélectionnez un effet appliqué à une piste.
2 Cliquez sur l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur.
Les paramètres de chronométrage pour l’effet sélectionné sont présentés.
L’onglet Chronométrage présente les options suivantes :
 Aléatoire : avec cette option, un effet traite chaque caractère d’une piste de façon
distincte, contrairement aux paramètres s’appliquant à une piste dans son intégralité. Ainsi, l’effet transforme chaque caractère dans un ordre aléatoire et les sépare
par un nombre donné d’images ou de secondes. Le champ Graine permet de sélectionner jusqu’à 255 autres ordres aléatoires si celui choisi ne vous plaît pas.
L’onglet Chronométrage
de l’Inspecteur94 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés
 Séquence : avec cette option, un effet commence par transformer un caractère, puis
passe au suivant, et ainsi de suite. La valeur 0 indique que l’effet est lu simultané-
ment pour tous les caractères. Avec une valeur de 25, la transformation du premier
caractère commence, et lorsque l’effet est à 25 % de la transformation, il passe au
caractère suivant, et ainsi de suite. Le menu local Début sous le curseur Séquence
détermine le sens de lecture de la séquence.
 Vitesse : vous pouvez modifier la vitesse d’un effet en saisissant un pourcentage
de celle par défaut. Plus un effet est rapide, plus sa durée est courte. Le menu local
Début sous le curseur Vitesse permet de lire l’effet à l’envers.
 Retard : ce réglage définit l’heure de début et de fin de l’effet par rapport au début
ou à l’extrémité de la piste. Il offre une alternative au placement d’un effet directement dans la Timeline.
 Boucle : ce réglage détermine le nombre de fois que l’effet est répété. Une valeur de
2 double la durée de l’effet. La case Jusqu’à la fin lit l’effet en boucle continue sur la
durée de la piste.
 Durée : ce réglage gère la durée d’une piste contenant un texte dans une police
système ou tout autre élément statique. La durée des effets et des pistes contenant
des éléments dynamiques (plan vidéo, LiveFont) se change à l’aide du curseur Vitesse.
 Suspendre premier : cette option permet aux paramètres de la première image d’un
effet d’être conservés pour la période de temps précédant le début de l’effet. Par
exemple, si vous voulez appliquer un fondu sortant à une piste après deux secondes, choisissez de suspendre pendant deux secondes (la piste est alors invisible,
c’est-à-dire d’une opacité nulle) avant que l’effet Fade In ne commence.
 Suspendre dernier : le fonctionnement est identique à l’option précédente, sauf qu’elle
agit à la fin d’un effet afin d’étendre les paramètres de l’image finale pendant un
temps donné.
Pour modifier le chronométrage d’un effet dans la Timeline, procédez de l’une
des façons suivantes :
 Glissez l’effet au milieu de la barre (mais pas sur une image clé) afin de le positionner
sans en changer la vitesse. La valeur Retard est alors modifiée, comme le montre
l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur.
Remarque : vous pouvez positionner un effet afin de l’étendre au-delà des limites
d’une piste, auquel cas ses paramètres externes ne sont pas utilisés.
 Glissez l’un des bords de l’effet pour en modifier la vitesse. Un effet plus court
s’exécute plus rapidement.
Le redimensionnement à partir du bord gauche d’un effet, dont la valeur Lecture
temporisée est Depuis le début, modifie la vitesse et le délai de l’effet en question.
Il en va de même à partir du bord droit d’un effet dont la valeur est Depuis la fin.Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 95
Repositionnement de groupes d’effets à l’intérieur d’une piste
pour régler le chronométrage
Si vous avez des effets multiples sur une seule piste, vous pouvez les déplacer à l’unisson
pour régler leur chronométrage.
Pour repositionner des groupes d’effets au sein d’une piste :
m Dans une piste ayant des effets multiples, maintenez la touche Option enfoncée tout
en faisant glisser un seul effet.
Les effets se déplacent à l’unisson vers le haut ou vers le bas de la Timeline. Tous les
effets sur la piste conservent leurs positions relatives mais apparaissent simplement
plus tôt ou plus tard.
Changer l’ordre des effets
Dans une piste comprenant plusieurs effets, vous pouvez modifier l’ordre (la position)
d’un effet en le faisant glisser verticalement. Si l’effet contient des informations de
chronométrage, il est possible d’ajuster sa position dans la nouvelle piste.
Pour modifier l’ordre d’un effet :
m Faites glisser l’effet vers le haut ou vers le bas sur la piste.
L’ordre des effets est désormais modifié.
Duplication des effets et des pistes
Vous pourrez facilement dupliquer les effets et les pistes, voire dupliquer un effet d’une
piste à l’autre.
Pour dupliquer un effet ou une piste :
Dans la Timeline, faites glisser l’effet ou la piste à son nouvel emplacement ou nouvelle
piste en maintenant la touche Option enfoncée. Le fait de maintenir la touche Option
enfoncée pendant que vous glissez un effet permet d’en faire une copie sur une
nouvelle piste d’effets.
Modification d’un effet prédéfini
Outre la modification des paramètres de chronométrage d’un effet, vous pouvez
changer le principe de l’effet, à savoir comment il transforme la piste concernée.
La modification d’un effet employé dans votre projet n’affecte pas l’effet prédéfini
d’origine. Une fois l’effet appliqué, vous pouvez le modifier, ces changements étant
enregistrés dans le projet.96 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés
Images clés et marqueurs de séquence
L’animation sur ordinateur se fonde sur le concept d’images clés. Les créateurs d’animations fixent les paramètres de l’élément graphique (position, couleur, taille, forme, etc.)
à des intervalles réguliers, le logiciel interpolant ces paramètres pour chaque image
intermédiaire.
Dans la Timeline, les images clés sont symbolisées par des marqueurs en forme de
losange dans les effets. Lorsque vous sélectionnez une image clé, la tête de lecture
s’y déplace et le Canevas affiche l’état des éléments du projet à ce point précis.
Pour afficher les paramètres définis par une image clé :
1 Sélectionnez l’image clé dans la Timeline.
2 Cliquez sur l’onglet Effets dans l’Inspecteur.
Les paramètres définis par cette image clé apparaissent dans la fenêtre Paramètres actifs.
L’effet Clockwise, par exemple, possède un seul paramètre actif pour ses images clés.
Quels que soient les attributs d’une piste ou d’autres effets pouvant l’affecter, l’effet
Clockwise ne s’attache qu’à faire pivoter les lettres sur une piste. Le paramètre de chronométrage de séquence applique la rotation à chaque caractère de la piste, l’un après
l’autre et de gauche à droite.
Les marqueurs de séquence, les lignes verticales se trouvant dans la zone de couleur
violet clair d’une barre d’effet, signalent quand l’effet commence à agir sur chaque
glyphe. Le nombre de marqueurs de séquence, qui inclue la première image de l’effet
et l’image clé de début (demi-losanges), est toujours égal au nombre de glyphes sur
la piste.
Remarque : tous les effets ne suivant pas une lecture séquentielle ou aléatoire, certains
ne possèdent pas de marqueurs de séquence.
Marqueur de
séquence
Image cléChapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 97
Modification des paramètres d’image clé
Pour changer l’action d’un effet, vous devez en modifier les images clés. L’onglet Effets
vous permet de changer les paramètres d’un effet en saisissant des valeurs numériques.
Il est toutefois plus facile d’apporter des modifications de façon visuelle, via l’interface
LiveType.
Pour modifier une image clé en changeant des paramètres dans l’Inspecteur :
1 Sélectionnez une image clé dans la Timeline.
La tête de lecture passe sur l’image clé et le Canevas montre l’apparence de la composition à cette image.
Remarque : si vous modifiez un paramètre d’effet lorsque la tête de lecture ne se
trouve pas sur une image clé, une nouvelle image clé est ajoutée à la position de
la tête de lecture.
2 Modifiez les attributs de la piste.
Les indicateurs LED dans l’Inspecteur montrent les attributs modifiables dans le contexte
d’un effet, tous se trouvant dans les onglets Texte, Style et Attributs de cette fenêtre.
3 Cliquez sur le bouton Lecture dans le Canevas pour observer les résultats de votre
modification.
Indicateurs LED
apparaissant lorsqu’un
effet est sélectionné.98 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés
Pour modifier une image clé en changeant les paramètres dans le Canevas :
1 Sélectionnez une image clé dans la Timeline.
2 Cliquez sur une lettre ou un objet pour afficher son cadre de délimitation.
3 Manipulez le glyphe sélectionné pour en changer la position, la rotation ou l’échelle.
Lorsque vous glissez le glyphe, le mot entier se déplace et un chemin d’animation
se dessine en pointillés. Chaque point correspond au point pivot de la lettre sélectionnée pour chaque image du film. Si vous sélectionnez une autre lettre, un chemin
d’animation légèrement différent apparaît, illustrant la position centrale de la lettre
dans chaque image.
4 Cliquez sur le bouton Lecture dans le Canevas pour observer les résultats de votre
modification.
Indicateurs LED dans l’Inspecteur
Lorsque vous sélectionnez un effet ou une image clé, les onglets Texte, Style et Attributs de l’Inspecteur présentent des petits voyants ronds (LED) à gauche de tous les
attributs modifiables dans un effet. Les LED jouent trois rôles :
 Ils indiquent les paramètres de l’onglet actifs dans l’effet sélectionné, ce qui vous
permet de voir immédiatement les valeurs pertinentes.
 Ils permettent d’activer un nouveau paramètre pour un effet.
 Ils servent à appliquer un attribut de façon identique à toutes les images clés dans
l’effet. Vous pouvez ainsi réaliser des changements globaux sans devoir sélectionner
et modifier individuellement chaque image clé.
Pour appliquer un attribut de façon identique à toutes les images clés d’un effet :
1 Sélectionnez l’effet.
2 Changez un attribut dans l’onglet Texte, Style ou Attributs.
3 Maintenez la touche Option enfoncée et cliquez sur l’indicateur LED en regard
de l’attribut que vous venez de modifier.Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 99
Paramètres actifs
La zone Paramètres actifs de l’onglet Effets de l’Inspecteur est fort utile pour identifier
les paramètres actifs dans un effet et les valeurs à chaque point donné dans le temps
(position de la tête de lecture).
Les paramètres actifs s’affichent avec les valeurs associées à l’image en cours. Leurs
variables sont exposées dans l’annexe B, « Création et modification d’EffectScripts », à
la page 139.
Pour changer la valeur d’un paramètre dans l’onglet Effets :
1 Sélectionnez une image clé.
2 Double-cliquez sur un paramètre dans la pile Paramètres actifs.
3 Entrez une valeur dans la zone de dialogue puis cliquez sur OK.
Remarque : si vous changez un paramètre lorsque la tête de lecture ne se trouve pas
sur une image clé, une nouvelle image clé est ajoutée à l’effet à la position de la tête
de lecture.
Le menu local Paramètre répertorie tous les paramètres d’image clé.
Pour ajouter un paramètre à la pile Paramètres actifs d’un effet :
1 Sélectionnez l’effet.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Cliquez sur l’indicateur LED en regard du paramètre dans l’onglet Texte, Style ou
Attributs de l’Inspecteur. Le LED sélectionné s’allume.
 Dans l’onglet Effets de l’Inspecteur, faites un choix parmi les options du menu local
Paramètre et cliquez sur le bouton +. Le paramètre apparaît dans la pile Paramètres
actifs.
 Changez le paramètre d’une image clé dans l’onglet Texte, Style ou Attributs de
l’Inspecteur.
 Ajoutez Décalage, Rotation ou Échelle à la pile en modifiant un glyphe de la piste
active grâce aux poignées du cadre de délimitation ou en déplaçant le glyphe par
glissement.100 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés
Exemple : modification d’un effet
L’exemple ci-après démontre la facilité de changer un effet et d’obtenir un aspect
totalement différent. L’idée ici est d’ajouter une animation à l’effet Fade In.
1 Configurez un nouveau projet comme suit :
a Choisissez Fichier > Nouveau.
b Entrez « Aventure » dans l’une des zones de saisie de l’Inspecteur pour ajouter
le mot à la piste.
c Pour faire simple, appliquez une police système à la piste.
d Définissez le point de sortie de la sélection de rendu en plaçant la tête de lecture
à une seconde, puis en appuyant sur la touche O.
2 Appliquez l’effet de fondu entrant Fade In à la piste, qui se trouve dans la catégorie Fades
de l’onglet Effets du Navigateur média. Vous remarquez les changements suivants :
 L’effet apparaît immédiatement dans l’aperçu filaire animé de l’Inspecteur.
 Si la tête de lecture se trouve sur la première image, le texte disparaît dans le
Canevas lorsque vous appliquez l’effet. Ceci est dû au fait que l’effet Fade In
commence avec une opacité de 0.
Pour cet exemple, commencez
par une piste de texte dans une
police système.Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 101
3 Si la tête de lecture ne se trouve pas sur la première image, placez-la à cet endroit.
4 Dans la zone de saisie de l’Inspecteur, mettez en évidence la lettre A du mot « Aventure ».
Même si le texte est invisible dans le Canevas, un cadre de délimitation apparaît pour
vous permettre d’ajuster le glyphe. Vous remarquez également que la première image
clé de l’effet se trouve à présent à la première image, les marqueurs de séquence étant
derrière elle pour représenter les autres lettres du mot.
5 Modifiez le glyphe dans le Canevas comme suit et observez les résultats au fur et à
mesure dans l’aperçu filaire animé :
a Glissez la poignée de dimensionnement du coin supérieur gauche du cadre de
délimitation pour agrandir le glyphe jusqu’à un tiers environ du Canevas.
b À l’aide de la poignée de rotation du coin supérieur droit du cadre de délimitation,
inclinez le glyphe de 45° dans le sens des aiguilles d’une montre.
Vérifiez que la
tête de lecture se
trouve sur la
première image.
Placez le point de sortie
de la sélection de rendu
à une seconde.
Marqueurs de séquence représentant
la fin de l’effet pour chaque autre
lettre du mot.
Durée de l’effet Fade
In sur le glyphe « A »102 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés
c Glissez le glyphe afin que son point pivot se trouve dans le coin inférieur gauche
du Canevas, ce qui permet d’étendre une partie du glyphe en dehors du Canevas.
La pile (dans l’onglet Effets de l’Inspecteur) est automatiquement modifiée. Les paramètres Échelle, Rotation et Décalage s’appliquent désormais à cet effet, en plus du
paramètre Opacité d’origine.
6 Cliquez sur le bouton Lecture dans le Canevas ou appuyez sur la barre d’espace pour
lire un aperçu RAM.
Redimensionnez, faites
pivoter et repositionnez
le cadre de délimitation
du glyphe « A ».Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 103
Déplacement, suppression, ajout et copie d’images clés
Plus vous manipulez des effets, plus vous souhaitez en créer et en modifier afin de
répondre à vos goûts. Par exemple, vous pouvez changer la place des images clés dans
un effet afin que celui-ci soit lu autrement. Vous pouvez également ajouter ou supprimer une image clé entière.
Pour déplacer une image clé dans la Timeline :
m Glissez son marqueur à gauche ou à droite dans la barre d’effet.
Pour supprimer une image clé :
1 Sélectionnez l’image clé à supprimer.
2 Choisissez Piste > Supprimer l’image clé.
Remarque : si vous sélectionnez une image clé et appuyez sur la touche Suppr, l’effet
est totalement supprimé.
Pour ajouter une image clé à un effet :
1 Sélectionnez l’effet auquel vous voulez ajouter une image clé.
2 Glissez la tête de lecture sur l’image où vous voulez insérer une image clé ou cliquez
à la position de cette image dans la règle.
3 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Une fois la tête de lecture positionnée et l’effet sélectionné, choisissez Piste > Ajouter
une image clé (ou appuyez sur les touches Commande + K).
 Changez les paramètres souhaités dans l’onglet Texte, Style ou Attributs de l’Inspecteur ou modifiez un glyphe de la piste active à l’aide des poignées du cadre de
délimitation ou en le déplaçant par glissement.
Un marqueur d’image clé apparaît dans la barre d’effet.
Pour copier une image clé :
1 Sélectionnez l’image clé à copier et choisissez Édition > Copier.
2 Placez la tête de lecture sur l’image où vous voulez insérer l’image clé, puis choisissez
Édition > Coller.
Vous pouvez copier et coller des images clés à partir d’autres effets, voire d’autres projets.104 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés
Copier-coller des images clés, effets et pistes d’un projet à l’autre
Vous pourrez copier et coller aisément des images clés, effets et pistes d’un projet
à l’autre.
Pour copier-coller une image clé d’un projet à l’autre :
1 Ouvrez le projet dans lequel se trouve l’image clé que vous voulez copier.
2 Dans la Timeline, procédez de l’une des façons suivantes :
 Sélectionnez une image clé, puis allez dans le menu Édition > Copier image clé
(ou appuyez sur Commande + C).
 Cliquez sur l’image clé tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Copier piste, Copier effet ou Copier l’image clé dans le menu de raccourcis.
3 Ouvrez le deuxième projet et positionnez la tête de lecture dans la Timeline, à l’endroit
où vous voulez voir apparaître l’image clé.
4 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Sélectionnez le menu Édition > Coller (ou appuyez sur Commande + V).
 Cliquez sur la piste tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Coller dans le menu de raccourcis.
L’image clé est alors copiée dans le deuxième projet.
Pour copier-coller des effets ou pistes d’un projet à l’autre :
1 Ouvrez le projet dans lequel se trouve l’effet ou la piste à copier.
2 Dans la Timeline, procédez de l’une des façons suivantes :
 Sélectionnez un effet ou une piste, puis choisissez Édition > Copier (ou appuyez sur
Commande + C).
 Cliquez sur l’effet ou la piste tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis
sélectionnez Copier piste ou Copier effet dans le menu de raccourcis.
3 Ouvrez le deuxième projet, cliquez dans la Timeline et procédez comme suit :
 Sélectionnez le menu Édition > Coller (ou appuyez sur Commande + V).
 Cliquez sur la piste tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez Coller dans le menu de raccourcis.
L’effet ou la piste est alors copié(e) dans le deuxième projet.Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 105
Changement du nom et enregistrement des effets modifiés
Lorsque vous changez un effet dans un projet LiveType, il ne possède plus les mêmes
attributs que celui prédéfini dans le Navigateur média. Il se peut que vous ayez
employé plusieurs versions du même effet prédéfini dans un projet. Le suivi de ces
modifications peut être réalisé de deux façons : en renommant les effets dans votre
projet afin de les distinguer de ceux prédéfinis d’origine ou en les enregistrant comme
nouveaux effets disponibles à tout moment.
Pour renommer un effet dans un projet :
1 Sélectionnez l’effet ou la piste à laquelle il est appliqué.
2 Cliquez sur l’onglet Effets de l’Inspecteur.
3 Sélectionnez l’effet dont vous souhaitez modifier le nom et attribuez-lui un
nouveau nom.
Le nouveau nom apparaît dans la Timeline.
Pour enregistrer un effet modifié :
1 Sélectionnez l’effet.
2 Choisissez Piste > Enregistrer l’effet.
3 Dans la zone de dialogue Enregistrer l’effet, nommez l’effet et sélectionnez la catégorie
dans laquelle l’enregistrer, ou créez une nouvelle catégorie.
L’effet apparaît dans l’onglet Effets du Navigateur média.
Remarque : pour que le Navigateur média affiche un aperçu de l’effet enregistré,
vous devez créer un plan d’aperçu de 160 x 120 pixels et le nommer comme l’effet
avec l’extension appropriée. Les plans d’aperçus peuvent se trouver dans n’importe
quel format QuickTime. Si vous prévoyez toutefois d’en créer un grand nombre,
le format MPEG-4 est conseillé car il occupe nettement moins d’espace disque.
Enregistrez les plans d’aperçus dans le dossier Effets (/Bibliothèque/Application
Support/LiveType), où les effets enregistrés sont stockés.106 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés
Création d’un effet en partant de zéro
Il est parfois plus facile de créer l’effet en partant de zéro au lieu de tenter d’en modifier
un existant.
La procédure est la suivante :
1 Décidez à quel élément appliquer l’animation et comment le déplacer et le transformer.
2 Créez une piste contenant l’élément à animer, placé de préférence à la première image.
3 Configurez le chronométrage de la piste, à savoir son image de début et sa durée.
4 Ajoutez un effet vierge à la piste.
5 Ajoutez des images clés à l’effet et modifiez les paramètres de chacune d’elles.
6 Enregistrez l’effet si besoin est, pour l’utiliser plus tard avec d’autres pistes ou dans
d’autres projets.
Pour ajouter un effet vierge à une piste :
1 Sélectionnez la piste à laquelle ajouter l’effet.
2 Choisissez Piste > Ajouter un nouvel effet (ou appuyez sur les touches Commande + E).
Un nouvel effet apparaît dans la Timeline, sous la piste active.
3 Nommez-le, si vous le souhaitez, en double-cliquant sur le nom Nouvel effet dans
l’onglet Effets de l’Inspecteur.
Exemple : création d’un effet
L’exemple ci-après illustre comment créer un effet. Dans ce cas, une partie du texte
d’une piste rebondit dans le Canevas.
Cet exemple met en évidence comment les chemins d’animation sont générés dans
un effet.
1 Démarrez un nouveau projet par défaut et ajoutez quelques mots à une piste vide,
dans la police de votre choix. L’idée est que l’un de ces mots se déplace dans l’écran,
indépendamment des autres.Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 107
2 Placez la piste où vous voulez dans le Canevas. Cette opération est sans incidence sur
le mouvement du mot animé.
3 Définissez la durée de la piste en glissant son extrémité droite dans la Timeline. Deux
ou trois secondes suffisent amplement.
4 Créez un effet vierge vous permettant d’appliquer un mouvement au texte. Attribuez
à l’effet la même durée que celle de la piste dans la Timeline.
5 Avant même de générer l’effet, appliquez-le à un seul mot de la piste. L’idée est de
désactiver l’effet, comme décrit à la section « Effets prédéfinis » à la page 90 plus tôt
dans ce chapitre, pour les mots devant rester statiques.
6 Ajoutez la première des trois ou quatre images clés réparties équitablement dans l’effet.
a Cliquez dans la règle pour positionner la tête de lecture.
b Une fois la tête de lecture positionnée et l’effet sélectionné, choisissez Piste > Ajouter
une image clé (ou appuyez sur les touches Commande + K).108 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés
7 L’étape suivante consiste à placer le mot au point de son premier « rebond ». Vous
ajoutez alors des paramètres de décalage x et y à l’effet.
a Une fois l’image clé sélectionnée, choisissez l’une des lettres à déplacer. Un cadre
de délimitation apparaît autour.
b Glissez la lettre à un autre endroit dans le Canevas. Le mot entier, ou toutes les
lettres auxquelles l’effet s’applique dans ce cas de figure, se déplace avec la lettre
sélection-née. Vous remarquez que le chemin d’animation se dessine.
c Si vous le souhaitez, modifiez la taille, la couleur ou tout autre attribut du texte pour
cette image clé.
8 Créez une autre image clé et glissez le texte à un autre endroit. Le chemin d’animation prend alors la forme d’un triangle. Créez quelques « rebonds » supplémentaires
pour le mot.
Les chemins d’animation peuvent également être courbes. La procédure de création
de pistes courbes est similaire, comme décrit au chapitre 4, « Manipulation de pistes »,
à la page 47.
Point d’image clé
Chemin d’animation
du glyphe « u »Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés 109
9 Ajoutez des courbes au chemin d’animation en procédant comme suit :
a Une fois l’effet sélectionné dans la Timeline, cliquez sur une image clé ou déplacez
la tête de lecture sur cette dernière.
b Sélectionnez un glyphe dans le mot amené à « rebondir ».
c Maintenez la touche Contrôle enfoncée et glissez le point pivot du glyphe, qui se
trouve sur le point d’image clé dans le chemin d’animation.
d Des poignées de Bézier se dessinent à partir du point et permettent de modifier
la courbe.
10 Dans le Canevas, cliquez sur Lecture ou appuyez sur la barre d’espace pour observer
les résultats de l’opération.
Maintenez la touche Option enfoncée
et glissez un point d’image clé pour
tirer les poignées de Bézier, ce
qui crée un chemin d’animation
fait de courbes.110 Chapitre 7 Manipulation d’effets et animation d’images clés
Création d’effets pour les glyphes individuels
Une fonctionnalité unique et puissante de LiveType repose sur sa capacité à affecter
instantanément un effet à des groupes individuels ou sélectionnés de glyphes, de
caractères, sur une piste. Cette méthode peut être utilisée aussi bien avec les nouveaux
effets qu’avec les effets préréglés.
Pour attribuer un effet aux caractères individuels :
m Sélectionnez le caractère ou les caractères au(x)quel(s) vous voulez appliquer l’effet,
puis effectuez l’une des actions suivantes :
 Choisissez un effet prédéfini dans l’onglet Effets du Navigateur média, puis cliquez
sur Appliquer.
 Créez votre propre effet en choisissant Piste > Nouvel effet, puis appliquez les effets
à partir du menu paramètres dans l’onglet Effets de l’Inspecteur.
L’effet choisi est automatiquement désactivé pour tous les autres caractères non sélectionnés. Si la piste est sélectionnée mais qu’en revanche aucun caractère ne l’est, l’effet
s’appliquera à tout le groupe de caractères de la piste. Vous pouvez réaffecter tous les
caractères à un seul effet à tout moment.
Recherche des effets et médias via la Timeline
Grâce au menu de raccourcis de la Timeline, vous trouverez rapidement les effets,
séquences et images.
Pour rechercher des effets et médias via la Timeline :
m Dans la Timeline, cliquez sur une piste tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée,
puis procédez comme suit :
 Pour rechercher des effets, choisissez Réveler dans le Navigateur média dans le
menu contextuel.
 Pour rechercher des séquences ou des images, choisissez Réveler dans le Finder
dans le menu contextuel.
L’effet est sélectionné dans l’onglet adéquat du Navigateur média ou une fenêtre du
Finder s’affiche avec la séquence ou l’image sélectionnée.8
111
8 Aperçu et rendu total de
votre film de titrage
Au fil de l’élaboration de votre projet, vous pouvez
observer le résultat des modifications réalisées avant
de créer une sortie finale.
LiveType propose plusieurs modes et possibilités pour gérer le temps requis par
les aperçus de rendu.
Aperçu de votre travail
Pour afficher une image de votre film de titrage, rien de plus simple : il suffit de placer
la tête de lecture dans la Timeline sur un marqueur et d’observer les éléments du
Canevas. Mais il est également nécessaire de pouvoir visualiser l’action de votre film.
LiveType offre pour cela plusieurs approches.
Aperçu filaire animé
La fenêtre d’aperçu filaire animé, dans le coin supérieur droit de l’Inspecteur, lit en
continu votre animation, de petits cadres de délimitation indiquant le mouvement de
chaque caractère ou objet. Cette fonction vous donne à tout moment une indication
de l’animation et du chronométrage de votre projet.
Pour figer ou activer l’aperçu filaire animé :
m Cliquez dans la fenêtre d’aperçu filaire animé de l’Inspecteur.
Aperçu filaire animé
dans l’Inspecteur112 Chapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage
Aperçu RAM dans le Canevas
Les contrôles de transport au bas du Canevas vous permettent de lire un aperçu de
votre film de titrage directement dans votre environnement de travail. Un aperçu RAM
affiche tous les éléments visibles et activés dans le Canevas, ainsi que les guides, les
règles, etc. de cette fenêtre. Le film d’aperçu donne une meilleure idée de la sortie
finale que l’aperçu RAM.
Pour exécuter un aperçu RAM, procédez de l’une des façons suivantes :
m Cliquez sur le bouton Lecture dans les contrôles de transport au bas du Canevas.
m Appuyez sur la barre Espace.
Les images sont d’abord rendues et chargées une par une en mémoire. Ensuite,
l’aperçu est lu en temps réel. Le bouton Pause est affiché pendant ce processus.
Le bouton Boucle, commande la plus à droite, permet de choisir entre la lecture uni-que
ou en boucle continue de l’aperçu RAM. Lorsque ce bouton est activé (de couleur bleue),
l’aperçu RAM défile en boucle tant que vous ne cliquez pas dans l’interface LiveType.
Pour arrêter la lecture en boucle d’un aperçu RAM :
m Cliquez n’importe où dans l’interface LiveType.
Pour suspendre un aperçu RAM :
m Cliquez sur le bouton Pause à tout moment au cours d’un aperçu RAM.
Le bouton Lecture apparaît et l’aperçu RAM s’arrête. L’aperçu RAM reprend lorsque
vous cliquez à nouveau sur le bouton Lecture.
Commandes de lectureChapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage 113
Film d’aperçu
Un film d’aperçu correspond à un rendu restreint de votre film de titrage.
Pour rendre un film d’aperçu :
1 Choisissez Fichier > Aperçu du rendu, puis Fil de fer ou Normal.
Le réglage Normal rend votre aperçu au niveau défini dans la zone de dialogue
Propriétés du projet. LiveType recherche les fichiers .afd dans le dossier /Bibliothèque/
Application Support/LiveType/LiveType Data si vous utilisez des données LiveType dans
votre composition. Si les fichiers de données ne sont pas encore installés, la zone de
dialogue AFD manquant s’ouvre et vous permet d’installer les fichiers complets ou
d’utiliser les images proxy (des fichiers .afp correspondants) dans l’aperçu.
2 Procédez de l’une des façons suivantes :
 Sélectionnez Installer les données LiveType manquantes.
Vous pouvez ainsi installer les fichiers .afd à un emplacement autre que le dossier
LiveType Data, et y accéder pour le rendu des aperçus et des projets finaux.
Reportez-vous à la section « Gestion des fichiers média LiveType » à la page 30 pour
obtenir plus d’instructions.
 Sélectionnez « Utiliser les affiches pour les pistes comportant des données manquantes ».
L’aperçu apparaît dans une fenêtre distincte. Pour enregistrer un film d’aperçu,
choisissez Fichier > Enregistrer sous. Sinon, LiveType supprime le film d’aperçu
à la fermeture de la fenêtre.114 Chapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage
Optimisation des performances d’aperçu
LiveType fonctionne avec des éléments pixelisés d’informations, contrairement aux
données vectorielles. Ce format rend possible la série d’effets disponible dans LiveType ;
toutefois, les fichiers sont volumineux et le temps de rendu d’un aperçu peut être long.
Le temps de rendu est fonction de la complexité de chaque couche ajoutée à un projet :
nombre d’éléments, taille, quantité d’effets appliqués à chacun d’eux et durée du film
(nombre d’images à rendre).
Réglages de qualité pour les aperçus et les projets finaux
LiveType permet quatre niveaux de qualité de rendu, définis dans la zone de dialogue
Propriétés du projet, afin de gérer le temps passé à la création d’aperçus. Une qualité
inférieure demandera évidemment un temps de rendu moindre.
Un aperçu de qualité filaire représente chaque élément par un cadre de délimitation
vide, comme dans l’aperçu filaire animé de l’Inspecteur. Les réglages Brouillon, Normale
et Haute se distinguent uniquement par la résolution de l’aperçu qu’ils offrent. Un canevas de qualité brouillon apparaît légèrement granuleux à un zoom de 100 %. Un film
d’aperçu de qualité brouillon apparaît de petite taille à l’écran.
Lors de la génération de votre projet, vous serez éventuellement amené à modifier
à plusieurs reprises les réglages de qualité en fonction de vos préférences.
Pour modifier les réglages de qualité afin d’afficher le Canevas, de générer
des films d’aperçu et de rendre un film final :
1 Choisissez Édition > Propriétés du projet.
2 Dans la zone Qualité de la zone de dialogue, choisissez le niveau de qualité pour chacun
des trois modes.Chapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage 115
Stratégies d’amélioration des temps de rendu
Outre les réglages de qualité, LiveType fournit diverses stratégies pour réduire les temps
de rendu d’images et d’aperçus :
 Les marqueurs de la sélection de rendu dans la règle d’images de la Timeline restreignent le nombre d’images rendues dans les films d’aperçu et la sortie finale.
 L’option Sélectionné seulement du menu Présentation affiche uniquement le contenu
de la piste active dans le Canevas, dans les films d’aperçu et dans la sortie finale. Elle
s’avère utile si vous privilégiez le mouvement d’un seul élément.
 Les boutons Activer et Désactiver de la Timeline permettent de désactiver temporairement des effets et de supprimer des pistes du Canevas. Vous gagnez ainsi en
simplicité lorsque vous n’avez besoin que d’un aperçu partiel.
 La taille de fichier des éléments importés a une incidence sur les performances système.
Par exemple, au lieu d’importer un film volumineux comme fond pour créer des
images clés de titres, importez une image ou un plan de courte durée. Si un élément
importé doit être intégré à votre sortie finale, créez le fichier d’origine à la résolution
requise ou proche de celle-ci, au lieu de prendre une image de grande taille et de la
réduire dans LiveType.
 La quantité de mémoire RAM sur votre système peut être déterminante. Pour gagner
du temps, envisagez d’augmenter la RAM disponible.
Rendu, enregistrement et exportation de votre film
de titrage
Le rendu, la sauvegarde et l’exportation de votre projet LiveType, une fois terminé,
peuvent s’effectuer de différentes manières. De votre décision de travailler sur votre
projet avec Final Cut Pro ou avec une autre application, dépendra largement le choix
de la méthode la plus adaptée.
 Si vous travaillez avec Final Cut Pro, importez le projet LiveType directement dans
Final Cut Pro pour le rendu final.
 Si vous travaillez avec une autre application, effectuez le rendu dans LiveType en
premier, puis importez le film rendu dans l’application.116 Chapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage
Importation d’un projet LiveType dans Final Cut Pro pour le rendu
Généralement, un fichier de projet LiveType enregistré est importé dans Final Cut Pro
pour le rendu. Cela permet de gagner du temps, puisque, contrairement aux autres applications, vous n’avez pas besoin de rendre le fichier dans LiveType avant de l’importer.
Pour importer un projet LiveType dans Final Cut Pro pour le rendu :
1 Choisissez Fichier > Importer > Fichiers (ou appuyez sur les touches Commande + I),
sélectionnez le fichier de projet LiveType, puis cliquez sur Choisir.
Le film LiveType est importé dans Final Cut Pro, apparaissant en tant que plan.
2 Éditez le plan dans une séquence Final Cut Pro.
3 Effectuez le rendu du film comme vous le feriez pour n’importe quel plan.
Apporter des modifications à un film LiveType à partir
de Final Cut Pro
Si vous avez importé un film LiveType dans Final Cut Pro et si vous avez besoin d’y
apporter des modifications, vous pouvez le faire dans LiveType et obtenir la version
mise à jour dans Final Cut Pro.
Pour effectuer des modifications dans un film LiveType déjà importé dans
Final Cut Pro :
1 Sélectionnez le plan LiveType dans la Timeline Final Cut Pro.
2 Cliquez sur la piste, tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis choisissez >
Ouvrir dans l’éditeur dans le menu contextuel.
LiveType s’ouvre avec le film prêt à être modifié.
3 Dans LiveType, effectuez les modifications désirées, puis choisissez Fichier > Enregistrer.
La modification est prise en compte immédiatement dans Final Cut Pro.
Remarque : vous devrez rendre à nouveau tous les changements effectués à l’intérieur
de Final Cut Pro.Chapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage 117
Rendu d’un film LiveType pour l’exportation
Lorsque vous travaillez avec une autre application, il est nécessaire d’effectuer le rendu
de votre film dans LiveType avant de l’importer.
Pour rendre votre projet à une résolution maximale pour l’exportation :
1 Choisissez Fichier > Rendre le film.
2 Choisissez un nom de fichier et un emplacement dans la zone de dialogue Enregistrer,
puis cliquez sur Enregistrer.
3 Comme pour les films d’aperçu, LiveType requiert l’installation de tous les fichiers
de données LiveType manquants. Procédez de l’une des façons suivantes :
 Sélectionnez « Installer les données LiveType manquantes ».
Vous pouvez ainsi installer les fichiers média LiveType à un emplacement autre que
le dossier LiveType Data, et y accéder pour le rendu des aperçus et des projets finaux.
Reportez-vous à la section « Gestion des fichiers média LiveType » à la page 30 pour
obtenir plus d’instructions.
 Sélectionnez « Utiliser les affiches pour les pistes comportant des données manquantes ».
Remarque : par défaut, une séquence QuickTime avec un canal alpha est créée dans
le codec Animation. Si vous préférez un autre codec, utilisez plutôt les options Depuis
le fichier > Exporter le film.118 Chapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage
Lorsque LiveType a terminé le rendu de votre projet, celui-ci apparaît dans une nouvelle
fenêtre.
Formats d’exportation de LiveType
LiveType produit des séquences QuickTime avec le codec Animation 32 bits pour insérer
correctement des images clés dans votre vidéo. Si votre éditeur non linéaire ou votre
programme de composition importe des séquences QuickTime 4 ou ultérieur, l’importation de celles-ci doit pouvoir se faire directement. Vous pouvez également exporter une
variété de formats d’animation et d’images fixes. Pour rappel toutefois, si vous souhaitez
conserver le canal Alpha, vous devez utiliser un format compatible avec celui 32 bits, tel
que Photoshop, Targa, TIFF ou AVI.
Votre film rendu apparaît
dans une fenêtre distincte.
(Dans cet exemple, le film
de fond a été rendu avec
les titres.)
Codecs QuickTime Codecs QuickTime
(suite)
Formats de séquence
d’images
Autres formats
Animation Motion JPEGA BMP AVI
BMP Motion JPEGB JPEG DV Stream
Cinepak Aucun (pas de
compression)
JPEG 2000 Image FLC
Component Video PhotoJPEG MacPaint Heuris MPEG
DV/DVCPRO-NTSC Planar RGB Photoshop MPEG-2
DVCPRO-PAL PNG PICT MPEG-4
Graphics Sorenson Video PNG
H.261 Sorenson Video 3 QuickTime image
H.263 TGA SGI image
Intel Indeo Video r3.2 TIFF TGA
Intel Raw Video TIFFChapitre 8 Aperçu et rendu total de votre film de titrage 119
Pour exporter une séquence LiveType rendue dans un nouveau format :
1 Ouvrez votre film afin qu’il s’affiche dans la fenêtre de visualisation.
Si vous venez d’effectuer le rendu de votre projet, la séquence QuickTime sera déjà
ouverte. Si vous avez rendu et enregistré le film auparavant, ouvrez-le en choisissant
Fichier > Ouvrir.
2 Choisissez Fichier > Exporter le film.
La zone de dialogue vous demande d’entrer un nouveau nom et un emplacement
pour le fichier et vous propose une série de formats d’exportation.
3 Dans le menu local Exporter, choisissez la catégorie de sortie à générer.
4 Dans le menu local Mode, choisissez le format de fichier ou protocole requis.
5 Cliquez sur le bouton Options pour accéder à d’autres réglages du format sélectionné.9
121
9 Techniques avancées
de conception
Une conception de titres réussie repose sur la
combinaison créative des fonctions et des données
de LiveType. Le présent chapitre apporte quelques
« recettes » intéressantes.
Les exemples ci-après supposent la maîtrise des fonctions de base de LiveType.
Chaque étape n’étant pas exposée en détail, vous devrez éventuellement vous
reporter aux chapitres antérieurs pour effectuer certaines tâches.
Imbrication de mots
L’option Prélever dans Fond peut servir à créer des compositions de titre fort intéressantes. Contrairement aux options Prélever dans Texture et Prélever dans Film ou
image, elle insère une « fenêtre » dans n’importe quel fond, même composé de
plusieurs éléments.
Par exemple, vous pouvez imbriquer des mots dans d’autres. Dans le cas présent, le
texte au premier plan dessine une fenêtre dans le texte de fond, qui défile de droite
à gauche derrière lui. Procédez comme suit :
1 Créez le texte au premier plan pour déterminer la forme du remplissage.
a Ajoutez une piste de texte dans une police système épaisse, Helvetica Bold par exemple.
b Tapez un mot dans la piste et choisissez une taille de façon à ce qu’il occupe toute
la largeur du Canevas.122 Chapitre 9 Techniques avancées de conception
2 Créez une couche intermédiaire pour rendre le fond plus sombre.
a Choisissez une texture dans le Navigateur média, puis cliquez sur Appliquer à la
nouvelle piste.
b Vérifiez que la texture se trouve sous le texte mais au-dessus de la barre de fond
dans la Timeline.
3 Créez un fond dynamique visible à travers la fenêtre créée par le mot au premier plan.
a Ajoutez une piste de texte au Canevas et entrez du texte dans une taille inférieure
à celle du mot créé à l’étape 1.
b Placez la piste sur le texte au premier plan et formatez le texte de fond comme
vous voulez.
c Appliquez un effet de défilement ou de glissement à la piste pour que le texte
se déplace de droite à gauche.
d Glissez la piste sous la barre de fond dans la Timeline.
e Dans la Timeline, désactivez temporairement la texture et la piste de texte
au premier plan.
f Définissez une couleur de fond dans la zone de dialogue Propriétés du projet
ou placez un fond différent derrière le texte de fond.
Texte au premier plan pour
déterminer la forme de
la « fenêtre » dans le fond
Texture pour assombrir
les éléments de fondChapitre 9 Techniques avancées de conception 123
g Activez la texture et la piste de texte de fond dans la Timeline.
4 Sélectionnez le texte au premier plan et choisissez Fond dans le menu local Prélever
dans de la fenêtre Remplissage (onglet Attributs de l’Inspecteur).
Déformation d’ombres et d’éclats
La fonction Déformation dans l’onglet Style de l’Inspecteur peut servir à créer une
incroyable variété de formes pour vos titres. Cette section explique comment l’effet
Needle Drop s’inspire du paramètre Déformation, associé à plusieurs autres, pour
donner un résultat unique.
1 Ouvrez un nouveau projet et saisissez du texte dans une police système sur la piste.
2 Dans la fenêtre Glyphe de l’onglet Attributs (Inspecteur), dotez le texte d’une couleur
vive, puis fermez la fenêtre Couleurs.
3 Dans la zone de dialogue Propriétés du projet, prenez le noir comme couleur de fond
avec une opacité de 100 %.
Éléments de fond
Éléments au premier plan
Le texte rempli dévoile un
mot animé dans le fond.124 Chapitre 9 Techniques avancées de conception
4 Appliquez l’effet Needle Drop à la piste, lequel se trouve dans la catégorie Éclats
de l’onglet Effets du Navigateur média.
5 Prenez une seconde comme durée de piste et d’effet et définissez à 1 seconde le point
de sortie de la sélection de rendu, puis cliquez sur le bouton Lecture pour rendre un
aperçu RAM.
6 Avec la tête de lecture sur l’effet dans la Timeline, cliquez sur l’onglet Effets de l’Inspecteur pour afficher les paramètres actifs.
Les principaux paramètres employés pour créer l’effet Needle Drop sont les suivants :
 Réglages de glyphe : à l’image clé de début, les glyphes sur la piste sont petits,
transparents et flous. À l’image clé de fin, les caractères sont normaux. L’image clé
intermédiaire agrandit simplement les lettres.
 Réglages d’éclat : à l’image clé de début, l’éclat est invisible avec une opacité de 0
et marque un décalage vertical de –200 pixels. À l’image clé intermédiaire, l’opacité
est de 500 %, avec quelques paramètres d’échelle et de flou, mais sans décalage.
À l’image clé de fin, l’éclat est de nouveau invisible, avec un décalage vertical de
200 pixels.
 Réglages d’ombre : l’ombre crée les « aiguilles ». L’ombre est de couleur blanche et
l’échelle est de 10 % sur l’axe X, ce qui rend les ombres très fines. Les réglages de
déformation accentuent les pointes des aiguilles. Le flou est de 2 %, ce qui est indispensable pour cet effet. À l’image clé de fin, l’ombre passe à une opacité nulle.
 Réglages de chronométrage : le paramètre Aléatoire de l’onglet Chronométrage sert
à appliquer cet effet à chaque glyphe dans un ordre aléatoire.
Effet Needle Drop appliqué
au texte sur un fond
de Canevas noirChapitre 9 Techniques avancées de conception 125
Une piste, un effet, trois images clés : cet effet est assez simple à reproduire. Du fait
qu’une image clé intègre tous les paramètres à un point donné, la Timeline LiveType
reste incroyablement dégagée malgré le nombre de paramètres sollicités.
Pour obtenir un autre exemple d’utilisation des paramètres de déformation, observez
l’effet Screech dans la catégorie Caricature de l’onglet Effets (Navigateur média). Cet
effet s’obtient en rendant les glyphes invisibles et en se servant du canal d’éclat pour
afficher les lettres, qui sont déformées à l’aide du paramètre de déformation.
Pistes courbes
L’effet Glisser appliqué à une piste courbe peut créer un effet en 3D.
L’exemple qui suit explique comment associer ces caractéristiques en quelques étapes
pour animer du texte en spirale.
1 Ouvrez un nouveau projet et entrez du texte sur la piste.
2 Justifiez le texte à gauche.
3 Déplacez la piste vers le haut du Canevas.
4 Ajoutez un point de contrôle au centre de la piste en maintenant la touche Contrôle
enfoncée et en cliquant sur la ligne de la piste dans le Canevas. Appuyez à nouveau sur
la touche Contrôle en cliquant sur le point de contrôle, et choisissez Courbe extérieure.
L’idée est de conserver la moitié gauche de la piste plus ou moins au même endroit
et de créer un chemin courbe descendant et tournant dans le sens des aiguilles d’une
montre autour de ce point. Seuls quelques points de contrôle supplémentaires sont
requis pour cela. Reportez-vous au chapitre 4, « Manipulation de pistes », à la page 47
pour en savoir plus sur la création de pistes courbes.126 Chapitre 9 Techniques avancées de conception
5 Ajoutez un nouvel effet à la piste.
6 Sélectionnez l’image clé de fin de cet effet.
7 Dans l’onglet Effets de l’Inspecteur, ajoutez le paramètre Glisser à la pile Paramètres
actifs. Double-cliquez sur ce paramètre et entrez la valeur 100, à savoir le pourcentage
de la longueur de la piste.
Lorsque vous attribuez une valeur de glissement à l’image clé de fin, celle de début
possède par défaut la valeur 0.
8 Toujours pour l’image clé de fin, entrez 0 pour le paramètre Taille.
9 Dans l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur, entrez 10 comme valeur de séquence
et choisissez À partir de la droite dans le menu local Début.
Ajoutez des paramètres à l’aide
du menu local et du bouton +.
Changez les valeurs de
paramètres en double-cliquant
sur un paramètre actif.Chapitre 9 Techniques avancées de conception 127
10 Modifiez la valeur Glisser de l’image clé de fin en fonction de la longueur de la piste
et du texte s’y déplaçant.
Emploi créatif de caractères spéciaux
Les symboles et autres caractères spéciaux peuvent être d’une grande utilité dans des
titres. Sachant qu’ils se basent sur des vecteurs, leur taille de fichier est très petite et ils
ne possèdent pas de limite de taille dans le Canevas. Par ailleurs, il est facile d’y accéder.
Le présent exemple illustre comment créer un quadrillage remplissant le Canevas, changeant de couleur de façon aléatoire et disparaissant en fondu pour dévoiler un message
ou une image.
1 Ouvrez un nouveau projet LiveType puis cliquez dans l’une des zones de saisie.
2 Ouvrez la palette de caractères.
 Si la palette de caractères est déjà activée dans vos Préférences Système Mac OS X,
son icône apparaît à droite du menu LiveType.
Le texte défile selon une spirale.128 Chapitre 9 Techniques avancées de conception
 Pour activer la palette de caractères, ouvrez les Préférences Système, cliquez sur
International puis sur le bouton Menu Saisie et cochez Palette de caractères.
 Dans LiveType, vous avez également la possibilité de cliquer, tout en maintenant la
touche Contrôle enfoncée, à l’intérieur de l’une des zones de saisie de l’Inspecteur.
Choisissez alors Police > Afficher les polices dans le menu local. La zone de dialogue
apparaît. Choisissez Caractères dans le menu local Compléments, situé dans l’angle
inférieur gauche de la zone de dialogue Police.
3 Choisissez un caractère carré plein puis cliquez sur Insérer afin de l’ajouter à la zone
de saisie. Insérez trois lignes de quatre cases sur la même piste de texte.
Activez la palette de
caractères dans vos
Préférences Système.Chapitre 9 Techniques avancées de conception 129
4 Réglez les paramètres Taille, Crénage et Interligne dans l’onglet Texte de l’Inspecteur
de manière à créer un panneau de carrés distribués uniformément.
5 Dans l’onglet Style, désactivez l’ombre et ajoutez un contour blanc suffisamment épais
pour que ceux des carrés se touchent et contrastent davantage avec le Canevas.
6 Ajoutez un effet et fixez la durée de la piste et de l’effet à une seconde dans la Timeline.
7 Sélectionnez l’image clé de début de l’effet et choisissez une couleur de glyphe dans
l’onglet Attributs de l’Inspecteur. Changez la couleur de l’image clé de fin. Placez ensuite
la tête de lecture à plusieurs points réguliers en changeant chaque fois la couleur.
Si vous modifiez un paramètre d’effet lorsque la tête de lecture ne se trouve pas sur
une image clé, une nouvelle image clé est automatiquement ajoutée à l’effet à la position de la tête de lecture. Cette étape montre comment l’insertion d’images clés peut
faire gagner du temps.
Première image clé image clé de fin130 Chapitre 9 Techniques avancées de conception
8 Pour le glyphe, prenez une opacité de 0 % à l’image clé de fin, afin que les cases disparaissent par fondu.
9 Dans l’onglet Chronométrage, entrez 15 pour le réglage Aléatoire.
10 Ajoutez derrière le panneau du texte ou tout autre élément qui apparaîtra au fur
et à mesure que les cases disparaîtront en fondu.
LiveFonts et couches
Plusieurs LiveFonts fournies avec LiveType sont conçues pour fonctionner avec d’autres
polices. L’une d’elles, nommée Nitro, donne l’impression que le texte subit une explosion. Cette procédure explique comment utiliser correctement ces polices.
Remarque : pour suivre cet exemple, vous devez installer le fichier de données Nitro.
Reportez-vous à la section « Gestion des fichiers média LiveType » à la page 30 pour
en savoir plus sur l’installation de données LiveType.
1 Créez une piste de texte et appliquez une police système avec un format classique
de votre choix.
2 Choisissez Piste > Dupliquer la piste pour créer une copie directement placée sur
la piste d’origine.
3 Dans la Timeline, verrouillez ces deux pistes à l’aide des boutons de regroupement.Chapitre 9 Techniques avancées de conception 131
4 Sélectionnez la piste 1 et appliquez la LiveFont Nitro.
5 Dans l’onglet Style de l’Inspecteur, désactivez l’ombre pour la piste 1.
6 Dans l’onglet Chronométrage, définissez la séquence à 5 % et réduisez la durée de la
piste, en glissant son extrémité dans la Timeline ou en modifiant le paramètre Vitesse.
7 Appliquez l’effet FadeOut à la piste 2 sachant que les lettres doivent disparaître après
explosion.
L’astuce est que les lettres doivent disparaître par fondu dès qu’elles ont explosé.
Sachant que l’explosion se produit en séquence, vous devez aligner le chronométrage
des marqueurs de séquence pour les deux pistes.
8 Prenez les marqueurs de séquence dans la Timeline comme référence et ajustez la
vitesse de l’effet FadeOut de manière à aligner ceux de la piste 1 et l’effet de la piste 2.
Alignez les marqueurs de
séquence de la LiveFont Nitro
et de l’effet FadeOut.
La combinaison de la couche supérieure
de texte dans la LiveFont Nitro et du texte
sous-jacent disparaissant en fondu fait
exploser les lettres de gauche à droite.132 Chapitre 9 Techniques avancées de conception
Création de défilements et de glissements
Les effets de défilement et de glissements permettent de créer des génériques ou de
déplacer des chaînes de texte dans l’écran, à l’instar d’un défilement de texte. Ces deux
types d’effets sollicitent le paramètre Décalage du Canevas afin de créer un chemin
d’animation vertical ou horizontal, suffisamment long pour déplacer du texte d’une
extrémité à l’autre du Canevas.
La valeur de décalage, qui équivaut à la taille du chemin d’animation, est fonction de la
longueur de l’élément à faire défiler ou glisser. Il est donc préférable de saisir et formater
le texte avant d’appliquer l’effet. Ainsi, vous n’aurez pas à repositionner à plusieurs reprises le point de départ de l’élément.
Remarque : en termes de conception, les défilements et les glissements s’accordent
mieux avec des polices système que des LiveFonts. Si votre choix porte toutefois sur
une LiveFont, il vous faudra régler les paramètres de chronométrage de la police, dont
la vitesse et les options Suspendre premier et Suspendre dernier de l’onglet Chronométrage (Inspecteur). Vous pourrez ainsi coordonner l’animation de la LiveFont et le
mouvement de défilement ou de glissement.
Pour créer un défilement de texte :
1 Entrez plusieurs lignes de texte sur une nouvelle piste, en vous servant de la touche
Retour pour insérer des sauts de ligne.
2 Formatez le texte en prenant soin de bien régler tout paramètre concernant la hauteur
totale des lignes (police, taille, interligne, etc.).
3 Appliquez un effet de défilement de la catégorie Défilements et glissements dans
l’onglet Effets du Navigateur média.
4 Réglez la vitesse de défilement, désormais visible dans l’aperçu animé en fil de fer, en
glissant le bord droit de la barre d’effet dans la Timeline ou en modifiant le réglage
Vitesse dans l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur.
5 Dans la Timeline, glissez le bord droit de la piste pour lui donner la même durée
que l’effet.Chapitre 9 Techniques avancées de conception 133
6 Déplacez le texte jusqu’à sa position de départ.
a Vérifiez que la tête de lecture se trouve sur la première image dans la Timeline.
b Dans le Canevas, réglez le zoom sur 25 % afin de voir au-delà des limites de cette
fenêtre.
c Dans le Canevas toujours, glissez la piste pour déterminer le point de départ du texte
déroulant. (Tout texte au-delà du bord du Canevas est symbolisé par des rectangles
bleus de délimitation.) Maintenez la touche Maj enfoncée lors du glissement pour
forcer la position horizontale de la piste.
Si vous employez l’effet Défilement vers le haut par exemple, vous pouvez fixer le
point de départ de la première ligne de texte juste en dessous du bord inférieur
du Canevas.
Pour créer un glissement de texte :
1 Entrez quelques mots ou une ligne de texte sur une nouvelle piste.
2 Formatez le texte en prenant soin de bien régler tout paramètre concernant sa longueur
totale (police, taille, crénage, etc.).
3 Choisissez un effet de glissement de la catégorie Défilements et glissements dans
l’onglet Effets du Navigateur média.
4 Réglez la vitesse de glissement, désormais visible dans l’aperçu animé en fil de fer, en
glissant le bord droit de la barre d’effet dans la Timeline ou en modifiant le réglage
Vitesse dans l’onglet Chronométrage de l’Inspecteur.
5 Dans la Timeline, glissez le bord droit de la piste pour lui donner la même durée
que l’effet.
6 Si la tête de lecture sur trouve sur la première image, glissez la piste dans le Canevas
afin de déterminer sa position de départ. 135
A Annexe
A Solutions aux problèmes
fréquents et assistance client
Si vous rencontrez des problèmes dans LiveType, voici plusieurs ressources pour
trouver une solution.
 La présente annexe : elle offre des informations sur certains problèmes fréquents
rencontrés par les utilisateurs.
 Informations de dernière minute : il s’agit d’une page disponible via le menu Aide
LiveType et apportant des informations de dernière minute apparues après la publication de ce manuel. Pensez à consulter cette page dès que vous installez LiveType.
 AppleCare Knowledge Base : l’assistance AppleCare fournit une base de données de
problèmes courants, mise à jour et alimentée régulièrement. Il s’agit d’une ressource
gratuite d’une grande utilité pour les utilisateurs de LiveType. Pour accéder à AppleCare Knowledge Base, rendez-vous à la page d’assistance AppleCare à l’adresse
http://www.apple.com/fr/support.
 Assistance AppleCare : il existe une variété d’options d’assistance à la disposition
des utilisateurs de LiveType. Pour en savoir plus, reportez-vous au Guide de service
et d’assistance des logiciels professionnels Apple fourni avec votre documentation
Final Cut Pro.
Foire aux questions
Certaines polices tremblent dans le film d’aperçu.
 Sachant que LiveType utilise un petit échantillonnage pour les aperçus de basse
qualité, des données de pixels donnant un mouvement plus fluide peuvent manquer
dans certaines images. Pour de meilleurs résultats, augmentez les réglages de qualité
dans la zone de dialogue Propriétés du projet.
Mes images apparaissent pixelisées.
 Si vous rendez un aperçu, le film s’affiche dans une résolution faible et apparaît légè-
rement pixelisé. Par ailleurs, si vous attribuez à des éléments une taille supérieure à
celle d’origine, une pixelisation peut aussi se produire.136 Annexe A Solutions aux problèmes fréquents et assistance client
LiveType ne s’ouvre plus.
 L’enregistrement de certains réglages par défaut peut empêcher l’ouverture
de LiveType. Essayez d’effacer votre fichier de réglages par défaut : /
Bibliothèque/Preferences/LiveType Pro Defaults.dat. Votre configuration est
restaurée aux réglages LiveType d’origine. L’opération revient à choisir
LiveType > Réglages > Effacer les réglages dans l’application.
L’animation n’est pas fluide sur mon moniteur NTSC.
 Utilisez l’option de trame pour une animation plus fluide.
Lorsque j’ouvre des titres dans mon éditeur non linéaire ou mon programme
de composition, les caractères apparaissent serrés ou leur aspect est incorrect.
 Choisissez des propriétés de projet dans LiveType en fonction de la taille et de
l’aspect des pixels quel’éditeurutilise. Certains éditeurs non linéaires requièrent une
taille exacte d’image même si le titre ne sollicite pas l’image entière. Les pixels carrés
correspondent à la valeur 1, les pixels NTSC à la valeur 0,9.
Une image clé est « bloquée » au début ou à la fin d’un effet et je ne peux pas
la sélectionner, la déplacer ou la supprimer.
 Augmentez le zoom de la Timeline afin de voir s’il est possible de sélectionner
et de glisser l’image clé à un autre endroit dans l’effet.
Sachant que les images clés de début et de fin ne peuvent être supprimées, vous
pouvez glisser une image clé interne à l’extrémité de fin de l’effet afin d’en éviter
la suppression, quel que soit le zoom appliqué à la Timeline.
Pour sélectionner une image clé recouverte, procédez de la manière suivante :
1 Sélectionnez l’image clé de début ou de fin recouvrant l’autre image clé.
2 Choisissez Présentation > Aller à > Image clé suivante (ou Image clé précédente)
afin de sélectionner l’image clé « perdue ».
3 Choisissez Édition > Couper.
4 Déplacez la tête de lecture et choisissez Édition > Coller.
Lorsque j’applique un effet avec une modification d’éclat ou d’ombre, je ne
vois pas de changement dans l’aperçu filaire animé de l’Inspecteur.
 Les cases filaires dans l’aperçu montrent la forme de base de chaque glyphe et ne
sont pas affectées par les réglages Style. D’autres options d’aperçu, telles que l’aperçu
RAM ou le film d’aperçu, offrent des ombres et des éclats.Annexe A Solutions aux problèmes fréquents et assistance client 137
Lorsque je change certains attributs d’une piste, ils ne semblent pas s’appliquer.
 Certains paramètres d’effets priment sur ceux de pistes, et il se peut que le paramètre que vous tentez de modifier soit celui qui est « remplacé ». Désactivez les
effets associés à cette piste pour voir si les attributs redeviennent actifs. Dans ce cas,
la solution passe par la modification des paramètres de l’effet.
Je ne parviens pas à sélectionner un élément ou un caractère.
 Vérifiez que l’option Verrouiller la position n’est pas sélectionnée dans le menu
Disposition. Lorsque vous ajoutez une texture ou un film de fond, cet élément est
par défaut verrouillé.
 Par ailleurs, vous pouvez cliquer sur un élément utilisant le Canevas dans son intégralité. Essayez de faire un zoom arrière pour voir au-delà du bord du Canevas et révéler
son cadre de délimitation.
 Prenez également en compte l’ordre des couches lorsque vous sélectionnez un
élément dans le Canevas. Si un élément vous gêne pour en choisir un autre, servezvous de la Timeline pour sélectionner la piste en dessous et mettez en évidence les
glyphes dans l’une des zones de saisie de l’Inspecteur.
Je sélectionne sans le vouloir comme image de fond la texture, l’image ou le
film créés sur une piste.
 Choisissez Disposition > Verrouiller la position pour empêcher qu’un élément ne
soit sélectionné.
Lorsque beaucoup d’éléments se trouvent dans le Canevas, l’ensemble
est plus lent.
 Reportez-vous au chapitre 8, « Aperçu et rendu total de votre film de titrage », à la
page 111 pour découvrir comment optimiser les performances d’aperçu.
Page Apple destinée aux développeurs d’applications
professionnelles
Le site Web Apple Developer Connection comporte une page Applications Apple sur
laquelle les développeurs créant des contenus ou des extensions pour des applications
professionnelles trouveront tout ce dont ils ont besoin. Sur cette page, les développeurs
ont accès aux informations de dernière minute et aux ressources techniques, notamment de la documentation pour développeurs, des articles spéciaux et des paquets de
développement logiciel (SDK). Les développeurs peuvent également s’inscrire à la
nouvelle liste de diffusion pour développeurs d’applications pro. L’URL est la suivante
http://developer.apple.com/appleapplications.138 Annexe A Solutions aux problèmes fréquents et assistance client
Contact de l’assistance AppleCare
LiveType inclut une documentation relative aux options d’assistance de la part d’Apple.
Plusieurs niveaux d’assistance existent en fonction de vos besoins.
Remarque : dans certains cas d’assistance technique, AppleCare demande des informations autant sur l’ordinateur que sur la configuration de l’application en question.
Sélectionnez Aide > Créer un profil d’assistance pour créer un fichier contenant les
informations nécessaires et pouvant être envoyé par courrier électronique à AppleCare.
Vous n’aurez normalement pas à utiliser cette fonctionnalité sauf sur demande d’un
représentant d’AppleCare.
Quel que soit le problème rencontré, il est conseillé d’avoir les informations ci-après
à disposition. Plus vous pouvez communiquer rapidement ces informations, plus vite
l’assistance technique peut traiter votre demande.
 Le numéro d’identification d’assistance que vous avez reçu avec Final Cut Pro. Il est
différent du numéro de série du logiciel utilisé pour activer votre copie de LiveType.
 La version de Mac OS X que vous avez installée. Cette information s’obtient en choisissant À propos de ce Mac dans le menu Pomme.
 La version de LiveType installée, dont les mises à jour éventuelles. Ce numéro de
version s’obtient en choisissant LiveType > À propos de LiveType.
 Le modèle d’ordinateur utilisé.
 La quantité de RAM installée sur votre ordinateur et celle disponible pour LiveType.
Pour connaître la quantité de RAM installée, choisissez À propos de ce Mac dans le
menu Pomme.
 Les équipements de tierce partie connectés à ou installés sur l’ordinateur et leurs
fabricants respectifs. Pensez aux disques durs, cartes vidéo, etc.
 Tout module de tierce partie ou logiciel installé avec LiveType.
L’assistance AppleCare peut être contactée en ligne à l’adresse
http://www.apple.com/fr/support/livetype/index.html. 139
B Annexe
B Création et modification
d’EffectScripts
Dans LiveType, les effets sont basés sur le langage EffectScript. Un effet correspond à
un fichier texte et représente une séquence QuickTime apparaissant dans le Navigateur
média de l’interface LiveType.
Chaque ligne d’un EffectScript comporte une commande, suivie d’un groupe d’arguments de commande. Tabulations et espaces sont ignorés. Dans toute commande,
deux tirets (--) peuvent être suivis d’un commentaire. Les commentaires sont ignorés
par l’interpréteur d’EffectScripts.
En-tête
Les commandes d’en-tête ci-après doivent figurer au début de chaque EffectScript.
EffectScript 1.0
• Prenez 1.0. comme numéro de version de spécification EffectScript.
Name « nom de l’effet »
• Nomme l’effet. Les guillemets peuvent correspondre à tout délimiteur hormis
l’espace (”, ’, /, etc.).
Desc « description »
• Décrit l’effet. Il peut s’agir d’une longue chaîne, le texte passant à la ligne à l’écran.
Chronométrage par défaut
Après l’en-tête, un EffectScript doit posséder des réglages de chronométrage par défaut.
DefOffset a b c
• a est une valeur numérique.
• b correspond à %, Secondes ou Images.
• c équivaut à Début ou Fin.
DefReverse a
• a équivaut à 0 pour Avancer, 1 pour Inverser.140 Annexe B Création et modification d’EffectScripts
DefSequence a b c
• a équivaut à 0 pour Off, 1 pour On.
• b est une valeur numérique de % et peut être à virgule flottante.
• c correspond à L pour la gauche d’abord, à R pour la droite d’abord.
DefRandStart a b c
• a équivaut à 0 pour Off, 1 pour On.
• b est une valeur numérique et peut être à virgule flottante.
• c correspond à %, Secondes ou Images.
DefLoop a
• a est une valeur numérique, doit être un entier (prenez un chiffre élevé tel que 9999
pour appliquer une boucle continue).
DefSpeed a
• a est une valeur numérique de % et peut être à virgule flottante.
Images clés
Après l’en-tête, un EffectScript détermine un nombre d’images clés. Une image clé
débute avec une commande Time :
Time t
• t est la durée de l’image clé en secondes.
Chaque commande Time est suivie de commandes de paramètres. Voici l’exemple
d’une image clé :
Time 0,0
Scale 50
Track -50
Cette image clé signifie qu’au temps zéro secondes, chaque glyphe est mis à l’échelle
de 50 % et son crénage diminue de 50 %.
La première image clé doit se trouver au temps 0,0 et être suivie d’au moins une autre
image clé. Toutes les images clés doivent être répertoriées dans l’ordre. Dans un effet
donné, toutes les images clés doivent posséder le même jeu de commandes de
paramètres.
Les commandes de paramètres ci-après sont valides dans une image clé :
Accelerate n
• n est un pourcentage d’accélération. Il a une incidence sur le mode d’interpolation
de toutes les autres valeurs de paramètres entre cette image clé et la suivante. 0
signale l’absence d’accélération, 100 % une accélération et -100 % un ralentissement.Annexe B Création et modification d’EffectScripts 141
Blur x [y]
• x est le rayon de flou en pixels. Si y est précisé, les quantités de flou horizontal et
vertical sont différentes.
CanvasOffset x y
• x et y sont les décalages horizontaux et verticaux, exprimés en pourcentage des
dimensions du Canevas.
Il s’agit du paramètre utilisé pour les défilements.
Color r g b [n]
• r, g et b sont des valeurs de couleur dans [0..255].
• n est facultatif et correspond à un pourcentage d’opacité.
DoExtrude x
• x a la valeur 0 en cas d’absence d’extrusion, 1 s’il y a un volume.
DoGlow n
• n a la valeur 0 pour Non, 1 pour Oui.
DoShadow n
• n a la valeur 0 pour Non, 1 pour Oui.
ExtrudeDirection n
• n correspond à un angle en degrés, 0 désignant le haut, 90 la droite, etc.
ExtrudeLength n
• n est la longueur d’extrusion exprimée en pixels.
ExtrudeColor r g b
• r, g et b sont les valeurs de couleur d’extrusion dans [0..255].
ExtrudeOutline n
• n a la valeur 0 pour l’absence de contour, 1 si un contour est appliqué à l’extrusion.
GlowBlur n
• n est le rayon de flou d’éclat en pixels.
GlowColor r g b
• r, g et b sont les valeurs de couleur d’éclat dans [0..255].
GlowLayer n
• n a la valeur 0 pour Derrière tout, 1 pour À l’arrière-plan, 2 pour Devant et 3 Devant
avec remplissage du glyphe.
GlowOffset x y
• x et y sont les décalages d’éclat en pixels.142 Annexe B Création et modification d’EffectScripts
GlowOpacity n
• n est le pourcentage d’opacité de l’éclat.
GlowScale x y
• x et y sont des pourcentages d’échelle d’éclat.
GlowWarp x1 y1 x2 y2 x3 y3 x4 y4
• les paires x, y correspondent aux quatre points de déformation.
HideChar n
• n a la valeur 0 pour afficher le glyphe avec des effets de luminosité (Contour, Ombre,
Éclat, Volume) ou 1 pour le masquer.
HSL h s l
• h correspond au réglage d’angle de teinte en degrés, la valeur 0 indiquant qu’aucun
changement n’a lieu.
• s est le réglage de saturation en pourcentage, la valeur 0 indiquant qu’aucun
changement n’a lieu.
• l est le réglage de luminosité en pourcentage, la valeur 0 indiquant qu’aucun
changement n’a lieu.
Leading n
• n est un pourcentage modifiant la position de la ligne suivante dans la piste (par
exemple, prenez 0 pour placer la ligne suivante sur celle-ci, 100 pour ne pas y toucher
ou 200 pour en faire un double).
Matte n
• n a la valeur 0 pour Off, 1 pour On.
Offset x y
• x et y sont des décalages horizontaux et verticaux en pixels.
Opacity n
• n est le pourcentage d’opacité. Il est multiplié par l’opacité du glyphe.
Outline n
• n est la largeur de pixel pour le contour.
Rotate n
• n est l’angle de rotation exprimé en degrés, dans le sens des aiguilles d’une montre.
Scale x y
• x et y sont des multiplicateurs de pourcentage d’échelle, en horizontal et en vertical.
La mise à l’échelle est effectuée au niveau du point pivot du glyphe.
SetOutlineColor r g b
• r, g et b sont de valeurs de couleur du contour dans [0..255].Annexe B Création et modification d’EffectScripts 143
SetOutlineBlur n
• n est un nombre en pixels.
SetOutlineOnly n
• n a la valeur 0 pour Non, 1 pour Oui.
SetOutlineWarp x1 y1 x2 y2 x3 y3 x4 y4
• les paires x, y correspondent aux quatre points de déformation.
ShadBlur n
• n est le rayon de flou d’ombre en pixels.
ShadColor r g b
• r, g et b sont de valeurs de couleur de l’ombre dans [0..255].
ShadLayer n
• n a la valeur 0 pour Derrière tout, 1 pour À l’arrière-plan, 2 pour Devant et 3 Devant
avec remplissage du glyphe.
ShadOffset x y
• x et y sont des décalages d’ombre en pixels.
ShadOpacity n
• n est le pourcentage d’opacité de l’ombre.
ShadScale x y
• x et y sont des pourcentages d’échelle d’ombre.
ShadWarp x1 y1 x2 y2 x3 y3 x4 y4
• les paires x, y correspondent aux quatre points de déformation.
Size n
• n est un modificateur en pourcentage pour la taille du glyphe. Il a une incidence sur
la taille du glyphe, ainsi que sur l’interligne et le crénage dépendant de cette taille.
Les glyphes sont dimensionnés par rapport au centre du glyphe sur la ligne.
Slide n
• n est la quantité de glissement d’un élément sur une piste, exprimée en pourcentage
de la longueur de cette piste.
Tracking n
• n est un pourcentage modifiant la position du glyphe suivant (par exemple, prenez 0
pour placer le glyphe suivant sur celui-ci, 100 pour ne pas y toucher ou 200 pour en
faire un double).144 Annexe B Création et modification d’EffectScripts
Exemples d’EffectScripts
Pour afficher un EffectScript, il suffit d’ouvrir l’un des fichiers d’effets se trouvant dans
le dossier Bibliothèque/Application Support/LiveType/Effects de votre disque dur. Voici
quelques EffectScripts simples :
Zoom avant
EffectScript 1.0
--------------------------------------------------------------------
-- exemple "Zoom avant"
Name "Zoom avant"
Desc "Faire un zoom avant de zéro à normal de chaque glyphe de façon
linéaire, en partant de son point pivot. Augmenter en parallèle le
crénage de zéro à normal".
DefOffset 0 % Début
DefSequence 0 0 L
DefRandStart 0 0 %
DefLoop 1
DefSpeed 100
Time 0,0
Tracking -100 -- crénage de -100%, c’est-à-dire nul.
Scale 0 0 -- échelle de 0%
Time 2,0
Tracking 0 -- crénage de 0%, c’est-à-dire normal.
Scale 100 100 -- échelle de 100%.
--------------------------------------------------------------------
Zoom arrière
EffectScript 1.0
--------------------------------------------------------------------
-- exemple "Zoom arrière"
Name "Zoom arrière"
Desc "Faire un zoom arrière de normal à zéro de chaque glyphe de façon
linéaire, en partant de son point pivot. Diminuer en parallèle le
crénage de normal à zéro".
DefOffset 0 % Fin
DefSequence 0 0 L
DefRandStart 0 0 %
DefLoop 1
DefSpeed 105
Time 0,0
Tracking 0
Scale 100 100
Time 2,0
Tracking -100
Scale 0 0
--------------------------------------------------------------------Annexe B Création et modification d’EffectScripts 145
Rotation avec teinte
EffectScript 1.0
--------------------------------------------------------------------
-- exemple "Rotation avec teinte"
Name "Rotation avec teinte"
Desc "Rotation de chaque glyphe autour de son point pivot à une vitesse de
1 retournement/sec. Pour vous amuser, jouez simultanément avec la
couleur".
DefOffset 0 % Début
DefSequence 0 0 L
DefRandStart 1 100 %
-- la valeur loopCount est élevée pour que la boucle soit active pendant
toute la durée.
DefLoop 9999
DefSpeed 100
Time 0
Color 255 0 0 -- Tint Red (R=255, G=0, B=0)
Rotate 0
Time 1
Color 0 255 0 -- Tint Green (R=0, G=255, B=0)
Rotate 120
Time 2
Color 0 0 255 -- Tint Blur (R=0, G=0, B=255)
Rotate 240
Time 3
Color 255 0 0 -- Tint Red (R=255, G=0, B=0)
Rotate 0
-------------------------------------------------------------------- 147
Glossaire
Glossaire
16:9 Proportion d’écran large pour la vidéo. Le rapport entre la largeur et la hauteur de
la zone visible de l’image vidéo, également nommé proportion de l’image, est de 16:9,
ou 1,78.
AVI Acronyme d’Audio-Video Interleaved, le format standard de Microsoft pour la
vidéo numérique.
aspect des pixels Rapport entre la hauteur et la largeur des pixels composants l’image.
Les pixels NTSC sont carrés (ratio 1:1), contrairement aux pixels D-1.
canal alpha Un canal d’images supplémentaire utilisé pour enregistrer des informations de composition. Les canaux alpha sont souvent de 8 bits, certaines applications
prenant toutefois en charge des canaux de 16 bits. Seuls certains formats, tels que PICT
et le code Animation QuickTime, prennent en charge des canaux alpha.
canaux Peut désigner des canaux de couleurs ou alpha. Les informations de couleurs
et de transparence relatives aux plans vidéo et graphiques sont divisées en canaux
individuels.
Canevas L’une des quatre fenêtres principales de l’interface LiveType, où vous placez
du texte et des objets, créez les chemins d’animation et observez le résultat obtenu
au fil de votre composition.
chutier Dans Final Cut Pro, fenêtre contenant vos plans, transitions, effets et générateurs. Le chutier permet d’organiser tous ces éléments, de les trier, d’y ajouter des
commentaires, de les renommer, etc.
CMYK Acronyme de Cyan Magenta Yellow Black. Espace de couleur généralement
utilisé pour des images imprimées avec des imprimantes jet d’encre à 4 couleurs ou
offset.
codec Abréviation de compresseur/décompresseur. Composant logiciel servant à
convertir la vidéo ou l’audio d’une forme décompressée à une forme compressée, dans
laquelle le stockage a lieu. Sorenson Video et Cinepak sont des codecs vidéo QuickTime courants. Également désigné par le terme compresseur.148 Glossaire
composition Processus de combinaison de deux images vidéo ou électroniques ou
plus dans une seule image. Ce terme peut également faire référence à la création de
divers effets vidéo.
compression Processus réduisant la taille de fichiers audio, vidéo ou graphiques en
supprimant les données redondantes ou de moindre importance. Voir aussi codec.
décompression Processus de création d’une image pouvant être lue à partir d’un
fichier audio, vidéo ou graphique compressé.
données LiveType Terme collectif désignant les LiveFonts, textures et objets dans
LiveType, tous étant conçus à l’aide du format .afd 32 bits pour les polices animées.
durée Temps durant lequel une piste ou un effet existe dans la Timeline.
DVD Un disque DVD s’apparente à un CD-ROM ou un disque audio, sauf qu’il emploie
des méthodes de stockage de densité supérieure afin d’offrir plus de possibilités.
écran large Le format écran large permet de tourner et de projeter un film sur un
écran de cinéma. Contrairement au ratio 4:3, les images d’origine ne sont pas coupées.
Avec l’avènement de la vidéo haute définition, la vidéo 16:9 écran large est devenue
très populaire.
effet Dans LiveType, ensemble de paramètres d’attributs et de chronométrage
animant un élément.
élément Dans LiveType, tout ce que vous placez sur une piste :un caractère, un bloc
de texte sur une seule piste, un objet, un film, une texture ou une image.
filaire Le mode d’aperçu basique de LiveType, représentant les caractères et les objets
sous forme de cadres de délimitation. L’intérêt des aperçus filaires est leur temps de
rendu très court pour montrer l’animation d’éléments.
FireWire Marque déposée d’Apple pour le standard IEEE 1394. FireWire est une interface rapide et versatile servant à connecter des caméras DV à des ordinateurs. FireWire
s’adapte parfaitement à des applications déplaçant de grandes quantités de données.
Il peut par ailleurs permettre de connecter des disques durs, des scanners et d’autres
types de périphériques.
format NTSC Le sigle NTSC correspond à National Television Standards Committee, une
organisation fixant les standards de diffusion aux États-Unis. Le terme « vidéo NTSC » se
rapporte au standard vidéo établi par ce comité. Il se caractérise par une gamme de
couleurs restreinte, un entrelaçage, sa taille de 720 x 480 pixels environ et une vitesse
de 29,97 ips.
format PAL Acronyme de format Phase Alternating Line. Format vidéo entrelacé
de 25 ips (625 lignes par image) largement utilisé en Europe.Glossaire 149
glyphe Caractère isolé sur une piste. Un glyphe correspond souvent à une lettre ou un
symbole, sachant qu’un objet, une texture ou un élément importé peuvent également
être désignés comme glyphes dans LiveType.
image La vidéo se compose d’un nombre d’images fixes donnant l’impression d’une
animation lorsqu’elles sont lues. La vidéo NTSC lit 29,97 images par seconde, la vidéo
PAL 25. Chaque image vidéo diffusée se compose de deux trames, ce qui diffère du
mode de gestion des images au format film. Une image film est une photographie et
ne possède pas deux trames distinctes.
image clé Marqueur spécial soulignant un changement de valeur pour l’un des paramètres d’un effet appliqué. Lorsque deux images clés sont définies dans LiveType,
l’application les utilise pour donner une transition fluide.
importation Processus d’insertion de divers types de fichiers dans un projet LiveType.
Les fichiers importés sont généralement créés ou capturés dans une autre application.
Inspecteur L’une des quatre fenêtres principales de l’interface LiveType, servant
à insérer du texte et à appliquer des attributs, des styles et des paramètres d’effets à
des éléments de titrage.
LiveFont Les LiveFonts sont des jeux de caractères 32 bits. La plupart des LiveFonts
sont des animations informatisées. Elles peuvent toutefois se composer de données
vidéo ou de photos.
marqueurs Dans Final Cut Pro, les marqueurs désignent les points de montage signalant le début et la fin d’un plan ou des points de référence indiquant des passages
intéressants dans les plans et séquences.
Navigateur média L’une des quatre fenêtres principales de l’interface LiveType, servant
à sélectionner des polices, des objets, des textures et des effets.
numérique Qualificatif de données stockées ou transmises sous forme de séquences
de 1 et de 0. Le plus souvent, il s’agit de données binaires représentées à l’aide de
signaux électroniques ou électromagnétiques. Les séquences QuickTime sont par
exemple numériques.
objet Dans LiveType, les objets sont des éléments de 32 bits. À l’instar des LiveFonts, il
peut s’agir d’animations informatisées, de vidéo ou de photographies, ainsi que
d’autres éléments tels que des sous-titres.
PICT Format de fichier d’image fixe développé par Apple. Les fichiers PICT peuvent
contenir des images vectorielles et bitmap, ainsi que du texte et un canal alpha. PICT
est un format très répandu sur les ordinateurs Mac OS.150 Glossaire
piste Dans LiveType, une piste contient un élément et ses attributs. Dans le Canevas,
une piste apparaît sous forme de ligne bleu foncé, généralement à la base du texte, de
l’objet ou de l’image qu’elle contient. Une piste peut être modifiée pour former un
chemin d’animation que suivra son contenu. Dans la Timeline, une piste est symbolisée par une barre numérotée, les effets appliqués se trouvant souvent en dessous.
pixel Point dans une vidéo ou une image fixe. Généralement, la résolution basse d’un
moniteur est de 640 pixels de largeur par 480 pixels de hauteur. Les vidéos numériques sont souvent de 320 x 240 pixels.
poignées de Bézier Poignées bidirectionnelles contrôlant ou modifiant la courbe d’un
segment de ligne entre la poignée et le point suivant, de l’un des deux côtés. Plus une
poignée est éloignée de son point de vertex, plus elle courbe le segment de ligne
concerné. Pour déplacer des poignées de direction, glissez-les.
police Jeu complet de caractères. Voir aussi LiveFont.
postproduction Processus de montage de film ou de vidéo après obtention des
données sources.
proportion Rapport entre la largeur et la hauteur d’une image vidéo sur votre écran.
La proportion la plus courante est le ratio 4:3 des écrans de téléviseurs.
QuickTime La technologie multimédia multi-plateforme d’Apple. Largement utilisée
pour les CD-ROM, la vidéo diffusée sur le Web, le montage, etc.
RAID Acronyme de Redundant Array of Independent Disks. Méthode dotant les éditeurs
non linéaires de plusieurs méga-octets de stockage de données à haute performance
en regroupant des disques durs meilleur marché, plus petits et plus lents.
RAM Acronyme de random-access memory. Capacité de mémoire de votre ordinateur,
exprimée en octets et déterminant la quantité de données pouvant être à tout
moment traitée et stockée temporairement.
rendu Dans LiveType, processus de combinaison d’éléments de projets à des effets
appliqués, image par image. Une fois rendue, la séquence de titrage peut être lue en
temps réel.
RGB RGB Abréviation de Red Green Blue. Espace de couleur généralement utilisé sur
les ordinateurs. Chaque couleur est décrite selon l’intensité de ses composants rouges,
verts et bleus. Cet espace de couleur convertit directement les phosphores rouges,
verts et bleus utilisés par les moniteurs. L’espace couleur RGB possède une immense
gamme pouvant ainsi offrir une large palette.
SECAM Acronyme de Sequential Couleur Avec Memoire. Standard télévisuel français
de lecture. Similaire à PAL, avec une vitesse de lecture de 25 ips.Glossaire 151
séquençage Traitement d’effet dans lequel chaque glyphe d’une piste est transformé
de façon individuelle. Un effet séquencé commence par transformer un caractère avant
de passer au suivant, et ainsi de suite.
texture Dans LiveType, les textures sont des animations plein écran servant de fonds,
de remplissages ou de bordures.
TIFF Acronyme de Tagged Image File Format. Format de fichier graphique pixelisé largement utilisé, développé par Aldus et Microsoft et gérant le monochrome, les tonalités
de gris et les couleurs 8 bits et 24 bits.
timecode Méthode associant chaque image de film ou vidéo dans un plan avec une
unité de temps séquentielle. Le format est heures:minutes:secondes:images.
Timeline L’une des quatre fenêtres principales de l’interface LiveType, affichant le chronométrage des éléments de projets et les effets qui leur sont appliqués.
trame La moitié d’une image vidéo entrelacée se compose de lignes paires, l’autre de
lignes impaires. Les trames vidéo s’alternent chaque 1/60e de seconde dans une vidéo
NTSC pour faire défiler 30 images par seconde. Il existe deux trames pour chaque
image, une supérieure, une inférieure.
vidéo numérique Fait référence à la capture, la manipulation et le stockage de vidéo,
à l’aide du format numérique, comme peut le faire QuickTime. Par exemple, un caméscope numérique est une caméra vidéo capturant et stockant des images sur un
support numérique tel que DV. La vidéo peut ainsi être facilement importée.
X Désigne la coordonnée X dans la géométrie cartésienne. Cette coordonnée correspond à l’emplacement horizontal.
Y Désigne la coordonnée Y dans la géométrie cartésienne. Cette coordonnée correspond à l’emplacement vertical dans des effets d’animation.
zone de titre sécurisé Partie de l’image vidéo qui apparaîtra toujours sur les téléviseurs. La zone de titre sécurisé occupe 80 % de l’écran.
153
Index
Index
A
aide, en ligne 10–11
alignement de pistes de texte 65
angles, piste 50
animation
animation segmentée LiveFont 63
images clés et 96
importation de fichiers 84
types d'éléments animés 8
animation segmentée LiveFont 63
aperçu d'éléments
aperçu filaire animé 20
aperçu RAM 17, 37, 112
aperçus figés 111
aperçus filaires 21, 37, 111, 136, 148
aperçus suspendus 112
effets 105
effets prédéfinis 91
films de titrage 111–113
aperçu filaire animé 20, 21, 111, 136, 148
aperçu RAM 17, 37, 112
aperçus filaires 21, 37, 111, 136, 148
AppleCare Knowledge Base 135
Apple Store 12
application FontBook 80
assistance AppleCare 135, 138
attributs
affectation 24
éléments importés 87
films 87
images numériques 87
objets 87
pistes 137
autres applications 117
B
bannières, Web 35
bannières Web 35
barre de fond 27, 43
boucle d'éléments
effets 94
bouton Boucle 112
boutons Activer/Désactiver 28
C
canaux 147
canaux alpha 8, 66, 82, 147
Canevas 14–19
ajout d'objets au 82
ajout de texte au 59–60
ajout de textures au 83
Aperçu RAM dans le 112
commandes de lecture 16
contrôles de zoom 16
couleur 37
description 13, 14, 147
fond. Voir fonds
grilles 18
guides 18
illustration 13, 14
isolement de pistes 19
personnalisation 17–19
positionnement de pistes 49
réglage d'images clés dans le 98
règles 17
utilisation de pistes dans 15, 150
caractères
affectation d'effets à des 110
chemins d'animation 98
effets caractères spéciaux 127–130
éléments comme des 86
ensembles de caractères 62
espacement 65
modification de caractères individuels 79–80
problèmes lors de la sélection de 137
réglages de style 70
serrés 136
supprimer les effets sur des 92
verrouillés 137
catégories
effets prédéfinis 90
Navigateur média 30
champ de description 36
champs
champ de description 36154 Index
chemins d'animation
ajout aux effets 106
défilement ou glissement de texte 132
description 98
non fluides 136
chutiers 147
codec Animation 117, 118
codec BMP 118
codec Cinepak 118
codec Component vidéo 118
codec DV 118
codec DVCPRO-NTSC 118
codec DVCPRO-PAL 118
codec Graphismes 118
codec Intel Raw 118
codec PhotoJPEG 118
codec Planar RGB 118
codec PNG 118
codecs
description 147
exportation de films et 117
QuickTime 118, 147
codecs H.261 et 263 118
codecs Motion JPEGA et JPEGB 118
codecs Sorenson Vidéo et Vidéo 3 118
codec TGA 118
codec TIFF 118
codec Vidéo 118
commande Réveler dans le Finder 110
commande Réveler dans le Navigateur média 110
composition 148
compresseurs. Voir codecs
compression 148
contours extrudés 73
contrôles de transport 16
contrôles de zoom
dans le Canevas 16
curseur de zoom de la timeline 28
EffectScripts pour les 144
coordonnée x 151
coordonnée y 151
copie d'éléments
effets 95, 104
images clés 103
pistes 53, 104
couches
affectation aux traitements de 70
piste 56
techniques avancées 130–131
trous dans les. Voir fonction de remplissage
couleur
attributs 24
Canevas 37
CMYK 147
éclat ou ombre 71
fond 37, 41, 43
images importées 87
réglages d'extrusion 74
RGB 150
texte 66–67
curseur de zoom de la timeline 28
curseur Retard 55
D
décalage d'éléments
paramètre de décalage du Canevas 132
décompression 148
défilement de texte 132
déformation d'éléments 71, 123–125
dépannage 135–138
défilement ou glissement de texte 132
désactiver des polices 80
LiveFonts dans des grandes tailles de texte 65
positions des images de remplissage et de
fond 77
problèmes fréquents 135–137
rendu des trames déformé 38
ressources de 135
déplacer des éléments
groupes d'effets 95
pistes regroupées 57
direction des extrusions 74
disques DVD 148
dissociation de pistes 58
données numériques 149
dossier Effects 29, 144
dossier Images 30
dossier LiveFonts 29
dossier Objects 29
dossiers 29–30
dossier Templates 29
dossier Textures 29
duplication d'éléments
chaînes d'éléments 86
effets 95, 104
images clés 103
pistes 104
durée
description 148
effets 91, 94
pistes 55
E
édition de films LiveType dans Final Cut Pro 116
EffectScript Rotation avec teinte 145
EffectScripts 139–145
EffectScript Zoom arrière 144
EffectScript Zoom avant 144
effet Fade In 100–102
effet Glisser 125
effet imbrication de mots 121Index 155
effet Needle Drop 123–125
effets
ajout d'images clés à des 103
aperçu 91, 105
application à des pistes 90–91
attribution d'un nouveau nom 105
utilisation de caractères ou glyphes
individuels 110
considérations 89
copie d'images clés dans les 103
création personnalisée 106–109
désactivation 28, 57, 92, 115
description 22, 89, 139, 148
duplication 95
durée des 148
enregistrement 105
exemples d' 100–102
fichiers d'effets 29
groupes d' 95
liste des 90
dans LiveType 8
modification 95–102
ordre des 95
prédéfinis. Voir effets prédéfinis
recherche 110
réglages du chronométrage 23, 92–94
séquencés 151
stockage 29, 144
dans la timeline 27
effet Screech 125
effets prédéfinis
Voir aussi effets
aperçu 91
application à des pistes 90–91
pour des caractères ou glyphes individuels 110
désactivation 92
liste des 90
modification 95–105
ordre des 95
réglages du chronométrage 92–94
effets séquencés 63, 94, 151
éléments
Voir aussi objets
création de chaînes d' 86–87
description 148
importés. Voir éléments importés
problèmes lors de la sélection d' 137
redimensionnement 85
repositionnement 85
rotation 69, 85
types d' 8
verrouillés 137
éléments cachés 79
éléments d'échelle
attributs pour 24
effets éclat ou ombre 71
éléments non textuels 85, 87
éléments textuels 68
éléments de décalage
attributs pour 24
éclat ou ombre 71
éléments non textuels 87
texte 69
éléments de regroupement
pistes 28, 57–58
éléments de remplissage. Voir fonction de
remplissage
éléments de rotation
attributs pour 24
éléments non textuels 87
éléments importés
Voir aussi éléments
considérations de taille 115
création de chaînes de 86–87
performances système et 115
redimensionnement 85
transformation 85–87
éléments invisibles 79
éléments passant en boucle
effets LiveFonts 63
éléments verrouillés
caractères 137
éléments 137
films 85
pistes 28
textures 85
ensembles de caractères 62
en-têtes dans EffectScripts 139
épaisseur du texte du contour 72
espace de couleur 147, 150
espace de couleur CMYK 147
espace de couleur RGB 150
espacement dans le texte 65
explosion des polices 131
exportation d'éléments 116, 117, 118–119
extension .afd 113
extension .afp 113
extension .ipr 32
extension .ltfx 29
extension .ltlf 29
extension .ltob 29
extension .lttm 29
extension .lttx 29
extrémités
liaison 52
pistes 15
F
FAQ (Foire aux questions) 135–137
fenêtre Glyphe 66–69
fenêtre Paramètres actifs 96156 Index
fichiers
données 30
fichiers d'effets 139
fichiers de projets 32
importés 30
inclus dans LiveType 29
profils d'assistance 138
fichiers de données 30
fichiers média
description 148
importation de 30
inclus dans LiveType 29
versions antérieures des 30
fichiers PICT 149
fichiers source 30
figer les aperçus 111
films
Voir aussi film de titrage
aperçu. Voir films d'aperçu
attributs 87
déverrouillage de la position de 85
fond. 43–45
importation 43–45, 84
lecture en boucle dans les 112
qualité de sortie 114
remplissage du contenu d'une piste avec des 77
rendu 117–119
styles 87
films d'aperçu
description 113
enregistrement 113
qualité des 114
rendu 113
films de fond 43–45
films de titrage
Voir aussi films
aperçu 111–113
rendu 117–119
Final Cut Pro
édition de films LiveType dans 116
importation de films LiveType 116
rendu de projets LiveType dans 116
FireWire 148
flou
attributs 24
éléments non textuels 87
éléments textuels 71
réglages 68
foire aux questions (FAQ) 135–137
fonction de remplissage 24, 74–79, 87, 121–123
fonds 41–45
ajout 41–45
à texture 42
couleur 37, 41, 43
importation d'images pour les 44
présentation 15
réglages 37
rendu 37, 45
révéler dans les remplissages 74
rôle des 41
transparents 75–76
fonds transparents 75–76
formatage du texte 63–74
format AVI 43, 84, 118, 147
format BMP 43, 84, 118
format d'image QuickTime 44, 84, 118
format de film QuickTime 44, 84, 117
format DV 43, 84
format écran large 148
format FLC 118
format Flux DV 118
format GIF 35, 43, 84
format Heuris MPEG 118
format image JPEG 2000 118
format Intel Indeo Vidéo r3.2 118
format JPEG 43, 84, 118
format MacPaint 118
format MPEG-2 43, 84, 118
format MPEG-4 43, 84, 105, 118
format NTSC 148
format PAL 148
format Photoshop 43, 84, 118
format PICS 43, 84
format PICT 43, 84, 118, 149
format PLS 43, 84
format PNG 44, 84, 118
formats
Voir aussi formats spécifiques
exportation 118–119
importation 43, 84
format SECAM 150
formats « file pair » 30
format SGI 44, 84, 118
format Targa 44, 84
format temporel SMPTE 36
format TGA 118
format TIFF 44, 84, 151
fréquences 35
G
glissement de texte 133
glissements ripple 55
glyphe
couleur 66–67
glyphes 136, 149
affectation d'effets à des 110
chemins d'animation 98
effets caractères spéciaux 127–130
éléments comme des 86
modification de glyphes individuels 79–80
options de transformation 67–69Index 157
supprimer les effets sur des 92
graphismes. Voir images
grille
affichage 17, 37
masquage 37
personnalisation 18
réglages 18, 37
grossissement de la vue. Voir contrôles de zoom
groupe d'éléments
effets 95
guides, Canevas 18
guides réticules 18
H
haute qualité 114
HSL (Teinte, Saturation et Luminosité) 66
I
IEEE 1394 (FireWire) 148
images
Voir aussi images clés
affichage dans la timeline 27
description 149
fixes 44
fond 44
images affiches 113
images proxy 19, 113
importation 44, 84
numériques 87
pixelisées 135
recherche 110
réglages temporels 36
remplissage du contenu d'une piste avec des 77
stockage 30
images affiches 113
images clés 96–98
affichage des paramètres 96
ajout à des effets 103
« bloquées » 136
cachées 136
copie d' 103
déplacement 103
description 28, 149
EffectScripts 140–143
modification de toutes les images clés 98
présentation 96
réglage de paramètres 97–98
rotation et 69
suppression 103
images clés cachées 136
images clés invisibles 136
images fixes 44
images numériques 87
Voir aussi images
images pixelisées 135
images proxy 19, 113
importation d'éléments
dans d'autres applications 117
description 149
fichiers de données 30
films 43–45, 84
films de fond 43–45
projets LiveType dans Final Cut Pro 116
formats pour l' 43, 84
images 44, 84
images de fond 44
images fixes 44
Inspecteur 20–24
aperçu filaire animé 21
description 13, 20, 149
illustration 13, 20
LED dans l' 98
onglets dans l' 21–24
options de formatage 64
zones de saisie de texte 20, 60
instructions d'action sécurisée 15
instructions de titre sécurisé 15
interligne, texte 65
L
largeur d'images GIF 35
LED, Inspecteur 98
liaison d'extrémités 52
lignes standard de texte 69
listes de diffusion pour les développeurs
d'applications Pro 137
LiveFont Nitro 131
LiveFonts
description 8, 149
ensembles de caractères 62
et polices système 61
réglage du chronométrage 62–63
techniques avancées 130–131
LiveType 114
aide en ligne 10–11
fichiers d'effets 29
fichiers média 29, 148
impossible d'ouvrir 136
introduction à 7–12
restauration de la disposition par défaut 14
site Web 11
longueur des extrusions 74
M
Mac OS, version de 138
marqueurs
chronométrage 45
description 149
point d'entrée 27
point de sortie 27158 Index
sélection de rendu 27, 115
séquence 96–98
marqueurs de chronométrage 45
marqueurs de la sélection de rendu 27, 115
marqueurs de séquence 96–98
marqueurs des points d'entrée et de sortie 27
matériel
à noter pour communication à l'assistance
technique 138
rendu des trames et 38
mémoire 115, 138, 150
menu local Alpha 66
menu local Paramètre 99
modèles 31–32
description 10
enregistrement de projets sous forme de 32
ouverture 32
stockage 29
moniteurs NTSC 136
N
Navigateur média
catégories dans 30
description 13, 25, 149
fichiers média dans 30
navigateur modèles 32
noms d'effets modifiés 105
O
objets
Voir aussi éléments
ajout au Canevas 82
animés 8
attributs 87
création de chaînes d' 86–87
description 8, 149
manipulation d' 82
redimensionnement 85
stockage 29
styles 87
traitements 22
transformation 85–87
objets Particles 19
onglet Attributs 24, 66
onglet Chronométrage 23, 62–63, 93–94
onglet Effets 22, 89
onglet Objets 82
onglets de projets, timeline 26
onglet Style 22, 70–74
onglet Texte 21, 64
onglet Textures 83
opacité
attributs 24
éclat ou ombre 71
fonds 41
remplissages. Voir fonction de remplissage
rendu des fonds et 45
texte transparent 68
option aléatoire
pour effets 93
pour effets LiveFonts 63
option extrusion du contour 73
option Priorité de trame 36
options de crénage pour le texte 65
options Suspendre premier et Suspendre dernier 63,
94
ordre des effets 95
P
palette de caractères 127
paramètre Couleur 66
paramètre de décalage du Canevas 132
paramètre Échelle 68
paramètre Glisser 52
paramètres
d'images clés 96
indicateurs LED 98
paramètres actifs 99
paramètres actifs 99
paramètre Taille 68
performances d’aperçu 114–115, 137
pistes 47–58
activation/désactivation 28
ajout 53
application d'effets prédéfinis à des 90–91
attributs 97, 137
chronométrage 23, 54–55
couches 56
courbes 51–52, 125–127
création de chaînes d'éléments sur des 86–87
déplacement 49, 55
désactivation 28, 57, 115
description 15, 47, 150
dissociation 58
duplication 53
duplication des effets sur des 95
durée 55, 148
extrémités 15
forme des 49
groupes d'effets dans 95
illustration 49
inclinaison 49
isolement dans le Canevas 19
liaison d'extrémités 52
manipulation dans la timeline 150, 54–58
manipulation du Canevas 15, 150
numérotation 27
points de contrôle 50–52
redimensionnement 49
regroupement 28, 57–58Index 159
remplacement d'éléments sur les 87
remplissage avec des films 77
remplissage avec des images 77
remplissage avec une texture 78
rendu d'aperçus 115
réorganisation 56
retarder l'apparition 55
saisie de texte sur 60
sélection 64
suppression 53
texte. Voir pistes de texte
verrouillage de la position 28
vides 53
pistes courbes 51–52, 125–127
pistes de texte
alignement 65
changement de polices 60
courbes 125–127
modification de caractères dans des 79–80
texte dans les 59
pixels 36, 136, 150
pixels carrés 136
pixels NTSC 136
plans vidéo, importation 43
poignées d'échelle 81
poignées de Bézier 51, 150
poignées de rotation 81
poignées pour les objets 81
points de contrôle 15, 50–52
polices
Voir aussi texte
animées 8
changement pour des pistes de texte 60
choix 59–60
couleur 66–67
désactiver 80
description 150
polices nécessaires 80
problèmes avec les 135
système 61, 62, 67
polices système
changement de la couleur de 67
pour le défilement ou le glissement de texte 132
description 61
durée des 62
contre LiveFonts 61
position des effets 95
préréglages, projet 35
procédures, création de titres 9
processus de postproduction 150
processus de titrage 7, 8
profils pour l'assistance 138
projets
chronométrage Voir réglages du chronométrage
configuration 31–37
démarrage 33
enregistrement de modèles sous forme de 32
fonds. Voir fonds
préréglages pour les 35
propriétés 31, 34–37
réglages de qualité 36
réglages par défaut 33
rendu 117–119
rendu dans Final Cut Pro 116
projets LiveType. Voir projets
proportion 136, 147, 150
proportion 16:9 147
proportion de l'image 147
proportion des pixels 36, 147
propriétés, projet 31, 34–37, 114
Q
qualité brouillon 114
qualité normale 114
QuickTime
codecs 118, 147
description 150
effets et 105
plans d'aperçu et 105
R
raccourcis clavier 28
RAM 115, 150
recherche d'éléments via la timeline 110
réglage Afficher contour seulement 72
réglage Rendre le fond 37
réglages de la hauteur pour GIF 35
réglages de qualité 36
réglages du chronométrage
contrôle 23
EffectScripts 139–140
effets 92–94
format temporel 36
heure de début 36
LiveFonts 62–63
dans l'onglet Chronométrage 62–63
réglage temporel SMPTE Drop 36
règle de l'image 26
règles
affichage 17, 37
masquage 37
réglages 37
remplacement d'éléments sur les pistes 87
rendu 117–119
amélioration de la vitesse de 115
changement de la sélection 27
critères temporels 114
description 150
films d'aperçu 113
dans Final Cut Pro 116
fonds 37, 45160 Index
ordre de rendu des trames 36, 38–39
qualité du 114
réglages de 114
réglages de la qualité 37
réordonner les effets 95
ressources
de dépannage 135
sites Web Apple 12
restaurer les positions des caractères 80
retard d'éléments
effets 94
effets LiveFonts 63
retarder des éléments
contenu de la piste 55
rotation d'éléments
EffectScript pour 145
éléments non textuels 85
texte 69, 80
S
sauvegarde des effets modifiés 105
scripts (EffectScripts) 139–145
séquences
recherche via la timeline 110
sites Web
AppleCare 135, 138
Apple Developer Connection 137
Apple Store 12
Applications Apple 137
FireWire 12
LiveType 11
service et assistance Apple 12
sites Web Apple 12, 135, 137
site Web Apple Developer Connection 137
site Web Applications Apple 137
stockage RAID 150
style Contour 22, 72–73, 87
style Éclat 22, 70–71, 87, 123–125, 136
style Ombre 22, 70–71, 87, 123–125, 136
styles
éléments importés 87
films 87
images numériques 87
objets 87
texte 70–74, 123–125
style Volume 22, 73–74, 87
suppression d'éléments
images clés 103
pistes 53
suppression de guides 18
Suspension d'aperçus 112
symboles 127–130
T
taille de fichier 115, 127
terminologie 147–151
test du rendu des trames 38
tête de lecture 26
texte 59–80
alignement 65
caractères spéciaux 127–130
couleur 66–67
crénage 65
défilements et glissements 132–133
déformation 71, 123–125
effet contour 72–73
effet éclat 70–71, 123–125
effet extrusion 73–74
effet imbrication de mots 121–123
effet ombre 70–71, 123–125
effet remplissage 24, 74–79, 121–123
formatage 63–74
insertion 59–61
interligne 65
lignes standard 69
modification de caractères 79–80
polices. Voir polices
rotation 69, 80
saisie et modification 21, 59–60
styles 70–74, 123–125
taille du 65, 68
traitements 22
transformation 67–69
textures
ajout au Canevas 83
animées 8
création de chaînes de 86–87
description 8, 151
déverrouillage de la position de 85
fonds 42
manipulation de 83
redimensionnement 85
remplissage du contenu d'une piste avec des 78
stockage 29
transformation 85–87
timecode 26, 151
Timeline 26–28
affichage d'images dans la 27
barre de fond 43
déplacement d'images clés dans la 103
description 14, 26, 151
effets dans la 27
illustration 13, 26
manipulation de pistes dans la 27, 54–58, 150
onglets de projets 26
recherche d'éléments avec la 110
tête de lecture 26
timecode 26
titrage de films
procédure de création 9
touches d'accès rapide 28Index 161
trames
description 151
ordre de rendu 36, 38–39
transformation d'éléments
éléments importés 85–87
texte 67–69
transparence
fond 41
rendu et 45
texte 68
trous dans les couches. Voir fonction de remplissage
U
utilitaire FontMaker 8
utilité de la touche Maj. Voir Visualiseur de clavier
V
valeurs de luminosité 66
valeurs de saturation 66
valeurs de teinte 66
vidéo
entrelacée 36
NTSC 149
numérique 151
PAL 149
vidéo entrelacée 36
vidéo NTSC 148, 149
vidéo numérique 151
vidéo PAL 149
visualiseur de clavier 62
vitesse
ajuster au contenu de la piste 55
des effets 94
films LiveFont 63
Z
zone de dialogue AFD manquante 113
zone de dialogue des Préférences 30
zone de dialogue Police 128
zone de dialogue Propriétés du projet 34–37, 114
zone de titre sécurisé 15, 151
zones de saisie de texte 20, 60
Suivez attentivement les instructions contenues dans cette fiche. Dans le cas contraire, vous prenez le risque
d’endommager votre équipement et d’annuler sa garantie.
Remarque : Des instructions sont disponibles en ligne à l’adresse http://www.apple.com/support/doityourself/.
Outils nécessaires
• Servez-vous de l'outil fourni ou d'un tournevis cruciforme n° 2, de préférence avec embout magnétisé.
• Tournevis à lame plate.
• Un bac à vis ou équivalent pour contenir les vis.
Emplacement de la pièce
iMac G5 (17-inch) - Hard Drive 1
Disque dur, 17 pouces
Instructions de remplacement
F033-2489 Rev. C
iMac G5À savoir
1. Toutes les vis pouvant être retirées par l’utilisateur sont de couleur laiton. Veillez à ne pas retirer
de vis qui ne soient pas de couleur laiton, sous peine d’annulation de la garantie.
2. Un tournevis cruciforme coudé en forme de “L” et magnétisé est fourni avec la pièce de rechange.
3. Veillez à vous relier à la terre lorsque vous effectuez une opération dans l’ordinateur. Dans cette fiche de
procédure, vous apprendrez comment vous relier à la terre.
4. Pour débrancher un élément, ne tirez pas sur les fils mais sur le connecteur.
5. Evitez la présence de boissons et autres liquides à proximité tandis que vous travaillez sur l’iMac.
6. Un tableau des vis est joint à la fin du présent document. Servez-vous en pour identifier les types de vis et
leurs emplacements.
2 iMac G5 (17-inch) - Hard Drive F033-2489 Rev. COuverture de l’ordinateur
Remarque : Les instructions suivantes concernent les modèles iMac G5 (17 pouces). Ces modèles
peuvent différer légèrement de ceux illustrés dans les figures de ce document. Cependant, la procé-
dure suivante s'applique aux deux modèles.
1. Éteignez votre ordinateur en sélectionnant l’option Éteindre dans le menu Pomme.
2. Débranchez tous les câbles et le cordon d’alimentation de votre ordinateur.
3. Placez un linge propre et doux sur le bureau ou sur votre ordinateur. En maintenant les bords de l’ordinateur,
inclinez doucement ce dernier pour le poser sur son écran (comme indiqué).
F033-2489 Rev. C iMac G5 (17-inch) - Hard Drive 34. Localisez les trois vis du boîtier (entourées ci-dessous). Soulevez le pied métallique pour localiser la vis du
milieu. Remarque : Ces vis sont des vis imperdables, ce qui signifie qu’elles s’intègrent à l’ensemble écran et
collerette et qu’elles ne peuvent pas être sorties entièrement.
À l’aide de l’outil fourni ou d’un tournevis cruciforme n° 2, dévissez les trois vis imperdables. Remarque :
tournez les vis dans le sens inverse des aiguilles d'une montre jusqu'à ce qu'elles cessent de tourner.
N'essayez pas de les dévisser au-delà du point d'arrêt.
5. En tenant le capot arrière par le pied métallique, soulevez-le et détachez-le de l’ordinateur. Placez le capot de
côté.
4 iMac G5 (17-inch) - Hard Drive F033-2489 Rev. CDépose du disque dur
1. Pour accéder au disque, vous devez tout d’abord retirer d’autres modules. Cette fiche de procédure décrit
comment retirer et remettre en place ces modules. Remarque : En retirant chaque module, déposez-le sur le
côté, accompagné des vis associées.
2. Important : Veillez à vous relier à la terre. Touchez la surface métallique (montrée ci-dessous) située à l’intérieur de l’ordinateur pour décharger l’électricité statique.
Avertissement : Veillez à décharger l'électricité statique avant de toucher ou d'installer tout composant à l'intérieur de l'ordinateur. Pour éviter la génération d'électricité statique, évitez au maximum de piétiner une moquette avant d'avoir terminé votre travail et fermé l'ordinateur.
F033-2489 Rev. C iMac G5 (17-inch) - Hard Drive 53. Identifiez le cache des ventilateurs situé dans la partie supérieure de l’ordinateur.
4. À l’aide de l’outil fourni ou d’un tournevis cruciforme n° 2, ôtez les deux vis du cache de ventilateurs.
Dissociez le cache de ventilateurs de l’ordinateur en le soulevant et mettez-le de côté.
6 iMac G5 (17-inch) - Hard Drive F033-2489 Rev. C5. Ecartez le câble vidéo noir (situé sur la gauche du disque dur) afin de pouvoir accéder à l'une des vis du
disque dur.
6. Enlevez les trois vis du disque dur et mettez-les de côté.
F033-2489 Rev. C iMac G5 (17-inch) - Hard Drive 77. Soulevez le disque dur de 2 centimètres environ. Débranchez les trois câbles du disque dur. Remarque :
Laissez les câbles branchés sur la carte mère.
8. Soulevez le disque dur pour le dissocier du midplane. Important : Renvoyez ce disque dur à Apple dans
l’emballage fourni.
8 iMac G5 (17-inch) - Hard Drive F033-2489 Rev. CInstallation du disque dur de remplacement
1. Sortez le disque dur de remplacement de son emballage.
2. Branchez les trois câbles (entourés) au disque dur.
3. Posez le disque dur en place et revissez les trois vis.
F033-2489 Rev. C iMac G5 (17-inch) - Hard Drive 94. Rangez le câble vidéo noir dans la zone indiquée par les flèches.
5. Coincez le câble vidéo dans l’emplacement prévu à cet effet dans le châssis du midplane.
10 iMac G5 (17-inch) - Hard Drive F033-2489 Rev. C6. Remettez en place les deux vis du cache de ventilateurs. La vis la plus grosse se fixe sur la gauche.
Remarque : Assurez-vous que la languette soit dressée à la verticale (comme indiqué) pour pouvoir tirer
dessus aisément.
F033-2489 Rev. C iMac G5 (17-inch) - Hard Drive 11Fermeture de l'ordinateur
1. Replacez le capot de telle façon que les fentes situées dans la partie supérieure du capot coïncident avec les
languettes du dessus de l’écran.
2. Fixez le capot en place en appuyant dessus jusqu’à ce qu’il s’enclenche sur l’ordinateur.
12 iMac G5 (17-inch) - Hard Drive F033-2489 Rev. C3. Revissez les trois vis imperdables en les tournant dans le sens des aiguilles d'une montre. Ne les serrez pas
excessivement.
4. Reconnectez le cordon d'alimentation à l'ordinateur posé sur son écran et replacez l'ordinateur en position
verticale. Allumez l'ordinateur.
F033-2489 Rev. C iMac G5 (17-inch) - Hard Drive 1314 iMac G5 (17-inch) - Hard Drive F033-2489 Rev. C
Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur
Servez-vous des CD d'installation livrés avec votre ordinateur pour installer Mac OS X et les applications fournies
avec votre ordinateur, et pour installer Mac OS 9.
Installation de Mac OS X et des applications
Pour installer Mac OS X et les applications qui étaient fournies avec votre ordinateur, procédez comme suit :
1. Si possible, sauvegardez vos fichiers les plus importants.
2. Introduisez le CD-ROM "Mac OS X Install Disc 1", fourni avec votre ordinateur, dans le lecteur optique.
3. Double-cliquez sur “Install Mac OS X and Bundled Software”.
4. Suivez les instructions qui s'affichent à l'écran.
5. Après avoir sélectionné le disque de destination pour l'installation, continuez à suivre les instructions à l'écran.
Il est possible que votre ordinateur redémarre et vous demande d'insérer le CD-ROM suivant, "Mac OS X
Install Disc 2".
Remarque : Si vous souhaitez rétablir les réglages d'origine de Mac OS X sur votre ordinateur, cliquez sur
Options dans la sous-fenêtre “Sélectionner une destination” du logiciel d'installation, et ensuite choisissez
“Effacer et installer”.
Installation des applications
Pour installer seulement les applications fournies avec votre ordinateur, procédez comme suit. Mac OS X doit
d'ores et déjà être installé sur votre ordinateur.
1. Si possible, sauvegardez vos fichiers les plus importants.
2. Introduisez le CD-ROM "Mac OS X Install Disc 1", fourni avec votre ordinateur, dans le lecteur optique.
3. Double-cliquez sur “Install Bundled Software Only.”
4. Suivez les instructions qui s'affichent à l'écran.
5. Après avoir sélectionné le disque de destination pour l'installation, continuez à suivre les instructions à l'écran.
Il est possible que votre ordinateur redémarre et vous demande d'insérer le CD-ROM suivant, "Mac OS X
Install Disc 2".
Remarque : Pour installer iCal, iChat AV, iMovie, iPhoto, iSync, iTunes et Safari, suivez les instructions de la
rubrique ci-dessus : “Installation de Mac OS X et des applications”.F033-2489 Rev. C iMac G5 (17-inch) - Hard Drive 15
Installation de Mac OS 9
Si vous souhaitez utiliser des applications Mac OS 9 sur votre ordinateur, servez-vous du CD-ROM “Logiciels supplémentaires et Apple Hardware Test” pour installer Mac OS 9.
Pour installer Mac OS 9, procédez comme suit :
1. Si possible, sauvegardez vos fichiers les plus importants.
2. Introduisez le CD-ROM “Logiciels supplémentaires et Apple Hardware Test” dans le lecteur optique.
3. Double-cliquez sur “Installer les logiciels complémentaires”.
4. Suivez les instructions qui s'affichent à l'écran.
5. Après avoir sélectionné le disque de destination pour l'installation, continuez à suivre les instructions à l'écran.16 iMac G5 (17-inch) - Hard Drive F033-2489 Rev. C
Emplacements des vis sur l’iMac G5 (17 pouces)
Onduleur (1 vis) Lecteur optique (3 vis)
Cache de ventilateurs (2 vis)
Câble vidéo (2 vis)
Midplane (6 vis)
Disque dur (3 vis)F033-2489 Rev. C iMac G5 (17-inch) - Hard Drive 17
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iMovie
Rassemblez toutes vos vidéos
dans une seule vidéothèque.
Créez et partagez vos films
en quelques minutes.
Aide iMovie film
www.apple.com/fr/ilife/imovieTable des matières 5
Table des matières
Chapitre 1: Prêt, feu, configurez !
8 Bienvenue
9 Contenu de la boîte
10 Configuration du MacBook Air
16 Configuration de Partage de CD ou DVD
17 Migration d’informations vers votre MacBook Air
20 Pour obtenir des informations supplémentaires sur votre MacBook Air
23 Extinction ou suspension d’activité de votre MacBook Air
Chapitre 2: Votre MacBook Air au quotidien
28 Caractéristiques de base de votre MacBook Air
31 Fonctionnalités du clavier de votre MacBook Air
33 Ports présents sur votre MacBook Air
35 Utilisation du trackpad et du clavier
37 Fonctionnement de votre MacBook Air sur batterie
39 Comment obtenir des réponses à vos questions6 Table des matières
Chapitre 3: À tout problème sa solution
45 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre MacBook Air
49 Utilisation d’Apple Hardware Test
50 Réinstallation de logiciel à l’aide de Installation à distance de Mac OS X
56 Réinstallation de logiciel à l’aide du lecteur MacBook Air SuperDrive
57 Problèmes de communication sans fil avec AirPort Extreme
58 Problèmes de connexion à Internet
59 Maintien à jour de vos logiciels
60 Informations, services et assistance
63 Localisation du numéro de série de votre produit
Chapitre 4: Dernières recommandations
66 Informations importantes concernant la sécurité
69 Informations importantes sur la manipulation
71 Ergonomie
73 Apple et l’environnement
75 Regulatory Compliance Information1
1 Prêt, feu, configurez !
www.apple.com/fr/macbookair
Aide Mac Assistant Migration8 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !
Bienvenue
Nous vous félicitons pour votre achat d’un MacBook Air. Votre MacBook Air est optimisé pour la portabilité et pour une expérience complètement sans fil. Lisez ce chapitre pour obtenir des conseils sur la configuration et l’utilisation de votre MacBook Air.
 Si vous savez que vous téléchargerez principalement des applications et du contenu
à partir d’Internet et n’effectuerez pas de migration d’information à partir d’un autre
Mac, vous pouvez suivre les instructions de base pour configurer rapidement votre
MacBook Air.
 Si vous souhaitez effectuer une migration des informations à partir d’un autre Mac ou
obtenir du contenu de vos CD ou DVD sur votre MacBook Air, vous pouvez identifier
un ou plusieurs ordinateurs Mac ou Windows qui fonctionneront en partenariat avec
votre MacBook Air.
Important : lisez attentivement toutes les instructions d’installation (et les consignes de
sécurité débutant à la page 65) avant d’utiliser votre ordinateur pour la première fois.
Vous trouverez la plupart des réponses à vos questions dans l’Aide Mac. Pour en savoir
plus sur l’accès à l’Aide Mac, consultez la section « Comment obtenir des réponses à
vos questions » à la page 39. Apple est susceptible de publier de nouvelles versions et
mises à jour de ses logiciels système, il est possible que les images de ce manuel soient
légèrement différentes de ce que vous voyez à l’écran.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 9
Contenu de la boîte
Important : retirez le film protecteur qui enveloppe l’adaptateur secteur MagSafe de
45W avant de configurer votre MacBook Air.
À propos des disques optiques
Bien que votre MacBook Air ne dispose pas de disque optique, il est fourni avec des DVD
qui comprennent des logiciels importants. En utilisant le lecteur de disque optique d’un
autre ordinateur Mac ou Windows, vous pouvez facilement accéder à ces logiciels, et installer des applications et accéder à des données à partir d’autres disques optiques. Vous
pouvez également utiliser le lecteur de disque optique externe MacBook Air SuperDrive
en option.
Câble secteur
®
Fiche
secteur
Adaptateur secteur MagSafe de 45 W
Adaptateur
Micro-DVI vers DVI
Adaptateur
Micro-DVI vers VGA10 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !
Configuration du MacBook Air
Votre MacBook Air est conçu pour pouvoir être configuré rapidement et utilisé immé-
diatement. Les pages suivantes contiennent des informations qui vous guideront tout
au long du processus de configuration, notamment des opérations suivantes :
 le branchement de l’adaptateur secteur MagSafe de 45W ;
 la mise sous tension du MacBook Air et l’utilisation du trackpad ;
 l’utilisation d’Assistant réglages pour accéder à un réseau et configurer un compte
utilisateur et d’autres réglages ;
 la configuration des préférences et du bureau Mac OS X.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 11
Étape 1: Branchez l’adaptateur secteur MagSafe de 45W pour alimenter
le MacBook Air et charger sa batterie.
Insérez la fiche secteur de votre adaptateur secteur dans une prise secteur et le connecteur MagSafe dans le port d’alimentation MagSafe sur le côté arrière gauche de
votre MacBook Air. En approchant le connecteur MagSafe du port, vous ressentirez
la force d’un aimant l’attirant.
Pour augmenter la portée de votre adaptateur secteur, remplacez la fiche secteur par
le cordon d’alimentation secteur. Commencez par tirer la prise secteur vers le haut
pour la retirer de l’adaptateur, puis attachez à l’adaptateur le cordon d’alimentation
secteur inclus, en vous assurant qu’il est fermement connecté. Branchez l’autre extré-
mité sur une prise de courant.
Lorsque vous déconnectez l’adaptateur secteur d’une prise de courant ou de l’ordinateur, débranchez la prise et non le câble.
¯
Câble secteur
Fiche
secteur
®
Connecteur MagSafe Port secteur MagSafe12 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !
La première fois que vous branchez l’adaptateur secteur sur le MacBook Air, la lampe
témoin du connecteur MagSafe s’illumine. Une lumière orange indique que la batterie
est en charge. Une lumière verte indique que la batterie est complètement chargée. Si
aucune lumière n’apparaît, assurez-vous que le connecteur est fermement branché et
que l’adaptateur secteur est branché à une prise secteur.
Étape 2: Appuyez brièvement sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre
MacBook Air.
Votre ordinateur émet un signal sonore lorsque vous l’allumez.
Sa mise en route prend quelques instants. Après le démarrage, Assistant réglages
s’ouvre automatiquement.
Si l’ordinateur ne s’allume pas, consultez la section « Si votre MacBook Air ne s’allume
ou ne démarre pas » à la page 47.
®
Trackpad Bouton du trackpad
® Bouton d’alimentationChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 13
Étape 3: Configurez votre MacBook Air à l’aide d’Assistant réglages
La première fois que vous démarrez votre MacBook Air, Assistant réglages se met en
route pour vous aider à saisir les informations de connexion à Internet ainsi qu’à configurer un compte d’utilisateur sur votre MacBook Air. Vous pouvez également effectuer
une migration des informations à partir d’un autre Mac au cours de la procédure de
configuration.
Remarque : si vous n’utilisez pas Assistant réglages pour transférer vos informations
lors du premier démarrage de votre MacBook Air, vous pourrez le faire ultérieurement.
Accédez au dossier Applications, ouvrez le dossier Utilitaires, puis double-cliquez sur
Assistant migration.
Pour configurer votre MacBook Air :
1 Dans Assistant réglages, suivez les instructions à l’écran jusqu’à obtenir l’écran
« Possédez-vous déjà un Mac ? » .
2 Effectuez une configuration de base ou une configuration avec migration :
 Pour effectuer une configuration de base, sélectionnez « ne pas transférer mes données maintenant » et cliquez sur Continuer. Suivez le reste des indications à l’écran
pour sélectionner votre réseau sans fil, configurer un compte puis quitter Assistant
Réglages.
 Pour effectuer une configuration avec migration, commencez par configurer comme partenaire un autre Mac muni d’un lecteur de disque optique (voir la section « Configuration
de Partage de CD ou DVD » à la page 16). Consultez ensuite la page 17, « Migration
d’informations vers votre MacBook Air. » 14 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !
Remarque : si vous avez déjà lancé Assistant Réglages sur votre MacBook Air, vous
pouvez l’abandonner en cours de traitement sans quitter l’application, passer à l’autre
ordinateur pour y installer le logiciel de configuration Partage de DVD ou CD puis revenir à votre MacBook Air pour terminer la configuration. Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 15
Étape 4: Personnalisez le bureau Mac OS X et réglez les préférences.
Grâce aux Préférences Système, vous pouvez donner rapidement à votre bureau l’apparence souhaitée. Choisissez Pomme (?) > Préférences Système à partir de la barre des
menus ou cliquez sur l’icône Préférences Système dans le Dock. Préférences Système
représente votre poste de commande pour la plupart des réglages de votre MacBook Air.
Barre des menus
Dock Icône des Préférences Système
Menu Aide Icône de recherche de Spotlight
Icône du Finder16 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !
Configuration de Partage de CD ou DVD
Vous pouvez créer un « partenariat » entre votre MacBook Air et un autre ordinateur
Mac ou Windows équipé d’un lecteur de disque optique et situé sur le même réseau
câblé ou sans fil. Utilisez cet autre ordinateur pour :
 effectuer une migration des informations de votre MacBook Air, si l’autre ordinateur
est un Mac (voir « Migration d’informations vers votre MacBook Air » à la page 17) ;
 partager le contenu de DVD ou CD (voir « Partage de disques avec Partage de CD ou
DVD » à la page 20) ;
 installer Mac OS X à distance (voir « Réinstallation de logiciel à l’aide de Installation à
distance de Mac OS X » à la page 50) ou utiliser Utilitaire de disque (voir « Utilisation
d’Utilitaire de disque » à la page 55).
L’ordinateur équipé du lecteur optique peut être un Mac disposant de Mac OS X
v10.4.10 ou ultérieur ou un ordinateur Windows XP ou Windows Vista. Vous pouvez
créer des partenariats avec plusieurs ordinateurs.
Ordinateur Mac ou Windows MacBook AirChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 17
Insérez le disque « Mac OS X Install Disc 1 » fourni avec votre MacBook Air pour installer le logiciel de configuration Partage de CD ou DVD, qui comprend l’Assistant migration et l’Installation à distance de Mac OS X :
 Si l’autre ordinateur est un Mac, double-cliquez sur le paquet de configuration
Partage de DVD ou CD sur le disque « Mac OS X Install Disc 1 ».
 Si l’autre ordinateur est un ordinateur Windows, choisissez « Partage de CD ou DVD »
à partir de l’Assistant d’installation qui démarre automatiquement.
Migration d’informations vers votre MacBook Air
Vous pouvez effectuer une migration de comptes utilisateur existants, fichiers, applications et autres informations à partir d’un autre ordinateur Mac.
Pour effectuer une migration d’informations vers votre MacBook Air:
1 Configurez l’autre Mac (voir page 16), puis assurez-vous qu’il est allumé et se trouve
sur le même réseau câblé ou sans fil que votre MacBook Air.
Vérifiez l’icône d’état AirPort (Z) dans la barre des menus en haut de l’écran de l’autre
Mac pour savoir à quel réseau sans fil vous êtes connecté. Choisissez le même réseau
pour votre MacBook Air durant la configuration.
2 Sur votre MacBook Air, suivez les instructions à l’écran d’Assistant réglages jusqu’à obtenir l’écran « Possédez-vous déjà un Mac ? ». Sélectionnez « d’un autre Mac » comme
source des informations à transférer. Sur l’écran suivant, choisissez votre réseau sans fil
puis cliquez sur Continuer.18 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !
3 Lorsque l’écran « Connectez-vous à l’autre Mac » apparaît avec un mot de passe, suivez
le reste de la procédure sur l’autre Mac. Vous devrez saisir le mot de passe affiché dans
l’Assistant migration sur l’autre Mac.
4 Sur l’autre Mac, ouvrez Assistant migration (situé dans /Applications/Utilities/) puis
cliquez sur Continuer.
5 Lorsqu’une méthode de migration vous est demandée, sélectionnez « Vers un autre
Mac » puis cliquez sur Continuer.
6 Sur l’autre Mac, quittez toutes les autres applications ouvertes puis cliquez sur Continuer.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 19
7 Sur l’autre Mac, saisissez le code de six chiffres affiché dans Assistant configuration
sur votre MacBook Air.
8 Cliquez sur Continuer pour lancer la migration.
Important : n’utilisez l’ autre Mac pour rien d’autre jusqu’à la fin de la migration.20 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !
Pour obtenir des informations supplémentaires sur votre
MacBook Air
Votre MacBook Air est fourni avec plusieurs applications préinstallées, notamment
la suite iLife ’08. Vous pouvez télécharger de nombreuses autres applications à partir
d’Internet. Si vous souhaitez installer des applications tierces à partir de CD ou de DVD,
vous pouvez :
 installer des applications sur votre MacBook Air à l’aide du lecteur de disque optique
d’un autre ordinateur Mac ou Windows (si Partage de CD ou DVD est configuré est
activé) : consultez la section suivante pour plus d’informations ;
 connecter un lecteur MacBook Air SuperDrive (lecteur de disque optique USB
externe disponible séparément à la page www.apple.com/fr/store) au port USB
de votre MacBook Air, et y insérer votre disque d’installation.
Partage de disques avec Partage de CD ou DVD
Vous pouvez activer Partage de CD ou DVD sur un ordinateur Mac ou Windows de façon
que votre MacBook Air puisse partager les disques que vous insérez dans le lecteur de disque optique d’autre ordinateur . Certains disques, notamment DVD ou disques de jeu,
peuvent être protégés en copie et donc inutilisables par le biais de Partage de CD ou DVD.
Assurez-vous de commencer par installer le logiciel de configuration Partage de DVD
ou CD sur tout ordinateur Mac ou Windows avec lequel vous souhaitez créer un partenariat. Pour plus de renseignements, consultez la page 16.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 21
Pour activer Partage de CD ou DVD si votre autre ordinateur est un Mac :
1 Assurez-vous que l’autre Mac et votre MacBook Air sont sur le même réseau sans fil.
Vérifiez l’icône d’état AirPort (Z) dans la barre de menus pour savoir à quel réseau
vous êtes connecté.
2 Sur l’autre Mac, choisissez Pomme (?) > Préférences Système puis ouvrez Partage.
3 Dans la sous-fenêtre Partage, sélectionnez « Partage de CD ou DVD » dans la liste des services. Si vous souhaitez que les autres utilisateurs doivent demander la permission d’utiliser un DVD ou CD que vous partagez, cochez la case « Me demander avant d’autoriser
l’utilisation de mon lecteur DVD ».22 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !
Pour activer Partage de CD ou DVD, si votre autre ordinateur est un ordinateur
Windows :
1 Assurez-vous que votre MacBook Air et l’ordinateur Windows sont sur le même réseau
sans fil.
2 Sur l’ordinateur Windows, ouvrez le panneau de configuration Partage de CD ou DVD.
3 Sélectionnez « Activer le partage de CD ou DVD ». Si vous souhaitez que les autres utilisateurs doivent demander la permission d’utiliser un DVD ou CD que vous partagez,
cochez la case « Me demander avant d’autoriser l’utilisation de mon lecteur DVD ».
Pour utiliser un DVD ou CD partagé :
1 Sur l’autre ordinateur, insérez un DVD ou un CD dans le lecteur de disque optique.
2 Sur votre MacBook Air, sélectionnez le disque distant lorsqu’il apparaît dans Appareils dans
la barre latérale du Finder. Si le bouton « Demander à utiliser » apparaît, cliquez dessus.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 23
3 Sur l’autre ordinateur, lorsque vous y êtes invité, cliquez sur Accepter pour autoriser
votre MacBook Air à utiliser le DVD ou CD.
4 Sur votre MacBook Air, utilisez le disque de la manière habituelle lorsqu’il devient
disponible.
Si vous essayez d’éteindre l’autre ordinateur ou d’éjecter le DVD ou CD partagé pendant que votre MacBook Air l’utilise, un message vous indique que le disque est en
cours d’utilisation. Pour continuer, cliquez sur Continuer.
Extinction ou suspension d’activité de votre MacBook Air
Lorsque vous avez terminé de travailler avec le MacBook Air, suspendez son activité
ou éteignez-le.
Suspension de l’activité de votre MacBook Air
Suspendez l’activité de votre MacBook Air si vous ne comptez vous en éloigner que quelques instants. Vous pourrez ensuite le réactiver rapidement sans avoir à le redémarrer.
Pour suspendre l’activité de votre MacBook Air, procédez de l’une des manières
suivantes :
 Rabattez l’écran.
 Choisissez Pomme (?) > Suspendre l’activité, dans la barre des menus.24 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !
 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Suspendre l’activité dans
la zone de dialogue qui apparaît.
 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système, cliquez sur Économiseur
d’énergie et définissez un délai pour la minuterie de mise en veille.
Pour réactiver le MacBook Air :
 Si l’écran est fermé, il suffit de l’ouvrir pour réactiver votre MacBook Air.
 Si l’écran est déjà ouvert, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) ou sur l’une des
touches du clavier.
À la réactivation de votre MacBook Air, vos applications, documents et réglages sont
conservés tels que vous les aviez laissés.
AVIS : avant de déplacer votre MacBook Air, patientez quelques secondes jusqu’à ce
que la lampe témoin de suspension d’activité située sur l’avant de votre MacBook Air
clignote (signalant que l’activité de l’ordinateur est suspendue et que le disque dur a
cessé de tourner). Tout déplacement de votre ordinateur lorsque le disque dur est en
train de tourner risque d’endommager ce dernier et d’entraîner une perte de données
ou l’impossibilité de démarrer à partir du disque dur.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 25
Extinction de votre MacBook Air
Si vous ne comptez pas utiliser votre MacBook Air pendant un jour ou deux, il est pré-
férable de l’éteindre. La lampe témoin de suspension d’activité reste allumée quelques
instants au moment de l’extinction.
Pour éteindre le MacBook Air, procédez de l’une des manières suivantes :
 Choisissez Pomme (?) > Éteindre dans la barre des menus.
 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Éteindre dans la zone de
dialogue qui apparaît.
Si vous comptez ranger votre MacBook Air pour une durée prolongée, consultez la section « Informations importantes sur la manipulation » à la page 69 afin d’obtenir des
informations sur les mesures à prendre pour éviter que votre batterie ne se décharge
complètement.2
2 Votre MacBook Air
au quotidien
www.apple.com/fr/macosx
Aide Mac Mac OS X28 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien
Caractéristiques de base de votre MacBook Air
®
® Bouton d’alimentation
Lampe témoin
de la caméra
Caméra iSight
Capteur de lumière
ambiante
Haut-parleur
mono (sous le clavier)
Microphone
Lampe témoin de
suspension d’activité
Récepteur à infrarouge
Trackpad
Batterie
(en dessous)
Bouton du trackpadChapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 29
Capteur de lumière ambiante
Le capteur de lumière ambiante ajuste la luminosité du clavier en fonction de la lumière
disponible dans votre environnement de fonctionnement.
Caméra iSight intégrée et lampe témoin de la caméra
Organisez une vidéoconférence avec d’autres personnes à l’aide d’iChat AV, prenez des
photos avec Photo Booth ou enregistrez de la vidéo avec iMovie. La lampe témoin s’illumine en vert lorsque la caméra iSight est en cours de fonctionnement.
Microphone intégré
Enregistrez directement du son à l’aide du micro (situé à droite de la caméra iSight)
ou profitez de l’application iChat AV incluse pour discuter en direct avec vos amis.
Haut-parleur mono intégré
Permettent d’écouter de la musique, des films, des jeux et d’autres types de données
multimédias.
Batterie rechargeable intégrée
Utilisez votre MacBook Air en puisant l’énergie de la batterie lorsque vous n’êtes pas
à proximité d’une prise de courant.30 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien
Trackpad et bouton du trackpad
Déplacez le pointeur, cliquez, double-cliquez, faites défiler, zoomez et plus en utilisant
un doigt ou plus sur le trackpad. Pour plus de détails, consultez la section « Utilisation du
trackpad et du clavier » à la page 35.
Lampe témoin de suspension d’activité
Une lumière blanche clignote lorsque votre MacBook Air est en suspension d’activité.
Récepteur infrarouge intégré
Utilisez une télécommande Apple Remote en option (disponible séparément à
www.apple.com/fr/store) avec le récepteur infrarouge pour contrôler Front Row
et Keynote sur votre MacBook Air.
® Bouton d’alimentation
Permet d’allumer ou d’éteindre votre MacBook Air, ou d’en suspendre l’activité. Appuyez
sur ce bouton et maintenez-le enfoncé pour redémarrer le MacBook Air lors des procé-
dures de dépannage.Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 31
Fonctionnalités du clavier de votre MacBook Air
®
Touche
de fonction (Fn)
esc
F1 F2 F3 F4 F5 F6 F7 F8 F9 F10 F11 F12
—
C
- Touches de
réglage du
volume
Touches de
réglage de la
luminosité
Touche
d’éjection
de disque
Touche
silence
Touche
Exposé
Touche
Dashboard Commandes
multimédias
Touches d’illumination
du clavier
’32 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien
Touche de fonction (Fn)
Appuyez sur cette touche et maintenez-la enfoncée pour activer les actions personnalisées affectées aux touches de fonction (F1 à F12). Pour apprendre comment personnaliser les touches de fonction, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis
recherchez « touches de fonction ».
¤ Touches de réglage de luminosité (F1, F2)
Permettent d’augmenter ( ) ou de réduire ( ) la luminosité de l’écran de votre
MacBook Air.
Touche Toutes les fenêtres Exposé (F3)
Ouvre Exposé pour accéder rapidement à toutes vos fenêtres ouvertes.
Touche Dashboard (F4)
Ouvre Dashboard pour accéder à vos widgets.
o Touches d’illumination du clavier (F5, F6)
Permettent d’augmenter (o) ou de réduire (ø) l’illumination du clavier.
’ Touches multimédias (F7, F8, F9)
Permettent d’effectuer un retour rapide (]), de lire ou mettre en pause (’) ou
d’avancer (‘) un morceau, une séquence ou un diaporama.
— Touche Silence (F10)
Permet de désactiver le son provenant du haut-parleur intégré ou de la prise casque.
- Touches de réglage du volume (F11, F12)
Permettent d’augmenter (-) ou de diminuer (–) le volume du son provenant du
haut-parleur intégré ou de la prise casque.
C Touche d’éjection de disque
Appuyez sur cette touche et maintenez-la enfoncée pour éjecter un disque à partir d’un
lecteur MacBook Air SuperDrive (disponible séparément à www.apple.com/fr/store). Il est
également possible d’éjecter un disque en faisant glisser son icône dans la Corbeille.Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 33
Ports présents sur votre MacBook Air
Trappe des ports
Port d’adaptateur
secteur MagSafe
d Port USB 2.0 £Port Micro-DVI
®
¯
f Prise casque34 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien
¯ Port d’adaptateur secteur MagSafe
Branchez l’adaptateur secteur MagSafe de 45W inclus pour recharger la batterie
du MacBook Air.
Trappe des ports
Ouvrez la trappe des ports pour utiliser la prise casque, le port USB 2.0 et le port
Micro-DVI.
f Prise casque
Permet de brancher des haut-parleurs externes ou un casque audio.
d Port USB (Universal Serial Bus) 2.0
Permet entre autres de brancher à votre MacBook Air lecteur de disque optique externe,
adaptateur USB vers Ethernet, modem, iPod, souris ou clavier. Vous pouvez également y
brancher des périphériques USB 1.1.
£ Port Micro-DVI (sortie vidéo)
Permet de brancher un moniteur externe, un projecteur ou un téléviseur équipé d’un
connecteur DVI, VGA, composite ou S-vidéo. Suivant le type d’appareil externe que vous
connectez, vous pouvez utiliser l’adaptateur Micro-DVI vers DVI ou l’adaptateur MicroDVI vers VGA inclus. L’adaptateur Micro-DVI vers vidéo, qui gère la vidéo composite et
S-video, est vendu séparément à l’adresse www.apple.com/fr/store.Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 35
Utilisation du trackpad et du clavier
Utilisez le trackpad pour déplacer le pointeur ainsi que pour faire défiler, cliquer, doublecliquer et faire glisser. Le déplacement du pointeur à l’écran est proportionnel à la vitesse
à laquelle vous déplacez votre doigt sur le trackpad. Pour effectuer un petit déplacement
du pointeur, décalez votre doigt lentement sur le trackpad. Plus vous bougerez votre
doigt rapidement, plus le déplacement du pointeur sera important. Pour régler avec plus
de précision la vitesse de déplacement et régler d’autres options du trackpad, choisissez
menu Pomme (?) > Préférences Système, cliquez sur Clavier et souris, puis sur Trackpad.
Voici quelques astuces et raccourcis pour le trackpad et le clavier :
 La suppression vers l’avant supprime des caractères situés à la droite du point d’insertion. La touche Suppr. élimine les caractères situés à gauche du point d’insertion.
Pour supprimer vers l’avant, maintenez enfoncée la touche de fonction (fn) tout en
pressant la touche Supprimer.
 Un clic secondaire ou « clic droit » vous permet d’accéder aux commandes du menu local.
Pour effectuer un clic secondaire, placez deux doigts sur le trackpad tout en cliquant
sur le bouton du trackpad. Si la fonction « toucher pour cliquer » est activée, il vous
suffit de toucher le trackpad avec deux doigts.36 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien
Vous pouvez également effectuer un clic secondaire en maintenant enfoncée la touche Contrôle tout en cliquant.
 Le défilement à deux doigts vous permet de faire défiler rapidement vers le haut, vers
le bas ou vers les côtés dans la fenêtre active. Cette option est activée par défaut.
Les gestes de trackpad suivants fonctionnent dans certaines applications, notamment
Aperçu ou iPhoto. Pour plus de renseignements, choisissez Aide > Aide Mac et recherchez le terme « trackpad ».
 Le pincement à deux doigts vous permet d’effectuer un zoom avant ou arrière sur
des fichiers PDF, des images, des photos, etc.Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 37
 La rotation à deux doigts vous permet de faire pivoter photos, pages et autres éléments.
 Le balayage à trois doigts vous permet de feuilleter rapidement des documents, de
passer à la photo précédente ou suivante, etc.
Fonctionnement de votre MacBook Air sur batterie
Lorsque l’adaptateur secteur MagSafe de 45W n’est pas branché, le MacBook Air est
alimenté par sa batterie rechargeable intégrée. L’autonomie du MacBook Air varie en
fonction des applications utilisées et des périphériques externes qui y sont connectés.
MacBook AirLa désactivation de fonctions sans fil telles qu’AirPort Extreme ou Bluetooth®
contribue à économiser l’énergie de votre batterie.
Si votre batterie faiblit pendant que vous travaillez, branchez l’adaptateur secteur livré
avec votre MacBook Air et laissez la batterie se recharger. Lorsque l’adaptateur secteur
fourni est connecté, la batterie se recharge, que l’ordinateur soit éteint, allumé ou en
mode de suspension d’activité. La recharge sera toutefois plus rapide si l’ordinateur
est éteint ou en mode de suspension d’activité.38 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien
Pour déterminer si la batterie a besoin d’être rechargée, observez le témoin lumineux
du connecteur MagSafe. Si le témoin est orange, la batterie a besoin d’être rechargée.
Si le témoin est vert, la batterie est complètement chargée.
Vous pouvez également vérifier la charge actuelle de la batterie en observant l’icône
d’état de la batterie ( ) située dans la barre des menus. Le niveau affiché dépend
de la quantité d’énergie restant dans la batterie, mais aussi des applications et des
périphériques en cours d’utilisation, ainsi que des réglages actuels de votre système.
Pour disposer de plus d’énergie, fermez des applications, déconnectez les périphériques non utilisés et réglez la fonction d’Économiseur d’énergie. Pour en savoir plus sur
l’économie de la batterie et obtenir des astuces pour améliorer ses performances, consultez la page www.apple.com/fr/batteries/notebooks.html.
Important : seul un Centre de Maintenance Agréé Apple peut remplacer la batterie.Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 39
Comment obtenir des réponses à vos questions
De plus amples informations sur l’utilisation de votre MacBook Air sont disponibles
dans l’Aide Mac et sur Internet, à l’adresse www.apple.com/fr/support/macbookair.
Pour faire apparaître l’Aide Mac :
1 Cliquez sur l’icône du Finder dans le Dock (la barre d’icônes située au bord de l’écran).
2 Cliquez sur le menu Aide dans la barre de menus et effectuez une des actions
suivantes :
a Tapez une question ou un terme dans le champ de recherche puis sélectionnez une
rubrique dans la liste de résultats ou sélectionnez Afficher tous les résultats pour voir
toutes les rubriques.
b Choisissez Aide Mac pour ouvrir la fenêtre Aide Mac. Vous pouvez alors cliquer sur
les liens ou saisir une question.40 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien
Informations supplémentaires
Pour en savoir plus sur l’utilisation de votre MacBook Air, consultez le tableau suivant :
Pour obtenir
des informations sur : Procédez ainsi
Le dépannage de votre
MacBook Air en cas de
problème
Consultez le chapitre 3, « À tout problème sa solution, » à la
page 43.
L’obtention de services et
d’assistance pour votre
MacBook Air
Consultez la section « Informations, services et assistance » à la
page 60. Vous pouvez également consulter le site web de support
Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support/macbookair.
L’utilisation de Mac OS X Consultez le site web Mac OS X, à l’adresse www.apple.com/fr/macosx
ou recherchez « Mac OS X » dans l’Aide Mac.
La migration depuis un PC
vers un Mac
Reportez-vous aux instructions (en anglais) intitulées « How to
move to Mac » à la page www.apple.com/getamac/movetomac.
L’utilisation des applications iLife ’08
Consultez le site web d’iLife ’08 à l’adresse www.apple.com/fr/ilife.
Vous pouvez aussi ouvrir une application iLife ’08 puis ouvrir l’Aide
de l’application et saisir une question dans le champ de recherche.
La modification des
Préférences Système
Ouvrez Préférences Système en choisissant le menu Pomme (K)
> Préférences Système. Vous pouvez également rechercher
« préférences système » dans l’Aide Mac.
L’utilisation de votre trackpad Essayez différents gestes au sein d’une application donnée pour vérifier quelles sont les fonctionnalités gérées. Recherchez « trackpad »
dans l’Aide Mac ou ouvrez Préférences Système et cliquez sur Clavier
et souris, puis sur Trackpad.
L’utilisation de la caméra
iSight
Recherchez « iSight » dans l’Aide Mac.Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien 41
L’utilisation de la technologie sans fil AirPort Extreme
Consultez la page web d’assistance AirPort à l’adresse
www.apple.com/fr/support/airport. Vous pouvez également ouvrir
l’Aide Mac et rechercher « AirPort ».
L’utilisation de la technologie sans fil Bluetooth
Consultez la page web d’assistance Bluetooth à l’adresse
www.apple.com/fr/support/bluetooth. Vous pouvez également
ouvrir l’application Échange de fichiers Bluetooth (qui se trouve
dans le dossier Utilitaires du dossier Applications), puis choisir Aide
> Aide Bluetooth.
La connexion d’une
imprimante
Recherchez « impression » dans l’Aide Mac.
Les connexions USB Recherchez « USB » dans l’Aide Mac
La connexion à Internet Recherchez « Internet » dans l’Aide Mac.
La connexion d’un moniteur externe
Recherchez « port de moniteur » dans l’Aide Mac.
La télécommande Apple
Remote (vendue séparé-
ment à l’adresse
www.apple.com/fr/store)
Recherchez « télécommande » dans l’Aide Mac.
Front Row Recherchez « Front Row » dans l’Aide Mac.
Les caractéristiques Consultez la page web de caractéristiques techniques à l’adresse
www.apple.com/fr/support/specs. Vous pouvez également ouvrir
Informations Système en choisissant le menu Pomme (K) > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis en cliquant sur Plus
d’infos.
Pour obtenir
des informations sur : Procédez ainsi42 Chapitre 2 Votre MacBook Air au quotidien
L’actualité Apple, les télé-
chargements gratuits et les
catalogues de logiciel et de
matériel en ligne
Consultez le site web d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr.
Les instructions, l’assistance technique et les
manuels des produits Apple
Consultez le site web de support Apple à l’adresse
www.apple.com/fr/support.
Pour obtenir
des informations sur : Procédez ainsi3
3 À tout problème sa solution
www.apple.com/fr/support
Aide Mac aide44 Chapitre 3 À tout problème sa solution
Il se peut que vous rencontriez des problèmes en utilisant le MacBook Air. Lisez ce chapitre pour trouver des idées de solution qui vous aideront à les régler. Vous trouverez
aussi des informations supplémentaires concernant le dépannage dans l’Aide Mac et
sur le site web d’assistance consacré au MacBook Air, à l’adresse
www.apple.com/fr/support/macbookair.
Il existe généralement une solution simple et rapide aux problèmes qui peuvent survenir au cours de l’utilisation de votre MacBook Air. Réfléchissez aux conditions qui ont
entraîné l’apparition de ce problème. Ce récapitulatif de la totalité des opérations effectuées avant que le problème ne survienne permet de restreindre les causes possibles
et de trouver la solution. Les éléments à noter comprennent :
 les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu (les
problèmes qui n’apparaissent qu’avec une application spécifique peuvent indiquer
que cette application n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur
votre ordinateur) ;
 les nouveaux logiciels installés, notamment ceux qui ont ajouté des éléments à votre
dossier Système.Chapitre 3 À tout problème sa solution 45
Problèmes vous empêchant d’utiliser votre MacBook Air
Si votre MacBook Air ne répond plus ou que le pointeur se fige
Il peut arriver, très rarement, qu’une application se « fige » à l’écran. Mac OS X permet
de quitter une application figée sans redémarrer votre ordinateur. Vous pouvez ainsi
enregistrer le travail effectué dans d’autres applications ouvertes.
Pour forcer une application à se fermer :
1 Appuyez sur les touches Commande (x) + Option + Échap ou choisissez le menu
Pomme (?) > Forcer à quitter dans la barre des menus.
La boîte de dialogue « Forcer à quitter des applications » apparaît. L’application est
sélectionnée.
2 Cliquez sur Forcer à quitter.
L’application se ferme, en laissant toutes les autres applications ouvertes.
Si nécessaire, vous pouvez également redémarrer le Finder à partir de cette zone
de dialogue.
Enregistrez ensuite votre travail dans les applications ouvertes, puis redémarrez l’ordinateur afin de vous assurer que le problème est entièrement réglé.
Si vous ne parvenez pas à forcer la fermeture d’une application, maintenez enfoncé le
bouton d’alimentation (®) durant quelques secondes jusqu’à l’extinction de l’ordinateur. Attendez 10 secondes puis allumez l’ordinateur.
Si le problème survient fréquemment, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des
menus en haut de l’écran. Recherchez le mot « bloquer » pour obtenir de l’aide en
cas de blocage de l’ordinateur, ou s’il ne répond pas.46 Chapitre 3 À tout problème sa solution
Si le problème ne survient que lorsque vous utilisez une application particulière, vérifiez auprès de son éditeur si elle est compatible avec votre ordinateur. Pour obtenir des
coordonnées et une assistance relatifs aux logiciels fournis avec votre MacBook Air,
consultez la page www.apple.com/fr/guide.
Si vous savez qu’une application est compatible, vous devrez peut-être réinstaller le
logiciel système de votre ordinateur. Consultez « Réinstallation des logiciels fournis
avec votre MacBook Air » à la page 53.
Si le MacBook Air se bloque au démarrage, si un point d’interrogation clignotant
apparaît ou si l’écran est éteint et que la lampe témoin de suspension d’activité
reste allumée (lorsque l’ordinateur n’est pas en mode de suspension d’activité)
Le point d’interrogation clignotant signifie généralement que l’ordinateur ne parvient
pas à localiser le logiciel système sur le disque dur interne ou sur tout disque externe
relié à l’ordinateur.
 Patientez quelques secondes. Si l’ordinateur ne démarre toujours pas, éteignez-le en
appuyant sur le bouton d’alimentation (®) et en le maintenant enfoncé pendant 8 à 10
secondes. Débranchez tous les périphériques externes puis tentez de redémarrer l’ordinateur en appuyant sur le bouton d’alimentation (®) tout en maintenant la touche
Option enfoncée. Lorsque votre ordinateur démarre, cliquez sur l’icône du disque dur,
puis sur la flèche droite. Une fois que l’ordinateur a démarré, ouvrez Préférences Système et cliquez sur Démarrage. Sélectionnez un dossier Système local de Mac OS X.
 Si cela ne donne pas de résultats, tentez de réparer le disque à l’aide d’Utilitaire de
disque. Pour plus de renseignements, consultez la section « Utilisation d’Utilitaire de
disque » à la page 55.Chapitre 3 À tout problème sa solution 47
Si votre MacBook Air ne s’allume ou ne démarre pas
Tentez les opérations suivantes dans l’ordre jusqu’à ce que votre ordinateur s’allume :
 Assurez-vous que l’adaptateur secteur est connecté à l’ordinateur et branché sur une
prise de courant en état de marche. Assurez-vous d’utiliser l’adaptateur secteur MagSafe de 45W fourni avec votre MacBook Air. Si l’adaptateur secteur ne recharge plus
l’ordinateur et que la lampe témoin de l’adaptateur secteur ne s’allume pas lorsque
vous branchez le câble d’alimentation, essayez de le débrancher puis de le brancher
à nouveau afin de le positionner correctement.
 Vérifiez si votre batterie a besoin d’être rechargée. Si le témoin de l’adaptateur secteur est orange, la batterie se recharge. Consultez la section « Fonctionnement de
votre MacBook Air sur batterie » à la page 37.
 Si le problème persiste, rétablissez les réglages par défaut de l’ordinateur en appuyant
sur les touches Maj, Option (Alt) gauche et Contrôle gauche tout en maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant cinq secondes.
 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) puis relâchez-le et maintenez immédiatement les touches Commande (x), Option, P, et R enfoncées jusqu’à entendre une
deuxième fois le son du démarrage. Cette action réinitialise la mémoire PRAM (RAM
des paramètres).
 Si vous ne parvenez toujours pas à démarrer le MacBook Air, consultez la section
« Informations, services et assistance » à la page 60 qui contient les informations
nécessaires pour prendre contact avec Apple.48 Chapitre 3 À tout problème sa solution
Si l’affichage devient subitement noir ou que votre MacBook Air se bloque
Essayez de redémarrer votre MacBook Air.
1 Débranchez tout périphérique connecté à votre MacBook Air excepté l’adaptateur secteur.
2 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour redémarrer le système.
3 Le niveau de charge de la batterie doit atteindre au moins 10 pour cent avant la connexion d’un périphérique et la reprise du travail.
Pour vérifier le niveau de charge de la batterie, observez l’icône d’état de la batterie
( ) située dans la barre des menus.
L’affichage pourrait également s’assombrir si les fonctions d’économie d’énergie de
la batterie sont en place.
Si votre MacBook Air ne parvient pas à se connecter au lecteur de disque optique
d’un autre odinateur
Pour utiliser les services tels qu’Assistant migration, Partage de CD ou DVD, Installation
à distance de Mac OS X et le partage de musique iTunes, votre MacBook Air et l’autre
ordinateur doivent être connectés au même réseau. Si votre MacBook Air est connecté
sans fil et que l’autre ordinateur est connecté à un routeur tiers par Ethernet, vérifiez la
documentation de votre routeur pour vérifier qu’il peut gérer le pontage entre connexions avec et sans fil.Chapitre 3 À tout problème sa solution 49
Utilisation d’Apple Hardware Test
Si vous pensez être en présence d’un problème lié aux composants matériels du
MacBook Air, vous pouvez utiliser l’application Apple Hardware Test pour savoir si tel est
le cas (les composants touchés peuvent être la mémoire ou le processeur, par exemple).
Pour utiliser Apple Hardware Test sur votre MacBook Air :
1 Déconnectez tous les périphériques externes de votre ordinateur, sauf l’adaptateur secteur.
2 Redémarrez votre MacBook Air tout en maintenant enfoncée la touche D.
3 Lorsque l’écran principal d’Apple Hardware Test s’affiche, sélectionnez la langue pour
votre zone géographique.
4 Appuyez sur la touche Retour ou cliquez sur le bouton Flèche droite.
5 Lorsque l’écran principal Apple Hardware Test apparaît (environ 45 secondes plus tard),
suivez les instructions affichées à l’écran.
6 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur.
Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple
Hardware Test ne détecte pas de panne matérielle, il est probable que le problème
soit lié aux logiciels.
Pour plus d’informations à propos d’Apple Hardware Test, consultez le fichier Apple
Hardware Test Read Me sur le disque « Mac OS X Install Disc 1 ».50 Chapitre 3 À tout problème sa solution
Réinstallation de logiciel à l’aide de Installation à distance de
Mac OS X
Utilisez Installation à distance de Mac OS X sur l’ordinateur partenaire dont vous souhaitez partager le lecteur de disque optique (les instructions d’installation pour cela et
pour d’autres composants du logiciel de configuration Partage de DVD ou CD se trouvent à la page 16) lorsque vous souhaitez effectuer l’une des tâches suivantes sur votre
MacBook Air :
 Réinstaller Mac OS X et d’autres logiciels fournis avec votre MacBook Air.
 Réinitialiser votre mot de passe.
 Utiliser Utilitaire de disque pour réparer le disque dur de votre MacBook Air.
Remarque : vous pouvez également réaliser ces tâches à l’aide d’un lecteur
MacBook Air SuperDrive (disponible séparément à la page www.apple.com/fr/store).
Voir page 56.Chapitre 3 À tout problème sa solution 51
Pour utiliser Installation à distance de Mac OS X:
1 Insérez le CD « Mac OS X Install Disc 1 » dans le lecteur de disque optique de l’autre
ordinateur.
2 Si l’autre ordinateur est un Mac, ouvrez /Applications/Utilities/Installation à distance de
Mac OS X. Sous Windows, choisissez « Installation à distance de Mac OS X sur votre » à
partir de l’Assistant d’installation.
3 Lisez l’introduction puis cliquez sur Continuer.
4 Choisissez le disque d’installation que vous souhaitez utiliser puis cliquez sur Continuer.
5 Choisissez une connexion réseau : AirPort, si vous utilisez un réseau AirPort, ou Ethernet, si l’autre ordinateur se trouve sur un réseau Ethernet et que vous utilisez un adaptateur Apple USB Ethernet Adapter facultatif pour connecter votre MacBook Air sur ce
réseau. Cliquez sur Continuer.52 Chapitre 3 À tout problème sa solution
6 Redémarrez votre MacBook Air en maintenant la touche Option enfoncée jusqu’à
l’apparition de la liste des disques de démarrage disponibles.
7 Cliquez sur Continuer dans Installation à distance de Mac OS X.
8 Si vous avez choisi AirPort comme réseau à l’étape 5, sur votre MacBook Air, choisissez
votre réseau AirPort dans la liste locale.
Si le réseau est sécurisé, vous êtes invité à saisir un mot de passe. Pour saisir un nom
de réseau privé, choisissez les points de suspension (...) puis tapez le nom du réseau.
9 Si vous avez choisi AirPort comme réseau à l’étape 5, lorsque l’icône d’état AirPort indiquant la force du signal apparaît, cliquez sur Continuer dans Installation à distance de
Mac OS X.
10 Sur votre MacBook Air, cliquez sur le bouton en forme de flèche au-dessous de l’icône
du programme d’installation puis effectuez l’une des actions suivantes :
 Si vous souhaitez réinstaller Mac OS X ou les applications iLife ’08, consultez la section « Réinstallation des logiciels fournis avec votre MacBook Air » à la page 53.
 Si vous avez oublié votre mot de passe et avez besoin de le réinitialiser, consultez la
section « Réinitialisation de votre mot de passe » à la page 54.
 Si vous souhaitez exécuter Utilitaire de disque, consultez la section « Utilisation d’Utilitaire de disque » à la page 55.Chapitre 3 À tout problème sa solution 53
Réinstallation des logiciels fournis avec votre MacBook Air
Avant l’installation :
1 Sauvegardez vos fichiers essentiels.
Nous vous recommandons de sauvegarder les informations de votre disque dur avant
de procéder à la restauration du logiciel. Pour cela, vous pouvez connecter le lecteur
MacBook Air SuperDrive et graver les informations importantes sur des DVD ou CD, ou
connecter un disque dur externe au port USB de votre MacBook Air. Apple décline
toute responsabilité en cas de perte de données.
2 Assurez-vous que l’adaptateur secteur est correctement branché.
Pour installer Mac OS X et les applications qui accompagnent votre MacBook Air en
utilisant un ordinateur partenaire :
1 Suivez la procédure d’utilisation d’Installation à distance de Mac OS X en commençant
à la page 51.
2 Cliquez sur Continuer dans Installation à distance de Mac OS X.
Des messages d’état apparaissent sur l’écran de l’autre ordinateur au cours de l’installation.
3 Cliquez sur Personnaliser pour sélectionner quoi installer (Mac OS X and Bundled
Software ou Bundled Software Only), ou cliquez sur Installer pour réaliser une installation de base.
Pour installer iCal, iChat AV, iSync, iTunes, Safari et les applications iLife ’08, vous devez
sélectionner « Install Mac OS X and Bundled Software ».
4 Suivez les instructions à l’écran, en sélectionnant votre MacBook Air comme volume de
destination pour l’installation.
Remarque : pour rétablir les réglages d’origine de Mac OS X sur votre ordinateur, cliquez sur Options dans la fenêtre Sélectionner une destination du programme d’instal-54 Chapitre 3 À tout problème sa solution
lation, puis choisissez Effacer et installer. Cette option efface le disque dur de votre
MacBook Air ; assurez-vous donc d’avoir sauvegardé les informations importantes.
5 Cliquez sur OK dans Installation à distance de Mac OS X puis, lorsque l’installation est
terminée, cliquez sur Quitter pour quitter Installation à distance de Mac OS X.
Réinitialisation de votre mot de passe
Vous pouvez réinitialiser votre mot de passe d’administrateur et les mots de passe de
tous les autres comptes.
Pour réinitialiser votre mot de passe si vous utilisez un ordinateur partenaire et l’Installation à distance de Mac OS X :
1 Suivez la procédure d’utilisation d’Installation à distance de Mac OS X en commençant
à la page 51.
2 Cliquez sur Continuer dans Installation à distance de Mac OS X.
3 Sur votre MacBook Air, choisissez Utilitaires > Réinitialiser le mot de passe dans la barre
des menus et suivez les instructions à l’écran. Une fois terminé, quittez le programme
d’installation de Mac OS X.
4 Sur l’autre ordinateur, cliquez sur Quitter pour quitter Installation à distance de Mac OS X.Chapitre 3 À tout problème sa solution 55
Utilisation d’Utilitaire de disque
Lorsque vous avez besoin de réparer, vérifier ou effacer le disque dur de votre
MacBook Air, utilisez Utilitaire de disque en partageant le lecteur de disque optique
d’un autre ordinateur.
Pour utiliser Utilitaire de disque à partir d’un ordinateur partenaire :
1 Suivez la procédure d’utilisation d’Installation à distance de Mac OS X en commençant
à la page 51.
2 Cliquez sur Continuer dans Installation à distance de Mac OS X.
3 Sur votre MacBook Air, choisissez Programme d’installation > Ouvrir Utilitaire de disque
puis suivez les instructions de la sous-fenêtre S.O.S. pour voir si Utilitaire de disque peut
réparer le disque. Une fois terminé, quittez le programme d’installation de Mac OS X sur
votre MacBook Air.
4 Sur l’autre ordinateur, cliquez sur Quitter pour quitter Installation à distance de
Mac OS X.
Si Utilitaire de disque ne résout pas le problème, essayez de réinstaller le logiciel système de votre ordinateur. Voir la section « Réinstallation des logiciels fournis avec votre
MacBook Air » à la page 53.56 Chapitre 3 À tout problème sa solution
Réinstallation de logiciel à l’aide du lecteur MacBook Air
SuperDrive
Pour installer Mac OS X et les applications qui accompagnent votre MacBook Air en
utilisant un lecteur SuperDrive :
1 Connectez le lecteur MacBook Air SuperDrive à votre MacBook Air et insérez le disque
« Mac OS X Install Disc 1 ».
2 Double-cliquez sur « Install Mac OS X and Bundled Software ». Pour installer seulement
les applications, sélectionnez « Install Bundled Software Only ».
Pour installer iCal, iChat AV, iSync, iTunes, Safari et les applications iLife ’08, vous devez
sélectionner « Install Mac OS X and Bundled Software ».
3 Suivez les instructions à l’écran, en sélectionnant votre MacBook Air comme volume
de destination pour l’installation.
Remarque : pour rétablir les réglages d’origine de Mac OS X sur votre ordinateur, cliquez sur Options dans la fenêtre Sélectionner une destination du programme d’installation, puis choisissez Effacer et installer.
Pour réinitialiser votre mot de passe à l’aide d’un lecteur MacBook Air SuperDrive :
1 Connectez le lecteur MacBook Air SuperDrive à votre MacBook Air et insérez le disque
« Mac OS X Install Disc 1 ».
2 Redémarrez votre MacBook Air en maintenant la touche C enfoncée lors du démarrage.
3 Dans la barre des menus, choisissez Utilitaires > Réinitialiser le mot de passe. Suivez les
instructions à l’écran.Chapitre 3 À tout problème sa solution 57
Pour utiliser Utilitaire de disque à partir d’un lecteur MacBook Air SuperDrive :
1 Connectez le lecteur MacBook Air SuperDrive à votre MacBook Air et insérez le disque
« Mac OS X Install Disc 1 ».
2 Redémarrez votre MacBook Air en maintenant la touche C enfoncée lors du démarrage.
3 Choisissez Installation > Ouvrir Utilitaire de disque. Lorsqu’Utilitaire de disque s’ouvre,
suivez les instructions de la sous-fenêtre S.O.S.
Problèmes de communication sans fil avec AirPort Extreme
En cas de problèmes avec les communications sans fil AirPort Extreme :
 Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé
et dispose d’un point d’accès sans fil.
 Assurez-vous que le logiciel est correctement configuré conformément aux instructions fournies avec votre borne d’accès ou point d‘accès.
 Assurez-vous que vous êtes à portée de l’autre ordinateur ou du réseau. Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent
interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne.
Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en tournant et en réorientant
l’ordinateur.
 Vérifiez l’icône d’état AirPort (Z) dans la barre des menus. Jusqu’à quatre barres de
mesure apparaissent pour afficher la puissance du signal. Si l’intensité du signal est
faible, essayez de changer de place.
 Pour plus d’informations, consultez l’Aide AirPort (choisissez Aide > Aide Mac, puis
Bibliothèque > Aide AirPort dans la barre des menus) ainsi que les instructions fournies avec votre appareil sans fil.58 Chapitre 3 À tout problème sa solution
Problèmes de connexion à Internet
Le MacBook Air est équipé de l’application Assistant réglages réseau, destinée à vous
aider à configurer une connexion à Internet. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez
sur Réseau. Cliquez sur le bouton « Assistant » pour ouvrir Assistant réglages réseau.
Si vous rencontrez des problèmes avec votre connexion Internet, essayez d’utiliser
Diagnostics réseau.
Pour utiliser Diagnostic réseau :
1 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système.
2 Cliquez sur Réseau puis cliquez sur « Assistant ».
3 Cliquez sur Diagnostic pour lancer Diagnostic réseau.
4 Suivez les instructions à l’écran.
Si Diagnostic réseau n’est pas en mesure de résoudre le problème, celui-ci se situe
peut-être au niveau du fournisseur d’accès à Internet auquel vous essayez de vous connecter, du périphérique externe utilisé pour la connexion au fournisseur d’accès à Internet ou du serveur auquel vous essayez d’accéder.
Si vous disposez de plusieurs ordinateurs partageant une connexion à Internet, assurezvous que votre réseau sans fil est correctement configuré. Vous devez savoir si votre FAI
fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque ordinateur.Chapitre 3 À tout problème sa solution 59
Si une seule adresse IP est fournie, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la
connexion ; on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP. Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. Vous pouvez
utiliser une borne d’accès AirPort pour partager une adresse IP unique entre plusieurs ordinateurs. Pour obtenir plus d’informations sur l’utilisation d’une borne d’accès AirPort, consultez l’Aide Mac ou rendez-vous sur le site web AirPort d’Apple, à l’adresse
www.apple.com/fr/support/airport.
Si ces méthodes s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés, adressez-vous à votre fournisseur d’accès à Internet ou à votre administrateur réseau.
Maintien à jour de vos logiciels
Vous pouvez vous connecter à Internet pour télécharger et installer automatiquement les
dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple.
Chaque fois que vous êtes connecté à Internet, Mise à jour de logiciels vérifie sur les
serveurs Internet d’Apple si des mises à jour sont disponibles pour votre ordinateur.
Vous pouvez configurer votre MacBook Air afin qu’il recherche régulièrement des mises
à jour sur les serveurs d’Apple, puis télécharger et installer les logiciels mis à jour.
Pour rechercher des logiciels mis à jour :
1 Ouvrez les Préférences Système.
2 Cliquez sur l’icône « Mise à jour de logiciels » et suivez les instructions à l’écran.
 Pour plus d’informations, recherchez « Mise à jour de logiciels » dans l’Aide Mac.
 Pour obtenir les toutes dernières informations sur Mac OS X, consultez la page
www.apple.com/fr/macosx.60 Chapitre 3 À tout problème sa solution
Informations, services et assistance
L’utilisateur ne peut remplacer ni réparer aucune pièce du MacBook Air. Si vous avez
besoin de services de réparation, adressez-vous à Apple ou portez votre MacBook Air
chez un Centre de Maintenance Agréé Apple. Vous trouverez de plus amples informations sur le MacBook Air en ligne, dans l’aide à l’écran, dans Informations Système et
via Apple Hardware Test.
Informations en ligne
Pour obtenir des informations en ligne sur le service et l’assistance, rendez-vous sur
www.apple.com/fr/support. Choisissez votre pays dans le menu local. Vous pouvez effectuer des recherches dans la base de connaissance AppleCare, vérifier si de nouvelles mises à
jour de logiciels sont disponibles ou obtenir de l’aide dans les forums de discussion Apple.
Aide à l’écran
Vous pouvez souvent trouver des réponses à vos questions ainsi que des instructions
et des informations de dépannage dans l’Aide Mac. Choisissez Aide > Aide Mac.
Informations Système
Pour obtenir des informations sur le MacBook Air, servez-vous d’Informations Système.
Cette application vous fournit la liste des composants matériels et des logiciels installés, le numéro de série et de version du système d’exploitation, la quantité de mémoire
installée, etc. Pour ouvrir Informations Système, choisissez le menu Pomme ( ?) >
« À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos.Chapitre 3 À tout problème sa solution 61
Service et assistance AppleCare
Le MacBook Air est fourni avec 90 jours d’assistance technique et un an de garantie sur
les réparations de matériel effectuées dans les magasins Apple Store ou dans des centres
agréés Apple tels qu’un Centre de Maintenance Agréé Apple. Vous avez la possibilité
d’étendre la durée de cette couverture en adhérant à un programme AppleCare Protection Plan. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.apple.com/fr/support/products ou
consultez le site web de votre pays (dans la liste ci-dessous).
Si vous avez besoin d’assistance, le personnel AppleCare d’assistance par téléphone
peut vous aider à installer et à ouvrir les applications et offre des services de dépannage élémentaires. Appelez le centre d’assistance le plus proche de chez vous (gratuit
pendant les 90 premiers jours). Gardez la date d’achat et le numéro de série de votre
MacBook Air à portée de main lorsque vous appelez.62 Chapitre 3 À tout problème sa solution
Votre période de 90 jours d’assistance téléphonique gratuite commence à la date
d’achat, et des frais téléphoniques peuvent s’appliquer.
Les numéros de téléphone sont susceptibles d’être modifiés. Des tarifs téléphoniques
locaux et nationaux peuvent s’appliquer. Une liste complète est disponible sur
Internet :
Pays Téléphone Site web
Allemagne (49) 01805 009 433 www.apple.com/de/support
Autriche (43) 0810 300 427 www.apple.com/at/support
Belgique (flamand)
(français)
(32) 070 700 772
(32) 070 700 773
www.apple.com/benl/support
www.apple.com/befr/support
France (33) 0825 888 024 www.apple.com/fr/support
Luxembourg (352) 800 24550 www.apple.com/befr/support
Suisse (français)
(allemand)
(41) 0848 000 132
(41) 0848 000 132
www.apple.com/chfr/support
www.apple.com/chde/support
www.apple.com/contact/phone_contacts.html www.apple.com/contact/phone_contacts.htmlChapitre 3 À tout problème sa solution 63
Localisation du numéro de série de votre produit
Utilisez l’une des méthodes suivantes pour trouver le numéro de série de votre
ordinateur :
 Retournez votre MacBook Air. Le numéro de série est gravé sur le boîtier, près de
la charnière.
 Choisissez le menu Pomme (?) > À propos de ce Mac puis cliquez sur le numéro de
version, en dessous des mots « Mac OS X ». Cliquez à cet endroit de façon répétitive
pour afficher l’un après l’autre la version de Mac OS X, le numéro de sous-version et
le numéro de série.
 Ouvrez Informations Système (dans /Applications/Utilitaires/), et cliquez sur Matériel.
Numéro de série4
4 Dernières recommandations
www.apple.com/fr/environment
Aide Mac ergonomie66 Chapitre 4 Dernières recommandations
Afin d’assurer votre sécurité et de préserver votre matériel, veillez à observer les consignes suivantes concernant le nettoyage et la manipulation de votre MacBook Air ainsi
que l’aménagement d’un espace de travail confortable. Gardez ces instructions dans un
endroit facile d’accès pour vous et pour les utilisateurs éventuels.
Informations importantes concernant la sécurité
Utilisation près de l’eau et dans des endroits humides Évitez de placer votre ordinateur à proximité d’un évier, d’un lavabo, d’une baignoire ou d’une douche, par exemple. Protégez votre ordinateur de l’humidité et des intempéries (neige, pluie, brouillard
par exemple).
Manipulation du MacBook Air Installez le MacBook Air sur un plan de travail stable
qui laisse convenablement circuler l’air sous l’ordinateur et autour de celui-ci. N’utilisez
pas le MacBook Air en le posant sur un coussin ou tout autre objet de structure non
solide car cela pourrait empêcher les conduits d’aération de fonctionner correctement.
Ne placez jamais d’objets sur le clavier lorsque vous utilisez votre ordinateur. N’introduisez jamais d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures servant à la ventilation.
La partie inférieure du MacBook Air peut chauffer au cours d’une utilisation normale de
l’appareil. Si votre MacBook Air est posé sur vos genoux et que la chaleur qu’il émane
vous gêne, posez-le plutôt sur un plan de travail stable.
AVERTISSEMENT : le non-respect de ces consignes pourrait déclencher un feu, occasionner des décharges électriques ou entraîner tout type de blessure ou dommage.Chapitre 4 Dernières recommandations 67
Utilisation de l’adaptateur secteur MagSafe de 45W Assurez-vous du bon branchement de la prise secteur ou du cordon secteur dans l’adaptateur secteur, et vérifiez que
les fiches électriques de votre prise secteur sont en position complètement étendues
avant de brancher l’adaptateur dans une prise électrique. N’utilisez que l’adaptateur
secteur qui accompagne le MacBook Air ou, au besoin, un adaptateur secteur agréé
Apple compatible avec ce produit. Le câble d’alimentation secteur fournit une connexion avec mise à la terre. L’adaptateur secteur peut chauffer au cours d’une utilisation normale de l’appareil. Branchez toujours l’adaptateur secteur directement sur la
prise de courant ou posez-le par terre, dans un endroit correctement aéré.
Débranchez l’adaptateur secteur et tous les autres câbles si l’un des cas suivants se
présente :
 Vous souhaitez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions
fournies à la page 70).
 La prise ou le câble d’alimentation est endommagé.
 Le MacBook Air ou l’adaptateur secteur est exposé à la pluie ou à une humidité
excessive, ou du liquide a été versé dans le boîtier.
 Le MacBook Air ou l’adaptateur secteur a subi une chute, le boîtier a été endommagé ou vous pensez qu’une réparation est nécessaire.
Le port secteur MagSafe contient un aimant qui peut effacer les données d’une carte de
crédit, d’un iPod ou d’autres appareils. Pour protéger vos données, ne placez pas ce type
d’objets ou d’autres appareils à sensibilité magnétique à moins de 25 mm de ce port.
Si des résidus quelconques se trouvent dans le port secteur MagSafe, enlevez-les doucement à l’aide d’un bâtonnet de coton.68 Chapitre 4 Dernières recommandations
Utilisation de la batterie Interrompez l’utilisation de votre batterie si elle a chuté ou
qu’elle a été écrasée, tordue ou déformée. N’exposer pas la batterie à des températures supérieures à 100 °C. Ne retirez pas la batterie de votre MacBook Air. Seul un Centre
de Maintenance Agréé Apple peut remplacer la batterie.
Prévention de la diminution de l’acuité auditive Vous risquez une perte d’audition
irréparable si vous utilisez un casque ou des écouteurs à volume sonore élevé. L’oreille
peut s’adapter petit à petit à des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent
sembler normaux, mais qui risquent à la longue d’endommager votre système auditif.
En cas de sifflements ou de perte d’acuité auditive, arrêtez d’utiliser le casque ou les
écouteurs et consultez un médecin. Plus le volume est élevé, plus votre audition risque
d’être affectée rapidement. Pour protéger votre système auditif, les spécialistes conseillent de prendre les mesures suivantes :
 Limitez la durée d’utilisation à volume élevé de vos écouteurs ou de votre casque
d’écoute.
 Évitez d’augmenter le volume afin de bloquer les bruits environnants.
 Baissez le volume si vous ne parvenez pas à entendre une personne qui parle à côté
de vous.
Activités à haut risque Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle
du trafic aérien, ni dans aucune autre situation où une panne du système informatique
pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques.Chapitre 4 Dernières recommandations 69
Informations importantes sur la manipulation
Transport du MacBook Air Si vous transportez le MacBook Air dans un sac ou dans
un attaché-case, assurez-vous que ce dernier ne contient pas d’objets non attachés
(des trombones ou des pièces de monnaie, par exemple) qui pourraient pénétrer accidentellement dans l’ordinateur par la fente du lecteur optique ou se coincer à l’inté-
rieur d’un port. Maintenez également à l’écart du port secteur MagSafe tout objet à
sensibilité magnétique.
Utilisation des connecteurs et des ports Ne forcez jamais un connecteur à entrer dans un
port. Lorsque vous branchez un appareil, assurez-vous que le port ne contient aucun résidu
quelconque, que le connecteur correspond bien au port et qu’il est placé de manière à
entrer correctement dans le port.
AVIS : le non-respect des présentes instructions sur la manipulation peut provoquer
des dommages à votre MacBook Air ou à d’autres objets.70 Chapitre 4 Dernières recommandations
Stockage du MacBook Air Si vous décidez de ranger le MacBook Air pendant une longue période, placez-le dans un endroit frais (idéalement, à 22° C) et déchargez la batterie jusqu’à 50 pour cent. Avant de ranger votre ordinateur pour une période de temps
supérieure à cinq mois, déchargez la batterie jusqu’à environ 50 pour cent. Pour conserver les capacités de la batterie, rechargez la batterie jusqu’à 50 pour cent tous les
six mois environ.
Nettoyage du MacBook Air Lorsque vous nettoyez le boîtier de votre ordinateur et ses
composants, éteignez d’abord le MacBook Air puis débranchez l’adaptateur secteur.
Utilisez ensuite un chiffon doux, humide et non pelucheux pour nettoyer le boîtier de
l’ordinateur. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit. Ne
vaporisez jamais de liquide directement sur l’ordinateur. N’utilisez ni aérosols, ni dissolvants, ni abrasifs qui pourraient endommager les finitions de l’appareil.
Nettoyage de l’écran de votre MacBook Air Pour nettoyer l’écran de votre MacBook Air,
commencez par éteindre votre ordinateur, puis débranchez l’adaptateur secteur. Utilisez
ensuite le chiffon fourni avec votre MacBook Air pour nettoyer l’écran. Humidifiez le chiffon à l’eau si nécessaire. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’écran.Chapitre 4 Dernières recommandations 71
Ergonomie
Voici quelques conseils pour la mise en place d’un environnement de travail sain.
Clavier et trackpad
Lorsque vous tapez au clavier ou que vous vous servez du trackpad, vos épaules doivent être détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, la main
étant placée dans le prolongement du poignet.
Position
à éviter
Position
recommandée72 Chapitre 4 Dernières recommandations
Vous devez avoir les mains et les doigts détendus lorsque vous tapez au clavier ou
que vous utilisez le trackpad. Évitez de replier les pouces à l’intérieur des paumes.
Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un travail
continu et intensif sur ordinateur, certains utilisateurs peuvent ressentir des douleurs aux
mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste.
Souris externe
Si vous utilisez une souris externe, veillez à ce qu’elle se trouve à hauteur du clavier.
Ménagez un espace suffisant pour la manipuler avec aisance.
Siège
Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de telle sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale
et que vos pieds soient à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région
lombaire, c’est-à-dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie.
Position
à éviter
Position
recommandéeChapitre 4 Dernières recommandations 73
Au besoin, relevez le siège de manière que vos avant-bras et vos mains soient placés
correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat
sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Si vous disposez
d’un bureau modulaire, vous pouvez abaisser le niveau du plan de travail pour éviter
l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau dont
le clavier est situé plus bas que le plan de travail.
Écran intégré
Orientez l’écran de manière à réduire le plus possible les reflets de l’éclairage électrique et de la lumière du jour. Ne forcez pas l’écran si vous rencontrez une résistance.
L’angle d’ouverture maximal de l’écran ne peut dépasser 125 degrés.
Réglez la luminosité et le contraste de l’écran chaque fois que vous déplacez l’ordinateur ou que l’éclairage ambiant change.
Vous trouverez d’autres informations concernant l’ergonomie sur Internet :
Apple et l’environnement
Apple Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact de ses
produits et de ses activités sur l’environnement.
Des informations supplémentaires sont disponibles sur Internet :
www.apple.com/about/ergonomics
www.apple.com/fr/environment75
Regulatory Compliance Information
FCC Compliance Statement
This device complies with part 15 of the FCC rules.
Operation is subject to the following two conditions: (1)
This device may not cause harmful interference, and (2)
this device must accept any interference received,
including interference that may cause undesired
operation. See instructions if interference to radio or
television reception is suspected.
L’utilisation de ce dispositif est autorisée seulement aux
conditions suivantes:(1) il ne doit pas produire de
brouillage et (2) l’utilisateur du dispositif doit étre prêt à
accepter tout brouillage radioélectrique reçu, même si
ce brouillage est susceptible de compromettre le
fonctionnement du dispositif.
Radio and Television Interference
This computer equipment generates, uses, and can
radiate radio-frequency energy. If it is not installed and
used properly—that is, in strict accordance with Apple’s
instructions—it may cause interference with radio and
television reception.
This equipment has been tested and found to comply
with the limits for a Class B digital device in accordance
with the specifications in Part 15 of FCC rules. These
specifications are designed to provide reasonable
protection against such interference in a residential
installation. However, there is no guarantee that
interference will not occur in a particular installation.
You can determine whether your computer system is
causing interference by turning it off. If the interference
stops, it was probably caused by the computer or one of
the peripheral devices.
If your computer system does cause interference to
radio or television reception, try to correct the
interference by using one or more of the following
measures:
 Turn the television or radio antenna until the
interference stops.
 Move the computer to one side or the other of the
television or radio.
 Move the computer farther away from the television or
radio.
 Plug the computer in to an outlet that is on a different
circuit from the television or radio. (That is, make
certain the computer and the television or radio are on
circuits controlled by different circuit breakers or
fuses.)
In necessary, consult an Apple Authorized Service
Provider or Apple. See the service and support
information that came with your Apple product. Or,
consult an experienced radio/television technician for
additional suggestions.
Important: Changes or modifications to this product
not authorized by Apple Inc., could void the EMC
compliance and negate your authority to operate the
product.
This product has demonstrated EMC compliance under
conditions that included the use of compliant peripheral
devices and shielded cables (including Ethernet network
cables) between system components. It is important
that you use compliant peripheral devices and shielded
cables between system components to reduce the
possibility of causing interference to radios, television
sets, and other electronic devices.76
Responsible party (contact for FCC matters only):
Apple Inc. Corporate Compliance
1 Infinite Loop M/S 26-A
Cupertino, CA 95014-2084
Wireless Radio Use
This device is restricted to indoor use when operating in
the 5.15 to 5.25 GHz frequency band.
Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur.
Exposure to Radio Frequency Energy
The radiated output power of the AirPort Extreme
technology is below the FCC radio frequency exposure
limits. Nevertheless, it is advised to use the wireless
equipment in such a manner that the potential for
human contact during normal operation is minimized.
FCC Bluetooth Wireless Compliance
The antenna used with this transmitter must not be
collocated or operated in conjunction with any other
antenna or transmitter subject to the conditions of the
FCC Grant.
Bluetooth Industry Canada Statement
This Class B device meets all requirements of the
Canadian interference-causing equipment regulations.
Cet appareil numérique de la Classe B respecte toutes
les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur
du Canada.
Industry Canada Statement
Complies with the Canadian ICES-003 Class B
specifications. Cet appareil numérique de la classe B est
conforme à la norme NMB-003 du Canada. This device
complies with RSS 210 of Industry Canada.
Europe : déclaration de conformité EU
Voir : www.apple.com/euro/compliance
Korea Statements
Singapore Wireless Certification
Taiwan Wireless Statements
Taiwan Class B Statement
Russia77
VCCI Class B Statement
Informations sur les modems USB
Si vous connectez votre MacBook Air à une ligne
téléphonique par le biais d’un modem USB externe,
veuillez vous reporter aux informations fournies par
l’agence de télécommunications mentionnées dans
la documentation livrée avec votre modem.
ENERGY STAR®
Compliance
As an ENERGY STAR®
partner, Apple has determined
that standard configurations of this product meet the
ENERGY STAR®
guidelines for energy efficiency. The
ENERGY STAR®
program is a partnership with electronic
equipment manufacturers to promote energy-efficient
products. Reducing energy consumption of products
saves money and helps conserve valuable resources.
This computer is shipped with power management
enabled with the computer set to sleep after 10 minutes
of user inactivity. To wake your computer, click the
mouse or trackpad button or press any key on the
keyboard.
For more information about ENERGY STAR®, visit:
www.energystar.gov78
Informations sur l’élimination et le recyclage
Ce symbole indique que vous devez suivre les normes et
la législation de votre pays pour jeter ce produit.
Lorsque ce produit n’est plus utilisable, contactez Apple
ou les autorités locales pour en savoir plus sur les
possibilités de recyclage.
Pour en savoir plus sur le programme de recyclage
d’Apple, consultez le site www.apple.com/fr/
environment/recycling/.
Informations sur le retrait de la batterie
Jetez vos batteries usagées en respectant les lois et les
consignes environnementales de votre pays.
Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden
ingeleverd bij de chemokar of in een speciale
batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden
gedeponeerd.
Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht
in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes
am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der
maßgeblichen gesetzlichen Regelungen.
Taïwan:
Union européenne—instructions concernant
l’élimination des déchets :
Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous
débarrasser de votre produit sans le mélanger avec les
ordures ménagères, selon les normes et la législation de
votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable,
portez-le dans un centre de traitement des déchets
agréé par les autorités locales. Certains centres
acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le
recyclage séparé de votre produit lors de son
élimination aideront à préserver les ressources naturelles
et à protéger l’environnement et la santé des êtres
humains.K Apple Inc.
© 2008 Apple Inc. Tous droits réservés.
En application des lois et conventions en vigueur,
aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est
autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple.
Tout a été mis en œuvre pour que les informations pré-
sentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas
responsable des erreurs de reproduction ou d’impression.
Apple
1 Infinite Loop
Cupertino, CA 95014-2084
408-996-1010
www.apple.com
Apple, le logo Apple, AirPort, AirPort Extreme, Cover
Flow, Exposé, iCal, iChat, iLife, iMovie, iPhoto, iPod, iSight, iTunes, Keynote, Mac, Macintosh, Mac OS, MacBook
et MagSafe sont des marques d’Apple Inc. déposées aux
États-Unis et dans d’autres pays.
Finder, iPhone, Safari, and Spotlight sont des marques
d’Apple Inc.
AppleCare et Apple Store sont des marques de service
d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays.
ENERGY STAR® est une marque déposée aux États-Unis.
Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d’Intel Corp.
aux États-Unis et dans d’autres pays.
La marque et les logos Bluetooth® appartiennent à Bluetooth SIG, Inc. et sont utilisées sous licence par Apple Inc.
Les autres noms de produit ou de société sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits de
tierce partie ne sont mentionnés que pour information,
sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant
à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits.
Fabriqué sous licence de Dolby Laboratories. « Dolby »,
« Pro Logic » et le logo double-D sont des marques
déposées de Dolby Laboratories. Travaux confidentiels
inédits, © 1992–1997 Dolby Laboratories, Inc. Tous droits
réservés.
Le produit décrit dans le présent manuel intègre des
technologies de protection de droits d’auteur ellesmêmes protégées par divers brevets américains ainsi
que d’autres droits de propriété intellectuelle appartenant à Macrovision Corporation et à d’autres détenteurs. L’utilisation de ces technologies de protection des
droits d’auteurs doit être autorisée par Macrovision Corporation et est destinée à un cadre privé ou de visualisation restreinte, sauf consentement de Macrovision
Corporation. Tout démontage et toute ingénierie inverse
sont interdits.
Revendications concernant l’appareillage aux États-Unis.
Brevets n° 4 631 603, 4 577 216, 4 819 098 et 4 907 093
sous licence à des fins de visualisation limitée
uniquement.
Publié simultanément aux États-Unis et au Canada.
Félicitations, vous et votre MacBook
êtes faits l’un pour l’autre.Finder
Parcourez le contenu
de votre ordinateur
à l’aide de Cover Flow.
www.apple.com/fr/macosx
Aide Mac finder
Caméra iSight intégrée
Réalisez des vidéoconférences avec
3 amis au maximum partout dans
le monde et en temps réel.
www.apple.com/fr/macbook
Aide Mac isight
Time Machine
Sauvegardez automatiquement
vos fichiers sur un disque dur
externe.
www.apple.com/fr/macosx
Aide Mac time machineGarageBand
Créez de la musique en ajoutant
des musiciens sur une scène
virtuelle. Améliorez vos chansons
pour jouer comme un pro.
www.apple.com/fr/ilife/garageband
Aide Help photo
www.apple.com/fr/ilife/iphoto
iWeb
Créez de magnifiques sites
web avec photos, films, blogs,
podcasts et widgets web
dynamiques.
www.apple.com/fr/ilife/iweb
Aide iWeb site web
iPhoto
Organisez toutes vos photos
par événements. Publiez-les
sur une galerie web en
un seul clic.
iMovie
Rassemblez toutes vos vidéos
dans une seule vidéothèque.
Créez et partagez vos films
en quelques minutes.
Aide iMovie film
www.apple.com/fr/ilife/imovie
Aide GarageBand enregistrementTable des matières 5
Table des matières
Chapitre 1 : Prêt, feu, configurez !
9 Contenu de la boîte
9 Configuration du MacBook
15 Extinction ou suspension d’activité de votre MacBook
Chapitre 2 : Votre MacBook au quotidien
20 Caractéristiques de base de votre MacBook
23 Fonctionnalités du clavier de votre MacBook
25 Ports présents sur votre MacBook
27 Utilisation du Trackpad et du clavier
28 Utilisation de la batterie du MacBook
30 Comment obtenir des réponses à vos doutes
Chapitre 3 : Augmentez votre mémoire
37 Installation de mémoire supplémentaire
44 Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par votre MacBook6 Table des matières
Chapitre 4 : À tout problème sa solution
46 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre MacBook
51 Utilisation d’Apple Hardware Test
52 Problèmes de connexion à Internet
55 Problèmes de communication sans fil avec AirPort Extreme
56 Maintien à jour de vos logiciels
56 Réinstallation des logiciels fournis avec votre MacBook
58 Informations, services et assistance
60 Localisation du numéro de série de votre produit
Chapitre 5 : Dernières recommandations
62 Informations importantes concernant la sécurité
65 Informations importantes sur la manipulation
67 Ergonomie
69 Apple et l’environnement
71 Regulatory Compliance Information1
1Prêt, feu, configurez !
www.apple.com/fr/macbook
Aide Mac Assistant Migration8 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !
Votre MacBook est conçu pour pouvoir être configuré rapidement et utilisé immédiatement. Si vous n’avez jamais utilisé de MacBook ou si vous n’êtes pas familiarisé avec
les ordinateurs Macintosh, vous trouverez dans ce chapitre des instructions qui vous
aideront à débuter.
Important : lisez attentivement toutes les instructions d’installation (et les consignes de
sécurité débutant à la page 61) avant d’utiliser votre ordinateur pour la première fois.
Si vous êtes un utilisateur expérimenté, peut-être êtes-vous déjà en mesure d’utiliser
votre nouvel ordinateur. Veillez néanmoins à consulter les informations du chapitre 2,
« Votre MacBook au quotidien », pour découvrir les nouvelles fonctionnalités de cet
MacBook.
Vous trouverez la plupart des réponses à vos questions dans l’Aide Mac. Pour en savoir
plus sur l’accès à l’Aide Mac, consultez la rubrique « Comment obtenir des réponses à
vos doutes » à la page 30. Apple est susceptible de publier de nouvelles versions et
mises à jour de ses logiciels système, il est possible que les images de ce manuel soient
légèrement différentes de ce que vous voyez à l’écran.
Important : retirez le film protecteur qui entoure l’adaptateur secteur MagSafe 60 W
avant de configurer le MacBook.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 9
Contenu de la boîte
Configuration du MacBook
Votre MacBook est conçu pour pouvoir être configuré rapidement et utilisé immédiatement. Les pages suivantes contiennent des informations qui vous guideront tout au
long du processus de configuration, notamment des opérations suivantes :
 Le branchement de l’adaptateur secteur MagSafe 60 W.
 Le branchement des câbles et l’accès à un réseau.
 La mise sous tension du MacBook et l’utilisation du trackpad.
 La configuration d’un compte d’utilisateur et d’autres paramètres via Assistant réglages.
 La configuration des préférences et du bureau Mac OS X.
Câble secteur
Fiche
secteur
Adaptateur secteur MagSafe de 60 W10 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !
Étape 1 : Branchez l’adaptateur secteur MagSafe 60 W pour alimenter le MacBook
et recharger sa batterie.
Assurez-vous que la fiche secteur est complètement insérée dans l’adaptateur et que
les broches de la fiche sont complètement déployées. Branchez la fiche secteur de
votre adaptateur sur une prise secteur, puis branchez le connecteur MagSafe sur le
port secteur MagSafe. En approchant le connecteur MagSafe du port, vous ressentirez
la force d’un aimant l’attirant.
Pour rallonger le câble de l’adaptateur secteur, tirez d’abord sur la fiche secteur pour
la retirer de l’adaptateur. Connectez le câble secteur inclus à l’adaptateur, en vous assurant qu’il est fermement connecté. Branchez l’autre extrémité sur une prise de courant.
Le câble d’alimentation secteur fournit une connexion avec mise à la terre.
Lorsque vous déconnectez l’adaptateur secteur d’une prise de courant ou de l’ordinateur,
débranchez la prise et non le câble.
¯
Câble secteur
Fiche
secteur
Connecteur MagSafe Port secteur MagSafeChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 11
Remarque : la première fois que vous branchez l’adaptateur secteur sur le MacBook,
la lampe témoin du connecteur MagSafe s’illumine. Une lumière orange indique que
la batterie est en charge. Une lumière verte indique que la batterie est rechargée ou
qu’elle n’est pas installée. Si la lampe témoin ne s’allume pas, vérifiez que le connecteur est correctement branché.
Étape 2 : Pour accéder à Internet ou à un réseau, branchez une extrémité du câble
Ethernet sur le MacBook et l’autre extrémité sur un modem câble, un modem DSL
ou un réseau.
Pour une connexion commutée, vous aurez besoin d’un modem Apple USB Modem
externe, disponible sur l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/fr/store ou
auprès des revendeurs agréés Apple. Branchez le modem Apple USB Modem sur un
port USB du MacBook, puis reliez le modem à une prise téléphonique à l’aide d’un
câble téléphonique (non inclus).
G
Câble
Ethernet
Port Ethernet Gigabit
(10/100/1000Base-T)12 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !
Remarque : votre MacBook est également équipé de la technologie AirPort Extreme de
mise en réseau sans fil. Pour en savoir plus sur la configuration d’une connexion sans
fil, choisissez Aide > Aide Mac (dans la barre des menus), puis recherchez « AirPort ».
Consultez « Comment obtenir des réponses à vos doutes » à la page 30.
Étape 3 : Appuyez brièvement sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer
votre MacBook.
Votre ordinateur émet un signal sonore lorsque vous l’allumez.
Sa mise en route prend quelques instants. Après le démarrage, Assistant réglages
s’ouvre automatiquement.
Si l’ordinateur ne s’allume pas, consultez la rubrique « Si votre MacBook ne s’allume ou
ne démarre pas » à la page 49.
Trackpad Bouton du trackpad
® Bouton d’alimentationChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 13
Étape 4 : Configurez votre MacBook à l’aide d’Assistant réglages.
La première fois que vous démarrez votre MacBook, l’Assistant réglages se met en
route. Il vous aide à saisir les informations de connexion à Internet et au courrier électronique ainsi qu’à configurer un compte d’utilisateur sur votre MacBook. Si vous possédez déjà un ordinateur Macintosh, l’Assistant réglages peut vous aider à transférer
automatiquement les fichiers, les applications et d’autres informations de votre ancien
ordinateur.
Si vous ne comptez pas conserver ou utiliser votre autre Mac, il est préférable de lui
retirer son autorisation à lire la musique, les clips vidéo ou les livres audio achetés sur
l’iTunes Store. Le retrait de l’autorisation d’un ordinateur empêche la lecture par un
tiers de tout morceau, vidéo ou livre audio acheté et permet de libérer l’autorisation
afin qu’elle puisse être utilisée. Pour plus d’informations sur le retrait d’autorisation,
ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes.
Si vous n’utilisez pas l’Assistant réglages pour transférer vos informations lors du premier
démarrage de l’ordinateur, vous pouvez le faire ultérieurement. Allez dans le dossier
Applications, ouvrez le dossier Utilitaires, puis double-cliquez sur Assistant migration.14 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !
Étape 5 : Personnalisez le bureau Mac OS X et réglez les préférences.
Barre des menus
Dock Icône des Préférences Système
Menu Aide Icône de recherche de Spotlight
Icône du FinderChapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 15
Grâce aux Préférences Système, vous pouvez donner à votre bureau l’apparence souhaitée sans perdre de temps. Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système
dans la barre des menus. À mesure que vous vous familiarisez avec votre ordinateur,
explorez les Préférences Système, le centre de commandes de la plupart des réglages
de votre MacBook. Pour en savoir plus, ouvrez l’Aide Mac et recherchez « Préférences
Système » ou la préférence que vous souhaitez modifier.
Extinction ou suspension d’activité de votre MacBook
Lorsque vous avez terminé de travailler avec le MacBook, suspendez son activité ou
éteignez-le.
Suspension de l’activité de votre MacBook
Suspendez l’activité de votre MacBook si vous ne comptez vous en éloigner que quelques instants. Vous pourrez ensuite le réactiver rapidement sans avoir à le redémarrer.
Pour suspendre l’activité de votre MacBook, procédez de l’une des manières
suivantes :
 Rabattez l’écran.
 Choisissez Pomme (?) > Suspendre l’activité, dans la barre des menus.
 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Suspendre l’activité dans
la zone de dialogue qui apparaît.16 Chapitre 1 Prêt, feu, configurez !
 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système, cliquez sur Économiseur
d’énergie et définissez un délai pour la minuterie de mise en veille.
Pour réactiver le MacBook :
 Si l’écran est fermé, il suffit de l’ouvrir pour réactiver votre MacBook.
 Si l’écran est déjà ouvert, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) ou sur l’une des
touches du clavier.
À la réactivation de votre MacBook, vos applications, vos documents et vos réglages
sont conservés tels que vous les aviez laissés.
AVIS : patientez quelques secondes jusqu’à ce que la lampe témoin de suspension
d’activité clignote (signalant que l’activité de l’ordinateur est suspendue et que le
disque dur a cessé de tourner) avant de déplacer votre MacBook. Tout déplacement de
votre ordinateur lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager
ce dernier et d’entraîner une perte de données ou l’impossibilité de démarrer à partir
du disque dur.Chapitre 1 Prêt, feu, configurez ! 17
Extinction de votre MacBook
Si vous ne comptez pas utiliser votre MacBook pendant un jour ou deux, il est préférable de l’éteindre. La lampe témoin de suspension d’activité reste allumée quelques
instants au moment de l’extinction.
Pour éteindre le MacBook, procédez de l’une des manières suivantes :
 Choisissez Pomme (?) > Éteindre, dans la barre des menus.
 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et cliquez sur Éteindre dans la zone de
dialogue qui apparaît.
Si vous comptez ranger votre MacBook pour une durée prolongée, consultez la rubrique « Informations importantes sur la manipulation » à la page 65 afin d’obtenir des
informations sur les mesures à prendre pour éviter que votre batterie ne se décharge
complètement.2
2Votre MacBook au quotidien
www.apple.com/fr/macosx
Aide Mac Mac OS X20 Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien
Caractéristiques de base de votre MacBook
®?
® Bouton
d’alimentation
Lampe témoin
de la caméra
Caméra iSight
Microphone
Haut-parleurs
stéréo
Lampe témoin de
suspension d’activité
Récepteur à infrarouge
Trackpad
Batterie
(en dessous)
Bouton du
trackpad
Lecteur optique
à chargement
par fenteChapitre 2 Votre MacBook au quotidien 21
Microphone intégré
Enregistrez du son à l’aide du micro (situé à gauche de la caméra iSight) ou profitez de
l’application iChat AV incluse pour discuter en direct avec vos amis via une connexion à
haut débit.
Caméra iSight intégrée et lampe témoin de la caméra
Organisez une vidéoconférence avec d’autres personnes à l’aide d’iChat AV, prenez
des photos avec Photo Booth ou servez-vous d’iMovie ‘08 pour enregistrer de la vidéo.
La lampe témoin s’allume pour indiquer que la caméra iSight est en service.
Haut-parleurs stéréo intégrés
Permettent d’écouter de la musique, des films, des jeux et d’autres types de données
multimédia.
Batterie
Utilisez le MacBook en puisant l’énergie de la batterie lorsque vous n’êtes pas à proximité d’une prise de courant. Le retrait de la batterie permet d’accéder à la mémoire de
votre MacBook.
Trackpad et bouton du trackpad
Permet de déplacer le pointeur à l’écran avec l’index ; inclut également une fonction de
défilement en utilisant deux doigts sur le trackpad. Appuyez légèrement sur le trackpad
pour cliquer ou double-cliquer sur une sélection.22 Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien
Lampe témoin de suspension d’activité
Une lumière blanche clignote lorsque le MacBook est en suspension d’activité.
Récepteur à infrarouge
Utilisez une télécommande Apple Remote (vendue séparément à l’adresse
www.apple.com/fr/store) avec le récepteur à infrarouge intégré pour contrôler, jusqu’à
une distance de 9 mètres, les applications Front Row et Keynote sur votre MacBook.
Lecteur de disque optique à chargement par fente
Le lecteur optique peut lire des CD et DVD de taille standard et écrire sur des CD. Si vous
disposez d’un lecteur SuperDrive, vous pouvez également écrire sur des disques DVD.
® Bouton d’alimentation
Permet d’allumer ou d’éteindre votre MacBook ou d’en suspendre l’activité. Maintenez
ce bouton enfoncé pour redémarrer le MacBook lors des procédures de dépannage.Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien 23
Fonctionnalités du clavier de votre MacBook
esc
F1 F2 F3 F4 F5 F6 F7 F8 F9 F10 F11 F12
—
C
-
Touche
de fonction (Fn)
Touches de
réglage du
volume
Touches de
réglage de la
luminosité
Touches de
fonction
standard
Touche
d’éjection
de disques
Touche
Silence
Touche
Exposé
Touche
Dashboard Commandes
multimédia24 Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien
Touche de fonction (Fn)
Maintenez cette touche enfoncée pour activer les actions personnalisées affectées aux
touches de fonction (F1 à F12). Pour apprendre comment personnaliser les touches de
fonction, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des menus, puis recherchez « touches
de fonction ».
Touches de réglage de la luminosité (F1, F2)
Permettent d’augmenter ( ) ou de réduire ( ) la luminosité de l’écran.
Touche Toutes les fenêtres Exposé (F3)
Ouvrez Exposé pour accéder rapidement à toutes vos fenêtres ouvertes.
Touche Dashboard (F4)
Ouvrez Dashboard pour accéder à vos widgets.
’ Commandes multimédia (F7, F8, F9)
Effectuer un retour rapide (]), lire ou mettre en pause (’) ou avancer (‘) un morceau,
une séquence ou un diaporama.
— Touche silence (F10)
Permet de désactiver le son provenant des haut-parleurs intégrés et du port de sortie
casque.
- Touches de réglage du volume (F11, F12)
Permettent d’augmenter (-) ou de diminuer (–) le volume du son provenant du
haut-parleur intégré ou du port de sortie casque.
C Touche d’éjection de disques
Maintenez cette touche enfoncée pour éjecter un disque. Il est également possible
d’éjecter un disque en faisant glisser son icône dans la Corbeille.Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien 25
Ports présents sur votre MacBook
¯
Port Ethernet
Gigabit (10/100/
1000 Base-T)
G
Logement
de sécurité
Port de sortie
casque/audio
numérique
optique
f
Port d’entrée
de ligne audio/
audio numérique
optique
,
Port
Mini-DVI
£ Port
FireWire
400
H Ports
USB 2.0
Port d
d’adaptateur
secteur
MagSafe26 Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien
¯ Port d’adaptateur secteur MagSafe
Branchez-y l’adaptateur secteur MagSafe 60 W (inclus) pour recharger la batterie
du MacBook.
G Port Gigabit Ethernet (10/100/1000 Base-T)
Permet de se connecter à un réseau Ethernet haute vitesse, un modem câble ou DSL ou
encore un autre ordinateur. Le port Ethernet détecte automatiquement les périphériques
Ethernet sans avoir besoin de câble croisé Ethernet.
£ Port Mini-DVI (sortie vidéo)
Permet de brancher un moniteur externe, un projecteur ou un téléviseur équipé d’un
connecteur DVI, VGA, composite ou S-vidéo. Selon le type de périphérique externe
auquel vous connectez votre ordinateur, utilisez un adaptateur Mini-DVI vers DVI,
Mini-DVI vers VGA ou Mini-DVI vers Vidéo, tous vendus séparément à l’adresse
www.apple.com/fr/store.
H Port FireWire 400
Permettent de brancher sur l’ordinateur des périphériques externes à haute vitesse tels
que des caméras vidéo numériques et des périphériques de stockage.
d Deux ports USB (Universal Serial Bus) 2.0
Grâce à ses ports, vous pouvez brancher sur le MacBook un modem, un iPod, un iPhone,
une souris, un clavier, une imprimante, un appareil photo numérique et plus encore.
Vous pouvez connecter un appareil externe USB de grande puissance. Vous pouvez
également y brancher des périphériques USB 1.1.
, Port d’entrée audio/entrée audio numérique optique
Permet de connecter un micro ou un appareil audio numérique à votre MacBook.
f Port de sortie casque/audio numérique optique
Il permet de connecter des haut-parleurs externes, un casque ou des appareils audio
numériques.
Logement de sécurité
Fixez-y un verrou et un câble antivol (disponibles sur le site www.apple.com/fr/store).Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien 27
Utilisation du Trackpad et du clavier
Utilisez le trackpad pour déplacer le pointeur ainsi que pour faire défiler, cliquer, doublecliquer et faire glisser. Le déplacement du pointeur à l’écran est proportionnel à la vitesse
à laquelle vous déplacez votre doigt sur le trackpad. Pour effectuer un petit déplacement
du pointeur, décalez votre doigt lentement sur le trackpad. Plus vous bougerez votre
doigt rapidement, plus le déplacement du pointeur sera important. Pour régler avec plus
de précision la vitesse de déplacement dans les Préférences Système, choisissez menu
Pomme (?) > Préférences Système, cliquez sur Clavier et souris, puis sur Trackpad.
Voici quelques astuces et raccourcis pour le trackpad et le clavier :
 Un clic secondaire ou un « clic droit » vous permet d’accéder aux commandes de menu
contextuel.
Pour activer cette option, sélectionnez « Placez deux doigts sur le trackpad et cliquez
sur le bouton pour effectuer un clic secondaire » dans la sous-fenêtre Trackpad des
préférences Clavier et souris.
Vous pouvez également effectuer un clic secondaire en maintenant enfoncer la touche
Contrôle (ctrl) tout en cliquant.
 Le défilement à deux doigts vous permet de faire glisser deux doigts pour faire défiler
rapidement vers le haut, vers le bas ou vers les côtés dans la fenêtre active.
Pour activer cette option, sélectionnez « Utilisez deux doigts pour faire défiler » et
« Autoriser le défilement horizontal » dans la sous-fenêtre Trackpad des préférences
Clavier et souris.
 La suppression vers l’avant supprime des caractères situés à la droite du point d’insertion. La touche Suppr. élimine les caractères situés à gauche du point d’insertion.28 Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien
Pour supprimer vers l’avant, maintenez enfoncée la touche de fonction (fn) tout en
pressant la touche Supprimer.
Utilisation de la batterie du MacBook
Lorsque l’adaptateur secteur MagSafe n’est pas branché, le MacBook est alimenté par
sa batterie. L’autonomie du MacBook MacBookvarie en fonction des applications utilisées et des périphériques externes qui y sont connectés. La désactivation de fonctions
sans fil telles qu’AirPort Extreme ou Bluetooth®
contribue à économiser l’énergie de
votre batterie.
Si votre batterie faiblit pendant que vous travaillez, branchez l’adaptateur secteur et
laissez la batterie se recharger. Pour remplacer une batterie presque déchargée par une
batterie chargée lorsque votre ordinateur n’est pas connecté à un adaptateur secteur,
éteignez l’ordinateur.
Pour connaître le niveau de charge de votre batterie, vous pouvez observer les lampes
témoins de niveau de charge dont elle est dotée. Appuyez sur le bouton situé en regard
des témoins lumineux afin que ces derniers brillent brièvement pour indiquer le niveau
de charge de la batterie. Vous pouvez vérifier le niveau de charge, que la batterie soit ou
non insérée dans votre MacBook.
Important : si un seul témoin est allumé, le niveau restant est très faible. Si aucun témoin
n’est allumé, c’est que la batterie est complètement vide et que le MacBook ne pourra
démarrer sans l’adaptateur secteur. Branchez l’adaptateur secteur et laissez la batterie
se recharger ou remplacez la batterie à plat par une batterie complètement rechargée
(voir la page 37).Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien 29
Vous pouvez également connaître la charge actuelle de la batterie en observant l’icône
d’état de la batterie ( ) située dans la barre des menus. Le niveau affiché dépend
de la quantité d’énergie restant dans la batterie, mais aussi des applications et des
périphériques en cours d’utilisation, ainsi que des réglages actuels de votre système.
Pour disposer de plus d’énergie, fermez des applications, déconnectez les périphériques non utilisés et réglez la fonction d’Économiseur d’énergie. Pour en savoir plus
sur l’économie de la batterie et obtenir des astuces pour améliorer ses performances,
rendez-vous à l’adresse www.apple.com/fr/batteries/notebooks.html.
Batterie
Témoins LED
de la batterie
Bouton
¥
Á30 Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien
Recharge de la batterie
Lorsque l’adaptateur secteur fourni avec le MacBook est connecté, la batterie se recharge,
que l’ordinateur soit éteint, allumé ou en mode de suspension d’activité. La recharge sera
toutefois plus rapide si l’ordinateur est éteint ou en mode de suspension d’activité.
Comment obtenir des réponses à vos doutes
De plus amples informations sur l’utilisation de votre MacBook sont disponibles dans
l’Aide Mac et sur Internet, à l’adresse www.apple.com/fr/support/macbook.
Pour faire apparaître l’Aide Mac :
1 Cliquez sur l’icône du Finder dans le Dock (la barre des icônes située au bord de
l’écran).
2 Choisissez Aide > Aide Mac (cliquez sur le menu Aide dans la barre des menus puis
sélectionnez Aide Mac).
3 Cliquez dans le champ de recherche, tapez votre question et appuyez sur la touche
Retour du clavier.Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien 31
Informations supplémentaires
Pour en savoir plus sur l’utilisation de votre MacBook, consultez le tableau suivant :
Pour obtenir
des informations sur : Effectuez l’opération suivante :
L’installation de mémoire Consultez le chapitre 3, « Augmentez votre mémoire », à la page 35.
Le dépannage de votre
MacBook en cas de problème
Consultez le chapitre 4, « À tout problème sa solution », à la
page 45.
L’obtention de services et
d’une assistance pour votre
MacBook
Consultez la rubrique « Informations, services et assistance » à la
page 58. Sinon, consultez le site web de support Apple à l’adresse
www.apple.com/fr/support/macbook.
L’utilisation de Mac OS X Consultez le site web Mac OS X, à l’adresse
www.apple.com/fr/macosx ou recherchez « Mac OS X »
dans l’Aide Mac.
La migration depuis un PC vers
un Mac
Reportez-vous aux instructions (en anglais) intitulées « How to
move to Mac » sur www.apple.com/getamac/movetomac.
L’utilisation des applications
iLife ’08
Visitez le site web d’iLife ’08 à l’adresse www.apple.com/fr/ilife.
Vous pouvez aussi ouvrir une application iLife ’08 puis ouvrir
l’Aide de l’application et saisir une question dans le champ de
recherche.
La modification des
Préférences Système
Ouvrez Préférences Système en choisissant le menu
Pomme (K) > Préférences Système. Vous pouvez également
rechercher « préférences système » dans l’Aide Mac.
L’utilisation de votre trackpad Recherchez « trackpad » dans l’Aide Mac ou bien ouvrez Préfé-
rences Système, cliquez sur Clavier et souris, puis sur Trackpad.
L’utilisation de votre clavier Recherchez « clavier » dans l’Aide Mac.
L’utilisation de la caméra iSight Recherchez « iSight » dans l’Aide Mac.32 Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien
L’utilisation de la technologie
sans fil AirPort Extreme
Visitez la page web d’assistance AirPort à l’adresse
www.apple.com/fr/support/airport.
L’utilisation de la technologie
sans fil Bluetooth
Visitez la page web d’assistance Bluetooth à l’adresse
www.apple.com/fr/support/bluetooth. Vous pouvez également
ouvrir l’application Échange de fichiers Bluetooth (qui se trouve
dans le dossier Utilitaires du dossier Applications), puis choisir
Aide > Aide Bluetooth.
L’entretien de la batterie Recherchez « batterie » dans l’Aide Mac.
La connexion d’une imprimante Recherchez « impression » dans l’Aide Mac.
Les connexions FireWire et USB Recherchez « USB » ou « FireWire » dans l’Aide Mac.
La connexion à Internet Recherchez « Internet » dans l’Aide Mac.
La connexion d’un moniteur
externe
Recherchez « port de moniteur » dans l’Aide Mac.
La télécommande
Apple Remote (vendue
séparément à l’adresse
www.apple.com/fr/store)
Recherchez « télécommande » dans l’Aide Mac.
Front Row Recherchez « Front Row » dans l’Aide Mac.
La gravure d’un CD ou DVD Recherchez « graver un disque » dans l’Aide Mac.
Les caractéristiques Visitez la page web concernant les caractéristiques, à l’adresse
www.apple.com/fr/support/specs. Vous pouvez également ouvrir
Informations Système en choisissant le menu Pomme (K) >
« À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis en cliquant
sur Plus d’infos.
Pour obtenir
des informations sur : Effectuez l’opération suivante :Chapitre 2 Votre MacBook au quotidien 33
Actualités Apple, téléchargements gratuits et catalogues en
ligne de logiciels et matériel
Visitez le site web d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr
Instructions, assistance
technique et manuels
des produits Apple
Visitez le site web d’assistance Apple à l’adresse
www.apple.com/fr/support.
Pour obtenir
des informations sur : Effectuez l’opération suivante :3
3Augmentez votre mémoire
mémoire RAM
www.apple.com/fr/store
Aide Mac36 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire
Ce chapitre fournit des informations et des instructions pour installer de la mémoire
supplémentaire et pour retirer et remettre en place la batterie de votre MacBook.
Votre ordinateur est doté de deux logements de mémoire auxquels vous pouvez
accéder en retirant sa batterie. Votre MacBook est fourni avec un minimum de
1 gigaoctet (Go) de mémoire DDR2 (Double Data Rate) SDRAM (Synchronous
Dynamic Random-Access Memory) à 667 MHz. Les deux logements de mémoire
peuvent accueillir un module SDRAM conforme aux spécifications suivantes :
 format DDR2 SO-DIMM (Double Data Rate Small Outline Dual Inline Memory Module) ;
 taille inférieure à 3,8 cm ;
 512 Mo, 1 Go ou 2 Go ;
 à 200 broches ;
 mémoire RAM de type PC2-5300 DDR2 à 667 MHz.
Pour obtenir des performances optimales, ne laissez aucun des deux logements vides
et installez-y des modules de mémoire identiques.
AVERTISSEMENT : Apple vous recommande de confier l’installation de mémoire à un
technicien agréé Apple. Consultez les informations sur le dépannage et l’assistance
qui accompagnent votre ordinateur pour savoir comment contacter Apple. Tout
dommage causé à votre matériel en tentant d’installer vous-même de la mémoire
n’est pas couvert par la garantie limitée de votre ordinateur.Chapitre 3 Augmentez votre mémoire 37
Installation de mémoire supplémentaire
Pour installer de la mémoire, il faut enlever la batterie puis la remettre en place.
La procédure suivante inclut des instructions sur le retrait de la batterie, l’ajout de
mémoire et la remise en place de la batterie.
Étape 1 : Enlevez la batterie.
1 Éteignez le MacBook. Débranchez l’adaptateur secteur, le câble Ethernet et tous
les autres câbles connectés au MacBook afin d’éviter toute détérioration de ce dernier.
AVERTISSEMENT : soyez prudent lorsque vous manipulez la batterie. Consultez
les informations de sécurité sur la batterie à la page 64.38 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire
2 Retournez le MacBook et repérez l’emplacement du verrou de la batterie. Utilisez une
pièce de monnaie pour faire tourner le verrou d’un quart de tour vers la droite afin de
débloquer la batterie, puis retirez cette dernière avec précaution.
AVERTISSEMENT : les composants internes de votre MacBook risquent d’être chauds.
Si vous venez d’utiliser votre MacBook, attendez 10 minutes après l’extinction afin de
laisser aux composants internes le temps de se refroidir.
¥
Á
¥
ÁChapitre 3 Augmentez votre mémoire 39
Étape 2 : Installer la mémoire.
1 Desserrez les trois vis imperdables maintenant le support en L, tirez sur la barre la plus
longue pour retirer le support et écartez celui-ci.
Les leviers situés dans les logements de mémoire se soulèvent automatiquement
lorsque vous retirez le support.
2 Touchez la surface métallique de l’intérieur de l’ordinateur afin de décharger toute
électricité statique que vous pouvez avoir emmagasinée.
Desserrez les trois vis
Tirez sur cette barre
¥
Á40 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire
3 Pour retirer un module de mémoire placé dans un logement, poussez le levier vers la
gauche d’un mouvement rapide, ce qui fait apparaître le bord du module de mémoire.
Retirez le module de mémoire. Répétez l’opération avec l’autre module de mémoire.
Leviers
¥
ÁChapitre 3 Augmentez votre mémoire 41
4 Insérez les nouveaux modules de mémoire dans les logements :
a Commencez par insérer le bord doré, avec l’encoche sur le côté gauche.
b Poussez fermement avec deux doigts sur les modules de mémoire pour les mettre
en place. Vous devriez entendre un clic lorsque la mémoire s’enclenche.
Remarque : il est possible qu’une sorte de lubrifiant soit présent sur le nouveau
module de mémoire afin de faciliter le processus d’insertion. Ceci est normal et vous
ne devez pas essuyer ou nettoyer le module pour tenter de l’éliminer.
c Si les leviers ne reviennent pas en position fermée, déplacez-les vers la droite pour
les fermer.
Encoches
¥
Á42 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire
5 Replacez le support en L en insérant d’abord le bras le plus court, puis resserrez les vis.
Insérez Resserrez les trois vis
d’abord
¥
ÁChapitre 3 Augmentez votre mémoire 43
Étape 3 : Remplacez la batterie.
1 Placez le bord droit de la batterie dans son compartiment, puis appuyez doucement
sur le bord gauche pour la mettre en place. Utilisez une pièce de monnaie pour faire
tourner le verrou d’un quart de tour vers la gauche afin d’immobiliser la batterie.
2 Reconnectez l’adaptateur secteur et tout autre câble connecté auparavant à l’ordinateur.
¥
Á
¥
Á44 Chapitre 3 Augmentez votre mémoire
Vérification de la reconnaissance de la nouvelle mémoire par
votre MacBook
Après avoir ajouté de la mémoire au MacBook, vérifiez si elle est reconnue.
Pour vérifier la mémoire de votre ordinateur :
1 Démarrez votre MacBook.
2 Lorsque le bureau Mac OS X s’affiche, choisissez le menu Pomme (?) > À propos de
ce Mac.
Pour plus de détails sur la mémoire installée sur votre ordinateur, ouvrez
Informations Système en cliquant sur Plus d’infos puis sur Mémoire.
Si le MacBook ne reconnaît pas la mémoire ou ne démarre pas correctement, vérifiez
que la mémoire est compatible avec le MacBook et qu’elle est correctement installée.4
4À tout problème sa solution
www.apple.com/fr/support
Aide Mac aide46 Chapitre 4 À tout problème sa solution
Il se peut que vous rencontriez à titre exceptionnel des problèmes en utilisant le MacBook.
Lisez ce chapitre pour trouver des idées de solution qui vous aideront à régler vos problè-
mes. Vous trouverez aussi des informations supplémentaires concernant le dépannage
dans l’Aide Mac et sur le site web d’assistance consacré au MacBook, à l’adresse
www.apple.com/fr/support/macbook.
Il existe généralement une solution simple et rapide aux problèmes qui peuvent survenir
au cours de l’utilisation de votre MacBook. Réfléchissez aux conditions qui ont entraîné
l’apparition de ce problème. Ce récapitulatif de la totalité des opérations effectuées avant
que le problème ne survienne permet de restreindre les causes possibles et de trouver
la solution. Les éléments à noter comprennent :
 les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu ; les
problèmes qui n’apparaissent qu’avec une application spécifique peuvent indiquer
que cette application n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur
votre ordinateur ;
 les nouveaux logiciels installés, notamment ceux qui ont ajouté des éléments à votre
dossier Système ;
 tout composant matériel installé (mémoire supplémentaire ou périphérique, par
exemple).
Problèmes vous empêchant d’utiliser votre MacBook
Si votre MacBook ne répond plus ou que le pointeur se fige
Il peut arriver, très rarement, qu’une application se « fige » à l’écran. Mac OS X permet
de quitter une application figée sans redémarrer votre ordinateur. Vous pouvez ainsi
enregistrer le travail effectué dans d’autres applications ouvertes.Chapitre 4 À tout problème sa solution 47
Pour forcer une application à se fermer :
1 Appuyez sur les touches Commande (x) + Option + Échap ou choisissez le menu
Pomme (?) > Forcer à quitter dans la barre des menus.
La boîte de dialogue « Forcer à quitter des applications » apparaît. L’application est
sélectionnée.
2 Cliquez sur Forcer à quitter.
L’application se ferme, en laissant toutes les autres applications ouvertes.
Si nécessaire, vous pouvez également redémarrer le Finder à partir de cette zone
de dialogue.
Enregistrez ensuite votre travail dans les applications ouvertes, puis redémarrez
l’ordinateur afin de vous assurer que le problème est entièrement réglé.
Si vous ne parvenez pas à forcer la fermeture d’une application, maintenez enfoncé
le bouton d’alimentation (®) durant quelques secondes pour éteindre l’ordinateur.
Attendez 10 secondes puis allumez l’ordinateur.
Si le problème survient fréquemment, choisissez Aide > Aide Mac dans la barre des
menus en haut de l’écran. Recherchez le mot « bloquer » pour obtenir de l’aide en cas
de blocage de l’ordinateur ou s’il ne répond pas.
Si le problème ne survient que lorsque vous utilisez une application particulière, vérifiez auprès de son éditeur si elle est compatible avec votre ordinateur. Pour obtenir
des informations de contact et une assistance relatifs aux logiciels fournis avec votre
MacBook, rendez-vous à l’adresse www.apple.com/fr/guide.48 Chapitre 4 À tout problème sa solution
Si vous savez qu’une application est compatible, vous devrez peut-être réinstaller le
logiciel système de votre ordinateur. Consultez « Réinstallation des logiciels fournis
avec votre MacBook » à la page 56.
Si le MacBook se bloque au démarrage, si un point d’interrogation clignotant apparaît ou si l’écran est éteint et que la lampe témoin de suspension d’activité reste
allumée (pas en mode de suspension d’activité)
Le point d’interrogation clignotant signifie généralement que l’ordinateur ne parvient
pas à localiser le logiciel système sur le disque dur interne ou sur tout disque externe
relié à l’ordinateur.
 Patientez quelques secondes. Si l’ordinateur ne démarre pas de suite, éteignez-le en
maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant 8 à 10 secondes. Débranchez tous les périphériques externes puis tentez de redémarrer l’ordinateur en
appuyant sur le bouton d’alimentation (®) tout en maintenant la touche Option
enfoncée. Lorsque votre ordinateur démarre, cliquez sur l’icône du disque dur, puis
sur la flèche droite. Une fois que l’ordinateur a démarré, ouvrez Préférences Système
et cliquez sur Démarrage. Sélectionnez un dossier Système local de Mac OS X.
 Si cela ne donne pas de résultats, tentez de réparer le disque à l’aide d’Utilitaire
de disque :
 Insérez le CD « Mac OS X Install Disc 1 » dans votre ordinateur.
 Redémarrez ensuite votre ordinateur en maintenant la touche C enfoncée lors du
démarrage.
 Choisissez Installation > Ouvrir Utilitaire de disque. Lorsque Utilitaire de disque
s’ouvre, suivez les instructions de la sous-fenêtre S.O.S pour savoir s’il est en mesure
de réparer le disque.Chapitre 4 À tout problème sa solution 49
Si Utilitaire de disque ne résout pas le problème, vous devrez peut-être réinstaller le
logiciel système de votre ordinateur. Consultez « Réinstallation des logiciels fournis
avec votre MacBook » à la page 56.
Si votre MacBook ne s’allume ou ne démarre pas
Tentez les opérations suivantes dans l’ordre jusqu’à ce que votre ordinateur s’allume :
 Assurez-vous que l’adaptateur secteur est connecté à l’ordinateur et branché sur une
prise de courant en état de marche. Veillez à utiliser l’adaptateur secteur MagSafe 60 W
fourni avec le MacBook. Si l’adaptateur secteur ne recharge plus l’ordinateur et que la
lampe témoin de l’adaptateur secteur ne s’allume pas lorsque vous branchez le câble
d’alimentation, essayez de le débrancher puis de le brancher à nouveau afin de le positionner correctement.
 Vérifiez si votre batterie a besoin d’être rechargée. Appuyez sur le petit bouton situé
sur la batterie. Vous devriez voir apparaître un à quatre voyants indiquant le niveau
de charge de la batterie. Si une seule lampe témoin de niveau de la batterie clignote,
branchez l’adaptateur secteur pour charger la batterie jusqu’à ce qu’au moins cette
lampe témoin reste allumée en permanence.
 Si le problème persiste, rétablissez les réglages par défaut de l’ordinateur en débranchant l’adaptateur secteur, en retirant la batterie et en maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant au moins 5 secondes.
 Si vous avez récemment ajouté de la mémoire, assurez-vous qu’elle est correctement
installée et compatible avec votre ordinateur. Vérifiez si le retrait de cette mémoire
et la remise en place de l’ancienne permet à l’ordinateur de démarrer (consultez
la page 39). 50 Chapitre 4 À tout problème sa solution
 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et maintenez immédiatement les touches
Commande (x), Option, P, et R enfoncées jusqu’à entendre une deuxième fois le son
du démarrage. Cette action réinitialise le paramètre RAM (PRAM).
 Si vous ne parvenez toujours pas à démarrer le MacBook, consultez la rubrique
« Informations, services et assistance » à la page 58 qui contient les informations
nécessaires pour prendre contact avec Apple.
Si l’écran devient subitement noir ou que votre MacBook se bloque
Essayez de redémarrer votre MacBook.
1 Débranchez tout périphérique connecté à votre MacBook excepté l’adaptateur secteur.
2 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour redémarrer le système.
3 Le niveau de charge de la batterie doit atteindre au moins 10 pour cent avant la connexion d’un périphérique et la reprise du travail.
Pour vérifier le niveau de charge de la batterie, observez l’icône d’état de la batterie ( )
située dans la barre des menus.
Le moniteur pourrait également s’assombrir si les fonctions d’économie d’énergie de
la batterie sont en place.
Si vous avez oublié votre mot de passe
Vous pouvez réinitialiser votre mot de passe d’administrateur et les mots de passe de
tous les autres comptes.
1 Insérez le disque d’installation « Mac OS X Install Disc 1 ». Redémarrez ensuite votre
ordinateur tout en maintenant la touche C enfoncée.
2 Dans la barre des menus, choisissez Utilitaires > Réinitialiser le mot de passe.
Suivez les instructions à l’écran.Chapitre 4 À tout problème sa solution 51
En cas de problème à l’éjection d’un disque
 Fermez toutes les applications susceptibles d’utiliser le disque et essayez à nouveau.
 Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez l’ordinateur tout en maintenant le bouton du trackpad enfoncé.
Utilisation d’Apple Hardware Test
Si vous pensez qu’il y a un problème avec les composants matériels du MacBook,
vous pouvez utiliser l’application Apple Hardware Test pour savoir si tel est le cas
(les composants affectés peuvent être la mémoire ou le processeur, par exemple).
Pour utiliser Apple Hardware Test :
1 Déconnectez tous les périphériques externes de votre ordinateur, sauf l’adaptateur
secteur. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le.
2 Redémarrez votre MacBook tout en maintenant enfoncée la touche D.
3 Lorsque l’écran principal d’Apple Hardware Test s’affiche, sélectionnez votre langue.
4 Appuyez sur la touche Retour ou cliquez sur le bouton Flèche droite.
5 Lorsque l’écran principal Apple Hardware Test apparaît (environ 45 secondes plus tard),
suivez les instructions affichées à l’écran.
6 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur.
Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance.
Si Apple Hardware Test ne détecte pas de panne matérielle, il est probable que
le problème soit lié aux logiciels.
Pour en savoir plus sur Apple Hardware Test, consultez le fichier « À propos d’AHT » sur
le disque « Mac OS X Install Disc 1 ».52 Chapitre 4 À tout problème sa solution
Problèmes de connexion à Internet
Le MacBook est équipé de l’application Assistant réglages, destinée à vous aider à configurer une connexion à Internet. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Réseau.
Cliquez sur le bouton « Assistant » pour ouvrir Assistant réglages de réseau.
En cas de problèmes avec votre connexion à Internet, vous pouvez essayer les méthodes
proposées dans cette rubrique en commençant par Diagnostic réseau.
Pour utiliser Diagnostic réseau :
1 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système.
2 Cliquez sur Réseau puis cliquez sur « Assistant ».
3 Cliquez sur Diagnostic pour lancer Diagnostic réseau.
4 Suivez les instructions à l’écran.
Si Diagnostic réseau n’est pas en mesure de résoudre le problème, celui-ci se situe
peut-être au niveau du fournisseur d’accès à Internet auquel vous essayez de vous
connecter, du périphérique externe utilisé pour la connexion au fournisseur d’accès à
Internet ou du serveur auquel vous essayez d’accéder. Vous pouvez également tenter
de réaliser les opérations suivantes.
Connexions à Internet par modem câble, ligne DSL et réseau local (LAN)
Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés. Vérifiez le
câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à l’ordinateur et celui reliant
le modem à la prise secteur. Vérifiez également les câbles et les sources d’alimentation
de vos routeurs et concentrateurs Ethernet. Chapitre 4 À tout problème sa solution 53
Éteignez, puis rallumez le modem afin de réinitialiser le matériel du modem.
Éteignez le modem câble ou DSL, puis rallumez-le après quelques minutes. Certains
fournisseurs d’accès à Internet conseillent de débrancher le câble d’alimentation
du modem. Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez
l’actionner avant ou après avoir éteint puis rallumé le modem.
Important : les instructions relatives aux modems ne concernent pas les utilisateurs de
réseau LAN. Contrairement aux utilisateurs de modems câble et DSL, les utilisateurs de
réseau LAN peuvent disposer de concentrateurs, commutateurs, routeurs et autres blocs
de connexion. Ils doivent faire appel à leur administrateur réseau plutôt qu’à un FAI.
Connexions PPPoE
Si vous ne parvenez pas à vous connecter à votre fournisseur d’accès à Internet via
PPPoE (Point to Point Protocol over Ethernet), assurez-vous que les informations que
vous avez saisies dans les préférences Réseau sont correctes.
Pour vérifier les réglages PPPoE :
1 Choisissez le menu Pomme (?) > Préférences Système.
2 Cliquez sur Réseau.
3 Cliquez sur le bouton Ajouter (+) qui se trouve au bas de la liste des services de
connexion réseau, puis choisissez PPPoE dans le menu local Interface.
4 Choisissez une interface pour le service PPPoE dans le menu local Ethernet. Choisissez
Ethernet si vous vous connectez à un réseau filaire ou AirPort s’il s’agit d’un réseau sans fil.
5 Saisissez les informations transmises par votre fournisseur d’accès, telles que le nom de
compte, le mot de passe et le nom du service PPPoE (si votre fournisseur d’accès l’exige).
6 Cliquez sur Appliquer pour activer les réglages.54 Chapitre 4 À tout problème sa solution
Connexions au réseau
Assurez-vous que le câble Ethernet est branché sur le MacBook et sur le réseau.
Vérifiez les câbles et l’alimentation de vos routeurs et concentrateurs Ethernet.
Si vous disposez de plusieurs ordinateurs partageant une connexion à Internet, assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre FAI
fournit une seule ou plusieurs adresses IP, autrement dit, une pour chaque ordinateur.
Si une seule adresse IP est fournie, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion ; on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP. Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la
documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré
votre réseau. Vous pouvez utiliser une borne d’accès AirPort pour partager une adresse
IP unique entre plusieurs ordinateurs. Pour obtenir plus d’informations sur l’utilisation
d’une borne d’accès AirPort, consultez l’Aide Mac ou rendez-vous sur le site web
AirPort d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport.
Si ces méthodes s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés,
adressez-vous à votre fournisseur d’accès à Internet ou à votre administrateur réseau.Chapitre 4 À tout problème sa solution 55
Problèmes de communication sans fil avec AirPort Extreme
En cas de problèmes avec les communications sans fil AirPort Extreme :
 Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé
et dispose d’un point d’accès sans fil.
 Assurez-vous que le logiciel est correctement configuré conformément aux instructions incluses avec votre borne d’accès ou point d‘accès.
 Assurez-vous que l’autre ordinateur ou le point d’accès au réseau se trouve dans
la zone de couverture de l’antenne de votre ordinateur. Des appareils électroniques
ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les
communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en tournant et en réorientant l’ordinateur.
 Vérifiez l’icône d’état AirPort (Z) dans la barre des menus. Jusqu’à quatre barres de
mesure apparaissent pour afficher la puissance du signal. Si l’intensité du signal est
faible, essayez de changer de place.
 Pour plus d’informations, consultez l’Aide AirPort (choisissez Aide > Aide Mac,
puis Bibliothèque > Aide AirPort dans la barre des menus) ainsi que les instructions
fournies avec votre appareil sans fil.56 Chapitre 4 À tout problème sa solution
Maintien à jour de vos logiciels
Vous pouvez vous connecter à Internet pour télécharger et installer automatiquement les
dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple.
Chaque fois que vous êtes connecté à Internet, Mise à jour de logiciels vérifie si
des mises à jour sont disponibles pour votre ordinateur. Vous pouvez configurer
le MacBook afin qu’il recherche régulièrement des mises à jour et que vous puissiez
télécharger et installer les logiciels mis à jour.
Pour rechercher des logiciels mis à jour :
1 Ouvrez les Préférences Système.
2 Cliquez sur l’icône « Mise à jour de logiciels » et suivez les instructions à l’écran.
 Pour plus d’informations, recherchez « Mise à jour de logiciels » dans l’Aide Mac.
 Pour obtenir les toutes dernières informations sur Mac OS X, rendez-vous à l’adresse
www.apple.com/fr/macosx.
Réinstallation des logiciels fournis avec votre MacBook
Les disques d’installation de logiciels fournis avec votre ordinateur permettent de
réinstaller Mac OS X et les applications livrées avec votre ordinateur.
Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données de votre disque dur
avant de procéder à la restauration du logiciel. Apple décline toute responsabilité en
cas de perte de données.Chapitre 4 À tout problème sa solution 57
Installation de Mac OS X et des applications
Pour installer Mac OS X et les applications qui accompagnent votre ordinateur :
1 Sauvegardez vos fichiers essentiels.
Nous vous conseillons de sauvegarder vos fichiers essentiels avant d’installer Mac OS X
et d’autres applications car l’option Effacer et installer efface les données du disque dur.
2 Assurez-vous que l’adaptateur secteur est correctement branché.
3 Insérez le CD « Mac OS X Install Disc 1 » livré avec votre ordinateur.
4 Double-cliquez sur « Install Mac OS X and Bundled Software ». Pour n’installer que les applications fournies avec l’ordinateur, double-cliquez sur « Install Bundled Software Only ».
Remarque : pour installer iCal, iChat AV, iSync, iTunes, Safari et les applications iLife ’08,
double-cliquez sur « Install Mac OS X and Bundled Software ».
5 Suivez les instructions à l’écran.
6 Après avoir sélectionné le volume de destination pour l’installation, suivez les instructions
à l’écran. Il se peut que votre ordinateur redémarre et vous invite à insérer le disque
d’installation Mac OS X suivant.
Remarque : pour rétablir les réglages d’origine de Mac OS X sur votre ordinateur,
cliquez sur Options dans la fenêtre Sélectionner une destination du programme
d’installation, puis choisissez Effacer et installer. 58 Chapitre 4 À tout problème sa solution
Informations, services et assistance
L’utilisateur ne peut remplacer aucune pièce du MacBook, excepté la mémoire. Si vous
avez besoin de services de réparation, adressez-vous à Apple ou portez votre MacBook
chez un fournisseur de services agréé Apple. Vous trouverez de plus amples informations sur le MacBook en ligne, dans l’aide à l’écran, dans Informations Système et via
Apple Hardware Test.
Informations en ligne
Pour obtenir des informations en ligne sur le service et l’assistance, rendez-vous sur
www.apple.com/fr/support. Choisissez votre pays dans le menu local. Vous pouvez faire
des recherches dans la base de données AppleCare Knowledge Base, vérifiez si de nouvelles mises à jour de logiciels sont disponibles ou obtenir de l’aide dans les forums de
discussion Apple.
Aide à l’écran
Vous pouvez rechercher des réponses à vos questions ainsi que des instructions et des
informations de dépannage dans l’Aide Mac. Choisissez Aide > Aide Mac.
Informations Système
Pour obtenir des informations sur le MacBook, servez-vous d’Informations Système.
Cette application vous fournit la liste des composants matériels et des logiciels installés, le numéro de série et de version du système d’exploitation, la quantité de mémoire
installée, etc. Pour ouvrir Informations Système, choisissez le menu Pomme (?) >
« À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos.Chapitre 4 À tout problème sa solution 59
Service et assistance AppleCare
Le MacBook est fourni avec 90 jours d’assistance technique et 1 an de garantie sur les
réparations de matériel effectuées dans les magasins Apple Store ou dans des centres de
réparations agréés Apple tels que les fournisseurs de services agréés Apple. Vous avez la
possibilité d’étendre la durée de cette couverture en adhérant à un programme AppleCare
Protection Plan. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.apple.com/fr/support/products
ou bien visitez le site web de votre pays (dans la liste ci-dessous).
Si vous avez besoin d’assistance, le personnel d’assistance par téléphone AppleCare
peut vous aider à installer et à ouvrir les applications et offre des services de dépannage élémentaires. Appelez le centre d’assistance le plus proche de chez vous (gratuit
pendant les 90 premiers jours). Gardez la date d’achat et le numéro de série de votre
MacBook à portée de main lorsque vous appelez.
Remarque : votre période de 90 jours d’assistance téléphonique gratuite commence à
la date d’achat. Des frais téléphoniques peuvent être applicables.
Pays Téléphone Site web
Allemagne (49) 01805 009 433 www.apple.com/de/support
Autriche (43) 0810 300 427 www.apple.com/at/support
Belgique (flamand)
(français)
(32) 070 700 772
(32) 070 700 773
www.apple.com/benl/support
www.apple.com/befr/support
France (33) 0825 888 024 www.apple.com/fr/support
Luxembourg (352) 800 24550 www.apple.com/befr/support
Suisse (français)
(allemand)
(41) 0848 000 132
(41) 0848 000 132
www.apple.com/chfr/support
www.apple.com/chde/support60 Chapitre 4 À tout problème sa solution
Les numéros de téléphone sont susceptibles d’être modifiés. Les tarifs téléphoniques
locaux et nationaux peuvent s’appliquer. Une liste complète est disponible sur Internet :
Localisation du numéro de série de votre produit
Utilisez l’une des méthodes suivantes pour trouver le numéro de série de votre
ordinateur :
 Choisissez le menu pomme (?) > À propos de ce Mac puis cliquez sur le numéro de
version, en dessous des mots « Mac OS X ». Cliquez à cet endroit de façon répétitive
pour afficher l’un après l’autre la version de Mac OS X, le numéro de sous-version et
le numéro de série.
 Ouvrez Informations Système (dans /Applications/Utilitaires/), et cliquez sur Matériel.
 Retirez la batterie. Le numéro de série de votre MacBook se trouve dans la baie de
la batterie. Pour en savoir plus sur l’extraction de la batterie, consultez la page 37 .
www.apple.com/contact/phone_contacts.html www.apple.com/contact/phone_contacts.html5
5Dernières recommandations
www.apple.com/fr/environment
Aide Mac ergonomie62 Chapitre 5 Dernières recommandations
Afin d’assurer votre sécurité et de préserver votre matériel, veillez à observer ces consignes concernant le nettoyage et la manipulation de votre MacBook ainsi que l’aménagement d’un espace de travail confortable. Gardez ces instructions dans un endroit
facile d’accès pour vous et pour les utilisateurs éventuels.
Informations importantes concernant la sécurité
Utilisation près de l’eau et dans des endroits humides Évitez de placer
votre MacBook à proximité d’un évier, d’un lavabo, d’une baignoire ou d’une douche,
par exemple. Protégez votre MacBook de l’humidité et des intempéries (neige, pluie,
brouillard par exemple).
Manipulation du MacBook Installez le MacBook sur un plan de travail stable qui laisse
convenablement circuler l’air sous l’ordinateur et autour de celui-ci. N’utilisez pas le
MacBook en le posant sur un coussin ou tout autre objet de structure non solide car
cela pourrait empêcher les conduits d’aération de fonctionner correctement. Ne placez
jamais d’objets sur le clavier lorsque vous utilisez votre MacBook. N’introduisez jamais
d’objets d’aucune sorte dans les ouvertures servant à la ventilation.
La partie inférieure du MacBook peut chauffer au cours d’une utilisation normale de
l’appareil. MacBookS’il est posé sur vos genoux et que la chaleur qu’il émane vous
gêne, posez-le plutôt sur un plan de travail stable.
AVERTISSEMENT : ne pas suivre ces consignes pourrait déclencher un feu, occasionner
des décharges électriques ou entraîner tout type de blessure ou dommage.Chapitre 5 Dernières recommandations 63
Utilisation de l’adaptateur secteur MagSafe 60 W Veillez à ce que la fiche secteur ou
le câble d’alimentation secteur soit totalement inséré dans l’adaptateur secteur avant
de le brancher sur une prise de courant. N’utilisez que l’adaptateur secteur qui accompagne le MacBook ou, au besoin, un adaptateur secteur agréé Apple compatible avec
ce produit. L’adaptateur secteur peut chauffer au cours d’une utilisation normale de
l’appareil. Branchez toujours l’adaptateur secteur directement sur la prise de courant
ou posez-le par terre, dans un endroit correctement aéré.
Débranchez l’adaptateur secteur, retirez la batterie et débranchez tous les autres câbles
si l’un des cas suivants se présente :
 Vous souhaitez ajouter de la mémoire.
 Vous souhaitez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions
fournies à la page 66).
 La prise ou le câble d’alimentation est endommagé.
 Le MacBook ou l’adaptateur secteur est exposé à la pluie ou à une humidité excessive,
ou du liquide a été versé dans le boîtier.
 Le MacBook ou l’adaptateur secteur a subi une chute, le boîtier a été endommagé ou
vous pensez qu’une réparation est nécessaire.
Le port secteur MagSafe contient un aimant qui peut effacer les données d’une carte
de crédit, d’un iPod ou d’autres appareils. Pour protéger vos données, ne placez pas ce
type d’objets ou d’appareils à sensibilité magnétique à moins de 25 mm de ce port.
Si des résidus quelconques se trouvent dans le port secteur MagSafe, enlevez-les
doucement à l’aide d’un bâtonnet de coton.64 Chapitre 5 Dernières recommandations
Manipulation de la batterie Évitez de la faire tomber, de la démonter, de l’écraser,
de la brûler ou de l’exposer à des températures supérieures à 100° C. N’utilisez plus
la batterie si elle est endommagée de quelque façon que ce soit. Ne remplacez la batterie que par une batterie certifiée par Apple pour ce produit. Éliminez rapidement les
batteries usagées conformément aux directives d’environnement locales en vigueur.
Prévention de la diminution de l’acuité auditive Vous risquez une perte d’audition
irréparable si vous utilisez un casque ou des écouteurs à volume sonore élevé. L’oreille
peut s’adapter petit à petit à des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent
sembler normaux, mais qui risquent à la longue d’endommager votre système auditif.
En cas de sifflements ou de perte d’acuité auditive, arrêtez d’utiliser le casque ou les
écouteurs et consultez un médecin. Plus le volume est élevé, plus votre audition risque
d’être affectée rapidement. Pour protéger votre système auditif, les spécialistes conseillent de prendre les mesures suivantes :
 Limitez la durée d’utilisation à volume élevé de vos écouteurs ou de votre casque
d’écoute.
 Évitez d’augmenter le volume afin de bloquer les bruits environnants.
 Baissez le volume si vous ne parvenez pas à entendre une personne qui parle à côté
de vous.
Activités à haut risque Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle
du trafic aérien, ni dans aucune autre situation où une panne du système informatique
pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques.Chapitre 5 Dernières recommandations 65
Informations concernant le laser pour lecteurs optiques
Le lecteur optique de votre ordinateur contient un laser qui est entièrement sans danger
si l’on en fait un usage normal mais qui peut s’avérer dangereux pour les yeux s’il est
démonté. Afin d’assurer votre sécurité, ce dispositif ne doit être réparé que par un fournisseur de services agréé Apple.
Informations importantes sur la manipulation
Mise sous tension de votre MacBook N’allumez jamais le MacBook tant que tous ses
composants internes ou externes ne sont pas en place. L’utilisation de l’ordinateur alors
que certains composants manquent peut s’avérer dangereuse et risque de l’endommager.
Transport du MacBook Si vous transportez le MacBook dans un sac ou dans un attaché-
case, assurez-vous que ce dernier ne contient pas d’objets non attachés (des trombones
ou des pièces de monnaie, par exemple) qui pourraient pénétrer accidentellement dans
l’ordinateur par une ouverture (comme la fente du lecteur optique) ou se coincer à l’inté-
rieur d’un port. Maintenez également à l’écart du port secteur MagSafe tout objet à sensibilité magnétique.
AVERTISSEMENT : la mise en place de réglages ou la réalisation d’opérations qui ne
sont pas spécifiés dans le manuel de votre appareil risque de vous exposer à des
rayonnements dangereux.
AVIS : ne pas suivre les présentes instructions sur la manipulation peut provoquer des
dommages à votre MacBook ou à d’autres objets.66 Chapitre 5 Dernières recommandations
Utilisation des connecteurs et des ports Ne forcez jamais un connecteur à entrer
dans un port. Lorsque vous branchez un appareil, assurez-vous que le port ne contient
aucun résidu quelconque, que le connecteur correspond bien au port et qu’il est placé
de manière à entrer correctement dans le port.
Utilisation du lecteur optique Le lecteur optique du MacBook prend en charge les disques de 12 cm. Les disques de forme irrégulière et de moins de 12 cm ne peuvent pas
être lus et peuvent rester coincés dans le lecteur.
Stockage du MacBook Si vous décidez de ranger le MacBook pendant une longue
période, placez-le dans un endroit frais (idéalement, à 22° C) et déchargez la batterie
jusqu’à 50 pour cent. Avant de ranger votre ordinateur pour une période de temps
supérieure à cinq mois, déchargez la batterie jusqu’à environ 50 pour cent, puis retirezla de votreMacBook. Pour conserver les capacités de la batterie, rechargez la batterie
jusqu’à 50 pour cent tous les six mois environ.
Nettoyage du MacBook Lorsque vous nettoyez le boîtier du MacBook et ses composants, éteignez d’abord le MacBook, débranchez l’adaptateur secteur et retirez la batterie. Utilisez ensuite un chiffon doux, humide et non pelucheux pour nettoyer le boîtier
de l’ordinateur. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit.
Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’ordinateur. N’utilisez ni aérosols,
ni dissolvants, ni abrasifs qui pourraient endommager les finitions de l’appareil.
Nettoyage de l’écran du MacBook Pour nettoyer l’écran du MacBook, éteignez tout
d’abord votre MacBook, débranchez l’adaptateur secteur, puis retirez la batterie.
Ensuite utilisez le chiffon fourni pour nettoyer l’écran. Humidifiez le chiffon à l’eau si
nécessaire. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’écran.Chapitre 5 Dernières recommandations 67
Ergonomie
Voici quelques conseils pour la mise en place d’un environnement de travail sain.
Clavier et trackpad
Lorsque vous tapez au clavier ou que vous vous servez du trackpad, vos épaules doivent
être détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, la main étant placée dans le prolongement du poignet.
Position
à éviter
Position
recommandée68 Chapitre 5 Dernières recommandations
Vous devez avoir les mains et les doigts détendus lorsque vous tapez au clavier ou que
vous utilisez le trackpad. Évitez de replier les pouces à l’intérieur des paumes.
Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un travail
continu et intensif sur ordinateur, certains utilisateurs peuvent ressentir des douleurs
aux mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste.
Souris externe
Si vous utilisez une souris externe, veillez à ce qu’elle se trouve à hauteur du clavier.
Ménagez un espace suffisant pour la manipuler avec aisance.
Siège
Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de telle sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale
et vos pieds à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire,
c’est-à-dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant de
sorte que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie.
Position
à éviter
Position
recommandéeChapitre 5 Dernières recommandations 69
Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à
plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Si vous disposez d’un bureau modulaire, vous pouvez abaisser le niveau du plan de travail pour
éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau
dont le clavier est situé plus bas que le plan de travail.
Écran intégré
Orientez l’écran de manière à réduire le plus possible les reflets de l’éclairage électrique
et de la lumière du jour. Ne forcez pas l’écran si vous rencontrez une résistance. L’angle
d’ouverture maximal de l’écran ne peut dépasser 130 degrés.
Réglez la luminosité et le contraste de l’écran chaque fois que vous déplacez l’ordinateur ou que l’éclairage ambiant change.
Vous trouverez d’autres informations concernant l’ergonomie sur Internet :
Apple et l’environnement
Apple Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact de ses
produits et de ses activités sur l’environnement.
Des informations supplémentaires sont disponibles sur Internet :
www.apple.com/about/ergonomics
www.apple.com/fr/environment71
Regulatory Compliance Information
FCC Compliance Statement
This device complies with part 15 of the FCC rules.
Operation is subject to the following two conditions: (1)
This device may not cause harmful interference, and (2)
this device must accept any interference received,
including interference that may cause undesired
operation. See instructions if interference to radio or
television reception is suspected.
L’utilisation de ce dispositif est autorisée seulement aux
conditions suivantes: (1) il ne doit pas produire de
brouillage et (2) l’utilisateur du dispositif doit étre prêt à
accepter tout brouillage radioélectrique reçu, même si
ce brouillage est susceptible de compromettre le
fonctionnement du dispositif.
Radio and Television Interference
This computer equipment generates, uses, and can
radiate radio-frequency energy. If it is not installed and
used properly—that is, in strict accordance with Apple’s
instructions—it may cause interference with radio and
television reception.
This equipment has been tested and found to comply
with the limits for a Class B digital device in accordance
with the specifications in Part 15 of FCC rules. These
specifications are designed to provide reasonable
protection against such interference in a residential
installation. However, there is no guarantee that
interference will not occur in a particular installation.
You can determine whether your computer system is
causing interference by turning it off. If the interference
stops, it was probably caused by the computer or one of
the peripheral devices.
If your computer system does cause interference to
radio or television reception, try to correct the
interference by using one or more of the following
measures:
 Turn the television or radio antenna until the
interference stops.
 Move the computer to one side or the other of the
television or radio.
 Move the computer farther away from the television or
radio.
 Plug the computer in to an outlet that is on a different
circuit from the television or radio. (That is, make
certain the computer and the television or radio are on
circuits controlled by different circuit breakers or
fuses.)
In necessary, consult an Apple Authorized Service
Provider or Apple. See the service and support
information that came with your Apple product. Or,
consult an experienced radio/television technician for
additional suggestions.
Important: Changes or modifications to this product
not authorized by Apple Inc., could void the EMC
compliance and negate your authority to operate the
product.
This product has demonstrated EMC compliance under
conditions that included the use of compliant peripheral
devices and shielded cables (including Ethernet network
cables) between system components. It is important
that you use compliant peripheral devices and shielded
cables between system components to reduce the
possibility of causing interference to radios, television
sets, and other electronic devices.72
Responsible party (contact for FCC matters only):
Apple Inc. Corporate Compliance
1 Infinite Loop M/S 26-A
Cupertino, CA 95014-2084
Wireless Radio Use
This device is restricted to indoor use when operating in
the 5.15 to 5.25 GHz frequency band.
Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur.
Exposure to Radio Frequency Energy
The radiated output power of the AirPort Extreme
technology is below the FCC radio frequency exposure
limits. Nevertheless, it is advised to use the wireless
equipment in such a manner that the potential for
human contact during normal operation is minimized.
FCC Bluetooth Wireless Compliance
The antenna used with this transmitter must not be
collocated or operated in conjunction with any other
antenna or transmitter subject to the conditions of the
FCC Grant.
Bluetooth Industry Canada Statement
This Class B device meets all requirements of the
Canadian interference-causing equipment regulations.
Cet appareil numérique de la Classe B respecte toutes
les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur
du Canada.
Industry Canada Statement
Complies with the Canadian ICES-003 Class B
specifications. Cet appareil numérique de la classe B est
conforme à la norme NMB-003 du Canada. This device
complies with RSS 210 of Industry Canada.
Bluetooth Europe - Déclaration de conformité UE
Cet appareil sans fil est conforme à la directive R&TTE.
Europe : déclaration de conformité EU
The equipment complies with the RF Exposure
Requirement 1999/519/EC, Council Recommendation of
12 July 1999 on the limitation of exposure of the general
public to electromagnetic fields (0 Hz to 300 GHz).
Par la présente, Apple Inc. déclare que la carte 802.11a/b/
g/n Mini-PCIe est conforme à la directive R&TTE.
Conforme aux directives Basse tension et Compatibilité
électromagnétique du Conseil européen.
Voir : www.apple.com/euro/compliance.
Korea Statements
Singapore Wireless Certification
Taiwan Wireless Statements73
Taiwan Class B Statement
VCCI Class B Statement
Russia
Informations sur les modems USB
Si vous connectez votre MacBook à une ligne
téléphonique par le biais d’un modem USB externe,
veuillez vous reporter aux informations fournies par
l’agence de télécommunications mentionnées dans
la documentation livrée avec votre modem.
ENERGY STAR®
Compliance
As an ENERGY STAR®
partner, Apple has determined
that standard configurations of this product meet the
ENERGY STAR®
guidelines for energy efficiency. The
ENERGY STAR®
program is a partnership with electronic
equipment manufacturers to promote energy-efficient
products. Reducing energy consumption of products
saves money and helps conserve valuable resources.
This computer is shipped with power management
enabled with the computer set to sleep after 10 minutes
of user inactivity. To wake your computer, click the
mouse or trackpad button or press any key on the
keyboard.
For more information about ENERGY STAR®, visit:
www.energystar.gov74
Informations sur l’élimination et le recyclage
Ce symbole indique que vous devez suivre les normes et
la législation de votre pays pour jeter ce produit. La
lampe de rétro-éclairage de cet appareil contient du
mercure, vous ne pouvez donc pas le mélanger avec les
ordures ménagères. Lorsque ce produit n’est plus
utilisable, contactez Apple ou les autorités locales pour
en savoir plus sur les possibilités de recyclage.
Pour en savoir plus sur le programme de
recyclage d’Apple, consultez le site
www.apple.com/fr/environment/recycling/.
Informations sur l’enlèvement de la batterie
Jetez vos batteries usagées en respectant les lois et les
consignes environnementales de votre pays.
California: The coin cell battery in your product contains
perchlorates. Special handling and disposal may apply.
Refer to www.dtsc.ca.gov/hazardouswaste/perchlorate.
Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht
in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes
am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der
maßgeblichen gesetzlichen Regelungen.
Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden
ingeleverd bij de chemokar of in een speciale
batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden
gedeponeerd.75
Taïwan:
Union européenne—instructions concernant
l’élimination des déchets :
Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous
débarrasser de votre produit sans le mélanger avec les
ordures ménagères, selon les normes et la législation de
votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable,
portez-le dans un centre de traitement des déchets
agréé par les autorités locales. Certains centres
acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le
recyclage séparé de votre produit lors de son
élimination aideront à préserver les ressources naturelles
et à protéger l’environnement et la santé des êtres
humains.K Apple Inc.
© 2008 Apple Inc. Tous droits réservés. En application
des lois et conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée,
sauf consentement écrit préalable d’Apple.
Tout a été mis en œuvre pour que les informations pré-
sentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas
responsable des erreurs de reproduction ou d’impression.
Apple
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408-996-1010
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FileVault, FireWire, GarageBand, iCal, iLife, iMovie, iPhoto,
iPod, iSight, iTunes, Keynote, Mac, MacBook, Macintosh,
Mac OS, MagSafe et SuperDrive sont des marques
d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres
pays.
Cover Flow, Finder, le logo FireWire, iPhone, iWeb, Safari
et Spotlight sont des marques d’Apple Inc.
AppleCare et Apple Store sont des marques de service
d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres
pays.
ENERGY STAR®
est une marque déposée aux États-Unis.
Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d’Intel Corp.
aux États-Unis et dans d’autres pays.
La marque et les logos Bluetooth® sont des marques
déposées appartenant à Bluetooth SIG, Inc., utilisées
sous licence par Apple Inc.
Les autres noms de produits et de sociétés sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits de
tierce partie ne sont mentionnés que pour information,
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l’utilisation et au fonctionnement de ces produits.
Fabriqué sous licence de Dolby Laboratories. « Dolby »,
« Pro Logic » et le logo double-D sont des marques
déposées de Dolby Laboratories. Travaux confidentiels
inédits, © 1992–1997 Dolby Laboratories, Inc. Tous droits
réservés.
Le produit décrit dans le présent manuel intègre des
technologies de protection de droits d’auteur ellesmêmes protégées par divers brevets américains ainsi
que d’autres droits de propriété intellectuelle appartenant à Macrovision Corporation et à d’autres détenteurs. L’utilisation de ces technologies de protection
des droits d’auteurs doit être autorisée par Macrovision
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visualisation restreinte, sauf consentement de Macrovision Corporation. Tout démontage ou toute ingénierie
inverse sont interdits.
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sous licence à des fins de visualisation limitée
uniquement.
Publié simultanément aux États-Unis et au Canada.
Keynote 2
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et au fonctionnement de ces produits.
F2645.book Page 2 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM3
Table des matières
7 Préface : Bienvenue dans Keynote 2
8 Aperçu rapide des caractéristiques de Keynote
14 Ressources pour en savoir plus
17 Chapitre 1 : Vue d’ensemble de Keynote
17 La fenêtre de Keynote
18 Le canevas
19 Le classeur de diapositives
24 Le champ de notes
25 Outils de Keynote
29 Chapitre 2 : Création d’une présentation
29 Étape 1 : Sélectionnez un thème
31 Étape 2 : Créez vos diapos
38 Étape 3 : Classez vos diapositives
39 Étape 4 : Enregistrement de votre diaporama
41 Étape 5 : Lecture de votre diaporama
43 Chapitre 3 : Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
43 Modification de texte et de propriétés de texte
51 Ajout d’images
54 Redimensionnement, déplacement et superposition d’objets
59 Ajout d’audio et d’autres médias
66 Ajout de pages Web et de liens
71 Modification des dispositions
72 Modification de l’arrière-plan de la diapositive
73 Maintien ou annulation des modifications apportées au style
F2645.book Page 3 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM4 Table des matières
75 Chapitre 4 : Modification des propriétés des objets
75 Utilisation de remplissages couleurs et image
80 Modification du style de ligne et de l’emplacement
81 Ajout d’ombres
83 Ajustage de l’opacité
84 Modification de l’orientation d’un objet
85 Modification de la taille et de l’emplacement d’un objet
87 Chapitre 5 : Création de tables
87 Ajout d’un tableau
88 Sélection de bordures et de cellules du tableau
91 Mise en forme de tableaux
98 Ajout d’images ou de couleurs d’arrière-plan
101 Chapitre 6 : Création de graphiques
101 À propos des graphiques
104 Ajout de graphiques
105 Modification des données d’un graphique
106 Mise en forme de graphiques
119 Chapitre 7 : Transitions de diapositive et compositions d’objet
119 Ajout de transitions entre les diapositives
121 Création de compositions d’objet
129 Chapitre 8 : Affichage, impression et exportation de votre diaporama
129 Personnalisation d’une présentation pour votre public
131 Présentations plein écran
135 Réglage des options de présentation
140 Impression de vos diapositives
141 Exportation dans d’autres formats de visualisation
147 Chapitre 9 : Création de thèmes et modèles de diapositive personnalisés
148 Modification de la disposition et de l’arrière-plan des modèles de diapositive
F2645.book Page 4 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMTable des matières 5
154 Modification des styles par défaut du texte et des objets
156 Enregistrement des thèmes personnalisés
157 Création d’un thème personnalisé
159 Annexe A : Présentation des raccourcis clavier
161 Annexe B : Vue d’ensemble des Inspecteurs
161 Inspecteur du document
161 Inspecteur de diapo
162 Inspecteur des compositions
162 Inspecteur du texte
163 Inspecteur des graphismes
163 Inspecteur des mesures
164 Inspecteur des tableaux
164 Inspecteur de graphiques
165 Inspecteur des liens
165 Inspecteur QuickTime
167 Index
F2645.book Page 5 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMF2645.book Page 6 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM7
Préface
Bienvenue dans Keynote 2
Avec Keynote, vous allez pouvoir réaliser de fabuleuses présentations et bien plus encore. Cette
préface vous présente une vue d’ensemble des
fonctionnalités de Keynote ainsi qu’une liste de
ressources pour vous aider à l’utiliser.
Keynote est un logiciel performant de création de présentations de qualité
professionnelle. Les outils conviviaux et puissants de Keynote facilitent la création
de présentations percutantes, de story-boards et de portfolios de qualité studio et
de diaporamas interactifs avec l’auteur. Vous pouvez incorporer des photos, des films
ou de la musique issus de vos bibliothèques iLife, ainsi que des clichés obtenus sur
le Web via Safari.
Exposez vos données à l’aide des graphiques et tableaux intégrés à Keynote. Utilisez
les thèmes séduisants et variés livrés avec Keynote ou personnalisez des thèmes pour
qu’ils s’adaptent à vos besoins spécifiques.
Vous pouvez visionner votre présentation Keynote de diverses manières : sur l’écran
de votre ordinateur, en la projetant sur un grand écran à partir de votre ordinateur, en
l’imprimant, en l’exportant sous forme de groupe de fichiers image ou au format PDF
ou en l’exportant vers Flash, QuickTime, PowerPoint afin de la visionner sur d’autres
plateformes. Pour en savoir plus sur les options d’affichage, consultez le chapitre 8,
“Affichage, impression et exportation de votre diaporama”.
F2645.book Page 7 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM8 Préface Bienvenue dans Keynote 2
Aperçu rapide des caractéristiques de Keynote
Présentations de qualité professionnelle
Keynote offre une large palette de thèmes vous permettant de créer de superbes
présentations en un rien de temps. Chaque thème comprend des couleurs, du texte,
des graphismes et des tableaux coordonnés. A tout moment, vous pouvez facilement
modifier le thème d’un diaporama et adapter les thèmes pour qu’ils répondent à vos
besoins. Vous pouvez même mettre en valeur des parties de votre diaporama en utilisant plusieurs thèmes dans la même présentation.
F2645.book Page 8 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMPréface Bienvenue dans Keynote 2 9
Texte animé en temps réel
Animez votre texte en utilisant les animations de texte de qualité studio offertes par
Keynote. Choisissez parmi une série d’animations de mots et de texte. Avec l’aperçu
en temps réel, vous vous rendez compte rapidement des effets produits et vous
pouvez apporter des corrections si nécessaire.
F2645.book Page 9 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM10 Préface Bienvenue dans Keynote 2
Outils d’animation performants
Créez des animations de diapos complexes, simplement et rapidement. Keynote 2
propose l’avance automatique entre les diapos et des options de minutage avancées
pour les compositions d’objets, pour que vous puissiez minuter précisément tous les
aspects de vos animations de diapos.
Créez des animations
sophistiquées et des
transitions de diapos.
Synchronisez l’entrée, le
mouvement et la sortie
d’objets multiples sur
une diapo.
F2645.book Page 10 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMPréface Bienvenue dans Keynote 2 11
Outils multimédias conviviaux
Demandez un aperçu des éléments de votre photothèque iPhoto, de votre bibliothèque iTunes ou de votre dossier Séquences, et faites glisser ces éléments
directement vers une diapo.
Utilisez la fonctionnalité Masquer pour visionner uniquement la partie d’une image
qui vous intéresse le plus, sans modifier le fichier contenant l’image originale.
Utilisez un masque pour
encadrer une partie
d’une photo.
Depuis le navigateur de
média iLife, faites glisser une
image, une séquence ou un
fichier audio vers une diapo.
F2645.book Page 11 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM12 Préface Bienvenue dans Keynote 2
Effectuez votre présentation en toute tranquillité
Configurez l’écran principal pour le public et un écran parallèle pour le présentateur.
Pendant votre présentation, vous pouvez visualiser des informations comme la diapo
actuelle et la suivante, le temps écoulé ou restant, une horloge ou encore des notes
sur les diapos. Accédez directement à n’importe quelle diapo en saisissant son
numéro.
F2645.book Page 12 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMPréface Bienvenue dans Keynote 2 13
Présentations autoguidées et kiosques :
Même en votre absence, vous pouvez communiquer vos informations. Pour des
présentations en kiosque, créez des diaporamas qui démarrent automatiquement et
sont lus en boucle. Éventuellement, utilisez des hyperliens pour créer des diaporamas
dans lesquels les spectateurs puissent naviguer. Transformez un objet en hyperlien
pour effectuer des actions comme le passage à une autre diapo, l’ouverture d’un autre
document Keynote ou l’orientation vers un site Web. Incorporez l’instantané d’une
page Web (sans la bordure du navigateur). Si vous le souhaitez, vous pouvez mettre à
jour automatiquement l’instantané de la page Web au moment de la présentation.
Ajoutez facilement des liens de
diapos “précédente” et “suivante”
dans votre présentation, à l’aide
des modèles de diapos.
F2645.book Page 13 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM14 Préface Bienvenue dans Keynote 2
Ressources pour en savoir plus
Pour tirer le meilleur parti de Keynote, consultez les sources d’informations suivantes :
Visite guidée
Pour afficher une démonstration des fonctionnalités de Keynote, démarrez la visite
guidée. Choisissez Aide > Visite guidée d’iWork.
Keynote
Ce guide (celui que vous avez actuellement entre les mains) décrit les fonctionnalités
de Keynote et vous informe sur son utilisation. Pour voir un fichier PDF en couleur de
ce guide, choisissez Aide > Manuel de l’utilisateur Keynote.
Le chapitre 1, “Vue d’ensemble de Keynote” décrit les outils destinés à la création
de présentations. Le chapitre 2, “Création d’une présentation” présente le processus de
création d’une présentation étape par étape. Pour plus de détails sur chaque étape,
consultez les chapitres 3 à 8. Pour apprendre à créer vos thèmes, consultez le chapitre
9, “Création de thèmes et modèles de diapositive personnalisés”.
Remarque : Vous réaliserez la plupart des tâches décrites dans ce manuel (et dans
l’Aide Keynote) via des commandes de menu. Par exemple :
m Choisissez Aide> Visite guidée d’iWork.
Le terme qui suit Choisissez est le menu sur lequel vous cliquez ; le terme suivant est
l’élément que vous choisissez dans ce menu.
F2645.book Page 14 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMPréface Bienvenue dans Keynote 2 15
Aide à l’écran
Pour visualiser l’aide, ouvrez Keynote et choisissez Aide > Aide Keynote. Une fois
dans l’aide, vous pouvez soit parcourir la table des matières à la recherche d’un sujet
spécifique, soit taper une question dans le champ de recherche pour savoir comment
accomplir une tâche.
Les balises d’aide sont également disponibles pour de nombreux éléments qui
s’affichent à l’écran. Pour afficher une balise d’aide, placez le pointeur au-dessus
de l’élément concerné et maintenez-le en place quelques secondes.
Référence rapide Keynote
La carte de référence rapide donne la liste de nombreux raccourcis clavier pour
Keynote. Pour la liste complète des raccourcis, choisissez Aide > Raccourcis clavier
ou cherchez “raccourcis clavier” dans l’aide à l’écran.
Sources d’informations du Web
Allez sur www.apple.com/fr/keynote pour obtenir les dernières mises à jour et informations à propos du logiciel. Vous pouvez également acheter les produits Keynote
sur Internet.
Pour découvrir les produits Keynote et obtenir des informations récentes :
m Choisissez Aide > Keynote sur Internet.
Assistance technique
Les utilisateurs de Keynote ont à leur disposition un grand nombre d’options d’assistance différentes. Pour plus d’informations, consultez le guide d’assistance et de
service logiciel AppleCare fourni avec la documentation de Keynote ou choisissez
Aide > Support Keynote.
Pour afficher une balise d’aide, placez le
pointeur au-dessus d’un élément.
F2645.book Page 15 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMF2645.book Page 16 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM17
1
1 Vue d’ensemble de Keynote
Ce chapitre vous présente les fenêtres et les outils
de Keynote.
Lorsque vous créez des diapositives dans Keynote, vous créez un document Keynote.
L’ensemble du diaporama, ce qui inclut tous les graphismes, tous les fichiers multimédia et toutes les données de graphiques, se trouve dans ce document, qui peut
être facilement déplacé d’un ordinateur à l’autre. Vous pouvez ajouter des séquences
et du son à votre document puis les enregistrer dans votre document Keynote, ce
qui vous évite d’avoir à transférer ces fichiers séparément.
La fenêtre de Keynote
La fenêtre de Keynote contient trois sections (le canevas, le classeur de diapositives
et le champ de notes). Ces sections affichent un aperçu détaillé de vos diapos et de
votre présentation au cours de votre travail. Il vous est facile d’assurer le classement
des diapositives et de parcourir de longues présentations.
F2645.book Page 17 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM18 Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote
Le canevas
C’est dans le canevas que vous créez chaque diapositive. Vous pouvez facilement
ajouter des fichiers de graphismes, de séquences et de son au canevas en les faisant
glisser.
Le canevas : Créez vos diapos en
tapant du texte et en ajoutant
des fichiers multimédia.
La barre d’outils : Personnalisezla en y incorporant les outils que
vous utilisez le plus souvent.
Le champ de notes : Ajoutez
des commentaires à vos diapos.
Vous pourrez consulter ces
commentaires au cours de
votre présentation ; vous seul
pourrez les voir.
Le classeur de diapositives : Créez la
structure visuelle de votre présentation de diapositives. Vous pouvez
afficher les diapos de votre présentation sous forme de vignettes ou
uniquement le plan de la présentation.
F2645.book Page 18 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote 19
Vous pouvez créer un diaporama à partir d’un thème (une famille de modèles de
diapos) afin de garantir une présentation cohésive et de grande qualité visuelle. Les
modèles de diapositives proposent des dispositions prédéfinies adaptées à divers
types de diapositives ainsi que des polices, des textures, des propriétés de graphique
et bien d’autres choses encore. Chaque thème présente plusieurs exemples de
modèles de diapos, ce qui facilite l’ajout de titres, de texte à puces et de graphismes.
Il est possible que vous souhaitiez effectuer un zoom avant ou arrière pendant que
vous travaillez sur vos diapos afin d’en avoir une vision plus nette.
Pour effectuer un zoom avant ou arrière sur le canevas :
m Choisissez Afficher> Zoom > [niveau de zoom] ou choisissez un niveau d’agrandissement dans le menu local situé dans le coin inférieur gauche du canevas.
Le classeur de diapositives
Utilisez le classeur de diapositives situé à gauche de la fenêtre Keynote pour classer
vos diapos dans votre présentation. Le classeur permet de les organiser en les faisant
glisser et de les mettre en retrait pour les regrouper.
Le classeur de diapositives propose deux affichages : l’affichage en mode navigateur,
très utile pour les présentations contenant de nombreux graphismes, et l’affichage en
mode structure, qui convient le mieux aux présentations contenant surtout du texte.
Pour passer d’un mode d’affichage à l’autre :
m Choisissez Présentation > Structure ou Présentation > Navigateur (ou cliquez sur
Présentation dans la barre d’outils et choisissez une option).
Pour masquer le classeur de diapositives :
m Choisissez Afficher > Diapo.
Affichage en mode navigateur
En mode navigateur, le classeur de diapositives affiche une vignette de chaque diapositive de votre présentation, ce qui rend plus facile la visualisation de l’ensemble des
présentations contenant de nombreux graphismes.
F2645.book Page 19 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM20 Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote
Pour vous aider à agencer votre présentation, vous pouvez regrouper les diapositives
en les mettant en retrait et créer ainsi une “structure visuelle” de l’ensemble de la
présentation. Vous pouvez afficher ou masquer des groupes de diapos en cliquant
sur les triangles d’affichage. Il est également possible d’ignorer des diapositives de
manière à ce qu’elles n’apparaissent pas lors de la présentation à un public.
Pour activer le mode navigateur :
m Choisissez Afficher > Navigateur (ou cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et
choisissez Navigateur).
Pour masquer le mode navigateur :
m Choisissez Afficher > Diapo (ou cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et choisissez
Diapo).
Vous pouvez afficher vos modèles de diapositives en mode navigateur en faisant
glisser la barre vers le haut. Utilisez les modèles de diapositives pour créer vos propres
thèmes et vos propres modèles. (Pour savoir comment créer vous-même vos thèmes
et modèles de diapositives, consultez le chapitre 9, “Création de thèmes et modèles
de diapositive personnalisés”).
Vous pouvez ajouter une diapo d’une des manières suivantes :
 Choisissez Diapo > Nouvelle diapo.
Faites glisser la barre du haut du
navigateur pour que les modèles
de diapositives s’affichent.
Visualisez en un seul coup d’œil
les graphismes de chacune de
vos diapositives.
Cliquez sur les triangles d’ouverture
pour afficher ou masquer les groupes
de diapositives mis en retrait.
Organisez vos diapos en les
mettant en retrait. Pour mettre
en retrait une diapo, faites-la
glisser ou sélectionnez-la et
appuyez sur la touche Tab.
F2645.book Page 20 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote 21
 Sélectionnez une diapo et cliquez sur Nouvelle dans la barre d’outils ou appuyez sur
la touche Retour (ces options créent une diapo avec le même modèle que la diapo
sélectionnée).
 Appuyez sur la touche Option et faites glisser une diapositive jusqu’à ce qu’un
triangle bleu apparaisse (ce qui a pour effet de dupliquer la diapositive).
 Sélectionnez une diapo et choisissez Édition > Dupliquer.
 Sélectionnez une diapo, choisissez Édition > Copier, sélectionnez une autre diapo
puis choisissez Édition > Coller (cette procédure copie la première diapo et place
sa copie après la deuxième diapo sélectionnée).
Pour mettre une diapositive en retrait :
1 En mode navigateur, sélectionnez la diapositive que vous désirez mettre en retrait.
Pour sélectionner plusieurs diapositives, maintenez la touche Maj enfoncée et sélectionnez la première et la dernière diapositive de la plage en question.
2 Appuyez sur Tabulation (ou faites glisser la diapositive sélectionnée vers la droite
jusqu’à ce qu’un triangle bleu apparaisse).
Vous pouvez ajouter des mises en retrait en appuyant à nouveau sur la touche Tab.
Vous pouvez mettre en retrait une diapositive seulement d’un niveau par rapport
à la diapo précédente (diapo “parent”).
Pour déplacer une diapositive à un niveau de retrait supérieur :
m Sélectionnez la diapositive et appuyez sur Maj + Tab (ou faites glisser la diapo vers
la gauche).
Pour afficher ou masquer un groupe de diapositives :
m Cliquez sur le triangle d’ouverture à gauche de la première diapositive du groupe.
Pour ignorer une diapo lors de votre présentation :
m Sélectionnez la diapo et choisissez Diapo > Ignorer la diapo.
Pour afficher une diapo ignorée :
m Sélectionnez la diapositive (celle-ci apparaît sous forme de ligne dans le classeur de
diapositives) et choisissez Diapo > Ne pas ignorer la diapo.
Pour supprimer une diapositive :
m Sélectionnez la diapositive dans le classeur de diapositives et appuyez sur la touche
Suppr.
F2645.book Page 21 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM22 Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote
Si la diapo a des diapos enfants (c’est-à-dire des diapos subordonnées regroupées en
dessous), celles-ci remontent d’un niveau dans la structure.
Pour supprimer une diapo et toutes les diapos regroupées en dessous :
m Réduisez le groupe de diapos (cliquez sur la flèche à gauche de la diapo du niveau
supérieur) et appuyez sur la touche Suppr.
Si vous supprimez involontairement des diapositives, vous pouvez les récupérer
immédiatement en choisissant Édition > Annuler Supprimer.
Pour déplacer un groupe de diapositives :
m Sélectionnez la première diapositive du groupe et faites glisser ce dernier vers un
autre emplacement dans le classeur de diapositives.
Affichage en mode structure
L’affichage en mode structure montre le texte de chaque diapositive de votre diaporama. Cette structure s’avère particulièrement utile quand il s’agit de visionner des
présentations contenant beaucoup de texte. L’ensemble des titres et des puces apparaît distinctement dans le classeur de diapositives.
Le mode Structure est une solution simple pour ordonner et réorganiser les puces
dans une présentation. Vous pouvez ajouter des puces à un texte directement dans le
classeur de diapositives. Vous pouvez également glisser des puces d’une diapositive à
l’autre ou les glisser vers un niveau supérieur ou inférieur dans une même diapositive.
F2645.book Page 22 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote 23
Pour faire apparaître l’affichage en mode structure :
m Choisissez Afficher > Structure (ou cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et
choisissez Structure).
Pour modifier la police de l’affichage en mode structure :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Général.
2 Choisissez une police et une taille de police dans le menu local Police du mode plan.
Pour sélectionner une puce et le texte correspondant dans l’affichage en mode
structure :
m Cliquez sur la puce.
Pour sélectionner une puce (ou des puces) et ses puces subordonnées :
m Cliquez sur l’espace situé entre la puce et le texte correspondant et faites-le glisser.
Comme en mode navigateur, vous
pouvez ignorer des diapositives afin
qu’elles n’apparaissent pas lors de la
lecture de votre diaporama.
En mode structure, le texte apparaît
sous forme de titres et de puces.
Vous pouvez ajouter ou modifier du
texte directement dans l’affichage
en mode Structure.
Double-cliquez sur l’icône d’une diapositive pour masquer son texte à puces
dans le classeur de diapositives.
Faites glisser les puces vers la gauche
ou vers la droite pour les placer à un
niveau de retrait inférieur ou supérieur.
Faites glisser les puces dans une autre
diapositive ou faites-les glisser pour
créer une nouvelle diapositive.
F2645.book Page 23 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM24 Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote
Pour déplacer une puce vers un niveau de retrait inférieur dans une même
diapositive :
m Cliquez n’importe où sur le texte et appuyez sur la touche Tab ou faites glisser la puce
vers la droite jusqu’à ce qu’un triangle bleu apparaisse.
Vous pouvez également sélectionner (mettre en surbrillance) n’importe quel nombre
de puces et appuyer sur la touche Tab.
Pour déplacer une puce vers un niveau de retrait supérieur dans une même
diapositive :
m Cliquez n’importe où sur le texte et appuyez sur les touches Maj + Tab ou faites glisser
la puce vers la gauche jusqu’à ce qu’un triangle bleu apparaisse.
Pour transférer des puces dans une autre diapositive :
m Faites glisser les puces sélectionnées de la diapositive actuelle à l’autre diapositive.
Pour déplacer des puces d’une seule diapositive et créer une nouvelle diapositive :
m Faites glisser les puces à gauche des autres puces de la diapositive jusqu’à ce qu’un
triangle bleu apparaisse au-dessus d’elle.
Pour placer toutes les puces de diapositive subordonnées aux puces dans la diapositive précédente :
m Faites glisser l’icône de la diapositive vers la droite.
Toutes les puces de la diapo sont déplacées vers la diapo précédente ; la première
puce est au même niveau que la dernière puce de la diapo précédente.
Pour imprimer l’affichage en mode structure :
1 Choisissez Fichier > Imprimer.
2 Dans la zone de dialogue Imprimer, choisissez Keynote dans le menu local Copies et
pages.
3 Sélectionnez Structure.
Le champ de notes
Utilisez le champ de notes pour saisir ou afficher les notes de chaque diapo. Vous
pouvez imprimer ces notes ou les afficher sur un autre écran que vous seul pouvez
voir pendant que vous effectuez votre présentation.
F2645.book Page 24 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote 25
Pour que le champ de notes s’affiche :
m Choisissez Afficher > Afficher les notes (ou cliquez sur Afficher dans la barre d’outils et
choisissez Afficher les notes).
Pour en savoir plus sur l’affichage de vos notes au cours de la lecture du diaporama,
consultez le chapitre 8, “Affichage, impression et exportation de votre diaporama”.
Outils de Keynote
La barre d’outils
La barre d’outils de Keynote vous donne en un seul clic l’accès à la plupart des tâches
que vous devez effectuer lors de la création de présentations. Lorsque vous travaillez
dans Keynote et que vous apprenez à connaître les commandes que vous utilisez le
plus souvent, vous pouvez ajouter, supprimer ou réorganiser les boutons de la barre
d’outils.
Le champ de notes est
donc une zone que vous
pouvez utiliser comme
aide-mémoire.
F2645.book Page 25 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM26 Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote
Pour personnaliser la barre d’outils :
1 Choisissez Afficher > Personnaliser la barre d’outils.
2 Pour ajouter un élément dans la barre d’outils, faites glisser son icône vers la barre
d’outils située en haut de la fenêtre.
3 Pour éliminer un élément de la barre d’outils, faites-le glisser hors de cette dernière.
4 Pour réorganiser des éléments dans la barre d’outils, faites-les glisser.
5 Pour réduire la taille des icônes de la barre d’outils, sélectionnez Utiliser petites icônes.
6 Pour n’afficher que les icônes ou que le texte, choisissez l’option correspondante dans
le menu local Afficher.
Il est possible de restaurer les boutons de la barre d’outils par défaut en faisant glisser
celle-ci vers la barre d’outils.
Si vous n’êtes pas sûr de la fonction d’un bouton, faites-le glisser vers la barre d’outils
(dans la zone de dialogue Personnaliser) et placez le pointeur au-dessus de l’icône
jusqu’à ce que sa définition s’affiche (balise d’aide).
Ouvrez la fenêtre
Inspecteur, le Navigateur de média, la
fenêtre Couleurs ou
le panneau Police.
Cliquez pour choisir un
nouvel affichage, un
nouveau thème ou un
nouveau modèle de
diapos.
Cliquez pour ajouter
ou supprimer des
diapositives ou pour
lire le diaporama.
Ajoutez une
zone de texte,
une figure, un
tableau ou un
graphique.
Transformez un groupe
d’objets en un seul objet
(ou décomposez celui-ci en
autant d’objets qui le constituent) ; déplacez un objet
par-dessus ou par-dessous
d’autres objets.
F2645.book Page 26 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote 27
La fenêtre Inspecteur
Grâce à la fenêtre Inspecteur, vous pouvez facilement mettre en forme vos diapositives au cours de votre travail. La plupart des éléments d’un diaporama peuvent être
mis en forme à l’aide des dix sous-fenêtres de la fenêtre Inspecteur.
Pour ouvrir la fenêtre Inspecteur :
m Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur (ou cliquez sur Inspecteur dans la barre
d’outils).
Cliquez sur l’un des boutons situés tout en haut pour afficher la sous-fenêtre Inspecteur correspondante. Par exemple, si vous cliquez sur le deuxième bouton à partir de
la gauche, l’Inspecteur des diapos s’affiche. Vous pouvez ouvrir plusieurs fenêtres
Inspecteur simultanément.
Pour ouvrir plusieurs fenêtres Inspecteur simultanément :
m Choisissez Afficher > Nouvel Inspecteur.
Le panneau des polices
Keynote utilisant le panneau des polices de Mac OS X, vous pouvez utiliser n’importe
quelle police de votre ordinateur pour vos présentations.
Pour ouvrir le panneau des polices :
m Choisissez Format > Police > Fenêtre des polices (ou cliquez sur Polices dans la barre
d’outils).
Cliquez sur l’un de ces
boutons pour afficher
une sous-fenêtre Inspecteur différente.
F2645.book Page 27 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM28 Chapitre 1 Vue d’ensemble de Keynote
Remarque : Si vous utilisez des polices spéciales dans un document Keynote et que
vous souhaitez envoyer celui-ci à quelqu’un, assurez-vous que les polices concernées
sont également installées sur l’ordinateur du destinataire.
La fenêtre Couleurs
Utilisez la fenêtre Couleurs de Mac OS X pour choisir les couleurs du texte, des figures
et des ombres.
Pour ouvrir la fenêtre Couleurs :
m Choisissez Afficher > Afficher couleurs (ou cliquez sur Couleurs dans la barre d’outils).
Raccourcis
Vous pouvez utiliser le clavier pour exécuter la plupart des commandes de menu et
des tâches dans Keynote. Une liste complète des raccourcis clavier est disponible dans
l’aide à l’écran. De nombreux raccourcis clavier sont également répertoriés dans la
carte Référence rapide de Keynote.
Pour visualiser la liste des raccourcis clavier :
m Dans Keynote, choisissez Aide > Raccourcis clavier Keynote.
De nombreuses commandes sont également disponibles dans les menus contextuels
auxquels il est possible d’accéder directement à partir de l’objet avec lequel vous
travaillez.
Pour ouvrir un menu contextuel :
m Cliquez sur un objet tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée.
Les menus contextuels sont particulièrement utiles lorsque vous travaillez avec des
tableaux ou des graphiques.
F2645.book Page 28 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM29
2
2 Création d’une présentation
Ce chapitre donne un aperçu des tâches et étapes
de base permettant d’élaborer une présentation de
diapositives de qualité professionnelle.
Étape 1 : Sélectionnez un thème
Pour commencer un projet Keynote de zéro, double-cliquez sur l’icône Keynote et
sélectionnez un thème.
Utiliser un thème de Keynote vous permet de créer une présentation de qualité plus
rapidement et plus facilement. Chaque thème de Keynote comprend une série de
modèles (appelés modèles de diapos) contenant du texte stylisé, des puces, des dispositions et autres fonctionnalités de mise en forme prédéfinis. Les thèmes de Keynote
sont accompagnés de nombreuses textures et ambiances afin de répondre à tous les
types de présentations.
Importation d’une présentation PowerPoint ou AppleWorks
Si vous disposez d’une présentation de diapositives créée avec PowerPoint ou
AppleWorks de Microsoft, vous pouvez l’importer dans Keynote et travailler à
nouveau dessus. Il suffit de faire glisser l’icône du document PowerPoint ou
AppleWorks sur celle de l’application Keynote. Le document s’ouvre dans Keynote
et vous pouvez sélectionner un thème.
Vous pouvez également exporter des documents Keynote dans PowerPoint. Pour
plus d’informations, consultez la section “PowerPoint” à la page 145.
F2645.book Page 29 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM30 Chapitre 2 Création d’une présentation
Lorsque vous créez un document Keynote, vous devez choisir un thème dans le Sélecteur de thèmes. Vous pouvez également modifier facilement le thème d’un diaporama
Keynote. Vous pouvez faire en sorte que Keynote utilise un thème précis pour tous
vos nouveaux documents.
Pour appliquer un thème différent à votre présentation :
1 Choisissez Fichier > Choisir un thème (ou cliquez sur Thèmes dans la barre d’outils et
sélectionnez Sélecteur de thèmes), puis sélectionnez un thème.
2 Sélectionnez la taille des diapositives.
À propos de la taille des diapos : La plupart des projecteurs utilisent la taille de diapositives par défaut de 800 x 600. Les plus récents peuvent même afficher les diapos à
une résolution de 1024 x 768. Si votre projecteur possède une résolution supérieure,
vous pouvez configurer une taille de diapo personnalisée pour votre présentation
Keynote. Pour plus d’informations, consultez la section “Modifier la taille de la diapo” à
la page 138.
3 Cliquez sur Choisir.
Vous pouvez faire en sorte que tous vos nouveaux documents utilisent un thème
précis.
Pour spécifier le thème à utiliser pour vos nouveaux documents :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Général.
2 Sélectionnez Utiliser un thème et cliquez sur Choisir.
3 Sélectionnez un thème et cliquez sur Choisir.
F2645.book Page 30 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 2 Création d’une présentation 31
Pour modifier les thèmes ou en créer un, consultez le chapitre 9, “Création de thèmes
et modèles de diapositive personnalisés”. Vous pouvez également utiliser plus d’un
thème dans une même présentation ; consultez la section “Utilisation de plusieurs
thèmes” à la page 38.
Étape 2 : Créez vos diapos
Lorsque vous sélectionnez un thème, une seule diapositive apparaît dans le classeur
de diapositives. Vous pouvez commencer à travailler avec cette première diapositive
en y ajoutant du texte, des graphismes, des séquences ou du son. Vous pouvez
ajouter autant de nouvelles diapos au document que nécessaire.
Types de diaporamas
Vous pouvez créer trois types de présentations dans Keynote, selon l’utilisation que
vous souhaitez en faire. Gardez bien en tête le type de présentation que vous
souhaitez réaliser à mesure que vous l’élaborez.
 Normal : le contrôle de ces présentations s’effectue à l’aide de la souris ou du
clavier de votre ordinateur. Le mode par défaut d’un diaporama est le mode
normal (interactif) sauf si vous choisissez d’en faire un diaporama à lecture automatique ou un diaporama utilisant uniquement des liens.
 Lecture automatique : Ces présentations progressent automatiquement, comme
un film (dans ce cas, l’intervention d’un utilisateur est impossible). Vous pouvez
par exemple utiliser cette option pour effectuer une présentation dans une borne
interactive. Pour en savoir plus sur ce type de présentation, consultez la section
“Présentations à lecture automatique” à la page 130.
 Liens uniquement. Vous naviguez dans la présentation en cliquant sur des liens
hypertexte. Pour en savoir plus sur ce type de présentation, consultez la section
“Présentations comprenant uniquement des liens” à la page 131.
F2645.book Page 31 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM32 Chapitre 2 Création d’une présentation
Pour ajouter une diapo, procédez de l’une des manières suivantes :
 Choisissez Diapo > Nouvelle diapositive (ou cliquez sur Nouvelle dans la barre
d’outils).
 Cliquez sur Nouvelle dans la barre d’outils.
 Sélectionnez une diapositive dans le classeur de diapositives et appuyez sur la
touche Retour.
Important : Enregistrez régulièrement votre travail à l’aide de Fichier > Enregistrer.
Pour plus d’informations sur l’enregistrement des documents Keynote, consultez
l’“Étape 4 : Enregistrement de votre diaporama” à la page 39.
Au cours de votre travail, vous pourrez utiliser différentes dispositions pour placer vos
textes et vos graphismes sur des diapositives individuelles. Les modèles de diapositives proposent les dispositions dont aurez le plus besoin.
Utilisation de modèles de diapositives
Chaque thème de Keynote comporte une famille de modèles de diapositives. La
disposition du texte de l’espace réservé au titre et au corps de texte ainsi que la disposition des espaces réservés aux objets graphiques et tableaux sont différentes dans
chaque modèle.
La plupart des thèmes utilisent les modèles de disposition de diapositives suivants :
Modèle de diapositive Utilisation recommandée
Titre Page de titre ou titres de sections dans votre présentation
Titre et sous-titre Pages de titre ou titres de section requérant un sous-titre
Puces Pages de contenu général requérant du texte à puces. La diapositive est entièrement recouverte par une zone de texte
Titre et puces - Gauche Pages de contenu dans lesquelles vous pouvez placer un texte à
puces à gauche et un graphisme à droite
Titre, puces et photo Page de titre ou titre de section incluant du texte et une photo
Vide Dispositions contenant des graphismes
F2645.book Page 32 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 2 Création d’une présentation 33
Lorsque vous créez une diapositive, celle-ci utilise le modèle de diapositive de la diapo
sélectionnée (sauf si la diapo sélectionnée est la première, Titre et sous-titre). Vous
pouvez modifier le modèle de disposition d’une diapositive à tout moment.
Pour modifier le modèle d’une diapositive :
1 Sélectionnez la diapositive dont vous souhaitez modifier la disposition de modèle.
2 Cliquez sur Modèles dans la barre d’outils.
3 Choisissez un modèle de diapositive dans la liste.
Pour plus d’informations sur la manière de modifier les thèmes et les modèles de
diapositives, lisez le chapitre 9, “Création de thèmes et modèles de diapositive
personnalisés”.
Ajout de texte
Les modèles de diapositives comprennent des espaces réservés (dont vous remplacez
le texte par celui de votre choix) aux titres des diapositives et au corps de texte. La
police du texte de titre est plus grosse que celle du corps de texte. Le corps de texte
est généralement un texte à puces, mais certains modèles proposent des textes sans
puces. Choisissez un modèle de diapositive doté de la combinaison de titre et de
corps de texte correspondant le mieux au contenu de la diapositive.
Pour ajouter un titre à une diapositive :
m Double-cliquez sur une zone de titre du canevas et tapez votre texte.
Pour ajouter un texte à puces :
m Cliquez dans une zone de corps de texte à puces du canevas et tapez votre texte.
Pour vous déplacer sur la ligne à puces suivante, appuyez sur Retour. Pour appliquer
un retrait à une ligne à puces, appuyez sur la touche Tab. Pour appliquer un retrait
supplémentaire, appuyez sur les touches Maj + Tab.
Pour plus d’informations sur la création de texte sans puces, consultez la section
“Ajout de texte sans puces” à la page 43.
F2645.book Page 33 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM34 Chapitre 2 Création d’une présentation
Vous pouvez modifier le style du texte et des puces de vos diapositives à l’aide de
l’Inspecteur du texte et de l’Inspecteur des graphismes. Pour plus de détails sur l’utilisation des inspecteurs dans le cadre de la modification de texte, notamment sur la
modification du style des puces ou l’ajout de texte sans puces, consultez le chapitre
3, “Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données”.
Double-cliquez sur une zone de titre
et tapez un titre. La police et la taille
du texte sont prédéfinis pour vous.
Faites glisser un fichier
graphique du Navigateur de média ou du
Finder à votre
diapositive.
Double-cliquez sur une zone de
corps de texte et tapez. Un texte
à puces est créé. Le style et la
police des puces, ainsi que la
taille du texte sont prédéfinis.
F2645.book Page 34 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 2 Création d’une présentation 35
Ajout de graphismes
Pour ajouter un graphisme à une diapo, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Choisissez Présentation > Afficher le navigateur de média (ou cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils), choisissez iPhoto et faites glisser une photo dans le
canevas de diapo.
 Faites glisser un fichier graphique du Finder dans le canevas de diapo.
 Choisissez Insérer > Choisir, sélectionnez le fichier graphique, puis cliquez sur
Insérer.
 Pour créer une diapositive incorporant un graphisme, faites glisser le fichier
graphique du Finder sur le classeur de diapos.
Vous pouvez modifier les couleurs, l’alignement, l’orientation ainsi que d’autres
propriétés d’un graphisme. Ces ajustements s’effectuent à l’aide des Inspecteurs. Le
positionnement, la taille et l’orientation des objets se configurent dans l’Inspecteur
des mesures. Les attributs d’ombre, de remplissage couleur et d’opacité se définissent
dans l’Inspecteur des dimensions. Pour plus d’informations sur la configuration d’attributs à l’aide des inspecteurs, lisez le chapitre 3, “Manipulation de texte, de graphismes
et d’autres données”.
Vous pouvez utiliser des tableaux ou des graphiques pour vous aider à présenter des
données complexes ou numériques sous un format visuel facilement compréhensible ;
Keynote propose des tableaux et des graphiques adaptés à chaque thème. Pour plus
d’informations sur la manière d’insérer des tableaux et des graphiques, lisez le
chapitre 5, “Création de tables” et le chapitre 6, “Création de graphiques”.
Utilisation des guides d’alignement et des règles
Lorsque vous déplacez du texte et des graphismes dans le canevas d’une diapositive,
des guides d’alignement de couleur jaune apparaissent. Ces guides s’activant selon le
contexte (guides locaux) sont là pour vous aider à centrer et aligner des objets dans le
canevas. Ils sont visibles lorsque le centre ou le bord d’un objet est aligné sur le centre
ou le bord d’un autre objet, ou sur le centre du canevas d’une diapositive. Vous
pouvez créer vos guides d’alignement pour vous aider à placer des éléments de
diapositive précisément à la même position d’une diapositive à l’autre. Les guides
d’alignement (y compris ceux que vous créez) n’apparaissent pas au cours d’une
présentation ; ils sont uniquement visibles lorsque vous modifiez une diapositive.
F2645.book Page 35 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM36 Chapitre 2 Création d’une présentation
Keynote affiche également les abscisses et les ordonnées de l’angle supérieur gauche
de l’objet lorsque vous déplacez celui-ci dans le canevas d’une diapo ou l’angle de
l’objet lorsque vous le faites pivoter. Lorsque vous redimensionnez un objet, des
balises affichent la hauteur et la largeur de l’objet.
Vous pouvez activer des règles qui vous aideront à aligner des objets dans le canevas.
Les règles vous indiquent la distance d’incrémentation spécifiée entre un objet et les
bords de la diapo.
Pour activer les règles :
m Choisissez Afficher > Afficher les règles.
Pour modifier l’unité de mesure des règles :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Règles.
2 Choisissez un élément dans le menu local Unités de la règle.
Assurez-vous que l’option “Afficher en pourcentage les unités de la règle” est décochée. La cocher entraînerait l’affichage des mesures sur la diapo sous forme de
pourcentages plutôt que dans l’unité de mesure choisie.
Pour placer l’origine horizontale de la règle sur le bord gauche de la diapositive :
m Dans la sous-fenêtre Règles des Préférences de Keynote, désélectionnez la case Placer
l’origine au centre de la règle.
Après avoir placé les graphismes aux endroits souhaités, vous pouvez les verrouiller
sur le canevas afin d’éviter qu’ils ne soient déplacés involontairement par la suite.
Pour verrouiller un objet sur le canevas d’une diapositive :
m Sélectionnez l’objet et choisissez Disposition > Verrouiller.
Il est impossible de modifier un objet qui a été verrouillé dans le canevas d’une
diapositive. Pour déverrouiller un objet, choisissez Disposition > Déverrouiller.
Remarque : Si vous verrouillez et déverrouillez souvent des objets, vous pouvez
ajouter les boutons correspondants à la barre d’outils. Choisissez Afficher >
Personnaliser la barre d’outils.
Modification de l’apparence et du rôle des guides d’alignement
Vous pouvez placer vos guides d’alignement sur n’importe quelle diapositive pour
vous aider à aligner des objets comme vous le souhaitez.
F2645.book Page 36 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 2 Création d’une présentation 37
Pour placer des guides d’alignement sur une diapositive :
1 Choisissez Afficher > Afficher les règles pour que les règles apparaissent en haut et sur
le bord gauche du canevas.
2 Placez le pointeur sur une règle et faites-la glisser dans le canevas.
3 Faites glisser le guide jaune là où vous le souhaitez dans le canevas.
Vous pouvez ajouter des guides d’alignement à un modèle de diapositive de manière
à ce qu’ils apparaissent sur chaque nouvelle diapo créée à partir de ce modèle. Pour
plus d’informations, consultez la section “Ajout de guides d’alignement” à la page 151.
Pour supprimer un guide d’alignement placé dans une diapositive :
m Faites glisser le guide d’alignement vers l’extérieur du canevas.
Si les guides d’alignement vous gênent dans votre travail, vous pouvez les masquer
temporairement.
Pour masquer temporairement les guides d’alignement locaux :
m Maintenez la touche Commande enfoncée tout en glissant un objet.
Vous pouvez désactiver les guides d’alignement locaux ainsi que les balises de taille et
de position dans la sous-fenêtre Règles des Préférences de Keynote. Vous pouvez
également faire en sorte que les guides d’alignement apparaissent uniquement
lorsque les bords des objets sont alignés ou lorsque leurs centres sont alignés.
Pour modifier le rôle des guides d’alignement et des balises qui s’affichent lorsque
vous déplacez des objets :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Règles.
2 Pour désactiver les guides qui apparaissent lorsque le centre d’un objet s’aligne sur un
autre objet ou sur le centre du canevas, décochez l’option Afficher les guides au
centre de l’objet.
3 Pour activer les guides d’alignement qui apparaissent lorsque les bords d’un objet
s’alignent sur un autre objet ou sur le centre du canevas, sélectionnez Afficher les
guides sur les bords de l’objet.
4 Pour désactiver les balises de taille et de position, cliquez sur Général et désélectionnez Afficher la taille et la position des objets lors de leur déplacement.
F2645.book Page 37 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM38 Chapitre 2 Création d’une présentation
Pour changer la couleur des guides d’alignement :
m Dans la sous-fenêtre Règles des Préférences de Keynote, cliquez sur le cadre de
couleurs des guides d’alignement et sélectionnez une couleur dans la fenêtre
Couleurs.
Étape 3 : Classez vos diapositives
Changez l’ordre des diapositives dans votre présentation en les faisant glisser dans le
classeur de diapositives.
Vous pouvez classer vos diapositives en mettant en retrait des groupes de diapositives ayant un lien. Vous avez aussi la possibilité d’afficher ou de masquer des
diapositives ou des groupes de diapositives. Mettre en retrait ou masquer des diapositives dans le classeur de diapositives n’a aucun effet sur la dynamique de la
présentation finale. Il s’agit seulement de classer plus facilement de grands groupes
de diapositives et de les parcourir.
Pour plus d’informations sur la mise en retrait et l’organisation des diapos, consultez
les sections “Affichage en mode navigateur” à la page 19 et “Affichage en mode structure” à la page 22.
Utilisation de plusieurs thèmes
À mesure que vous élaborez votre présentation, il est possible que vous souhaitiez
utiliser différents thèmes en fonction de vos diapositives. Par exemple, vous pouvez
sélectionner un thème si les diapos traitent des performances commerciales passées
et un autre thème si vous évoquez les perspectives de vente.
Pour utiliser plusieurs thèmes dans un document :
1 Dans le classeur de diapositives, sélectionnez la diapo ou les diapos auxquelles vous
souhaitez appliquer un thème différent.
2 Choisissez Fichier > Choisir un thème.
3 Sélectionnez le thème et choisissez Diapos sélectionnées dans le menu local Appliquer le thème à.
4 Si vous avez modifié les valeurs par défaut s’appliquant à un thème sur des diapos
individuelles et que vous souhaitez les incorporer au nouveau thème, sélectionnez
Appliquer les modif. aux thèmes par défaut.
F2645.book Page 38 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 2 Création d’une présentation 39
Par exemple, si vous changez le remplissage de fond de quelques diapos et que vous
voulez garder le même remplissage dans le nouveau thème, cochez cette case. Dans
le cas contraire, les diapos utilisent alors le remplissage de fond du nouveau thème.
5 Cliquez sur Choisir.
Vous pouvez également sélectionner des diapos, cliquer sur Thèmes dans la barre
d’outils et choisir un thème ; le nouveau thème est alors appliqué aux diapos
sélectionnées.
Se déplacer dans la présentation
Vous pouvez facilement accéder à la première ou à la dernière diapositive de votre
présentation ainsi qu’à la précédente ou à la suivante.
Pour accéder rapidement à une diapositive :
m Choisissez Diapositive > Aller à > [option].
Étape 4 : Enregistrement de votre diaporama
Vous devez enregistrer votre document régulièrement. Keynote propose des options
spéciales permettant d’enregistrer votre diaporama ; vous pouvez même enregistrer
sa version précédente et enregistrer des fichiers audio et vidéo en tant que partie
d’un document. Pour plus d’informations, consultez la section “Types de diaporamas”
à la page 31.
Pour enregistrer un document Keynote :
1 Choisissez Fichier > Enregistrer.
2 Saisissez un nom de document et choisissez l’emplacement où vous souhaitez
l’enregistrer.
3 Cliquez sur Enregistrer.
Il existe des options d’enregistrement avancées réservées à des cas particuliers.
Pour afficher ces options, cliquez sur le triangle d’affichage (situé à droite du nom
du fichier) dans la zone de dialogue Enregistrer.
 Si vous avez ajouté du son ou des séquences à votre document et que vous
comptez transférer le diaporama sur un autre ordinateur, sélectionnez Copier l’audio
et la vidéo dans le document (cette option est activée par défaut).
F2645.book Page 39 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM40 Chapitre 2 Création d’une présentation
Si vous désélectionnez cette option et que vous transférez le diaporama vers un
autre ordinateur, vous devez également transférer les fichiers audio et vidéo. Activer
cette option rend le fichier du document plus volumineux ; nous vous recommandons d’inclure les fichiers multimédias (par la fonction Enregistrer sous) uniquement
lorsque vous êtes sur le point de déplacer le diaporama sur un autre ordinateur.
 Si le thème n’a pas été installé dans l’ordinateur sur lequel vous ouvrez le document, sélectionnez Copier les images thématiques dans le document.
Cette option garantit que tous les éléments du thème apparaissent correctement
même si le thème manque. Si vous sélectionnez cette option, le volume du fichier
du document est alors plus important.
Si vous apportez des modifications à votre diaporama, vous pouvez enregistrer une
version précédente.
Pour sauvegarder une copie de la version précédente lorsque vous enregistrez un
document Keynote :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Général.
2 Sélectionnez Créer une copie de sauvegarde de la version antérieure.
3 Choisissez Fichier > Enregistrer.
Si vous sélectionnez cette préférence, chaque fois que vous enregistrez votre document, sa version enregistrée précédente est renommée “Copie de sauvegarde de
” et placée dans le même dossier que votre document. Cette
copie de sauvegarde n’inclut pas les modifications apportées depuis le dernier
enregistrement ; le document comprenant les dernières modifications reste ouvert.
(Même si l’option est activée, vous n’obtiendrez pas de copie de sauvegarde la
première fois que vous enregistrez un document.)
F2645.book Page 40 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 2 Création d’une présentation 41
Étape 5 : Lecture de votre diaporama
Une fois votre présentation achevée, vous pouvez l’afficher sur l’écran de votre ordinateur ou la projeter sur un écran destiné à un plus large public.
Pour lire la présentation sur votre ordinateur :
1 Dans Finder, double-cliquez sur l’icône du document Keynote.
2 Choisissez Afficher > Lancer le diaporama (ou cliquez sur Exécuter dans la barre
d’outils).
Remarque : Cliquez sur le bouton Exécuter pour lancer le diaporama à partir de la
diapo sélectionnée. Pour lancer le diaporama à partir du début (même si la première
diapo n’est pas sélectionnée), appuyez sur la touche Option tout en cliquant sur le
bouton Exécuter.
3 Cliquez pour passer à la diapositive suivante ou à la composition d’objet suivante de
la diapo.
4 Pour interrompre le diaporama, appuyez sur les touches Q ou Échap.
Keynote propose de nombreuses options pour partager votre diaporama, comme
l’afficher sur un grand écran ou un écran secondaire, créer une séquence QuickTime
ou Flash, un fichier PDF ou une présentation PowerPoint, ou l’imprimer. Pour plus de
détails sur la visualisation et le partage de vos présentations, consultez le chapitre
8, “Affichage, impression et exportation de votre diaporama”.
F2645.book Page 41 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMF2645.book Page 42 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM43
3
3 Manipulation de texte, de
graphismes et d’autres données
Vous pouvez facilement ajouter et modifier du
texte, des graphismes, du son et des séquences. Ce
chapitre explique en détail comment ajouter divers
types de données à vos présentations.
Modification de texte et de propriétés de texte
Pour ajouter du texte à une zone de texte ou à une figure, cliquez pour sélectionner
votre zone de texte ou votre figure et saisissez votre texte.
Pour saisir et modifier du texte dans une zone de texte :
1 Double-cliquez sur le texte et saisissez votre texte.
2 Ajustez la couleur, l’alignement et la police du texte à l’aide de l’Inspecteur du texte
ou du panneau des polices, comme décrit dans la section “Mise en forme des textes à
puces et des listes numérotées” à la page 44.
Ajout de texte sans puces
Si vous ne voulez pas de puces dans la zone de texte, vous pouvez ajouter une “zone
de texte libre” à la diapositive
Remarque : Certains thèmes proposent des modèles de diapos dotés de zones de
texte n’utilisant pas de puces. Vous pouvez également créer du texte sans puces en
choisissant le style de puce Pas de puces ; vous pouvez mettre ce texte en retrait exactement comme s’il s’agissait d’un texte à puces.
Le texte des zones de texte libres ne s’affiche pas en mode structure.
Pour créer une zone de texte libre (texte sans puces) :
1 Choisissez Insérer > Texte (ou cliquez sur Texte dans la barre d’outils).
2 Dans la zone qui s’affiche, double-cliquez sur le texte et saisissez votre texte.
F2645.book Page 43 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM44 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Remarque : Il est impossible d’utiliser des puces mises en forme dans les zones de
texte libres. Pour utiliser ce type de puce (où le texte renvoyé à la ligne est aligné sur
le texte au-dessus et pour lequel le retrait de la puce est négatif), vous devez utiliser
une zone de corps de texte. Consultez la section “Modification des dispositions” à la
page 71.
3 Après avoir saisi votre texte, cliquez en dehors de la zone de texte. Vous pouvez également appuyer simultanément sur les touches Commande et Retour pour arrêter les
modifications et sélectionner la zone de texte.
4 Faites glisser les poignées de sélection dans la zone de texte pour modifier sa largeur.
Automatiquement, les zones de texte libre s’allongent ou rétrécissent verticalement
pour s’adapter à la longueur de votre texte. Il est impossible de les agrandir en faisant
glisser le pointeur. Si vous voulez allonger une zone de texte libre sans modifier la
taille de son contenu, faites glisser les poignées de sélection pour la rendre plus
étroite (c’est-à-dire l’obliger à se développer verticalement).
Vous pouvez faire glisser des zones de texte n’importe où dans une diapositive. Pour
plus d’informations sur la modification des zones de texte, consultez la section “Redimensionnement, déplacement et superposition d’objets” à la page 54.
Remarque : Vous pouvez également insérer du texte dans une figure. Voir la section
“Ajout de texte à des figures” à la page 52.
Mise en forme des textes à puces et des listes numérotées
Vous pouvez modifier les propriétés du texte (notamment la police, la couleur ou
l’espacement des lignes et des mots). Pour les textes à puces, toute une gamme de
styles de puces et de numérotation est à votre disposition. Vous pouvez même utiliser
une image personnelle qui servira de puce. La plupart des modifications se font dans
l’Inspecteur du texte et le panneau des polices.
Vous pouvez aussi créer des effets visuels intéressants avec votre texte en modifiant sa
couleur, son ombre, son opacité et son orientation à l’écran. Pour en savoir plus à ce
propos, consultez le chapitre 4, “Modification des propriétés des objets”.
F2645.book Page 44 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 45
Pour modifier la police :
1 Sélectionnez le texte à modifier et choisissez Format > Police > Afficher les polices (ou
cliquez sur Polices dans la barre d’outils).
2 Sélectionnez une police et une taille de police dans le panneau des polices.
Utilisation de l’Inspecteur du texte
Dans l’Inspecteur du texte, vous pouvez ajuster toutes les propriétés essentielles
relatives au texte de vos diapositives. Utilisez cet inspecteur pour changer la couleur,
l’alignement et l’espacement du texte sélectionné. Si vous sélectionnez un texte à
puces, vous pouvez également changer le style de ces dernières.
Pour ouvrir l’Inspecteur du texte :
m Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur (ou cliquez sur Inspecteur dans la barre
d’outils) puis cliquez sur le bouton Inspecteur du texte.
Cliquez sur le cadre de
couleurs pour modifier
la couleur du texte
sélectionné.
Le bouton Inspecteur du texte
Utilisez ces boutons pour
aligner le texte.
Faites glisser les curseurs
pour ajuster l’espacement
des caractères, des lignes
et des paragraphes du
texte sélectionné.
Modifiez l’espacement
entre le texte et la zone de
texte, la cellule ou la figure
qui le contient.
F2645.book Page 45 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM46 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Pour modifier la couleur du texte :
1 Sélectionnez le texte à modifier (ou cliquez dans le texte pour placer le point
d’insertion).
2 Dans l’Inspecteur du texte, cliquez sur le cadre de couleurs.
3 Sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
Dans une zone de texte, le texte peut être aligné à gauche, à droite, au centre ou à la
fois à droite et à gauche (on dit qu’il est “justifié”). Vous pouvez également aligner le
texte verticalement en partant du haut, du centre ou du bas de la zone de texte.
Pour ajuster l’alignement du texte :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
2 Cliquez sur les boutons d’alignement horizontal ou vertical en haut de l’Inspecteur du
texte.
Remarque : Dans une zone de texte contenant trop de texte (plus qu’elle ne peut en
afficher), l’alignement s’effectue toujours en haut. L’alignement vertical n’a aucun effet
sur les zones de texte libres.
Pour ajuster l’espace entre les lignes d’un texte dans un paragraphe ou une puce :
1 Sélectionnez le texte à modifier (ou sélectionnez une zone de texte).
2 Dans l’Inspecteur du texte, faites glisser le curseur Ligne pour ajuster l’interligne.
En glissant le curseur vers la gauche, vous rapprochez les lignes sélectionnées. En le
glissant vers la droite, vous les éloignez.
Vous pouvez également définir des valeurs d’interligne du texte d’un paragraphe ou
encore utiliser les mesures prédéfinies du menu local Interligne.
Utilisez les boutons d’alignement vertical pour étendre le
texte en haut, au centre ou en
bas de la zone de texte.
Utilisez les boutons d’alignement
horizontal pour aligner du texte à
gauche, au centre, à droite ou à la
fois à gauche et à droite (justifié).
F2645.book Page 46 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 47
Pour régler précisément l’interligne du texte d’un paragraphe :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
2 Dans l’Inspecteur du texte, saisissez une valeur dans le champ Interligne.
3 Choisissez une option dans le menu local Interligne.
 Simple : espace standard entre les lignes du texte.
 Double : ajoute un espace entre les lignes du texte.
 Multiple : définit les valeurs d’interligne entre simple ou double, ou supérieure à un
double interligne.
 Au moins : l’interligne n’est jamais inférieure à la valeur spécifiée ; elle peut être
supérieure afin que les polices les plus grosses ne se chevauchent pas. Utilisez ce
réglage lorsque l’espacement entre les lignes doit être fixe, mais un chevauchement
de texte n’est pas souhaité si le texte est agrandi.
 Entre : la valeur spécifiée est ajoutée ou soustraite à la taille de la police. La modification de la taille de la police entraîne la modification de l’espacement entre une
ligne de texte et la suivante. Utilisez cette option pour définir un espacement spécifique entre les lettres ascendantes et descendantes, quelle que soit la taille de la
police.
Pour ajuster l’écart avant ou après un paragraphe ou une puce :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
2 Dans l’Inspecteur du texte, faites glisser le curseur Avant le paragraphe ou Après le
paragraphe. Vous pouvez également saisir une valeur spécifique (par exemple 5
points) dans la zone de texte.
Menu local Interligne : cliquez
sur les flèches pour choisir
l’interligne prédéfinie.
Champ Interligne : saisissez
une valeur (ou cliquez sur les
flèches) pour spécifier l’espacement entre les lignes du texte
d’un paragraphe.
F2645.book Page 47 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM48 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Pour ajuster l’écart entre des caractères :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
2 Dans l’Inspecteur du texte, faites glisser le curseur Caractère.
En glissant le curseur vers la gauche, vous rapprochez les lettres. En le glissant vers la
droite, vous les éloignez.
Vous pouvez modifier l’espacement entre le texte et l’élément qui le contient (zone de
texte, figure ou cellule). Cet écart est appelé “encart de marge”. La valeur spécifiée est
uniformément appliquée autour du texte.
Remarque : Il est impossible d’appliquer l’encart de marge à un texte à puces.
Pour ajuster l’espace autour du texte :
1 Sélectionnez le texte.
2 Dans l’Inspecteur du texte, faites glisser le curseur Insérer une marge, saisissez une
valeur dans la zone Encart de marge (ou cliquez sur les flèches) et appuyez sur Retour.
Pour modifier le symbole des puces :
1 Sélectionnez le texte où se trouve la puce à modifier ou sélectionnez une zone de
corps de texte pour modifier toutes les puces.
2 Dans l’Inspecteur du texte, cliquez sur Puces et numérotation.
3 Choisissez une option dans le menu local. Pour certaines options, vous pouvez ajuster
la taille et l’alignement vertical en utilisant les champs à droite de l’écran.
 Puces de texte : choisissez une option dans le menu local de style de puces ou
saisissez le ou les caractères que vous souhaitez utiliser (n’importe quel caractère du
clavier) dans la zone de texte. Pour changer la couleur d’une puce, cliquez sur le
cadre de couleur et choisissez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
 Puces d’image : choisissez l’une des images proposées.
 Image personnalisée : sélectionnez l’une des images de vos fichiers image ou faites
glisser une image du Finder ou du navigateur de média dans le cadre d’images. La
plupart des images doivent être mises à très petite échelle pour être utilisées
comme puces de texte.
Spécifiez la valeur de l’espace
autour du texte.
F2645.book Page 48 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 49
 Chiffres :choisissez un format dans le menu local Style de chiffre.
 Pas de puces : utilisez cette option pour créer du texte sans puces. (Vous pouvez
utiliser des zones de texte libres à la place, mais il est impossible d’afficher ou
d’imprimer ce type de texte en mode structure.)
Important : Sélectionnez la case Adapter au texte pour conserver le rapport puce/
texte spécifié dans le champ Taille, même si vous modifiez la taille de la police.
Pour ajuster l’alignement vertical d’une puce (par rapport à son texte) :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
2 Dans la sous-fenêtre Puces et numérotation de l’Inspecteur du texte, saisissez une
valeur dans la zone Aligner (ou cliquez sur les flèches).
Réglage des mises en retrait du texte et des taquets de tabulation
Toutes les zones de texte ont des mises en retraits par défaut et des tabulations
prédéfinies. Pour afficher les marqueurs de mise en retrait et de tabulation sur la règle
horizontale, choisissez Afficher > Afficher les règles et sélectionnez du texte dans une
diapositive. Faites glisser ces marqueurs pour modifier les mises en retrait et les
tabulations.
Sélectionnez le type de
puces, le style, la couleur,
la position et la taille.
Cliquez pour mettre
en forme les puces.
Cliquez sur la règle pour créer une
tabulation. Double-cliquez sur la
tabulation pour en modifier le type.
Ces marqueurs indiquent
l’alignement gauche de la
puce, la première ligne du
texte à puces et les lignes
suivantes.
F2645.book Page 49 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM50 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Pour créer une tabulation :
1 Cliquez sur le texte à ajuster.
2 Cliquez sur la règle horizontale et faites glisser le taquet de tabulation à l’endroit
souhaité.
Pour modifier le type de tabulation :
m Tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, cliquez sur la tabulation et choisissez un type de tabulation dans le menu contextuel. Vous pouvez également
double-cliquer sur la tabulation jusqu’à ce que le type de tabulation désiré apparaisse.
Pour insérer un type de tabulation dans un texte à puces ou le texte d’un tableau :
m Appuyez simultanément sur les touches Option et Tab.
Vous pouvez également ajuster les mises en retrait d’un texte à puces. Vous pouvez
spécifier l’endroit où vous souhaitez voir apparaître le bord gauche d’une puce (vous
obtenez ainsi, par exemple, des sous-puces en retrait), l’écart entre la puce et le texte
et l’endroit où placer un texte à puces renvoyé à la ligne.
Pour régler la mise en retrait d’un texte à puces :
1 Sélectionnez le texte à puces que vous souhaitez régler.
2 Pour régler le bord gauche de la puce, faites glisser le carré.
3 Pour marquer l’endroit où vous souhaitez que le texte commence après la puce, faites
glisser le rectangle.
Faites votre choix parmi l’ensemble de ces
types de tabulation.
Faites glisser pour régler
le bord gauche du texte
renvoyé à la ligne.
Faites glisser pour régler le
bord gauche de la puce.
Faites glisser pour régler
le bord gauche de du
texte situé après la puce.
F2645.book Page 50 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 51
4 Pour régler la marge gauche du texte renvoyé à la ligne, faites glisser la flèche vers le
bas la plus à gauche.
5 Pour régler la marge droite, faites glisser la flèche vers le bas la plus à droite.
Ajout d’images
Vous pouvez ajouter de nombreux types de graphismes à votre présentation, dont
des photos, des fichiers image créés avec d’autres applications et des objets simples
qu’il est possible de dessiner directement dans Keynote.
Keynote est compatible avec tous les formats de fichiers image standard, et notamment avec les formats suivants :
 PICT
 GIF
 TIFF
 JPEG
 PDF
 MOV
Ajout de figures
Il est possible de dessiner des figures (rectangles, rectangles arrondis, ellipses, triangles et flèches) directement dans Keynote.
Pour ajouter une figure :
1 Choisissez Insérer > [figure] (ou cliquez sur Figures dans la barre d’outils et choisissez
une figure).
2 Faites glisser les poignées de sélection pour redimensionner la figure.
Vous pouvez également dessiner des figures de la taille que vous souhaitez dans le
canevas de la diapo.
Pour créer une figure dans le canevas :
1 Maintenez la touche Option enfoncée tout en cliquant sur Figures dans la barre
d’outils et choisissez une figure.
2 Relâchez la touche Option et déplacez le pointeur au-dessus du canevas jusqu’à ce
qu’il se transforme en réticule.
F2645.book Page 51 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM52 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
3 Faites-le glisser dans le canevas de la diapo pour créer la figure.
Pour imposer la figure (par exemple, pour que les trois côtés d’un triangle soient
égaux entre eux), maintenez la touche Maj enfoncée pendant que vous faites glisser.
Ajout de texte à des figures
Vous pouvez ajouter du texte à n’importe quel type de figure.
Pour ajouter du texte à une figure :
m Double-cliquez sur la figure souhaitée et saisissez votre texte.
Vous pouvez mettre en forme le texte à l’intérieur d’une figure tout comme vous le
feriez avec tout autre type de texte. S’il y a plus de texte que le texte qui apparaît dans
la figure, l’indicateur de découpage (+) apparaît. Vous pouvez afficher le reste du texte
en redimensionnant la figure.
Il est possible de changer les couleurs de la ligne et du remplissage d’objets dessinés.
Pour plus d’informations, consultez le chapitre 4, “Modification des propriétés des
objets”.
Ajout d’images d’iPhoto
Vous pouvez faire glisser des images directement du navigateur de média (ou de
votre photothèque iPhoto) dans une diapositive.
Pour ajouter une image du navigateur de média :
1 Choisissez Afficher > Afficher le navigateur de média.
2 Choisissez iPhoto dans le menu local.
3 Faites glisser la photo dans la diapo.
Le “+” indique que la figure
contient plus de texte que
le texte affiché. Pour afficher le reste du texte,
redimensionnez l’objet.
F2645.book Page 52 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 53
Ajout d’autres graphismes externes
Vous pouvez facilement ajouter des fichiers image créés dans d’autres applications
à vos diapos Keynote.
Pour ajouter un fichier image d’une autre origine :
m Choisissez Insérer > Choisissez le fichier et sélectionnez-le (ou faites glisser le fichier
du Finder dans votre diapositive).
Vous pouvez aussi ajuster l’opacité et l’ombre des objets graphiques ainsi qu’effectuer des réglages précis de leur positionnement et de leur orientation dans la
diapositive. Pour en savoir plus, voir le chapitre 4, “Modification des propriétés des
objets”.
Utilisation de fichiers PDF en tant qu’images
Si vous souhaitez fortement agrandir ou réduire les dimensions d’une image, vous
pouvez la convertir en fichier PDF avant de l’insérer dans Keynote. Les fichiers PDF
conservent leur précision même lorsqu’ils sont fortement redimensionnés. Ce n’est
pas le cas d’autres types de fichiers, qui peuvent perdre de leur clarté lorsqu’ils sont
agrandis ou réduits.
Les fichiers PDF sont la solution parfaite pour transférer des données tabulaires de
document Excel ou AppleWorks dans Keynote. Si vous désirez afficher dans votre
diaporama des tableaux mis en forme dans ces applications, vous pouvez enregistrer
votre feuille Excel en tant que fichier PDF puis insérer ce fichier PDF dans une diapositive comme vous le feriez avec n’importe quel autre fichier graphique externe.
Pour convertir un fichier Excel ou AppleWorks en fichier PDF :
1 Si vous convertissez une feuille de calcul Excel, sélectionnez la partie des cellules que
vous souhaitez afficher dans votre diaporama.
2 Choisissez Fichier > Imprimer.
3 Si vous convertissez une feuille de calcul Excel, choisissez Sélection (au lieu de Feuilles
actives).
4 choisissez Options de sortie dans le menu local Copies et pages et cochez la case
Enregistrer comme fichier.
F2645.book Page 53 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM54 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
5 Choisissez PDF dans le menu local Format.
6 Cliquez sur Enregistrer comme PDF.
7 Dans la zone de dialogue Enregistrer, attribuez un nom au fichier PDF et sélectionnez
un emplacement puis cliquez sur Enregistrer.
Il est également possible d’insérer d’autres types d’objets, par exemple des séquences,
des graphiques, des tableaux, des liens hypertexte et des pages Web. Pour en savoir
plus, consultez les sections “Ajout d’une séquence ou d’une animation” à la page 64 et
“Ajout de pages Web et de liens” à la page 66 ainsi que le chapitre 5, “Création de
tables” et le chapitre 6, “Création de graphiques”.
Redimensionnement, déplacement et superposition
d’objets
Une fois qu’un texte ou des graphismes se trouvent dans le canevas, leur comportement est à peu de chose près le même. Ils peuvent être déplacés en avant ou en
arrière les uns par rapport aux autres, et mis en forme ou manipulés de façon similaire.
Pour déplacer un objet :
m Cliquez sur l’objet pour le sélectionner (les poignées de sélection apparaissent) puis
faites-le glisser.
Évitez de faire glisser l’objet à l’aide des poignées de sélection pour éviter de le
redimensionner.
Choisissez Options de
sortie dans ce menu local.
Cliquez pour enregistrer le fichier en tant que PDF.
Sélectionnez Enregistrer comme fichier.
Choisissez PDF.
F2645.book Page 54 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 55
Pour redimensionner un objet :
1 Cliquez sur l’objet pour le sélectionner.
Si du texte est sélectionné, vous pouvez sélectionner la zone de texte, la figure ou la
cellule en appuyant simultanément sur les touches Commande et Retour.
2 Approchez le pointeur d’une poignée de sélection et attendez qu’il se transforme en
une flèche bidirectionnelle.
3 Faites glisser la poignée de sélection pour agrandir ou réduire l’objet.
Pour redimensionner l’objet à partir de son centre, maintenez la touche Option
enfoncée et faites glisser la souris.
Pour conserver les proportions de l’objet même s’il est agrandi ou rétréci, maintenez
la touche Maj enfoncée et faites glisser la souris.
Pour placer un objet devant ou derrière un autre objet dans le canevas :
1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez déplacer.
2 Sélectionnez Disposition > Avancer d’un plan ou Reculer d’un plan.
3 Répétez l’étape 2 jusqu’à ce que l’objet se trouve dans la position souhaitée.
4 Pour déplacer un objet au premier ou au dernier niveau des objets superposés, choisissez Disposition > Placer au premier plan ou Placer à l’arrière-plan.
Remarque : Vous pouvez ajouter les boutons Plan sup. et Plan inf. à la barre d’outils ;
choisissez Afficher > Personnaliser la barre d’outils.
Pour faire pivoter un objet :
1 Sélectionnez l’objet.
2 Maintenez la touche Commande enfoncée et déplacez le pointeur sur une poignée de
sélection jusqu’à ce qu’il se transforme en double flèche courbée.
Ces boutons déplacent un
objet au premier niveau ou
au dernier niveau.
Ces boutons déplacent un objet en
l’avançant ou en le reculant d’un plan.
F2645.book Page 55 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM56 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
3 Faites glisser la poignée de sélection pour faire pivoter l’objet.
Vous pouvez également utiliser la molette Rotation ou le champ Angle dans l’Inspecteur des mesures.
Rognage (masquage) d’images
Le rognage d’image consiste à supprimer des parties d’image. Keynote permet
d’obtenir cet effet de rognage sans modifier l’image originale. Ce processus porte le
nom de masquage.
Pour appliquer un masque à une image :
1 Sélectionnez une image et choisissez Format > Masquer.
Un masque apparaît sur l’image avec une “fenêtre” ajustable au centre.
2 Faites glisser la fenêtre pour la repositionner ; faites glisser les poignées de sélection
pour afficher la partie de l’image de votre choix. Vous pouvez également faire glisser
l’image afin de la recentrer dans la fenêtre Masquer.
 Maintenez la touche Maj enfoncée tout en faisant glisser les poignées de sélection
pour conserver les proportions de la fenêtre.
 Maintenez la touche Commande enfoncée tout en faisant glisser les poignées de
sélection pour faire pivoter la fenêtre. (Pour en savoir plus sur la manipulation des
objets au moyen des poignées de sélection, consultez la partie “Redimensionnement, déplacement et superposition d’objets” à la page 54.)
3 Appuyez sur Retour ou double-cliquez sur l’image pour quitter le mode Masquer.
Remarque : Si vous masquez régulièrement des objets, vous pouvez ajouter un
bouton Masquer à la barre d’outils en choisissant Afficher > Personnaliser la barre
d’outils.
Pour passer à nouveau au mode de masquage pour une image masquée :
1 Double-cliquez sur l’image.
L’image masquée est sélectionnée.
2 Pour sélectionner la fenêtre Masquer, cliquez sur l’image à présenter.
F2645.book Page 56 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 57
3 Faites-la glisser pour redimensionner et positionner l’image et la fenêtre de masquage
pour afficher la partie de l’image de votre choix.
Pour ne plus masquer une image (pour faire apparaître toute l’image) :
m Sélectionnez l’image et choisissez Format > Ne plus masquer.
Regroupement et verrouillage d’objets
Regroupez des objets de sorte qu’ils puissent être déplacés, copiés et orientés comme
s’ils ne formaient qu’un seul objet. Verrouillez les objets sur le canevas afin d’éviter de
les déplacer par inadvertance au cours de votre travail.
Remarque : Une fois des objets regroupés, il est impossible de modifier individuellement les objets du groupe à moins de les dissocier. Déverrouillez les objets pour
pouvoir les modifier.
Pour regrouper des objets :
1 Maintenez la touche Commande (ou Maj) enfoncée tout en sélectionnant les objets
que vous désirez regrouper sur le canevas.
2 Choisissez Disposition > Associer (ou cliquez sur Associer dans la barre d’outils).
Pour dissocier un objet regroupé :
m Sélectionnez l’objet et choisissez Disposition > Dissocier (ou cliquez sur Dissocier dans
la barre d’outils).
Remarque : Si vous groupez un objet comportant un effet de composition, l’effet est
supprimé. Séparer un objet groupé comportant une composition supprime l’effet de
composition.
Pour verrouiller des objets sur le canevas :
1 Maintenez la touche Commande (ou Maj) enfoncée tout en sélectionnant les objets
que vous désirez verrouiller sur le canevas.
2 Choisissez Disposition > Verrouiller.
Pour déverrouiller un objet :
m Sélectionnez l’objet et choisissez Disposition > Déverrouiller.
Remarque : Si vous verrouillez et déverrouillez des objets régulièrement, vous pouvez
ajouter les boutons Verrouiller et Déverrouiller dans la barre d’outils en choisissant
Afficher > Personnaliser la barre d’outils.
F2645.book Page 57 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM58 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Manipulation de cadres photo (graphismes de canal alpha)
Les thèmes de Keynote vous proposent des “cadres photo” dans lesquels vous pouvez
placer vos images. Vous pouvez ainsi encadrer vos images. Cet effet est créé à l’aide
d’un graphisme (le cadre de la photo) qui contient une zone transparente laissant
apparaître votre image. Cette zone est créée à l’aide d’un canal alpha (un mode de
définition de la transparence) ; un graphisme de canal alpha est une image qui
contient une zone transparente.
Les graphismes de canal alpha peuvent également servir à créer une transparence
autour d’une image aux bordures irrégulières, par exemple un arbre ; ceci évite que
l’image soit entourée d’une zone rectangulaire blanche.
Pour placer une image derrière une fenêtre de cadre photo dans un thème
Keynote :
1 Faites glisser l’image du navigateur de média ou du Finder vers une fenêtre découpée
sur le canevas de la diapo.
2 Pour redimensionner l’image à l’intérieur du cadre, faites glisser l’une des poignées de
sélection.
3 Faites glisser l’image pour ajuster sa position dans la fenêtre.
Votre photo est placée
derrière le graphisme de
canal alpha et peut être
vue à travers sa région
transparente comme si elle
se trouvait dans un cadre
de photo.
Ce premier plan texturé sur
lequel figurent des coins de
photo et une bordure
blanche est un graphisme de
canal alpha. La zone située
entre les coins de photo est
un canal alpha transparent.
F2645.book Page 58 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 59
Importation de graphismes de canal alpha dans Keynote
Une fois que vous avez importé une image de canal alpha dans Keynote, vous n’avez
plus qu’à laisser la transparence faire son travail. Il vous suffit de la positionner, de la
manipuler et de la déplacer vers l’avant ou l’arrière comme vous le feriez avec
n’importe quelle autre image.
De nombreux fichiers PDF, TIFF et PSD contiennent des graphismes de canal alpha.
Pour créer des images de canal alpha, vous pouvez utiliser plusieurs applications,
notamment Adobe Photoshop, Corel Draw, Adobe Illustrator et Adobe Acrobat. Lisez
les instructions accompagnant ces applications pour savoir comment créer des
images de canal alpha. Pour savoir comment créer un cadre dans Keynote à partir
d’un graphisme importé de canal alpha, consultez la section “Superposition d’objets
en arrière-plan et d’objets sur les diapositives” à la page 150.
Ajout d’audio et d’autres médias
Vous pouvez ajouter des fichiers audio à votre projet, par exemple pour entendre de
la musique pendant votre diaporama ou pour accompagner chaque diapo d’un
commentaire. Vous pouvez également ajouter des fichiers vidéo ou des séquences
Flash à afficher dans une diapo.
Keynote est compatible avec tous les types de fichiers QuickTime, et notamment avec
les types suivants :
 MOV
 FLASH
 MP3
 MP4
 AIFF
 AAC
 MPEG-4
F2645.book Page 59 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM60 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Important : Lorsque vous ajoutez un fichier multimédia à un diaporama, le fichier n’est
pas automatiquement inclus dans le document Keynote. Cette fonctionnalité évite
que le document Keynote ne devienne trop volumineux. Tant que vous lisez le diaporama sur l’ordinateur où vous l’avez créé, les fichiers multimédias sont lus à l’endroit
où vous les avez placés. Néanmoins, si vous souhaitez lire le diaporama sur un ordinateur différent, enregistrez les fichiers multimédias en tant que partie du document
pour pouvoir transférer le diaporama vers l’autre ordinateur sans devoir transférer les
fichiers multimédias séparément.
Pour enregistrer des fichiers multimédias dans votre document Keynote :
1 Choisissez Fichier > Enregistrer sous.
2 Sélectionner Copier l’audio et la vidéo dans le document (vous devrez peut-être
cliquer sur le triangle d’affichage de la zone de dialogue Enregistrer pour afficher
cette case).
3 Attribuez un titre au document et trouvez-lui un emplacement, puis cliquez sur
Enregistrer.
Remarque : Un document contenant des fichiers multimédias est beaucoup plus volumineux ; nous vous recommandons d’enregistrer les fichiers multimédias dans le
document seulement juste avant de déplacer ou d’envoyer votre diaporama.
Utilisation du navigateur de média
Le navigateur de média répertorie tous les fichiers multimédias dans vos bibliothè-
ques iPhoto et iTunes, ainsi que dans votre dossier Séquences. Vous pouvez faire
glisser un élément du navigateur de média vers une diapo ou vers un cadre d’image
dans l’un des inspecteurs.
F2645.book Page 60 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 61
Pour ouvrir le navigateur de média :
m Choisissez Afficher > Afficher le navigateur de média (ou cliquez sur Média dans la
barre d’outils).
Choisissez iTunes, iPhoto
ou Séquences.
Faites glisser une vignette
vers une diapo ou un cadre
d’image dans l’un des
inspecteurs.
Rechercher un fichier
par son nom.
Sélectionnez un album.
F2645.book Page 61 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM62 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Ajout d’un commentaire et d’autre audio
Vous pouvez ajouter de la musique, (un fichier ou une liste de lecture de votre bibliothèque musicale iTunes ou tout autre fichier audio) à un document Keynote. Vous
pouvez ajouter du son à tout le diaporama comme bande sonore, ou à une seule
diapo.
Si vous ajoutez une bande sonore, la musique commencera en même temps que le
diaporama. Vous pouvez spécifier si vous souhaitez lire le fichier une ou plusieurs fois
(vous pouvez également l’arrêter).
Si vous ajoutez un fichier audio à une diapo individuelle, le fichier audio démarre
lorsque la diapo sélectionnée s’affiche, et s’arrête lorsque vous passez à la suivante.
Vous pouvez par exemple enregistrer un commentaire sous forme de fichier MP3 pour
chaque diapo ; cette technique est particulièrement utile pour exporter votre diaporama sous forme de séquence à lecture automatique QuickTime (pour plus
d’informations, consultez la section “QuickTime” à la page 143).
Remarque : Pour être sûr que l’audio est lu sur les autres ordinateurs, sélectionnez
“Copier l’audio et la vidéo dans le document”. Pour afficher cette option dans la zone de
dialogue Enregistrer, vous devez d’abord cliquer sur le triangle d’affichage. Pour plus
d’informations, consultez la section “Ajout d’audio et d’autres médias” à la page 59.
Pour ajouter une bande sonore :
1 Ouvrez l’Inspecteur des documents.
F2645.book Page 62 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 63
2 Cliquez sur Bibliothèque iTunes dans la zone Audio.
3 Faites glisser un fichier audio ou une liste de lecture du navigateur de média dans le
cadre audio de l’Inspecteur des documents.
Remarque : Vous pouvez également faire glisser un fichier audio du Finder.
4 Pour répéter le fichier audio tout au long de votre présentation, choisissez Lecture en
boucle dans le menu local de l’Inspecteur des documents.
Le bouton Inspecteur des
documents
Écoutez votre fichier audio.
Faites glisser un fichier
audio à cet endroit pour
le lire tout au long du
diaporama.
Pour répéter le fichier audio,
choisissez Lecture en boucle.
Réglez le volume de la
bande son.
F2645.book Page 63 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM64 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Pour ajouter de l’audio à une diapositive :
m Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, choisissez iTunes dans le menu local et
faites glisser un fichier vers le canevas de la diapo. (vous pouvez également faire
glisser un fichier du Finder).
Vous pouvez contrôler avec plus de précision le démarrage et la fin de la musique en
l’insérant dans une composition d’objet que vous déplacez sur l’écran ou que vous
supprimez de l’écran. Pour en savoir plus sur la création de compositions d’objets, voir
la section “Création de compositions d’objet” à la page 121.
Ajout d’une séquence ou d’une animation
Vous pouvez inclure des séquences dans vos présentations de diapositives. Une fois la
séquence insérée dans une diapo, vous pouvez la redimensionner et la positionner
comme vous le feriez avec tout autre objet.
Pour ajouter une séquence à une diapo, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Cliquez sur Multimédia dans la barre d’outils, choisissez Séquences dans le menu
local et faites glisser un fichier vers le canevas. Pour que les séquences apparaissent
dans le navigateur de média, elles doivent être placées dans le dossier Séquences
du Finder.
 Choisissez Insérer > Choisir, sélectionnez le fichier et cliquez sur Insérer.
 Faites glisser le fichier vidéo du Finder dans le canevas de la diapo.
Lors de votre diaporama, la séquence démarre au moment où la diapo apparaît.
Remarque : Pour être sûr que la séquence est lue sur les autres ordinateurs, sélectionnez Copier l’audio et la vidéo dans le document. Pour afficher cette option dans
la zone de dialogue Enregistrer, vous devez d’abord cliquer sur le triangle d’affichage.
Pour plus d’informations, consultez la section “Ajout d’audio et d’autres médias” à la
page 59.
F2645.book Page 64 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 65
Réglage des options de lecture des fichiers multimédias
Dans l’Inspecteur QuickTime, vous pouvez régler le volume de lecture de l’audio et
des séquences de votre diaporama et spécifier le type de lecture de vos fichiers multimédias : une seule fois, en continu ou en boucle dans les deux sens.
Pour régler les préférences de lecture des fichiers média :
1 Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur (ou cliquez sur Inspecteur dans la barre
d’outils) puis cliquez sur le bouton Inspecteur QuickTime.
2 Cliquez sur la séquence pour la sélectionner et faites glisser le curseur Volume.
3 Choisissez une option dans le menu local Répétition.
Vous pouvez également spécifier l’image de la séquence à afficher sur la diapo
(“l’affiche”) en attendant le démarrage de la séquence.
Pour configurer l’affiche d’une séquence :
1 Cliquez sur la séquence pour la sélectionner.
2 Dans I’Inspecteur QuickTime, faites glisser le curseur Affiche jusqu’à ce que l’image
désirée s’affiche.
Le bouton Inspecteur
QuickTime
Réglez les options de répétition de la lecture.
Utilisez ces commandes pour
visionner la séquence tout en
modifiant votre diaporama.
Réglez le volume de
lecture.
Sélectionnez l’image à afficher
en attendant le démarrage de
la lecture de la séquence.
F2645.book Page 65 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM66 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Ajout de pages Web et de liens
Vous pouvez afficher la capture d’une page Web (appelée “affichage Web”) sur une
diapo ; lorsque vous ouvrez le document ou quand le diaporama démarre, Keynote
peut effectuer une mise à jour automatique de la capture (l’ordinateur qui exécute le
diaporama doit être connecté à Internet). Par défaut, la capture est un lien sur lequel
vous pouvez cliquer pendant la présentation afin d’ouvrir la page Web dans un navigateur ; vous pouvez désactiver ce lien dans l’Inspecteur des liens .
La flèche bleue signifie que vous
pouvez cliquer, lors du diaporama, sur
le mode d’affichage Web pour ouvrir
une page Web via un navigateur.
Insérez une capture de page Web
qui se met à jour automatiquement
lorsque le diaporama démarre.
F2645.book Page 66 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 67
Pour ajouter une capture de page Web à une diapositive :
1 Choisissez Insérer > Affichage Web.
2 Dans l’Inspecteur des liens, saisissez l’URL de la page (www.apple.com, par exemple).
La page d’accueil spécifiée dans votre navigateur par défaut est insérée comme texte
pour espace réservé.
3 Pour mettre à jour la page Web automatiquement lorsque la présentation démarre,
sélectionnez Mettre à jour automatiquement.
Si cette option n’est pas sélectionnée, vous pouvez mettre à jour la page Web à tout
moment en cliquant sur Mettre à jour.
L’image de la page Web est importée en taille réelle mais vous pouvez la redimensionner et la repositionner comme vous le feriez avec tout autre objet. (L’image de la
page d’accueil garde la même résolution, mais vous pouvez modifier la taille de l’affichage Web pour n’afficher qu’une partie de l’image.)
L’image de la page Web se transforme automatiquement en lien sur lequel vous
pouvez cliquer pendant la présentation pour ouvrir la page Web dans un navigateur.
Pour désactiver cette fonctionnalité, désélectionnez Activer comme lien.
Si cette option est sélectionnée, vous pouvez cliquer
sur l’affichage Web pendant la
présentation afin d’ouvrir la
page Web dans un navigateur.
Sélectionnez-la pour mettre à
jour l’affichage Web au
démarrage du diaporama.
F2645.book Page 67 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM68 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Vous pouvez également créer un affichage Web en faisant glisser une URL d’un navigateur vers le canevas de la diapo.
Il est également possible d’ajouter des liens (texte, images ou figures) sur lesquels
vous pouvez cliquer lors d’une présentation ; voici leurs fonctions :
 Atteindre une diapo précise
 Ouvrir une page Web sur Internet
 Ouvrir un nouveau document Keynote
 Ouvrir un message électronique
 Quitter le diaporama
Pour ajouter un lien :
1 Sélectionnez le texte, la figure, l’image ou la séquence que vous voulez changer en
lien hypertexte.
2 Dans l’Inspecteur des liens, sélectionnez Activer comme lien et choisissez une option
dans le menu local Lier vers.
3 Saisissez les informations requises.
Transformer du texte ou des images en liens
permettant d’ouvrir une autre diapo, un
document Keynote, une page Web ou un
courrier électronique. Le symbole fléché bleu
(visible dans le mode de modification)
signifie que l’élément est un lien actif.
F2645.book Page 68 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 69
Vous pouvez de même faire glisser une URL depuis un navigateur vers un objet dans
le canevas pour créer un lien en affichage Web. Par défaut, tout texte commençant par
“www,” “ftp” ou “http” que vous saisissez ou faites glisser se transforme automatiquement en lien. Il est possible d’empêcher les URL de se transformer automatiquement
en liens.
Utilisez ce type d’hyperlien Pour exécuter cette action Remarques
Diapositive Passez à une autre diapo de la
présentation
Choisissez d’afficher la diapo
suivante, la précédente, la
première ou la dernière, la
dernière diapo visionnée ou
un numéro de diapo en
particulier
Page Web Ouvrez la page Web dans un
navigateur (par exemple dans
Safari)
Keynote ouvre le navigateur
par défaut (spécifié dans les
préférences du navigateur).
Fichier Keynote Ouvrez un nouveau document Keynote
Si vous transférez la présentation vers un autre ordinateur,
vous devez également transférer l’autre document.
Message électronique Ouvrez un nouveau courrier
électronique et saisissez l’objet
et l’adresse
Keynote ouvre votre application de messagerie
électronique par défaut.
Fermeture du diaporama Arrêtez le diaporama Keynote s’ouvre en mode de
modification sur la dernière
diapo affichée.
Pour les liens de texte, si vous
souhaitez que la diapo affiche du
texte en plus de l’URL, saisissez
celui-ci à cet endroit. Sélectionnez le texte au préalable.
F2645.book Page 69 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM70 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Pour désactiver la détection automatique des URL :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Général.
2 Dans la section Liens, désélectionnez Détecter automatiquement les adresses électroniques et de page Web.
Par défaut, tous les nouveaux liens de texte sont automatiquement soulignés (vous
pouvez modifier ce réglage dans les Préférences). En désactivant ce réglage, vous
pouvez souligner le texte existant si vous souhaitez l’activer plus tard en tant que lien.
Pour activer ou désactiver le soulignement automatique des nouveaux liens :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Général.
2 Dans la section Liens, sélectionnez ou désélectionnez Souligner les liens à la création.
Pour souligner un lien manuellement :
1 Sélectionnez le texte à souligner.
2 Cliquez sur Polices dans la barre d’outils et choisissez Simple dans le menu local
Souligné (ou choisissez Format > Police > Souligné).
Pour présenter seulement les liens, choisissez “Liens uniquement” dans le menu local
Présentation dans l’Inspecteur des documents. Pour plus d’informations, consultez la
section “Présentations comprenant uniquement des liens” à la page 131.
Au cours d’une présentation, le pointeur apparaît uniquement sur les diapos contenant des liens. Vous pouvez modifier ce réglage par défaut et faire en sorte que le
pointeur apparaisse à chaque fois que vous déplacez la souris.
Pour spécifier quand le pointeur doit apparaître au cours d’une présentation :
1 Choisissez Keynote > Préférences.
2 Cliquez sur Diaporama.
3 Choisissez l’une des options pour afficher le pointeur.
F2645.book Page 70 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 71
Modification des dispositions
Certains éléments de diapo (par exemple une zone de texte et des espaces réservés
d’objets) sont préformatés et placés dans des endroits spécifiques sur chaque modèle
de diapo. Il est également possible et facile d’ajouter ces éléments à des diapos
individuelles.
Pour modifier la disposition d’une diapo :
1 Sélectionnez le modèle de diapositive à modifier.
2 Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur et cliquez sur Inspecteur des diapos.
3 Cliquez sur Apparence.
4 Sélectionnez les éléments à ajouter.
Remarque : Si vous supprimez l’un de ces éléments sur une diapo, la case de l’Inspecteur des diapos est automatiquement décochée.
Si aucun des modèles de diapositive disponibles ne répond à vos besoins, vous
pouvez créer un modèle doté des éléments de votre choix puis créer une diapositive à
partir de ce modèle. Si vous souhaitez créer des diapos contenant des graphismes,
vous pouvez ajouter une zone d’“espace réservé” pour insérer ces derniers. Vous
pouvez également ajouter un numéro de diapositive.
Pour apprendre à créer des modèles de diapositive, voir le chapitre 9, “Création de
thèmes et modèles de diapositive personnalisés”.
Pour que graphiques,
tableaux et images apparaissent à des endroits
précis des diapositives,
sélectionnez Espace
réservé à l’objet.
Le bouton Inspecteur des diapos
Sélectionnez les éléments
à ajouter à une diapo.
F2645.book Page 71 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM72 Chapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données
Modification de l’arrière-plan de la diapositive
Vous pouvez utiliser une image personnelle comme image d’arrière-plan de chaque
diapositive ou changer la couleur d’arrière-plan. Effectuez ces modifications dans
l’Inspecteur des diapos.
Pour changer l’arrière-plan d’une diapositive :
1 Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur pour ouvrir la fenêtre Inspecteur (ou cliquez
sur le bouton Inspecteur dans la barre d’outils) et cliquez sur Inspecteur des diapos.
2 Cliquez sur Apparence.
3 Choisissez un type d’arrière-plan dans le menu local Fond des diapos.
 L’option Remplissage couleur donne à l’arrière-plan une seule couleur unie. Cliquez
sur le cadre de couleurs et choisissez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
 L’option Remplissage dégradé colore l’arrière-plan avec un dégradé de couleurs.
Cliquez sur chaque cadre de couleurs et choisissez des couleurs dans la fenêtre
Couleurs.
 L’option Remplissage image vous permet d’insérer une image personnelle comme
image de fond Cliquez sur Choisir et sélectionnez votre image.
 L’option Remplissage image teintée vous permet d’insérer une image personnelle
recouverte d’une couleur semi-opaque.
Choisissez une couleur ou
une image d’arrière-plan.
Choisissez un modèle
de diapositive.
Faites glisser une image à cet
endroit depuis le navigateur
de média ou le Finder.
F2645.book Page 72 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 3 Manipulation de texte, de graphismes et d’autres données 73
4 Quel que soit le remplissage, vous devez choisir une option de mise à l’échelle dans le
menu local (voir “Remplissage d’un objet avec une image” à la page 78).
Pour en savoir plus sur le travail avec des remplissages d’image, couleur et dégradé,
consultez la section “Utilisation de remplissages couleurs et image” à la page 75.
Maintien ou annulation des modifications apportées au
style
Si vous apportez des changements au style et à la mise en forme d’une diapositive et
que vous décidez par la suite de revenir aux styles par défaut du thème, il vous est
possible de restaurer les styles par défaut de la diapo.
Pour restaurer les styles par défaut d’un thème pour une diapo :
m Sélectionnez la diapositive et choisissez Format > Revenir au format du modèle pour
la diapo.
Vous pouvez modifier plusieurs diapos à la fois en les sélectionnant dans le classeur
de diapositives.
Si vous modifiez le style et la mise en forme de l’ensemble d’un document Keynote et
que vous lui appliquez un autre thème, vous pouvez restaurer tous les styles par
défaut du thème ou conserver les modifications effectuées. (Par exemple, si vous
changez le remplissage de fond de quelques diapos, vous pouvez garder le même
remplissage dans le nouveau thème ou utiliser le nouveau remplissage de fond du
nouveau thème.)
Pour conserver les modifications apportées à un style lors de l’application d’un
nouveau thème :
1 Choisissez Fichier > Choisir un thème (ou cliquez sur Thèmes dans la barre d’outils et
choisissez Sélecteur de thèmes).
2 Sélectionnez un nouveau thème.
3 Sélectionnez Appliquer les modif. aux thèmes par défaut.
4 Cliquez sur Choisir.
F2645.book Page 73 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMF2645.book Page 74 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM75
4
4 Modification des propriétés
des objets
Vous souhaitez plus de créativité ? Dans ce chapitre,
nous verrons quelles sont les fonctionnalités les
plus avancées pour améliorer les graphismes et
autres objets de vos présentations.
Vous pouvez manipuler directement les propriétés d’objets de type couleur, style et
épaisseur de ligne, ombre, opacité et orientation à l’aide des inspecteurs et de la
fenêtre Couleurs, comme décrit dans les sections ci-dessous.
Utilisation de remplissages couleurs et image
Dans Keynote, il est possible de créer des effets intéressants avec de la couleur. Une
ombre peut être constituée d’une couleur unie, d’un dégradé de couleur ou même
d’une image, par exemple d’une photo ou d’un autre graphisme.
Vous pouvez également ajuster l’opacité d’un objet (transparence) ou encore utiliser
des effets de remplissage et d’opacité pour modifier les barres individuelles ou les
bordures des graphiques sectoriels.
Sélection de couleurs
Utilisez la fenêtre Couleurs pour sélectionner la couleur du texte, des figures, des
arrière-plans et des ombres dans Keynote.
Pour ouvrir la fenêtre Couleurs :
 Choisissez Afficher > Afficher couleurs (ou cliquez sur Couleurs dans la barre
d’outils).
 Vous pouvez aussi cliquer sur un cadre de couleurs dans l’une des sous-fenêtres de
l’Inspecteur.
F2645.book Page 75 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM76 Chapitre 4 Modification des propriétés des objets
Vous pouvez utiliser la molette de couleurs de la fenêtre Couleurs pour sélectionner
des couleurs. Votre sélection de couleur apparaît dans le cadre situé en haut de la
fenêtre Couleurs. Vous pouvez conserver cette couleur pour un usage ultérieur en la
plaçant dans la palette de couleurs
Pour ouvrir la palette de couleurs :
m Faites glisser la poignée située en bas de la fenêtre Couleurs.
Pour enregistrer une couleur dans la palette de couleurs :
m Faites glisser la couleur du cadre de couleurs dans la palette de couleurs.
Pour appliquer à un objet du canevas une couleur à partir de la fenêtre Couleurs, vous
devez placer la couleur dans le cadre de couleurs approprié de la sous-fenêtre d’un
des inspecteurs.
Pour supprimer une couleur de la palette de couleurs :
m Faites glisser un carré blanc sur la couleur que vous voulez supprimer.
Pour appliquer une couleur à un objet du canevas, effectuez une des opérations
suivantes :
 Sélectionnez un cadre de couleurs dans l’une des sous-fenêtres de l’Inspecteur, puis
cliquez sur une couleur dans la molette de couleurs.
 Faites glisser une couleur de la palette de couleurs dans un cadre de couleurs de
l’une des sous-fenêtres d’inspecteur.
La couleur sélectionnée dans
la molette de couleurs apparaît dans ce cadre de couleurs.
Utilisez ce curseur pour afficher des
nuances plus claires ou plus sombres
dans la molette de couleurs.
Faites glisser les couleurs du cadre
de couleurs afin de les conserver
dans la palette de couleurs.
Cliquez pour sélectionner une
couleur dans la molette de couleurs.
Faites glisser la poignée pour
ouvrir la palette de couleurs.
F2645.book Page 76 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 4 Modification des propriétés des objets 77
 Faites glisser la couleur de la palette sur un des objets de la diapo.
Pour modifier la couleur d’un objet, utilisez L’Inspecteur des graphismes.
Pour ouvrir l’Inspecteur des graphismes :
m Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur (ou cliquez sur Inspecteur dans la barre
d’outils), puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes.
Remplissage d’un objet avec de la couleur
Les objets peuvent être remplis d’une couleur unie ou d’un dégradé de couleurs
(deux couleurs graduellement combinées).
Pour choisir une couleur unie de remplissage pour un objet :
1 Dans le canevas, sélectionnez l’objet dont vous désirez changer la couleur.
2 Dans l’Inspecteur des graphismes, choisissez Remplissage couleur dans le menu local
Remplissage.
3 Cliquez sur le cadre de couleurs sous le menu local pour ouvrir la fenêtre Couleurs.
4 Sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
Pour remplir un objet avec un dégradé de couleurs :
1 Dans le canevas, sélectionnez l’objet dont vous désirez changer la couleur.
2 Dans l’Inspecteur des graphismes, choisissez Remplissage du dégradé dans le menu
local Remplissage.
Remplissez un objet
dessiné d’une couleur
unie, d’un dégradé de
couleurs, d’une image ou
d’une image teintée.
Le bouton Inspecteur des
graphismes
F2645.book Page 77 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM78 Chapitre 4 Modification des propriétés des objets
3 Cliquez sur chaque cadre de couleurs et choisissez une couleur dans la fenêtre
Couleurs pour définir le dégradé.
4 Pour inverser le dégradé, cliquez sur la double flèche.
5 Modifiez le sens du dégradé à l’aide de la molette Angle et des flèches.
Remplissage d’un objet avec une image
Vous pouvez insérer une image dans une forme dessinée ou dans une cellule de
tableau.
Pour remplir un objet avec une image :
1 Sélectionnez l’objet dans lequel vous désirez insérer une image.
2 Dans l’Inspecteur des graphismes, choisissez Remplissage image ou Remplissage
image teintée dans le menu local Remplissage, puis sélectionnez une image.
3 Pour changer d’image, cliquez sur Choisir, sélectionnez l’image et cliquez sur Ouvrir
(ou faites glisser le fichier image du Navigateur de média ou du Finder vers le cadre
d’images de l’Inspecteur des graphismes).
4 Choisissez une option de mise à l’échelle dans le menu local.
Établissez le sens du
dégradé à l’aide de la
molette Angle, ou en
tapant une valeur.
Cliquez sur la double flèche
pour inverser le dégradé.
Cliquez sur chaque cadre de
couleurs pour choisir les couleurs.
Utilisez le menu local afin de choisir
une option de mise à l’échelle pour
l’image contenue dans l’objet.
Pour changer l’image, faites
glisser un fichier du navigateur de média ou du Finder
vers le cadre d’images.
F2645.book Page 78 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 4 Modification des propriétés des objets 79
 L’option Ajuster redimensionne l’image afin de l’adapter au mieux aux dimensions
de l’objet. Si l’objet a une forme différente de celle de l’image d’origine, certaines
portions de cette dernière ne seront peut-être pas visibles et des espaces vides
seront également susceptibles d’apparaître autour de l’image.
 L’option Ajuster fait paraître l’image plus grande ou plus petite en la dimensionnant de façon à ne laisser aucun espace autour d’elle, même si elle n’a pas la même
forme que l’objet.
 L’option Étirer dimensionne l’image pour qu’elle s’adapte à la taille de l’objet mais la
déforme si ce dernier a une forme différente de l’image originale.
 L’option Dimensions d’origine place l’image dans l’objet sans altérer ses dimensions d’origine. Si l’image est plus grande que l’objet, seule une partie de l’image est
visible dans l’objet. Si l’image est plus petite que l’objet, des espaces vides sont visibles autour d’elle.
 L’option Mosaïque répète l’image dans l’objet si celle-ci est plus petite que l’objet. Si
l’image est plus grande que l’objet, seule une partie de l’image est visible dans
l’objet.
Dimensions
d’origine
Ajuster Remplir
Étirer Mosaïque
(petite image)
Mosaïque
(grande image)
F2645.book Page 79 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM80 Chapitre 4 Modification des propriétés des objets
Modification du style de ligne et de l’emplacement
Vous pouvez choisir le style et la couleur des bordures d’un objet dessiné ou vous
pouvez spécifier que vous ne souhaitez pas de bordures. Vous pouvez configurer le
style de ligne et la couleur des bordures d’un objet à l’aide de l’Inspecteur des
graphismes et de la fenêtre Couleurs.
Pour configurer le style et la couleur de la ligne d’un objet :
1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez modifier.
2 Choisissez un style de ligne (ou Aucun) dans le menu local Trait de l’Inspecteur des
graphismes.
3 Pour modifier l’épaisseur de la ligne, saisissez une valeur dans le champ Taille du trait
(ou cliquez sur les flèches).
4 Pour modifier la couleur de la ligne, cliquez sur le cadre de couleurs et sélectionnez
une couleur.
5 Pour définir des extrémités à la ligne, par exemple des pointes de flèche ou des
cercles, choisissez des points de fin de ligne gauche et droit dans les menus locaux.
Remarque : Keynote fournit également des figures sous forme de flèches simples et
de flèches à double pointe. Vous pouvez les ajouter à l’aide du menu Insérer ou du
bouton Figures situé sur la barre d’outils.
Vous pouvez régler précisément la position d’une ligne via l’Inspecteur des mesures.
Choisissez des extré-
mités de ligne dans
ces menus locaux.
Cliquez sur le cadre de couleurs
pour choisir une couleur de ligne.
Saisissez dans ce champ
l’épaisseur de ligne voulue
(remarque : “px” signifie pixels).
Choisissez une ligne continue,
en pointillé, avec tirets, ou
même aucune ligne.
F2645.book Page 80 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 4 Modification des propriétés des objets 81
Pour régler précisément la position d’une ligne :
1 Sélectionnez la ligne.
2 Dans l’Inspecteur des mesures, saisissez les abscisses et les ordonnées des points de
départ et d’arrivée de la ligne.
Ajout d’ombres
Les ombres donnent à votre diapositive une impression de profondeur. Grâce à
l’Inspecteur des graphismes, vous pouvez créer un grand nombre d’effets d’ombre
mais aussi éliminer l’ombre d’un objet.
L’ombre de cet objet possède
une valeur de décalage élevée.
L’ombre de cet objet possède
le facteur de flou le plus bas.
Cet objet a une couleur
d’ombre différente.
L’ombre de cet objet possède
un facteur de flou élevé.
Cet objet possède des propriétés
d’ombre par défaut.
L’ombre de cet objet a été
réglé sur un angle différent.
F2645.book Page 81 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM82 Chapitre 4 Modification des propriétés des objets
Pour appliquer une ombre à un objet ou pour éliminer une ombre :
1 Sélectionnez l’objet que vous souhaitez modifier.
2 Sélectionnez la case Ombre de l’Inspecteur des graphismes pour ajouter une ombre à
l’objet. Désélectionnez la case Ombre pour éliminer l’ombre.
3 Réglez l’angle de l’ombre à l’aide de la molette Angle.
4 Réglez le décalage de l’ombre en saisissant un nombre dans le champ Décalage (ou
cliquez sur les flèches pour augmenter ou réduire ce nombre).
Une valeur de décalage d’ombre élevée fait apparaître l’ombre de votre objet plus
longue et légèrement écartée de ce dernier.
5 Réglez le flou de l’ombre en saisissant un nombre dans le champ Flou (ou cliquez sur
les flèches).
Une valeur de flou élevée fait apparaître l’ombre de votre objet plus diffuse tandis
qu’une valeur basse donne aux contours de ce dernier plus de netteté.
6 Réglez l’opacité de l’ombre en saisissant un nombre dans le champ Opacité (ne pas
confondre l’opacité de l’ombre avec l’opacité d’objet, que l’on règle à l’aide du curseur
Opacité en bas de l’Inspecteur des graphismes).
7 Pour modifier la couleur de l’ombre, cliquez sur le cadre de couleurs et sélectionnez
une couleur.
Modifiez l’angle de l’ombre
avec la molette Angle.
Les champs Décalage, Flou
et Opacité peuvent modifier l’effet de l’ombre (voir
ci-dessus).
Sélectionnez cette case pour ajouter
une ombre à l’objet sélectionné.
Cliquez dessus pour modifier
la couleur de l’ombre.
F2645.book Page 82 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 4 Modification des propriétés des objets 83
Ajustage de l’opacité
Vous pouvez créer des effets intéressants en rendant les objets plus ou moins
opaques. Par exemple, si vous placez un objet à faible valeur d’opacité sur un autre
objet, ce dernier apparaît en transparence. En fonction du degré d’opacité que vous
choisissez, les objets se trouvant derrière d’autres objets peuvent être très visibles, ou
partiellement ou complètement masqués (avec une opacité de 100 %). Il est possible
de changer les réglages d’opacité de tous les objets visuels se trouvant dans le
canevas, et notamment des figures dessinées, des images (et autres fichiers d’images)
et des séquences. Réglez l’opacité de l’objet dans l’Inspecteur des graphismes.
Pour modifier l’opacité d’un objet :
1 Sélectionnez l’objet.
2 Dans l’Inspecteur des graphismes, faites glisser le curseur Puces.
Remarque : Vous pouvez définir l’opacité de la couleur de remplissage des formes
dessinées indépendamment de l’opacité de l’objet. Si vous déplacez le curseur
Opacité dans la fenêtre Couleurs afin de modifier une couleur de remplissage, la
valeur d’opacité équivaut à une opacité d’objet de 100 %. Si vous modifiez l’opacité de
l’objet dans l’Inspecteur des graphismes, l’opacité est la même que celle réglée dans la
fenêtre Couleurs.
L’opacité de ce cercle est
réglée sur 100%. La couleur de
remplissage est réglée sur
50 % dans la fenêtre Couleurs.
L’opacité des contours du
cercle est réglée sur 100 %
dans la fenêtre Couleurs.
L’opacité de ce cercle
est réglée sur 100%.
L’opacité de ce
cercle est réglée
sur 50%.
F2645.book Page 83 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM84 Chapitre 4 Modification des propriétés des objets
Modification de l’orientation d’un objet
Vous pouvez faire pivoter ou tourner tout type d’objet à l’aide de l’Inspecteur des
mesures. Ainsi, si vous souhaitez utiliser l’image d’une flèche et que vous désirez
qu’elle pointe dans plusieurs directions, vous pouvez inverser sa direction verticalement ou horizontalement ou utiliser n’importe quel angle pour la faire pointer.
Pour ouvrir l’Inspecteur des mesures :
m Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur (ou cliquez sur Inspecteur dans la barre
d’outils), puis cliquez sur le bouton Inspecteur des mesures.
Pour faire pivoter ou tourner un objet :
1 Sélectionnez l’objet que vous voulez faire pivoter.
2 Dans l’Inspecteur des mesures, utilisez la molette Rotation pour définir l’orientation de
l’objet ou cliquez sur les boutons Miroir (horizontal ou vertical) pour le retourner horizontalement ou verticalement. Vous pouvez également spécifier l’angle en saisissant
un chiffre dans le champ Angle.
Remarque : Ajoutez les boutons Miroir vertical et Miroir horizontal à la barre d’outils
en choisissant Afficher > Personnaliser la barre d’outils.
Faites pivoter une image selon
un axe vertical ou horizontal à
l’aide de ces boutons.
Faites tourner un objet avec cette molette.
Redimensionnez les objets de
façon précise en spécifiant leur
hauteur et leur largeur.
Cliquez sur un objet redimensionné
pour lui rendre ses dimensions d’origine.
Placez un objet précisé-
ment dans le canevas en
spécifiant des coordonnées X et Y.
Le nom de l’image ou de
la séquence sélectionnée
s’affiche.
F2645.book Page 84 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 4 Modification des propriétés des objets 85
Modification de la taille et de l’emplacement d’un objet
Pour régler précisément la taille et la position d’un objet du canevas, vous pouvez
faire glisser l’objet et ses poignées de sélection ou utiliser l’Inspecteur des mesures.
Pour régler précisément la taille d’un objet :
1 Sélectionnez l’objet que vous voulez redimensionner.
2 Dans l’Inspecteur des mesures, saisissez un chiffre dans les champs Largeur et Hauteur
(ou cliquez sur les flèches pour augmenter ou réduire le chiffre).
Pour conserver le rapport largeur/hauteur d’un objet redimensionné :
m Sélectionnez Conserver les proportions ou maintenez la touche Maj enfoncée et faites
glisser une poignée de sélection.
Pour redonner à un objet ses dimensions d’origine:
m Sélectionnez l’objet et cliquez sur Dimensions d’origine dans l’Inspecteur des mesures.
Pour régler précisément la position d’un objet :
1 Sélectionnez l’objet que vous désirez positionner.
2 Dans l’Inspecteur des mesures, saisissez les valeurs X et Y dans le champ Position.
Les coordonnées spécifiées déterminent la position de l’angle supérieur gauche de
l’objet.
 La valeur X se mesure à partir du bord gauche du canevas.
 La valeur Y se mesure à partir du bord droit du canevas.
Les coordonnées X et Y spécifient l’emplacement de l’angle supérieur gauche de la
zone de l’objet. S’il s’agit d’un objet que vous avez fait pivoter, les coordonnées X et Y
spécifient l’emplacement du nouvel angle supérieur gauche.
Sélectionnez pour conserver
les proportions de l’objet
redimensionné.
F2645.book Page 85 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMF2645.book Page 86 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM87
5
5 Création de tables
Les tableaux servent à comparer des groupes de
données ou des informations d’organisation. Ce
chapitre présente les éléments de base de la création de tableaux.
Keynote offre des fonctionnalités puissantes qui permettent de mettre en valeur des
tableaux essentiels, contenant du texte ou des graphismes.
Ajout d’un tableau
Pour placer un tableau dans une diapositive :
1 Choisissez Insérer > Tableau (ou cliquez sur Tableau dans la barre d’outils).
2 Pour redimensionner le tableau, faites glisser la poignée de sélection.
3 Pour repositionner le tableau, faites-le glisser vers l’emplacement qui vous convient.
Vous pouvez également créer un tableau dans le canevas.
Pour créer un tableau dans le canevas :
1 Maintenez la touche Option enfoncée et cliquez sur Tableau dans la barre d’outils.
2 Relâchez la touche Option et déplacez le pointeur au-dessus du canevas jusqu’à ce
qu’il se transforme en réticule.
3 Faites glisser la souris dans le canevas pour créer un tableau de la taille souhaitée.
Pendant que vous faites glisser la souris, le nombre de rangs et de colonnes augmente
ou diminue selon la taille du tableau. Pour conserver les proportions du tableau,
appuyez sur la touche Maj pendant que vous faites glisser la souris.
F2645.book Page 87 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM88 Chapitre 5 Création de tables
Sélection de bordures et de cellules du tableau
Pour insérer du texte dans une cellule, tapez-le dans cette dernière. Placez des
graphismes dans vos tableaux en les insérant dans des cellules individuelles, de la
même manière que vous remplissez un objet avec une image. Pour en savoir plus sur
l’ajout de graphismes ou sur la définition de couleurs d’arrière-plan dans les cellules
de tableaux, consultez la section “Ajout d’images ou de couleurs d’arrière-plan” à la
page 98.
Il est possible d’appliquer des réglages à un tableau entier en le sélectionnant ou à
des cellules individuelles. Pour insérer du texte ou des graphismes dans des cellules
ou des groupes de cellules, sélectionnez uniquement les cellules sur lesquelles vous
souhaitez travailler.
Pour sélectionner l’ensemble du tableau, effectuez l’une des actions suivantes :
 Cliquez sur le tableau.
 Si une cellule du tableau est déjà sélectionnée, appuyez sur Commande + Retour
pour sélectionner l’ensemble du tableau.
Des poignées de sélection apparaissent sur les bords du tableau. Vous pouvez utiliser
ces poignées pour le redimensionner.
Sélection de cellules d’un tableau
Une fois la cellule sélectionnée, vous pouvez passer d’une cellule à l’autre en
appuyant sur les touches fléchées de votre clavier. Le texte saisi dans ce mode
remplace le texte déjà présent dans la cellule. Vous pouvez également utiliser la
touche de tabulation pour naviguer entre les cellules. Si vous appuyez sur la touche
Tab, vous pouvez aller vers la droite et vers le bas ; Si vous appuyez sur les touches
Maj + Tab, la sélection est déplacée vers la gauche ou vers le haut. Si vous appuyez sur
la touche Tab lorsque la cellule du coin inférieur droit du tableau est sélectionnée, un
nouveau rang est ajouté au tableau.
Pour sélectionner une seule cellule dans un tableau :
1 Sélectionnez le tableau.
2 Cliquez dans une cellule.
Le bord de la cellule sélectionnée apparaît en jaune et un point d’insertion apparaît.
Pour insérer du texte dans la cellule, tapez-le dans cette dernière.
F2645.book Page 88 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 5 Création de tables 89
3 Pour sélectionner la cellule proprement dite, cliquez tout en maintenant la touche
Commande enfoncée ou appuyez sur Commande + Retour.
Pour sélectionner un groupe (rectangulaire) de cellules contiguës :
1 Double-cliquez sur une seule cellule.
2 Faites glisser la souris sur les cellules adjacentes ou appuyez sur la touche Maj ou la
touche Commande pendant que vous sélectionnez les cellules adjacentes.
Pour sélectionner un groupe de cellules non contiguës :
m Maintenez la touche Commande enfoncée et sélectionnez les cellules.
Pour sélectionner un rang entier ou une colonne entière :
1 Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur (ou cliquez sur le bouton Inspecteur dans la
barre d’outils), puis cliquez sur le bouton de l’Inspecteur des tableaux.
2 Choisissez une cellule dans le rang ou dans la colonne que vous voulez sélectionner.
3 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur Rang ou Colonne.
Sélection des bordures des cellules d’un tableau
Pour sélectionner une seule bordure :
 Si le tableau n’est pas sélectionné, double-cliquez sur la bordure.
 Si le tableau est sélectionné, cliquez sur la bordure.
Cliquez sur Colonne pour
sélectionner une colonne
entière du tableau.
Cliquez sur un bouton
pour sélectionner les
bordures des cellules.
Cliquez sur Rang pour
sélectionner un rang entier du tableau.
Le bouton Inspecteur des
tableaux
F2645.book Page 89 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM90 Chapitre 5 Création de tables
Pour sélectionner plusieurs bordures :
1 Choisissez les cellules du tableau dont vous souhaitez sélectionner les bordures.
2 Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur (ou cliquez sur le bouton Inspecteur dans la
barre d’outils), puis cliquez sur le bouton de l’Inspecteur des tableaux.
3 Cliquez sur l’un des boutons Bordures pour sélectionner toutes les bordures ou seulement les bordures intérieures, extérieures, horizontales ou verticales des cellules
sélectionnées.
Vous pouvez également sélectionner une bordure et appuyer sur la touche Maj
pendant que vous sélectionnez plusieurs bordures.
Pour sélectionner un segment d’une bordure de cellule :
1 Sélectionnez le tableau.
2 Cliquez sur un segment unique de bordure en appuyant sur la touche Option pour le
sélectionner.
3 Pour sélectionner d’autres segments de bordure, appuyez sur les touches Option et
Maj pendant que vous cliquez dessus.
Remarque : Si le tableau n’est pas sélectionné, double-cliquer en appuyant sur la
touche Option a pour effet de sélectionner un segment unique de bordure.
Saisie et modification de texte dans les cellules d’un tableau
Pour saisir du texte dans une cellule de tableau :
 Si la cellule est vide, cliquez dessus et commencez à saisir le texte.
 Pour remplacer un texte existant dans une cellule, double-cliquez sur le texte et
saisissez le nouveau texte.
Pour placer un point d’insertion à l’intérieur d’un texte existant, au sein d’une
cellule de tableau :
m Sélectionnez le tableau et cliquez là où vous souhaitez placer le point d’insertion.
Pour intervertir le contenu de deux cellules :
m Sélectionnez une des cellules et faites-la glisser sur l’autre.
Pour remplacer le contenu d’une cellule par celui d’une autre cellule :
m Sélectionnez la cellule dont vous souhaitez copier le contenu, puis appuyez sur la
touche Option pendant que vous faites glisser cette cellule vers une autre cellule.
F2645.book Page 90 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 5 Création de tables 91
Pour supprimer le contenu (y compris le remplissage de l’arrière-plan) des cellules
d’un tableau :
m Sélectionnez les cellules puis appuyez sur la touche Suppr.
Pour sortir du mode de modification de texte dans une cellule :
m Appuyez sur Commande + Retour pour sélectionner la cellule ou cliquez sur la cellule
tout en maintenant la touche Commande enfoncée.
Mise en forme de tableaux
Vous pouvez créer des tableaux de toutes sortes rien qu’en modifiant l’épaisseur et la
couleur des bords des cellules, en éliminant de façon sélective les bords de cellules ou
en fusionnant et scindant des cellules pour créer des asymétries. La mise en forme des
tableaux se fait généralement dans l’Inspecteur des tableaux. Vous pouvez également
choisir Format > Tableau pour, par exemple, répartir les rangs ou les colonnes
uniformément.
Vous pouvez effectuer bon nombre des tâches décrites dans cette section à l’aide des
menus contextuels.
Pour ouvrir un menu contextuel du tableau :
m Sélectionnez le tableau, puis maintenez la touche Contrôle enfoncée pendant que
vous cliquez à nouveau sur le tableau.
Insertion de rangs et de colonnes dans un tableau
Pour spécifier l’emplacement où vous souhaitez insérer un nouveau rang ou une
nouvelle colonne dans votre tableau, utilisez les commandes du menu Format.
Pour insérer un nouveau rang dans un tableau :
m Sélectionnez une cellule ou un rang du tableau, puis choisissez Format > Tableau >
Insérer un rang au-dessus ou Insérer un rang en dessous.
F2645.book Page 91 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM92 Chapitre 5 Création de tables
Pour insérer une nouvelle colonne dans un tableau :
m Sélectionnez une cellule ou une colonne du tableau, puis choisissez Format > Tableau
> Insérer une colonne avant ou Insérer une colonne après.
Pour modifier le nombre de rangs ou de colonnes d’un tableau :
1 Dans l’Inspecteur des tableaux, saisissez le nombre de rangs souhaité dans le champ
Rangs (ou cliquez sur les flèches pour augmenter ou réduire la valeur).
Les rangs sont ajoutés au bas du tableau.
Remarque : Vous pouvez également insérer un rang en sélectionnant la dernière
cellule du tableau et en appuyant sur la touche Tab.
2 Tapez ensuite le nombre de colonnes désiré dans le champ Colonnes.
Des colonnes sont insérées sur la droite du tableau.
Remarque : Si l’option “Ajuster automatiquement au contenu” n’est pas sélectionnée,
Keynote fait en sorte de conserver les mêmes dimensions extérieures du tableau
lorsque vous ajoutez des rangs et des colonnes.
Fusionnez des cellules
adjacentes ou divisez des
rangs ou des colonnes.
Sélectionnez pour ajouter
un rang ou une colonne
spécialement mis en forme
en haut ou sur le côté
gauche du tableau.
Tapez le nombre de rangs
et de colonnes désiré.
Sélectionnez pour redimensionner les rangs
en fonction du texte qu’ils contiennent
F2645.book Page 92 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 5 Création de tables 93
Suppression de rangs ou de colonnes du tableau
Vous pouvez supprimer le contenu d’un rang ou d’une colonne (les cellules seront
vides) ou supprimer les rangs ou les colonnes d’un tableau.
Pour supprimer les rangs ou les colonnes d’un tableau :
1 Sélectionnez le rang ou la colonne à supprimer.
2 Choisissez Format > Tableau > Supprimer le rang ou Supprimer la colonne.
Pour supprimer le contenu (y compris le remplissage de l’arrière-plan) d’un rang ou
d’une colonne :
m Sélectionnez le rang ou la colonne à supprimer et appuyez sur la touche Suppr.
Insertion d’en-têtes de rangs et de colonnes d’un tableau
Les en-têtes de rangs et de colonnes contiennent des mises en forme spéciales afin
de les différencier du reste du texte (par exemple, le texte d’en-tête sera en gras et sa
police sera plus grande). Les en-têtes de rangs et de colonnes se distinguent des
autres cellules du tableau par leur apparence, mais il est possible de modifier leur
style, à l’instar des autres cellules. Cependant, il n’est pas possible de diviser un en-tête
de rang en plusieurs rangs ou un en-tête de colonne en plusieurs colonnes.
Pour ajouter un en-tête de rang ou de colonne :
1 Sélectionnez le tableau.
2 Choisissez Format > Tableau > Insérer un en-tête de rang ou Insérer un en-tête de
colonne, ou, dans l’Inspecteur des tableaux, cochez les cases En-tête de rang ou Entête de colonne.
Fusion, division et redimensionnement des cellules d’un tableau
La fusion des cellules d’un tableau résulte en la création d’une seule cellule du fait
de l’élimination de leur bord. Pour les cellules qui sont contiguës horizontalement, la
fusion rassemble le texte contenu dans les deux cellules, en gardant une séparation
par une tabulation. Pour les cellules qui sont contiguës verticalement, la fusion
rassemble le texte contenu dans les deux cellules, en gardant une séparation par un
retour chariot. Dans les deux cas, l’arrière-plan de la cellule prend l’image ou la
couleur de la cellule qui se situait le plus à gauche ou le plus en haut du tableau.
F2645.book Page 93 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM94 Chapitre 5 Création de tables
La division des cellules consiste à diviser chaque cellule sélectionnée en deux parties
égales, horizontalement (rangs) ou verticalement (colonnes). Les deux nouvelles
cellules possèdent des couleurs ou des images d’arrière-plan identiques. Tout texte
figurant dans la cellule de départ se retrouve dans la cellule située le plus en haut ou
le plus à gauche du tableau.
Vous pouvez fusionner et diviser des cellules en utilisant des commandes de menu,
des commandes de menu contextuel ou l’Inspecteur des tableaux. Pour redimensionner les cellules d’un tableau, utilisez l’Inspecteur des tableaux.
Pour fusionner les cellules d’un tableau :
1 Sélectionnez un groupe de deux cellules adjacentes ou plus.
Vous devez choisir un groupe de cellules formant un rectangle.
2 Choisissez Format > Tableau > Fusionner les cellules.
Vous pouvez également fusionner les cellules en cliquant sur Fusionner dans l’Inspecteur des tableaux.
Pour scinder des cellules horizontalement ou verticalement :
1 Sélectionnez une ou plusieurs cellules. Pour scinder un rang entier ou une colonne
entière, sélectionnez toutes leurs cellules.
2 Choisissez Format > Tableau > Diviser en rangs (ou Diviser en colonnes).
Vous pouvez également cliquer sur Diviser en rangs ou Diviser en colonnes dans
l’Inspecteur des tableaux.
Vous pouvez répéter l’opération de division pour créer des unités de plus en plus
petites à l’intérieur d’une cellule. Pour réunir des cellules divisées, sélectionnez-les
et choisissez Format > Tableau > Fusionner les cellules (ou cliquez sur Fusionner les
cellules dans l’Inspecteur des tableaux).
F2645.book Page 94 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 5 Création de tables 95
Pour redimensionner des cellules d’un tableau :
m Sélectionnez les cellules et saisissez des valeurs dans les champs Largeur de colonne
et Hauteur de colonne de l’Inspecteur des tableaux, puis appuyez sur Retour.
m Sélectionnez les bordures de cellules et faites glisser la souris pour les redimensionner.
Pour que toutes les cellules soient de la même taille :
m Sélectionnez le tableau et choisissez Format > Tableau > Répartir les rangs uniformé-
ment et Répartir les colonnes uniformément.
Si une cellule du tableau contient trop de texte, un indicateur de découpage apparaît
au bas de la cellule.
Pour éviter le découpage, vous pouvez faire glisser les bordures des cellules pour les
redimensionner ou sélectionner le tableau et faire glisser une poignée de sélection
pour redimensionner l’ensemble du tableau. Vous pouvez également rétrécir ou
agrandir automatiquement la hauteur des rangs d’un tableau pour que ceux-ci s’adaptent au texte qu’ils contiennent.
Pour agrandir ou rétrécir automatiquement les rangs du tableau en fonction de
leur contenu :
1 Sélectionnez le tableau.
2 Dans l’Inspecteur des tableaux, cochez la case “Ajuster automatiquement au contenu”.
Remarque : En ayant sélectionné cette option, les rangs des tableaux s’agrandissent
automatiquement lorsque le texte dépasse les limites d’une cellule et l’insertion de
rangs et de colonnes a pour effet d’augmenter les dimensions extérieures du tableau.
Lorsque du texte est supprimé dans une cellule, la hauteur du rang peut diminuer (si
la cellule détermine la hauteur du rang). Si “Ajuster automatiquement au contenu”
n’est pas sélectionné, Keynote fait en sorte de conserver les mêmes dimensions exté-
rieures du tableau lorsque vous ajoutez des rangs et des colonnes.
L’indicateur de découpage
apparaît lorsqu’une cellule du
tableau contient plus de texte
que ce qui peut être affiché.
F2645.book Page 95 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM96 Chapitre 5 Création de tables
Alignement du texte dans la cellule d’un tableau
Vous pouvez aligner du texte horizontalement et verticalement dans une cellule de
tableau. Pour aligner du texte, utilisez la sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur du texte.
Pour aligner du texte horizontalement à l’intérieur d’une cellule de tableau :
m Sélectionnez la cellule et cliquez sur l’un des boutons d’alignement horizontal dans la
sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur du texte.
Pour aligner du texte verticalement à l’intérieur d’une cellule :
m Sélectionnez la cellule et cliquez sur l’un des boutons d’alignement vertical dans la
sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur du texte.
Vous pouvez spécifier la quantité d’espace entre le texte et la bordure de la cellule en
utilisant le curseur ou le champ Insérer une marge. La valeur spécifiée est uniformé-
ment appliquée autour du texte.
Aligner le texte à droite
Justifier le texte (l’aligner
à droite et à gauche)
Centrer le texte.
Aligner le texte à gauche
Agrandir le texte en partant
du bas de la cellule.
Placez le texte en haut de la cellule.
Le texte saisi commence
au centre de la cellule.
F2645.book Page 96 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 5 Création de tables 97
Pour régler l’espace autour du texte d’une cellule d’un tableau :
1 Cliquez dans la cellule (ou sélectionnez le tableau pour appliquer les mêmes réglages
à l’ensemble des cellules).
2 Dans la sous-fenêtre Texte de l’Inspecteur du texte, faites glisser le curseur Insérer une
marge vers la droite pour agrandir l’espace ou saisissez une valeur dans le champ et
appuyez sur Retour.
Mise en forme des bords des cellules
Vous pouvez mettre en forme les bordures d’une cellule de la même manière que
vous mettez en forme d’autres graphismes. Vous pouvez modifier l’épaisseur et la
couleur de la ligne des bordures d’une cellule ou masquer les bordures de n’importe
quelle cellule.
Pour définir l’épaisseur du trait et la couleur :
1 Sélectionnez un bord de cellule ou un groupe de bordures.
2 Choisissez Présentation > Afficher l’inspecteur (ou cliquez sur l’Inspecteur dans la
barre d’outils), puis cliquez sur le bouton Inspecteur des graphismes.
3 Saisissez une valeur dans le champ Trait (ou cliquez sur les flèches).
4 Cliquez sur le cadre de la couleur du trait et sélectionnez une couleur dans la fenêtre
Couleurs.
Saisissez une épaisseur de ligne
pour les bordures de cellules sélectionnées (“px” signifie “pixels”).
Cliquez pour choisir une couleur pour
les bordures de cellules sélectionnées.
Pour masquer les bordures de cellules
sélectionnées, choisissez Aucun.
F2645.book Page 97 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM98 Chapitre 5 Création de tables
Pour masquer la bordure d’une cellule :
1 Sélectionnez un bord de cellule ou un groupe de bordures.
2 Dans l’Inspecteur des graphismes, choisissez Aucun dans le menu local Trait.
Pour créer un tableau sans bordures extérieures :
1 Sélectionnez le tableau.
2 Dans l’Inspecteur des tableaux, cliquez sur le deuxième bouton des bordures pour
sélectionner les bordures extérieures.
3 Dans l’Inspecteur des graphismes, choisissez Aucun dans le menu local Trait.
Ajout d’images ou de couleurs d’arrière-plan
Vous ajoutez des images ou une couleur à une cellule de tableau en utilisant le menu
local Remplissage dans l’Inspecteur des graphismes. Vous pouvez ajouter des images
ou des couleurs à chaque cellule ou bien à l’ensemble du tableau.
Pour ajouter une image à une cellule d’un tableau :
1 Sélectionnez une cellule, un groupe de cellules ou l’ensemble du tableau.
2 Dans l’Inspecteur des graphismes, choisissez Remplissage image ou Remplissage
image teintée à partir du menu contextuel Remplissage. (Si une image figure déjà
dans la cellule, cliquez sur Choisir.)
3 Sélectionnez une image et cliquez sur Ouvrir.
4 Utilisez le menu local Échelle pour remplir la cellule à votre convenance.
Réglez l’option de mise à l’échelle
de l’image de la cellule.
Faites glisser une image dans le
cadre ou cliquez sur Choisir.
Choisissez un remplissage image, un remplissage couleur ou un remplissage dégradé pour
une cellule ou pour l’ensemble du tableau.
F2645.book Page 98 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 5 Création de tables 99
Pour plus de détails sur les remplissages d’image, consultez la section “Remplissage
d’un objet avec une image” à la page 78. Pour plus de détails sur la façon de manipuler les remplissages couleur et dégradés, consultez la section “Utilisation de
remplissages couleurs et image” à la page 75.
Remarque : Si vous ajoutez une image au tableau entier, quand vous sélectionnez une
seule cellule du tableau, le menu local Remplir dans l’Inspecteur des graphismes
affiche alors Aucun.
Pour ajouter une couleur d’arrière-plan ou un remplissage dégradé :
1 Sélectionnez une cellule, un groupe de cellules ou l’ensemble du tableau.
2 Dans l’Inspecteur des graphismes, choisissez Remplissage couleur ou remplissage
dégradé à partir du menu contextuel Remplissage.
3 Cliquez sur un cadre de couleur et sélectionnez une couleur dans la fenêtre Couleurs.
Pour plus de détails sur la façon de manipuler les remplissages couleur et dégradés,
consultez la section “Utilisation de remplissages couleurs et image” à la page 75.
Remarque : Si vous ajoutez une couleur à l’ensemble du tableau, et que vous sélectionnez une cellule spécifique du tableau, le menu contextuel Remplissage dans
l’Inspecteur des graphismes indique Aucun.
F2645.book Page 99 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMF2645.book Page 100 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM101
6
6 Création de graphiques
Vous pouvez transformer les données de vos
feuilles de calcul en graphiques de qualité. Ce
chapitre présente les éléments de base de la création de graphiques dans Keynote.
Keynote fournit des outils permettant de créer des graphiques attrayants pour
présenter des données numériques. Vous pouvez copier et coller des données à partir
d’une feuille de calcul ou les taper directement dans l’Éditeur de graphiques de
Keynote afin de créer et de modifier vos graphiques dans le canevas.
À propos des graphiques
Les graphiques montrent le rapport entre deux types de données. Par exemple, si
vous représentez la croissance d’une entreprise dans le temps, vous démontrez le
rapport existant entre la taille de l’entreprise et les années qui passent. Si vous repré-
sentez les résultats d’un vote au sein des divers groupes démographiques ayant
participé à ce vote, vous montrez le rapport entre le nombre de personnes ayant fait
un certain choix et l’appartenance de ces personnes à un groupe démographique.
Deux types de données sont représentés dans les graphiques : les séries de données et
les groupes de données.
Dans un graphique de gestion, les bénéfices réalisés dans une région au cours de
quatre trimestres successifs peut être un exemple de séries de données et l’ensemble
des bénéfices régionaux réalisés sur une seule de ces années peut être un exemple de
groupes de données. Dans l’illustration ci-dessous, les séries de données (bénéfices
dans chaque région) se trouvent dans les rangs tandis que les groupes de données
(bénéfices réalisés durant chacune des années) sont situés dans les colonnes. Chaque
valeur prise individuellement (par exemple 17 pour la Région 1, en 2004) est un pointimage.
F2645.book Page 101 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM102 Chapitre 6 Création de graphiques
Les carrés de couleur placés face aux étiquettes de lignes (Région 1 et Région 2) indiquent quelle couleur représente chaque série de données dans le graphique.
L’illustration ci-dessous vous montre ces données dans un graphique à colonnes.
Dans ce graphique, les séries de données sont représentées par des rangs dans
l’Éditeur de graphiques. Les points-image sont représentés par une série de barres de
couleur sombre et une série de barres de couleur claire.
Transposition de séries de données et de groupes de données
Vous pouvez facilement transposer des séries de données et des groupes de données
de rangs en colonnes et vice-versa (et ce sans avoir à ressaisir les données) à l’aide du
bouton Rang / Colonne de l’Éditeur de graphiques.
Ces carrés indiquent la
couleur représentant
chaque série de données.
Les groupes de données contiennent un point-image (une barre) de
chacune des séries de données.
Ces quatre barres représentent une seule série de
données.
La légende du graphique correspond aux deux séries de données.
F2645.book Page 102 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 6 Création de graphiques 103
L’illustration ci-dessous vous présente les données après transposition des groupes de
données et des séries de données.
Dans ce graphique, les séries de données sont maintenant représentées par des
colonnes dans l’Éditeur de graphiques illustré la page 101. Désormais, on est en
présence de quatre séries de données représentées par quatre barres de couleur
différente.
Les séries de données sont représentées différemment selon les types de graphiques
proposés par Keynote.
 Dans les graphiques à colonnes et les graphiques à barres, chaque série de
données est représentée par une série de barres de même couleur.
 Dans les graphiques linéaires, chaque série de données est représentée par une
seule ligne.
Ce bouton transforme les colonnes
de données de l’Éditeur de graphiques en séries de données.
Ce bouton transforme les rangs de
données de l’Éditeur de graphiques
en séries de données.
Ces deux barres représentent une seule série de
données.
Les groupes de données contiennent
un point-image (une barre) de
chacune des quatre séries de données.
F2645.book Page 103 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM104 Chapitre 6 Création de graphiques
 Dans les graphiques à couches, chaque série de données est représentée par une
zone.
 Dans les graphiques sectoriels, un seul groupe de données (formé par le premier
point-image de chaque série) est représenté (quel que soit le premier répertorié
dans l’Éditeur de graphiques)
Ajout de graphiques
Pour placer un graphique dans le canevas :
1 Sélectionnez Insérer > Graphique (ou cliquez sur Graphique dans la barre d’outils).
Un graphique contenant des données d’espace réservé apparaît alors sur la diapo et
l’Inspecteur des graphiques et l’Éditeur de graphiques s’ouvrent.
2 Pour redimensionner le graphique, faites glisser la poignée de sélection.
3 Pour repositionner le graphique, faites-le glisser (évitez de placer le pointeur sur la
poignée de sélection).
4 Pour modifier le type du graphique, choisissez une option dans le menu local de
l’Inspecteur des graphiques.
Vous pouvez également créer un graphique sur une diapo.
Pour créer un graphique dans le canevas :
1 Maintenez la touche Option enfoncée et cliquez sur Graphique dans la barre d’outils.
Huit types de graphiques y sont à votre
disposition.
F2645.book Page 104 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 6 Création de graphiques 105
2 Relâchez la touche Option et déplacez le pointeur au-dessus du canevas jusqu’à ce
qu’il se transforme en réticule.
3 Faites glisser ce pointeur dans le canevas pour créer un graphique de la taille que
vous souhaitez.
Pour conserver les proportions des dimensions d’un graphique, maintenez la touche
Maj enfoncée lors du redimensionnement.
Modification des données d’un graphique
Pour modifier les données d’un graphique, ouvrez l’Éditeur de graphiques et saisissez
vos données manuellement ou en effectuant des opérations de copier-coller à partir
d’Excel, d’AppleWorks ou de tout autre tableur.
Pour ouvrir l’Éditeur de graphiques :
1 Sélectionnez un graphique de la diapo.
2 Choisissez Format > Graphique > Afficher l’Éditeur de graphiques (ou cliquez sur
Modifier les données dans l’Inspecteur des graphiques).
Pour copier des données d’une autre feuille de calcul dans l’Éditeur de graphiques :
1 Ouvrez la feuille de calcul et sélectionnez les cellules que vous souhaiter copier.
2 Choisissez Édition > Copier (ou appuyez sur les touches Commande + C).
3 Sélectionnez la toute première cellule de la première colonne dans l’Éditeur de
graphiques.
4 Choisissez Édition > Coller (ou appuyez sur les touches Commande + V).
Tapez les données que vous
désirez voir apparaître dans votre
graphique directement dans ces
cellules de la feuille de calcul.
Cliquez sur ces boutons pour
insérer un nouveau rang ou
une nouvelle colonne.
Faites glisser les étiquettes pour les réordonner.
F2645.book Page 105 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM106 Chapitre 6 Création de graphiques
Pour modifier le nom du rang ou de la colonne ou encore les données d’une
cellule :
m Double-cliquez sur la cellule ou sur l’intitulé du rang ou de la colonne et apportez vos
modifications.
Pour modifier l’ordre des rangs ou des colonnes dans l’Éditeur de graphiques :
m Faites glisser l’intitulé du rang ou de la colonne vers un nouvel emplacement.
Pour ajouter des rangs ou des colonnes dans l’Éditeur de graphiques, procédez de
la manière suivante :
 Cliquez sur Insérer un rang pour placer un rang au-dessus du rang sélectionné, ou
cliquez sur Insérer une colonne pour placer une colonne à gauche de la colonne
sélectionnée. Si aucun rang ni aucune colonne n’est sélectionné(e), le nouveau rang
ou la nouvelle colonne apparaît respectivement en bas et sur le côté droit du
tableau. (Pour voir apparaître le nouveau rang ou la nouvelle colonne, vous devrez
peut-être appuyer sur la touche Retour ou Tab ou agrandir la fenêtre Éditeur de
graphiques.)
 Sélectionnez n’importe quelle cellule vide, saisissez vos données et appuyez sur
Retour. Un nouveau rang ou une nouvelle colonne est automatiquement créé(e).
Pour effacer un rang ou une colonne :
m Sélectionnez l’intitulé de l’en-tête de rang ou de colonne à effacer et appuyez sur la
touche Suppr.
Mise en forme de graphiques
Vous pouvez redimensionner et repositionner vos graphiques et créer des légendes
sous forme de graphique tout comme vous le feriez avec un objet. Vous pouvez
mettre en forme les éléments du graphique (police, couleurs, étiquettes des axes et
marques de graduation) en fonction de vos préférences. Vous pouvez également
masquer la légende du graphique. La plupart des opérations de mise en forme s’effectuent à l’aide de l’Inspecteur des graphiques.
Pour ouvrir l’Inspecteur des graphiques :
1 Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur (ou cliquez sur Inspecteur dans la barre
d’outils).
2 Dans la fenêtre Inspecteur, cliquez sur le bouton Inspecteur des graphiques.
F2645.book Page 106 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 6 Création de graphiques 107
Vous pouvez de même effectuer bon nombre des tâches décrites dans cette section à
l’aide des menus contextuels.
Pour ouvrir le menu contextuel d’un graphique :
m Maintenez la touche Contrôle enfoncée et cliquez sur le graphique.
Pour masquer la légende du graphique :
1 Sélectionnez votre graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, désélectionnez la case Afficher la légende.
Vous pouvez également sélectionner la légende et appuyer sur Supprimer ; vous
pouvez afficher de nouveau la légende en sélectionnant Afficher la légende dans
l’Inspecteur des graphiques.
Configuration des couleurs des graphiques
Vous pouvez mettre en forme les barres, portions et couches appartenant à chaque
type de graphique tout comme vous mettez en forme un objet dessiné. Vous pouvez
leur attribuer des remplissages couleur, des remplissages dégradés, des remplissages
d’image, des ombres, de l’opacité ou encore différents styles de ligne. Ces attributs se
choisissent dans l’Inspecteur des graphismes.
Pour changer la couleur ou l’image d’une barre, d’une portion ou d’une couche :
1 Sélectionnez l’élément (une barre, une portion ou une couche).
Si vous sélectionnez une barre, toutes les barres de cette série de données sont
sélectionnées.
2 Modifiez les propriétés du graphique comme pour tout autre objet graphique à l’aide
de l’Inspecteur des graphismes.
Pour plus d’informations sur la façon de changer les propriétés des objets, consultez le
chapitre 4, “Modification des propriétés des objets”.
Modification de la police des graphiques
Il est possible de changer les polices et les couleurs du texte pour les étiquettes des
axes, celles des points-image et les légendes.
F2645.book Page 107 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM108 Chapitre 6 Création de graphiques
Pour modifier les polices d’un graphique :
1 Sélectionnez le texte à modifier.
Pour modifier la police de l’ensemble des éléments du graphique, cliquez sur le
graphique afin de le sélectionner. Si vous sélectionnez le texte d’un point-image ou
de l’étiquette d’un axe, tous les textes de ce type sont également sélectionnés. Vous
pouvez modifier séparément la police des légendes du graphique.
2 Choisissez Format > Polices > Afficher les polices (ou cliquez sur Polices dans la barre
d’outils) pour ouvrir le panneau Police.
3 Sélectionnez une police.
Pour obtenir des informations sur la modification des couleurs d’un texte, consultez la
section “Mise en forme des textes à puces et des listes numérotées” à la page 44.
Ajout d’étiquettes et de graduations aux axes
Utilisez la section Axes de l’Inspecteur des graphiques pour mettre en forme le
quadrillage et l’aspect général des axes des graphiques à barres, graphiques linéaires
et graphiques à couches. Vous pouvez choisir la plage des valeurs à afficher le long de
l’axe des valeurs, axe sur lequel se lisent les valeurs des points-image. Dans les graphiques à colonnes (barres verticales), les graphiques linéaires et les graphiques à
couches, l’axe des ordonnées (Y) est l’axe des valeurs. Dans les graphiques à barres
horizontales, l’axe des abscisses (X) est l’axe des valeurs. Les graphiques sectoriels
n’ont pas d’axe des valeurs. Pour en savoir plus sur la mise en forme des graphiques
sectoriels, consultez la section “Graphiques sectoriels” à la page 113.
F2645.book Page 108 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 6 Création de graphiques 109
Afficher ou masquer les bordures et les axes des graphiques :
1 Sélectionnez votre graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Axes si celui-ci n’est pas déjà
sélectionné.
3 Choisissez un ou plusieurs éléments à sélectionner dans le menu local Axes et
bordures.
Un élément est sélectionné lorsqu’il possède une marque de graduation ; choisissez à
nouveau cet élément pour le désélectionner.
Pour configurer la plage des valeurs numériques affichées sur le quadrillage d’un
graphique :
1 Sélectionnez votre graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Axes si celui-ci n’est pas déjà
sélectionné.
3 Pour définir la valeur d’origine du graphique, saisissez un chiffre dans le champ
Minimum (sous Format de l’axe des valeurs).
La valeur minimale ne peut être supérieure à la valeur minimale de l’ensemble de
votre groupe de données.
4 Pour choisir la valeur la plus élevée de l’axe des valeurs, saisissez un chiffre dans le
champ Maximum.
Afficher ou masquer les bordures
et les axes des graphiques.
Sélectionner la plage de valeurs
et le nombre de marques de
graduation du quadrillage.
Choisir le style des étiquettes et
des marques de graduation du
quadrillage du graphique.
Sélectionnez des unités pour
les valeurs du graphique.
F2645.book Page 109 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM110 Chapitre 6 Création de graphiques
La valeur maximum ne peut être inférieure à la valeur maximum de l’ensemble de
votre groupe de données.
5 Pour spécifier le nombre de graduations des axes entre les valeurs minimum et
maximum, saisissez un chiffre dans le champ Intervalles.
Pour afficher la valeur minimale de l’axe des valeurs :
1 Sélectionnez votre graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Axes si celui-ci n’est pas déjà
sélectionné.
3 Sélectionnez Afficher les étiquettes de valeur et Afficher la valeur minimale dans le
menu local de l’axe des valeurs (menu local Axe des Y ou menu local Axe des X selon
le type de graphique).
Un élément est sélectionné lorsqu’il possède une marque de graduation.
Pour spécifier des unités pour les valeurs des axes :
1 Sélectionnez votre graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Axes si celui-ci n’est pas déjà
sélectionné.
3 Sous Format des nombres, tapez du texte dans les champs Préfixe ou Suffixe (ou choisissez un symbole dans les menus locaux).
Placement d’étiquettes de quadrillage et de marques de
graduation
Les menus locaux Axe des X et Axe des Y dans la sous-fenêtre Axes de l’Inspecteur des
graphiques fournissent toute une gamme d’options pour placer des marques de
graduation, des étiquettes et des styles de ligne de quadrillage le long de l’axe des
valeurs ou de l’axe des séries. Les options de ces menus locaux (voir illustration cidessous) varient en fonction du type de graphique sélectionné.
Dans les graphiques à barres verticales (graphiques à colonnes), les graphiques
linéaires et les graphiques à couches, l’axe des ordonnées (Y) est l’axe des valeurs et
l’axe des abscisses (X) est l’axe des séries. Dans les graphiques à barres horizontales,
l’axe des abscisses (X) est l’axe des valeurs. Les menus locaux ci-dessous apparaissent
lorsqu’un graphique à colonnes est sélectionné.
F2645.book Page 110 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 6 Création de graphiques 111
Pour placer des étiquettes de quadrillage et des marques de graduation le long
d’un axe :
1 Sélectionnez votre graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Axes si celui-ci n’est pas déjà
sélectionné.
3 Pour ajouter des étiquettes de quadrillage et des marques de graduation pour l’axe
des séries, choisissez une option dans le menu local Axe des X (pour les graphiques
à barres horizontales, choisissez parmi les mêmes options dans le menu local Axe
des Y).
4 Pour ajouter des étiquettes de quadrillage et des marques de graduation pour l’axe
des valeurs, choisissez une option dans le menu local Axe des Y (pour les graphiques
à barres horizontales, choisissez parmi les mêmes options dans le menu local Axe
des X).
Mise en forme des éléments d’une série de données
Vous pouvez afficher la valeur numérique de chaque point-image d’une série.
Insérez des marques de graduation le long de l’axe des X.
Affichez ou masquez le
quadrillage de l’axe des X.
Choisissez le sens du texte des
étiquettes de l’axe des séries.
Affichez ou masquez les étiquettes de l’axes des séries.
Insérez des marques de graduation le long de l’axe des Y.
Affichez ou masquez le
quadrillage de l’axe des Y.
Affichez ou masquez les
étiquettes de l’axe des valeurs.
F2645.book Page 111 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM112 Chapitre 6 Création de graphiques
Pour ajouter des étiquettes de point-image :
1 Sélectionner un graphique ou un élément d’une série de données.
Pour tous les types de graphiques sauf les graphiques sectoriels, sélectionner un
élément (une barre) d’une série a pour effet de sélectionner la série entière. Dans les
graphiques sectoriels, vous pouvez sélectionner des portions individuelles.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Séries.
3 Choisissez Valeur dans le menu local Réglages de points-image.
4 Pour spécifier le nombre de décimales à afficher, saisissez un chiffre dans le champ
Décimales ou cliquez sur les flèches pour augmenter ou diminuer la valeur.
5 Pour changer l’emplacement des valeurs de points-image, choisissez une option du
menu local Réglages de point-image.
6 Dans le panneau Police (Format > Polices> Afficher les polices) choisissez la police, la
taille de la police et le style des étiquettes de point-image.
S’il s’agit d’un graphique sectoriel, vous pouvez afficher les étiquettes de point-image
sous forme de pourcentage de l’ensemble ou sous forme de valeurs absolues en
sélectionnant ou en désélectionnant l’option Afficher les valeurs des portions en %
dans le menu local Réglages de point-image. Vous pouvez également afficher le nom
des séries.
Certains types de graphiques disposent d’options complémentaires pour la mise en
forme des éléments de séries. Consultez les sections suivantes pour plus de détails sur
les options de mise en forme des graphiques sectoriels, linéaires, à barres et à
couches.
F2645.book Page 112 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 6 Création de graphiques 113
Graphiques sectoriels
Avec les graphiques sectoriels, Keynote ne montre que le premier groupe de données
de l’Éditeur de graphiques (le premier point-image de chaque série de données). Si les
séries de données figurent dans des rangs dans l’Éditeur de graphiques, seule la
première colonne est représentée. Si elles figurent dans des colonnes dans l’Éditeur de
graphiques, seule la première rangée est représentée. Ainsi, un graphique sectoriel
représente un seul groupe de données et chacune de ses portions constitue un
élément de ce groupe. Si d’autres groupes de données sont conservés dans l’Éditeur
de graphiques, ils n’apparaissent pas dans le graphique sectoriel. Vous pouvez repré-
senter n’importe quel groupe de données en le plaçant à la première position de son
rang ou de sa colonne.
Pour sélectionner individuellement les portions d’un graphique sectoriel :
1 Sélectionnez le graphique puis cliquez sur une portion pour la sélectionner.
2 Pour sélectionner d’autres portions, effectuez l’une des opérations suivantes :
 Pour sélectionner toutes les portions, choisissez Édition > Tout sélectionner (ou
appuyez sur les touches Commande + A).
 Pour sélectionner des portions non contiguës, maintenez la touche Commande
enfoncée lorsque vous sélectionnez chacune d’entre elles.
 Pour sélectionner une rangée continue de portions, sélectionnez la première
portion, maintenez la touche Maj enfoncée tout en sélectionnant la dernière
portion.
S’il s’agit d’un graphique sectoriel, vous pouvez afficher le nom de la série en plus des
valeurs des portions.
Pour afficher le nom de la série dans un graphique sectoriel :
1 Sélectionnez le graphique entier ou des portions individuelles
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Séries.
3 Sélectionnez l’option Afficher le nom des séries dans le menu local Réglages de pointimage (un élément est sélectionné lorsqu’une marque de graduation lui est apposée).
4 Choisissez Intérieur ou Extérieur dans le menu local Réglages de point-image.
F2645.book Page 113 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM114 Chapitre 6 Création de graphiques
Vous pouvez séparer des portions individuelles ou toutes les portions du graphique
sectoriel.
Pour séparer des portions individuelles :
1 Sélectionnez individuellement les portions d’un graphique sectoriel. (Pour sélectionner plusieurs portions, maintenez la touche Commande enfoncée et sélectionnez
chacune d’entre elles.)
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Séries.
3 Faites glisser les portions ou le curseur Éloigner jusqu’à ce que les portions soient
séparées à votre convenance.
Vous pouvez également saisir un chiffre dans le champ Éloigner ou utiliser les flèches
pour augmenter ou diminuer la valeur.
Dans les graphiques sectoriels, placez les valeurs
de point-image et les noms de séries à l’inté-
rieur ou à l’extérieur de la portion sélectionnée.
Choisissez un affichage des valeurs sous forme
de pourcentages ou de chiffres simples.
Ajoutez une ombre à chaque
portion ou au graphique sectoriel.
Séparez chaque portion
du graphique sectoriel.
Isolez une portion en utilisant le curseur Éloigner et
en lui attribuant un nom
de série.
F2645.book Page 114 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 6 Création de graphiques 115
Vous pouvez ajouter une ombre à des portions individuelles ou à l’ensemble du
graphique sectoriel. Les portions individuelles auxquelles on a ajouté une ombre
semblent ne pas être sur le même plan.
Pour ajouter une ombre à chaque portion :
1 Sélectionnez le graphique entier ou chacune des portions.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Séries.
3 Choisissez l’option Individuelle dans le menu local Ombre.
4 Choisissez les attributs de l’ombre dans l’Inspecteur des graphismes.
Pour ajouter une ombre au graphique sectoriel tout entier :
1 Sélectionnez votre graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Séries.
3 Choisissez l’option Groupée dans le menu local Ombre.
4 Choisissez les attributs de l’ombre dans l’Inspecteur des graphismes.
Pour plus d’informations, consultez la section “Ajout d’ombres” à la page 81.
Vous pouvez également modifier l’opacité du graphique et des éléments individuels
du graphique (par exemple la légende). Pour plus d’informations, consultez la section
“Ajustage de l’opacité” à la page 83.
Vous pouvez faire pivoter les graphiques sectoriels (par exemple pour placer une
portion donnée tout en haut du graphique).
Pour faire pivoter un graphique sectoriel :
1 Sélectionnez votre graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Séries.
3 Faites glisser la molette Angle de rotation ou saisissez un nombre dans le champ
Angle de rotation (ou encore cliquez sur les flèches).
Graphiques à barres et à colonnes
Vous pouvez ajouter des ombres à chaque série de données ou au graphique tout
entier. Vous pouvez régler l’opacité de l’ensemble du graphique ou d’une série individuelle mais pas l’opacité de barres individuelles. Vous pouvez également ajuster
l’écart entre les groupes de données ou les barres.
F2645.book Page 115 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM116 Chapitre 6 Création de graphiques
Pour ajuster l’écart entre des barres ou des groupes de données individuels :
1 Sélectionnez votre graphique.
2 Dans l’Inspecteur des graphiques, cliquez sur le bouton Séries si celui-ci n’est pas déjà
sélectionné.
3 Pour modifier l’écart entre les barres, saisissez une valeur (ou cliquez sur les flèches)
dans le champ Espaces entre les barres.
4 Pour modifier l’écart entre des groupes de données, saisissez une valeur dans le
champ Espace entre les séries.
La valeur correspond au pourcentage de la largeur de la barre. Réduire l’espace entre
les barres élargissent ces dernières. Vous pouvez également déplacer le pointeur vers
l’un des bords d’une barre jusqu’à ce qu’il se transforme en double flèche puis faire
glisser les bords pour élargir ou rétrécir les barres.
Pour ajouter une ombre à chaque barre :
1 Sélectionnez le graphique ou une de ses barres (la série de données est alors entièrement sélectionnée).
2 Dans la section Séries de l’Inspecteur des graphiques, choisissez Individuelle dans le
menu local Ombre.
Si vous sélectionnez une série de données et que vous choisissez un élément dans le
menu local Ombre, votre sélection s’applique à toutes les séries du graphique.
3 Choisissez les attributs de l’ombre dans l’Inspecteur des graphismes.
Pour plus d’informations, consultez la section “Ajout d’ombres” à la page 81.
Pour ajuster l’opacité d’un graphique :
m Sélectionnez le graphique et faites glisser le curseur Opacité de l’Inspecteur des
graphismes.
Séparez les barres individuelles du graphique.
Séparez les groupes de
données du graphique.
Ajoutez des ombres aux barres
ou aux groupes de données.
F2645.book Page 116 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 6 Création de graphiques 117
Pour plus d’informations, consultez la section “Ajustage de l’opacité” à la page 83.
Graphiques à couches et linéaires
Dans le cas des graphiques à couches et des graphiques linéaires, vous pouvez repré-
senter des points-image par des symboles (cercles, triangles, carrés et losanges).
Pour utiliser un symbole remplaçant les points-image d’une série :
1 Sélectionnez une série de données (couches ou linéaire).
2 Dans la section Séries de l’Inspecteur des graphiques, choisissez un symbole dans le
menu local Symbole de point-image.
3 Sélectionnez un type de remplissage en choisissant l’une des options du menu local
Remplissage du symbole.
Pour en savoir plus sur le remplissage d’image, consultez la section “Utilisation de
remplissages couleurs et image” à la page 75.
Pour régler la couleur et l’ombre de la ligne :
m Utilisez les contrôles Trait et Ombre de l’Inspecteur des graphismes.
Pour plus d’informations au sujet de l’utilisation de l’Inspecteur des graphismes pour
définir la couleur et l’ombre d’un trait et le remplissage des symboles de point-image,
consultez le chapitre 4, “Modification des propriétés des objets”, à la page 75.
Dans cette série, les points-image
sont représentés par des cercles.
Dans cette série, les points-image
sont représentés par des triangles.
Choisissez le symbole qui
représentera les points-image.
Remplissez les symboles de
point-image avec des
couleurs ou des images.
F2645.book Page 117 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMF2645.book Page 118 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM119
7
7 Transitions de diapositive et
compositions d’objet
Ce chapitre décrit le processus d’ajout d’animations et d’effets visuels à votre diaporama à l’aide
de transitions de diapositive et de compositions
d’objet.
Une fois vos diapositives créées et organisées, il est temps de passer à l’assemblage de
votre présentation. Ajoutez de l’animation à votre texte pour impressionner votre
public. Ajoutez des transitions pour que les diapositives s’enchaînent harmonieusement. Utilisez des compositions d’objet dans chaque diapo pour afficher les éléments
un par un au cours de la présentation.
Ajout de transitions entre les diapositives
Keynote vous propose toute une variété de styles de transition. En voici quelques
exemples :
Style de transition Effet
Cube Les diapositives apparaissent sous forme de cube qui tourne sur
lui-même.
Miroir La nouvelle diapo apparaît comme si elle était vue par derrière.
Glissé entrant La nouvelle diapositive recouvre la diapositive à l’écran (vous
pouvez définir la direction de la nouvelle diapo).
Pousser La diapo suivante défile et pousse la diapo précédente en dehors
de l’écran dans la direction spécifiée.
Bascule La diapositive à l’écran tourne sur elle-même et diminue peu à
peu au centre de l’écran et la nouvelle diapo apparaît en tournant sur elle-même.
F2645.book Page 119 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM120 Chapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet
Vous pouvez modifier la durée d’une transition et spécifier le moment où elle
commence (automatiquement ou d’un clic). Les transitions de diapositive se configurent dans l’Inspecteur des diapos.
Pour insérer une transition entre deux diapositives :
1 Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur (ou cliquez sur Inspecteur dans la barre
d’outils) pour ouvrir la fenêtre Inspecteur.
2 Dans la fenêtre Inspecteur, cliquez sur le bouton Inspecteur des diapos.
3 Cliquez sur Transition.
4 Choisissez une option dans le menu local Effet.
5 Si cela est possible, choisissez une option dans le menu local Direction.
6 Pour définir la durée de la transition, saisissez une valeur dans le champ Durée (ou
cliquez sur les flèches).
7 Choisissez une option dans le menu local Commencer la transition.
 L’option Au clic de la souris démarre la transition lorsque vous cliquez pour aller à la
diapo suivante.
Cliquez pour prévisualiser
la transition.
Réglez la durée
de la transition.
Réglez le point de démarrage des transitions en
mode lecture automatique.
Réglez la direction de la transition.
Choisissez le mode de
démarrage de la transition.
Choisissez une transition.
Le bouton Inspecteur des diapos
F2645.book Page 120 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet 121
 L’option Automatiquement démarre la transition après la durée spécifiée dans le
champ Délai.
Important : Chaque transition spécifiée est appliquée uniquement à la diapo sélectionnée. Pour appliquer une transition à une autre diapositive, sélectionnez-la et
répétez le processus ci-dessus.
Remarque : Si vous sélectionnez “Agrandir les diapos pour qu’elles occupent tout
l’écran” dans la sous-fenêtre Diaporama des Préférences Keynote, il est possible que
certaines parties des transitions Cube ou Miroir ne soient pas visibles. Pour vous
assurer que les transitions Cube ou Miroir ne sont pas découpées au cours du diaporama, choisissez Keynote > Préférences, cliquez sur Diaporama et sélectionnez l’option
Réduire pour empêcher le découpage.
Si l’option “Les effets ne peuvent être lus sur cet ordinateur” dans le menu local Effet,
c’est que vous devez disposer d’une carte graphique performante pour utiliser ces
transitions. Pour plus d’informations, consultez l’Aide Keynote.
Création de compositions d’objet
Utilisez les compositions d’objet pour afficher les éléments de la diapositive un par un
(ou par groupes) dans n’importe quel ordre. Vous pouvez par exemple faire en sorte
qu’une image apparaisse à gauche de l’écran et que du texte à puces s’affiche ligne
par ligne ou encore que les différentes parties d’un graphique s’affichent une par une
pour créer un peu de suspense.
Pour créer des compositions, vous devez disposer d’une diapositive terminée et spécifier des réglages de composition pour chaque élément que vous voulez voir
apparaître au fur et à mesure.
Pour configurer une composition d’objet :
1 Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur (ou cliquez sur Inspecteur dans la barre
d’outils).
2 Dans la fenêtre Inspecteur, cliquez sur Inspecteur des compositions puis sur Compo.
entrante ou Compo. sortante.
F2645.book Page 121 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM122 Chapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet
3 Sélectionnez un élément dans la diapo et choisissez une option dans le menu local
Effet.
Vous pouvez sélectionner des objets graphiques, du texte à puces, des étiquettes ou
d’autres objets texte et des fichiers audio placés sur des diapos individuelles (repré-
sentés par une icône d’audio).
4 Si cela est possible, choisissez une option dans le menu local Direction.
5 Choisissez une option dans le menu local Apparition.
6 Pour définir la durée de la transition, saisissez une valeur dans le champ Durée (ou
cliquez sur les flèches).
Après avoir choisi l’effet de chaque élément à animer, vous pouvez facilement réordonner les éléments. Vous pouvez également spécifier si vous souhaitez que chaque
animation démarre automatiquement (au bout d’un temps donné) ou à l’aide d’un
clic.
Remarque : Si vous groupez un objet comportant un effet de composition, l’effet est
supprimé. Séparer un objet groupé comportant une composition supprime l’effet de
composition.
Configurez la durée de
la composition.
Cliquez sur pour prévisualiser la composition.
Utilisez les animations Comp.
entrante pour déplacer les éléments
des diapositives à l’écran, et les
animations Comp. sortante pour
déplacer les éléments hors-champ.
Ouvrez le tiroir Ordre de composition pour réordonner les objets.
Configurez le style d’animation, le
sens et l’ordre de la composition
de chaque objet.
Déplacez les objets sur l’écran ou en
dehors de celui-ci par groupes spécifiques.
F2645.book Page 122 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet 123
Pour composer les objets dans un ordre différent :
1 Dans l’Inspecteur des compositions, cliquez sur Définir les compositions
automatiques.
2 Dans le tiroir Ordre de composition, faites glisser les éléments à l’endroit où vous le
souhaitez pour modifier leur ordre.
Pour spécifier à quel moment animer chaque objet :
1 Dans le tiroir Ordre de composition (cliquez sur Définir les compositions automatiques si le tiroir reste fermé), sélectionnez un élément.
2 Choisissez une option dans le menu local Commencer la composition.
 L’option Au clic de souris démarre la composition lorsque vous cliquez.
 L’option Automatiquement démarre la composition après la durée spécifiée dans le
champ Délai.
 L’option Automatiquement avec vous permet de faire apparaître deux objets en
même temps. Mettez-les à côté dans le volet Ordre de composition et sélectionnez
“Automatiquement avec la composition__”. Ou choisissez Automatiquement après
pour enchaîner deux compositions.
F2645.book Page 123 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM124 Chapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet
Pour afficher plus de deux objets en même temps, vous devez d’abord les regrouper
(consultez la section “Regroupement et verrouillage d’objets” à la page 57).
3 Pour spécifier la durée d’attente entre la fin de la composition précédente et le
démarrage de la composition d’objet suivante, saisissez une valeur dans le champ
Délai (ou cliquez sur les flèches).
La valeur maximum du délai est de 60 secondes. La spécification d’un délai est
possible uniquement si vous avez choisi le mode de démarrage automatique de la
composition (et non le mode “Au clic de la souris”).
Vous pouvez également faire en sorte que les objets quittent la diapositive dans
n’importe quel ordre en sélectionnant certaines options dans la sous-fenêtre Comp.
sortante de l’Inspecteur des compositions. Si la composition est constituée d’éléments
entrant et sortant, vous pouvez mélanger l’ordre d’entrée et l’ordre de sortie de façon
à ce que chaque élément puisse entrer ou sortir avant qu’un autre fasse son apparition à l’écran.
Faites glisser les éléments pour les réordonner.
Choisissez le mode de
démarrage de la composition choisie.
Spécifiez la durée d’attente entre la fin
de la composition précédente et le
démarrage de la composition de l’objet.
F2645.book Page 124 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet 125
Compositions de texte
Vous pouvez également utiliser les compositions pour placer du texte sur des
diapositives ou le faire disparaître. Keynote vous propose des options permettant de
composer du texte ligne par ligne ou caractère par caractère. Vous pouvez réaliser des
compositions de texte pour du texte à puces (espace réservé au corps de texte) ou
pour les zones de texte libres que vous créez.
Pour configurer une composition de texte :
1 Sélectionnez le texte et attribuez-lui un effet, un sens, une durée et un ordre de
composition, comme expliqué dans la section précédente.
2 Choisissez un style d’apparition dans le menu local Apparition.
 En une fois permet de déplacer en même temps l’ensemble du texte dans la zone
de texte.
 Par puce permet de déplacer le texte puce par puce.
 Par groupe de puces permet de déplacer en même temps chaque puce et sa puce
subordonnée.
 Par puce mise en surbrillance met en surbrillance la puce déplacée ; seule la
dernière puce reste en surbrillance.
 Par paragraphe déplace le texte vers des zones de texte libres paragraphe par
paragraphe.
Choisissez le mode d’entrée ou de
sortie du texte sur la diapositive.
Choisissez un effet pour
faire apparaître du texte
ou quitter la diapo.
F2645.book Page 125 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM126 Chapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet
Compositions de tableaux
Les compositions d’objet pour les diapositives dotées de tableaux se créent de la
même manière que les autres types de composition d’objet. Il est cependant possible
d’animer les tableaux en les faisant apparaître à l’écran rang par rang, colonne par
colonne, cellule par cellule et de bien d’autres manières encore.
Pour configurer une composition de tableau :
1 Sélectionnez le tableau et attribuez-lui un effet, un sens, une durée et un ordre de
composition, comme expliqué plus haut.
2 Choisissez une option dans le menu local Apparition.
 En une fois permet de déplacer le tableau comme une entité.
 Par rang permet d’afficher le tableau rang par rang.
 Par colonne permet d’afficher le tableau colonne par colonne.
 Par cellule permet d’afficher le tableau une cellule après l’autre.
 Par contenu de rang permet d’afficher le tableau vide puis d’insérer le contenu de
chaque rang.
 Par contenu de colonne permet d’afficher le tableau vide puis d’insérer le contenu
de chaque colonne.
 Par contenu de cellule permet d’afficher le tableau vide puis d’insérer le contenu
cellule par cellule.
Remarque : Tous les éléments d’un tableau utilisent le même style de composition.
F2645.book Page 126 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 7 Transitions de diapositive et compositions d’objet 127
Compositions de graphiques
À l’instar des compositions de tableaux, les compositions de graphiques vous offrent
plusieurs manières de faire apparaître et disparaître des éléments de graphique au
cours de votre présentation.
Pour configurer une composition de graphique :
1 Sélectionnez le graphique et attribuez-lui un effet, un sens, une durée et un ordre de
composition, comme expliqué plus haut.
2 Choisissez un style d’apparition dans le menu local Apparition.
 En une fois permet de déplacer le graphique comme une entité.
 Arrière-plan d’abord permet de placer en premier lieu les axes du graphique puis
tous les éléments de données (barres, lignes ou couches) en même temps.
 Par série permet de placer les axes du graphique puis les éléments de données, une
série complète après l’autre.
 Par groupe permet de placer les axes du graphique puis les éléments de données,
une série complète après l’autre.
 Par élément de séries permet de placer les axes du graphique puis chaque élément
de données séparément, une série après l’autre.
 Par élément de groupe permet de placer les axes du graphique puis chaque
élément de données séparément, un groupe après l’autre.
Remarque : Tous les éléments d’un graphique (à l’exception de la légende) utilisent le
même style de composition.
Il est possible d’attribuer un style et un ordre de composition à une légende de
graphique. Pour que la légende accompagne le graphique, reliez-la au graphique
avant de configurer le style de composition de ce dernier (consultez la section
“Regroupement et verrouillage d’objets” à la page 57).
F2645.book Page 127 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMF2645.book Page 128 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM129
8
8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Ce chapitre décrit les différentes manières de
partager votre présentation Keynote.
Vous pouvez visionner une présentation Keynote à partir de votre ordinateur, sur
votre moniteur ou sur un grand écran. Il est possible de définir la lecture automatique
de votre diaporama pour l’utiliser sur une borne. Vous pouvez exporter votre présentation sous forme de séquence QuickTime, de présentation PowerPoint, de fichier
Flash ou de document PDF. Vous pouvez également l’imprimer directement depuis
Keynote et choisir parmi toute une gamme de dispositions.
Personnalisation d’une présentation pour votre public
Vous pouvez créer trois types de présentations dans Keynote, selon l’utilisation que
vous souhaitez en faire.
 Le contrôle des présentations en mode Normal s’effectue à l’aide de la souris ou du
clavier. Le mode par défaut d’un diaporama est le mode normal (interactif) sauf si
vous choisissez d’en faire un diaporama à lecture automatique ou un diaporama
utilisant uniquement des liens.
 Les présentations en Lecture automatique progressent automatiquement, comme
un film (dans ce cas, l’intervention d’un utilisateur est impossible). Vous pouvez par
exemple utiliser cette option pour effectuer une présentation dans une borne interactive. Veuillez trouver ci-après des instructions pour créer ces types de
présentations.
 Les présentations en mode Liens uniquement avancent lorsque les utilisateurs
cliquent sur les liens. Veuillez trouver ci-après des instructions pour créer ces types
de présentations.
F2645.book Page 129 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM130 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Présentations à lecture automatique
Il est possible de définir la lecture automatique de votre présentation, par exemple si
vous souhaitez l’utiliser sur une borne interactive.
Dans une présentation à lecture automatique, les transitions ou les compositions
configurées pour démarrer automatiquement démarrent tout comme elles le feraient
avec une présentation classique. Si un diaporama à lecture automatique comprend
des transitions et des compositions configurées pour commencer “au clic de souris”,
elles seront exécutées automatiquement, une fois écoulé le délai spécifié dans les
champs Délai de l’Inspecteur des documents. Les valeurs spécifiées dans les champs
Délai sont appliquées à toutes les transitions et compositions configurées pour
commencer “au clic de souris”.
Bien que les utilisateurs ne puissent interagir avec ce type de présentation, ils peuvent
arrêter les présentations à lecture automatique de la même manière que les autres
types de diaporamas (à l’aide de la touche Échap par exemple). Pour éviter que les
utilisateurs arrêtent une présentation à lecture automatique, ne branchez pas de
clavier.
Pour configurer un diaporama en lecture automatique :
1 Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur, cliquez sur le bouton Inspecteur des documents puis sur Document.
2 Choisissez Lecture automatique dans le menu local Présentation.
3 Pour spécifier le délai entre le moment où vous cliquez et celui où les transitions
commencent, tapez une valeur dans le champ Transitions (ou cliquez sur les flèches).
Le bouton Inspecteur des
documents
Spécifiez le point de démarrage des
effets démarrant “au clic de la souris”.
Choisissez le type
du diaporama.
F2645.book Page 130 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 131
4 Pour spécifier le délai entre le moment où vous cliquez et celui où les compositions
commencent, tapez une valeur dans le champ Compositions (ou cliquez sur les
flèches).
Vous pouvez faire en sorte qu’un document Keynote soit lancé dès son ouverture afin
que la fenêtre Keynote ne s’affiche pas.
Pour lancer d’un document dès son ouverture :
1 Ouvrez le document.
2 Dans la sous-fenêtre Document de l’Inspecteur des documents, cochez la case intitulée “Lire automatiquement une fois ouvert.”
3 Pour lire la présentation en boucle (jusqu’à ce que le spectateur quitte la présentation
en appuyant sur la touche Échap, par exemple), sélectionnez “Lire le diaporama en
boucle.”
4 Choisissez Fichier > Enregistrer.
Présentations comprenant uniquement des liens
Grâce aux liens, vous pouvez créer des commandes permettant de naviguer dans un
diaporama. La Visite guidée d’iWork est un exemple de présentation comprenant
uniquement des liens hypertextes.
Pour créer une présentation comprenant uniquement des liens hypertextes :
1 Configurez un diaporama à l’aide de liens hypertextes permettant de naviguer vers
des diapos déterminées.
Pour plus d’informations sur la création de liens, veuillez consulter la partie “Ajout de
pages Web et de liens” à la page 66.
2 Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur, cliquez sur le bouton Inspecteur des documents puis cliquez sur Document.
3 Choisissez “Liens uniquement” dans le menu local Présentation.
Présentations plein écran
Les présentations plein écran tirent le meilleur parti de la capacité de Keynote à
fournir des graphismes nets et des animations homogènes. Les présentations plein
écran peuvent se faire directement sur l’écran de votre ordinateur, sur un écran secondaire ou sur un grand écran.
F2645.book Page 131 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM132 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Présentation sur l’écran de votre ordinateur
La méthode la plus simple de visionnage d’un diaporama est l’affichage sur l’écran de
votre ordinateur. Ce format est idéal pour un public restreint.
Pour visionner une présentation plein écran sur un écran unique :
1 Ouvrez le document Keynote.
2 Choisissez Afficher > Lancer le diaporama (ou cliquez sur Exécuter dans la barre
d’outils).
3 Pour aller à la diapo ou à la composition d’objet suivante, appuyez sur N ou sur la
barre d’espace (ou cliquez sur la souris).
4 Pour interrompre le diaporama, appuyez sur les touches Échap ou Q.
Remarque : Cliquez sur le bouton Exécuter pour lancer le diaporama à partir de la
diapo sélectionnée. Pour lancer le diaporama à partir du début (même si la première
diapo n’est pas sélectionnée), appuyez sur la touche Option tout en cliquant sur le
bouton Exécuter.
Pour la liste complète des raccourcis clavier, consultez l’annexe A, “Présentation des
raccourcis clavier”, à la page 159.
Présentation sur un projecteur ou sur un deuxième écran
Si votre public est relativement important, il peut être souhaitable de présenter vos
diapos sur un deuxième écran ou de les projeter sur grand écran. De la sorte, vous
pouvez visualiser les informations propres au présentateur (vos notes de diapo ou
l’horloge, par exemple) sur votre écran ; l’assistance voit uniquement le diaporama
projeté sur le deuxième écran. Pour régler ce mode, utilisez une configuration double
affichage.
Il est également possible d’afficher la même présentation sur les deux écrans. Cette
configuration est appelée recopie vidéo.
Important : Connectez le deuxième écran ou le deuxième projecteur en suivant les
instructions de l’un ou l’autre de ces appareils ainsi que les instructions de votre ordinateur (consultez l’aide à l’écran pour la recopie vidéo, écrans ou double affichage).
Vous aurez peut-être besoin de connecter le deuxième écran ou le projecteur pour
réaliser certaines des étapes suivantes.
F2645.book Page 132 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 133
Remarque : Si vous connectez un deuxième écran avec iBooks, seule la configuration
recopie fonctionnera.
Double affichage
La configuration double affichage vous permet de lire votre diaporama sur un écran
et de le contrôler et de visualiser les notes de l’intervenant sur un autre écran.
Pour configurer le double affichage :
1 Choisissez Apple (?) > Préférences Système.
2 Dans les Préférences Système, cliquez sur Moniteurs.
3 Cliquez sur Disposition et suivez les instructions à l’écran.
Si vous ne voyez pas le bouton Disposition, c’est que votre ordinateur détecte seulement un moniteur.
4 Désélectionnez la case Moniteurs en miroir.
Pour lire un diaporama en mode double affichage :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Diaporama.
2 Sélectionnez Présenter sur l’écran principal ou Présenter sur l’écran secondaire.
L’écran principal est l’écran dans lequel apparaît la barre des menus. Si vous choisissez “Présenter sur l’écran secondaire”, vous pouvez personnaliser l’écran principal du
présentateur. Voir la section “Personnalisation de l’écran de l’intervenant” à la page
135.
3 Choisissez Afficher > Lancer le diaporama (ou cliquez sur Exécuter dans la barre
d’outils).
Choisissez l’écran d’affichage des diapositives
pendant un diaporama à
l’aide de la configuration
double affichage.
F2645.book Page 133 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM134 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
4 Faites défiler les diapositives (et les compositions d’objet) en cliquant sur la souris ou
en appuyant sur la barre d’espace.
Pour la liste complète des raccourcis clavier, consultez l’annexe A, “Présentation des
raccourcis clavier”, à la page 159.
Recopie vidéo
Sur certains ordinateurs, l’option de recopie vidéo est intégrée. Si ce n’est pas le cas
du vôtre, vous devrez configurer cette option dans la sous-fenêtre Moniteurs des
Préférences Système.
Pour configurer la recopie vidéo :
1 Choisissez Apple (?) > Préférences Système.
2 Dans les Préférences Système, cliquez sur Moniteurs.
3 Choisissez les mêmes réglages pour les deux écrans dans le champ Résolution et dans
le menu local Couleurs.
4 Cliquez sur Organiser et sélectionnez Moniteurs en miroir.
Pour lire votre diaporama en mode recopie vidéo :
1 Ouvrez le document Keynote.
2 Choisissez Afficher > Lancer le diaporama (ou cliquez sur Exécuter dans la barre
d’outils).
3 Pour aller à la diapo ou à la composition d’objet suivante, appuyez sur la barre
d’espace ou cliquez sur la souris.
Remarque : Keynote offre généralement une lecture sans à-coups des animations.
Néanmoins, étant donné que les deux écrans utilisés en configuration vidéo parallèle
ont des taux de rafraîchissement différents, il se peut que l’image d’un des deux
écrans semble “sauter” ; Keynote ne peut synchroniser qu’au taux de rafraîchissement
d’un écran à la fois.
F2645.book Page 134 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 135
Réglage des options de présentation
Il existe de nombreuses options de présentation (vous pouvez par exemple choisir
d’afficher ou non le pointeur à l’écran et décider de la suite des événements après la
diffusion de la dernière diapo). Il est également possible de configurer l’écran de
l’intervenant de manière à ce qu’il affiche des informations du type temps écoulé et
contenu de la diapo suivante.
Personnalisation de l’écran de l’intervenant
Si vous votre présentation est configurée en mode double affichage, vous pouvez
sélectionner les informations qui s’affichent sur l’écran de l’intervenant et les organiser à votre manière.
Sélectionnez les informations affichées sur l’écran
de l’intervenant.
Sélectionnez pour afficher
les informations de l’intervenant sur un autre écran
(pendant un diaporama, si
vous avez configuré le
double affichage).
Cliquez pour réorganiser
les fenêtres de l’écran de
l’intervenant.
F2645.book Page 135 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM136 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Pour personnaliser l’écran de l’intervenant :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Écran de l’intervenant.
2 Sélectionnez la case Autre écran.
3 Sélectionnez les informations que vous souhaitez voir apparaître sur l’écran de
l’intervenant.
4 Pour personnaliser un peu plus l’écran de l’intervenant, cliquez sur Modifier la disposition de l’affichage.
Contrôle d’une présentation à l’aide du clavier
Vous pouvez utiliser le clavier pour naviguer dans une présentation. Pour obtenir une
liste complète des raccourcis clavier que vous pouvez utiliser pour contrôler la présentation, consultez l’annexe A, “Présentation des raccourcis clavier”, à la page 159.
Au cours de la présentation, une liste de raccourcis clavier utilisables en mode présentation s’affiche à l’écran.
Pour afficher (ou masquer) la fenêtre des raccourcis clavier du présentateur :
m Au cours de la présentation, appuyez sur la touche Aide ou ? de votre clavier.
Au cours de la présentation,
l’autre écran peut afficher la
diapo actuelle et la suivante, le
temps écoulé, le temps restant et
les notes de diapo.
Vous pouvez modifier la disposition de l’affichage de l’intervenant
dans Préférences Écran de l’intervenant. Faites glisser les éléments
souhaités pour les réorganiser.
F2645.book Page 136 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 137
Il est possible de naviguer entre les différentes diapos pendant la présentation à l’aide
du sélecteur de diapos.
Pour ouvrir le sélecteur de diapos lors de la présentation :
m Saisissez un numéro de diapo ou appuyez sur le signe plus (+), égal (=) ou moins(-).
Lorsque le sélecteur de diapos est ouvert, vous pouvez naviguer dans les diapos de
plusieurs manières :
 Pour avancer ou revenir en arrière, cliquez sur les flèches dans le sélecteur de diapos.
 Pour fermer le sélecteur et aller à une diapo en particulier, cliquez sur une vignette
dans le sélecteur de diapos ou saisissez le numéro de la diapo et appuyez sur
Retour.
 Pour fermer le sélecteur sans changer la diapo actuelle, appuyez sur Échap.
Mettre en pause une présentation et la reprendre
Il existe plusieurs autres méthodes pour mettre une présentation en pause.
Pour mettre une présentation en pause, exécutez l’une des actions suivantes :
 Pour mettre en pause (figer) une présentation et afficher la diapo actuelle, appuyez
sur F. Appuyez sur n’importe quelle touche pour reprendre la présentation.
Pendant la présentation, vous pouvez saisir
un numéro de diapositive afin d’ouvrir le
sélecteur de diapos.
F2645.book Page 137 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM138 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
 Pour mettre en pause une présentation et afficher un écran noir, appuyez sur B.
Appuyez sur n’importe quelle touche pour reprendre la présentation.
 Pour mettre en pause la présentation et masquer l’application, appuyez sur H.
Cliquez sur l’icône de Keynote dans le Dock pour relancer la présentation.
Cliquer sur un lien ouvrant une page Web, un courrier électronique ou un fichier met
également la présentation en pause. Pendant que la présentation est en pause de
cette manière, l’icône de Keynote située dans le Dock affiche un bouton de lecture
vert. Cliquez sur l’icône de Keynote dans le Dock pour relancer la présentation. Vous
pouvez également quitter la présentation en cliquant sur l’icône du Dock et en choisissant Quitter le diaporama.)
Pour voir la liste complète des raccourcis clavier disponibles pendant une présentation Keynote, consultez l’annexe A, “Présentation des raccourcis clavier”, à la page 159
ou choisissez Aide >Raccourcis clavier Keynote.
Modifier la taille de la diapo
Pour une lecture de la meilleure qualité possible, la taille de vos diapositives doit être
adaptée à la résolution d’écran du moniteur affichant diaporama. La plupart des
projecteurs utilisent une résolution de 800 x 600 ; les projecteurs dernier cri utilisent
une résolution de 1024 x 768 ou supérieur. La plupart des thèmes de Keynote sont
optimisés pour ces résolutions.
Si vous ne connaissez pas la résolution de votre projecteur, utilisez une grande taille
de diapo ; si celle-ci est trop grande, Keynote la met automatiquement à plus petite
échelle pour l’adapter à votre écran.
Si votre écran propose une résolution supérieure à l’une de ces résolutions, vous
pouvez configurer une taille de diapositive personnalisée pour votre document
Keynote.
Pour changer la taille des diapositives de votre document Keynote :
1 Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur et cliquez sur Inspecteur des documents.
2 Dans l’Inspecteur des documents, choisissez une option dans le menu local Taille de la
diapositive.
F2645.book Page 138 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 139
Vous pouvez également spécifier une taille personnalisée en choisissant Personnaliser
la taille de diapo et en saisissant les dimensions souhaitées dans les champs Largeur
et Hauteur .
Si vous n’êtes pas sûr de la taille ou que vous ne souhaitez pas modifier les dimensions d’origine des diapos dans votre document, Keynote lit les diapos dans leurs
dimensions d’origine ; elles apparaissent au milieu de l’écran et sont entourées d’un
bord noir. Keynote peut également agrandir les diapos pour qu’elles occupent tout
l’écran lors de la lecture du diaporama.
Pour adapter la présentation à l’écran uniquement lors de la lecture :
1 Choisissez Préférences dans le menu Keynote.
2 Cliquez sur Diaporama.
3 Sélectionnez la case Agrandir les diapos pour qu’elles occupent tout l’écran.
En fait, cette option ne modifie pas la taille des diapos de votre document Keynote ;
elle met le document à l’échelle de l’écran. Cette option est susceptible de réduire la
qualité vidéo lors de la lecture. Si vous sélectionnez cette option et que vous utilisez la
transition Cube ou Miroir, n’oubliez pas de sélectionner Réduire pour empêcher le
découpage ; dans le cas contraire, certaines parties de la transition ne seront peut-être
pas visibles.
Modification du comportement du pointeur pendant la
présentation
Vous configurer votre diaporama de façon à ce que le pointeur apparaisse uniquement sur les diapositives contenant des liens ou seulement lorsque vous déplacez la
souris.
Pour spécifier des options de présentation :
1 Choisissez Keynote > Préférences et cliquez sur Diaporama.
2 Choisissez l’une des options dans la fenêtre Afficher le pointeur.
Lors d’un diaporama, vous pouvez afficher ou masquer le pointeur en appuyant sur la
touche C.
F2645.book Page 139 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM140 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Impression de vos diapositives
Vous pouvez imprimer votre diaporama Keynote de diverses manières en fonction de
vos besoins. Vous pouvez imprimer les diapositives avec ou sans leurs notes ou
imprimer uniquement la structure du diaporama.
Pour imprimer des diapositives :
1 Choisissez Fichier > Imprimer.
2 Dans la zone de dialogue Imprimer, choisissez Keynote dans le menu local Copies et
pages.
3 Sélectionnez une option d’impression.
 Diapos individuelles permet d’imprimer une diapo par page.
 Diapos avec notes permet d’imprimer uniquement les titres des diapos ainsi que le
texte à puces de la présentation (soit les mêmes éléments que dans l’affichage
Structure du classeur de diapositives).
 Structure permet d’imprimer uniquement les titres des diapos ainsi que le texte à
puces de la présentation (soit les mêmes éléments que dans l’affichage Structure du
classeur de diapositives).
 Document propose des options permettant d’afficher plusieurs diapos par page.
Sélectionnez des
options de mise en
forme de l’impression.
Choisissez Keynote
dans ce menu local.
Sélectionnez le modèle de
diapositives et de notes
que vous désirez imprimer.
Convertissez le groupe de
diapositives en fichier PDF.
F2645.book Page 140 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 141
Remarque : Pour accélérer la vitesse d’impression des documents, sélectionnez
“Imprimer en qualité brouillon”.
4 Sélectionnez les options de mise en forme qui s’appliquent.
 L’option Ne pas imprimer les arrière-plans de diapo ou les remplissages permet de
ne pas imprimer la couleur de l’arrière-plan ou d’un objet. Le texte clair est imprimé
en noir. Cette option est particulièrement utile pour imprimer des diapositives très
colorées sur une imprimante noir et blanc. Avec des imprimantes en noir et blanc,
les images en couleur sont imprimées avec des niveaux de gris. Avec les imprimantes couleur, les fichiers graphiques importés dans les diapositives sont imprimés
en couleur.
 L’option Imprimer chaque étape de composition permet d’imprimer une image de
diapositive pour chaque étape de composition d’objet. (une diapo présentant trois
étapes de composition sera imprimée sous forme de trois diapositives).
 Inclure les diapos ignorées permet d’imprimer toutes les diapositives du classeur
de diapositives, même si celles désignées comme devant être ignorées.
 L’option Ajouter des bordures aux diapos permet d’imprimer une bordure autour
de chaque diapositive.
 Inclure les numéros des diapos permet d’imprimer en bas de chaque diapositive
son numéro.
Pour imprimer une diapo ou un groupe de diapos spécifique :
1 Choisissez Fichier > Imprimer.
2 Tapez les numéros ou l’intervalle de diapos que vous souhaitez imprimer dans les
champs de texte De et À.
Le numéro de la diapo s’affiche dans le classeur de diapositives.
Exportation dans d’autres formats de visualisation
D’autres options de visualisation vous permettent de partager votre présentation sur
plusieurs plate-formes différentes.
Remarque : Si vous exportez régulièrement vos diaporamas, vous pouvez ajouter un
bouton Exporter à la barre d’outils (choisissez Afficher > Personnaliser la barre
d’outils).
F2645.book Page 141 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM142 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
Documents Flash
Vous pouvez convertir votre diaporama en document Flash et le lire à l’aide du visualiseur Flash.
Pour convertir votre diaporama en document Flash :
1 Choisissez Fichier > Exporter.
2 Sélectionnez Flash puis cliquez sur Suite.
3 Attribuez un nom au fichier et choisissez-lui un emplacement.
4 Cliquez sur Exporter.
Fichiers PDF
Vous pouvez convertir votre présentation en fichier PDF pouvant être visualisé ou
imprimé avec Adobe Acrobat Reader ou tout autre application gérant les PDF. Il existe
deux manières d’enregistrer vos diapos Keynote au format PDF. Pour visualiser le
document PDF en ligne, utilisez la commande Exporter de Keynote. Pour visualiser le
document PDF sur papier, il se peut que vous obteniez de meilleurs résultats en utilisant la commande Imprimer.
Pour créer un fichier PDF à partir de vos diapositives via la commande Exporter :
1 Choisissez Fichier > Exporter.
2 Dans la zone de dialogue d’exportation, sélectionnez PDF.
3 Cliquez sur Suite.
4 Attribuez un nom au fichier et choisissez-lui un emplacement.
5 Cliquez sur Exporter.
Pour créer un fichier PDF à partir de vos diapositives via la commande Imprimer :
1 Choisissez Fichier > Imprimer.
2 Dans la zone de dialogue d’impression, cliquez “Enregistrer comme PDF”.
3 Attribuez un nom au fichier et choisissez-lui un emplacement.
4 Cliquez sur Enregistrer.
F2645.book Page 142 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 143
QuickTime
Vous pouvez convertir votre diaporama en séquence QuickTime contenant toutes les
transitions et compositions d’objet animées. Vous pouvez créer une séquence QuickTime à lecture automatique, avec des transitions et des compositions telles que vous
les avez configurées, ou une séquence QuickTime interactive, que les spectateurs
peuvent visionner à leur propre rythme.
Pour créer une séquence QuickTime à partir de votre présentation :
1 Choisissez Fichier > Exporter.
2 Dans la zone de dialogue d’exportation, sélectionnez QuickTime puis cliquez sur Suite.
3 Choisissez une option dans le menu local Contrôle de lecture.
 Diaporama interactif permet à l’assistance de naviguer dans le diaporama en
cliquant sur Lecture dans les commandes de QuickTime, en cliquant sur la souris ou
en appuyant sur la barre d’espace.
 Avec la fonction Séquence à lecture automatique, l’utilisateur ne peut pas contrôler
la vitesse de lecture du diaporama. Tapez les valeurs dans les champs de durée des
diapos et de durée des compositions pour déterminer la vitesse des compositions
d’objets et le temps d’affichage des diapos à l’écran.
Pour les séquences à lecture automatique, réglez la durée des diapositives
et des compositions d’objet.
Lisez la séquence une seule
fois, plusieurs fois de suite (en
boucle) ou en en boucle dans
les deux sens.
Choisissez une séquence interactive ou
une séquence à lecture automatique.
Choisissez un format de
compression pour optimiser la
taille de votre séquence et la
qualité de la lecture.
Sélectionnez si votre diaporama
comprend une transparence que
vous souhaiter conserver.
F2645.book Page 143 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM144 Chapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama
 Durée de la diapositive permet de spécifier la durée de l’apparition à l’écran de la
diapo entièrement composée après la fin de la composition d’objet.
 Durée de la composition spécifie le nombre de secondes écoulées entre le début
d’une étape de composition et la suivante dans chaque composition d’objet. Il n’y
a pas de décalage entre le moment où une diapositive apparaît à l’écran et la
première étape d’une composition d’objet.
4 Pour une séquence à lecture automatique, vous pouvez choisir une option dans le
menu local Répétition.
5 Dans le menu local Formats, choisissez une qualité de lecture et une taille de fichier.
 Qualité maximale, grand permet de conserver la meilleure qualité de lecture mais
ces séquences sont volumineuses et donc plus difficiles à transférer par courrier
électronique ou sur le Web.
 Film CD-ROM, moyen est indiqué si vous souhaitez utiliser un CD pour envoyer le
diaporama à quelqu’un. Les séquences sont de haute qualité mais la taille des
fichiers est un peu plus petite que celle des séquences de qualité supérieure.
 Les séquences Film Web, petit présentent en général une qualité de lecture infé-
rieure que celles évoquées ci-dessus mais sont de taille suffisamment réduite pour
être partagées sur le Web ou par courrier électronique.
 Personnalisé permet de choisir les réglages de la compression vidéo ou audio dans
QuickTime et donc de contrôler le rapport taille-qualité du fichier.
6 Pour inclure des fichiers audio dans la séquence, sélectionnez “Inclure l’audio”.
7 Si votre diaporama comprend un arrière-plan transparent que vous souhaitez
conserver pour votre séquence QuickTime, sélectionnez Inclure la transparence.
Remarque : Lorsque cette option est sélectionnée, certaines transitions peuvent ne
pas fonctionner correctement .
8 Cliquez sur Suite.
9 Saisissez le titre de votre diaporama, choisissez-lui un emplacement et cliquez sur
Exporter.
F2645.book Page 144 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 8 Affichage, impression et exportation de votre diaporama 145
PowerPoint
Vous pouvez convertir des documents Keynote en fichiers PowerPoint qui pourront
être visionnés et modifiés par les utilisateurs de PowerPoint équipés d’ordinateurs
Windows ou Mac OS.
Pour exporter dans PowerPoint :
1 Choisissez Fichier > Exporter.
2 Sélectionnez PowerPoint puis cliquez sur Suite.
3 Attribuez un nom au fichier et choisissez-lui un emplacement.
4 Cliquez sur Exporter.
Remarque : Windows et Mac OS X n’utilisant pas les graphismes de la même manière,
vous remarquerez peut-être que les graphismes de votre présentation sont légèrement différents si vous ouvrez le document PowerPoint exporté sur un ordinateur
fonctionnant sous Windows.
Fichiers image
Vous pouvez exporter toutes vos diapos sous forme de fichiers image dans divers
formats, comme JPEG, PNG et TIFF.
Pour exporter des diapos sous forme de fichiers image :
1 Choisissez Fichier > Exporter.
2 Sélectionnez Images puis cliquez sur Suite.
3 Sélectionnez une option dans le menu local Format selon la qualité d’image
souhaitée.
Plus la qualité est bonne, plus le fichier sera grand.
4 Pour créer une image différente à chaque étape de la composition, sélectionnez
Générer des images différentes pour chaque étape de la composition.
F2645.book Page 145 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMF2645.book Page 146 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM147
9
9 Création de thèmes et modèles
de diapositive personnalisés
Ce chapitre s’adresse aux personnes qui souhaitent
utiliser les capacités graphiques performantes de
Keynote pour créer leurs thèmes et modèles de
diapositive.
Remarque : Ce chapitre s’adresse aux personnes familiarisées avec les fonctionnalités
de design et de mise en forme de Keynote décrites dans les autres chapitres.
Les thèmes de Keynote sont des ensembles prédéfinis de modèles de diapositive,
d’arrière-plans, de graphiques, de tableaux et de styles de texte. Dans chaque thème,
les modèles de diapositive définissent les attributs de diapositive suivants :
 Position par défaut du texte du titre et du corps de texte
 Graphismes d’arrière-plan
 Polices par défaut
 Styles de puces par défaut
 Position par défaut des graphiques, des tableaux et des images (espace réservé à
l’objet)
 Remplissages d’objet et styles de trait pour les objets dessinés et les tableaux
 Styles de graphiques
 Styles de transition
 Guides d’alignement
Il est possible de modifier tous les attributs évoqués ci-dessus afin de personnaliser
chacun des modèles de diapositive appartenant à un thème. Les modifications apportées à un modèle de diapositive apparaissent sur toutes les diapositives créées à partir
de ce modèle. Vous pouvez modifier un modèle de diapo sans affecter les thèmes par
défaut disponibles dans d’autres documents Keynote.
F2645.book Page 147 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM148 Chapitre 9 Création de thèmes et modèles de diapositive personnalisés
Vous pouvez également modifier et enregistrer entièrement un ensemble de modèles
de diapositive et le personnaliser avec le logo de votre entreprise par exemple, ou le
styliser avec vos créations. Si vous souhaitez enregistrer un ensemble de modèles de
diapositives personnalisés afin de les utiliser dans le cadre d’autres présentations,
consultez la section “Enregistrement des thèmes personnalisés” à la page 156.
Pour utiliser un modèle de diapositive, ouvrez le classeur de modèles de diapositives
et sélectionnez un modèle.
Pour ouvrir le classeur de modèles de diapositive :
m Choisissez Afficher > Afficher les modèles de diapo (ou cliquez sur Afficher dans la
barre d’outils et choisissez Afficher les modèles de diapos).
Une façon simple d’obtenir un modèle de diapositive modifié consiste à importer
dans le diaporama actuel une diapositive ou un modèle de diapositive unique depuis
un autre diaporama.
Pour importer une diapositive ou un modèle de diapositive unique :
1 Ouvrez le document Keynote contenant la diapositive que vous désirez utiliser.
2 Sélectionnez cette diapositive et faites-la glisser à partir du document source dans le
classeur de diapositives du document avec lequel vous travaillez.
Un nouveau modèle de diapositive est créé dans votre diaporamaKeynote. Vous trouverez ce nouveau modèle de diapositive dans le classeur de modèles de diapositive.
Modification de la disposition et de l’arrière-plan des
modèles de diapositive
La solution la plus simple pour créer un modèle de diapositive est de se baser sur le
modèle qui ressemble le plus à ce que l’on souhaite. Faites défiler les diapos du classeur de modèles de diapositive et dupliquez celle qui vous intéresse.
Pour dupliquer un modèle de diapositive :
1 Sélectionnez le modèle de diapositive dans le classeur de modèles de diapositive.
2 Exécutez l’une de ces actions :
 Choisissez Diapo > Nouveau modèle de diapo
 Cliquez sur Nouvelle dans la barre d’outils.
F2645.book Page 148 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 9 Création de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 149
 Appuyez sur la touche Retour de votre clavier
 Choisissez Édition > Dupliquer
Vous pouvez modifier des modèles de diapositive à l’aide de l’Inspecteur des modèles
de diapo.
Pour ouvrir l’Inspecteur des modèles de diapo :
1 Sélectionnez un modèle de diapositive dans le classeur de diapositives.
2 Choisissez Afficher > Afficher l’Inspecteur (ou cliquez sur Inspecteur dans la barre
d’outils) puis cliquez sur le bouton Inspecteur de diapo.
3 Cliquez sur Apparence.
Modification de l’arrière-plan
Pour créer des groupes de diapos associées dans une présentation (par exemple pour
distinguer ou relier divers sujets), vous pouvez notamment insérer un arrière-plan
légèrement différent pour chaque groupe de diapositives. Vous devez pour ce faire
créer un groupe de modèles doté des différents arrière-plans choisis.
Pour modifier l’arrière-plan d’un modèle de diapositive :
1 Dans le classeur de modèles de diapositive, sélectionnez le modèle que vous
souhaitez modifier.
Choisissez une couleur ou
une image d’arrière-plan.
Créez des espaces réservés
aux tableaux, graphiques,
affichages Web et
graphismes importés.
Insérez des zones de titre et de corps de
texte dans vos modèles de diapositive.
Sélectionnez pour que les
objets des diapos se superposent aux objets du
modèle.
F2645.book Page 149 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM150 Chapitre 9 Création de thèmes et modèles de diapositive personnalisés
 Si vous créez un arrière-plan en partant de zéro, nous vous suggérons de commencer
par un modèle vierge.
 Pour conserver une copie du modèle original, exécutez l’une des actions suivantes :
 Choisissez Diapo > Nouveau modèle de diapo
 Cliquez sur Nouvelle dans la barre d’outils.
 Choisissez Édition > Dupliquer
2 Sélectionnez les éléments que vous ne souhaitez pas conserver et appuyez sur la
touche Suppr.
3 Faites vos modifications.
 Utilisez les outils de Keynote pour placer des éléments d’arrière-plan dans le modèle
de diapositive.
 Faites glisser les objets externes souhaités (fichiers média, audio, etc.) du Bureau ou
du navigateur de média dans le canevas.
4 Une fois les éléments insérés à l’endroit voulu, vous pouvez choisir Disposition >
Verrouiller (ou cliquer sur Verrouiller dans la barre d’outils) pour éviter de les déplacer
involontairement au cours de votre travail.
Toutes les modifications (y compris les ajouts de fichiers externes) apportées au
modèle de diapositive apparaissent sur toutes les diapos créées à partir de ce modèle.
Superposition d’objets en arrière-plan et d’objets sur les diapositives
Lorsque vous modifiez un modèle de diapo, vous pouvez placer des objets au-dessus
ou en dessous comme dans une diapo. Tous les objets d’un modèle restent à leur
place, qui se trouve, par défaut, à l’arrière-plan (les objets que vous ajoutez aux diapos
se superposent aux objets dans le modèle). Cependant, vous pouvez choisir de placer
tout objet que vous ajoutez aux diapos individuelles au-dessus ou en dessous des
objets de la couche du modèle.
Les couches d’arrière-plan sont couramment utilisées dans le cas des graphismes de
canal alpha, où les objets de la diapo apparaissent au travers d’une partir de l’image
d’arrière-plan. Pour plus d’informations, consultez la section “Manipulation de cadres
photo (graphismes de canal alpha)” à la page 58.
F2645.book Page 150 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 9 Création de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 151
Pour superposer des objets d’une diapo à ceux de la couche d’un modèle :
1 Insérez des objets dans le canevas du modèle de diapositive, en les positionnant et les
superposant à votre guise.
2 Dans l’Inspecteur des modèles de diapo, sélectionnez “Autoriser la superposition des
objets”.
Remarque : Vous pouvez déplacer des espaces réservés vers l’avant ou vers l’arrière
sur un modèle ou une diapo. Pour plus d’informations, consultez la section “Redimensionnement, déplacement et superposition d’objets” à la page 54.
Ajout de guides d’alignement
Vous pouvez créer vos guides d’alignement afin de vous aider à insérer votre texte et
vos graphismes de manière harmonieuse dans chaque diapositive. Les guides
d’alignement créés dans un modèle de diapositive sont disponibles lorsque vous
insérez des objets sur n’importe quelle diapositive utilisant ce modèle.
Pour créer des guides d’alignement dans un modèle de diapositive :
1 Sélectionnez le modèle de diapositive dans lequel vous souhaitez ajouter des guides
d’alignement.
2 Choisissez Afficher > Afficher les règles.
3 Placez le pointeur sur une règle et faites glisser le guide d’alignement jaune à
n’importe quel endroit du canevas.
Dispositions et styles pour titres et corps de texte
Les styles par défaut des zones de titre et de corps de texte sont définis dans le
modèle d’une diapo. Pour configurer les zones de titre et de corps de texte par défaut
d’un modèle de diapositive, vous devez au préalable les insérer dans ce dernier, puis
sélectionner le texte et configurer ses attributs à l’aide des sous-fenêtres Inspecteur,
comme vous configureriez les attributs de texte de n’importe quelle diapositive.
Quand vous changez des réglages de texte, vous pouvez les prévisualiser en créant
une diapositive dans le classeur de diapositives, en les appliquant à cette dernière et
en les testant avec du texte.
Pour insérer des zones de titre et de corps de texte dans un modèle de diapositive
sélectionné :
1 Ouvrez l’Inspecteur des modèles de diapo et cliquez sur Apparence (si cette option
n’est pas déjà sélectionnée).
F2645.book Page 151 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM152 Chapitre 9 Création de thèmes et modèles de diapositive personnalisés
2 Pour ajouter une zone de titre, sélectionnez la case Titre.
3 Pour ajouter une zone de corps de texte, sélectionnez la case Corps.
Selon le thème et le modèle, le style de texte par défaut peut contenir des puces. Pour
configurer un style sans puces par défaut, consultez la section “Mise en forme des
textes à puces et des listes numérotées” à la page 44.
4 Pour inclure un texte de sous-titre, redimensionnez la zone de corps de texte et
insérez-la sous la zone de titre.
5 Redimensionnez et réorganisez vos zones de texte.
6 Sélectionnez le texte de l’espace réservé et mettez-le en forme en appliquant les
styles que vous préférez.
Dans la zone de corps de texte, vous pouvez définir des attributs pour jusqu’à 5
niveaux de texte à puces.
Vous pouvez configurer les marqueurs de mise en retrait pour spécifier la mise en
retrait de chaque niveau de texte et l’espace à appliquer entre la puce et le texte.
Pour définir des tabulations de texte à puces :
1 Choisissez Afficher > Afficher les règles.
2 Pour configurer la mise en retrait de texte à puces :
a Sélectionnez une puce.
b Dans la règle du haut du canevas, repérez le marqueur en forme de carré bleu
aligné sur la puce sélectionnée.
c Faites glisser le marqueur à l’endroit où vous souhaitez mettre la puce en retrait.
3 Pour déterminer la distance entre la puce et le texte qui lui est associé :
a Sélectionnez une puce.
b Dans la règle du haut du canevas, repérez le marqueur bleu rectangulaire aligné sur
le texte de la puce sélectionnée.
Ce marqueur définit la mise
en retrait de la puce.
Ce marqueur définit la
distance entre la puce et
son texte.
F2645.book Page 152 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 9 Création de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 153
c Faites glisser le marqueur afin de modifier l’espace entre la puce et son texte.
Application des modifications au cours du travail
Au cours de votre travail sur un modèle de diapositive, vous pouvez tester vos modifications sur une diapo normale afin d’avoir une meilleure idée de la nouvelle
disposition. En faisant un va-et-vient entre la diapositive “test” et le modèle de diapositive, il est possible de procéder à des ajustements précis, par exemple de rallonger
ou de raccourcir les traits, ou d’ajouter plusieurs niveaux de retrait. Afficher le texte
d’une diapo s’avère particulièrement utile pour ajuster les taquets de tabulation et les
espaces entre les lignes.
Pour créer une diapositive de test dans le classeur de diapositives, vous devez créer
une diapo à partir du modèle ; si vous effectuez des changements à la diapo rempla-
çant le modèle, réappliquez le modèle à la diapositive de test à chaque nouvelle
modification.
Pour réappliquer le modèle de diapositive à une diapositive dans le classeur de
diapositives :
m Sélectionnez la diapositive dans le classeur et choisissez Format > Revenir au format
du modèle pour la diapo.
Configuration des transitions par défaut
Il est possible de spécifier un style de transition par défaut pour tous les modèles de
diapositive. Les diapos créées à partir de ce modèle utilisent le style spécifié pour
passer aux diapos suivantes.
Pour choisir le style de transition par défaut d’un modèle de diapositive :
1 Sélectionnez le modèle de diapositive dans le classeur de modèles de diapositive.
2 Dans la sous-fenêtre Transition de l’Inspecteur des modèles de diapo, choisissez un
style, un sens et une vitesse de transition.
Pour plus d’informations sur les transitions de diapositives, voir la section “Ajout de
transitions entre les diapositives” à la page 119.
F2645.book Page 153 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM154 Chapitre 9 Création de thèmes et modèles de diapositive personnalisés
Modification des styles par défaut du texte et des objets
Il est possible de modifier les attributs par défaut d’objets tels que des figures, des
zones de texte, des tableaux et des graphiques. Vous pouvez par exemple spécifier
que chaque fois que vous cliquez sur Tableau dans la barre d’outils, le tableau par
défaut contient un certain nombre de rangs et de colonnes, avec un en-tête et un
corps de texte présentant une certaine police et des bordures mises en forme dans
une couleur et une épaisseur de ligne spécifiques.
Vous pouvez définir les polices, les couleurs, l’opacité, les ombres, etc. par défaut des
zones de texte et des figures. Vous pouvez spécifier le type de graphique (sectoriel,
linéaire, etc.) par défaut. Les attributs par défaut doivent être configurés individuellement pour chaque type de graphique.
Vous devez tout d’abord créer l’objet afin qu’il présente les attributs par défaut
souhaités puis définir les propriétés à utiliser par défaut pour le modèle actuel ou
pour tous les modèles du thème.
Pour configurer les attributs par défaut des zones de texte libres, des figures et des
graphismes :
1 Dans le classeur de diapositives, créez une diapositive sur le modèle de diapositive
que vous êtes en train de concevoir.
2 Placez une zone de texte, une figure ou un graphisme sur le canevas.
3 Appliquez les propriétés que vous souhaiter utiliser par défaut aux attributs de
l’élément.
a Pour une zone de texte, saisissez du texte dans la zone concernée, sélectionnez le
texte puis réglez ses attributs.
b Pour une figure ou un graphisme, sélectionnez l’objet concerné et réglez ses
attributs.
4 Une fois l’élément mis en forme comme vous le souhaitez, configurez ses propriétés
en propriétés par défaut en le sélectionnant et en exécutant l’une des actions
suivantes :
 Pour attribuer de nouvelles propriétés par défaut uniquement au modèle de diapositive sur lequel vous travaillez, choisissez Format > Avancé > Définir [un objet] pour
le modèle actuel.
F2645.book Page 154 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 9 Création de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 155
 Pour attribuer de nouvelles propriétés par défaut à tous les modèles de diapositive
du thème, choisissez Format > Avancé > Définir [un objet] pour tous les modèles.
5 Supprimez la zone de texte, la figure ou le graphisme de la diapositive.
Pour choisir les attributs de tableau par défaut :
1 Dans le classeur de diapositives, créez une diapositive sur le modèle de diapositive
que vous êtes en train de concevoir.
2 Insérez un tableau dans le canevas.
3 Sélectionnez le tableau et choisissez ses attributs. Pour plus d’informations, consultez
la section “Création de tables” à la page 87.
Important : Un tableau contient quatre zones différentes de mise en forme : l’en-tête
de rang, l’en-tête de colonne, les bordures intérieures et les bordures extérieures. Pour
effectuer des modifications, vous devez configurer tous les éléments d’une zone de
mise en forme. Par exemple, pour définir une nouvelle configuration par défaut des
en-têtes de rangs, vous devez modifier toutes les cellules de l’en-tête de rang (et pas
seulement une cellule).
4 Une fois le tableau mis en forme comme vous le souhaitez, configurez les nouvelles
propriétés en propriétés par défaut en sélectionnant le tableau et en exécutant l’une
des actions suivantes :
 Pour que les attributs du tableau soient les attributs par défaut du modèle actuel,
choisissez Format > Avancé > Définir un tableau pour le modèle actuel.
 Pour que les attributs du tableau soient les attributs par défaut de tous les modèles
du thème actuel, choisissez Format > Avancé > Définir un tableau pour tous les
modèles.
5 Éliminez le tableau de la diapositive.
Pour choisir les attributs de graphique par défaut :
1 Dans le classeur de diapositives, créez une diapositive sur le modèle de diapositive
que vous êtes en train de concevoir.
2 Insérez un graphique dans le canevas.
3 Sélectionnez le graphique et configurez ses attributs. Pour plus d’informations,
consultez la section “Création de graphiques” à la page 101.
F2645.book Page 155 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM156 Chapitre 9 Création de thèmes et modèles de diapositive personnalisés
4 Pour définir les attributs par défaut d’un autre type de graphique, copiez le graphique
et collez-le dans une nouvelle diapositive, modifiez son type et configurez ses attributs. Répétez cette opération pour chaque type de graphique.
5 Une fois tous les graphiques mis en forme comme vous le souhaitez, sélectionnez-les
un par un et configurez les nouvelles propriétés en propriétés par défaut en effectuant l’une des opérations suivantes :
 Pour que les attributs du graphique soient les attributs par défaut du modèle actuel,
choisissez Format > Avancé > Définir [un graphique ] pour le modèle actuel.
 Pour que les attributs du graphique soient les attributs par défaut de tous les
modèles du thème actuel, choisissez Format > Avancé > Définir [un graphique ] pour
tous les modèles.
 Pour que le type du graphique soit le type par défaut de tous les modèles du thème
actuel, choisissez Format > Avancé > Faire de [graphique] le type de graphique par
défaut.
6 Dans la zone de dialogue qui s’affiche, spécifiez le nombre total de séries pour
lesquelles vous définissez des attributs.
7 Supprimez les graphiques des diapositives.
Enregistrement des thèmes personnalisés
Si vous modifiez les modèles de diapositive d’un thème et que souhaitez réutiliser ces
modifications dans d’autres présentations, vous pouvez enregistrer le thème modifié
en tant que thème personnalisé. Une fois votre thème personnalisé enregistré, il
apparaît dans le Sélecteur de thèmes. Lorsque vous sélectionnez votre thème personnalisé, il contient également tous les modèles de diapositive que vous avez définis.
Pour enregistrer le thème actuel en tant que thème personnalisé :
1 Choisissez Fichier > Enregistrer le thème.
2 Attribuez un nom au thème et choisissez-lui un emplacement.
3 Si vous avez ajouté de l’audio ou des séquences et que vous souhaitez les incorporer
au thème, sélectionnez Copier l’audio et la vidéo dans le document (vous devrez peut-
être cliquer sur le triangle d’affichage de la zone de dialogue pour afficher la case).
Remarque : Le document devient beaucoup plus volumineux lorsque vous y ajoutez
des fichiers média.
F2645.book Page 156 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMChapitre 9 Création de thèmes et modèles de diapositive personnalisés 157
4 Cliquez sur Enregistrer.
Les thèmes personnalisés sont enregistrés dans le dossier Thèmes de votre disque dur
([Départ]/Bibliothèque/Application Support/iWork/Keynote/Themes). Seuls les thèmes
de ce dossier apparaissent dans le sélecteur de thèmes. Si vous conservez votre thème
à un autre emplacement, vous pouvez l’ouvrir sous forme de document vide de
Keynote et utiliser celui-ci directement pour créer un diaporama.
Retour au thème original par défaut
Si vous avez modifié des modèles de diapositive dans un document et que vous
souhaitez revenir au thème original par défaut, réappliquez le thème à votre
document.
Pour revenir au thème par défaut :
1 Choisissez Fichier > Choisir un thème.
2 Dans le Sélecteur de thèmes, sélectionnez le thème d’origine et la taille de la
présentation.
3 Assurez-vous que Appliquer les modif. aux thèmes par défaut n’est pas sélectionné.
4 Cliquez sur Choisir un thème.
Création d’un thème personnalisé
Si vous désirez créer un thème entièrement nouveau et non pas en créer à partir d’un
des thèmes Keynote, le plus facile est d’ouvrir un nouveau document Keynote contenant un seul modèle vierge de diapositive. Effacez du document tous les autres
modèles de diapositive. Voici quelques astuces :
 Commencez par créer et insérer des éléments d’arrière-plan partagés ainsi que les
zones de corps de texte et de titre.
 À l’aide d’une diapositive échantillon, testez vos dispositions de texte afin de vous
assurer que les lignes du texte sont toutes visibles. Lorsque vous configurez la taille
et le positionnement d’une zone de corps de texte, réfléchissez au nombre de puces
que vous désirez y insérer.
 Avant de créer des modèles de diapositive, configurez l’ensemble des attributs de
texte et d’arrière-plan.
F2645.book Page 157 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM158 Chapitre 9 Création de thèmes et modèles de diapositive personnalisés
 En vous basant sur des copies du modèle de diapositive d’origine, créez de
nombreuses dispositions différentes de corps de texte et de titre. Les nouveaux
modèles de diapositive créés à partir de copies du premier modèle héritent automatiquement de tous ses attributs de texte et d’arrière-plan. Il vous suffira ensuite
d’ajuster les dispositions des zones de texte (vous pourrez par exemple supprimer la
zone de titre et agrandir la zone de corps de texte afin de créer un modèle de
diapositive “pur corps de texte”).
 Créez dans le classeur de diapositives des diapositives échantillon à partir de chaque
modèle que vous créez et insérez des zones de texte libre, des figures ou des images
dans chacune d’entre elles si vous souhaitez que les attributs d’objet par défaut
soient différents dans les divers modèles de diapositive. Si vous voulez configurer les
mêmes attributs d’objet par défaut pour tous les modèles, vous n’aurez besoin de
procéder ainsi que pour un seul modèle de diapositive.
 Créez huit diapos échantillon dans le classeur de diapositives à partir de chacun de
vos modèles de diapositive. Créez un graphique dans une diapositive puis copiez-le
et collez-le dans chaque diapositive. Puis convertissez chaque graphique en un type
de graphique différent et définissez sa taille et sa position. Effectuez cette opération
avant de définir les styles de graphique par défaut à l’aide du menu Format.
F2645.book Page 158 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM159
A Annexe
A Présentation des
raccourcis clavier
Ce tableau présente les touches sur lesquelles vous
devez appuyer pour contrôler une présentation.
Pour exécuter cette action
Appuyez sur les touches suivantes (ou
saisissez en toutes lettres)
Navigation
Aller à la composition suivante Barre d’espace, N, Retour, Page suiv., Flèche
droite, Flèche vers le bas, Maj + Flèche droite*
Aller à la diapositive suivante Crochet fermant (]), Maj + Page suiv.*, Maj +
Flèche vers le bas*
Aller à la composition précédente Crochet ouvrant ([), Maj + Page préc.*, Maj +
Flèche gauche*
Aller à la diapositive précédente P, Flèche gauche, Page préc., Suppr, Flèche vers
le haut, Maj + Flèche vers le haut*
Aller à la première diapositive Début
Aller à la dernière diapositive Fin
Revenir aux diapos déjà consultées Z
Quitter la présentation Échap, Q, x-. (Commande + point), . (point)
Sélecteur de diapos
Aller à une diapo précise dans le navigateur
de diapos
[Numéro de la diapo}
Aller à la diapo suivante dans le Sélecteur de
diapos
Plus (+), égal (=)
Aller à la diapo précédente du navigateur de
diapos
Tiret (-)
Aller à la diapo actuelle et fermer le navigateur de diapos
Retour, Entrée
*Pour utiliser ces touches sans devoir appuyer sur Maj, activez le verrouillage des
majuscules.
F2645.book Page 159 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM160 Annexe A Présentation des raccourcis clavier
Pour la liste complète des raccourcis clavier, choisissez Aide > Raccourcis clavier
Keynote.
Fermer le navigateur de diapos Échap
Écran de l’intervenant
Réinitialiser la minuterie R
Faire défiler les notes vers le haut U
Faire défiler les notes vers le bas D
Autres
Masquer la présentation et afficher la dernière
application utilisée
H
Suspendre la présentation F (pour reprendre la lecture appuyez sur
n’importe quelle touche)
Suspendre la présentation et afficher un écran
noir
B (pour reprendre, appuyer sur n’importe quelle
touche )
Afficher ou masquer le pointeur C
Afficher ou masquer la fenêtre des raccourcis
clavier du présentateur
Point d’interrogation (?), barre oblique (/), Aide
Pour exécuter cette action
Appuyez sur les touches suivantes (ou
saisissez en toutes lettres)
*Pour utiliser ces touches sans devoir appuyer sur Maj, activez le verrouillage des
majuscules.
F2645.book Page 160 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM161
B
B Vue d’ensemble des
Inspecteurs
Inspecteur du document
Inspecteur de diapo
Pour afficher l’Inspecteur
des modèles de diapo,
sélectionnez un modèle
de diapositive dans le
classeur de diapositives.
F2645.book Page 161 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM162 Annexe B Vue d’ensemble des Inspecteurs
Inspecteur des compositions
Inspecteur du texte
F2645.book Page 162 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMAnnexe B Vue d’ensemble des Inspecteurs 163
Inspecteur des graphismes
Inspecteur des mesures
F2645.book Page 163 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM164 Annexe B Vue d’ensemble des Inspecteurs
Inspecteur des tableaux
Inspecteur de graphiques
F2645.book Page 164 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMAnnexe B Vue d’ensemble des Inspecteurs 165
Inspecteur des liens
Inspecteur QuickTime
F2645.book Page 165 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMF2645.book Page 166 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM167
Index
> symbole (dans les
commandes de
menu) 14
A
adaptation de diapositives
à l’écran. Voir
découpage
affichage en mode
navigateur 19
affichage en mode
structure 22
impression 24, 140
affichage Web 66
affiche 65
aide 14–15
aide à l’écran 15
ajout
graphiques 104
Ajuster 79
alignement
objets 35–38
puces 49
texte 46
animation 64
texte 125
Voir également
compositions
d’objet
annulation 73
AppleWorks
importation depuis 29,
53
Appliquer les
modifications aux
thèmes par
défaut 157
arrière-plans
cellule d’un tableau 98
diapositive 72
modèle de
diapositive 149
assistance technique 15
audio 39, 59, 62, 65
axes (des
graphiques) 109–
111
B
Barre d’outils
personnalisation 26
barre d’outils
à propos de 25
bords
cellules d’un tableau 97
bordures 80
graphiques 109
bornes 31, 129
C
cadres 58
cadres photo 58
canevas 18
Carte de référence
rapide 15
case Activer comme
lien 68
case Agrandir les diapos
pour qu’elles
occupent tout
l’écran 139, 121
case Ajuster
automatiquement
au contenu 95
case “Autoriser la
superposition des
objets” 151
case Autre écran 136
case Conserver les
proportions 85
case “Inclure l’audio” 144
case “Inclure la
transparence” 144
case “Lire
automatiquement
une fois
ouvert” 131
cellules. Voir cellules de
tableau
cellules d’un tableau
fusion ou division 93
sélection 88
cellules des tableaux
alignement du texte 96
Index
F2645.book Page 167 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM168 Index
cellules du tableau
suppression du
contenu 91
chiffres
graphiques 109
listes 49
classeur de diapositives 19
clavier
raccourcis 138
Commande Aller à 39
Commande Avancer d’un
plan 55
Commande Reculer d’un
plan 55
commentaire 62
compositions. Voir
compositions
d’objets
compositions d’objet 121–
127
configuration du double
affichage 133
coordonnées X et Y 85
copie
audio et séquences
dans un
document 60
d’audio et de vidéo
dans un
document 39
images thématiques
dans un
document 40
copie de sauvegarde
version précédente 40
corps de texte 32
ajout à un modèle de
diapositive 151
couleur
arrière-plan de la
diapositive 72
dégradés 77
enregistrement pour un
usage ultérieur 76
graphiques 107
objets 76, 77
texte 46
couleur de remplissage 77
couleurs en dégradé 77
création
tableaux 87, 104
D
découpage 52, 121, 139
défaut
retour 157
déplacement d’objets 85
Voir également
compositions
d’objet
dessiner
objets 51
diaporamas
types 31, 129
diapos
mise en retrait 21
suppression 21
diapos à défilement
automatique 31,
129
Consultez également
présentations à
lecture
automatique
diapositives
afficher et masquer 21
ajout 31
arrière-plans 72
déplacement 21
ignorer 21
modèles 32, 71
organisation 19
Dimensions d’origine 79,
85
dispositions 151
documents
impression 140
documents Flash 142
E
écran de
l’intervenant 135–
137
écrans (moniteurs)
configuration 132
Éditeur de
graphiques 105–
106
effets. Voir transitions,
compositions
d’objet
Encart de marge 48, 96
enregistrement
audio et séquences 60
audio et vidéo 39
documents 39
images thématiques 40
en-têtes (pour
tableaux) 93
Voir également titres
espace autour du texte
(Encart de
marge) 48
F2645.book Page 168 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMIndex 169
espace réservé à
l’objet 71, 149
Étirer 79
Excel
importation depuis 53
exportation de documents
Keynote 141–145
extrémités 80
F
faire pivoter des objets 55,
84, 115
Fenêtre Couleurs 28, 75
Fermeture du
diaporama 69
feuilles de calcul 105
fichiers multimédias 60
Fichiers PDF 53
fichiers PDF 142
figures 51–52
flèches
en tant qu’extrémités
de ligne 80
figures 51
G
graphiques 101–117
composition section par
section 127
mise en forme 106
graphiques. Voir
graphiques
graphiques à barres 115–
117
graphiques linéaires 117
graphiques sectoriels 113–
115
graphismes
ajout 35
ajout à des cellules de
tableau 98
ajouter à des objets 78
graphismes de canal
alpha 58
guides d’alignement 35–
38
ajout aux modèles de
diapositive 151
I
ignorer des
diapositives 21
image
formats de fichiers 51
images
ajout 53
Utilisation de fichiers
PDF en tant
que 53
Importation
documents PowerPoint
ou
AppleWorks 29
importation
fichiers graphiques 53
séquences 64
impression
affichage en mode
structure 24
indicateur de
découpage 95
insérer
graphiques 104
insertion
graphismes 35
images 53
insertion de
tableaux 87
Inspecteur des
compositions 121
–127
Inspecteur des diapos 72,
120
Inspecteur des
documents 62,
130, 131
Inspecteur des
graphiques 104,
105–112
Inspecteur des
graphismes 77–
83, 98, 116
Inspecteur des liens 67–69
Inspecteur des
mesures 84–85
Inspecteur des
tableaux 87–96
Inspecteur du texte 45–48
Inspecteur QuickTime 65
Inspecteurs 161–165
compositions 121–127
diapos 72, 120
documents 62, 130, 131
général 27
Graphique 104, 105–112
graphismes 77–83, 98,
116
liens 67–69
mesures 84–85
QuickTime 65
tableaux 87–96
texte 45–48
interligne 46
texte 46
F2645.book Page 169 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM170 Index
Internet 66
iPhoto 52
iTunes 60, 62
L
lecture d’un
diaporama 41, 136
liens 66–70
lignes 80
M
masquage d’images 56–
57
masquer des
diapositives 21
menu local Apparition 126
menu local Lier vers 68
menu local Remplissage
du symbole 117
Menu local Trait 97
menu local Trait 80
menus
contextuels 28
menus contextuels 28
Voir menus contextuels
mettre en pause une
présentation 137
mise en forme
bords d’une cellule 97
graphiques 106
tableaux 91
texte des
graphiques 107
textes à puces et listes
numérotées 44
mise en retrait
diapos 21
texte 49
modèles 71
modèles de
diapositive 147–
153
modèles de
diapositives 32
Modifier la disposition de
l’affichage 136
molette angle 78, 82
moniteurs. Voir écrans
Mosaïque 79
musique 59
N
Navigateur de média 52,
60
ne plus masquer une
image 57
niveau
d’agrandissement
19
notes
création et affichage 24
numéros
des diapositives 69, 71,
137, 141
numéros de
diapositive 69, 71,
137, 141
numéros de pages. Voir
numéros de
diapos
O
objets
ajout de graphismes 78
ajouter des ombres 82
couleur 77
déplacement 54, 85
dessiner 51
faire pivoter 55, 84
redimension 55
redimensionnement 85
réglage de l’opacité 83
regroupement 57
superposition 55
verrouillage 36
ombres 82
opacité 82, 83
organisation des
diapos 19, 38
P
pages Web 66–70
palette de couleurs 76
Panneau des polices 27
par défaut, modification
graphiques 155
nouveaux
documents 30
tableaux 155
texte 154
transitions 153
personnalisés
enregistrement des
thèmes 156
pointeur 70
polices
modification 45, 107
PowerPoint
exportation dans 145
importation depuis 29
Préférences
sous-fenêtre
Diaporama 70,
121, 133
F2645.book Page 170 Thursday, January 13, 2005 8:01 PMIndex 171
sous-fenêtre
Général 23, 30,
40, 70
sous-fenêtre
Règles 36–38
Préférences du
diaporama 70,
121, 133
Préférences Général 23,
30, 40, 70
Préférences Règles 36–38
Préférences Système 133,
134
présentations
afficher ou masquer le
pointeur au
cours 70
configuration des
écrans 131–136
contrôle à l’aide du
clavier 138
lecture automatique 31,
129, 130
liens uniquement 31,
131
présentations à lecture
automatique 31,
129, 130
présentations à liens
uniquement 31
Présentations comprenant
uniquement des
liens 131
proportions 85
puces
adapter au texte 49
alignement 49
modification du
symbole 48
réorganisation 24
sélection 23
Q
QuickTime 143
R
raccourcis
clavier 28
raccourcis clavier 28, 136,
138, 159–160
Recopie vidéo 134
redimensionnement des
objets 85
réglages de la lecture de
fichiers
multimédias 65
règles 35–38
réglage des
tabulations 49
regroupement d’objets 57
Remplir 79
remplissages image 78
reprendre une
présentation en
pause 137
rognage. Voir masquage
S
sélecteur de diapos 137
Sélecteur de thèmes 30,
156
séquences 60, 64, 65
séries et groupes de
données 101–103
superposition d’objets 55,
150
suppression de
diapositives 21
symbole + (indicateur de
découpage) 52,
95
Système
Préférences 133, 134
T
tableau
cellules, ajuster
automatiquement
au contenu 95
cellules,
redimensionneme
nt 95
insertion de rangs et de
colonnes 91
tableaux 87–99
composition section par
section 126
insertion de rangs et de
colonnes 91
sélection 88
supprimer des rangs ou
des colonnes 93
tabulations 49–51
taille
diapos 30, 138
taille de la
présentation 30,
138
texte
ajout à un modèle de
diapositive 151
ajout de puces 33
F2645.book Page 171 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM172 Index
ajouter à des figures 52
ajout sans puces 43
ajustement de
l’interligne 46
alignement 46
animation 125
graphiques 107
modification de la
couleur 46
modification de la
police 45
tableaux 96
texte à puces
ajout 33
thèmes
copie des images
thématiques dans
un document 40
modification 30, 147–
158
réglage du thème par
défaut des
nouveaux
documents 30
restaurer les styles par
défaut 73
sélection 29
utilisation de plusieurs
thèmes dans un
document 38
titres
ajout à une
diapositive 33, 71
ajout à un modèle de
diapositive 151
touches fléchées 88
tracer
lignes 80
transitions
configuration par
défaut 153
entre des parties d’une
diapositive
(compositions
d’objet) 121
entre les
diapositives 119
transparence 58, 83, 143,
144
types de diaporamas 31,
129
U
unités de mesure
modification 36
URL 67, 69, 70
V
verrouillage d’objets 36,
57
version de copie de
sauvegarde 40
visite guidée 14
Visite guidée d’iWork 14
Visite guidée de
Crossbow 14
volume 65
volume de la lecture 65
W
www 69
Z
zones de texte libres 43
zoomer 19
F2645.book Page 172 Thursday, January 13, 2005 8:01 PM
PowerBook
User’s Guide
for PowerBook computers
Includes setup instructions and important health-related information
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ITC Garamond is a registered trademark of International Typeface Corporation.
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SelectSet is a trademark of Miles, Inc., Agfa Division.
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Tektronix is a registered trademark and Phaser is a trademark of Tektronix, Inc.
Simultaneously published in the United States and Canada.
Mention of third-party products is for informational purposes only and constitutes neither an endorsement nor a recommendation. Apple assumes no responsibility with
regard to the performance or use of these products.Contents
Radio and television interference xiii
Preface How to Use This Book xv
n Part I Getting Started With
Your Computer 1
Chapter 1 Setting Up Your PowerBook Duo 1
Setting up the computer 2
Step 1: Plug in the power adapter 2
Step 2: Open the display 3
Step 3: Turn on the computer 4
What to do next 6
Learning the basics 7
Before you begin 7
Starting the tour 8
Turning the PowerBook on and off 12
Off 12
Sleep 13
On 14
On/Off summary 14
When you turn on your computer 15
Restarting a computer that’s already on 16
Restarting a computer that can’t be turned on normally 16
Important care and safety instructions 18
± Warning 18
s Caution 19
S Important 20
Health-related information about computer use 21
Musculoskeletal discomfort 21
Eye fatigue 22
Arranging your work area and equipment 22
iiin Part II Learning Macintosh 27
Chapter 2 Working on the Desktop 27
Use the trackball 28
Point 28
Click 29
Press 30
Drag 31
Choose a command 32
Giving orders to your computer 32
Open an icon 33
Look at the contents of a window 34
Make a window the active window 34
Make a window larger or smaller 36
Move the hidden contents of a window into view 38
Close a window 40
Move a window 41
What’s on the desktop 42
Using the keyboard 45
Chapter 3 Creating and Changing
a Document 47
Open a program 48
Create a document 49
Save your work 49
Switch programs 50
Close a document 52
Two types of programs 53
Open a document 53
Change a document 54
Save your work so far 57
Taking a shortcut 58
Make more changes 58
Quit a program 60
Opening and closing documents and programs 61
Make a copy of a document 61
Change the name of an icon 62
Use the Trash 63
iv ContentsChapter 4 Learning More About
Your Computer 65
Open the Battery desk accessory 66
Open the PowerBook control panel 66
Use Balloon Help 67
Turn on Balloon Help 67
Turn off Balloon Help 68
Using floppy disks 69
Taking care of floppy disks 69
Floppy disks and hard disks 70
Use Part III of this book 71
What next? 71
n Part III PowerBook Reference 73
Chapter 5 Setting up Your Programs 73
Installing or updating system software 73
Before you install 74
Installing system software 74
Installing customized system software 76
Starting up with a floppy disk 77
Installing your programs 78
Installing programs without a floppy disk drive 78
Checking for computer viruses 79
Working with several programs at a time 80
Finding out what programs are open 80
Switching programs 80
Hiding and showing windows on the desktop 80
Changing the amount of memory a program uses 81
Using the Scrapbook 82
Storing items in the Scrapbook 82
Copying items from the Scrapbook 82
Deleting items from the Scrapbook 82
Using a RAM disk 83
Creating a RAM disk 83
Erasing a RAM disk 84
Resizing or removing a RAM disk 84
Making a RAM disk the startup disk 85
Contents vChapter 6 Power Management 87
Power sources 87
Monitoring the battery charge level 88
Using the Battery desk accessory 88
Responding to low-power messages 89
Recharging the battery 90
Recharging in the computer 90
Recharging in a recharger 91
Recharging in both the computer and a recharger 93
Removing or replacing the battery 94
Maximizing battery life and work time 95
Disposing of dead batteries 96
Replacing the backup batteries 96
Reconditioning the battery 97
Maximizing work time 99
Ways to conserve battery power 99
Adjusting the battery conservation settings 100
Using the custom options 101
Chapter 7 Using Disks 105
Preparing a new disk for use 105
Initializing a hard disk 105
Initializing a floppy disk 107
Erasing a floppy disk 108
Designating a startup disk 108
Scanning order for startup disks 109
Protecting the information on a disk 109
Locking a floppy disk 109
Locking a file 110
Backing up your files 111
If you can’t save files on a floppy disk 111
Ejecting a disk 112
If you can’t eject a floppy disk 112
Caring for disks 113
Hard disk precautions 113
Testing and repairing disks 113
If a hard disk icon doesn’t appear 113
Using Disk First Aid 114
Testing a hard disk 116
vi ContentsChapter 8 Organizing Your Files 117
Straightening up your files 117
Using folders to organize your files 118
Creating and naming folders 118
Filing documents when you save them 119
Making items easier to find 120
Creating an alias 120
Installing an item in the Apple menu 121
Moving an item to the desktop 121
Finding an item 122
Finding an item by name 122
Finding an item using other criteria 123
Finding items that meet two criteria 125
Ways to use the Find command 125
Creating a template or stationery 126
Getting information about your files 127
Using the Info window 127
Using the View menu 128
Assigning a label to a file 128
Tips on transferring files 129
Chapter 9 Sound, Color, and Video 131
Setting the beep sound 131
Installing a sound 132
Removing a sound 133
Recording sounds 133
Displaying colors or grays 135
Changing the highlight color or gray 136
Changing the color of window borders 137
Changing the background pattern 138
Assigning a color to an icon 139
Changing the colors in the Label menu 140
Using more than one monitor 141
Using a second monitor for presentations 142
Magnifying the screen image 143
Chapter 10 Adapting Your Computer
to Your Own Use 145
Specifying which items you want opened at startup 146
Installing an item in the Apple menu 146
Installing files in the System Folder 146
Removing files from the System Folder 147
Changing the items in the Label menu 148
Contents viiSetting the time and date 148
Setting a time for the Alarm Clock to go off 149
Turning the alarm off 150
Changing time and date formats 150
Changing the date format 151
Changing the time format 152
Changing number and currency formats 153
Adjusting the way the trackball or mouse works 154
Adjusting the way the keyboard works 155
Making keyboard shortcuts easier to type 156
Adjusting the keyboard for very slow typing 156
Adjusting the blinking of a menu item 157
Adjusting the blinking of the insertion point 157
Changing the way the contents of windows appear 158
Changing an icon 159
Turning off the Empty Trash warning 160
Managing memory 161
Checking memory use 161
Making the most of your memory 161
Adjusting the disk cache 162
Using hard disk space as memory 163
Turning on 32-bit addressing 164
Chapter 11 Printing 165
Before you print 165
Choosing a printer 165
Selecting Page Setup options 168
Updating printer software on networked computers 169
Printing your work 170
Printing the contents of a window or the desktop 171
Solutions to common printing problems 172
Controlling background printing 173
Working with fonts 174
Outline fonts and bitmap fonts 174
Installing fonts 175
Removing fonts 176
Transferring fonts to a LaserWriter printer 176
Finding out about available fonts 178
Other ways to use the LaserWriter Font Utility 178
Chapter 12 Using Your Computer
on a Network 181
What networking offers 181
Setting up your computer on a network 182
Connecting to a network 183
viii ContentsTurning on AppleTalk 183
Naming your computer and its owner 184
Gaining access to files on shared disks 185
Before you begin 185
Connecting to a shared disk 185
Disconnecting from a shared disk 187
Connecting quickly to a shared disk 188
Connecting automatically when you start up 188
Reconnecting a PowerBook to shared disks 189
Working with files and folders on other computers 190
Creating a new folder on another computer 190
Changing your password 190
Giving folder ownership to someone else 191
Sharing your own files 192
How file sharing works 192
Turning file sharing on 192
Turning on guest access 193
Selecting a folder or disk to share 194
Naming a registered user 195
Setting a registered user’s password 196
Naming a group of users 197
Seeing who’s in a group 197
Selecting a user or group to share a folder or disk 198
Preventing specific users or guests from accessing
your computer 199
Removing a user from a group 201
Removing a user or group from your list
of registered users 201
Giving away ownership of a folder or disk
on your computer 201
Turning file sharing off 202
Monitoring file-sharing activity 203
Disconnecting someone who is connected
to your computer 203
Gaining access to your computer from another computer 204
Changing your password 205
Using access privileges 206
Understanding access privileges 206
Setting access privileges to folders and disks 207
Access privilege strategies 208
Working with privileges that others have set 209
Checking your access privileges 210
Linking programs 210
Linking to a program on another computer 210
Disconnecting a program link 212
Allowing other people to link to your programs 212
Contents ixChapter 13 Building a PowerBook Duo
System 215
Using the PowerBook Duo Dock 215
Duo Dock features 216
Setting up the Duo Dock 218
Inserting the PowerBook Duo into the Duo Dock 220
Turning on the PowerBook Duo system 221
Working with a PowerBook Duo system 222
Your preferences 222
Battery recharging 222
Power conservation 222
Hard disks 223
SCSI devices 223
Virtual memory 223
Networking 224
Modem 224
If you have system problems 224
Using security features 225
Ejecting the PowerBook Duo from the Duo Dock 226
A useful shortcut 227
Installing a NuBus card 228
Getting ready 228
Installing the card 229
Using the PowerBook Duo MiniDock 237
Duo MiniDock features 238
Setting up the Duo MiniDock 239
Before you dock 243
Connecting the PowerBook Duo to the Duo MiniDock 244
Turning on the PowerBook Duo system 245
Working with a PowerBook Duo system 247
Removing the PowerBook Duo from the Duo MiniDock 250
Using the PowerBook Duo Floppy Adapter 251
Connecting the floppy adapter, disk drive, and input device(s)
to the PowerBook Duo 251
Turning on the PowerBook Duo 254
Disconnecting the floppy adapter, disk drive, and
input device(s) from the PowerBook Duo 255
Floppy disk drive precautions 255
Other adapters 255
Using SCSI devices 256
Installing software 256
Setting SCSI ID numbers 257
Checking that the SCSI chain is properly terminated 258
Connecting cables 259
Using your PowerBook Duo as a SCSI disk 260
Connecting your computer as a SCSI disk 260
Simplifying the SCSI disk connection process 263
x ContentsUsing SCSI disk mode to reinstall system software 263
Drawing battery power in SCSI disk mode 265
Quitting SCSI disk mode 265
Connecting a modem 266
Connecting a printer 267
Connecting sound input and output devices 268
Adding memory to your computer 268
Chapter 14 Travel, Storage, and Service 269
Traveling with the PowerBook 269
Storing the PowerBook 270
Protecting the PowerBook Duo system from theft 271
Service and support 271
If the PowerBook malfunctions or is damaged 271
How to get help 271
For more information about Macintosh computers 273
Macintosh user groups 273
Technical information 273
Quick Reference Summary and Shortcuts 275
Double-click 275
Shift-click 275
Working with icons 275
Selecting icons 275
Opening an icon 276
Moving, copying, and renaming an icon 276
Working with windows 276
Making a window the active window 276
Moving a window and changing its size 276
Scrolling through the contents of a window 277
Opening higher-level folder windows 277
Using the outline form in list views 278
Working with menus 278
Choosing an item from a menu 279
Choosing an item from a submenu 279
Keyboard shortcuts in the Finder and in directory dialog boxes 280
Contents xiTroubleshooting 281
The PowerBook Duo 281
The Duo Dock 287
The Duo MiniDock 288
SCSI devices 289
Disk drives and disks 290
Modems 293
Printers 293
Networks 295
Application programs 296
Appendix A Keyboard and Character Sets 297
Using Caps Lock 298
Typing special characters and symbols 298
Appendix B Exchanging Disks and Files with
MS-DOS Computers 301
Initializing a disk in MS-DOS format 301
Converting files to and from MS-DOS format 303
Other file-conversion options 305
Appendix C Map 307
Setting your location 307
Comparing locations 308
Finding a location 309
Adding or removing a location 310
Adding a location 310
Changing or removing a location 310
n Part IV Index 313
xii Contentsxiii
S Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple
Computer, Inc., could void the FCC Certification and negate your authority to
operate the product.
This product was tested for FCC compliance under conditions that included the use
of shielded cables and connectors between system components. It is important that
you use shielded cables and connectors to reduce the possibility of causing
interference to radios, television sets, and other electronic devices. For Apple
peripheral devices, you can obtain the proper shielded cables from your Appleauthorized dealer. For non-Apple peripheral devices, contact the manufacturer or
dealer for assistance. S
DOC Class B Compliance This digital apparatus does not exceed the Class B limits for
radio noise emissions from digital apparatus set out in the radio interference regulations
of the Canadian Department of Communications.
Observation des normes—Classe B Le présent appareil numérique n’émet pas de
bruits radioélectriques dépassant les limites applicables aux appareils numériques de la
Classe B prescrites dans les règlements sur le brouillage radioélectrique édictés par le
Ministère des Communications du Canada.
Important
This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital
device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. See instructions if
interference to radio or television reception is suspected.
Radio and television interference
The equipment described in this manual generates, uses, and can radiate radiofrequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance
with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception.
This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital
device in accordance with the speci?cations in Part 15 of FCC rules. These specifications
are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential
installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a
particular installation.
You can determine whether your computer system is causing interference by turning it
off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the
peripheral devices.
If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to
correct the interference by using one or more of the following measures:
m Turn the television or radio antenna until the interference stops.
m Move the computer to one side or the other of the television or radio.
m Move the computer farther away from the television or radio.
m Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the
television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio
are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.)
If necessary, consult your Apple-authorized service provider or Apple. See the service
and support information that came with your Apple product. Or, consult an
experienced radio/television technician for additional suggestions. You may find helpful
the following booklet, prepared by the Federal Communications Commission:
Interference Handbook (stock number 004-000-00493-1). This booklet is available from
the U.S. Government Printing Office, Washington, DC 20402.
ð
Macintosh Performa
User’s Guide
Includes setup, troubleshooting, and health-related information
for Macintosh Performa 5200CD and 5300CD series computersK Apple Computer, Inc.
© 1995 Apple Computer, Inc. All rights reserved.
Under the copyright laws, this manual may not be copied, in whole or in part, without the
written consent of Apple. Your rights to the software are governed by the accompanying
software license agreement.
The Apple logo is a trademark of Apple Computer, Inc., registered in the U.S. and other
countries. Use of the “keyboard” Apple logo (Option-Shift-K) for commercial purposes without
the prior written consent of Apple may constitute trademark infringement and unfair
competition in violation of federal and state laws.
Every effort has been made to ensure that the information in this manual is accurate. Apple is
not responsible for printing or clerical errors.
Apple Computer, Inc.
1 Infinite Loop
Cupertino, CA 95014-2084
(408) 996-1010
Apple, the Apple logo, AppleTalk, EtherTalk, LaserWriter, LocalTalk, Macintosh, MacTCP,
and Performa are trademarks of Apple Computer, Inc., registered in the U.S. and other
countries.
AppleCD, Apple Desktop Bus, Balloon Help, Disk First Aid, Extensions Manager, Finder,
Macintosh PC Exchange, Power Macintosh, PowerTalk, and QuickDraw are trademarks of
Apple Computer, Inc.
Adobe, Adobe Illustrator, Adobe Photoshop, and PostScript are trademarks of Adobe Systems
Incorporated or its subsidiaries and may be registered in certain jurisdictions.
ExposurePro is a registered trademark of Baseline Publishing, Inc.
Helvetica and Times are registered trademarks of Linotype-Hell AG and/or its subsidiaries.
IBM is a registered trademark, and PowerPC and the PowerPC logo are trademarks of
International Business Machines Corporation, used under license therefrom.
Motorola is a registered trademark of Motorola Corporation.
QMS is a registered trademark of QMS, Inc.
QuarkXPress is a registered trademark of Quark, Inc.
SuperPaint is a trademark of Aldus Corporation, a subsidiary of Adobe Systems Incorporated
which may be registerd in certain jurisdictions.
Tektronix is a registered trademark of Tektronix, Inc.
Simultaneously published in the United States and Canada.
Mention of third-party products is for informational purposes only and constitutes neither an
endorsement nor a recommendation. Apple assumes no responsibility with regard to the
performance or use of these products.iii
Communications regulation information vi
Preface Welcome to Macintosh ix
1 Getting Started 1
Plugging in the computer 1
Installing an expansion card 4
Connecting the mouse and keyboard 5
Adjusting the angle of the screen 7
Connecting other equipment 7
Turning the computer on for the first time 8
What’s next? 10
Learning the basics 11
Reviewing the basics 13
Turning the computer off 15
Turning the computer on 15
Where to find answers 16
Contents2 Getting Help 17
Getting answers to your questions 18
Identifying objects on the screen 26
Learning useful shortcuts 27
3 Expanding Your Computer and Using Special Features 29
Your computer at a glance 30
Connecting additional equipment 31
Using the sound control buttons on your computer 32
Using the screen control buttons on your computer 33
Using the built-in microphone 34
Expanding memory 35
Replacing internal storage devices 35
Adding an Ethernet card or a second monitor 35
4 Using Programs and Backing Up Disks 37
Installing application programs 38
Working with several programs at a time 39
Protecting the information on a disk 40
Using application programs designed for the PowerPC microprocessor 42
Using older Macintosh programs 42
5 Using the CD-ROM Drive 43
Inserting a CD-ROM disc 44
Ejecting a CD-ROM disc 45
Types of compact discs you can use 46
Playing audio CDs 47
Working with Photo CDs 48
Sharing a CD-ROM disc over a network 50
iv Contents6 Troubleshooting 51
When you have questions 51
If you have trouble 51
Solutions to common problems 55
Solutions to CD-ROM problems 67
If your computer’s performance decreases 72
Repairing a damaged disk 73
Initializing a hard disk 79
Installing or reinstalling system software 81
A Health, Safety, and Maintenance Tips 83
Health-related information about computer use 83
Safety instructions 88
Handling your computer equipment 89
Cleaning your equipment 94
Locking and unlocking the mouse 96
B Installing an Expansion Card 99
Opening the computer 101
Installing an LC-PDS card 104
Installing a communication card 105
Closing the computer 107
C Special Keys on Your Keyboard 111
Typing special characters and symbols 113
Special key combinations 114
D If You Purchase Additional Equipment 115
Connecting to an Ethernet network 115
Connecting a second monitor for video mirroring 117
Index 119
Contents vCommunications regulation information
FCC statement
This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device
in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. See instructions if interference to
radio or television reception is suspected.
Radio and television interference
The equipment described in this manual generates, uses, and can radiate radio-frequency
energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s
instructions—it may cause interference with radio and television reception.
This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device
in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed
to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However,
there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation.
You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If
the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices.
If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct
the interference by using one or more of the following measures:
m Turn the television or radio antenna until the interference stops.
m Move the computer to one side or the other of the television or radio.
m Move the computer farther away from the television or radio.
m Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio.
(That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by
different circuit breakers or fuses.)
If necessary, consult an Apple-authorized service provider or Apple. See the service and support
information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television
technician for additional suggestions. You may find the following booklet helpful: Interference
Handbook (stock number 004-000-00493-1). This booklet, prepared by the Federal
Communications Commission, is available from the U.S. Government Printing Office,
Washington, DC 20402.
IMPORTANT Changes or modifications to this product not authorized by Apple Computer, Inc.,
could void the FCC Certification and negate your authority to operate the product.
This product was tested for FCC compliance under conditions that included the use of Apple
peripheral devices and Apple shielded cables and connectors between system components. It is
important that you use Apple peripheral devices and shielded cables and connectors between
system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets,
and other electronic devices. You can obtain Apple peripheral devices and the proper shielded
cables and connectors through an Apple-authorized dealer. For non-Apple peripheral devices,
contact the manufacturer or dealer for assistance.
vi Communications Regulation InformationDOC statement
DOC Class B Compliance This digital apparatus does not exceed the Class B limits for radio
noise emissions from digital apparatus as set out in the interference-causing equipment standard
entitled “Digital Apparatus,” ICES-003 of the Department of Communications.
Observation des normes—Classe B Cet appareil numérique respecte les limites de bruits
radioélectriques applicables aux appareils numériques de Classe B prescrites dans la norme
sur le matériel brouilleur : “Appareils Numériques”, NMB-003 édictée par le ministre des
Communications.
VCCI statement
CD-ROM drive
WARNING Making adjustments or performing procedures other than those specified in your
equipment’s manual may result in hazardous exposure.
WARNING Do not attempt to disassemble the cabinet containing the laser. The laser beam used in
this product is harmful to the eyes. The use of optical instruments, such as magnifying lenses,
with this product increases the potential hazard to your eyes. For your safety, have this
equipment serviced only by an Apple-authorized service provider.
If you have an internal Apple CD-ROM drive in your computer, your computer is a Class 1
laser product. The Class 1 label, located in a user-accessible area, indicates that the drive meets
minimum safety requirements. A service warning label is located in a service-accessible area.
The labels on your product may differ slightly from the ones shown here.
Class 1 label Service warning label
Communications Regulation Information viiCongratulations on the purchase of your new Macintosh. Your computer is
designed to give you the highest performance combined with real ease of
use—it’s easy to set up, easy to use, and easy to expand. This book will guide
you through the setup procedure, tell you how to expand your Macintosh, and
provide many tips on using your new system.
Your Macintosh computer is powered by the new microprocessor
(or “chip”). This microprocessor was designed by Apple Computer, Inc.,
Motorola, Inc., and IBM Corporation. The microprocessor uses
Reduced Instruction Set Computing (RISC) technology to deliver very high
performance at the lowest possible cost. The RISC microprocessor
represents the state of the art in microprocessor design.
Your new Macintosh will run almost all of your existing Macintosh software,
but for best performance and greatest speed, look for the new software
microprocessor. You’ll find
programs designed especially for computers that contain the microprocessor–compatible programs
at any software store that carries products for the Macintosh computer.
ix
Welcome to MacintoshKeyboard
Macintosh Performa computer
Keyboard cable
(permanently attached
to the keyboard)
Computer power cord
MouseThe illustration on the facing page shows all the equipment you will need to
set up your computer and begin using it. Place your equipment on a sturdy,
flat surface near a grounded wall outlet. Before following the setup
instructions in this chapter, you may want to read “Arranging Your Office”
in Appendix A (in the section on health-related information) for tips on
adjusting your work furniture so that you’re comfortable when using
the computer.
If you used the setup poster: The poster included with your Macintosh
Performa computer was designed to help you start using your computer as
quickly as possible. This chapter contains more detailed information than the
poster. If you have already set up your computer using the poster, you may
want to turn to the section “What’s Next?” later in this chapter.
Plugging in the computer
Before you plug your Macintosh into a wall socket, carefully read all the
setup instructions in this chapter. Then, before you connect anything to your
Macintosh, follow the instructions in this section to plug it in. The plug
grounds the computer and protects it from electrical damage while you are
setting up.
1
1 Getting Started
Follow the instructions in this
chapter to set up your computer
and learn the basics.When you are ready to begin, follow these steps:
1 Place the computer where you want it.
Carry the computer with its screen facing you. Most of its weight is near the
screen. Lift with your knees, not your back.
2 Chapter 12 Plug the socket end of the power cord into the recessed power plug (marked with the
symbol ²) on the back of the computer.
Make sure at least one end of the power cord is within easy reach so that you
can unplug the computer when you need to.
IMPORTANT To protect both yourself and the computer from electrical hazards,
the computer should remain turned off until you are finished connecting its
parts. Check the power switch at the back of the computer. Make sure that the
side of the switch marked with the j symbol is pressed in.
“Off” position
Power switch
Getting Started 33 Plug the other end of the power cord into a three-hole grounded outlet or power strip.
Installing an expansion card
If you purchased an expansion card for your Macintosh, install it now. (See
Appendix B, “Installing an Expansion Card,” for instructions.) If you don’t
have an expansion card, continue with the next section, “Connecting the
Mouse and Keyboard.”
WARNING This equipment is intended to be electrically grounded. Your
Macintosh is equipped with a three-wire grounding plug—a plug that
has a third (grounding) pin. This plug will fit only a grounded AC
outlet. This is a safety feature. If you are unable to insert the plug into
the outlet, contact a licensed electrician to replace the outlet with a
properly grounded outlet. Do not defeat the purpose of the grounding
plug!
Socket end of the power cord
Power cord plug
4 Chapter 1Connecting the mouse and keyboard
1 Plug the mouse cable into the recessed port on the back of the keyboard.
The plug and the port are marked with the × icon (symbol). The positions of
the port and icon on your keyboard may be different from those pictured.
By the way: A port marked with the × icon is called an Apple Desktop Bus
(ADB) port.
This cable plugs into the Apple Desktop Bus (ADB) port,
marked with the × icon, on the back of the computer.
Plug the mouse into the recessed port on
the keyboard. The flat part of the plug should
be pointing down, as shown here.
Getting Started 52 Plug the keyboard cable into the port marked with the × icon on the back of the
computer.
If you use a second monitor in addition to the one built into your computer, it
may also have a port to which you can connect the keyboard or mouse. See
the information that came with the monitor.
3 If you want to adjust the keyboard angle, lower the feet on the keyboard.
To adjust the keyboard angle, lower the feet until they snap into position.
V ADB port
6 Chapter 1Adjusting the angle of the screen
You can adjust the angle of the screen to avoid glare and reflections by using
the computer’s tilt-and-swivel base. Turn the computer to either side or tilt it
slightly back or forward.
For more information on setting up your office for comfort and safety, see
Appendix A, “Health, Safety, and Maintenance Tips.”
Connecting other equipment
If you are new to the Macintosh, it’s a good idea to get some experience using
your computer before you connect other equipment, such as a printer or
scanner. To learn basic Macintosh skills, continue with the instructions in
this chapter.
When you’re ready to connect other equipment to your Macintosh, see the
instructions in Chapter 3.
Getting Started 7Turning the computer on for the first time
To turn the computer on for the first time, follow these steps:
1 On the back of the computer, press the side of the power switch marked with the
symbol i.
2 Press the Power key (marked with a triangle) on your keyboard.
You hear a tone from the computer as it starts up.
8 Chapter 13 Check to see what’s on your screen.
m You will see a welcome screen that gives you a choice about what you want
to do next.
m If you’re new to the Macintosh or would like some review of the basics,
you’ll want to go through the Performa Tutorial, a program that teaches
how to use your computer. Press the Return key on your keyboard to go
to the tutorial.
m If you already know how to use your Macintosh and you don’t want to
use the tutorial, you can leave the welcome screen (by clicking Go To
Desktop) and go to the Macintosh desktop.
m When you see the Macintosh desktop, as in the illustration below, your
computer is ready to use. Skip now to the section “What’s Next?” later in
this chapter.
m If you see a blinking question mark, or nothing at all, see the next section,
“Problems Starting Up?”
Getting Started 9
Macintosh desktop
Hard disk icon
Your Launcher has
more items in it
than are shown in
this illustration.What’s next?
Congratulations! You’ve finished setting up your computer. Now continue
with one of the following steps:
m If you are new to the Macintosh, see the next section, “Learning the Basics.”
m If you are an experienced Macintosh user, turn to Chapter 2, “Getting
Help,” to learn about Macintosh Guide, your main source of information
when you’re working with the Macintosh.
Problems starting up?
If the screen is dark, check these items to see if you can identify the
problem:
m Is the computer turned on? The power-on light on the front of the
computer should be on. Make sure the side of the power switch
marked with the symbol i (on the back of the computer) is pressed in.
m Is the power cord connected to the computer, and is the cord plugged
into a power source?
m If the computer is plugged into a power strip, is the power strip
turned on and plugged in?
m Are the keyboard and mouse cables connected correctly? (Don’t
disconnect the keyboard or mouse cable while the computer is on.
You could damage your equipment.)
m Are the screen control buttons on the front of the computer (marked
with the ü icon) adjusted correctly?
m If you have an external hard disk attached to your computer, is that
hard disk turned on? Was it turned on before you turned on the
computer? If you’re not sure, turn everything off. Then turn on the
external hard disk before you turn on your computer.
If you see a blinking question mark on the screen, turn to “Solutions to
Common Problems” in Chapter 6.
10 Chapter 1m If you want to connect other equipment, such as a printer, to your
computer, see Chapter 3, “Expanding Your Computer and Using Special
Features.”
m If you want to install application software on your computer, see Chapter 4
of this book for information on setting up your programs and managing
memory. You’ll need this information to properly set up any software
programs specifically designed for computers with PowerPC
microprocessors.
Before you begin working with your computer, be sure to read the important
health and safety information in Appendix A.
IMPORTANT If you need to turn off your computer at any point, please see
“Turning the Computer Off” later in this chapter. It is very important to use
the correct procedure for shutting down your Macintosh before turning it off.
Learning the basics
If you are new to the Macintosh, you should begin by looking at the easyto-use program called Performa Tutorial. The tutorial teaches you the basic
skills you’ll need to use your computer. To start the tutorial once you are past
the introductory screens, follow these steps:
1 Slide your mouse along your mouse pad or desk.
Hold the mouse as shown, with the cable pointing away from you. Don’t press
the mouse button (under your index finger). Notice that the arrow (8) on the
screen moves in the same direction that you move the mouse.
If the arrow doesn’t move, make sure that the cables connecting the mouse
and keyboard are secure and that your mouse is positioned as shown in the
illustration.
Getting Started 112 Move the mouse so that the arrow (8) is over the picture labeled “Performa Tutorial.”
If you don’t see the Performa Tutorial picture on your screen, put the arrow
on the word “Learning” and click (press and release) the mouse button.
If you run out of room on your mouse pad or desk while moving the mouse,
pick up the mouse and place it where there’s more room. (The arrow on the
screen moves only when the mouse is in contact with the mouse pad or desk.)
3 Without moving the mouse, click the mouse button.
A window appears welcoming you to the tutorial. You can set this book aside
for now and follow the instructions on the screen. When you have completed
both parts of the tutorial, return to this book.
12 Chapter 1Reviewing the basics
You can use the following illustrations to review the elements you use on your
screen to do work with your computer.
Menus
The strip across the top of the screen is called the menu bar. The symbols and
words in it represent menus of commands. To open a menu, place the pointer
on the symbol or word for the menu and press the mouse button.
Getting Started 13
Menu
Window
Icons
Application menu
You can have several
application programs open
at once. To see which
program is active or to switch
from one program to another,
use this menu (called the
Application menu).
Guide menu
To find an answer to a question,
look in the Guide (h) menu.Icons
Icons are small pictures that represent disks, programs, documents, and
folders. You can double-click any icon to open it and see what it contains.
This icon represents your computer’s internal hard disk.
Icons like this one represent application programs, which you use to create
documents and do other work.
Icons like this one represent documents, which you can create and edit.
Icons like this represent folders. A folder contains other icons.
To throw away an item you no longer want, drag it to the Trash icon and choose
Empty Trash from the Special menu.
Windows
Windows are boxes that display text, graphics, or icons. To change the shape
or position of a window, or to close the window, use the elements shown here.
14 Chapter 1
Scroll arrow
To bring hidden portions
of a window’s contents into
view, click one of the four
scroll arrows.
Close box
To close a window,
click the close box.
Title bar
To move a window, drag it by the middle of the title bar
(anywhere in the bar except the small box on each end).
Size box
To change the shape or size of
a window, drag the size box.
To bring a partially
covered window
to the front, click
anywhere in it.Turning the computer off
To turn the computer off:
1 Press the Power key (marked with a triangle) on the keyboard.
You will see a message asking whether you want to shut down or continue
working.
2 Click Shut Down.
You can also turn off your computer by choosing Shut Down from the Apple
(K) menu. Detailed instructions follow. (Note: The Shut Down command is
also available in the Special menu.)
1 Move the tip of the arrow to the Apple (K) menu at the top left of the screen.
2 With the tip of the arrow on the apple, press and hold down the mouse button.
3 While holding down the mouse button, move the arrow down the list of choices until the
words “Shut Down” are highlighted, then release the mouse button.