Apple Installation et configuration de votre Power Mac G4 Instructions d’installation et d’extension des ordinateurs Power Mac G4 et Macintosh Server G4 Apple Installation et configuration de votre Power Mac G4 Instructions d’installation et d’extension des ordinateurs Power Mac G4 et Macintosh Server G4 Apple sur FNAC.COM - Pour voir la liste complète des manuels APPLE, cliquez ici
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 Installation et configuration de votre Power Mac G4 Instructions d’installation et d’extension des ordinateurs Power Mac G4 et Macintosh Server G4K Apple Computer Inc. © 2000 Apple Computer Inc. Tous droits réservés. Ce manuel est protégé par la loi du 11 mars 1957 sur la propriété littéraire et artistique, complétée par la loi du 3 juillet 1985 et par toutes les conventions internationales applicables aux droits d’auteurs. En vertu de ces lois et conventions, aucune reproduction totale ni partielle de ce manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option -1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple Computer Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 http://www.apple.com Apple, le logo Apple, AppleShare, AppleTalk, FireWire, le logo FireWire, Mac, Macintosh, le logo Mac, PlainTalk, Power Macintosh et QuickTime sont des marques d’Apple Computer Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. AirPort, The Apple Store, Finder, iMovie, iTools, Power Mac et Sherlock sont des marques d’Apple Computer Inc. PowerPC et le logo PowerPC sont des marques d’International Business Machines Corporation, utilisées sous licence. Fabriqué sous licence de Dolby Laboratories. “Dolby” et le logo double-D sont des marques de Dolby Laboratories. Travail non publié confidentiel. © 1992–1997 Dolby Laboratories Inc. Tous droits réservés. Les autres noms de produits et de sociétés sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés qu’à titre d’information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Remarque : Apple améliore continuellement les performances et le design de ses produits. Il se peut que certaines illustrations de ce manuel soient légèrement différentes de votre version du logiciel.3 Table des matières 1 Installation 5 Positionnement de l’ordinateur et du moniteur 5 Branchement de l’ordinateur 6 Problèmes divers 11 Étape suivante 12 2 Familiarisation avec votre ordinateur 13 Face avant de votre ordinateur 14 Ports et connecteurs : extension des capacités de votre ordinateur 16 Intérieur de votre Power Mac : options d’extension internes de votre ordinateur 18 QuickTime : audio et vidéo sur Internet 20 Sherlock 2 : votre utilitaire de recherche sur Internet 22 iMovie 2 : créez et montez vos propres films numériques 24 iTools : des services Internet gratuits pour les utilisateurs de Mac 26 Mise à jour automatique : maintenez automatiquement votre Mac à la pointe des nouveautés 28 Utilisateurs multiples : transformez un seul Mac en plusieurs 30 Apple.com : votre point de départ sur le World Wide Web 32 Aide Mac : les réponses à toutes vos questions sur le Mac 34 3 Utilisation de votre ordinateur 35 Utilisation du clavier et de la souris Apple Pro 36 Utilisation de périphériques USB 38 Utilisation de périphériques FireWire 40 Utilisation de votre lecteur de DVD 42 Utilisation de votre modem 444 Table des matières Connexion à un réseau Ethernet 45 Utilisation d’un réseau AirPort sans fil 47 Suspension de l’activité de l’ordinateur pour économiser l’énergie 48 Connexion de périphériques SCSI à votre ordinateur 49 Transfert d’informations entre deux ordinateurs Apple 50 Utilisation de l’ordinateur comme serveur sans moniteur 50 4 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 53 Ouverture de l’ordinateur 54 Installation de modules de mémoire 56 Installation d’unités de stockage internes 58 Installation d’une carte d’extension PCI ou remplacement de la carte AGP 69 Installation d’une carte AirPort 73 Remplacement de la pile 74 5 Dépannage 77 Annexe A Caractéristiques 81 Annexe B Environnement de travail, sécurité et entretien 87 Consignes de sécurité importantes 87 Entretien général 89 Consignes importantes concernant l’organisation de l’espace de travail et la santé 90 Communications Regulation Information 935 C H A P I T R E 1 1 Installation Apple vous félicite pour l’acquisition de votre nouvel ordinateur Power Mac G4. Ce chapitre comporte des informations vous permettant d’installer et d’utiliser votre ordinateur et votre moniteur. Positionnement de l’ordinateur et du moniteur Vous pouvez saisir l’ordinateur par n’importe quelle poignée. Si le moniteur est lourd, veillez à adopter la méthode correcte pour le soulever lorsque vous le positionnez. Positionnez l’ordinateur et le moniteur de sorte que : m Ils reposent sur une surface plane et robuste. m Les prises des câbles d’alimentation ne soient coincées ni contre un mur ni quoi que ce soit. m Rien n’obstrue la circulation de l’air à l’arrière du moniteur ou de l’ordinateur. m Le plateau du lecteur de DVD-ROM ou DVD-RAM puisse s’ouvrir librement. IMPORTANT Le seul moyen de couper totalement l’alimentation de votre ordinateur et de votre moniteur consiste à déconnecter les prises de la source d’alimentation. Assurez-vous que les câbles de votre ordinateur et de votre moniteur sont à portée de main afin de pouvoir les débrancher immédiatement si nécessaire.6 Chapitre 1 Branchement de l’ordinateur 1 Assurez-vous que le commutateur situé au dos de l’ordinateur est positionné sur la tension correspondant au réseau électrique auquel vous vous connectez. Il doit être réglé sur la tension correcte pour éviter d’endommager l’ordinateur. Réglez le commutateur sur “230” pour les tensions comprises entre 200 et 240V. Réglez-le sur “115” pour les tensions comprises entre 100 et 120V. Si vous devez modifier le réglage, introduisez un tournevis dans cette rainure et faites glisser le commutateur.Installation 7 Pays Réglage du commutateur Arabie Saoudite, Bermudes, Canada, États-Unis, Jamaïque, Japon, Mexique, Philippines, Porto Rico, Taïwan, Venezuela 115 Bahreïn, Brésil, Corée du Sud, Espagne, France, Indonésie, Italie, Liban, Pérou1 115 ou 230 Afrique du Sud, Allemagne, Argentine, Australie, Autriche, Belgique, Bosnie-Herzégovine, Chili, Chine (y compris Hong Kong), Croatie, Danemark, Égypte, Émirats Arabes Unis, Finlande, Grèce, Groenland, Hongrie, Inde, Iran, Irlande, Irlande du Nord, Islande, Israël, Jordanie, Koweït, Liechtenstein, Luxembourg, Macédoine (ancienne république yougoslave), Malte, Népal, Norvège, Nouvelle-Zélande, Oman, Pakistan, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Paraguay, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Qatar, République Tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Russie et la Communauté d’États Indépendants (CEI), Serbie et Monténégro, Singapour, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse, Yémen 230 1 Ces pays utilisent plusieurs types de tensions d’alimentation. Demandez à votre opérateur local quel réglage sélectionner dans votre cas. ATTENTION Le réglage de la tension de l’ordinateur détermine également la tension de la prise d’alimentation du moniteur située au dos de l’ordinateur. Par conséquent, assurez-vous que votre moniteur peut gérer cette tension avant de le relier à la prise de l’ordinateur. Veillez à utiliser un adaptateur ou un transformateur adéquat si nécessaire. Les moniteurs qui se connectent au port ADC de la carte graphique AGP de l’ordinateur ne nécessitent pas d’adaptateur car ils adoptent automatiquement la tension appropriée. 8 Chapitre 1 2 Branchez fermement et complètement le cordon d’alimentation sur la prise renfoncée marquée du symbole ≤, au dos de l’ordinateur, et connectez l’autre extrémité à une prise ou à une multiprise reliée à la terre. Fiche du câble d’alimentation Prise du câble d’alimentationInstallation 9 3 Connectez les câbles du moniteur selon l’illustration suivante : Si le câble de votre moniteur est muni d’un connecteur DB-15 à deux rangées, vous pouvez vous procurez un adaptateur Mac-VGA auprès d’un distributeur agréé Apple puis connecter votre moniteur au port VGA de l’ordinateur. IMPORTANT En fonction de votre moniteur, il se peut que vous deviez connecter soit un seul câble, soit plusieurs. Pour de plus amples d’informations, reportez-vous aux instructions fournies avec le moniteur. Ports USB Prise d’alimentation du moniteur Port moniteur ADC ™ Port moniteur VGA Câble du moniteur10 Chapitre 1 4 Si nécessaire, connectez votre ordinateur au réseau Ethernet et connectez votre port modem à une ligne téléphonique. 5 Connectez le câble du clavier à l’un des ports USB ( ) de l’ordinateur ou du moniteur, puis reliez la câble de la souris à un port USB du clavier. Port Ethernet Port modem Ports USB du clavier (2) Il se peut que certaines parties de l’ordinateur soient recouvertes d’une pellicule de protection en plastique ; vous pouvez l’enlever. Clavier SourisInstallation 11 Vous pouvez, si vous le souhaitez, ajuster la hauteur du clavier en abaissant son support situé au dos du clavier. 6 Allumez l’ordinateur en appuyant soit sur le bouton d’alimentation du moniteur, soit sur le bouton d’alimentation (®) du panneau avant de l’ordinateur. Problèmes divers Si rien n’apparaît à l’écran après quelques instants ou si vous pensez que votre ordinateur n’a pas démarré correctement, effectuez les vérifications suivantes afin de tenter d’identifier la cause du problème : m L’ordinateur est-il connecté à une source d’alimentation ? S’il est connecté à une multiprise munie d’un interrupteur, est-elle allumée ? m Les câbles du clavier et du moniteur sont-ils correctement connectés ? m Le bouton d’alimentation est-il allumé sur le panneau avant de l’ordinateur et sur le moniteur ? Si ce n’est pas le cas, l’ordinateur ou le moniteur n’est pas sous tension. m Les contrôles de luminosité et de contraste du moniteur sont-ils correctement réglés ? Si votre moniteur est muni de contrôles de luminosité et de contraste, essayez de les régler. m Essayez de redémarrer votre ordinateur. Appuyez sur le bouton d’alimentation de l’ordinateur pendant environ 5 secondes jusqu’à ce que l’ordinateur s’éteigne. Appuyez à nouveau sur ce bouton pour allumer l’ordinateur. m Si un point d’interrogation clignote à l’écran ou si vous entendez une série de bips sonores lorsque vous allumez l’ordinateur, consultez la section le chapitre 5, intitulé “Dépannage”, à la page 77.12 Chapitre 1 Mise hors tension de l’ordinateur Pour éteindre votre ordinateur : m Choisissez Éteindre dans le menu Spécial. Réglage de votre moniteur Ouvrez le tableau de bord Moniteurs pour ajuster les réglages de votre moniteur. Pour plus de détails sur le dépannage de votre moniteur, consultez la section “Problèmes de moniteur” à la page 79. Pour plus de détails sur l’entretien de votre moniteur, consultez la section “Entretien de votre moniteur” à la page 90. L’Aide Mac contient des informations complémentaires sur l’utilisation de votre moniteur. Pour faire enregistrer un nouveau moniteur Apple auprès d’Apple, rendez vous sur : www.apple.com/register (site web multilingue). Étape suivante m Pour consulter une présentation générale des fonctions de votre ordinateur, consultez le chapitre 2, intitulé “Familiarisation avec votre ordinateur”, à la page 13. m Pour davantage d’informations concernant l’utilisation de votre modem ou les autres fonctions matérielles de votre ordinateur, consultez le chapitre 3, intitulé “Utilisation de votre ordinateur”, à la page 35. m Pour toute information sur l’installation de lecteurs, de modules de mémoire ou de cartes d’extension PCI supplémentaires, ou sur le remplacement de la pile interne de l’ordinateur, consultez le chapitre 4, intitulé “Interventions à l’intérieur de l’ordinateur”, à la page 53. IMPORTANT N’utilisez l’interrupteur d’une multiprise ou ne débranchez la prise pour éteindre l’ordinateur que si vous ne parvenez à l’éteindre d’aucune autre manière. Si vous n’éteignez pas l’ordinateur correctement, vous risquez d’endommager vos fichiers ou le logiciel système.13 C H A P I T R E 2 2 Familiarisation avec votre ordinateur Si vous êtes impatient de commencer et que vous désirez faire quelques essais, ce chapitre est pour vous. Il présente un aperçu des fonctions matérielles et logicielles les plus importantes de votre ordinateur. Vous souhaitez créer vos propres chefs-d’œuvre vidéo ? Jetez un coup d’oeil à iMovie et découvrez comment vous pouvez réaliser des montages vidéo sur votre ordinateur. Plongezvous dans QuickTime pour visualiser des émissions vidéo en direct sur le Web. Mettez à profit Internet pour rechercher des informations, mettre à jour vos logiciels, effectuer des achats, naviguer sur le Web à votre guise, ou simplement consulter des sources d’aide en cas de besoin. Vous trouverez ici un large éventail de présentations des fonctions de votre ordinateur, brièvement expliquées. Lancez-vous dans un test et découvrez les capacités de votre Power Mac G4. Pour plus de détails sur une fonction en particulier, consultez le chapitre 3, intitulé “Utilisation de votre ordinateur”, à la page 35, ainsi que les explications en ligne de l’Aide Mac (voir la page 34). Remarque : il se peut que les illustrations présentant les nouveautés des logiciels diffèrent légèrement sur votre écran.14 Chapitre 2 Face avant de votre ordinateur Lecteur de DVD-ROM ou de DVD-RAM Bouton de réinitialisation P Bouton du programmeur ¥ Lecteur Zip (optionnel) Bouton et témoin d’alimentation Bouton d’ouverture du lecteur de DVD-ROM ou de DVD-RAM C Haut-parleurFamiliarisation avec votre ordinateur 15 Lecteur de DVD-ROM ou de DVD-RAM Les disques DVD vous permettent de visionner des films, d’installer des logiciels, et d’accéder à des informations. Un lecteur de DVD-ROM fonctionne avec des disques CD-ROM et DVD-ROM ainsi qu’avec les disques DVD-Vidéo et les Photo CD. Il lit également les CD audio standard. Un lecteur de DVD-RAM fonctionne avec tous ces disques et vous permet en plus d’enregistrer des données sur disques DVD-RAM. C Bouton d’ouverture du lecteur de DVD-ROM ou de DVD-RAM Ouvre le plateau du lecteur. Lecteur Zip (optionnel) Les disques Zip amovibles vous permettent de stocker et de sauvegarder des données. Vous pouvez acquérir un lecteur Zip et soit l’installer vous-même, soit le faire installer par un distributeur agréé Apple. ® Bouton/témoin d’alimentation Appuyez sur ce bouton pour mettre l’ordinateur sous tension ou le réactiver. Lorsque l’ordinateur est allumé, appuyer sur le bouton d’alimentation a pour effet de suspendre son activité. Un témoin blanc indique que l’ordinateur est allumé. Un témoin clignotant lentement indique que l’ordinateur est en veille. Avec certains moniteurs Apple, vous pouvez également appuyer sur le bouton d’alimentation du moniteur ou le toucher pour allumer ou éteindre l’ordinateur, ou pour le mettre en veille. P Bouton de réinitialisation Ce bouton contraint l’ordinateur à redémarrer. Utilisez-le uniquement si aucune des méthodes recommandées ne peut redémarrer l’ordinateur (par exemple, la commande Redémarrer du menu Spécial). Pour obtenir plus d’informations sur l’utilisation du bouton de réinitialisation, consultez le chapitre 5, intitulé “Dépannage”, à la page 77. ¥ Bouton du programmeur Ce bouton interrompt le fonctionnement normal des logiciels de l’ordinateur. Ce bouton ne s’utilise que rarement, voire jamais, uniquement lorsque des mises à jour du programme interne sont requises par votre système. Les directives d’utilisation de ce bouton figurent dans la documentation de la mise à jour du programme interne. 16 Chapitre 2 Ports et connecteurs : extension des capacités de votre ordinateur Anneau de verrouillage du panneau latéral Ports FireWire (2) Port de modem interne (optionnel) Prise d’alimentation Prise d’alimentation du moniteur Port d’entrée audio Ports USB (2) GPort Ethernet ≈ W ≤ Capots d’accès des logements d’extension (Logements 2 à 4 : PCI) F Port antivol -Port de sortie audio Port moniteur ADC Port moniteur VGA (Logement 1: AGP) ™Familiarisation avec votre ordinateur 17 Ports FireWire Connectent votre Macintosh à des périphériques FireWire tels que caméscope numérique, scanner, disque dur, etc. La norme FireWire permet de relier jusqu’à 63 périphériques, entre lesquels elle procure une mode de transfert des données à très haute vitesse. G Port Ethernet 10/100/1000 à paire torsadée Connecte votre Macintosh à un réseau Ethernet haute vitesse afin de vous permettre d’accéder à des ressources de réseau, telles qu’imprimantes et serveurs, et de partager des données avec d’autres ordinateurs du réseau. Ports USB Connecte votre Macintosh à des périphériques USB tels que claviers, souris, imprimantes, scanners, haut-parleurs, concentrateurs USB, et autres. Il est possible que votre moniteur soit également équipé de ports USB destinés à connecter des périphériques USB. ≈ Port d’entrée audio Connecte votre Macintosh à un microphone PlainTalk Apple ou autre appareil d’entrée audio afin que vous puissiez enregistrer du son et de la musique. - Port de sortie audio Connecte votre Macintosh à un casque d’écoute, à des haut-parleurs amplifiés externes, ou à tout autre matériel de sortie audio. F Anneau de verrouillage du capot et port antivol Vous pouvez fixer un cadenas au panneau latéral de votre Macintosh et à l’anneau arrière afin de protéger les composants internes. Le port antivol quant à lui permet d’installer un dispositif empêchant le vol de l’ordinateur. Lorsque l’anneau de verrouillage est sorti, vous pouvez enfiler un câble de verrouillage dans son orifice afin d’empêcher l’ouverture du panneau latéral de l’ordinateur. Adressez-vous à votre revendeur de produits informatiques pour savoir quels dispositifs de verrouillage fonctionnent avec votre ordinateur. W Port du modem interne Connecte un cordon téléphonique au modem interne. Prise d’alimentation du moniteur Permet de brancher l’alimentation du moniteur, au lieu de le brancher à une prise murale. ≤ Prise d’alimentation Connecte le cordon d’alimentation à l’ordinateur. Ports de moniteurs Connectent votre Macintosh soit à des moniteurs utilisant le port ADC, soit à des moniteurs standard équipés d’un connecteur VGA. Plaques de protection des logements d’extension (3) Votre Macintosh peut gérer jusqu’à trois cartes d’extension PCI (Peripheral Component Interconnect). Les logements protégés par une plaque, numérotés 2, 3 et 4, apportent des capacités d’extension supplémentaires. Dans certaines configurations, une carte SCSI Ultra 160 LVD (Low Voltage Differential) est installée dans l’un de ces logements.18 Chapitre 2 Intérieur de votre Power Mac : options d’extension internes de votre ordinateur Pile Logement 1 : AGP (carte graphique installée) Connecteur de Logements SDRAM (4) carte AirPort Logement Logements 2 à 4 : PCI 33 MHz (3) de lecteur 3 Logement de lecteur 2 Logement de lecteur 1Familiarisation avec votre ordinateur 19 Logements SDRAM Vous pouvez ajouter de la mémoire supplémentaire à votre ordinateur en installant jusqu’à 4 modules DIMM de mémoire DRAM dans les logements prévus à cet effet. Vous pouvez ainsi étendre la mémoire de votre ordinateur jusqu’à 1 536 Mo. Connecteur de carte AirPort Connecte une carte AirPort, qui permet à votre ordinateur de communiquer avec un réseau sans fil. Logements d’extension PCI Vous pouvez y installer des cartes PCI afin d’étendre les capacités de votre ordinateur. Vous pouvez par exemple y installer une carte PCI SCSI, puis y connecter des périphériques SCSI tels que scanner, disque dur et lecteur Zip. Logement de carte graphique AGP Connecte votre carte graphique AGP, qui apporte à votre moniteur une puissance de traitement graphique élevée. Vous pouvez y connecter un moniteur muni soit d’un connecteur ADC, soit d’un connecteur VGA standard. Pour connecter deux moniteurs à votre ordinateur, vous devez installer une carte graphique PCI supplémentaire pour gérer le second moniteur. Pile Votre ordinateur utilise une batterie qui ne se remplace que rarement. Des problèmes intermittents lors du démarrage de l’ordinateur ou des changements aléatoires de date et d’heure indiquent qu’il est peut-être temps de changer la pile. Pour toute information complémentaire, reportez-vous à la section “Remplacement de la pile” à la page 74. Supports de disques durs internes Vous pouvez installer des disques durs supplémentaires dans ces supports internes de votre ordinateur. Si vous êtes équipé de disques durs ATA, vous pouvez installer deux disques durs par support en forme de U. Si votre ordinateur est doté de disques durs SCSI, vous pouvez installer jusqu’à trois disques SCSI dans les supports. Baie d’extension pour lecteur Zip Vous pouvez installer dans cette baie un lecteur Zip que vous pouvez acquérir chez un distributeur agréé Apple.20 Chapitre 2 QuickTime : audio et vidéo sur Internet Contrôle de volume Bouton Lecture Tiroir des signets Accès rapide à tous vos canaux QuickTime TV. Tirez sur l’onglet inférieur pour ouvrir et refermer le tiroir des signets.Familiarisation avec votre ordinateur 21 Possibilités Outre la possibilité de lire des fichiers vidéo et musicaux sur votre Mac, QuickTime vous permet de regarder des émissions en direct ou en différé sur Internet. Marche à suivre 1 Connectez-vous à Internet. 2 Ouvrez QuickTime Player. 3 Déroulez le menu Signets et cliquez sur Ouvrir le tiroir des signets. 4 Sélectionnez une chaîne. Conseils et astuces Ajoutez des chaînes QuickTime TV supplémentaires Rendez-vous sur le site www.apple.com/fr/quicktime et cliquez sur le lien QuickTime TV. Vous y trouverez la totalité des chaînes QuickTime disponibles. Vous pouvez regarder une chaîne QuickTime TV, puis, d’un simple clic, l’ajouter au tiroir des signets de QuickTime Player. Évoluez vers QuickTime Pro pour bénéficier des capacités suivantes : m Lire des vidéos en plein écran et redimensionner des films. m Créer des films à diffusion en continu. m Manier plus de 30 formats audio, vidéo et graphiques, y compris Flash. m Créer, ouvrir, monter et enregistrer des films et de l’audio, par de simples opérations de copier-coller. Pour en savoir plus La vidéo Internet n’est que l’une des facettes de QuickTime. Pour en découvrir davantage, commencez par consulter l’Aide QuickTime. Pour télécharger des chaînes supplémentaires, visionner les plus récentes bandes-annonces et rechercher des informations sur la procédure à suivre pour configurer votre propre serveur de diffusion en continu sur Internet, visitez le site Web de QuickTime, www.apple.com/fr/quicktime22 Chapitre 2 Sherlock 2 : votre utilitaire de recherche sur Internet Bouton Recherche Après avoir tapé ce que vous recherchez, cliquez ici pour lancer la recherche. Canaux Sherlock Recherchez des personnes, faites des achats, tenez-vous au courant de l’actualité et informez-vous des dernières nouveautés d’Apple grâce à Internet. Sites de recherche Moteurs de recherche qu’utilise Sherlock pour examiner Internet.Familiarisation avec votre ordinateur 23 Possibilités Sherlock 2 remplit pour vous les fonctions de “détective” et d’acheteur personnel sur Internet. Il constitue un moyen simple de rechercher des personnes, des sources d’actualités ainsi qu’à peu près n’importe quoi. Il permet de se procurer des livres ou des disques, de passer en revue les sites de ventes aux enchères, de dénicher les prix les plus avantageux, et même de se renseigner sur la disponibilité des produits. Marche à suivre 1 Connectez-vous à Internet. 2 Choisissez “Rechercher sur Internet” dans le menu Fichier ou faites un double-clic sur l’icône de Sherlock, sur le bureau. 3 Sélectionnez un canal de Sherlock. 4 Tapez ce que vous recherchez puis cliquez sur le bouton Rechercher. Conseils et astuces Créez votre propre canal de recherche Sherlock 1 Choisissez Nouveau canal dans le menu Canaux. 2 Sélectionnez un nom, un type de canal et une icône. 3 Téléchargez des modules Sherlock et placez-les dans la liste de sites de recherche. Vous pouvez également maintenir enfoncée la touche Option et faire glisser des modules des autres listes de recherche sur l’icône de votre nouveau canal. Pour en savoir plus Pour en apprendre davantage sur les capacités de Sherlock, ouvrez l’Aide Mac et recherchez “Sherlock”. Pour télécharger des modules de recherche supplémentaires et découvrir comment vous pouvez créer votre propre module Sherlock, visitez le site Web de Sherlock sur www.apple.com/fr/sherlock 24 Chapitre 2 iMovie 2 : créez et montez vos propres films numériques Moniteur iMovie Prévisualisez votre film ou visionnez des vidéos directement à partir d’un caméscope vidéonumérique connecté. Commandes de lecture Servent à visionner un film dans iMovie. Commutateur de mode Permet d’alterner les modes importation depuis le caméscope et montage. Chronologie Le visualiseur et la chronologie sont des repères visuels qui permettent d’assembler et de monter un film. Boutons de montage Cliquez dessus pour ouvrir des fenêtres de réglage et de sélection de sons, d’effets vidéo, de titrage, et de transitions. Cliquez sur le bouton Clips pour afficher le rayon. Défileur Permet d’accéder directement à des passages d’une vidéo. Pistes audio Vous permettent de manipuler les enregistrements, la musique et les effets sonores. Tête de lecture Indique l’emplacement de l’image affichée dans le moniteur iMovie. Déplacez-la pour savoir ou apparaît chaque scène. Piste vidéo Vous permet de manipuler la bande son d’une vidéo. Visualiseur Rayon Pour intégrer des clips à votre film après les avoir importés, faitesles glisser du rayon au visualiseur. Familiarisation avec votre ordinateur 25 Possibilités iMovie est une application de montage vidéo numérique conviviale et simple d’emploi. À l’aide d’iMovie et d’un caméscope numérique, vous pouvez créer et monter vos propres films. Ce logiciel vous permet d’importer de la vidéo du caméscope, de monter des clips et d’ajouter des transitions, le titrage, des effets sonores et de la musique. Vous pouvez ensuite copier le film sur une cassette de caméscope ou créer un film QuickTime. Marche à suivre 1 Filmez votre vidéo, connectez le caméscope au port FireWire de votre ordinateur, puis ouvrez iMovie. 2 Cliquez sur le bouton Importer pour importer les clips sur le rayon, puis ajoutez-les à votre film en les faisant glisser sur le visualiseur de clips. 3 Assemblez et montez votre film dans le visualiseur de clips et dans la chronologie. 4 Ajoutez des transitions, le titrage, des effets sonores et de la musique. 5 Une fois que vous avez terminé, choisissez Exporter dans le menu Fichier. Conseils et astuces Partagez votre film iMovie avec vos amis et proches Exportez votre film comme séquence QuickTime Web, puis copiez-le sur votre iDisk ou utilisez HomePage pour créer votre propre cinéma iMovie afin que d’autres personnes puissent visionner votre film sur Internet. Pour en savoir plus Pour plus d’informations sur l’utilisation d’iMovie, consultez l’initiation iMovie Tutorial ou l’Aide iMovie. Pour les dernières informations concernant iMovie, notamment les mises à jour, les modules supplémentaires et la liste des caméscopes numériques compatibles, consultez le site Web iMovie : www.apple.com/fr/imovie26 Chapitre 2 iTools : des services Internet gratuits pour les utilisateurs de Mac Les services iTools ne sont disponibles qu’en langue anglaise. Messagerie Recevez votre propre adresse Mac.com C’est simple, gratuit, et fonctionne avec vos applications de messagerie favorites. iDisk En vous offrant 20 Mo d’espace de stockage personnel sur le serveur Internet d’Apple, iDisk est un excellent moyen de partager aisément via Internet des fichiers tels que photos et films, et même de les importer sur votre site. HomePage Concevez votre propre site Web personnel en trois étapes simples. Créez un faire-part de naissance, un C.V., un album photo, ou votre propre ciné iMovie. Apple l’hébergera même sur son serveur Internet, pour une disponibilité constante. KidSafe KidSafe contribue à la protection de vos enfants sur Internet. KidSafe leur procure l’accès à plus de 75000 sites approuvés par des pédagogues, et bloque le reste. Familiarisation avec votre ordinateur 27 Possibilités iTools est une nouvelle classe de services Internet créés par Apple exclusivement à l’intention des utilisateurs de Mac. Avec iTools, vous pouvez envoyer des messages, rendre Internet plus sûr pour vos enfants, et partager des photos et des films. Vous pouvez même créer votre propre site Web. Marche à suivre 1 Connectez-vous à Internet. 2 Rendez-vous sur www.apple.com (en anglais) 3 Cliquez sur l’onglet iTools, puis sur le bouton “Free Sign Up” (“Inscription gratuite”). Conseils et astuces Téléchargez des images sur votre espace iDisk afin de créer des cartes iCards personnalisées Vous pouvez envoyer des cartes iCards avec vos propres images personnalisées. Pour cela, enregistrez vos images au format GIF ou JPEG, puis copiez-les dans le dossier Pictures de votre iDisk. Elles apparaîtront alors comme options de la section “Create your own” lorsque vous créerez une iCard. Partez d’un modèle de page d’accueil de la section HomePage pour créer votre propre page Web en quelques minutes La section HomePage propose des modèles de pages Web que vous pouvez personnaliser avec votre propre texte et vos propres images. Les enseignants peuvent par exemple se servir des modèles consacrés à l’enseignement pour diffuser des nouvelles sur la classe, communiquer les devoirs à faire, ou informer les parents. Vous pouvez également recourir à l’album photo HomePage et aux modèles iMovie pour partager facilement vos images et films avec vos amis et votre famille. Créez un alias de votre iDisk pour y accéder directement Au lieu de vous connecter au Web manuellement pour ouvrir votre iDisk, vous pouvez sélectionner son icône puis choisir Créer un alias dans le menu Fichier. Dès que vous souhaiterez accéder à votre iDisk, il vous suffira d’un double-clic sur l’alias et de votre mot de passe. Utilisez KidSafe conjointement au tableau de bord Utilisateurs multiples Le tableau de bord Utilisateurs multiples vous permet de configurer votre ordinateur pour que toute la famille se le partage. Vous pouvez désormais configurer KidSafe pour chacun des comptes de vos enfants.28 Chapitre 2 Mise à jour automatique : maintenez automatiquement votre Mac à la pointe des nouveautés Mettre à jour maintenant Vérifiez instantanément sur les serveurs Internet d’Apple si des mises à jour sont disponibles pour vos logiciels. Le tableau de bord Mise à jour de logiciels affiche toutes les mises à jour disponibles à même d’assurer la continuité du fonctionnement optimal de votre Mac. Calendrier Programmez le jour et l’heure de vérification automatique des mises à jour de logiciels.Familiarisation avec votre ordinateur 29 Possibilités La mise à jour automatique se sert d’Internet pour télécharger (et même installer) automatiquement les mises à jour, gestionnaires et autres perfectionnements les plus récents depuis le site d’Apple. Vous pouvez même configurer votre Mac pour qu’il vérifie régulièrement le serveur d’Apple afin qu’il télécharge et installe les logiciels mis à jour. Marche à suivre 1 Connectez-vous à Internet. 2 Choisissez Tableaux de bord dans le menu Pomme et choisissez Mise à jour de logiciels dans le sous-menu. 3 Cliquez sur le bouton Mettre à jour maintenant. 4 Sélectionnez le logiciel que vous souhaitez mettre à jour et cliquez sur Installer. Conseils et astuces Programmez votre calendrier de mise à jour Si vous disposez d’une connexion permanente à Internet, vous pouvez programmer votre ordinateur pour qu’il vérifie à une certaine heure de certains jours si des mises à jour sont disponibles. Si vous disposez d’une connexion par appel et que vous n’êtes pas connecté, Mise à jour de logiciels vérifiera lors de la prochaine connexion. Installez automatiquement les nouveaux logiciels Vous pouvez configurer votre Mac pour qu’il vérifie chaque semaine si des mises à jour sont disponibles et qu’il les installe. Programmez le calendrier de recherche de mises à jour par votre ordinateur, puis désactivez l’option “Confirmation avant installation”. Pour en savoir plus Pour plus d’informations sur l’utilisation de Mise à jours de logiciels, consultez cette rubrique dans l’Aide Mac. Pour consulter les toutes dernières informations sur Mac OS, visitez le site Web de Mac OS sur www.apple.com/fr/macos 30 Chapitre 2 Utilisateurs multiples : transformez un seul Mac en plusieurs Comptes Définissez l’apparence de l’environnement de l’utilisateur. Si vous désirez contrôler l’accès de l’utilisateur à certaines applications, cliquez sur Limité ou sur Tableaux.Familiarisation avec votre ordinateur 31 Possibilités Grâce à Utilisateurs multiples, vous pouvez permettre à jusqu’à 40 utilisateurs différents de partager un même Mac, chacun d’eux disposant de ses propres réglages personnalisés et de son espace de stockage privé. Chaque utilisateur peut par exemple définir son propre fond d’écran, choisir son mode de tri, mémoriser des sites Web comme signets, ainsi que bien d’autres choses qui créent, en fait, un Mac personnalisé pour chaque individu. Vous pouvez également spécifier le niveau d’accès et la liberté de modification attribués à chaque utilisateur. Marche à suivre 1 Choisissez Tableaux de bord dans le menu Apple, puis Utilisateurs multiples dans le sousmenu. 2 Activez Comptes d’utilisateurs multiples. 3 Cliquez sur le bouton Options pour configurer des réglages multi-utilisateurs globaux, par exemple le message de bienvenue. 4 Cliquez sur le bouton Nouveau. 5 Saisissez les informations sur l’utilisateur, ses autorisations d’accès et ses applications. 6 Refermez le tableau de bord Utilisateurs multiples. À chaque démarrage de l’ordinateur, la fenêtre d’ouverture de session s’affichera. Pour revenir à cette fenêtre après qu’un autre utilisateur se soit connecté, choisissez “Fermer la session” dans le menu Spécial. Conseils et astuces Créez un mot de passe vocal Enregistrez-vous énonçant une phrase de type “Ma voix sert de mot de passe”. Votre Mac l’enregistrera pour comparaison. Lorsque vous désirerez ultérieurement vous connecter en énonçant cette phrase, votre Mac analysera les caractéristiques de votre voix pour s’assurer que c’est bien de vous qu’il s’agit. Pour en savoir plus Pour plus d’informations sur la configuration d’Utilisateurs multiples, y compris la création d’une empreinte vocale, recherchez Utilisateurs multiples dans l’Aide Mac. Pour les toutes dernières importations concernant Mac OS, rendez-vous sur le site Web Mac OS à l’adresse : www.apple.com/fr/macos 32 Chapitre 2 Apple.com : votre point de départ sur le World Wide Web Macintosh Products Guide www.apple.com/guide Pour vous procurer des accessoires et logiciels destinés à votre Mac, consultez ce site ou recherchez le symbole Mac. iCards www.apple.com/icards Servez-vous d’Internet pour envoyer des cartes postales à vos amis et proches (en anglais). iReview www.apple.com/ireview Votre guide personnel d’Internet, avec des revues et recommendations détaillées de sites allant du tourisme à la musique et au sport (en anglais).Familiarisation avec votre ordinateur 33 Assistance Apple www.apple.com/support Découvrez les plus récentes informations de dépannage, téléchargez des mises à jour de logiciels, renseignez-vous sur les formules de protection des produits, etc. Actualités Apple www.apple.com/fr/hotnews Souhaitez-vous consulter les plus récentes actualités d’Apple directement à la source ? Rendezvous sur Actualités Apple. Vous y trouverez des informations sur les mises à jour de logiciels pour votre Mac, des logiciels de tierces parties, des recommandations QuickTime, ainsi que des informations sur la prochaine manifestation Apple d’importance. The Apple Store www.apple.com/store Votre site d’achat exhaustif des plus récents logiciels et matériels Apple, y compris des logiciels et accessoires conçus par nos éditeurs tiers.34 Chapitre 2 Aide Mac : les réponses à toutes vos questions sur le Mac Recherche Une question ? Tapez-la ici, puis cliquez sur Rechercher.35 C H A P I T R E 3 3 Utilisation de votre ordinateur Le présent chapitre contient des explications ainsi que des procédures d’utilisation de votre ordinateur Power Mac G4. Vous y trouverez des instructions concernant les principales fonctionnalités de votre ordinateur, notamment le clavier et la souris, le modem, les ports FireWire et USB et le travail en réseau. Ce chapitre offre des explications sur les thèmes suivants : m “Utilisation du clavier et de la souris Apple Pro” à la page 36 m “Utilisation de périphériques USB” à la page 38 m “Utilisation de périphériques FireWire” à la page 40 m “Utilisation de votre lecteur de DVD” à la page 42 m “Utilisation de votre modem” à la page 44 m “Connexion à un réseau Ethernet” à la page 45 m “Utilisation d’un réseau AirPort sans fil” à la page 47 m “Suspension de l’activité de l’ordinateur pour économiser l’énergie” à la page 48 m “Connexion de périphériques SCSI à votre ordinateur” à la page 49 m “Transfert d’informations entre deux ordinateurs Apple” à la page 50 m “Utilisation de l’ordinateur comme serveur sans moniteur” à la page 5036 Chapitre 3 Utilisation du clavier et de la souris Apple Pro Vous pouvez rapidement régler certains paramètres, tels que le volume, ou éjecter des CD ou DVD à l’aide des commandes du clavier. Votre clavier Apple Pro possède des touches de fonctions raccourci que vous pouvez paramétrer afin d’ouvrir les logiciels ou documents que vous utilisez fréquemment. Par exemple, vous pouvez recourir à ces touches pour ouvrir votre navigateur Web, votre traitement de texte ou votre jeu préféré. Une fois que les logiciels sont ouverts, ces touches vous permettent d’alterner rapidement entre eux. Affectation de touches de fonctions raccourcis Affecter une touche de fonction à un logiciel est très simple. La première fois que vous actionnez l’une des touches de fonctions, une zone de dialogue s’ouvre pour vous permettre de les affecter à un logiciel. Vous pouvez ensuite modifier les affectations de touches de fonctions via le tableau de bord Frappe clavier. Utilisation des touches de fonctions standard Vous pouvez rapidement convertir une touche Contrôle ou de raccourci en touche de fonction standard en appuyant simultanément sur la touche concernée et sur Fn. Vous pouvez également recourir au tableau de bord Frappe clavier pour inverser les touches, afin que les touches de fonctions standard soient les principales et que les commandes à l’écran ainsi que les raccourcis soient secondaires. Touches de fonctions Touche de baisse du volume Touche de hausse du volume Touche Silence Touche d’éjectionUtilisation de votre ordinateur 37 Utilisation de la souris Apple Pro Pour positionner le pointeur à l’aide de votre souris, déplacez celle-ci sur n’importe quelle surface adaptée, telle que le bureau, le tapis de souris ou toute autre surface granuleuse (certaines surfaces lisses et unies ne permettent pas de contrôler le pointeur autant que d’autres). Pour cliquer sur un objet, appuyez une fois sur le corps de la souris, jusqu’à ce que vous ressentiez un clic. Pour faire un double-clic sur un élément, appuyez deux fois successivement et rapidement. Vous pouvez régler le toucher de votre souris en tournant le cadran situé au dos. Vous pouvez rendre la sensibilité du clic plus ou moins douce selon que vous tournez le cadran dans un sens ou dans l’autre. Informations complémentaires sur vos clavier et souris L’Aide Mac offre des informations complémentaires sur la configuration des commandes de clavier et des touches de fonctions raccourcis. Pour y accéder, choisissez Aide Mac dans le menu Aide et tapez “clavier” ou “souris” dans le champ de recherche. Si vous êtes en bout de course faute de place mais que vous voulez conserver le clic lorsque vous soulevez la souris, cliquez, puis appuyez sur les côtés avec le pouce et les doigts tandis que vous soulevez. Tournez le cadran du dos de la souris vers “+” pour plus de tension, vers “O” pour une tension moyenne, et vers “– ” pour une tension moindre.38 Chapitre 3 Utilisation de périphériques USB Votre Power Mac G4 est équipé d’origine de deux ports USB qui peuvent servir à connecter de nombreux types de périphériques externes, y compris imprimantes, appareils photo numériques, consoles et manettes de jeux, claviers et souris, ainsi que périphériques de stockage. La technologie USB facilite la connexion de matériel externe. Vous pouvez utiliser le périphérique dès son branchement, sans avoir à redémarrer votre ordinateur. Pour utiliser un périphérique USB avec votre ordinateur, connectez le périphérique à ce dernier. Ensuite, vous pouvez soit en installer le logiciel, soit configurer une seule fois votre ordinateur pour qu’il fonctionne avec le périphérique. Dès ce moment, votre ordinateur charge automatiquement le logiciel correct à chaque fois que vous y connectez le périphérique. Remarque : Apple fournit d’origine des logiciels compatibles avec de nombreux périphériques USB. Dans la plupart des cas, vous n’avez donc pas besoin d’installer le logiciel livré avec le périphérique. Si, lors du branchement d’un périphérique USB, votre Power Mac G4 ne parvient pas à localiser le logiciel correct, il vous demande de le rechercher sur Internet. Ports USB (2)Utilisation de votre ordinateur 39 Connexion de plusieurs périphériques USB Votre Power Mac G4 possède deux ports USB. Si vous souhaitez utiliser plus de deux périphériques, faites l’acquisition d’un concentrateur USB, qui se connecte à un port disponible de votre ordinateur et offre des ports USB supplémentaires (généralement quatre ou sept). Informations complémentaires sur la technologie USB L’Aide Mac offre des informations complémentaires sur la technologie USB. Pour y accéder, choisissez Aide Mac dans le menu Aide et tapez “USB” dans le champ de recherche. Des informations sont également disponibles sur le site Web USB d’Apple à l’adresse suivante : www.apple.com/fr/usb Pour toute information sur les périphériques USB disponibles pour votre ordinateur, consultez le Guide des produits Macintosh sur www.apple.com/guide (site multilingue). Concentrateur USB40 Chapitre 3 Utilisation de périphériques FireWire Votre ordinateur possède deux ports FireWire. FireWire est un système de transfert de données à haute vitesse qui vous permet de connecter et de déconnecter aisément des périphériques externes, tels que caméras vidéonumériques, imprimantes, scanners et disques durs. Vous pouvez connecter et déconnecter des périphériques FireWire sans redémarrrer votre ordinateur. La liste ci-dessous répertorie certaines des opérations possibles avec FireWire : m Connecter une caméra vidéonumérique et capturer ou transférer de la vidéo haute qualité directement vers l’ordinateur. Vous pouvez alors utiliser des logiciels de montage vidéo comme iMovie d’Apple pour modifier la vidéo. Votre kit d’accessoires comprend un câble FireWire standard 6 broches-4 broches qui sert à connecter la plupart des caméras vidéonumériques. m Connecter un lecteur de disque dur FireWire externe et s’en servir pour effectuer des copies de sauvegarde ou transférer des fichiers. Une icône de disque dur FireWire s’affiche sur votre bureau immédiatement après la connexion du lecteur à votre Power Mac G4. En outre, la plupart des disques durs FireWire étant alimentés par le câble FireWire, il est inutile de prévoir un bloc d’alimentation séparé. m Si vous rencontrez un problème avec votre ordinateur qui vous empêche de démarrer ou que vous souhaitez transférer des fichiers, vous pouvez utiliser FireWire pour connecter votre Power Mac G4 à un autre ordinateur, afin que votre Power Mac G4 s’affiche en tant que disque dur externe sur l’autre poste (fonction appelée “mode disque cible FireWire”). Pour utiliser un périphérique USB avec votre ordinateur, connectez le périphérique à ce dernier et installez tout logiciel fourni avec le périphérique. Votre ordinateur détecte automatiquement la connexion d’un nouveau périphérique. Pour démarrer à partir d’un disque dur FireWire doté de Mac OS, utilisez le tableau de bord Démarrage afin de sélectionner le disque dur FireWire en vue du démarrage. Si votre disque dur FireWire ne figure pas dans le tableau de bord ou que vous ne pouvez pas le sélectionner, contactez son revendeur pour obtenir des gestionnaires mis à jour. Ports FireWire (2)Utilisation de votre ordinateur 41 Mode disque cible FireWire Si vous rencontrez un problème avec votre ordinateur qui vous empêche de démarrer ou que vous souhaitez simplement transférer des fichiers, vous pouvez utiliser FireWire pour connecter votre Power Mac G4 à un autre ordinateur, afin que votre Power Mac G4 s’affiche en tant que disque dur externe sur l’autre poste. Pour connecter votre Power Mac G4 en mode disque cible FireWire : 1 Utilisez un câble FireWire standard muni d’un connecteur à 6 broches à chaque extrémité pour connecter votre Power Mac G4 à un autre ordinateur équipé de FireWire. 2 Démarrez ou redémarrez votre Power Mac G4 et maintenez immédiatement la touche T enfoncée. L’indicateur de mode disque FireWire s’affiche sur l’écran de votre Power Mac G4, tandis que l’icône de disque dur interne du Power Mac G4 s’affiche sur le bureau de l’autre ordinateur. 3 Une fois le transfert de fichiers terminé, faites glisser l’icône de disque dur du Power Mac G4 sur la corbeille pour démonter le lecteur. 4 Appuyez sur le bouton d’alimentation du Power Mac G4 pour l’éteindre, puis déconnectez le câble FireWire. Informations complémentaires sur la technologie FireWire L’Aide Mac offre des informations complémentaires sur la technologie FireWire, y compris sur l’établissement d’un réseau de périphériques FireWire. Pour y accéder, choisissez Aide Mac dans le menu Aide et tapez “FireWire” dans le champ de recherche. Des informations sont également disponibles sur le site Web FireWire d’Apple à l’adresse suivante : www.apple.com/ fr/firewire Pour toute information sur les périphériques FireWire disponibles pour votre ordinateur, consultez le Guide des produits Macintosh sur www.apple.com/guide (site multilingue). IMPORTANT La version 2.3.3 ou ultérieure de FireWire doit être installée sur l’ordinateur auquel vous connectez votre Power Mac G4. Vérifiez quelle est la version installée sur votre ordinateur en choisissant “Informations système Apple” dans le menu Pomme. Si vous possédez une version plus ancienne, consultez le site Web FireWire d’Apple sur www.apple.com/fr/firewire42 Chapitre 3 Utilisation de votre lecteur de DVD Vous pouvez installer ou exécuter des logiciels à partir de CD ou DVD à l’aide du lecteur de DVD. Vous pouvez également utiliser votre lecteur de DVD pour visionner des films sur DVD et des données multimédias sur CD-ROM ou écouter de la musique sur CD audio. Remarque : si vous possédez des logiciels anciens fournis sur disquettes, demandez à l’éditeur s’ils sont disponibles sur CD-ROM ou faites l’acquisition d’un lecteur de disquettes externe FireWire ou USB (tels qu’un LS120/SuperDisk) pour votre Power Mac G4 chez un distributeur Apple ou via le site Web The Apple Store (www.apple.com/store). Insertion d’un disque Pour installer ou utiliser des logiciels situés sur CD ou DVD, procédez comme suit : 1 L’ordinateur étant allumé, appuyez sur le bouton situé sur l’extérieur du lecteur. 2 Placez un disque dans le plateau en veillant à le poser bien à plat et l’étiquette vers le haut. 3 Appuyez sur le plateau pour le refermer. 4 Dès que l’icône du disque s’affiche à l’écran, le disque est prêt à être utilisé. Insertion d’un disque ou d’une cartouche DVD-RAM 1 Appuyez sur le bouton d’ouverture de la trappe du lecteur. 2 Insérez le disque ou la cartouche dans le plateau du lecteur. Saisissez le disque comme indiqué. Veillez à ne pas toucher la surface. Lecteur de DVD-RAMUtilisation de votre ordinateur 43 Éjection d’un disque ou d’une cartouche Un disque s’éjecte soit en faisant glisser son icône sur la corbeille, soit en appuyant sur la touche prévue à cet effet sur le clavier. Vous ne pouvez utiliser le bouton du lecteur pour éjecter un disque du lecteur de DVD. Si vous ne parvenez pas à éjecter un disque, essayez les solutions suivantes : 1 Éteignez l’ordinateur. 2 Abaissez délicatement la trappe qui masque le devant du plateau du lecteur et repérez le petit orifice situé à côte du bouton d’ouverture, sous le plateau. 3 Insérez délicatement dans cet orifice l’extrémité d’un trombone redressé. 4 Appuyez fermement jusqu’à ce que le plateau s’ouvre. 5 Tirez le plateau vers vous, enlevez le disque ou la cartouche DVD, puis appuyez sur le plateau pour le refermer. Lecture de disques DVD et audio Le lecteur de DVD vous permet de visionner des disques DVD-Vidéo sur votre ordinateur Power Mac G4. Insérez le DVD, puis ouvrez le logiciel Lecteur DVD Apple (situé dans le dossier Applications de votre disque dur). Pour écouter des CD audio standard, utilisez l’application Lecture audio AppleCD. Pour consulter l’aide de Lecture audio AppleCD, ouvrez le menu Aide une fois l’application lancée. Vous pouvez employer soit l’option Lecture automatique du tableau de bord Réglages QuickTime, soit le module Lecture de la barre des réglages pour contrôler la lecture des CD audio. Enfoncez la cartouche dans le lecteur jusqu’à ce que ce dernier se referme automatiquement.44 Chapitre 3 Informations complémentaires sur votre lecteur de DVD Pour obtenir des instructions d’utilisation du logiciel Lecteur DVD Apple, ouvrez ce logiciel et choisissez Aide Lecteur DVD Apple dans le menu Aide. L’Aide Mac offre des informations complémentaires sur l’utilisation de CD et de DVD. Pour y accéder, choisissez Aide Mac dans le menu Aide et tapez “CD” ou “DVD” dans le champ de recherche. Utilisation de votre modem Votre Macintosh est équipé d’origine d’un modem interne 56K V90 d’Apple. Pour connecter votre modem interne 56K V90 d’Apple, branchez une extrémité d’un câble téléphonique sur le port de modem situé au dos de l’ordinateur et l’autre extrémité sur une prise téléphonique murale RJ-11 standard. L’Aide Mac (du menu Aide) offre des informations complémentaires sur le modem interne. Utilisation d’un modem USB externe Pour connecter un modem USB externe, reliez-le au moyen d’un câble USB à un port USB disponible sur le clavier, l’ordinateur, le moniteur ou le concentrateur USB. Consultez la documentation du modem pour savoir s’il doit être connecté à une prise électrique. Consultez également les instructions d’installation d’un logiciel de modem et de connexion du modem à une ligne téléphonique. Port modem Icône du port modem IMPORTANT Veillez à connecter le modem interne à une ligne téléphonique analogique (type le plus courant chez les particuliers). Le modem ne fonctionnera pas avec une ligne numérique. ATTENTION Déconnectez votre modem de la prise téléphonique en cas d’orage. Cela évite que toute surtension n’endommage le modem.Utilisation de votre ordinateur 45 Connexion à un réseau Ethernet Votre ordinateur est équipé de fonctionnalités intégrées de réseau Ethernet à paire torsadée à 10/100/1000 mégabits par seconde (Mbps). La connexion à un réseau vous donné accès à d’autres ordinateurs et vous permet de stocker et de récupérer des informations, d’utiliser imprimantes de réseau, modems et messagerie électronique, ou encore de vous connecter à Internet. Vous pouvez également utiliser Ethernet afin de partager des fichiers entre deux ordinateurs ou d’établir un petit réseau. Si vous vous connectez à un réseau existant, vous pouvez obtenir des renseignements sur le réseau lui-même et sur les logiciels nécessaires à son utilisation auprès de l’administrateur qui le supervise. Avant de commencer, identifiez votre administrateur de réseau. Suivez les instructions ci-après lorsque vous sélectionnez un câble pour votre réseau : Connexion à un réseau Ethernet à paire torsadée Vous pouvez vous connecter directement à un réseau Ethernet 10/100/1000 à paire torsadée. Remarque : vous pouvez également connecter votre ordinateur à un réseau Ethernet utilisant des câbles coaxiaux fins. Pour cela, procurez-vous un adaptateur RJ-45–coaxial fin (disponible auprès d’autres fabricants). Adressez-vous à votre distributeur agréé Apple pour plus d’informations sur les adaptateurs Ethernet. Pour connecter votre Macintosh à un réseau 10/100/1000 centralisé à paire torsadée, procédez comme suit : 1 Connectez l’extrémité d’un câble à paire torsadée RJ-45 au port Ethernet de votre Macintosh. Type de port Ethernet à paire torsadée Utilisez des types de câbles à paire torsadée 10 Mbit Catégorie 3, 5 ou 6 100/1000 Mbit Catégorie 5 ou 646 Chapitre 3 2 Connectez l’autre extrémité à une prise murale RJ-45 ou à un concentrateur externe RJ-45 relié à un réseau Ethernet à paire torsadée. Après avoir démarré l’ordinateur, vous devez configurer votre logiciel de connexion au réseau. Votre administrateur de réseau peut vous fournir les informations nécessaires. Vous pouvez également obtenir de l’aide sur la configuration de votre logiciel de réseau en consultant l’Aide Mac (via le menu Aide). Informations complémentaires sur l’utilisation d’Ethernet Des informations complémentaires sont disponibles dans l’Aide Mac, y compris sur l’établissement d’un réseau Ethernet et sur le transfert de fichiers via ce protocole. Pour y accéder, choisissez Aide Mac dans le menu Aide et tapez “Ethernet” ou “réseau” dans le champ de recherche. Pour toute information sur les logiciels de réseau que vous pouvez utiliser avec votre Power Mac G4, consultez le Guide des produits Macintosh sur www.apple.com/guide (site multilingue). Port Ethernet (Ethernet à paire torsadée) Prise murale RJ-45 Câble Ethernet à paire torsadée Concentrateur ou commutateur Ethernet Utilisation de votre ordinateur 47 Utilisation d’un réseau AirPort sans fil AirPort offre une manière aisée et abordable d’accéder à Internet sans fil, que ce soit à domicile, au bureau ou en milieu éducatif. Au lieu de fonctionner avec des câbles classiques, AirPort fonctionne avec la technologie de réseau local (LAN) sans fil permettant une communication sans fil entre plusieurs ordinateurs. Un réseau sans fil vous permet, entre autres avantages, de configurer l’accès à Internet, de transférer des fichiers et de pratiquer des jeux à plusieurs. Votre Power Mac G4 est préconfiguré pour l’utilisation d’AirPort. Le seul élément à ajouter est une carte AirPort. Vous devez installer cette dernière dans un logement à l’intérieur de l’ordinateur et la connecter directement à l’extrémité du câble d’antenne intégré. Mode d’accès à Internet via AirPort Le système AirPort permet d’établir une connexion sans fil avec un appareil appelé borne d’accès qui dispose d’une connexion physique à Internet. La technologie AirPort fonctionne comme un téléphone sans fil. Le combiné du téléphone établit une connexion sans fil avec la borne, qui est reliée à la ligne téléphonique. De même, votre ordinateur établit une connexion sans fil avec la borne, qui est reliée soit à la ligne téléphonique, soit à votre réseau Ethernet. Borne d’accès AirPort Connexion téléphonique ou Ethernet48 Chapitre 3 Connexions de réseau sans fil Si vous installez une carte AirPort, vous pouvez : m Connecter votre ordinateur à un réseau disposant de l’accès sans fil. m Utiliser votre ordinateur pour permettre à d’autres ordinateurs d’accéder au réseau à l’aide de cartes sans fil. m Établir une connexion sans fil et partager des informations avec un autre ordinateur équipé d’une carte AirPort. Pour plus d’informations sur la manière d’atteindre le point d’accès du réseau sans fil, contactez votre administrateur de réseau. Si une carte AirPort optionnelle est branchée sur le connecteur de la carte mère de votre ordinateur, l’antenne intégrée située dans le boîtier de ce dernier peut servir à établir une connexion avec d’autres ordinateurs. Informations complémentaires sur AirPort Pour acquérir une carte ou une borne d’accès AirPort, adressez-vous à votre distributeur agréé Apple ou consultez le site Web The Apple Store sur www.apple.com/store L’Aide Mac offre des informations complémentaires sur la technologie AirPort. Choisissez Centre d’aide dans le menu Aide et sélectionnez Aide AirPort. Vous pouvez également obtenir des informations sur le site Web AirPort d’Apple à l’adresse suivante : www.apple.com/airport (en anglais). Suspension de l’activité de l’ordinateur pour économiser l’énergie Les ordinateurs Power Mac G4 sont configurés de manière à suspendre leur activité après une période d’inactivité. La suspension d’activité permet à votre ordinateur de consommer le minimum d’énergie. L’activité de l’ordinateur peut également être suspendue à tout moment. Remarque : bien qu’ils ne soient pas configurés d’origine pour la suspension d’activité, vous pouvez activer cette fonction sur les ordinateurs Macintosh Server G4. ATTENTION Plusieurs types d’objets placés près de l’ordinateur peuvent provoquer des interférences. Pour savoir comment éviter toute interférence, reportez-vous aux instructions fournies avec la carte AirPort ou avec la borne d’accès AirPort. Pour obtenir des informations supplémentaires, consultez la bibliothèque d’informations techniques Apple à l’adresse Internet suivante (en anglais) : til.info.apple.comUtilisation de votre ordinateur 49 Lorsque l’ordinateur suspend son activité, il enregistre les travaux en cours de façon à ce que vos applications, documents et réglages des tableaux de bord restent inchangés à la réactivation. Utilisez le tableau de bord Économies d’énergie, faisant partie du logiciel système de l’ordinateur, pour régler les paramètres de suspension d’activité. Pour économiser davantage l’énergie, vous pouvez soit débrancher l’ordinateur de la prise électrique, soit éteindre la multiprise (le cas échéant) lorsque l’ordinateur n’est pas en service. Pour suspendre l’activité de votre ordinateur, vous pouvez : m Appuyer sur le bouton d’alimentation situé à l’avant de l’ordinateur. m Sélectionner un mode de suspension d’activité dans le module Réglages d’énergie de la barre des réglages. m Choisissez “Suspendre l’activité” dans le menu Spécial. Lorsque l’activité de l’ordinateur est suspendue, le témoin d’alimentation situé sur le panneau avant clignote. Réactivez l’ordinateur en appuyant soit sur le bouton d’alimentation situé sur le panneau avant de l’ordinateur, soit sur n’importe quelle touche. Avec certains moniteurs Apple, vous pouvez également utiliser le bouton d’alimentation du moniteur pour suspendre l’activité de l’ordinateur et le réactiver. Les cartes PCI ou de rechange AGP ne sont pas toutes conformes aux normes de consommation électrique de l’ordinateur. Si vous installez une carte non conforme, l’activité de l’ordinateur peut toujours être suspendue, mais la quantité d’énergie économisée ne sera pas optimale. Vérifiez la conformité de la carte installée à l’aide de la section “Informations système Apple” (menu Pomme). Pour obtenir des informations supplémentaires sur les options d’économies d’énergie, consultez l’Aide Mac. Connexion de périphériques SCSI à votre ordinateur Certains modèles de Power Mac G4 sont équipés d’une carte SCSI bicanal Ultra 160, installée dans un logement PCI et reliée à un ou plusieurs disques durs SCSI internes. Vous pouvez installer un maximum de trois disques durs SCSI supplémentaires. Il est conseillé de ne connecter les disques durs SCSI Ultra 160 LVD qu’au port interne de la carte SCSI bicanal. Vous pouvez également connecter des périphériques SCSI externes, y compris des lecteurs plus anciens et plus lents, au port externe de la carte SCSI bicanal Ultra 160. La carte étant équipée de deux canaux, l’un relié au port interne et l’autre au port externe, la connexion de périphériques plus anciens au port externe ne ralentit pas la vitesse de transfert des disques durs internes. 50 Chapitre 3 Apple recommande de n’utiliser que des périphériques SCSI Ultra 160 LVD en tant que disques durs internes. Pour connecter des périphériques SCSI plus anciens dotés de connecteurs à 25 ou à 50 broches, tels que lecteurs Zip, scanners ou lecteurs DAT, vous devez soit acquérir des adaptateurs SCSI, soit acquérir et installer une carte PCI SCSI supplémentaire afin de gérer ces périphériques. Pour en savoir plus sur l’utilisation de divers types de périphériques SCSI avec votre ordinateur, consultez la bibliothèque d’informations techniques (Tech Info Library) du site Web d’Apple (en anglais) : til.info.apple.com Transfert d’informations entre deux ordinateurs Apple Si deux ordinateurs Apple ne sont pas configurés en réseau, vous pouvez transférer des informations entre eux en les reliant à l’aide d’un câble croisé Ethernet (ce qui a pour effet de créer un petit réseau constitué uniquement de deux ordinateurs). Après avoir relié le câble au port Ethernet de chaque ordinateur, vous pouvez soit activer le partage de fichier sur chacun de ces ordinateurs, soit configurer les réglages Ethernet des ordinateurs de manière à créer un petit réseau. Pour en savoir plus sur la configuration de ce type de connexion Ethernet, consultez l’Aide Mac. Vous pouvez également connecter deux ordinateurs Apple au moyen d’un câble FireWire. Cela vous permet d’utiliser le mode disque cible FireWire pour transférer des fichiers d’un ordinateur à un autre. Pour en savoir plus sur l’utilisation du mode disque cible FireWire, consultez la rubrique “Mode disque cible FireWire” à la page 41. Si vous disposez de l’accès à Internet, vous pouvez également transférer des fichiers via le Web sur votre zone de stockage iDisk (située dans iTools), afin de permettre leur téléchargement par vous ou par un autre utilisateur d’iTools. Pour en savoir plus sur iTools, consultez la rubrique “iTools : des services Internet gratuits pour les utilisateurs de Mac” à la page 26. Utilisation de l’ordinateur comme serveur sans moniteur Vous pouvez configurer votre ordinateur pour qu’il fonctionne en tant que serveur sans qu’il soit relié à un moniteur. Pour cela, procédez comme suit : 1 Pour installer votre ordinateur, y compris lui connecter un moniteur, une souris et un clavier, suivez toutes les procédures décrites plus haut. 2 Configurez votre logiciel serveur comme suit : m Configurez l’accès en réseau.Utilisation de votre ordinateur 51 m Configurez l’application Sécurité Assistant réseau d’Apple pour pouvoir contrôler le serveur. m Définissez des mots de passe pour l’accès au serveur. m Configurez l’activation des services AppleShare IP au démarrage du système. m Configurez l’ordinateur de façon à ce que son activité ne soit jamais suspendue. Les ordinateurs Macintosh Server G4 sont configurés de cette manière par défaut. 3 Assurez-vous que le réseau fonctionne correctement. 4 Éteignez le serveur, puis déconnectez le moniteur. 5 Allumez le serveur. Dès que vous allumez le serveur, les services AppleShare IP se lancent automatiquement après le démarrage du système. Si vous utilisez un logiciel d’accès distant, suivez les instructions fournies avec ce dernier pour accéder au serveur et le gérer.53 C H A P I T R E 4 4 Interventions à l’intérieur de l’ordinateur Ce chapitre vous offre des informations et des instructions destinées à vous guider lors d’interventions à l’intérieur de votre ordinateur. Vous y trouverez des instructions sur les opérations suivantes : m “Ouverture de l’ordinateur” à la page 54 m “Installation de modules de mémoire” à la page 56 m “Installation d’unités de stockage internes” à la page 58 m “Installation d’une carte d’extension PCI ou remplacement de la carte AGP” à la page 69 m “Installation d’une carte AirPort” à la page 73 m “Remplacement de la pile” à la page 74 ATTENTION Apple recommande de faire appel à un technicien agréé Apple pour effectuer l’installation de modules de mémoire, de cartes d’extension PCI et d’unités de stockage internes. Consultez les informations sur l’assistance technique fournies avec l’ordinateur pour savoir comment joindre un centre de maintenance agréé ou la société Apple. Si vous tentez d’installer vous-même ces composants, les dommages éventuels ne seront pas couverts par la garantie limitée de votre ordinateur. Adressez-vous à un distributeur ou à un centre de maintenance agréés Apple pour toute information complémentaire sur l’étendue de la garantie.54 Chapitre 4 Ouverture de l’ordinateur 1 Pour mettre votre ordinateur hors tension, choisissez Éteindre dans le menu Spécial. Patientez cinq minutes afin de laisser refroidir les composants internes. 2 Débranchez tous les câbles de l’ordinateur, excepté le cordon d’alimentation. 3 Touchez les capots d’accès PCI situés au dos de l’ordinateur afin de libérer toute charge d’électricité statique. Débranchez le cordon d’alimentation. ATTENTION Éteignez toujours l’ordinateur avant de l’ouvrir pour éviter d’endommager ses composants internes ou ceux que vous envisagez d’installer. N’ouvrez pas l’ordinateur et ne tentez pas d’y installer des éléments lorsqu’il est sous tension. Touchez la partie métallique des capots d’accès aux ports PCI. IMPORTANT Agissez toujours de même avant de toucher ou d’installer tout composant. Pour éviter de générer de l’électricité statique, ne vous déplacez pas dans la pièce avant d’avoir achevé l’installation du composant concerné et d’avoir refermé l’ordinateur. ATTENTION Le bloc d’alimentation de votre ordinateur est un composant haute tension à n’ouvrir sous aucun prétexte, même lorsque l’ordinateur est éteint. Si le bloc d’alimentation nécessite une intervention, contactez votre distributeur ou votre centre de maintenance agréés Apple.Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 55 4 Soulevez la poignée située sur le côté de l’ordinateur et abaissez délicatement le panneau latéral sur une surface plane, de préférence sur un chiffon doux et propre. Soulevez cette poignée pour ouvrir le panneau latéral. Abaissez délicatement le panneau latéral jusqu’à ce qu’il repose à plat.56 Chapitre 4 Installation de modules de mémoire Vous pouvez installer de la mémoire vive DRAM (Dynamic Random-access Memory) supplémentaire dans votre ordinateur en insérant des modules DIMM (Dual Inline Memory Modules) dans les quatre logements prévus à cet effet sur la carte mère. Vous pouvez augmenter la mémoire DRAM de votre ordinateur jusqu’à un maximum de 1 536 méga-octets (Mo). Utilisez la section “Informations système Apple” du menu Pomme pour vérifier la quantité de mémoire DRAM et de mémoire vidéo installée sur votre ordinateur. Si vous installez des modules DIMM de 512 Mo, ceux-ci doivent être en 256 mégabits (Mbit). Vous pouvez également installer des modules DIMM 256 Mo en 256 ou 128 Mbits. Vous pouvez installer des modules DIMM de tailles différentes dans n’importe quel ordre. Pour vérifier la compatibilité de ces modules, consultez le Guide des produits Macintosh sur le site Web d’Apple à l’adresse suivante : www.apple.com/guide (multilingue). Les modules DIMM doivent être conformes aux caractéristiques suivantes : m DRAM “PC-100” synchrone (SDRAM) m 3,3 volts ( V ) m Module 64 bits, 168 broches m Nombre maximal d’éléments de mémoire par module DIMM : 16 m Sans mémoire tampon ; ne pas utiliser de mémoire SDRAM à tampon ou à registre m La hauteur ne doit pas excéder 5 cm IMPORTANT Les modules DIMM des ordinateurs Macintosh plus anciens ne sont pas compatibles avec votre Power Mac G4. Seuls les modules DIMM “PC-100” des ordinateurs et serveurs Power Macintosh G3 et G4 récents sont compatibles. Vous ne devez donc pas utiliser des modules DIMM plus anciens, même s’il est possible de les insérer dans les logements prévus à cet effet.Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 57 1 Ouvrez les taquets des logements de modules DIMM à utiliser en appuyant dessus. 2 Alignez le module DIMM sur le logement DRAM comme illustré ci-dessous, puis enfoncez-le jusqu’à ce que les taquets s’emboîtent. 3 Refermez l’ordinateur. IMPORTANT Ne touchez pas les connecteurs du module DIMM. Tenez-les par les bords. Module DRAM (la forme et les composants de ce module peuvent varier.) Taquet (Le logement peut comporter un ou deux taquets. Pour être en position ouvert, ils doivent être écartés vers l’extérieur, comme illustré.) Le module DRAM est conçu pour ne s’emboîter que dans un sens. Veillez à aligner les encoches du modules avec les petits crans du logement. Après avoir ouvert les taquets (cf. illustration), enfoncez le module jusqu’à ce qu’il s’emboîte. Les taquets se referment automatiquement. Connecteurs Encoches Logement DRAM (1 des 4) Crans (à l’intérieur du logement)58 Chapitre 4 Installation d’unités de stockage internes Votre ordinateur compte cinq baies de lecteurs internes. Trois d’entre elles se trouvent dans la partie inférieure de l’ordinateur et les deux autres à l’avant, dans la partie supérieure. Sur de nombreux modèles, un disque dur unique est déjà installé à l’arrière, dans la partie inférieure. L’une des baies supérieures contient un lecteur de DVD-ROM ou de DVD-RAM, tandis que certains modèles offrent un lecteur Zip supplémentaire qui occupe l’autre baie supérieure. Vous pouvez ajouter des lecteurs SCSI et ATA dans les baies inférieures libres. Les lecteurs doivent être conformes aux caractéristiques suivantes : m Largeur : 102 mm m Profondeur : 147 mm m Hauteur : 2,54 cm (ATA), 4,06 cm (SCSI) L’ordinateur gère les types d’unités de stockage internes suivantes : m Unités ATA, y compris les unités ATA, ATA-2 et ATA-3 m Unités Ultra ATA m Unités Ultra-66 ATA m Unités Wide Ultra SCSI m Unités Ultra2 et Ultra160 LVD (Low Voltage Differential) SCSI m Lecteurs ATAPI, y compris de CD-ROM, DVD-ROM, DVD-RAM et Zip Pour en savoir plus sur les éléments nécessaires et les types de lecteurs gérés, contactez un distributeur agréé Apple ou consultez la section d’assistance technique du site Web d’Apple (multilingue) : www.apple.com/supportInterventions à l’intérieur de l’ordinateur 59 Installation de lecteurs Ultra ATA Votre Macintosh peut recevoir deux lecteurs ATA internes de 2,54 cm de hauteur dans le support en forme de U, au niveau du logement 3 de l’ordinateur. Si votre ordinateur est équipé d’un seul lecteur Ultra ATA, il est installé dans la partie inférieure de ce support en forme de U. Vous pouvez installer un second lecteur ATA dans la partie supérieure du support. 1 Configurez votre lecteur Ultra ATA en tant que lecteur secondaire (parfois désigné “lecteur asservi” ou “lecteur 1”). Le lecteur fourni avec votre Macintosh est désigné comme lecteur principal (parfois appelé “lecteur maître” ou “lecteur 0”). Votre Macintosh ne fonctionne pas avec les lecteurs Ultra ATA réglés sur le mode de sélection par câble. 2 Débranchez la fiche du cordon d’alimentation de la carte mère, ainsi que le câble plat du lecteur. Déconnectez la fiche d’alimentation en appuyant sur le poussoir situé du côté gauche de la fiche. Débranchez la fiche d’alimentation de la carte mère. (Vue de profil) Déconnectez le câble plat du disque dur.60 Chapitre 4 3 Enlevez la fiche d’alimentation du lecteur. Déconnectez la fiche d’alimentation du disque dur. Cette prise n’est pas munie de poussoir. Tirez vigoureusement car elle est fermement maintenue.Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 61 4 Enlevez la vis de fixation à tête plate du support, puis inclinez celui-ci vers le haut afin de le retirer de l’ordinateur. Enlevez la vis de fixation afin de libérer le support de disque. Inclinez le support vers le haut puis sortez-le délicatement de l’ordinateur.62 Chapitre 4 5 Installez le lecteur ATA dans le support en U. Remarque : les vis représentées distinctement dans l’illustration ci-dessous correspondent aux quatre vis à tête plate fournies avec le kit d’accessoires de votre ordinateur. Les vis représentées en estompé correspondent aux vis fournies avec le nouveau lecteur. Fixez un disque ATA supplémentaire (de 1" de hauteur) sur la partie supérieure du support en le visant par les côtés. Serrez d’abord les deux vis de ce côté. Ces deux languettes se replient vers l’intérieur tandis que vous serrez ces deux vis. Les disques ATA de 1" de hauteur se fixent par le dessous à la partie inférieure du support. Placez le disque dur sur le support de manière que le connecteur du câble plat et le connecteur du câble d’alimentation soient accessibles.Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 63 6 Remettez le support et le lecteur en place. 7 Réinsérez, dans le support, la vis de fixation à tête plate que vous avez enlevée à l’étape 4. Inclinez le disque dur puis glissez-le dans l’ordinateur. Veillez à ce que les deux languettes qui se trouvent sous le support s’engagent dans les fentes du fond de l’ordinateur. Remettez la vis de fixation du support de disque.64 Chapitre 4 8 Branchez les fiches d’alimentation sur les lecteurs de disques durs. Reconnectez la fiche d’alimentation à la carte mère. Veillez à bien l’engager fermement. Calez l’excédent de câbles d’alimentation sur les côtés des disques durs.Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 65 9 Reconnectez la fiche d’alimentation principale à la carte mère et le câble plat aux lecteurs. 10 Refermez l’ordinateur. Reconnectez la fiche d’alimentation à la carte mère. Reconnectez l’extrémité du câble plat ATA au disque ATA inférieur. Reliez le connecteur central au disque ATA supérieur.66 Chapitre 4 Installation de lecteurs Ultra160 LVD SCSI Si votre Macintosh est équipé d’un lecteur Ultra160 LVD SCSI interne, vous pouvez connecter jusqu’à deux lecteurs Ultra160 LVD SCSI supplémentaires à la carte et au câble PCI situés à l’intérieur de l’ordinateur. Ce câble est muni des connecteurs nécessaires et d’une terminaison intégrée afin de vous dispenser d’en ajouter. Si votre ordinateur est équipé d’un seul lecteur Ultra160 LVD SCSI, celui-ci est installé dans le logement 1, qui sert au démarrage de l’ordinateur. Remarque : si votre ordinateur n’est pas équipé de lecteur de disque dur SCSI, vous devez y installer une carte PCI SCSI pour pouvoir connecter des disques durs SCSI. Les procédures de connexion et de déconnexion d’un lecteur de disque dur SCSI et de retrait et d’insertion de supports sont pratiquement identiques aux instructions d’installation du lecteur ATA qui figurent à la page 59. Suivez les instructions du lecteur ATA lorsque vous installez un lecteur SCSI. Avant d’installer votre lecteur SCSI, tenez néanmoins compte des différences suivantes : Lorsque vous configurez votre lecteur de disque dur SCSI : Affectez un numéro d’identification SCSI unique à chaque nouvelle unité. Le premier lecteur d’origine a pour numéro d’identification SCSI 0, tandis que le second (le cas échéant) porte le numéro 1 et le troisième le numéro 2. Le numéro 7 est attribué à la carte PCI SCSI. Par conséquent, si vous attribuez l’un de ces numéros à un nouveau lecteur, il ne fonctionnera pas correctement.Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 67 Lorsque vous fixez le lecteur au support : Si vous installez un lecteur SCSI dans un ordinateur équipé d’origine d’un seul lecteur SCSI, placez-le dans le logement 3 (consultez la rubrique “Intérieur de votre Power Mac : options d’extension internes de votre ordinateur” à la page 18). N’installez pas de lecteur SCSI dans l’emplacement supérieur du logement en U. Les lecteurs SCSI de 1,6" de hauteur se fixent à la partie inférieure du support en les vissant par les côtés. Les lecteurs SCSI de 1" de hauteur se fixent à la partie inférieure du support en les vissant par le dessous. Placez le disque dur sur le support de manière que le connecteur du câble plat et le connecteur du câble d’alimentation soient accessibles.68 Chapitre 4 Remarque : les vis représentées distinctement dans l’illustration précédente correspondent aux quatre vis à tête plate fournies avec le kit d’accessoires de votre ordinateur. Les vis estompées illustrées ci-dessous correspondent aux vis livrées avec le nouveau lecteur. Lorsque vous remettez le support en place et que vous reconnectez les câbles du lecteur : Fixez les disques SCSI supplémentaires (de 1" ou 1,6" de hauteur) aux deux supports plats en les vissant par le dessous. Placez le disque dur sur le support de manière que le connecteur du câble plat et le connecteur du câble d’alimentation soient accessibles. Fixez le lecteur à l’aide des quatres vis fournies avec celui-ci. Si votre ordinateur a été fourni avec un disque dur SCSI installé dans le logement 1 et que vous installez un disque dur SCSI dans le logement 2 ou 3, placez le câble plat sur les disques. Pour que ce câble repose à plat, vous pouvez le fixer à l’aide de ruban adhésif double-face. Terminaison SCSI Carte PCI SCSI En fonction du type de carte PCI SCSI, il se peut que le câble plat se connecte à un emplacement différent. Assurez vous que les connecteurs du câble d’alimentation et du câble plat soient tous fermement connectés à tous les lecteurs et à la carte PCI SCSI.Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 69 Installation d’une carte d’extension PCI ou remplacement de la carte AGP Vous pouvez accroître les capacités de votre Power Mac G4 en installant des cartes dans ses logements d’extension. L’ordinateur est équipé de quatre logements d’extension, dont trois sont conçus pour les cartes d’extension PCI (Peripheral Component Interconnect) et un est prévu pour une carte AGP. Les cartes AGP et PCI étant munies de connecteurs différents, vous ne pouvez pas insérer une carte PCI dans un logement destiné à une carte AGP. À propos des cartes AGP Votre carte AGP, installée dans le logement 1, fournit le port moniteur de l’ordinateur. Le logement 1 est spécialement conçu pour accepter des cartes AGP à largeur de données en 32 bits. Ce logement à 66 MHz reçoit des cartes AGP 1X et AGP 2X à 3,3 volts ( V ). Vous pouvez remplacer la carte fournie avec votre ordinateur par une carte AGP 1X, 2X ou 4X fonctionnant également à double vitesse. Une carte de rechange AGP doit être reliée à un périphérique compatible avec Mac OS. La quantité totale d’énergie consommée par une carte de rechange AGP ne doit pas excéder 8 watts ( W ). La mémoire vidéo est fournie par des modules de mémoire DRAM synchrone (SDRAM) inclus sur la carte graphique AGP. Les modèles Macintosh standard intègrent 16 Mo de mémoire vidéo SDRAM. À propos des cartes d’extension PCI Votre Macintosh compte trois logements d’extension (numéros 2, 3 et 4) qui acceptent des cartes PCI d’une longueur maximale de 30 mm. Sur certains modèles, une carte PCI SCSI occupe déjà l’un de ces logements. Installez uniquement des cartes d’extension fournies avec les logiciels gestionnaires Macintosh et compatibles avec la norme PCI 2.1. Les trois logements PCI peuvent recevoir des cartes à tension mixte (5 V ou 3,3 V ) cadencée à 33 MHz en 32 ou 64 bits. Vous pouvez installer une carte cadencée à 66 MHz dans un logement PCI si la carte fonctionne également à la fréquence inférieure de 33 MHz. La quantité totale d’énergie consommée par les trois cartes d’extension PCI ne doit pas excéder 45 watts ( W ). ATTENTION N’installez pas de cartes fonctionnant uniquement en 66 MHz dans ces trois logements PCI. Cela risquerait d’endommager votre matériel. Si vous possédez une carte cadencée à 66 MHz, vérifiez auprès de son fabricant si elle fonctionne également en 33 MHz.70 Chapitre 4 Installation de votre carte Vous pouvez uniquement installer une carte AGP dans le logement 1. Installez les cartes d’extension PCI dans les logements PCI numérotés 1, 2, 3 et 4. 1 Enlevez la vis qui maintient le capot d’accès aux ports et retirez le capot. m Pour retirer une carte installée dans l’ordinateur, enlevez les vis qui la maintiennent, puis extrayez la carte du logement. Capot d’accès au port Retirez la vis qui maintient le capot d’accès au port.Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 71 2 Sortez la carte à installer de son sachet antistatique en la tenant par les coins et en veillant à ne toucher ni le connecteur en or, ni aucun des composants. 3 Alignez le connecteur de la carte avec le logement d’extension, puis appuyez jusqu’à ce que le connecteur soit inséré à fond. Si vous installez une carte 12 pouces, assurez-vous que la carte s’engage dans le guide adéquat, situé à l’avant de l’ordinateur. Ouverture de l’accès au pot Logement PC Remettez la vis afin de maintenir la carte. Si la carte PCI que vous installez est de la dimension maximale (12 pouces), assurez-vous qu’elle est adaptée à l’un de ces quatre logements.72 Chapitre 4 Enfoncez la carte délicatement mais fermement jusqu’à ce que le connecteur soit inséré à fond. m Ne balancez pas la carte d’un côté à l’autre, enfoncez-la au contraire verticalement. m Insérez la carte sans forcer. En cas de résistance, retirez la carte. Vérifiez si le connecteur et le logement sont endommagés ou obstrués, puis essayez à nouveau. m Tirez légèrement sur la carte pour voir si elle est correctement connectée. Si elle résiste, reste en place et que ses connecteurs en or sont à peine visibles, la carte est connectée. 4 Réinsérez la vis du capot d’accès aux ports, puis serrez-la afin de maintenir la carte. 5 Refermez l’ordinateur. ATTENTION Si vous avez enlevé une carte sans en installer d’autre, veillez à recouvrir le logement vide au moyen d’un capot d’accès. Ne laissez jamais un logement vide à découvert. Cela risque d’affecter la ventilation qui maintient la température des composants internes et de provoquer des dégâts.Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 73 Installation d’une carte AirPort 1 Positionnez la carte AirPort avec les numéros d’identification et le code-barre vers le haut, puis introduisez-la dans le connecteur prévu à cet effet. 2 Fixez soigneusement le fil d’antenne coaxial au port situé à l’extrémité de la carte AirPort. Ce fil est généralement rangé sur le côté du guide pour cartes PCI. Ne courbez ni ne pincez excessivement ce fil. 3 Refermez l’ordinateur. Connectez le fil d’antenne dans l’orifice situé à l’extrémité de la carte Airport. Le fil d’antenne se range ici lorsqu’il n’est pas utilisé. Insérez la carte AirPort code-barre vers le haut jusqu’à ce qu’elle soit encastrée fermement dans le connecteur. Connecteur de carte AirPort74 Chapitre 4 Remplacement de la pile Votre ordinateur est équipé d’une pile 3,6 V au lithium installée sur la carte mère. Des problèmes intermittents lors du démarrage de l’ordinateur ou des changements aléatoires de dates et d’heure indiquent qu’il est temps de changer la pile. Vous pouvez acquérir une pile de rechange auprès d’un distributeur agréé Apple. 1 Enlevez la pile de son réceptacle en observant les polarités. (Les signes plus et moins figurent sur le réceptacle et également à côté de ce dernier.) IMPORTANT Les piles contiennent des substances toxiques pour l’environnement. Veillez à vous débarrasser des piles usagées en préservant la nature et en respectant la réglementation en vigueur dans votre pays. Sortez la pile de son réceptacle en la tirant vers le haut. Il peut s’avérer nécessaire d’écarter légèrement ces languettes pour libérer la pile. Écartez-les délicatement pour ne pas les briser.Interventions à l’intérieur de l’ordinateur 75 2 Introduisez la pile neuve dans le réceptacle en respectant les polarités. 3 Refermez l’ordinateur. ATTENTION Une mise en place incorrecte de la pile peut provoquer une explosion. Veillez absolument à respecter les polarités. Utilisez uniquement une pile du même type ou une pile approuvée par le fabricant de la pile d’origine.77 C H A P I T R E 5 5 Dépannage En cas de problèmes de fonctionnement de l’ordinateur, voici quelques suggestions susceptibles d’y remédier. Si l’ordinateur ne répond pas ou que le pointeur est bloqué : Assurez-vous tout d’abord que la souris et le clavier sont connectés. m Débranchez puis rebranchez les connecteurs et vérifiez qu’ils sont correctement insérés. Essayez ensuite d’annuler l’opération en cours. m Appuyez simultanément sur les touches Commande (x) et Q pour tenter de quitter l’application en cours d’utilisation. m Appuyez simultanément sur les touches Commande (x) et point, puis si une zone de dialogue apparaît, cliquez sur Annuler. m Si le problème persiste, maintenez les touches Option et Commande (x) enfoncées, puis appuyez sur la touche Esc. Si une zone de dialogue apparaît, cliquez sur Quitter. Redémarrez l’ordinateur en choisissant Redémarrer dans le menu Spécial du Finder afin de vous assurer que le problème est entièrement résolu. m Appuyez sur le bouton de réinitialisation situé sur le devant de l’ordinateur (signalé par le symbole π ). m Si le problème persiste, maintenez le bouton d’alimentation situé sur le devant de l’ordinateur enfoncé pendant 5 secondes. Après la mise hors tension de l’ordinateur, appuyez à nouveau sur ce bouton pour le redémarrer. m Si toutes les autres méthodes ont échoué, débranchez puis rebranchez le cordon d’alimentation et appuyez sur le bouton d’alimentation situé sur le panneau avant pour redémarrer l’ordinateur. m Si le problème ne survient qu’avec un logiciel particulier, vérifiez auprès de son éditeur s’il est compatible avec votre ordinateur. m Si le problème survient fréquemment, choisissez Aide Mac dans le menu Aide. Consultez la rubrique consacrée à la résolution de problèmes. Il est possible que vous deviez résoudre d’éventuels conflits d’extension ou réinstaller le logiciel système.78 Chapitre 5 Si l’ordinateur se bloque lors du démarrage ou qu’une icône marquée d’un point d’interrogation apparaît et clignote pendant plus d’une minute : Désactivez les extensions système. m Démarrez votre ordinateur tout en maintenant la touche Majuscule enfoncée. Si le problème persiste, démarrez votre ordinateur à l’aide du CD contenant le logiciel système. m Insérez votre CD contenant le logiciel système, puis démarrez l’ordinateur tout en maintenant la touche “C” enfoncée (en veillant à ce que la touche de verrouillage des majuscules ne soit pas enfoncée). m Après le démarrage de l’ordinateur, consultez les informations de dépannage disponibles dans l’aide électronique. Choisissez Aide Mac dans le menu Aide. Consultez la rubrique consacrée à la résolution de problèmes. Il est possible que vous deviez résoudre d’éventuels conflits d’extension ou réinstaller le logiciel système. Si l’ordinateur ne s’allume pas ou ne démarre pas : Assurez-vous que le cordon d’alimentation est branché sur une prise de courant en état de fonctionnement. m La fiche du cordon d’alimentation doit être totalement insérée dans la prise de l’ordinateur pour que celui-ci fonctionne correctement. Réinitialisez la mémoire des paramètres (PRAM). m Démarrez l’ordinateur et appuyez immédiatement sur les touches Commande (x), Option, P et R jusqu’à ce que la seconde tonalité de démarrage retentisse. Sélectionnez ensuite votre disque dur comme disque de démarrage dans le tableau de bord Démarrage. Si cela ne fonctionne pas ou que l’ordinateur émet des tonalités au démarrage : m Si vous avez récemment installé de la mémoire supplémentaire, une carte d’extension PCI ou tout autre composant interne, assurez-vous qu’il est correctement installé et qu’il est compatible avec votre ordinateur. Essayez de l’enlever pour savoir si l’ordinateur peut démarrer. m Contactez un centre de maintenance agréé Apple. Problèmes de logiciels Si vous rencontrez un problème lié à une application : m Pour les problèmes liés à un logiciel autre qu’Apple, contactez l’éditeur concerné. Si vous rencontrez un problème lié à l’utilisation de votre ordinateur ou de Mac OS : m Consultez le centre d’aide (via le menu Aide) pour obtenir des instructions ainsi que des informations de dépannage.Dépannage 79 m Pour obtenir les dernières informations de dépannage et mises à jour de logiciels, consultez le site Web d’Apple sur Internet à l’adresse suivante : www.apple.com/support Si vous rencontrez un problème lié à la communication sans fil : m Assurez-vous d’avoir correctement configuré le logiciel. m Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé et dispose d’un point d’accès sans fil. m Assurez-vous d’être à portée de l’autre ordinateur ou du point d’accès au réseau. Si des appareils électroniques ou des structures métalliques se situent à proximité de l’ordinateur, ils peuvent provoquer des interférences et réduire cette distance. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en réorientant l’ordinateur. m Pour en savoir plus, consultez l’Aide Mac (du menu Aide) et les instructions du périphérique sans fil. Problèmes de moniteur Aucune image ne s’affiche à l’écran. m Assurez-vous que le moniteur et l’ordinateur sont sous tension. m Vérifiez que les câbles sont correctement connectés à l’ordinateur ainsi qu’au moniteur. m Assurez-vous que votre ordinateur n’est pas en suspension d’activité. Appuyez sur le bouton d’alimentation pour voir si cela réactive l’ordinateur. m Assurez-vous que la luminosité et le contraste du moniteur sont réglés correctement. Sur certains modèles, vous pouvez régler ces derniers directement grâce à des commandes situées sur ou sous la face avant du moniteur. L’image à l’écran est estompée ou vacille. m Réglez la luminosité ainsi que le contraste. Sur certains modèles, vous pouvez régler ces derniers directement grâce à des commandes situées sur ou sous la face avant du moniteur. En fonction de l’aspect plus ou moins estompé que présente votre moniteur, vous pouvez peut-être régler la luminosité ou le contraste via le tableau de bord Moniteurs. m Étalonnez le moniteur à l’aide de l’option Étalonner du tableau de bord Moniteurs. ATTENTION Si vous rencontrez un problème avec votre moniteur Apple et que vous ne parvenez pas à le résoudre avec les solutions de ce manuel, sollicitez l’assistance d’un centre de maintenance agréé ou de la société Apple. Si vous tentez de le réparer par vos propres moyens, les dommages éventuels ne seront pas couverts par la garantie limitée de votre moniteur. Adressez-vous à un distributeur ou à un centre de maintenance agréés Apple pour toute information complémentaire sur l’étendue de la garantie.80 Chapitre 5 m Il se peut que le vacillement soit dû à des interférences provoquées par la proximité d’une ligne ou d’un appareil électriques, tel qu’une radio, un four à micro-ondes ou un autre ordinateur. Essayez de repositionner les appareils électriques situés à proximité ou de déplacer le moniteur et l’ordinateur. L’écran n’affiche pas les couleurs ou celles-ci présentent un aspect inhabituel. m Assurez-vous que le moniteur est fermement relié à l’ordinateur. m Il peut être utile d’étalonner le moniteur dans le tableau de bord Moniteurs. Consultez l’Aide Mac pour en savoir plus sur l’affichage des couleurs et votre moniteur. m Ouvrez le tableau de bord Moniteurs et assurez-vous que votre moniteur est réglé sur l’affichage des couleurs. Consultez l’Aide Mac pour en savoir plus sur l’affichage des couleurs et votre moniteur. Les icônes du bureau sont repositionnées après que vous ayez modifié la résolution de l’écran. m Modifier la résolution de l’écran se répercute sur l’affichage des informations à l’écran. Il se peut que le système d’exploitation repositionne automatiquement les icônes une fois que vous avez modifié la résolution de l’écran. L’écran se fige. m Si vous utilisez à la fois le tableau de bord Économies d’énergie et un économiseur d’écran, il se peut que ce dernier soit incompatible avec le tableau de bord. Pour y remédier, désactivez soit l’économiseur d’écran, soit le tableau de bord Économies d’énergie, puis redémarrez votre ordinateur. Le voyant situé sur le devant du moniteur clignote. Sur certains moniteurs Apple à écran plat, il se peut que le voyant d’alimentation clignote par intermittence lorsqu’une erreur a été détectée. m Si vous constatez une série de trois clignotements brefs répétés, cela signifie que le moniteur a détecté une entrée vidéo au format incorrect. Vérifiez que votre moniteur est compatible avec la carte graphique dont votre ordinateur est équipé et que vous avez installé le logiciel correct si votre moniteur était accompagné d’un logiciel d’installation. m Si vous constatez une série de deux clignotements brefs suivis d’un long, cela signifie que le moniteur a détecté un problème de lampe de rétro-éclairage. Contactez un distributeur ou un centre de maintenance agréés Apple. 81 A N N E X E A A Caractéristiques Caractéristiques du processeur et de la mémoire Processeur m Processeur PowerPC™ G4, 1 méga-octet (Mo) de mémoire cache postérieure par processeur (certaines configurations disposent de deux processeurs) Mémoire vive m Minimum de 64 méga-octets (Mo) de SDRAM (Synchronous Dynamic Random-Access Memory), maximum de 1 536 Mo m La totalité de la mémoire vive SDRAM est installée en modules amovibles DIMM. m Quatre logements sont disponibles pour les modules DIMM de type : m SDRAM “PC-100” m Modules DIMM de 32, 64, 128, 256 ou 512 Mo m Tout module DIMM de 256 Mo que vous utilisez doit posséder des éléments à technologie 128 ou 256 mégabits (Mbit) ; les modules de 512 Mo doivent posséder des éléments à technologie 256 mégabits (Mbit). m 3,3 volts ( V ), sans tampon, 64 bits, 168 broches Le logiciel système Mac OS fournit des informations sur votre ordinateur, y compris la quantité de mémoire. Dimensions et conditions de fonctionnement Dimensions m Poids : 13,6 kg Le poids inclut la configuration de base, un lecteur de DVD-ROM ou de DVD-RAM et un disque dur. Le poids peut être plus élevé si d’autres composants ont été installés. m Hauteur : 432 mm m Largeur : 227 mm m Profondeur : 468 mm82 Annexe A Conditions de fonctionnement m Température de fonctionnement : de 10º à 35ºC m Température de stockage : de 40º à 47ºC m Humidité relative : de 5 % à 95 % sans condensation m Altitude : de 0 à 3048 mètres Caractéristiques du lecteur de DVD-ROM m Diamètres de disques gérés : 12 cm (4,7 pouces) Capacité de stockage m CD-ROM : 656 Mo, mode 1, 748 Mo, mode 2 m DVD-ROM : 4,7 giga-octets (Go), monoface, monocouche ; 8,5 Go, monoface, bicouche ; 9,4 Go, biface, monocouche ; 17 Go, biface, bicouche. m DVD-RAM : 4,7 Go, monoface, monocouche m DVD-R : 3,95 Go, monoface, monocouche m CD audio : 74 minutes et 42 secondes de durée d’écoute Caractéristiques du lecteur de DVD-RAM (en option) m Diamètres de disques gérés : 12 cm (4,7 pouces) Capacité de stockage m CD-ROM : 656 Mo, mode 1, 748 Mo, mode 2 m DVD-ROM : 4,7 giga-octets (Go), monoface, monocouche ; 8,5 Go, monoface, bicouche ; 9,4 Go, biface, monocouche ; 17 Go, biface, bicouche m DVD-RAM : 2,6 Go, monoface, monocouche ; 4,7 Go, monoface, monocouche ; 5,2 Go, biface, monocouche ; 9,4 Go, biface, monocouche m DVD-R : 3,95 Go, monoface, monocouche ; 4,7 Go, monoface, monocouche m CD audio : 74 minutes et 42 secondes de durée d’écoute Caractéristiques USB m Deux ports USB type A externes et un interne m Chaque port se trouve sur un canal USB à 12 mégabits par seconde (Mbps) distinct. m Un maximum de 500 milliampères (mA) à 5 volts ( V ) est disponible par port, pour un total de 1 ampère. Caractéristiques FireWire m Carte mère : deux connecteurs externes FireWire standard à 6 broches m Vitesse de transfert : 100, 200 et 400 MbpsCaractéristiques 83 Puissance m Plage de tension en entrée : 8 à 33 V m Plage de courant en entrée : environ 1 watt ( W ) m Plage de tension en sortie : environ 13 à 30 V m Plage de courant en sortie : jusqu’à 15 W Caractéristiques Ethernet m Conforme aux directives IEEE 802.3 m Longueur maximale du câble : 100 mètres (m) m Protocoles : Open Transport, AppleShare, AppleTalk, NetWare pour Macintosh, TCP/IP m Connecteur : RJ-45 pour 10Base-T, 100Base-TX et 1000Base-T m Média, 10Base-T : UTP catégorie 3 ou supérieures sur 2 paires jusqu’à 100 m m Média, 100Base-TX : UTP catégorie 5 sur 2 paires jusqu’à 100 m m Média, 1000Base-T : UTP catégorie 5 et 6 sur 4 paires jusqu’à 100 m m Vitesses de canal : auto-négociation IEEE de 10Base-T, 100Base-TX et 1000Base-T Caractéristiques du modem Modem m Protocoles de communication : K56Flex et V90 m Vitesse : 53 kilobits par seconde (Kbps) m Protocole de télécopie : ITU V.17 Caractéristiques de la carte AirPort optionnelle m Vitesse de transmission de données sans fil : 11 Mbps maximum m Portée : 90 m (le débit peut varier en fonction des conditions ambiantes) m Bande de fréquences : 2,4 à 2,5 gigahertz (GHz) m Puissance de sortie radio : 15 dBm (nominal) Compatibilité m Norme 802.11 DSSS (Direct Sequence Spread Spectrum) 1,2 Mbps m Norme à l’étude 802.11 DSSS HR 11 Mbps 84 Annexe A Caractéristiques d’entrée et de sortie audio m Son stéréo 16 bits avec des taux d’échantillonnage de 44,1 kilohertz (kHz) Entrée audio à l’aide du port d’entrée audio m Impédance d’entrée : supérieure à 4 kilohms pour les gains supérieurs à 23 dB ; supérieure à 25 kilohms pour les gains inférieurs à 23 dB m Tension maximale en entrée sans distorsion : 3 volts ( V ) pic à pic m Plage de tension du microphone de niveau ligne : 28 millivolts (mV ) à 2,5 V pic à pic Sortie audio à l’aide du port de sortie audio m Niveau de sortie grandeur réelle : 3 V pic à pic avec une charge de 5 kilohms Bruit, distorsion et bande passante m Rapport signal/bruit en entrée (SNR) inférieur à 82 dB non pondéré (en général) pour enregistrement sur le disque système ou la mémoire principale m Rapport signal/bruit en sortie (SNR) inférieur à 80 dB non pondéré (en général) m Distorsion : distorsion harmonique totale : 0,08 pour cent m Bande passante : de 20 hertz (Hz) à 20 kilohertz (kHz) Contrôleur graphique m Contrôleur graphique : carte AGP munie d’un connecteur ADP pour moniteur Apple et d’un connecteur VGA Modes d’affichage vidéo Il est possible que votre moniteur ne gère pas toutes les définitions énumérées ici. Pour consulter les caractéristiques techniques spécifiques à votre moniteur, rendez-vous sur le site Web d’Apple et recherchez le modèle en question : www.apple.com/store Port VGA m 640 x 480 à 60, 67, 72, 75, 85, 90, 100, 120 Hz m 800 x 600 à 56, 60, 72, 75, 85, 90, 100, 120 Hz m 832 x 624 à 75 Hz m 1024 x 768 à 60, 70, 75, 85, 90, 100, 120 Hz m 1152 x 870 à 75 Hz m 1280 x 960 à 75 Hz m 1280 x 1024 à 60, 75, 80 Hz m 1600 x 1200 à 60, 65, 70, 75, 85 Hz m 1920 x 1080 à 60, 72, 76 HzCaractéristiques 85 Port ADP de moniteur Apple m 640 x 480 m 640 x 480 (étiré) m 800 x 500 m 800 x 600 m 800 x 512 (pixel doublé) m 800 x 600 (étiré) m 832 x 624 m 1024 x 640 m 1024 x 768 m 1024 x 768 (étiré) m 1280 x 800 m 1280 x 1024 m 1600 x 1024 m 1600 x 1200 Alimentation Entrée de ligne CA m Courant/tension de ligne : courant alternatif (CA) 100/120 volts ( V ), 8 ampères (A) et CA 200/240 V ; 4,5 A, rms, monophasé, à réglage manuel par commutateur. m Fréquence : 50/60 hertz (Hz) Sortie de moniteur CC : m 4 ampères (A) maximum à 28 V, CC Alimentation des périphériques que vous pouvez connecter Cartes d’extension m La consommation maximale de la carte AGP est de 8 watts ( W ). m La consommation maximale des trois cartes PCI combinées est de 45 W. Périphériques USB m Chacun des ports USB intégrés dispose de 500 milliampères (mA). Périphériques FireWire m L’ordinateur peut délivrer jusqu’à 15 W au total aux ports FireWire.86 Annexe A Horloge et pile du système m Circuit CMOS à pile longue durée au lithium. Vous pouvez remplacer la pile de l’ordinateur, que vous pouvez vous procurer auprès d’un distributeur agréé Apple.87 A N N E X E B B Environnement de travail, sécurité et entretien Cette annexe contient d’importantes informations concernant les consignes de sécurité, l’entretien et l’aménagement de l’espace de travail en vue de l’utilisation de votre ordinateur et de votre moniteur. Consignes de sécurité importantes Le seul moyen de couper totalement l’alimentation de votre ordinateur consiste à en débrancher le câble d’alimentation de la principale source d’alimentation. De la même façon, pour déconnecter complètement votre moniteur, vous devez en débrancher le câble d’alimentation au niveau de l’ordinateur ou autre prise de courant. Assurez-vous qu’au moins une extrémité de ce câble est à portée de main afin de pouvoir débrancher l’ordinateur en cas de besoin. Pour votre propre sécurité et celle de votre matériel, respectez toujours les consignes suivantes. Débranchez la prise d’alimentation de votre ordinateur ou de votre moniteur dans les situations suivantes : m Le câble ou la prise d’alimentation sont effilochés ou endommagés. m Vous avez renversé du liquide dans le boîtier. m L’ordinateur ou le moniteur sont exposés à la pluie ou à une humidité excessive. m L’ordinateur a subi un choc ou son boîtier a été endommagé de quelque autre façon. m Vous pensez que l’ordinateur ou le moniteur nécessitent une intervention ou une réparation. m Vous souhaitez nettoyer le boîtier de l’ordinateur ou l’écran du moniteur. 88 Annexe B Pour prévenir les accidents et éviter d’endommager votre ordinateur ou votre moniteur, veillez à toujours observer les consignes suivantes : m Maintenez votre ordinateur éloigné de toute source de liquide et d’humidité. m Ne placez aucun objet sur le dessus de l’ordinateur ou du moniteur. m Veillez à ce que les grilles d’aération de l’ordinateur et du moniteur ne soient pas obstruées. m Ne retirez jamais le boîtier du moniteur et n’ouvrez jamais l’ordinateur lorsque celui-ci est en fonctionnement. Vous risqueriez de recevoir une décharge électrique. m En cas d’orage, déconnectez votre modem de la prise murale afin d’empêcher une surcharge électrique d’endommager le modem. Votre Macintosh est équipé d’une prise de terre à trois broches, la troisième reliant l’ordinateur à la terre. Il s’agit d’une mesure de sécurité. Ne modifiez pas la fiche pour pouvoir l’insérer dans une prise non reliée à la terre. Faites appel à un électricien agréé pour installer une prise correctement reliée à la terre. Ne dérogez en aucun cas à cette consigne. Procédez avec soin lorsque vous soulevez ou déplacez l’ordinateur ou le moniteur. Pour soulever l’appareil, veillez à suivre la procédure recommandée qui consiste à fléchir les jambes. Lorsque vous déplacez le moniteur, veillez à orienter l’écran vers vous. Ne portez pas le moniteur en le tenant par son support. Le matériel électrique peut être dangereux en cas d’utilisation inadéquate. L’utilisation de ce produit par un enfant doit toujours être supervisée par un adulte. Ne laissez les enfants accéder aux composants internes d’aucun appareil électrique et ne les autorisez pas à manier des câbles électriques.Environnement de travail, sécurité et entretien 89 Entretien général Si vous devez nettoyer l’ordinateur ou le moniteur au-delà d’un simple essuyage au chiffon propre, procédez comme suit : 1 Éteignez l’ordinateur et le moniteur. 2 Déconnectez le câble d’alimentation de l’ordinateur au niveau de la prise ou multiprise électrique. Si votre moniteur est branché sur le secteur, déconnectez-le également. 3 Débranchez les câbles du moniteur au niveau de l’ordinateur. 4 Nettoyez l’écran du moniteur à l’aide d’un papier ou tissu doux, non pelucheux et imbibé d’eau savonneuse. 5 Nettoyez délicatement le boîtier de l’ordinateur ou du moniteur à l’aide d’un chiffon propre, doux et humide. N’utilisez pas d’alcool, d’aérosols ni de produits solvants ou abrasifs susceptibles d’endommager la finition du boîtier. Protection de votre lecteur de DVD-ROM ou de DVD-RAM Pour préserver le bon fonctionnement de votre lecteur de DVD-ROM ou de DVD-RAM : m Placez votre ordinateur de sorte que le plateau du lecteur ne heurte aucun obstacle lors de son ouverture. m Laissez le lecteur fermé lorsque vous ne l’utilisez pas. m Ne placez aucun objet sur le plateau du lecteur lorsqu’il est ouvert. m Ne touchez pas la lentille avec les doigts. N’essuyez pas la lentille du lecteur avec un mouchoir en papier ni aucune autre matière abrasive. Si vous devez la nettoyer, procurezvous les produits adéquats auprès d’un centre de maintenance agréé Apple. m Maintenez votre ordinateur éloigné de toute source d’humidité. ATTENTION Ne vaporisez pas de liquide directement sur l’écran du moniteur. Du liquide pourrait s’y infiltrer et provoquer une décharge électrique.90 Annexe B Entretien de votre moniteur Pour entretenir votre moniteur et en garantir la longévité : m Ne touchez pas la surface de l’écran. m N’écrivez pas sur l’écran et ne le touchez pas avec un objet tranchant. m Si vous comptez laisser le moniteur et l’ordinateur inactifs pendant au moins une journée, éteignez-les ou utilisez le tableau de bord Économies d’énergie. m Vous pouvez soit éteindre votre moniteur ou en diminuer la luminosité, soit recourir à un économiseur d’écran, qui permet d’obscurcir ou de varier l’image à l’écran si l’ordinateur demeure inactif pendant une durée prolongée. Consignes importantes concernant l’organisation de l’espace de travail et la santé Observez les consignes ci-dessous pour adapter votre environnement de travail à votre morphologie et prévenir la fatigue oculaire. m Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de manière à ce que vos cuisses reposent à l’horizontale et que vos pieds soient posés à plat sur le sol. Le dossier doit être orienté de façon à offrir un appui à la région lombaire. Suivez les instructions du fabricant pour effectuer correctement ce réglage. m Lorsque vous tapez au clavier, vos épaules doivent être détendues. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, la main étant placée dans le prolongement du poignet. Au besoin, relevez le siège de manière à ce que vos avant-bras et vos mains soient placés correctement par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, utilisez un repose-pied. Si vous disposez d’un bureau modulaire, vous pouvez abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une troisième solution consiste à utiliser un bureau avec un poste de saisie moins élevé que le plan de travail. m Veillez à ce que la souris se trouve à hauteur du clavier. Ménagez également un espace suffisant pour pouvoir la manipuler avec aisance. m Placez le moniteur de sorte que le haut de l’écran se trouve légèrement au-dessous de vos yeux. Il vous appartient de juger de la distance à ménager entre vos yeux et l’écran. Elle se situe en général entre 45 et 70 cm. Environnement de travail, sécurité et entretien 91 m Orientez le moniteur de manière à diminuer le plus possible les reflets de l’éclairage et de la lumière du jour. Si possible, posez le moniteur sur un support inclinable. Vous pouvez ainsi placer le moniteur à votre guise et réduire, voire éliminer, tout reflet provenant de sources lumineuses que vous ne pouvez déplacer. Pour obtenir davantage d’informations concernant la santé, la sécurité et l’entretien, consultez le site Web d’Apple sur : www.apple.com/about/ergonomics (en anglais). Cuisses reposant à l’horizontale Épaules détendues Écran orienté de manière à réduire les reflets Mains dans le prolongement des avant-bras Avant-bras à l’horizontale ou légèrement relevés Dossier soutenant la région lombaire Pieds à plat sur le sol Haut de l’écran au niveau des yeux ou légèrement en-dessous (vous devrez peut-être ajuster la hauteur du moniteur en surélevant votre plan de travail ou le moniteur lui-même) Dégagement sous le plan de travail 45– 70 cm (18– 28 in.)Communications Regulation Information 93 Communications Regulation Information FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. Radio and Television Interference The equipment described in this manual generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures: m Turn the television or radio antenna until the interference stops. m Move the computer to one side or the other of the television or radio. m Move the computer farther away from the television or radio. m Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple-authorized service provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Important Changes or modifications to this product not authorized by Apple Computer, Inc., could void the FCC Compliance and negate your authority to operate the product. This product was tested for FCC compliance under conditions that included the use of Apple peripheral devices and Apple shielded cables and connectors between system components. It is important that you use Apple peripheral devices and shielded cables and connectors between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. You can obtain Apple peripheral devices and the proper shielded cables and connectors through an Apple-authorized dealer. For non-Apple peripheral devices, contact the manufacturer or dealer for assistance. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Computer, Inc., Product Compliance, 1 Infinite Loop M/S 26-A, Cupertino, CA 95014-2084, 408-974-2000. Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la Classe B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada.94 Communications Regulation Information VCCI Class B Statement Laser ATTENTION Il peut être dangereux de procéder à des réglages ou d’effectuer des opérations dont il n’est pas fait mention dans le présent manuel. Ne tentez pas de démonter le compartiment contenant le laser. Le faisceau laser de cet appareil est dangereux pour les yeux. L’utilisation d’instruments d’optique tels que des lentilles grossissantes peut aggraver la nocivité du faisceau. Pour votre propre sécurité, faites entretenir cet appareil dans un centre de maintenance agréé Apple. Si votre ordinateur est muni d’un lecteur Apple de CD-ROM, de DVD-ROM ou de DVD-RAM, il appartient aux produits laser de Classe 1. L’étiquette Classe 1, apposée sur le lecteur, indique qu’il est conforme aux normes de sécurité minimales. Une étiquette de mise en garde contre le rayonnement laser est située à un endroit accessible en atelier. Les étiquettes figurant sur votre produit peuvent différer légèrement des illustrations ci-dessous. Caractéristiques du laser Laser du capteur (en lecture de CD) m Type : laser GaAlAs à semi-conducteur m Longueur d’onde : 790 nm m Puissance à la sortie de la lentille : 3,3mW m Divergence du faisceau : horizontale 12º, verticale 35º Laser du capteur (en lecture de DVD) m Type : laser GaAlAs à semi-conducteur m Longueur d’onde : 658 nm m Puissance à la sortie de la lentille : 6 mW m Divergence du faisceau : horizontale 8,5º, verticale 27º Exposition à l’énergie de fréquence radio La puissance de sortie dégagée par la carte AirPort optionnelle est largement inférieure aux limites d’exposition aux fréquences radio de la commission fédérale des communications (FCC) américaine. Néanmoins, il est recommandé d’utiliser l’équipement sans fil de telle manière que le contact potentiel au cours du fonctionnement normal de l’appareil soit minimisé. Informations sur la souris et le clavier La souris optique d’Apple est un appareil à diode électroluminescente de catégorie 1. Ce produit est conforme aux normes européennes 72/23/EEC et 89/336/EEC, ainsi qu’aux normes canadiennes ICES-003 de catégorie B. Étiquette Classe 1 Étiquette de mise en gardeCommunications Regulation Information 95 Activités à risque élevé Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien, ni aucune autre situation où une panne pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques. ENERGY STAR® En tant que partenaire ENERGY STAR®, Apple s’est assuré que ce produit était conforme aux normes de consommation d’énergies fixées par ENERGY STAR®. Le programme ENERGY STAR® de l’agence américaine pour la protection de l’environnement constitue un partenariat avec les fabricants de matériel dans le but de promouvoir une consommation efficace de l’énergie. La réduction de la consommation d’énergie des appareils de bureau permet de réaliser des économies et contribue à réduire la pollution en éliminant le gaspillage d’énergie. Informations concernant la réglementation relative aux télécommunications, téléphone et modem Pour obtenir des informations sur la réglementation FCC, les interférences de radio et télévision, ainsi que sur le téléphone et le modem relatives à ce produit, consultez les fichiers du dossier “Communications Regulations”, situés dans le dossier Compléments Apple de votre disque dur. iMovie HD Premiers contacts Ce guide vous indique comment importer de la vidéo, modifier des séquences et ajouter transitions, effets, titres et plus encore2 1 Table des matières Chapitre 1 4 Bienvenue dans iMovie HD 4 Utilisation de ce document 5 Nouveautés d’iMovie HD 6 6 Avant de commencer 6 Ce que vous apprendrez à faire 7 Ce dont vous avez besoin 9 En savoir plus Chapitre 2 10 Initiation à iMovie HD 10 Première étape : Commencer un nouveau projet 11 Deuxième étape : Importer de vidéo dans iMovie HD 15 Troisième étape : Choisir la vidéo que vous souhaitez garder 17 Quatrième étape : Construire votre film 20 Cinquième étape : Ajouter des photos à votre film 23 Sixième étape : Ajouter des titres et du texte 25 Septième étape : Retoucher des clips 28 Huitième étape : Ajouter des transitions 30 Neuvième étape : Ajouter une bande-son 30 Ajout de données audio à votre film 31 Ajustage de la longueur des clips audio 32 Ajustage du volume des clips audio 33 Dixième étape : Partagez votre film Chapitre 3 36 Vue d’ensemble d’iMovie 36 Fenêtre Projet d’iMovie HD 37 Fenêtre principale 38 Visualiseur de clips 39 Chronologie 40 Sous-fenêtre des clips 41 Sous-fenêtre Thèmes 42 Sous-fenêtre Multimédia 42 Audio 43 PhotosTable des matières 3 44 Sous-fenêtre Montage 44 Titres 45 Transitions 46 Effets vidéo 47 Effets audio 48 Sous-fenêtre des chapitres1 4 1 Bienvenue dans iMovie HD Bienvenue dans iMovie HD 6. Vous découvrirez dans ce document comment créer de superbes films, à la fois percutants et de haute qualité. iMovie HD est la manière la plus rapide et la plus simple de transformer votre vidéo maison en votre propre film cinématographique. iMovie HD est l’outil rêvé à associer aux tout derniers caméscopes haute définition et aux caméras Flash les plus petites à des prix abordables. Les nombreuses nouvelles fonctionnalités d’iMovie HD vous permettent de créer facilement un film de qualité professionnelle à partager sur Internet ou via un DVD. Utilisation de ce document Le manuel iMovie HD Premiers contacts est divisé en trois chapitres, ce qui vous permet de trouver facilement les informations qui vous intéressent.  Chapitre 1, “Bienvenue dans iMovie HD” : vous trouverez dans ce chapitre une brève description des principales nouvelles fonctionnalités d’iMovie HD, et vous découvrirez où trouver d’autres informations au sujet d’iMovie HD.  Chapitre 2, “Initiation à iMovie HD” : suivez les instructions de ce chapitre pour savoir comment capturer de la vidéo et réaliser un film basique que vous pourrez partager de nombreuses manières.  Chapitre 3, “Vue d’ensemble d’iMovie” : ce chapitre décrit les présentations et les commandes d’iMovie HD. Ce chapitre peut également vous servir de référence rapide lorsque vous créez vos projets iMovie HD.Chapitre 1 Bienvenue dans iMovie HD 5 Nouveautés d’iMovie HD 6  Performances améliorées : iMovie HD 6 exploite la puissance de Mac OS X 10.4 Tiger et QuickTime 7 pour vous offrir un rendu plus rapide des effets et une qualité de vidéo d’exception. Testez les nouveaux effets étonnants et visualisez instantanément les résultats. De l’importation de séquences au partage de votre film achevé, iMovie HD est plus rapide et plus réactif à chaque étape.  Interface utilisateur améliorée : les sous-fenêtres améliorées de montage et les commandes d’iMovie HD vous permettent de construire et de modifier votre film plus facilement que jamais. Vous pouvez même prévisualiser des transitions, des titres et des effets en direct sur le moniteur principal d’iMovie pour voir exactement comment ils apparaîtront dans votre film.  Plusieurs projets ouverts : vous pouvez ouvrir plusieurs projets iMovie HD à la fois de manière à copier d’un projet à un autre de la vidéo et des clips audio individuels, ou même un film tout entier ou une portion de film. Il est également possible d’ouvrir plusieurs versions d’un même projet pour comparer différents montages.  Thèmes d’illustration de film développés par Apple : avec iMovie HD 6, il est plus facile que jamais de créer un film à la finition impeccable. Il vous suffit de choisir le thème qui vous intéresse et de sélectionner les titres et les effets visuels que vous souhaitez utiliser dans le sous-ensemble correspondant pour obtenir des résultats visuellement exceptionnels. Les thèmes utilisent des animations et des compositions avancées qui vous permettent même de combiner votre vidéo et vos photos avec des fonds de toute beauté et des images animées.  Nouvelles améliorations audio : vous voulez éliminer le bruit du vent ou le bourdonnement de la caméra ? Régler les basses ou les aigus d’un clip vidéo ou audio en particulier ? Vous pouvez désormais utiliser l’égaliseur graphique pour modifier les niveaux des fréquences audio individuelles. Il est également possible de modifier la tonalité de votre audio et d’ajouter des effets de réverbération, de délai ainsi que d’autres effets audio grâce auxquels vos films sonneront mieux que jamais.  Améliorations Magic iMovie : la création de films comme par magie avec iMovie HD n’a jamais été aussi simple. Il suffit d’utiliser la fonctionnalité Magic iMovie pour qu’iMovie HD importe votre vidéo et en fasse un film de qualité. Avec iMovie HD 6, vous pouvez désormais faire en sorte qu’iMovie HD rembobine votre bande avant l’importation et même spécifier le moment auquel vous souhaitez arrêter la capture de séquence.  Publication Web plus souple : iMovie HD intègre des éléments clés d’iWeb, la nouvelle application d’Apple de publication Web, pour vous offrir davantage de souplesse pour présenter vos films comme vous le souhaitez. Que vous choisissiez d’afficher votre film sur sa propre page Web, de l’utiliser dans un blog ou de publier un podcast vidéo réalisé dans iMovie, iWeb vous propose des fonctionnalités créatives et vous permet de publier facilement votre film sur le Web.6 Chapitre 1 Bienvenue dans iMovie HD  Intégration iLife encore plus performante : tous vos fichiers multimédias numériques (morceaux, musique, photos et clips vidéo) concourent à créer des diaporamas vidéo et des films. Avec iMovie HD 6, vous pouvez même composer une bande-son pour votre film directement dans GarageBand.  Vidéo accélérée : la nouvelle fonctionnalité d’importation accélérée d’iMovie HD vous permet de voir la progression d’un événement (telle l’éclosion d’une rose) en une fraction de sa durée réelle. Avant de commencer Pour faciliter l’exécution des tâches de l’initiation, imprimez ce document avant de commencer. Pour bon nombre des tâches citées dans ce document et dans l’Aide iMovie HD, vous devrez choisir des commandes dans les menus de la barre des menus. Les commandes de menu se présentent de la sorte : Choisissez Édition > Copier. Le premier terme après Choisissez est le nom d’un menu de la barre des menus d’iMovie HD. Les termes suivants sont les éléments que vous choisissez dans ce menu. Ce que vous apprendrez à faire Si vous suivez toutes les étapes de cette initiation, vous apprendrez à utiliser votre propre vidéo pour créer un film basique, comprenant un titre, des transitions entre les clips et une bande-son. Vous apprendrez également à effectuer les opérations suivantes :  Élaguer et ajuster les séquences vidéo.  Ajouter du mouvement aux photos à l’aide de l’Effet Ken Burns.  Ajuster les clips audio.  Régler le volume sonore.  Synchroniser l’audio et la vidéo.  Partager votre film achevé.Chapitre 1 Bienvenue dans iMovie HD 7 Ce dont vous avez besoin Pour terminer toutes les parties de l’initiation, vous devez disposer des éléments suivants :  iMovie HD 6 installé sur votre ordinateur.  Une séquence vidéo numérique sur un caméscope ou sur votre disque dur. L’initiation vous indique comment capturer de la vidéo numérique à partir de votre caméscope et l’importer directement dans iMovie HD à l’aide d’un câble FireWire. Si vous disposez de vidéo numérique sur un appareil Flash ou que vous voulez capturer de la vidéo directement à partir d’une caméra iSight, ouvrez iMovie et choisissez Aide > Aide iMovie HD. Tapez ensuite “importation” dans le champ de recherche. Vous trouverez des instructions sur l’importation de vidéo à partir d’autres emplacements ou d’autres appareils.  Fichiers musicaux dans votre bibliothèque iTunes.  Photos de votre photothèque iPhoto. Même si vous n’avez ni photos, ni musique dans iPhoto ou iTunes, vous pouvez quand même suivre cette initiation. Sautez les étapes correspondantes ou bien lisez-les pour vous y référer ultérieurement. Le plus important est d’expérimenter et de s’amuser tout en se familiarisant avec iMovie HD.8 Chapitre 1 Bienvenue dans iMovie HD Le saviez-vous ? Utilisation de Magic iMovie pour créer un film en quelques minutes Que vous soyez débutant ou chevronné, vous pouvez utiliser Magic iMovie pour créer un film de A à Z ou pour vous faire gagner un temps appréciable dans l’élaboration de votre film.. Magic iMovie permet d’importer automatiquement de la vidéo à partir de votre caméscope FireWire (DV ou HDV), d’en faire un film et de l’envoyer vers iDVD pour pouvoir le graver sur un DVD. Vous pouvez même choisir un titre, un style de transition et une bande-son ; iMovie HD joue alors le rôle du réalisateur et s’occupe de tout le reste. Pour réaliser un film avec Magic iMovie, cliquez sur le bouton “Créer un Magic iMovie” dans la zone de dialogue iMovie HD qui apparaît, ou choisissez Fichier > Créer un Magic iMovie lorsque l’application iMovie HD est ouverte. Pour en savoir plus sur la création d’un film Magic iMovie, consultez l’Aide iMovie HD.Chapitre 1 Bienvenue dans iMovie HD 9 En savoir plus Votre ordinateur s’accompagne d’un système d’aide intégré pour iMovie HD. Lorsque l’application iMovie HD est ouverte, choisissez Aide > Aide iMovie HD. Lorsque l’Aide iMovie HD s’ouvre, tapez un mot ou une expression dans le champs de recherche situé en haut de la page ou cliquez sur l’une des zones de rubriques pour trouver des informations sur un sujet en particulier. Vous trouverez des liens vers d’autres ressources utiles sur la page de l’Aide iMovie HD, par exemple un guide d’initiation multimédia en ligne, un site Web d’astuces et le site Web d’assistance Apple. Pour connaître les dernières actualités et des informations à propos d’iMovie HD, rendez-vous sur le site Web d’iMovie HD à l’adresse www.apple.com/fr/ilife/imovie.2 10 2 Initiation à iMovie HD Ce chapitre vous fait découvrir étape par étape le processus de construction de votre propre film dans iMovie HD. Vous pouvez utiliser de la vidéo à partir de toute une variété de sources et de dispositifs afin de créer un film dans iMovie HD. Si vous disposez de vidéo numérique sur votre caméscope ou de séquences vidéo numériques sur votre ordinateur, vous pouvez suivre les étapes décrites dans ce chapitre pour transférer automatiquement ces données dans iMovie HD, modifier les clips, ajouter des transitions et un titre, puis insérer une bande-son. Première étape : Commencer un nouveau projet La première fois que vous ouvrez iMovie HD, la fenêtre Projet (illustrée ci-dessous) s’affiche à l’écran : elle vous propose plusieurs options pour créer un film. À cette étape, sélectionnez l’une de ces options pour créer un projet. Pour commencer un nouveau projet iMovie HD : 1 Cliquez sur l’icône d’iMovie HD dans le Dock. Si vous ne trouvez pas l’icône dans le Dock, ouvrez le dossier Applications et double-cliquez sur l’icône d’iMovie HD. 2 Cliquez sur le bouton “Créer un nouveau projet”.Chapitre 2 Initiation à iMovie HD 11 3 Tapez un nom pour votre projet dans le champ Projet. 4 Cliquez sur le menu local intitulé Emplacement et choisissez un dossier où enregistrer votre projet de film. L’emplacement par défaut est le dossier Séquences de votre dossier de départ. Si vous enregistrez votre film dans ce dossier, cela permettra aux autres applications iLife, comme iDVD ou GarageBand, de le retrouver facilement. 5 Cliquez sur Créer. Un nouveau fichier de projet pour votre projet iMovie HD est alors créé à l’emplacement que vous choisissez. Il comportera l’ensemble des clips vidéo, transitions, effets et élé- ments audio utilisés dans votre film. Deuxième étape : Importer de vidéo dans iMovie HD iMovie HD peut exporter ou importer de la vidéo dans un grand nombre de formats vidéo et à partir de nombreux types de caméscopes, notamment les caméscopes DV (y compris ceux prenant en charge un écran large) et les caméscopes haute définition (HDV). iMovie HD reconnaît et importe automatiquement votre vidéo dans la plupart des cas, c’est pourquoi vous n’avez pas à vous préoccuper du format vidéo. À cette étape, importez votre propre vidéo dans votre projet iMovie. Si vous disposez d’un caméscope muni d’une connexion FireWire, suivez les instructions pour connecter votre caméscope et importer la vidéo à l’aide des commandes de capture d’iMovie HD. Si vous possédez un autre type de dispositif vidéo numérique ou que vous disposez de séquences dans un fichier sur votre ordinateur, consultez les instructions de la page 14. Pour importer de la vidéo à partir d’un caméscope : 1 Mettez le caméscope en mode VTR mode (certains caméscopes appellent ce mode Lecture ou VCR) et allumez-le si nécessaire. 2 Connectez votre caméscope à votre ordinateur à l’aide d’un câble FireWire. 12 Chapitre 2 Initiation à iMovie HD Si votre caméscope utilise un socle, connectez ce dernier à l’ordinateur et placez-y le caméscope. L’illustration ci-dessous montre comment connecter un caméscope à un iMac à l’aide d’un câble FireWire. 3 Dans iMovie HD, cliquez sur le sélecteur de modes (illustré ci-après) afin de mettre iMovie HD en mode caméra. Remarque : un caméscope doit être connecté et allumé pour pouvoir passer au mode caméra et voir les commandes de capture s’afficher. Si vous constatez des problèmes de communication entre votre caméscope et iMovie HD, cliquez sur le bouton Aide connexion sur le moniteur iMovie. Il vous renvoie à des informations utiles de l’Aide iMovie HD. Si plusieurs caméscopes sont connectés, ou bien un caméscope plus une caméra iSight, choisissez votre caméscope dans le menu local qui apparaît lorsque vous passez en mode caméra.Chapitre 2 Initiation à iMovie HD 13 4 Utilisez les commandes de capture illustrées ci-après pour visionner votre cassette sur le moniteur iMovie. 5 Rembobinez la cassette quelques secondes avant l’endroit où vous souhaitez effectuer l’importation. 6 Cliquez sur Lecture. 7 Lorsque vous voyez l’endroit où vous souhaitez commencer l’importation, cliquez sur Importer (comme indiqué ci-dessus) ou appuyez sur la barre d’espace. Au cous de l’opération d’importation, la séquence s’affiche sur le moniteur iMovie. Vous pouvez importer la séquence toute entière, ou bien uniquement les parties de votre choix. 8 Cliquez à nouveau sur Importer ou appuyez sur la barre d’espace lorsque vous souhaitez arrêter l’importation. ∏ Astuce : pour régler le volume de votre ordinateur lorsque vous travaillez dans iMovie, utilisez le curseur de volume situé sous le moniteur iMovie. Ce curseur n’augmente ni ne baisse le volume de la vidéo que vous diffusez à votre assistance. Il se contente de changer le volume sur votre ordinateur lorsque vous lisez et écoutez vos fichiers audio. 9 Lorsque la séquence de votre choix est capturée dans la sous-fenêtre Clips, éteignez votre caméscope et déconnectez-le de votre ordinateur. Rembobiner Importer Avance rapide Arrêt Lecture Pause14 Chapitre 2 Initiation à iMovie HD Lorsque vous importez votre séquence vidéo à partir d’un caméscope connecté via FireWire, iMovie HD détecte les pauses réalisées au cours de l’enregistrement et divise automatiquement la vidéo en scènes ou en clips. Chaque séquence de vidéo enregistrée est ensuite transformée en un clip vidéo sauvegardé dans la sous-fenêtre Clips (illustrée ci-dessous). ∏ Astuce : vous pouvez utiliser les préférences d’iMovie HD pour modifier les réglages d’importation, comme l’emplacement des clips importés, déterminer si iMovie doit créer de nouveaux clips à chaque fin de scène, et plus encore. Pour consulter les réglages que vous pouvez ajuster, choisissez iMovie HD > Préférences puis cliquez sur Importer. En plus du transfert de vidéo à partir de votre caméscope, vous pouvez importer de la vidéo d’un CD ou d’un DVD, ou bien d’autres emplacements, sur le disque dur de votre ordinateur. Pour importer de la vidéo à partir d’un disque ou d’un autre emplacement : 1 Choisissez Fichier > Importer. 2 Localisez puis sélectionnez le fichier que vous souhaitez importer. 3 Cliquez sur Ouvrir.Chapitre 2 Initiation à iMovie HD 15 Vous pouvez également faire glisser des fichiers à partir de votre bureau ou d’applications comme iTunes ou iPhoto vers la sous-fenêtre Clips. Dans iMovie HD 6, vous pouvez aussi faire glisser, copier et coller des clips d’un projet iMovie HD vers un autre. Troisième étape : Choisir la vidéo que vous souhaitez garder Pour limiter votre vidéo aux meilleures séquences, lisez chaque clip et coupez, ou “rognez”, la séquence. Chaque seconde de vidéo est constituée de nombreuses images individuelles. Vous pouvez lire chaque clip d’un coup, ou bien image par image, afin de trouver les moments exacts où vous voulez rogner une partie. À cette étape, prévisualisez les clips que vous avez importés et rognez ou supprimez les séquences non voulues. Utilisez les commandes de lecture d’iMovie, illustrées ci-après, pour prévisualiser les clips. Pour lire un clip, vous pouvez procéder de l’une des manières suivantes :  Sélectionnez le clip puis cliquez sur Lecture dans les commandes de lecture d’iMovie.  Cliquez sur Rembobiner pour aller au début de votre séquence ou séquence de clips.  Cliquez sur Lecture plein écran pour lire la vidéo en mode plein écran. (Cliquez n’importe où sur l’écran ou appuyez sur la touche Échap. pour quitter le mode plein écran.) Les plans sur le sol, les séquences floues et les poses peu flatteuses peuvent être éliminés en un instant afin de conserver uniquement les plans qui vous intéressent. Il est possible que vous souhaitiez éliminer certains clips dans leur intégralité. Le saviez-vous ?—Importation de vidéo à partir d’un dispositif flash Les caméscopes MPEG-4 peuvent avoir un connecteur USB au lieu d’un connecteur FireWire. Pour transférer de la vidéo à partir de l’un de ces appareils, connectez celuici à votre ordinateur via le port USB. Votre caméra ou appareil MPEG-4 apparaît sous forme de disque dur sur votre bureau. Vous pouvez ouvrir l’icône du disque dur et faire glisser la séquence vidéo dans votre projet iMovie HD ou vers votre bureau pour l’importer ultérieurement. Lorsque vous importez une séquence à partir d’un appareil MPEG-4, votre vidéo est importée sous la forme d’un seul clip ; iMovie HD ne le divise pas automatiquement en plusieurs clips. Vous ne pouvez pas utiliser les commandes de capture pour importer votre vidéo ou commander votre caméra, et vous ne pouvez pas non plus utiliser la fonction Magic iMovie pour importer automatiquement de la vidéo. Rembobiner Lecture/Pause Lecture plein écran16 Chapitre 2 Initiation à iMovie HD Pour supprimer un clip : m Sélectionnez le clip concerné puis choisissez Édition > Couper ou appuyez sur la touche Suppr. Le clip disparaît de la sous-fenêtre Clips. Vous remarquerez que la Corbeille iMovie en bas de la fenêtre est remplie : il s’agit du clip que vous venez de couper. Il restera à cet emplacement jusqu’à ce que vous vidiez la Corbeille iMovie. Les clips restants peuvent être rognés de manière à ne conserver que les bonnes parties. Lorsque vous rognez un clip, vous sélectionnez les images que vous souhaitez conserver et effacez le reste du clip. L’élagage préserve le milieu d’un clip et supprime le début et la fin. Pour élaguer un clip : 1 Sélectionnez le clip à rogner en cliquant dessus dans la sous-fenêtre Clips. 2 Faites glisser la tête de lecture dans le défileur situé en dessous du moniteur iMovie (comme illustré ci-dessous) à l’endroit où vous voulez que commence votre scène. 3 Placez le pointeur juste en dessous de la tête de lecture, puis faites-le glisser vers la droite pour inclure la séquence que vous voulez conserver. (Lorsque vous faites glisser le pointeur vers la droite, les marqueurs de rognage apparaissent.) La portion dorée du défileur (illustré ci-après) correspond à la séquence que vous avez sélectionnée. 4 Choisissez Édition > Élaguer afin de conserver la portion sélectionnée de la vidéo et de supprimer le reste. ∏ Astuce : pour ajuster précisément la position des marqueurs de rognage, cliquez sur l’un d’entre eux (voir illustration plus haut) pour le sélectionner, puis appuyez sur la touche Flèche droite ou Flèche gauche de manière à déplacer le marqueur de rognage d’une image à la fois. Pour déplacer le marqueur de rognage par incréments de 10 images, maintenez la touche Maj enfoncée tout en appuyant sur la touche fléchée. Tête de lecture Pointeur Marqueur de rognageChapitre 2 Initiation à iMovie HD 17 Quatrième étape : Construire votre film Votre séquence vidéo étant à présent transformée en une collection de clips vidéo élagués, vous pouvez commencer à les utiliser pour construire votre film. À cette étape, déplacez les clips de la sous-fenêtre Clips vers la piste vidéo de votre film et commencez à les organiser en une séquence. Pour construire un film, travaillez dans la zone située sous le moniteur iMovie. Cette zone offre deux présentations dans lesquelles travailler : le visualiseur de clips et le visualiseur de la chronologie.  Le visualiseur de clips, illustré ci-après, affiche les clips dans leur ordre d’apparition dans votre film. Il vous offre une présentation simplifiée et directe des séquences et des transitions des clips utilisées dans votre film. Il s’agit également de la vue la plus simple à utiliser lorsque vous voulez réorganiser les clips. Le saviez-vous ?—Annulation d’une modification Si vous faites une erreur ou que vous n’êtes pas satisfait des changements que vous avez effectués, vous pouvez les annuler.  Choisissez Édition > Annuler, pour supprimer votre dernier changement. Continuez à choisir Annuler pour annuler un à un vos derniers changements.  Choisissez Avancé > Revenir au clip original, pour annuler toutes les modifications apportées à un clip en particulier.  Choisissez Fichier > Revenir à la version enregistrée, pour annuler toutes les modifications apportées à un projet depuis la dernière fois que vous l’avez enregistré.18 Chapitre 2 Initiation à iMovie HD  Le visualiseur de clips, illustré ci-après, affiche les éléments de votre film de manière plus détaillée, vous permettant de zoomer sur les sections du film. Il affiche par ailleurs la piste vidéo du film et deux pistes audio. Les trois pistes vous permettent d’ajouter et de manipuler plusieurs couches d’un son, y compris le son contenu dans les clips vidéo. Utilisez le visualiseur de la chronologie pour modifier de façon précise la vidéo et l’audio. Lorsque vous construisez un film à partir de clips de la sous-fenêtre Clips, vous trouverez cela plus facile de commencer par travailler dans le visualiseur de clips. Pour ajouter des clips à votre film : 1 Cliquez sur le bouton du visualiseur de clips situé en dessous du moniteur iMovie. 2 Sélectionnez un clip dans la sous-fenêtre Clips et faites-le glisser dans le visualiseur de clips. 3 Reproduisez l’étape 2 pour tous les clips que vous souhaitez ajouter. Vous pouvez faire glisser des clips entre d’autres clips, en les plaçant dans l’ordre de votre choix. Lorsque vous faites glisser un clip devant ou derrière d’autres clips, ceux-ci s’écartent pour libérer de l’espace, comme illustré ci-après. 4 Faites glisser des clips dans le visualiseur de clips pour les réorganiser dans l’ordre que vous voulez. 5 Choisissez Fichier > Enregistrer le projet pour enregistrer votre projet de film. Bouton chronologieChapitre 2 Initiation à iMovie HD 19 Le saviez-vous ?—Enregistrement lors de la construction de votre film Il est recommandé d’enregistrer régulièrement vos modifications. iMovie HD conservant telles quelles vos séquences originales même lorsque vous élaguez, vous pouvez récupérer les chutes élaguées même après avoir enregistré le film modifié. Pour enregistrer votre projet : m Choisissez Fichier > Enregistrer le projet. Il peut arriver que vous ayez besoin de revenir à la dernière version enregistrée de votre projet, et d’annuler toutes les modifications non encore enregistrées. Pour revenir à la version enregistrée de votre projet : m Choisissez Fichier > Revenir à la version enregistrée. Vous pouvez aussi enregistrer une copie de votre projet et lui donner un nom différent. Ceci vous permet de créer une version différente de votre séquence ou d’utiliser des portions de celle-ci dans un nouveau projet. Il peut s’avérer extrêmement utile d’enregistrer plusieurs copies d’un projet, mais cela peut également occuper un espace disque volumineux. Pour enregistrer une copie de votre projet avec un nom différent : m Choisissez Fichier > Enregistrer le projet sous. Saisissez alors un nom, choisissez un emplacement où copier le projet et cliquez sur Enregistrer.20 Chapitre 2 Initiation à iMovie HD Cinquième étape : Ajouter des photos à votre film iMovie HD peut ajouter facilement les photos de votre Photothèque iPhoto à votre film. Vous pouvez ajouter des photos sous forme de plans fixes qui resteront à l’écran aussi longtemps que vous le souhaitez, ou bien vous pouvez effectuer un panoramique et un zoom avant ou arrière en utilisant l’Effet Ken Burns. À cette étape, ajoutez des photos fixes à votre film et appliquez entre autres l’Effet Ken Burns. Utilisez la sous-fenêtre Multimédia, illustrée ci-dessous, pour sélectionner des photos et les animer. Remarque : pour afficher des photos dans la sous-fenêtre Multimédia, vous devez avoir installé iPhoto et disposer d’au moins une photo dans votre photothèque iPhoto. Pour ajouter une photo fixe à votre film : 1 Cliquez sur le bouton Multimédia, puis sur Photos en haut de la sous-fenêtre Multimédia. 2 Sélectionnez l’ensemble de votre photothèque iPhoto, un album ou un dossier dans la liste. Les photos de l’élément sélectionné apparaissent en bas de la sous-fenêtre. Vous pouvez parcourir les photos pour trouver celles que vous voulez. ∏ Astuce : il est également possible de rechercher une photo en tapant du texte dans le champ de recherche (illustré ci-dessus). Lors de votre saisie, les photos contenant le texte que vous êtes en train de tapez apparaissent dans la sous-fenêtre Multimédia. Pour revoir toutes les photos, cliquez sur le bouton de réinitialisation (un “x” dans le champ de recherche). 3 Sélectionnez la photo que vous voulez ajouter à votre film. Champ de recherche Bouton de réinitialisationChapitre 2 Initiation à iMovie HD 21 La fenêtre Réglages de photo (illustrée ci-dessous) s’affiche. Vous pouvez la faire glisser n’importe où sur l’écran de votre ordinateur ou la déplacer jusqu’à lui faire quitter l’écran. 4 Cliquez sur la case Effet Ken Burns pour la désactiver et ainsi annuler l’animation de la photo. 5 Faites glisser le curseur Durée pour modifier la durée d’affichage de votre photo. Lorsque vous ajoutez une photo à votre film, iMovie règle automatiquement sa durée d’affichage à 5 secondes, à moins que vous ne la modifiiez. 6 Faites glisser la photo de la sous-fenêtre Multimédia au visualiseur de clips. Si vous voulez placer la photo à la fin de votre film, vous pouvez également cliquer sur le bouton Appliquer. ∏ Astuce : pour sélectionner plusieurs photos à la fois, appuyez sur la touche Commande tout en sélectionnant les photos. Vous pouvez également faire glisser un album entier afin d’ajouter toutes les photos qu’il contient. Si vous souhaitez ajouter un mouvement aux photos de votre film, vous pouvez utiliser l’Effet Ken Burns pour effectuer un panoramique et un zoom. Un panoramique fait apparaître la caméra pour balayer la surface de la photo. Un zoom fait apparaître une photo de manière à donner l’impression que la caméra se déplace vers la photo ou bien s’en éloigne, ajoutant ainsi un mouvement intéressant aux plans fixes. Pour effectuer un zoom sur une photo : 1 Dans la fenêtre Réglages de photo, cochez la case Effet Ken Burns. 2 Sélectionnez une photo dans votre photothèque iPhoto et cliquez sur Début. 3 Déplacez le curseur Zoom vers la droite ou la gauche jusqu’à ce que vous ayez trouvé le point à partir duquel vous souhaitez appliquer un zoom. 4 Cliquez sur Fin. 5 Déplacez le curseur Zoom jusqu’à ce que vous ayez trouvé le point à partir duquel le zoom doit prendre fin. 6 Déplacez le curseur Durée pour régler la durée du zoom. 7 Cliquez sur Appliquer lorsque vous avez obtenu l’effet désiré. La photo apparaît sous forme de clip à la fin de votre film. Vous pouvez faire glisser le clip là où vous voulez qu’il apparaisse. Curseur Durée Curseur Zoom22 Chapitre 2 Initiation à iMovie HD Pour effectuer un panoramique sur une photo : 1 Sélectionnez une photo dans votre film ou dans la sous-fenêtre Multimédia. 2 Dans la fenêtre Réglages de photo, cochez la case Effet Ken Burns. 3 Cliquez sur Début. 4 Cliquez sur l’image sur le moniteur iMovie, puis appuyez sur le bouton de la souris et faites glisser l’image jusqu’à ce vous ayez trouvé l’endroit où vous souhaitez faire commencer le panoramique. 5 Cliquez sur Fin. 6 Faites glisser l’image jusqu’à l’endroit où devra se terminer le panoramique. 7 Déplacez le curseur Durée pour régler la durée du panoramique. 8 Cliquez sur Lecture pour avoir un aperçu de l’effet. Répétez les étapes ci-dessus si nécessaire. 9 Cliquez sur Appliquer lorsque vous avez obtenu l’effet désiré. La photo apparaît sous forme de clip à la fin de votre film. Vous pouvez faire glisser le clip là où vous voulez qu’il apparaisse. Commande panoramique Le saviez-vous ?—Utilisation combinée du panoramique et du zoom Vous pouvez associer un panoramique et un zoom pour attirer l’attention sur l’élément d’une photo, par exemple une personne sur une photo de groupe. Si votre photo n’est pas assez grande pour que vous puissiez utiliser un effet de panoramique, vous pouvez commencer par faire un zoom avant puis procéder ensuite au panoramique sur cette aire agrandie. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’Effet Ken Burns, consultez l’Aide iMovie HD.Chapitre 2 Initiation à iMovie HD 23 Sixième étape : Ajouter des titres et du texte Aucun film n’est achevé s’il n’est pas doté d’un titre, et tous les grands films se terminent par un générique. Vous pouvez ajouter des titres, un générique et du texte à votre film afin de le peaufiner. Le texte ne doit pas non plus forcément rester immobile. Vous pouvez par exemple insérer du texte qui “rebondit” ou qui tourne sur lui-même, ou même modifier la couleur et la luminosité. iMovie HD vous propose de nombreux styles de titres. À cette étape, ajoutez un titre à votre film et apprenez à le placer au-dessus d’un arrière-plan ou d’un clip vidéo. La sous-fenêtre Titres, illustrée ci-dessous, présente toutes les options que vous pouvez sélectionner pour différents styles de titres. Vous pouvez placer des titres et du texte directement au-dessus d’une portion de vidéo, ou bien créer des clips noirs ou des clips en couleur qui servent de fond uni pour le texte. Si vous ajoutez un clip noir ou en couleur, n’oubliez pas que vous allongez un petit peu la durée de votre film. Pour ajouter un titre : 1 Cliquez sur le bouton Montage, puis sur le bouton Titres, dans la partie supérieure de la sous-fenêtre Montage. 2 Sélectionnez un titre dans la liste. Un aperçu apparaît sur le moniteur iMovie. Essayez différents styles jusqu’à ce que vous en trouviez un qui vous plaise. 24 Chapitre 2 Initiation à iMovie HD ∏ Astuce : vous pouvez déplacer la tête de lecture le long du défileur sur le moniteur iMovie pour contrôler l’aperçu. Pour voir plusieurs fois de suite un aperçu de l’effet, cochez la case Boucle. 3 Saisissez le texte que vous souhaitez voir apparaître dans les champs de texte situés sous la liste de titres. Si le style de titre peut comporter plusieurs lignes de texte, un signe plus (+) s’affiche à côté du champ de texte. Cliquez dessus pour ajouter une autre ligne de texte. Vous pouvez effectuer cette opération autant de fois que vous le souhaitez, ou bien jusqu’à ce que les signes plus n’apparaissent plus. Pour supprimer des lignes de texte, cliquez sur le champ que vous souhaitez supprimer puis cliquez sur le signe moins (–). 4 Choisissez un style de police dans le menu local Famille. Essayez différentes polices jusqu’à ce que vous en trouviez une qui vous plaise. 5 Choisissez un style pour le titre (par exemple gras ou italique) dans le menu local Style. 6 Déplacez le curseur Taille vers la gauche ou vers la droite afin de définir la taille de la police. 7 Cliquez sur la case Couleur pour ouvrir la fenêtre Couleurs, illustrée ci-dessous. Cliquez ensuite sur des couleurs dans la fenêtre Couleurs jusqu’à ce que vous trouviez celle qui vous intéresse. Fermez la fenêtre Couleurs une fois que vous avez terminé. Selon le style de titre, vous disposez éventuellement d’autres options. Par exemple, si le titre est en mouvement, utilisez les boutons fléchés à gauche des champs de texte pour choisir la direction dans laquelle se déplace le titre. Lorsque le titre ou le texte est défini comme vous le souhaitez, vous pouvez alors le placer dans votre film. 8 Dans le visualiseur de clips, sélectionnez le clip dans lequel vous voulez placer le titre. 9 Cochez la case Sur fond noir si vous souhaitez placer le titre sur un clip noir. Pour l’ajouter directement sur le clip vidéo, assurez-vous que l’option Sur un fond noir n’est pas cochée. 10 Cliquez sur Ajouter. Si la durée du clip vidéo est supérieure à celle du titre, iMovie HD scinde le clip à l’emplacement où le titre se termine. Vous pouvez supprimer la portion scindée du clip original ou l’utiliser dans votre séquence.Chapitre 2 Initiation à iMovie HD 25 Pour modifier la couleur d’un clip noir : 1 Sélectionnez le clip noir et choisissez Fichier > Afficher les infos. 2 Cliquez sur la zone Couleur. 3 Choisissez la couleur qui vous intéresse dans la fenêtre Couleurs. 4 Cliquez sur Définir. Une fois que vous avez ajouté un titre à votre film, vous pouvez toujours le modifier. Sélectionnez le clip du titre dans votre film, effectuez les modifications souhaitées, puis cliquez sur Mettre à jour. Pour supprimer un titre, sélectionnez le clip du titre et appuyez une fois sur la touche Suppr. Pour effectuer la même modification sur plusieurs clips contenant du texte, sélectionnez tous les clips, puis effectuez la modification en une seule fois. Septième étape : Retoucher des clips Maintenant que vous disposez d’un film avec de la vidéo, des photos et un titre, vous pouvez être amené à devoir retoucher vos clips vidéo. La plupart des modifications que vous apportez dans iMovie ont lieu dans le visualiseur de la chronologie. À cette étape, apprenez à apporter des petits ou des gros changements à vos clips vidéo en les ajustant dans le visualiseur de la chronologie. Pour passer au visualiseur de la chronologie : m Cliquez sur le bouton du visualiseur de la chronologie situé en dessous du moniteur iMovie. Le bouton du visualiseur de la chronologie est celui qui représente une horloge. Les clips vidéo apparaissent dans la piste du haut dans le visualiseur de la chronologie. Vous pouvez faire glisser le curseur dans le coin inférieur gauche de la fenêtre pour que les clips apparaissent en plus gros ou en plus petit dans le visualiseur de la chronologie. Vous pouvez être amené à réduire la taille des clips pour en voir plus dans la fenêtre, ou bien à les agrandir pour effectuer une modification avec davantage de précision. Pour ajuster rapidement un clip : m Faites glisser le pointeur de l’extrémité du clip vers son centre. (Le pointeur change de forme pour indiquer l’endroit où vous pouvez le faire glisser.) Bouton chronologie Bouton du visualiseur de clips26 Chapitre 2 Initiation à iMovie HD Une fois ajustée, la vidéo ne disparaît pas mais elle n’apparaît pas dans votre séquence. Si vous souhaitez allonger à nouveau le clip, vous pouvez faire glisser l’extrémité vers l’extérieur de manière à restaurer tout ou partie de la vidéo cachée. Lorsque vous faites glisser le bord d’un clip, les clips attenants se déplacent avec. C’est pourquoi si vous raccourcissez ou rallongez un clip, vous raccourcissez ou rallongez le film tout entier. Important : vous ne pouvez pas utiliser cette méthode d’ajustement si les niveaux de volume d’un clip sont à l’écran. Pour masquer ces derniers, choisissez Présentation > Afficher les niveaux de volume du clip pour supprimer la coche. (Un élément sélectionné a une coche en face de lui ; choisissez à nouveau l’élément pour le désélectionner.) Vous pouvez vous servir de la tête de lecture “fantôme” d’iMovie HD pour choisir l’image précise où vous voulez que la vidéo ajustée commence ou se termine, puis élaguer jusqu’à cet endroit. Pour ajuster un clip vidéo avec précision : 1 Cliquez sur le clip que vous souhaitez modifier dans le visualiseur de la chronologie. 2 Faites glisser la tête de lecture sur l’image où vous souhaitez que le clip commence ou se termine. 3 Placez le pointeur sur la fin du clip jusqu’à ce que vous le voyiez changer de forme. 4 Faites glisser l’extrémité du clip sur la tête de lecture “fantôme” (illustrée ci-dessus) pour supprimer les images que vous voulez ajuster. Une ligne jaune apparaît et le bord du clip se colle automatiquement au bord de la tête de lecture “fantôme” lorsque vous vous placez sur l’image sélectionnée à l’étape 2. 5 Répétez l’opération de l’autre côté du clip, si vous le souhaitez. Une fois que vous commencez à ajuster des clips, ils apparaîtront différemment dans le visualiseur de la chronologie. L’illustration ci-dessous montre que les clips entiers possèdent des coins arrondis. Les clips ajustés ou rognés ont des bords droits aux endroits où ils ont été raccourcis. Vous pouvez allonger un clip doté de bords droits. Pointeur Pointeur Tête de lecture fantômeChapitre 2 Initiation à iMovie HD 27 Les résultats obtenus diffèrent selon l’endroit où vous placez le pointeur lorsque vous faites glisser un clip. Faire glisser un clip à partir d’une extrémité permet de le raccourcir ou de l’allonger, alors que le faire glisser à partir de son centre le déplace vers un autre emplacement de votre film. Lorsque vous placez un clip sur un autre clip, celui que vous faites glisser déplace celui sur lequel il vient se poser ainsi que tous les clips attenants dans la direction où vous faites glisser le clip. Chaque fois que vous déplacez un clip vers la droite, vous créez un vide. Vous pouvez faire glisser d’autres clips pour remplir ce vide, ou bien laisser ce vide pour qu’il serve d’arrière-plan pratique pour du texte ou ajouter une dimension supplémentaire à une transition ou un effet. L’illustration ci-dessous montre à quoi ressemble un vide dans le visualiseur de la chronologie. ∏ Astuce : pour supprimer un vide rapidement, allez dans le visualiseur de clips. Le vide s’affiche sous forme de clip noir. Sélectionnez le clip noir et supprimez-le. Une autre manière de modifier rapidement un clip est de le scinder en deux. Vous pouvez être amené à diviser un clip pour pouvoir insérer des titres, ajouter d’autres clips ou des images, ou encore réorganiser l’ordre des clips. Vous pouvez scinder des clips se trouvant dans la sous-fenêtre Clips dans le visualiseur de clips ou dans le visualiseur de la chronologie. Il est également possible de diviser des clips audio dans le visualiseur de la chronologie. Pour scinder un clip : 1 Cliquez sur un clip pour le sélectionner. 2 Placez la tête de lecture à l’endroit où vous souhaitez diviser le clip. 3 Choisissez Édition > Scinder le clip vidéo au point de lecture. Vide Le saviez-vous ?—Ajout d’effets spéciaux Vous pouvez ajouter des effets intéressants à vos films afin de leur prêter un attrait particulier, un flou ou encore une touche de gaieté. iMovie HD offre toute une gamme d’effets vidéo qui peuvent faire vibrer les clips comme pendant un tremblement de terre, faire traverser l’écran par une étoile filante scintillante, filtrer une scène avec un brouillard passager ou encore ajouter à une image un éclair d’électricité. D’autres effets modifient la luminosité ou le contraste de la vidéo, ajoutent un ralenti, changent les couleurs, adoucissent le flou, et plus encore. Pour en savoir plus sur l’ajout d’effets spéciaux à votre film, consultez l’Aide iMovie HD.28 Chapitre 2 Initiation à iMovie HD Huitième étape : Ajouter des transitions À ce stade, vous avez disposé vos clips vidéo dans l’ordre que vous vouliez. Cependant, l’enchaînement des scènes est haché et vous souhaiteriez un résultat plus fluide. Résolvez le problème grâce aux transitions. Les transitions relient les extrémités des clips de diverses manières : par exemple en effectuant le fondu d’une scène dans la suivante ou en “poussant” la dernière scène hors-champ tandis que la suivante apparaît. À cette étape, ajoutez des transitions entre les clips de votre film. Une transition peut être placée entre n’importe lesquels des clips de votre film, ou encore au début ou à la fin de ce dernier. Dans le visualiseur, les transitions sont identifiées par une icône, illustrée ci-dessous. Remarque : il est impossible de placer une longue transition entre deux clips courts (séquence insuffisante). Une zone de dialogue d’avertissement apparaît dans ce cas. Pour ajouter une transition entre deux scènes : 1 Faites glisser la tête de lecture près de l’endroit où vous envisagez d’ajouter la transition. 2 Cliquez sur le bouton Montage, puis cliquez sur Transitions en haut de la sous-fenêtre Montage. La sous-fenêtre Transitions, illustrée ci-dessous, s’ouvre. Icône TransitionChapitre 2 Initiation à iMovie HD 29 3 Cliquez sur un style de transition dans la liste afin de le sélectionner. 4 Réglez la durée de la transition à l’aide du curseur Vitesse. 5 Effectuez les autres réglages spécifiques de la transition de votre choix. Par exemple, si vous sélectionnez la transition Décalage, vous pouvez également utiliser les boutons fléchés situés à côté du curseur Vitesse pour choisir le sens dans lequel doit apparaître la scène qui suit. D’autres transitions, telles que Réduction, vous permettent de définir l’origine de la transition. Un petit cercle apparaît sur le moniteur iMovie : il montre l’endroit où la transition doit commencer. Vous pouvez faire glisser le cercle vers un autre emplacement. 6 Pour ajouter la transition à votre film, cliquez sur Ajouter ou faites glisser la transition de la liste vers le visualiseur de clips. ∏ Astuce : si vous souhaitez utiliser la même transition dans tout votre film, vous pouvez configurer la transition comme vous le voulez, puis sélectionner tous les clips de votre film et cliquer sur Ajouter. La transition est appliquée dans tout le film en un seul clic. Si vous changez d’avis pour une transition, vous pouvez la supprimer et recommencer, ou bien modifier cette transition. Pour supprimer une transition : m Sélectionnez la transition et appuyez sur la touche Suppr ou choisissez Édition > Effacer. Vous devez supprimer les transitions pour déplacer des clips ou ajouter une transition différente entre eux. Lorsque vous supprimer une transition, vos clips retrouvent leur durée d’origine.30 Chapitre 2 Initiation à iMovie HD Neuvième étape : Ajouter une bande-son Une bande-son apporte beaucoup à un film. Elle peut contribuer à y mettre le ton tout en y ajoutant de la profondeur. Lorsque vous importez de la vidéo dans un projet iMovie HD, cette vidéo inclut automatiquement le son enregistré avec. Vous pouvez baisser le son de la vidéo, ou bien l’éteindre complètement et ajouter de la musique, des effets sonores ou une voix off. Vous pouvez par ailleurs combiner ces différentes possibilités. À cette étape, ajoutez un morceau de votre bibliothèque iTunes et ajustez le volume et le positionnement du son dans votre film. Le visualiseur de la chronologie affiche les éléments audio en tant que clips audio sur l’une des deux pistes audio, comme le montre l’illustration ci-dessous. Vous pouvez ajouter de l’audio à l’une des pistes, et également faire glisser des clips audio d’une piste à une autre. Si le son de votre séquence vidéo est bruyant ou inaudible, vous pouvez vous servir des nouveaux effets audio d’iMovie HD, comme le Réducteur de bruit, afin de supprimer ou d’améliorer les données audio. Si cela ne vaut pas le coup de l’enregistrer, vous pouvez toujours désactiver le son. Pour désactiver une piste audio : m Désactivez la case située à l’extrémité droite de la piste (illustrée ci-dessus). Ajout de données audio à votre film Une manière simple d’ajouter de la musique à votre vidéo est d’utiliser les morceaux de votre bibliothèque iTunes ou de la musique que vous avez créée dans GarageBand. Vous pouvez également ajouter des effets sonores afin d’agrémenter votre film d’émotion ou d’humour. Pour ajouter des données audio à votre film : 1 Cliquez sur Multimédia, puis sur le bouton Audio. 2 Cliquez sur l’une des sources audio de la liste. Choisissez parmi les effets sonores intégrés, GarageBand ou votre bibliothèque et vos listes de lecture iTunes. Vous pouvez rechercher un morceau précis en saisissant quelques mots de son titre dans le champ de recherche. Cliquez sur le bouton Lecture à gauche du champ de recherche pour écouter une piste de la liste avant de l’ajouter à votre film. Remarque : pour utiliser la musique d’un CD, vous devez commencer par importer le morceau dans iTunes. 3 Placez la tête de lecture à l’endroit où vous souhaitez que la musique commence. Cases à cocher audio Pistes audioChapitre 2 Initiation à iMovie HD 31 4 Cliquez sur “Placer au point de lecture”. Le fichier audio apparaît comme clip audio dans la deuxième piste audio. Si l’audio ne commence pas au bon endroit, il vous suffit de faire glisser le clip audio le long de la piste jusqu’à ce que vous voyiez l’image où vous voulez qu’il commence sur le moniteur iMovie. Veillez à bien faire glisser le clip à partir de son centre et non de son bord. 5 Pour prévisualiser votre travail, sélectionnez le clip vidéo auquel vous avez ajouté l’audio et cliquez sur le bouton Lecture dans les commandes de lecture d’iMovie. ∏ Astuce : il est également possible de faire glisser un fichier audio dans le visualiseur de la chronologie. Ajustage de la longueur des clips audio Vous pouvez faire glisser les extrémités des clips audio comme pour les clips vidéo. Rien n’est en fait supprimé, donc vous pourrez facilement récupérer l’audio que vous supprimez de cette manière en faisant glisser l’extrémité du clip audio vers l’extérieur. Pour raccourcir une piste audio : 1 Cliquez sur le menu Présentation et assurez-vous que l’option Afficher les niveaux de volume du clip n’est pas sélectionnée. Si elle comporte une coche en face d’elle, choisissez-la à nouveau de manière à supprimer la coche. 2 Placez le pointeur au-dessus de l’extrémité du clip que vous voulez raccourcir. Lorsqu’il est à la bonne position, le pointeur change de forme. Le saviez-vous ?—Utilisation du son Vous pouvez améliorer le son de votre film de la manière suivante :  En désactivant ou en réduisant le son de la piste audio de la vidéo afin de mieux entendre une voix off, un effet audio ou la musique d’une autre piste.  En réglant le mixage des trois pistes (en augmentant le son de la piste vidéo par rapport aux autres pistes par exemple).  En désactivant complètement le son des clips vidéo, afin de n’entendre que le son des autres pistes.  En faisant glisser un clip sur un autre sur la même piste audio, de sorte qu’ils se chevauchent et que vous entendiez les deux clips à la fois.  En utilisant l’égaliseur graphique d’iMovie HD afin d’éliminer le bruit du vent ou le bourdonnement de la caméra ou encore pour régler les basses ou les aigus dans une vidéo ou un clip audio précis. Il est également possible de modifier la tonalité de l’audio ou d’ajouter des effets de réverbération, de délai ainsi que d’autres effets audio grâce auxquels vos films sonneront mieux que jamais. Pour en savoir plus sur la manipulation du son, consultez l’Aide iMovie HD.32 Chapitre 2 Initiation à iMovie HD 3 Faites glisser l’extrémité du clip vers son centre pour le raccourcir. Si vous allez trop loin, faites-le glisser dans le sens inverse à nouveau. 4 Cliquez sur le bouton Lecture pour obtenir un aperçu des résultats, puis procédez aux ajustements nécessaires. ∏ Astuce : si vous devez rallonger un clip audio en particulier (par exemple un effet sonore), vous pouvez dupliquer le clip audio et l’ajouter à l’extrémité du clip précé- dent. Ajustez ensuite le nouveau clip de manière à ne conserver que la partie dont vous avez besoin. Ajustage du volume des clips audio Le volume du son dans le film est un paramètre très important. Si vous le réglez trop bas, les spectateurs ne pourront peut-être pas l’entendre. Si des données audio sont lues sur les deux pistes audio, il est aussi conseillé de pouvoir régler le volume pour chacune des pistes ou pour certains clips audio en particulier. Pour régler le volume de l’audio dans votre film, sélectionnez les clips que vous souhaitez modifier et utilisez les commandes de volume du clip dans le visualiseur de la chronologie, comme illustré ci-après. Ces réglages affectent le volume de lecture de la version finale du film. Vous pouvez sélectionner et modifier le volume de tous vos clips à la fois ou un par un. Pour régler le volume d’un clip audio : 1 Sélectionnez le clip, plusieurs clips ou bien une portion d’un clip. 2 Choisissez Présentation > Afficher les niveaux de volume du clip (il y a donc une coche en face de l’option). Une ligne de volume s’affiche dans tous les clips audio. Elle indique le volume actuel de chaque clip. 3 Cliquez sur l’icône du haut-parleur de la commande du volume du clip et faites glisser le curseur pour augmenter ou baisser le volume. Niveaux de volume Commande de volume Chapitre 2 Initiation à iMovie HD 33 ∏ Astuce : une fois que vous maîtrisez l’utilisation des données audio, vous pouvez procéder à des réglages très fins des niveaux de volume en cliquant sur les barres de niveaux de volume pour placer un marqueur, puis en faisant glisser les marqueurs vers le haut et vers le bas pour augmenter ou réduire le volume. Pour en savoir plus, consultez l’Aide iMovie HD. Si vous réglez le volume d’un clip en cours de lecture, iMovie HD arrête la lecture puis lit immédiatement le clip avec le réglage pris en compte. Cette fonction facilite l’obtention du résultat exact recherché. Dixième étape : Partagez votre film Un bon film doit être partagé. iMovie HD vous offre de nombreuses possibilités. Vous pouvez :  L’envoyer par courrier électronique.  Le publier sur Internet en utilisant iWeb.  Le transférer sur un iPod.  L’enregistrer sur une cassette DV ou HDV.  Le graver sur un DVD à l’aide d’iDVD.  L’enregistrer sous forme de séquence QuickTime sous divers formats.  L’envoyer via la technologie sans fil Bluetooth® à d’autres ordinateurs compatibles, à des téléphones portables, à des assistants numériques personnels, etc.  L’exporter dans GarageBand pour pouvoir créer une bande-son originale. Le saviez-vous ?—Utilisation de techniques sonores avancées iMovie HD vous offre la puissance et la souplesse pour tirer parti des données audio dans votre film. Vous pouvez scinder des clips audio, faire glisser les niveaux de volume du clip pour réaliser des fondus entrants et sortants de l’audio, appliquer de nouveaux effets audio et utiliser les formes d’onde pour synchroniser l’audio avec la vidéo. Pour en savoir plus sur ce thème et sur les techniques plus avancées d’utilisation du son, consultez l’Aide iMovie HD.34 Chapitre 2 Initiation à iMovie HD Quelle que soit la manière que vous choisissez pour visualiser votre film, iMovie HD permet d’exporter facilement un fichier de film au format adéquat. Pour partager vos films avec famille et amis : m Choisissez Partager puis sélectionnez le mode de partage de votre film. Si vous choisissez les options standard d’exportation, iMovie HD configure le film automatiquement au format approprié. ∏ Astuce : si vous souhaitez partager uniquement une partie de votre film, sélectionnez le ou les clips à partager et cochez la case “Partager seulement les clips sélectionnés”. iMovie HD peut aussi transférer votre projet dans iDVD en tant que nouveau projet iDVD. Pour exporter un film dans iDVD : m Choisissez Partager > iDVD. iMovie HD prend quelques instants pour compresser et exporter votre film (le temps nécessaire à cette opération dépend de la taille de votre film). Il est préférable de ne pas utiliser votre ordinateur pour d’autres tâches pendant l’exportation. ∏ Astuce : iMovie HD peut également importer votre vidéo, composer votre film et l’exporter dans iDVD automatiquement via la fonctionnalité Magic iMovie. Lorsque vous créez un film avec Magic iMovie, vous pouvez sélectionner l’option permettant de faire de votre film un nouveau projet iDVD.Chapitre 2 Initiation à iMovie HD 35 Pour graver votre film sur un DVD, vous devez disposer d’un ordinateur équipé d’un lecteur optique capable de graver des disques DVD. Le saviez-vous ?—Création d’un film avec des marqueurs de chapitre Si vous comptez utiliser votre vidéo dans un DVD ou un podcast vidéo, vous souhaiterez certainement ajouter des marqueurs de chapitre à votre film. De la sorte, les spectateurs peuvent se rendre à une scène en particulier dans le film. Vous pouvez même ajouter des URL aux marqueurs de chapitre pour votre podcast vidéo. Lorsque vous partagez un film doté de marqueurs de chapitre sur iDVD, iDVD crée automatiquement deux boutons dans le menu DVD principal : un bouton Lire le film et un bouton Sélection de scènes. Pour en savoir plus, consultez l’Aide iMovie HD et l’Aide iDVD.3 36 3 Vue d’ensemble d’iMovie Bienvenue dans le chapitre Vue d’ensemble d’iMovie. Il vous propose un présentation rapide de l’interface et des commandes d’iMovie HD. Lisez ce chapitre pour vous familiariser avec les fonctionnalités et la terminologie d’iMovie HD. Apprenez les noms des commandes d’iMovie HD si vous voulez suivre plus facilement les instructions de l’Aide iMovie HD. Fenêtre Projet d’iMovie HD Lorsque vous ouvrez iMovie HD pour la première fois, ou que vous fermez tous les projets iMovie ouverts, la fenêtre Projet apparaît. Utilisez-la pour créer un projet ou en ouvrir un. A Bouton Créer un nouveau projet : cliquez sur ce bouton pour créer un projet ou importer votre séquence. B Bouton Ouvrir un projet : cliquez sur ce bouton pour ouvrir un projet enregistré sur votre ordinateur et continuer à travailler dessus. C Bouton Créer un Magic iMovie : cliquez sur ce bouton pour qu’iMovie HD crée automatiquement un film à votre place. Il suffit de connecter votre caméscope et de cliquer sur ce bouton pour découvrir à quel point il est facile de réaliser un film. A B C D EChapitre 3 Vue d’ensemble d’iMovie 37 Fenêtre principale La fenêtre principale d’iMovie HD est votre console de commande pour monter des films. C’est dans cette fenêtre que vous pouvez visionner votre film, ordonner vos scè- nes, éditer des clips et donner à votre film un aspect professionnel. D Bouton Aide : cliquez sur ce bouton pour ouvrir l’Aide d’iMovie HD. E Bouton Quitter : cliquez sur ce bouton pour fermer iMovie HD. A Moniteur iMovie : affichez votre séquence et les effets de toutes vos modifications à cet endroit. B Défileur et marqueurs délagage : faites glisser la tête de lecture le long du défileur pour vous déplacer dans un film ou un clip sélectionné. Si vous déplacez la tête de lecture sur une image, l’emplacement de celle-ci s’affiche à côté de la tête de lecture. Positionnez les marqueurs de rognage de manière à sélectionner des portions de la vidéo à couper ou à garder. C Permutation de mode : cliquez sur ce bouton pour alterner entre le mode caméscope et le mode édition. Utilisez le mode caméscope pour choisir un périphérique d’entrée et transférer vos données vidéo brutes dans l’ordinateur. Utilisez le mode édition pour modifier votre film. D Commandes de lecture : utilisez ces commandes pour revenir au début d’un clip sélectionné, pour lire le clip ou le mettre en pause ou pour visionner le clip en mode plein écran sur le moniteur de votre ordinateur. Lorsque vous passez en mode caméscope, ces commandes deviennent des commandes de capture et un bouton d’importation apparaît sur le moniteur d’iMovie. A B C D E F G H38 Chapitre 3 Vue d’ensemble d’iMovie Visualiseur de clips La partie inférieure de la fenêtre iMovie possède deux affichages : le visualiseur de clips et le visualiseur de la chronologie. Le visualiseur de clips, illustré ci-après, est un affichage simplifié dans lequel vous pouvez ajouter des clips à votre film et les organiser dans l’ordre où vous souhaitez qu’ils apparaissent. E Curseur Volume : faites glisser ce curseur pour modifier le volume du haut-parleur de l’ordinateur lorsque vous utilisez iMovie HD. Cela ne modifiera pas les niveaux de volume enregistrés de vos clips audio ou vidéo ; pour changer ces derniers, utilisez les commandes du visualiseur de la chronologie. F Indicateur de l’espace disque disponible : il permet de contrôler durant votre travail l’espace disque libre dont vous disposez. G Corbeille iMovie : les séquences supprimées y sont placées. Vous pouvez ouvrir la Corbeille iMovie et restaurer ou supprimer définitivement les fichiers vidéo et audio à tout moment. H Boutons des sous-fenêtres : cliquez sur ces boutons pour faire apparaître les différentes sousfenêtres de la fenêtre iMovie HD. A Bouton Visualiseur de clips : cliquez sur ce bouton pour passer de la chronologie au visualiseur de clips. B Clip : tous les fragments de séquences vidéo et les images fixes que vous importez s’appellent des clips. C Icône de transition : les icônes de transition indiquent que deux clips sont liés par une transition. D Icônes spéciales : différentes icônes apparaissent sur les clips pour signaler la présence d’une image fixe, d’un titre ou d’un effet vidéo. D B A CChapitre 3 Vue d’ensemble d’iMovie 39 Chronologie Utilisez le visualiseur de la chronologie, illustrée ci-dessous, pour monter les clips vidéo et audio dans votre film, et synchroniser votre audio et votre vidéo. A Bouton Visualiseur de la chronologie : cliquez sur ce bouton pour passer du visualiseur de clips au visualiseur de la chronologie. B Piste vidéo : sélectionnez des clips sur cette piste pour modifier ou ajouter des effets et des titres aux clips vidéo. Cette piste comprend également l’audio contenu dans votre vidéo. C Pistes audio : ajoutez des effets sonores, de la musique et des enregistrements de voix off. Modifiez des pistes audio et réglez le volume sonore des clips. D Curseur de zoom : agrandissez ou réduisez la taille des clips dans la chronologie. Agrandir ou réduire la taille des clips permet une sélection et une édition plus faciles. E Barre des niveaux de volume : lorsque Afficher les niveaux de volume du clip est sélectionné dans le menu Présentation, une barre de niveau de volume apparaît sous forme de ligne le long de vos clips. Utilisez cette barre pour augmenter ou réduire le volume de vos clips. F Formes d’onde audio : lorsque l’option Afficher les formes d’onde audio est sélectionnée dans le menu Présentation, les représentations de l’intensité audio des clips audio sont affichées ici sous forme de formes d’onde. G Cases audio : sélectionnez une case pour écouter les données audio d’une piste. Désélectionnez-la pour désactiver le son de la piste. H Volume du clip : saisissez un niveau de volume dans le champ de texte ou cliquez sur le bouton pour utiliser le curseur afin de régler le volume d’un clip sélectionné. A D B E C H F G40 Chapitre 3 Vue d’ensemble d’iMovie Sous-fenêtre des clips Cliquez sur le bouton Clips pour ouvrir la sous-fenêtre des clips. C’est dans cette fenê- tre que la vidéo et les images fixes que vous importez dans iMovie HD apparaissent en premier. Il est possible de faire glisser un clip de la sous-fenêtre Clips vers le visualiseur de clips ou la chronologie, sur le Bureau, dans d’autres applications, sur des zones de dépôt et dans d’autres projets iMovie HD. A Durée : la longueur d’un clip audio ou vidéo se mesure en minutes:secondes:images. Par exemple, 01:08:15 signifie 1 minute, 8 secondes et 15 images à partir du début du film. B Nom du clip : chaque clip possède un nom unique. Sélectionnez le nom pour le remplacer par un nom plus parlant. B AChapitre 3 Vue d’ensemble d’iMovie 41 Sous-fenêtre Thèmes Il est possible d’utiliser la sous-fenêtre Thèmes pour ajouter un thème à votre film. Cliquez sur le bouton Thèmes pour ouvrir la sous-fenêtre Thèmes. A Menu Thème : cliquez sur le menu local pour choisir un thème. B Éléments thématiques : sélectionnez un thème dans cette liste pour le visualiser et le modifier sur le moniteur d’iMovie. C Afficher/Masquer l’aperçu : cliquez sur ce bouton pour voir un aperçu du thème sélectionné sur le moniteur d’iMovie. D Afficher/Masquer les zones de dépôt : cliquez sur ce bouton pour afficher l’Éditeur de la zone de dépôt. Les zones de dépôt sont des emplacements où vous pouvez faire glisser vos propres images vidéo et vos photos afin de personnaliser les éléments du thème. E Champs de titres : saisissez un titre et un sous-titre pour l’élément thématique. Le style de police est prédéfini de manière à s’adapter au thème. Le nombre de champs varie en fonction du thème et de l’élément du thème sélectionnés. F Bouton Appliquer : cliquez sur ce bouton lorsque vous êtes prêt à ajouter le thème à votre film. Les thèmes apparaissent à l’emplacement de la tête de lecture dans votre film. B A D E C F42 Chapitre 3 Vue d’ensemble d’iMovie Sous-fenêtre Multimédia La sous-fenêtre Multimédia offre un accès facile à vos photos dans iPhoto et à vos données audio dans iTunes et GarageBand. Cliquez sur les boutons en haut de la fenêtre pour alterner entre Audio et Photos. Audio Cliquez sur le bouton Audio dans la partie supérieure de la sous-fenêtre Multimédia pour voir les sources audio disponibles pour votre film. Vous pouvez dans cette fenêtre ajouter des effets audio, enregistrer une voix off ou importer de la musique à partir de votre bibliothèque musicale iTunes ou de GarageBand. A Liste des sources : sélectionnez une source audio dans cette liste. Vous pouvez choisir parmi les effets sonores intégrés, votre bibliothèque et listes de lecture iTunes ou encore GarageBand. B Liste des pistes : les pistes audio de la source sélectionnée figurent dans cette liste. C Bouton Lecture : cliquez sur ce bouton pour lire ou mettre en pause la lecture d’une piste sélectionnée. D Champ de recherche : tapez les quelques mots d’un titre pour chercher un fichier audio spécifique dans votre bibliothèque iTunes. Vous pouvez effectuer des recherches par titre ou par artiste. E Bouton Placer à la tête de lecture : cliquez sur ce bouton pour importer une piste sélectionnée dans votre séquence. La piste importée apparaît dans l’une des pistes audio du visualiseur de la chronologie. F Bouton Enregistrer/Arrêter : cliquez sur ce bouton pour enregistrer une voix off ou d’autres données audio via le micro de votre ordinateur ou un micro externe. La jauge d’entrée audio indique le volume. La qualité du son est la meilleure lorsque ce dernier reste dans le jaune. Cliquez une deuxième fois sur ce bouton pour arrêter l’enregistrement. Le clip audio que vous venez d’enregistrer apparaît sur la piste audio, où vous pouvez le sélectionner et le modifier. B A C F D EChapitre 3 Vue d’ensemble d’iMovie 43 Photos Les images de votre photothèque iPhoto apparaissent automatiquement dans cette sous-fenêtre. Utilisez la fenêtre Réglages de photo pour ajouter de l’animation à vos images fixes à l’aide de l’Effet Ken Burns. Cliquez sur le bouton Photos en haut de la sous-fenêtre Multimédia pour que la fenêtre Photos s’affiche. Lorsque vous sélectionnez une image, la fenêtre Photos s’affiche. A Liste des sources : sélectionnez votre photothèque iPhoto ou un album iPhoto dans cette liste pour en voir le contenu. B Liste des images : sélectionnez dans cette liste des images à ajouter à votre film. Vous pouvez sélectionner des images individuelles ou bien tout un album photo, et les faire glisser dans le visualiseur de clips ou la chronologie. C Champ de recherche : saisissez ici le nom d’une photo ou d’une image afin de la retrouver rapidement. D Bouton Effet Ken Burns : cliquez sur ce bouton pour ouvrir la-fenêtre Réglages de photo, dans laquelle vous pouvez ajouter une animation à des images. E Réglages de photo : utilisez ces commandes pour configurer les effets panoramiques et ceux de zoom de vos images. Sélectionnez ou désélectionnez la case Effet Ken Burns pour activer ou désactiver le mouvement. F Commande Début et Fin : cliquez sur Début et définissez la manière dont l’image doit apparaî- tre au début. Cliquez ensuite sur Fin et définissez la manière dont l’image doit apparaître à la fin de l’effet. Cette commande n’est pas visible si la case Effet Ken Burns est désactivée. G Curseur de zoom : déplacez le curseur pour agrandir ou réduire la taille des images afin de les rogner ou de définir des effets de panoramique et de zoom. H Curseur de durée : déplacez ce curseur pour définir le nombre de secondes pendant lesquelles l’image reste affichée. B A C D E H F G I J K44 Chapitre 3 Vue d’ensemble d’iMovie Sous-fenêtre Montage Vous pouvez ajouter des titres, des transitions, des effets vidéo et des effets audio à votre film dans la sous-fenêtre Montage. Les boutons de la partie supérieure de la sousfenêtre permettent un accès rapide à des outils de montage de haute qualité. Cliquez sur le bouton Montage pour ouvrir la sous-fenêtre Montage. Titres Dans cette sous-fenêtre, vous pouvez entre autres ajouter des titres en ouverture, des commentaires déroulants, un générique de fin. Pour consulter les réglages de titres, cliquez sur Titres en haut de la sous-fenêtre Montage. I Bouton Inverser : cliquez sur ce bouton pour inverser la direction de l’effet Ken Burns. J Bouton Lecture/Pause : visualisez un aperçu de l’effet sur le moniteur iMovie. K Bouton Appliquer : permet d’appliquer l’effet à la photo. Ceci entraîne la création d’un clip dans la sous-fenêtre Clips ; vous pouvez faire glisser ce clip là où vous le souhaitez dans votre film. A Liste de titres : sélectionnez un style de titre à ajouter à votre film. Cliquez sur le triangle d’affichage situé en regard d’un titre pour afficher les autres titres de cette catégorie. B Commandes de direction : pour certains titres, vous pouvez cliquer sur les boutons fléchés pour indiquer la direction dans laquelle vous souhaitez que le titre se déplace. C Case Couleur : cliquez sur cette case pour choisir une couleur de texte. D Commandes de police : choisissez une police, un style (gras ou italique par exemple), ainsi que la taille de la police. A B C D E H F G IChapitre 3 Vue d’ensemble d’iMovie 45 Transitions Vous pouvez ajouter des transitions pour passer d’une scène à l’autre sans à-coups. Pour consulter les réglages de transitions, cliquez sur Transitions en haut de la sousfenêtre Montage. E Case Sur fond noir : cochez cette case pour que le titre apparaisse sur un fond noir plutôt que sur l’un de vos clips vidéo. F Champs de texte : saisissez votre texte dans ces champs. Si le style que vous avez choisi permet d’utiliser plusieurs lignes de texte, servez-vous des boutons + (plus) et – (moins) pour ajouter ou supprimer des lignes. G Commandes de minutage : déplacez ces curseurs pour régler la vitesse avec laquelle les titres s’affichent ainsi que leur temps d’affichage. La durée totale de l’affichage apparaît en-dessous des curseurs. D’autres options peuvent être disponibles en fonction du style de titre. H Bouton Mise à jour : cliquez pour effectuer des modifications à un titre que vous avez ajouté à votre film. I Bouton Ajouter : cliquez sur ce bouton pour ajouter un titre à votre film. Vous pouvez aussi faire glisser le titre ou le texte là où vous le souhaitez dans le film. A Liste de transitions : sélectionnez un style de transition dans cette liste. B Commandes de direction : pour certaines transitions, vous pouvez cliquer sur un bouton fléché pour indiquer la direction de progression souhaitée pour la transition. Par exemple, une transition peut “déplacer” une scène de droite à gauche ou de gauche à droite. C Curseur Vitesse : déplacez ce curseur pour régler la vitesse de la transition. Vous pouvez aussi saisir une durée dans la case de texte située à côté du curseur. B D A C E46 Chapitre 3 Vue d’ensemble d’iMovie Effets vidéo Il est possible d’ajouter des effets spéciaux afin de modifier l’apparence de vos clips de film. Vous pouvez par exemple passer de la couleur au noir et blanc, régler la luminosité et le contraste de l’image ou ajouter des effets ludiques tels qu’une étoile filante ou de la pluie. Pour consulter les réglages d’effets vidéo, cliquez sur Effets vidéo en haut de la sous-fenêtre Montage. D Bouton Mise à jour : cliquez pour appliquer les modifications à une transition dans un film. E Bouton Ajouter : cliquez sur ce bouton pour appliquer la transition à un clip sélectionné dans votre film. Vous pouvez également sélectionner et modifier diverses transitions en même temps, et faire glisser une transition de cette liste vers l’endroit où vous souhaitez qu’elle apparaisse dans le visualiseur de clips. A Liste d’effets : sélectionnez un effet dans cette liste pour modifier l’apparence des clips dans votre film. B Curseurs Début de l’effet/Fin de l’effet : déplacez ces curseurs aux endroits du clip sélectionné où vous souhaitez qu’un effet apparaisse ou disparaisse. C Curseurs d’apparence : déplacez ces curseurs pour régler l’effet sélectionné. Les options varient en fonction de l’effet choisi. D Bouton Appliquer : cliquez sur ce bouton pour appliquer l’effet au clip sélectionné. D B A CChapitre 3 Vue d’ensemble d’iMovie 47 Effets audio Vous pouvez utiliser des effets audio pour manipuler le son de votre film. Pour consulter les réglages d’effets audio, cliquez sur Effets audio en haut de la sous-fenêtre Montage. A Liste d’effets : sélectionnez un effet dans cette liste pour modifier le son de l’audio dans votre film. B Commandes des effets : utilisez ces commandes pour modifier le son d’un clip audio. Ces commandes varient en fonction de l’effet sélectionné. C Bouton Aperçu : écoutez le clip audio pour voir s’il vous convient suite aux réglages que vous avez effectués. D Bouton Appliquer : quand vous êtes satisfait du résultat, cliquez sur ce bouton pour appliquer l’effet au clip audio sélectionné. D B A C48 Chapitre 3 Vue d’ensemble d’iMovie Sous-fenêtre des chapitres Vous pouvez ajouter des marqueurs de chapitres à votre film puis les exporter dans iDVD ou sous forme de podcast vidéo. Dans iDVD, les chapitres apparaissent dans un menu de sélection de scènes, ce qui permet aux spectateurs de passer directement à une scène précise. Dans un podcast vidéo, les chapitres peuvent inclure une URL et un titre d’URL. Pour ouvrir la sous-fenêtre des chapitres, cliquez sur le bouton Chap. A Titres de chapitre : un nouveau chapitre apparaît dans la liste chaque fois que vous ajoutez un marqueur de chapitre. Donnez un nom à chaque chapitre que vous souhaitez utiliser dans votre menu de sélection de scène iDVD. B Bouton Ajouter un marqueur : cliquez sur ce bouton pour ajouter un marqueur de chapitre à votre film. C Supprimer le marqueur : cliquez sur ce bouton pour supprimer un marqueur de chapitre sélectionné. B A Cwww.apple.com/fr/ilife/imovie © 2006 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, FireWire, iDVD, iLife, iMac, iMovie, iPhoto, iPod, iTunes, Mac, Macintosh, Mac OS et QuickTime sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. GarageBand, iSight et iWeb sont des marques d’Apple Computer, Inc. Le terme Bluetooth et les logos sont la propriété de Bluetooth SIG, Inc. ; toute utilisation de ces marques par Apple Computer, Inc. est sous licence. F019-0540 Mac OS X 10.4 Tiger Guide d’installation et de configuration F2881.book Page 1 Friday, March 18, 2005 4:03 PM Apple Computer, Inc. © 2005 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer, Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Apple, AppleCare, le logo Apple, AirPort et Mac OS sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder et Tiger sont des marques d’Apple Computer Inc. AppleCare est une marque de service d’Apple Computer, Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. .Mac est une marque de service d’Apple Computer, Inc. F2881.book Page 2 Friday, March 18, 2005 4:03 PM 3 1 Installation et configuration de Mac OS X Ce manuel décrit l’installation et la configuration de Mac OS X sur votre ordinateur. Si Mac OS X 10.2 ou ultérieur est installé sur votre ordinateur : il suffit de mettre à niveau votre système d’exploitation vers Tiger. Reportez-vous à la section “Mise à niveau de Mac OS X” ci-dessous. Pour installer un système sur des bases nouvelles, effacez votre disque dur avant d’installer Mac OS X ou installez des logiciels supplémentaires : allez à la section “Installations personnalisées” à la page 5. Pour savoir quelle version de Mac OS X est installée sur votre ordinateur, choisissez le menu Pomme () > À propos de ce Mac. Mise à niveau de Mac OS X Mettez à niveau Tiger pour disposer de toutes ses nouvelles fonctionnalités. Il vous suffit pour cela de suivre les étapes suivantes : Étape 1 : Insérez le disque d’installation Mac OS X Double-cliquez sur l’icône d’installation de Mac OS X et cliquez sur Redémarrer. Le programme d’installation s’ouvre automatiquement au redémarrage de votre ordinateur. Double-cliquez sur cette icône sur le disque d’installation. Cliquez sur Redémarrer pour commencer. F2881.book Page 3 Friday, March 18, 2005 4:03 PM4 Étape 2 : Suivez les instructions à l’écran Sélectionnez la langue à utiliser et cliquez sur la flèche pointant vers la droite. La fenêtre de bienvenue s’affiche : Le programme d’installation vous guide tout au long du processus d’installation : C’est tout, vous pouvez à présent utiliser Mac OS X Tiger ! Introduction Lisez la page Bienvenue pour en savoir plus sur la configuration requise et sur d’autres éléments à connaître avant de procéder à l’installation. Licence Lisez et acceptez les termes du contrat de licence du logiciel. Sélectionner la destination Sélectionnez votre disque dur et cliquez sur Continuer. Type d’installation Cliquez sur Mettre à jour pour commencer l’installation de Tiger. Installer Le programme d’installation affiche la progression de l’installation. Terminer l’installation Enregistrez votre copie de Mac OS X auprès d’Apple. F2881.book Page 4 Friday, March 18, 2005 4:03 PM5 Installations personnalisées Cette section vous indique comment installer Mac OS X si vous souhaitez :  Installer Mac OS X sur votre ordinateur pour la première fois (ou installer Mac OS X si vous n’avez jamais mis à niveau Mac OS X 10.0 ou 10.1).  Archiver votre système Mac OS X actuel.  Effacer votre disque dur avant d’installer Mac OS X.  Installer d’autres logiciels disponibles sur le disque d’installation Mac OS X. Avant l’installation Si vous souhaitez effacer votre disque dur ou archiver votre système actuel sans garder vos réglages propres au réseau et aux utilisateurs, vous devez les noter concernant le réseau et la messagerie afin de faciliter la reconnexion après l’installation de Mac OS X. Les sections suivantes vous indiquent les informations qui vous sont nécessaires et où les retrouver :  “Configuration de votre connexion à Internet” à la page 10  “Configuration de votre compte de messagerie” à la page 12 Installation de Mac OS X Pour démarrer l’installation personnalisée de Mac OS X Tiger, suivez les étapes ci-dessous : Étape 1 : Insérez le disque d’installation Mac OS X Double-cliquez sur l’icône d’installation de Mac OS X et cliquez sur Redémarrer. Le programme d’installation s’ouvre automatiquement au redémarrage de votre ordinateur. Double-cliquez sur cette icône sur le disque d’installation. Cliquez sur Redémarrer pour commencer. F2881.book Page 5 Friday, March 18, 2005 4:03 PM6 Étape 2 : Suivez les instructions à l’écran Sélectionnez la langue à utiliser et cliquez sur la flèche pointant vers la droite. La fenêtre de bienvenue s’affiche : Le programme d’installation vous guide tout au long du processus d’installation. Consultez les sections ci-dessous pour en savoir plus sur la sélection d’une destination lorsque vous disposez de plus d’un volume, la sélection des options d’installation et la sélection de logiciels supplémentaires à installer. Sélection d’une destination Dans la sous-fenêtre Sélectionner une destination, sélectionnez le volume sur lequel vous souhaitez installer Mac OS X. L’écran vous indique l’espace requis pour l’installation et l’option sélectionnée dans la zone de dialogue Options, décrite dans la section suivante. F2881.book Page 6 Friday, March 18, 2005 4:03 PM7 Sélection du type d’installation de Mac OS X Cliquez sur le bouton Options pour sélectionner “Archiver et installer” ou “Effacer et installer”. L’un des deux écrans suivants s’affiche : Sélectionnez le type d’installation de Mac OS X et cliquez sur OK. Cliquez sur Continuer dès que vous êtes prêt à passer à la sous-fenêtre suivante. Installation Mac OS X Cette option s’affiche si Mac OS X n’est pas installé sur votre ordinateur ou si vous disposez d’une version antérieure de Mac OS X (10.0 ou 10.1) impossible à mettre à niveau. Sélectionnez cette option pour installer Tiger sur votre ordinateur. Archiver et installer Sélectionnez cette option pour installer un nouveau système sur votre ordinateur. “Archiver et installer” déplace vos fichiers système Mac OS X dans un dossier appelé Système précédent et installe une nouvelle copie de Mac OS X sur le volume sélectionné. Les applications installées sur Mac OS X, par exemple le Carnet d’adresses et Safari, sont archivées et de nouvelles versions sont installées dans le dossier Applications. Les comptes d’utilisateur ainsi que leurs dossiers de départ sont également archivés dans le dossier Système précédent sauf si vous choisissez “Conserver les utilisateurs et les réglages de réseau”. Cette option est sélectionnée si Mac OS X est installé sur le volume. Cette option est sélectionnée si Mac OS X n’est pas installé sur le volume. F2881.book Page 7 Friday, March 18, 2005 4:03 PM8 Conserver les utilisateurs et les réglages de réseau : cochez cette case pour importer vos comptes d’utilisateur, vos dossiers de départ et vos réglages de réseau dans le nouveau système. Voici le contenu des comptes d’utilisateur :  Les dossiers de départ et leur contenu  Les réglages des Préférences  Les bases de données du Carnet d’adresses  Les signets des navigateurs  Les réglages et les emplacements réseau L’option “Conserver les utilisateurs et les réglages de réseau” copie également le dossier /Utilisateurs/Partagé existant sur votre nouveau système. Remarque : vous ne pouvez plus démarrer votre ordinateur via le dossier Système précédent mais les réglages, les fichiers de préférences, les polices, les modules et d’autres éléments restent disponibles en cas de besoin. Si vous choisissez “Archiver et installer”, vous devrez peut-être réinstaller des applications, des modules ou d’autres logiciels. Installez les polices du dossier /Bibliothèque/Fonts dans votre nouveau système en les copiant à partir du dossier Système précédent. Effacer et installer Cette méthode efface l’intégralité du volume de destination avant d’installer une nouvelle copie de Mac OS X. Sélection d’autres paquets logiciels en vue de les installer L’option Installation standard vous permet d’installer tous les logiciels dont vous avez besoin pour utiliser Mac OS X. Cependant, le disque d’installation Mac OS X contient des logiciels supplémentaires que peuvent s’avérer utiles (gestionnaires d’impression, polices et logiciel de traductions). Pour visualiser les paquets disponibles, cliquez sur Personnaliser. La sous-fenêtre Installation personnalisée s’affiche (comme indiqué dans l’illustration ci-dessous). Cliquez sur les flèches pour afficher des composants spécifiques. Sélectionnez les logiciels que vous souhaitez installer. Avertissement : effacer le volume de destination revient à supprimer tout son contenu (comptes d’utilisateur, réglages de réseau, fichiers et dossiers). Le cas échéant, quittez le programme d’installation et sauvegardez vos fichiers avant d’effacer le volume de destination. F2881.book Page 8 Friday, March 18, 2005 4:03 PM9 Remarque : vous pouvez toujours utiliser le disque d’installation de Mac OS X pour l’installation ultérieure de logiciels supplémentaires. Lorsque vous êtes prêt à installer Mac OS X ainsi que les logiciels sélectionnés, cliquez sur Mettre à jour ou sur Installer (selon que Mac OS X est installé ou pas sur votre ordinateur). Configuration de Mac OS X Une fois Mac OS X installé, le Programme d’installation redémarre votre ordinateur. L’Assistant réglages de Mac OS X s’affiche afin de vous aider à configurer votre nouveau système. Cet assistant vous guide tout au long du processus de transfert des informations : il crée un identifiant Apple, un compte .Mac, votre compte d’utilisateur, configure votre connexion Internet et enregistre votre copie de Mac OS X. Transfert des informations d’un autre Mac ou d’un autre volume L’Assistant réglages peut vous aider à transférer les informations d’un autre ordinateur ou volume Mac OS X vers votre nouveau système Mac OS X. Si vous choisissez de transférer des informations, vous serez invité à sélectionner les éléments que vous souhaitez transférer. Vous pouvez transférer notamment des comptes d’utilisateur, des réglages de réseau, des applications, des fichiers et des dossiers. Il est possible que certaines applications transférées ne fonctionnent pas ; vous devez alors les réinstaller. Remarque : transférer vos informations lors de l’installation n’est pas obligatoire. Utilisez l’Assistant migration, utilitaire installé avec Mac OS X Tiger, pour transférer des applications, des fichiers et des dossiers à partir d’un autre ordinateur ou volume. Cliquez sur la flèche pour afficher des composants. Seuls les composants sélectionnés seront installés. Tous les composants seront installés. F2881.book Page 9 Friday, March 18, 2005 4:03 PM10 Création d’un compte d’utilisateur Le compte d’utilisateur que vous créez lors de l’installation bénéficie de privilèges d’administrateur sur votre ordinateur. Vous serez invité à créer un nom d’utilisateur ainsi qu’un mot de passe. Il est important de se rappeler leur formulation exacte, majuscules comprises. Vous aurez peut-être besoin de vos nom d’utilisateur et mot de passe pour ouvrir une session sur votre ordinateur ou pour réaliser des tâches administratives, comme l’installation de nouveaux logiciels par exemple. Configuration de votre connexion à Internet L’Assistant réglages facilite la configuration de votre connexion à Internet. Si vous n’avez pas de connexion à Internet, vous pouvez en obtenir une auprès d’un FAI (fournisseur d’accès à Internet). Remarque : si vous ne parvenez pas à vous connecter à Internet lors de la configuration, vous pourrez utiliser l’Assistant réglages de réseau pour vous connecter par la suite. Ouvrez les Préférences Système, cliquez sur Réseau puis sur Assistant. Si vous disposez déjà d’une connexion à Internet, nous vous recommandons de rassembler les informations correspondantes avant d’installer Mac OS X afin d’être prêt à configurer votre connexion à l’aide de l’Assistant réglages. Les informations nécessaires à la connexion se trouvent sur votre ordinateur : Les tableaux ci-dessous indiquent les informations nécessaires à la connexion Internet. Informations sur la configuration de modem câble, de modem DSL ou d’Ethernet intégré Source d’informations : administrateur réseau ou FAI Vous utilisez Recherchez vos informations dans Mac OS X Sous-fenêtres des Préférences Internet et réseau Mac OS 9 Tableaux de bord TCP/IP, Internet, Accès distant et Modem Windows Panneau de configuration puis les options Internet, Modem et Réseau Ce que vous devez savoir Ce que vous recherchez Notez vos informations ici Le type de configuration TCP/IP Manuelle, DHCP avec une adresse manuelle, DHCP ou BootP Dans le cas d’une configuration manuelle, l’adresse IP de votre ordinateur Les chiffres se présentant ainsi : 12.345.56.789 Dans le cas d’une configuration manuelle, l’adresse du masque de sous-réseau et celle du routeur Les chiffres se présentant ainsi : 10.255.255.255 (masque de sous-réseau) et 10.208.32.2 (adresse du routeur) F2881.book Page 10 Friday, March 18, 2005 4:03 PM11 Informations sur la configuration de la connexion AirPort ou sans fil Source d’informations : administrateur du réseau AirPort Informations sur la configuration du modem téléphonique Source d’informations : FAI Si vous configurez également la borne d’accès AirPort en vue de vous connecter à Internet, vous aurez besoin des informations du tableau “Informations sur la configuration de modem câble, de modem DSL ou d’Ethernet intégré”. Si vous êtes déjà un membre .Mac, gardez vos nom de membre et mot de passe à portée de main pendant la configuration. Si vous avez oublié votre mot de passe .Mac, rendez-vous sur le site Web .Mac (www.mac.com). Si vous ne connaissez pas les informations relatives à votre connexion, contactez votre FAI, votre administrateur réseau ou l’administrateur de votre réseau domestique. Dans le cas d’une configuration DHCP, l’ID du client DHCP (si requis) Informations fournies par l’administrateur de votre système Serveurs DNS (facultatif) Les chiffres se présentant ainsi : 10.255.255.255 Un nom du type : ISPname.com Domaines de recherche (facultatif) Un nom du type : ISPname.com Ce que vous devez savoir Ce que vous recherchez Notez vos informations ici Ce que vous devez savoir Ce que vous recherchez Notez vos informations ici Nom du réseau Le nom fourni par votre administrateur de réseau AirPort (apparaît dans le menu d’état AirPort) Mot de passe (si nécessaire) Le mot de passe fourni par l’administrateur de votre réseau AirPort Ce que vous devez savoir Ce que vous recherchez Notez vos informations ici Type de configuration Connexion PPP, Manuelle ou Connexion à AOL Dans le cas d’une configuration manuelle, l’adresse IP de votre ordinateur Les chiffres se présentant ainsi : 12.345.567.89 Serveurs DNS (facultatif) Les chiffres se présentant ainsi : 10.255.255.255 Domaines de recherche (facultatif) Un nom du type : ISPname.com Pour une connexion PPP, un numéro de téléphone Numéro de téléphone Vos nom d’utilisateur et mot de passe Nom de compte et mot de passe fournis par votre FAI F2881.book Page 11 Friday, March 18, 2005 4:03 PM12 Configuration de votre compte de messagerie Si vous disposez d’un compte de messagerie, les informations nécessaires à la configuration de l’application Mail livrée dans Mac OS X ou de toute autre application de messagerie se trouvent dans l’application de messagerie que vous avez utilisée jusqu’à présent. Vous pouvez également obtenir ces informations via votre fournisseur d’accès à Internet. Lorsque vous ouvrez Mail pour la première fois, l’Assistant réglages de Mail s’affiche pour vous aider à configurer vos comptes de messagerie. Informations sur la configuration de compte de messagerie Source d’informations : FAI Réponses aux questions courantes Utilisez les sections suivantes pour trouver les réponses à vos questions sur l’installation et l’utilisation de Mac OS X. Installation de Mac OS X Vous voulez quitter le programme d’installation. Si vous voulez quitter le programme d’installation de Mac OS X avant d’avoir installé les logiciels : 1 Choisissez Programme d’installation > Quitter Programme d’installation et cliquez sur Disque de démarrage. 2 Sélectionnez un disque de démarrage et cliquez sur Redémarrer. Ce que vous devez savoir Ce que vous recherchez Notez vos informations ici Votre adresse électronique Adresse présentant le format suivant : pmartin3@mac.com L’identifiant de votre compte La première partie de votre adresse électronique : pmartin3 Le type de compte IMAP, POP ou un type propriétaire de votre FAI Serveur de réception Un nom du type : mail.mac.com Serveur d’envoi Un nom du type : smtp.mac.com Avertissement : si vous êtes en train d’installer Mac OS X sur votre disque de démarrage Mac OS X actuel, n’arrêtez pas le programme d’installation, sinon vous ne pourrez peut-être pas démarrer depuis ce disque. F2881.book Page 12 Friday, March 18, 2005 4:03 PM13 Si vous voulez utiliser le clavier au lieu de la souris. Vous avez accès à toutes les touches du clavier si vous utilisez le programme d’installation et l’Assistant réglages. Appuyez sur la touche de tabulation pour mettre en surbrillance des boutons, des menus locaux et d’autres options. Appuyez sur la touche fléchée vers le bas pour ouvrir des menus locaux. Appuyez sur la barre d’espace pour sélectionner des éléments. Vous voulez continuer à utiliser les applications Mac OS 9. Pour continuer à utiliser les applications Mac OS 9, vous devez installer Mac OS 9 en même temps que Mac OS X. Vous pouvez installer Mac OS X sur le même volume que Mac OS 9 ou sur un autre volume. Remarque : certains ordinateurs ne permettent pas l’installation de Mac OS 9 ni le démarrage à partir de Mac OS 9. Pour utiliser les applications de Mac OS 9, ouvrez-les dans l’environnement Classic. Pour en savoir plus, consultez le Guide de l’utilisateur fourni avec votre ordinateur. Vous n’êtes pas autorisé à lancer le programme d’installation. Si votre ordinateur est connecté à un réseau, il se peut que l’administrateur de votre réseau interdise l’installation de logiciels ou la mise à niveau de Mac OS X. Le programme d’installation ne s’ouvre pas. Si le programme d’installation ne s’ouvre pas, redémarrez votre ordinateur en maintenant enfoncée la touche C du clavier afin de pouvoir démarrer votre ordinateur depuis le disque d’installation. Si le programme d’installation ne s’ouvre toujours pas, redémarrez votre ordinateur en maintenant enfoncé le bouton de la souris ou du trackpad afin d’éjecter le disque. Insérez ensuite le disque d’installation de Mac OS X et utilisez les préférences du Disque de démarrage pour sélectionner le disque d’installation en tant que disque de démarrage ; redémarrez enfin votre ordinateur. Le programme d’installation ne parvient pas à réparer votre disque. Si vous recevez un message indiquant que le programme d’installation ne peut pas réparer votre disque, c’est que vous devez sans doute l’effacer. Si vous effacez le disque, tous les fichiers qu’il contient seront effacés. Avant d’effacer le disque, vous pouvez quitter le programme d’installation pour sauvegarder les fichiers qui vous intéressent (copiez-les sur un autre disque). Lorsque vous êtes prêt à effacer le disque, ouvrez le programme d’installation, suivez les instructions de la rubrique “Installations personnalisées” à la page 5 et sélectionnez Effacer et installer. F2881.book Page 13 Friday, March 18, 2005 4:03 PM14 Le programme d’installation ne parvient pas à mettre à jour le gestionnaire du disque dur. Le programme d’installation ne peut pas mettre à jour les gestionnaires des disques durs non Apple. Utilisez l’utilitaire de disque recommandé par le fabricant de votre disque pour mettre à jour son gestionnaire avant d’installer Mac OS X. Veillez à utiliser une version de l’utilitaire compatible avec Mac OS X. Échec de l’installation. En cas d’échec de l’installation de Mac OS X, procédez ainsi :  Déconnectez les périphériques externes dont vous n’aurez pas besoin pendant l’installation.  Utilisez Utilitaire de disque pour réparer votre disque dur. Une fois les périphériques inutiles déconnectés, démarrez à partir du disque d’installation de Mac OS X. Sélectionnez votre langue et cliquez sur la flèche pointant vers la droite. Pour ouvrir Utilitaire de disque, choisissez Utilitaires > Utilitaire de disque. Sélectionnez le volume d’installation désiré et cliquez sur Réparer le disque. Une fois la réparation terminée, quittez Utilitaire de disque, puis cliquez sur Continuer pour tenter une nouvelle installation. Si vous ne parvenez toujours pas à installer Mac OS X, essayez à nouveau en utilisant l’option Effacer et installer. Consultez la section “Installations personnalisées” à la page 5. L’installation de Mac OS X a été interrompue et vous ne pouvez plus redémarrer votre ordinateur. Redémarrez votre ordinateur en maintenant enfoncé le bouton de la souris ou du trackpad pour éjecter le disque d’installation. Il se peut que votre ordinateur redé- marre à partir du dernier système utilisé. Si ce n’est pas le cas et qu’un autre système Mac OS X est installé sur votre ordinateur, redémarrez-le en maintenant enfoncée la touche Option afin de sélectionner un disque de démarrage. Si votre ordinateur ne démarre pas ainsi, insérez le disque d’installation Mac OS X et redémarrez en maintenant enfoncée la touche C. Ouvrez les préférences Disque de démarrage et sélectionnez un disque de démarrage. Vous devez réinstaller Mac OS X. Pour réinstaller cette version de Mac OS X, sélectionnez “Archiver et installer” dans la section Options et choisissez l’option permettant de conserver vos réglages de comptes d’utilisateur et de réseau. Si vous devez restaurer le logiciel de votre ordinateur, utilisez le disque fourni. Pour obtenir de l’aide, consultez le Guide de l’utilisateur fourni avec votre ordinateur. F2881.book Page 14 Friday, March 18, 2005 4:03 PM15 Ouverture d’une session Mac OS X “Ouvrir une session” signifie accéder à votre ordinateur grâce au nom et au mot de passe d’un compte utilisateur. Mac OS X est configuré pour l’ouverture de session automatique à l’aide du compte utilisateur créé lors de la configuration. Vous ne parvenez pas à ouvrir une session. Assurez-vous que vous saisissez avec exactitude le nom d’utilisateur et le mot de passe et en respectant les majuscules et minuscules. Si la session ne s’ouvre toujours pas mais que vous connaissez le nom et le mot de passe d’un administrateur, le premier utilisateur que vous avez créé par exemple, ouvrez une session en tant qu’administrateur et allez dans les préférences Comptes pour modifier votre mot de passe. Vous avez oublié votre mot de passe et devez le réinitialiser. Si vous avez oublié votre mot de passe et que vous disposez du disque d’installation de Mac OS X, insérez-le dans votre ordinateur et redémarrez en maintenant enfoncée la touche C. Lorsque le programme d’installation apparaît, choisissez la langue et cliquez sur la flèche vers l’avant. Choisissez Utilitaires > “Réinitialiser le mot de passe”, puis suivez les instructions à l’écran. Astuces pour la création d’un mot de passe sécurisé. Créez une expression qui signifie quelque chose pour vous et ne gardez que la première lettre de chaque mot ou bien enlevez toutes les voyelles. Pour une plus grande sécurité, n’utilisez pas un mot existant du dictionnaire ; utilisez au moins huit caractères ainsi qu’un mélange de lettres en majuscules et en minuscules, de chiffres et de symboles. Voici quelques exemples :  “J’adore acheter des sandales au printemps” (J’aAds0p)  “Je travaille 8 heures par jour” (Jtvl8hrs_jr)  “Mon fils Valéry a trois ans de plus que ma fille Anna” (MfVa3A2+qMF@) Vous ne parvenez pas à accéder à votre compte d’utilisateur distant. Si vous accédez à votre compte d’utilisateur via un serveur et ne parvenez pas à vous-y connecter, contactez l’administrateur de votre système. F2881.book Page 15 Friday, March 18, 2005 4:03 PM16 En savoir plus sur Mac OS X Si des questions surgissent lors de l’utilisation de Mac OS X, consultez l’Aide Mac OS. Vous y trouverez des informations sur les nouveautés de Mac OS X et pourrez obtenir de l’aide complémentaire à travers les problèmes déjà rencontrés par d’autres clients. L’Aide Mac OS contient des milliers de pages d’informations utiles. Utilisez la fonction Rechercher pour trouver rapidement la rubrique qui vous intéresse ou cliquez sur Index et recherchez votre rubrique. Pour utiliser l’Aide Mac OS : 1 Dans le Finder, choisissez Aide > Aide Mac. 2 Tapez votre question dans la zone de texte et appuyez sur la touche Retour. Si les informations recherchées concernent une application de Mac OS X, choisissez l’aide de l’application dans le menu Aide. Recherche d’aide sur Internet Pour rechercher de l’aide sur Internet, rendez-vous sur le site Web d’Apple suivant : www.apple.com. Vous y trouverez des informations en abondance sur Mac OS X. Quelle que soit votre question, Apple ou la communauté d’utilisateurs Mac sauront vous répondre. Sur le site Web d’Apple, consultez les rubriques suivantes en particulier :  Cliquez sur Mac OS X pour découvrir toutes les possibilités offertes par Mac OS X et pour en savoir plus sur les nouvelles applications Mac OS X.  Cliquez sur Support pour accéder à la rubrique d’assistance et de support d’AppleCare, consacrée à l’assistance et aux informations techniques relatives aux produits Apple.  Saisissez du texte dans le champ Rechercher et cliquez sur la loupe pour rechercher parmi des milliers d’articles sur les produits Apple. Cliquez sur Recherche avancée pour effectuer une recherche plus spécifique.  Cliquez sur Téléchargements pour connaître les mises à jour des logiciels Apple.  Cliquez sur Manuels ou sur Caractéristiques pour accéder aux manuels au format PDF et à d’autres informations sur les produits Apple.  Cliquez sur Formation pour en savoir plus sur les cours d’utilisation de Mac OS X en autodidacte ou donnés par des formateurs. F2881.book Page 16 Friday, March 18, 2005 4:03 PMF2881.book Page 17 Friday, March 18, 2005 4:03 PMF2881.book Page 18 Friday, March 18, 2005 4:03 PMF2881.book Page 19 Friday, March 18, 2005 4:03 PMwww.apple.com F034-2881-A Imprimé à XXXX F2881.book Page 20 Friday, March 18, 2005 4:03 PM Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 1 Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam Updated January 2011Contents About this Guide ...............................................................................................................3 About the Final Cut Pro 7 Level One Practice Exam ..........................................3 Becoming an Apple Certified Pro ...............................................................................4 Exam Details .......................................................................................................................5 Recommended Exam Preparation .............................................................................5 Lesson One objectives ....................................................................................................7 Lesson Two objectives ....................................................................................................9 Lesson Three objectives .................................................................................................10 Lesson Four objectives ...................................................................................................12 Lesson Five objectives ....................................................................................................13 Lesson Six objectives .......................................................................................................15 Lesson Seven objectives ................................................................................................16 Lesson Eight objectives .................................................................................................18 Lesson Nine objectives ..................................................................................................19 Lesson Ten objectives .....................................................................................................21 Lesson Eleven objectives ...............................................................................................22 Lesson Twelve objectives ..............................................................................................24 Lesson Thirteen objectives ...........................................................................................25 Lesson Fourteen objectives .........................................................................................27 Taking the Final Cut Pro 7 Practice exam ...............................................................28 Taking the Final Cut Pro 7 certification exam .......................................................30 Prometric Exam FAQs ......................................................................................................30 Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 2 TM and © 2011 Apple Inc. All rights reserved. Other product and company names mentioned herein may be trademarks of their respective companies. Mention of third-party products is for information purposes only and constitutes neither an endorsement nor a warranty. Apple assumes no responsibility with regard to the selection, performance or use of these vendors or products.About this Guide This guide provides all the information that you need to prepare for the Final Cut Pro 7 exam to earn Apple Certified Pro Level One certification. From this guide you can: • Learn about Apple Certification. • Find out how to take the exam or practice exam. • Locate resources to help you prepare for the exam. • Review the range of objectives that the exam may cover. • Get a feel for the type of questions that appear on the exam. About the Final Cut Pro 7 Level One Practice Exam The practice exam is based on the objectives of the Level One Final Cut Pro End User certification exam. The content is similar to the actual exam and covers the exam objectives. However, the practice exam is about half the length of the real exam. While the actual certification exam includes 66 questions, the practice exam only includes 37 questions. Both exams are timed. You are allowed one hour to complete the practice exam. When you finish, you will see the correct answers so that you can identify the areas that you need to review. However, the actual Level One Final Cut Pro End User exam is an hour-and a-half exam and you won’t see answers and explanations when you finish. Only your final score will be visible. Both exams display your results immediately after completing the exam. A score of 80% is considered passing (please note that passing the practice exam does not earn certification). The practice exam does not necessarily predict how well you will perform on the actual exam, although it’s a good indicator of areas that you need to review. Although the certification exam uses a random pool of questions, the types of questions in the practice exam mirror those found in the certification exam. Both exams include multiple-choice, fill-in-theblank and interactive-media questions. Some practice exam questions are similar in content, but worded differently. Some multiple-choice questions come from the actual exam, but include different distracters (wrong answers). The practice exam is a pre-certification exam. Passing the practice exam doesn’t mean that you’re certified; no certificate is awarded. You must pass the Level One Final Cut Pro 7 End User exam to earn your Level One certification. Because the practice exam doesn’t count towards certification, you can make it an open-book test if you like. However, you won’t be allowed to consult your book when taking the actual certification exam. To more accurately simulate the certification exam experience, you may want to take the practice exam without referring to your book or other resources. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 3Becoming an Apple Certified Pro The Apple Training & Certification program is designed to keep you at the forefront of Apple technology. Certification creates a benchmark to demonstrate your proficiency in specific Apple technologies and gives you a competitive edge in today’s evolving job market. What is an Apple Certified Pro? An Apple Certified Pro is a user who has reached the highest skill level in the use and operation of Apple’s Pro Applications as attested to by Apple. How do I become an Apple Certified Pro? To become an Apple Certified Pro, you must pass an online exam administered at an Apple Authorized Training Center (AATC). Some exams, including Aperture, may be taken online by individuals with a promotional code. Level One exams are administered at the end of specific courses at the centers. If you prefer to learn on your own or believe you already have the necessary skills, you may take the Aperture exam online for a fee. Level One certification attests to basic operational knowledge. Level Two certification attests to a deeper understanding of the application. Level Two exams can be taken only after Level One certification is earned. Class attendance is recommended, but not required. Final Cut Pro offers both Level One and Level Two certification. Final Cut Pro 7 Level One certification also counts towards Final Cut Studio Master Pro certification. Master Certification recognizes your skills with the entire product suite. Since workflow is such a significant component of Final Cut Studio, the curriculum requires you to earn certification in multiple applications What are the benefits of being an Apple Certified Pro? Beside differentiating you as a skilled user of an Apple application, becoming an Apple Certified Pro allows you to leverage the power of the Apple brand. When you pass a Certification exam, you receive an email with a PDF copy of your Apple certificate, along with instructions on how to order a printed or a printed and framed certificate. The email includes LinkedIn, Facebook, and Twitter icons to make it easy for you to share your certification news with your networks on these sites. You also receive a login for the Apple Certification Records System, where you can: • Update your profile information and opt in to display your Apple Certification(s) on the Apple Certified Professionals Registry. • Review your certification progress. • Download your certification logo(s) to use on business cards, resumes, websites, and more. • Provide access to employers to verify your certifications. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 4Exam Details The Final Cut Pro 7 Level One exam is a computer-based test offered at AATCs and Prometric Testing Centers. To find the closest AATC, please visit training.apple.com/locations. To find a Prometric Testing Center, visit www.prometric.com/apple. Many AATCs schedule Certification Exam sessions at training.apple.com/ schedule. If you don't see a session scheduled at your nearest AATC, contact the AATC and they will often schedule a session. Please note that all AATCs offer all Mac OS X and Pro Apps exams, even if they don’t offer the corresponding course. The Final Cut Pro 7 Level One exam details: • Exam number: 9L0-827 • Number of test questions: approximately 66 technical, five demographic (unscored). • The exam uses a random pool of multiple-choice, fill-in-the-blank and interactive-media questions. • Passing score: 80% (scores are not rounded; you must earn a score of 80% or higher to pass the exam). • Details on exam scoring appear at training.apple.com/certification/faq. • Exam duration: One hour thirty minutes. • This exam is also available in other languages. For details, please visit training.apple.com/certification/localized. The exam timer does not start until you view the first technical question. You may not access any resources or references during the exam. Recommended Exam Preparation We recommend the following exam preparation strategies: • Gain experience with the application. • Learn from experts: FCP 101: Introduction to Final Cut Pro or FCP 102: Introduction to Final Cut Pro, Prime Time. • Study the Apple Pro Training Series book “Final Cut Pro 7” by Diana Weynand (ISBN 0-321-63527-3). • Review the optional study materials. • Review the objectives and sample questions in this guide. Gain Experience with the Application Nothing can substitute for time spent learning the technology first hand. After you read the book and/or take the class, spend time increasing your familiarity with the software on your own to ensure your success on the certification exam. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 5Learn from Experts Apple Authorized Training Centers (AATCs) offer classes where you can learn hands-on with the technology and benefit from the expertise of Apple Certified Trainers and your peers. Visit the Apple Training & Certification website to find course offerings at nearby AATCs. Study the Apple Pro Training Series Book Apple Pro Training Series books are the basis for the related Apple Certification exams. The book for this exam is Apple Pro Training Series“Final Cut Pro 7” by Diana Weynand (ISBN 0-321-63527-3). You can purchase the book at peachpit.com (click here for a 30% discount code). Creative Edge, an on-demand digital library, offers subscription access to the Apple Training and Apple Pro Training Series, as well as thousands of other reference videos and books. If you are an iPad user, an electronic version is available on the iBookstore. This book is also available in other languages. Click here for details. Review the Optional Study Materials The following resources may also help you to prepare for your certification exam, as well as to expand your general knowledge: • Review the tutorials at www.apple.com/finalcutstudio/resources/. Over five hours and 150 topics of free online tutorials are provided by leading video training developers, including some lessons from the Apple Pro Training Series book. • Review the appropriate sections of the Final Cut Pro User Manuals. The complete documentation for the entire studio is available at: documentation.apple.com. You can also launch the Final Cut Pro documentation by choosing Help > Final Cut Pro User Manual when Final Cut Pro is launched. Information on new features is available by choosing Help > New Features when Final Cut Pro is launched. • Review the Apple Pro Training Series book “Final Cut Pro 7 QuickReference Guide” by Brendan Boykin (ISBN 0-321-69468-6). You can order this book with a 30% discount at Peachpit Press by entering coupon PP-APL-DISC at checkout. • Many online resources allow you to ask questions and learn tips and tricks. To access white papers, discussion forums, and learn about the many other online materials, visit Apple’s training resources www.apple.com/finalcutstudio/resources/ • Although the end user exam does not cover this material, you may want to review the Apple ProRes white paper: www.apple.com/ finalcutstudio/finalcutpro/apple-prores.html. • For information on the Apple Pro Training Program, visit training.apple.com/. • To provide comments and feedback to Apple about Final Cut Pro, visit www.apple.com/feedback/finalcutpro.html • Take the Final Cut Pro tour at www.apple.com/finalcutstudio/ finalcutpro/. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 6• Read the late breaking news at www.apple.com/support/manuals/. • Read the Final Cut Pro News for information about Apple Pro Apps and everything related to them. • Many third-party manufacturers create reference, troubleshooting and tutorial DVDs for the novice to power user. A quick Internet search will provide you with dozens of options. • If you have any questions, you can post them to the Final Cut Pro Discussion Forum, which is hosted by Apple. You can also post questions to the Yahoo group FinalCutPro-L. You can join at the following link: movies.groups.yahoo.com/group/FinalCutPro-L/. Review the Objectives and Review Questions Even if you’re self-taught or have taken courses that do not use the Apple Pro Training Series curriculum, you can still prepare yourself for the certification exam by making sure that you can complete all the tasks and answer all the review questions in the following sections. The Exam Objectives describe the knowledge domains assessed by the exam. The Review Questions summarize what you should have learned in each chapter. Please note that although this guide divides the objectives into lessons or knowledge areas, questions are presented randomly during the exam. Lesson One objectives Upon completion of Lesson One, “Creating a Rough Cut” in “Final Cut Pro 7,” you should be able to complete the following tasks. Items from this lesson are included in the pool of exam questions, drawn randomly from the following objectives: • Import clips into a project • Play and navigate through clips in the Viewer • Mark clips in the Viewer • Edit clips into the Timeline • Play a sequence in the Timeline and Canvas • Organize project elements in the Browser • Save, hide, and quit Final Cut Pro Lesson One review questions After completing Lesson One, you should be able to answer the following questions. 1. Name three ways to open Final Cut Pro. 2. What four modifier keys are often used in conjunction with keyboard shortcuts to initiate functions or commands? 3. How do you access a shortcut menu? Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 74. In what main menu can you find the Import command? 5. Identify three ways to open a clip in the Viewer. 6. Besides clicking the Play button, what keys on your keyboard can you press to play a clip or sequence forward? 7. Which keys move the playhead forward or backward in oneframe increments in the Viewer, Canvas, and Timeline? 8. How do you mark an In point or Out point on a clip? 9. What button in the Canvas window do you click to edit a clip? 10. What visual indicator in the Viewer lets you know you are on the first or last frame of the entire clip? 11. What visual indicator in the Canvas window lets you know the playhead is on the first or last frame of an edited clip in the Timeline? 12. When viewing the audio portion of a clip, what do you see instead of a video image? 13. Identify three ways to create a bin. 14. What are the keyboard shortcuts to save, hide, and quit Final Cut Pro? Answers 1. Double-click the application in the Applications folder, click the icon in the Dock, or double-click a Final Cut Pro project file. 2. Shift, Control, Option, and Command 3. Control-click (or right-click) an item. 4. In the File menu. 5. Double-click the clip in the Browser, drag it to the Viewer, or select it and press Return. 6. The Spacebar and the L key. 7. The Left Arrow and Right Arrow keys. 8. Click the Mark In or Mark Out button in the Viewer, or press the keyboard shortcut, I or O. 9. The red Overwrite button. 10. Filmstrip sprocket holes appear on the left side of the image in the Viewer to indicate the first available frame of media, and appear on the right side to indicate the last frame. 11. An L in the lower left means you’re on the first frame of the edited clip, and a reverse L in the lower right means you’re on the last frame. 12. A waveform display. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 813. Choose File > New Bin, press Command-B, or Control-click in the gray area of the Browser and choose New Bin. 14. Press Command-S to save current changes, press Command-H to hide the application, and press Command-Q to quit the application. Lesson Two objectives Upon completion of Lesson Two, “Building the Rough Cut” in Final Cut Pro 7 , you should be able to complete the following tasks. Items from this lesson are included in the pool of exam questions, drawn randomly from the following objectives: • Manage project elements • Make overwrite and insert edits • Manage Timeline tracks • Edit audio clips • Move clips in the Timeline • Use drag-and-drop editing • Change the volume of sequence clips Lesson Two review questions After completing Lesson Two, you should be able to answer the following questions. 1. How do you create a bin inside another bin? 2. What are the four methods you can use to create an overwrite or insert edit? 3. What do you use to drag an audio clip from the Viewer’s Audio tab to the Canvas Edit Overlay or to the Timeline? 4. What are the keyboard shortcuts to zoom in to or out of an area of the Timeline? 5. How do you change the track heights in the Timeline? 6. How do you target a track in the Timeline? 7. What controls in the Timeline patch panel turn off or on the video and sound of individual tracks? 8. To select a clip in the Timeline, you click it once. Name two ways to deselect it. 9. How do you change a clip’s location in the Timeline? 10. What are two ways to turn snapping off or on? 11. When dragging clips from the Viewer to the Timeline, your pointer changes as you position the clip depending on the type of edit you’re making. When you’re making an overwrite Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 9edit, what type of arrow does your pointer change into? What is it for an insert edit? 12. When you open a clip in the Viewer, what do you see in the Timeline patch panel? Answers 1. Control-click (or right-click) a bin and choose New Bin from the shortcut menu. 2. Click an edit button; use a keyboard shortcut; drag a clip from the Viewer to the Canvas Edit Overlay; or drag the clip directly to a track in the Timeline. 3. The drag hand. 4. Press Option-+ (plus sign) to zoom in, and press Option-– (minus sign) to zoom out. 5. In the Timeline display controls, click a track height in the Track Height control, or cycle through the options by pressing Shift-T. 6. Drag a Source control to the target destination track. 7. The Track Visibility controls. 8. Click in the empty gray space above the track, or press Command-Shift-A. 9. Drag the clip, or select it and enter a move amount. 10. Press N, or click the Snapping button in the Timeline. 11. The down arrow is for an overwrite edit; the right arrow is for an insert edit. 12. The representative source tracks from the clip appear as Source controls in the Timeline patch panel. Lesson Three objectives Upon completion of Lesson Three, “Finishing the Rough Cut” in “Final Cut Pro 7,” you should be able to complete the following tasks. Items from this lesson are included in the pool of exam questions, drawn randomly from the following objectives: • Set edit points in the Timeline • Add cutaways • Edit narration and music tracks • Backtime clips • Edit sound effects to video clips • Copy and paste clips • Edit using markers Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 10• Play a sequence full screen and via iChat Lesson Three review questions After completing Lesson Three, you should be able to answer the following questions. 1. What are the keyboard shortcuts for setting In and Out points in the Timeline? 2. What are two ways for marking the duration of a clip in the Timeline? 3. What does the Auto Select control in the Timeline patch panel determine? 4. When you mark an area of the Timeline and press Delete, will you leave a gap? 5. What happens to the marked area of the Timeline when you press Shift-Delete or the Forward Delete key? 6. In what menu do Lift and Ripple Delete appear? 7. What mark is necessary in the Viewer when backtiming a source clip into a marked area in the Timeline? 8. How do you patch Source controls to Timeline tracks? 9. Which video track will you see when there is more than one video clip at the same location in the Timeline? 10. What is a three-point edit? 11. What marks are left behind after cutting with the Razor Blade tool? 12. What key do you press to add a marker at the playhead location? 13. How do you create In and Out points from Timeline markers? 14. In what menu can you find the Digital Cinema Desktop Preview? 15. With what Apple application can you screen your sequence long-distance in real time? Answers 1. Press I to set an In point; press O to set an Out point. 2. Position the playhead over the clip in the Timeline and press X to mark the duration of that clip. You can also click the Mark Clip button in the Canvas. 3. If the Auto Select control is turned on for a track, the clips between the edit points on that track will be highlighted and included in the next action. 4. Yes, pressing Delete alone leaves a gap where the material was edited. This type of delete is referred to as a lift. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 115. Pressing Shift-Delete or Forward Delete removes both clip and gap within the marked area. This type of delete is referred to as a ripple delete. 6. The lift and ripple delete appear in the Sequence menu. 7. You should have no In point and only an Out point in the Viewer to backtime the clip into the Timeline edit points. 8. Drag a Source control to the desired Destination control, or Control-click either the Source or the Destination control and choose the appropriate option from the shortcut menu. 9. You see the clip in the uppermost video track. 10. Using just three edit points to determine location, duration, and content. 11. Red through edit indicators. 12. The M key. Press M again to open the Edit Marker dialog. 13. Choose Mark > Mark to Markers, or press the shortcut, Control-A. 14. In the View menu. 15. iChat. Lesson Four objectives Upon completion of Lesson Four, “Trimming Clip Duration” in “Final Cut Pro 7,” you should be able to complete the following tasks. Items from this lesson are included in the pool of exam questions, drawn randomly from the following objectives: • Understand trimming • Trim using the Ripple tool • Trim clips in the Viewer • Trim an edit point by dragging • Trim clips in the V2 track • Extend an edit point • Trim one track of a linked clip Lesson Four review questions After completing Lesson Four, you should be able to answer the following questions. 1. What does turning off linked selection in the Timeline do? 2. What does the Ripple tool do when you use it for trimming? 3. What is the keyboard shortcut to select the Ripple tool? 4. What keys can you use as shortcuts to ripple a clip’s edit point by a few frames? Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 125. What is one advantage of trimming a clip in the Viewer? 6. How can you disable a single clip in the sequence? 7. What tools can you use to drag an edit point in the Timeline? 8. What is the keyboard shortcut for extending an edit? 9. How do you reposition a clip to an upper Timeline track without moving it horizontally? 10. What is the advantage of editing on the V2 track? Answers 1. It allows you to select and trim one track of a linked clip. 2. It ripples the trim amount through the unlocked tracks in the sequence. 3. Pressing RR selects the Ripple tool. 4. Press [ and ] (bracket keys) or < and > (angle bracket keys). 5. You can view material outside the marked area. 6. Control-click the clip in the sequence and deselect Clip Enable in the shortcut menu. 7. Use the default Selection tool and the Ripple tool. 8. The E key extends an edit. 9. Hold down the Shift key as you drag, or select the clip and press Option–Up Arrow. To move a clip down, you press Option–Down Arrow. 10. It allows you to lengthen a clip without bumping into a bordering clip on either side. Lesson Five objectives Upon completion of Lesson Five, “Refining Edit Points” in “Final Cut Pro 7,” you should be able to complete the following tasks. Items from this lesson are included in the pool of exam questions, drawn randomly from the following objectives: • Trim two edit points at the same time • Slip In and Out points • Roll edit points • Extend edit points • Slide a clip • Reposition a clip • Keep clips in sync Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 13Lesson Five review questions After completing Lesson Five, you should be able to answer the following questions. 1. How can you display a list of markers that are in a sequence? 2. Where can you change the Timeline settings of the active sequence? 3. Which two edit points does the Slip tool adjust? 4. Which two sets of shortcut keys allow you to adjust edit points one frame at a time? 5. Which two edit points does the Roll tool adjust? 6. How do you adjust one track of a linked clip? 7. How many clips are affected when you apply the Slide tool? 8. Is extending two edit points most similar to rolling, slipping, or sliding edit points? 9. What modifier key is essential to reposition a clip in a sequence without overwriting any other material? 10. What does Option-dragging a clip do? 11. If one track of a clip has gotten out of sync with the other tracks, by being either slipped or moved, how do you resync those tracks? Answers 1. Control-click in the Timeline ruler. The markers appear at the bottom of the shortcut menu. 2. In the Sequence Settings window (Sequence > Settings). 3. The Slip tool adjusts the In and Out points of one clip. 4. The < and > (angle bracket) keys, and the [ and ] (bracket) keys. 5. The Roll tool adjusts one clip’s Out point and the adjacent clip’s In point. 6. Turn off linked selection, or hold down Option before clicking the track. 7. The Slide tool affects three clips: the position of the middle clip, and the durations of the adjacent clips. 8. Extending changes an edit point in the same way rolling does. 9. The Option key is used to shuffle a clip and ripple all other clips in the sequence. 10. Option-dragging creates a copy of a sequence clip and repositions the copy in a different location, leaving the original sequence clip in place. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 1411. Press Command-Z, or Control-click the red out-of-sync indicators on the tracks you want to adjust and choose “Slip into Sync” or “Move into Sync.” Lesson Six objectives Upon completion of Lesson Six, “Refining the Editing Process” in “Final Cut Pro 7,” you should be able to complete the following tasks. Items from this lesson are included in the pool of exam questions, drawn randomly from the following objectives: • Label and rename project elements • Create subclips using In and Out points • Create subclips using markers • Use markers to sync clips • Change poster frames • Create a storyboard • Work with replace edits • Edit multicam footage Lesson Six review questions After completing Lesson Six, you should be able to answer the following questions. 1. How do you add a color label to a clip, bin, or sequence? 2. How do you create a subclip from another clip? 3. Where can you place markers? 4. Does snapping affect markers? 5. What modifier key is used to create a new poster frame? 6. What does the replace edit do? 7. How should clips be organized in a bin before making a storyboard-type edit? 8. What does it mean when a production is shot multicam? 9. How do you create a multiclip? 10. When creating a multiclip, what are the three ways you can sync clips or angles? 11. What modifier key do you use to modify the arrangement of multiclip angles in the Viewer? Answers 1. In the Browser, Control-click the item and choose Label, then select a color. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 152. Set In and Out points in the clip, then choose Modify > Make Subclip. 3. Place markers in the Timeline ruler or on a selected clip in the Timeline. You can also add markers to a clip in the Viewer. 4. Yes. When snapping is on, you can snap the playhead to markers and snap a clip marker to a sequence marker or to another clip marker. 5. The Control key creates a new poster frame (Control-P). 6. It replaces a sequence clip with a source clip, aligning the Viewer and Timeline playhead positions. 7. Clips should be placed in rows, with each clip in a row appearing slightly lower than the previous clip. 8. Multiple cameras were used to shoot the same action at the same time but from different angles. 9. In the Browser, select the clips you want to include in the multiclip and choose Modify > Make Multiclip, or Control-click a selected clip or bin and choose Make Multiclip from the shortcut menu. 10. You can sync clips or angles by In points, Out points, or timecode. 11. The Command key. Lesson Seven objectives Upon completion of Lesson Seven, “Customizing Final Cut Pro” in “Final Cut Pro 7,” you should be able to complete the following tasks. Items from this lesson are included in the pool of exam questions, drawn randomly from the following objectives: • Reconnect unlinked media files • Play sequences with multiple formats • Work with master clips and match frames • Log notes in Browser columns • Find project items • Customize shortcut keys and button bars • Save and reload customized layouts • Optimize user preferences Lesson Seven review questions After completing Lesson Seven, you should be able to answer the following questions. 1. How do you sort by a column other than the Name column? Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 162. How do you show a column that you don’t currently see in the Browser? 3. How do you search for a clip in the Browser using specific criteria? 4. What determines whether a clip is a master clip in Final Cut Pro? 5. What does it mean when a clip has a red slash through the clip icon? 6. How can you look at the detailed information about a single clip or item? 7. Where can you choose new interface buttons? 8. Where are all customized layouts saved on your computer? 9. In what menu can you choose User Preferences? 10. How do you make changes to an existing sequence? 11. How do you find a matching frame to a sequence clip? 12. What is saved in the Autosave Vault? Answers 1. Click a column heading. 2. Control-click a column heading and choose Show [column] from the shortcut menu. 3. Select the Browser window and press Command-F to open the Find window, and choose specific search criteria. 4. A clip is a master clip if it represents the first use of that clip in the project. 5. The clip is offline and disconnected from its media file. 6. Select the clip, and press Command-9 to open the Item Properties window. You can also Control-click the clip and choose Item Properties from the shortcut menu, or choose Edit > Item Properties. 7. From the Button List window or the Keyboard Layout window. 8. They are saved at Users/[user name]/Library/Preferences/Final Cut Pro User Data. 9. From the Final Cut Pro menu. 10. Make the sequence active in the Timeline, or select it in the Browser, and press Command-0 to open the Sequence Settings window. You can also choose Sequence > Sequence Settings. 11. Position the playhead over the frame of the sequence clip, and press F. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 1712. Backup copies of your project file. Lesson Eight objectives Upon completion of Lesson Eight, “Capturing and Transferring Footage” in “Final Cut Pro 7,” you should be able to complete the following tasks. Items from this lesson are included in the pool of exam questions, drawn randomly from the following objectives: • Connect video sources for capture • Preview and mark source material • Log clips • Choose clip settings • Choose capture presets • Choose capture options • Batch capture clips • Ingest from nontape sources Lesson Eight review questions After completing Lesson Eight, you should be able to answer the following questions. 1. Before you can capture footage, what is the first thing you must do? 2. Marking clips for capture is similar to marking clips while editing. True or false? 3. You can enter a variety of clip information in the Logging tab. Give an example of logging information that appears in the Browser columns. 4. When you choose a capture preset, what settings do you want it to match? 5. What are the three capture modes you can use to capture footage? 6. What is a scratch disk? 7. How can you save time using the Batch Capture mode? 8. You can choose only your computer hard drive as a scratch disk. True or false? 9. What other settings window contains the scratch disk information like that on the Capture Settings tab? 10. What other settings window contains the device-control information like that on the Capture Settings tab? 11. What menu command do you choose to ingest from nontape sources? Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 18Answers 1. You must connect your source device via a FireWire cable or third-party capture card and turn it on. 2. True. 3. Log note, good take, scene number, take number, angle number, clip name. 4. Your source footage settings. If you have a variety of footage, it should match whatever format represents the majority of clips or the highest quality, depending on the project and your hardware. 5. Capture Clip, Capture Now, and Batch Capture. 6. The target destination for your captured media files. 7. You can log individual clips and then capture them together at the same time. 8. False. You can set your computer hard drive or an external FireWire drive as your scratch disk. 9. The System Settings window. 10. The Audio/Video Settings window. 11. Choose File > Log and Transfer. Lesson Nine objectives Upon completion of Lesson Nine, “Applying Transitions” in “Final Cut Pro 7,” you should be able to complete the following tasks. Items from this lesson are included in the pool of exam questions, drawn randomly from the following objectives: • Evaluate project needs • Understand transitions • Apply video and audio transitions • Apply global transitions • Copy and change transitions • Use the Transition Editor • Adjust edit points under a transition • Save favorite transitions • Change transition parameters • Preview and render transitions Lesson Nine review questions After completing Lesson Nine, you should be able to answer the following questions. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 191. From what two places can you choose a transition effect? 2. When you use the automatic approach to applying a transition, what must you do first? 3. In what ways can you target a clip or clips when you want to apply multiple transitions? 4. What are three ways to change the duration of a transition in the Timeline? 5. What are the three ways a transition can be aligned to an edit point? 6. How can Command-C and Command-V be used on transitions? 7. How do you open the Transition Editor? 8. How are more complex transitions different from dissolves? 9. What RT setting should you choose when you want to preview as many effects in your sequence as possible? 10. In what three ways can you save a favorite transition? 11. How do you set a new default transition? Answers 1. Choose transition effects from the Effects tab in the Browser and from the Effects menu. 2. Before applying a transition from the Effects menu, you must target the edit point. 3. Select a clip, select a group of clips, set In and Out points, or select all the clips in the sequence. 4. Drag the edge of the transition icon; Control-click the transition icon, choose Duration from the shortcut menu, and enter an amount in the Duration window; or open the Transition Editor and change it in the Duration field. 5. Use Center On Edit, Start On Edit, and End On Edit. 6. Selecting a transition and pressing Command-C copies the transition. Deselecting the transition, moving the playhead to the target edit point, and pressing Command-V pastes the copied transition. 7. Either Control-click one side of the transition icon and choose Open [transition] from the shortcut menu, or double-click one side of the icon in a sequence clip. 8. They have additional parameters, such as border width and color, that can be adjusted in the Transition Editor. 9. Choose Unlimited RT and Dynamic. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 2010. From the Transition Editor, drag the drag hand icon to the Effects tab and release it in the Favorites bin; choose Effects > Make Favorite; or press Option-F. 11. Control-click the transition in the Effects tab and choose Set Default Transition from the shortcut menu. Lesson Ten objectives Upon completion of Lesson Ten, “Mixing Audio Tracks” in “Final Cut Pro 7,” you should be able to complete the following tasks. Items from this lesson are included in the pool of exam questions, drawn randomly from the following objectives: • Edit and organize audio effects • Monitor and adjust audio levels in the Timeline • Use the razor blade to add edits and create audio fades • Create audio fades using keyframes • Use the Audio Mixer • Record a voiceover Lesson Ten review questions After completing Lesson Ten, you should be able to answer the following questions. 1. What button do you click in the Timeline to display the Mute and Solo buttons? 2. What result do you get when you click the Solo button on a track? 3. How can you add several tracks to the Timeline at one time? 4. How do you make the audio level overlay appear on clips in the Timeline? 5. When would you turn on audio waveforms in the Timeline? 6. What tool do you use to set a keyframe on the audio level overlay? 7. How can the Pen tool be accessed without selecting it from the Tool palette? 8. How do you reposition a keyframe or change its volume level? 9. How can you paste just the audio level from one clip to another? 10. In what menu do you find the Audio Mixer? 11. To mix tracks in real time and automatically create keyframes on a clip, what must you do in the Audio Mixer? Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 2112. What tool do you use to record your own voiceover, and where do you access it? 13. What two commands in the Modify menu help to change audio levels, and in what way? Answers 1. The Audio Controls button in the lower left of the Timeline. 2. That track becomes the only audible track as you play the sequence. 3. Choose Sequence > Insert Tracks. 4. Press Option-W, or click the Clip Overlays control in the lower left of the Timeline, to the left of the Track Height control. 5. When you want a visual representation of a clip’s audio signals to evaluate or to edit audio clips. 6. The Pen tool. 7. Press Option and move the pointer over the audio level overlay on a Timeline clip. The Pen tool appears on the overlay line. 8. Drag left and right to change its position and up and down to change its volume level. 9. Copy the clip that has the desired audio level and paste just the audio levels using the Paste Attributes command. 10. The Tools menu. 11. In the Audio Mixer button bar, click the Record Audio Keyframes button to turn it on. Then play the sequence and adjust the clip volume by dragging its track fader. 12. The Voice Over tool, found in the Tools menu. 13. Modify > Levels brings up the Gain Adjust dialog, where you can raise or lower volume for all selected clips. Modify > Audio > Apply Normalization Gain resets the peak decibel level of the clip. Lesson Eleven objectives Upon completion of Lesson Eleven, “Creating Titles” in “Final Cut Pro 7,” you should be able to complete the following tasks. Items from this lesson are included in the pool of exam questions, drawn randomly from the following objectives: • Add color bars and slugs • Create and edit text clips • Superimpose a title • Create a lower third Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 22• Work with Boris text • Add color mattes and render effects • Import still images • Create a multilayer effect • Prepare graphic images for editing • Add Motion templates Lesson Eleven review questions After completing Lesson Eleven, you should be able to answer the following questions. 1. From what two places can you choose a generated item such as text? 2. What tab in the Viewer do you select to make changes to text clips? 3. When you superimpose an edit over a V1 clip, to what track should the Source control be patched for the superimposed clip to be placed on V2? 4. What type of generated text identifies a person, place, or thing? 5. In what menu can you find the Show Title Safe option? 6. What generated item is used as a color and sound reference at the head of a sequence? 7. Where can you find the Drop Shadow attribute? 8. In what text generator does a separate window appear for making text changes? 9. What automated text generator is often used for credit rolls? 10. How can you adjust a clip’s opacity? 11. When you choose a color for a color matte, you can pick a color only from the Colors window. True or false? 12. What is it called when you edit one sequence inside another? 13. What category of generated items can you use to apply a Motion template? Answers 1. Choose from the Browser Effects tab or from the Generator pop-up menu in the Video tab in the Viewer. 2. The Controls tab. 3. The V1 track. 4. A lower third. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 235. The View menu, and the View pop-up in the Viewer and Canvas. 6. Bars and tone. 7. In the Motion tab in the Viewer. 8. The Boris text generator. 9. The Scrolling Text generator. 10. Drag the opacity overlay on a video clip in the Timeline, or open a clip in the Viewer and change the Opacity parameter in the Motion tab. 11. False. You can use the Select Color eyedropper to pick a color from any clip in any open sequence. 12. Nesting. 13. Master templates. Lesson Twelve objectives Upon completion of Lesson Twelve, “Changing Motion Properties” in “Final Cut Pro 7,” you should be able to complete the following tasks. Items from this lesson are included in the pool of exam questions, drawn randomly from the following objectives: • Change clip speed • Use the Speed tool • Create fit to fill edits • Create freeze frames • Change image size and position • Crop and rotate images • Copy and paste motion attributes • Animate motion effects • Create a motion path Lesson Twelve review questions After completing Lesson Twelve, you should be able to answer the following questions. 1. In what menu do you choose Speed? 2. How can you tell if the speed of a sequence clip has been changed? 3. What type of edit can change clip speed automatically as you edit it into the Timeline? 4. Where does the Speed tool appear in the Tool palette? Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 245. When you create a freeze frame, does a new freeze frame clip appear in the Browser automatically? 6. How do you reveal the speed indicator area in the Timeline? 7. How can you create a speed segment in a clip? 8. Where do you access motion parameters? 9. How can you change motion parameters directly in the Canvas? 10. How can motion attributes be copied and pasted? 11. Where are motion keyframes set and adjusted? 12. What is a motion path? 13. What tool do you use to hide unnecessary portions of an image? 14. How is rotation measured in the Motion tab? Answers 1. In the Modify menu. 2. A speed percentage will appear next to the sequence clip name. 3. A Fit to Fill edit. 4. Under the Slip tool. 5. No, but you can drag the freeze frame image from the Viewer to the Browser if you like. 6. Click the Clip Keyframes control. 7. Click in the speed indicator area with the Speed tool or the Selection tool to create a speed keyframe. 8. In the Motion tab. 9. Choose Image+Wireframe from the Canvas View pop-up menu. 10. Copy the clip and use the Paste Attributes window to paste specific attributes. 11. In the Motion tab keyframe graph area. 12. The path a clip moves along between two or more keyframes. 13. The Crop tool. 14. In degrees. Lesson Thirteen objectives Upon completion of Lesson Thirteen, “Applying Filters” in “Final Cut Pro 7,” you should be able to complete the following tasks. Items from this lesson Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 25are included in the pool of exam questions, drawn randomly from the following objectives: • Apply audio and video filters • View and modify filters • Apply filters for image correction • Apply filters to multiple clips • Use tools to adjust filters • Animate filters using keyframes Lesson Thirteen review questions After completing Lesson Thirteen, you should be able to answer the following questions. 1. Describe two ways to apply a video or audio filter. 2. How do you view, modify the priority of, and disable filters applied to sequence clips? 3. How do you delete one or all filters in the Filters tab? 4. What real-time filter can you use to change the hue, saturation, and brightness of an image? 5. What tool provides a split-screen before-and-after comparison of a filter? 6. Where do you modify filter parameters? 7. How do you apply a filter from one clip to another clip? to several clips? 8. How do you save an adjusted filter as a favorite effect? 9. How do you add filter keyframes in the Viewer? 10. If a filter appears first in the Filters tab, does it affect all the filters below it? Answers 1. Drag a filter from the Effects tab to the clip in the Timeline, or select the clip (or move the playhead over it) and choose a filter from the Effects menu. 2. To view the filter’s effect, position the playhead over the clip in the Timeline. Open the clip in the Viewer, and click the Filters tab. To change the priority of a filter, drag the filter name above or below another filter. To disable the filter, click the Enable/Disable checkbox to deselect it. 3. Click the filter name, and press Delete. To delete all video filters, click Video Filters, and press Delete. 4. The Color Corrector 3-way filter. 5. The Frame Viewer. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 266. In the Filters tab. 7. Drag the filter name from the Filters tab to another clip in the Timeline. To copy a filter to several clips at once, select those clips before dragging the filter. You can also use the Paste Attributes command. 8. Drag the filter name from the Viewer window to the Favorites bin, press Option-F, or choose Effects > Make Favorite Effect. 9. Position the playhead where you want to start or end a filter change, and click a parameter Keyframe button. Reposition the playhead, and change that parameter. 10. No, filters that appear last in the Filters tab affect all the filters above it. Lesson Fourteen objectives Upon completion of Lesson Fourteen, “Finishing and Outputting” in “Final Cut Pro 7,” you should be able to complete the following tasks. Items from this lesson are included in the pool of exam questions, drawn randomly from the following objectives: • Detect audio peaks • Adjust video levels for broadcast • Share clips and sequences • Export a QuickTime movie • Export using QuickTime conversion • Export a still image • Output a sequence to tape • Create a timecode window burn • Back up a project Lesson Fourteen review questions After completing Lesson Fourteen, you should be able to answer the following questions. 1. What is the most efficient way to find the audio peaks in a sequence? 2. How are audio peaks indicated in the Timeline? 3. What can you do to determine whether an image falls within the broadcast safe range? 4. How can you correct an out-of-range clip so that its range is acceptable for broadcast? 5. What two tools can you use to help prepare the audio and video of your sequence for output? Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 276. What export function can you use to quickly post your sequence on YouTube? 7. What is a self-contained QuickTime movie? 8. When might you use QuickTime Conversion? 9. What are the three ways you can output a sequence to tape? 10. What Export command do you choose to create a list of clip information? Answers 1. Using the Audio Peaks > Mark command, located in the Mark menu. 2. By markers in the Timeline ruler where each audio peak occurs. 3. Choose View > Range Check > Luma, and move through the sequence to see where the out-of-range clips are. 4. Apply the Broadcast Safe filter to the clip. 5. The Audio Mixer and Video Scopes. 6. From the File menu, use the Share command. 7. A movie that uses Final Cut Pro sequence presets and that can be played on any computer without having the original media files present. 8. When you want to export a still image, an audio file in a particular format, an AVI file, and so on. 9. Recording manually, or using the Print to Video or Edit to Tape options. 10. Batch List Taking the Final Cut Pro 7 Practice exam You must pay $25 USD if you choose to take the practice exam online. 1. Go to http://ibt.prometric.com/apple on a system that meets the following requirements: • Mac OS X 10.5 or higher • Safari 3.2.2 or above; other browsers are not fully supported • Cable / DSL / broadband connection 2. Click Secure Sign-in and log in with your PRIME username and password. If you don’t have a username and password, click First Time Registration and follow the instructions to create a PRIME profile. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 283. On the Main Menu page, click Change Domain and select IT & Pro Apps. If you do not do this option, skip to the next step. 4. In the Candidate Menu page, click Take Test. 5. Enter FCP7Practice in the Private Tests box and click Submit. The code is case sensitive and only valid for one use. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 296. Click Take This Test. 7. Read and Agree/Accept the Certification Program Agreement. 8. Click Continue to skip the voucher then enter your credit card information to pay the $25 USD fee. 9. Click Begin Test at the bottom of the page. 10. When you finish all the questions, click End Test. Taking the Final Cut Pro 7 certification exam After you take the practice exam and review your results, you can take the certification exam at any time. Unlike the practice exam, which you can take from home, the certification exam must be taken at an Apple Authorized Training Center (AATC) in a proctored setting or at a Prometric Testing Center. To find the closest AATC, please visit training.apple.com/ aatc. To find a Prometric Testing Center, visit www.prometric.com/apple. Many AATCs schedule "Certification Exam Sessions" at training.apple.com/ schedule. However, if you don't see a session scheduled, you can contact the AATC and they will often schedule one for you. Please note that all AATCS can offer all Mac OS X and Pro Apps exams, even if they don’t offer the corresponding course. The Final Cut Pro 7 exam is also available at Prometric Testing Centers (1-888-275-3926). Since Prometric has more than 3000 locations worldwide, this provides the greatest exam access possible, especially in remote locations. Prometric Exam FAQs Please visit training.apple.com/certification/faq for a list of Frequently Asked Questions. If you do not find the answer to your question, then email us. Please allow at least two business days for a response. Final Cut Pro 7 Level One Exam Preparation Guide and Practice Exam 30 Mac OS X Server Administration Open Directory Pour la version 10.3 ou ultérieure Apple Computer, Inc. © 2003 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Le propriétaire ou l’utilisateur autorisé d’une copie valide du logiciel Mac OS X Server peut reproduire cette publication dans le seul but de se former à l’utilisation de ce logiciel. Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite ou transmise à des fins commerciales telles que la vente de copies de cette publication ou l’offre de services d’assistance payants. Nous avons apporté le plus grand soin à l’exactitude des informations contenues dans ce manuel. Cependant, Apple Computer, Inc., ne peut être tenu responsable des erreurs d’impression ou d’écriture. L’utilisation de ce logo à des fins commerciales via le clavier (Option-1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple, AirPort, AppleScript, AppleShare, AppleTalk, ColorSync, FireWire, Keychain, Mac, Mac OS, Macintosh, Power Mac, Power Macintosh, QuickTime, Sherlock et WebObjects sont des marques d’Apple Computer, Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Extensions Manager et Finder sont des marques d’Apple Computer, Inc. Adobe et PostScript sont des marques d’Adobe Systems Incorporated. Java et tous les logos et marques dérivés de Java sont des marques ou des marques déposées de Sun Microsystems, Inc. aux États-Unis et dans d’autres pays. Netscape Navigator est une marque de Netscape Communications Corporation. RealAudio est une marque de Progressive Networks Inc. UNIX est une marque déposée aux États-Unis et dans d’autres pays, sous licence exclusive de X/Open Company Ltd. Remarque : Apple améliore continuellement les performances et le design de ses produits. Il se peut que certaines illustrations de ce manuel soient légèrement différentes de votre version du logiciel. F022-1322 3 1 Table des matières Préface 9 À propos de ce guide 10 Utilisation de ce guide 11 Informations complémentaires Chapitre 1 13 Concepts de service de répertoire 15 Services et domaines de répertoire 16 Point de vue historique 17 Consolidation des données 18 Répartition des données 19 Utilisation des données des répertoires 21 Au sein d’un domaine de répertoire 21 Domaines de répertoires locaux et partagés 22 À propos du domaine de répertoire local 22 À propos des domaines de répertoires partagés 26 Données partagées dans des domaines de répertoires existants 26 Accès aux services de répertoires 27 Détection de services de réseau Chapitre 2 29 Politiques de recherche Open Directory 29 Niveaux de politique de recherche 30 Politique de recherche de répertoire local 30 Politiques de recherche à deux niveaux 32 Politiques de recherche multiniveaux 33 Politiques de recherche automatiques 35 Politiques de recherche personnalisées 36 Politiques de recherche d’authentification et de contacts Chapitre 3 37 Authentification d’utilisateur à l’aide d’Open Directory 38 Authentification et autorisation 38 Détermination de l’option d’authentification à utiliser 39 Authentification Open Directory 39 Politiques de mot de passe 40 Utilisateurs pouvant disposer de mots de passe Open Directory 40 Méthodes d’authentification du serveur de mot de passe Open Directory4 Table des matières 41 Contenu de la base de données du serveur de mot de passe Open Directory 41 Authentification Kerberos 42 Services “kerberisés” 42 Principaux et domaines Kerberos 43 Processus d’authentification Kerberos 44 Signature unique 44 Mots de passe shadow et cryptés 46 Cryptage des mots de passe shadow et cryptés dans les comptes d’utilisateur 46 Craquage des mots de passe lisibles 47 Authentification par liaison LDAP Chapitre 4 49 Planification Open Directory 49 Directives générales de planification 51 Contrôle de l’accès aux données 51 Simplification des modifications des données de répertoires 52 Évaluation des besoins en matière de répertoires et d’authentification 53 Identification de serveurs pour l’hébergement de domaines partagés 54 Duplication de services Open Directory 55 Répliques dans un campus comprenant plusieurs bâtiments 55 Amélioration des performances et de la redondance 56 Sécurité d’Open Directory 57 Outils pour la gestion des services de répertoire Open Directory 58 Admin Serveur 58 Format de répertoire 59 Gestionnaire de groupe de travail 59 Outils à ligne de commande 59 Gestionnaire NetInfo Chapitre 5 61 Configuration des services Open Directory 61 Présentation générale de la configuration 62 Avant de commencer 63 Configuration d’Open Directory à l’aide de l’Assistant du serveur 63 Gestion d’Open Directory sur un serveur distant 63 Configuration d’un serveur autonome 64 Configuration d’un maître Open Directory 65 Configuration d’une réplique Open Directory 67 Configuration du basculement Open Directory 68 Configuration d’une connexion à un système de répertoire 69 Configuration de la signature unique et de Kerberos 70 Configuration d’un maître Open Directory pour la signature unique et Kerberos 70 Délégation de l’autorité de connexion à un maître Open Directory pour la signature unique et KerberosTable des matières 5 72 Connexion d’un serveur à un maître Open Directory pour la signature unique et Kerberos 72 Configuration des options LDAP 73 Configuration de la fréquence de duplication d’un maître Open Directory 73 Modification de l’emplacement d’une base de données LDAP 74 Limitation des résultats de la recherche pour le service LDAP 74 Modification du délai de recherche autorisé pour le service LDAP 74 Configuration de SSL pour le service LDAP 75 Migration d’un domaine de répertoire de NetInfo vers LDAP 77 Bascule de l’accès au répertoire de NetInfo vers LDAP 78 Désactivation de NetInfo après la migration vers LDAP Chapitre 6 79 Gestion de l’authentification d’utilisateur 80 Composition d’un mot de passe 80 Modification du mot de passe d’un utilisateur 81 Réinitialisation des mots de passe de plusieurs utilisateurs 82 Changement de politique de mot de passe globale 83 Configuration des politiques de mots de passe d’utilisateurs individuels 84 Modification du type de mot de passe d’un utilisateur 85 Choix du type de mot de passe Open Directory 86 Choix du type de mot de passe crypté 87 Choix du type de mot de passe shadow 88 Activation de l’authentification d’un utilisateur par signature unique 88 Activation de l’authentification Kerberos pour un utilisateur 88 Activation de l’authentification par liaison LDAP pour un utilisateur 89 Attribution de droits d’administrateur pour l’authentification Open Directory 89 Exportation et importation d’utilisateurs dont le type de mot de passe est Open Directory 90 Exportation et importation d’utilisateurs Gestionnaire d’authentification 90 Migration de mots de passe vers l’authentification Open Directory Chapitre 7 93 Gestion de Format de répertoire 93 Configuration de services dans Format de répertoire 94 Activation ou désactivation du service Active Directory 94 Activation ou désactivation de la détection de services AppleTalk 94 Activation ou désactivation de BSD fichier plat et des services de répertoires NIS 95 Activation ou désactivation des services de répertoires LDAP 95 Activation ou désactivation des services de répertoires NetInfo 96 Activation ou désactivation de la détection de services Rendezvous 96 Activation ou désactivation de la détection de services SLP 96 Activation ou désactivation de la détection de services SMB 97 Configuration de la détection de services SMB 97 Configuration des politiques de recherche d’authentification et de contacts6 Table des matières 98 Définition de politiques de recherche automatiques 99 Définition de politiques de recherche personnalisées 100 Définition de politiques de recherche de répertoire local 100 Accès aux répertoires LDAP 101 Activation ou désactivation d’un répertoire LDAP fourni via DHCP 102 Affichage ou masquage des options de répertoires LDAP 102 Configuration de l’accès à un répertoire LDAP 103 Modification d’une configuration pour l’accès à un répertoire LDAP 104 Duplication d’une configuration pour l’accès à un répertoire LDAP 105 Suppression d’une configuration pour l’accès à un répertoire LDAP 105 Modification des réglages de connexion d’un répertoire LDAP 106 Configuration des recherches et mappages LDAP 109 Mappage d’attributs d’enregistrement de configuration pour répertoires LDAP 109 Modification du mappage RFC 2307 pour activer la création d’utilisateurs 110 Préparation d’un répertoire LDAP en lecture seule pour Mac OS X 110 Remplissage de répertoires LDAP avec des données pour Mac OS X 111 Accès à un domaine Active Directory 112 En savoir plus sur le module externe Active Directory 113 Configuration de l’accès à un domaine Active Directory 116 Activation ou désactivation de la mise en mémoire cache des références Active Directory 116 Spécification d’un serveur Active Directory préféré 117 Association de l’UID à un attribut Active Directory 117 Modification des groupes Active Directory autorisés à administrer l’ordinateur 118 Modification de comptes d’utilisateur et d’autres enregistrements dans Active Directory 118 Configuration de l’accès LDAP aux domaines Active Directory 119 Accès à un domaine NIS 120 Utilisation de fichiers de configuration BSD 121 Configuration de données dans des fichiers de configuration BSD 121 Accès aux domaines NetInfo hérités 122 À propos de la liaison NetInfo 122 Configuration d’une liaison NetInfo 123 Ajout d’un enregistrement d’ordinateur à un domaine NetInfo parent 124 Configuration de ports statiques pour domaines NetInfo partagés 125 Configuration de Format de répertoire sur un serveur distant Chapitre 8 127 Maintenance et résolution des problèmes 127 Contrôle d’Open Directory 127 Affichage des états et des historiques Open Directory 128 Contrôle de l’authentification Open Directory 128 Affichage et modification directs des données de répertoire 128 Affichage de l’Inspecteur de répertoireTable des matières 7 129 Masquage de l’inspecteur de répertoire 129 Modification du nom abrégé d’un utilisateur 130 Sauvegarde de fichiers Open Directory 132 Restauration de fichiers Open Directory 134 Résolution des problèmes d’accès aux répertoires 134 Un ralentissement se produit lors du démarrage 135 Résolution des problèmes d’authentification 135 Impossible de modifier un mot de passe d’utilisateur 135 Un utilisateur ne parvient pas à s’authentifier pour le service VPN 135 Impossible de convertir le type de mot de passe d’un utilisateur en Open Directory 135 Les utilisateurs Kerberos ne parviennent pas à être authentifiés 136 Réinitialisation d’un mot de passe d’administrateur Annexe A 137 Données de répertoire Mac OS X 138 Extensions Open Directory au schéma LDAP 138 Classes d’objets du schéma LDAP Open Directory 144 Attributs du schéma LDAP Open Directory 157 Mappage d’attributs standard sur LDAP et Active Directory 157 Mappages pour Utilisateurs 161 Mappages de groupes (Groups) 162 Mappages de montages (Mounts) 163 Mappages d’ordinateurs (Computers) 165 Mappages de listes d’ordinateurs (ComputerLists) 165 Mappages de configuration (Config) 166 Mappages de personnes (People) 168 Mappages de listes d’ordinateurs préréglés (PresetComputerLists) 168 Mappages de groupes préréglés (PresetGroups) 169 Mappages d’utilisateurs préréglés (PresetUsers) 171 Mappages d’imprimantes (Printers) 172 Mappages de configuration automatique de serveur (AutoServerSetup) 172 Mappages d’emplacements (Locations) 173 Attributs standard des enregistrements d’utilisateurs 178 Données d’utilisateur utilisées par Mac OS X Server 179 Attributs standard dans les enregistrements de groupes 180 Attributs standard des enregistrements d’ordinateurs 181 Attributs standard des enregistrements de listes d’ordinateurs 182 Attributs standard des enregistrements de montage 182 Attributs standard des enregistrements de configuration Annexe B 185 Méthodes d’authentification du serveur de mots de passe Open Directory 185 Activation ou désactivation des méthodes d’authentification 186 Validation de mot de passe APOP 186 Validation de mot de passe CRAM-MD58 Table des matières 186 Validation de mot de passe DHX 187 Validation de mot de passe Digest-MD5 187 Validation de mot de passe MS-CHAPv2 187 Validation de mot de passe SMB-NT 188 Validation de mot de passe SMB-LAN Manager 188 Validation de mot de passe WebDAV-Digest Annexe C 189 Gestionnaire d’authentification Glossaire 191 Index 197 9 Préface À propos de ce guide Ce guide décrit les services de répertoire et les services d’authentification que Mac OS X Server peut fournir aux ordinateurs clients Mac OS X. Résumé du contenu de chaque chapitre : • Le chapitre 1, “Concepts de service de répertoire”, présente les domaines de répertoires, la façon dont ils sont organisés et utilisés. Il décrit également comment la détection des services de réseau est intégrée aux services de répertoires. • Le chapitre 2, “Politiques de recherche Open Directory”, présente les politiques de recherche pour un ou plusieurs domaines de répertoires et décrit les politiques de recherche automatisées, personnalisées ou locales uniquement. • Le chapitre 3, “Authentification d’utilisateur à l’aide d’Open Directory”, décrit l’authentification Open Directory, les mots de passe shadow et cryptés, Kerberos, la liaison LDAP, la signature unique et l’authentification cachée pour les comptes mobiles. • Le chapitre 4, “Planification Open Directory”, vous aide à préciser vos besoins en matière de domaines de répertoires, à estimer la configuration requise pour les répertoires et l’authentification, à identifier les serveurs de domaines partagés hôtes, à améliorer les performances et la redondance, à gérer la duplication sur un site comprenant plusieurs bâtiments et à protéger vos services Open Directory. Ce chapitre présente également les outils de gestion des services Open Directory. • Le chapitre 5, “Configuration des services Open Directory”, indique comment définir le rôle Open Directory de Mac OS X Server : serveur autonome, connecté à un système de répertoires, maître Open Directory ou réplique Open Directory. Vous apprendrez également comment régler certaines options du service LDAP d’un maître ou d’une réplique Open Directory et comment faire migrer un domaine de répertoire de NetInfo vers LDAP. Enfin, ce chapitre vous explique comment configurer la signature unique et l’authentification Kerberos sur un maître Open Directory.10 Préface À propos de ce guide • Le chapitre 6, “Gestion de l’authentification d’utilisateur”, montre comment définir des politiques de mot de passe, modifier le type de mot de passe d’un utilisateur, attribuer des droits d’administrateur pour l’authentification Open Directory, réinitialiser les mots de passe de comptes d’utilisateurs importés et faire migrer des mots de passe vers l’authentification Open Directory. • Le chapitre 7, “Gestion de Format de répertoire”, explique comment utiliser l’application Format de répertoire. Vous découvrirez comment configurer des politiques de recherche de services, d’authentification et de contacts. Vous apprendrez aussi comment configurer l’accès à différents répertoires de domaines : LDAP, Active Directory, NIS, fichiers de configuration BSD et NetInfo. • Le chapitre 8, “Maintenance et résolution des problèmes”, vous indique comment contrôler les services Open Directory, visualiser et modifier directement les données des répertoires à l’aide de l’Inspecteur et sauvegarder les fichiers Open Directory. Ce chapitre donne également des solutions à certains problèmes que vous pourriez rencontrer. • L’annexe A, “Données de répertoire Mac OS X”, présente la liste des extensions Open Directory au schéma LDAP et spécifie les types d’enregistrement et d’attributs standard de Mac OS X. • L’annexe B, “Méthodes d’authentification du serveur de mots de passe Open Directory”, décrit les méthodes d’authentification gérées par Open Directory. • L’annexe C, “Gestionnaire d’authentification”, présente la technologie de Gestionnaire d’authentification qui permet d’obtenir une compatibilité avec les comptes d’utilisateur créés avec les versions 10.0 à 10.2 de Mac OS X Server. • Le glossaire définit les termes utilisés dans ce guide. Utilisation de ce guide Les chapitres de ce guide sont classés dans l’ordre correspondant probablement le mieux à vos besoins de configuration et de gestion d’Open Directory sur votre serveur. • Lisez le chapitre 1 jusqu’au chapitre 3 pour vous familiariser avec les concepts d’Open Directory : services de répertoires, politiques de recherche et authentification. • Lisez le chapitre 4 lorsque vous êtes prêt à planifier les services de répertoires et l’authentification des mots de passe pour votre réseau. • Après cette étape de planification, utilisez les instructions du chapitre 5 pour configurer les services Open Directory. • Lorsque vous avez besoin de définir des politiques de mot de passe ou de modifier les réglages de mot de passe d’un compte d’utilisateur, reportez-vous aux instructions du chapitre 6. • Si vous devez configurer ou modifier la façon dont un ordinateur Mac OS X ou Mac OS X Server accède à des domaines de répertoire, suivez les instructions du chapitre 7. • Pour la maintenance courante des services de répertoires et d’authentification, consultez le chapitre 8.Préface À propos de ce guide 11 Informations complémentaires Mac OS X Server est livré avec un ensemble de guides qui décrivent les autres services et donnent les instructions nécessaires à la configuration, à la gestion et à la résolution des problèmes de ces services. La plupart de ces documents se trouvent sur les disques du serveur, sous la forme de fichiers PDF. Ils sont tous disponibles en format PDF sur le site www.apple.com/server/documentation Ce guide Vous explique comment... Mac OS X Server Premiers contacts pour la version 10.3 ou ultérieure comprendre les nouvelles fonctionnalités de Mac OS X Server version 10.3 et comment préparer votre serveur. Mac OS X Server Migration pour la version 10.3 ou ultérieure réutiliser sur Mac OS X Server version 10.3 les données et les réglages de services actuellement utilisés sur les versions antérieures du serveur. Mac OS X Server Gestion des utilisateurs pour la version 10.3 ou ultérieure créer et gérer des comptes d’utilisateur, de groupe et d’ordinateur. Configurer des préférences gérées pour les clients Mac OS 9 et Mac OS X. Mac OS X Server Administration des services de fichiers pour la version 10.3 ou ultérieure partager des volumes ou des dossiers de serveur sélectionnés entre les clients du serveur à l’aide des protocoles suivants : AFP, NFS, FTP et SMB. Mac OS X Server Administration du service d’impression pour la version 10.3 ou ultérieure héberger des imprimantes partagées et gérer leurs files d’attente et leurs tâches d’impression respectives. Mac OS X Server Administration des images système pour la version 10.3 ou ultérieure créer des images disque et configurer le serveur afin que d’autres ordinateurs Macintosh puissent démarrer à partir de ces images via le réseau. Ce guide traite également de NetBoot et de Network Install. Mac OS X Server Administration du service de courrier pour la version 10.3 ou ultérieure définir, configurer et administrer les services de courrier sur le serveur. Mac OS X Server Administration des technologies Web pour la version 10.3 ou ultérieure configurer et gérer un serveur Web, notamment WebDAV, WebMail et des modules Web. Mac OS X Server Administration des services réseau pour la version 10.3 ou ultérieure installer, configurer et administrer les services DHCP, DNS, coupefeu IP, NAT et VPN sur le serveur. Mac OS X Server Administration des services Windows pour la version 10.3 ou ultérieure configurer et gérer les services destinés aux utilisateurs Windows. Mac OS X Server Administration du Serveur Enchaînement 5.0 QuickTime pour la version 10.3 ou ultérieure configurer et gérer les services d’enchaînement QuickTime12 Préface À propos de ce guide Pour de plus amples informations, consultez les ressources suivantes: • Documents Ouvrez-moi : ces documents contiennent des mises à jour et des informations spéciales importantes. Recherchez-les sur les disques du serveur. • Aide en ligne, disponible à partir du menu Aide dans toutes les applications du serveur : elle fournit des instructions à l’écran pour les tâches d’administration ainsi que des informations de dernière minute et des mises à jour via Internet. • Les pages Web d’assistance Apple et la base de connaissances AppleCare offrent des réponses aux questions courantes, ainsi que les dernières mises à jour d’informations. Elles sont disponibles sur www.info.apple.com/ (en anglais). • Les formations Apple s’adressent aux coordinateurs techniques et aux administrateurs système. Pour obtenir le catalogue des formations, visitez le site : train.apple.com (en anglais). • Les groupes de discussion et les listes de distribution vous mettent en relation avec d’autres administrateurs de serveur, qui ont peut-être déjà résolu les problèmes que vous avez rencontrés. Pour rechercher des groupes de discussion et des listes de distribution, visitez les sites suivants : discussions.info.apple.com/ (en anglais) www.lists.apple.com (en anglais) Mac OS X Server Administration du serveur d’applications Java déployer et gérer des applications J2EE à l’aide d’un serveur d’applications JBoss sur Mac OS X Server. Mac OS X Server Administration des lignes de commande pour la version 10.3 ou ultérieure utiliser les commandes et les fichiers de configuration pour effectuer des tâches d’administration de serveur à l’aide de l’interpréteur de commandes UNIX. Ce guide Vous explique comment... 1 13 1 Concepts de service de répertoire Un service de répertoire est un lieu de stockage centralisé d’informations concernant les utilisateurs d’ordinateurs et les ressources réseau d’une organisation. Le fait de centraliser les données administratives en un seul endroit présente plusieurs avantages : • Réduction du nombre de données à saisir. • Tous les clients et les services réseau disposent d’informations cohérentes en ce qui concerne les utilisateurs et les ressources. • L’administration des utilisateurs et des ressources est simplifiée. • Des services d’identification, d’authentification et d’autorisation sont fournis aux autres services réseau. En université ou en entreprise, par exemple, les services de répertoires sont un excellent moyen de gérer les utilisateurs et les ressources informatiques. Même une organisation de moins de dix personnes peut bénéficier des avantages du déploiement d’un service de répertoire. Les services de répertoires peuvent offrir deux sortes d’avantages. En effet, ils permettent d’une part de centraliser l’administration du système et du réseau et, d’autre part, de simplifier l’usage du réseau pour les utilisateurs. Grâce aux services de répertoire, les informations d’utilisateurs telles que les noms, les mots de passe et les emplacements des répertoires de départ en réseau sont gérées de manière centralisée plutôt que de manière individuelle sur chacun des ordinateurs. Les services de répertoire permettent aussi de centraliser les informations concernant les imprimantes, les ordinateurs et les autres ressources en réseau. La centralisation des informations concernant les utilisateurs et les ressources peut réduire le travail que représente la gestion des utilisateurs pour l’administrateur réseau. De plus, les utilisateurs ont la possibilité d’ouvrir une session sur tout ordinateur autorisé du réseau. Quel que soit le lieu à partir duquel l’utilisateur ouvre une session, il peut obtenir le même répertoire de départ et, par conséquent, accéder à son propre bureau, personnalisé selon ses préférences. L’utilisateur peut donc toujours accéder à ses fichiers personnels et retrouver en toute simplicité les ressources réseau autorisées en vue de les utiliser.14 Chapitre 1 Concepts de service de répertoire Apple a intégré à Mac OS X et Mac OS X Server une architecture de services de répertoire ouverte et extensible nommée Open Directory. Tout client Mac OS X ou ordinateur Mac OS X Server peut utiliser Open Directory pour récupérer des informations de référence sur les utilisateurs et les ressources réseau à partir d’une série de services de répertoire : • Service LDAP sur un système Mac OS X Server • Service NetInfo sur un ordinateur équipé de Mac OS X ou de Mac OS X Server • Service Active Directory sur un serveur Microsoft Windows • Service OpenLDAP ou autre service LDAP sur un serveur de tierce partie tel Sun One ou Novell eDirectory • Service NIS sur un serveur UNIX • Fichiers de configuration BSD stockés localement (non récupérés à partir d’un serveur) Les clients Mac OS 9 et Mac OS 8 gérés peuvent également recourir à Open Directory pour récupérer des informations sur les utilisateurs. Pour plus d’informations, lisez le chapitre consacré à Gestionnaire Macintosh dans le guide de gestion des utilisateurs (disponible en anglais à l’adresse www.apple.com/server/documentation/). De plus, Mac OS X et Mac OS X Server peuvent utiliser Open Directory pour détecter des services réseau, tels que les serveurs de fichiers, qui se manifestent par l’intermédiaire de protocoles de détection de services tels que RendezVous, AppleTalk, SLP ou SMB. L’architecture Open Directory comprend également un service d’authentification. Open Directory peut stocker et valider en toute sécurité les mots de passe des utilisateurs désireux de se connecter à des ordinateurs clients de votre réseau ou d’utiliser d’autres ressources réseau qui nécessitent une authentification. Open Directory permet également d’appliquer certaines politiques concernant notamment l’expiration des mots de passe ou leur longueur minimale. De surcroît, Open Directory peut authentifier des utilisateurs d’ordinateurs Windows pour l’accès au domaine, les services de fichiers, les services d’impression et d’autres services Windows fournis par Mac OS X Server. Chapitre 1 Concepts de service de répertoire 15 Services et domaines de répertoire Le service de répertoire agit comme un intermédiaire entre les processus d’application et de logiciel système, qui ont besoin d’informations sur les utilisateurs et les ressources, et les domaines de répertoire qui stockent les informations. Sous Mac OS X et Mac OS X Server, c’est Open Directory qui fournit les services de répertoire. Open Directory peut accéder aux informations d’un ou plusieurs domaines de répertoire. Un domaine de répertoire stocke des informations dans une base de données spécialisée et optimisée pour traiter un grand nombre de requêtes d’informations ainsi que pour les trouver et les récupérer rapidement. Les processus exécutés sous ordinateurs Mac OS X utilisent les services Open Directory pour enregistrer des informations dans les domaines de répertoire. Si par exemple vous créez un compte d’utilisateur à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail, cette application demande à Open Directory de stocker le nom de l’utilisateur et les autres informations du compte dans un domaine de répertoire. Bien entendu, vous pouvez ensuite afficher les informations des comptes d’utilisateur à l’aide du Gestionnaire de groupe de travail qui demande à Open Directory de récupérer les informations d’utilisateur à partir d’un domaine de répertoire. Imprimantes Groupes Ordinateurs Utilisateurs Processus d'application et de logiciel système Montages Domaines de répertoires Open Directory16 Chapitre 1 Concepts de service de répertoire D’autres processus de logiciels système et d’applications peuvent également accéder aux informations des comptes d’utilisateur stockées dans des domaines de répertoire. Quand un utilisateur ouvre une session sur un ordinateur Mac OS X, le processus d’ouverture de session utilise les services Open Directory pour valider le nom d’utilisateur et le mot de passe. Point de vue historique Tout comme Mac OS X, Open Directory trouve ses origines dans UNIX. En effet, Open Directory fournit l’accès aux données administratives que les systèmes UNIX conservent généralement dans des fichiers de configuration, ce qui requiert un travail de maintenance plus méticuleux (certains systèmes UNIX reposent toujours sur des fichiers de configuration). Open Directory consolide ces données, puis les répartit pour faciliter les accès comme la maintenance. Domaine de répertoire Gestionnaire de groupe de travail Open DirectoryChapitre 1 Concepts de service de répertoire 17 Consolidation des données Depuis des années, les systèmes UNIX stockent les informations administratives dans une série de fichiers située dans le répertoire “/etc”. Ce schéma exige que chaque ordinateur UNIX dispose de sa propre série de fichiers. Ainsi, les processus exécutés sur un ordinateur UNIX lisent ses fichiers, lorsqu’ils ont besoin d’informations administratives. Si vous maîtrisez l’environnement UNIX, vous connaissez sans aucun doute les fichiers du répertoire /etc : group, hosts, hosts.eq, master.passwd et bien d’autres. Ainsi, un processus UNIX ayant besoin d’un mot de passe d’utilisateur consultera le fichier /etc/ master.passwd. Le fichier /etc/master.passwd contient un enregistrement pour chaque compte d’utilisateur. Un autre processus UNIX nécessitant des informations sur les groupes utilise plutôt le fichier /etc/group. Open Directory consolide les informations administratives, ce qui simplifie les interactions entre les processus et les données administratives qu’ils créent et utilisent. Processus UNIX /etc/master.passwd /etc/hosts /etc/group Processus Mac OS X Open Directory18 Chapitre 1 Concepts de service de répertoire Les processus n’ont désormais plus besoin de savoir où et comment les données administratives sont stockées. Open Directory s’occupe d’obtenir ces données pour leur compte. Si un processus doit connaître l’emplacement du répertoire de départ d’un utilisateur, il fait simplement en sorte qu’Open Directory obtienne cette information. Open Directory localise les informations recherchées, puis les renvoie, évitant ainsi au processus tous les détails concernant le stockage des informations. Si vous avez configuré Open Directory de façon à accéder aux données administratives dans plusieurs domaines de répertoire, Open Directory les consulte automatiquement en cas de besoin. Certaines des données stockées dans un domaine de répertoire sont identiques à celles stockées dans les fichiers de configuration UNIX. Ainsi, le mot de passe crypté, l’emplacement du répertoire de départ, le nom réel, l’identifiant d’utilisateur et de groupe (tous stockés dans les enregistrements d’utilisateurs d’un domaine de répertoire) possèdent des entrées correspondantes dans le fichier standard /etc/ passwd. Toutefois, un domaine de répertoire stocke beaucoup d’informations supplémentaires pour gérer des fonctions propres à Mac OS X comme la prise en charge de la gestion d’ordinateurs clients Mac OS X. Répartition des données Autre caractéristique des fichiers de configuration UNIX, les données administratives qu’ils contiennent sont disponibles uniquement sur l’ordinateur sur lequel elles sont stockées. Chaque ordinateur comporte donc ses propres fichiers de configuration UNIX. Avec les fichiers de configuration UNIX, tout ordinateur sur lequel un utilisateur envisage de travailler doit posséder les réglages du compte de cet utilisateur. De manière plus générale, tout ordinateur doit donc posséder les réglages des comptes des utilisateurs autorisés à les utiliser. Pour configurer les réglages de réseau d’un ordinateur, l’administrateur doit se déplacer jusqu’à cet ordinateur, puis entrer directement l’adresse IP et toutes les informations identifiant cet ordinateur sur le réseau. Domaine de répertoire Processus Mac OS X Domaine de répertoire Open DirectoryChapitre 1 Concepts de service de répertoire 19 De même, lorsque des informations sur un utilisateur ou le réseau doivent être modifiées dans des fichiers de configuration UNIX, l’administrateur doit apporter ces modifications sur l’ordinateur sur lequel sont situés ces fichiers. Certains changements, comme les réglages de réseau, nécessitent que l’administrateur procède aux mêmes opérations sur plusieurs ordinateurs. Cette approche devient de plus en plus compliquée alors que les réseaux gagnent en taille et en complexité. Open Directory résout ce problème en vous permettant de stocker des données administratives dans un domaine de répertoire qui peut être géré par un administrateur réseau à partir d’un emplacement unique. Open Directory vous permet de répartir ces informations, afin qu’elles soient accessibles en réseau pour tous les ordinateurs qui en ont besoin et pour l’administrateur qui les gère. Utilisation des données des répertoires Open Directory permet de regrouper et de gérer aisément les informations sur le réseau dans un domaine de répertoire, mais ces informations n’ont de valeur que si les processus du logiciel système et des applications exécutés sur les ordinateurs du réseau y accèdent réellement. Voici quelques exemples d’utilisation des données de répertoire par le logiciel système et les applications Mac OS X : Administrateur système Utilisateurs Domaine de répertoire Open Directory20 Chapitre 1 Concepts de service de répertoire • Ouverture de session : comme nous l’avons déjà mentionné, le Gestionnaire de groupe de travail peut créer des enregistrements d’utilisateurs dans un domaine de répertoire et ces enregistrements peuvent servir à authentifier des utilisateurs ouvrant une session sur des ordinateurs Mac OS X et Windows. Lorsqu’un utilisateur saisit un nom et un mot de passe dans la fenêtre d’ouverture de session Mac OS X, le processus d’ouverture de session demande à Open Directory d’authentifier ce nom et ce mot de passe. Open Directory utilise le nom pour trouver l’enregistrement du compte de l’utilisateur dans un domaine de répertoire et valide ensuite le mot de passe à l’aide d’informations supplémentaires fournies par l’enregistrement de l’utilisateur. • Accès aux dossiers et aux fichiers : une fois qu’il a ouvert une session, l’utilisateur peut accéder aux dossiers et aux fichiers. Mac OS X utilise alors une autre donnée de l’enregistrement d’utilisateur, l’identifiant d’utilisateur (UID), pour déterminer si cet utilisateur dispose d’autorisations suffisantes pour accéder à un fichier ou un dossier. Lorsqu’un utilisateur accède à un dossier ou à un fichier, le système de fichiers compare son identifiant à celui affecté au dossier ou au fichier. S’ils s’avèrent identiques, le système de fichiers octroie à l’utilisateur des autorisations de possesseur (en règle générale, des autorisations en lecture et écriture). S’ils s’avèrent différents, l’utilisateur n’obtient aucune autorisation de possesseur. • Répertoires de départ : chaque enregistrement d’utilisateur d’un domaine de répertoire stocke l’emplacement du répertoire de départ de l’utilisateur concerné, également appelé “dossier de départ”. Il s’agit de l’endroit où sont stockés les fichiers, dossiers et préférences de l’utilisateur Le répertoire de départ d’un utilisateur peut être situé sur l’ordinateur sur lequel il travaille ou sur un serveur de fichiers de réseau. • Montage automatique de points de partage : les points de montage peuvent être configurés pour le montage automatique (ils apparaissent automatiquement) dans le dossier /Network (le globe Réseau) des fenêtres du Finder des ordinateurs clients. Les informations concernant ces points de partage à monter automatiquement sont stockées dans un domaine de répertoire. Les points de partage sont des dossiers, des disques ou des partitions de disque rendus accessibles sur le réseau. • Réglage des comptes de messagerie : chaque enregistrement d’utilisateur d’un domaine de répertoire indique si l’utilisateur concerné dispose du service de messagerie et, le cas échéant, spécifie les protocoles de courrier à utiliser, le mode de présentation des messages entrants, l’activation éventuelle d’une alerte en cas de réception de message, etc. • Utilisation des ressources : les quotas de disque, d’impression et de courrier peuvent être stockés dans chaque enregistrement d’utilisateur d’un domaine de répertoire. • Informations sur les clients gérés : l’administrateur peut gérer l’environnement Mac OS X des utilisateurs dont les comptes sont stockés dans un domaine de répertoire. L’administrateur choisit les réglages de préférences imposés qui sont stockés dans le domaine de répertoire et qui sont prioritaires par rapport aux préférences personnelles des utilisateurs.Chapitre 1 Concepts de service de répertoire 21 • Gestion de groupes : outre des enregistrements d’utilisateurs, un domaine de répertoire contient également des enregistrements de groupes. Chaque enregistrement de groupe affecte tous les utilisateurs membres de ce groupe. Les informations contenues dans les enregistrements de groupes indiquent les réglages des préférences des membres. Les enregistrements de groupe permettent également de déterminer l’accès aux fichiers, aux dossiers et aux ordinateurs. Au sein d’un domaine de répertoire Les informations contenues dans un domaine de répertoire sont organisées en types d’enregistrements, qui constituent des catégories spécifiques d’enregistrements, telles qu’utilisateurs, ordinateurs et montage. Un domaine de répertoire peut contenir un nombre quelconque d’enregistrements, quel que soit leur type. Chaque enregistrement est constitué d’un ensemble d’attributs et chaque attribut comporte une ou plusieurs valeurs. Si vous imaginez un type d’enregistrement comme une feuille de calcul dédiée à une certaine catégorie d’informations, les enregistrements sont alors les lignes de la feuille, les attributs sont les colonnes et chaque cellule contient une ou plusieurs valeurs. Si, par exemple, vous définissez un utilisateur par le biais du Gestionnaire de groupe de travail, vous créez alors un enregistrement d’utilisateur (un enregistrement de type utilisateur). Les réglages définis pour cet utilisateur (son nom abrégé, son nom complet, l’emplacement de son répertoire de départ, etc.) deviennent des valeurs des attributs compris dans l’enregistrement. L’enregistrement d’utilisateur comme les valeurs de ses attributs sont stockés dans un domaine de répertoire. Dans certains services de répertoire tels LDAP et Active Directory, les types d’enregistrements sont nommés classes d’objets, ou simplement classes, et les enregistrements sont nommés objets. Chaque classe (ou type d’enregistrement) est un ensemble de règles définissant des objets (ou enregistrements) similaires en spécifiant les attributs obligatoires et facultatifs qu’un enregistrement de cette classe doit posséder. Ainsi, la classe inetOrgPerson définit les objets contenant des attributs d’utilisateur. La classe inetOrgPerson est une classe LDAP standard définie par RFC 2798. D’autres classes et attributs LDAP standard sont définis par RFC 2307. L’ensemble des attributs et des types d’enregistrements (ou classes d’objets) définissent la structure des informations d’un domaine de répertoire. Cette structure est appelée schéma du domaine de répertoire. Domaines de répertoires locaux et partagés L’emplacement de stockage des informations concernant les utilisateurs et autres données administratives nécessaires à votre serveur est déterminé par le fait que ces données doivent parfois être partagées. Ces informations peuvent être stockées dans le domaine de répertoire local du serveur ou dans un domaine de répertoire partagé.22 Chapitre 1 Concepts de service de répertoire À propos du domaine de répertoire local Tout ordinateur Mac OS X dispose d’un domaine de répertoire local. Les données administratives contenues dans ce domaine local sont visibles uniquement par les applications et le logiciel système exécutés sur l’ordinateur hébergeant le domaine en question. Il s’agit du premier domaine consulté lorsque l’utilisateur ouvre une session ou exécute certaines opérations nécessitant des données stockées dans un domaine de répertoire. Lorsqu’un utilisateur ouvre une session sur un ordinateur Mac OS X, Open Directory recherche l’enregistrement de cet utilisateur dans le domaine de répertoire local de l’ordinateur. S’il le trouve (et si l’utilisateur a tapé un mot de passe correct), la connexion se poursuit et l’utilisateur a alors accès à l’ordinateur. Après l’ouverture de session, l’utilisateur peut choisir “Se connecter à un serveur” dans le menu Aller, puis se connecter à un serveur Mac OS X Server pour accéder à un service de fichiers. Dans ce cas, Open Directory recherche sur le serveur l’enregistrement de cet utilisateur dans le domaine de répertoire local du serveur. Si ce domaine contient cet enregistrement (et si l’utilisateur a tapé un mot de passe correct), le serveur octroie à l’utilisateur l’accès aux services de fichiers. Lorsque vous configurez pour la première fois un ordinateur Mac OS X, son domaine de répertoire local est automatiquement créé et rempli avec des enregistrements. Par exemple, un enregistrement d’utilisateur est créé pour l’utilisateur qui s’est chargé de l’installation. Il contient le nom d’utilisateur et le mot de passe saisis au cours de la configuration, ainsi que d’autres informations telles que l’identifiant unique de l’utilisateur et l’emplacement de son répertoire de départ. À propos des domaines de répertoires partagés Même si sur tout ordinateur Mac OS X, Open Directory peut stocker des données administratives dans le domaine de répertoire local de l’ordinateur, son atout majeur est de permettre à plusieurs ordinateurs Mac OS X de partager des données administratives en les stockant dans des domaines de répertoires partagés. Lorsqu’un ordinateur est configuré pour utiliser un domaine partagé, toutes les données administratives contenues dans ce domaine sont également visibles par les applications et le logiciel système de cet ordinateur. Domaine de réper- toire local Domaine de réper- toire local Ouverture de session vers Mac OS X Connexion au serveur Mac OS X pour accéder à un service de fichiersChapitre 1 Concepts de service de répertoire 23 Si Open Directory ne trouve pas l’enregistrement d’un utilisateur dans le domaine local d’un ordinateur Mac OS X, il peut effectuer une recherche dans tous les domaines partagés auxquels cet ordinateur a accès. Dans l’exemple suivant, l’utilisateur peut accéder aux deux ordinateurs, car le domaine partagé, accessible à partir des deux ordinateurs, contient un enregistrement pour cet utilisateur. Les domaines partagés se trouvent généralement sur des serveurs parce que les informations de domaines de répertoires contiennent des informations extrêmement importantes telles les données d’authentification des utilisateurs. L’accès aux serveurs est généralement très restreint pour protéger les données qu’ils contiennent. En outre, les données de répertoires doivent demeurer disponibles. Les serveurs disposent souvent de fonctions matérielles supplémentaires qui augmentent leur fiabilité et ils bénéficient habituellement de dispositifs d’alimentation électrique sans interruption. Domaine de répertoire partagé Domaine de répertoire local Domaine de répertoire local Ouverture de session vers Mac OS X Connexion à Mac OS X Server pour accéder à un service de fichiers 24 Chapitre 1 Concepts de service de répertoire Les répertoires partagés peuvent également être employés pour empêcher certains utilisateurs d’accéder à certaines ressources réseau. Ainsi, les infographistes d’une entreprise peuvent avoir accès à des machines très performantes alors que le personnel du centre de reprographie peut se contenter d’un équipement standard. Vous pouvez limiter l’accès aux deux types d’ordinateurs en installant les enregistrements d’utilisateurs dans deux domaines de répertoires partagés. L’un de ces domaines peut contenir les enregistrements des utilisateurs qui travaillent sur les ordinateurs hautes performances, tandis que l’autre peut accueillir les enregistrements des utilisateurs qui travaillent sur les ordinateurs normaux. Plutôt que de configurer individuellement l’accès de chaque utilisateur à chaque ordinateur, vous pouvez utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour créer tous les enregistrements d’utilisateurs dans les deux domaines partagés : Infographie et Repro. Si un utilisateur ouvre une session sur un ordinateur hautes performances, c’est un enregistrement d’utilisateur du domaine de répertoire Infographie qui sert à l’authentifier. S’il ouvre une session sur un ordinateur normal, c’est un enregistrement d’utilisateur du domaine de répertoire Repro qui sert à l’authentifier. Un utilisateur dont l’enregistrement se trouve dans le répertoire Repro ne pourra pas ouvrir de session sur un ordinateur hautes performances et inversement pour un utilisateur dont l’enregistrement se trouve dans le répertoire Infographie. Domaine de répertoire Repro Domaine de répertoire Infographie Infographistes Personnel du centre de reprographieChapitre 1 Concepts de service de répertoire 25 Si vous souhaitez que certains utilisateurs aient accès à tous les ordinateurs, vous pouvez créer leurs enregistrements dans un autre domaine de répertoire partagé auquel tous les ordinateurs peuvent accéder. Domaine de répertoire Repro Domaine de répertoire de l’entreprise Domaine de répertoire Infographie Infographistes Personnel du centre de reprographie26 Chapitre 1 Concepts de service de répertoire Données partagées dans des domaines de répertoires existants Certaines organisations (les universités ou les multinationales par exemple) conservent les informations sur leurs utilisateurs et d’autres données administratives dans des domaines de répertoires situés sur des serveurs UNIX ou Windows. Open Directory peut être configuré pour effectuer une recherche dans ces domaines non-Apple aussi bien que dans les domaines Open Directory partagés de systèmes Mac OS X Server. L’ordre dans lequel Mac OS X effectue des recherches dans les domaines de répertoires est configurable. La politique de recherche détermine l’ordre dans lequel Mac OS X effectue les recherches dans les domaines de répertoires. Le prochain chapitre traite des politiques de recherche. Accès aux services de répertoires Open Directory peut accéder aux domaines de répertoires pour les types suivants de services de répertoires : • Protocole LDAP(Lightweight Directory Access Protocol), standard ouvert couramment employé dans les environnements mixtes et qui constitue également le service de répertoire natif des répertoires partagés dans Mac OS X Server version 10.3. • NetInfo, le service de répertoire hérité de Mac OS X et de Mac OS X Server • Active Directory, le service de répertoire des serveurs Microsoft Windows 2000 et 2003 • Network Information System (NIS), service de répertoire utilisé par de nombreux serveurs UNIX • Fichiers plats BSD, service de répertoire hérité des systèmes UNIX Utilisateur Mac OS 9 Utilisateur Mac OS X Utilisateur Windows Mac OS X Server Répertoire partagé Serveur Windows Répertoire local Répertoire local Domaine Active DirectoryChapitre 1 Concepts de service de répertoire 27 Détection de services de réseau Open Directory offre bien plus que des données administratives stockées dans des répertoires. Il permet d’obtenir des informations sur les services disponibles sur le réseau. Open Directory est, par exemple, en mesure de fournir des informations sur les serveurs de fichiers accessibles. Open Directory peut détecter des services de réseau, afin de faire connaître leur existence et leur emplacement. Pour leur part, les services s’identifient au moyen de protocoles standard. Open Directory accepte les protocoles de détection de services suivants : • RendezVous, protocole Apple qui utilise le DNS en multidiffusion pour la détection des services réseau tels que les services de fichiers, d’impression, de “chat”, de partage de musique, etc. • AppleTalk, protocole hérité pour la détection de services réseau tels que les services de fichiers, d’impression, etc. • SLP (Service Location Protocol), standard ouvert de détection de services de fichiers et d’impression • Server Message Block (SMB), protocole utilisé par Windows pour les services de fichiers, d’impression et autres En fait, Open Directory peut fournir des informations sur les services de réseau, aussi bien à partir des protocoles de détection de services que des domaines de répertoires. Pour ce faire, Open Directory demande simplement à toutes ses sources le type d’information exigé par un processus Mac OS X. Les sources disposant du type d’information demandé le fournissent à Open Directory qui recueille toutes les informations fournies et les transmet au processus Mac OS X qui les a demandées. Serveur de fichiers Serveur de fichiers Open Directory28 Chapitre 1 Concepts de service de répertoire Si Open Directory recherche par exemple des informations sur les serveurs de fichiers, ceux présents sur le réseau répondent via les protocoles de détection de services avec leurs propres informations. Un domaine de répertoire contenant des informations relativement statiques sur certains serveurs de fichiers répond également à cette requête. Open Directory collecte alors toutes les informations provenant des protocoles de détection de services et des domaines de répertoires. Dans le cas où Open Directory recherche des informations sur un utilisateur, les protocoles de détection de services ne sont pas en mesure de répondre, car ils ne disposent d’aucune information concernant les utilisateurs (en théorie, AppleTalk, Rendezvous, SMB et SLP pourraient fournir des informations sur les utilisateurs, mais ils ne disposent en réalité d’aucune information à fournir sur ces derniers). Les informations collectées par Open Directory proviennent donc d’autres sources, les domaines de répertoires. Serveur de fichiers Serveur de fichiers Domaine de répertoire Open Directory2 29 2 Politiques de recherche Open Directory Chaque ordinateur dispose d’une politique de recherche qui spécifie un ou plusieurs domaines de répertoires et l’ordre dans lequel Open Directory y effectue ses recherches. Tout ordinateur Mac OS X possède un domaine de répertoire local et peut aussi accéder à des domaines de répertoires partagés. Rien n’interdit aux domaines de répertoires de disposer d’enregistrements interchangeables. Par exemple, deux domaines de répertoires peuvent avoir des enregistrements d’utilisateurs portant le même nom mais présentant d’autres différences. Par conséquent, chaque ordinateur Mac OS X a besoin d’une politique pour résoudre les conflits potentiels entre enregistrements équivalents mais pas identiques. Chaque ordinateur Mac OS X a une politique de recherche qui spécifie les domaines de répertoires auxquels Open Directory peut accéder, comme le répertoire local de l’ordinateur et un répertoire partagé particulier. La politique de recherche spécifie également l’ordre dans lequel Open Directory accède aux domaines de répertoires. Open Directory recherche tour à tour dans chaque domaine de répertoire et s’arrête lorsqu’il trouve un élément correspondant. Ainsi, Open Directory stoppe la recherche d’un enregistrement d’utilisateur lorsqu’il trouve un enregistrement dont le nom d’utilisateur correspond au nom recherché. Niveaux de politique de recherche Une politique de recherche peut inclure le répertoire local seul, le répertoire local et un répertoire partagé ou le répertoire local et plusieurs répertoires partagés. Sur un réseau comportant un répertoire partagé, plusieurs ordinateurs accèdent généralement au répertoire partagé. Cette organisation est une structure arborescente, le répertoire partagé étant situé au sommet et les répertoires locaux se trouvant en bas. 30 Chapitre 2 Politiques de recherche Open Directory Politique de recherche de répertoire local La politique de recherche la plus simple se compose uniquement du répertoire local d’un ordinateur. Dans ce cas, Open Directory recherche les données d’utilisateur et autres données administratives uniquement dans le domaine de répertoire local de chaque ordinateur. Si un serveur du réseau héberge un répertoire partagé, Open Directory n’y recherche pas d’informations d’utilisateur ou de données administratives car le répertoire partagé ne fait pas partie de la politique de recherche de l’ordinateur. Politiques de recherche à deux niveaux Si un des serveurs du réseau héberge un répertoire partagé, tous les ordinateurs du réseau peuvent inclure le répertoire partagé dans leurs politiques de recherche. Dans ce cas, Open Directory recherche les informations d’utilisateur et autres données administratives en commençant par le répertoire local. Si Open Directory ne trouve pas les informations dont il a besoin dans le répertoire local, il va chercher dans le répertoire partagé. Domaine de répertoire local Domaine de répertoire local 1 Politique de recherche Domaine de répertoire local Domaine de répertoire local Domaine de répertoire partagé 1 2 Politique de rechercheChapitre 2 Politiques de recherche Open Directory 31 Voici un exemple d’utilisation de politique de recherche à deux niveaux : Chaque classe (français, mathématiques, sciences) possède son propre ordinateur. Les étudiants de chaque classe sont définis en tant qu’utilisateurs du domaine local de l’ordinateur de cette classe. Ces trois domaines locaux partagent un même domaine partagé, dans lequel sont définis tous les professeurs. Les professeurs, en tant que membres du domaine partagé, peuvent ouvrir une session sur n’importe quel ordinateur des classes. Les étudiants de chaque domaine local ne peuvent ouvrir une session que sur l’ordinateur où se trouve leur compte local. Ordinateur de la classe de français Ordinateur de la classe de mathématiques Ordinateur de la classe de sciences Domaine de répertoire local Domaine de répertoire local Domaine de répertoire local Domaine de répertoire partagé 1 2 Politique de recherche32 Chapitre 2 Politiques de recherche Open Directory Alors que les domaines locaux résident chacun sur leurs ordinateurs respectifs, un domaine partagé se trouve sur un serveur accessible à partir de l’ordinateur d’un domaine local. Lorsqu’un professeur ouvre une session sur n’importe quel ordinateur des trois classes et qu’il est introuvable dans le domaine local, Open Directory recherche dans le domaine partagé. Dans cet exemple, il existe un seul domaine partagé, mais des réseaux plus complexes peuvent en contenir davantage. Politiques de recherche multiniveaux Si plusieurs serveurs du réseau hébergent un répertoire partagé, les ordinateurs du réseau peuvent inclure plusieurs répertoires partagés dans leurs politiques de recherche. Comme dans les politiques de recherche plus simples, Open Directory recherche toujours les informations d’utilisateur et autres données administratives en commençant par le répertoire local. Si Open Directory ne trouve pas les informations dont il a besoin dans le répertoire local, il les recherche tour à tour dans chaque répertoire partagé, dans l’ordre spécifié par la politique de recherche. Mac OS X Server de l’école Ordinateur de la classe de français Ordinateur de la classe de mathématiques Répertoire partagé Ordinateur de la classe des sciences Répertoire local Répertoire local Répertoire local Répertoire local Chapitre 2 Politiques de recherche Open Directory 33 Voici un exemple d’utilisation de plusieurs répertoires partagés : Chaque classe (français, mathématiques, sciences) possède un serveur qui héberge un domaine de répertoire partagé. La politique de recherche de chaque ordinateur de classe spécifie le domaine local de cet ordinateur, le domaine partagé de la classe et le domaine partagé de l’école. Les étudiants de chaque classe sont définis en tant qu’utilisateurs du domaine partagé du serveur de cette classe, ce qui les autorise à ouvrir une session sur tout ordinateur de leur classe. Les professeurs sont définis dans le domaine partagé du serveur de l’école, ce qui les autorise à ouvrir une session sur n’importe quel ordinateur de classe. Il est possible d’affecter la totalité d’un réseau ou juste un groupe d’ordinateurs, en choisissant le domaine dans lequel seront définies les données administratives. Plus le niveau des données administratives dans une politique de recherche est élevé, moins il est nécessaire de les modifier au fur et à mesure de l’évolution des utilisateurs et des ressources système. Pour les administrateurs de services de répertoires, l’aspect le plus important est sans doute la planification des domaines de répertoires et des politiques de recherche. Ces éléments doivent refléter les ressources que vous souhaitez partager, les utilisateurs entre lesquels vous souhaitez les partager et même le mode de gestion de vos données de répertoire. Politiques de recherche automatiques Les ordinateurs Mac OS X sont initialement configurés pour régler automatiquement leurs politiques de recherche. Une politique de recherche automatique se compose de trois éléments, dont deux sont facultatifs : • Domaine de répertoire local • Domaines NetInfo partagés (facultatif) • Répertoire LDAP partagé (facultatif) Domaine de répertoire de l’école Domaine de répertoire pour les sciences Domaine de répertoire pour les mathématiques Domaine de répertoire pour le français 1 2 3 Politique de recherche34 Chapitre 2 Politiques de recherche Open Directory La politique de recherche automatique d’un ordinateur commence toujours par son domaine de répertoire local. Lorsqu’un ordinateur Mac OS X n’est pas connecté à un réseau, l’ordinateur recherche les comptes d’utilisateur et autres données administratives uniquement dans son domaine de répertoire local. La politique de recherche automatique examine ensuite la liaison entre les domaines NetInfo partagés. Le domaine local de l’ordinateur peut être lié à un domaine NetInfo partagé qui, à son tour, peut être lié à un autre domaine NetInfo partagé, etc. La liaison NetInfo, si elle existe, constitue la seconde partie sur laquelle porte la politique de recherche automatique. Pour plus d’informations, consultez la section “À propos de la liaison NetInfo” à la page 122. Enfin, un ordinateur doté d’une politique de recherche automatique peut se lier à un répertoire LDAP partagé. Lorsque l’ordinateur démarre, il peut obtenir l’adresse d’un serveur de répertoire LDAP à partir d’un service DHCP. Le service DHCP de Mac OS X Server peut fournir une adresse de serveur LDAP de même qu’il fournit les adresses de serveurs DNS et d’un routeur. (Un service DHCP non-Apple peut également fournir une adresse de serveur LDAP ; cette caractéristique est connue sous le nom de DHCP option 95.) Pour que le service DHCP de Mac OS X Server fournisse à ses clients une adresse de serveur LDAP particulière pour leurs politiques de recherche automatiques, vous devez configurer les options LDAP du service DHCP. Pour obtenir plus d’instructions, reportezvous au chapitre DHCP du guide d’administration des services réseau. Pour qu’un ordinateur Mac OS X obtienne l’adresse d’un serveur LDAP à partir du service DHCP : • L’ordinateur doit être configuré pour utiliser une politique de recherche automatique. Mac OS X versions 10.2 et ultérieures est initialement configuré pour utiliser une politique de recherche automatique. Pour plus de détails, consultez la rubrique “Configuration des politiques de recherche d’authentification et de contacts” à la page 97. • Les préférences Réseau de l’ordinateur doivent être configurées pour utiliser DHCP ou DHCP avec une adresse IP manuelle. Mac OS X est initialement configuré pour utiliser DHCP. Pour plus d’informations sur les réglages des préférences Réseau, consultez l’Aide Mac. Chapitre 2 Politiques de recherche Open Directory 35 Une politique de recherche automatique offre confort et souplesse. Il s’agit de l’option recommandée, particulièrement pour les ordinateurs mobiles. Lorsqu’un ordinateur doté d’une politique de recherche automatique est déconnecté du réseau, connecté à un autre réseau ou placé sur un autre sous-réseau, la politique de recherche automatique peut changer. Si l’ordinateur est déconnecté du réseau, il utilise son domaine de répertoire local. Si l’ordinateur est connecté à un réseau ou sous-réseau différent, il peut automatiquement changer sa liaison NetInfo et obtenir une adresse de serveur LDAP à partir du service DHCP du sous-réseau actuel. Avec une politique de recherche automatique, il n’est pas nécessaire de reconfigurer un ordinateur afin qu’il puisse obtenir les services de répertoires et d’authentification dans son nouvel emplacement. Politiques de recherche personnalisées Si vous ne voulez pas qu’un ordinateur Mac OS X utilise la politique de recherche automatique fournie par DHCP, vous pouvez définir une politique de recherche personnalisée pour cet ordinateur. Une politique de recherche personnalisée peut, par exemple, spécifier qu’un domaine Active Directory doit être consulté lorsqu’un enregistrement d’utilisateur ou d’autres données administratives sont introuvables dans les autres domaines de répertoires. Domaine Active Directory 1 2 3 4 Politique de recherche Domaine de répertoire de l’école Domaine de répertoire pour les sciences Domaine de répertoire pour les mathématiques Domaine de répertoire pour le français36 Chapitre 2 Politiques de recherche Open Directory Une politique de recherche personnalisée peut ne pas fonctionner à différents endroits du réseau car elle repose sur la disponibilité de domaines de répertoires particuliers. Par conséquent, une politique de recherche personnalisée n’est habituellement pas le meilleur choix pour un ordinateur mobile. Dans ce cas, une politique de recherche automatique ou exclusivement locale est généralement plus fiable. Politiques de recherche d’authentification et de contacts Un ordinateur Mac OS X possède en réalité plusieurs politiques de recherche. Il possède une politique de recherche pour trouver des informations d’authentification et une autre politique de recherche pour trouver des informations de contact. Open Directory utilise la politique de recherche d’authentification pour localiser et récupérer les données d’authentification d’utilisateur et d’autres données administratives à partir des domaines de répertoires. Il utilise la politique de recherche de contacts pour localiser et récupérer les noms, adresses et autres informations de contact à partir des domaines de répertoires. Le Carnet d’adresses de Mac OS X utilise ces informations de contact. D’autres applications peuvent être programmées pour les exploiter. Chaque politique de recherche peut être automatique, personnalisée ou exclusivement locale.3 37 3 Authentification d’utilisateur à l’aide d’Open Directory Open Directory offre plusieurs options d’authentification des utilisateurs dont les comptes sont enregistrés dans les domaines de répertoires de Mac OS X Server, y compris Kerberos et les nombreuses autres méthodes d’authentification requises par les services de réseau. Open Directory peut authentifier les utilisateurs à l’aide : • d’une signature unique, avec le centre de distribution de clés Kerberos intégré à Mac OS X Server ; • d’un mot de passe enregistré de manière sûre dans la base de données du serveur de mot de passe Open Directory ; • d’un mot de passe “shadow” (caché) enregistré sous la forme de plusieurs empreintes, y compris NT et LAN Manager, dans un fichier auquel seul l’utilisateur racine a accès ; • d’un mot de passe crypté enregistré directement dans le compte de l’utilisateur, pour une compatibilité descendante avec les systèmes hérités ; • d’un serveur LDAP non-Apple pour une authentification par liaison LDAP. De plus, Open Directory permet de configurer des politiques de mot de passe spécifiques pour chaque utilisateur, telles que l’arrivée à expiration automatique et la longueur minimale d’un mot de passe. (Les politiques de mot de passe ne s’appliquent pas aux mots de passe shadow, aux mots de passe cryptés ni à l’authentification par liaison LDAP.) Ce chapitre décrit les options d’authentification disponibles dans Mac OS X Server. 38 Chapitre 3 Authentification d’utilisateur à l’aide d’Open Directory Authentification et autorisation Les services tels que la fenêtre de connexion et le service de fichiers Apple nécessitent une authentification de l’utilisateur à partir d’Open Directory. L’authentification fait partie du processus par lequel un service détermine s’il doit accorder à un utilisateur l’accès à une ressource. Généralement, ce processus nécessite également une autorisation. L’authentification prouve l’identité de l’utilisateur, tandis que l’autorisation détermine ce que l’utilisateur authentifié a le droit de faire. Un utilisateur s’authentifie généralement en fournissant un nom et un mot de passe valides. Un service peut alors autoriser l’utilisateur authentifié à accéder à des ressources spécifiques. Par exemple, le service de fichiers autorise un accès complet aux dossiers et fichiers dont un utilisateur authentifié est le possesseur. Lorsque vous utilisez une carte de crédit, vous faites l’expérience de processus d’authentification et d’autorisation. Le commerçant vous identifie (authentification) en comparant votre signature sur la facture avec celle qui figure au dos de votre carte de crédit. Il soumet alors votre numéro de carte de crédit à la banque qui autorise le paiement en fonction du solde de votre compte et d’une limite de crédit autorisé. Open Directory authentifie les comptes d’utilisateur mais n’autorise l’accès à aucun service. Après avoir été authentifié par Open Directory, la fenêtre de connexion peut vous donner l’autorisation de vous connecter, puis le service de fichiers peut vous autoriser l’accès à certains dossiers et fichiers, le service de courrier, l’accès à vos messages, etc. Détermination de l’option d’authentification à utiliser Pour authentifier un utilisateur, Open Directory doit d’abord déterminer l’option d’authentification à utiliser : Kerberos, serveur de mot de passe Open Directory, mot de passe shadow, mot de passe crypté ou liaison LDAP. Le compte de l’utilisateur contient les informations spécifiant l’option d’authentification à utiliser. Ces informations portent le nom d’attribut d’autorité d’authentification. Open Directory se sert du nom fourni par l’utilisateur pour trouver le compte de l’utilisateur dans le domaine de répertoire. Open Directory consulte alors l’attribut d’autorité d’authentification présent dans le compte de l’utilisateur pour connaître l’option d’authentification à appliquer. L’attribut d’autorité d’authentification n’est pas limité à une seule option d’authentification possible. Un attribut d’autorité d’authentification peut, par exemple, indiquer qu’un utilisateur peut être authentifié à la fois par Kerberos et par le serveur de mots de passe Open Directory. Chapitre 3 Authentification d’utilisateur à l’aide d’Open Directory 39 Il n’est pas nécessaire que le compte d’un utilisateur contienne absolument un attribut d’autorité d’authentification. Dans ce cas, Mac OS X Server suppose qu’un mot de passe crypté est enregistré dans le compte d’utilisateur. Ainsi, les comptes d’utilisateur créés à l’aide de la version 10.1 ou des versions antérieures de Mac OS X contiennent un mot de passe crypté mais pas d’attribut d’autorité d’authentification. Vous pouvez modifier un attribut d’autorité d’authentification d’un utilisateur en changeant le type de mot de passe dans la fenêtre Avancé du Gestionnaire de groupe de travail. Avec certains réglages de type de mot de passe, l’attribut d’autorité d’authentification spécifie plusieurs options d’authentification. Consultez le chapitre 6, “Gestion de l’authentification d’utilisateur” pour obtenir des instructions sur le réglage du type de mot de passe. Authentification Open Directory Lorsqu’un compte d’utilisateur dispose d’un type de mot de passe d’Open Directory, l’utilisateur peut être authentifié via Kerberos ou via un serveur de mot de passe Open Directory. Ni Kerberos ni le serveur de mot de passe Open Directory n’enregistrent le mot de passe dans le compte d’utilisateur. Kerberos et le serveur de mot de passe Open Directory enregistrent les mots de passe en dehors du domaine de répertoire et ne permettent en aucun leur lecture. Les mots de passe ne peuvent être que définis et vérifiés. Des utilisateurs malveillants peuvent tenter de se connecter via le réseau dans l’espoir d’accéder à Kerberos et au serveur de mot de passe Open Directory. L’examen de l’historique d’Open Directory permet de détecter ces tentatives d’accès infructueuses. (Consultez “Affichage des états et des historiques Open Directory” à la page 127.) Politiques de mot de passe Kerberos et le serveur de mot de passe Open Directory appliquent tous deux des politiques de mot de passe. Une politique de mot de passe d’utilisateur peut, par exemple, spécifier un délai d’expiration du mot de passe. Si, au moment où l’utilisateur se connecte, Open Directory constate que le mot de passe a expiré, l’utilisateur devra remplacer ce mot de passe. Open Directory pourra alors authentifier l’utilisateur. Les politiques de mot de passe peuvent désactiver un compte d’utilisateur à une date donnée, après un certain nombre de jours, après une période d’inactivité ou après un certain nombre de tentatives de connexion infructueuses. Elles peuvent aussi exiger que le mot de passe soit composé au minimum d’un certain nombre de caractères, qu’il contienne au moins une lettre ou un chiffre, qu’il soit différent du nom d’utilisateur, qu’il diffère des mots de passe précédemment choisis ou qu’il soit modifié régulièrement. Open Directory applique les mêmes règles de politique de mot de passe au serveur de mot de passe Open Directory et à Kerberos, sauf que Kerberos ne gère pas toutes les règles.40 Chapitre 3 Authentification d’utilisateur à l’aide d’Open Directory Les politiques de mot de passe n’affectent pas les comptes d’administrateur. Les administrateurs sont exclus des politiques de mot de passe car ils peuvent modifier ces politiques comme ils le souhaitent. De plus, l’application de politiques de mot de passe aux administrateurs les soumettrait à des attaques par saturation. Utilisateurs pouvant disposer de mots de passe Open Directory Tous les comptes d’utilisateur enregistrés sur un serveur doté de la version 10.3 de Mac OS X Server peuvent être configurés pour disposer d’un type de mot de passe Open Directory. Les comptes d’utilisateur du domaine de répertoire local du serveur peuvent également être configurés afin de disposer d’un type de mot de passe Open Directory. Si ce serveur héberge un domaine de répertoire partagé, les comptes d’utilisateur qui s’y trouvent peuvent également être configurés pour disposer d’un type de mot de passe Open Directory. Les utilisateurs qui doivent se connecter via la fenêtre de connexion de Mac OS X version 10.1 ou antérieure doivent être configurés pour utiliser des mots de passe cryptés. Le type de mot de passe n’a pas d’importance pour les autres services. Un utilisateur pourrait, par exemple, s’authentifier pour un service de fichiers Apple à l’aide d’un mot de passe Open Directory. Méthodes d’authentification du serveur de mot de passe Open Directory Le serveur de mot de passe Open Directory repose sur un standard connu sous le nom de SASL (Simple Authentification and Security Layer).Il s’agit d’un système d’authentification extensible qui permet au serveur de mot de passe Open Directory de gérer un ensemble de méthodes d’authentification d’utilisateurs réseau exigées par les services de courrier, de fichiers et autres de Mac OS X Server. Chaque service négocie avec le serveur de mot de passe Open Directory pour obtenir une méthode d’authentification avant d’échanger les références d’utilisateurs. Le serveur de mot de passe Open Directory gère des méthodes d’authentification qui ne nécessitent pas l’enregistrement d’un mot de passe en clair dans la base de données du serveur de mot de passe Open Directory. Seuls les mots de passe cryptés, appelés empreintes, sont enregistrés dans la base de données. Ces méthodes sont les suivantes : CRAM-MD5, DHX, Digest-MD5, MS-CHAPv2, SMB-NT et SMB-LAN Manager. Personne, pas même un administrateur ni un utilisateur racine, ne peut récupérer des mots de passe cryptés en les lisant dans la base de données. Un administrateur peut utiliser le Gestionnaire de groupe de travail pour définir le mot de passe d’un utilisateur, mais il ne peut lire aucun mot de passe d’utilisateur. De plus, le serveur de mot de passe Open Directory gère des méthodes d’authentification qui peuvent nécessiter l’enregistrement d’un mot de passe en clair dans la base de données d’authentification. Il s’agit des méthodes APOP et WebDAV-Digest. Chapitre 3 Authentification d’utilisateur à l’aide d’Open Directory 41 Remarque : si vous connectez la version 10.3 (ou version ultérieure) de Mac OS X Server à un domaine de répertoire de Mac OS X Server version 10.2 ou antérieure, notez bien que les utilisateurs définis dans l’ancien domaine de répertoire ne peuvent pas être authentifiés à l’aide de la méthode MS-CHAPv2. Cette méthode peut s’avérer nécessaire pour authentifier de manière sûre les utilisateurs du service VPN de la version 10.3 (ou ultérieure) de Mac OS X Server. Le serveur de mot de passe Open Directory de la version 10.3 de Mac OS X Server gère l’authentification MS-CHAPv2, alors que le serveur de mot de passe de la version 10.2 de Mac OS X Server ne la gère pas. Contenu de la base de données du serveur de mot de passe Open Directory Le serveur de mot de passe Open Directory tient à jour une base de données d’authentification distincte du domaine de répertoire de Mac OS X Server. Open Directory restreint strictement l’accès à la base de données d’authentification, tandis que toute personne connectée au réseau peut accéder au domaine de répertoire. Le serveur de mot de passe Open Directory conserve dans sa base de données d’authentification un enregistrement pour chaque compte d’utilisateur possédant un type de mot de passe Open Directory. Un enregistrement d’authentification inclut les éléments suivants : • L’identifiant de mot de passe de l’utilisateur (une valeur 128 bits attribuée lors de la création du mot de passe).Il est également enregistré dans l’enregistrement de l’utilisateur, dans le domaine de répertoire, et est utilisé comme clé d’accès à l’enregistrement d’utilisateur dans la base de données du serveur de mot de passe Open Directory. • Le mot de passe est enregistré soit sous une forme récupérable (en clair), soit sous forme d’empreinte (crypté). La forme varie en fonction de la méthode d’authentification. Un mot de passe récupérable est enregistré pour les méthodes d’authentification APOP et WebDAV. Pour toutes les autres méthodes, l’enregistrement se fait sous la forme d’un mot de passe crypté. Si aucune méthode d’authentification exigeant un mot de passe en clair n’est activée, la base de données d’authentification d’Open Directory enregistre les mots de passe sous forme cryptée uniquement. • Le nom abrégé de l’utilisateur (utilisé dans les messages d’historiques consultables dans Admin Serveur). • Des données de politique de mot de passe. Authentification Kerberos Kerberos est un protocole d’authentification en réseau développé par le MIT afin de fournir une authentification et des communications sûres en réseaux ouverts. Kerberos permet en outre l’authentification par signature unique (voir “Signature unique” à la page 44). 42 Chapitre 3 Authentification d’utilisateur à l’aide d’Open Directory Mac OS X et Mac OS X Server versions 10.2 et ultérieures gèrent Kerberos v5. Si votre réseau dispose déjà d’un centre de distribution de clés (KDC) Kerberos, vous pouvez configurer vos ordinateurs Mac OS X afin qu’ils l’utilisent pour l’authentification. Si un serveur doté de la version 10.3 de Mac OS X Server dispose d’un répertoire LDAP partagé, il dispose également d’un centre de distribution de clés Kerberos intégré. Ce centre peut authentifier tous les utilisateurs dont les comptes sont enregistrés dans un domaine de répertoire sur le serveur et dont le type de mot de passe est Open Directory. Le centre de distribution de clés intégré nécessite une configuration minimale. Les ordinateurs disposant de la version 10.3 (et versions ultérieures) de Mac OS X nécessitent une configuration minimale pour utiliser le centre de distribution de clés Mac OS X Server afin d’authentifier les comptes d’utilisateur enregistrés sur le serveur. Services “kerberisés” Kerberos peut authentifier des utilisateurs pour les services suivants de Mac OS X Server : • Fenêtre de connexion • Service de courrier • FTP • service AFP • SSH Ces services ont été “kerberisés”. Seuls ces services peuvent utiliser Kerberos pour authentifier un utilisateur. Principaux et domaines Kerberos Les services kerberisés sont configurés pour authentifier les principaux connus d’un domaine Kerberos donné. Un domaine Kerberos peut être considéré comme une base de données ou un domaine d’authentification Kerberos spécifique contenant des données de validation pour les utilisateurs, les services et parfois les serveurs (tous appelés “principaux”). Par exemple, un domaine contient des clés secrètes de principaux qui résultent d’une fonction unidirectionnelle appliquée à des mots de passe. Les principaux de service sont généralement basés sur des secrets générés de façon aléatoire plutôt que sur des mots de passe. Des exemples de domaines et de noms principaux sont fournis ci-après. Vous remarquerez que les noms de domaines sont, par convention, en lettres capitales afin de les différencier des noms de domaines DNS : • Domaine : MONDOMAINE.EXEMPLE.COM • Utilisateur principal : smitty@MONDOMAINE.EXEMPLE.COM • Service principal : serveurafp/autrenom.exemple.com@MONDOMAINE.EXEMPLE.COMChapitre 3 Authentification d’utilisateur à l’aide d’Open Directory 43 Processus d’authentification Kerberos L’authentification Kerberos se fait en plusieurs étapes. Lors de la première étape, le client obtient des références servant à demander l’accès aux services kerberisés. Lors de la deuxième phase, le client requiert l’authentification pour un service donné. Lors de la dernière étape, le client présente les références au service. L’illustration suivante schématise ces activités. Remarquez que, sur ce schéma, le service et le client peuvent constituer soit la même entité (la fenêtre de connexion par exemple), soit deux entrées différentes (par exemple un client de courrier et le serveur de courrier). 1 Le client s’authentifie auprès d’un centre de distribution de clés Kerberos qui communique avec les domaines pour accéder aux données d’authentification. Ce n’est qu’à cette étape que les mots de passe et les informations de politique de mot de passe qui y sont associées doivent être vérifiés. 2 Le centre de distribution de clés délivre au client un ticket d’octroi de ticket, référence dont le client a besoin pour utiliser des services kerberisés. Ce ticket est valide pour une durée paramétrable, mais peut être annulé avant l’expiration du délai. Le ticket est placé en mémoire cache sur le client jusqu’à son expiration. 3 Le client contacte le centre de distribution de clés avec le ticket d’octroi de ticket lorsqu’il souhaite utiliser un service kerberisé donné. 4 Le centre délivre un ticket pour ce service. 5 Le client présente le ticket au service. 6 Le service vérifie si le ticket est valide. Si le ticket est valable, l’utilisation du service est accordée au client si tant est qu’il soit autorisé à bénéficier de ce service. (Kerberos ne fait qu’authentifier les clients, il ne les autorise pas à utiliser des services. Un serveur AFP, par exemple, doit consulter un compte d’utilisateur dans un domaine de répertoire pour obtenir l’identifiant d’utilisateur) Le cas échéant, le service utilise les informations du ticket pour récupérer des informations supplémentaires sur l’utilisateur à partir d’un domaine de répertoire. Sachez que le service n’a besoin de connaître aucune information de mot de passe ou de politique de mot de passe. Une fois qu’un ticket d’octroi de ticket a été obtenu, il est inutile de fournir des informations de mot de passe. Centre de distribution de clés Service kerberisé 1 2 3 4 5 6 Client44 Chapitre 3 Authentification d’utilisateur à l’aide d’Open Directory La notion de temps est très importante pour Kerberos. Si le client et le centre de distribution de clés ne sont pas synchronisés à quelques minutes près, le client ne réussira pas à s’authentifier avec le centre. Les informations concernant la date, l’heure et le fuseau horaire doivent être correctes sur le serveur du centre de distribution de clés et chez les clients. Il est recommandé qu’ils utilisent tous le même service d’horloge réseau pour que leurs horloges restent synchronisées. Pour plus d’informations sur Kerberos, rendez-vous sur le site Web MIT Kerberos : web.mit.edu/kerberos/www/index.html Signature unique Mac OS X Server utilise Kerberos pour l’authentification par signature unique évitant ainsi aux utilisateurs de saisir un nom et un mot de passe à chaque fois qu’ils souhaitent accéder à un service kerberisé. Avec la signature unique, un utilisateur fournit toujours un nom et un mot de passe dans la fenêtre de connexion. Par la suite, il n’a plus besoin de saisir un nom et un mot de passe pour le service de fichiers Apple, le service de courrier ou d’autres services faisant appel à l’authentification Kerberos. Pour tirer parti de la fonction de signature unique, les utilisateurs et les services doivent être configurés pour l’authentification Kerberos et utiliser le même serveur de centre de distribution de clés Kerberos. Les comptes d’utilisateur qui se trouvent dans un répertoire LDAP de Mac OS X Server 10.3, et qui possèdent un type de mot de passe Open Directory, utilisent le centre de distribution de clés intégré du serveur. Ces comptes d’utilisateur sont automatiquement configurés pour Kerberos et la signature unique. Les services kerberisés de ce serveur utilisent également le centre de distribution de clés intégré du serveur et sont automatiquement configurés pour la signature unique. Les autres serveurs doivent être configurés pour utiliser le centre de distribution de clés de Mac OS X Server. Les serveurs disposant de la version 10.3 de Mac OS X Server nécessitent seulement une configuration minimale pour utiliser le centre de distribution de clés intégré d’un autre serveur équipé de Mac OS X Server version 10.3. Mots de passe shadow et cryptés Les mots de passe shadow et cryptés ne dépendent ni de l’infrastructure de Kerberos, ni de celle du serveur de mot de passe Open Directory en ce qui concerne la validation du mot de passe. Ils transmettent tous deux une forme brouillée de mot de passe de l’utilisateur, ou empreinte, lorsqu’ils envoient le mot de passe via le réseau. Tous deux enregistrent également une forme brouillée du mot de passe, mais pas au même emplacement. Chapitre 3 Authentification d’utilisateur à l’aide d’Open Directory 45 Un mot de passe crypté est enregistré sous forme d’empreinte dans le compte d’utilisateur, rendant ce mot de passe relativement facile à capturer à partir d’un autre ordinateur du réseau. Cette stratégie, historiquement appelée authentification de base (Basic), est principalement compatible avec les logiciels qui nécessitent un accès direct aux enregistrements d’utilisateur. Par exemple, la version 10.1 (et les versions précédentes) de Mac OS X s’attendent à trouver un mot de passe crypté enregistré dans le compte d’utilisateur. Un mot de passe shadow est enregistré sous forme de plusieurs empreintes dans un fichier situé sur le même ordinateur que le domaine de répertoire accueillant le compte d’utilisateur. Etant donné que le mot de passe n’est pas enregistré dans le compte d’utilisateur, sa capture via le réseau s’avère difficile. Chaque mot de passe shadow d’utilisateur est enregistré dans un fichier différent, appelé fichier de mot de passe shadow. Seul le compte d’utilisateur racine est autorisé à lire ces fichiers. Seuls les comptes d’utilisateur qui sont enregistrés dans le répertoire local d’un ordinateur peuvent disposer d’un mot de passe shadow. Les comptes d’utilisateur qui sont enregistrés dans un répertoire partagé ne peuvent en bénéficier. La fonction primaire de hachage d’un mot de passe shadow est SHA-1. De plus, les empreintes NT et LAN Manager sont enregistrées dans le fichier de mot de passe shadow pour assurer la compatibilité descendante avec les services d’impression et de fichiers SMB de Windows. Ces empreintes peuvent être utilisées pour le partage de fichiers Windows à partir d’un ordinateur Mac OS X et pour l’authentification des services d’impression et de fichiers Windows fournis par Mac OS X Server. Les mots de passe shadow fournissent également une authentification cachée pour les comptes d’utilisateurs mobiles. Les mots de passe shadow et cryptés ne sont pas adaptés à tous les services. Certains services exigent des méthodes d’authentification gérées par Open Directory, telles que APOP, CRAM-MD5, Digest-MD5, MS-CHAPv2 et WebDAV-Digest. Pour une transmission sécurisée des mots de passe via un réseau, les mots de passe cryptés peuvent fonctionner avec la méthode d’authentification DHX. Les mots de passe shadow gèrent également NT et LAN Manager pour une authentification sûre via le réseau. L’authentification cryptée ne gère que les mots de passe d’une longueur maximale de huit octets (huit caractères ASCII) pour le mot de passe. Si un mot de passe plus long est saisi dans le compte d’un utilisateur, seuls les huit premiers octets sont utilisés pour la validation du mot de passe crypté. La limite de huit caractères ne s’applique pas aux mots de passe shadow. Avec ces derniers, les 128 premiers caractères servent à l’authentification NT et les 14 premiers caractères servent à l’authentification LAN Manager.46 Chapitre 3 Authentification d’utilisateur à l’aide d’Open Directory Cryptage des mots de passe shadow et cryptés dans les comptes d’utilisateur Les mots de passe shadow et cryptés ne sont pas enregistrés en clair ; ils sont dissimulés et rendus illisibles par le cryptage. Le procédé de cryptage d’un mot de passe shadow ou crypté consiste à introduire le mot de passe en clair, accompagné d’un nombre aléatoire, dans une fonction mathématique (appelée fonction de hachage unidirectionnelle). Une fonction de hachage unidirectionnelle génère toujours la même valeur cryptée à partir de données en entrée spécifiques, mais ne peut être utilisée pour recréer le mot de passe original à partir des données en sortie cryptées qu’elle génère. Pour valider un mot de passe à l’aide de la valeur cryptée, Mac OS X applique la fonction au mot de passe tapé par l’utilisateur et la compare à la valeur stockée dans le compte de l’utilisateur. Si les valeurs corroborent, le mot de passe est considéré valide. Différentes fonctions de hachage sont utilisées pour crypter des mots de passe shadow et cryptés. La fonction de cryptage UNIX standard est utilisée pour les mots de passe cryptés. En revanche, il est nécessaire d’utiliser plusieurs fonctions de hachage, y compris NT et LAN Manager, pour crypter les mots de passe shadow. Craquage des mots de passe lisibles Du fait que les mots de passe cryptés sont enregistrés directement dans les comptes d’utilisateur, ils sont susceptibles d’être craqués. Les comptes d’utilisateur d’un domaine de répertoire partagé sont ouvertement accessibles sur le réseau. N’importe quelle personne connectée au réseau et disposant de Gestionnaire de groupe de travail ou sachant utiliser les outils à lignes de commandes peut lire le contenu des comptes d’utilisateur, y compris les mots de passe qui y sont enregistrés. Un utilisateur malveillant ou un pirate informatique peut utiliser le Gestionnaire de groupe de travail ou les commandes UNIX pour copier les enregistrements d’utilisateur dans un fichier. Il peut transférer ce fichier vers un autre système afin d’utiliser différentes techniques permettant de trouver quels mots de passe non cryptés génèrent les mots de passe cryptés stockés dans les enregistrements d’utilisateur. Après avoir identifié un mot de passe, le pirate peut se connecter incognito avec un nom d’utilisateur et un mot de passe valides. Avec ce type d’attaque “hors ligne”, il n’est pas nécessaire d’effectuer plusieurs tentatives de connexion successives pour accéder à un système. Chapitre 3 Authentification d’utilisateur à l’aide d’Open Directory 47 Un moyen très efficace pour contrer le craquage de mots de passe consiste à utiliser de bons mots de passe. Les mots de passe doivent contenir des lettres, des chiffres et des symboles et former des combinaisons difficiles à deviner par les utilisateurs non autorisés. Les mots de passe ne doivent pas correspondre à de véritables mots. Les bons mots de passe peuvent inclure des chiffres et des symboles (tels que # ou $). Ils peuvent également être constitués des premières lettres de tous les mots d’une phrase donnée. Utilisez à la fois des lettres majuscules et minuscules. Remarque : les mots de passe shadow et Open Directory sont beaucoup moins vulnérables aux attaques hors ligne puisqu’ils ne sont pas enregistrés dans les enregistrements d’utilisateur. Les mots de passe shadow sont stockés dans des fichiers séparés, uniquement lisibles par une personne qui connaît le mot de passe de l’utilisateur racine (appelé aussi administrateur système). Les mots de passe Open Directory sont enregistrés de manière sûre dans le centre de distribution de clés Kerberos et dans la base de données du serveur de mot de passe Open Directory. Le mot de passe Open Directory d’un utilisateur ne peut être lu par d’autres utilisateurs, pas même par un utilisateur disposant d’autorisations d’administrateur pour l’authentification Open Directory. (Cet administrateur peut seulement modifier les mots de passe Open Directory et les politiques de mot de passe.) Authentification par liaison LDAP Pour les comptes d’utilisateur qui résident dans un répertoire LDAP sur un serveur non Apple, Open Directory tente d’utiliser l’authentification par liaison LDAP simple. Open Directory envoie au serveur de répertoire LDAP le nom et le mot de passe fournis par l’utilisateur en cours d’authentification. L’authentification est réussie si le serveur LDAP trouve un enregistrement d’utilisateur et un mot de passe correspondants. L’authentification par liaison LDAP simple est risquée par nature, puisque des mots de passe en clair sont transmis via le réseau. Cependant, vous pouvez rendre cette authentification plus sûre en configurant un accès au répertoire LDAP via le protocole SSL (Secure Sockets Layer). SSL sécurise l’accès en cryptant toutes les communications avec le répertoire LDAP.4 49 4 Planification Open Directory Tout comme l’installation électrique ou les canalisations d’un bâtiment, les services de répertoire d’un réseau doivent être planifiés à l’avance plutôt qu’improvisés au gré des circonstances. Le stockage d’informations dans des domaines de répertoires partagés améliore le contrôle du réseau, permet à un nombre plus important d’utilisateurs d’accéder aux informations et simplifie la gestion des informations. Toutefois, le niveau de contrôle et de convivialité dépend de l’effort consacré à la planification de vos domaines partagés. L’objectif de la planification d’un domaine de répertoire est de concevoir la disposition de domaines partagés la plus simple qui fournit à vos utilisateurs Mac OS X un accès aisé aux ressources réseau dont ils ont besoin et minimise le temps consacré à la gestion des enregistrements d’utilisateurs et d’autres données administratives. Ce chapitre fournit des indications générales pour la planification des services Open Directory et décrit les outils nécessaires pour les gérer. Directives générales de planification Si vous n’avez pas besoin de partager des informations sur les utilisateurs et les ressources entre plusieurs ordinateurs Mac OS X, la planification du domaine de répertoire se réduit au strict nécessaire. Tout doit pouvoir être accessible à partir de domaines de répertoires locaux. Assurez-vous simplement que l’ensemble des utilisateurs d’un ordinateur Mac OS X particulier sont définis en tant que tels dans le domaine de répertoire local de l’ordinateur. Domaine de réper- toire local Domaine de réper- toire local Ouverture de session vers Mac OS X Connexion au serveur Mac OS X pour accéder à un service de fichiers50 Chapitre 4 Planification Open Directory Pour partager des informations entre ordinateurs Mac OS X, vous devez configurer au moins un domaine de répertoire partagé. Un seul domaine de répertoire partagé suffira amplement si tous les utilisateurs de votre réseau partagent les mêmes ressources telles qu’imprimantes, points de partage pour répertoires de départ, points de partage pour applications et points de partage pour documents. Pour des réseaux plus grand et plus complexes, il peut être utile de mettre en place des domaines de répertoires partagés supplémentaires. Domaine de répertoire partagé Domaine de répertoire local Domaine de répertoire local Ouverture de session vers Mac OS X Connexion à Mac OS X Server pour accéder à un service de fichiers Domaine de répertoire de l’école Domaine de répertoire pour les sciences Domaine de répertoire pour les mathématiques Domaine de répertoire pour le français 1 2 3 Politique de rechercheChapitre 4 Planification Open Directory 51 Contrôle de l’accès aux données Dans un réseau comprenant plusieurs domaines de répertoires partagés, il est possible de n’afficher les informations de répertoires que pour certains ordinateurs du réseau. Dans l’exemple ci-dessus, l’administrateur peut désigner au cas par cas les utilisateurs et les ressources qui seront visibles par l’ensemble des ordinateurs Mac OS X, en répartissant les informations de répertoires dans quatre domaines de répertoires partagés. Si vous souhaitez que tous les ordinateurs aient accès à certaines données administratives, stockez ces dernières dans un domaine de répertoire partagé inclus dans les politiques de recherche de tous les ordinateurs. Pour que certaines données ne soient accessibles qu’à certains ordinateurs, stockez-les dans un domaine de répertoire partagé qui ne soit inclus que dans la politique de recherche des ordinateurs concernés. Simplification des modifications des données de répertoires Si vous avez besoin de plusieurs domaines de répertoires partagés, organisez vos politiques de recherches de manière à minimiser le nombre de changements d’emplacement de stockage des données. Il est également conseillé d’élaborer un plan de gestion des événements en cours tels que : • L’arrivée de nouveaux utilisateurs dans votre organisation et le départ d’anciens utilisateurs • L’ajout, l’amélioration ou le remplacement de serveurs de fichiers • Le déplacement d’imprimantes Essayez de faire en sorte que chaque domaine de répertoire soit applicable à l’ensemble des ordinateurs l’utilisant, de manière à ne devoir ni modifier ni ajouter d’informations dans plusieurs domaines. Dans l’exemple de domaines partagés à plusieurs niveaux ci-dessus, l’ajout d’un nouvel étudiant au domaine partagé d’une classe permet à l’étudiant d’ouvrir une session à partir de n’importe quel ordinateur de la classe. Au fur et à mesure du recrutement ou du départ de formateurs, l’administrateur peut mettre à jour les informations d’utilisateurs en modifiant simplement le domaine partagé de l’école. Si votre hiérarchie de domaines de répertoires est complexe ou étendue et appartient à un réseau géré par plusieurs administrateurs, vous devez élaborer des stratégies visant à minimiser les conflits. Par exemple, vous pouvez prédéfinir des gammes d’identifiants d’utilisateurs (Id. Util.) afin d’empêcher un accès accidentel à des fichiers. (Pour plus d’informations, lisez le chapitre sur la configuration des comptes dans le guide de gestion des utilisateurs.)52 Chapitre 4 Planification Open Directory Évaluation des besoins en matière de répertoires et d’authentification Outre le mode de répartition des différentes données de répertoires entre les différents domaines, vous devez également tenir compte des capacités de chaque domaine de répertoire. Différents facteurs affectent la taille maximale d’un domaine de répertoire. Parmi ces facteurs, on peut citer les performances de la base de données qui stocke les informations de répertoire. Le domaine de répertoire LDAP de Mac OS X Server version 10.3 et ultérieure utilise une base de données Berkeley qui demeure performante avec 100 000 enregistrements. Bien entendu, un serveur hébergeant un domaine de répertoire de cette taille a tout intérêt à disposer d’un espace disque suffisant pour stocker tous les enregistrements. Le nombre de connexions gérées par un service de répertoire est plus difficile à évaluer car les connexions des services de répertoires surviennent dans un contexte qui englobe les connexions de l’ensemble des services fournis par ce serveur. Sous Mac OS X Server version 10.3, un serveur dédié à Open Directory peut accepter au maximum 250 connexions simultanées d’ordinateurs clients. Le serveur Open Directory est toutefois en mesure de fournir des services LDAP et d’authentification à un nombre plus élevé d’ordinateurs clients car ces derniers ne font pas tous appel à ces services en même temps. Chaque ordinateur client se connecte au répertoire LDAP pendant une durée maximum de deux minutes et les connexions au serveur de mots de passe Open Directory sont encore plus brèves. Ainsi, un serveur Open Directory est capable de gérer 750 ordinateurs clients parce qu’il est probable que seule une fraction des ordinateurs clients susceptibles d’établir une connexion avec Open Directory cherche généralement à établir une connexion au même moment. Il peut néanmoins s’avérer difficile d’évaluer leur nombre, autrement dit le pourcentage d’ordinateurs clients effectuant une connexion au même moment. Ainsi, un ordinateur client utilisé à longueur de journée par une même personne qui travaille sur des fichiers d’images n’aura que rarement besoin des services Open Directory. En revanche, les nombreux utilisateurs d’un ordinateur situé dans un laboratoire ouvrent et ferment des sessions tout au long de la journée, chacun d’entre eux utilisant différents réglages de préférences de client géré. Un tel ordinateur représente une charge relativement lourde pour les services Open Directory. Chapitre 4 Planification Open Directory 53 En général, l’utilisation d’Open Directory est proportionnelle au nombre d’ouvertures et de fermetures de sessions. Ces activités sont habituellement majoritaires dans les services de répertoires et d’authentification de n’importe quel système. Plus les utilisateurs ouvrent et ferment des sessions, moins le serveur Open Directory (ou tout autre serveur de répertoires et d’authentification) pourra gérer d’ordinateurs clients. Si les ouvertures et fermetures de sessions sont très fréquentes, vous devrez ajouter des serveurs Open Directory. En revanche, si les sessions de travail sont plus longues et que les ouvertures de session sont plus rares, vous pourrez vous contenter d’un plus petit nombre de serveurs Open Directory. Identification de serveurs pour l’hébergement de domaines partagés Si vous avez besoin de plusieurs domaines partagés, identifiez les serveurs appelés à héberger ces domaines. Les domaines partagés concernent de nombreux utilisateurs, il est donc conseillé de les placer sur des ordinateurs Mac OS X Server présentant les caractéristiques suivantes : • Accès physique limité • Accès réseau limité • Installation de technologies à haute disponibilité telles que les systèmes d’alimentation sans coupure Sélectionnez des ordinateurs qui ne seront pas fréquemment remplacés et qui sont dotés des capacités adéquates pour accueillir un nombre grandissant de domaines de répertoires. Bien qu’il soit possible de déplacer un domaine partagé après sa configuration, vous devrez peut-être reconfigurer les politiques de recherche des ordinateurs qui se lient à ce domaine partagé, de sorte que leurs utilisateurs puissent continuer à y ouvrir des sessions.54 Chapitre 4 Planification Open Directory Duplication de services Open Directory Mac OS X Server gère la duplication du service de répertoire LDAP, du serveur de mots de passe Open Directory et du centre de distribution de clés Kerberos. La duplication de vos services de répertoires et d’authentification vous permet : • De rapprocher les informations de répertoires d’un groupe d’utilisateurs au sein d’un réseau distribué géographiquement, ce qui améliore les performances des services de répertoires et d’authentification pour ces utilisateurs. • D’obtenir la redondance des services, afin que les utilisateurs ne soient que très peu affectés en cas de défaillance ou d’inaccessibilité d’un système de répertoire. L’un des serveurs dispose d’une copie principale du domaine de répertoire LDAP partagé, du serveur de mots de passe Open Directory et du centre de distribution de clés Kerberos. Ce serveur est appelé maître Open Directory. Chaque réplique Open Directory constitue un serveur distinct contenant une copie du répertoire LDAP maître, du serveur de mots de passe Open Directory et du centre de distribution de clés Kerberos. L’accès au répertoire LDAP sur une réplique s’effectue en lecture seule. Les modifications des fiches d’utilisateurs et d’autres informations du répertoire LDAP ne peuvent être effectuées que sur le maître Open Directory. Le maître Open Directory répercute automatiquement sur ses répliques tout changement apporté au répertoire LDAP. Le maître peut mettre ses répliques à jour soit dès qu’une modification survient, soit à intervalles de temps programmés. L’option des intervalles de temps programmés est la meilleure si les répliques sont connectées au maître par l’intermédiaire d’un réseau à faible débit. Les mots de passe et les politiques de mots de passe peuvent être modifiés sur n’importe quelle réplique. Si le mot de passe ou la politique de mot de passe d’un utilisateur est modifié sur plusieurs répliques, c’est la modification la plus récente qui prévaut. La mise à jour des répliques dépend de la synchronisation des horloges du maître et de toutes les répliques. Si les horloges des répliques et du maître affichent des différences importantes, la mise à jour risque d’être quelque peu arbitraire. Les informations de date, d’heure et de fuseau horaire doivent être correctes sur le maître et les répliques et elles doivent, si possible, utiliser le même service d’horloge réseau pour demeurer synchronisées.Chapitre 4 Planification Open Directory 55 Répliques dans un campus comprenant plusieurs bâtiments Quand un réseau s’étend sur plusieurs bâtiments, les connexions entre bâtiments peuvent s’avérer plus lentes qu’au sein de chaque bâtiment. Il peut arriver également que les connexions entre bâtiments soient saturées. Ces situations peuvent nuire aux performances des ordinateurs qui bénéficient de services Open Directory provenant d’un serveur situé dans un autre bâtiment. Par conséquent, il est recommandé d’installer une réplique Open Directory dans chaque bâtiment. Selon vos besoins, il peut même s’avérer intéressant d’installer une réplique Open Directory à chacun des étages d’un bâtiment qui en compte plusieurs. Chaque réplique offre ainsi des services de répertoires et d’authentification efficaces aux ordinateurs clients situés à proximité. Les ordinateurs clients n’ont plus besoin d’établir de connexion avec un serveur Open Directory via la ligne plus lente qui relie les bâtiments entre eux. L’augmentation du nombre de répliques présente toutefois un désavantage. Les répliques communiquent entre elles et avec le maître via le réseau. Ces communications représentent une charge pour le réseau, qui augmente en proportion du nombre de répliques. L’ajout d’un trop grand nombre de répliques peut en fait accroître le trafic entre bâtiments (du fait des mises à jour de répliques) plus qu’il ne réduit les communications clientes Open Directory. Par conséquent, lors du choix du nombre de répliques, il faut tenir compte de l’importance de l’utilisation des services Open Directory par les ordinateurs clients. Si les ordinateurs clients n’ont en moyenne que relativement peu recours aux services Open Directory et que vos bâtiments sont reliés entre eux par des connexions rapides (Ethernet à 100 Mbits/s, par exemple), vous n’avez sans doute pas besoin d’installer une réplique dans chaque bâtiment. Vous pouvez réduire la charge des communications entre répliques et maître Open Directory en programmant la fréquence de mise à jour des répliques par le maître Open Directory. Ainsi, il n’est peut-être pas nécessaire que les répliques soient mises à jour à chaque modification apportée au maître. En choisissant une fréquence de mise à jour moins élevée, vous améliorez les performances du réseau. Amélioration des performances et de la redondance Vous pouvez améliorer les performances des services Open Directory en ajoutant de la mémoire au serveur et en limitant les services qu’il fournit. Cette stratégie est également valable pour tous les autres services de Mac OS X Server. Plus vous limitez le nombre de services offerts par un serveur, meilleures sont ses performances. Au-delà de cette stratégie générale, vous pouvez aussi améliorer les performances des serveurs Open Directory en plaçant la base de données LDAP sur un volume qui lui est propre et les historiques Open Directory sur un autre volume. 56 Chapitre 4 Planification Open Directory Si vous prévoyez de placer des répliques d’un maître Open Directory sur votre réseau, vous pouvez améliorer les performances du réseau en réduisant la fréquence de mise à jour des répliques. Une réduction de la fréquence de mise à jour signifie que les répliques contiennent des données de répertoires moins actuelles. Vous devez donc trouver un compromis entre performances du réseau et exactitude des répertoires des répliques. Pour accroître la redondance des services Open Directory, vous pouvez installer des serveurs supplémentaires comme répliques Open Directory. Une autre stratégie de redondance consiste à utiliser des serveurs équipés de systèmes RAID pour les services Open Directory. Sécurité d’Open Directory Sous Mac OS X Server version 10.3, un serveur disposant d’un domaine de répertoire LDAP partagé fournit aussi l’authentification Open Directory. Les données d’authentification stockées par Open Directory sont particulièrement sensibles. Ces données d’authentification comprennent la base de données du serveur de mots de passe Open Directory ainsi que la base de données Kerberos extrêmement sensible. Par conséquent, vous devez vous assurer que le maître Open Directory et toutes les répliques Open Directory sont bien protégés : • La sécurité physique d’un serveur maître ou réplique Open Directory est essentielle. Ces serveurs doivent se trouver dans des pièces fermées à clé. Ne laissez jamais de session ouverte sur ces serveurs. • Gardez en lieu sûr les supports de sauvegarde de la base de données du serveur de mots de passe Open Directory et de la base de données Kerberos. Le fait de placer vos serveurs Open Directory dans une pièce fermée à clé ne protégera pas la bande de sauvegarde que vous laissez sur votre bureau tous les soirs. • Évitez si possible d’utiliser les serveurs Open Directory, maître ou répliques, pour d’autres services. S’il vous est impossible de consacrer exclusivement vos serveurs aux rôles de maîtres ou de répliques Open Directory, essayez au moins de limiter le nombre d’autres services qu’ils fournissent. L’un de ces autres services pourrait comporter une faille de sécurité permettant un accès illicite aux bases de données Kerberos ou du serveur de mots de passe Open Directory. L’emploi de serveurs dédiés aux services Open Directory est une solution idéale mais pas obligatoire. • Évitez d’utiliser un volume RAID partagé avec d’autres ordinateurs comme volume de démarrage d’un serveur qui est maître ou réplique Open Directory. Une faille de sécurité sur l’un des autres ordinateurs représente une menace potentielle pour la sécurité des informations d’authentification Open Directory. • Installez le service de coupe-feu IP pour bloquer tous les ports à l’exception des ports utilisés par les protocoles de répertoires, d’authentification et d’administration. • Le serveur de mots de passe Open Directory utilise les ports 106 et 3659. Chapitre 4 Planification Open Directory 57 • Le centre de distribution de clés Kerberos utilise le port TCP/UDP 88 et le port TCP/UDP 749 est utilisé pour l’administration Kerberos. • Le répertoire partagé LDAP utilise le port TCP 389 pour les connexions normales et le port TCP 636 pour les connexions SSL. • Le Gestionnaire de groupe de travail utilise les ports TCP 311 et 625. • Admin Serveur utilise le port TCP 311. • SMB utilise les ports TCP/UDP 137, 138, 139 et 445. • Équipez l’ordinateur maître Open Directory d’un système d’alimentation sans coupure (onduleur). En résumé, la solution pratique la plus sûre consiste à dédier exclusivement chaque serveur maître ou réplique Open Directory aux services Open Directory. Installez sur chacun de ces serveurs un coupe-feu afin qu’ils n’acceptent que les protocoles d’accès aux répertoires, d’authentification et d’administration : LDAP, serveur de mots de passe, Kerberos, Gestionnaire de groupe de travail et Gestionnaire du serveur. Protégez physiquement chaque serveur Open Directory ainsi que leurs supports de sauvegarde. La duplication entraîne une légère augmentation du risque de sécurité. Les données de répertoire LDAP dupliquées ne sont soumises à aucune restriction de lecture, par conséquent, n’importe quelle personne ayant accès au réseau peut télécharger l’ensemble du répertoire, quelle que soit la réplique. Les données de mot de passe sont dupliquées de manière sûre à l’aide de clés aléatoires négociées lors de chaque session de duplication. La partie du trafic de duplication concernant l’authentification (le serveur de mots de passe Open Directory et le centre de distribution de clés Kerberos) est entièrement cryptée. Pour plus de sécurité, vous pouvez configurer les connexions réseau entre serveurs Open Directory afin qu’elles utilisent des commutateurs réseau plutôt que des concentrateurs. Ainsi, le trafic de duplication d’authentification sera limité aux segments de réseau fiables. Outils pour la gestion des services de répertoire Open Directory Les applications Admin Serveur, Format de répertoire et Gestionnaire de groupe de travail fournissent des interfaces graphiques pour la gestion des services Open Directory sous Mac OS X Server. De plus, vous pouvez gérer les services Open Directory à partir de la ligne de commandes de Terminal. Si votre réseau comprend des domaines NetInfo hérités, vous pouvez les gérer à l’aide de l’Inspecteur du Gestionnaire de groupe de travail (vous pourriez également utiliser le Gestionnaire NetInfo). Toutes ces applications sont fournies avec Mac OS X Server et peuvent être installées sur un autre ordinateur équipé de Mac OS X version 10.3 ou ultérieure, faisant alors de cet ordinateur un ordinateur d’administrateur. Pour plus d’informations sur la configuration d’un ordinateur d’administrateur, lisez le chapitre sur l’administration de serveur dans le guide de premiers contacts.58 Chapitre 4 Planification Open Directory Admin Serveur Admin serveur vous permet de : • Configurer Mac OS X Server en tant que maître ou réplique Open Directory, en tant que serveur connecté à un système de répertoires ou en tant que serveur autonome ne comportant qu’un répertoire local. Pour obtenir des instructions, consultez le chapitre 5, “Configuration des services Open Directory”. • Configurer des systèmes Mac OS X Server supplémentaires de telle manière qu’ils puissent utiliser le centre de distribution de clés Kerberos d’un maître ou d’une réplique Open Directory. Pour obtenir des instructions, consultez le chapitre 5. • Faire migrer de NetInfo vers LDAP le domaine de répertoire partagé d’un serveur mis à niveau. Pour obtenir des instructions, consultez le chapitre 5. • Configurer les options LDAP d’un maître Open Directory. Pour obtenir des instructions, consultez le chapitre 5. • Configurer le service DHCP pour qu’il fournisse l’adresse d’un serveur LDAP à des ordinateurs Mac OS X utilisant des politiques de recherche automatiques. Pour plus de détails, consultez le chapitre du guide d’administration des services réseau consacré au DHCP. • Définir des politiques de mots de passe s’appliquant à tous les utilisateurs qui ne disposent pas de politiques de mots de passe particulières. Pour plus de détails, consultez le chapitre 6, “Gestion de l’authentification d’utilisateur”. Pour définir des politiques de mots de passe, utilisez le Gestionnaire de groupe de travail. Voir à ce propos le chapitre 6. • Contrôler les services Open Directory. Pour obtenir des instructions, consultez le chapitre 8, “Maintenance et résolution des problèmes”. Pour des informations de base sur l’utilisation d’Admin Serveur, lisez le chapitre du guide de premiers contacts consacré à l’administration du serveur. Admin Serveur est installé dans le dossier /Applications/Server/. Format de répertoire Format de répertoire vous permet de : • Activer et désactiver les différents types de services de répertoires et de détection de services réseau sur les ordinateurs Mac OS X. • Définir des politiques de recherche d’authentification et de contacts pour les ordinateurs Mac OS X. • Configurer les connexions aux répertoires LDAP, à un domaine Active Directory, à un domaine NIS et à des domaines NetInfo. • Configurer le mappage de données pour les répertoires LDAP. Format de répertoire peut se connecter à d’autres ordinateurs de votre réseau, ce qui vous permet d’effectuer une configuration à distance. Pour plus d’informations sur l’utilisation de Format de répertoire, lisez le chapitre 7, “Gestion de Format de répertoire”.Chapitre 4 Planification Open Directory 59 Format de répertoire est installé, sur tous les ordinateurs Mac OS X, dans le dossier / Applications/Utilitaires/. Gestionnaire de groupe de travail Gestionnaire de groupe de travail vous permet de : • Configurer et gérer les comptes d’utilisateurs, de groupes et d’ordinateurs. Pour plus de détails, lisez les chapitres consacrés aux comptes d’utilisateurs, de groupes et d’ordinateurs dans le guide de gestion des utilisateurs et le guide d’administration des technologies Web. • Gérer les points de partage pour les services de fichiers, les répertoires de départ des utilisateurs et les profils d’utilisateurs itinérants. Pour plus d’informations, lisez le chapitre du guide d’administration des services de fichiers consacré aux points de partage et le chapitre du guide d’administration des technologies Web consacré à la gestion des services Windows. • Accéder à l’Inspecteur qui permet de manipuler toutes les fiches et tous les attributs Open Directory. Pour obtenir des instructions, consultez le chapitre 8, “Maintenance et résolution des problèmes”. Pour obtenir des informations élémentaires sur l’utilisation du Gestionnaire de groupe de travail, lisez le chapitre du guide de premiers contacts consacré à l’administration du serveur. Le Gestionnaire de groupe de travail se trouve dans le dossier /Applications/Server/. Outils à ligne de commande Les administrateurs préférant administrer leur serveur à partir de lignes de commande disposent d’une gamme complète d’outils à ligne de commandes. Pour la gestion de serveurs à distance, utilisez une session sécurisée (SSH) pour envoyer vos commandes. Pour taper vos commandes sur les serveurs et les ordinateurs Mac OS X, utilisez l’application Terminal qui se trouve dans le dossier /Applications/Utilitaires/. Pour plus de détails, consultez le d’administration par ligne de commande. Gestionnaire NetInfo Gestionnaire NetInfo permet d’afficher et de modifier des enregistrements, des attributs et des valeurs dans les domaines NetInfo hérités, sur les ordinateurs qui utilisent encore ou ont été mis à niveau à partir de Mac OS X Server version 10.2 ou antérieure. Ces mêmes tâches peuvent être effectuées à l’aide de l’Inspecteur dans le Gestionnaire de groupe de travail. Vous pouvez aussi utiliser le Gestionnaire NetInfo pour gérer une hiérarchie NetInfo héritée ou sauvegarder et restaurer un domaine NetInfo hérité. Le Gestionnaire NetInfo se trouve dans le dossier /Applications/Utilitaires/.5 61 5 Configuration des services Open Directory Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour configurer le rôle Open Directory d’un serveur, la signature unique et les services d’authentification Kerberos, régler les options LDAP et effectuer la migration de NetInfo vers LDAP. Les services Open Directory (services de répertoires et d’authentification) constituent une partie essentielle de l’infrastructure d’un réseau. Ces services affectent considérablement les autres services et utilisateurs du réseau. C’est pourquoi il convient de configurer correctement Open Directory dès le départ. Présentation générale de la configuration Résumé des tâches principales à réaliser pour configurer les services Open Directory. Consultez les pages mentionnées pour obtenir des informations détaillées sur chaque étape. Étape 1 : Avant de commencer, élaborez un programme Consultez la section “Avant de commencer” à la page 62 pour obtenir la liste des élé-ments à prendre en considération avant de configurer Open Directory sur Mac OS X Server. Étape 2 : Configurez votre maître Open Directory Consultez “Configuration d’un maître Open Directory” à la page 64 et “Configuration des options LDAP” à la page 72. Étape 3 : Configurez les répliques de votre maître Open Directory Consultez les sections “Configuration d’une réplique Open Directory” à la page 65 et “Configuration des options LDAP” à la page 72. Étape 4 : Configurez les serveurs qui se connectent à d’autres systèmes de répertoires Consultez la section “Configuration d’une connexion à un système de répertoire” à la page 68.62 Chapitre 5 Configuration des services Open Directory Étape 5 : Configurez la signature unique et l’authentification Kerberos Consultez la section “Configuration de la signature unique et de Kerberos” à la page 69. Étape 6 : Faites migrer les serveurs mis à niveau de NetInfo vers LDAP Consultez “Migration d’un domaine de répertoire de NetInfo vers LDAP” à la page 75 et “Désactivation de NetInfo après la migration vers LDAP” à la page 78. Étape 7 : Configurez Format de répertoire sur les serveurs et sur les ordinateurs clients Consultez le chapitre 7, “Gestion de Format de répertoire”. Avant de commencer Avant de configurer des services Open Directory pour la première fois : • Comprenez les utilisations des données de répertoire et évaluez vos besoins en répertoires. Identifiez les services qui nécessitent des données issues de domaines de répertoires et déterminez quels utilisateurs auront besoin d’accéder à ces services. Les utilisateurs dont les informations peuvent être aisément gérées sur un serveur doivent être définis dans le répertoire LDAP partagé d’un Mac OS X Server qui est un maître Open Directory. Certains de ces utilisateurs seront plutôt définis dans des domaines de répertoires d’autres serveurs, tels qu’un domaine Active Directory sur un serveur Windows. Ces concepts sont présentés au chapitre 1, “Concepts de service de répertoire”. • Évaluez s’il vous faut plusieurs domaines partagés. Si c’est le cas, choisissez les utilisateurs à définir dans chaque domaine partagé. Pour plus de détails, consultez le chapitre 2, “Politiques de recherche Open Directory”. • Déterminez quelles sont les options d’authentification nécessaires aux utilisateurs. Pour obtenir les descriptions des options disponibles, consultez le chapitre 3, “Authentification d’utilisateur à l’aide d’Open Directory”. • Définissez le mode d’organisation de vos domaines de répertoires et notamment des répliques des maîtres Open Directory. Le chapitre 4, “Planification Open Directory” propose quelques recommandations. • Choisissez les administrateurs de serveur avec beaucoup de soin. Ne communiquez le mots de passe d’administrateur qu’à des personnes de confiance. Limitez au maximum le nombre d’administrateurs. N’attribuez à aucun utilisateur de droits d’accès d’administrateur pour procéder à des tâches mineures, telle que la modification de réglages dans une fiche d’utilisateur. Important : les informations de répertoires font autorité. Elles revêtent une fonction vitale pour tout utilisateur d’un ordinateur les employant.Chapitre 5 Configuration des services Open Directory 63 Configuration d’Open Directory à l’aide de l’Assistant du serveur La configuration initiale d’Open Directory a lieu lorsque vous utilisez l’Assistant du serveur pendant l’installation de Mac OS X Server. Pour obtenir des instructions sur l’utilisation de l’Assistant du serveur, consultez le guide de premiers contacts. Gestion d’Open Directory sur un serveur distant Vous pouvez installer Admin Serveur sur un ordinateur disposant de Mac OS X version 10.3 ou ultérieure et l’utiliser pour gérer Open Directory sur n’importe quel serveur local ou distant. Vous pouvez aussi gérer Open Directory à distance en vous servant des outils à ligne de commande sur un ordinateur Mac OS X ou sur un ordinateur non-Macintosh. Pour plus d’informations, consultez le chapitre du guide de premiers contacts consacré à l’administration de serveur. Configuration d’un serveur autonome A l’aide d’Admin Serveur, vous pouvez configurer Mac OS X Server pour utiliser uniquement le domaine de répertoire local du serveur. Le serveur ne fournit aucune information sur les répertoires aux autres ordinateurs et n’en obtient pas d’un système existant. (Le domaine de répertoire local ne peut être partagé.) Important : si vous modifiez Mac OS X Server pour obtenir des informations de répertoires uniquement à partir de son domaine de répertoire local, les enregistrements d’utilisateurs et les autres informations que le serveur avait auparavant récupéré sur un domaine de répertoire partagé deviendront inaccessibles : • Les enregistrements d’utilisateurs et les autres informations existeront toujours dans le domaine de répertoire partagé, mais deviendront inaccessibles aux utilisateurs et aux services du serveur. • Les fichiers et dossiers du serveur peuvent devenir inaccessibles aux utilisateurs dont les comptes se trouvent dans le domaine de répertoire partagé. • Si le serveur était un maître Open Directory et si d’autres serveurs y étaient connectés : • Des services risquent d’être interrompus sur les serveurs connectés si les comptes d’utilisateurs et les autres informations du domaine de répertoire partagé deviennent inaccessibles. • Les utilisateurs dont les comptes se trouvent dans le domaine de répertoire partagé peuvent ne plus pouvoir accéder aux fichiers et dossiers situés sur le maître Open Directory et sur les autres serveurs qui étaient connectés à son domaine de répertoire LDAP partagé. 64 Chapitre 5 Configuration des services Open Directory Vous pouvez sauvegarder le répertoire LDAP et la base de données du serveur de mot de passe Open Directory avant de transformer le maître Open Directory en serveur autonome. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Sauvegarde de fichiers Open Directory” à la page 130. Pour configurer un serveur afin qu’il utilise uniquement son propre domaine de répertoire local non partagé : 1 Ouvrez Admin Serveur et sélectionnez Open Directory pour un serveur dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages (vers le bas de la fenêtre), puis cliquez sur Général (vers le haut). 3 Sélectionnez Serveur autonome dans le menu local Rôle. 4 Si vous êtes sûr que les utilisateurs et les services n’ont plus besoin d’accéder aux données de répertoire enregistrées dans le domaine de répertoire partagé que le serveur a hébergé ou auquel il était connecté, cliquez sur Enregistrer. Configuration d’un maître Open Directory A l’aide d’Admin Serveur, vous pouvez configurer Mac OS X Server comme maître Open Directory afin qu’il puisse fournir des informations de répertoires et d’authentification à d’autres systèmes. Mac OS X Server fournit des informations de répertoires en hébergeant un domaine de répertoire LDAP partagé. De plus, le serveur authentifie les utilisateurs dont les comptes sont enregistrés dans le domaine de répertoire LDAP partagé. Important: si vous modifiez un ordinateur Mac OS X Server qui était connecté à un autre système de répertoire pour qu’il devienne un maître Open Directory, le serveur reste connecté à l’autre système de répertoire. Le serveur recherchera les enregistrements d’utilisateur et d’autres informations dans son domaine de répertoire LDAP partagé avant de rechercher dans les autres systèmes de répertoires auxquels il est connecté. Pour configurer un serveur afin qu’il héberge un domaine LDAP partagé : 1 Ouvrez Admin Serveur et sélectionnez Open Directory pour un serveur dans la liste des Ordinateurs et services. Un serveur doit disposer de Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure pour être un maître Open Directory. 2 Cliquez sur Réglages (vers le bas de la fenêtre), puis cliquez sur Général (vers le haut). 3 Sélectionnez Maître Open Directory dans le menu local Rôle et saisissez les informations demandées. Nom abrégé d’administrateur : le nom abrégé d’un compte d’administrateur dans le domaine de répertoire local du serveur que vous voulez copier sur le nouveau répertoire LDAP partagé. Ce compte sera un administrateur du domaine de répertoire LDAP. Mot de passe d’administrateur : le mot de passe du compte d’administrateur dont vous avez saisi le nom abrégé.Chapitre 5 Configuration des services Open Directory 65 Nom de domaine Kerberos : par convention, le nom de domaine Kerberos est identique au nom DNS du serveur, mais il s’écrit en lettres capitales. Ainsi, un serveur dont le nom DNS est exemple.com aurait le nom de domaine Kerberos EXEMPLE.COM. Base de recherche (facultatif) : le suffixe de la base de recherche pour le nouveau répertoire LDAP. Le suffixe de la base de recherche provient généralement du nom DNS du serveur. Ainsi, le suffixe de la base de recherche pourrait être “dc=exemple, dc=com” pour un serveur dont le nom DNS est serveur.exemple.com. 4 Cliquez sur OK, puis sur Enregistrer. Après avoir configuré un ordinateur Mac OS X Server comme maître Open Directory, vous pouvez configurer d’autres ordinateurs disposant de Mac OS X ou Mac OS X Server pour qu’ils accèdent au domaine de répertoire LDAP partagé du serveur : • Vous pouvez configurer le service DHCP pour fournir le maître Open Directory comme serveur LDAP aux ordinateurs dotés de politiques de recherche automatique. Les ordinateurs disposant de Mac OS X ou Mac OS X Server version 10.2 peuvent posséder des politiques de recherche automatique. Ces ordinateurs n’ont pas besoin d’être configurés individuellement pour accéder au serveur LDAP. Lorsque ces ordinateurs démarrent, ils tentent d’obtenir l’adresse d’un serveur LDAP à partir du service DHCP. • Vous pouvez configurer un ordinateur pour qu’il accède au répertoire LDAP du serveur, puis ajouter le répertoire LDAP du serveur à la politique de recherche personnalisée de l’ordinateur. Pour obtenir des instructions sur la configuration de DHCP en vue de fournir une adresse de serveur LDAP, consultez le guide d’administration des services réseau. Pour des instructions sur la configuration des politiques de recherche et sur la configuration de l’accès à des domaines de répertoires LDAP spécifiques, consultez le chapitre 7, “Gestion de Format de répertoire”. Configuration d’une réplique Open Directory A l’aide d’Admin Serveur, vous pouvez configurer Mac OS X Server comme réplique d’un maître Open Directory afin qu’il puisse fournir les mêmes informations de répertoires et d’authentification que le maître à d’autres systèmes. Le serveur réplique héberge une copie en lecture seule du domaine de répertoire LDAP du maître. Il héberge également une copie en lecture/écriture de la base de données d’authentification associée au domaine de répertoire du maître et au centre de distribution de clés Kerberos. Les répliques Open Directory peuvent offrir les avantages suivants :66 Chapitre 5 Configuration des services Open Directory • Dans un réseau étendu (WAN) de réseaux locaux (LAN) interconnectés par des liaisons lentes, les répliques situées sur les réseaux locaux peuvent fournir aux serveurs et aux ordinateurs clients un accès rapide aux comptes d’utilisateur et aux autres informations de répertoires. • Une réplique fournit la redondance. En cas de défaillance du maître Open Directory, les ordinateurs qui lui sont connectés basculent automatiquement vers une réplique située à proximité. Ce comportement de basculement automatique est une fonctionnalité de la version 10.3 (et des versions ultérieures) de Mac OS X et Mac OS X Server. Important : si vous configurez une réplique Open Directory, toutes les données de répertoires et d’authentification doivent être copiées sur celle-ci à partir du maître Open Directory. La duplication peut durer plusieurs secondes ou plusieurs minutes selon la taille du domaine de répertoire. Si la duplication est effectuée via une liaison réseau lente, elle peut durer très longtemps. Pendant la duplication, le maître ne peut pas fournir les services de répertoires et d’authentification. Les comptes d’utilisateur du répertoire LDAP maître ne peuvent être utilisés pour se connecter aux services ou s’authentifier avant la fin de la duplication. Pour minimiser l’interruption des services de répertoires, configurez une réplique avant que le répertoire LDAP du maître ne soit complètement rempli ou à un moment de la journée où le service de répertoire n’est pas utilisé. Le fait de disposer d’une autre réplique déjà configurée permettra aux clients du service de répertoire de ne pas être affectés en cas d’indisponibilité du maître. Important : si vous modifiez un ordinateur Mac OS X Server qui était connecté à un autre système de répertoire pour qu’il devienne une réplique Open Directory, le serveur reste connecté à l’autre système de répertoire. Le serveur recherchera les fiches d’utilisateur et d’autres informations dans son domaine de répertoire LDAP partagé avant de rechercher dans d’autres systèmes de répertoires auxquels il est connecté. Pour configurer un serveur afin qu’il héberge une réplique d’un maître Open Directory : 1 Ouvrez Admin Serveur et sélectionnez Open Directory pour un serveur dans la liste des Ordinateurs et services. Un serveur doit disposer de la version 10.3 (ou ultérieure) de Mac OS X Server pour pouvoir être une réplique Open Directory. 2 Cliquez sur Réglages (vers le bas de la fenêtre), puis cliquez sur Général (vers le haut). 3 Sélectionnez Réplique Open Directory dans le menu local Rôle et saisissez les informations demandées. Adresses IP du maître LDAP : tapez l’adresse IP du serveur maître Open Directory. Mot de passe racine sur le maître LDAP : tapez le mot de passe de l’utilisateur racine du système du maître Open Directory (nom d’utilisateur de l’administrateur système). Nom d’administrateur du serveur de mots de passe sur la réplique : tapez le nom d’un compte d’administrateur dont le type de mot de passe est Open Directory.Chapitre 5 Configuration des services Open Directory 67 Mot de passe de l’administrateur du serveur de mot de passe sur la réplique : tapez le mot de passe du compte d’administrateur dont vous avez saisi le nom. 4 Cliquez sur OK, puis sur Enregistrer. 5 Assurez-vous que la date, l’heure et le fuseau horaire sont exacts sur la réplique et sur le maître. La réplique et le maître doivent utiliser le même service horaire de réseau pour que leurs horloges restent synchronisées. Après que vous ayez configuré une réplique Open Directory, les autres ordinateurs s’y connecteront automatiquement selon leurs besoins. Les ordinateurs disposant de Mac OS X et Mac OS X Server versions 10.3 et ultérieures tiennent à jour une liste de toutes les répliques d’un maître Open Directory auquel ils sont connectés. Si l’un de ces ordinateurs ne parvient pas à contacter le maître Open Directory pour des services de répertoires et d’authentification, il se connecte automatiquement à la réplique du maître la plus proche. Vous pouvez configurer les ordinateurs Mac OS X pour qu’ils se connectent à une réplique Open Directory plutôt qu’au maître Open Directory pour les services de répertoires et d’authentification. Sur chaque ordinateur Mac OS X, vous pouvez utiliser Format de répertoire pour créer une configuration LDAPv3 afin d’accéder au répertoire LDAP de la réplique et définir une politique de recherche personnalisée incluant cette configuration LDAPv3. Vous pouvez également configurer un service DHCP pour qu’il fournisse le répertoire LDAP de la réplique aux ordinateurs Mac OS X qui obtiennent l’adresse d’un serveur LDAP par le service DHCP. Consultez “Accès aux répertoires LDAP” à la page 100 et “Définition de politiques de recherche automatiques” à la page 98. Consultez le guide d’administration des services réseau pour obtenir des instructions afin de configurer DHCP pour la fourniture d’une adresse de serveur LDAP. Le maître Open Directory met automatiquement la réplique à jour. Vous pouvez configurer le maître pour qu’il effectue ces mises à jour soit à intervalles de temps programmés, soit dès que le répertoire maître est modifié. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Configuration de la fréquence de duplication d’un maître Open Directory” à la page 73. Configuration du basculement Open Directory Si un maître Open Directory ou l’une de ses répliques devient indisponible, ses ordinateurs clients dotés de Mac OS X ou Mac OS X Server version 10.3 trouveront automatiquement une réplique disponible et s’y connecteront. Les répliques permettent seulement aux clients de lire les informations de répertoires. Ces informations enregistrées sur la réplique ne peuvent être modifiées avec les outils d’administration tels que Gestionnaire de groupe de travail.68 Chapitre 5 Configuration des services Open Directory Les utilisateurs dont le type de mot de passe est Open Directory peuvent modifier leurs mots de passe sur les ordinateurs connectés aux répliques Open Directory. Les répliques synchronisent automatiquement les modifications de mots de passe avec le maître. Si le maître est indisponible pendant un certain temps, les répliques synchronisent les modifications de mots de passe avec le maître une fois que ce dernier est de nouveau disponible. Si un maître ou une réplique Open Directory devient indisponible et qu’il a des ordinateurs clients disposant de la version 10.2 (ou antérieure) de Mac OS X ou Mac OS X Server, ces ordinateurs clients doivent être reconfigurés manuellement pour se connecter à une réplique disponible. Vous pouvez utiliser Format de répertoire pour créer une configuration LDAPv3 qui spécifie comment l’ordinateur accède à une réplique disponible. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Accès aux répertoires LDAP” à la page 100. Configuration d’une connexion à un système de répertoire A l’aide d’Admin Serveur, vous pouvez configurer Mac OS X Server pour obtenir des enregistrements d’utilisateur et d’autres informations de répertoires à partir du domaine de répertoire partagé d’un autre serveur. Cet autre serveur fournit également l’authentification pour ses informations de répertoires. Mac OS X Server continuera à obtenir des informations de répertoires à partir de son propre domaine de répertoire local et fournira l’authentification pour ces informations. Important : modifier Mac OS X Server afin qu’il soit connecté à un autre système de répertoire et qu’il ne soit plus un maître Open Directory entraîne la désactivation de son domaine de répertoire LDAP partagé, avec les conséquences suivantes : • Les fiches d’utilisateur et les autres informations de répertoires existeront toujours dans le domaine de répertoire désactivé, mais deviendront inaccessibles aux utilisateurs du serveur et aux services. • Si d’autres serveurs étaient connectés au domaine de répertoire du maître, leurs services risquent d’être interrompus si les comptes d’utilisateur et d’autres informations du domaine de répertoire désactivé deviennent inaccessibles. • Les utilisateurs dont les comptes se trouvaient dans le domaine de répertoire désactivé ne pourront plus accéder à des fichiers et dossiers du maître Open Directory et des autres serveurs qui étaient connectés au domaine de répertoire maître. Pour configurer un serveur afin qu’il obtienne des services de répertoires à partir d’un système existant : 1 Ouvrez Admin Serveur et sélectionnez Open Directory pour un serveur dans la liste des Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages (vers le bas de la fenêtre), puis cliquez sur Général (vers le haut). 3 Sélectionnez “Connecté à un système de répertoire” dans le menu local Rôle.Chapitre 5 Configuration des services Open Directory 69 4 Si le serveur était un maître Open Directory et que vous êtes sûr que les utilisateurs et les services n’ont plus besoin d’accéder aux données de répertoires enregistrées dans le domaine de répertoire partagé que le serveur a hébergé, cliquez sur Enregistrer. 5 Cliquez sur le bouton Accès Open Directory pour configurer l’accès à l’un (ou à plusieurs) des systèmes de répertoire. Pour des instructions sur la configuration de l’accès à un type particulier de service de répertoire, consultez le chapitre 7, “Gestion de Format de répertoire”. Remarque : si vous connectez Mac OS X Server version 10.3 (ou ultérieure) à un domaine de répertoire de Mac OS X Server version 10.2 (ou antérieure), sachez que les utilisateurs définis dans l’ancien domaine de répertoire ne peuvent être authentifiés par la méthode MS-CHAPv2. Cette méthode peut s’avérer nécessaire pour authentifier de manière sûre les utilisateurs du service VPN de Mac OS X Server version 10.3 (et ultérieure). Open Directory de Mac OS X Server version 10.3 gère l’authentification MS-CHAPv2, mais le serveur de mots de passe de Mac OS X Server version 10.2 ne gère pas MS-CHAPv2. Configuration de la signature unique et de Kerberos La configuration de la signature unique et de l’authentification Kerberos nécessite la mise en oeuvre des tâches suivantes : • Un administrateur qui est autorisé à gérer des domaines de répertoires configure un serveur en tant que maître Open Directory hébergeant un centre de distribution de clés Kerberos (KDC). Consultez la section “Configuration d’un maître Open Directory pour la signature unique et Kerberos” à la page 70. • L’administrateur de réseau délègue à des administrateurs de serveur spécifiques l’autorité leur permettant de connecter leurs serveurs au serveur maître Open Directory pour la signature unique et l’authentification Kerberos. (Si vous souhaitez configurer un serveur afin qu’il se connecte à un maître Open Directory pour la signature unique et pour Kerberos, vous devez vous déléguer cette autorité.) Consultez la section “Délégation de l’autorité de connexion à un maître Open Directory pour la signature unique et Kerberos” à la page 70. • Les administrateurs délégués connectent leurs serveurs au maître Open Directory, qui fournit alors la signature unique et l’authentification Kerberos pour les services offerts par les serveurs connectés. Consultez la section “Connexion d’un serveur à un maître Open Directory pour la signature unique et Kerberos” à la page 72. • Tous les ordinateurs utilisant la signature unique et Kerberos doivent être réglés sur une date, une heure et un fuseau horaire exacts. Ils doivent tous être configurés pour utiliser le même serveur horloge de réseau. Le bon fonctionnement de Kerberos repose sur la synchronisation des horloges de tous les ordinateurs participants. • DNS doit être disponible sur le réseau.70 Chapitre 5 Configuration des services Open Directory Les services individuels de Mac OS X Server version 10.3 (et ultérieure) ne nécessitent aucune configuration pour la signature unique ou pour Kerberos. Les services suivants sont prêts pour Kerberos et la signature unique sur chaque serveur disposant de la version 10.3 (ou ultérieure) de Mac OS X Server, configuré comme maître Open Directory ou connecté à un maître : • Fenêtre de connexion • Service de courrier • FTP • Service AFP • SSH Ces services sont “kerberisés”, qu’ils soient en cours d’exécution ou non. Configuration d’un maître Open Directory pour la signature unique et Kerberos Vous pouvez fournir la signature unique et l’authentification Kerberos sur votre réseau en configurant un maître Open Directory. Vous pouvez configurer un maître Open Directory lors de la configuration initiale qui suit l’installation de Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure. Si vous avez configuré Mac OS X Server pour un rôle Open Directory différent, vous pouvez utiliser Admin Serveur pour transformer ce rôle en maître Open Directory. Un serveur jouant le rôle de maître Open Directory ne nécessite aucune configuration supplémentaire pour gérer la signature unique et l’authentification Kerberos pour tous les services kerberisés qu’il fournit lui-même. Ce serveur peut également gérer la signature unique et l’authentification Kerberos pour les services kerberisés d’autres serveurs du réseau. Les autres serveurs doivent être configurés pour se connecter au maître Open Directory pour la signature unique et Kerberos. Pour obtenir des instructions, consultez le guide de premiers contacts, “Configuration d’un maître Open Directory” à la page 64, “Délégation de l’autorité de connexion à un maître Open Directory pour la signature unique et Kerberos” à la page 70 et “Connexion d’un serveur à un maître Open Directory pour la signature unique et Kerberos” à la page 72. Délégation de l’autorité de connexion à un maître Open Directory pour la signature unique et Kerberos En utilisant Admin Serveur, vous pouvez déléguer l’autorité de connexion d’un serveur à un maître Open Directory pour la signature unique et l’authentification Kerberos. Il vous est possible de déléguer l’autorité à un ou plusieurs comptes d’utilisateur d’un serveur. Les comptes d’utilisateur auxquels vous déléguez l’autorité doivent avoir un type de mot de passe Open Directory et doivent résider sur le répertoire LDAP du maître Open Directory. Le serveur pour lequel vous déléguez l’autorité doit disposer de la version 10.3 (ou ultérieure) de Mac OS X Server.Chapitre 5 Configuration des services Open Directory 71 Si vous souhaitez déléguer l’autorité pour plus d’un serveur, répétez cette procédure pour chacun d’entre eux. Important : si le compte d’un administrateur délégué est supprimé et recréé sur le serveur cible, le nouveau compte ne disposera pas de l’autorité de se connecter au serveur Kerberos. Par mesure de précaution, vous devez déléguer l’autorité à au moins deux comptes sur le serveur cible. L’un de ces comptes peut appartenir à un administrateur de réseau (un administrateur du domaine Kerberos). Pour déléguer l’autorité de connexion à un maître Open Directory pour la signature unique et Kerberos : 1 Ouvrez Gestionnaire de groupe de travail, assurez-vous que le serveur cible a été ajouté à un compte d’ordinateur dans le domaine de répertoire LDAP du serveur à partir duquel vous déléguez l’autorité, puis notez le nom du serveur cible qui se trouve dans le compte d’ordinateur. 2 Le nom du serveur cible dans le compte d’ordinateur correspond au nom de l’enregistrement de l’ordinateur du serveur dans le domaine de répertoire LDAP. L’ajout du serveur à un compte d’ordinateur crée un enregistrement d’ordinateur pour le serveur. Pour obtenir les instructions permettant d’ajouter le serveur à un compte d’ordinateur, consultez le chapitre du guide de gestion des utilisateurs consacré aux comptes d’ordinateur. Ouvrez Admin Serveur et sélectionnez Open Directory pour un serveur maître Open Directory dans la liste des Ordinateurs et services. 3 Cliquez sur Réglages (vers le bas de la fenêtre), puis cliquez sur Général (vers le haut). 4 Confirmez le rôle de maître Open Directory, cliquez sur Ajouter un enregistrement Kerberos, puis saisissez les informations requises. Nom d’administrateur : tapez le nom d’un administrateur de répertoire LDAP sur le serveur maître Open Directory. Mot de passe d’administrateur : tapez le mot de passe du compte d’administrateur. Nom d’enregistrement de la configuration : tapez le nom d’enregistrement d’ordinateur du serveur pour lequel vous déléguez l’autorité de connexion à Kerberos. Le nom d’enregistrement d’ordinateur du serveur est le même que le nom du serveur dans un compte d’ordinateur. Administrateurs délégués : tapez un nom abrégé ou un nom complet pour chaque compte d’utilisateur auquel vous souhaitez déléguer l’autorité. Séparez les différents noms en appuyant sur la touche Retour après chaque nom.72 Chapitre 5 Configuration des services Open Directory Connexion d’un serveur à un maître Open Directory pour la signature unique et Kerberos A l’aide d’Admin Serveur, un administrateur de serveur dont le compte d’utilisateur a obtenu une délégation d’autorité appropriée peut connecter un serveur à un maître Open Directory pour la signature unique et l’authentification Kerberos. Il faut que cette autorité lui ait été préalablement conférée par un administrateur du maître Open Directory. Pour connecter un serveur à un maître Open Directory pour la signature unique et Kerberos : 1 Ouvrez Admin Serveur et sélectionnez Open Directory pour le serveur cible dans la liste des Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages (vers le bas de la fenêtre), puis cliquez sur Général (vers le haut). 3 Assurez-vous que Rôle est réglé sur Connecté à un système de répertoire, cliquez sur Se connecter à Kerberos, puis tapez le nom et le mot de passe d’un compte d’utilisateur qui a reçu l’autorité pour le serveur cible. Configuration des options LDAP Vous pouvez définir plusieurs options pour les répertoires LDAP d’un maître ou d’une réplique Open Directory. Consultez les documents suivants : • “Configuration de la fréquence de duplication d’un maître Open Directory” (suite). • “Modification de l’emplacement d’une base de données LDAP” à la page 73. • “Limitation des résultats de la recherche pour le service LDAP” à la page 74. • “Modification du délai de recherche autorisé pour le service LDAP” à la page 74. • “Configuration de SSL pour le service LDAP” à la page 74.Chapitre 5 Configuration des services Open Directory 73 Configuration de la fréquence de duplication d’un maître Open Directory A l’aide d’Admin Serveur, vous pouvez spécifier la fréquence avec laquelle le maître Open Directory met à jour ses répliques en y intégrant les modifications apportées aux répertoires et aux informations d’authentification. Le maître peut mettre à jour les répliques soit dès qu’une modification a lieu dans son domaine de répertoire, soit en fonction d’un calendrier que vous définissez. Pour indiquer la fréquence de la mise à jour des répliques par le maître Open Directory : 1 Ouvrez Admin Serveur et sélectionnez Open Directory pour un serveur maître Open Directory dans la liste des Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages (vers le bas de la fenêtre), puis cliquez sur Général (vers le haut). 3 Spécifiez une fréquence de duplication. “Répliquez vers les clients chaque fois que le répertoire est modifié” : garantit des répliques exactes mais augmente la charge du réseau. Peut affecter les performances du maître si une réplique est connectée via une liaison réseau lente. “Répliquer vers les clients tous les __” : permet de planifier des mises à jour moins fréquentes (en spécifiant un intervalle de temps plus long). Les mises à jour moins fréquentes présentent l’inconvénient de générer des répliques moins exactes mais offrent l’avantage de réduire le nombre de connexions réseau entre le maître et ses répliques. La réduction des connexions peut s’avérer souhaitable si les répliques ne font pas toutes partie du même réseau local que le maître. 4 Cliquez sur Enregistrer. Modification de l’emplacement d’une base de données LDAP En utilisant Admin Serveur, vous pouvez spécifier l’emplacement du disque de la base de données qui stocke les enregistrements d’utilisateur et d’autres informations dans un domaine de répertoire LDAP d’un maître ou d’une réplique Open Directory. La base de données LDAP est généralement située sur le volume de démarrage, mais peut se trouver sur un volume local différent. Remarque : pour des raisons de sécurité, les bases de données qui contiennent les informations d’authentification pour Open Directory et Kerberos sont toujours placées sur le volume de démarrage, quel que soit l’emplacement de la base de données LDAP. Pour modifier l’emplacement d’une base de données LDAP partagée : 1 Ouvrez Admin Serveur puis, dans la liste Ordinateurs et services, sélectionnez Open Directory pour un serveur qui est un maître ou une réplique Open Directory. 2 Cliquez sur Réglages (vers le bas de la fenêtre), puis cliquez sur Protocoles (vers le haut).74 Chapitre 5 Configuration des services Open Directory 3 Choisissez Réglages LDAP dans le menu local Configurer, puis spécifiez le chemin d’accès au dossier dans lequel vous voulez placer la base de données LDAP. 4 Cliquez sur Enregistrer. Limitation des résultats de la recherche pour le service LDAP Admin Serveur vous permet d’empêcher un type d’attaque par saturation sur le Mac OS X Server en limitant le nombre de résultats de recherche renvoyés par le domaine de répertoire LDAP partagé du serveur. Cela empêche un utilisateur malveillant de bloquer le serveur en lui envoyant des requêtes de recherches LDAP multiples et complexes. Pour définir un nombre maximal de résultats de recherche LDAP : 1 Ouvrez Admin Serveur, puis, dans la liste des Ordinateurs et services, sélectionnez Open Directory pour un serveur qui est un maître ou une réplique Open Directory. 2 Cliquez sur Réglages (vers le bas de la fenêtre), puis cliquez sur Protocoles (vers le haut). 3 Choisissez Réglages LDAP dans le menu local Configurer, puis tapez le nombre maximal de résultats de recherche. 4 Cliquez sur Enregistrer. Modification du délai de recherche autorisé pour le service LDAP A l’aide d’Admin Serveur, vous pouvez empêcher un type d’attaque par saturation sur le Mac OS X Server en limitant le temps alloué au serveur pour effectuer une recherche sur son domaine de répertoire LDAP partagé. Cela empêche un utilisateur malveillant de bloquer le serveur en lui envoyant une requête de recherche LDAP exceptionnellement complexe. Pour définir un délai pour les recherches LDAP : 1 Ouvrez Admin Serveur, puis, dans la liste des Ordinateurs et services, sélectionnez Open Directory pour un serveur qui est un maître ou une réplique Open Directory. 2 Cliquez sur Réglages (vers le bas de la fenêtre), puis cliquez sur Protocoles (vers le haut). 3 Choisissez Réglages LDAP dans le menu local Configurer, puis spécifiez un délai de recherche. 4 Cliquez sur Enregistrer. Configuration de SSL pour le service LDAP Admin Serveur vous permet de configurer des communications cryptées entre un domaine de répertoire LDAP partagé sur Mac OS X Server et d’autres serveurs qui sont connectés au domaine de répertoire. Vous pouvez activer le protocole SSL (Secure Sockets Layer) pour les communications LDAP cryptées et spécifier l’emplacement du fichier de certificat SSL, du fichier de clé et du fichier de certificat CA. Les communications SSL pour LDAP utilisent le port 636. Si SSL est désactivé pour le service LDAP, les communications sont envoyées en clair sur le port 389.Chapitre 5 Configuration des services Open Directory 75 Pour configurer des communications SSL pour le service LDAP : 1 Ouvrez Admin Serveur, puis, dans la liste des Ordinateurs et services, sélectionnez Open Directory pour un serveur qui est un maître ou une réplique Open Directory. 2 Cliquez sur Réglages (vers le bas de la fenêtre), puis cliquez sur Protocoles (vers le haut). 3 Choisissez Réglages LDAP dans le menu local Configurer, puis sélectionnez Utiliser SSL. 4 Saisissez l’emplacement et le nom du certificat SSL, de la clé SSL et du certificat CA. Plutôt que de saisir ou de coller l’emplacement et le nom du certificat SSL, de la clé SSL ou du certificat CA, vous pouvez les trouver en cliquant sur le bouton Parcourir situé près du champ correspondant. 5 Cliquez sur Enregistrer. Migration d’un domaine de répertoire de NetInfo vers LDAP Vous pouvez utiliser Admin Serveur pour faire migrer un domaine de répertoire NetInfo partagé vers LDAP. Le processus de migration remplace de manière irréversible la base de données principale NetInfo du domaine de répertoire par une base de données principale Berkeley DB. Après la migration, les ordinateurs clients qui étaient configurés pour utiliser NetInfo afin d’accéder au domaine de répertoire pourront toujours y accéder. Après la migration, vous pouvez configurer le service DHCP pour qu’il fournisse le domaine de répertoire migré en tant que serveur LDAP aux ordinateurs clients disposant de la version 10.2 (et ultérieure) de Mac OS X ou Mac OS X Server qui ont des politiques de recherche d’authentification automatiques. Vous pouvez faire basculer automatiquement des ordinateurs clients dotés de la version 10.3 de Mac OS X ou de Mac OS X Server vers l’utilisation de LDAP pour accéder au domaine de répertoire migré. Le processus de migration peut enregistrer des informations d’aiguillage automatique dans le domaine de répertoire. Lorsque Mac OS X et Mac OS X Server version 10.3 (et ultérieure) utilisent NetInfo pour accéder au domaine de répertoire qui a été migré vers LDAP, ils rassemblent les informations d’aiguillage automatique présentes dans le domaine de répertoire et se reconfigurent pour accéder au domaine de répertoire en utilisant dorénavant LDAP. Lorsque vous configurez la migration, vous pouvez spécifier une date à partir de laquelle l’accès NetInfo au domaine de répertoire migré sera désactivé. Vous pouvez aussi désactiver l’accès à NetInfo à tout moment en cliquant sur un bouton. Après la désactivation de NetInfo, les ordinateurs clients ne peuvent plus basculer automatiquement vers LDAP. 76 Chapitre 5 Configuration des services Open Directory Le processus de migration déplace tous les types d’enregistrements et de données standard de la base de données NetInfo vers une base de données LDAP. Si le domaine de répertoire NetInfo avait été modifié pour accueillir des types d’enregistrements ou de données personnalisés, ces derniers ne sont pas transférés vers la base de données LDAP. La migration vers LDAP ne modifie pas la méthode de validation des mots de passe d’utilisateurs, sauf pour les mots de passe validés par le Gestionnaire d’authentification. Les mots de passe qui étaient validés par un serveur de mots de passe continuent à l’être par le même serveur. Si certains comptes d’utilisateur du domaine NetInfo utilisaient le Gestionnaire d’authentification pour la validation des mots de passe, le processus de migration convertit ces comptes pour qu’ils disposent d’un type de mot de passe Open Directory. Bien évidemment, un administrateur peut modifier le type de mot de passe de tout compte d’utilisateur migré vers Open Directory afin que ce compte puisse bénéficier de la signature unique et de l’authentification Kerberos. Important : veillez à ne pas cliquer par inadvertance sur le bouton Désactiver NetInfo. Cette action a pour effet de désactiver immédiatement l’accès NetInfo au domaine de répertoire. Cette action est irréversible. Après la désactivation de NetInfo, tous les ordinateurs ayant besoin de se connecter au domaine de répertoire doivent être configurés pour se connecter via LDAP. Pour faire migrer un domaine de répertoire partagé d’un serveur de NetInfo vers LDAP : 1 Ouvrez Admin Serveur et sélectionnez Open Directory pour un serveur maître Open Directory dans la liste des Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages (vers le bas de la fenêtre), puis cliquez sur Protocoles (vers le haut). 3 Choisissez Migration NetInfo dans le menu local Configurer. 4 Cliquez sur Migrer et définissez des options de migration. Nom abrégé de l’administrateur : Le nom abrégé d’un compte d’administrateur du domaine de répertoire local du serveur que vous voulez copier vers le répertoire LDAP migré. Ce compte sera un administrateur du domaine de répertoire LDAP. Mot de passe d’administrateur : Le mot de passe du compte d’administrateur pour lequel vous avez entré le nom abrégé. Nom de domaine Kerberos : Par convention, le nom de domaine Kerberos est identique au nom DNS du serveur, mais s’écrit en lettres capitales. Par exemple, un serveur dont le nom DNS est exemple.com aurait un nom de domaine Kerberos EXEMPLE.COM.Chapitre 5 Configuration des services Open Directory 77 Base de recherche (en option) : Le suffixe de la base de recherche pour le répertoire LDAP migré. Généralement, le suffixe de la base de recherche provient du nom DNS du serveur. Ainsi, le suffixe de la base de recherche pourrait être “dc=exemple, dc=com” pour un serveur dont le nom DNS est serveur.exemple.com. Faire basculer les clients existants NetInfo sur LDAP : permet aux ordinateurs clients disposant de la version 10.3 de Mac OS X ou Mac OS X Server de se reconfigurer automatiquement pour accéder au domaine de répertoire migré en utilisant LDAP au lieu de NetInfo. Arrêter le serveur NetInfo à 2:00 le __ : tapez la date à laquelle vous souhaitez mettre fin à l’accès NetInfo au domaine de répertoire migré. Après la désactivation de NetInfo, tous les ordinateurs doivent utiliser LDAP pour accéder au domaine de répertoire migré. 5 Cliquez sur OK pour lancer la migration. Le processus de migration peut durer un certain temps. 6 Lorsque la migration est terminée, configurez le service DHCP pour qu’il fournisse l’adresse du serveur LDAP aux ordinateurs clients disposant de politiques de recherche automatique. Les ordinateurs disposant de la version 10.2 de Mac OS X ou Mac OS X Server peuvent avoir des politiques de recherche automatique. Ces ordinateurs n’ont pas besoin d’être configurés individuellement pour accéder au serveur LDAP. Lorsque ces ordinateurs démarrent, ils tentent d’obtenir une adresse d’un serveur LDAP à partir du service DHCP. Pour obtenir des instructions sur la configuration du service DHCP afin qu’il fournisse une adresse de serveur LDAP, consultez le guide d’administration des services réseau. Bascule de l’accès au répertoire de NetInfo vers LDAP Après la migration d’un domaine de répertoire partagé de Mac OS X Server de NetInfo vers LDAP, certains clients basculeront automatiquement vers LDAP, mais il se peut que vous ayez à configurer d’autres clients pour qu’ils utilisent LDAP et à reconfigurer le service DHCP. • Les ordinateurs disposant d’une politique de recherche automatique obtiennent l’adresse de leur serveur de répertoires via le service DHCP. Vous devez donc modifier le service DHCP pour qu’il fournisse l’adresse du serveur de répertoires LDAP migré. • Les ordinateurs disposant de la version 10.3 de Mac OS X Server qui utilisaient NetInfo pour accéder au domaine de répertoire migré peuvent basculer automatiquement vers LDAP. La bascule automatique doit être activée au moment de la migration du domaine de répertoire de NetInfo vers LDAP. Mac OS X ne peut plus basculer automatiquement vers LDAP après la désactivation de NetInfo sur le serveur du domaine de répertoire migré. • Vous pouvez faire basculer manuellement un ordinateur Mac OS X vers LDAP en utilisant l’application Format de répertoire. 78 Chapitre 5 Configuration des services Open Directory • Vous pouvez configurer l’ordinateur pour qu’il utilise une politique de recherche d’authentification automatique. Dans ce cas, il vous faut également configurer le service DHCP pour qu’il fournisse à ses clients l’adresse du serveur de répertoires LDAP migré. • Il vous est également possible de définir une configuration LDAPv3 sur l’ordinateur et de l’ajouter à la politique de recherche d’authentification personnalisée de l’ordinateur. • Après la désactivation de NetInfo sur le serveur, assurez-vous que DHCP ne fournit pas l’adresse du serveur pour la liaison NetInfo. Pour plus d’informations, consultez les sections “Migration d’un domaine de répertoire de NetInfo vers LDAP” à la page 75, “Configuration des politiques de recherche d’authentification et de contacts” à la page 97 et “Accès aux répertoires LDAP” à la page 100, ainsi que le chapitre du guide d’administration des services réseau consacré à DHCP. Désactivation de NetInfo après la migration vers LDAP Si aucun des ordinateurs clients de votre réseau n’a besoin de l’accès NetInfo à un domaine de répertoire qui a été migré vers LDAP, vous pouvez désactiver NetInfo à l’aide d’Admin Serveur. Vous pouvez désactiver manuellement le serveur NetInfo, même si vous avez programmé un arrêt du serveur NetInfo lors de la configuration de la migration vers LDAP. Important: ne désactivez pas NetInfo prématurément. Après la désactivation de NetInfo, tous les ordinateurs qui ont besoin de se connecter au domaine de répertoire doivent être configurés pour y parvenir en utilisant LDAP. Pour désactiver l’accès NetInfo à un domaine de répertoire ayant fait l’objet d’une migration vers LDAP : 1 Ouvrez Admin Serveur et sélectionnez Open Directory pour un serveur maître Open Directory dans la liste des Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages (vers le bas de la fenêtre), puis sur Protocoles (vers le haut). 3 Choisissez Migration NetInfo dans le menu local Configurer. 4 Cliquez sur Désactiver NetInfo. Cette action a pour effet la désactivation immédiate de l’accès de NetInfo au domaine de répertoire. Vous ne pouvez pas annuler cette action. 6 79 6 Gestion de l’authentification d’utilisateur Les services d’authentification inclus avec Mac OS X Server ne requièrent aucune configuration. Vous pouvez cependant changer le mode d’authentification de chaque utilisateur. Voici les différents types d’authentification d’utilisateurs employés par Mac OS X Server : • Utilisation de la signature unique à l’aide du centre de distribution de clés Kerberos intégré à Mac OS X Server. • Utilisation d’un mot de passe stocké de manière sûre dans la base de données du serveur de mots de passe Open Directory. • Utilisation d’un mot de passe shadow stocké sous forme de plusieurs empreintes, y compris NT et LAN Manager, dans un fichier auquel seul l’utilisateur root peut accéder. • Utilisation d’un mot de passe crypté, stocké directement dans le compte de l’utilisateur. • Utilisation d’un serveur LDAP non-Apple pour l’authentification par liaison LDAP simple. L’authentification par signature unique et Kerberos requièrent une légère configuration de Mac OS X Server. Les autres possibilités d’authentification ne demandent aucune configuration de Mac OS X Server. Vous pouvez gérer la manière dont Mac OS X Server utilise les options disponibles pour authentifier les utilisateurs. Pour trouver les descriptions des tâches et des instructions, reportez-vous à : • “Composition d’un mot de passe” à la page 80. • “Modification du mot de passe d’un utilisateur” à la page 80. • “Réinitialisation des mots de passe de plusieurs utilisateurs” à la page 81. • “Changement de politique de mot de passe globale” à la page 82. • “Configuration des politiques de mots de passe d’utilisateurs individuels” à la page 83. • “Modification du type de mot de passe d’un utilisateur” à la page 84.80 Chapitre 6 Gestion de l’authentification d’utilisateur Vous y trouverez notamment comment convertir le type de mot de passe en Open Directory, mot de passe shadow ou mot de passe crypté et comment activer l’authentification par signature unique, Kerberos ou liaison LDAP. • “Attribution de droits d’administrateur pour l’authentification Open Directory” à la page 89. • “Exportation et importation d’utilisateurs dont le type de mot de passe est Open Directory” à la page 89. • “Migration de mots de passe vers l’authentification Open Directory” à la page 90. Composition d’un mot de passe Le mot de passe associé à un compte d’utilisateur doit être saisi par l’utilisateur lorsqu’il s’authentifie pour ouvrir une session ou pour d’autres services. Le mot de passe est sensible à la casse (hormis les mots de passe de gestionnaire de réseau local SMB). Il est masqué à l’écran pendant sa saisie. Quel que soit le type de mot de passe choisi pour un utilisateur, voici quelques directives à suivre pour la composition d’un mot de passe d’utilisateur de Mac OS X Server : • Les mots de passe doivent contenir des lettres, des chiffres et des symboles et former des combinaisons difficiles à deviner par les utilisateurs non autorisés. Ils ne doivent pas être constitués de mots réels. Les bons mots de passe associent des chiffres et des symboles (comme # ou $). Ils peuvent également être composés en juxtaposant la première lettre de tous les mots d’une phrase particulière. Utilisez une combinaison de lettres minuscules et majuscules. • Évitez les espaces ainsi que les caractères obtenus à l’aide de la touche Option. • Évitez les caractères impossibles à saisir sur les ordinateurs dont se servira l’utilisateur ou qui réclament, sur d’autres claviers et plates-formes, l’emploi d’une combinaison de touches spéciale. • Certains protocoles réseau n’acceptent pas les mots de passe contenant des espaces initiaux, des espaces incorporés ou des espaces finaux. • Un mot de passe vide n’est pas recommandé ; Open Directory et certains systèmes (comme la liaison LDAP) ne l’acceptent pas. Pour une compatibilité maximale avec les ordinateurs et services que vos utilisateurs sont susceptibles d’exploiter, utilisez uniquement des caractères ASCII dans vos mots de passe. Modification du mot de passe d’un utilisateur À l’aide de Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez changer le mot de passe d’un utilisateur. Chapitre 6 Gestion de l’authentification d’utilisateur 81 Pour changer le mot de passe d’un utilisateur : 1 Dans Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur le bouton Comptes, puis sur le bouton Utilisateur. 2 Ouvrez le domaine de répertoire contenant le compte d’utilisateur dont vous voulez changer le mot de passe et authentifiez-vous en tant qu’administrateur du domaine. Pour ouvrir un domaine de répertoire, cliquez sur l’icône de globe au-dessus de la liste des utilisateurs, puis choisissez un domaine dans le menu local. Si le type du mot de passe de l’utilisateur est Open Directory, vous devez vous authentifier en tant qu’administrateur dont le type de mot de passe est Open Directory. 3 Sélectionnez le compte du mot de passe à changer. 4 Tapez un mot de passe dans le panneau Élémentaire, puis cliquez sur Enregistrer. 5 Indiquez à l’utilisateur le nouveau mot de passe à employer pour ouvrir une session. Une fois que l’utilisateur a ouvert une session sous Mac OS X à l’aide du nouveau mot de passe, il peut le modifier en cliquant sur Comptes dans Préférences Système. Si vous changez le mot de passe d’un compte dont le type de mot de passe est Open Directory et que ce compte réside dans le répertoire LDAP d’une réplique ou d’un maître Open Directory, le changement sera synchronisé avec le maître et toutes ses répliques. Mac OS X Server synchronise automatiquement les modifications de mots de passe Open Directory entre un maître et ses répliques. Réinitialisation des mots de passe de plusieurs utilisateurs À l’aide de Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez sélectionner en même temps plusieurs comptes utilisateurs et les modifier pour qu’ils prennent tous le même type de mot de passe et le même mot de passe temporaire. Pour changer le type de mot de passe et le mot de passe de plusieurs comptes d’utilisateurs : 1 Dans Gestionnaire de groupe de travail, cliquez sur le bouton Comptes, puis sur le bouton Utilisateur. 2 Ouvrez le domaine de répertoire contenant le compte d’utilisateur dont vous voulez réinitialiser les types de mot de passe et les mots de passe, puis authentifiez-vous en tant qu’administrateur du domaine. Pour ouvrir un domaine de répertoire, cliquez sur l’icône de globe au-dessus de la liste des utilisateurs, puis choisissez un domaine dans le menu local. Si vous voulez régler le type de mot de passe sur Open Directory, vous devez vous authentifier en tant qu’administrateur dont le type de mot de passe est Open Directory.82 Chapitre 6 Gestion de l’authentification d’utilisateur 3 Cliquez sur les comptes d’utilisateurs en maintenant les touches Commande ou Maj pour sélectionner ceux dont le type de mot de passe doit être changé. 4 Tapez un mot de passe dans le panneau Élémentaire, puis réglez l’option “Type du mot de passe” dans le panneau Avancé. 5 Cliquez sur Enregistrer. 6 Indiquez aux utilisateurs le mot de passe temporaire, de sorte qu’ils puissent ouvrir une session. Après avoir ouvert une session à l’aide du mot de passe temporaire, un utilisateur peut changer le mot de passe en cliquant sur Comptes dans Préférences Système. Si vous changez le mot de passe de comptes dont le type de mot de passe est Open Directory et que ces comptes résident dans le répertoire LDAP d’une réplique ou d’un maître Open Directory, le changement sera synchronisé avec le maître et toutes ses répliques. Mac OS X Server synchronise automatiquement les modifications de mots de passe Open Directory entre un maître et ses répliques. Changement de politique de mot de passe globale Admin Serveur vous permet de définir une politique de mot de passe globale pour les comptes d’utilisateurs d’un domaine de répertoire Mac OS X Server. La politique de mot de passe globale affecte les comptes d’utilisateurs du domaine de répertoire local du serveur. Si le serveur est un maître ou une réplique Open Directory, la politique de mot de passe globale affecte également le domaine de répertoire LDAP du serveur. Si vous changez la politique de mot de passe globale sur une réplique Open Directory, les réglages de la politique seront synchronisés avec le maître et toutes ses autres répliques. Les serveurs de mots de passe Kerberos et Open Directory appliquent les politiques de mot de passe. Certaines règles de politiques de mot de passe s’appliquent aux serveurs de mots de passe Open Directory et Kerberos, d’autres s’appliquent uniquement au serveur de mots de passe Open Directory. Mac OS X Server synchronise les règles de politiques de mot de passe qui s’appliquent tant aux serveurs de mots de passe Kerberos qu’Open Directory. Les administrateurs de comptes ne sont pas affectés par les politiques de mot de passe. Chaque utilisateur peut avoir une politique de mot de passe individuelle qui redéfinit certains réglages de la politique de mot de passe globale. Pour plus d’informations, consultez la section “Configuration des politiques de mots de passe d’utilisateurs individuels” à la page 83. Chapitre 6 Gestion de l’authentification d’utilisateur 83 Pour changer la politique de mot de passe globale de tous les comptes d’utilisateurs du même domaine : 1 Ouvrez Admin Serveur et sélectionnez Open Directory pour un des serveurs de la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Réglages (en bas de la fenêtre), puis sur Authentification (en haut). 3 Validez les options de politique de mot de passe à appliquer aux utilisateurs qui ne disposent pas de politique de mot de passe propre. “Désactiver l’ouverture de session le __” : si vous sélectionnez cette option, tapez une date au format jj/mm/aaaa ; par exemple, 22/02/2005. “Le mot de passe doit être changé tous les __” : avant de sélectionner cette option, sachez que certains protocoles de service n’autorisent pas les utilisateurs à modifier leur mot de passe. Ainsi, les utilisateurs ne peuvent pas modifier leur mot de passe lorsqu’ils s’authentifient pour le service de courrier IMAP ou pour le service de fichiers Windows. 4 Cliquez sur Enregistrer. Les répliques du maître Open Directory héritent automatiquement de sa politique de mot de passe globale. Configuration des politiques de mots de passe d’utilisateurs individuels À l’aide de Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez configurer des politiques de mots de passe pour des comptes d’utilisateurs individuels dont le type de mot de passe est Open Directory. La politique de mot de passe d’un utilisateur l’emporte sur la politique de mot de passe globale définie dans le panneau Réglages d’authentification du service Open Directory dans Admin Serveur. Les administrateurs de comptes ne sont pas affectés par les politiques de mot de passe. Les serveurs de mots de passe Kerberos et Open Directory appliquent les politiques de mot de passe. Certaines règles de politiques de mot de passe s’appliquent aux serveurs de mots de passe Open Directory et Kerberos, d’autres s’appliquent uniquement au serveur de mots de passe Open Directory. Mac OS X Server synchronise les règles de politiques de mot de passe qui s’appliquent aux serveurs de mots de passe Kerberos et Open Directory.84 Chapitre 6 Gestion de l’authentification d’utilisateur Pour configurer la politique de mot de passe d’un compte d’utilisateur, vous devez posséder des droits d’administrateur pour l’authentification Open Directory dans le domaine de répertoire contenant les comptes d’utilisateurs dont vous voulez changer la politique de mot de passe. Cela veut dire que vous devez vous authentifier en tant qu’administrateur de domaine de répertoire dont le type de mot de passe est Open Directory. Pour plus d’informations, consultez la section “Attribution de droits d’administrateur pour l’authentification Open Directory” à la page 89. Pour changer la politique de mot de passe d’un compte d’utilisateur : 1 Dans Gestionnaire de groupes de travail, ouvrez le compte à utiliser (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte, cliquez sur le bouton Comptes, puis sur le bouton Utilisateurs. Cliquez sur l’icône de globe située au-dessus de la liste des utilisateurs, puis utilisez le menu local pour ouvrir le domaine de répertoire où réside le compte de l’utilisateur. Cliquez sur le cadenas, puis authentifiez-vous en tant qu’administrateur de domaine de répertoire dont le type de mot de passe est Open Directory. Sélectionnez ensuite l’utilisateur dans la liste. 2 Cliquez sur Avancé, puis sur Options. Vous ne pouvez cliquer sur Options que si le type de mot de passe est Open Directory. 3 Modifiez les options de politique de mot de passe, puis cliquez sur OK. “Désactiver l’ouverture de session le __” : si vous sélectionnez cette option, tapez une date au format jj/mm/aaaa ; par exemple, 22/02/2005. “Modification requise tous les __ jours” : avant de sélectionner cette option, sachez que certains protocoles de services n’autorisent pas les utilisateurs à changer les mots de passe. Les utilisateurs ne peuvent, par exemple, pas changer leur mot de passe lors de l’authentification pour le service de courrier IMAP. L’identifiant de mot de passe est un nombre unique à 128 bits attribué lors de la création du mot de passe dans la base de données du serveur de mots de passe Open Directory. Il peut s’avérer utile en cas de dépannage, puisqu’il apparaît dans l’historique du serveur de mot de passe lorsqu’un problème se produit. Pour afficher cet historique Open Directory, ouvrez Admin Serveur. 4 Cliquez sur Enregistrer. Modification du type de mot de passe d’un utilisateur Voici les types de mot de passe disponibles dans le panneau Avancé de Gestionnaire de groupe de travail : • Open Directory • Mot de passe shadow • Mot de passe cryptéChapitre 6 Gestion de l’authentification d’utilisateur 85 Le réglage du type de mot de passe d’un utilisateur sur Open Directory active plusieurs méthodes d’authentification héritées, ainsi que la signature unique et Kerberos si le compte de l’utilisateur est dans un répertoire LDAP. Vous pouvez également permettre à un compte d’utilisateur d’employer l’authentification par liaison LDAP simple. Pour plus d’explications sur les options d’authentification, consultez le chapitre 3, “Authentification d’utilisateur à l’aide d’Open Directory”. Choix du type de mot de passe Open Directory Gestionnaire de groupe de travail vous permet de spécifier qu’Open Directory doit être utilisé pour l’authentification d’un ou plusieurs comptes d’utilisateurs stockés dans le domaine de répertoire local ou le domaine de répertoire LDAP de Mac OS X Server. Par ailleurs, vous pouvez spécifier qu’Open Directory soit utilisé pour l’authentification des comptes d’utilisateurs de tout domaine de répertoire LDAP ou NetInfo résidant sur un serveur doté de Mac OS X Server version 10.2. Le type de mot de passe Open Directory accepte la signature unique utilisant l’authentification Kerberos. Il accepte aussi les protocoles d’authentification SASL (Simple Authentication and Security Layer) : APOP, CRAM-MD5, DHX, Digest-MD5, MS-CHAPv2, SMB-NT, SMB-LAN Manager et WebDAV-Digest. Pour régler le type de mot de passe d’un compte d’utilisateur sur Open Directory, vous devez posséder des droits d’administrateur pour l’authentification Open Directory dans le domaine de répertoire contenant le compte d’utilisateur. Cela veut dire que vous devez vous authentifier en tant qu’administrateur de domaine de répertoire avec type de mot de passe Open Directory. Pour plus d’informations, consultez la section “Attribution de droits d’administrateur pour l’authentification Open Directory” à la page 89. Pour indiquer qu’un compte d’utilisateur doit s’authentifier via Open Directory : 1 Assurez-vous que le compte réside dans un domaine de répertoire qui gère l’authentification Open Directory. Les domaines de répertoires sur Mac OS X Server version 10.3 gèrent l’authentification Open Directory, de même que les domaines de répertoires sur Mac OS X Server version 10.2 configurés pour utiliser un serveur de mot de passe. 2 Dans Gestionnaire de groupes de travail, ouvrez le compte à utiliser (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte, cliquez sur le bouton Comptes, puis sur le bouton Utilisateurs. Cliquez sur l’icône de globe au-dessus de la liste des utilisateurs, puis utilisez le menu local pour ouvrir le domaine de répertoire où réside le compte de l’utilisateur. Cliquez sur le cadenas et authentifiez-vous en tant qu’administrateur de domaine de répertoire avec type de mot de passe Open Directory. Sélectionnez ensuite l’utilisateur dans la liste. 3 Cliquez sur Avancé, puis choisissez Open Directory dans le menu local Type du mot de passe.86 Chapitre 6 Gestion de l’authentification d’utilisateur 4 Si vous avez changé le type du mot de passe de l’utilisateur, il vous sera demandé de taper et de confirmer un nouveau mot de passe. Si vous travaillez avec un nouvel utilisateur, tapez son mot de passe dans le champ Mot de passe du panneau Élémentaire, puis confirmez-le dans le champ Vérifier. Le mot de passe ne doit pas contenir plus de 512 octets (jusqu’à 512 caractères, bien que le protocole d’authentification réseau puisse imposer d’autres limites ; par exemple, 128 caractères pour SMB-NT et 14 pour SMB-LAN Manager. Le guide de gestion des utilisateurs présente des recommandations pour le choix des mots de passe). 5 Dans le panneau Avancé, cliquez sur Options pour configurer la politique de mot de passe de l’utilisateur, puis sur OK lorsque vous avez terminé de choisir vos options. Si vous sélectionnez l’option “Désactiver connexion à partir de”, tapez une date au format JJ/MM/AAAA ; par exemple, 22/02/2004. Si vous utilisez une politique qui nécessite un changement de mot de passe d’utilisateur, rappelons que tous les protocoles n’acceptent pas la modification de mots de passe. Par exemple, les utilisateurs ne peuvent changer leur mot de passe lors d’une authentification au service de courrier IMAP. L’identifiant de mot de passe est un nombre unique à 128 bits attribué lors de la création du mot de passe dans la base de données du serveur de mots de passe Open Directory. Il peut se révéler utile en cas de dépannage, puisqu’il apparaît dans l’historique de serveur de mot de passe lorsqu’un problème se produit. Pour afficher cet historique Open Directory, ouvrez Admin Serveur. 6 Cliquez sur Enregistrer. Choix du type de mot de passe crypté À l’aide de Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez spécifier qu’un mot de passe crypté sera utilisé pour l’authentification d’un ou plusieurs comptes d’utilisateurs stockés dans un domaine de répertoire LDAP ou NetInfo. Le domaine de répertoire LDAP peut se trouver sur n’importe quel serveur, mais il ne peut s’agir d’un répertoire en lecture seule. Le domaine NetInfo peut résider sur n’importe quel Mac OS X Server. Le mot de passe crypté est stocké sous forme de valeur cryptée (ou empreinte) dans le compte d’utilisateur. Le mot de passe crypté étant facilement accessible à partir du domaine de répertoire, il est sujet aux attaques hors connexion et par conséquent est moins sûr que les autres types de mot de passe. Pour indiquer qu’un compte d’utilisateur doit être authentifié à l’aide d’un mot de passe crypté : 1 Dans Gestionnaire de groupes de travail, ouvrez le compte à utiliser (si ce n’est déjà fait).Chapitre 6 Gestion de l’authentification d’utilisateur 87 Pour ouvrir un compte, cliquez sur le bouton Comptes, puis sur le bouton Utilisateurs. Cliquez sur l’icône de globe au-dessus de la liste des utilisateurs, puis utilisez le menu local pour ouvrir le domaine de répertoire où se trouve le compte de l’utilisateur. Cliquez sur le cadenas et authentifiez-vous en tant qu’administrateur de domaine de répertoire. Sélectionnez ensuite l’utilisateur dans la liste. 2 Cliquez sur Avancé, puis choisissez “Mot de passe crypté” dans le menu local Type du mot de passe. 3 Si vous avez changé le type du mot de passe de l’utilisateur, il vous sera demandé d’entrer et confirmer un nouveau mot de passe. Si vous travaillez avec une nouvelle utilisateur, entrez son mot de passe dans la case Mot de passe du panneau Élémentaire, puis de nouveau dans le champ Vérifier. La longueur maximale d’un mot de passe crypté est de huit octets (huit caractères ASCII). Si vous tapez un mot de passe plus long, seuls les huit premiers octets seront utilisés. 4 Cliquez sur Enregistrer. Choix du type de mot de passe shadow Gestionnaire de groupe de travail vous permet d’indiquer qu’un utilisateur dispose d’un mot de passe shadow stocké dans un fichier sécurisé en dehors du domaine de répertoire. Seuls les utilisateurs dont les comptes résident dans le domaine de répertoire local peuvent disposer d’un mot de passe shadow. Pour indiquer qu’un compte d’utilisateur s’authentifie à l’aide d’un mot de passe shadow : 1 Dans Gestionnaire de groupes de travail, ouvrez le compte à utiliser (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte, cliquez sur le bouton Comptes, puis sur le bouton Utilisateurs. Cliquez sur l’icône de globe au-dessus de la liste des utilisateurs, puis choisissez dans le menu local le domaine de répertoire local où se trouve le compte de l’utilisateur. Cliquez sur le cadenas et authentifiez-vous en tant qu’administrateur de domaine de répertoire. Sélectionnez ensuite l’utilisateur dans la liste. 2 Cliquez sur Avancé, puis choisissez Mot de passe Shadow dans le menu local Type du mot de passe. 3 Si vous avez changé le type du mot de passe de l’utilisateur, il vous sera demandé d’entrer et confirmer un nouveau mot de passe. Si vous travaillez avec une nouvelle utilisateur, entrez son mot de passe dans la case Mot de passe du panneau Élémentaire, puis de nouveau dans le champ Vérifier. 4 Cliquez sur Enregistrer.88 Chapitre 6 Gestion de l’authentification d’utilisateur Activation de l’authentification d’un utilisateur par signature unique L’authentification par signature unique d’un compte d’utilisateur de répertoire LDAP Mac OS X Server version 10.3 s’opère en utilisant le panneau Avancé de Gestionnaire de groupe de travail pour régler le type de mot de passe du compte sur Open Directory. La signature unique est une caractéristique de l’authentification Kerberos. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Choix du type de mot de passe Open Directory” à la page 85. Activation de l’authentification Kerberos pour un utilisateur L’activation de l’authentification Kerberos pour un compte d’utilisateur d’un répertoire LDAP de Mac OS X Server version 10.3 s’opère en réglant le type de mot de passe du compte sur Open Directory dans le panneau Avancé de Gestionnaire de groupe de travail. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Choix du type de mot de passe Open Directory” à la page 85. Activation de l’authentification par liaison LDAP pour un utilisateur Vous pouvez utiliser Gestionnaire de groupe de travail pour activer l’emploi de l’authentification par liaison LDAP d’un compte d’utilisateur stocké dans un domaine de répertoire LDAP. Cette technique de validation de mot de passe se fie au serveur LDAP contenant le compte d’utilisateur pour authentifier le mot de passe de l’utilisateur. Pour activer l’authentification des utilisateurs Bind LDAP via Gestionnaire de groupes de travail : 1 Assurez-vous que le compte d’utilisateur dont vous souhaitez valider le mot de passe par liaison LDAP réside sur un serveur LDAP dans le chemin de recherche de l’ordinateur Mac OS X qui doit valider le mot de passe. Pour plus d’informations sur la configuration des connexions de serveur LDAP, consultez la section “Accès aux répertoires LDAP” à la page 100. Lors de la configuration de la connexion, ne procédez pas à la mise en correspondance de l’attribut de mot de passe : l’authentification Bind s’effectue automatiquement. De plus, configurez la connexion de façon à utiliser SSL pour protéger le mot de passe, transmis en clair. 2 Dans Gestionnaire de groupes de travail, ouvrez le compte à utiliser (si ce n’est déjà fait). Pour ouvrir un compte, cliquez sur le bouton Comptes, puis sur le bouton Utilisateurs. Cliquez sur l’icône de globe au-dessus de la liste des utilisateurs, puis choisissez dans le menu local le domaine de répertoire LDAP où se trouve le compte de l’utilisateur. Cliquez sur le cadenas et authentifiez-vous en tant qu’administrateur de domaine de répertoire. Sélectionnez ensuite l’utilisateur dans la liste des utilisateurs.Chapitre 6 Gestion de l’authentification d’utilisateur 89 3 Dans le panneau Avancé, choisissez “Crypter le mot de passe” dans le menu local Type du mot de passe. 4 Dans le panneau Élémentaire, assurez-vous que le champ Mot de passe est vide. 5 Cliquez sur Enregistrer. Attribution de droits d’administrateur pour l’authentification Open Directory Vous ne pouvez modifier les réglages d’authentification Open Directory dans Gestionnaire de groupe de travail que si vous vous authentifiez en tant qu’administrateur du domaine de répertoire contenant les comptes d’utilisateurs que vous désirez modifier. L’administrateur doit en outre utiliser l’authentification Open Directory. Ces restrictions renforcent la protection des mots de passe stockés dans le centre de distribution de clés Kerberos et dans la base de données du serveur de mots de passe Open Directory. Consultez la section “Choix du type de mot de passe Open Directory” à la page 85. Pour plus d’instructions sur l’attribution de droits d’administrateur pour un domaine de répertoire, lisez le chapitre du guide de gestion des utilisateurs concernant les comptes d’utilisateurs. N’utilisez pas le bouton Options du panneau Avancé pour configurer les politiques de mot de passe des administrateurs de domaine de répertoire. Les politiques de mot de passe n’affectent pas les comptes d’administrateur. Les administrateurs de domaines de répertoires doivent pouvoir changer les politiques de mot de passe des comptes d’utilisateurs individuels. Exportation et importation d’utilisateurs dont le type de mot de passe est Open Directory Lorsque vous exportez des comptes d’utilisateurs dont le type de mot de passe est réglé sur Open Directory, les mots de passe ne sont pas exportés. Cela assure la sécurité de la base de données du serveur de mots de passe Open Directory. Avant l’importation, vous pouvez ouvrir le fichier des utilisateurs exportés dans un tableur et prédéfinir leurs mots de passe, qu’ils pourront modifier lors de leur prochaine ouverture de session. Après l’importation, vous disposez de deux possibilités pour définir les mots de passe des comptes des utilisateurs importés : • Vous pouvez affecter à tous les comptes d’utilisateurs importés un mot de passe temporaire, que chacun pourra changer lors de sa prochaine fois ouverture de session. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Réinitialisation des mots de passe de plusieurs utilisateurs” à la page 81.90 Chapitre 6 Gestion de l’authentification d’utilisateur • Vous pouvez définir individuellement le mot de passe de chaque compte d’utilisateur importé dans le panneau Élémentaire de Gestionnaire de groupe de travail. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Modification du type de mot de passe d’un utilisateur” à la page 84. Exportation et importation d’utilisateurs Gestionnaire d’authentification Lorsque vous exportez des comptes d’utilisateurs possédant des mots de passe cryptés à partir d’un domaine NetInfo pour lequel Gestionnaire d’authentification est activé, les mots de passe ne sont pas exportés. Après importation vers un domaine de répertoire de Mac OS X Server version 10.3, vous avez deux possibilités pour définir les mots de passe des comptes d’utilisateurs importés : • Vous pouvez affecter à tous les comptes d’utilisateurs importés un mot de passe temporaire que chacun pourra changer lors de sa prochaine fois ouverture de session. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Réinitialisation des mots de passe de plusieurs utilisateurs” à la page 81. • Vous pouvez définir individuellement le mot de passe de chaque compte d’utilisateur importé dans le panneau Élémentaire de Gestionnaire de groupe de travail. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Modification du type de mot de passe d’un utilisateur” à la page 84. Gestionnaire d’authentification est une technologie héritée pour la validation sécurisée des mots de passe. Gestionnaire d’authentification ne fonctionne que pour les comptes d’utilisateurs créés dans un domaine NetInfo de serveur Mac OS X Server versions 10.0 à 10.2. Gestionnaire d’authentification doit avoir été activé pour le domaine NetInfo. Pour plus d’informations, consultez l’annexe C, “Gestionnaire d’authentification”. Migration de mots de passe vers l’authentification Open Directory Il est possible de faire migrer les comptes d’utilisateurs de versions antérieures de Mac OS X Server en important les enregistrements des comptes ou en mettant à jour le serveur où ils résident. Les comptes d’utilisateurs créés avec Mac OS X Server versions 10.1 ou antérieures n’ont pas d’attribut d’autorité d’authentification mais possèdent des mots de passe cryptés. Pour conserver la compatibilité avec ces comptes d’utilisateurs, Mac OS X Server versions 10.2 et ultérieures considère qu’un compte d’utilisateur sans attribut d’autorité d’authentification possède un mot de passe crypté. Chapitre 6 Gestion de l’authentification d’utilisateur 91 Si vous importez des comptes d’utilisateurs de Mac OS X Server versions 10.1 ou antérieures, ces comptes ne possèdent pas d’attribut d’autorité d’authentification. Par conséquent, ils sont configurés initialement pour disposer de mots de passe cryptés. Une annexe du guide de gestion des utilisateurs décrit comment importer des comptes d’utilisateurs. De même, si vous opérez une mise à jour à partir de Mac OS X Server version 10.1 ou antérieure, les comptes d’utilisateurs créés avant la mise à jour ne possèdent pas d’attribut d’autorité d’authentification. Après leur mise à niveau, ces comptes sont supposés disposer de mots de passe cryptés. Il est possible de continuer à utiliser tous les mots de passe cryptés existants après leur importation ou mise à niveau. Vous pouvez également modifier les comptes d’utilisateurs pour employer l’authentification Open Directory. Vous pouvez modifier des comptes d’utilisateurs individuels ou plusieurs comptes d’utilisateurs à l’aide de Gestionnaire de groupe de travail. La modification du type de mot de passe d’un compte d’utilisateur réinitialise son mot de passe. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Choix du type de mot de passe Open Directory” à la page 85. Certains comptes d’utilisateurs créés avec Mac OS X Server version 10.1 ou antérieure peuvent utiliser Gestionnaire d’authentification. Il s’agit d’une technologie héritée pour l’authentification des utilisateurs de service de fichiers Windows et Apple dont les ordinateurs Mac OS 8 n’ont pas été mis à niveau avec le logiciel client AFP version 3.8.3 ou ultérieure. Lors de la migration d’utilisateurs Gestionnaire d’authentification, vous disposez des possibilités suivantes : • Si vous mettez d’abord à niveau le serveur Mac OS X Server version 10.1 avec la version 10.2 puis la version 10.3, les utilisateurs pourront continuer à employer leurs mots de passe. • Vous pouvez changer tout ou partie des comptes d’utilisateurs mis à niveau pour qu’ils emploient l’authentification Open Directory, option préférable pour l’authentification des utilisateurs Windows. Les utilisateurs des deux types peuvent coexister dans le même domaine de répertoire. • Si vous importez des comptes d’utilisateurs qui utilisent Gestionnaire d’authentification, ils seront convertis pour l’authentification Open Directory pendant l’importation.7 93 7 Gestion de Format de répertoire Vous pouvez utiliser Format de répertoire pour configurer et gérer le mode d’accès aux services de répertoire et de détection des services réseau d’un ordinateur doté de Mac OS X ou d’un serveur doté de Mac OS X Server. Pour les descriptions et les instructions sur les tâches de configuration et de gestion, reportez-vous à : • “Configuration de services dans Format de répertoire” à la page 93. • “Configuration des politiques de recherche d’authentification et de contacts” à la page 97. • “Accès aux répertoires LDAP” à la page 100. • “Accès à un domaine Active Directory” à la page 111. • “Accès à un domaine NIS” à la page 119. • “Utilisation de fichiers de configuration BSD” à la page 120. • “Accès aux domaines NetInfo hérités” à la page 121. • “Configuration de Format de répertoire sur un serveur distant” à la page 125. Configuration de services dans Format de répertoire Format de répertoire énumère les différentes catégories de services auxquelles Mac OS X peut accéder. La liste inclut les services de répertoires qui donnent à Mac OS X accès aux informations d’utilisateur et autres données administratives stockées dans les domaines de répertoire. La liste comporte également les types de services réseau que Mac OS X est capable de détecter sur le réseau. Vous pouvez activer ou désactiver l’accès à chaque type de service. Si vous désactivez un type de service dans Format de répertoire, Mac OS X ne peut plus accéder aux services de ce type. Cependant, la désactivation d’un type de service dans Format de répertoire n’affecte pas la capacité de Mac OS X à employer ou à fournir des services de ce type. Par exemple, si vous désactivez Rendez-vous, Mac OS X ne l’utilise plus pour détecter les services de fichiers, mais vous gardez la possibilité de partager vos fichiers et de vous connecter à un serveur de fichiers dont vous connaissez l’adresse. 94 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire Activation ou désactivation du service Active Directory Vous pouvez utiliser Format de répertoire pour activer ou désactiver l’utilisation d’Active Directory sur un serveur Windows. Active Directory est le service de répertoire des serveurs Windows 2000 et 2003. Pour activer ou désactiver l’accès à Active Directory : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône de cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Cochez la case située en regard de Active Directory, puis cliquez sur Appliquer. Pour obtenir des instructions sur la configuration, consultez la section “Accès aux répertoires LDAP” à la page 100. Activation ou désactivation de la détection de services AppleTalk Vous pouvez utiliser Format de répertoire pour activer ou désactiver la détection des services réseau AppleTalk. AppleTalk est un protocole Mac OS hérité destiné aux services réseau de fichiers et d’impression. Certains ordinateurs utilisent AppleTalk pour partager des fichiers et certains serveurs l’utilisent pour les services de fichiers. De plus, certaines imprimantes partagées exploitent également AppleTalk. Pour activer ou désactiver la détection de services AppleTalk : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Cochez la case située en regard de AppleTalk, puis cliquez sur Appliquer. AppleTalk ne requiert aucune configuration. Activation ou désactivation de BSD fichier plat et des services de répertoires NIS Format de répertoire permet d’activer ou de désactiver l’utilisation de fichiers de configuration BSD et l’accès aux services de répertoires NIS (Network Information Service). Les fichiers de configuration BSD constituent la méthode d’origine pour accéder aux données administratives situées sur des ordinateurs UNIX. Certaines entreprises les utilisent encore. Certains serveurs UNIX utilisent NIS pour fournir des services de répertoires. Pour activer ou désactiver BSD fichier plat et les services de répertoires NIS : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Cochez la case située en regard de “BSD fichier plat et NIS”, puis cliquez sur Appliquer.Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 95 Pour obtenir des instructions sur la configuration, consultez la section “Accès à un domaine NIS” à la page 119 et “Utilisation de fichiers de configuration BSD” à la page 120. Activation ou désactivation des services de répertoires LDAP Format de répertoire permet d’activer ou de désactiver l’accès aux services de répertoires qui utilisent les versions 2 et 3 du protocole LDAP (Lightweight Directory Access Protocol). Un unique module externe Format de répertoire nommé LDAPv3 fournit l’accès aux deux versions LDAP, la 2 et la 3. (Le module externe LDAPv2 de Mac OS X version 10.2 n’est pas nécessaire avec Mac OS X version 10.3.) Mac OS X Server 10.3 et ultérieur fournit uniquement le service de répertoire LDAPv3 aux autres ordinateurs, y compris les ordinateurs Mac OS X. Mac OS X Server version 10.2 peut fournir le service de répertoire LDAPv3 aux autres ordinateurs (ainsi que le service de répertoire NetInfo). De nombreux autres serveurs fournissent également le service de répertoire LDAPv3 ; LDAPv3 est un standard ouvert, courant dans les réseaux mixtes composés de systèmes Macintosh, UNIX et Windows. Certains serveurs utilisent également la version antérieure, LDAPv2, pour fournir des services de répertoires. Pour activer ou désactiver les services de répertoires LDAP : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Cochez la case située en regard de LDAPv3, puis cliquez sur Appliquer. Pour obtenir des instructions sur la configuration, consultez la section “Accès aux répertoires LDAP” à la page 100. Activation ou désactivation des services de répertoires NetInfo Vous pouvez utiliser Format de répertoire pour activer ou désactiver l’accès aux domaines de répertoire NetInfo partagés. NetInfo est un service de répertoire hérité encore utilisé pour le domaine de répertoire local sur tous les ordinateurs Mac OS X, y compris Mac OS X Server. NetInfo peut également être utilisé pour un domaine de répertoire partagé de Mac OS X Server versions 10.2 et antérieures. La désactivation de NetInfo dans Format de répertoire ne désactive pas l’accès au domaine NetInfo local de l’ordinateur. Seul l’accès aux domaines NetInfo partagés peut être désactivé. Pour activer ou désactiver les services de répertoire NetInfo : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Cochez la case située en regard de NetInfo, puis cliquez sur Appliquer.96 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire Pour obtenir des instructions sur la configuration, consultez la section “Accès aux domaines NetInfo hérités” à la page 121. Activation ou désactivation de la détection de services Rendezvous Vous pouvez utiliser Format de répertoire pour activer ou désactiver la détection de certains services réseau Rendezvous. Par exemple, la désactivation de Rendezvous dans Format de répertoire empêche les serveurs de fichiers compatibles Rendezvous d’apparaître dans le globe Réseau du Finder. Cependant, la désactivation de Rendezvous dans Format de répertoire n’empêche ni l’affichage des imprimantes compatibles Rendezvous dans l’utilitaire Configuration d’imprimante, ni l’utilisation de Rendezvous par iTunes pour partager de la musique. Rendezvous est un protocole Apple servant à détecter des services de fichiers, d’impression et autres sur les réseaux IP (Internet Protocol). Pour activer ou désactiver la détection de services Rendezvous : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Cochez la case située en regard de Rendezvous, puis cliquez sur Appliquer. Rendezvous ne nécessite aucune configuration. Activation ou désactivation de la détection de services SLP Vous pouvez utiliser Format de répertoire pour activer ou désactiver la détection de services qui exploitent le protocole SLP (Service Location Protocol) pour se faire connaître sur le réseau. SLP est un standard ouvert pour la détection des services de fichier et d’impression sur les réseaux IP (Internet Protocol). Pour activer ou désactiver la détection de services SLP : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Cochez la case située en regard de SLP, puis cliquez sur Appliquer. SLP ne nécessite aucune configuration. Activation ou désactivation de la détection de services SMB Vous pouvez utiliser Format de répertoire pour activer ou désactiver la détection de services qui exploitent le protocole SMB (Server Message Block) pour se faire connaître sur le réseau. SMB est un protocole utilisé par Microsoft Windows pour les services de fichier et d’impression.Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 97 Pour activer ou désactiver la détection de services SMB : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Cochez la case située en regard de SMB, puis cliquez sur Appliquer. Pour obtenir des instructions sur la configuration, consultez la section “Configuration de la détection de services SMB” à la page 97. Configuration de la détection de services SMB Vous pouvez configurer la manière dont Mac OS X utilise le protocole SMB pour détecter les serveurs de fichiers Windows sur le réseau. Vous pouvez utiliser l’application Format de répertoire pour spécifier les informations suivantes : • Le groupe de travail Windows dont fait partie l’ordinateur • Un serveur WINS (Windows Internet Naming Service) sur le réseau Pour configurer la détection de serveurs de fichiers SMB Windows : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez SMB dans la liste de services, puis cliquez sur Configurer. 4 Dans le champ Groupe de travail, tapez un nom de groupe de travail ou sélectionnezen un dans la liste déroulante. La liste déroulante contient les noms des groupes de travail Windows dont font partie les autres ordinateurs du réseau. 5 Tapez le nom DNS ou l’adresse IP d’un serveur WINS qui fournit la résolution de noms NetBIOS pour le réseau, puis cliquez sur OK. Sur un réseau comportant des routeurs et plusieurs sous-réseaux, un serveur WINS permet de convertir les noms d’ordinateurs Windows en adresses IP. Si le réseau ne dispose pas d’un serveur WINS, laissez vide le champ Serveur WINS. Configuration des politiques de recherche d’authentification et de contacts Format de répertoire définit une politique de recherche d’authentification et une politique de recherche de contacts. • Mac OS X utilise la politique de recherche d’authentification pour localiser et récupérer, à partir des domaines de répertoire, les informations d’authentification d’utilisateur et d’autres données administratives. 98 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire • Mac OS X utilise la politique de recherche de contacts pour localiser et récupérer, à partir des domaines de répertoire, les noms, adresses et autres informations de contacts. Le Carnet d’adresses de Mac OS X utilise ces informations de contact. D’autres applications peuvent être programmées pour les exploiter. Chaque politique de recherche se compose d’une liste de domaines de répertoire (également connus sous le nom de nœuds de répertoire). L’ordre des domaines de répertoire dans la liste définit la politique de recherche. En commençant en haut de la liste, Mac OS X examine tour à tour chaque domaine de répertoire listé, jusqu’à ce qu’il trouve les informations nécessaires ou qu’il atteigne la fin de la liste sans trouver ces informations. Chaque politique de recherche (d’authentification et de contacts) peut être réglée sur Automatique, Répertoire local ou Chemin personnalisé. • Automatique commence par le domaine de répertoire local et peut inclure un répertoire LDAP fourni automatiquement par DHCP et les domaines NetInfo auquel l’ordinateur est lié. La politique de recherche automatique est la valeur par défaut pour Mac OS X versions 10.2 et ultérieures et offre la plus grande souplesse pour les ordinateurs nomades. • Répertoire local n’inclut que le domaine de répertoire local. • Chemin personnalisé commence par le domaine de répertoire local et inclut votre sélection de répertoires LDAP, un domaine Active Directory, les domaines NetInfo, les fichiers de configuration BSD et un domaine NIS. Définition de politiques de recherche automatiques À l’aide de Format de répertoire, vous pouvez faire en sorte que les politiques de recherche d’authentification et de contacts d’un ordinateur Mac OS X soient créées automatiquement. Une politique de recherche définie automatiquement inclut le domaine de répertoire local. Elle peut aussi inclure un serveur de répertoires LDAP spécifié par service DHCP et des domaines NetInfo partagés auxquels l’ordinateur est lié. C’est la configuration par défaut tant pour la politique de recherche d’authentification que de contacts. Remarque : certaines applications, comme Mail et Carnet d’adresses de Mac OS X, sont capables d’accéder directement aux répertoires LDAP, sans utiliser Open Directory. Pour configurer une de ces applications pour qu’elle accède directement aux répertoires LDAP, ouvrez l’application et réglez la préférence appropriée. Pour obtenir qu’une politique de recherche soit automatiquement définie : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Authentification ou sur Contacts. Authentification montre la politique de recherche utilisée pour l’authentification et la plupart des autres données administratives. Contacts montre la politique de recherche utilisée pour les données de contact dans les applications comme Carnet d’adresses.Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 99 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Dans le menu local Rechercher, choisissez Automatique, puis cliquez sur Appliquer. 4 Dans Préférences Système, assurez-vous que les préférences de réseau de l’ordinateur sont configurées pour utiliser DHCP ou DHCP via une adresse IP manuelle. 5 Si vous voulez que le service DHCP de Mac OS X Server fournisse à ses clients une adresse de serveur LDAP particulière pour leurs politiques de recherche automatiques, vous devez configurer les options LDAP du service DHCP. Pour plus d’instructions, reportez-vous au chapitre DHCP du guide d’administration des services réseau. Définition de politiques de recherche personnalisées À l’aide de Format de répertoire, vous pouvez obtenir que les politiques de recherche d’authentification et de contacts d’un ordinateur Mac OS X utilisent une liste personnalisée de domaines de répertoires. Une liste personnalisée commence par le domaine de répertoire local de l’ordinateur et vous pouvez aussi inclure des domaines de répertoires Open Directory et autres LDAP, un domaine Active Directory, des domaines NetInfo partagés, des fichiers de configuration BSD et un domaine NIS. Remarque : assurez-vous que l’ordinateur a été configuré pour accéder aux répertoires LDAP, au domaine Active Directory, aux domaines NetInfo et au domaine NIS que vous voulez ajouter à la politique de recherche. Pour obtenir des instructions, consultez les sections suivantes de ce chapitre. Pour spécifier une liste personnalisée de domaines de répertoires pour une politique de recherche : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Authentification ou sur Contacts. Authentification montre la politique de recherche utilisée pour l’authentification et la plupart des autres données administratives. Contacts montre la politique de recherche utilisée pour les données de contact dans les applications comme Carnet d’adresses. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Choisissez l’option Chemin personnalisé dans le menu local Rechercher. 4 Ajoutez si nécessaire des domaines de répertoires. Ajoutez des domaines de répertoires en cliquant sur Ajouter, puis en sélectionnant un ou plusieurs répertoires et en cliquant de nouveau sur Ajouter. 5 Modifiez l’ordre des domaines de répertoires répertoriés comme requis, puis supprimez ceux que vous ne souhaitez pas inclure dans la politique de recherche.100 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire Pour déplacer un domaine de répertoire, faites-le glisser vers le haut ou le bas de la liste. Pour supprimer un domaine de répertoire répertorié, sélectionnez-le, puis cliquez sur Supprimer. 6 Cliquez sur Appliquer. Définition de politiques de recherche de répertoire local À l’aide de Format de répertoire, vous pouvez obtenir que les politiques de recherche d’authentification et de contacts d’un ordinateur Mac OS X utilisent uniquement le domaine de répertoire local de l’ordinateur. Une politique de recherche qui n’utilise que le répertoire local limite l’accès d’un ordinateur aux informations d’authentification et autres données administratives. Si vous restreignez la politique de recherche d’authentification d’un ordinateur à l’emploi du répertoire local, seuls les utilisateurs possédant un compte local pourront ouvrir une session. Pour qu’une politique de recherche n’utilise que le domaine de répertoire local : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Authentification ou sur Contacts. Authentification montre la politique de recherche utilisée pour l’authentification et la plupart des autres données administratives. Contacts montre la politique de recherche utilisée pour les données de contact dans les applications comme Carnet d’adresses. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Choisissez “Répertoire local” dans le menu local Rechercher, puis cliquez sur Appliquer. Accès aux répertoires LDAP Vous pouvez configurer un serveur équipé de Mac OS X Server ou un ordinateur doté de Mac OS X pour accéder à des répertoires LDAP particuliers, y compris le répertoire LDAP d’un maître Open Directory de Mac OS X Server. Pour des descriptions et des instructions se rapportant aux différentes tâches, reportez-vous à : • “Activation ou désactivation d’un répertoire LDAP fourni via DHCP” (suite). • “Affichage ou masquage des options de répertoires LDAP” à la page 102. • “Configuration de l’accès à un répertoire LDAP” à la page 102. • “Modification d’une configuration pour l’accès à un répertoire LDAP” à la page 103. • “Duplication d’une configuration pour l’accès à un répertoire LDAP” à la page 104. • “Suppression d’une configuration pour l’accès à un répertoire LDAP” à la page 105. • “Modification des réglages de connexion d’un répertoire LDAP” à la page 105. • “Configuration des recherches et mappages LDAP” à la page 106. • “Mappage d’attributs d’enregistrement de configuration pour répertoires LDAP” à la page 109.Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 101 • “Modification du mappage RFC 2307 pour activer la création d’utilisateurs” à la page 109. • “Remplissage de répertoires LDAP avec des données pour Mac OS X” à la page 110. Dans Mac OS X version 10.3, un module externe Format de répertoire unique nommé LDAPv3 fournit l’accès aux deux versions LDAP, la 2 et la 3. Le module externe LDAPv2 de Mac OS X version 10.2 n’est pas nécessaire avec Mac OS X version 10.3. Les configurations LDAPv2 existantes sont automatiquement converties en LDAPv3 lorsqu’un ordinateur est mis à niveau avec Mac OS X version 10.3. Remarque : Mail, Carnet d’adresses et d’autres applications similaires de Mac OS X sont capables d’accéder directement aux répertoires LDAP, sans utiliser Open Directory. Vous pouvez configurer ces applications pour qu’elles effectuent des recherches dans des répertoires LDAP particuliers. Pour plus d’instructions, ouvrez Mail et choisissez Aide > Aide Mail ou ouvrez Carnet d’adresses et choisissez Aide > Aide de Carnet d’adresses ; puis cherchez de l’aide sur LDAP. Activation ou désactivation d’un répertoire LDAP fourni via DHCP Format de répertoire vous permet de configurer un ordinateur Mac OS X afin qu’il obtienne automatiquement l’adresse d’un serveur de répertoire LDAP au démarrage. Mac OS X requiert l’adresse d’un serveur de répertoire LDAP auprès du service DHCP qui fournit également l’adresse IP de l’ordinateur, l’adresse du routeur et les adresses de serveur DNS. Mac OS X ajoute l’adresse du serveur LDAP fournie via DHCP à la politique de recherche automatique de l’ordinateur. Pour plus d’informations, consultez la section “Définition de politiques de recherche automatiques” à la page 98. Pour activer ou désactiver l’accès automatique à un serveur LDAP : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Cliquez sur Utiliser le serveur LDAP fourni par DHCP. Si vous désactivez cette option, l’ordinateur n’utilise pas de serveur de répertoire LDAP fourni par DHCP. Il peut cependant accéder automatiquement à des domaines NetInfo partagés. Pour plus d’informations, consultez la section “Accès aux domaines NetInfo hérités” à la page 121. Si vous activez cette option, le service DHCP doit être configuré pour fournir l’adresse d’un serveur de répertoire LDAP. Pour plus d’instructions, reportez-vous au chapitre DHCP du guide d’administration des services réseau.102 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire Affichage ou masquage des options de répertoires LDAP Vous pouvez afficher ou masquer une liste des configurations disponibles pour accéder aux répertoires LDAP. Chaque configuration spécifie la manière dont Open Directory accède à un répertoire LDAP particulier. Lorsque la liste est affichée, vous pouvez visualiser certains réglages modifiables pour chaque configuration LDAP. Pour afficher ou masquer les configurations de répertoire LDAP disponibles : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 En fonction du contexte, cliquez sur Afficher les options ou sur Masquer les options. Configuration de l’accès à un répertoire LDAP Format de répertoire vous permet de créer une configuration qui spécifie la manière dont Mac OS X accède à un répertoire LDAPv3 ou LDAPv2 particulier. Pour créer une configuration en vue d’accéder à un répertoire LDAP : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Si la liste des configurations de répertoire LDAP est masquée, cliquez sur Afficher les options. 5 Cliquez sur Nouveau, puis saisissez un nom pour la configuration. 6 Appuyez sur la touche Tabulation, puis tapez le nom DNS ou l’adresse IP du serveur qui héberge le répertoire LDAP auquel vous voulez accéder. 7 Cliquez sur le menu local situé à côté du nom DNS ou de l’adresse IP, puis choisissez un modèle de mappage ou sélectionnez “À partir du serveur”. 8 Saisissez le suffixe de la base de recherche du répertoire LDAP et cliquez sur OK. Si vous avez choisi un modèle à l’étape 7, vous devez saisir un suffixe de base de recherche sinon l’ordinateur ne pourra pas trouver d’informations dans le répertoire LDAP. Le suffixe de la base de recherche est généralement dérivé du nom DNS du serveur. Ce suffixe peut être par exemple “dc=exemple, dc=com”, pour un serveur dont le nom DNS est serveur.exemple.com. Si vous avez sélectionné “À partir du serveur” à l’étape 7, inutile de saisir une base de recherche. Dans ce cas, Open Directory considère que la base de recherche est le premier niveau du répertoire LDAP. 9 Pour qu’Open Directory utilise SSL (Secure Sockets Layer) pour les connexions avec le répertoire LDAP, cochez la case SSL.Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 103 Pour que l’ordinateur accède au répertoire LDAP pour lequel vous venez de créer une configuration, vous devez ajouter le répertoire à une politique de recherche personnalisée dans les panneaux Authentification ou Contacts de Format de répertoire. Vous devez également vous assurer que LDAPv3 est activé dans le panneau Services. Pour plus d’instructions, consultez les sections “Activation ou désactivation des services de répertoires LDAP” à la page 95 et “Définition de politiques de recherche personnalisées” à la page 99. Remarque : avant de pouvoir utiliser Gestionnaire de groupe de travail pour créer des utilisateurs sur un serveur LDAP non-Apple qui utilise des mappages RFC 2307 (UNIX), vous devez modifiez le mappage du type d’enregistrement Utilisateurs. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Modification du mappage RFC 2307 pour activer la création d’utilisateurs” à la page 109. Modification d’une configuration pour l’accès à un répertoire LDAP Vous pouvez utiliser Format de répertoire pour modifier les réglages d’une configuration de répertoire LDAP. Les paramètres de configuration spécifient la manière dont Open Directory accède à un répertoire LDAPv3 ou LDAPv2 particulier. Pour modifier une configuration d’accès à un répertoire LDAP : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Si la liste des configurations de serveur est masquée, cliquez sur Afficher les options. 5 Modifiez l’un des réglages figurant dans la liste des configurations de serveur. Activer : cochez une case pour activer ou désactiver l’accès à un serveur de répertoire LDAP. Nom de la configuration : double-cliquez sur un nom de configuration pour le modifier. Nom du serveur ou adresse IP : double-cliquez sur un nom de serveur ou une adresse IP pour le modifier. Mappage LDAP : choisissez un modèle dans le menu local, saisissez la base de recherche du répertoire LDAP et cliquez sur OK. Si vous avez choisi un modèle, vous devez saisir un suffixe de base de recherche, sinon l’ordinateur ne pourra pas trouver d’informations dans le répertoire LDAP. Le suffixe de la base de recherche est généralement dérivé du nom DNS du serveur. Ce suffixe peut être par exemple “dc=exemple, dc=com”, pour un serveur dont le nom DNS est serveur.exemple.com.104 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire Si vous avez sélectionné “À partir du serveur” au lieu d’un modèle, vous n’avez pas besoin de saisir une base de recherche. Dans ce cas, Open Directory considère que la base de recherche est le premier niveau du répertoire LDAP. SSL : cochez une case pour activer ou désactiver les connexions SSL (Secure Sockets Layer). Duplication d’une configuration pour l’accès à un répertoire LDAP Format de répertoire vous permet de dupliquer une configuration qui spécifie la manière dont Mac OS X accède à un répertoire LDAPv3 ou LDAPv2 particulier. Après avoir dupliqué une configuration de répertoire LDAP, vous pouvez en modifier les réglages pour la différencier de la configuration d’origine. Pour dupliquer une configuration d’accès à un répertoire LDAP : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Si la liste des configurations de serveur est masquée, cliquez sur Afficher les options. 5 Sélectionnez une configuration de serveur dans la liste, puis cliquez sur Dupliquer. 6 Modifiez l’un des réglages de configuration du double de la configuration. Activer : cochez une case pour activer ou désactiver l’accès à un serveur de répertoire LDAP. Nom de la configuration : double-cliquez sur un nom de configuration pour le modifier. Nom du serveur ou adresse IP : double-cliquez sur un nom de serveur ou une adresse IP pour le modifier. Mappage LDAP : choisissez un modèle dans le menu local, saisissez la base de recherche du répertoire LDAP et cliquez sur OK. Si vous avez choisi un modèle, vous devez saisir un suffixe de base de recherche, sinon l’ordinateur ne pourra pas trouver d’informations dans le répertoire LDAP. Le suffixe de la base de recherche est généralement dérivé du nom DNS du serveur. Ce suffixe peut être par exemple “dc=exemple, dc=com”, pour un serveur dont le nom DNS est serveur.exemple.com. Si vous avez sélectionné “À partir du serveur” au lieu d’un modèle, vous n’avez pas besoin de saisir une base de recherche. Dans ce cas, Open Directory considère que la base de recherche est le premier niveau du répertoire LDAP. SSL : cochez une case pour activer ou désactiver les connexions SSL (Secure Sockets Layer).Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 105 Pour que l’ordinateur accède au répertoire LDAP spécifié par la copie de configuration que vous venez de créer, vous devez ajouter le répertoire à une politique de recherche personnalisée dans le panneau Authentification ou Contacts de Format de répertoire. Vous devez également vous assurer que LDAPv3 est activé dans le panneau Services. Pour plus d’instructions, consultez les sections “Activation ou désactivation des services de répertoires LDAP” à la page 95 et “Définition de politiques de recherche personnalisées” à la page 99. Suppression d’une configuration pour l’accès à un répertoire LDAP Format de répertoire vous permet de supprimer une configuration qui spécifie la manière dont l’ordinateur accède à un répertoire LDAPv3 ou LDAPv2 particulier. Pour supprimer une configuration d’accès à un répertoire LDAP : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Si la liste des configurations de serveur est masquée, cliquez sur Afficher les options. 5 Sélectionnez une configuration de serveur dans la liste, puis cliquez sur Supprimer. Modification des réglages de connexion d’un répertoire LDAP Format de répertoire vous permet de modifier les réglages de connexion d’une configuration qui spécifie la manière dont l’ordinateur accède à un répertoire LDAPv3 ou LDAPv2 particulier. Pour modifier les réglages de connexion pour l’accès à un répertoire LDAP : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Si la liste des configurations de serveur est masquée, cliquez sur Afficher les options. 5 Sélectionnez une configuration de serveur dans la liste, puis cliquez sur Modifier. 6 Cliquez sur Connexion, puis modifiez les réglages souhaités. Nom de la configuration identifie cette configuration dans la liste des configurations de répertoire LDAP. (Vous pouvez également modifier le nom directement dans la liste des configurations de répertoire LDAP.) Nom du serveur ou adresse IP spécifie le nom DNS ou l’adresse IP du serveur. (Vous pouvez également modifier directement ces éléments dans la liste des configurations de répertoire LDAP.)106 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire “L’ouverture/fermeture expirera dans” indique la durée d’attente en secondes avant qu’Open Directory n’annule une tentative de connexion au serveur LDAP. “La connexion s’arrêtera dans” spécifie la durée en secondes pendant laquelle Open Directory autorise une connexion inactive ou sans réponse à demeurer ouverte. “Utiliser l’authentification à la connexion” détermine si Open Directory s’authentifie en tant qu’utilisateur du répertoire LDAP en fournissant le nom distinctif et le mot de passe lors de la connexion au répertoire. “Crypter via SSL” détermine si Open Directory utilise SSL (Secure Sockets Layer) pour crypter les communications avec le répertoire LDAP. (Vous pouvez également modifier ce paramètre directement dans la liste des configurations de répertoire LDAP.) “Utiliser le port personnalisé” spécifie un numéro de port autre que celui du port standard pour les connexions LDAP (389 sans SSL ou 636 avec SSL). Configuration des recherches et mappages LDAP Format de répertoire vous permet de modifier les mappages, les bases de recherche et les étendues de recherche qui spécifient comment Mac OS X trouve des données particulières dans un répertoire LDAP. Vous pouvez modifier ces réglages séparément pour chaque configuration de répertoire LDAP listée dans Format de répertoire. Chaque configuration de répertoire LDAP spécifie la manière dont Mac OS X accède aux données dans un répertoire LDAPv3 ou LDAPv2. • Vous pouvez modifier le mappage de chaque type d’enregistrement Mac OS X vers une ou plusieurs classes d’objets LDAP. • Pour chaque type d’enregistrement, vous pouvez aussi modifier le mappage des types de données (ou attributs) Mac OS X vers des attributs LDAP. • Vous pouvez modifier la base de recherche et l’étendue de recherche LDAP qui déterminent l’emplacement où Mac OS X doit rechercher un type d’enregistrement Mac OS X particulier dans un répertoire LDAP. Important : lors du mappage d’attributs d’utilisateur Mac OS X vers un domaine de répertoire LDAP en lecture/écriture (un domaine LDAP qui n’est pas en lecture seule), l’attribut LDAP mappé vers RealName ne doit pas être le même que le premier attribut d’une liste d’attributs LDAP mappés vers RecordName. Par exemple, l’attribut cn ne doit pas être le premier attribut mappé vers RecordName si cn est également mappé vers RealName. Si l’attribut LDAP mappé vers RealName est le même que le premier attribut mappé vers RecordName, des problèmes se produiront lorsque vous essaierez de modifier le nom complet (long) ou le premier nom abrégé dans Gestionnaire de groupe de travail. Pour obtenir des spécifications détaillées sur les types et attributs d’enregistrements Mac OS X, consultez l’annexe A, “Données de répertoire Mac OS X”. Pour modifier les bases de recherche et les mappages d’un serveur LDAP : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services.Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 107 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Si la liste des configurations de serveur est masquée, cliquez sur Afficher les options. 5 Sélectionnez une configuration de serveur dans la liste, puis cliquez sur Modifier. 6 Cliquez sur Recherche et mappages. 7 Sélectionnez les mappages à utiliser en tant que point de départ, le cas échéant. Cliquez sur le menu local “Accéder à ce serveur LDAPv3 via” et choisissez soit un modèle de mappage comme point de départ, soit “Personnalisé” pour commencer sans mappage prédéfini. Ou bien, cliquez sur “Lire à partir du serveur” pour modifier les mappages stockés dans le serveur de répertoire LDAP dont vous êtes en train de modifier la configuration. 8 Ajoutez des types d’enregistrements et modifiez leurs bases de recherche selon vos besoins. Pour ajouter des types d’enregistrements, cliquez sur Ajouter situé sous la liste Types d’enregistrements et attributs. Dans la fenêtre à l’écran, sélectionnez Types d’enregistrements, choisissez un ou plusieurs types d’enregistrements dans la liste, puis cliquez sur OK. Pour modifier la base de recherche d’un type d’enregistrement, sélectionnez-le dans la liste Types d’enregistrements et attributs. Cliquez ensuite sur le champ Base de recherche, puis modifiez la base. Pour supprimer un type d’enregistrement, sélectionnez-le dans la liste Types d’enregistrements et attributs, puis cliquez sur Supprimer. Pour ajouter un mappage pour un type d’enregistrement, sélectionnez le type d’enregistrement dans la liste Types d’enregistrements et attributs. Cliquez ensuite sur le bouton Ajouter situé sous “Mapper sur __ éléments listés” et tapez le nom d’une classe d’objet du répertoire LDAP. Pour ajouter une autre classe d’objet LDAP, vous pouvez appuyer sur la touche Retour et saisir le nom de la classe d’objet souhaitée. Utilisez le menu local situé au-dessus de la liste pour spécifier si vous souhaitez utiliser toutes les classes d’objets LDAP ou l’une d’entre elles. Pour changer un mappage pour un type d’enregistrement, sélectionnez le type d’enregistrement dans la liste Types d’enregistrements et attributs. Double-cliquez ensuite sur la classe d’objet LDAP à modifier, dans “Mapper sur __ éléments listés”, puis modifiez-la. Spécifiez si vous souhaitez utiliser toutes les classes d’objets LDAP ou l’une d’entre elles via la menu local situé au-dessus de la liste.108 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire Pour supprimer un mappage pour un type d’enregistrement, sélectionnez le type d’enregistrement dans la liste Types d’enregistrements et attributs. Dans “Mapper sur __ éléments listés”, cliquez sur la classe d’objet LDAP à supprimer, puis cliquez sur le bouton Supprimer. 9 Ajoutez des attributs, puis modifiez leur mappage comme requis. Pour ajouter des attributs à un type d’enregistrement, sélectionnez le type d’enregistrement dans la liste Types d’enregistrements et attributs. Cliquez sur le bouton Ajouter situé sous la liste Types et attributs d’enregistrements. Dans la fenêtre à l’écran, sélectionnez Types d’attributs, choisissez un ou plusieurs types d’attributs dans la liste, puis cliquez sur OK. Pour ajouter un mappage pour un attribut, sélectionnez l’attribut dans la liste Types et attributs d’enregistrements. Cliquez ensuite sur le bouton Ajouter, sous “Mapper sur __ éléments listés”, puis tapez le nom d’un attribut du répertoire LDAP. Pour ajouter un autre attribut LDAP, vous pouvez appuyer sur la touche Retour et saisir le nom de l’attribut. Pour changer un mappage pour un attribut, sélectionnez l’attribut dans la liste Types et attributs d’enregistrements. Dans Mapper sur __ éléments listés, double-cliquez sur l’élément à modifier, puis changez le nom de l’élément. Pour supprimer un mappage pour un attribut, sélectionnez l’attribut dans la liste Types et attributs d’enregistrements. Dans Mapper sur __ éléments listés, cliquez sur l’élément LDAPv3 à supprimer, puis sur le bouton Supprimer situé sous Mapper sur __ éléments listés. Pour modifier l’ordre des attributs dans la liste située à droite, glissez les attributs vers le haut ou le bas dans la liste. 10 Cliquez sur “Écrire sur le serveur” pour stocker les mappages dans le répertoire LDAP, de sorte qu’il puisse les fournir automatiquement à ses clients. Vous devez saisir une base de recherche pour stocker les mappages, un nom d’administrateur distinctif (par exemple, cn=admin, dc=exemple, dc=com) et un mot de passe. Si vous écrivez des mappages sur un serveur LDAP Open Directory, la base de recherche correcte est “cn=config, ” (où est le suffixe de la base de recherche du serveur, tel que “dc=exemple, dc=com”). Le répertoire LDAP fournit ses mappages aux clients configurés pour utiliser une politique de recherche automatique. Pour obtenir des instructions sur la configuration de la politique de recherche de clients, consultez la section “Configuration des politiques de recherche d’authentification et de contacts” à la page 97. Le répertoire LDAP fournit également ses mappages aux clients qui ont été configurés manuellement pour obtenir leurs mappages à partir du serveur. Pour obtenir des instructions sur la configuration de l’accès client au serveur, consultez les sections “Configuration de l’accès à un répertoire LDAP” à la page 102 à “Modification des réglages de connexion d’un répertoire LDAP” à la page 105.Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 109 Mappage d’attributs d’enregistrement de configuration pour répertoires LDAP Pour stocker des informations d’utilisateurs Mac OS X gérés dans un répertoire LDAP, veillez à mapper les attributs du type d’enregistrement de configuration suivants : RealName et DataStamp. Si vous ne mappez pas ces attributs, le message d’erreur suivant s’affichera lorsque vous utiliserez Gestionnaire de groupe de travail pour modifier un enregistrement d’utilisateur situé dans le répertoire LDAP : L’attribut nommé “dsRecTypeStandard:Config” n’est pas mappé. Vous pouvez ignorer ce message si vous n’utilisez pas la gestion de client Mac OS X, qui dépend des attributs RealName et DataStamp du type Enregistrement de configuration pour la mémoire cache. Modification du mappage RFC 2307 pour activer la création d’utilisateurs Avant de pouvoir utiliser Gestionnaire de groupe de travail pour créer des utilisateurs dans un répertoire LDAP non-Apple utilisant des mappages RFC 2307 (UNIX), vous devez modifier le mappage du type d’enregistrement Utilisateurs. Vous devez pour cela utiliser l’application Format de répertoire. Pour activer la création d’enregistrements d’utilisateurs dans un répertoire LDAP avec mappages RFC 2307 : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Si la liste des configurations de serveur est masquée, cliquez sur Afficher les options. 5 Sélectionnez la configuration de répertoire avec mappages RFC 2307, puis cliquez sur Modifier. 6 Cliquez sur Recherche et mappages. 7 Sélectionnez Utilisateurs dans la liste de gauche. Par défaut, “Mapper sur __ éléments listés” est réglé sur “N’importe quel” et la liste de droite contient posixAccount, inetOrgPerson et shadowAccount. 8 Réglez “Mapper sur __ éléments listés” sur “Tout”, puis modifiez la liste de droite pour obtenir l’ensemble exact de classes d’objets LDAP vers lesquelles vous voulez mapper le type d’enregistrement Utilisateurs. Supprimez par exemple shadowAccount de la liste de sorte qu’Utilisateurs ne soit associé qu’à posixAccount et inetOrgPerson. Ou bien, vous pouvez mapper Utilisateurs vers account, posixAccount et shadowAccount. Pour modifier un élément de la liste, double-cliquez dessus.110 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire Pour ajouter un élément à la liste, cliquez sur Ajouter. Pour supprimer l’élément sélectionné de la liste, cliquez sur Supprimer. Pour modifier l’ordre des éléments, glissez ces derniers vers le haut ou le bas dans la liste. Pour trouver les classes d’objets des enregistrements d’utilisateurs existants dans le répertoire LDAP, utilisez l’outil UNIX ldapsearch dans une fenêtre Terminal. L’exemple suivant affiche les classes d’objets d’un enregistrement d’utilisateur dont l’attribut cn est “Léonard de Vinci” : ldapsearch -x -h ldapserver.exemple.com -b “dc=exemple, dc=com” ’cn=Léonard de Vinci’ objectClass Le résultat obtenu avec cet exemple de commande sera semblable à : # Léonard de Vinci, exemple.com dn: cn=Léonard de Vinci, dc=exemple, dc=com objectClass: inetOrgPerson objectClass: posixAccount Préparation d’un répertoire LDAP en lecture seule pour Mac OS X Pour qu’un ordinateur Mac OS X puisse lire des données administratives dans un répertoire LDAP en lecture seule, ces données doivent exister dans le répertoire LDAP en lecture seule au format requis par Mac OS X. Il faudra peut-être ajouter, modifier ou réorganiser les données dans le répertoire LDAP en lecture seule. Mac OS X ne peut pas écrire des données dans un répertoire LDAP en lecture seule : il faut donc effectuer les modifications nécessaires à l’aide d’outils sur le serveur qui héberge le répertoire LDAP en lecture seule. Pour préparer un répertoire LDAP en lecture seule pour Mac OS X : 1 Accédez au serveur qui héberge le répertoire LDAP en lecture seule et configurez-le pour qu’il gère l’authentification LDAP et la vérification des mots de passe. 2 Modifiez comme il se doit les classes d’objets et attributs du répertoire LDAP afin de fournir les données nécessaires à Mac OS X. Pour les spécifications détaillées des données requises par les services de répertoire Mac OS X, consultez l’annexe A, “Données de répertoire Mac OS X”. Remplissage de répertoires LDAP avec des données pour Mac OS X Après avoir configuré l’accès aux domaines de répertoire LDAP et configuré leur mappage de données, vous pouvez les remplir avec des enregistrements et des données pour Mac OS X. Pour les domaines de répertoires autorisant l’administration distante (accès en lecture/écriture), vous pouvez utiliser l’application Gestionnaire de groupe de travail, fournie avec Mac OS X Server, comme ceci :Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 111 • Identifiez les points de partage et les domaines partagés à monter automatiquement dans le répertoire /Réseau d’un utilisateur (globe Réseau dans les fenêtres du Finder). Utilisez le module Partage de Gestionnaire de groupe de travail. Pour plus d’instructions, consultez le guide d’administration des services de fichiers. • Définissez les enregistrements d’utilisateurs et de groupes, puis configurez-les. Utilisez le module Comptes de Gestionnaire de groupe de travail. Pour plus d’instructions, consultez le guide de gestion des utilisateurs. • Définissez les listes d’ordinateurs partageant les mêmes réglages de préférences et disponibles pour les mêmes utilisateurs et groupes. Utilisez le module Ordinateurs du Gestionnaire de groupes de travail. Pour plus d’instructions, consultez le guide de gestion des utilisateurs. Dans tous les cas, cliquez sur la petite icône de globe au-dessus de la liste des utilisateurs, puis choisissez une option du menu local du Gestionnaire de groupe de travail pour ouvrir le domaine de répertoire LDAP. Si le répertoire LDAP ne figure pas dans le menu local, choisissez Autre pour le sélectionner. Remarque : pour ajouter des enregistrements et des données à un répertoire LDAP en lecture seule, vous devez utiliser des outils sur le serveur hébergeant ce répertoire. Accès à un domaine Active Directory Vous pouvez configurer un serveur équipé de Mac OS X Server ou un ordinateur doté de Mac OS X pour accéder à un domaine Active Directory sur un serveur Windows 2000 ou Windows 2003. Pour trouver les descriptions des tâches et des instructions, reportez-vous à : • “En savoir plus sur le module externe Active Directory” (suite). • “Configuration de l’accès à un domaine Active Directory” à la page 113. • “Activation ou désactivation de la mise en mémoire cache des références Active Directory” à la page 116. • “Association de l’UID à un attribut Active Directory” à la page 117. • “Modification des groupes Active Directory autorisés à administrer l’ordinateur” à la page 117. • “Modification de comptes d’utilisateur et d’autres enregistrements dans Active Directory” à la page 118. Pour certains réseaux, d’autres méthodes s’avèrent appropriées pour l’accès à un domaine Active Directory. Ces méthodes alternatives comprennent : • “Configuration de l’accès LDAP aux domaines Active Directory” à la page 118.112 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire En savoir plus sur le module externe Active Directory Vous pouvez configurer Mac OS X pour accéder à des informations de compte d’utilisateur élémentaires dans un domaine Active Directory d’un serveur Windows 2000 ou Windows 2003. Cela est possible grâce au module externe Active Directory pour Format de répertoire. Ce module externe figure dans le panneau Services de Format de répertoire. Il n’est pas nécessaire d’effectuer des modifications de schéma dans le domaine Active Directory pour obtenir des informations élémentaires de compte d’utilisateur. Vous devrez éventuellement modifier la liste ACL (liste de contrôle d’accès) par défaut de certains attributs pour que les comptes d’ordinateur puissent lire les propriétés. Le module externe Active Directory génère tous les attributs requis pour l’authentification Mac OS X à partir d’attributs standard dans les comptes d’utilisateur Active Directory. Le module gère également les politiques d’authentification Active Directory, y compris la modification, l’expiration et le changement forcé de mot de passe. Le module Active Directory génère de manière dynamique un identifiant d’utilisateur unique et un identifiant de groupe principal, basés sur l’identifiant GUID (Globally Unique ID) du compte d’utilisateur dans le domaine Active Directory. L’identifiant d’utilisateur et l’identifiant de groupe principal générés sont toujours les mêmes pour chaque compte d’utilisateur, même si le compte est utilisé pour ouvrir une session sur différents ordinateurs Mac OS X. Vous pouvez également forcer le module externe Active Directory à associer l’identifiant d’utilisateur à un attribut Active Directory que vous spécifiez. Lorsqu’une personne ouvre une session sur Mac OS X à l’aide d’un compte d’utilisateur Active Directory, le module Active Directory crée un répertoire de départ sur le volume de démarrage de l’ordinateur Mac OS X. Le module demande également à Mac OS X de monter le répertoire de départ Windows de l’utilisateur (spécifié dans le compte d’utilisateur Active Directory) sur le bureau, comme point de partage. À l’aide du Finder, l’utilisateur peut copier des fichiers entre le répertoire de départ Windows dans le globe Réseau et le répertoire de départ Mac OS X. À chaque fois qu’un utilisateur ouvre une session Mac OS X à l’aide d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe Active Directory, le module externe Active Directory peut placer les références d’authentification en mémoire cache sur l’ordinateur Mac OS X. Cela permet à l’utilisateur d’ouvrir de nouveau une session sur le même ordinateur lorsque ce dernier n’est pas connecté au réseau. Vous pouvez activer ou désactiver la mise en cache des références.Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 113 Si le schéma Active Directory a été étendu pour inclure les types d’enregistrements (classes d’objets) et les attributs Mac OS X, le module Active Directory les détecte et y accède automatiquement. Le schéma Active Directory pourrait par exemple être modifié à l’aide des outils d’administration Windows pour inclure les attributs des clients gérés Mac OS X Server. Cette modification du schéma permettra au module externe Active Directory d’accepter les réglages de client géré réalisés dans le module Préférences du Gestionnaire de groupe de travail. Les clients Mac OS X bénéficient d’un accès en lecture complet aux attributs ajoutés au répertoire. De ce fait, il peut s’avérer nécessaire de modifier la liste ACL de ces attributs pour autoriser les comptes d’ordinateur à lire ces attributs ajoutés. Le module externe Active Directory détecte automatiquement tous les domaines d’une forêt Active Directory. Vous pouvez configurer le module afin de permettre aux utilisateurs de n’importe quel domaine de la forêt de s’authentifier sur un ordinateur Mac OS X. L’authentification multi-domaine peut également être désactivée pour ne permettre que l’authentification de domaines spécifiques sur le client. Le module Active Directory gère totalement la duplication et le basculement Active Directory. Il détecte plusieurs contrôleurs de domaine et détermine le plus proche. Si un contrôleur de domaine devient indisponible, le module bascule automatiquement sur un autre contrôleur de domaine proche. Le module externe Active Directory utilise LDAP pour accéder aux comptes d’utilisateur Active Directory et à Kerberos pour les authentifier. Le module Active Directory n’utilise pas l’interface propriétaire ADSI (Active Directory Services Interface) de Microsoft pour accéder aux services de répertoire ou d’authentification. Configuration de l’accès à un domaine Active Directory À l’aide du module externe Active Directory répertorié dans Format de répertoire, vous pouvez configurer Mac OS X pour accéder aux informations élémentaires de compte d’utilisateur dans un domaine Active Directory sur un serveur Windows. Le module externe Active Directory génère tous les attributs requis pour l’authentification Mac OS X. Aucune modification du schéma Active Directory n’est nécessaire. Le module externe Active Directory détecte et accède aux types d’enregistrements et aux attributs Mac OS X standard, tels que les attributs requis pour la gestion de client Mac OS X, si le schéma Active Directory a été étendu pour les inclure. Important : une option avancée du module externe Active Directory donne la possibilité d’associer l’attribut d’identifiant d’utilisateur unique (UID) Mac OS X à un attribut approprié ajouté au schéma Active Directory. Si vous changez ultérieurement le réglage de cette option de mappage, les utilisateurs risquent de perdre l’accès aux fichiers créés précédemment. Pour configurer l’accès à un domaine Active Directory : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services.114 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez Active Directory dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Saisissez les noms DNS des serveurs hébergeant la forêt Active Directory et le domaine duquel l’ordinateur que vous configurez deviendra membre. L’administrateur du domaine Active Directory vous indiquera les noms de la forêt et du domaine. Si vous disposez d’une seule forêt avec un seul domaine, saisissez le même nom pour la forêt et le domaine. 5 Saisissez l’identifiant de l’ordinateur, qui est le nom affecté dans le domaine Active Directory à l’ordinateur que vous êtes en train de configurer. Si vous n’êtes pas sûr du nom à saisir, consultez l’administrateur du domaine Active Directory. 6 Cliquez sur Association, authentifiez-vous en tant qu’utilisateur autorisé à configurer une connexion au domaine Active Directory, puis cliquez sur OK. Nom et mot de passe : vous pouvez vous authentifier en saisissant les nom et mot de passe de votre compte d’utilisateur Active Directory, sinon, il se peut que l’administrateur du domaine Active Directory doive vous fournir un nom et un mot de passe. OU : saisissez l’unité organisationnelle (OU) de l’ordinateur que vous êtes en train de configurer. 7 Définissez éventuellement les options avancées. Si elles sont masquées, cliquez sur Afficher les options avancées. “Placer en cache la session du dernier utilisateur pour fonctionner hors connexion” : sélectionnez cette option pour activer l’utilisation des références hors connexion sans modifier le schéma Active Directory. Il s’agit du réglage par défaut pour les utilisateurs qui ouvrent une session sur l’ordinateur. Une capacité équivalente est fournie par les réglages de client géré dans un domaine Open Directory et dans la plupart des domaines de répertoire LDAP. Si un compte d’utilisateur dispose de réels réglages de client géré, cette option est ignorée. “Authentifier dans des domaines multiples” : sélectionnez cette option pour permettre aux utilisateurs de n’importe quel domaine de la forêt de s’authentifier sur cet ordinateur. Si cette option n’est pas cochée, une liste de domaines spécifiques de la forêt sera présentée lorsque vous configurerez une politique de recherche d’authentification personnalisée, de sorte que vous puissiez ajouter individuellement des domaines à la politique de recherche.Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 115 “Préférer ce serveur de domaine” : sélectionnez cette option pour spécifier le nom DNS du serveur dont vous désirez utiliser par défaut le domaine Active Directory. Si le serveur devient indisponible, le module externe Active Directory basculera automatiquement sur un autre serveur proche dans la forêt. Si cette option n’est pas sélectionnée, le module externe Active Directory détermine automatiquement le domaine Active Directory le plus proche dans la forêt. “Mapper l’UID sur l’attribut” : si le schéma Active Directory a été étendu pour stocker un UID unique (identifiant d’utilisateur unique) pour chaque utilisateur — habituellement du fait que le serveur Active Directory a déjà été configuré pour gérer les ordinateurs UNIX — vous pouvez spécifier l’attribut dans lequel l’UID sera stocké. Si cette option n’est pas sélectionnée, un UID est automatiquement généré en se basant sur l’attribut GUID standard d’Active Directory. “Permettre l’administration par” : sélectionnez cette option pour spécifier une liste de groupes dont les membres seront autorisés à réaliser des tâches administratives sur cet ordinateur (par exemple, installer des logiciels). Utilisez des virgules pour séparer les noms des groupes dans la liste. Pour des raisons de sécurité, les noms des groupes doivent être qualifiés par le nom de domaine auxquels ils appartiennent (par exemple, ADS\Admin Domaine,IL2\Admin Domaine). Cette option est utile si vous avez des administrateurs de bureau qui nécessitent un accès administratif mais qui ne sont pas administrateurs de domaine. Pour que l’ordinateur accède au domaine Active Directory que vous venez de configurer, assurez-vous qu’Active Directory est activé dans le panneau Services. De plus, vous devez ajouter le domaine Active Directory à une politique de recherche personnalisée dans le panneau Authentification ou Contacts de Format de répertoire. • Si vous avez sélectionné “Authentifier dans des domaines multiples” à l’étape 7, l’ajout de la forêt Active Directory à une politique de recherche d’authentification personnalisée permet à cet ordinateur d’authentifier des utilisateurs provenant de n’importe quel domaine de la forêt. • Si vous désélectionnez “Authentifier dans des domaines multiples”, vous pouvez ajouter individuellement des domaines à la politique de recherche. Pour plus d’instructions, consultez les sections “Activation ou désactivation du service Active Directory” à la page 94 et “Définition de politiques de recherche personnalisées” à la page 99. 116 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire Activation ou désactivation de la mise en mémoire cache des références Active Directory Format de répertoire vous permet d’activer ou de désactiver l’utilisation de références d’authentification hors connexion à partir d’un domaine Active Directory accessible via le module externe Active Directory. Un utilisateur dont les références Active Directory sont placées en mémoire cache sur un ordinateur Mac OS X peut ouvrir une session même si l’ordinateur est déconnecté du réseau. Cette mise en cache des références ne requiert aucune modification du schéma Active Directory. Si le schéma Active Directory a été étendu pour inclure les attributs de client géré Mac OS X, les réglages de leur compte mobile seront utilisés à la place des réglages de compte mis en cache du module externe Active Directory. Pour activer ou désactiver la mise en cache des références d’authentification d’un domaine Active Directory : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez Active Directory dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Si les options avancées sont masquées, cliquez sur Afficher les options avancées. 5 Cliquez sur “Placer en cache la session du dernier util. pour fonction. hors connexion”. Spécification d’un serveur Active Directory préféré Format de répertoire vous permet de spécifier le nom DNS du serveur possédant le domaine Active Directory auquel doit accéder par défaut le module externe Active Directory. Si le serveur devient indisponible, le module externe Active Directory basculera automatiquement sur un autre serveur proche dans la forêt. Si cette option n’est pas sélectionnée, le module externe Active Directory détermine automatiquement le domaine Active Directory le plus proche dans la forêt. Pour spécifier un serveur auquel le module externe Active Directory doit accéder par défaut : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez Active Directory dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Si les options avancées sont masquées, cliquez sur Afficher les options avancées. 5 Sélectionnez “Préférer ce serveur de domaine” et tapez le nom DNS du serveur Active Directory.Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 117 Association de l’UID à un attribut Active Directory Format de répertoire vous permet de spécifier un attribut Active Directory que le module externe Active Directory doit associer à l’attribut UID (identifiant d’utilisateur unique) de Mac OS X. Le schéma Active Directory doit généralement être étendu pour inclure un attribut approprié au mappage vers l’UID. Si le mappage UID est désactivé, le module externe Active Directory génère automatiquement un UID basé sur l’attribut GUID standard d’Active Directory. Important : si vous modifiez ultérieurement le mappage de l’UID, les utilisateurs risquent de perdre l’accès aux fichiers créés précédemment. Pour associer l’UID à un attribut d’un schéma Active Directory étendu : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez Active Directory dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Si les options avancées sont masquées, cliquez sur Afficher les options avancées. 5 Sélectionnez “Mapper l’UID sur l’attribut”, puis tapez le nom de l’attribut Active Directory à mapper sur l’UID. Modification des groupes Active Directory autorisés à administrer l’ordinateur Format de répertoire vous permet d’accorder des autorisations d’administrateur aux groupes de comptes d’utilisateur accessibles via le module externe Active Directory. Ces comptes d’utilisateur Active Directory sont utilisables pour réaliser des tâches administratives telles que l’installation de logiciels sur l’ordinateur Mac OS X que vous êtes en train de configurer. Pour spécifier les groupes de comptes d’utilisateur Active Directory qui possèdent des autorisations d’administrateur : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez Active Directory dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Si les options avancées sont masquées, cliquez sur Afficher les options avancées. 5 Sélectionnez “Permettre l’administration par”, puis saisissez les noms des groupes. Utilisez des virgules pour séparer les noms des groupes. Pour des raisons de sécurité, les noms des groupes doivent être qualifiés par le nom de domaine auxquels ils appartiennent (par exemple, ADS\Admin Domaine,IL2\Admin Domaine). 118 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire Modification de comptes d’utilisateur et d’autres enregistrements dans Active Directory Gestionnaire de groupe de travail permet de modifier les comptes d’utilisateur, les comptes de groupe, les comptes d’ordinateur et d’autres enregistrements d’un domaine Active Directory. Vous pouvez également utiliser Gestionnaire de groupe de travail pour supprimer des enregistrements dans un domaine Active Directory. Pour plus d’instructions, consultez le guide de gestion des utilisateurs. Pour créer des comptes d’utilisateur, des comptes de groupe, des comptes d’ordinateur et d’autres enregistrements dans un domaine Active Directory, utilisez les outils d’administration Active Directory de Microsoft sur un serveur d’administration Windows. Configuration de l’accès LDAP aux domaines Active Directory Format de répertoire vous permet de définir une configuration LDAPv3 afin d’accéder à un domaine Active Directory situé sur un serveur Windows. Une configuration LDAPv3 vous donne un contrôle total sur le mappage des types et attributs d’enregistrements Mac OS X vers les classes d’objets, bases de recherche et attributs Active Directory. Le mappage de certains attributs et types d’enregistrements Mac OS X importants, tels que l’UID (identifiant d’utilisateur unique), nécessite l’extension du schéma Active Directory. De nombreuses fonctions du module externe Active Directory figurant dans Format de répertoire sont absentes des configurations LDAPv3. Il s’agit de la génération dynamique d’identifiant d’utilisateur unique et d’identifiant de groupe principal ; de la création d’un répertoire de départ Mac OS X local ; du montage automatique du répertoire de départ Windows ; de la mise en mémoire cache des références d’authentification ; de la détection de tous les domaines d’une forêt Active Directory ; et de la gestion de la duplication et du basculement Active Directory. Pour plus de détails, consultez la section “En savoir plus sur le module externe Active Directory” à la page 112. Format de répertoire vous permet de créer une configuration qui spécifie la manière dont Mac OS X accède à un répertoire LDAPv3 ou LDAPv2 particulier. Pour créer une configuration de serveur Active Directory : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez LDAPv3 dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Si la liste des configurations de serveur est masquée, cliquez sur Afficher les options. 5 Cliquez sur Nouveau, puis saisissez un nom pour la configuration.Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 119 6 Appuyez sur la touche de tabulation pour passer à la colonne suivante, puis saisissez le nom DNS ou l’adresse IP du serveur Active Directory. 7 Cliquez sur le menu local situé à côté du nom DNS ou de l’adresse IP, puis choisissez Active Directory. 8 Saisissez la base de recherche du domaine Active Directory, puis cliquez sur OK. 9 Pour qu’Open Directory utilise les connexions SSL (Secure Sockets Layer) avec le serveur Active Directory, cochez la case SSL. Le modèle de mappage Active Directory pour une configuration LDAPv3 mappe certains attributs et types d’enregistrements Mac OS X vers des classes d’objets et des attributs qui ne font pas partie d’un schéma Active Directory standard. Il est possible de modifier les mappages définis par le modèle ou d’étendre le schéma Active Directory. (Sinon, vous pouvez éventuellement accéder à votre domaine Active Directory via le module externe Active Directory plutôt que via LDAPv3.) Pour que l’ordinateur accède au domaine Active Directory pour lequel vous venez de créer une configuration LDAPv3, vous devez ajouter le répertoire à une politique de recherche personnalisée dans le panneau Authentification ou Contacts de Format de répertoire. Par ailleurs, LDAPv3 doit être activé dans le panneau Services. Pour plus d’instructions, consultez les sections “Activation ou désactivation des services de répertoires LDAP” à la page 95 et “Définition de politiques de recherche personnalisées” à la page 99. Accès à un domaine NIS Format de répertoire vous permet de créer une configuration qui spécifie comment Mac OS X accède à un domaine NIS. Pour créer une configuration d’accès à un domaine NIS : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez “BSD fichier plat et NIS” dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Tapez le nom de domaine NIS. Incluez le nom d’hôte ou l’adresse IP du serveur NIS s’il est nécessaire pour des raisons de sécurité ou si le serveur n’est pas sur le même sous-réseau que l’ordinateur que vous êtes en train de configurer. 5 Saisissez éventuellement le nom DNS ou l’adresse IP du serveur ou des serveurs sur lesquels se trouve le domaine NIS.120 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire Si vous ne spécifiez pas de serveur, NIS utilise un protocole broadcast pour détecter un serveur NIS sur le sous-réseau. 6 Créez une politique de recherche personnalisée qui inclut le domaine NIS. Dans une politique de recherche personnalisée, le domaine NIS est mentionné sous la forme /BSD/domaine, où domaine est ce que vous avez saisi à l’étape 4. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Définition de politiques de recherche personnalisées” à la page 99. Utilisation de fichiers de configuration BSD Les ordinateurs UNIX stockent traditionnellement les données administratives dans des fichiers de configuration tels que /etc/master.passwd, /etc/group et /etc/hosts. Mac OS X repose sur une version BSD d’UNIX, mais obtient en règle générale ses données administratives à partir de domaines de répertoire, pour les raisons exposées au début de ce chapitre. Dans Mac OS X versions 10.2 et ultérieures (y compris Mac OS X Server versions 10.2 et ultérieures), Open Directory peut lire des données administratives à partir de fichiers de configuration BSD. Cette fonction permet aux organisations disposant déjà de fichiers de configuration BSD d’utiliser des copies des fichiers existants sur les ordinateurs Mac OS X. Les fichiers de configuration BSD peuvent servir seuls ou avec d’autres domaines de répertoires. Pour utiliser des fichiers de configuration BSD : 1 Définissez chaque fichier de configuration BSD avec les données requises par les services de répertoire Mac OS X. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Configuration de données dans des fichiers de configuration BSD” à la page 121. 2 Créez une politique de recherche personnalisée incluant le domaine des fichiers de configuration BSD. Dans une politique de recherche personnalisée, le domaine des fichiers de configuration BSD est listé sous la forme /BSD/local. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Définition de politiques de recherche personnalisées” à la page 99. Mac OS X Server version 10.3 gère un ensemble fixe de fichiers de configuration BSD. Vous ne pouvez pas spécifier les fichiers de configuration à utiliser, ni mapper leur contenu vers des attributs et types d’enregistrements Mac OS X.Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 121 Configuration de données dans des fichiers de configuration BSD Si vous voulez qu’un ordinateur Mac OS X lise des données administratives à partir de fichiers de configuration BSD, ces données doivent être présentes dans ces fichiers et doivent être au format requis par Mac OS X. Vous pouvez être conduit à ajouter, modifier ou réorganiser des données dans les fichiers. Gestionnaire de groupe de travail ne pouvant modifier les données des fichiers de configuration BSD, vous devez procéder aux modifications nécessaires à l’aide d’un éditeur de texte ou d’un autre outil. Pour les spécifications détaillées des données requises par les services de répertoires Mac OS X, consultez l’annexe A, “Données de répertoire Mac OS X”. Accès aux domaines NetInfo hérités Les domaines de répertoires partagés créés à l’aide des versions de Mac OS X Server antérieures à 10.3 utilisaient le protocole NetInfo (et de manière facultative le protocole LDAPv3). Il est encore possible d’utiliser NetInfo pour accéder à ces domaines NetInfo hérités. Cela signifie que : • Tout serveur Mac OS X Server ou autre ordinateur Mac OS X peut accéder à un domaine NetInfo partagé hébergé sur un serveur qui a été mis à niveau avec Mac OS X Server version 10.3. • Mac OS X Server version 10.3 et Mac OS X version 10.3 peuvent accéder à tout domaine NetInfo partagé existant. Remarque : il est impossible de créer un nouveau domaine NetInfo partagé à l’aide de Mac OS X Server version 10.3, sauf si l’on utilise des utilitaires à ligne de commande. Si vous utilisez Assistant du serveur ou Admin Serveur pour configurer Mac OS X Server version 10.3 comme maître Open Directory (c’est-à-dire pour héberger un répertoire LDAP partagé), les autres ordinateurs ne pourront accéder à ce nouveau répertoire partagé qu’en utilisant LDAP. Pour plus d’instructions sur la configuration d’un serveur Mac OS X Server ou d’un autre ordinateur Mac OS X pour accéder à un domaine NetInfo partagé, consultez les sections “À propos de la liaison NetInfo” et “Configuration d’une liaison NetInfo” ci-après. Les administrateurs système expérimentés peuvent gérer des domaines NetInfo en procédant comme suit : • Créez des enregistrements d’ordinateur pour établir une liaison broadcast vers un domaine NetInfo partagé existant. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Ajout d’un enregistrement d’ordinateur à un domaine NetInfo parent” à la page 123. • Configuration d’un domaine NetInfo partagé pour utiliser un numéro de port particulier plutôt qu’affecté dynamiquement. Pour obtenir des instructions, consultez la section “Configuration de ports statiques pour domaines NetInfo partagés” à la page 124.122 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire À propos de la liaison NetInfo Lorsqu’un ordinateur Mac OS X démarre, il peut lier son domaine de répertoire local à un domaine NetInfo partagé. Le domaine NetInfo partagé peut être lié à un autre domaine NetInfo partagé. Le processus de liaison crée une hiérarchie de domaines NetInfo. Une hiérarchie NetInfo présente une structure arborescente. Les domaines locaux situés en bas de la hiérarchie sont liés aux domaines partagés qui, à leur tour, peuvent être liés à d’autres domaines partagés, etc. Chaque domaine est lié à un seul domaine partagé, mais un domaine partagé peut être lié à plusieurs domaines. Un domaine partagé est appelé domaine parent et chaque domaine qui s’y lie est un domaine enfant. Un domaine partagé lié à aucun autre domaine se situe en haut de la structure : il s’agit du domaine root. Un ordinateur Mac OS X peut se lier à un domaine NetInfo partagé au moyen de toute combinaison de trois protocoles : à savoir statique, Broadcast ou DHCP. • La liaison statique permet de spécifier l’adresse et la balise NetInfo du domaine NetInfo partagé. Elle est utilisée la plupart du temps lorsque l’ordinateur du domaine partagé ne se situe pas sur le même sous-réseau IP que l’ordinateur devant y accéder. • Avec la liaison DHCP, un serveur DHCP fournit automatiquement l’adresse et la balise NetInfo du domaine NetInfo partagé. Pour recourir à la liaison DHCP, le serveur DHCP doit être configuré en vue de fournir l’adresse et la balise d’un NetInfo parent. • Avec la liaison de diffusion, l’ordinateur localise un domaine NetInfo partagé en envoyant une requête de diffusion IP. L’ordinateur hébergeant le domaine partagé répond avec son adresse et sa balise. Dans le cadre de la liaison de diffusion, les deux ordinateurs doivent se situer sur le même sous-réseau IP ou sur un réseau configuré pour le transfert de diffusion IP. Le domaine parent doit être doté de la balise NetInfo “réseau”. Le domaine parent doit posséder un enregistrement d’ordinateur pour chaque ordinateur susceptible de se lier à lui via la liaison broadcast. Si vous configurez un ordinateur en vue d’utiliser plusieurs protocoles de liaison et si un parent ne se situe pas sur l’un d’eux, un autre protocole est utilisé. Les protocoles sont utilisés dans l’ordre suivant : protocole statique, protocole DHCP, puis protocole Broadcast. Configuration d’une liaison NetInfo Format de répertoire vous permet de configurer Mac OS X ou Mac OS X Server pour se lier à un domaine NetInfo parent en utilisant une combinaison quelconque des protocoles statique, broadcast ou DHCP. L’ordinateur tente de se lier à un domaine NetInfo parent lorsqu’il démarre.Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 123 Remarque : si votre réseau ne possède pas de domaine NetInfo partagé, la configuration d’un ordinateur pour se lier à un domaine NetInfo parent ralentit le démarrage de l’ordinateur. Pour lier un ordinateur Mac OS X à un domaine NetInfo partagé : 1 Dans Format de répertoire, cliquez sur Services. 2 Si l’icône représentant le cadenas est verrouillée, cliquez dessus et tapez le nom et le mot de passe d’un administrateur. 3 Sélectionnez NetInfo dans la liste des services, puis cliquez sur Configurer. 4 Sélectionnez les protocoles de liaison devant être utilisés par l’ordinateur. Pour la liaison de diffusion, sélectionnez l’option Se connecter avec le protocole Broadcast. Pour la liaison DHCP, sélectionnez l’option Se connecter avec le protocole DHCP. Pour la liaison statique, sélectionnez l’option Se connecter à un serveur NetInfo particulier. Tapez ensuite l’adresse IP de l’ordinateur de domaine parent dans le champ Adresse du serveur et la balise NetInfo du domaine parent dans le champ Balise du serveur. 5 Cliquez sur OK, puis sur Appliquer. 6 Redémarrez l’ordinateur. Ajout d’un enregistrement d’ordinateur à un domaine NetInfo parent Les ordinateurs Mac OS X peuvent lier leurs domaines de répertoire à un domaine NetInfo parent à l’aide de la liaison broadcast. Le domaine NetInfo parent doit posséder un enregistrement d’ordinateur pour chaque ordinateur Mac OS X pouvant se lier à lui par liaison broadcast. Vous pouvez créer un enregistrement d’ordinateur grâce à l’application Gestionnaire NetInfo. Ajout d’un enregistrement d’ordinateur à un domaine NetInfo parent 1 Ouvrez Gestionnaire NetInfo sur l’ordinateur hébergeant le domaine parent, puis ouvrez le domaine. 2 Cliquez sur le cadenas et authentifiez-vous à l’aide du nom et du mot de passe d’un administrateur du domaine de répertoire. 3 Sélectionnez le répertoire “ordinateurs” dans la liste de l’explorateur de répertoires. 4 Dans le menu Répertoire, choisissez Nouveau sous-répertoire. 5 Double-cliquez sur nouveau_rép dans la liste du bas, puis saisissez le nom DNS de l’ordinateur enfant. 6 Dans le menu Répertoire, choisissez Nouvelle propriété. 124 Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 7 Dans la liste du bas, remplacez nouvelle_propriété par adresse_ip et nouvelle_valeur par l’adresse IP de l’ordinateur enfant. 8 Dans le menu Répertoire, choisissez Nouvelle propriété. 9 Remplacez nouvelle_propriété par “serves” et nouvelle_valeur par le nom et la balise NetInfo du domaine local de l’enfant, en insérant une barre oblique (/) entre le nom et la balise. Par exemple, changez nouvelle_valeur par marketing.demo/local pour le domaine local de l’ordinateur nommé marketing.demo. 10 Choisissez Enregistrer les modifications dans le menu Domaine, puis cliquez sur l’option Mettre à jour cette copie. Configuration de ports statiques pour domaines NetInfo partagés Par défaut, Mac OS X sélectionne de manière dynamique un port dans la plage 600 à 1023 lorsqu’il accède à un domaine NetInfo partagé. Vous pouvez configurer un domaine partagé pour l’accès NetInfo à des ports spécifiques. Pour ce faire, recourez à l’application Gestionnaire NetInfo. Pour configurer des ports spécifiques en vue d’un accès NetInfo à des domaines partagés : 1 Ouvrez Gestionnaire NetInfo sur l’ordinateur hébergeant le domaine partagé, puis ouvrez le domaine. 2 Cliquez sur le cadenas et authentifiez-vous à l’aide du nom et du mot de passe d’un administrateur du domaine de répertoire. 3 Sélectionnez la barre oblique “/” pour parcourir. 4 Pour changer la valeur d’une propriété de port existant, double-cliquez sur la valeur située dans la colonne Valeur(s), puis apportez votre modification. 5 Pour supprimer une propriété de port, sélectionnez-la, puis choisissez Supprimer dans le menu Modifier. 6 Pour ajouter une propriété, choisissez Nouvelle propriété dans le menu Répertoire, puis procédez comme suit : Pour utiliser un même port pour les paquets TCP et UDP, double-cliquez sur nouvelle_propriété et remplacez cette valeur par “port”. Changez ensuite nouvelle_valeur par le numéro de port souhaité. Pour disposer de ports TCP et UDP séparés, double-cliquez sur nouvelle_propriété, puis remplacez cette valeur par tcp_port. Changez ensuite nouvelle_valeur par le numéro de port TCP souhaité. Double-cliquez ensuite sur nouvelle_propriété, puis modifiez cette valeur par port_udp. Cette fois, remplacez nouvelle_valeur par le numéro de port UDP souhaité.Chapitre 7 Gestion de Format de répertoire 125 Configuration de Format de répertoire sur un serveur distant Vous pouvez utiliser l’application Format de répertoire sur votre ordinateur pour configurer et gérer la manière dont un serveur doté de Mac OS X Server accède aux services de répertoire et détecte les services réseau. Votre ordinateur doit être équipé de la version 10.2 ou ultérieure de Mac OS X ou Mac OS X Server et le serveur distant doit être équipé de Mac OS X Server version 10.2. Pour configurer l’accès à un répertoire sur un serveur distant : 1 Dans Format de répertoire, à partir de votre ordinateur, choisissez l’option Se connecter au menu Serveur. 2 Tapez les informations de connexion et d’authentification pour le serveur à configurer, puis cliquez sur Se connecter. Adresse : tapez le nom DNS ou l’adresse IP du serveur à configurer. Nom d’utilisateur : tapez le nom d’utilisateur d’un administrateur du serveur. Mot de passe : tapez le mot de passe correspondant au nom d’utilisateur que vous avez saisi. 3 Cliquez sur les onglets Services, Authentification et Contacts, puis apportez les modifications nécessaires aux réglages. Toutes les modifications effectuées affectent le serveur distant auquel vous vous êtes connecté au cours des étapes précédentes. 4 Une fois la configuration du serveur distant terminée, choisissez Déconnecter dans le menu Serveur, sur votre ordinateur.8 127 8 Maintenance et résolution des problèmes Vous pouvez contrôler les services Open Directory, afficher et modifier les données brutes des domaines Open Directory et effectuer une sauvegarde des fichiers Open Directory. Vous pouvez aussi résoudre certains problèmes courants concernant Open Directory. Pour obtenir des descriptions et des instructions concernant les tâches de maintenance Open Directory, reportez-vous aux sections : • “Contrôle d’Open Directory” (ci-dessous). • “Affichage et modification directs des données de répertoire” à la page 128. • “Sauvegarde de fichiers Open Directory” à la page 130. • “Restauration de fichiers Open Directory” à la page 132. Pour la description de certains des problèmes liés aux services Open Directory et pour leur résolution, lisez : • “Résolution des problèmes d’accès aux répertoires” à la page 134. • “Résolution des problèmes d’authentification” à la page 135. Contrôle d’Open Directory Vous pouvez afficher les états et les historiques d’Open Directory. Vous pouvez également examiner les historiques d’authentification Open Directory pour y chercher des traces d’activités suspectes. Affichage des états et des historiques Open Directory Vous pouvez utiliser l’application Admin Serveur pour afficher les informations d’état et les historiques des services Open Directory. Les historiques disponibles sont les suivants : • Historique du serveur de services de répertoires • Historique des erreurs des services de répertoires • Historique des recherches • Historique NetInfo • Historique LDAP128 Chapitre 8 Maintenance et résolution des problèmes • Historique du serveur du service de mots de passe • Historique des erreurs du service des mots de passe Pour visualiser des historiques ou des états de services de répertoires : 1 Ouvrez Admin Serveur et choisissez le serveur Open Directory dans la liste Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Vue d’ensemble pour afficher les informations d’état. 3 Cliquez sur Historiques et utilisez le menu local Afficher pour choisir l’historique que vous souhaitez consulter. Contrôle de l’authentification Open Directory Vous pouvez utiliser les historiques du service de mots de passe, visibles à l’aide d’Admin Serveur, pour contrôler les tentatives d’ouverture de session ayant échoué et identifier ainsi les activités suspectes. Open Directory consigne l’ensemble des échecs d’authentification, y compris les adresses IP qui les ont générés. Réexaminez régulièrement les historiques afin de déterminer s’il existe un grand nombre de tentatives infructueuses pour un même identifiant de mot de passe, ce qui indiquerait qu’une personne est peut-être en train d’essayer de deviner des mots de passe. Pour afficher les historiques d’authentification Open Directory : 1 Ouvrez Admin Serveur et choisissez le serveur Open Directory dans la liste des Ordinateurs et services. 2 Cliquez sur Historiques, puis choisissez un historique du service de mots de passe dans le menu local Afficher. Affichage et modification directs des données de répertoire Vous pouvez afficher ou modifier les données de répertoire brutes à l’aide de l’Inspecteur dans Gestionnaire de groupe de travail. L’Inspecteur vous permet d’afficher les données de répertoires qui ne sont pas visibles dans le Gestionnaire de groupe de travail ni dans aucune autre application. L’Inspecteur vous permet en outre de modifier des données de répertoire que vous ne pouvez modifier ni dans le Gestionnaire de groupe de travail ni dans aucune autre application. Vous pouvez par exemple utiliser l’inspecteur pour modifier le nom abrégé d’un utilisateur. Affichage de l’Inspecteur de répertoire Vous pouvez afficher l’Inspecteur dans le Gestionnaire de groupe de travail en sélectionnant une option dans les Préférences du Gestionnaire de groupe de travail. Vous pouvez ensuite accéder à l’Inspecteur pour visualiser ou modifier des données de répertoire brutes.Chapitre 8 Maintenance et résolution des problèmes 129 Important : la modification de données de répertoire brutes peut avoir des conséquences imprévisibles et indésirables. Vous pourriez involontairement désactiver un utilisateur ou un ordinateur ou autoriser les utilisateurs à accéder à un nombre plus élevé de ressources que prévu. Pour afficher l’Inspecteur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail et choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences. 2 Sélectionnez “Afficher l’inspecteur et l’onglet Toutes les fiches”, puis cliquez sur OK. 3 Cliquez sur le bouton Utilisateurs, Groupe ou Ordinateur (à gauche), puis cliquez sur Inspecteur (à droite). Vous pouvez également cliquer sur le bouton Toutes les fiches, à côté du bouton Ordinateurs, puis choisir un type d’enregistrement dans le menu local situé en haut de la liste. Le menu local affiche tous les types d’enregistrement standard qui existent dans le domaine de répertoire. Vous pouvez également choisir Natif dans le menu local, puis saisir le nom d’un type d’enregistrement natif dans le champ qui apparaît sous le menu local. La liste affiche tous les enregistrements, y compris les enregistrements prédéfinis, du type d’enregistrement actuellement sélectionné. Masquage de l’inspecteur de répertoire Si l’Inspecteur est visible dans le Gestionnaire de groupe de travail, vous pouvez le masquer en modifiant une option dans les Préférences du Gestionnaire de groupe de travail. Pour masquer l’Inspecteur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail et choisissez Gestionnaire de groupe de travail > Préférences. 2 Désélectionnez “Afficher l’inspecteur et l’onglet Toutes les fiches”, puis cliquez sur OK. Modification du nom abrégé d’un utilisateur Vous pouvez utiliser l’Inspecteur du Gestionnaire de groupe de travail pour modifier le ou les noms abrégés d’un utilisateur, y compris son premier nom abrégé. Important : la modification du nom abrégé d’un utilisateur peut avoir des conséquences inattendues et indésirables. D’autres services utilisent le nom abrégé des utilisateurs pour les identifier de manière unique et persistante. Ainsi, la modification du nom abrégé d’un utilisateur n’affecte pas le nom de son répertoire de départ. L’utilisateur dispose du même répertoire de départ (bien que le nom de ce dernier ne corresponde plus au nouveau nom abrégé de l’utilisateur) sauf s’il accède à son répertoire de départ par l’intermédiaire d’une appartenance à un groupe. En fait, la modification du nom abrégé d’un utilisateur annule son appartenance à tous les groupes dont il est membre car la liste des membres de chaque groupe est constituée à partir des noms abrégés.130 Chapitre 8 Maintenance et résolution des problèmes Pour modifier le nom abrégé d’un compte d’utilisateur : 1 Ouvrez le Gestionnaire de groupe de travail et affichez l’Inspecteur s’il est masqué. 2 Cliquez sur le bouton Comptes, puis sur le bouton Utilisateurs. 3 Ouvrez le domaine de répertoire contenant le compte d’utilisateur dont vous voulez changer le nom abrégé, puis authentifiez-vous en tant qu’administrateur du domaine. Pour ouvrir un domaine de répertoire, cliquez sur la petite icône de globe, au-dessus de la liste des utilisateurs et faites votre choix dans le menu local. 4 Sélectionnez le compte dont vous voulez changer le nom abrégé, puis cliquez sur Inspecteur (à droite). 5 Trouvez RecordName dans la liste des attributs ; si un triangle est visible à côté de RecordName, cliquez dessus pour afficher toutes les valeurs de RecordName. L’attribut RecordName stocke le ou les noms abrégés de l’utilisateur. 6 Double-cliquez sur la valeur RecordName correspondant au nom abrégé que vous souhaitez changer, puis saisissez un autre nom abrégé et appuyez sur la touche Retour. Vous pouvez aussi cliquer sur une valeur RecordName, puis cliquer sur Modifier pour modifier la valeur dans une fenêtre de modification. 7 Cliquez sur Enregistrer. Sauvegarde de fichiers Open Directory Pour sauvegarder un maître Open Directory, vous devez sauvegarder son domaine de répertoire LDAP partagé, ses fichiers de configuration et sa base de données de serveur de mots de passe Open Directory. Vous pouvez également sauvegarder le répertoire local du serveur, qui est un domaine NetInfo. Vous pouvez effectuer la sauvegarde “à chaud” d’un maître Open Directory, c’est-à-dire le sauvegarder alors qu’il est en service. Il est possible de sauvegarder une copie Open Directory, mais cela n’est pas réellement nécessaire. En fait, il peut être dangereux de restaurer une copie car cela revient à mettre une copie dépassée du maître sur le réseau. Comme il s’agit d’une copie du maître, ce dernier constitue de fait une sauvegarde de la copie. En cas de problèmes avec une copie, vous pouvez simplement lui donner un rôle de serveur autonome. Configurez ensuite le serveur comme s’il s’agissait d’un nouveau serveur, en lui donnant un nouveau nom d’hôte, puis configurez-le comme une copie du même maître qu’auparavant. Par conséquent, si vous disposez d’une sauvegarde fiable du maître, vous disposez de fait d’une sauvegarde de toutes les copies de ce maître.Chapitre 8 Maintenance et résolution des problèmes 131 Important : veillez à effectuer la procédure de sauvegarde sans laisser s’écouler trop de temps entre les étapes. Vous vous assurez ainsi que le répertoire LDAP, les fichiers de configuration et la base de données de stockage des mots de passe sauvegardés sont aussi bien synchronisés que possible. Important : mettez en lieu sûr le support de sauvegarde qui contient une copie de la base de données des mots de passe Open Directory. Cette sauvegarde contient les mots de passe de tous les utilisateurs qui possèdent un mot de passe Open Directory, tant dans le domaine de répertoire LDAP partagé que dans le domaine de répertoire NetInfo local. Les mesures de sécurité que vous prenez pour le support de sauvegarde doivent être aussi sévères que celles prises pour le serveur maître Open Directory. Pour effectuer la sauvegarde “à chaud” d’un maître Open Directory : 1 Ouvrez une session de Terminal en tant qu’utilisateur racine (root). 2 Saisissez la commande suivante, puis appuyez sur la touche Retour. slapcat -l backup.ldif Cette utilisation de slapcat enregistre tout le contenu du répertoire LDAP en tant qu’image LDIF brute dans un fichier texte nommé backup.ldif. Vous pouvez spécifier d’autres nom de fichier et chemin d’accès. Le fichier spécifié contient toutes les enregistrements d’utilisateur, de groupe, d’ordinateur, etc. (En revanche, il ne contient pas les mots de passe des enregistrements d’utilisateur dont le mot de passe est de type Open Directory. Ces mots de passe ne sont pas stockés dans la base de données de répertoire LDAP. Il sont stockés séparément dans la base de données du serveur de mot de passe Open Directory.) 3 Faites une copie du dossier /etc/openldap. Ce dossier contient des fichiers qui déterminent la configuration du domaine de répertoire LDAP, y compris les fichiers de schéma. 4 Si votre serveur LDAP utilise SSL, faites une copie du fichier de certificat du serveur, du fichier de clé privée du serveur LDAP et du fichier de certificat de l’autorité de certification. 5 Tapez les commandes suivantes en appuyant sur la touche Retour après chacune d’elles. mkdir -p chemin d’accès au dossier de sauvegarde mkpassdb -backupdb chemin d’accès au dossier de sauvegarde Le dossier de sauvegarde des mots de passe Open Directory, dont l’emplacement correspond au chemin d’accès au dossier de sauvegarde, contiendra les copies de sauvegarde de tous les fichiers de serveur de mots de passe Open Directory, y compris la base de données. 132 Chapitre 8 Maintenance et résolution des problèmes Protégez avec le plus grand soin le dossier de sauvegarde du serveur de mots de passe Open Directory ! Il contient les mots de passe de tous les utilisateurs qui possèdent un mot de passe Open Directory, tant dans le domaine de répertoire LDAP partagé que dans le domaine de répertoire NetInfo local. Le support de sauvegarde doit être stocké en lieu sûr, exactement comme le serveur maître Open Directory. 6 Vous pouvez, si vous le souhaitez, faire une copie du dossier Library/Preferences/ DirectoryService. Les fichiers de ce dossier déterminent les politiques de recherche du serveur et la manière dont le serveur accède à son répertoire LDAP. Il peut aussi contenir des fichiers supplémentaires déterminant de quelle manière le serveur accède à d’autres domaines de répertoire. 7 Si vous le souhaitez, faites une copie du fichier /etc/hostconfig. 8 Pour sauvegarder le domaine de répertoire NetInfo local, tapez la commande suivante, puis appuyez sur la touche Retour : nidump -r / . > local.dump L’utilisation de nidump enregistre tout le contenu du domaine NetInfo local en tant que fichier texte brut nommé local.dump. Vous pouvez spécifier d’autres nom de fichier et chemin d’accès. Remarque : si tous les comptes d’utilisateur possèdent un mot de passe Open Directory et que le serveur de mots de passe Open Directory cesse de fonctionner, vous pouvez ouvrir une connexion en tant que root. Le compte d’utilisateur root du domaine de répertoire local possède mot de passe shadow qui n’est pas stocké dans la base de données du serveur de mots de passe Open Directory. Restauration de fichiers Open Directory Pour restaurer un maître Open Directory à partir de fichiers de sauvegarde, vous devez restaurer son domaine de répertoire LDAP partagé, ses fichiers de configuration et sa base de données de serveur de mots de passe Open Directory. Il est recommandé de restaurer également le répertoire local du serveur, qui est un domaine NetInfo. Pour restaurer un maître Open Directory à partir de fichiers de sauvegarde : 1 Si, après une panne catastrophique, vous devez réinstaller le logiciel Mac OS X Server, réglez l’utilisation du répertoire sur “serveur autonome” lors des étapes de configuration initiales du serveur à l’aide de l’Assistant du serveur. Si Mac OS X Server a été réinstallé, mais que l’utilisation du répertoire a initialement été réglée sur autre chose que “serveur autonome” dans l’Assistant du serveur, ouvrez Admin Serveur, sélectionnez Open Directory, cliquez sur Réglages, cliquez sur Général, puis réglez Rôle sur Serveur autonome. 2 Ouvrez une session de Terminal en tant que root.Chapitre 8 Maintenance et résolution des problèmes 133 3 Restaurez le dossier /etc/openldap à partir d’une copie de sauvegarde. Ce dossier contient des fichiers qui déterminent la configuration du domaine de répertoire LDAP, y compris les fichiers de système (schéma). 4 Restaurez le dossier /etc/hostconfig à partir d’une copie de sauvegarde. Si vous ne disposez pas d’une copie de sauvegarde du fichier /etc/hostconfig, vous pouvez modifier le fichier existant. Le fichier doit contenir la ligne suivante : LDAPSERVER=-YESSi le serveur LDAP restauré doit utiliser SSL, le fichier /etc/hostconfig file doit également contenir la ligne suivante : LDAPSSL=-YES- 5 Si le serveur LDAP restauré doit utiliser SSL, restaurez une copie du fichier de certificat du serveur, du fichier de clé privée du serveur LDAP ainsi que du fichier de certificat de l’autorité de certification. Restaurez ces fichiers dans leurs emplacements antérieurs. Les chemins d’accès corrects sont spécifiés dans /etc/openldap/slapd_macosxserver.conf ou /etc/openldap/ slapd.conf. 6 Assurez-vous que le dossier qui contiendra la base de données LDAP existe et qu’il est vide. Le chemin de ce dossier, qui par défaut est /var/db/openldap/openldap-data/ est spécifié dans /etc/openldap/slapd_macosxserver.conf ou /etc/openldap/slapd.conf. 7 Saisissez la commande suivante et appuyez sur Retour. slapadd -c -l backup.ldif L’utilisation de slapadd ajoute les enregistrements d’utilisateur, de groupe, d’ordinateur etc. au répertoire LDAP, à partir du fichier texte LDIF brut nommé backup.dif. Vous pouvez spécifier un autre nom de fichier et un chemin. (L’ajout de fiches LDAP à partir du fichier texte LDIF ne restaure pas les mots de passe pour les enregistrements d’utilisateur dont le mot de passe est de type Open Directory. Ces mots de passe ne sont pas stockés dans la base de données de répertoire LDAP, mais dans la base de données de serveur de mot de passe Open Directory.) 8 Saisissez la commande suivante et appuyez sur Retour. mkpassdb -mergedb chemin d’accès au dossier de sauvegarde L’utilisation de mkpassdb ajoute tous les mots de passe du dossier de sauvegarde du serveur de mots de passe Open Directory, dont l’emplacement correspond au chemin d’accès au dossier de sauvegarde, à la base de données existante du serveur de mots de passe Open Directory. (Le serveur dispose d’un serveur existant de mots de passe Open Directory pour son domaine de répertoire local.) 9 Saisissez la commande suivante, puis appuyez sur la touche Retour : /System/Library/StartupItems/LDAP/LDAP start134 Chapitre 8 Maintenance et résolution des problèmes Cette commande démarre le serveur LDAP. 10 Si vous souhaitez restaurer le domaine de répertoire NetInfo local, tapez la commande suivante et appuyez sur Retour : niload -r / . < local.dump L’utilisation de niload charge tout le contenu du domaine NetInfo local à partir d’un fichier texte brut nommé local.dump. 11 Restaurez le dossier Library/Preferences/DirectoryService à partir d’une copie de sauvegarde, puis redémarrez le serveur ou utilisez Format de répertoire pour configurer l’accès au répertoire LDAP restauré et l’ajouter à une politique de recherche personnalisée. Les fichiers du dossier Library/Preferences/DirectoryService déterminent les politiques de recherche du serveur et le mode d’accès du serveur à son répertoire LDAP. Il peut aussi contenir des fichiers supplémentaires déterminant le mode d’accès du serveur à d’autres domaines de répertoires. Si vous restaurez ce dossier à partir d’une copie de sauvegarde, vous devez redémarrer le serveur afin qu’Open Directory reconnaisse les politiques de recherche et les configurations d’accès au serveur restaurées. Si vous ne disposez pas d’une copie de sauvegarde de ce dossier, utilisez Format de répertoire pour créer une configuration LDAPv3 pour l’adresse IP de bouclage (127.0.0.1) et ajoutez-la à une politique de recherche d’authentification personnalisée. Pour plus de détails, voir “Configuration de l’accès à un répertoire LDAP” à la page 102 et “Définition de politiques de recherche personnalisées” à la page 99. Résolution des problèmes d’accès aux répertoires Les problèmes d’accès aux services de répertoire lors du démarrage peuvent avoir plusieurs causes. Un ralentissement se produit lors du démarrage Si Mac OS X ou Mac OS X Server rencontre un problème de ralentissement au démarrage alors qu’un message concernant NetInfo, LDAP ou les services de répertoire s’affiche au-dessus de la barre de progression, il est possible que l’ordinateur essaie d’accéder à un domaine NetInfo ou à un répertoire LDAP qui n’est pas disponible sur votre réseau. • Utilisez Format de répertoire pour vous assurer que les configurations NetInfo et LDAP sont correctes. • Utilisez le tableau Réseau des Préférences Système pour vous assurer que la configuration réseau de l’ordinateur et les autres paramètres de réseau sont corrects. • Examinez le réseau physique pour détecter d’éventuels problèmes de connexion. Chapitre 8 Maintenance et résolution des problèmes 135 Résolution des problèmes d’authentification Vous pouvez résoudre certains problèmes courants des services d’authentification. Impossible de modifier un mot de passe d’utilisateur Avant de pouvoir modifier le mot de passe d’un utilisateur dont le mot de passe est authentifié par Open Directory, vous devez être un administrateur du domaine de répertoire où se trouve la fiche de l’utilisateur. De plus, votre compte d’utilisateur doit être configuré pour une authentification Open Directory. Un utilisateur ne parvient pas à s’authentifier pour le service VPN Les utilisateurs, dont les comptes sont stockés sur un serveur Mac OS X Server de version 10.2 ne peuvent pas s’authentifier pour le service VPN fourni par Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure. Le service VPN requiert la méthode d’authentification MS-CHAPv2, qui n’est pas gérée par Mac OS X Server version 10.2. Pour permettre aux utilisateurs concernés d’ouvrir une session, vous pouvez transférer leurs comptes d’utilisateur sur un serveur doté de Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure. Une autre solution consiste à mettre à niveau les anciens serveurs avec Mac OS X Server version 10.3 ou ultérieure. Impossible de convertir le type de mot de passe d’un utilisateur en Open Directory Afin de pouvoir modifier un compte d’utilisateur de telle manière qu’il puisse utiliser une authentification Open Directory, vous devez être administrateur du domaine de répertoire dans lequel se trouve la fiche de cet utilisateur. De plus, votre compte d’utilisateur doit être configuré pour une authentification Open Directory. Les utilisateurs Kerberos ne parviennent pas à être authentifiés En cas d’échec d’authentification d’un utilisateur ou d’un service employant Kerberos, procédez de l’une des manières suivantes : • Le comportement de Kerberos repose sur des horodatages cryptés. S’il existe une différence de plus de cinq minutes entre le centre de distribution de clés, le client et les ordinateurs des services, l’authentification risque d’échouer. Vérifiez que les horloges de tous ces ordinateurs sont synchronisées à l’aide d’un serveur horloge de réseau. • Si Kerberos est en cours d’utilisation, assurez-vous que l’authentification est activée pour le service en question. • Si un serveur Kerberos servant à la validation de mot de passe est indisponible, réinitialisez le mot de passe de l’utilisateur afin de recourir à un serveur disponible. • Assurez-vous que le serveur fournissant le service Kerberos dispose bien d’un accès direct aux domaines de répertoires contenant les comptes des utilisateurs authentifiés via Kerberos. Pour ce faire, vous pouvez par exemple utiliser un domaine de répertoire partagé sur le serveur du centre de distribution de clés hébergeant les fiches d’utilisateurs qui correspondent à l’ensemble des principaux de l’utilisateur.136 Chapitre 8 Maintenance et résolution des problèmes • Pour obtenir des informations susceptibles d’aider à résoudre certains problèmes, consultez l’historique du centre de distribution de clés (kdc.log). Des informations de configuration incorrectes, comme des noms de fichiers de configuration incorrects, peuvent être détectées à l’aide de ces historiques. • Assurez-vous que tous vos fichiers de configuration sont complets et corrects. Par exemple, vérifiez que le fichier keytab sur votre serveur comporte les principaux utiles. Réinitialisation d’un mot de passe d’administrateur Le disque d’installation de Mac OS X Server vous permet de changer le mot de passe d’un compte d’utilisateur disposant d’autorisations d’administrateur, y compris le compte de l’Administrateur système (root ou superuser). Important : dans la mesure où un utilisateur disposant du disque d’installation peut accéder sans restriction à votre serveur, il est conseillé de limiter l’accès physique à l’ordinateur hébergeant le logiciel de serveur. Pour modifier le mot de passe d’un compte d’administrateur : 1 Démarrez à partir du disque d’installation 1 de Mac OS X Server. 2 Dans le programme d’installation, choisissez Installation > Réinitialiser le mot de passe. 3 Sélectionnez le volume de disque dur contenant le compte d’administrateur dont vous voulez réinitialiser le mot de passe. 4 Choisissez le compte d’administrateur dans le menu local, tapez un nouveau mot de passe, puis cliquez sur Enregistrer. L’Administrateur système correspond au compte d’utilisateur racine (root ou superuser). Ne confondez pas ce compte avec un compte d’administrateur normal. Évitez de modifier les mots de passe des comptes d’utilisateur prédéfinis. Pour plus d’informations sur les comptes d’utilisateur prédéfinis, lisez le guide de gestion des utilisateurs. Remarque : cette procédure modifie le mot de passe du compte d’administrateur stocké dans le domaine de répertoire local du serveur. Il ne modifie pas le mot de passe d’un compte d’administrateur stocké dans le domaine de répertoire partagé du serveur, si le serveur dispose d’un tel domaine. Si vous connaissez le mot de passe d’un compte d’administrateur stocké dans le domaine local, vous pouvez modifier le mot de passe de tous les autres comptes d’administrateur du domaine de répertoire local en utilisant le Gestionnaire de groupe de travail plutôt que cette procédure. Pour obtenir des instructions, lisez le guide de gestion des utilisateurs. 137 A Annexe A Données de répertoire Mac OS X La connaissance du schéma LDAP Open Directory et des attributs et types d’enregistrements des domaines de répertoire Mac OS X vous aidera pour le mappage sur d’autres domaines de répertoire, ainsi que pour l’importation ou l’exportation des comptes d’utilisateur et de groupe. Pour les spécifications des extensions Open Directory au schéma LDAP, des mappages d’attributs Open Directory sur des attributs LDAP et Active Directory et des attributs standard de divers types d’enregistrements, consultez les sections : • “Extensions Open Directory au schéma LDAP” à la page 138. • “Classes d’objets du schéma LDAP Open Directory” à la page 138. • “Attributs du schéma LDAP Open Directory” à la page 144. • “Mappage d’attributs standard sur LDAP et Active Directory” à la page 157. • “Mappages pour Utilisateurs” à la page 157. • “Mappages de groupes (Groups)” à la page 161. • “Mappages de montages (Mounts)” à la page 162. • “Mappages d’ordinateurs (Computers)” à la page 163. • “Mappages de listes d’ordinateurs (ComputerLists)” à la page 165. • “Mappages de configuration (Config)” à la page 165. • “Mappages de personnes (People)” à la page 166. • “Mappages de listes d’ordinateurs préréglés (PresetComputerLists)” à la page 168. • “Mappages de groupes préréglés (PresetGroups)” à la page 168. • “Mappages d’utilisateurs préréglés (PresetUsers)” à la page 169. • “Mappages d’imprimantes (Printers)” à la page 171. • “Mappages de configuration automatique de serveur (AutoServerSetup)” à la page 172. • “Mappages d’emplacements (Locations)” à la page 172. • “Attributs standard des enregistrements d’utilisateurs” à la page 173. • “Données d’utilisateur utilisées par Mac OS X Server” à la page 178. • “Attributs standard dans les enregistrements de groupes” à la page 179. • “Attributs standard des enregistrements d’ordinateurs” à la page 180.138 Annexe A Données de répertoire Mac OS X • “Attributs standard des enregistrements de listes d’ordinateurs” à la page 181. • “Attributs standard des enregistrements de montage” à la page 182. • “Attributs standard des enregistrements de configuration” à la page 182. Utilisez ces spécifications pour rappel lorsque vous : • Mappez des classes d’objets et des attributs de répertoires LDAP non-Apple ou des domaines Active Directory sur des types et attributs d’enregistrements Open Directory, comme décrit au le chapitre 7, “Gestion de Format de répertoire”. • Importez ou exportez des comptes d’utilisateur ou de groupe vers un domaine Open Directory, comme décrit dans le guide de gestion des utilisateurs. Extensions Open Directory au schéma LDAP Le schéma des répertoires LDAP Open Directory est basé sur les attributs et classes d’objets standard définis dans les documents RFC (Request for Comments) de l’IETF (Internet Engineering Task Force) : • RFC 2307 “An Approach for Using LDAP as a Network Information Service” • RFC 2798 “Definition of the inetOrgPerson LDAP Object Class” Ces RFC sont disponibles sur le site Web de l’IETF (en anglais) : www.ietf.org/rfc.html Les attributs et classes d’objets définis dans ces RFC forment la base du schéma LDAP Open Directory. Le schéma étendu des répertoires LDAP Open Directory inclut les attributs et classes d’objets définis dans cette section. Remarque : Apple est susceptible d’étendre plus tard le schéma LDAP Open Directory, par exemple pour gérer de nouvelles versions de Mac OS X et Mac OS X Server. Le schéma le plus récent est disponible sous forme de fichiers texte sur tout ordinateur doté de Mac OS X Server. Les fichiers de schéma se trouvent dans le répertoire /etc/ openldap/schema. En particulier, le fichier apple.schema contient les dernières extensions de schéma pour répertoires LDAP Open Directory. Classes d’objets du schéma LDAP Open Directory Cette section définit les classes d’objets Open Directory LDAP qui étendent le schéma LDAP standard. Classe d’objets structurelle de conteneur (container) Container est une classe d’objets structurelle utilisée pour les conteneurs d’enregistrements de premier niveau comme cn=users, cn=groups et cn=mounts. Il n’existe pas de services de répertoires analogues à cette classe d’objets, mais le nom de conteneur fait partie de la base de recherche pour chaque type d’enregistrement. objectclass ( 1.2.840.113556.1.3.23Annexe A Données de répertoire Mac OS X 139 NAME ’container’ SUP top STRUCTURAL MUST ( cn ) ) Classe d’objets d’utilisateur (user) La classe d’objets apple-user est une classe auxiliaire servant à stocker des attributs spécifiques Mac OS X qui ne font pas partie d’inetOrgPerson ou de posixAccount. Cette classe d’objets est utilisée avec les enregistrements kDSStdRecordTypeUsers. objectclass ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.1 NAME ’apple-user’ SUP top AUXILIARY DESC ’compte d’utilisateur apple’ MAY ( apple-user-homeurl $ apple-user-class $ apple-user-homequota $ apple-user-mailattribute $ apple-user-printattribute $ apple-mcxflags $ apple-mcxsettings $ apple-user-adminlimits $ apple-user-picture $ apple-user-authenticationhint $ apple-user-homesoftquota $ apple-user-passwordpolicy $ apple-keyword $ apple-generateduid $ authAuthority $ acctFlags $ pwdLastSet $ logonTime $ logoffTime $ kickoffTime $ homeDrive $ scriptPath $ profilePath $ userWorkstations $ smbHome $ rid $ primaryGroupID ) ) Classe d’objets auxiliaire de groupe (group) La classe d’objets apple-group est une classe auxiliaire utilisée pour stocker des attributs spécifiques Mac OS X qui ne font pas partie de posixGroup. Cette classe d’objets est utilisée avec les enregistrements kDSStdRecordTypeGroups. objectclass ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.14 NAME ’apple-group’ SUP top AUXILIARY DESC ’compte de groupe’ MAY ( apple-group-homeurl $ apple-group-homeowner $ apple-mcxflags $ apple-mcxsettings $ apple-group-realname $ apple-user-picture $ apple-keyword $140 Annexe A Données de répertoire Mac OS X apple-generateduid ) ) Classe d’objets auxiliaire d’ordinateur (machine) objectclass ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.3 NAME ’apple-machine’ SUP top AUXILIARY MAY ( apple-machine-software $ apple-machine-hardware $ apple-machine-serves $ apple-machine-suffix ) ) Classe d’objets de montage (mount) objectclass ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.8 NAME ’mount’ SUP top STRUCTURAL MUST ( cn ) MAY ( mountDirectory $ mountType $ mountOption $ mountDumpFrequency $ mountPassNo ) ) Classe d’objets d’imprimante (printer) objectclass ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.9 NAME ’apple-printer’ SUP top STRUCTURAL MUST ( cn ) MAY ( apple-printer-attributes $ apple-printer-lprhost $ apple-printer-lprqueue $ apple-printer-type $ apple-printer-note ) ) Classe d’objets d’ordinateur (computer) objectclass ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.10 NAME ’apple-computer’ DESC ’ordinateur’ SUP top STRUCTURAL MUST ( cn )Annexe A Données de répertoire Mac OS X 141 MAY ( apple-realname $ description $ macAddress $ apple-computer-list-groups $ apple-mcxflags $ apple-mcxsettings $ apple-xmlplist $ authAuthority $ uidNumber $ gidNumber $ apple-generateduid $ acctFlags $ pwdLastSet $ logonTime $ logoffTime $ kickoffTime $ rid $ primaryGroupID ) ) Classe d’objets de liste d’ordinateurs (ComputerList) objectclass ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.11 NAME ’apple-computer-list’ DESC ’liste d’ordinateurs’ SUP top STRUCTURAL MUST ( cn ) MAY ( apple-mcxflags $ apple-mcxsettings $ apple-computer-list-groups $ apple-computers $ apple-keyword ) ) Classe d’objets de configuration objectclass ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.12 NAME ’apple-configuration’ DESC ’configuration’ SUP top STRUCTURAL MAY ( cn $ apple-config-realname $ apple-data-stamp $ apple-password-server-location $ apple-password-server-list $ apple-ldap-replica $ apple-ldap-writable-replica $ apple-keyword $ apple-kdc-authkey $ apple-kdc-configdata $ apple-xmlplist ) )142 Annexe A Données de répertoire Mac OS X Classe d’objets de liste d’ordinateurs préréglés (Preset Computer List) objectclass ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.13 NAME ’apple-preset-computer-list’ DESC ’liste d’ordinateurs préréglés’ SUP top STRUCTURAL MUST ( cn ) MAY ( apple-mcxflags $ apple-mcxsettings $ apple-keyword ) ) Classe d’objets de groupe préréglé (Preset Group) objectclass ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.3.14 NAME ’apple-preset-group’ DESC ’groupe préréglé’ SUP top STRUCTURAL MUST ( cn ) MAY ( memberUid $ gidNumber $ apple-group-homeurl $ apple-group-homeowner $ apple-mcxflags $ apple-mcxsettings $ apple-group-realname $ apple-keyword ) ) Classe d’objets d’utilisateur préréglé (Preset User) objectclass ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.15 NAME ’apple-preset-user’ DESC ’utilisateur préréglé’ SUP top STRUCTURAL MUST ( cn ) MAY ( uid $ memberUid $ gidNumber $ homeDirectory $ apple-user-homeurl $ apple-user-homequota $ apple-user-homesoftquota $ apple-user-mailattribute $ apple-user-printattribute $Annexe A Données de répertoire Mac OS X 143 apple-mcxflags $ apple-mcxsettings $ apple-user-adminlimits $ apple-user-passwordpolicy $ userPassword $ apple-user-picture $ apple-keyword $ loginShell $ shadowLastChange $ shadowExpire $ authAuthority $ apple-preset-user-is-admin ) ) Classe d’objets d’autorité d’authentification (Authentication Authority) objectclass ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.16 NAME ’authAuthorityObject’ SUP top AUXILIARY MAY ( authAuthority ) ) Classe d’objets de configuration d’assistant du serveur (Server Assistant Configuration) objectclass ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.17 NAME ’apple-serverassistant-config’ SUP top AUXILIARY MUST ( cn ) MAY ( apple-xmlplist ) ) Classe d’objets d’emplacement (Location) objectclass ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.18 NAME ’apple-location’ SUP top AUXILIARY MUST ( cn ) MAY ( apple-dns-domain $ apple-dns-nameserver ) )144 Annexe A Données de répertoire Mac OS X Attributs du schéma LDAP Open Directory Cette section définit les attributs LDAP Open Directory qui étendent le schéma LDAP standard. Attributs d’utilisateur apple-user-homeurl Stocke les informations de répertoire de départ sous la forme d’une URL et d’un chemin d’accès. Cela permet d’établir une correspondance avec le type d’attribut kDS1AttrHomeDirectory des services de répertoires. attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.6 NAME ’apple-user-homeurl’ DESC ’URL du répertoire de départ’ EQUALITY caseExactIA5Match SUBSTR caseExactIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 SINGLE-VALUE ) apple-user-class Inutilisé. attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.7 NAME ’apple-user-class’ DESC ’classe d’utilisateur’ EQUALITY caseExactIA5Match SUBSTR caseExactIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 SINGLE-VALUE ) apple-user-homequota Spécifie le quota du répertoire de départ en kilo-octets. attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.8 NAME ’apple-user-homequota’ DESC ’quota du répertoire de départ’ EQUALITY caseExactIA5Match SUBSTR caseExactIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 SINGLE-VALUE )Annexe A Données de répertoire Mac OS X 145 apple-user-mailattribute Stocke les réglages de courrier au format XML. attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.9 NAME ’apple-user-mailattribute’ DESC ’attribut de courrier’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 SINGLE-VALUE ) apple-mcxflags Stocke les informations de client géré. Cet attribut se trouve dans les enregistrements d’utilisateur, de groupe, d’ordinateur et de listes d’ordinateurs. attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.10 NAME ’apple-mcxflags’ DESC ’indicateurs mcx’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 SINGLE-VALUE ) apple-mcxsettings Stocke les informations de client géré. Cet attribut se trouve dans les enregistrements d’utilisateur, de groupe, d’ordinateur et de listes d’ordinateurs. #attributetype ( # 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.11 # NAME ’apple-mcxsettings’ # DESC ’réglages mcx’ # EQUALITY caseExactMatch # SUBSTR caseExactSubstringsMatch # SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 SINGLE-VALUE ) attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.16 NAME ( ’apple-mcxsettings’ ’apple-mcxsettings2’ ) DESC ’réglages mcx’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 )146 Annexe A Données de répertoire Mac OS X apple-user-picture Stocke un chemin d’accès vers l’image à afficher dans la fenêtre d’ouverture de session pour cet enregistrement d’utilisateur. Utilisé lorsque l’utilisateur est affiché dans la liste déroulante de la fenêtre d’ouverture de session (sur les réseaux gérés). Les utilisateurs ont la possibilité de modifier leur image par défaut. attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.12 NAME ’apple-user-picture’ DESC ’image’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 SINGLE-VALUE ) apple-user-printattribute Stocke les réglages de quota d’impression sous forme de plist XML. attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.13 NAME ’apple-user-printattribute’ DESC ’attribut d’impression’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 SINGLE-VALUE ) apple-user-adminlimits Cet attribut est utilisé par Gestionnaire de groupe de travail pour stocker une plist XML décrivant les capacités d’un administrateur. Ces réglages sont respectés et actualisés par Gestionnaire de groupe de travail, mais n’affectent pas les autres éléments du système. attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.14 NAME ’apple-user-adminlimits’ DESC ’capacités d’administrateur’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 SINGLE-VALUE )Annexe A Données de répertoire Mac OS X 147 apple-user-authenticationhint L’attribut apple-user-authenticationhint est utilisé par la fenêtre d’ouverture de session pour afficher un indice lorsque l’utilisateur effectue successivement trois tentatives ratées d’ouverture de session. Chaque utilisateur peut modifier son indice d’authentification. attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.15 NAME ’apple-user-authenticationhint’ DESC ’indice de mot de passe’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 SINGLE-VALUE ) apple-user-homesoftquota attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.17 NAME ’apple-user-homesoftquota’ DESC ’quota (soft) du répertoire de départ’ EQUALITY caseExactIA5Match SUBSTR caseExactIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 SINGLE-VALUE ) apple-user-passwordpolicy attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.18 NAME ’apple-user-passwordpolicy’ DESC ’options de politique de mot de passe’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 SINGLE-VALUE ) apple-keyword attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.19 NAME ( ’apple-keyword’ ) DESC ’mots clés’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 )148 Annexe A Données de répertoire Mac OS X apple-generateduid attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.20 NAME ( ’apple-generateduid’ ) DESC ’identifiant unique généré’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 SINGLE-VALUE ) apple-user-homeDirectory N’est pas utilisé par le serveur Open Directory mais fourni comme exemple d’OID et d’attribut à employer comme alternative à l’attribut homeDirectory de la RFC 2307. Particulièrement intéressant pour Active Directory puisqu’il utilise un attribut homeDirectory différent de celui de la RFC 2307. # Alternative à l’emploi de homeDirectory de RFC 2307. #attributetype ( # 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.100 # NAME ’apple-user-homeDirectory’ # DESC ’Le chemin d’accès absolu au répertoire de départ’ # EQUALITY caseExactIA5Match # SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 SINGLE-VALUE ) Attributs de groupe apple-group-homeurl Spécifie le répertoire de départ associé à un groupe de travail de clients gérés. Monté lors de l’ouverture de session de tous les utilisateurs de ce groupe de travail. attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.14.1 NAME ’apple-group-homeurl’ DESC ’url du répertoire de départ du groupe’ EQUALITY caseExactIA5Match SUBSTR caseExactIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 SINGLE-VALUE )Annexe A Données de répertoire Mac OS X 149 apple-group-homeowner L’attribut apple-group-homeowner détermine le propriétaire du répertoire de départ du groupe de travail lorsqu’il est créé dans le système de fichiers. Le groupe du répertoire est le groupe de travail auquel il est associé. attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.14.2 NAME ’apple-group-homeowner’ DESC ’réglages du propriétaire du répertoire de départ du groupe’ EQUALITY caseExactIA5Match SUBSTR caseExactIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 SINGLE-VALUE ) apple-group-realname Permet d’associer un nom d’utilisateur plus long et plus convivial aux groupes. Ce nom apparaît dans Gestionnaire de groupe de travail et peut contenir des caractères nonASCII. attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.14.5 NAME ’apple-group-realname’ DESC ’nom réel du groupe’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 SINGLE-VALUE ) apple-group-memberUid Inutilisé par le serveur Open Directory, mais défini comme exemple d’attribut et d’OID pouvant être ajoutés à un autre serveur LDAP pour gérer les clients Mac OS X. # Alternative à l’emploi de l’attribut memberUid de la RFC 2307. #attributetype ( # 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.14.1000 # NAME ’apple-group-memberUid’ # DESC ’liste des membres du groupe’ # EQUALITY caseExactIA5Match # SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 ) # can also use OID 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.1000150 Annexe A Données de répertoire Mac OS X Attributs d’ordinateur (machine) apple-machine-software attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.3.8 NAME ’apple-machine-software’ DESC ’logiciel système installé’ EQUALITY caseIgnoreIA5Match SUBSTR caseIgnoreIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 ) apple-machine-hardware attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.3.9 NAME ’apple-machine-hardware’ DESC ’description matérielle du système’ EQUALITY caseIgnoreIA5Match SUBSTR caseIgnoreIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 ) apple-machine-serves attributeType ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.3.10 NAME ’apple-machine-serves’ DESC ’Liaison de serveur de domaine NetInfo’ EQUALITY caseExactIA5Match SUBSTR caseExactIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 ) apple-machine-suffix attributeType ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.3.11 NAME ’apple-machine-suffix’ DESC ’suffixe DIT’ EQUALITY caseIgnoreMatch SUBSTR caseIgnoreSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 )Annexe A Données de répertoire Mac OS X 151 Attributs de montage (mount) mountDirectory attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.8.1 NAME ’mountDirectory’ DESC ’chemin d’accès de montage’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 SINGLE-VALUE ) mountType attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.8.2 NAME ’mountType’ DESC ’type VFS du montage’ EQUALITY caseIgnoreIA5Match SUBSTR caseIgnoreIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 SINGLE-VALUE ) mountOption attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.8.3 NAME ’mountOption’ DESC ’options de montage’ EQUALITY caseIgnoreIA5Match SUBSTR caseIgnoreIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 ) mountDumpFrequency attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.8.4 NAME ’mountDumpFrequency’ DESC ’fréquence de vidage du montage’ EQUALITY caseIgnoreIA5Match SUBSTR caseIgnoreIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 SINGLE-VALUE )152 Annexe A Données de répertoire Mac OS X mountPassNo attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.8.5 NAME ’mountPassNo’ DESC ’passno du montage’ EQUALITY caseIgnoreIA5Match SUBSTR caseIgnoreIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 SINGLE-VALUE ) Attributs d’imprimante (printer) apple-printer-attributes attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.9.1 NAME ’apple-printer-attributes’ DESC ’attributs d’imprimante au format /etc/printcap’ EQUALITY caseIgnoreIA5Match SUBSTR caseIgnoreIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 ) apple-printer-lprhost attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.9.2 NAME ’apple-printer-lprhost’ DESC ’nom d’hôte LPR d’imprimante’ EQUALITY caseIgnoreMatch SUBSTR caseIgnoreSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 ) apple-printer-lprqueue attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.9.3 NAME ’apple-printer-lprqueue’ DESC ’liste d’attente LPR d’imprimante’ EQUALITY caseIgnoreMatch SUBSTR caseIgnoreSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 )Annexe A Données de répertoire Mac OS X 153 apple-printer-type attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.9.4 NAME ’apple-printer-type’ DESC ’type d’imprimante’ EQUALITY caseIgnoreMatch SUBSTR caseIgnoreSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 ) apple-printer-note attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.9.5 NAME ’apple-printer-note’ DESC ’note d’imprimante’ EQUALITY caseIgnoreMatch SUBSTR caseIgnoreSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 ) Attributs d’ordinateur (computer) apple-realname attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.10.2 NAME ’apple-realname’ DESC ’nom réel’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 ) Attributs de liste d’ordinateurs (ComputerList) apple-computers attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.11.3 NAME ’apple-computers’ DESC ’ordinateurs’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 )154 Annexe A Données de répertoire Mac OS X apple-computer-list-groups attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.11.4 NAME ’apple-computer-list-groups’ DESC ’groupes’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 ) apple-xmlplist attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.17.1 NAME ’apple-xmlplist’ DESC ’données de plist XML’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 SINGLE-VALUE ) Attributs de configuration apple-password-server-location attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.1 NAME ’apple-password-server-location’ DESC ’emplacement du serveur de mots de passe’ EQUALITY caseExactIA5Match SUBSTR caseExactIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 SINGLE-VALUE ) apple-data-stamp attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.2 NAME ’apple-data-stamp’ DESC ’data stamp’ EQUALITY caseExactIA5Match SUBSTR caseExactIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 SINGLE-VALUE )Annexe A Données de répertoire Mac OS X 155 apple-config-realname attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.3 NAME ’apple-config-realname’ DESC ’nom réel de configuration’ EQUALITY caseExactIA5Match SUBSTR caseExactIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 SINGLE-VALUE ) apple-password-server-list attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.4 NAME ’apple-password-server-list’ DESC ’plist de duplication de serveur de mots de passe’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 SINGLE-VALUE ) apple-ldap-replica attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.5 NAME ’apple-ldap-replica’ DESC ’liste de duplication LDAP’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 ) apple-ldap-writable-replica attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.6 NAME ’apple-ldap-writable-replica’ DESC ’liste de duplication LDAP modifiable’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 )156 Annexe A Données de répertoire Mac OS X apple-kdc-authkey attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.7 NAME ’apple-kdc-authkey’ DESC ’clé maîtresse KDC cryptée au format RSA avec clé publique de domaine’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 ) apple-kdc-configdata attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.8 NAME ’apple-kdc-configdata’ DESC ’Contenu du fichier kdc.conf’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 SINGLE-VALUE ) Attribut d’utilisateur préréglé (PresetUser) apple-preset-user-is-admin attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.15.1 NAME ’apple-preset-user-is-admin’ DESC ’indicateur signalant si l’utilisateur préréglé est un administrateur’ EQUALITY caseExactIA5Match SUBSTR caseExactIA5SubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 SINGLE-VALUE ) Attribut d’autorité d’authentification authAuthority #attributetype ( # 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.16.1 # NAME ’authAuthority’ # DESC ’autorité d’authentification du serveur de mots de passe’ # EQUALITY caseExactIA5Match # SUBSTR caseExactIA5SubstringsMatch # SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.26 )Annexe A Données de répertoire Mac OS X 157 Attributs d’emplacement (location) apple-dns-domain attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.18.1 NAME ’apple-dns-domain’ DESC ’domaine DNS’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 ) apple-dns-nameserver attributetype ( 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.18.2 NAME ’apple-dns-nameserver’ DESC ’liste de serveurs de noms DNS’ EQUALITY caseExactMatch SUBSTR caseExactSubstringsMatch SYNTAX 1.3.6.1.4.1.1466.115.121.1.15 ) Mappage d’attributs standard sur LDAP et Active Directory Les tableaux de cette section spécifient la manière dont le module LDAPv3 de Format de répertoire mappe les types et attributs d’enregistrements Open Directory sur les classes d’objets et les attributs LDAP. Les tableaux spécifient également la manière dont le module Active Directory de Format de répertoire mappe et génère des attributs et des catégories d’objets Active Directory à partir d’attributs et de types d’enregistrements Open Directory. Mappages pour Utilisateurs Les tableaux suivants indiquent comment le module LDAPv3 de Format de répertoire mappe les attributs et le type d’enregistrement Utilisateurs d’Open Directory sur les classes d’objets et attributs LDAP. Les tableaux spécifient également la manière dont le module Active Directory de Format de répertoire mappe et génère des attributs et des catégories d’objets Active Directory à partir d’attributs et de types d’enregistrements Open Directory.158 Annexe A Données de répertoire Mac OS X Mappages de types d’enregistrement d’utilisateurs (Users) Mappages d’attributs d’utilisateurs (Users) Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom de classes d’objets LDAP Module Active Directory Users, RFC 2798 inetOrgPerson 2.16.840.1.113730.3.2.2 ObjectCategory = Person Users, RFC 2307 posixAccount 1.3.6.1.1.1.2.0 Users, RFC 2307 shadowAccount 1.3.6.1.1.1.2.1 Users, enregistré par Apple apple-user 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.1 schéma étendu Apple Nom Open Directory, RFC/classe, emploi spécial OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory HomeDirectory, enregistré par Apple apple-user-homeurl 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.6 Généré à partir de homeDirectory HomeDirectoryQuota, enregistré par Apple apple-user-homequota 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.8 schéma étendu Apple HomeDirectorySoftQuota, enregistré par Apple apple-user-homesoftquota 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.17 schéma étendu Apple MailAttribute, enregistré par Apple apple-user-mailattribute 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.9 schéma étendu Apple PrintServiceUserData, enregistré par Apple apple-user-printattribute 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.13 schéma étendu Apple MCXFlags, enregistré par Apple apple-mcxflags 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.10 schéma étendu Apple MCXSettings, enregistré par Apple apple-mcxsettings 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.16 schéma étendu Apple AdminLimits, enregistré par Apple apple-user-adminlimits 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.14 schéma étendu Apple AuthenticationAuthority, enregistré par Apple authAuthority 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.16.1 Généré en tant qu’autorité Kerberos AuthenticationHint, enregistré par Apple apple-user-authenticationhint 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.15 schéma étendu Apple PasswordPolicyOptions, enregistré par Apple apple-user-passwordpolicy 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.18 schéma étendu Apple Keywords, enregistré par Apple apple-keyword 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.19 schéma étendu Apple Picture, enregistré par Apple apple-user-picture 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.12 schéma étendu Apple GeneratedUID, enregistré par Apple apple-generateduid 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.20 À partir de GUID — formatéAnnexe A Données de répertoire Mac OS X 159 RecordName, RFC 2256 cn 2.5.4.3 Généré à partir de cn, userPrincipal, mail, sAMAccoutName RecordName, RFC 1274 uid 0.9.2342.19200300.100.1.1 n/d EMailAddress, RFC 1274 mail 0.9.2342.19200300.100.1.3 Standard RFC RealName, RFC 2256 cn 2.5.4.3 1.2.840.113556.1.2.13 (Microsoft) Password, RFC 2256 userPassword 2.5.4.35 Pas de mappage Comment, RFC 2256 description 2.5.4.13 Standard RFC LastName, RFC 2256 sn 2.5.4.4 Standard RFC FirstName, RFC 2256 givenName 2.5.4.42 Standard RFC PhoneNumber, RFC 2256 telephoneNumber 2.5.4.20 Standard RFC AddressLIne1, RFC 2256 street 2.5.4.9 Standard RFC PostalAddress, RFC 2256 postalAddress 2.5.4.16 Standard RFC PostalCode, RFC 2256 postalCode 2.5.4.17 Standard RFC OrganizationName, RFC 2256 o 2.5.4.10 1.2.840.113556.1.2.146 (Microsoft) UserShell, RFC 2307 loginShell 1.3.6.1.1.1.1.4 Étendu à l’aide de RFC Change, RFC 2307 shadowLastChange 1.3.6.1.1.1.1.5 Pas de mappage Expire, RFC 2307 shadowExpire 1.3.6.1.1.1.1.10 Pas de mappage UniqueID, RFC 2307 uidNumber 1.3.6.1.1.1.1.0 Généré à partir de GUID NFSHomeDirectory, RFC 2307 homeDirectory 1.3.6.1.1.1.1.3 Généré à partir de homeDirectory PrimaryGroupID, RFC 2307 gidNumber 1.3.6.1.1.1.1.1 Étendu à l’aide de RFC ou généré à partir de GUID SMBAccountFlags, enregistré par Samba, Apple PDC acctFlags 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.4 1.2.840.113556.1.4.302 (Microsoft) Nom Open Directory, RFC/classe, emploi spécial OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory160 Annexe A Données de répertoire Mac OS X SMBPasswordLastSet, enregistré par Samba, Apple PDC pwdLastSet 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.3 1.2.840.113556.1.4.96 (Microsoft) SMBLogonTime, enregistré par Samba, Apple PDC logonTime 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.5 1.2.840.113556.1.4.52 (Microsoft) SMBLogoffTime, enregistré par Samba, Apple PDC logoffTime 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.6 1.2.840.113556.1.4.51 (Microsoft) SMBKickoffTime, enregistré par Samba, Apple PDC kickoffTime 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.7 Pas de mappage SMBHomeDrive, enregistré par Samba, Apple PDC homeDrive 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.10 1.2.840.113556.1.4.45 (Microsoft) SMBScriptPath, enregistré par Samba, Apple PDC scriptPath 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.11 1.2.840.113556.1.4.62 (Microsoft) SMBProfilePath, enregistré par Samba, Apple PDC profilePath 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.12 1.2.840.113556.1.4.139 (Microsoft) SMBUserWorkstations, enregistré par Samba, Apple PDC userWorkstations 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.13 1.2.840.113556.1.4.86 (Microsoft) SMBHome, enregistré par Samba, Apple PDC smbHome 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.17 1.2.840.113556.1.4.44 (Microsoft) SMBRID, enregistré par Samba, Apple PDC rid 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.14 1.2.840.113556.1.4.153 (Microsoft) SMBGroupRID, enregistré par Samba, Apple PDC primaryGroupID 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.15 1.2.840.113556.1.4.98 (Microsoft) FaxNumber, RFC 2256 fax 2.5.4.23 Standard RFC MobileNumber, RFC 1274 mobile 0.9.2342.19200300.100.1.41 Standard RFC PagerNumber, RFC 1274 pager 0.9.2342.19200300.100.1.42 Standard RFC Department, RFC 2798, departmentNumber 2.16.840.1.113730.3.1.2 1.2.840.113556.1.2.141 (Microsoft) NickName, Microsoft Attribute 1.2.840.113556.1.2.447 (Microsoft) Nom Open Directory, RFC/classe, emploi spécial OID de nom d’attribut LDAP Module Active DirectoryAnnexe A Données de répertoire Mac OS X 161 Mappages de groupes (Groups) Les tableaux suivants spécifient la manière dont le module LDAPv3 de Format de répertoire mappe le type d’enregistrements et les attributs de groupes Open Directory sur les classes d’objets LDAP. Les tableaux spécifient également la manière dont le module Active Directory de Format de répertoire mappe et génère des attributs et des catégories d’objets Active Directory à partir d’attributs et de types d’enregistrements Open Directory. Mappages de type d’enregistrements des groupes (Groups) JobTitle, RFC 2256 title 2.5.4.12 Standard RFC Building, RFC 2256 buildingName 2.5.4.19 Standard RFC Country, RFC 2256 c 2.5.4.6 Standard RFC Street, RFC 2256 street 2.5.4.9 1.2.840.113556.1.2.256 (Microsoft) City, RFC 2256 locality 2.5.4.7 Standard RFC State, RFC 2256 st 2.5.4.8 Standard RFC Nom Open Directory, RFC/classe, emploi spécial OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom de classe d’objets LDAP Module Active Directory Groups, RFC 2307 posixGroup 1.3.6.1.1.1.2.2 objectCategory = Group Groups, enregistré par Apple apple-group 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.14 schéma étendu Apple162 Annexe A Données de répertoire Mac OS X Mappages des attributs de groupes (Groups) Mappages de montages (Mounts) Les tableaux suivants spécifient la manière dont le module LDAPv3 de Format de répertoire mappe le type d’enregistrements et les attributs de montage (Mounts) Open Directory sur les classes d’objets et attributs LDAP. Les tableaux spécifient également la manière dont le module Active Directory de Format de répertoire mappe et génère des attributs et des catégories d’objets Active Directory à partir d’attributs et de types d’enregistrements Open Directory. Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory RecordName, RFC 2256 cn 2.5.4.3 Standard RFC HomeDirectory, enregistré par Apple apple-group-homeurl 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.14.1 schéma étendu Apple HomeLocOwner, enregistré par Apple apple-group-homeowner 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.14.2 schéma étendu Apple MCXFlags, enregistré par Apple apple-mcxflags 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.10 schéma étendu Apple MCXSettings, enregistré par Apple apple-mcxsettings 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.16 schéma étendu Apple RealName, enregistré par Apple apple-group-realname 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.14.5 1.2.840.113556.1.2.13 (Microsoft) Picture, enregistré par Apple apple-user-picture 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.12 schéma étendu Apple Keywords, enregistré par Apple apple-keyword 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.19 schéma étendu Apple GeneratedUID, enregistré par Apple apple-generateduid 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.20 À partir de GUID — formaté GroupMembership, RFC 2307 memberUid 1.3.6.1.1.1.1.12 Généré à partir de member Member, RFC 2307 memberUid 1.3.6.1.1.1.1.12 Idem GroupMembership PrimaryGroupID, RFC 2307 gidNumber 1.3.6.1.1.1.1.1 Étendu à l’aide de RFC ou généré à partir de GUIDAnnexe A Données de répertoire Mac OS X 163 Mappages de types d’enregistrements de montages (Mounts) Mappages d’attributs de montages (Mounts) Mappages d’ordinateurs (Computers) Les tableaux suivants spécifient la manière dont le module LDAPv3 de Format de répertoire mappe le type d’enregistrements et les attributs d’ordinateurs (Computers) Open Directory sur les classes d’objets LDAP. Les tableaux spécifient également la manière dont le module Active Directory de Format de répertoire mappe et génère des attributs et des catégories d’objets Active Directory à partir d’attributs et de types d’enregistrements Open Directory. Mappages de type d’enregistrements d’ordinateurs (Computers) Mappages d’attributs d’ordinateurs (Computers) Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom de classe d’objets LDAP Module Active Directory Mounts, enregistré par Apple mount 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.8 schéma étendu Apple Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory RecordName, RFC 2256 cn 2.5.4.3 Standard RFC VFSLinkDir, enregistré par Apple mountDirectory 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.8.1 schéma étendu Apple VFSOpts, enregistré par Apple mountOption 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.8.3 schéma étendu Apple VFSType, enregistré par Apple mountType 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.8.2 schéma étendu Apple VFSDumpFreq, enregistré par Apple mountDumpFrequency 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.8.4 schéma étendu Apple VFSPassNo, enregistré par Apple mountPassNo 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.8.5 schéma étendu Apple Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom de classe d’objets LDAP Module Active Directory Computers, enregistré par Apple apple-computer 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.10 objectCategory = Computer Nom Open Directory, RFC/classe, emploi spécial OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory RecordName, RFC 2256 cn 2.5.4.3 Standard RFC RealName, enregistré par Apple apple-realname 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.10.2 1.2.840.113556.1.2.13 (Microsoft)164 Annexe A Données de répertoire Mac OS X MCXFlags, enregistré par Apple apple-mcxflags 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.10 schéma étendu Apple MCXSettings, enregistré par Apple apple-mcxsettings 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.16 schéma étendu Apple Group, enregistré par Apple apple-computer-list-groups 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.11.4 schéma étendu Apple AuthenticationAuthority, enregistré par Apple authAuthority 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.16.1 schéma étendu Apple GeneratedUID, enregistré par Apple apple-generateduid 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.20 À partir de GUID — formaté XMLPlist, enregistré par Apple apple-xmlplist 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.17.1 schéma étendu Apple Comment, RFC 2256 description 2.5.4.13 Standard RFC ENetAddress, RFC 2307 macAddress 1.3.6.1.1.1.1.22 Étendu à l’aide de RFC UniqueID, RFC 2307 uidNumber 1.3.6.1.1.1.1.0 Généré à partir de GUID PrimaryGroupID, RFC 2307 gidNumber 1.3.6.1.1.1.1.1 Étendu à l’aide de RFC ou généré SMBAccountFlags, enregistré par Samba, Apple PDC acctFlags 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.4 1.2.840.113556.1.4.302 (Microsoft) SMBPasswordLastSet, enregistré par Samba, Apple PDC pwdLastSet 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.3 1.2.840.113556.1.4.96 (Microsoft) SMBLogonTime, enregistré par Samba, Apple PDC logonTime 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.5 1.2.840.113556.1.4.52 (Microsoft) SMBLogoffTime, enregistré par Samba, Apple PDC logoffTime 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.6 1.2.840.113556.1.4.51 (Microsoft) SMBKickoffTime, enregistré par Samba, Apple PDC kickoffTime 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.7 Pas de mappage SMBRID, enregistré par Samba, Apple PDC rid 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.14 1.2.840.113556.1.4.153 (Microsoft) SMBGroupID, enregistré par Samba, Apple PDC primaryGroupID 1.3.6.1.4.1.7165.2.1.15 1.2.840.113556.1.4.98 (Microsoft) Nom Open Directory, RFC/classe, emploi spécial OID de nom d’attribut LDAP Module Active DirectoryAnnexe A Données de répertoire Mac OS X 165 Mappages de listes d’ordinateurs (ComputerLists) Les tableaux suivants spécifient la manière dont le module LDAPv3 de Format de répertoire mappe le type d’enregistrements et les attributs de listes d’ordinateurs (ComputerLists) Open Directory sur les classes d’objets LDAP. Les tableaux spécifient également la manière dont le module Active Directory de Format de répertoire mappe et génère des attributs et des catégories d’objets Active Directory à partir d’attributs et de types d’enregistrements Open Directory. Mappages de type d’enregistrements de listes d’ordinateurs (ComputerLists) Mappages d’attributs de listes d’ordinateurs (ComputerLists) Mappages de configuration (Config) Les tableaux suivants spécifient la manière dont le module LDAPv3 de Format de répertoire mappe le type d’enregistrements et les attributs de configuration (Config) Open Directory sur les classes d’objets LDAP. Les tableaux spécifient également la manière dont le module Active Directory de Format de répertoire mappe et génère des attributs et des catégories d’objets Active Directory à partir d’attributs et de types d’enregistrements Open Directory. Mappages de type d’enregistrements de configuration (Config) Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom de classe d’objets LDAP Module Active Directory ComputerLists, enregistré par Apple apple-computer-list 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.11 schéma étendu Apple Nom Open Directory, RFC/classe, OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory RecordName, RFC 2256 cn 2.5.4.3 Standard RFC MCXFlags, enregistré par Apple apple-mcxflags 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.10 schéma étendu Apple MCXSettings, enregistré par Apple apple-mcxsettings 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.16 schéma étendu Apple Computers, enregistré par Apple apple-computers 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.11.3 schéma étendu Apple Group, enregistré par Apple apple-computer-list-groups 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.11.4 schéma étendu Apple Keywords, enregistré par Apple apple-keyword 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.19 schéma étendu Apple Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom de classe d’objets LDAP Module Active Directory Config, enregistré par Apple apple-configuration 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.12 schéma étendu Apple166 Annexe A Données de répertoire Mac OS X Mappages d’attributs de configuration (Config) Mappages de personnes (People) Les tableaux suivants spécifient la manière dont le module LDAPv3 de Format de répertoire mappe le type d’enregistrement et les attributs de personnes (People) Open Directory sur les classes d’objets LDAP. Les tableaux spécifient également la manière dont le module Active Directory de Format de répertoire mappe et génère des attributs et des catégories d’objets Active Directory à partir d’attributs et de types d’enregistrements Open Directory. Mappages de type d’enregistrements de personnes (People) Nom Open Directory, RFC/classe, emploi spécial OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory RecordName, RFC 2256 cn 2.5.4.3 Standard RFC RealName, enregistré par Apple apple-config-realname 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.3 1.2.840.113556.1.2.13 (Microsoft) DataStamp, enregistré par Apple apple-data-stamp 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.2 schéma étendu Apple KDCAuthKey, enregistré par Apple, Apple KDC apple-kdc-authkey 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.7 Pas de mappage KDCConfigData, enregistré par Apple, Apple KDC apple-kdc-configdata 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.8 Pas de mappage Keywords, enregistré par Apple apple-keyword 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.19 schéma étendu Apple LDAPReadReplicas, enregistré par Apple, Apple LDAP Server apple-ldap-replica 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.5 Pas de mappage LDAPWriteReplicas, enregistré par Apple, Apple LDAP Server apple-ldap-writable-replica 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.6 Pas de mappage PasswordServerList, enregistré par Apple, Serveur de mots de passe apple-password-server-list 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.4 Pas de mappage PasswordServerLocation, enregistré par Apple, Serveur de mots de passe apple-password-server-location 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.12.1 Pas de mappage XMLPlist, enregistré par Apple apple-xmlplist 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.17.1 schéma étendu Apple Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom de classe d’objets LDAP Module Active Directory People, RFC 2798 inetOrgPerson 2.16.840.1.113730.3.2.2 Standard RFCAnnexe A Données de répertoire Mac OS X 167 Mappages d’attributs de personnes (People) Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory RecordName, RFC 2256 cn 2.5.4.3 Standard RFC EMailAddress, RFC 1274 mail 0.9.2342.19200300.100.1.3 Standard RFC RealName, RFC 2256 cn 1.2.840.113556.1.3.23 Standard RFC LastName, RFC 2256 sn 2.5.4.4 Standard RFC FirstName, RFC 2256 givenName 2.5.4.42 Standard RFC FaxNumber, RFC 2256 fax 2.5.4.23 Standard RFC MobileNumber, RFC 1274 mobile 0.9.2342.19200300.100.1.41 Standard RFC PagerNumber, RFC 1274 pager 0.9.2342.19200300.100.1.42 Standard RFC Department, RFC 2798, departmentNumber 2.16.840.1.113730.3.1.2 1.2.840.113556.1.2.141 (Microsoft) JobTitle, RFC 2256 title 2.5.4.12 Standard RFC PhoneNumber, RFC 2256 telephoneNumber 2.5.4.20 Standard RFC AddressLine1, RFC 2256 street 2.5.4.9 Standard RFC Street, RFC 2256 street 2.5.4.9 Standard RFC PostalAddress, RFC 2256 postalAddress 2.5.4.16 Standard RFC City, RFC 2256 locality 2.5.4.7 Standard RFC State, RFC 2256 st 2.5.4.8 Standard RFC Country, RFC 2256 c 2.5.4.6 Standard RFC PostalCode, RFC 2256 postalCode 2.5.4.17 Standard RFC OrganizationName, RFC 2256 o 2.5.4.10 1.2.840.113556.1.2.146 (Microsoft)168 Annexe A Données de répertoire Mac OS X Mappages de listes d’ordinateurs préréglés (PresetComputerLists) Les tableaux suivants spécifient la manière dont le module LDAPv3 de Format de répertoire mappe le type d’enregistrements et les attributs de listes d’ordinateurs préréglés (PresetComputerLists) Open Directory sur les classes d’objets LDAP. Les tableaux spécifient également la manière dont le module Active Directory de Format de répertoire mappe et génère des attributs et des catégories d’objets Active Directory à partir d’attributs et de types d’enregistrements Open Directory. Mappages de type d’enregistrements de listes d’ordinateurs préréglés (PresetComputerLists) Mappages d’attributs de listes d’ordinateurs préréglés (PresetComputerLists) Mappages de groupes préréglés (PresetGroups) Les tableaux suivants spécifient la manière dont le module LDAPv3 de Format de répertoire mappe le type d’enregistrements et les attributs de groupes préréglés (PresetGroups) Open Directory sur les classes d’objets LDAP. Les tableaux spécifient également la manière dont le module Active Directory de Format de répertoire mappe et génère des attributs et des catégories d’objets Active Directory à partir d’attributs et de types d’enregistrements Open Directory. Mappages de type d’enregistrements de groupes préréglés (PresetGroups) Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom de classe d’objets LDAP Module Active Directory PresetComputerLists, enregistré par Apple apple-preset-computer-list 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.13 schéma étendu Apple Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory RecordName, RFC 2256 cn 2.5.4.3 Standard RFC MCXFlags, enregistré par Apple apple-mcxflags 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.10 schéma étendu Apple MCXSettings, enregistré par Apple apple-mcxsettings 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.16 schéma étendu Apple Keywords, enregistré par Apple apple-keyword 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.19 schéma étendu Apple Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom de classe d’objets LDAP Module Active Directory PresetGroups, enregistré par Apple apple-preset-group 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.3.14 schéma étendu AppleAnnexe A Données de répertoire Mac OS X 169 Mappages d’attributs de groupes préréglés (PresetGroups) Mappages d’utilisateurs préréglés (PresetUsers) Les tableaux suivants spécifient la manière dont le module LDAPv3 de Format de répertoire mappe le type d’enregistrements et les attributs d’utilisateurs préréglés (PresetUsers) Open Directory sur les classes d’objets LDAP. Les tableaux spécifient également la manière dont le module Active Directory de Format de répertoire mappe et génère des attributs et des catégories d’objets Active Directory à partir d’attributs et de types d’enregistrements Open Directory. Mappages de types d’enregistrements d’utilisateurs préréglés (PresetUsers) Mappages d’attributs d’utilisateurs préréglés (PresetUsers) Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory HomeDirectory, enregistré par Apple apple-group-homeurl 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.6 schéma étendu Apple HomeLocOwner, enregistré par Apple apple-group-homeowner 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.14.2 schéma étendu Apple MCXFlags, enregistré par Apple apple-mcxflags 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.10 schéma étendu Apple MCXSettings, enregistré par Apple apple-mcxsettings 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.16 schéma étendu Apple RealName, enregistré par Apple apple-group-realname 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.14.5 schéma étendu Apple Keywords, enregistré par Apple apple-keyword 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.19 schéma étendu Apple RecordName, RFC 2256 cn 2.5.4.3 Standard RFC GroupMembership, RFC 2307 memberUid 1.3.6.1.1.1.1.12 Étendu à l’aide de RFC PrimaryGroupID, RFC 2307 gidNumber 1.3.6.1.1.1.1.1 Étendu à l’aide de RFC Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom de classe d’objets LDAP Module Active Directory PresetUsers, enregistré par Apple apple-preset-user 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.15 ObjectCategory = Person Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory HomeDirectory, enregistré par Apple apple-user-homeurl 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.6 n/d HomeDirectoryQuota, enregistré par Apple apple-user-homequota 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.8 schéma étendu Apple170 Annexe A Données de répertoire Mac OS X HomeDirectorySoftQuota, enregistré par Apple apple-user-homesoftquota 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.17 schéma étendu Apple MailAttribute, enregistré par Apple apple-user-mailattribute 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.9 schéma étendu Apple PrintServiceUserData, enregistré par Apple apple-user-printattribute 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.13 schéma étendu Apple MCXFlags, enregistré par Apple apple-mcxflags 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.10 schéma étendu Apple MCXSettings, enregistré par Apple apple-mcxsettings 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.16 schéma étendu Apple AdminLimits, enregistré par Apple apple-user-adminlimits 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.14 schéma étendu Apple Picture, enregistré par Apple apple-user-picture 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.12 schéma étendu Apple AuthenticationAuthority, enregistré par Apple authAuthority 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.16.1 schéma étendu Apple PasswordPolicyOptions, enregistré par Apple apple-user-passwordpolicy 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.18 schéma étendu Apple PresetUserIsAdmin, enregistré par Apple apple-preset-user-is-admin 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.15.1 schéma étendu Apple Keywords, enregistré par Apple apple-keyword 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.1.19 schéma étendu Apple RecordName, RFC 1274 cn 2.5.4.3 Standard RFC RealName, RFC 2256 cn 2.5.4.3 Standard RFC Password, RFC 2256 userPassword 2.5.4.35 n/d GroupMembership, RFC 2307 memberUid 1.3.6.1.1.1.1.12 Étendu à l’aide de RFC PrimaryGroupID, RFC 2307 gidNumber 1.3.6.1.1.1.1.1 Étendu à l’aide de RFC NFSHomeDirectory, RFC 2307 homeDirectory 1.3.6.1.1.1.1.3 n/d UserShell, RFC 2307 loginShell 1.3.6.1.1.1.1.4 Étendu à l’aide de RFC Change, RFC 2307 shadowLastChange 1.3.6.1.1.1.1.5 n/d Expire, RFC 2307 shadowExpire 1.3.6.1.1.1.1.10 n/d Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom d’attribut LDAP Module Active DirectoryAnnexe A Données de répertoire Mac OS X 171 Mappages d’imprimantes (Printers) Les tableaux suivants spécifient la manière dont le module LDAPv3 de Format de répertoire mappe le type d’enregistrements et les attributs d’imprimantes (Printers) Open Directory sur les classes d’objets LDAP. Les tableaux spécifient également la manière dont le module Active Directory de Format de répertoire mappe et génère des attributs et des catégories d’objets Active Directory à partir d’attributs et de types d’enregistrements Open Directory. Mappages de type d’enregistrements d’imprimantes (Printers) Mappages d’attributs d’imprimantes (Printers) Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom de classe d’objets LDAP Module Active Directory Printers, enregistré par Apple apple-printer 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.9 ObjectCategory = Print-Queue Printers, IETF-Draft-IPP-LDAP printerIPP 1.3.18.0.2.6.256 Nom Open Directory, RFC/classe, emploi spécial OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory RecordName, RFC 2256 cn 2.5.4.3 Standard RFC RealName, RFC 2256 cn 2.5.4.3 1.2.840.113556.1.4.300 (Microsoft) PrinterLPRHost, enregistré par Apple, gestion héritée apple-printer-lprhost 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.9.2 n/d PrinterLPRQueue, enregistré par Apple, gestion héritée apple-printer-lprqueue 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.9.3 n/d PrinterType, enregistré par Apple, gestion héritée apple-printer-type 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.9.4 n/d PrinterNote, enregistré par Apple, gestion héritée apple-printer-note 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.9.5 n/d Location, IETF-Draft-IPP-LDAP printer-location 1.3.18.0.2.4.1136 1.2.840.113556.1.4.222 (Microsoft) Comment, RFC 2256 description 2.5.4.13 Standard RFC PrinterMakeAndModel, IETF-Draft-IPP-LDAP printer-make-and-model 1.3.18.0.2.4.1138 1.2.840.113556.1.4.229 (Microsoft) PrinterURI, IETF-Draft-IPP-LDAP printer-uri 1.3.18.0.2.4.1140 Généré à partir de uNCName172 Annexe A Données de répertoire Mac OS X Mappages de configuration automatique de serveur (AutoServerSetup) Les tableaux suivants spécifient la manière dont le module LDAPv3 de Format de répertoire mappe le type d’enregistrements et les attributs de configuration automatique de serveur (AutoServerSetup) Open Directory sur les classes d’objets LDAP. Les tableaux spécifient également la manière dont le module Active Directory de Format de répertoire mappe et génère des attributs et des catégories d’objets Active Directory à partir d’attributs et de types d’enregistrements Open Directory. Mappages de types d’enregistrements de configuration automatique de serveur (AutoServerSetup) Mappages d’attributs de configuration automatique de serveur (AutoServerSetup) Mappages d’emplacements (Locations) Les tableaux suivants spécifient la manière dont le module LDAPv3 de Format de répertoire mappe le type d’enregistrements et les attributs d’emplacements (Locations) Open Directory sur les classes d’objets LDAP. Les tableaux spécifient également la manière dont le module Active Directory de Format de répertoire mappe et génère des attributs et des catégories d’objets Active Directory à partir d’attributs et de types d’enregistrements Open Directory. PrinterXRISupported, IETF-Draft-IPP-LDAP printer-xri-supported 1.3.18.0.2.4.1107 Généré à partir de portName/ uNCName Printer1284DeviceID, enregistré par Apple printer-1284-device-id 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.9.6 schéma étendu Apple Nom Open Directory, RFC/classe, emploi spécial OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom de classe d’objets LDAP Module Active Directory AutoServerSetup, enregistré par Apple apple-serverassistant-config 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.17 schéma étendu Apple Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory RecordName, RFC 2256 cn 2.5.4.3 Standard RFC XMLPlist, enregistré par Apple apple-xmlplist 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.17.1 schéma étendu AppleAnnexe A Données de répertoire Mac OS X 173 Mappages de types d’enregistrements d’emplacements (Locations) Mappages d’attributs d’emplacements (Locations) Attributs standard des enregistrements d’utilisateurs Le tableau suivant fournit des informations sur les attributs (ou types de données) standard que l’on trouve dans les enregistrements d’utilisateurs des services de données de Mac OS X. Servez-vous de ces informations pour le mappage des domaines LDAP ou Active Directory sur les services de répertoires Mac OS X. Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom de classe d’objets LDAP Module Active Directory Locations, enregistré par Apple apple-locations 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.2.18 schéma étendu Apple Nom Open Directory, RFC/classe OID de nom d’attribut LDAP Module Active Directory RecordName, RFC 2256 cn 2.5.4.3 Standard RFC DNSDomain, enregistré par Apple apple-dns-domain 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.18.1 schéma étendu Apple DNSNameServer, enregistré par Apple apple-dns-nameserver 1.3.6.1.4.1.63.1000.1.1.1.18.2 schéma étendu Apple174 Annexe A Données de répertoire Mac OS X Important : lors du mappage des attributs d’utilisateurs Mac OS X sur un domaine de répertoire LDAP en lecture/écriture (un domaine LDAP qui n’est pas en lecture seule), ne mappez pas l’attribut RealName et le premier attribut RecordName sur le même attribut LDAP. Par exemple, ne mappez pas à la fois RealName et RecordName sur l’attribut cn. Si RealName et RecordName sont mappés sur le même attribut LDAP, des problèmes se produiront lorsque vous essaierez de modifier le nom complet ou le premier nom abrégé dans Gestionnaire de groupe de travail. Attribut d’utilisateur Mac OS X Format Exemples RecordName : Liste de noms associée à un utilisateur ; le premier est le nom abrégé de l’utilisateur, qui est également le nom de son répertoire de départ. IMPORTANT Tous les attributs utilisés pour l’authentification doivent être mappés sur RecordName. Première valeur : caractères ASCII de A à Z, a à z, 0 à 9, _,- Deuxième valeur : texte romain UTF-8 Jean Jean D. J. Dupont Longueur non nulle, 1 à 16 valeurs. Maximum 255 octets (de 85 caractères triple octets à 255 caractères d’un octet) par instance. La première valeur doit comprendre entre 1 à 30 octets pour les clients utilisant Gestionnaire Macintosh, entre 1 à 8 octets pour les clients utilisant Mac OS X version 10.1 et antérieures. Nom réel : Un nom, habituellement le nom complet de l’utilisateur ; non utilisé pour l’authentification. Texte UTF-8 Jean Dupont. Longueur non nulle, maximum 255 octets (de 85 caractères triple octets à 255 caractères d’un octet). Identifiant unique : Identifiant utilisateur unique, utilisé pour la gestion des autorisations d’accès. Chaîne ASCII signée à 32 bits, composée de chiffres de 0 à 9 Les valeurs inférieures à 100 sont généralement attribuées aux comptes de système. Zéro est réservé au système. Normalement unique par rapport aux autres utilisateurs mais parfois en double. Avertissement : une valeur non entière est interprétée comme un 0, c’est-à-dire l’identificateur unique de l’utilisateur racine. Identifiant de groupe principal : Association de groupe principal d’utilisateur Chaîne ASCII signée à 32 bits, composée de chiffres de 0 à 9 Plage de 1 à 2.147.483.648 Normalement unique par rapport aux autres entrées du groupe. Si vide, la valeur supposée est 20. Répertoire d’accueil NFS : Chemin d’accès au répertoire de départ de l’utilisateur, dans le système de fichiers local Texte UTF-8 /Network/Servers/example/ Users/K-M/Tom King Longueur non nulle. Maximum 255 octets.Annexe A Données de répertoire Mac OS X 175 Répertoire d’accueil Emplacement d’un répertoire de départ AFP Texte XML UTF-8 afp://server/sharept usershomedir Dans l’exemple ci-dessous, le répertoire d’accueil de Tom King est K-M/Tom King, qui réside en dessous du répertoire du point de partage, Utilisateurs : afp://example.com/ Users K-M/Tom King HomeDirectoryQuota : Quota de disque du répertoire de départ de l’utilisateur Texte indiquant le nombre d’octets autorisés Si le quota est de 10 Mo, la valeur sera la chaîne de texte “1048576”. Attribut de courrier : Configuration du service de courrier d’un utilisateur Texte XML UTF-8 PrintServiceUserData : Statistiques du quota d’impression d’un utilisateur plist XML UTF-8, valeur unique . MCXFlags : S’il est présent, MCXSettings est chargé ; s’il est absent, MCXSettings n’est pas chargé ; requis pour un utilisateur géré. plist XML UTF-8, valeur unique MCXSettings : Préférences gérées d’un utilisateur plist XML UTF-8, valeurs multiples AdminLimits : Autorisations accordées par Gestionnaire de groupe de travail à un utilisateur qui peut administrer le domaine de répertoire plist XML UTF-8, valeur unique Mot de passe : Mot de passe de l’utilisateur Cryptage UNIX Picture : Chemin d’accès à un fichier d’image reconnu qui constituera l’image affichée pour l’utilisateur Texte UTF-8 Maximum 255 octets. Attribut d’utilisateur Mac OS X Format Exemples176 Annexe A Données de répertoire Mac OS X Comment : Toute documentation que vous choisissez Texte UTF-8 Jean est responsable du marketing Maximum 32 676 octets. UserShell : L’emplacement du shell par défaut pour l’envoi de commandes au serveur Chemin d’accès /bin/tcsh /bin/sh Aucun (cette valeur empêche les utilisateurs possédant des comptes dans le domaine de répertoire d’accéder à distance au serveur via une ligne de commande) Longueur non nulle. Change : Inutilisé par Mac OS X mais correspond à une partie du schéma LDAP standard Nombre Expire : Inutilisé par Mac OS X mais correspond à une partie du schéma LDAP standard Nombre Droit d’authentification : Décrit les méthodes d’authentification d’utilisateur, comme Open Directory ou mot de passe crypté ; pas nécessaire pour un utilisateur avec mot de passe crypté uniquement ; l’absence de cet attribut implique une authentification héritée (cryptage avec Gestionnaire d’authentification, si disponible). Texte ASCII Les valeurs décrivent les méthodes d’authentification d’utilisateur. Valeurs multiples acceptées (par exemple, basic et ShadowHash). Chaque valeur a le format vers; balise; données (où vers et données peuvent être vides). Mot de passe crypté : ;basic; Authentification Open Directory : ;ApplePasswordServer; HexID, adresse IP de la clé publique du serveur :port Mot de passe Shadow (domaine de répertoire local uniquement) : ;ShadowHash; Indice d’authentification : Texte défini par l’utilisateur pour être affiché à titre d’indice de mot de passe Texte UTF-8 Vous avez vu juste. Maximum 255 octets. FirstName : Utilisé par Carnet d’adresses et d’autres applications utilisant la politique de recherche de contacts Attribut d’utilisateur Mac OS X Format ExemplesAnnexe A Données de répertoire Mac OS X 177 LastName : Utilisé par Carnet d’adresses et d’autres applications utilisant la politique de recherche de contacts Adresse de courrier électronique : Adresse électronique vers laquelle le courrier est automatiquement transféré lorsque l’attribut MailAttribute d’un utilisateur n’est pas défini ; utilisé par Carnet d’adresses, Mail et d’autres applications utilisant la politique de recherche de contacts. Toute adresse électronique RFC 822 légale ou URL “mailto: ”valide user@exemple.com mailto:utilisateur@exemple.com PhoneNumber : Utilisé par Carnet d’adresses et d’autres applications utilisant la politique de recherche de contacts AddressLine1 : Utilisé par Carnet d’adresses et d’autres applications utilisant la politique de recherche de contacts PostalAddress : Utilisé par Carnet d’adresses et d’autres applications utilisant la politique de recherche de contacts PostalCode : Utilisé par Carnet d’adresses et d’autres applications utilisant la politique de recherche de contacts OrganizationName : Utilisé par Carnet d’adresses et d’autres applications utilisant la politique de recherche de contacts Attribut d’utilisateur Mac OS X Format Exemples178 Annexe A Données de répertoire Mac OS X Données d’utilisateur utilisées par Mac OS X Server Le tableau suivant décrit la manière dont votre serveur Mac OS X Server utilise les données des enregistrements d’utilisateurs des domaines de répertoires. Consultez ce tableau pour savoir quels sont les attributs (ou types de données) que les divers services de votre serveur s’attendent à trouver dans les enregistrements d’utilisateurs des domaines de répertoires. Notez que, dans la colonne de gauche, “Tous les services” incluent AFP, SMB, FTP, HTTP, NFS, WebDAV, POP, IMAP, Gestionnaire de groupe de travail, Admin Serveur, la fenêtre d’ouverture de session Mac OS X et Gestionnaire Macintosh. Composant du serveur Attribut d’utilisateur Mac OS X Dépendance Tous les services RecordName Requis pour l’authentification Tous les services Nom réel Requis pour l’authentification Tous les services AuthenticationAuthority Utilisé pour l’authentification Kerberos, Serveur de mots de passe et mot de passe shadow Tous les services Password Utilisé pour l’authentification élémentaire (mot de passe crypté) ou Liaison LDAP Tous les services Identifiant unique Nécessaire pour l’autorisation (par exemple, permissions de fichier et comptes de courrier) Tous les services PrimaryGroupID Nécessaire pour l’autorisation (par exemple, permissions de fichier et comptes de courrier) Service FTP Service Web Service de fichiers Apple Service NFS Gestionnaire Macintosh, Fenêtre d’ouverture de session de Mac OS X Préférences de l’application et préférences système Répertoire d’accueil Répertoire d’accueil NFS Facultatif Service de courrier Attribut de courrier Requis pour la connexion au service de courrier de votre serveur Service de courrier Adresse électronique FacultatifAnnexe A Données de répertoire Mac OS X 179 Attributs standard dans les enregistrements de groupes Le tableau suivant fournit des informations sur les attributs standard (ou types de données) que l’on trouve dans les enregistrements de groupes des services de données Mac OS X. Servez-vous de ces informations pour le mappage de domaines LDAP ou Active Directory sur les services de répertoire Mac OS X. Attribut de groupe Mac OS X Format Exemples RecordName : Nom associé à un groupe caractères ASCII A à Z, a à z, 0 à 9, _ Sciences Dépt_Sciences Prof.Sciences Longueur non nulle, maximum 255 octets (de 85 caractères triple octets à 255 caractères d’un octet). Nom réel : Habituellement le nom complet du groupe Texte UTF-8 Professeurs du département de sciences Longueur non nulle, maximum 255 octets (de 85 caractères triple octets à 255 caractères d’un octet) Identifiant de groupe principal : Un identifiant unique pour le groupe Chaîne ASCII signée à 32 bits, composée de chiffres de 0 à 9 Normalement unique par rapport aux autres entrées du groupe. Membres du groupe : Liste de noms abrégés d’enregistrements d’utilisateurs considérés comme faisant partie du groupe Caractères ASCII A à Z, a à z, 0 à 9, _,- bsmith, jdoe Peut être une liste vide (normalement pour le groupe principal d’utilisateurs). Répertoire d’accueil Emplacement d’un répertoire de départ AFP du groupe Texte UTF-8 structuré afp://server/sharept grouphomedir Dans l’exemple ci-dessous, le répertoire d’accueil du groupe Sciences est K-M/Science qui réside sous le répertoire de point de partage Groupes : afp://exemple.com/ Groupes K-M/Science 180 Annexe A Données de répertoire Mac OS X Attributs standard des enregistrements d’ordinateurs Le tableau suivant fournit des informations sur les attributs standard (ou types de données) que l’on trouve dans les enregistrements d’ordinateurs des services de données Mac OS X. Les enregistrements d’ordinateurs associent l’adresse matérielle de l’interface Ethernet d’un ordinateur à un nom attribué à cet ordinateur. Le nom fait partie d’un enregistrement de liste d’ordinateurs (similaire à la notion d’utilisateur dans un groupe). Servez-vous de ces informations pour le mappage de domaines LDAP ou Active Directory sur des services de répertoires Mac OS X. Member : Même données que pour GroupMembership mais chacune étant utilisée par différents services de Mac OS X Server Caractères ASCII A à Z, a à z, 0 à 9, _,- bsmith, jdoe Peut être une liste vide (normalement pour le groupe principal des utilisateurs). HomeLocOwner : Nom abrégé de l’utilisateur qui possède le répertoire de départ du groupe Caractères ASCII de A à Z, a à z, 0 à 9, _,- MCXFlags : S’il est présent, MCXSettings est chargé ; s’il est absent, MCXSettings n’est pas chargé ; requis pour un utilisateur géré. plist XML UTF-8, valeur unique MCXSettings : Préférences d’un groupe de travail (groupe géré) plist XML UTF-8, valeurs multiples Attribut de groupe Mac OS X Format Exemples Attribut d’ordinateur Mac OS X Format Exemples RecordName : Nom associé à un ordinateur Texte UTF-8 iMac 1 Commentaires : Toute documentation que vous choisissez Texte UTF-8 EnetAddress : L’adresse MAC de l’interface Ethernet de l’ordinateur Notation hexa, séparation par deux-points ; les zéros initiaux peuvent être ignorés 00:05:02:b7:b5:88Annexe A Données de répertoire Mac OS X 181 Attributs standard des enregistrements de listes d’ordinateurs Le tableau suivant fournit des informations sur les attributs standard (ou types de données) que l’on trouve dans les enregistrements de listes d’ordinateurs des services de données Mac OS X. Un enregistrement de liste d’ordinateurs identifie un groupe d’ordinateurs (très similaire à la façon dont un enregistrement de groupe identifie un ensemble d’utilisateurs). Servez-vous de ces informations pour le mappage de domaines LDAP ou Active Directory sur des services de répertoires Mac OS X. MCXFlags : Utilisé uniquement dans l’enregistrement d’ordinateur “guest” (invité) ; s’il est présent, MCXSettings est chargé ; s’il est absent, MCXSettings n’est pas chargé ; requis pour un ordinateur géré. plist XML UTF-8, valeur unique MCXSettings : Utilisé uniquement dans l’enregistrement d’ordinateur “guest” (invité) ; préférences d’un ordinateur géré plist XML UTF-8, valeurs multiples Attribut d’ordinateur Mac OS X Format Exemples Attribut de liste d’ordinateurs Mac OS X Format Exemples RecordName : Nom associé à une liste d’ordinateurs Texte UTF-8 Ordinateurs de laboratoire Longueur non nulle, maximum 255 octets (de 85 caractères triple octets à 255 caractères d’un octet). MCXFlags plist XML UTF-8, valeur unique MCXSettings : Stocke les préférences d’un ordinateur géré plist XML UTF-8, valeurs multiples Computers Liste à valeurs multiples de noms d’enregistrements d’ordinateurs iMac 1, iMac 2 Groupe Une liste de groupes dont les membres peuvent ouvrir une session sur les ordinateurs de cette liste d’ordinateurs Liste à valeurs multiples de noms abrégés de groupes herbivores,omnivores182 Annexe A Données de répertoire Mac OS X Attributs standard des enregistrements de montage Le tableau suivant fournit des informations sur les attributs standard (ou types de données) que l’on trouve dans les enregistrements de montage des services de données Mac OS X. Servez-vous de ces informations pour le mappage de domaines LDAP ou Active Directory sur les services de répertoire Mac OS X. Attributs standard des enregistrements de configuration Le tableau suivant fournit des informations sur les attributs standard (ou types de données) que l’on trouve dans les enregistrements de configuration des services de données Mac OS X. Mac OS X Server version 10.2 et ultérieure utilise ces deux types d’enregistrements de configuration : • L’enregistrement mcx_cache porte toujours le nom RecordName de mcx_cache. Il utilise aussi RealName et DataStamp pour déterminer si la mémoire cache doit être actualisée ou les réglages de serveur ignorés. Si vous voulez des clients gérés, vous devez avoir un enregistrement de configuration mcx_cache. • L’enregistrement passwordserver possède l’attribut supplémentaire PasswordServerLocation. Attributs de montage Mac OS X Format Exemples RecordName : Hôte et chemin d’accès au point de partage Texte UTF-8 hostname:/chemin d’accès sur le serveur indigo:/Volumes/home2 VFSLinkDir Chemin d’accès pour le montage sur un client Texte UTF-8 /Network/Servers VFSType Texte ASCII Pour AFP : url Pour NFS : nfs VFSOpts Texte UTF-8 Pour AFP (deux valeurs) : net url==afp:// ;AUTH=NO%20USER%20 AUTHENT@serveur/point de partage/ Pour NFS : net VFSDumpFreq VFSPassNoAnnexe A Données de répertoire Mac OS X 183 Servez-vous de ces informations pour le mappage de domaines LDAP ou Active Directory sur les services de répertoire Mac OS X. Attributs de configuration Mac OS X Format Exemples RecordName : Nom associé à une configuration Caractères ASCII A à Z, a à z, 0 à 9, _,-,. mcx_cache passwordserver Longueur non nulle, maximum 255 octets (de 85 caractères triple octets à 255 caractères d’un octet). PasswordServerLocation : Identifie l’hôte du serveur de mots de passe associé au domaine de répertoire adresse IP ou nom d’hôte 192.168.1.90 Nom réel Pour l’enregistrement de configuration mcx_cache, RealName est un GUID DataStamp Pour l’enregistrement de configuration mcx_cache, DataStamp est un GUID 185 B Annexe B Méthodes d’authentification du serveur de mots de passe Open Directory Open Directory Password Server repose sur le standard SASL pour gérer plusieurs méthodes d’authentification de mots de passe d’utilisateur. Le méthodes d’authentification gérées par Open Directory Password Server incluent APOP, CRAM-MD5, DHX, Digest-MD5, MS-CHAPv2, SMB-NT, SMB-LAN Manager et WebDAV-Digest. Open Directory Password Server peut gérer un large éventail de méthodes d’authentification car il est basé sur le standard SASL (Simple Authentication and Security Layer). Open Directory doit gérer de nombreuses méthodes d’authentification différentes car chaque service requérant l’authentification utilise des méthodes particulières. Les services de fichiers utilisent un ensemble de méthodes d’authentification, le service Web en utilise un autre, le service de courrier encore un autre, etc. Certaines méthodes d’authentification sont plus sûres. Les méthodes les plus sûres exploitent des algorithmes plus robustes pour coder les données transmises entre le client et le serveur. Les méthodes d’authentification les plus sûres stockent en outre les mots de passe sous une forme impossible à récupérer à partir du serveur. Activation ou désactivation des méthodes d’authentification Toutes les méthodes d’authentification de mot de passe gérées par Open Directory Password Server sont activées à l’origine. Vous pouvez désactiver et activer des méthodes d’authentification du serveur de mots de passe Open Directory à l’aide de la commande NeST dans Terminal. Pour plus d’informations, reportez-vous au d’administration par ligne de commande. Lorsque vous décidez des méthodes d’authentification à désactiver ou activer, votre objectif doit être de fournir un confort maximal aux utilisateurs légitimes tout en empêchant les autres utilisateurs d’accéder au serveur. Voici quelques aspects à considérer : • Quels sont les types de validation de mot de passe nécessaires aux services fournis par votre ou vos serveurs ? • Quel équilibre souhaitez-vous établir entre facilité d’accès et sécurité ?186 Annexe B Méthodes d’authentification du serveur de mots de passe Open Directory • Quels sont les types de matériel et de logiciel utilisés par les clients du serveur ? • Votre serveur se trouve-t-il dans un lieu physiquement protégé ? Remarque : désactiver ou activer une méthode d’authentification peut nécessiter la réinitialisation des mots de passe des comptes d’utilisateurs. Si un utilisateur ne parvient pas à utiliser les méthodes que vous venez d’activer, l’utilisateur ou un administrateur du domaine de répertoire doit réinitialiser le mot de passe d’utilisateur. Des informations élémentaires sur les méthodes d’authentification du serveur de mots de passe Open Directory sont fournies dans les pages suivantes. Ces informations ne constituent pas une alternative à l’apprentissage minutieux des méthodes d’authentification et de la manière dont elles affectent la sécurité et la facilité d’accès. Validation de mot de passe APOP APOP peut être utilisé pour le service de courrier POP par Mac OS X Server et le logiciel client de courrier de l’utilisateur. Il code les mots de passe lorsqu’ils sont transmis sur le réseau mais les stocke sous une forme récupérable sur le serveur. Il offre une sécurité correcte pendant la transmission sur le réseau. Un utilisateur mal intentionné peut toutefois obtenir les mots de passe en accédant au serveur et en lisant le fichier des mots de passe. Cette opération reste cependant difficile. Lorsqu’APOP est désactivé, certains programmes de courrier électronique transmettent les mots de passe sur le réseau dans un format clair, ce qui implique un important risque de sécurité. Si vous utilisez votre serveur pour le courrier POP, il faut garder APOP activé. Validation de mot de passe CRAM-MD5 CRAM-MD5 peut être utilisé pour le service de courrier IMAP par Mac OS X Server et le logiciel client de courrier de l’utilisateur. CRAM-MD5 est également utilisé par certains logiciels LDAP. Cette méthode d’authentification code les mots de passe lorsqu’ils sont transmis sur le réseau et les stocke sur le serveur sous une forme brouillée. Il offre une sécurité correcte pendant la transmission sur le réseau. Un utilisateur mal intentionné peut obtenir les mots de passe en accédant au serveur et en décodant le fichier des mots de passe. Cette opération reste cependant difficile. Lorsque CRAM-MD5 est désactivé, certains programmes de courrier électronique transmettent les mots de passe sur le réseau sous forme de texte en clair, ce qui représente un important risque de sécurité. Si vous utilisez votre serveur pour le courrier SMTP ou IMAP, veillez à garder CRAM-MD5 activé. Validation de mot de passe DHX La validation de mot de passe DHX (Diffie-Hellman Exchange) est utilisée par le service de fichiers Apple de Mac OS X Server et certains autres serveurs de fichiers AFP (Apple Filing Protocol). DHX est requis pour l’administration Open Directory et les modifications de mot de passe. Un utilisateur mal intentionné est capable d’obtenir les mots de passe en accédant au serveur et en décodant le fichier des mots de passe. Cette opération reste cependant difficile. DHX code les mots de passe de façon très robuste lors de leur transmission sur le réseau. DHX ne peut être désactivé.Annexe B Méthodes d’authentification du serveur de mots de passe Open Directory 187 Pour utiliser DHX, le logiciel AppleShare Client des ordinateurs Mac OS 8.1 à 8.6 doit être mis à niveau. • Les ordinateurs Mac OS 8.6 doivent utiliser AppleShare Client version 3.8.8. • Les clients Mac OS 8.1 à 8.5 doivent utiliser AppleShare Client version 3.8.6. • Les ordinateurs clients Mac OS 8.1 à 8.6 qui ont des volumes de serveur de fichiers automatiquement montés au démarrage doivent utiliser AppleShare Client version 3.8.3 et disposer du module DHX UAM (User Authentication Module, module d’authentification utilisateur). DHX UAM est fourni avec le logiciel d’installation d’AppleShare Client 3.8.3. Validation de mot de passe Digest-MD5 Digest-MD5 est utilisé par la fenêtre d’ouverture de session de Mac OS X, de nombreux programmes de courrier électronique et certains logiciels LDAP. Cette méthode d’authentification code les mots de passe lorsqu’ils sont transmis sur le réseau, et les stocke sur le serveur dans une forme brouillée. Il offre une sécurité correcte pendant la transmission sur le réseau. Un utilisateur mal intentionné est capable d’obtenir les mots de passe en accédant au serveur et en décodant le fichier des mots de passe. Cette opération reste cependant difficile. Digest-MD5 ne peut être désactivé. Validation de mot de passe MS-CHAPv2 MS-CHAPv2 est utilisé par le service VPN de Mac OS X Server. Cette méthode d’authentification code les mots de passe lorsqu’ils sont transmis sur le réseau, et les stocke sur le serveur dans une forme brouillée. Il offre une sécurité correcte pendant la transmission sur le réseau. Un utilisateur mal intentionné est capable d’obtenir les mots de passe en accédant au serveur et en décodant le fichier des mots de passe. Cette opération reste cependant difficile. Validation de mot de passe SMB-NT La validation de mot de passe SMB-NT est requise par défaut pour certains ordinateurs Microsoft Windows qui doivent se connecter au serveur Mac OS X Server pour les services Windows. On l’appelle parfois Windows Secure Password Exchange (NT). Il code les mots de passe lorsqu’ils sont transmis sur le réseau et les stocke sur le serveur sous forme brouillée. Un utilisateur mal intentionné est capable d’obtenir les mots de passe en accédant au serveur et en décodant le fichier des mots de passe. Cette opération reste cependant difficile. Lorsque la validation de mot de passe SMB-NT est désactivée, le système de chaque client Windows doit être configuré pour travailler avec le serveur. Pour que les utilisateurs sous Windows puissent facilement partager des fichiers sur votre système, gardez SMB-NT activé.188 Annexe B Méthodes d’authentification du serveur de mots de passe Open Directory Validation de mot de passe SMB-LAN Manager La validation de mot de passe SMB-LAN Manager est requise par défaut pour certains systèmes Microsoft Windows qui doivent se connecter au serveur SMB Mac OS X. On l’appelle parfois Windows Secure Password Exchange (LAN Manager). Il code les mots de passe lorsqu’ils sont transmis sur le réseau, et les stocke sur le serveur sous forme brouillée. Un utilisateur mal intentionné est capable d’obtenir les mots de passe en accédant au serveur et en décodant le fichier des mots de passe. Cette opération reste cependant difficile. Lorsque la validation de mot de passe SMB-LAN Manager est désactivée, le système de chaque client Windows doit être configuré pour travailler avec le serveur. Pour que les utilisateurs sous Windows puissent facilement partager des fichiers sur votre système, gardez SMB-LAN Manager activé. Validation de mot de passe WebDAV-Digest WebDAV-Digest gère la validation de mot de passe Digest-MD5 du protocole WebDAV, qui est utilisé pour authentifier l’accès à un iDisk. Gardez WebDAV-Digest activé pour que les utilisateurs puissent monter des iDisk et d’autres serveurs WebDAV dans le Finder. WebDAV-Digest code les mots de passe lorsqu’ils sont transmis sur le réseau et les stocke sur le serveur sous forme brouillée. Il offre une sécurité correcte pendant la transmission sur le réseau. Un utilisateur mal intentionné est capable d’obtenir les mots de passe en accédant au serveur et en décodant le fichier des mots de passe. Cette opération reste cependant difficile. 189 C Annexe C Gestionnaire d’authentification Mac OS X Server gère les utilisateurs qui ont été configurés pour employer la technologie héritée Gestionnaire d’authentification de Mac OS X Server versions 10.0 à 10.2. Gestionnaire d’authentification est une technologie héritée pour la validation sécurisée des mots de passe des utilisateurs suivants : • Utilisateurs de services Windows (y compris gestion de SMB-NT, SMB-LM et CRAM-MD5) • Utilisateurs de services de fichiers Apple dont les ordinateurs Mac OS 8 n’ont pas été mis à niveau avec le logiciel client AFP version 3.8.3 ou plus • Utilisateurs devant s’authentifier pour le service de courrier à l’aide d’APOP ou de CRAM-MD5 Gestionnaire d’authentification ne fonctionne que pour les comptes d’utilisateurs qui ont été créés dans un domaine NetInfo de Mac OS X Server versions 10.0 à 10.2. Gestionnaire d’authentification doit avoir été activé pour le domaine NetInfo. Lorsque vous mettez un serveur à niveau avec Mac OS X Server version 10.3, à partir d’une version antérieure dans laquelle Gestionnaire d’authentification est activé, ce dernier demeure activé. Les utilisateurs existants peuvent conserver leurs mots de passe. Un compte d’utilisateur existant utilise Gestionnaire d’authentification si le compte se trouve dans un domaine NetInfo pour lequel Gestionnaire d’authentification a été activé et si le compte est configuré pour utiliser un mot de passe crypté. Après la mise à niveau d’un serveur avec Mac OS X Server version 10.3, vous pouvez modifier les comptes d’utilisateurs existants pour qu’ils s’authentifient à l’aide d’Open Directory. L’authentification Open Directory est l’option d’authentification par défaut pour les utilisateurs de services Windows. Elle est requise pour l’accès au domaine à partir d’une station de travail Windows vers un contrôleur de domaine principal Mac OS X Server. Les nouveaux comptes d’utilisateurs créés dans Mac OS X Server version 10.3 sont configurés pour utiliser l’authentification Open Directory. 191 Glossaire Glossaire Active Directory Le service de répertoire des serveurs Microsoft Windows 2000 et 2003. administrateur Utilisateur disposant d’autorisations d’administration de serveur ou de domaine de répertoire. Les administrateurs sont toujours membres du groupe “admin” prédéfini. Adresse IP Adresse numérique unique qui identifie un ordinateur sur Internet. attribut d’autorité d’authentification Valeur qui identifie le système de validation de mot de passe spécifié pour un utilisateur et fournit, si nécessaire, des informations supplémentaires. authentification Processus par lequel un utilisateur prouve son identité, généralement en validant un nom d’utilisateur et un mot de passe. L’authentification intervient habituellement avant qu’un processus d’autorisation ne détermine le niveau d’accès d’un utilisateur à une ressource. Par exemple, le service de fichiers autorise l’accès complet aux dossiers et fichiers dont l’utilisateur authentifié est le possesseur. autorisation Processus par lequel un service détermine s’il doit accorder à un utilisateur l’accès à une ressource et spécifie le type d’accès qui doit être accordé. L’autorisation intervient habituellement après que le processus d’authentification s’est assuré de l’identité de l’utilisateur. Par exemple, le service de fichiers autorise un accès complet aux dossiers et fichiers dont un utilisateur authentifié est le possesseur. BSD (Berkeley System Distribution) Version d’UNIX, sur laquelle repose le logiciel Mac OS X. chemin de recherche Voir politique de recherche. classe Voir classe d’objets. classe d’objets Ensemble de règles qui définissent des objets semblables dans un domaine de répertoire en spécifiant les attributs que doit posséder chaque objet, ainsi que d’autres attributs possibles pour l’objet.192 Glossaire client géré Utilisateur, groupe ou ordinateur dont les autorisations d’accès et/ou les préférences sont sous le contrôle d’un administrateur. compte d’ordinateurs Liste d’ordinateurs qui partagent les mêmes réglages de préférences et sont accessibles aux mêmes utilisateurs et groupes. DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) Protocole utilisé pour la répartition d’adresses IP entre les ordinateurs clients. Chaque fois qu’un ordinateur client démarre, le protocole recherche un serveur DHCP et demande une adresse IP au serveur DHCP rencontré. Le serveur DHCP cherche une adresse IP disponible et l’envoie à l’ordinateur client accompagnée d’un délai de bail (période pendant laquelle l’ordinateur client est autorisé à utiliser l’adresse). domaine de répertoire Base de données spécialisée qui stocke les informations de référence sur les utilisateurs et les ressources réseau nécessaires au logiciel système et aux applications. La base de données est optimisée pour gérer de nombreuses requêtes d’informations, trouver et obtenir rapidement ces informations. Le domaine de répertoire peut également être appelé nœud de répertoire ou simplement répertoire. domaine local domaine de répertoire accessible uniquement à partir de l’ordinateur sur lequel il réside. empreinte Forme cryptée d’un mot de passe ou d’un texte. enfant Ordinateur dont les informations de configuration proviennent du domaine de répertoire partagé d’un parent FTP (File Transfer Protocol) Protocole permettant aux ordinateurs de transférer des fichiers sur un réseau. Les clients FTP, dont le système d’exploitation gère le protocole FTP, peuvent se connecter à un serveur de fichiers et télécharger des fichiers, en fonction des autorisations d’accès dont ils bénéficient. La plupart des navigateurs Internet et bon nombre d’applications gratuites (“freeware”) peuvent être utilisés pour accéder à un serveur FTP. groupe Ensemble d’utilisateurs ayant les mêmes besoins. Les groupes simplifient l’administration des ressources partagées. groupe principal Groupe par défaut d’un utilisateur. Le système de fichiers utilise l’identifiant du groupe principal lorsqu’un utilisateur accède à un fichier dont il n’est pas le possesseur. hiérarchie de domaine de répertoire Mode d’organisation des domaines de répertoires partagés et locaux. Une hiérarchie possède une structure arborescente inversée, le domaine racine (root) étant placé en haut et les domaines locaux en bas.Glossaire 193 identifiant de groupe principal Nombre unique identifiant un groupe principal. IP (Internet Protocol) Egalement appelé IPv4. Méthode utilisée conjointement avec le protocole TCP (Transmission Control Protocol) pour envoyer des données d’un ordinateur à un autre via un réseau local ou via Internet. Le protocole IP envoie les paquets de données, alors que le protocole TCP se charge du suivi de ces paquets. Kerberos Système sécurisé d’authentification en réseau. Kerberos utilise des tickets qui sont émis pour un utilisateur, un service et une durée spécifiques. Une fois qu’un utilisateur est authentifié, il peut accéder à des services supplémentaires sans devoir fournir à nouveau un mot de passe (procédure de signature unique) pour les services configurés pour accepter les tickets Kerberos. Mac OS X Server utilise Kerberos v5. LDAP (Lightweight Directory Access Protocol) Protocole client-serveur standard pour accéder à un domaine de répertoire. Mac OS X La dernière version du système d’exploitation d’Apple. Mac OS X allie la fiabilité d’UNIX à la facilité d’emploi de Macintosh. Mac OS X Server Plate-forme de serveur puissante, capable de gérer immédiatement les clients Mac, Windows, UNIX et Linux et offrant un ensemble de services de réseau et de groupes de travail extensible, ainsi que des outils perfectionnés de gestion à distance. NetInfo Un des protocoles Apple permettant d’accéder à un domaine de répertoire. nœud de répertoire Voir domaine de répertoire nom abrégé Abréviation du nom d’un utilisateur. Le nom abrégé est utilisé par Mac OS X pour les répertoires de départ, l’authentification et les adresses électroniques. nom complet Voir nom d’utilisateur nom d’utilisateur Nom complet d’un utilisateur, appelé parfois nom “réel” de l’utilisateur. Voir également nom abrégé. Open Directory Architecture des services de répertoire Apple, capable d’accéder aux informations de référence sur les utilisateurs et les ressources réseau à partir de domaines de répertoire utilisant les protocoles LDAP, NetInfo ou Active Directory ; les fichiers de configuration BSD ; et les services de réseau. open-source Terme désignant le développement coopératif de logiciels par la communauté Internet. Le principe de base consiste à impliquer le maximum de personnes dans l’écriture et la mise au point du code en publiant le code source et en encourageant la formation d’une large communauté de développeurs qui feront part de leurs modifications et améliorations. 194 Glossaire ordinateur administrateur Ordinateur Mac OS X sur lequel vous avez installé les applications d’administration du serveur situées sur le CD Admin Serveur Mac OS X. parent Ordinateur dont le domaine de répertoire partagé fournit des informations de configuration à un autre ordinateur. point de partage Dossier, disque dur (ou partition de disque dur) ou CD accessible via le réseau. Un point de partage constitue le point d’accès situé au premier niveau d’un groupe d’éléments partagés. Les points de partage peuvent être partagés à l’aide des protocoles AFP, Windows SMB, NFS (“exportation”) ou FTP. politique de recherche Liste des domaines de répertoires parmi lesquels un ordinateur Mac OS X effectue ses recherches lorsqu’il a besoin d’informations de configuration. Désigne également l’ordre dans lequel les domaines sont pris en compte lors de la recherche. Parfois appelé “chemin de recherche”. possesseur Personne qui a créé un fichier ou un dossier et qui, dès lors, peut attribuer aux autres utilisateurs des autorisations d’accès à ces éléments. Le possesseur d’un élément dispose automatiquement des autorisations de lecture et d’écriture pour cet élément. Le possesseur d’un élément peut également en transférer la propriété à un autre utilisateur. préférences gérées Préférences système ou d’applications sous le contrôle d’un administrateur. Gestionnaire de groupe de travail permet aux administrateurs de contrôler les réglages de certaines préférences Système pour les clients gérés Mac OS X. Gestionnaire Macintosh permet aux administrateurs de contrôler à la fois les préférences système et les préférences d’applications pour les clients gérés Mac OS 9 et Mac OS 8. protocole Ensemble de règles qui déterminent la manière dont les données sont échangées entre deux applications. protocole AFP (Apple Filing Protocol) Protocole client/serveur utilisé par le service de fichiers Apple sur les ordinateurs Macintosh et compatibles pour partager des fichiers et des services en réseau. Ce protocole utilise TCP/IP et d’autres protocoles pour les communications entre ordinateurs d’un réseau. Rendezvous Protocole développé par Apple pour la détection automatique d’ordinateurs, de périphériques et de services sur les réseaux IP. Ce protocole standard Internet est souvent appelé “ZeroConf” ou “multicast DNS”. Pour plus d’informations, visitez les sites www.apple.com ou www.zeroconf.org répertoire de départ Dossier destiné à l’usage personnel d’un utilisateur. Mac OS X utilise également le répertoire de départ pour, par exemple, stocker des préférences système et des réglages d’utilisateur gérés pour les utilisateurs Mac OS X.Glossaire 195 répertoire de groupe Répertoire servant à organiser les documents et les applications d’un intérêt particulier pour les membres d’un groupe et leur permettant de s’échanger des informations. schéma Ensemble d’attributs et de types (ou classes) d’enregistrements qui fournissent un modèle pour les informations contenues dans un domaine de répertoire. Services de répertoires Services fournissant au logiciel système et aux applications un accès uniforme aux domaines de répertoires et autres sources d’informations sur les utilisateurs et les ressources. signature unique Stratégie d’authentification qui évite aux utilisateurs de devoir saisir un nom et un mot de passe pour chaque service de réseau. Mac OS X Server utilise Kerberos pour activer la signature unique. SLP (Service Location Protocol) DA (Directory Agent) Protocole utilisé pour répertorier les services disponibles sur un réseau, afin de permettre aux utilisateurs d’y accéder facilement. Lorsqu’un service est ajouté au réseau, il utilise le protocole SLP pour s’enregistrer sur le réseau. SLP/DA conserve les services de réseau enregistrés dans un emplacement centralisé. SMB (Server Message Block) Protocole permettant à des ordinateurs clients d’accéder à des fichiers et à des services de réseau. Il peut être utilisé via TCP/IP, Internet ou d’autres protocoles. Les services Windows utilisent le protocole SMB pour fournir l’accès aux serveurs, imprimantes et autres ressources de réseau. SSL (Secure Sockets Layer) Protocole Internet permettant d’envoyer sur Internet des informations cryptées et authentifiées. utilisateur invité Utilisateur pouvant se connecter à votre serveur sans fournir de nom ni de mot de passe. WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning) Environnement de création en direct permettant aux utilisateurs clients d’extraire des pages Web d’un site, de les modifier, puis de les replacer sur le site sans que ce dernier ne cesse de fonctionner. WebDAV realm Région d’un site Web, généralement un dossier ou un répertoire, réservé aux utilisateurs et groupes WebDAV. 197 Index Index A Active Directory accès LDAPv3 à 118 configuration de l’accès à 113 groupes d’administrateurs 117 mappage UID 117 mise en cache des références 116 modification de comptes d’utilisateur 118 politiques de recherche et 114, 115, 119 serveur préféré 116 administrateur Active Directory 114, 115, 117 choix des services de répertoires 62 délégué 69, 71, 72 Kerberos 69, 71 mot de passe, réinitialisation 136 NetInfo 121 nom distinctif 108 obligations 85 Open Directory 89 politiques de mot de passe 40, 82, 83 serveur de mots de passe Open Directory 89, 135 administrateur délégué 69 administration distante 57, 125 Admin Serveur 58 connexion à un domaine de répertoire existant 68 informations sur les services de répertoires 127 maître Open Directory 64 réplique Open Directory 65 serveur de mot de passe Open Directory 127 utilisations 58 aiguillage automatique, clients NetInfo vers LDAP 75 AppleTalk activation et désactivation d’Open Directory 94 protocole de détection de services 27 application Format de répertoire accès LDAP via DHCP 101 accès NIS 119 activation et désactivation de protocoles 94, 95, 96, 97 Active Directory, accès 113, 118 administration distante 125 bases de recherche et mappages LDAP, modification 106, 109 configuration LDAP, duplication 104 configuration LDAP, modifier 103 configuration LDAP, suppression 105 configurations LDAP, affichage et masquage 102 connexions LDAP, modification 105 LDAP configuration, ajout 102, 116, 117 liaison NetInfo, configuration 123 politique de recherche automatique, utilisation 98 politique de recherche de domaine local 100 politiques de recherche 97–100 politiques de recherche personnalisées, définition 99 SMB, configuration 97 assistant du serveur 63 attaque hors ligne 46 attaque par saturation 74 attribut d’autorité d’authentification 38, 90, 156 attributs ajout 108 à propos des 21 enregistrements d’emplacements 173 enregistrements d’imprimantes 171 enregistrements d’ordinateurs 163, 180–181 enregistrements d’utilisateurs 158, 173–177 enregistrements d’utilisateurs préréglés 169 enregistrements de configuration 166, 182–183 enregistrements de configuration automatique de serveur 172 enregistrements de groupes 162, 179–180 enregistrements de groupes préréglés 169 enregistrements de listes d’ordinateurs 165, 181 enregistrements de listes d’ordinateurs préréglés 168 enregistrements de montage 163, 182 enregistrements de personnes 167 LDAP 144 mappage LDAP 106 attributs d’imprimante (printer) 152 attributs d’ordinateur (computer) 153198 Index attributs d’ordinateur (machine) 150 attributs d’ouverture de session 157 attributs d’utilisateur préréglé 156 attributs de configuration 154 attributs de groupe 148, 162, 179–180 attributs de liste d’ordinateurs 181 attributs de montage (mount) 151 authentification Kerberos 39, 41, 69, 70, 72, 88 protocoles gérés 39 sécurité 56 serveur de mot de passe Open Directory 39 signature unique 44 authentification APOP 40, 186 authentification CRAM-MD5 40, 186 authentification de base 45 authentification DHX 40, 45, 186 authentification Digest-MD5 40, 187 authentification LAN Manager 40, 45, 188 authentification MS-CHAPv2 40, 41, 69, 135, 187 authentification NT 40, 187 authentification par liaison LDAP 47, 88 authentification SMB-LAN Manager 40, 188 authentification SMB-NT 40, 187 authentification VPN 41, 69, 135 authentification WebDAV-Digest 40, 188 autorisations d’accès, services de répertoires 20 B basculement, Open Directory 67 base de données Berkeley DB 52 domaine de répertoire 15, 52 Kerberos 42 LDAP 55, 73 migration 75 restauration 132 sauvegarde 130 serveur de mots de passe Open Directory 40, 41, 56 base de recherche Active Directory 119 mappages stockés sur serveur 108 répertoire LDAP 65, 77, 102 types d’enregistrements LDAP 107 besoins répertoire et authentification 52 C centre de distribution de clés Voir Kerberos classe d’objets d’autorité d’authentification (authentication authority) 143 classe d’objets d’emplacement (location) 143 classe d’objets d’imprimante (printer) 140 classe d’objets d’ordinateur (computer) 140 classe d’objets d’ordinateur (machine) 140 classe d’objets d’utilisateur (user) 139 classe d’objets d’utilisateur préréglé (preset user) 142 classe d’objets de configuration 141 classe d’objets de configuration d’assistant du serveur (server assistant configuration) 143 classe d’objets de conteneur (container) 138 classe d’objets de groupe (group) 139 classe d’objets de groupe préréglé (preset group) 142 classe d’objets de liste d’ordinateurs (computer list) 141 classe d’objets de liste d’ordinateurs préréglés (preset computer list) 142 classe d’objets de montage (mount) 140 classes d’objets 138 comptes d’utilisateur dans des domaines de répertoire 15–16 connecté à un système de répertoire 68 connexion à un domaine Kerberos 72 cryptage LDAP 74 mot de passe 40, 46 D délai de recherche, LDAP 74 détection de services 27, 93 DHCP liaison NetInfo 98, 122, 123 maître Open Directory 65 option 95 34 politique de recherche automatique 34 politique de recherche automatique et 98 répertoire LDAP migré et 75, 77 réplique Open Directory et 67 serveur LDAP pour clients DHCP 34, 78, 98, 101 DNS (Domain Name System), Rendezvous 27 DNS en multidiffusion 27 domaine, Kerberos 42, 65, 76 domaine de répertoire besoins 52 comptes d’utilisateur 15–16 planification 49 sécurité 53 simplification des modifications 51 stockage d’informations 15, 21, 51 domaine de répertoire local NetInfo 122 politique de recherche 30, 100 dans la politique de recherche automatique 33 serveur autonome 63 stockage d’informations 22 domaine de répertoire partagéIndex 199 Voir également LDAP, NetInfo connexion (à un domaine existant) 68 hébergement 64, 65 impression réseau 24 ressources 25 stockage d’informations 22 domaine NetInfo enfant 121 domaine NetInfo parent 121 domaine root 122 domaines de répertoires partagés Voir aussi LDAP, NetInfo données administratives Voir domaine de répertoire données brutes de répertoire, modification 128 duplication basculement 67 fréquence 73 planification 54 sécurité 57 E empreinte, mot de passe 40, 44 empreinte, mot de passe SHA-1 45 empreinte NT 45 enregistrements d’ordinateurs, attributs des 180– 181 enregistrements d’utilisateurs attributs 144, 158, 173–177 mappage 157, 178 utilisation par le serveur 178 enregistrements de configuration, attributs 182–183 enregistrements de groupe 21 enregistrements de groupes 161 enregistrements de listes d’ordinateurs, attributs 153 enregistrements de montage 162, 182 F fichiers de configuration Voir fichiers de configuration BSD fichiers de configuration BSD activation et désactivation 94 histoire 16 remplissage à l’aide de données 121 utilisation 120 Format de répertoire utilisations 58 G Gestionnaire d’authentification 76, 90, 189 Gestionnaire de groupe de travail remplissage de domaines LDAP avec 110 utilisations 59 Gestionnaire NetInfo 59, 123, 124 groupes, administration d’Active Directory 115, 117 guides d’administration du serveur 11 H historiques serveur de mots de passe Open Directory 127 I importation et exportation utilisateurs du serveur de mots de passe Open Directory 89 Utilisateurs Gestionnaire d’authentification 90 Inspecteur affichage 128 masquage 129 nom abrégé, modification 129 J journaux services de répertoire 127 K Kerberos activation 88 centre de distribution de clés intégré 42 configuration 69 domaine 42, 65, 76 duplication 54 maître Open Directory 70 politiques de mot de passe 39, 43, 82, 83 principaux 42 processus d’authentification 43 résolution de problèmes 135 services compatibles 70 services gérant 42 ticket 43 ticket d’octroi de ticket 43 utilisation 42 L LDAP Voir également domaines de répertoires activation et désactivation 95 affichage et masquage des configurations 102 ajout de configurations de serveur 102 associer à 47 attributs 144 bascule des clients à partir de NetInfo 77 classes d’objets 138 configuration 100–111 configuration de ports 57, 106 délai de recherche 74 domaines partagés 33 duplication 54 duplication de configurations de serveur 104 emplacement de la base de données 73200 Index extensions du schéma 138 lecture seule 110 liaison 34 migration du répertoire à partir de NetInfo 75 modification des configurations de serveur 103 options, configuration pour serveur 72 politique de recherche automatique 34 protocole de service de répertoire 26 réglages de connexion 105 remplissage de données 110 restauration à partir d’une sauvegarde 132 résultats de recherche, limitation 74 sauvegarde 130 SSL 74, 106 suppression de configurations de serveur 105 liaison LDAP 34, 98 NetInfo 122 liaison broadcast, NetInfo 123 liaison statique, NetInfo 123 Lightweight Directory Access Protocol (LDAP) Voir LDAP M Mac OS X Server applications d’administration 57 documentation 11 domaines de répertoires partagés 22–26 données utilisées par 178 maître Open Directory à propos 54 basculement vers une réplique 67 configuration 64 Kerberos 70 restauration à partir d’une sauvegarde 132 sauvegarde 130 signature unique 70 mappage Active Directory 157 enregistrements d’emplacements 172 enregistrements d’imprimantes 171 enregistrements d’ordinateurs 163, 180–181 enregistrements d’utilisateurs 157, 173–177 enregistrements d’utilisateurs préréglés 169 enregistrements de configuration 165, 182–183 enregistrements de configuration automatique de serveur 172 enregistrements de groupes 161, 179–180 enregistrements de groupes préréglés 168 enregistrements de listes d’ordinateurs 165, 181 enregistrements de listes d’ordinateurs préréglés 168 enregistrements de montage 162, 182 enregistrements de personnes 166 LDAP 106, 157 méthodes d’authentification, activation et désactivation 185 méthodes d’authentification en réseau 185 migration, domaine de répertoire NetInfo vers LDAP 75 mise en cache des références, Active Directory 116 modèles, domaine de répertoire Voir mappage montage automatique, services de répertoire 20 mot de passe crypté 44, 86 mot de passe en clair 40 mot de passe Open Directory 39, 85, 89 mot de passe shadow 44, 45, 87 mots de passe changement 80 composition 80 craquage 46 méthodes d’authentification 39 migration vers Open Directory 90 modification impossible 135 problèmes posés par ceux qui sont lisibles 46 réinitialisation simultanée 81 synchronisation des modifications dans les répliques 68 N NetInfo Voir également domaines de répertoires activation et désactivation de l’accès 95 bascule des clients vers LDAP 77 configuration 121–124 configuration de port 124 désactivation du domaine 75, 78 domaine partagé 33 enfant 121 liaison 122 migration du domaine vers LDAP 75 parent 121 politique de recherche automatique 34 protocole de service de répertoire 26 NIS, accès 119 nom abrégé, modification 129 nom distinctif 108 O obligations administrateur 85 Open Directory Voir également services de répertoires authentification 16 autorisations d’accès 20 comparaison avec les systèmes UNIX 18 configuration des protocoles 93 détection de services 27 dossiers de départ 20Index 201 droits d’administrateur 89 enregistrements de groupe 21 gestion des informations 19, 27 montage automatique des points de partage 20 origines UNIX 16 performances 55 planification 49 politiques de recherche 29–36 quotas 20 recherche dans des domaines non-Apple 26 réglages des comptes de messagerie 20 schéma 138 stockage d’informations 14, 27 utilisations 19–21 Option 95, DHCP 34 ordinateur administrateur 57 outils à ligne de commande 59 ouverture de session, authentification 16, 20 P performances, Open Directory 55 planification 49 politique de mot de passe globale 82 politique de recherche automatique Voir également politiques de recherche à propos de 33 définition 98 mappages LDAP fournis par 108 utilisation 98 politique de recherche d’authentification 36, 97, 100 politique de recherche personnalisée, définition 99 politiques de mot de passe administrateur 40, 89 globales 82 Kerberos 39, 43 répliques 54 utilisateur individuel 83 politiques de recherche ajout de fichiers BSD 120 ajout de NIS 120 ajout de serveur Active Directory à 114, 115, 119 authentification 97 automatiques 33, 98 configuration 97–100 personnalisées 35, 99 répertoire local 30, 100 principaux, Kerberos 42 protocoles Voir également protocoles spécifiques détection de services 27 Open Directory 93 options pour serveur LDAP 72 services de répertoires 93 Protocole SLP (Service Location Protocol) 27, 96 Q quotas, réglages d’utilisateur 20 R ralentissement au démarrage, causes 134 redondance, Open Directory 56 Rendezvous 27, 96 répertoires de départ 20 réplique plusieurs bâtiments 55 réplique Open Directory à propos 54 basculement à partir du maître 67 configuration 65 politiques de mot de passe 54 résultats de recherche LDAP, limitation 74 S SASL (Simple Authentication and Security Layer) 185 sauvegarde, maître Open Directory 130 schéma Voir également mappage schéma, extensions Open Directory 138 sécurité du matériel serveur 53 mots de passe 46 Open Directory 56 Server Message Block (SMB) Voir SMB serveur autonome 63 serveur de mots de passe Voir serveur de mots de passe Open Directory serveur de mots de passe Open Directory activation pour un utilisateur 85 authentification Windows 14 configuration 64, 65 contrôle 128 duplication 54 fonctions de sécurité 14 hébergement 64, 65 historiques 127 méthodes d’authentification 185 politiques de mot de passe 82, 83 recommandé pour Windows 14 résolution de problèmes 135 restauration à partir d’une sauvegarde 132 sauvegarde 130 serveurs, sécurité 53 Service Location Protocol (SLP) Voir SLP services de répertoires Voir également Open Directory administrateurs 62 authentification 16202 Index avantages 13 états 127 historiques 127 planification 62 résumé des outils 57 rôle dans le réseau 15 stockage d’informations 14 services kerberisés 42 services réseau données utilisées par 178 protocoles de détection 27 services Windows authentification 14 détection via protocole SMB 97 signature unique Voir aussi Kerberos activation 88 à propos de 44 configuration 69 maître Open Directory 70 SMB (Server Message Block) activation et désactivation 96 configuration 97 méthodes d’authentification 187–188 protocole Windows 27 SSL 74, 106 suffixe, base de recherche 65, 77, 102 T ticket, Kerberos 43 ticket d’octroi de ticket, Kerberos 43 type de mot de passe mot de passe crypté 44, 86 mot de passe shadow 44, 87 types d’enregistrements Voir également types d’enregistrements spécifiques ajout 107 à propos des 21 mappage 106 U UNIX comparaison avec Open Directory 16–18 fichiers de configuration BSD 120 stockage d’informations 17–19 V validation de mot de passe attribut d’autorité d’authentification 38 Kerberos 42 mot de passe shadow 44 Open Directory 39 Apple Remote Desktop Guide de l’administrateur Version 2.2 Apple Computer, Inc. © 2005 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Le possesseur ou l’utilisateur autorisé d’une copie valide du logiciel Apple Remote Desktop peut reproduire cette publication à des fins d’apprentissage du logiciel. Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite ou transmise à des fins commerciales, comme la vente de copies de ladite publication ou la prestation de services d’assistance rémunérés. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer, Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple, AirPort, AppleScript, AppleTalk, AppleWorks, FireWire, iBook, iMac, Keychain, Mac, Macintosh, Mac OS, PowerBook, QuickTime et XServe sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. eMac, Finder, iCal, Rendezvous, Bonjour et Safari sont des marques d’Apple Computer, Inc. Adobe et Acrobat sont des marques d’Adobe Systems Incorporated. Java et toutes les marques et logos relatifs à Java sont des marques ou des marques déposées de Sun Microsystems, Inc. aux États-Unis et dans d’autres pays. UNIX est une marque déposée aux États-Unis et dans d’autres pays, exclusivement sous licence de X/Open Company, Ltd. F019-0359 3/24/05 3 3 Table des matières Préface 5 À propos de ce livre 5 Qu’est-ce qu’Apple Remote Desktop ? 5 Utilisation de ce guide 7 Où trouver des informations supplémentaires à propos d’Apple Remote Desktop Chapitre 1 9 Utilisation d’Apple Remote Desktop 9 Administration d’ordinateurs 20 Prise en charge d’utilisateurs 24 Obtention d’informations supplémentaires Chapitre 2 27 Installation 28 Configuration requise pour Apple Remote Desktop 28 Configuration d’un ordinateur administrateur Apple Remote Desktop 31 Configuration d’ordinateurs clients avec Mac OS X 10.2 installé 35 Configuration d’ordinateurs clients avec Mac OS X 10.3 installé 39 Création d’un programme d’installation client personnalisé 41 Présentation des types d’accès 48 Remarques pour les clients gérés 49 Configuration du logiciel d’administration 53 Configuration du réseau 55 Optimisation des performances 55 Gestion de la sécurité Chapitre 3 59 Administration d’ordinateurs 60 Recherche et ajout de clients aux listes d’ordinateurs ARD 63 Création et gestion des listes 65 Installation de logiciels à l’aide d’ARD 69 Mise à niveau de logiciels 70 Copie de fichiers 74 Création de rapports 87 Entretien des systèmes 90 Gestion des ordinateurs 95 Automatisation des fonctions4 Table des matières Chapitre 4 103 Communication avec les utilisateurs 104 Contrôle 108 Observation 111 Envoi de messages 113 Partage d’écrans Annexe A 115 Références 115 Icônes de scanneur d’ordinateur 116 ARD Icônes d’état 116 Références des ports TCP et UDP 117 Rapport, champ, définitions, références 124 Schéma modèle PostgreSQL 5 Préface À propos de ce livre Qu’est-ce qu’Apple Remote Desktop ? Apple Remote Desktop (ARD) est un logiciel puissant, simple à utiliser et basé sur des normes standard ouvertes, destiné à la gestion d’ordinateurs Macintosh en réseau. Il permet aux professionnels des technologies de l’information, de contrôler et de configurer des systèmes, d’installer des logiciels, de fournir une aide en ligne en direct aux utilisateurs finals et de produire des rapports détaillés sur les logiciels et les matériels pour tout un réseau Macintosh, le tout à distance. Vous pouvez utiliser Apple Remote Desktop pour : • Gérer des ordinateurs clients et entretenir, mettre à jour et distribuer leurs logiciels. • Rassembler plus de 200 attributs d’informations système pour tout Mac de votre réseau. Stocker les résultats dans une base de données SQL et visualiser les informations via l’un des nombreux rapports matériels ou logiciels proposés. • Fournir aux utilisateurs de l’aide et une assistance à distance lorsqu’ils en ont besoin. • Communiquer avec les utilisateurs en leur envoyant des messages de texte, en observant et en contrôlant leur écran et en partageant ces derniers avec d’autres utilisateurs clients. Le logiciel Apple Remote Desktop vous permet, où que vous soyez, d’accéder aux documents et applications de votre ordinateur de travail. Utilisé dans une classe, Apple Remote Desktop enrichit l’expérience d’apprentissage et permet aux professeurs de surveiller et de contrôler les ordinateurs de leurs élèves. Dans le cadre des entreprises, il constitue la solution idéale pour la gestion de systèmes distants, la diminution des coûts administratifs et l’accroissement de la productivité. Utilisation de ce guide Le guide de l’administrateur ARD inclut des chapitres pour vous aider à utiliser Remote Desktop. Il comprend des vues d’ensemble et des explications à propos des fonctionnalités et commandes d’ARD. Il contient également des explications sur l’installation et la configuration d’ARD sur des ordinateurs clients, l’administration des ordinateurs clients et l’utilisation de Remote Desktop pour dialoguer avec les utilisateurs des ordinateurs.6 Préface À propos de ce livre Ce guide est également disponible sur le disque d’installation ARD et sur le site Web d’assistance Apple Remote Desktop dans un format PDF doté de signets qui permet d’effectuer des recherches. Vous pouvez utiliser l’application Aperçu d’Apple ou Adobe (Acrobat) Reader pour naviguer dans le contenu de ce guide ainsi que pour rechercher des termes spécifiques, des fonctionnalités ou des tâches. L’Aide Remote Desktop est disponible via la Visualisation Aide. Pour ouvrir l’Aide Remote Desktop, choisissez Aide > Aide Remote Desktop. Les fichiers d’aide contiennent les mêmes informations que ce guide et s’avèrent utiles lorsque vous essayez d’accomplir une tâche, si vous n’avez pas accès à ce guide. Notations conventionnelles Ce guide ainsi que l’Aide Remote Desktop contiennent des instructions pour vous aider à utiliser de manière efficace les commandes d’ARD. Dans de nombreuses tâches présentées dans ce manuel et dans l’Aide Remote Desktop, vous devez choisir des commandes de menu semblables à : m Choisissez Modifier > Supprimer. Le premier terme après Choisir est le nom d’un menu dans la barre des menu Remote Desktop. Le(s) terme(s) suivant(s) sont les éléments que vous choisissez dans ce menu. Conventions de commandes de Terminal Les commandes ou paramètres de commande que vous saisissez, ainsi que le texte qui apparaît normalement dans une fenêtre de Terminal sont affichés dans cette police. Par exemple : Vous pouvez utiliser la commande doit à cette fin. Lorsqu’une commande apparaît seule sur une ligne, comme lorsque vous la saisissez dans une fenêtre de Terminal, elle suit un signe «$» qui représente une invite de commande shell. Par exemple : $ doit Pour effectuer cette commande, saisissez «doit» sans le signe dollar à l’invite de la commande, dans une fenêtre de Terminal, puis appuyer sur la touche retour. Notation Signification police à espacement constant Une commande ou un texte de Terminal $ Une invite de commande shell Un valeur affichée qui dépend de votre configuration ou de vos réglagesPréface À propos de ce livre 7 Où trouver des informations supplémentaires à propos d’Apple Remote Desktop Pour en savoir plus sur Apple Remote Desktop, consultez les sources suivantes. • Vous trouverez d’autres informations dans le fichier Ouvrez-moi ARD ainsi que sur le site Web d’Apple Remote Desktop : http://www.apple.com/fr/remotedesktop • La dernière édition du Guide de l’administrateur est disponible sur : http://www.apple.com/fr/server/documentation • Le site Web d’assistance Apple Remote Desktop Support fournit une base de données d’articles techniques sur les produits, leur utilisation et leur mise en place. http://www.apple.com/fr/support/remotedesktop • Pour obtenir un feed-back à propos d’ ARD, consultez la page : http://www.apple.com/feedback/remotedesktop.html • Pour savoir comment figurer dans la liste d’envoi d’ARD, rendez-vous sur : http://lists.apple.com/mailman/listinfo/remote-desktop • Pour partager des informations et en obtenir au travers de discussions en ligne, consultez le forum de discussion relatifs à ARD : http://discussions.info.apple.com/appleremotedesktop • Pour en savoir plus sur WBEM/CIM, consultez : http://www.dmtf.org • Pour en savoir plus sur PostgreSQL, consultez : http://www.postgresql.org1 9 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop Apple Remote Desktop vous aide à maintenir à jour et en service les ordinateurs Macintosh et leurs logiciels. Il vous permet également de dialoguer directement avec les utilisateurs Macintosh pour les guider ou leur fournir une assistance de dépannage. Ce chapitre présente les principaux aspects de l’administration d’ARD, les possibilités de dialogue avec les utilisateurs et vous indique où trouver des informations détaillées concernant celles-ci. Administration d’ordinateurs ARD vous permet d’effectuer à distance une multitude de tâches d’administration sur le matériel et les logiciels clients, à partir d’un ordinateur administrateur (l’ordinateur sur lequel le logiciel d’administration est installé) : • Maintenez à jour les logiciels des utilisateurs grâce à ARD pour déployer les logiciels et fichiers associés sur les ordinateurs clients. • Créez des rapports dressant l’inventaire des caractéristiques du matériel et des logiciels d’ordinateurs clients. • Utilisez les possibilités d’administration à distance d’ARD pour effectuer des tâches de gestion interne sur les ordinateurs clients.10 Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop Vous pouvez administrer les ordinateurs clients individuellement, mais la plupart des fonctionnalités ARD peuvent être utilisées pour gérer plusieurs ordinateurs à la fois. Par exemple, vous pouvez installer ou mettre à jour les mêmes applications sur tous les ordinateurs d’un département en particulier. Vous pouvez également partager votre écran pour faire la démonstration d’une tâche à un groupe d’utilisateurs, comme des étudiants dans une salle de classe. Pour gérer plusieurs ordinateurs en effectuant une seule opération, vous devez définir des listes d’ordinateurs ARD. Une liste d’ordinateurs représente un groupe d’ordinateurs que vous souhaitez administrer simultanément. Il est facile de créer des listes d’ordinateurs ; il vous suffit d’importer les identités des ordinateurs à partir de fichiers ou de scans de réseau. Un ordinateur peut appartenir à plus d’une liste à la fois ; ceci vous procure une grande flexibilité pour la gestion de multiples ordinateurs. Un ordinateur peut être classé selon son type (ordinateur portable, de bureau), son emplacement (bâtiment 3, 4e étage), son usage (marketing, ingénierie, informatique) et ainsi de suite. Une fois les listes d’ordinateurs créées, vous pouvez mener la plupart des tâches d’administration décrites ci-dessous pour des groupes d’ordinateurs clients. Département de marketing Département d’ingénierieChapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop 11 Déploiement du logiciel ARD vous permet de distribuer les logiciels et fichiers associés aux ordinateurs clients à partir de votre ordinateur administrateur ARD ou à partir d’un ordinateur sous Mac OS X Server. Distribution des paquets d’installation Vous pouvez distribuer et installer automatiquement les paquets aux formats .pkg et .mpkg. ARD vous permet d’installer le logiciel et les mises à jour de logiciels sur un ou plusieurs ordinateurs clients sans dialoguer avec ou interrompre les utilisateurs, même si aucun utilisateur n’est connecté. Après l’installation, ARD efface les fichiers du programme d’installation. Si les ordinateurs doivent être redémarrés, ce qui est nécessaire après une mise à jour du système d’exploitation, vous pouvez les redémarrer par l’intermédiaire d’ARD. Nœud de cluster Xserve Département de marketing Département d’ingénierie Déploiement de fichiers de configuration Déploiement de dossiers d’applications autonomes Ordinateur administrateur Mac OS X Server Déploiement de paquets d’installation (.pkg ou .mpkg) Images d’installation en réseau Images NetBoot Déploiement de scripts shell UNIX Configuration de la partition de démarrage12 Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop Par exemple, vous pouvez utiliser la Mise à jour de logiciels d’Apple pour télécharger une mise à jour d’iCal ou d’un système d’exploitation sur un ordinateur test. Si la mise à jour fonctionne comme prévu et ne rapporte aucun problème d’incompatibilité, copiez le paquet d’installation sur l’ordinateur administrateur pour le distribuer aux ordinateurs nécessitant une mise à niveau. Notez que cette méthode préserve la bande passante Internet car il n’est nécessaire de télécharger qu’une seule copie du paquet. Vous pouvez également utiliser ARD pour déployer de nouvelles versions de logiciels informatiques sur des ordinateurs Xserve dans un noeud de cluster. Vous pouvez utiliser l’outil PackageMaker des Outils de développement d’Apple pour créer vos propres paquets d’installation, comme lorsque vous souhaitez : • Distribuer des ressources pour des projets scolaires ou des modèles et des formulaires commerciaux. • Automatiser l’installation de multiples paquets d’installation. • Déployer des applications personnalisées. Avant d’effectuer des installations à distance, vous pouvez envoyer un message de texte ARD pour prévenir les utilisateurs, en leur indiquant éventuellement que vous allez utiliser ARD pour verrouiller leurs écrans à un moment précis avant de commencer l’installation. Utilisation d’images d’installation en réseau Vous pouvez également distribuer et installer des logiciels, y compris le système d’exploitation Mac OS X, à l’aide d’images d’Installation en réseau. Sous Mac OS X Server, utilisez l’Utilitaire d’images de réseau pour créer une image d’Installation en réseau. Vous pouvez créer cette image en clonant un système déjà installé ou configuré ou en utilisant un disque d’installation ou une image téléchargée via la Mise à jour de logiciels d’Apple. Si vous optez pour l’installation automatique, vous n’aurez pas à dialoguer avec chaque ordinateur individuellement. Sur l’ordinateur administrateur d’ARD, configurez le disque de démarrage des systèmes clients distants pour indiquer l’image d’installation en réseau, puis redémarrez les clients à distance pour commencer l’installation. Avant de lancer des installations nécessitant le redémarrage postérieur des ordinateurs, envoyez un message de texte ARD aux utilisateurs clients pour les avertir qu’une installation est en attente. Par exemple, dites aux utilisateurs que leurs ordinateurs seront déconnectés à 17 h afin d’installer une mise à jour du système d’exploitation.Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop 13 Utilisation d’images NetBoot Les images NetBoot constituent un autre type d’images système que vous pouvez créer avec Mac OS X Server. Comme une image d’installation en réseau, un ordinateur client utilise des images NetBoot pour démarrer. Contrairement à une image d’installation en réseau, le logiciel de démarrage n’est pas installé sur le système client. Il se trouve sur un serveur distant. Il est conseillé d’utiliser une image NetBoot sur laquelle est installé et configuré ARD. Autrement, l’administration de l’ordinateur avec ARD après un démarrage avec NetBoot est impossible. Les ordinateurs clients qui démarrent à partir d’une image NetBoot obtiennent des environnements système intacts à chaque démarrage. Pour cette raison, l’utilisation d’images NetBoot est utile lorsqu’un ordinateur spécifique est partagé par plusieurs utilisateurs qui requièrent des environnements de travail différents ou intacts, ou lorsque vous souhaitez entreprendre une nouvelle expérience ou utiliser un environnement informatique différent dans un noeud de cluster. ARD permet de configurer les disques de démarrage des systèmes clients pour indiquer l’image NetBoot, puis redémarrer les systèmes à distance grâce à ARD. Les utilisateurs peuvent aussi choisir une image NetBoot pour le démarrage via la sous-fenêtre Démarrage des Préférences Système. Reconfigurez tous les ordinateurs d’un laboratoire ou d’un cluster en quelques clics, sans avoir à redémarrer chaque ordinateur manuellement et les configurer un par un. Distribution de fichiers de configuration Nombre de services principaux Mac OS X dépendent des réglages figurant dans les fichiers de configuration. Avec ARD, distribuez des fichiers de configuration lorsque vous avez besoin de reconfigurer des services. Si vous ajoutez, par exemple, une nouvelle imprimante réseau, vous pouvez mettre à jour la liste d’imprimantes de tous les ordinateurs de la zone en utilisant ARD pour copier un fichier de configuration CUPS actualisé et les fichiers PPD (définition d’impression) sur les ordinateurs. ARD permet également de distribuer des fichiers AppleScript qui automatisent les flux de travaux PDF ou des instructions de tâches pour des clusters informatiques.14 Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop Utilisation de scripts shell UNIX ARD vous permet de distribuer et d’exécuter des scripts shell UNIX sur les ordinateurs clients. Par exemple, un script peut monter un volume de serveur AFP, à partir duquel il télécharge une image disque sur les ordinateurs clients. Le script peut également télécharger un paquet d’installation puis exécuter une installation au moyen d’une ligne de commande. Sur un Xserve se trouvant sur un noeud de cluster, vous pouvez aussi exécuter un script permettant de monter un disque RAID pour Xserve conçu pour un débit élevé, et qui télécharge ensuite de grands groupes de données à traiter. Distribution d’applications autonomes Vous pouvez distribuer et installer des applications autonomes (par simple glisser-déposer) en les copiant sur un ou plusieurs ordinateurs clients. Utilisez cette méthode, par exemple, pour distribuer les mises à jour de l’application Safari. Vérification d’installations Pour vérifier si une installation s’est achevée correctement, utilisez les capacités de contrôle à distance d’ARD. Vous pouvez ainsi démarrer une application à distance, ou rechercher des fichiers spécifiques. Consultez le rapport de Recherche de fichier pour vous assurer que tous les fichiers d’une application ont été installés correctement. Inventaire ARD vous donne la possibilité de capturer des données relatives aux attributs des ordinateurs clients, puis de produire des rapports basés sur ces données. Indiquez la fréquence avec laquelle vous souhaitez capturer des données, les données que vous désirez capturer et les ordinateurs dont vous voulez établir le profil. Le logiciel vous permet de collecter des données juste avant de produire un rapport si vous avez besoin d’informations récemment actualisées. Vous pouvez par ailleurs programmer des collectes de données par ARD à des intervalles réguliers et leur stockage dans leur base de données SQL (Structured Query Language) intégrée pour une utilisation ponctuelle. Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop 15 Vous pouvez également spécifier où vous souhaitez stocker la base de données, autrement dit, sur l’ordinateur administrateur local ou sur un serveur sur lequel le logiciel d’administration ARD est installé et toujours en service, afin que les données soient capturées en continu. Avec les données collectées, ARD produit des rapports en fonction de vos indications. Nœud de cluster Xserve Département de marketing Département d’ingénierie Ordinateur administrateur Mac OS X Server Base de données SQL ARD Base de données Outils SQL SQL ARD16 Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop Rapport de Recherche de fichier Le rapport de Recherche de fichier vous permet de rechercher des fichiers ou dossiers particuliers dans les systèmes clients et de procéder au diagnostic des applications installées. Ce rapport peut vous aider à déterminer combien de copies d’une application spécifique sont actuellement utilisées afin de ne pas contrevenir aux contrats de licence. Rapport de versions de logiciels Le Rapport de versions de logiciels vous permet de vous assurer que tous les utilisateurs possèdent les dernières versions des applications adaptées à leurs systèmes. Rapport des différences logicielles Le Rapport des différences logicielles vous permet de détecter les versions des applications qui ne sont pas à jour, non standard ou qui ne sont pas acceptables pour une raison quelconque. Ce rapport vous permet également de détecter si un utilisateur a installé une application qui ne devrait pas être installée. Rapport sur la vue d’ensemble du système Le rapport sur la vue d’ensemble du système met en évidence un large éventail de caractéristiques des ordinateurs clients. Il permet d’examiner les informations à propos de la configuration AirPort d’un client, les caractéristiques de l’ordinateur et de l’écran, les périphériques, les réglages de réseau, les préférences système, les listes d’imprimantes ainsi que les attributs principaux des logiciels. Ce rapport peut être utilisé à de nombreuses fins, comme l’identification de problèmes, la vérification des configurations système avant l’installation de nouveaux logiciels, ou la détermination du nombre de périphériques spécifiques (tel que les scanneurs) se trouvant dans un laboratoire précis. Rapports sur le matériel Plusieurs rapports concentrent les détails concernant la matériel utilisé par les ordinateurs clients, comme les disques durs, les périphériques FireWire, les périphériques USB, les interfaces réseau, la mémoire et les cartes PCI.Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop 17 Utilisez ces rapports pour déterminer par exemple quels ordinateurs ont besoin de mémoire supplémentaire, quel ordinateur possède le processeur le plus rapide et combien d’espace libre il reste sur un disque en particulier. Rapport sur les réglages d’administration Le Rapport sur les réglages d’administration vous permet de déterminer quelles autorisations d’administration ARD sont activées ou désactivées dans la fenêtre Partage ou Remote Desktop des Préférences Système sur les ordinateurs clients individuels. Rapport du test de réseau Un rapport du test de réseau vous permet de mesurer et déterminer les problèmes de communication entre l’ordinateur administrateur et les ordinateurs clients. Ce rapport vous permet d’identifier les motifs des problèmes de communication du réseau qui pourraient affecter ARD. Par exemple, si vous ne parvenez pas à copier des éléments des ordinateurs clients à partir de l’ordinateur administrateur, cela peut être dû à une mauvaise connexion avec les ordinateurs. Ces informations peuvent vous permettre d’identifier le câble ou le concentrateur problématique. Production de vos propres rapports Étant donné que la base de données ARD est au format standard SQL, vous pouvez aussi utiliser vos scripts SQL favoris pour interroger, classer et analyser les données collectées. De plus, vous pouvez exporter les données de la base de données vers un fichier afin d’importer celui-ci pour le visualiser dans un autre programme, tel qu’un tableur.18 Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop Gestion interne ARD propose différentes façons de contrôler les ordinateurs clients à distance pour les tâches de gestion interne, qui peuvent être menées à l’aide d’une ou plusieurs fenêtres ARD. Gestion des réglages de puissance ARD vous permet de gérer les réglages de puissance des ordinateurs clients. Ainsi, il est probable qu’il faille éteindre tous les ordinateurs lors de l’entretien du générateur électrique ou pendant la fermeture durant les vacances. Vous pouvez envoyer un message de texte ARD aux utilisateurs pour leur rappeler d’éteindre leur ordinateur à un moment bien précis. Tout ordinateur encore allumé lorsque vous devez commencer l’entretien peut être détecté et éteint à distance via ARD. Nœud de cluster Xserve Département de marketing Département d’ingénierie Ordinateur administrateur Exécution de scripts shell UNIX Redémarrage/ Mise hors tension/ Suspension d’activité Contrôle d’écran à distance Vidage de la Corbeille Configuration de la partition de démarrage Envoi d’un message de notification Mac OS X Server Images NetBoot Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop 19 Verrouillage des écrans d’ordinateur Vous pouvez verrouiller les écrans des ordinateurs pour des durées déterminées lorsque vous ne voulez pas que les ordinateurs soient utilisés. Cela peut être nécessaire dans le cas où vous souhaitez effectuer l’entretien du réseau et que vous voulez vous assurer que les ordinateurs n’utiliseront pas le réseau durant plusieurs heures. Affichez une image personnalisée et/ou des messages de texte sur les écrans lorsqu’ils sont verrouillés afin que les utilisateurs sachent lorsqu’ils seront à nouveau disponibles. Récupération d’espace disque Videz régulièrement la Corbeille des ordinateurs clients pour conserver de l’espace disque. Automatisation de l’entretien périodique Les scripts shell UNIX permettent d’automatiser l’entretien périodique, comme la vérification des autorisations ou la suppression de fichiers d’historique. Contrôle d’écrans Utilisez le contrôle d’écran à distance d’ARD pour réaliser des opérations sur le bureau d’ordinateurs Xserve, ou utiliser des applications graphiques. ARD se substitue aux commandes de clavier, vidéo et souris pour accéder aux ordinateurs Xserve sans moniteur. Vous pouvez aussi contrôler à distance l’ordinateur d’un utilisateur afin de déterminer les raisons de la lenteur des opérations ou d’autres problèmes affectant l’utilisateur. Changement de disques de démarrage Changez le disque de démarrage d’un ordinateur client afin d’effectuer des diagnostics ou des dépannages. Ainsi, démarrez un ordinateur avec une image NetBoot basée sur un serveur et configurée pour le dépannage. Une fois cette opération terminée, réinitialisez le disque de démarrage sur le volume de démarrage d’origine. Gestion d’ordinateurs partagés Sur les ordinateurs partagés par plusieurs utilisateurs, recherchez les fichiers devant être supprimés parmi les logins des utilisateurs, fermez des applications, déconnectez des utilisateurs ou effectuez d’autres opérations nécessaires à la préparation des ordinateurs pour les utilisateurs suivants.20 Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop Prise en charge d’utilisateurs ARD permet de dialoguer avec les utilisateurs à partir de votre ordinateur administrateur des façons suivantes : • Assistance : venez en aide aux utilisateurs qui en ont besoin en utilisant ARD pour recevoir leurs demandes et pour effectuer des diagnostics et dépannages à distance. • Dialogue : établissez un dialogue interactif avec les élèves d’une école ou d’un environnement de formation en entreprise afin de procéder à des tâches allant du contrôle ou de l’observation des écrans des élèves jusqu’au partage de votre écran avec tous vos élèves pour effectuer une démonstration. Prestation d’un service d’assistance Lorsqu’un utilisateur se trouve en difficulté, ARD vous propose plusieurs façons de dialoguer avec l’utilisateur et son ordinateur afin de diagnostiquer et résoudre son problème. Département de marketing Département d’ingénierie Copie d’éléments Ordinateur administrateur Contrôle, observation et partage d’écrans Participation à des discussionsChapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop 21 Demande d’aide Un utilisateur peut vous avertir discrètement d’un problème en vous envoyant une demande d’assistance via un message de texte ARD. Les utilisateurs effectuent leurs demandes en utilisant les commandes du menu qui apparaît lorsqu’ils cliquent sur l’icône ARD de la barre des menus. Une notification sur l’ordinateur administrateur vous alerte lorsqu’un tel message est reçu, et vous pouvez obtenir des informations supplémentaires ou résoudre le problème de plusieurs manières différentes. Conversation avec l’utilisateur Vous pouvez mener une conversation bidirectionnelle par messages de texte avec l’utilisateur afin d’obtenir des informations supplémentaires. Surveillance d’écran ARD vous permet d’observer l’écran de l’utilisateur si vous avez besoin de plus de détails pour comprendre le problème. Contrôle d’écran ARD vous permet de contrôler l’écran de l’utilisateur afin de diagnostiquer le problème de l’utilisateur et éventuellement de le résoudre. Vous bénéficiez d’un contrôle illimité ; un utilisateur peut aussi vous octroyer un accès d’invité temporaire afin de contrôler son ordinateur lors du dépannage seulement. Il existe plusieurs niveaux de contrôle. Vous pouvez contrôler totalement l’ordinateur de l’utilisateur, ou bien partager le contrôle du clavier et de la souris avec l’utilisateur. Partage d’écran Si le problème est dû à une manipulation erronée de l’utilisateur, partagez votre écran avec l’utilisateur afin de lui montrer comment effectuer correctement la manipulation. Utilisation de rapports Les rapports sur le matériel et les logiciels sont des outils de diagnostic permettant de déterminer si la configuration de l’ordinateur client fait partie du problème. Par exemple, si un utilisateur ne parvient pas à enregistrer son travail, le rapport sur le stockage peut vous aider à savoir s’il s’agit d’une question d’espace disque. Déploiement de nouveaux logiciels ou fichiers Si les logiciels ou les réglages de configuration font partie du problème, utilisez ARD pour copier les nouveaux fichiers de configuration, installer des paquets ou copier d’autres éléments sur des ordinateurs clients.22 Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop Communication avec les élèves ARD permet aux professeurs d’enseigner de manière plus efficace car ils peuvent ainsi communiquer individuellement ou en groupe avec les ordinateurs des élèves. Utilisation des messages de texte Envoyez des messages de texte ARD pour communiquer avec les élèves. Par exemple, prévenez-les qu’une activité de classe va bientôt commencer, ou qu’il leur reste 10 minutes pour terminer l’examen. Surveillances des ordinateurs des élèves Vous pouvez visualiser les écrans des élèves sur votre ordinateur afin de surveiller leurs activités ou d’évaluer leurs capacités à effectuer une tâche spécifique. ARD vous offre aussi la possibilité de surveiller les applications en cours sur les ordinateurs de tous les élèves. Partage d’écrans Affichez votre écran ou l’écran d’un élève sur les ordinateurs des autres élèves pour leur formation et pour réaliser des démonstrations Salle de classe Ordinateur administrateur Observation et partage d’un ou plusieurs écrans Service d’assistance individuelle Diffusion de messages de texte Verrouillage d’écrans Distribution de documents électroniques Ouverture d’applications ou de fichiers Contrôle d’écran Fermeture des sessions des étudiantsChapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop 23 Contrôle d’écrans Montrez aux élèves comment effectuer certaines tâches en contrôlant leur écran à partir de votre ordinateur, en ouvrant des applications et en utilisant des fichiers de manière appropriée. Verrouillage d’écrans Verrouillez les écrans des étudiants pour les empêcher d’utiliser leur ordinateur lorsque vous souhaitez qu’ils se concentrent sur d’autres activités. Suspension de l’utilisation des ordinateurs Fermez la session des élèves ou éteignez leurs ordinateurs à distance à la fin du cours ou de la journée. Distribution et collecte de fichiers Distribuez des documents électroniques, pour ne pas interrompre la classe ou lorsqu’ils sont nécessaires pour l’activité suivante, et collectez les fichiers de devoirs. Automatisation de l’accès aux sites Web Ouvrez une page Web sur tous les ordinateurs des élèves. Faites glisser une URL de Safari sur votre bureau, puis copiez-la sur les ordinateurs des étudiants et ouvrez-la dans Safari. Vous pouvez également copier des fichiers et les ouvrir dans l’application appropriée sur les ordinateurs des étudiants. Apport d’une assistance individuelle Aidez un élève lorsqu’il en a besoin, en communiquant via vos deux ordinateurs de manière personnelle et discrète.24 Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop Obtention d’informations supplémentaires Vous trouverez des informations détaillées pour effectuer les tâches mises en surbrillance dans ce chapitre, et d’autres encore, tout au long de ce manuel. Pour en savoir plus à propos de Consultez les informations concernant À partir de la Administration ARD Autorisations d’administration Ordinateurs administrateurs Sécurité page 41 Listes d’ordinateurs Création de listes d’ordinateurs page 63 Déploiement de logiciels Installation de logiciels Mise à jour de logiciels page 65 Distribution de fichiers Copie de fichiers page 70 Inventaire Options de collecte de données Vérification de logiciels Vérification de matériel Capacité de réaction du réseau Personnalisation de rapports Export de données de rapport page 74 Tâches de gestion interne Suppression d’éléments Vider la corbeille Configuration de volumes de démarrage Renommer des ordinateurs Suspension d’activité et réactivation Verrouillage d’écrans Fermeture de sessions d’utilisateurs Redémarrage et extinction page 87 Tâches d’automatisation Configuration de collecte de données Programmation de tâches Utilisation de scripts shell UNIX page 87 Utilisation de messages de texte ARD Messages de texte page 111 Contrôle d’écrans Contrôle page 104 Observation d’écrans Observation page 108 Partage d’écrans Partager des écrans page 113Chapitre 1 Utilisation d’Apple Remote Desktop 25 Pour obtenir des informations supplémentaires, vous pouvez consulter plusieurs sites Web d’Apple : • Pour en savoir plus sur NetBoot et Installation en réseau, rendez-vous sur www.apple.com/fr/server/documentation/ et téléchargez le guide d’administration des images système. • Pour en savoir plus sur PackageMaker, rendez-vous sur www.developer.apple.com et recherchez PackageMaker.2 27 2 Installation Pour utiliser Apple Remote Desktop, commencez par installer le logiciel d’administration sur l’ordinateur administrateur, puis installez et activez le logiciel client sur les ordinateurs à gérer. Ce chapitre décrit les grandes lignes de l’installation et de la configuration d’ARD pour l’administration système et la communication entre les utilisateurs. Il offre également des instructions complètes d’installation. Il vous permettra d’en savoir plus sur les opérations suivantes : • “Configuration requise pour Apple Remote Desktop” à la page 28 • “Configuration d’un ordinateur administrateur Apple Remote Desktop” à la page 28 • “Configuration d’ordinateurs clients avec Mac OS X 10.2 installé” à la page 31 • “Configuration d’ordinateurs clients avec Mac OS X 10.3 installé” à la page 35 • “Création d’un programme d’installation client personnalisé” à la page 39 • “Présentation des types d’accès” à la page 41 • “Remarques pour les clients gérés” à la page 48 • “Configuration du logiciel d’administration” à la page 49 • “Configuration du réseau” à la page 53 • “Optimisation des performances” à la page 55 • “Gestion de la sécurité” à la page 5528 Chapitre 2 Installation Configuration requise pour Apple Remote Desktop Ordinateurs clients et administrateurs : • eMac, iMac, iBook G3 ou G4, PowerBook G3 ou G4, Power Mac G3, G4 ou G5, Xserve G4 ou G5. • Mac OS X versions 10.2.8, 10.3 ou ultérieures. • Disque dur au format Mac OS étendu (HFS+). • Pour observer et contrôler d’autres plates-formes : un système exécutant un logiciel serveur compatible VNC. NetBoot et Installation en réseau • Mac OS X Server 10.3 avec les services NetBoot et Installation en réseau activés. Configuration réseau requise • Ethernet (conseillé), AirPort, FireWire ou autre connexion réseau. Pour plus d’informations, consultez la section “Configuration du réseau” à la page 53. Configuration d’un ordinateur administrateur Apple Remote Desktop Si Apple Remote Desktop version 1.2 et des listes d’ordinateurs ARD sont déjà installés sur un autre ordinateur que celui sur lequel vous voulez installer ARD 2, vous devez d’abord transférer ces listes d’ordinateurs ARD vers le nouvel ordinateur. Sinon, consultez la section “Installation du logiciel d’administration” à la page 29. Transfert d’anciennes listes d’ordinateurs vers un nouvel ordinateur administrateur Si vous installez ARD 2 sur un autre ordinateur que l’ordinateur administrateur actuel, vous devez déplacer vos listes d’ordinateurs existantes vers le nouvel ordinateur administrateur avant d’installer la version 2. Ces instructions s’appliquent uniquement dans le cas d’un transfert de listes d’ordinateurs administrateurs ARD 1.2 vers un nouvel ordinateur. Dans ces instructions, l’ordinateur possédant les listes d’origine est appelé “ordinateur source”. L’ordinateur sur lequel ARD 2 sera installé est quant à lui appelé “ordinateur cible”. Pour transférer les listes d’ordinateurs : 1 Sur l’ordinateur source, ouvrez l’utilitaire Trousseau d’accès (dans /Applications/ Utilitaires). 2 Choisissez Fichier > Nouveau trousseau. 3 Attribuez un nom au nouveau trousseau et cliquez sur Créer. Chapitre 2 Installation 29 4 Entrez ensuite un mot de passe pour ce trousseau. Il s’agit d’un mot de passe temporaire qui servira à obtenir des informations contenues dans le trousseau. N’utilisez pas votre mot de passe de connexion ni tout autre d’importance. 5 Si besoin est, cliquez sur Afficher les trousseaux pour afficher le trousseau administrateur. 6 Sélectionnez le trousseau principal de l’ordinateur source. Si le trousseau est verrouillé, déverrouillez-le et authentifiez-vous. 7 Sélectionnez uniquement les entrées ARD dans le trousseau. 8 Glissez les entrées ARD vers le trousseau créé. 9 Pour chacune d’elles, entrez le mot de passe du trousseau de l’ordinateur source. 10 Quittez l’utilitaire Trousseau d’accès sur l’ordinateur source. 11 Copiez le trousseau créé de l’ordinateur source (~/Bibliothèque/Keychains/ ) au même emplacement sur l’ordinateur cible. Cette opération de copie peut s’effectuer en réseau ou à l’aide d’une unité amovible de stockage. 12 Sur l’ordinateur cible, ouvrez l’utilitaire Trousseau d’accès dans le Finder. 13 Choisissez Fichier > Ajouter un trousseau. 14 Sélectionnez le trousseau copié de l’ordinateur source et cliquez sur Ouvrir. 15 Si besoin est, cliquez sur Afficher les trousseaux pour afficher les trousseaux. 16 Déverrouillez le trousseau importé à l’aide du mot de passe qui lui est attribué. 17 Sélectionnez les entrées ARD. 18 Glissez les entrées ARD vers le trousseau principal de l’ordinateur cible. Pour chacune d’elles, entrez le mot de passe temporaire du trousseau. 19 Quittez l’utilitaire Trousseau d’accès sur l’ordinateur source. À l’ouverture d’ARD sur le nouvel ordinateur, les listes d’ordinateurs provenant de l’autre poste sont disponibles. Installation du logiciel d’administration Pour installer ARD sur des ordinateurs administrateurs, vous devez installer le logiciel sur l’ordinateur devant servir à administrer les ordinateurs distants. Vous devez ensuite ouvrir l’application et créer une liste principale d’ordinateurs. Pour installer Apple Remote Desktop sur un ordinateur administrateur : 1 Insérez le disque Apple Remote Desktop. 2 Double-cliquez sur le paquet d’installation ARD et suivez les instructions à l’écran. L’application Remote Desktop est installée dans le dossier Applications.30 Chapitre 2 Installation 3 Ouvrez Remote Desktop (depuis le dossier Applications). L’Assistant réglages Remote Desktop s’ouvre. 4 Entrez le numéro de série d’ARD. Ce numéro se trouve dans le document de Bienvenue d’Apple Remote Desktop fourni avec le logiciel. 5 Cliquez sur Continuer. Si le logiciel client ARD 2 n’est pas déjà installé, l’assistant vous demande si vous souhaitez l’installer. Cliquez sur OK pour continuer. 6 Entrez un mot de passe Remote Desktop et confirmez-le. Le mot de passe Remote Desktop permet de crypter des noms et des mots de passe d’ordinateurs clients pour ARD. Par commodité, vous pouvez stocker ce mot de passe dans votre trousseau ou bien faire en sorte qu’il soit demandé à chaque ouverture de Remote Desktop. 7 Cliquez sur Terminé. La fenêtre principale de l’application s’ouvre. Si ARD 1.2 est déjà installé (ou si vous avez transféré des listes d’ordinateurs d’un autre ordinateur administrateur), toutes les listes d’ordinateurs existantes sont disponibles dans la nouvelle fenêtre. Mettez à jour et configurez vos clients selon les instructions de la section “Mise à niveau d’un logiciel client existant sur Mac OS X 10.2” à la page 31 ou “Mise à niveau du logiciel client sur Mac OS X 10.3 avec ARD” à la page 36. Si aucune version d’ARD n’est installée, vous devez activer et configurer les ordinateurs clients pour que Remote Desktop puisse les administrer. Désinstallation du logiciel d’administration Pour une suppression complète du logiciel d’administration, vous devez supprimer l’application, la liste cryptée de noms et de mots de passe de connexion, ainsi que la base de données d’informations clients. Pour supprimer le logiciel d’administration : 1 Glissez l’application Remote Desktop vers la Corbeille. 2 Videz ensuite la Corbeille. 3 Dans l’application Terminal, supprimez la base de données ARD dans /var/db/ RemoteManagement/ à l’aide de la commande suivante : $ sudo rm -rf /var/db/RemoteManagement $ sudo rm /Bibliothèque/Preferences/com.apple.RemoteDesktop.plist $ rm ~/Bibliothèque/Preferences/com.apple.RemoteDesktop.plistChapitre 2 Installation 31 Configuration d’ordinateurs clients avec Mac OS X 10.2 installé La section qui suit explique comment installer Apple Remote Desktop 2 sur des ordinateurs exécutant Mac OS X 10.2. Reportez-vous aux instructions appropriées, pour la configuration initiale de clients ou pour la mise à niveau de clients ARD existants. Première installation du logiciel client sur Mac OS X 10.2 Pour installer le logiciel client sur les ordinateurs devant accueillir Apple Remote Desktop, utilisez le logiciel d’administration d’ARD afin de créer un programme d’installation du logiciel client. Pour installer le paquet, vous avez besoin du nom et du mot de passe d’un utilisateur possédant des autorisations d’administrateur sur l’ordinateur client. Pour la première installation du logiciel client : 1 Créez un paquet d’installation client personnalisé. Pour des instructions détaillées, consultez la section “Création d’un programme d’installation client personnalisé” à la page 39. 2 Copiez et installez le paquet sur les ordinateurs clients. Pour ce faire, vous pouvez procéder de plusieurs façons. Par exemple, vous pouvez : • Distribuer le paquet à l’aide de supports amovibles, tels qu’un CD. • Copier le programme d’installation sur les clients via le réseau, à l’aide du partage de fichier. • Copier le programme d’installation sur les clients à l’aide d’outils de ligne de commande comme scp (si ssh est activé), puis utiliser l’outil de ligne de commande “installer” d’Apple pour installer le paquet à distance. La procédure est décrite en détail dans la section “Mise à niveau d’un ordinateur client Mac OS X 10.2 existant avec ssh” à la page 32. Mise à niveau d’un logiciel client existant sur Mac OS X 10.2 Pour les ordinateurs Mac OS X 10.2 utilisant le logiciel client Apple Remote Desktop 1.2 ou ultérieur, vous pouvez utiliser la fonction “Mettre à niveau le logiciel client” afin de mettre à jour le logiciel client avec les fonctionnalités intégrées de Remote Desktop. Si vous ne souhaitez pas utiliser la fonction Mettre à niveau le logiciel client de Remote Desktop, vous pouvez suivre la procédure décrite dans “Première installation du logiciel client sur Mac OS X 10.2” ci-dessus afin de mettre manuellement à niveau les clients Mac OS X 10.2. Avertissement : les paquets d’installation personnalisés créant des noms de connexion contiennent des données sensibles de mots de passe. Prenez soin de stocker ces paquets d’installation personnalisés dans un endroit sûr.32 Chapitre 2 Installation Mise à niveau d’un logiciel client Mac OS X 10.2 existant avec ARD Pour mettre à niveau des clients ARD, recherchez-les dans les listes d’ordinateurs ARD ou à l’aide d’un scan de réseau. Pour mettre à niveau des ordinateurs existants : 1 Ouvrez Remote Desktop. 2 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 3 Dans la fenêtre Remote Desktop, sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs. 4 Choisissez Gestion > Mettre à niveau le logiciel client. Mise à niveau d’un ordinateur client Mac OS X 10.2 existant avec ssh Il se peut que vous ne pouviez pas utiliser le logiciel d’administration de Apple Remote Desktop pour mettre à niveau des clients Mac OS X 10.2 existants à ARD 2. Par exemple, les clients peuvent être dotés d’un logiciel antérieur à la version 1.2. Si ssh (correspondant à Connexion à distance dans les Préférences Système) est activé sur les clients et que ces derniers sont disponibles sur le réseau, vous pouvez mettre à jour les ordinateurs clients. Vous devez tout de même utiliser le logiciel d’administration ARD pour créer un paquet d’installation personnalisé. Vous devez également connaître le nom et le mot de passe de connexion d’un utilisateur possédant des autorisations d’administrateur sur l’ordinateur client. Pour mettre à niveau un logiciel client existant via ssh : 1 Créez un paquet d’installation client personnalisé. Pour des instructions détaillées, consultez la section “Création d’un programme d’installation client personnalisé” à la page 39. 2 Sur l’ordinateur client, assurez-vous que l’option Connexion à distance est sélectionnée dans la sous-fenêtre Partage des Préférences Système. 3 Ouvrez Terminal. 4 Copiez le paquet d’installation sur l’ordinateur client en saisissant : $ scp -r @: Pour d’autres options scp, consultez-en la page d’aide. 5 Connectez-vous à l’ordinateur client avec l’outil de ligne de commande ssh. $ ssh @ Pour d’autres options ssh, consultez-en la page d’aide. 6 Sur l’ordinateur client, installez le paquet en saisissant : $ sudo installer -pkg -target / Pour d’autres options installer, consultez-en la page d’aide.Chapitre 2 Installation 33 Préparation de clients Mac OS X 10.2 pour administration Pour préparer un client pour l’administration, après l’installation ou la mise à jour du logiciel client Apple Remote Desktop sur l’ordinateur, activez ARD et accordez des autorisations d’accès à l’ordinateur via la sous-fenêtre ARD des Préférences Système. Si vous avez opté pour la définition d’autorisations et l’activation d’ARD à la création du paquet d’installation personnalisé, les ordinateurs sont déjà préparés. Remarque : vous pouvez ignorer cette étape si vous créez un programme d’installation personnalisé activant automatiquement les réglages souhaités sur le client. Si vous n’avez pas établi une connexion utilisateur à ARD ou défini des autorisations d’accès administrateur à ARD lors de la création du paquet d’installation personnalisé, vous devez configurer les clients. Les autorisations d’accès sont définies séparément pour chaque compte utilisateur sur l’ordinateur auquel l’administrateur d’ARD doit pouvoir se connecter pour le contrôler. La procédure décrite dans cette section permet de définir des autorisations d’accès sur chaque ordinateur client exécutant Mac OS X 10.2. Pour effectuer des changements sur un client Mac OS X, vous devez disposer du nom et du mot de passe d’un utilisateur possédant des autorisations d’administrateur sur cet ordinateur. Pour définir des autorisations d’administrateur sur chaque ordinateur : 1 Sur l’ordinateur client, ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Apple Remote Desktop. Tapez si nécessaire les nom et mot de passe d’un utilisateur doté d’autorisations d’administrateur sur cet ordinateur. 2 Pour activer le client ARD, vérifiez que la case Activer Apple Remote Desktop sur cet ordinateur est cochée. 3 Cochez la case de chaque compte utilisateur à activer pour ARD. 4 Sélectionnez un utilisateur répertorié dont vous souhaitez modifier les autorisations d’accès, puis effectuez vos modifications. Celles-ci seront immédiatement prises en compte. Pour plus d’informations, consultez la section “Sécurité des autorisations utilisateur” à la page 56. 5 Répétez l’opération pour modifier les autorisations d’accès d’autres utilisateurs. 6 Si vous le souhaitez, remplissez un ou tous les champs Informations sur l’ordinateur. Ces informations figurent dans les rapports sur la vue d’ensemble du système ARD. Vous pouvez par exemple taper un numéro d’enregistrement pour l’ordinateur, un numéro de série ou un nom et un numéro de téléphone d’utilisateur.34 Chapitre 2 Installation Désactivation du logiciel client sur Mac OS X 10.2 Vous pouvez temporairement désactiver Apple Remote Desktop sur un client Mac OS X 10.2 sans devoir supprimer le logiciel. Pour désactiver le logiciel client sur un ordinateur client Mac OS X 10.2 : 1 Sur l’ordinateur client, ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Apple Remote Desktop. Tapez si nécessaire les nom et mot de passe d’un utilisateur doté d’autorisations d’administrateur sur cet ordinateur. 2 Décochez la case Activer Apple Remote Desktop sur cet ordinateur. 3 Décochez la case de chaque compte d’utilisateur activé pour ARD. De la même façon, vous pouvez ouvrir l’application Terminal et utiliser la commande kill pour arrêter d’abord le processus ARDHelper, puis le processus ARDAgent. Désinstallation du logiciel client d’un ordinateur Mac OS X 10.2 Pour supprimer le logiciel client Apple Remote Desktop de clients Mac OS X 10.2, vous devez supprimer plusieurs composants logiciels du système client. Pour désinstaller le logiciel client d’un ordinateur sous Mac OS X 10.2 : 1 Ouvrez Terminal (dans /Applications/Utilitaires). 2 Avec des autorisations root (sudo ou su -l root), saisissez les commandes suivantes : $ rm -rf /Système/Bibliothèque/CoreServices/Menu\ Extras/ RemoteDesktop.menu $ rm -rf /Système/Bibliothèque/CoreServices/RemoteManagement/ $ rm -rf /Système/Bibliothèque/PreferencePanes/ARDPref.prefPane $ rm -rf /Système/Bibliothèque/StartupItems/RemoteDesktopAgent/ $ rm /Bibliothèque/Preferences/com.apple.ARDAgent.plist $ rm /Bibliothèque/Preferences/com.apple.RemoteManagement.plist Avertissement : il est déconseillé de désinstaller le logiciel client. Il suffit de le désactiver pour arrêter l’activité du système ARD. Consultez la section “Désactivation du logiciel client sur Mac OS X 10.2” pour obtenir des instructions.Chapitre 2 Installation 35 Configuration d’ordinateurs clients avec Mac OS X 10.3 installé La section qui suit explique comment installer Apple Remote Desktop 2 sur des ordinateurs exécutant Mac OS X 10.3. Sachant qu’ARD 1.2 est automatiquement installé sur les clients lors de l’installation de Mac OS X 10.3, toutes les installations d’ARD correspondent à des mises à niveau, même si vous effectuez la configuration initiale de clients. Installation manuelle du logiciel client sous Mac OS X 10.3 Le logiciel client Apple Remote Desktop version 1.2 ou ultérieure est automatiquement installé en même temps que Mac OS X 10.3 ou ultérieur sur un ordinateur client. Vous pouvez aisément mettre à niveau les clients à l’aide d’ARD. Pour plus d’informations, consultez la section “Mise à niveau du logiciel client sur Mac OS X 10.3 avec ARD” à la page 36. Pour ne pas qu’ARD mette à jour les clients avec la fonction Mettre à niveau le logiciel client, vous pouvez effectuez une mise à jour manuelle. Pour mettre à jour le logiciel client sur les ordinateurs devant exécuter ARD, utilisez le logiciel d’administration d’ARD afin de créer un paquet d’installation du logiciel client. Pour installer le paquet, vous avez besoin du nom et du mot de passe d’un utilisateur possédant des autorisations d’administrateur sur l’ordinateur. Pour mettre à jour manuellement le logiciel client : 1 Créez un paquet d’installation client personnalisé. Pour des instructions détaillées, consultez la section “Création d’un programme d’installation client personnalisé” à la page 39. 2 Copiez et installez le paquet sur les ordinateurs clients. Pour ce faire, vous pouvez procéder de plusieurs façons. Par exemple, vous pouvez : • Distribuer le paquet à l’aide de supports amovibles, tels qu’un CD. • Copier le programme d’installation sur les clients via le réseau, à l’aide du partage de fichier. • Copier le programme d’installation sur les clients à l’aide d’outils de ligne de commande comme scp (si ssh est activé), puis utiliser l’outil de ligne de commande “installer” d’Apple pour installer le paquet à distance. La procédure est décrite en détail dans la section “Mise à niveau d’un logiciel client existant sur Mac OS X 10.3 avec ssh” à la page 36. Avertissement : les paquets d’installation personnalisés créant des noms de connexion contiennent des données sensibles de mots de passe. Prenez soin de stocker ces paquets d’installation personnalisés dans un endroit sûr.36 Chapitre 2 Installation Mise à niveau du logiciel client sur Mac OS X 10.3 avec ARD Le logiciel client Apple Remote Desktop version 1.2 ou ultérieure est automatiquement installé en même temps que Mac OS X 10.3 sur un ordinateur client. Vous pouvez employer la fonction Mettre à niveau le logiciel client d’ARD pour mettre à niveau les clients vers la version 2. Avant de mettre à niveau des clients, préparez ces derniers pour l’administration en activant ARD et en accordant des autorisations d’administrateur à ARD. Pour mettre à niveau un logiciel client existant à l’aide d’ARD: 1 Activez le partage de Remote Desktop sur les clients et accordez des autorisations d’administrateur à ARD. Voir “Préparation de clients Mac OS X 10.3 pour administration” à la page 37. 2 Si les ordinateurs ne figurent pas dans une liste d’ordinateurs Remote Desktop existante, recherchez-les à l’aide d’un scanneur ARD. Pour plus d’informations, consultez la section “Recherche et ajout de clients aux listes d’ordinateurs ARD” à la page 60. 3 Sélectionnez les ordinateurs clients à mettre à niveau. 4 Choisissez Gestion > Mettre à niveau le logiciel client. 5 Cliquez sur Mettre à niveau. Mise à niveau d’un logiciel client existant sur Mac OS X 10.3 avec ssh Il se peut que vous ne puissiez pas utiliser le logiciel d’administration d’Apple Remote Desktop pour mettre à niveau des clients Panther existants vers ARD 2. Si ssh (correspondant à Connexion à distance dans les Préférences Système) est activé sur les clients et que ce derniers sont disponibles sur le réseau, vous pouvez mettre à niveau les ordinateurs clients. Il vous faut tout de même recourir au logiciel d’administration ARD pour créer un paquet d’installation personnalisé. Vous devez également connaître le nom et le mot de passe de connexion d’un utilisateur possédant des autorisations d’administrateur sur l’ordinateur client.Chapitre 2 Installation 37 Pour mettre à niveau un logiciel client existant via ssh : 1 Créez un paquet d’installation client personnalisé. Pour des instructions détaillées, consultez la section “Création d’un programme d’installation client personnalisé” à la page 39. 2 Ouvrez Terminal. 3 Copiez le paquet d’installation sur l’ordinateur client en saisissant : $ scp -r @: Pour d’autres options scp, consultez-en la page d’aide. 4 Connectez-vous à l’ordinateur client en saisissant : $ ssh @ Pour d’autres options ssh, consultez-en la page d’aide. 5 Sur l’ordinateur client, installez le paquet en saisissant : $ sudo installer -pkg -target / Pour d’autres options installer, consultez-en la page d’aide. Préparation de clients Mac OS X 10.3 pour administration Pour préparer un client pour administration, activez Apple Remote Desktop sur l’ordinateur client et définissez des autorisations d’accès administrateur ARD à ce dernier à partir de la sous-fenêtre Partage des Préférences Système. Définissez séparément les autorisations d’accès de chacun des comptes d’utilisateur de l’ordinateur. Les étapes décrites ci-après permettent de définir des autorisations d’accès sur chaque ordinateur client. Remarque : vous pouvez ignorer cette étape si vous créez un programme d’installation personnalisé activant automatiquement les réglages souhaités sur le client. Pour effectuer des changements sur un client, vous devez disposer du nom et du mot de passe d’un utilisateur possédant des autorisations d’administrateur sur l’ordinateur. Pour définir des autorisations d’administrateur sur chaque ordinateur : 1 Sur l’ordinateur client, ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Partage. Tapez si nécessaire les nom et mot de passe d’un utilisateur doté d’autorisations d’administrateur sur cet ordinateur. 2 Sélectionnez Apple Remote Desktop dans la sous-fenêtre Partage. 3 Cliquez sur Autorisations d’accès. 4 Cochez la case pour chaque compte utilisateur à activer pour l’administration d’ARD.38 Chapitre 2 Installation 5 Sélectionnez un utilisateur répertorié dont vous souhaitez définir les autorisations d’accès, puis effectuez vos modifications. Celles-ci seront immédiatement prises en compte. Pour plus d’informations, consultez la section “Sécurité des autorisations utilisateur” à la page 56. 6 Répétez l’opération pour définir les autorisations d’accès d’autres utilisateurs. 7 Vous pouvez renseigner un ou tous les champs Informations sur l’ordinateur. Ces informations figurent dans les rapports sur la vue d’ensemble du système ARD. Vous pouvez par exemple taper un numéro d’enregistrement pour l’ordinateur, un numéro de série ou un nom et un numéro de téléphone d’utilisateur. 8 Cliquez sur OK. 9 Pour activer le client ARD, veillez à cochez la case Apple Remote Desktop ou sélectionnez Remote Desktop et cliquez sur Démarrer. Désactivation du logiciel client sur Mac OS X 10.3 Vous pouvez temporairement désactiver Apple Remote Desktop sur un client Mac OS X 10.3 sans devoir supprimer le logiciel. Pour désactiver le logiciel client sur un ordinateur client Panther : 1 Sur l’ordinateur client, ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Partage. Tapez si nécessaire les nom et mot de passe d’un utilisateur doté d’autorisations d’administrateur sur cet ordinateur. 2 Sélectionnez Apple Remote Desktop dans la sous-fenêtre Partage. 3 Cliquez sur Autorisations d’accès. 4 Décochez la case de chaque compte d’utilisateur activé pour l’administration ARD. 5 Cliquez sur OK. 6 Décochez la case Apple Remote Desktop dans la sous-fenêtre Partage. 7 Quittez les Préférences Système. Avertissement : sachant qu’ARD fait partie de l’installation par défaut de Panther, ne supprimez pas les composants clients ARD.Chapitre 2 Installation 39 Création d’un programme d’installation client personnalisé Pour installer le logiciel client Apple Remote Desktop sur plusieurs ordinateurs, servez-vous de l’application d’administration ARD, Remote Desktop, pour créer un programme d’installation client personnalisé. Ce dernier installe le logiciel système ARD et crée en outre sur l’ordinateur client des utilisateurs dont les autorisations ARD sont déjà attribuées. Vous suivrez un assistant pour créer le programme d’installation client personnalisé. Toutes les valeurs définies dans ce programme d’installation s’appliqueront à tous les ordinateurs recevant l’installation. Lors de la création d’un programme d’installation personnalisé, vous pourrez déterminer des noms et mots de passe administrateur ARD et définir automatiquement des autorisations d’accès et des préférences ARD. Pour créer le programme d’installation client : 1 Ouvrez Remote Desktop. 2 Choisissez Fichier > Créer un programme d’installation client. L’Assistant réglages du programme d’installation personnalisé s’ouvre. 3 Optez pour la création d’un programme d’installation personnalisé et cliquez sur Continuer. Si vous n’optez pas pour la création d’un programme d’installation personnalisé, vous pouvez générer un programme d’installation de base ne définissant aucune préférence sur l’ordinateur client. 4 Cliquez sur Continuer pour poursuivre la création d’un programme d’installation personnalisé. 5 Choisissez si le partage Remote Desktop doit avoir lieu au démarrage du système. Cette opération modifie le réglage figurant dans la sous-fenêtre Partage des Préférences Système (pour Mac OS X 10.3 ou ultérieur) ou dans la sous-fenêtre Remote Desktop des Préférences Système (pour Mac OS X 10.2). 6 Choisissez si vous voulez masquer ou afficher l’icône de la barre des menus d’ARD. 7 Cliquez sur Continuer.40 Chapitre 2 Installation 8 Décidez si vous souhaitez créer un nouvel utilisateur pour la connexion à ARD. Cliquez sur Continuer. De nouveaux utilisateurs peuvent servir pour accorder des autorisations d’administrateur ARD. La création d’un nouvel utilisateur n’entraîne pas le remplacement de ceux existants ni la modification de leurs mots de passe. Si vous décidez de ne pas créer de nouvel utilisateur, passez directement à l’étape 10 après avoir cliqué sur Continuer. 9 Ajoutez un utilisateur en cliquant sur Ajouter et en saisissant les informations adéquates. Cliquez sur OK après l’ajout de chaque utilisateur, puis sur Continuer lorsque vous êtes prêt à poursuivre. 10 Décidez si vous voulez attribuer des autorisations d’accès administrateur ARD aux groupes des Services de répertoire. Si tel est le cas, sélectionnez Définir les groupes autorisés à. Modifiez les groupes si besoin est. Consultez la section “Accès administrateur ARD via les Services de répertoire” à la page 42 pour en savoir plus sur l’utilisation de cette méthode afin d’accorder un accès administrateur à ARD. 11 Choisissez si vous voulez accorder des autorisations d’accès administrateur ARD à des utilisateurs spécifiques. Cliquez sur Continuer. Si vous décidez de ne pas attribuer d’autorisations d’accès administrateur, passez à l’étape 14. 12 Cliquez sur Ajouter pour désigner l’utilisateur devant recevoir des autorisations d’accès ARD. 13 Entrez son nom abrégé et définissez les autorisations comme désiré. Pour plus d’informations, consultez la section “Sécurité des autorisations utilisateur” à la page 56. Cliquez sur OK après l’ajout de chaque utilisateur, puis sur Continuer lorsque vous êtes prêt à poursuivre. 14 Choisissez si vous voulez autoriser un contrôle temporaire d’invités en demandant des autorisations sur les ordinateurs clients. Pour plus d’informations, consultez la section “Accès invité ARD” à la page 46.Chapitre 2 Installation 41 15 Choisissez si vous voulez autoriser des visualiseurs VNC non Apple à contrôler les ordinateurs clients et cliquez sur Continuer. Pour plus d’informations, consultez la section “Accès Virtual Network Computing (VNC)” à la page 47. 16 Si vous le souhaitez, vous pouvez renseigner un ou tous les champs Données système. Ces informations figurent dans les rapports sur la vue d’ensemble du système ARD. Vous pouvez par exemple taper un numéro d’enregistrement pour l’ordinateur, un numéro de série ou un nom et un numéro de téléphone d’utilisateur. 17 Choisissez si vous voulez autoriser des outils OpenWBEM à demander des données des ordinateurs clients. Pour plus d’informations, consultez la section “Accès OpenWBEM” à la page 48. 18 Cliquez sur Continuer. 19 Sélectionnez un emplacement pour le programme d’installation. 20 Cliquez sur Continuer pour créer le programme d’installation. Un paquet d’installation (fichier .pkg) est créé à l’emplacement désigné. 21 Cliquez sur Terminé. Présentation des types d’accès Il existe plusieurs façons d’accéder à des clients Apple Remote Desktop. Certaines dépendent de réglages ARD, d’autres de réglages du client ou d’outils d’administration tiers. Les sections qui suivent exposent les différents types d’accès, leur configuration et leur utilisation. Accès administrateur ARD Les autorisations d’accès permettent à un administrateur Apple Remote Desktop d’ajouter des ordinateurs à une liste, puis d’interagir avec ces ordinateurs. Si aucune autorisation d’accès n’est attribuée à un ordinateur client, ce dernier ne pourra être utilisé avec ARD. Les autorisations d’accès sont définies dans la section ARD de la sous-fenêtre Partage ou Remote Desktop, dans les Préférences Système des ordinateurs clients. Les autorisations d’accès attribuées à un ordinateur client dépendent de son utilisation. • Si l’ordinateur est utilisé dans un lieu public, tel qu’un laboratoire d’informatique, il est recommandé d’attribuer aux administrateurs un accès illimité.42 Chapitre 2 Installation • L’attribution d’autorisations illimitées aux administrateurs est en revanche déconseillée si l’ordinateur est destiné à n’être utilisé que par une seule personne. De la même façon, un utilisateur administrant son ordinateur peut être chargé de créer des mots de passe et de définir des autorisations d’accès pour ce poste. Accès administrateur ARD via les Services de répertoire Vous pouvez également accorder un accès administrateur Apple Remote Desktop sans activer d’utilisateurs locaux en activant l’autorisation destinée aux groupes. Lorsque vous utilisez des groupes spécialement nommés depuis le domaine principal des Services de répertoire, il est inutile d’ajouter des utilisateurs et des mots de passe aux ordinateurs clients pour réaliser un accès ARD. Sélectionner Pour autoriser les administrateurs à Sélectionner une quelconque autorisation. (Si vous ne cochez que cette case, l’administrateur pourra voir l’ordinateur client dans la fenêtre d’état et l’inclure dans les rapports du test de réseau.) Créer des rapports Créer des rapports matériels et logiciels à l’aide du menu Rapports. Ouvrir et fermer des applications Utiliser les commandes suivantes du menu Gestion : Ouvrir l’application, Ouvrir les éléments et Fermer la session. Modifier les réglages Utiliser les commandes suivantes du menu Gestion : Renommer l’ordinateur et Configurer le démarrage réseau. Effacer/remplacer des éléments Utiliser les commandes suivantes du menu Gestion : Copier les éléments, Installer les paquets et Vider la Corbeille. Supprimer aussi les éléments des fenêtres de rapports. L’utilisation de la fonction Mettre à niveau le client est soumise à l’activation de cet élément. Envoyer des messages textuels Utiliser les commandes suivantes du menu Communication : Envoyer le message et Discuter. Redémarrer et éteindre Utiliser les commandes suivantes du menu Gestion : Suspendre l’activité, Réactiver, Redémarrer et Éteindre. L’utilisation de la fonction Mettre à niveau le logiciel client est soumise à l’activation de cet élément. Copier des éléments Utiliser les commandes suivantes des menus Gestion et Serveur : Copier les éléments et Installer les paquets. L’utilisation des fonctions Mettre à niveau le logiciel client et Modifier les réglages client est soumise à l’activation de cet élément. Contrôler Utiliser les commandes suivantes du menu Communication : Contrôler, Partage d’écran et Verrouiller l’écran. L’utilisation des fonctions Mettre à niveau le logiciel client et Modifier les réglages client est soumise à l’activation de cet élément.Chapitre 2 Installation 43 Lorsque l’autorisation des Services de répertoire est activée sur un client, le nom d’utilisateur et le mot de passe fournis au moment de vous authentifier sont vérifiés dans le répertoire. Si le nom appartient à l’un des groupes d’accès ARD, vous obtenez les autorisations d’accès attribuées à ce groupe. Vous devez créer des groupes dans le domaine principal des Services de répertoire nommé “ard_admin” et “ard_reports”. Les groupes possèdent les autorisations de gestion suivantes : Activation de l’autorisation du groupe des Services de répertoire Afin de désactiver une autorisation du groupe pour l’accès Apple Remote Desktop, créez les groupes appropriés dans le domaine principal des Services de répertoire. Pour ce faire, vous devez être l’administrateur des Services de répertoire et avoir accès au serveur des utilisateurs et des groupes de votre organisation. Pour activer l’autorisation ARD par groupe : 1 Dans le système de répertoires, créez deux groupes que vous nommerez “ard_admin” et “ard_reports”. 2 Ajoutez des utilisateurs aux groupes. 3 Assurez-vous que les clients à administrer sont liés à votre système de répertoires. Lorsque vous modifiez les réglages clients ou générez un programme d’installation personnalisé, choisissez d’activer l’autorisation de services de répertoire sur les clients et indiquez ces groupes. Obtention d’un Rapport sur les réglages d’administration Vous pouvez demander aux clients actifs Apple Remote Desktop un rapport sur les commandes qu’ils acceptent à partir de votre authentification administrateur. Autorisation ard_admin ard_reports Créer des rapports x x Ouvrir et fermer des applications x Modifier les réglages x Copier des éléments x Effacer/remplacer des éléments x Envoyer les messages x Redémarrer et éteindre x Contrôler x Observer x Signaler quand vous êtes observé x44 Chapitre 2 Installation Le rapport consiste en une liste de types d’accès administrateur ARD avec la mention “yes” ou “non” pour indiquer s’ils sont ou non disponibles. Pour obtenir un rapport sur les réglages d’administration : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Rapport > Réglages d’administration. 4 Cliquez sur Rapport. Modification des autorisations d’administration client Une fois les ordinateurs clients prêts à être administrés, vous pouvez modifier les autorisations d’accès administrateur pour plusieurs ordinateurs à la fois à l’aide de la commande Modifier les réglages client. Si vous employez les Services de répertoire pour attribuer des autorisations d’administrateur, il est inutile de modifier les réglages sur les clients. Pour effectuer des changements sur un client, vous devez disposer du nom et du mot de passe d’un utilisateur possédant des autorisations d’administrateur sur l’ordinateur. Par ailleurs, vous devez déjà posséder l’autorisation de contrôle. Remarque : il est inutile d’effectuer une sélection dans chaque page de l’assistant. Vous pouvez cliquer sur Continuer pour passer à l’ensemble suivant de réglages. Pour modifier des autorisations d’administrateur sur chaque ordinateur : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Modifier les réglages client. L’assistant du client ARD apparaît. 4 Choisissez si le partage Remote Desktop doit avoir lieu au démarrage du système. Cette opération modifie le réglage figurant dans la sous-fenêtre Partage des Préférences Système (pour Mac OS X 10.3 ou ultérieur) ou dans la sous-fenêtre Remote Desktop des Préférences Système (pour Mac OS X 10.2). 5 Choisissez si vous voulez masquer ou afficher l’icône de la barre des menus d’ARD. 6 Cliquez sur Continuer. 7 Décidez si vous souhaitez créer un nouvel utilisateur pour la connexion à ARD. Cliquez sur Continuer. De nouveaux utilisateurs peuvent servir pour accorder des autorisations d’administrateur ARD. La création d’un nouvel utilisateur n’entraîne pas le remplacement de ceux existants ni la modification de leurs mots de passe. Si vous décidez de ne pas créer d’utilisateur, passez directement à l’étape 9 après avoir cliqué sur Continuer.Chapitre 2 Installation 45 8 Ajoutez un utilisateur en cliquant sur Ajouter et en saisissant les informations adéquates. Cliquez sur OK après l’ajout de chaque utilisateur, puis sur Continuer lorsque vous êtes prêt à poursuivre. 9 Décidez si vous voulez attribuer des autorisations d’accès administrateur ARD aux groupes des Services de répertoire. Si tel est le cas, sélectionnez Définir les groupes autorisés à. Modifiez les groupes si besoin est. Consultez la section “Accès administrateur ARD via les Services de répertoire” à la page 42 pour en savoir plus sur l’utilisation de cette méthode afin d’accorder un accès administrateur à ARD. 10 Choisissez si vous voulez accorder des autorisations d’accès administrateur ARD à des utilisateurs spécifiques. Cliquez sur Continuer. Si vous décidez de ne pas attribuer d’autorisations d’accès administrateur, passez à l’étape 13. 11 Cliquez sur Ajouter pour désigner l’utilisateur devant recevoir des autorisations d’accès ARD. 12 Saisissez son nom abrégé et attribuez les autorisations comme désiré. Pour plus d’informations, consultez la section “Sécurité des autorisations utilisateur” à la page 56. Cliquez sur OK après l’ajout de chaque utilisateur, puis sur Continuer lorsque vous êtes prêt à poursuivre. 13 Choisissez si vous voulez autoriser un contrôle temporaire d’invités en demandant des autorisations sur les ordinateurs clients. Pour plus d’informations, consultez la section “Accès invité ARD” à la page 46. 14 Choisissez si vous voulez autoriser des visualiseurs VNC non Apple à contrôler les ordinateurs clients et cliquez sur Continuer. Pour plus d’informations, consultez la section “Accès Virtual Network Computing (VNC)” à la page 47. 15 Si vous le souhaitez, vous pouvez renseigner un ou tous les champs Données système. Ces informations figurent dans les rapports sur la vue d’ensemble du système ARD. Vous pouvez par exemple taper un numéro d’enregistrement pour l’ordinateur, un numéro de série ou un nom et un numéro de téléphone d’utilisateur.46 Chapitre 2 Installation 16 Choisissez si vous voulez autoriser des outils OpenWBEM à demander des données des ordinateurs clients. Pour plus d’informations, consultez la section “Accès OpenWBEM” à la page 48. 17 Cliquez sur Continuer pour modifier les réglages des clients. L’assistant de configuration du client contacte tous les ordinateurs sélectionnés et modifie leurs réglages d’administration. Accès invité ARD Vous pouvez configurer un client Apple Remote Desktop pour accorder un accès unique et temporaire à un administrateur ARD ne disposant pas d’un nom de connexion ou d’un mot de passe pour l’ordinateur client. Chaque fois que l’administrateur ARD souhaite contrôler l’ordinateur client, il doit demander l’autorisation à l’utilisateur du client distant. Pour autoriser un accès invité : 1 Sur l’ordinateur client, ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Partage. Sur les clients Mac OS X 10.2, sélectionnez la sous-fenêtre Remote Desktop et passez à l’étape 4. Tapez si nécessaire les nom et mot de passe d’un utilisateur doté d’autorisations d’administrateur sur cet ordinateur. 2 Sélectionnez Apple Remote Desktop dans la sous-fenêtre Partage. 3 Cliquez sur Autorisations d’accès. 4 Sélectionnez l’option “Les invités peuvent demander l’autorisation de contrôler l’écran”. 5 Cliquez sur OK. Accès ssh par la ligne de commande Lorsque vous vous connectez à distance à un client avec ssh, vous possédez les autorisations utilisateur attribuées au nom et au mot de passe. Celles-ci incluent éventuellement des autorisations d’administrateur. Vous pouvez utiliser ssh pour accéder à un client employant un compte utilisateur créé pour ARD. Vous êtes toutefois limité aux tâches autorisées pour cet utilisateur lors de la création du compte. Inversement, seuls les utilisateurs indiqués dans les autorisations d’accès ARD peuvent accéder à un ordinateur exécutant ARD. Il est inutile que les autorisations ARD soient identiques à celles administrateur de l’ordinateur local. Avertissement : l’octroi de l’accès pour le contrôle d’un écran est la fonction la plus puissante d’ARD. Elle équivaut à un accès illimité.Chapitre 2 Installation 47 Accès Virtual Network Computing (VNC) Vous pouvez utiliser Apple Remote Desktop pour accéder à un serveur VNC et communiquer avec l’écran de ce dernier. L’accès VNC est fonction du logiciel serveur VNC. Pour accéder à un serveur VNC, il vous faut uniquement connaître son adresse IP ou le nom de domaine qualifié complet et le mot de passe indiqués dans le logiciel serveur VNC. Ce mot de passe ne doit pas forcément correspondre à un autre mot de passe du système : il dépend de la configuration VNC. L’accès VNC est comparable à la commande Contrôler d’ARD. Il vous permet d’utiliser le clavier et la souris pour contrôler un serveur VNC sur un réseau. Il n’offre pas d’autres autorisations d’administrateur ARD outre celles appartenant à l’utilisateur connecté. Des visualiseurs VNC non Apple peuvent contrôler des clients ARD si ces derniers le permettent. Autoriser un visualiseur VNC non-Apple à accéder à un client ARD est une méthode moins sûre que celle qui consiste à utiliser ARD pour contrôler le client. Le protocole VNC ne cryptant pas le texte saisi au clavier, des informations sensibles peuvent être interceptées sur le réseau. Pour autoriser un accès VNC : 1 Sur l’ordinateur client, ouvrez les Préférences Système et cliquez sur Partage. Sur les clients Mac OS X 10.2, sélectionnez la sous-fenêtre Remote Desktop et passez à l’étape 4. Tapez si nécessaire les nom et mot de passe d’un utilisateur doté d’autorisations d’administrateur sur cet ordinateur. 2 Sélectionnez Apple Remote Desktop dans la sous-fenêtre Partage. 3 Cliquez sur Autorisations d’accès. 4 Sélectionnez “Les utilisateurs VNC peuvent contrôler l’écran avec ce mot de passe ”. 5 Entrez un mot de passe VNC. Avertissement : l’octroi de l’accès VNC pour le contrôle d’un écran est la fonction la plus puissante d’ARD. Elle équivaut à un accès illimité. Avertissement : n’employez pas le même mot de passe que celui de connexion ARD ou d’un utilisateur local.48 Chapitre 2 Installation Accès OpenWBEM Les clients ARD peuvent répondre à des outils WBEM (Web-Based Enterprise Management) sollicitant des données des ordinateurs clients. WBEM est un standard récent de protocole réseau pour la gestion d’ordinateurs de bureau. Il s’appuie sur HTTP et XML afin d’offrir une approche Web d’échange de données CIM (Common Information Model). Pour en savoir plus sur WBEM, rendez-vous sur http://www.dmtf.org. ARD utilise OpenWBEM comme base d’implémentation de WBEM. Pour autoriser un accès WBEM : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Modifier les réglages client. L’assistant du client ARD apparaît. 4 Cliquez sur Continuer jusqu’à atteindre la section Données système de l’assistant. 5 Sélectionnez Définir l’accès OpenWBEM. 6 Cliquez sur Autorisé. Cliquez sur Non autorisé pour supprimer l’accès WBEM sur les ordinateurs clients. 7 Cliquez sur Continuer pour modifier les réglages des clients. L’assistant du client contacte tous les ordinateurs sélectionnés et modifie leurs réglages. Remarques pour les clients gérés Si vous envisagez d’utiliser Apple Remote Desktop et de limiter les applications pouvant s’exécuter sur un client géré, vous devez vérifier que tous les processus ARD sont autorisés. Un client géré est un ordinateur client dont l’environnement est administré par le Gestionnaire de groupe de travail de Mac OS X Server. Les options qui suivent doivent être activées dans les réglages des applications clients et groupes du Gestionnaire de groupe de travail : • “Autoriser les applications approuvées à lancer les non-approuvées”. • “Permettre aux outils Unix de s’exécuter”.Chapitre 2 Installation 49 Configuration du logiciel d’administration Vous pouvez configurer Remote Desktop, l’application d’administration Apple Remote Desktop, pour répondre à vos besoins professionnels. Remote Desktop possède une interface à la fois souple et fonctionnelle. Présentation de l’interface Remote Desktop Fenêtre principale de Remote Desktop La fenêtre principale de Remote Desktop comporte une barre d’outils, un groupe de listes sur la gauche et la Zone d’historique des tâches en bas. Liste principale La Liste principale est une liste répertoriant tous les ordinateurs clients que vous souhaitez administrer. Elle inclut tous les clients sur lesquels vous vous êtes authentifié ou prévoyez de le faire. Pour être contrôlés ou administrés, les ordinateurs doivent figurer dans la Liste principale. Si vous possédez une licence 10 clients, la Liste principale ne peut pas contenir plus de 10 ordinateurs. Scanneur Les Scanneurs permettent de rechercher des clients à ajouter à la Liste principale. Vous pouvez créer de nouveaux scanneurs et les personnaliser selon vos besoins. Reportez-vous à la section “Création d’un nouveau scanneur” à la page 62. Liste principale Scanneur Listes d’ordinateurs ARD Tâches enregistrées Zone d’historique des tâches50 Chapitre 2 Installation Listes d’ordinateurs ARD Une ARD liste d’ordinateurs est une liste que vous créez pour regrouper les ordinateurs de façon pratique. Toute liste est un sous-ensemble des ordinateurs clients de la Liste principale que vous avez sélectionnée. Si vous ajoutez un ordinateur directement à une liste d’ordinateurs, il est également ajouté automatiquement à la Liste principale. Liste des tâches enregistrées Il s’agit d’une liste spéciale générée par ARD. Elle comporte toutes les tâches enregistrées ou programmées pour une exécution ultérieure. Zone d’historique des tâches Cette zone montre une liste des tâches récentes. Vous pouvez étudier chaque tâche en double-cliquant dessus. Zones de dialogue des tâches Lorsque vous double-cliquez sur une tâche, une zone de dialogue s’ouvre pour définir des paramètres ou confirmer la tâche. Chaque zone de dialogue des tâches est propre à chaque tâche, même si toutes comportent des boutons communs : Bouton Horaire Bouton Afficher les ordinateurs cibleChapitre 2 Installation 51 Bouton Horaire Cliquez sur ce bouton pour fixer une heure d’exécution et de répétition de la tâche. Pour plus d’informations, consultez la section “Tâches programmées” à la page 97. Bouton Afficher les ordinateurs cible Cliquez sur ce bouton pour afficher un tiroir dans lequel apparaît la liste des ordinateurs qui participeront à la tâche. Vous pouvez supprimer des ordinateurs de l’écran ou y glisser de nouveaux. Personnalisation de la barre d’outils Remote Desktop L’application Remote Desktop comporte une barre d’outils totalement personnalisable permettant de réaliser rapidement des tâches. Pour effectuer une tâche, il suffit de cliquer sur l’icône correspondante dans la barre d’outils. Pour afficher ou masquer la barre d’outils, cliquez sur le bouton de la barre dans l’angle supérieur droit de la fenêtre de l’application. Vous pouvez ajouter, supprimer ou réorganiser les icônes de tâches dans la barre d’outils, en fonction de vos besoins. Pour personnaliser la barre d’outils de l’application : 1 Choisissez Fenêtre > Personnaliser la barre d’outils. 2 Glissez les éléments préférés de la barre d’outils ou l’ensemble par défaut vers la barre d’outils. Pour supprimer un élément, glissez-le hors de la barre d’outils. Pour réorganiser des éléments, glissez-les à la position souhaitée. 3 Choisissez si les éléments doivent s’afficher sous forme de texte, d’icônes ou les deux. Sélectionnez Utiliser petites icônes pour réduire la taille des éléments dans la barre d’outils.52 Chapitre 2 Installation Définition des préférences de l’application Remote Desktop Dans les préférences de Remote Desktop, vous pouvez sélectionner diverses options qui déterminent le mode de communication entre l’application d’administration et les ordinateurs clients. Pour ouvrir la fenêtre Préférences : • Choisissez Remote Desktop > Préférences. Dans la sous-fenêtre Général, vous pouvez définir : • l’action qui se produit en double-cliquant sur un ordinateur client (Lire les informations, Contrôler, Observer, Discuter) ; • si la progression de la tâche doit s’ouvrir automatiquement dans une fenêtre distincte ; • si les messages d’utilisateurs clients doivent être acceptés ; • si des dates relatives peuvent figurer dans les rapports (Hier, au lieu de jour/mois/ année) ; • s’il faut autoriser le contrôle de l’ordinateur lorsque Remote Desktop est actif ; • les avertissements devant s’afficher lorsque vous quittez l’application ; • un nouveau mot de passe principal ; • un nouveau numéro de série.Chapitre 2 Installation 53 Dans la sous-fenêtre Contrôler/Observer, vous pouvez définir : • si le contrôle de la souris et du clavier est partagé avec l’ordinateur client lorsque celui-ci est contrôlé ; • si un écran distant est affiché à sa taille réelle dans une fenêtre ou s’il est réduit pour s’adapter à celle-ci ; • si des écrans distants sont affichés en couleur ou en noir et blanc ; • combien d’ordinateurs peuvent être observés dans une page ; • la qualité de l’image pour observer plusieurs écrans. Dans la sous-fenêtre Collecte de données, vous pouvez définir : • où conserver les données enregistrées pour les rapports ; • si d’autres administrateurs ARD peuvent accéder à votre base de données locale de rapports. Dans la sous-fenêtre Accès restreint, vous pouvez définir : • les fonctions Remote Desktop disponibles pour les utilisateurs non administrateurs. Voir “Limitation des fonctions dans l’application d’administration” à la page 56. Configuration du réseau De la configuration du réseau dépendent les performances et le fonctionnement d’Apple Remote Desktop. Les réseaux AirPort et AirPort Extreme sont plus lents que la quasi totalité des réseaux Ethernet. Par conséquent, les opérations de copie de fichiers, de contrôle de clients et de conception de rapports demandent plus de temps via des connexions AirPort et AirPort Extreme. Les routeurs et les coupe-feu réseau affectent également le trafic réseau, ce qui peut entraîner des conséquences quant à la fiabilité et l’efficacité d’ARD. Voici quelques consignes à retenir pour la configuration d’ARD sur votre réseau : • Plus il y a de clients AirPort connectés à une borne d’accès, plus la bande passante est réduite pour chacun d’eux. Les bornes d’accès AirPort ne sont pas considérées comme des “réseaux commutés”. • Bonjour ne va pas au-delà du sous-réseau local. Contrairement aux noms de domaines, les noms Bonjour dont les informations de compte transitent par des routeurs ne peuvent pas être résolus. • Les réseaux munis de commutateurs présentent moins de collisions et d’erreurs de paquets que ceux à concentrateurs. Ils assurent donc un gain de fiabilité et de rapidité. • Si le trafic réseau traverse des coupe-feu, assurez-vous que la valeur du réglage MTU (Maximum Transmission Unit) est élevée (1200 ou plus). Un réglage MTU trop bas peut donner des écrans noirs lors du partage ou de l’envoi d’écrans.54 Chapitre 2 Installation • Si vous travaillez sur un réseau WAN (Wide-Area Network) ou MAN (Metropolitan Area Network), vérifiez que le bit de défragmentation est désactivé sur votre routeur pour éviter le regroupement de paquets. Les écrans pourraient apparaître noirs lors de leur partage ou de leur envoi. • Les réseaux NAT (Network Address Translation), tels que ceux employant la fonction Partage Internet de Mac OS X, peuvent causer des problèmes de configuration et d’accès. Pour utiliser Remote Desktop depuis avant un routeur NAT et accéder à des ordinateurs de l’autre côté de ce routeur, vous devez régler le réacheminement TCP et UDP des ports 3283 et 5900 vers l’ordinateur administrateur. De la même façon, pour accéder à un ordinateur client derrière un routeur NAT, ce dernier doit être configuré pour le réacheminement TCP et UDP des ports 3283 et 5900 vers cet ordinateur. Remarque : vous pouvez uniquement accéder à cet ordinateur client. Utilisation d’Apple Remote Desktop avec des ordinateurs sur un réseau sans fil AirPort L’utilisation d’Apple Remote Desktop pour observer ou contrôler des ordinateurs clients connectés via la technologie sans fil AirPort peut parfois freiner les performances ou provoquer des erreurs de communication apparaissant dans la fenêtre d’état de l’ordinateur. Pour un fonctionnement optimal d’ARD avec les ordinateurs d’un réseau sans fil AirPort • Assurez-vous que toutes les bornes d’accès AirPort et tous les ordinateurs clients ARD disposent des versions les plus récentes des logiciels ARD, AirPort et Mac OS. • Limitez le nombre de clients se connectant à une borne d’accès AirPort. Les clients AirPort sur une borne d’accès reçoivent tous les paquets de communication réseau envoyés à n’importe quel client. Bien que les clients ignorent les paquets qui ne leur sont pas destinés, les ressources de leur processeur sont sollicitées le temps d’identifier et de rejeter les paquets. • Préférez l’affichage en noir et blanc à l’affichage en couleur pour les écrans partagés. • Ne connectez pas l’ordinateur administrateur ARD au réseau via AirPort. Connectez-le directement au réseau Ethernet auquel votre borne d’accès AirPort est reliée. • Réglez votre borne d’accès AirPort sur une densité de borne Élevée et le taux de multidiffusion sur 11 Mbps à l’aide de l’Utilitaire Admin AirPort. L’utilisation de ces réglages limitant la portée du réseau de chaque borne d’accès AirPort, les ordinateurs clients doivent être placés à moins de 50 mètres d’une borne.Chapitre 2 Installation 55 Optimisation des performances Pour des performances optimales lorsque vous utilisez les commandes Partage d’écran, Observer et Contrôler : • Limitez l’utilisation d’animations sur les ordinateurs distants. Il est par exemple possible de simplifier les réglages de préférences du Dock en désactivant l’animation, l’agrandissement, le masquage et l’affichage automatiques. • Affichez l’écran du client dans une fenêtre plus petite lorsque vous employez l’option Adapter à la fenêtre. • Affichez l’écran du client avec moins de couleurs. • Utilisez une couleur unie pour le bureau de l’écran que vous partagez. • Ne partagez d’écrans que sur des réseaux locaux. Les modifications d’écran seront plus lentes, si vous partagez un écran avec un ordinateur relié à un autre routeur. • Organisez les ordinateurs que vous administrez à l’aide de ARD en petits groupes et fermez le logiciel d’administration lorsque vous ne l’utilisez pas. Vous réduirez ainsi le nombre de requêtes d’état, et donc le trafic réseau. • Préférez des commutateurs à des concentrateurs. • Si vous passez par des routeurs, vérifiez que la valeur du réglage MTU (Maximum Transmission Unit) est élevée (en général, 1200 ou plus) et que le routeur ne fragmente pas les paquets. Gestion de la sécurité Remote Desktop peut s’avérer un outil puissant pour enseigner, faire la démonstration et exécuter des tâches de maintenance. Pour un aspect pratique, le nom et le mot de passe administrateur servant à accéder à Remote Desktop peuvent être stockés dans un trousseau ou être sollicités à chaque ouverture de l’application. Toutefois, le nom et le mot de passe de connexion de chaque ordinateur client sont stockés dans les préférences de l’administrateur et cryptés. Sécurité de l’application d’administration • Servez-vous du mode utilisateur pour limiter les actions des utilisateurs non administrateurs dans ARD. Voir “Limitation des fonctions dans l’application d’administration” à la page 56. • Si vous laissez le mot de passe Remote Desktop dans votre trousseau, pensez à verrouiller ce dernier lorsque vous n’êtes pas devant votre ordinateur administrateur. • Pensez à limiter le nombre de comptes utilisateur afin de ne pas permettre l’utilisation de Remote Desktop. Dans un client géré pour l’environnement Mac OS X (MCX) ou via la sous-fenêtre Comptes des Préférences Système, vous pouvez vérifier que seuls les utilisateurs autorisés utilisent Remote Desktop.56 Chapitre 2 Installation Sécurité des autorisations utilisateur • Pour désactiver ou limiter l’accès d’un administrateur à un client ARD, ouvrez les Préférences Système sur l’ordinateur client et modifiez les réglages de la sous-fenêtre Remote Desktop, dans la sous-fenêtre Partage. Les changements s’appliquent au terme de la session ARD en cours avec l’ordinateur client. • Pour rappel, ARD continue de fonctionner sur les ordinateurs clients tant que la session est ouverte, même après modification du mot de passe utilisateur. Sécurité d’accès par mot de passe • Ne communiquez le mot de passe Remote Desktop à personne. • Ne communiquez en aucun cas vos nom et mot de passe administrateur. • Choisissez des mots de passe sûrs en termes cryptographiques (pas de mots figurant dans le dictionnaire, minimum de 8 caractères, incluant des lettres, des chiffres et des signes de ponctuation, sans construction répétitive). • Quittez l’application Remote Desktop dès que vous avez terminé de l’utiliser. Si vous n’avez pas placé le mot de passe Remote Desktop dans votre trousseau, l’application vous demandera d’entrer le nom et le mot de passe administrateur à la prochaine ouverture. Sécurité d’accès physique • Si vous avez stocké le mot de passe Remote Desktop dans votre trousseau, assurez-vous que celui-ci est protégé et que l’application est fermée lorsque vous ne vous trouvez pas dans la fenêtre Remote Desktop. • Pour laisser l’application Remote Desktop ouverte et vous absenter, utilisez un économiseur d’écran protégé par mot de passe et déterminez un coin actif pour pouvoir l’activer immédiatement. Limitation des fonctions dans l’application d’administration Remote Desktop peut fonctionner en mode utilisateur. Ce mode est activé si un utilisateur non administrateur ouvre Remote Desktop pour gérer des ordinateurs clients ARD. L’administrateur de l’ordinateur sur lequel est installé Remote Desktop peut choisir les fonctions et tâches disponibles pour les utilisateurs non administrateurs. Le mode utilisateur permet ainsi de déléguer des tâches administratives ou bien de limiter les utilisateurs aux fonctions de Remote Desktop qu’ils emploient vraiment. Par exemple, vous n’autoriserez pas des utilisateurs à copier ou à supprimer des fichiers mais les laisserez observer des écrans clients et envoyer des messages aux utilisateurs clients. Chapitre 2 Installation 57 Vous pouvez autoriser des utilisateurs non administrateurs à : • Observer, contrôler et partager des écrans. • Verrouiller et déverrouiller des écrans. • Envoyer des messages et discuter. • Suspendre l’activité et réactiver des ordinateurs clients. • Déconnecter des utilisateurs. • Redémarrer et arrêter des ordinateurs. • Ouvrir des fichiers et des applications. • Renommer des ordinateurs. • Produire des rapports et rechercher des logiciels. • Copier des éléments depuis des clients. • Copier des éléments, en supprimer et vider la Corbeille. • Créer des programmes d’installation personnalisés ARD. • Mettre à niveau des clients et modifier les réglages clients. • Installer des paquets. • Régler le volume de démarrage des ordinateurs clients. • Définir la méthode de conception de rapports des clients. • Lancer des commandes UNIX. Chaque fonction peut être activée ou désactivée indépendamment des autres. Vous pouvez également activer toutes les fonctions de Remote Desktop pour les utilisateurs non administrateurs. Pour activer le mode utilisateur : 1 Assurez-vous d’être connecté en tant qu’utilisateur administrateur. 2 Ouvrez Remote Desktop. 3 Choisissez Remote Desktop > Préférences. 4 Cliquez sur le bouton Accès restreint. 5 Activez ou désactivez les fonctions comme souhaité. 6 Fermez la fenêtre Préférences.58 Chapitre 2 Installation Authentification et cryptage des données L’authentification auprès de clients Apple Remote Desktop suit une méthode s’appuyant sur le protocole d’accord Diffie-Hellman qui crée une clé 128 bit partagée. Cette clé partagée sert à crypter le nom et le mot de passe à l’aide du standard AES (Advanced Encryption Standard). Le protocole d’accord Diffie-Hellman employé dans ARD 2 est très similaire à celui utilisé pour le partage de fichiers personnels, les deux recourant à un schéma 512 bit pour calculer la clé partagée. Avec Remote Desktop 2, la frappe des touches et les événements de la souris sont cryptés pendant le contrôle d’ordinateurs clients Mac OS X. Ces informations sont cryptées à l’aide du standard AES (Advanced Encryption Standard), avec une clé 128 bit partagée générée lors de l’authentification. Avertissement : si vous utilisez ARD pour gérer des ordinateurs sur des réseaux publics, envisagez une solution VPN (Virtual Private Network) pour protéger vos données.3 59 3 Administration d’ordinateurs Apple Remote Desktop vous offre de puissants moyens de contrôle administratif. Il vous permet, manuellement ou automatiquement, d’obtenir des informations sur tous les ordinateurs, d’installer des logiciels et d’entretenir des systèmes à partir d’un seul ordinateur administrateur. Ce chapitre décrit les principaux aspects des capacités d’administration d’ARD et fournit toutes les instructions nécessaires pour les utiliser. Il vous permettra d’en savoir plus sur les opérations suivantes : • “Recherche et ajout de clients aux listes d’ordinateurs ARD” à la page 60 • “Création et gestion des listes” à la page 63 • “Installation de logiciels à l’aide d’ARD” à la page 65 • “Mise à niveau de logiciels” à la page 69 • “Copie de fichiers” à la page 70 • “Création de rapports” à la page 74 • “Entretien des systèmes” à la page 87 • “Gestion des ordinateurs” à la page 90 • “Automatisation des fonctions” à la page 9560 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs Recherche et ajout de clients aux listes d’ordinateurs ARD Avant de pouvoir examiner, contrôler ou maintenir un client quelconque, vous devez l’ajouter à une liste d’ordinateurs Apple Remote Desktop. Pour rechercher les ordinateurs qui ne se trouvent pas sur le sous-réseau local, les routeurs et les coupe-feu de votre réseau local doivent être correctement configurés pour transmettre des paquets TCP et UDP sur les ports 3283 et 5900. ARD comprend quatre méthodes distinctes de recherche de clients potentiels : recherche sur le réseau local, recherche dans une plage d’adresses IP, utilisation d’une adresse IP ou d’un nom de domaine spécifique et importation d’une liste d’adresses IP. Une fois que vous avez découvert un client potentiel, les informations suivantes apparaissent : Pour ajouter un ordinateur à une liste d’ordinateurs ARD, vous devez d’abord vous authentifier auprès de l’ordinateur. Les ordinateurs authentifiés se trouvent dans la Liste principale de la fenêtre Remote Desktop. Vous pouvez ajouter un ordinateur à la Liste principale sans authentification, mais vous ne pourrez pas administrer le client tant que vous n’aurez pas fourni un nom et un mot de passe valides. Recherche de clients sur le réseau local Lorsque vous sélectionnez un scanneur de réseau local, ARD envoie une diffusion sous-réseau et une diffusion Bonjour aux ordinateurs qui se trouvent sur le même sous-réseau que l’ordinateur administrateur. Tous les clients possibles du sous-réseau local apparaissent dans une liste située dans la partie gauche de la fenêtre Remote Desktop. Colonne de recherche Description (aucun) Affiche l’icône de Liste principale si l’ordinateur fait déjà partie de votre Liste principale. (aucun) Affiche une petite icône indiquant le type d’accès dont le client est capable. Voir “Icônes de scanneur d’ordinateur” à la page 115. Nom de l’ordinateur Nom donné à l’ordinateur dans la sous-fenêtre Partage des Préférences Système. Adresse IP L’adresse IP de l’ordinateur, le cas échéant. Nom de l’hôte Le nom de domaine complet ou le nom Bonjour de l'ordinateur, le cas échéant. Version d’ARD Version du logiciel client Apple Remote Desktop. Interface réseau Mode de connexion du client au réseau (Ethernet intégré, AirPort, etc.) Cette information apparaît uniquement dans les listes de scanneurs.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 61 Pour rechercher des clients sur le réseau local : 1 Sélectionnez un scanneur à gauche de la fenêtre Remote Desktop. 2 Sélectionnez Réseau local. Tous les clients ayant répondu sont affichés dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Sélectionnez les ordinateurs souhaités. 4 Glissez les ordinateurs sélectionnés dans la Liste principale. 5 Authentifiez-vous en fournissant un nom et un mot de passe d’administrateur ARD. L’ordinateur apparaît alors dans votre Liste principale. Recherche de clients dans une plage de réseau Pour rechercher des ordinateurs dans une plage réseau, vous devez fournir une adresse IP de début et une adresse IP de fin pour qu’Apple Remote Desktop envoie une requête à chaque adresse IP pour savoir si l’ordinateur est un ordinateur client. Cette méthode est particulièrement adaptée à la recherche de clients qui se trouvent en dehors du sous-réseau local mais sur le réseau local. Pour rechercher dans une plage d’adresses réseau : 1 Sélectionnez un scanneur à gauche de la fenêtre Remote Desktop. 2 Sélectionnez Portée du réseau. 3 Saisissez les adresses IP de début et de fin. 4 Cliquez sur le bouton Scanner. Tous les clients ayant répondu sont affichés dans la fenêtre Remote Desktop. 5 Sélectionnez les ordinateurs souhaités. 6 Glissez les ordinateurs sélectionnés dans la Liste principale. 7 Authentifiez-vous en fournissant un nom et un mot de passe d’administrateur ARD activé. L’ordinateur apparaît alors dans votre Liste principale. Recherche de clients par adresse réseau Si vous connaissez l’adresse IP ou le nom de domaine complet exact d’un ordinateur, vous pouvez utiliser cette adresse IP ou ce nom de domaine pour l’ajouter à votre Liste principale. Pour rechercher une adresse spécifique : 1 Sélectionnez un scanneur à gauche de la fenêtre Remote Desktop. 2 Sélectionnez Adresse réseau. 3 Saisissez l’adresse IP ou le nom de domaine complet dans le champ Adresse. 4 Cliquez sur le bouton Scanner. Si le client répond comme prévu, il est alors affiché dans la fenêtre Remote Desktop.62 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 5 Sélectionnez les ordinateurs souhaités. 6 Glissez les ordinateurs sélectionnés dans la Liste principale. 7 Authentifiez-vous en fournissant un nom et un mot de passe d’administrateur ARD. L’ordinateur apparaît alors dans votre Liste principale. Recherche de clients par importation de fichiers Vous pouvez importer une liste d’ordinateurs dans Apple Remote Desktop en important un fichier contenant une liste des adresses IP des ordinateurs. La liste peut être présentée dans n’importe quel format de fichier (texte, feuille de calcul, traitement de texte) et doit contenir des adresses IP ou des noms de domaines complets (tels que foo.exemple.com). Pour importer une liste d’ordinateurs à partir d’un fichier : 1 Sélectionnez un scanneur à gauche de la fenêtre Remote Desktop. 2 Sélectionnez Importation de fichier. 3 Accédez au fichier en cliquant sur le bouton Parcourir ou glissez un fichier dans la fenêtre. Une solution alternative consiste à saisir le chemin d’accès au fichier dans le champ Fichier. 4 Cliquez sur le bouton Scanner. Tous les clients ayant répondu sont affichés dans la fenêtre Remote Desktop. 5 Sélectionnez les ordinateurs souhaités. 6 Glissez les ordinateurs sélectionnés dans la Liste principale. 7 Authentifiez-vous en fournissant un nom et un mot de passe d’administrateur ARD. L’ordinateur apparaît alors dans votre Liste principale. Création d’un nouveau scanneur Il est conseillé d’utiliser plusieurs scanneurs pour rechercher des plages d’adresses spécifiques ou pour effectuer d’autres types de recherches. Vous pouvez créer et enregistrer votre propre scanneur afin de pouvoir effectuer rapidement la recherche à tout moment. Vous pouvez renommer les scanneurs afin de pouvoir les identifier plus facilement. Pour créer une liste de recherche personnalisée : 1 Choisissez Fichier > Nouveau scanneur. 2 Renommez le scanneur que vous venez de créer. 3 Sélectionnez l’icône du nouveau scanneur. 4 Choisissez un type de recherche dans le menu local situé à droite.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 63 5 Personnalisez la recherche en saisissant les paramètres spécifiques de recherche (tels qu’une plage d’adresses IP ou un emplacement de fichier). Les sections suivantes vous permettront d’apprendre comment personnaliser la recherche : • “Recherche de clients sur le réseau local” à la page 60 • “Recherche de clients dans une plage de réseau” à la page 61 • “Recherche de clients par adresse réseau” à la page 61 • “Recherche de clients par importation de fichiers” à la page 62 6 Cliquez sur le bouton Scanner. Tous les clients ayant répondu sont affichés dans la fenêtre Remote Desktop. Sélectionnez votre icône de scanneur et cliquez sur le bouton Scanner chaque fois que vous souhaitez effectuer la recherche. Création et gestion des listes Les listes vous permettent d’organiser et d’effectuer des tâches de gestion sur les ordinateurs clients. Apple Remote Desktop propose différents types de listes. La section suivante décrit les types de listes et explique comment créer des listes et les utiliser pour la gestion des clients. À propos des listes d’ordinateurs ARD Apple Remote Desktop affiche les listes d’ordinateurs dans la section principale de la fenêtre Remote Desktop. La liste d’ordinateurs par défaut est appelée Liste principale ; il s’agit de la liste complète de tous les clients potentiels que vous avez détectés et auprès desquels vous vous êtes authentifié. Vous pouvez créer d’autres listes afin de regrouper les ordinateurs de votre réseau comme bon vous semble. Les listes d’ordinateurs disposent des capacités suivantes : • Vous pouvez créer autant de listes que vous le souhaitez. • Chaque liste peut contenir jusqu’à 1000 ordinateurs. • La Liste principale peut contenir autant d’ordinateurs que le permet votre licence. • Les ordinateurs peuvent figurer dans plusieurs listes. • Il est possible de créer des listes en fonction de tous les critères de regroupement imaginables : géographie, fonctions, configuration matérielle et même couleur. Création d’une liste d’ordinateurs ARD Vous pouvez créer des listes d’ordinateurs ciblées, plus spécifiques, à partir de votre Liste principale. Pour créer une liste de façon la plus simple est d’utiliser les ordinateurs qui se trouvent déjà dans la Liste principale. Vous pouvez également créer des listes vides auxquelles vous ajouterez des ordinateurs ultérieurement.64 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs Pour créer une liste d’ordinateurs ARD : 1 Sélectionnez l’icône Liste principale dans la fenêtre principale de Remote Desktop. 2 Sélectionnez les ordinateurs que vous souhaitez ajouter à la nouvelle liste. 3 Choisissez Fichier > Nouvelle liste à partir de la sélection. 4 Donnez un nom à la liste d’ordinateurs. Vous pouvez également choisir Fichier > Nouvelle liste, afin de créer une liste vide pour y glisser des ordinateurs provenant de la Liste principale ou y glisser des résultats de recherche par scanneur. Suppression de listes ARD Vous pouvez supprimer les listes d’ordinateurs Apple Remote Desktop et les listes de scanneurs supplémentaires que vous avez créées. Vous ne pouvez pas supprimer la Liste principale, le dernier scanneur ou la liste Tâches enregistrées. Pour supprimer une liste : m Sélectionnez la liste et appuyez sur la touche de suppression. Utilisation de la zone d’historique des tâches La zone d’historique des tâches se trouve dans la moitié inférieure de la fenêtre Remote Desktop (consultez la rubrique “Zone d’historique des tâches” à la page 50). Chaque fois que vous exécutez une tâche (production d’un rapport, copie d’un fichier, redémarrage d’un ordinateur), le nom de la tâche, son résultat et l’heure de son exécution sont affichés dans la zone d’historique des tâches. Vous pouvez redimensionner la zone d’historique ou même la fermer complètement. Vous pouvez sélectionner une tâche dans la zone d’historique afin d’obtenir des informations sur cette tâche. Vous pouvez également afficher une description plus détaillée de la tâche ainsi que les ordinateurs impliqués par cette tâche. Vous pouvez interrompre une tâche en cours d’exécution ou modifier les ordinateurs impliqués par cette tâche, puis relancer cette dernière. Affichage d’un rapport de tâche Une fois qu’une tâche a été effectuée (observation d’un ordinateur, copie d’un fichier, redémarrage d’un ordinateur), son nom, son résultat et l’heure d’exécution sont stockés pour une consultation ultérieure. La fenêtre des rapports de tâches fournit une description détaillée de la tâche et indique si elle a été effectuée avec succès ou non sur chaque ordinateur client impliqué. Pour afficher la fenêtre des rapports de tâches : m Double-cliquez sur la tâche dans la zone d’historique des tâches.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 65 Utilisation du rapport de tâche La fenêtre des rapports de tâches vous permet de : • Recommencer une tâche sur les ordinateurs sélectionnés. • Dupliquer une tâche. • Annuler une tâche en cours. Pour utiliser la fenêtre des rapports de tâches : 1 Double-cliquez sur la tâche dans la zone d’historique des tâches. 2 Sélectionnez les ordinateurs clients sur lesquels vous souhaitez exécuter la tâche. 3 Choisissez une fonction dans le menu. Installation de logiciels à l’aide d’ARD Il existe plusieurs méthodes permettant d’installer des logiciels à l’aide d’Apple Remote Desktop. La section suivante explique comment installer des logiciels à l’aide de paquets d’installation ou de métapaquets, à l’aide de la commande de copie d’ARD, à l’aide de programmes d’installation élaborés par d’autres éditeurs de logiciels ou à l’aide de NetBoot ou d’Installation en réseau. Installation à l’aide de paquets (pkg) et de métapaquets (mpkg) Vous pouvez installer de nouveaux logiciels, automatiquement et sans aucune intervention d’utilisateur, en copiant des paquets d’installation (fichiers .pkg ou .mpkg) sur un ou plusieurs clients distants fonctionnant sous Mac OS X version 10.2 ou ultérieure. Apple Remote Desktop copie le paquet sur les ordinateurs que vous avez choisis, exécute le programme d’installation à l’arrière-plan, puis efface les fichiers d’installation dès que l’installation est terminée. Vous pouvez installer successivement plusieurs paquets. Lorsque vous effectuez l’installation de plusieurs paquets, ARD copie un paquet, l’installe, puis copie et installe le paquet suivant jusqu’au dernier. Il est impossible d’interrompre l’installation d’un paquet. Toute installation lancée est poursuivie jusqu’à son terme (tant qu’aucune erreur ne survient sur le client). Vous pouvez toutefois cliquer sur le bouton Arrêter pour empêcher la copie et l’installation de tout paquet supplémentaire (dans le cas de l’installation de plusieurs paquets). Avertissement : la distribution de logiciels protégés par droits d’auteur sans disposer du contrat de licence approprié constitue une infraction à la loi sur les droits d’auteur.66 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs Un administrateur disposant des Outils de développement d’Apple peut utiliser l’application PackageMaker pour créer un “métapaquet” qui contient plusieurs programmes d’installation pouvant être lancés en séquence. Outre la création de métapaquets, vous pouvez également utiliser PackageMaker pour créer des paquets destinés à installer des logiciels personnalisés développés par votre organisation. Vous trouverez davantage d’informations sur la création et l’utilisation de paquets et de métapaquets sur le site Web Apple Developer Connection (en anglais) : http://developer.apple.com/documentation/DeveloperTools/Conceptual/ SoftwareDistribution/index.html Pour copier et installer des logiciels à l’aide d’un fichier .pkg : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Installer les paquets. 4 Sélectionnez un fichier .pkg ou .mpkg à installer. 5 Cliquez sur Installer. Au cours de l’installation, une barre de progression apparaît sur l’écran de l’administrateur. Aucune barre de progression ne s’affiche sur l’ordinateur client. Le paquet copié est effacé de l’ordinateur client si une erreur survient pendant l’installation. Une installation ratée risque toutefois de laisser certains fichiers créés par le programme d’installation. Remarque : la fin du processus d’installation n’est pas suivie d’un redémarrage automatique des ordinateurs clients. Si le redémarrage est nécessaire, utilisez la commande Redémarrer pour redémarrer les ordinateurs sélectionnés après avoir utilisé la commande Installer les paquets. Installation à l’aide de la commande Copier les éléments Il est possible d’installer de nombreuses applications en copiant simplement l’application ou son dossier sur l’ordinateur client. Consultez la documentation incluse avec l’application pour vérifier s’il suffit de la copier sur le disque dur pour l’installer. Pour installer des logiciels en les copiant : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Copier les éléments. 4 Ajoutez le logiciel à la liste des éléments à copier. Pour plus d’informations, consultez la section “Copie de fichiers” à la page 70. Répétez cette étape jusqu’à ce que tous les logiciels à copier soient ajoutés à la liste.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 67 5 Sélectionnez une destination pour la copie. Plusieurs destinations prédéfinies, dont le dossier Applications, sont disponibles dans le menu local de destination. Si la destination voulue ne figure pas dans le menu, vous pouvez saisir un chemin d’accès. 6 Cliquez sur Copier. Le logiciel est copié dans l’emplacement indiqué. En cas d’échec de la copie, un message d’erreur apparaît dans le visualiseur des tâches actives. Utilisation de programmes d’installation provenant d’autres compagnies La commande Installer les paquets ne fonctionne qu’avec les programmes d’installation qui utilisent les formats de fichier .pkg ou .mpkg et certaines applications ne peuvent être installées en les copiant simplement sur le disque dur. Pour installer des logiciels qui requièrent des programmes d’installation utilisant d’autres formats de fichier, vous devez combiner plusieurs tâches administratives. Pour installer des logiciels à l’aide de programmes d’installation de tierce partie : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Copier les éléments. 4 Ajoutez le programme d’installation du logiciel à la liste des éléments à copier. Pour plus d’informations, consultez la section “Copie de fichiers” à la page 70. 5 Sélectionnez une destination pour la copie. 6 Cliquez sur Copier. Le logiciel est copié dans l’emplacement indiqué. En cas d’échec de la copie, un message d’erreur apparaît dans la fenêtre des rapports de tâches. 7 Cochez la case Ouvrir les éléments, à côté de Après avoir copié. 8 Sélectionnez un ordinateur ayant reçu la copie du programme d’installation. 9 Choisissez Communication > Contrôler. 10 Contrôlez l’écran de l’ordinateur sélectionné et terminez le processus d’installation de manière interactive.68 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs Utilisation d’ARD avec les fonctions NetBoot et Installation en réseau de Mac OS X Server Il est impossible d’installer Mac OS X sur un client en n’utilisant qu’Apple Remote Desktop. Toutefois, utilisé conjointement avec les fonctions NetBoot et Installation en réseau de Mac OS X Server, ARD peut fournir une aide précieuse qui vous fera gagner du temps. Vous pouvez l’utiliser pour définir à distance les volumes de démarrage, puis personnaliser davantage les ordinateurs après l’installation. Les exemples de procédures ci-après supposent une connaissance des fonctions de Mac OS X Server, de l’Utilitaire d’images de réseau et du fonctionnement de la ligne de commande de Mac OS X. Pour installer un logiciel système à l’aide de la fonction Installation en réseau d’ARD : 1 Installez et configurez Mac OS X sur un ordinateur client. Les autres ordinateurs clients seront basés sur cet ordinateur. Le client doit être configuré avec tous les logiciels souhaités, votre jeu de préférences de partage, un nom d’utilisateur ARD et des autorisations d’administration ARD. DHCP doit être activé sur le client comme méthode d’adressage réseau. Pour plus d’informations, consultez la section “Configuration d’ordinateurs clients avec Mac OS X 10.3 installé” à la page 35. 2 Utilisez l’Utilitaire de disque pour créer une image disque du disque dur de l’ordinateur client. Il est impossible de créer une image disque à partir du disque de démarrage. Vous devez démarrer à partir d’une autre partition avant de créer une image disque du disque dur de l’ordinateur. 3 Utilisez l’Utilitaire d’images de réseau pour créer une image d’Installation en réseau pour Mac OS X Server à l’aide de l’image disque. Les paramètres suivants doivent être définis : • installer automatiquement sur le volume nommé “Macintosh HD” ; • pas d’invite ; • l’image NetBoot doit être nommée “Macintosh HD”.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 69 4 Utilisez ARD pour copier puis exécuter le script AppleScript présenté ci-après sur les ordinateurs clients. Ce script attribuera le nom “Macintosh HD” au disque dur afin de pouvoir l’utiliser avec l’image NetBoot. Si vous avez créé un volume nommé “CloneMoi”, ce script remplacera le nom de ce volume par “Macintosh HD”. tell application "Finder" if (exists (disk "Macintosh HD")) then -- Nothing else if (exists (disks whose name contains "CloneMoi")) then set the name of first disk whose name contains "CloneMoi" to "Macintosh HD" else set the name of disk 1 to "Macintosh HD" end if end tell 5 Utilisez ARD pour définir l’image Installation en réseau comme disque de démarrage de vos ordinateurs clients. 6 Une fois que les clients ont à nouveau démarré à partir du disque dur local, utilisez ARD pour configurer et personnaliser les ordinateurs clients comme vous le souhaitez. Mise à niveau de logiciels La mise à niveau de logiciels est similaire à l’installation de logiciels. La méthode de mise à niveau dépend toutefois de la méthode d’installation initiale. En règle générale, les mises à niveau ne peuvent être effectuées tant que les applications des utilisateurs sont ouvertes. Assurez-vous que les logiciels à mettre à niveau ne sont pas en cours d’utilisation. La mise à niveau consiste en trois tâches principales : • Déterminer s’il existe des éléments à mettre à jour. • Supprimer la version périmée. • Installer la nouvelle version. Pour mettre des logiciels à niveau sur les ordinateurs clients : 1 Exécutez un rapport de versions de logiciels pour déterminer la version de logiciel utilisée par les ordinateurs clients. Consultez la section “Production d’un rapport de versions de logiciels” à la page 76 pour apprendre comment exécuter le rapport. Avertissement : la distribution de logiciels protégés par droits d’auteur sans disposer du contrat de licence approprié constitue une infraction à la loi sur les droits d’auteur.70 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 2 Supprimez la version périmée du logiciel. Si le logiciel a été initialement installé à l’aide d’un paquet ou d’un métapaquet, il devrait être supprimé automatiquement lorsque vous installez la nouvelle version. Si le logiciel a été initialement installé à l’aide de la commande Copier les éléments, vous pouvez supprimer la version périmée ou simplement remplacer l’ancienne version par la nouvelle lorsque vous installez cette dernière. Si le logiciel a été initialement installé à l’aide de l’application d’installation d’une autre compagnie, il faudra peut-être utiliser un programme de désinstallation avant d’installer la nouvelle version. Consultez le manuel du logiciel pour obtenir des instructions sur la suppression du logiciel. Si une application de désinstallation est nécessaire, vous pouvez la copier sur chacun des ordinateurs clients ARD et l’exécuter à distance. 3 Utilisez la méthode d’installation appropriée pour installer la nouvelle version du logiciel mis à jour. Pour plus d’informations, voir : • “Installation à l’aide de paquets (pkg) et de métapaquets (mpkg)” à la page 65 • “Installation à l’aide de la commande Copier les éléments” à la page 66 • “Utilisation de programmes d’installation provenant d’autres compagnies” à la page 67 Copie de fichiers Apple Remote Desktop simplifie la mise à jour d’éléments (autres que le logiciel système) sur un ou plusieurs ordinateurs clients.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 71 La copie de fichiers est plus rapide si le nombre de fichiers à copier est réduit. Ainsi, la copie de 10 fichiers de 10 Ko prendra plus de temps que la copie d’un seul fichier de 100 Ko. Pour accélérer la copie, essayez de copier un fichier d’archive unique (fichier .zip ou .sit) sur les ordinateurs distants. Rappelez-vous que les applications Mac OS X sont constituées de nombreux petits fichiers. Bien que l’application à copier se présente sous la forme d’un fichier unique dans le Finder, elle peut contenir des dizaines, voire des centaines de petits fichiers. Les fichiers copiés ne sont pas cryptés. Si vous devez transférer des données confidentielles sur un réseau non protégé (tel qu’Internet), il est recommandé d’utiliser un réseau VPN (Virtual Private Network) pour crypter le trafic réseau. Une autre solution consiste à crypter l’archive avant de la copier. L’archive cryptée elle-même peut être interceptée, mais son contenu ne peut pas être lu. Si un ordinateur client se trouve en mode de suspension d’activité alors que vous essayez de copier des éléments, ARD tentera de réactiver le client. S’il n’y parvient pas et que la copie s’avère impossible, utilisez ARD pour réactiver l’ordinateur cible, puis essayez à nouveau d’effectuer la copie. Copie depuis l’administrateur vers le client Apple Remote Desktop vous permet de copier simultanément des éléments vers n’importe quel nombre d’ordinateurs clients. Pour copier des éléments vers des clients : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Copier les éléments. 4 Ajoutez le logiciel à la liste des éléments à copier. Cliquez sur le bouton Ajouter pour explorer les disques durs locaux afin de trouver les éléments à copier ou faites glisser les logiciels dans la fenêtre. Pour supprimer un élément de la liste d’éléments à copier, sélectionnez l’élément, puis cliquez sur Supprimer. Répétez cette étape jusqu’à ce que tous les logiciels à copier soient ajoutés à la liste. 5 Sélectionnez une destination pour la copie. Plusieurs destinations prédéfinies, dont le dossier Applications, sont disponibles dans le menu local de destination. Si la destination voulue ne figure pas dans le menu, vous pouvez saisir un chemin d’accès vers cette destination. 6 Pour que les éléments copiés s’ouvrent une fois qu’ils ont été copiés, cochez la case Ouvrir les éléments, à côté de Après avoir copié. Si vous sélectionnez cette option, les fichiers seront ouverts par l’application parente qui les a créés.72 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 7 Choisissez l’action à entreprendre si un élément existe déjà. 8 Pour confirmer les ordinateurs que vous avez sélectionnés, cliquez sur Afficher les ordinateurs cible. Un tiroir s’ouvre alors pour présenter la liste des ordinateurs qui recevront cette commande. 9 Pour programmer cet événement afin qu’il se produise à un autre moment ou qu’il soit répété, cliquez sur le bouton Horaire. Consultez la section “Tâches programmées” à la page 97 pour obtenir plus d’informations sur la programmation d’événements. 10 Cliquez sur Copier. Le logiciel est copié dans l’emplacement indiqué. En cas d’échec de la copie, un message d’erreur apparaît dans la fenêtre des rapports de tâches. Copie par glisser-déposer Apple Remote Desktop vous permet de copier des éléments en les faisant glisser des fenêtres du Finder de votre ordinateur administrateur vers la fenêtre Remote Desktop et les fenêtres de rapport. Vous pouvez, par exemple, faire glisser un élément depuis une fenêtre du Finder vers un ordinateur sélectionné dans la fenêtre Remote Desktop. Une autre méthode consiste à faire glisser l’élément depuis une fenêtre de rapport de logiciel vers un autre ordinateur figurant dans la liste d’ordinateurs ARD. Cette fonction vous permet de rassembler les fichiers nécessaires depuis des ordinateurs distants ou de distribuer des fichiers parmi des ordinateurs distants. Pour copier des éléments à partir du Finder vers un client : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Accédez au Finder. 4 Repérez l’élément à copier dans le Finder. 5 Faites glisser l’élément à copier du Finder vers les clients sélectionnés dans la fenêtre Remote Desktop. 6 Pour que les éléments copiés s’ouvrent une fois qu’ils ont été copiés, cochez la case Ouvrir les éléments, à côté de Après avoir copié. Si vous sélectionnez cette option, les fichiers seront ouverts par l’application parente qui les a créés. 7 Choisissez l’action à entreprendre si un élément existe déjà. 8 Cliquez sur Copier.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 73 Restauration d’éléments à partir d’une copie de référence Vos ordinateurs clients peuvent restaurer des logiciels non système à partir d’une copie de référence. Cette fonction s’avère utile si vous voulez vous assurer que chaque ordinateur client dispose des mêmes logiciels. Il est possible d’automatiser le processus de restauration de logiciels à l’aide des instructions présentées à la section “Automatisation des fonctions” à la page 95. Il est recommandé de créer d’abord une image disque contenant les applications et les éléments Mac OS X à copier. Vous pouvez également copier des fichiers de n’importe quel disque local, tel qu’un disque dur, un CD, une partition de disque ou tout autre disque. La commande Copier les éléments ne copie pas les logiciels système cachés (invisibles dans le Finder). Elle peut copier le dossier Applications, le dossier Bibliothèque et le dossier Utilisateurs, ainsi que tout dossier situé à la racine du disque dur et créé par l’utilisateur administrateur de l’ordinateur. Pour restaurer des fichiers à l’aide de la commande Copier les éléments : 1 Créez une copie de référence du volume contenant les fichiers à restaurer. Vous pouvez utiliser n’importe quel volume, que ce soit un disque dur de réserve, un CD ou un fichier d’image disque monté (.dmg). 2 Montez le volume de la copie de référence sur l’ordinateur administrateur. Les volumes des copies de référence doivent être des volumes locaux et ne peuvent pas être montés via un réseau. 3 Ouvrez Remote Desktop. 4 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 5 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 6 Choisissez Gestion > Copier les éléments. 7 Pour confirmer les ordinateurs que vous avez sélectionnés, cliquez sur Afficher les ordinateurs cible. Un tiroir s’ouvre alors pour présenter la liste des ordinateurs qui recevront cette commande. 8 Ajoutez le volume de la copie de référence à la liste des éléments à copier. Important : vous ne pouvez pas utiliser la fonction Copier les éléments pour copier le logiciel système Mac OS X sur des ordinateurs clients.74 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 9 Pour programmer cet événement afin qu’il se produise à un autre moment ou qu’il soit répété, cliquez sur le bouton Horaire. Consultez la section “Tâches programmées” à la page 97 pour obtenir plus d’informations sur la programmation d’événements. 10 Cliquez sur Copier. 11 Si un message vous demande s’il faut remplacer certains éléments, cliquez sur Remplacer. Création de rapports Apple Remote Desktop vous permet d’interroger les ordinateurs clients afin d’obtenir de nombreux types d’informations allant des logiciels installés à la vitesse et à la stabilité du réseau. La création de rapports vous fournit de précieuses informations sur les ordinateurs clients. Les rapports servent également de raccourcis utiles pour la copie de fichiers et l’organisation des listes d’ordinateurs. Description des données de rapport enregistrées et nouvelles ARD utilise deux sources de données sur les ordinateurs clients lors de la recherche d’informations de rapport : les données enregistrées et les nouvelles données. Dans le cadre d’une recherche de nouvelles données, l’application Remote Desktop interroge directement un client et attend que ce dernier réponde en lui envoyant les informations requises. Une recherche de nouvelles données permet d’obtenir les informations les plus récentes, mais requiert plus de temps car l’ordinateur client doit collecter toutes les données avant de les envoyer, via le réseau, à l’ordinateur administrateur.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 75 Dans le cadre d’une recherche de données enregistrées, l’application interroge la base de données interne d’ARD contenant les informations système (telles que les informations concernant le matériel et les réglages système), les informations sur les fichiers (comprenant notamment les applications installées et leur version ainsi que les noms des logiciels) ou les deux. Vous déterminez la fréquence de collecte des données et le type de données stockées. Voir “Définition de la méthode de conception de rapport sur les données” à la page 95. La base de données est une base de données PostgreSQL située dans /var/db/ RemoteManagement/RMDB/ et accessible à l’aide d’autres outils, en plus d’ARD. Pour en savoir plus sur la base de données, consultez la section “Schéma modèle PostgreSQL” à la page 124. Vous pouvez décider si la base de données doit se trouver sur l’ordinateur administrateur ou sur un serveur séparé. Les rapports effectués à partir de recherches de données enregistrées sont rapides et favorisent la vitesse au détriment de la pertinence. Les recherches de données enregistrées sont activées par défaut. Vous pouvez toutefois, pour n’importe quel rapport, spécifier le type de recherche à effectuer (nouvelles données ou données enregistrées). Pour une souplesse d’utilisation accrue, vous pouvez régler vos rapports afin qu’ils ne se basent sur les données enregistrées que si ces dernières sont aussi récentes que vous le souhaitez. Recherche de fichiers, de dossiers et d’applications Apple Remote Desktop vous permet de rechercher des fichiers, dossiers ou applications spécifiques dans les disques durs des ordinateurs clients. Il permet également de comparer les résultats de ces recherches avec les éléments qui se trouvent sur l’ordinateur administrateur. Ces recherches peuvent comparer les versions de logiciel, les polices, les applications ou les paquets installés. Production d’un rapport de recherche de fichiers Le rapport de recherche de fichiers vous permet de rechercher jusqu’à 32 000 éléments sur des ordinateurs sélectionnés. Ces éléments peuvent consister en fichiers, dossiers ou applications et sont limités aux éléments accessibles (ou visibles) dans le Finder. Les paramètres de recherche incluent : • nom ; • chemin d’accès parent ; • le chemin d’accès complet ; • l’extension ; • taille ; • type ; • date de création ; • la date de modification ; • le numéro de version ; • la description de version ;76 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs • possesseur ; • groupe ; • l’état du verrouillage. Les paramètres de recherche utilisés par Apple Remote Desktop diffèrent légèrement de ceux utilisés par la commande Rechercher du Finder. Ainsi, ARD n’effectue pas de recherche basée sur la visibilité ou la famille. Il est également possible de personnaliser la présentation du rapport. Pour plus d’informations, consultez la section “Modification des présentations de rapport” à la page 84. Pour rechercher des éléments logiciels : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Rapport > Recherche de fichier. 4 Choisissez les paramètres de recherche voulus dans le menu local, puis saisissez l’expression à rechercher. 5 Si vous souhaitez personnaliser la présentation du rapport, faites-le maintenant. Pour plus d’informations sur la présentation des rapports, consultez la section “Modification des présentations de rapport” à la page 84”. 6 Pour effectuer une recherche basée sur de nouvelles données, sélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport” ; pour une recherche basée uniquement sur les données enregistrées, désélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport”. Pour effectuer une recherche en n’utilisant de nouvelles données que si les données enregistrées sont trop anciennes, sélectionnez “Si les données actuelles ont plus de”, puis tapez la valeur de temps souhaitée. 7 Cliquez sur Rechercher. La nouvelle fenêtre de rapport apparaît. Comparaison de logiciels Apple Remote Desktop dispose de plusieurs rapports spécialisés destinés à comparer les logiciels installés sur les ordinateurs clients avec ceux qui se trouvent sur l’ordinateur administrateur. Ces rapports doivent être exécutés à partir d’un ordinateur disposant des polices souhaitées ou de la version de logiciel correcte. Production d’un rapport de versions de logiciels Le rapport de versions de logiciels compare les versions des applications installées sur les ordinateurs clients avec les versions des applications installées sur l’ordinateur administrateur. Vous pouvez sélectionner jusqu’à 10 applications afin de les comparer. Les outils de ligne de commande et les applications Java (.jar) ne signalent pas leur version.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 77 Pour produire un rapport de versions de logiciels : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Rapport > Rapport de versions de logiciels. 4 Sélectionnez dans la liste des applications les logiciels que vous souhaitez comparer. Vous pouvez sélectionner jusqu’à 10 applications. Si l’application souhaitée ne figure pas dans la liste, cliquez sur le bouton Ajouter (+) pour rechercher l’application. 5 Pour effectuer une recherche basée sur de nouvelles données, sélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport” ; pour une recherche basée uniquement sur les données enregistrées, désélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport”. Pour effectuer une recherche en n’utilisant de nouvelles données que si les données enregistrées sont trop anciennes, sélectionnez “Si les données actuelles ont plus de”, puis tapez la valeur de temps souhaitée. 6 Cliquez sur Produire un rapport. La nouvelle fenêtre de rapport apparaît. Production d’un rapport des différences logicielles Le rapport des différences logicielles compare les applications, les polices et les paquets installés les ordinateurs clients sélectionnés avec ceux qui se trouvent sur l’ordinateur administrateur. Le rapport produit répertorie les éléments comparés, leur version, leur emplacement et indique s’ils ont été trouvés sur les ordinateurs clients sélectionnés. Le rapport des différences logicielles peut comparer toutes les applications exécutables Mac OS X et Classic. Les applications Java (.jar) et les utilitaires de ligne de commande ne figurent pas dans le rapport. Le rapport peut comparer toutes les polices des répertoires /Système/Bibliothèque/Fonts et /Bibliothèques/Fonts, ainsi que le répertoire des polices de tout utilisateur dont la session est ouverte. La comparaison des paquets installés permet d’obtenir une liste de toutes les réceptions de paquets figurant dans le répertoire /Bibliothèque/Receipts. Vous pouvez utiliser ce rapport pour savoir si vos clients disposent de toutes les applications ou polices nécessaires. La comparaison des différences de paquets installés peut vous aider à résoudre les conflits logiciels ou à maintenir vos clients à jour. Pour produire un rapport des différences logicielles : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Rapport > Rapport des différences logicielles. 4 Sélectionnez le type de logiciels à comparer.78 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs Sélectionner Applications permet de comparer toutes les applications exécutables. Sélectionner Polices permet de comparer toutes les polices situées dans les répertoires /Bibliothèque/Fonts, /Système/Bibliothèque/Fonts et les répertoires de polices d’utilisateur. Sélectionner Paquets installés permet de comparer toutes les réceptions de paquets figurant dans le répertoire /Bibliothèque/Receipts. 5 Pour effectuer une recherche basée sur de nouvelles données, sélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport” ; pour une recherche basée uniquement sur les données enregistrées, désélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport”. Pour effectuer une recherche en n’utilisant de nouvelles données que si les données enregistrées sont trop anciennes, sélectionnez “Si les données actuelles ont plus de”, puis tapez la valeur de temps souhaitée. 6 Cliquez sur Produire un rapport. La nouvelle fenêtre de rapport apparaît. Contrôle du matériel Vous pouvez obtenir un rapport sur le matériel de n’importe quel ordinateur client. Différents types de rapports permettent d’accéder aux informations matérielles. Bien qu’il soit possible de trouver des informations matérielles de base dans le rapport sur la vue d’ensemble du système, il existe plusieurs rapports matériels plus ciblés qui fournissent des informations plus détaillées. Stockage Le rapport de stockage collecte des informations sur les disques durs internes de l’ordinateur client. Il peut obtenir des informations sur le matériel lui-même, sur les volumes présents sur le disque, sur le système de fichiers, ainsi que des informations de journalisation relatives au disque. Pour obtenir une liste complète des options du rapport de stockage, consultez la section “Rapport, champ, définitions, références” à la page 117. Les options de stockage du rapport sur la vue d’ensemble du système permettent également d’obtenir des informations générales sur les volumes et la taille du disque dur. Pour produire un rapport de stockage : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Rapport > Stockage. 4 Sélectionnez les informations de disque dur souhaitées.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 79 5 Pour effectuer une recherche basée sur de nouvelles données, sélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport” ; pour une recherche basée uniquement sur les données enregistrées, désélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport”. Pour effectuer une recherche en n’utilisant de nouvelles données que si les données enregistrées sont trop anciennes, sélectionnez “Si les données actuelles ont plus de”, puis tapez la valeur de temps souhaitée. 6 Cliquez sur Produire un rapport. La nouvelle fenêtre de rapport apparaît. Périphériques FireWire Le rapport sur les périphériques FireWire présente des informations relatives aux périphériques FireWire connectés à l’ordinateur client. Les informations collectées sur un périphérique sont les suivantes : • fabricant ; • modèle ; • vitesse du périphérique ; • version du logiciel ; • la version du programme interne. Pour en savoir plus sur les options du rapport sur les périphériques FireWire, consultez la section “Rapport, champ, définitions, références” à la page 117. Le nombre de périphériques FireWire connectés est également indiqué dans le rapport sur la vue d’ensemble du système, dans les options Périphériques. Pour produire un rapport sur les périphériques FireWire : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Rapport > Périphériques FireWire. 4 Sélectionnez les informations FireWire souhaitées. 5 Pour effectuer une recherche basée sur de nouvelles données, sélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport” ; pour une recherche basée uniquement sur les données enregistrées, désélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport”. Pour effectuer une recherche en n’utilisant de nouvelles données que si les données enregistrées sont trop anciennes, sélectionnez “Si les données actuelles ont plus de”, puis tapez la valeur de temps souhaitée. 6 Cliquez sur Rapport. La nouvelle fenêtre de rapport apparaît.80 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs Périphériques USB Le rapport sur les périphériques USB présente des informations relatives aux périphériques USB (Universal Serial Bus) connectés à l’ordinateur client. Les informations collectées sur un périphérique sont les suivantes : • le nom et l’identité (ID) du produit ; • le nom et l’identité (ID) du fournisseur ; • vitesse du périphérique ; • l’alimentation du bus (ampères). Pour en savoir plus sur les options du rapport sur les périphériques USB, consultez la section “Rapport, champ, définitions, références” à la page 117. Des informations générales sur les périphériques USB connectés sont également disponibles dans le rapport sur la vue d’ensemble du système, dans les options Périphériques. Pour produire un rapport sur les périphériques USB : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Rapport > Périphériques USB. 4 Sélectionnez les informations de périphérique USB souhaitées. Pour en savoir plus sur les options du rapport sur les périphériques USB, consultez la section “Rapport, champ, définitions, références” à la page 117. 5 Pour effectuer une recherche basée sur de nouvelles données, sélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport” ; pour une recherche basée uniquement sur les données enregistrées, désélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport”. Pour effectuer une recherche en n’utilisant de nouvelles données que si les données enregistrées sont trop anciennes, sélectionnez “Si les données actuelles ont plus de”, puis tapez la valeur de temps souhaitée. 6 Cliquez sur Rapport. La nouvelle fenêtre de rapport apparaît. Interfaces de réseau Le rapport sur les interfaces de réseau permet d’obtenir des informations concernant l’ensemble des interfaces de réseau, y compris les interfaces inactives. Il collecte également des statistiques détaillées sur le réseau, la sortie et Ethernet à partir des ordinateurs clients. Le rapport sur les interfaces de réseau peut être utilisé pour rechercher des erreurs sur le réseau ou détecter le matériel réseau défaillant, résoudre les problèmes de performances réseau et examiner les réglages réseau sur les ordinateurs clients.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 81 Toutes les statistiques détaillées sont actualisées au redémarrage du client et les informations relatives aux adresses sont susceptibles de changer si votre client obtient son adresse réseau via DHCP. Pour obtenir une liste complète des options du rapport sur les interfaces de réseau, consultez la section “Rapport, champ, définitions, références” à la page 117. Des informations de base concernant les réglages de réseau sont également disponibles dans le rapport sur la vue d’ensemble du système, dans les options Réseau et AirPort. Pour produire un rapport sur les interfaces de réseau : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Rapport > Interfaces de réseau. 4 Sélectionnez les informations d’interface souhaitées. 5 Pour effectuer une recherche basée sur de nouvelles données, sélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport” ; pour une recherche basée uniquement sur les données enregistrées, désélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport”. Pour effectuer une recherche en n’utilisant de nouvelles données que si les données enregistrées sont trop anciennes, sélectionnez “Si les données actuelles ont plus de”, puis tapez la valeur de temps souhaitée. 6 Cliquez sur Produire un rapport. La nouvelle fenêtre de rapport apparaît. Mémoire Le rapport sur la mémoire fournit des informations relatives à la mémoire installée (RAM) sur les ordinateurs clients. Outre la quantité de mémoire installée sur chaque client, il présente également des informations sur chaque module de mémoire, notamment : • l’emplacement du logement ; • la taille, le type et la vitesse. Les rapports sur la mémoire peuvent être utilisés pour gérer les ressources informatiques, résoudre les problèmes matériels ou décider quels sont les ordinateurs clients capables de gérer des applications ou des tâches exigeantes en mémoire. Pour en savoir plus sur les options du rapport sur la mémoire, consultez la section “Rapport, champ, définitions, références” à la page 117. Des informations de base sur la mémoire du système sont également disponibles dans le rapport sur la vue d’ensemble du système, dans les options Ordinateur.82 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs Pour produire un rapport sur la mémoire : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Rapport > Mémoire. 4 Sélectionnez les informations de module souhaitées. 5 Pour effectuer une recherche basée sur de nouvelles données, sélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport” ; pour une recherche basée uniquement sur les données enregistrées, désélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport”. Pour effectuer une recherche en n’utilisant de nouvelles données que si les données enregistrées sont trop anciennes, sélectionnez “Si les données actuelles ont plus de”, puis tapez la valeur de temps souhaitée. 6 Cliquez sur Rapport. La nouvelle fenêtre de rapport apparaît. Cartes PCI Le rapport sur les cartes PCI présente des informations spécifiques relatives aux cartes PCI installées sur les ordinateurs clients. Il fournit des informations sur chaque carte PCI, notamment : • le nom du logement ; • le nom, le type, la mémoire, la vitesse et la version (révision) de la carte ; • l’identité (ID) du fournisseur et du périphérique ; • la version (révision) de la ROM. Pour plus d’informations sur les options du rapport sur les cartes PCI, consultez la section “Rapport, champ, définitions, références” à la page 117. Des informations de base sur les cartes PCI des clients sont également disponibles dans le rapport sur la vue d’ensemble du système, dans les options Ordinateur. Pour produire un rapport sur les cartes PCI : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Rapport > Cartes PCI. 4 Sélectionnez les informations de carte PCI souhaitées.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 83 5 Pour effectuer une recherche basée sur de nouvelles données, sélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport” ; pour une recherche basée uniquement sur les données enregistrées, désélectionnez “Collecter de nouvelles données pour un rapport”. Pour effectuer une recherche en n’utilisant de nouvelles données que si les données enregistrées sont trop anciennes, sélectionnez “Si les données actuelles ont plus de”, puis tapez la valeur de temps souhaitée. 6 Cliquez sur Produire un rapport. La nouvelle fenêtre de rapport apparaît. Test de la réactivité du réseau Apple Remote Desktop peut tester la réactivité du réseau entre votre ordinateur administrateur et les ordinateurs clients. Il envoie des paquets réseau aux clients et indique le temps nécessaire pour recevoir la confirmation provenant des clients. Vous pouvez choisir le nombre de paquets réseau à envoyer, la fréquence des envois et la durée pendant laquelle l’ordinateur administrateur attend une réponse avant de considérer qu’un paquet est perdu. Pour produire un rapport du test de réseau : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Rapport > Test de réseau. 4 Sélectionnez les options souhaitées. Choisissez le nombre de paquets envoyés dans le menu local Paquets. Choisissez la fréquence d’envoi des paquets dans le menu local Intervalle. Choisissez le délai d’attente avant de considérer qu’un paquet est perdu dans le menu local Temporisation. 5 Cliquez sur Rapport. La nouvelle fenêtre de rapport apparaît. Évaluation du rapport du test de réseau Le rapport du test de réseau permet de déterminer si les échecs relatifs aux tâches d’Apple Remote Desktop sont dus à des problèmes d’encombrement du réseau ou à d’autres facteurs. Vous pouvez, par exemple, découvrir qu’une tâche Copier les éléments a échoué sur un sous-réseau particulier en raison d’un encombrement du réseau sur ce sous-réseau. Voici quelques suggestions qui vous permettront d’évaluer les performances de votre réseau à partir de ce rapport :84 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs • Le nombre de routeurs entre votre ordinateur et un autre ordinateur peut affecter le délai nécessaire pour renvoyer les paquets. Lorsque vous évaluez les délais d’un ordinateur, il est nécessaire de les comparer aux délais d’un ordinateur qui se trouve dans la même zone du réseau ou qui possède le même nombre de routeurs intermédiaires. • Si le délai maximum nécessaire pour qu’un paquet soit renvoyé par un ordinateur est sensiblement supérieur aux délais des autres ordinateurs situés dans la même zone du réseau, il existe probablement un problème sur l’ordinateur concerné. • Si un ordinateur particulier présente un très grand nombre de paquets perdus, il se peut qu’un problème affecte la connexion au réseau de cet ordinateur. • Si plusieurs ordinateurs de la même zone du réseau présentent de nombreuses pertes de paquets, il peut s’agir d’un problème de connexion au réseau ou d’un problème dû à un routeur ou un pont. Modification des présentations de rapport Vous pouvez personnaliser les présentations de rapport en fonction de vos besoins spécifiques. Les rapports incluent par défaut une colonne pour chaque type d’information que vous avez sélectionné avant d’exécuter le rapport, dans l’ordre défini dans la zone de dialogue du rapport. Les colonnes des rapports sont triées initialement en fonction du nom d’ordinateur. Vous pouvez redimensionner ou réarranger les colonnes d’un rapport ou bien trier les rangées par colonne. Le rapport de recherche de fichiers vous permet en outre de choisir les informations affichées relatives aux éléments trouvés. Le rapport indique par défaut le nom, le type, le chemin d’accès parent, la taille réelle et la date de modification des éléments.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 85 Pour modifier les informations à afficher : 1 Dans la fenêtre du rapport de recherche de fichiers, sélectionnez ou désélectionnez chaque colonne du rapport en fonction de vos besoins. 2 Après avoir effectué vos sélections, cliquez comme d’habitude sur Produire un rapport. Une fois la fenêtre du rapport affichée, vous pouvez réarranger les colonnes ou trier le rapport en fonction d’une autre colonne. Exportation des informations de rapport Vous pouvez exporter les rapports sous la forme de fichiers délimités par des virgules ou des tabulations. Toutes les colonnes d’informations figurant dans la fenêtre du rapport seront incluses et les rangées du rapport seront exportées selon l’ordre de tri en vigueur au moment de l’exportation. Les rapports exportés peuvent être soit utilisés dans des bases de données, des feuilles de calcul ou des applications de traitement de texte afin de procéder à des analyses supplémentaires, soit envoyés à d’autres administrateurs. Vous pouvez même utiliser certains rapports comme fichiers d’entrée pour les scanneurs de réseau destinés à Remote Desktop. Colonne de rapport Si cochée, affiche... Nom Le nom de l’élément Chemin d’accès parent Le chemin d’accès au dossier contenant les éléments Le chemin d’accès complet Le chemin complet d’accès au fichier L’extension L’extension de fichier indiquant le type de fichier (.app, .zip, .jpg) La date de modification La date et l’heure à laquelle le fichier a été modifié et enregistré pour la dernière fois Date de création La date et l’heure de création du fichier Taille réelle La taille réelle du fichier en Ko ou Mo Taille sur le disque La quantité d’espace disque occupé par le fichier, exprimée en Ko Type Fichier, dossier ou application Invisible Une coche indiquant si l’élément est visible dans le Finder Le numéro de version Dans le cas d’une application, le numéro de version signalé La description de version Dans le cas d’une application, le numéro de version signalé Possesseur Le nom abrégé du possesseur de l’élément Groupe Le nom du groupe de l’élément Autorisations Les autorisations UNIX de l’élément (par exemple, -rw-r--r--) Verrouillé Une coche indiquant s’il s’agit d’un élément verrouillé86 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs Pour exporter un rapport : 1 Produisez un rapport quelconque, puis placez la fenêtre du rapport au premier plan. 2 Si vous le souhaitez, triez les rangées du rapport en sélectionnant une nouvelle colonne comme critère de tri. 3 Si vous ne souhaitez pas exporter l’intégralité du rapport, sélectionnez les rangées à exporter. 4 Choisissez Fichier > Exporter la fenêtre. 5 Nommez le fichier et choisissez un emplacement pour l’enregistrer. 6 Sélectionnez un type d’encodage de texte. • Occidental (Mac OS Roman) : il s’agit de l’option la mieux adaptée si les informations du rapport utilisent l’alphabet romain et que le document exporté est destiné à être ouvert par une application ou sous un système d’exploitation qui ne gère pas le format de texte Unicode, comme certaines versions de Mac OS 9 par exemple. • Unicode (UTF-8) : cette option s’avère idéale si le fichier exporté est destiné à être ouvert sous Mac OS X et ne contient aucun caractère de langue asiatique telle que le chinois ou le japonais. • Unicode (UTF-16) : cette option convient aux rapports qui contiennent des caractères de langue asiatique. 7 Sélectionnez un séparateur de champs. • Onglet : insère un caractère d’onglet entre les valeurs des différentes colonnes. • Virgule : insère une virgule entre les valeurs des différentes colonnes. 8 Si vous n’avez sélectionné que certaines rangées du rapport et que vous ne souhaitez exporter que les rangées sélectionnées, choisissez Exporter seulement les éléments sélectionnés. 9 Cliquez sur Enregistrer. Utilisation des fenêtres de rapport pour manipuler les ordinateurs Vous pouvez utiliser un rapport que vous avez créé pour sélectionner des ordinateurs afin d’effectuer les tâches suivantes : • Ajouter des ordinateurs à la liste d’ordinateurs ARD. Glissez n’importe quelle rangée d’une fenêtre de rapport dans la liste d’ordinateurs de la fenêtre Remote Desktop principale. Cela permet d’ajouter l’ordinateur qui se trouve dans cette rangée à la liste d’ordinateurs. • Créer de nouvelles listes d’ordinateurs. Sélectionnez des ordinateurs dans la fenêtre de rapport et cliquez sur le bouton Nouvelle liste.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 87 • Produire d’autres rapports. Sélectionnez un nombre quelconque de rangées dans une fenêtre de rapport, puis choisissez un autre rapport dans le menu Rapport. Le nouveau rapport sera produit sur les ordinateurs des rangées sélectionnées. • Lancer n’importe quelle tâche de gestion. Sélectionnez n’importe quelle rangée dans une fenêtre de rapport, puis choisissez une tâche de gestion dans le menu Gestion. Cette opération produit le même résultat que la sélection d’ordinateurs dans une liste d’ordinateurs ARD. Vous pouvez également copier des éléments vers les ordinateurs sélectionnés dans la fenêtre de rapport en faisant glisser ces éléments depuis le Finder vers le ou les ordinateurs sélectionnés. Pour plus d’informations, consultez la section “Installation à l’aide de la commande Copier les éléments” à la page 66. • Communiquer avec les utilisateurs. Sélectionnez n’importe quelle rangée dans une fenêtre de rapport, puis choisissez une tâche dans le menu Communication. Cette opération produit le même résultat que la sélection d’ordinateurs dans une liste d’ordinateurs. • Supprimer un élément d’un ordinateur. Sélectionnez un élément dans n’importe quelle fenêtre de rapport logiciel, puis cliquez sur le bouton Supprimer. Entretien des systèmes Apple Remote Desktop fournit des outils puissants et faciles à utiliser pour effectuer la maintenance des ordinateurs clients, notamment en supprimant des fichiers, en vidant la Corbeille et en définissant des options de démarrage d’ordinateur. Suppression des éléments Tout fichier que vous supprimez sur un ordinateur client est placé dans la corbeille du client. Pour supprimer un élément sur un client : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Rapport > Recherche de fichier. 4 Recherchez, à l’aide du rapport de recherche de fichiers, les logiciels que vous souhaitez supprimer. Pour plus d’informations, consultez la section “Recherche de fichiers, de dossiers et d’applications” à la page 75.88 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 5 Sélectionnez le ou les éléments à supprimer dans la fenêtre du rapport de recherche de fichiers. 6 Cliquez sur Supprimer dans la fenêtre du rapport. Vous pouvez également glisser les éléments dans la corbeille qui se trouve sur votre bureau. 7 Cliquez sur OK. Suppression du contenu de la Corbeille Apple Remote Desktop vous permet de vider la corbeille des clients afin de libérer de l’espace disque. Pour connaître la quantité d’espace disque disponible sur un ordinateur, créez un rapport sur la vue d’ensemble du système ou un rapport de stockage à l’aide du menu Rapport. Si le rapport créé signale la présence de fichiers qui ne devraient pas se trouver sur l’ordinateur, vous pouvez les supprimer directement à partir de la fenêtre de rapport. Voir “Suppression des éléments” à la page 87. Dans le cadre de l’entretien de routine des ordinateurs, vous pouvez libérer de l’espace disque en vidant la corbeille. Vider la corbeille permet de supprimer définitivement de l’ordinateur tout élément qui avait été auparavant supprimé sur le client. Le rapport sur la vue d’ensemble du système vous permet de connaître la quantité d’espace disque récupérable en vidant la corbeille. Pour vider la corbeille : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Vider la Corbeille. 4 Cliquez sur Vider. Configuration du disque de démarrage Apple Remote Desktop peut configurer le disque de démarrage de n’importe quel ordinateur client. Vous pouvez choisir entre un volume situé sur un disque dur local et tout volume NetBoot disponible. Un système valide doit être installé sur le disque de démarrage. Pour configurer le disque de démarrage de plusieurs ordinateurs à la fois, il faut que le nom du volume local soit identique pour tous les ordinateurs. Vous pouvez également choisir un volume NetBoot fourni par Mac OS X Server comme disque de démarrage. Cela permet de faire démarrer plusieurs clients à partir d’un serveur NetBoot, ce qui autorise des installations en réseau automatisées. Pour obtenir quelques idées sur la manière d’utiliser cette commande avec NetBoot et l’Installation en réseau, consultez la section “Utilisation d’ARD avec les fonctions NetBoot et Installation en réseau de Mac OS X Server” à la page 68.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 89 Pour configurer le disque de démarrage : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Configurer le disque de démarrage. La liste affichée contient le disque dur local du client, un élément de serveur NetBoot personnalisé et une liste de tous les serveurs NetBoot et Installation en réseau disponibles sur le sous-réseau local. 4 Choisissez le disque dur local du client ou un volume de serveur NetBoot. 5 Si vous voulez choisir un volume de serveur NetBoot personnalisé, tapez l’adresse IP ou le nom de domaine complet du serveur, puis le nom du volume NetBoot. 6 Si vous le souhaitez, sélectionnez Redémarrer une fois terminé. S’il est sélectionné, l’ordinateur client redémarrera après que son volume de démarrage a été configuré. Pour utiliser cette option, vous devez disposer d’autorisation de redémarrage. 7 Cliquez sur Configurer. Modification du nom des ordinateurs Apple Remote Desktop peut définir le nom utilisé par un ordinateur client pour le partage de fichiers. Vous pouvez renommer plusieurs ordinateurs à l’aide du même nom suivi d’un chiffre (par exemple : Ordinateur1, Ordinateur2, etc.). Cette façon de procéder est utile pour différencier les ordinateurs clients après une installation spéciale du système. Remarque : la fonction Renommer l’ordinateur ne modifie pas le nom Bonjour ou le nom DNS d’un ordinateur client. Pour renommer un ordinateur : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Renommer l’ordinateur. 4 Tapez le nouveau nom d’ordinateur. 5 Si vous le souhaitez, sélectionnez Ajouter un numéro unique à chaque ordinateur. Cette option permet d’ajouter un numéro unique à la fin du nom de fichier. Si vous renommez trois ordinateurs en leur attribuant par exemple le nom “Ordinateur”, ils porteront les noms “Ordinateur1,” “Ordinateur2” et “Ordinateur3”. 6 Cliquez sur Renommer.90 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs Gestion des ordinateurs Apple Remote Desktop vous permet de contrôler plusieurs ordinateurs clients simultanément en leur envoyant des commandes du menu Pomme de Mac OS X ainsi que d’autres commandes. Ouverture de fichiers et de dossiers Apple Remote Desktop peut ouvrir des éléments existants (que ce soient des fichiers, des dossiers ou des applications) sur des ordinateurs clients. L’élément à ouvrir sur les ordinateurs clients doit se trouver également sur l’ordinateur administrateur et doit posséder les mêmes nom, type, taille, autorisations et date de création que l’élément qui se trouve sur l’ordinateur administrateur. La commande Ouvrir les éléments ouvre les fichiers soit à l’aide de l’application utilisée pour les créer, si cette application est présente sur l’ordinateur client, soit à l’aide de l’application désignée pour ouvrir les fichiers portant l’extension du fichier concerné. Les dossiers s’ouvrent dans le Finder. Les applications sont ouvertes ou amenées au premier plan si elles étaient déjà ouvertes. Pour ouvrir un élément : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Ouvrir les éléments. 4 Cliquez sur le signe Plus (+) et naviguez jusqu'à l'élément sur l'ordinateur administrateur. Vous pouvez également faire glisser l’élément depuis le Finder de l’ordinateur administrateur jusque dans la zone de dialogue Ouvrir les éléments. 5 Cliquez sur OK une fois que l’élément a été sélectionné. La zone de dialogue Ouvrir les éléments affiche l’icône et le nom de l’élément à ouvrir. 6 Cliquez sur Ouvrir. Ouverture d’applications Apple Remote Desktop peut ouvrir des applications sur les ordinateurs clients. L’application à ouvrir sur les ordinateurs clients doit également être présente sur l’ordinateur administrateur. Si l’application est déjà ouverte, la commande Ouvrir l’application l’amène au premier plan. Cette commande permet d’ouvrir des applicationsMac OS X et Classic. L’application qui se trouve sur l’ordinateur administrateur doit posséder les mêmes nom, type et autorisations que l’application à ouvrir sur les ordinateurs clients.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 91 Pour ouvrir une application : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Ouvrir l’application. La zone de dialogue Ouvrir l’application affiche les applications installées et trouvées dans le dossier Applications du premier niveau du disque dur ainsi que dans le dossier Applications de l’administrateur (~/Applications). 4 Sélectionnez l’application ou cliquez sur Parcourir pour retrouver l’application souhaitée sur l’ordinateur administrateur. Vous pouvez également faire glisser l’élément depuis le Finder de l’ordinateur administrateur jusque dans la zone de dialogue Ouverture d’application. La zone de dialogue Ouverture d’application affiche l’icône et le nom de l’application à ouvrir. 5 Cliquez sur Ouvrir. Suspension de l’activité d’un ordinateur Apple Remote Desktop peut suspendre l’activité des ordinateurs clients. Cette fonction produit les mêmes résultats que la commande Suspendre l’activité sur le client : l’écran s’éteint, le disque dur s’arrête de tourner et le processeur de l’ordinateur ainsi que son interface réseau passent en mode de faible consommation d’énergie. La suspension de l’activité des ordinateurs via AirPort ne vous permettra pas de les réactiver à l’aide d’ARD. Pour suspendre l’activité d’un ordinateur : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Suspendre l’activité. 4 Cliquez sur Suspendre l’activité. Réactivation d’un ordinateur Apple Remote Desktop peut réactiver les ordinateurs qui ont suspendu leur activité ou dont l’activité a été suspendue via ARD. Pour réactiver un ordinateur à l’aide d’ARD, il faut que le matériel réseau de l’ordinateur gère la réactivation via l’envoi de paquets réseau (wakeonlan) et que l’option “Réactiver pour permettre l’accès à l’administrateur du réseau” soit activée dans les Options de réactivation des préférences systèmes Économiseur d’énergie de l’ordinateur. Il est impossible de réactiver les ordinateurs connectés au réseau via AirPort ou ceux qui ne se trouvent pas sur votre sous-réseau local.92 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs Pour réactiver un ordinateur : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Réactiver. 4 Cliquez sur Réactiver. Verrouillage de l’écran d’un ordinateur Apple Remote Desktop peut verrouiller l’écran d’un ordinateur. Lorsque vous verrouillez l’écran d’un ordinateur, personne ne peut visualiser le bureau ni se servir de la souris et du clavier de cet ordinateur. ARD affiche par défaut l’image d’un cadenas sur les écrans verrouillés, mais vous pouvez choisir d’afficher des images personnalisées. Remote Desktop vous permet de continuer à travailler sur les ordinateurs dont vous avez verrouillé l’écran. Toutefois, l’écran se déverrouille si vous utilisez les commandes Observer, Contrôler ou Partager. Pour verrouiller l’écran d’un ordinateur : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Communication > Verrouiller l’écran. 4 Tapez un message à afficher sur l’écran verrouillé si vous le souhaitez. 5 Cliquez sur Verrouiller l’écran. L’écran devient noir et n’affiche plus que le nom de l’administrateur et un message éventuel. Affichage d’une image personnalisée sur un écran verrouillé Vous pouvez afficher une image de votre choix sur l’écran du client verrouillé par Apple Remote Desktop. Assurez-vous que les images que vous créez seront adaptées à l’écran de l’ordinateur client. Si vos clients ont des écrans d’une résolution de 800 x 600 par exemple, une image de 1024 x 768 sera réduite pour s’adapter à l’écran. Pour créer une image d’écran verrouillé : 1 Créez une image à l’aide d’une application graphique telle qu’AppleWorks. 2 Enregistrez l’image sous le format PICT, TIFF, GIF, JPEG ou tout autre format d’image statique compatible avec QuickTime. Il est impossible d’utiliser des films compatibles avec QuickTime ou des objets QuickTime VR. 3 Nommez votre image “Image d’écran verrouillé”. 4 Copiez le fichier “Image d’écran verrouillé” dans /Bibliothèque/Preferences/ sur l’ordinateur client.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 93 Déverrouillage de l’écran d’un ordinateur Vous devez utiliser Apple Remote Desktop pour déverrouiller un écran d’ordinateur verrouillé par ARD. Le déverrouillage d’un écran d’ordinateur permet de restaurer le bureau et d’utiliser la souris et le clavier sur cet ordinateur. Pour déverrouiller l’écran d’un ordinateur : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Communication > Déverrouiller l’écran. 4 Cliquez sur Déverrouiller l’écran. Fermeture de la session de l’utilisateur actuel Apple Remote Desktop peut fermer la session de l’utilisateur actuel sur un ordinateur client. Les sessions des autres utilisateurs, en plus de l’utilisateur actif actuel, qui ont ouvert une session via la fonction de Permutation rapide d’utilisateur ne sont pas fermées par cette commande. L’utilisation de cette commande renvoie l’ordinateur client à la fenêtre d’ouverture de session. Pour fermer la session d’un utilisateur : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Fermer la session de l’utilisateur actuel. 4 Sélectionnez le type de fermeture de session. Vous pouvez soit permettre aux utilisateurs d’enregistrer leurs fichiers ou d’annuler la fermeture de session, soit imposer une fermeture de session immédiate, ce qui provoquera la perte de toute modification non enregistrée dans les fichiers ouverts. 5 Cliquez sur Fermer la session. Redémarrage d’un ordinateur Apple Remote Desktop peut redémarrer un ordinateur client. Cette fonction produit le même résultat que la commande Redémarrer du menu Apple de l’ordinateur client. Elle s’avère particulièrement utile si elle est utilisée conjointement avec la commande Installer les paquets. La fonction Installer les paquets ne permet pas de redémarrer l’ordinateur, même si cela est requis par le paquet installé. Vous devez redémarrer l’ordinateur à l’aide d’ARD après avoir installé un paquet.94 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs Pour redémarrer un ordinateur : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Redémarrer. 4 Sélectionnez le type de redémarrage. Vous pouvez soit permettre aux utilisateurs d’enregistrer leurs fichiers ou d’annuler le redémarrage, soit imposer un redémarrage immédiat, ce qui provoquera la perte de toute modification non enregistrée dans les fichiers ouverts. 5 Cliquez sur Redémarrer. Mise hors tension d’un ordinateur Apple Remote Desktop peut éteindre un ordinateur client. Cette fonction produit le même résultat que la commande Éteindre du menu Apple de l’ordinateur client. Remarque : si vous éteignez un client ARD, vous ne pourrez plus le démarrer via ARD. Cette commande s’avère particulièrement utile si elle est utilisée avec les préférences Économiseur d’énergie. Vous pouvez configurer vos ordinateurs clients afin qu’ils démarrent tous les matins à une heure désignée et utiliser ARD pour les éteindre le soir. Il s’allumeront à nouveau le lendemain matin, prêts à être administrés. Pour éteindre un ordinateur : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Éteindre. 4 Sélectionnez le type de mise hors tension. Vous pouvez soit permettre aux utilisateurs d’enregistrer leurs fichiers ou d’annuler la mise hors tension, soit imposer une mise hors tension immédiate, ce qui provoquera la perte de toute modification non enregistrée dans les fichiers ouverts. 5 Cliquez sur Éteindre.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 95 Automatisation des fonctions Vous pouvez automatiser n’importe quelle commande ou fonction d’Apple Remote Desktop. ARD fournit en outre aux administrateurs experts en scripts des outils (UNIX ou AppleScript) pour les aider à automatiser la gestion de leurs clients. Définition de la méthode de conception de rapport sur les données Pour accélérer la procédure de rapport et permettre la création de rapports à partir de clients déconnectés, Apple Remote Desktop utilise des informations sauvegardées concernant les fichiers et le système des clients. Vous pouvez automatiser la collecte de ces informations pour les rapports en définissant une méthode de conception de rapport. Cet horaire détermine la fréquence à laquelle un client met à jour ses informations sur le système et les fichiers destinées aux rapports. Chaque client se connecte, en fonction de l’horaire de collecte que vous avez défini, à une base de données de rapports centralisée et transfère les informations que vous avez désignées. Il existe un équilibre à respecter concernant la fréquence de ces mises à jour. Si vous réglez vos clients afin qu’ils mettent leurs informations à jour de manière trop fréquente, vous risquez de contribuer à l’encombrement du trafic réseau et de ralentir les performances des clients pendant les mises à jour. Si vous choisissez une fréquence de mise à jour insuffisante, les données des rapports que vous recevrez seront peut-être périmées. Prenez soin de trouver un équilibre entre vos besoins en rapport et les besoins de performances du réseau et des clients. La méthode de collecte inclut deux types d’informations : les informations système et les informations sur le système de fichiers. Les informations système comprennent toutes les informations que l’on peut trouver dans les rapports suivants : • vue d’ensemble du système ; • stockage ; • périphériques USB ; • périphériques FireWire ; • interfaces de réseau ; • mémoire ; • cartes PCI. Les informations sur le système de fichiers comprennent toutes les informations que l’on peut trouver dans les rapports suivants : • recherche de fichiers ; • version du logiciel ; • différences logicielles.96 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs Pour définir la méthode de conception de rapport d’un client : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Définir la méthode de conception de rapport. 4 Sélectionnez Sur un horaire. Pour désactiver la collecte automatique de données pour un client, sélectionnez “Uniquement lorsque c’est nécessaire pour un rapport”. 5 Choisissez le ou les jours de collecte de données. 6 Définissez l’heure à laquelle aura lieu la collecte. 7 Si vous le souhaitez, définissez l’intervalle de temps entre les collectes en sélectionnant “Les jours indiqués, répéter toutes les____ heures”. 8 Si vous le souhaitez, définissez l’intervalle de temps entre les reconstructions programmées si de nouvelles données se présentent, en sélectionnant “Ignorer la reconstruction si les données sont plus récentes que ____ heures”. Cela permet de déterminer le nombre minimum d’heures ou de minutes entre les collectes de données. 9 Choisissez Données système, Données du fichier ou les deux. 10 Cliquez sur Configurer. Définition de l’emplacement de collecte des données de rapport Pour accélérer la création de rapports, Apple Remote Desktop utilise une base de données sur les informations concernant le système et les fichiers des clients. Vous pouvez automatiser la collecte de ces données pour les rapports et déterminer l’emplacement de la base de données. Cette dernière est stockée par défaut sur l’ordinateur de l’administrateur. Les instructions suivantes vous permettront de changer l’emplacement de collecte des données. Déterminez d’abord l’emplacement des données : sur l’ordinateur administrateur ou sur un ordinateur distant. Tout ordinateur distant désigné pour accueillir les données doit posséder une licence d’ordinateur administrateur ARD et ses ports TCP et UDP 3283 et 5900 doivent être ouverts pour tous les ordinateurs clients qui envoient des rapports. Si vous décidez de choisir une autre base de données d’ordinateur administrateur ARD, vous devez configurer cet ordinateur afin que les autres administrateurs ARD puissent accéder aux données. Avertissement : si vous changez l’emplacement de la base de données des rapports sélectionné lors de la configuration initiale, vous devrez réinitialiser les méthodes de collecte pour les ordinateurs clients. La base de données ne sera pas déplacée, mais elle sera régénérée lors du prochain intervalle de collecte.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 97 Si vous choisissez de stocker localement les données et que vous disposez d’une licence clients illimités, vous pouvez autoriser les autres administrateurs ARD à accéder à la base de données qui se trouve sur votre ordinateur, en sélectionnant l’option “Autoriser collecte de données de cet ordinateur pour rapports”. Pour définir l’emplacement de collecte des données : 1 Ouvrez Remote Desktop. 2 Choisissez Remote Desktop > Préférences. 3 Cliquez sur Collecte de données. 4 Pour utiliser la base de données sur cet ordinateur administrateur, sélectionnez Cet ordinateur. Pour permettre à d’autres administrateurs ARD d’accéder à la base de données sur l’ordinateur administrateur local, cliquez sur “Autoriser collecte de données de cet ordinateur pour rapports”. 5 Pour utiliser une base de données située sur un autre ordinateur administrateur, sélectionnez “Autre ordinateur Remote Desktop sous licence”. Tapez ensuite l’adresse IP ou le nom de domaine complet de l’autre ordinateur administrateur ARD. 6 Fermez la fenêtre afin d’enregistrer les modifications. Tâches programmées Vous pouvez utiliser Apple Remote Desktop pour automatiser et programmer presque toutes les tâches. Vous pouvez, par exemple, vous assurer qu’une application particulière ou un jeu de polices spécifique sont toujours disponibles sur un ordinateur client en configurantARD afin qu’il copie toutes les nuits les applications et les polices sur le client. Lorsque vous programmez une tâche automatisée, les informations relatives à la tâche programmée sont enregistrées sur l’ordinateur administrateur. À l’heure fixée, le logiciel client installé sur cet ordinateur active et lance la tâche. Remote Desktop doit être ouvert pour pouvoir exécuter une tâche programmée. Bouton Définition Toute tâche dotée d’un bouton Horaire activé peut être programmée. Le bouton Horaire est légèrement différent pour les tâches déjà programmées et ayant des événements en attente.98 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs Réglage de tâches programmées Toute tâche dont le bouton de programmation est activé peut être programmée. Les tâches que vous avez programmées sont affichées dans la liste Tâches enregistrées de la fenêtre principale de Remote Desktop. Pour programmer une tâche : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez la tâche à programmer dans la barre des menus. 4 Configurez la tâche. 5 Avant d’exécuter la tâche, cliquez sur le bouton Horaire. La zone de dialogue de programmation s’ouvre. 6 Choisissez si vous souhaitez exécuter la tâche immédiatement ou à un moment spécifique ultérieur. Si vous choisissez un moment ultérieur, tapez la date et l’heure correspondantes. Si vous choisissez une exécution immédiate plutôt qu’à un moment spécifique ultérieur, la programmation de cette tâche sera désactivée. 7 Pour répéter la tâche, cliquez sur Répéter, puis définissez la fréquence de répétition. 8 Cliquez sur OK. 9 Enregistrez la tâche. Modification des tâches programmées Une fois qu’une tâche a été enregistrée, vous pouvez la modifier et toutes les exécutions futures de cette tâche refléteront vos modifications. Vous pouvez changer les ordinateurs qui seront affectés par la tâche ou modifier n’importe quel autre paramètre de la tâche. Pour modifier une tâche programmée : 1 Sélectionnez la liste des tâches programmées. 2 Double-cliquez sur une tâche programmée dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Cliquez sur le bouton de programmation de tâche. 4 Modifiez la tâche ou son horaire comme vous le souhaitez. 5 Cliquez sur OK.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 99 Suppression des tâches programmées Les tâches qui ne sont plus nécessaires peuvent être supprimées. Si vous souhaitez conserver une tâche mais empêcher sa répétition, vous devez modifier la tâche programmée plutôt que la supprimer. Pour plus d’informations, consultez la section “Modification des tâches programmées”. Pour supprimer une tâche programmée : 1 Sélectionnez la liste des tâches programmées. 2 Sélectionnez la tâche souhaitée dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Appuyez sur la touche de suppression. Commandes shell UNIX Outre ses propres tâches, Apple Remote Desktop fournit un moyen d’exécuter facilement des commandes UNIX sur des ordinateurs distants. Pour envoyer des commandes UNIX aux ordinateurs clients, il faut que le sous-système BSD soit installé sur ces derniers. Les commandes UNIX sont des commandes shell. Cela signifie que vous pouvez non seulement envoyer des commandes individuelles, mais également écrire des scripts comprenant des conditions, des boucles et d’autres fonctions du shell. Outils de ligne de commande intégrés Apple Remote Desktop comprend deux puissants outils en ligne de commande qui peuvent être utilisés avec l’option Envoyer une commande UNIX : networksetup et systemsetup. Ces outils sont intégrés au logiciel client ARD et n’interfèrent pas avec les installations existantes du logiciel sur Mac OS X Server. L’emplacement des outils est ajouté au PATH du shell par défaut, ce qui vous permet d’y accéder via Remote Desktop comme s’ils étaient installés dans l’un des emplacements standard d’outils UNIX. Pour modifier des réglages à l’aide de ces outils, vous devez exécuter ces derniers en tant que root (su root ou sudo). networksetup L’outil networksetup est utilisé pour configurer les réglages réseau d’un client. Il peut créer ou modifier des emplacements réseau, modifier des adresses IP, définir des proxy de service réseau et bien plus encore. La syntaxe, les explications et un exemple de la ligne de commande sont disponibles via l’invite d’aide de l’outil, en tapant la ligne suivante dans Terminal : /Système/Bibliothèque/CoreServices/RemoteManagement/ARDAgent.app/Contents/ Support/networksetup -help100 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs systemsetup L’outil systemsetup est utilisé pour configurer d’autres réglages systèmes qui ne sont pas liés au réseau. Il peut interroger ou modifier les fuseaux horaires, les serveurs horloges de réseau, les réglages de suspension d’activité, les préférences Économiseur d’énergie, les préférences de Connexion à distance (ssh) et bien plus encore. La syntaxe, les explications et un exemple de la ligne de commande sont disponibles via l’invite d’aide de l’outil, en tapant la ligne suivante dans Terminal : /Système/Bibliothèque/CoreServices/RemoteManagement/ARDAgent.app/Contents/ Support/systemsetup -help Exécution d’une commande UNIX individuelle La fenêtre de commande UNIX vous permet d’envoyer des commandes individuelles aux ordinateurs clients sélectionnés. La commande est exécutée via le shell bash et les autorisations root. Pour exécuter une commande UNIX individuelle : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Gestion > Envoyer la commande UNIX. 4 Tapez la commande ou collez-la. Si votre commande est un script comprenant plusieurs lignes, tapez chaque commande dans sa propre ligne. Pour diviser une commande constituée d’une seule ligne, afin d’en améliorer la lisibilité, utilisez une barre oblique inverse (“\”) pour signaler une nouvelle ligne. 5 Définissez l’utilisateur dont les autorisations sont utilisées pour exécuter la commande. Vous pouvez choisir l’utilisateur actuellement connecté ou le nom de tout autre utilisateur existant sur les ordinateurs clients. 6 Cliquez sur Envoyer.Chapitre 3 Administration d’ordinateurs 101 Exécution de scripts via une commande UNIX Il existe deux types de scripts exécutables via la ligne de commande. Le premier type, le plus répandu avec les lignes de commande, est le script shell. Un script shell est un fichier contenant un ensemble de commandes UNIX exécutées l’une après l’autre dans le fichier. Les scripts shell peuvent intégrer des procédures de programmation normales telles que les boucles, les conditions et les variables. Ces scripts consistent en fichiers texte à fins de lignes UNIX. Ils sont interprétés par le shell bash. Exécution de scripts shell Les scripts shell peuvent être copiés puis exécutés. Si un script présente un certain niveau de complexité ou ne peut être exprimé en une seule ligne, utilisez la fonction Copier les éléments pour copier le fichier de script sur les ordinateurs clients, puis exécutez-le via Envoyer une commande UNIX. Pour envoyer une commande constituée d’une seule ligne, il suffit d’utiliser l’option Envoyer une commande UNIX. Pour copier puis exécuter un script : 1 Préparez votre script et enregistrez-le. Assurez-vous que le script est enregistré avec des fins de ligne UNIX. 2 Ouvrez Remote Desktop. 3 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 4 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 5 Utilisez la commande Copier les éléments pour copier votre script sur les ordinateurs clients. 6 Après avoir copié le script, choisissez Gestion > Envoyer la commande UNIX. 7 Exécutez le script en tapant : sh [chemin et nom du script] 8 Cliquez sur Envoyer. AppleScripts Le deuxième type de script que vous pouvez exécuter, et le plus répandu dans l’environnement Mac OS X, est un script AppleScript. Les scripts AppleScript sont des fichiers contenant des commandes proches de l’anglais utilisant le langage de programmation AppleScript, qui sont créés à l’aide de l’application Éditeur de scripts. Ils peuvent être exécutés de plusieurs manières sur les ordinateurs clients : ils peuvent être compilés, enregistrés puis exécutés comme application ou envoyés en une seule fois via la ligne de commande. Pour en savoir plus sur AppleScript, consultez l’Aide AppleScript via Visualisation Aide ou rendez-vous sur www.applescript.com.102 Chapitre 3 Administration d’ordinateurs Pour envoyer et exécuter un script AppleScript compilé : 1 Enregistrez le script comme une application. 2 Ouvrez Remote Desktop. 3 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 4 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 5 Utilisez la commande Copier les éléments pour copier votre script sur les ordinateurs clients. Utilisez la commande Copier les éléments en cochant la case Ouvrir les éléments, à côté de Après avoir copié, dans la zone de dialogue Copier les éléments. Pour exécuter un script AppleScript à l’aide de l’option Envoyer une commande UNIX : Cette méthode utilise la commande osascript. Pour obtenir des informations détaillées sur osascript, consultez la page man osascript. 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Utilisez la commande Copier les éléments pour copier votre script sur les ordinateurs clients. 4 Après avoir copié le script, choisissez Gestion > Envoyer la commande UNIX. 5 Tapez le script ou collez-le dans la fenêtre de commande UNIX, de la manière suivante : osascript -e ’[première ligne du script]’ -e ’[ligne suivante]’ Ainsi, un script simple destiné à créer un dossier et à définir son étiquette sera saisi de la manière suivante (en une seule ligne) : osascript -e ’tell the application "Finder"’ \ -e ’make new folder’ \ -e ’set the name of the result to "Nouveau dossier"’ \ -e ’set the label index of folder "Nouveau dossier" to 2’ \ -e ’end tell’ 6 Cliquez sur Envoyer. L’ordinateur client exécute le script.4 103 4 Communication avec les utilisateurs Apple Remote Desktop est un outil puissant de communication avec les utilisateurs via un réseau. Vous pouvez contrôler ou observer les écrans à distance, envoyer des textes de message aux utilisateurs distants ou partager votre écran avec les autres. Ce chapitre décrit les principaux aspects des capacités de communication d’ARD et fournit toutes les instructions nécessaires pour les utiliser. Il vous permettra d’en savoir plus sur les opérations suivantes : • “Contrôle” à la page 104 • “Observation” à la page 108 • “Envoi de messages” à la page 111 • “Partage d’écrans” à la page 113104 Chapitre 4 Communication avec les utilisateurs Contrôle Apple Remote Desktop vous permet de contrôler des ordinateurs distants comme si vous vous trouviez face à eux. Vous pouvez contrôler la souris et le clavier d’un seul ordinateur à la fois. ARD peut contrôler deux types d’ordinateurs distants : les clients ARD et les serveurs VNC (Virtual Network Computing). Options de la fenêtre de contrôle Lorsque vous contrôlez un client, vous pouvez afficher sa fenêtre en taille réelle ou la réduire pour qu’elle s’adapte à la fenêtre de contrôle. Pour permuter entre la taille réelle et la taille adaptée à la fenêtre, cliquez sur le bouton Adapter à la fenêtre. Vous pouvez soit prendre le contrôle total de la souris et du clavier, soit partager le contrôle avec un utilisateur client ARD. Pour permuter entre le contrôle total et le contrôle partagé, cliquez sur le bouton Partage de contrôle. Vous pouvez faire une capture de l'écran distant et l'enregistrer dans un fichier. Pour effectuer une capture de l'écran de l'ordinateur distant, cliquez sur le bouton Capture d'écran. Adapter à la fenêtre Partage de contrôle Capture d’écranChapitre 4 Communication avec les utilisateurs 105 Contrôle des clients ARD Les ordinateurs clients Apple Remote Desktop (ARD) peuvent être contrôlés par n’importe quel ordinateur administrateur sur lequel l’autorisation “Contrôle” est activée. Consultez la section “Accès administrateur ARD” à la page 41 pour en savoir plus sur les autorisations ARD. Lorsque vous contrôlez un ordinateur client ARD, certains raccourcis clavier ne peuvent pas être envoyés à l’ordinateur distant, mais affectent l’ordinateur administrateur. Il s’agit des raccourcis : • Changer d’application active (Cmd + Maj + Tab). • Afficher ou masquer le Dock (Cmd + Option + D). • Fermer la session de l’utilisateur (Cmd + Maj + Q). • Effectuer une capture d’écran (Cmd + Maj + 3 ou 4). • Forcer à quitter (Cmd + Opt + Échap). Sachez également que les touches spéciales, comprenant notamment les touches de volume, de luminosité d’écran et d’éjection de disque, n’affectent pas l’ordinateur client. Ces instructions supposent qu’ARD est correctement installé et configuré sur l’ordinateur observé (voir “Première installation du logiciel client sur Mac OS X 10.2” à la page 31) et que l’ordinateur a été ajouté à une liste d’ordinateurs ARD (voir “À propos des listes d’ordinateurs ARD” à la page 63). Pour contrôler un client ARD : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Communication > Contrôler. Si l’écran de l’ordinateur contrôlé est plus grand que votre fenêtre de contrôle, l’écran défilera à mesure que le pointeur se rapproche des bords de la fenêtre. 4 Pour permuter entre la taille réelle et la taille adaptée à la fenêtre, cliquez sur le bouton Adapter à la fenêtre. 5 Utilisez votre souris et votre clavier pour effectuer des actions sur l’ordinateur contrôlé. Si vos préférences ARD sont réglées pour partager le contrôle du clavier et de la souris, le clavier et la souris de l’ordinateur distant seront actifs et affecteront l’ordinateur de la même manière que le clavier et la souris de l’ordinateur administrateur. Si vos préférences ne sont pas réglées pour partager le contrôle, le clavier et la souris de l’ordinateur ne fonctionneront pas tant que l’ordinateur administrateur disposera du contrôle. Remarque : si vous êtes en train d’observer un client, vous pouvez cliquer sur le bouton de partage de contrôle pour prendre le contrôle de ce client.106 Chapitre 4 Communication avec les utilisateurs Contrôle de serveurs VNC VNC (Virtual Network Computing) est un logiciel de contrôle à distance. Il permet à l’utilisateur d’un ordinateur de voir (via un “visualiseur”) le bureau d’un autre ordinateur connecté via le réseau et d’en contrôler le clavier et la souris (à l’aide d’un “serveur” VNC). Tout au long de ces instructions, les ordinateurs équipés du logiciel VNC seront appelés “clients VNC”. Des serveurs et des visualiseurs VNC sont disponibles pour toute une gamme de platesformes informatiques. ARD est un visualiseur VNC et peut dès lors prendre le contrôle de n’importe quel ordinateur du réseau (qu’il s’agisse d’un ordinateur Mac OS X, Linux ou Windows) qui : • exécute le logiciel serveur VNC ; • figure dans une liste d’ordinateurs ARD. Ces instructions reposent sur l’hypothèse selon laquelle l’ordinateur observé a été ajouté à une liste d’ordinateurs ARD (voir “À propos des listes d’ordinateurs ARD” à la page 63). Lorsque vous ajoutez un serveur VNC à une liste d’ordinateurs ARD, il suffit de fournir le mot de passe VNC ; aucun nom d’utilisateur n’est nécessaire. Pour contrôler un ordinateur client VNC : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Communication > Contrôler. Si l’écran de l’ordinateur contrôlé est plus grand que votre fenêtre de contrôle, l’écran défilera à mesure que le pointeur se rapproche des bords de la fenêtre. 4 Pour permuter entre la taille réelle et la taille adaptée à la fenêtre, cliquez sur le bouton Adapter à la fenêtre. 5 Utilisez votre souris et votre clavier pour effectuer des actions sur l’ordinateur contrôlé. Quelles que soient vos préférences Apple Remote Desktop, les serveurs VNC contrôlés partagent le contrôle du clavier et de la souris. Le clavier et la souris de l’ordinateur distant sont actifs et affectent l’ordinateur de la même manière que le clavier et la souris de l’ordinateur administrateur. Remarque : si vous êtes en train d’observer un client, vous pouvez cliquer sur le bouton de partage de contrôle pour prendre le contrôle de ce client.Chapitre 4 Communication avec les utilisateurs 107 Configuration d’un client ARD destiné à être contrôlé par un visualiseur VNC Lorsqu’il est configuré dans ce but, un client Apple Remote Desktop peut être contrôlé par un visualiseur VNC non-Apple. Autoriser un visualiseur VNC non-Apple à accéder à un client ARD est une méthode moins sûre que celle qui consiste à utiliser Remote Desktop pour contrôler le client. Les logiciels VNC non-Apple sont réglés pour que le mot de passe soit stocké sous une forme chiffrée et dans un emplacement non sécurisés. Pour configurer un client afin qu’il accepte les connexions VNC : 1 Ouvrez les Préférences Système sur l’ordinateur client. 2 Ouvrez les préférences de Remote Desktop. Sur les clients Mac OS X 10.2, cliquez sur Remote Desktop. Sur les clients Mac OS X 10.3, cliquez sur Partage, sélectionnez Apple Remote Desktop, puis cliquez sur Autorisations d’accès. 3 Sélectionnez “Les utilisateurs VNC peuvent contrôler l’écran avec ce mot de passe”. 4 Tapez un mot de passe VNC. 5 Cliquez sur OK. Avertissement : n’utilisez pas le même mot de passe qu’un autre utilisateur ou administrateur ARD. Ce mot de passe n’est peut-être pas sûr.108 Chapitre 4 Communication avec les utilisateurs Observation Il se peut que vous souhaitiez simplement observer l’écran d’un ordinateur plutôt que de le contrôler. L’observation d’un ordinateur distant est similaire au contrôle, sauf que les mouvements de votre souris et les entrées de clavier ne sont pas envoyées à l’ordinateur distant. Les ordinateurs clients Apple Remote Desktop peuvent être observés par n’importe quel ordinateur administrateur disposant de l’ensemble d’autorisation d’observation. Consultez la section “Accès administrateur ARD” à la page 41 pour en savoir plus sur les autorisations ARD. ARD vous permet d’observer plusieurs clients sur le même écran, en passant en revue la liste des ordinateurs observés. Cela vous permet de surveiller plusieurs écrans sans devoir sélectionner individuellement chacun d’entre eux. Lorsque vous observez un seul client, vous pouvez afficher sa fenêtre en taille réelle ou la réduire pour qu’elle s’adapte à la fenêtre d’observation. Pour permuter entre la taille actuelle et la taille adaptée à la fenêtre, cliquez sur le bouton Adapter à la fenêtre, comme vous le feriez dans une fenêtre de contrôle. Si vous observez un nombre de clients plus important que le nombre prévu pour un affichage sur un seul écran, il est possible de faire défiler plusieurs pages en cliquant sur les boutons Avant et Arrière. Boutons Avant et Arrière Adapter à la fenêtreChapitre 4 Communication avec les utilisateurs 109 Modification des réglages d’observation pendant l’observation Vous pouvez, alors que vous êtes en train d’observer plusieurs ordinateurs, modifier les réglages d’observation d’Apple Remote Desktop à l’aide des commandes situées en haut de la fenêtre d’observation. Pour modifier vos réglages d’observation : • Réglez le nombre d’écrans clients visibles par page. • Réglez le nombre de secondes écoulées avant de passer automatiquement à la page d’écrans suivante. • Réglez le nombre de couleurs de l’écran (du noir et blanc aux millions de couleurs). Raccourcis de la fenêtre d’observation de plusieurs écrans Vous pouvez accéder à plusieurs commandes Apple Remote Desktop à l’aide des icônes de la fenêtre d’observation. Les boutons de la barre d’outils de la fenêtre d’observation vous permettent d’accéder aux commandes Copier les éléments et Discuter. Vous pouvez également exécuter des tâches ARD sur n’importe quel ordinateur en sélectionnant l’écran de ce dernier et en choisissant une tâche dans les menus Remote Desktop. Observation d’un seul ordinateur Lorsque vous observez un seul ordinateur, l’écran observé est affiché dans une fenêtre de votre ordinateur administrateur. Si un économiseur d’écran est en cours d’exécution pendant que vous observez l’écran, il demeure activé. La fenêtre d’observation contient un bouton de partage de contrôle qui permet de passer au contrôle de l’écran. Ces instructions supposent qu’Apple Remote Desktop est correctement installé et configuré sur l’ordinateur observé (voir “Première installation du logiciel client sur Mac OS X 10.2” à la page 31) et que l’ordinateur a été ajouté à une liste d’ordinateurs ARD (voir “À propos des listes d’ordinateurs ARD” à la page 63).110 Chapitre 4 Communication avec les utilisateurs Pour observer un seul ordinateur : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ordinateur dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Communication > Observer. Si l’écran de l’ordinateur observé est plus grand que la fenêtre d’observation, l’écran défilera à mesure que le pointeur se rapproche des bords de la fenêtre. 4 Pour permuter entre la taille réelle et la taille adaptée à la fenêtre, cliquez sur le bouton Adapter à la fenêtre. Si vous êtes en train d’observer des clients, vous pouvez double-cliquer sur un écran observé pour prendre le contrôle de ce client. Observation de plusieurs ordinateurs Lorsque vous observez plusieurs ordinateurs clients, chaque écran client est réduit afin que plusieurs ordinateurs puissent être affichés en même temps. Vous pouvez définir le nombre d’écrans clients à afficher simultanément. Pour plus d’informations, consultez la section “Définition des préférences de l’application Remote Desktop” à la page 52. Si un client est en mode de suspension d’activité ou exécute un économiseur d’écran au moment où vous vous apprêtez à l’observer, l’économiseur d’écran n’est pas désactivé. Les écrans de tous les ordinateurs sélectionnés défileront, quelques-uns à la fois, en changeant toutes les 30 secondes. Les commandes au clavier suivantes vous permettent de modifier ce cycle : Pour observer plusieurs ordinateurs : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Communication > Observer. Les écrans des ordinateurs distants sont affichés dans une fenêtre. Touche Résultat Flèche vers la droite Affiche immédiatement le groupe d’écrans suivant Flèche vers la gauche Affiche immédiatement le groupe d’écrans précédent Barre d’espace Arrête et lance le défilement des écransChapitre 4 Communication avec les utilisateurs 111 Envoi de messages Apple Remote Desktop vous permet de communiquer avec les utilisateurs d’ordinateurs clients ARD par l’envoi de SMS. Vous pouvez utiliser les messages de texte pour donner des instructions aux utilisateurs ou leur envoyer des annonces, collaborer à distance avec eux ou les aider à régler les problèmes qu’ils rencontrent. Il existe deux types de messages de texte : les messages à sens unique et les messages interactifs. Les messages de texte et les messages interactifs sont uniquement disponibles pour les ordinateurs clients ARD ; ils ne sont pas disponibles pour les ordinateurs clients VNC. Envoi de messages à sens unique Vous pouvez utiliser les messages à sens unique pour faire des annonces ou envoyer des informations aux utilisateurs d’ordinateurs clients ARD. Les annonces apparaissent devant les fenêtres des applications ouvertes et peuvent être éliminées par l’utilisateur. Pour envoyer un message à sens unique : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Communication > Envoyer le message. 4 Tapez votre message. 5 Cliquez sur Envoyer. Le texte du message s’affiche sur les écrans de tous les ordinateurs sélectionnés. Discussion interactive Vous pouvez engager une discussion interactive par texte avec un utilisateur d’ordinateur client ARD. Cela vous permet d’obtenir une réponse immédiate des utilisateurs et, ainsi, de collaborer avec eux ou de rechercher des solutions aux problèmes qu’ils rencontrent. Pour engager une discussion interactive : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Communication > Discuter. 4 Tapez votre message, une ligne à la fois. 5 Envoyez le message en appuyant sur la touche Retour après chaque ligne.112 Chapitre 4 Communication avec les utilisateurs Envoi d’une requête d’attention à l’administrateur Il arrive parfois qu’un utilisateur d’ordinateur client ARD doive attirer l’attention de l’administrateur ARD. Si l’administrateur ARD est en train de surveiller l’ordinateur client, l’utilisateur client peut lui envoyer une requête d’attention. Pour envoyer une requête d’attention à l’administrateur : 1 Cliquez sur l’icône du Finder dans le Dock. 2 Recherchez l’icône d’état ARD dans la barre des menus. 3 Cliquez sur l’icône d’état ARD, puis choisissez Message à l’administrateur. La fenêtre de requête d’attention s’ouvre. 4 Si plusieurs administrateurs ARD sont disponibles sur le réseau, choisissez celui à qui vous souhaitez adresser la requête via le menu local “Envoyer demande d’attention à”. 5 Tapez votre message. 6 Cliquez sur Envoyer. L’icône de requête d’attention apparaît sur l’écran de l’administrateur. Annulation d’une requête d’attention Si un utilisateur décide qu’il n’a plus besoin d’attirer l’attention de l’administrateur ARD, il peut annuler sa requête après l’avoir envoyée. Pour annuler une requête d’attention : 1 Cliquez sur l’icône du Finder dans le Dock. 2 Recherchez l’icône d’état ARD dans la barre des menus. 3 Cliquez sur l’icône d’état ARD, puis choisissez l’option d’annulation du message à l’administrateur.Chapitre 4 Communication avec les utilisateurs 113 Visualisation des requêtes d’attention Une fois qu’un utilisateur client a envoyé une requête d’attention, l’administrateur ARD peut lire le texte de la requête. Pour visualiser les requêtes d’attention : 1 Choisissez Fenêtre > Messages des utilisateurs. 2 Double-cliquez sur la requête figurant dans la liste pour en afficher le message. Partage d’écrans Apple Remote Desktop vous permet d’afficher votre écran (ou l’écran d’un ordinateur client figurant sur votre liste) sur un ou tous les ordinateurs clients ARD figurant sur la même liste d’ordinateurs. Vous pouvez par exemple afficher une présentation à toute une classe d’ordinateurs à partir d’un seul ordinateur. Partage d’un écran avec un seul client Vous pouvez partager l’écran d’un ordinateur client, ou celui de l’administrateur, avec un seul client. L’écran client affiche le contenu de l’écran partagé mais ne peut en aucun cas le contrôler. Pour partager un écran d’ordinateur avec un seul client : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ordinateur dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Communication > Partage d’écran. 4 Sélectionnez l’écran à partager. Pour partager l’écran de l’administrateur ARD, sélectionnez “Partager votre écran ”. Pour partager l’écran d’un autre client, sélectionnez “Partager l’autre écran”, puis faites glisser un ordinateur depuis une liste d’ordinateurs ARD jusque dans la zone de dialogue. 5 Cliquez sur Partage d’écran. L’écran sélectionné affiche l’écran de l’ordinateur partagé. Si la résolution d’écran de l’ordinateur client est inférieure à celle de l’ordinateur partagé, seule la partie supérieure gauche de l’écran partagé (jusqu’à la résolution d’écran la plus basse) sera visible sur l’écran destinataire.114 Chapitre 4 Communication avec les utilisateurs Partage d’un écran avec plusieurs clients Vous pouvez partager l’écran d’un client, ou celui de l’administrateur, avec un nombre quelconque de clients. Les écrans des clients affichent tous le contenu de l’écran partagé mais ne peuvent en aucun cas le contrôler. Pour partager un écran d’ordinateur avec plusieurs clients : 1 Sélectionnez une liste d’ordinateurs. 2 Sélectionnez un ou plusieurs ordinateurs dans la fenêtre Remote Desktop. 3 Choisissez Communication > Partage d’écran. 4 Sélectionnez l’écran à partager. Pour partager l’écran de l’administrateur ARD, sélectionnez “Partager votre écran ”. Pour partager l’écran d’un autre client, sélectionnez “Partager l’autre écran”, puis faites glisser un ordinateur depuis une liste d’ordinateurs ARD jusque dans la zone de dialogue. 5 Cliquez sur Partage d’écran. Les écrans sélectionnés affichent l’écran de l’ordinateur partagé. Si la résolution d’écran de l’un des ordinateurs clients est inférieure à celle de l’ordinateur partagé, seule la partie supérieure gauche de l’écran partagé (jusqu’à la résolution d’écran la plus basse) sera visible sur l’écran destinataire. 115 A Annexe A Références Icônes de scanneur d’ordinateur Les icônes suivantes apparaissent à côté des noms d’ordinateur dans la liste des résultats d’une recherche de scanneur. Les icônes affichent l’état de chaque ordinateur. Icône Signification Accessible via ARD Client ARD déconnecté Réponse Ping à l’adresse IP, mais pas de réponse de client ARD Client non ARD déconnecté Aucun nom ou mot de passe de connexion stocké pour cet ordinateur Accès refusé Serveur VNC disponible Un utilisateur demande votre attention116 Annexe A Références ARD Icônes d’état L’icône d’état ARD apparaît dans la barre des menus de chaque client ARD. Selon l’état de l’ordinateur client, l’icône d’état possède différents états. Références des ports TCP et UDP ARD utilise les ports TCP et UDP suivants pour les fonctions indiquées. Icône Signification Inactif ARD a été installé mais n’est pas actuellement en service sur l’ordinateur client. Prêt ARD est installé et en service sur le client. Administré ARD est installé et en service sur l’ordinateur client, et l’administrateur effectue actuellement une tâche ARD sur le client. Port Protocole Fonction 5900 TCP Observation/Contrôle 5900 UDP Envoi d’écran 3283 TCP Rapport 3283 UDP Tout le reste 5988 TCP WBEM (uniquement si activé)Annexe A Références 117 Rapport, champ, définitions, références Les sections suivantes décrivent les champs disponibles dans chaque rapport ARD. Pour en savoir plus sur la production de rapports, consultez “Création de rapports” à la page 74. Rapport sur la vue d’ensemble du système Catégorie de liste Nom de champ Remarques ou exemples AirPort AirPort activé Oui/Non Version du programme interne d’AirPort Numéro de version Adresse matérielle AirPort 00:30:65:01:79:EC Paramètres de lieu AirPort Type d’AirPort AirPort installé Oui/Non Canal de réseau AirPort Numéro de canal 1-11 Réseau AirPort à portée Nom de réseau AppleTalk AppleTalk activé Oui/Non Réseau AppleTalk Noeud AppleTalk Zone AppleTalk Ordinateur Processeurs activés Nombre de processeurs Mémoire utilisateur disponible Mémoire en Ko ROM de démarrage Numéro de version ROM Vitesse Bus en MHz Taille du bus de données Vitesse du processeur en MHz Numéro de série Velocity Engine Oui/Non Taille de cache niveau 2 en Ko Taille de cache niveau 3 en Ko Classe d’ordinateur Modèle d’ordinateur Mémoire en Ko Logements RAM disponibles Logements PCI Logements PCI utilisés Nombre de processeurs Type de processeur Valeur interne118 Annexe A Références Numéro de commande Taille VM Nombre total de logements RAM Périphériques Nombre de périphériques ATA Nombre de périphériques FireWire Clavier connecté Souris connectée Type de lecteur optique Nombre de périphériques SCSI Nombre de périphériques USB Affichage 2e profondeur d’écran bits 2e type de moniteur Taille du 2e moniteur pixels verticaux Taille du 2e moniteur pixels horizontaux Profondeur d’écran bits Indicateurs de moniteur Taille du moniteur pixels verticaux Taille du moniteur pixels horizontaux Modem Pays du modem Informations sur le gestionnaire du modem Version du programme interne du modem Modem installé Oui/Non Interface du modem Modèle du modem Réseau Première adresse Ethernet Adresse MAC en0 L’ordinateur démarre avec NetBoot Oui/Non Adresse IP principale Collisions du réseau principal Indicateurs du réseau principal Adresse matérielle du réseau principal Erreurs d’entrée du réseau principal Catégorie de liste Nom de champ Remarques ou exemplesAnnexe A Références 119 Paquets d’entrée du réseau principal Erreurs de sortie du réseau principal Paquets de sortie du réseau principal Réseau principal Préférences Suspension de l’activité de l’écran Oui/Non Suspension de l’activité du disque dur Oui/Non Suspension de l’activité de l’ordinateur Oui/Non Réactiver pour permettre l’accès Ethernet Oui/Non Impression Nom imprimante Partage d’imprimante Oui/Non Type imprimante Version imprimante Remote Desktop Informations sur l’ordinateur Nº 1 Informations sur l’ordinateur Nº 2 Informations sur l’ordinateur Nº 3 Informations sur l’ordinateur Nº 4 Partage Nom de l’ordinateur Nom du partage Accès FTP Oui/Non AppleEvents distants Oui/Non Ouverture de session à distance Oui/Non Nom de l’hôte UNIX foo.example.com Partage Web Oui/Non Partage de fichiers Windows Oui/Non Logiciel Version Kernel Version du système Mac OS X 10.3 (7B62) Version du système (champ non affiché) numéro interne Stockage Espace disponible en Ko, Mo ou Go Espace disque total en Ko, Mo ou Go Taille Corbeille en Ko, Mo ou Go Catégorie de liste Nom de champ Remarques ou exemples120 Annexe A Références Rapport de stockage Catégorie de liste Nom Remarques ou exemples Options matérielles Numéro de l’unité logique Démontable Fabricant du lecteur Modèle du lecteur Révision du lecteur Protocole du lecteur Amovible Oui/Non Numéro de série Options du volume Date de création Format GMT UNIX Nom du disque Macintosh HD Nombre de fichiers Nombre de dossiers Espace disque disponible en Ko, Mo ou Go Disque de démarrage Espace disque total Point de montage UNIX /dev/disk0s10 Options du système de fichiers Format du disque HFS, HFS+, UFS Respecte la casse Oui/Non Conserve la casse Oui/Non Accès en écriture Date de modification Format GMT UNIX Autorisations Possesseur Modes d’autorisation Autorisations Oui/Non Options de sauvegarde Possibilité de journalisation Oui/Non Journalisé Oui/Non Date de dernière sauvegarde Format GMT UNIX Date de dernière vérification Format GMT UNIXAnnexe A Références 121 Rapport sur la mémoire Rapport sur les cartes PCI Rapport sur les périphériques FireWire Rapport sur les périphériques USB Nom Remarques ou exemples Emplacement DIMM0/J21 Taille en Mo Vitesse PC133-222 (Mac OS X 10.3 uniquement) Type SDRAM Nom Remarques ou exemples Nom du logement Slot4 Type de carte Écran Nom de la carte ID du fournisseur ID du périphérique Révision ROM Écrans uniquement Révision de la carte Mémoire de la carte Écrans uniquement Nom Remarques ou exemples Vitesse du périphérique 200, 400, 800 Version du logiciel Fabricant Modèle Révision du programme interne Nom Remarques ou exemples Nom du produit ID du produit ID du fournisseur Nom du fournisseur Vitesse du périphérique 1,5 Mb, 12 Mb Alimentation du bus (mA) en mA Numéro de série122 Annexe A Références Rapport sur les interfaces de réseau Catégorie de liste Nom Remarques ou exemples Vue d’ensemble du réseau Nom Nom de l’emplacement Actif Oui/Non Principal Oui/Non Configuré avec Ethernet Adresse matérielle 00:30:65:01:79:EC Nom de l’interface en0 Indicateurs Options de l’interface active Domaine example.com Adresse du routeur Adresse IP Adresse de diffusion Serveur DNS Masque de sous-réseau Adresses IP Adresses de diffusion Serveurs DNS Masques de sous-réseau Statistiques de réseau Collisions du réseau Erreurs d’entrée du réseau Paquets d’entrée du réseau Erreurs de sortie du réseau Paquets de sortie du réseau Statistiques de sortie Capacité de la file de sortie Taille de la file de sortie Taille maximale de la file de sortie Nombre de chutes de la file de sortie Nombre de sorties de la file de sortie Nombre de tentatives de la file de sortie Nombre de calages de la file de sortie Statistiques Ethernet Erreurs d’alignement EthernetAnnexe A Références 123 Erreurs de zone de séquence de contrôle de trame Ethernet Erreurs de zone de séquence de contrôle de trame Trames Ethernet à collision unique Trames Ethernet à collisions multiples Erreurs du test SQE Ethernet Erreurs du test “signaux” Transmissions différées Ethernet Collisions Ethernet en retard Collisions Ethernet excessives Erreurs de transmission de l’adresse Mac interne Détection d’erreurs de la porteuse Ethernet Trames Ethernet trop longues Erreurs de réception de l’adresse Mac interne Ethernet etherChipSet Trames Ethernet perdues Surcharge du récepteur Ethernet Délais Watchdog du récepteur Ethernet Trames du récepteur Ethernet trop courtes Erreurs de collision du récepteur Ethernet Erreurs PHY du récepteur Ethernet Délais du récepteur Ethernet Interruptions du récepteur Ethernet Réinitialisations du récepteur Ethernet Erreurs de ressources du récepteur Ethernet Insuffisance des transmissions Ethernet Jabotage du transmetteur Ethernet Erreurs PHY du transmetteur Ethernet Erreurs physiques Catégorie de liste Nom Remarques ou exemples124 Annexe A Références Schéma modèle PostgreSQL Modèle de liste du schéma de la base de données principale /Système/Bibliothèque/CoreServices/RemoteManagement/rmdb.bundle/bin/psql -U ard -c "\\d propertynamemap" ard Table "public.propertynamemap" Column | Type | Modifiers ---------------+------------------------+----------- objectname | character varying(128) | not null propertyname | character varying(128) | not null propertymapid | integer | Modèle de liste du tableau d’informations système. /Système/Bibliothèaue/CoreServices/RemoteManagement/rmdb.bundle/bin/psql -U ard -c "\\d systeminformation" ard Table "public.systeminformation" Column | Type | Modifiers --------------+--------------------------+----------- computerid | character(17) | not null objectname | character varying(128) | not null propertyname | character varying(128) | not null itemseq | integer | value | character varying(512) | lastupdated | timestamp with time zone | Délais du transmetteur Ethernet Interruptions du transmetteur Ethernet Réinitialisations du transmetteur Ethernet Erreurs de ressources du transmetteur Ethernet Fréquences de collisions Ethernet Catégorie de liste Nom Remarques ou exemplesAnnexe A Références 125 Modèle de liste de noms de propriété /Système/Bibliothèque/CoreServices/RemoteManagement/rmdb.bundle/bin/psql -U ard -c "select * from propertynamemap" ard objectname | propertyname | propertymapid -----------------------+------------------------------+--------------- Mac_SystemInfoElement | WirelessCardIsActive | 0 Mac_SystemInfoElement | WirelessCardFirmwareVersion | 1 Mac_SystemInfoElement | WirelessCardHardwareAddress | 2 Mac_SystemInfoElement | WirelessCardLocale | 3 Mac_SystemInfoElement | WirelessCardType | 4 Mac_SystemInfoElement | WirelessCardInstalled | 5 Mac_SystemInfoElement | WirelessChannelNumber | 6 Mac_SystemInfoElement | WirelessNetworkAvailable | 7 Mac_SystemInfoElement | WirelessIsComputerToComputer | 8 ...... Modèle de liste de tableau d’un ordinateur /Système/Bibliothèque/CoreServices/RemoteManagement/rmdb.bundle/bin/psql -U ard -c "select * from systeminformation" ard computerid | objectname | propertyname | itemseq | value | lastupdated -------------------+----------------------+-----------------+---------+---------------------+------------------------ 00:03:93:af:15:cc | Mac_HardDriveElement | CreationDate | 0 | 2004-02-25T03:30:07Z| 2004-02-26 22:21:38-08 00:03:93:af:15:cc | Mac_HardDriveElement | FileSystemType | 0 | 18475 | 2004-02-26 22:21:38-08 00:03:93:af:15:cc | Mac_HardDriveElement | FreeSpace | 0 | 4101610 | 2004-02-26 22:21:38-08 00:03:93:af:15:cc | Mac_HardDriveElement | GroupName | 0 | admin | 2004-02-26 22:21:38-08 Nike + iPod User’s Guide Guide de l’utilisateur Benutzerhandbuch 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 1© 2006 Apple Computer, Inc. All rights reserved. Apple, the Apple logo, iPod, and iTunes are trademarks of Apple Computer, Inc. registered in the U.S. and other countries. NIKE and the Swoosh Design are trademarks of NIKE, Inc. and its affiliates, and are used under license. The Nike + iPod Sport Kit is covered by one or more of U.S. patent numbers 6,018,705, 6,052,654, 6,493,652, 6,298,314, 6,611,789, 6,876,947, and 6,882,955, either alone or when used in combination with a Nike + iPod enabled iPod media player. Mention of third-party products is for informational purposes only and constitutes neither an endorsement nor a recommendation. Apple assumes no responsibility with regard to the performance or use of these products. All understandings, agreements, or warranties, if any, take place directly between the vendors and the prospective users. Every effort has been made to ensure that the information in this manual is accurate. Apple is not responsible for printing or clerical errors. 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 23 Contents 4 Welcome to Nike + iPod 6 Quick Start 11 Using Nike + iPod 11 Calibrating Nike + iPod 11 Setting the Units of Distance 12 Entering Your Weight 12 Getting Spoken Feedback 13 Using a PowerSong 13 Pausing a Workout 14 Reviewing Recent Workouts on Your iPod 14 Purchasing and Downloading Nike+ Workouts 13 Using a Nike + iPod Remote 15 Linking the Receiver to Another Sensor 16 Putting the Nike + iPod Sensor to Sleep 17 Important Safety Information 18 Learning More, Service, and Support 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 34 Welcome to Nike + iPod Nike + iPod is your personal workout assistant. Sports iMixes 10K Powerplay Center Park Loops Funkified 5K In the Zone Owen’s Road to 300 Marley Goes the Distance See All 289 calories miles 8.1min/mi 0 4 Music for every mile Supercharge your workout by creating high-intensity playlists. Check out what’s on your favorite athlete’s iPod. Training partner Connect your iPod to your computer and send data to nikeplus.com. Track your progress every step of the way. Instant motivation Whether it’s instant spoken feedback or a song you’ve chosen to give you an extra burst, you’ll have all the motivation you need. PowerSong 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 45 Goal by Aug 30 miles 100 8.1 SPEED MPH Ready, set, compete Challenge friends to a 5K, even if they’re halfway around the world. See how your times compare against other runners. Hit your goal Push yourself by setting distance, time, or calorie burning goals, and then find out how close you are to meeting them. San Francisco, USA Ron Distance 5K Time 23:09 WINNER London, UK Jillian Distance 5K Time 24:13 +1.04 PORTLAND ROUTE Today 47 Jun 9 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 5Quick Start Follow these instructions to get started using Nike + iPod right away. Step 1: Install the latest iPod and iTunes software. 1 Download and install the latest iTunes software from www.apple.com/itunes. You need iTunes 7.0 or later. 2 Connect iPod to your computer, select iPod in the Source pane, and click Summary. 3 If iTunes says your iPod needs an update, click Update and follow the onscreen instructions. You need first generation iPod nano software version 1.3 or later, or second generation iPod nano (aluminum) software version 1.1 or later. Step 2: Insert the Nike + iPod Sensor in your Nike+ ready shoe. m Lift the insole of the left shoe, remove the foam insert from the pocket underneath, and replace it with the sensor. 6 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 6You can leave the sensor in your shoe when you aren’t working out, but if you plan to wear your shoes for a long time without working out, we recommend replacing the sensor with the foam insert to save battery life. Step 3: Attach the Nike + iPod Receiver to your iPod. Lift the insole and place the sensor in the pocket, flat side up. 7 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 7Step 4: Choose a type of workout. Step 5: Choose music to accompany your workout. To play Do this A Nike+ Workout mix (see page 14) Choose the mix. The currently playing song (if one is playing) Choose Now Playing. Songs from a playlist Choose Playlists and choose a playlist. Songs in random order Choose Shuffle Songs. No music Choose None. To choose Do this An open-ended workout Choose Nike+iPod > Basic Workout. A workout with a timed goal Choose Nike+iPod > Time and choose how long you want to work out. A workout with a distance goal Choose Nike+iPod > Distance and choose how far you want to go. A workout with a calorie burning goal Choose Nike+iPod > Settings > Weight and enter your weight. Then click the Menu button, choose Calories, and choose the number of calories you want to burn. Note: You only need to enter your weight the first time you start a calorie burning workout. 8 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 8Step 6: Start your workout. m Press the Center button and begin walking or running. Step 7: Monitor your progress. Nike + iPod automatically displays your workout status on the iPod screen. Periodically, Nike + iPod also gives you spoken feedback on your progress (see “Getting Spoken Feedback” on page 12). To get spoken feedback manually: m Press the Center button at any time during your workout. Step 8: End your workout. You can end your workout at any time. If you continue working out after you reach your time, distance, or calorie goal, iPod continues to monitor your progress. To end your workout: m When you finish your walk or run, press the Menu button and choose End Workout. iPod stores your most recent workout data for future reference. 9 This status screen indicates Nike + iPod is working. 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 9Step 9: Track your progress at nikeplus.com. You can set iTunes to send your workout data to nikeplus.com, where you can track your progress over time, view a record of all your sessions, set and monitor goals, and compare your results with others. You can even compete with other online Nike + iPod users in workout challenges. To set iTunes to send your workout data to nikeplus.com: 1 After a workout, remove the receiver and connect your iPod to your computer. 2 Open iTunes and select iPod in the Source pane. 3 Click Nike + iPod and select the checkbox next to “Automatically send workout data to nikeplus.com.” 4 Enter your existing nike.com account Login ID and password. Or, if you don’t have a nike.com account, click Create Nike Account and follow the onscreen instructions. Once you’ve set iTunes to send your workout data to nikeplus.com, iTunes sends the latest data automatically whenever you connect iPod to your computer. To use nikeplus.com: m In iTunes, select iPod in the Source pane and click Nike + iPod. Then click “Visit nikeplus.com.” Or go to www.nikeplus.com and enter your Login ID and password. See the nikeplus.com website for Nike’s privacy policy and terms and conditions. 10 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 10Using Nike + iPod Follow these instructions to get the most out of Nike + iPod. Calibrating Nike + iPod Nike + iPod is quite accurate for most users. You can improve the accuracy by calibrating Nike + iPod to your natural running and walking styles. To calibrate Nike + iPod for running and walking: 1 Choose Nike+iPod > Settings > Sensor > Calibrate and press the Center button. 2 Choose Run and choose a distance. 3 Press the Center button and run the set distance at a steady, natural pace. 4 Press the Menu button and choose Done Calibrating. A message tells you if the calibration was successful. 5 Repeat steps 1–4, choosing Walk in step 2 and walking at a steady, natural pace in step 3. Note: Even after calibrating, the accuracy of the distance measurements may vary depending on gait, running surface, incline, or temperature. Setting the Units of Distance You can set Nike + iPod to measure your workouts in either miles or kilometers. To set the units of distance: m Choose Nike+iPod > Settings and set Distances to Miles or Kilometers. 11 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 11Entering Your Weight To enter your weight: m Choose Nike+iPod > Settings > Weight and enter your weight. For greatest accuracy in calculating calories burned, update your weight as your fitness level improves. Getting Spoken Feedback As you work out, Nike + iPod periodically gives spoken feedback on your status. To get spoken feedback manually: m Press the Center button at any time during your workout. To set the voice type or turn spoken feedback off: m Choose Nike+iPod > Settings and set Spoken Feedback to Male, Female, or Off. If spoken feedback is turned off, you can still get spoken feedback manually. Note: Spoken feedback is available in some languages other than English. If you set your iPod to a language in which spoken feedback is available and connect it to your computer, iTunes prompts you to download a version in the other language. If you set your iPod back to English, you can still hear spoken feedback in English. You can have only one non-English version of spoken feedback on your iPod at a time. 12 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 12Using a PowerSong You can choose a motivational song as your PowerSong. At any time during your workout, you can jump to the song. To choose a PowerSong: m Choose Nike+iPod > Settings > PowerSong, and choose any song. To play your PowerSong: m At any time during a workout, press and hold the Center button. After a short pause, the song plays. Pausing a Workout You can pause your workout at any time, pausing music and data collection, and resume it later without losing your workout data. To pause or resume a workout: m Press the Play/Pause (’) button. To pause to change the song or use other iPod features: 1 Press the Menu button and choose Pause Workout or Change Music. 2 When you’re ready to resume, choose Nike+iPod > Resume Workout > Resume Workout. 13 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 13Reviewing Recent Workouts on Your iPod Your iPod saves the date, time, duration, distance, pace, and calories burned for up to your last thousand workouts, until iTunes sends your workout data to nikeplus.com. After the data is sent, iPod keeps information from the last several workouts. To review recent workouts on your iPod: m Choose Nike+iPod > History. To erase a single workout session: 1 Choose Nike+iPod > History and choose a workout session. 2 Click the Center button and choose Delete. Purchasing and Downloading Nike+ Workouts You can purchase and download Nike+ Workouts featuring continuous music mixed with professional coaching. Choose mixes for your level and style of workout. To purchase a Nike+ Workout: 1 Open iTunes and click iTunes Store in the Source pane. 2 Click Sports Music and click Buy next to the Nike+ Workout of your choice. 3 Connect iPod to your computer and load the workout onto iPod. When you purchase a Nike+ Workout, you get a single workout track with music and voiceover, and you also get all the individual songs in the mix. Note: The iTunes Store is available only to persons age 13 or older in the U.S. and many other countries; for a list of countries, see www.apple.com/itunes/download. Terms apply. You must have Internet access (fees may apply) to use the iTunes Store. 14 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 14Using a Nike + iPod Remote You can use a Nike+ compatible remote (sold separately) to control Nike + iPod wirelessly while you work out. Before using a remote, you have to link the receiver to it. To link to a remote: 1 Connect the receiver to an iPod. 2 Choose Nike+iPod > Settings > Remote > Link and follow the onscreen instructions. To turn remote functionality on or off: m Choose Nike+iPod > Settings > Remote and set Remote Commands to On or Off. To unlink a remote: m Choose Nike+iPod > Settings > Remote > Unlink and follow the onscreen instructions. Linking the Receiver to Another Sensor You can use your iPod and Nike + iPod Receiver with more than one Nike + iPod Sensor. You may want to do this, for example, if there’s more than one person in your family with a sensor and Nike+ ready shoes. Each time you use a receiver with a different sensor, you must link the receiver to that sensor. If you connect the receiver to a different iPod and use it with the same sensor, the receiver remembers your settings. You don’t need to relink or recalibrate. To link a receiver to another sensor: 1 Connect the receiver to an iPod. 2 Put on the shoes with the new sensor, and make sure there is no other Nike + iPod Sensor nearby. You may have to walk around to activate the sensor so your receiver can detect it. 15 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 153 On iPod, choose Nike+iPod > Settings > Sensor > Link and follow the onscreen instructions. A message says iPod is now linked to the new sensor. Note: If you link the receiver to a previously linked sensor, Nike + iPod remembers your calibration settings. You don’t need to recalibrate. Putting the Nike + iPod Sensor to Sleep The sensor is awake and on by default. If you want to store the sensor for a long period of time or make it stop transmitting, you can put it to sleep. To put the sensor to sleep: m Use a pen or a paper clip to press and hold the Sleep/Wake button for three seconds. Important: Put the sensor to sleep before taking it on an aircraft, to comply with applicable government regulations. To wake the sensor: m Use a pen or a paper clip to press the Sleep/Wake button. Sleep/Wake button Press and hold for three seconds to put to sleep. Press to wake. 16 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 16Important Safety Information Exercising Before starting any exercise program, you should have a complete physical examination by your physician. Do a warmup or stretching exercise before beginning any workout. Be careful and attentive while exercising. Slow down, if necessary, before adjusting your iPod while running. Stop exercising immediately if you feel pain, or feel faint, dizzy, exhausted, or short of breath. By exercising, you assume the risks inherent in physical exercise, including any injury that may result from such activity. Choking hazard The receiver and sensor are potential choking hazards. Keep them away from children under three years of age. Avoid hearing damage Permanent hearing loss may occur if earbuds or headphones are used at high volume. Set the volume to a safe level. You can adapt over time to a higher volume of sound that may sound normal but can be damaging to your hearing. If you experience ringing in your ears or muffled speech, stop listening and have your hearing checked. The louder the volume, the less time is required before your hearing could be affected. Hearing experts suggest that to protect your hearing:  Limit the amount of time you use earbuds or headphones at high volume.  Avoid turning up the volume to block out noisy surroundings.  Turn the volume down if you can’t hear people speaking near you. Disassembling the sensor Do not attempt to open the sensor, disassemble it, or remove the battery. No user-serviceable parts are inside. Do not use the receiver or iPod in or near water or wet locations. WARNING: Failure to follow these safety instructions could result in injury or damage. 17 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 1718 Learning More, Service, and Support For Do this Answers to frequently asked questions Go to www.apple.com/ipod/nike/faq.html. about Nike + iPod Service and support for the Go to www.apple.com/support/nikeplus. Nike + iPod Sensor and Receiver Service and support for Nike+ ready Go to www.nikeplus.com. shoes or the nikeplus.com website Information about using iTunes Open iTunes and choose Help > iTunes Help. Information about using iPod Go to www.apple.com/support/ipod. 0Z034-3940_UG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 1819 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 1920 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 2021 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 2122 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 2223 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 2324 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 2425 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 2526 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 2627 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 2728 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 2829 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 2930 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 3031 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 3132 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 3233 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 3334 0Z034-3940_JUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 3435 Table des matières 36 Bienvenue sur Nike + iPod 38 Premiers contacts 43 Utilisation de Nike + iPod 43 Étalonnage de Nike + iPod 44 Réglage de l’unité des distances 44 Saisie de votre poids 45 Informations vocales 46 Utilisation d’un morceau PowerSong 46 Suspension d’une séance d’entraînement 47 Consultation des séances d’entraînement récentes sur votre iPod 47 Achat et téléchargement de séances d’entraînement Nike+ 48 Utilisation d’une télécommande Nike + iPod 49 Jumelage du récepteur à un autre capteur 50 Mise en veille du capteur Nike + iPod 51 Informations importantes sur la sécurité 52 En savoir plus, service et assistance 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 3536 Bienvenue sur Nike + iPod Nike + iPod est votre assistant personnel d’entraînement. Sports iMixes 10K Powerplay Center Park Loops Funkified 5K In the Zone Owen’s Road to 300 Marley Goes the Distance See All 289 calories kilomètres 5,0min/km 0 4 De la musique pour chaque kilomètre Survoltez votre séance d’entraînement en créant des listes de lecture à haute intensité. Allez voir ce que votre athlète préféré écoute sur son iPod. Votre partenaire d’entraînement Connectez l’iPod à votre ordinateur et envoyez vos données à nikeplus.com. Suivez vos progrès pas à pas. Une motivation immédiate Vous aurez toute la motivation voulue, que ce soit par informations vocales instantanées ou par une chanson que vous aurez choisi pour vous donner des ailes. PowerSong 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 3637 Objectif avant le 30 août kilomètres 100 13 VITESSE km/h À vos marques, prêt, défi ! Défiez vos amis à une course de 5 km, même s’ils se trouvent de l’autre côté de la terre. Comparez vos temps à ceux d’autres coureurs. Atteignez votre objectif Établissez des objectifs de distance, de temps ou de dépense de calories pour vous surpasser, puis vérifiez l’état de vos progrès. San Francisco, USA Ron Distance 5K Time 23:09 WINNER London, UK Jillian Distance 5K Time 24:13 +1.04 ROUTE DE PARIS Aujourd’hui 47 9 juin 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 37Premiers contacts Suivez ces instructions pour commencer à utiliser des maintenant Nike + iPod. Étape 1 : installez les logiciels iPod et iTunes les plus récents. 1 Téléchargez et installez le logiciel iTunes le plus récent depuis www.apple.com/fr/itunes. iTunes 7.0 ou plus récent est requis. 2 Connectez l’iPod à votre ordinateur, sélectionnez l’iPod dans la sous-fenêtre Source et cliquez sur Résumé. 3 Si le logiciel iTunes vous informe que l’iPod a besoin d’être mis à jour, cliquez sur Mettre à jour et suivez les instructions à l’écran. Vous avez besoin de la version 1.3 (ou ultérieure) du logiciel de l’iPod nano de première génération ou de la version 1.1 (ou ultérieure) du logiciel de l’iPod nano de seconde génération (en aluminium). Étape 2 : insérez le capteur Nike + iPod dans votre chaussure compatible Nike+. m Soulevez la semelle de votre chaussure gauche, enlevez l’insert en mousse de la poche se trouvant en dessous, puis remplacez-le par le capteur. 38 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 38Vous pouvez laisser le capteur dans la chaussure lorsque vous ne vous entraînez pas. Cependant, si vous planifiez de longtemps porter vos chaussures sans vous entraîner, il est conseillé de remplacer le capteur par l’insert en mousse pour économiser l’autonomie de la batterie. Soulevez la semelle et placez le capteur dans la poche, le côté plat tourné vers le haut. 39 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 39Étape 3 : reliez le récepteur Nike + iPod à l’iPod. Étape 4 : choisissez un type de séance d’entraînement. Pour choisir : Procédez ainsi : Une séance ouverte Choisissez Nike+iPod > Séance standard. Une séance avec objectif de temps Choisissez Nike+iPod > Temps et sélectionnez la longueur de votre séance. Une séance avec objectif de distance Choisissez Nike+iPod > Distance et sélectionnez votre distance maximale. Une séance avec objectif de dépense Choisissez Nike+iPod > Réglages > Poids et saisissez votre poids. Cliquez ensuite sur le bouton Menu, choisissez Calories, puis sélectionnez le nombre de calories que vous souhaitez dépenser. Remarque : vous ne devez saisir votre poids que la première fois que vous débutez une séance de dépense de calories. 40 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 40Étape 5 : choisissez la musique qui accompagnera votre séance d’entraînement. Étape 6 : commencez votre séance d’entraînement. m Appuyez sur le bouton central puis commencez à marcher ou à courir. Étape 7 : suivez vos progrès. Nike + iPod affiche automatiquement l’état de votre séance d’entraînement sur l’écran de l’iPod. Nike + iPod vous donne également des informations vocales périodiques sur vos progrès (consultez la section « Informations vocales » à la page 45). Pour obtenir manuellement des informations vocales : m Appuyez sur le bouton central à tout moment pendant votre séance d’entraînement. Pour écouter : Procédez ainsi : Un mix de séance Nike+ (voir la page 47) Sélectionnez le mix. Le morceau en lecture (le cas échéant) Choisissez En lecture. Des morceaux d’une liste de lecture Choisissez Listes de lecture et sélectionnez une liste de lecture. Des morceaux dans un ordre aléatoire Choisissez Mix de morceaux. Aucune musique Choisissez Aucune. 41 Cet écran d’état indique que Nike + iPod fonctionne. 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 41Étape 8 : arrêtez votre séance d’entraînement. Vous pouvez arrêter votre séance d’entraînement à tout moment. Si vous continuez à vous entraîner après avoir atteint votre objectif de temps, de distance ou de calories, l’iPod continue lui aussi à suivre vos progrès. Pour arrêter votre séance d’entraînement : m Lorsque vous avez terminé votre course ou votre marche, appuyez sur le bouton Menu puis choisissez Arrêter la séance. L’iPod stocke les données de vos séances les plus récentes pour consultation ultérieure. Étape 9 : suivez vos progrès sur nikeplus.com. Vous pouvez configurer iTunes pour que les données de vos séances d’entraînement soient transmises à nikeplus.com, où vous pouvez suivre vos progrès dans le temps, afficher l’enregistrement de toutes vos séances, régler et suivre vos objectifs ou encore comparer vos résultats à ceux d’autres personnes. Vous pouvez même participer à des défis d’entraînement avec d’autres utilisateurs en ligne de Nike + iPod. Pour configurer iTunes pour que les données de vos séances d’entraînement soient transmises à nikeplus.com : 1 Après une séance d’entraînement, enlevez le récepteur puis connectez l’iPod à votre ordinateur. 2 Ouvrez iTunes puis sélectionnez l’iPod dans la sous-fenêtre Source. 3 Cliquez sur Nike + iPod puis cochez l’option « Transmettre automatiquement les données de séance à nikeplus.com ». 42 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 424 Saisissez l’identifiant et le mot de passe de votre compte nike.com. Si vous n’avez pas de compte nike.com, cliquez sur « Créer un compte Nike » puis suivez les instructions à l’écran. Une fois qu’iTunes a été configuré pour transmettre vos données de séance d’entraînement à nikeplus.com, les données les plus récentes sont transmises automatiquement lorsque vous connectez l’iPod à votre ordinateur. Pour utiliser nikeplus.com : m Dans iTunes, sélectionnez l’iPod dans la sous-fenêtre Source puis cliquez sur Nike+iPod. Cliquez ensuite sur « Aller sur nikeplus.com ». Vous pouvez également vous rendre sur www.nikeplus.com et y saisir votre identifiant et votre mot de passe. Consultez le site web nikeplus.com pour y lire l’engagement de confidentialité et les conditions générales de Nike. Utilisation de Nike + iPod Suivez ces instructions pour profiter au mieux de Nike + iPod. Étalonnage de Nike + iPod Nike + iPod est sufisamment précis pour la plupart des utilisateurs. Vous pouvez améliorer cette précision en étalonnant Nike + iPod selon votre style naturel de course et de marche. Pour étalonner Nike + iPod pour courir et marcher : 1 Choisissez Nike+iPod > Réglages > Capteur > Étalonner puis appuyez sur le bouton central. 2 Choisissez Course puis sélectionnez une distance. 43 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 433 Appuyez sur le bouton central et courez la distance choisie à un rythme constant et naturel. 4 Appuyez sur le bouton Menu puis choisissez Étalonnage terminé. Un message vous indique si l’étalonnage s’est effectué correctement. 5 Répétez les étapes 1 à 4 en choisissant Marche dans l’étape 2 et en marchant à un rythme constant et naturel dans l’étape 3. Remarque : même après avoir effectué l’étalonnage, la précision de mesure des distances peut varier selon l’allure, la surface de course, l’inclinaison et la température. Réglage de l’unité des distances Vous pouvez configurer Nike + iPod pour que vos séances d’entraînement soient mesurées en milles ou en kilomètres. Pour régler l’unité des distances : m Choisissez Nike+iPod > Réglages puis réglez Distances sur Milles ou Kilomètres. Saisie de votre poids Pour saisir votre poids : m Choisissez Nike+iPod > Réglages > Poids puis saisissez votre poids. Pour une plus grande précision de calcul des calories dépensées, mettez votre poids à jour au fur et à mesure que votre condition physique s’améliore. 44 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 44Informations vocales Pendant vos séances d’entraînement, Nike + iPod vous donne des informations vocales périodiques sur vos progrès. Pour obtenir manuellement des informations vocales : m Appuyez sur le bouton central à tout moment pendant votre séance d’entraînement. Pour régler le type de voix ou désactiver les informations vocales : m Choisissez Nike+iPod > Réglages puis réglez Informations vocales sur Masculines, Féminines ou Désactivées. Vous pouvez toujours obtenir des informations vocales manuellement, même si cette option est désactivée. Remarque : les informations vocales sont disponibles dans quelques langues (autres que l’anglais). Si vous avez réglé votre iPod sur une langue dans laquelle les informations vocales sont disponibles et que vous le branchez à l’ordinateur, iTunes vous demandera de télécharger une version des informations vocales dans cette langue. Si vous passez à nouveau votre iPod à l’anglais, vous serez toujours en mesure d’écouter les informations vocales en anglais. Vous ne pouvez disposer à la fois que d’une seule version autre que la version anglaise sur votre iPod. 45 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 45Utilisation d’un morceau PowerSong Vous pouvez choisir un morceau motivant comme morceau PowerSong. Vous pouvez passer à ce morceau à tout moment pendant votre séance d’entraînement. Pour choisir un morceau PowerSong : m Choisissez Nike+iPod > Réglages > PowerSong, puis sélectionnez un morceau. Pour écouter votre morceau PowerSong : m À tout moment pendant une séance d’entraînement, maintenez enfoncé le bouton central. Le morceau est lu après une courte pause. Suspension d’une séance d’entraînement Vous pouvez suspendre votre séance d’entraînement à tout moment, ce qui suspendra la lecture de la musique et le recueil des données, et la reprendra plus tard sans en perdre les données. Pour suspendre ou reprendre une séance d’entraînement : m Appuyez sur le bouton Lecture/Pause (’). Pour suspendre une séance afin de changer votre musique ou d’utiliser d’autres fonctions de l’iPod : 1 Appuyez sur le bouton Menu puis choisissez Suspendre la séance ou Changer la musique. 2 Lorsque vous êtes prêt à reprendre la séance, choisissez Nike+iPod > Reprendre la séance > Reprendre la séance. 46 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 46Consultation des séances d’entraînement récentes sur votre iPod Votre iPod enregistre la date, l’heure, la durée, la distance, le rythme et les calories dépensées des mille dernières séances d’entraînement, jusqu’à ce qu’iTunes transmette ces données à nikeplus.com. Après la transmission de ces données, l’iPod conserve les informations des séances d’entraînement les plus récentes. Pour consulter les séances d’entraînement récentes sur votre iPod : m Choisissez Nike+iPod > Historique. Pour effacer une seule séance d’entraînement : 1 Choisissez Nike+iPod > Historique puis sélectionnez une séance d’entraînement. 2 Cliquez sur le bouton central puis choisissez Supprimer. Achat et téléchargement de séances d’entraînement Nike+ Vous pouvez acheter et télécharger des séances d’entraînement Nike+. Ces séances contiennent de la musique en continu ainsi que des conseils d’entraînement professionnel. Choisissez des morceaux selon votre niveau et votre style d’entraînement. Pour acheter une séance d’entraînement Nike+ : 1 Ouvrez iTunes puis cliquez sur iTunes Store dans la sous-fenêtre Source. 2 Cliquez sur Sports Music (Musique sportive) puis cliquez sur Acheter en regard de la séance d’entraînement Nike+ de votre choix. 3 Connectez l’iPod à votre ordinateur puis transférez la séance d’entraînement sur votre iPod. Lorsque vous achetez une séance d’entraînement Nike+, vous obtenez une seule piste d’entraînement avec de la musique et des commentaires vocaux, ainsi que tous les morceaux de musique individuels qui composent cette piste. 47 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 47Remarque : l’iTunes Store n’est disponible que pour les personnes de 13 ans ou plus aux États-Unis et dans beaucoup d’autres pays ; pour obtenir une liste des pays, rendez-vous sur www.apple.com/fr/itunes/download. Certaines conditions s’appliquent. Vous devez disposer d’un accès à Internet (éventuellement payant) pour utiliser l’iTunes Store. Utilisation d’une télécommande Nike + iPod Vous avez la possibilité d’utiliser une télécommande compatible Nike+ (vendue séparément) pour contrôler à distance le système Nike + iPod au cours de votre séance d’entraînement. Il faut jumeler le récepteur avec la télécommande pour pouvoir utiliser cette dernière. Pour le jumeler avec une télécommande : 1 Connectez le récepteur à un iPod. 2 Choisissez Nike+iPod > Réglages > Télécommande > Jumeler, puis suivez les instructions à l’écran. Pour activer ou désactiver les fonctions de la télécommande : m Choisissez Nike+iPod > Réglages > Télécommande, puis réglez l’option Commandes sur activé ou désactivé. Pour annuler le jumelage avec une télécommande : m Choisissez Nike+iPod > Réglages > Télécommande > Déjumeler, puis suivez les instructions à l’écran. 48 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 48Jumelage du récepteur à un autre capteur Vous pouvez utiliser votre iPod et votre récepteur Nike + iPod avec plus d’un capteur Nike + iPod. Cela peut être utile si, par exemple, il y a plus d’un membre de votre famille avec un capteur et des chaussures compatibles Nike+. Chaque fois que vous utilisez un récepteur avec un capteur différent, vous devez jumeler le récepteur à ce capteur. Si vous connectez le récepteur à un iPod différent et que vous l’utilisez avec le même capteur, le récepteur garde vos réglages en mémoire. Vous n’avez pas besoin de le jumeler ou de l’étalonner à nouveau. Pour jumeler le récepteur à un autre capteur : 1 Connectez le récepteur à un iPod. 2 Enfilez les chaussures dotées du nouveau capteur et assurez-vous qu’il n’y a aucun autre capteur Nike + iPod à proximité. Il vous faudra peut-être commencer à marcher pour activer le capteur et permettre ainsi au récepteur de le détecter. 3 Sur l’iPod, choisissez Nike+iPod > Réglages > Capteur > Jumeler puis suivez les instructions à l’écran. Un message s’affiche, indiquant que l’iPod est maintenant jumelé au nouveau capteur. Remarque : si vous jumelez le récepteur à un capteur ayant déjà été jumelé, Nike + iPod garde en mémoire vos réglages d’étalonnage. Il est inutile d’étalonner à nouveau. 49 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 4950 Mise en veille du capteur Nike + iPod Le capteur est éveillé et activé par défaut. Si vous souhaitez stocker le capteur pendant une longue période ou le forcer à s’arrêter de transmettre, vous pouvez le mettre en veille. Pour mettre en veille le capteur : m Utilisez un stylo ou un trombone pour maintenir enfoncé le bouton Mettre en veille/Réactiver pendant trois secondes. Important : mettez le capteur en veille avant de l’emporter à bord d’un avion, conformément à la réglementation en vigueur. Pour réactiver le capteur : m Utilisez un stylo ou un trombone pour appuyer sur le bouton Mettre en veille/Réactiver. Bouton Mettre en veille/Réactiver Maintenez-le enfoncé pendant trois secondes pour mettre en veille. Appuyez dessus pour réactiver. 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 50Informations importantes sur la sécurité Réalisation d’exercices physiques Avant de commencer un programme d’exercices, demandez à votre médecin de réaliser un examen clinique complet. Effectuez des exercices de réchauffement ou d’étirement musculaire avant le début d’une séance d’entraînement. Soyez prudent et attentif pendant vos exercices physiques. Ralentissez, le cas échéant, avant de régler votre iPod en cours de course. Arrêtez immédiatement de courir si vous ressentez des douleurs, des faiblesses, de l’étourdissement, de l’épuisement ou de l’essoufflement. En effectuant des exercices, vous assumez les risques relatifs à l’exercice physique, y compris les blessures qui pourraient en résulter. Danger de suffocation Le récepteur et le capteur peuvent présenter des dangers de suffocation. Gardez-les hors de portée des enfants de moins de trois ans. Prévention de la diminution de l’acuité auditive Vous risquez une perte d’audition irréparable si vous utilisez un casque ou des écouteurs à un volume sonore élevé. Réglez le volume à un niveau raisonnable. Vous pouvez vous habituer petit à petit à un volume de son élevé qui peut vous paraître normal mais entraîner une détérioration de votre audition. Si vos oreilles bourdonnent ou si les sons vous semblent sourds, arrêtez l’écoute et rendez-vous chez votre médecin pour vérifier votre audition. Plus le volume est élevé, plus vous risquez d’abîmer rapidement votre audition. Pour protéger votre audition, les experts donnent les conseils suivants :  Limitez la durée d’utilisation d’un casque ou d’écouteurs à volume sonore élevé.  Évitez d’augmenter le volume pour bloquer le bruit ambiant.  Diminuez le volume si vous ne pouvez plus entendre les personnes voisines parler. ATTENTION : ne pas suivre les présentes instructions peut provoquer des dommages ou blessures. 51 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 51Démontage du capteur N’essayez pas d’ouvrir le capteur, de le démonter ou de retirer la batterie. L’appareil ne contient pas de pièces pouvant être réparées par l’utilisateur. N’utilisez pas le récepteur ou l’iPod dans ou près de l’eau ou dans tout autre lieu humide. En savoir plus, service et assistance Pour en savoir plus sur : Procédez ainsi : Les réponses aux questions fréquemment Rendez-vous sur posées sur Nike + iPod www.apple.com/fr/ipod/nike/faq.html. Le service et l’assistance du Rendez-vous sur capteur et du récepteur Nike + iPod www.apple.com/fr/support/nikeplus. Le service et l’assistance des chaussures Rendez-vous sur www.nikeplus.com. compatibles Nike+ ou le site web nikeplus.com L’utilisation d’iTunes Ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes. L’utilisation de l’iPod Rendez-vous sur www.apple.com/fr/support/ipod. 52 0Z034-3940_FUG.qxd 9/11/06 12:22 PM Page 5253 Inhalt 54 Willkommen bei Nike + iPod 56 Einführung 61 Verwenden von Nike + iPod 61 Kalibrieren von Nike + iPod 61 Festlegen der Maßeinheit für die Strecke 62 Eingeben des Gewichts 62 Erhalten von Audio Feedback 63 Verwenden von PowerSongs 63 Unterbrechen des Trainings 64 Anzeigen von Trainingsdaten auf Ihrem iPod 64 Kaufen und Laden von Nike+ Workout Trainingsmusik 65 Verwenden einer Nike + iPod Remote (Fernbedienung) 66 Verbinden des Empfängers mit einem anderen Sensor 67 Aktivieren des Ruhezustands für den Nike + iPod Sensor 68 Wichtige Sicherheitsinformationen 69 Weitere Informationen, Service und Support 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 5354 Willkommen bei Nike + iPod Nike + iPod ist Ihr ganz persönlicher Trainingsassistent. Sports iMixes 10K Powerplay Center Park Loops Funkified 5K In the Zone Owen’s Road to 300 Marley Goes the Distance See All 289 Kalorien Kilometer 8,1 Min./km 0 4 Motivation hier und jetzt Jetzt können Sie Ihre Motivation stärken mit direktem Audio Feedback oder Ihrer individuellen Musik-Kraftspritze. PowerSong Meter für Meter Musik Mischen Sie energiegeladene Musik für Ihren persönlichen Fitness-Fun. Trainieren Sie zur iPod Musik Ihres Lieblingssportlers. Ihr persönlicher Trainingspartner Verbinden Sie Ihren iPod mit Ihrem Computer und schicken Sie Ihre Trainingsergebnisse an nikeplus.com. Überprüfen Sie Ihre Fitness-Verbesserung – Schritt für Schritt. 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 5455 100 MPH Auf die Plätze! Fertig! Los! Machen Sie Mini-Wettkämpfe; z. B. mit Läufern von anderen Ländern und Kontinenten. Wie liegen Sie in der Zeit im Vergleich zu anderen Läufern? Erreichen Sie Ihr Fitness-Ziel Setzen Sie sich ehrgeizige Strecken-, Zeit- oder Kalorienverbrauchsziele. Schauen Sie nach, wie nah Sie Ihrem Ziel schon gekommmen sind. San Francisco, USA Ron Distance 5K Time 23:09 WINNER London, UK Jillian Distance 5K Time 24:13 +1.04 47 Ziel bis 30. August Kilometer Heute 9. Juni München Marathon 13 km/h TEMPO 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 55Einführung Befolgen Sie die nachstehenden Anweisungen, um Ihren Nike + iPod sofort zu benutzen. Schritt 1: Installieren Sie die neueste iPod und iTunes Software. 1 Laden und installieren Sie die neueste iTunes Software von der folgenden Web-Seite: www.apple.com/de/itunes. Sie benötigen iTunes Version 7.0 oder neuer. 2 Schließen Sie den iPod an Ihren Computer an. Wählen Sie „iPod“ im Bereich „Quelle“ aus und klicken Sie in „Zusammenfassung“. 3 Wenn iTunes Ihnen mitteilt, dass Ihr iPod aktualisiert werden muss, klicken Sie in „Aktualisieren“ und befolgen Sie die angezeigten Anweisungen. Sie benötigen die iPod nano Software Version 1.3 oder neuer (First Generation) oder die iPod nano (Aluminum) Software Version 1.1 oder neuer (Second Generation). Schritt 2: Legen Sie den Nike + iPod Sensor in Ihren Nike+ kompatiblen Schuh. m Heben Sie hierfür die Innensohle Ihres linken Schuhs an, entfernen Sie die Schaumstofffüllung aus der Aussparung und legen Sie dort den Sensor hinein. 56 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 56Sie können den Sensor in Ihrem Schuh lassen, auch wenn Sie nicht trainieren. Wenn Sie jedoch die Schuhe längere Zeit zu Nicht-Trainingszwecken tragen, wird empfohlen, den Sensor wieder mit der Schaumstofffüllung auszutauschen, um die Batterielebensdauer zu verlängern. Schritt 3: Schließen Sie den Nike + iPod Empfänger an Ihren iPod an. Heben Sie die Innensohle an und platzieren Sie den Sensor mit der flachen Seite nach oben in der Aussparung. 57 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 57Schritt 4: Wählen Sie die gewünschte Trainingsart. Schritt 5: Wählen Sie die Begleitmusik für Ihr Training. Für folgende Musik Wählen Sie Nike+ Workout Trainingsmusik (siehe Seite 64) den gewünschten Musikmix. Musiktitel, der ggf. gerade spielt „Sie hören”. Titel von einer Wiedergabeliste „Wiedergabelisten“ und wählen Sie die gewünschte Liste aus. Titel in beliebiger Reihenfolge „Zufällige Titel“. Keine Musik „Nichts”. Für die folgenden Trainingsart Wählen Sie Normales Training ohne besonderes Ziel „Nike+iPod“ > „Normales Training“. Training mit Zeitvorgabe „Nike+iPod“ > „Zeit“ und legen Sie fest, wie lange Sie trainieren möchten. Training mit Streckenvorgabe „Nike+iPod“ > „Strecke“ und legen Sie fest, wie weit Sie laufen möchten. Training mit Kalorienverbrauchsvorgabe „Nike+iPod“ > „Einstellungen“ > „Gewicht“ und geben Sie Ihr Gewicht ein. Drücken Sie dann die Taste „Menu”, wählen Sie „Kalorien” und bestimmen Sie die Kalorienanzahl, die Sie beim Trainieren verbrauchen möchten. Hinweis: Ihr Gewicht müssen Sie nur einmal eingeben, und zwar wenn Sie das erste Mal ein Training mit Kalorienverbrauchsvorgabe beginnen. 58 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 58Schritt 6: Beginnen Sie Ihr Training. m Drücken Sie die Mitteltaste und fangen Sie an zu gehen oder zu laufen. Schritt 7: Beobachten Sie Ihre erbrachte Leistung. Nike + iPod bietet Ihnen auf dem iPod Display eine automatische Statusanzeige zu Ihrem Training. In regelmäßigen Abständen erhalten Sie mit Nike + iPod Feedback zu Ihrem Trainingsfortschritt (siehe „Erhalten von Audio Feedback” auf Seite 62). Gehen Sie wie folgt vor, um das Audio Feedback manuell abzurufen: m Drücken Sie während des Trainings zu jeder beliebigen Zeit die Mitteltaste. Schritt 8: Beenden Sie Ihr Training. Sie können Ihr Training jederzeit beenden. Wenn Sie Ihr Training fortsetzen, nachdem Sie Ihre Zeit-, Strecken- oder Kalorienvorgabe erreicht haben, wird der iPod auch weiterhin Ihre Trainingsleistung aufzeichnen. Gehen Sie wie folgt vor, um Ihr Training zu beenden: m Wenn Sie Ihr Gehen oder Laufen beendet haben, drücken Sie die Taste „Menu“ und wählen Sie „Training Aus“. Ihr iPod speichert Ihre neuesten Trainingsdaten für spätere Vergleiche. 59 Wenn Sie diese Statusanzeige sehen, dann ist Nike + iPod in Betrieb. 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 2:25 PM Page 59Schritt 9: Verwalten Sie Ihre Trainingsleistung bei nikeplus.com. Sie können iTunes so einstellen, dass Ihre Trainingsdaten an nikeplus.com geschickt werden, sodass Sie Ihren Leistungsfortschritt in einem bestimmten Zeitraum überprüfen können. Dort können Sie auch Ihre Trainingseinheiten ansehen, Zielvorgaben festlegen bzw. überprüfen und Ihre Ergebnisse mit anderen Benutzern vergleichen. Sie können sogar mit anderen Nike + iPod Online-Benutzern kleine Trainingswettkämpfe veranstalten. Gehen Sie wie folgt vor, um in iTunes das Versenden Ihrer Trainingsdaten an nikeplus.com einzurichten: 1 Entfernen Sie nach einem Training den Empfänger und schließen Sie Ihren iPod an Ihren Computer an. 2 Öffnen Sie iTunes und wählen Sie „iPod“ im Bereich „Quelle“ aus. 3 Klicken Sie in „Nike+iPod“ und markieren Sie das Auswahlfeld neben „Trainingsdaten automatisch an nikeplus.com senden“. 4 Geben Sie Ihre nike.com Account Anmelde-ID sowie Ihr Kennwort ein. Falls Sie keinen nike.com Account haben, klicken Sie in „Account erstellen“ und befolgen Sie die angezeigten Anweisungen. Sobald Sie iTunes zum Versenden der Trainingsdaten an nikeplus.com eingerichtet haben, wird iTunes jedes Mal die jeweils letzten Ergebnisse automatisch verschicken, wenn Sie den iPod an Ihren Computer anschließen. Gehen Sie wie folgt vor, um nikeplus.com zu nutzen: m Wählen Sie in iTunes „iPod“ im Bereich „Quelle“ aus und klicken Sie in „Nike+iPod“. Klicken Sie dann in „Mein nikeplus.com öffnen“. Oder aber besuchen Sie die Web-Site www.nikeplus.com und geben Ihre Anmelde-ID sowie Ihr Kennwort an. Informationen zum Datenschutz bei Nike („Privacy Policy“) sowie die Nike Geschäftsbedingungen („Terms & Conditions“) finden Sie auf der Web-Site nikeplus.com. 60 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 60Verwenden von Nike + iPod Befolgen Sie die nachstehenden Anweisungen, um möglichst viel Nutzen und Freude mit Nike + iPod zu haben. Kalibrieren von Nike + iPod Nike + iPod Messungen sind für die meisten Benutzer ausreichend genau. Sie können die Genauigkeit verbessern, indem Sie Nike + iPod auf Ihr natürliches Gehen und Laufen kalibrieren. Gehen Sie wie folgt vor, um Nike + iPod fürs Gehen oder Laufen zu kalibrieren: 1 Wählen Sie „Nike+iPod“ > „Einstellungen“ > „Sensor“ > „Kalibrieren“ und drücken Sie die Mitteltaste. 2 Wählen Sie „Laufen“ und legen Sie eine Strecke fest. 3 Drücken Sie die Mitteltaste und laufen Sie die gewählte Strecke in einem gleichmäßigen natürlichen Tempo. 4 Drücken Sie die Mitteltaste und wählen Sie „Kalibrieren fertig“. Im Display sehen Sie, ob Ihr Kalibrieren erfolgreich war. 5 Wiederholen Sie die Schritte 1–4, wobei Sie in Schritt 2 „Gehen“ wählen und in Schritt 3 in einem gleichmäßigen natürlichen Tempo gehen. Hinweis: Auch nach dem Kalibrieren kann die Genauigkeit von Streckenmessungen je nach Gangart, Oberflächenbeschaffenheit des Weges, Steigung oder Temperatur unterschiedlich ausfallen. Festlegen der Maßeinheit für die Strecke Mit Nike + iPod können Sie Ihre Trainingsstecke in Kilometern oder in Meilen messen. Gehen Sie wie folgt vor, um die Maßeinheit für die Strecke festzulegen: m Wählen Sie „Nike+iPod“ > „Einstellungen“ und stellen Sie „Strecke“ auf „Kilometer“ oder „Meilen“ ein. 61 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 61Eingeben des Gewichts Gehen Sie wie folgt vor, um Ihr Gewicht einzugeben: m Wählen Sie „Nike+iPod“ > „Einstellungen“ > „Gewicht“ und geben Sie Ihr Gewicht ein. Damit der Kalorienverbrauch mit höchster Genauigkeit errechnet werden kann, sollten Sie mit steigender Fitness die Gewichtseingabe aktualisieren. Erhalten von Audio Feedback Während Sie trainieren, hören Sie, wie Nike + iPod Ihnen regelmäßig Feedback zu Ihrem Trainingsstatus gibt. Gehen Sie wie folgt vor, um das Audio Feedback manuell abzurufen: m Drücken Sie zu einem beliebigen Zeitpunkt während Ihres Trainings die Mitteltaste. Gehen Sie wie folgt vor, um die Stimme für das Audio Feedback festzulegen bzw. um das Audio Feedback zu deaktivieren: m Wählen Sie „Nike+iPod“ > „Einstellungen“ und stellen Sie „Audio Feedback“ auf „Männlich“, „Weiblich” oder „Aus“. Auch wenn die Option „Audio Feedback“ ausgeschaltet ist, können Sie das Audio Feedback manuell abrufen. Hinweis: Die Funktion „Audio Feedback“ steht außer in Englisch auch in einigen anderen Sprachen zur Verfügung. Wenn Sie für Ihren iPod eine Sprache festgelegt haben, in der diese Funktion verfügbar ist, und Sie den iPod an Ihren Computer anschließen, werden Sie von iTunes aufgefordert, eine Version in der anderen Sprache zu laden. Haben Sie „Englisch“ für Ihren iPod festgelegt, können Sie das Feedback weiterhin in Englisch hören. Auf Ihrem iPod kann immer nur eine nicht-englische Version für das Audio Feedback installiert sein. 62 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 62Verwenden von PowerSongs Sie können einen zu besonderer Leistung motivierenden Musiktitel zu Ihrem so genannten „PowerSong“ machen. Dann können Sie jederzeit während Ihres Trainings zu diesem Musiktitel wechseln. Gehen Sie wie folgt vor, um einen PowerSong festzulegen: m Wählen Sie „Nike+iPod“ > „Einstellungen“ > „PowerSong“ und wählen Sie den gewünschten Titel aus. Gehen Sie wie folgt vor, um Ihren PowerSong zu hören: m Drücken Sie zu einem beliebigen Zeitpunkt die Mitteltaste und halten Sie sie gedrückt. Nach einer kleinen Pause wird Ihr PowerSong Titel gespielt. Unterbrechen des Trainings Sie können jederzeit eine Trainingspause einlegen – wobei die Musik und die Datenaufzeichnung ebenfalls pausieren – und das Training dann später fortsetzen, ohne Ihre Trainingsdaten zu verlieren. Gehen Sie wie folgt vor, um eine Pause einzulegen oder das Training fortzusetzen: m Drücken Sie die Taste „Start/Pause“ (’). Gehen Sie wie folgt vor, um eine Pause zu machen und so die Musik wechseln oder andere iPod Funktionen nutzen zu können: 1 Drücken Sie die Taste „Menu“ und wählen Sie „Trainingspause“ bzw. „Musik wechseln“. 2 Wenn Sie soweit sind, dass Sie weitertrainieren möchten, wählen Sie „Nike+iPod“ > „Weitertrainieren“ > „Weitertrainieren“. 63 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 63Anzeigen von Trainingsdaten auf Ihrem iPod Bis Ihre Trainingsdaten mit iTunes an nikeplus.com geschickt werden, sichert Ihr iPod Datum, Uhrzeit, Dauer, Strecke, Tempo und Kalorienverbrauch Ihrer bis zu eintausend letzten Trainingseinheiten. Nachdem die Daten gesendet wurden, behält der iPod die Informationen von den allerletzten Trainingseinheiten bei. Gehen Sie wie folgt vor, um die letzten Trainingseinheiten auf Ihrem iPod anzuschauen: m Wählen Sie „Nike+iPod“ > „Übersicht“. Gehen Sie wie folgt vor, um eine einzelne Trainingseinheit zu löschen: 1 Wählen Sie „Nike+iPod“ > „Übersicht“ und wählen Sie eine Trainingseinheit aus. 2 Klicken Sie die Mitteltaste und wählen Sie „Löschen“. Kaufen und Laden von Nike+ Workout Trainingsmusik Sie können Nike+ Workout Trainingsmusik kaufen und über das Internet laden. Nike+ Workout Titel bieten pausenlose Musik, die mit professionellen Trainerkommentaren gemischt ist. Wählen Sie die Trainingsmusik, die zu Ihrem Trainingsstil und zu Ihrem Leistungsniveau passt. Gehen Sie wie folgt vor, um eine Nike+ Workout Trainingsmusik zu kaufen: 1 Öffnen Sie iTunes und klicken Sie im Bereich „Quelle“ in „iTunes Store“. 2 Klicken Sie in „Sports Music“ und klicken Sie neben der gewünschten Nike+ Workout Trainingsmusik in „Kaufen“. 3 Verbinden Sie Ihren iPod mit Ihrem Computer und laden Sie die Trainingsmusik auf den iPod. 64 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 64Wenn Sie eine Nike+ Workout Trainingsmusik kaufen, erhalten Sie zunächst eine Audioaufnahme mit Musik und gesprochenen Kommentaren. Darüber hinaus erhalten Sie auch alle einzelnen Musiktitel, die in der Trainingsmusik enthalten sind. Hinweis: In den USA sowie in vielen anderen Ländern gilt für Kunden des iTunes Store ein Mindestalter von 13 Jahren. Eine Liste dieser Länder finden Sie unter www.apple.com/de/itunes/download. Bitte beachten Sie die Geschäftsbedingungen. Sie benötigen eine aktive Internet-Verbindung, um den iTunes Store verwenden zu können (für den Internet-Zugang können Gebühren anfallen). Verwenden einer Nike + iPod Remote Fernbedienung Sie können eine Nike+ kompatible Fernbedienung (separat erhältlich) verwenden, um Nike + iPod während Ihres Trainings drahtlos zu steuern. Zum Verwenden einer Fernbedienung müssen Sie den Empfänger mit der Fernbedienung verbinden. Gehen Sie wie folgt vor, um eine Verbindung zur Fernbedienung herzustellen: 1 Schließen Sie den Empfänger an einen iPod an. 2 Wählen Sie „Nike+iPod“ > „Einstellungen“ > „Fernbedienung“ > „Verbinden“ und befolgen Sie die angezeigten Anweisungen. Gehen Sie wie folgt vor, um die Funktion für die Fernbedienung ein- oder auszuschalten: m Wählen Sie „Nike+iPod“ > „Einstellungen“ > „Fernbedienung“ und legen Sie für „Fernbedienen“ die Option „Ein“ oder „Aus“ fest. Gehen Sie wie folgt vor, um die Verbindung zu einer Fernbedienung aufzuheben: m Wählen Sie „Nike+iPod“ > „Einstellungen“ > „Fernbedienung“ > „Verbindung trennen“ und befolgen Sie die angezeigten Anweisungen. 65 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 65Verbinden des Empfängers mit einem anderen Sensor Sie können Ihren iPod und Nike + iPod Empfänger mit mehr als nur einem Nike + iPod Sensor verwenden. Dies ist praktisch, wenn es z. B. in Ihrer Familie mehrere Personen mit eigenem Sensor und Nike+ kompatiblen Schuhen gibt. Jedes Mal, wenn Sie einen Empfänger mit einem anderen Sensor verwenden, müssen Sie den Empfänger dann mit dem jeweiligen Sensor logisch verbinden. Wenn Sie den Empfänger an einen anderen iPod anschließen, ihn jedoch mit demselben Sensor verwenden, erinnert der Empfänger sich an Ihre Einstellungen. Sie müssen die logische Verbindung nicht erneuern und auch nicht Ihren Sensor erneut kalibrieren. Gehen Sie wie folgt vor, um einen Empfänger mit einem anderen Sensor logisch zu verbinden: 1 Schließen Sie den Empfänger an einen iPod an. 2 Ziehen Sie die Schuhe mit dem neuen Sensor an und stellen Sie sicher, dass sich kein anderer Nike + iPod Sensor in der Nähe befindet. Unter Umständen müssen Sie ein paar Schritte laufen, um den Sensor zu aktivieren, damit Ihr Empfänger ihn auch erkennen kann. 3 Auf Ihrem iPod wählen Sie dann „Nike+iPod“ > „Einstellungen“ > „Sensor“ > „Verbinden“ und befolgen Sie anschließend die angezeigten Anweisungen. Wenn der neue Sensor logisch verbunden ist, sehen Sie dies auf dem iPod Display. Hinweis: Falls Sie eine Verbindung für einen Sensor herstellen, der schon einmal mit dem Empfänger verbunden war, erinnert sich Nike + iPod an Ihre vorherigen Kalibriereinstellungen. Sie brauchen den Sensor nicht erneut zu kalibrieren. 66 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 66Aktivieren des Ruhezustands für den Nike + iPod Sensor Der Sensor ist standardmäßig eingeschaltet und in Betrieb. Sie können ihn in den Ruhezustand schalten, wenn Sie den Sensor für längere Zeit nicht einsetzen möchten oder wenn er keine Signale aussenden soll. Gehen Sie wie folgt vor, um den Sensor in den Ruhezustand zu schalten: m Drücken Sie mit Hilfe eines Kugelschreibers oder einer Büroklammer die Taste „Ruhezustand/Betrieb“ und halten Sie diese 3 Sekunden lang gedrückt. Wichtig: Den geltenden gesetzlichen Vorschriften entsprechend müssen Sie den Sensor in den Ruhezustand schalten, bevor Sie damit in einem Flugzeug reisen. Gehen Sie wie folgt vor, um den Sensor wieder in Betrieb zu nehmen: m Drücken Sie mithilfe eines Kugelschreibers oder einer Büroklammer die Taste „Ruhezustand/Betrieb“. Ruhezustand/Betrieb Drücken Sie diese Taste und halten Sie sie 3 Sekunden lang gedrückt, um den Ruhezustand zu aktivieren. Drücken Sie diese Taste erneut, um den Betrieb zu aktivieren. 67 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 6768 Wichtige Sicherheitsinformationen Training Bevor Sie ein Trainingsprogramm beginnen, sollten Sie sich von Ihrem Arzt gründlich untersuchen lassen. Machen Sie vor jedem Trainingsbeginn Aufwärm- und Dehnübungen. Seien Sie beim Sport stets vorsichtig und aufmerksam. Verringern Sie bei Bedarf Ihr Tempo, bevor Sie beim Laufen Einstellungen an Ihrem iPod ändern. Beenden Sie sofort Ihr Training, wenn Sie Schmerzen haben oder sich schwach, schwindelig oder erschöpft fühlen oder wenn Sie kurzatmig sind. Wenn Sie Sport treiben, sind Sie für sämtliche Risiken selbst verantwortlich, die mit körperlichen Betätigungen einhergehen, einschließlich evtl. hierdurch verursachter Verletzungen. Erstickungsgefahr Empfänger und Sensor sind für Kinder unter drei Jahren nicht geeignet, da solche Kleinteile verschluckt werden oder in die Atemwege gelangen können. Achten Sie darauf, dass Kleinkinder keinen Zugang zu diesen Komponenten haben. Vermeiden von Hörschäden Das Verwenden von Ohrhörern oder Kopfhörern mit hoher Lautstärke kann eine dauerhafte Schädigung des Gehörs zur Folge haben. Stellen Sie die Lautstärke nicht zu hoch ein. Sie gewöhnen sich mit der Zeit zwar an höhere Lautstärken, sodass diese für Sie normal erscheinen mögen, Ihre Hörfähigkeit kann jedoch beeinträchtig werden. Falls Sie in Ihren Ohren ein Klingeln wahrnehmen oder Gesprochenes gedämpft hören, sollten Sie nicht weiter Musik hören und ggf. einen Ohrenarzt aufsuchen. Je höher Sie die Lautstärke einstellen, desto schneller kann Ihr Gehör geschädigt werden. Experten empfehlen, das Gehör wie folgt zu schützen:  Benutzen Sie Ohrhörer und Kopfhörer bei hohen Lautstärken nur für eine begrenzte Dauer. ACHTUNG: Bei Nichtbeachtung dieser Sicherheitsinformationen kann es zu Verletzungen oder zur Beschädigung von Systemkomponenten kommen. 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 68 Vermeiden Sie es, die Lautstärke zu erhöhen, um Umgebungsgeräusche zu übertönen.  Reduzieren Sie die Lautstärke, wenn Sie nicht hören können, was Personen in Ihrer Nähe sprechen. Öffnen des Sensors Versuchen Sie nicht, den Sensor zu öffnen, auseinanderzubauen oder die Batterie zu entfernen. Es befinden sich keinerlei Teile im Sensor, die vom Benutzer gewartet werden könnten. Verwenden Sie den Empfänger bzw. den iPod nicht im Wasser bzw. in der Nähe von Wasser oder in feuchten Umgebungen. Weitere Informationen, Service und Support Näheres über Aktion Antworten auf häufig gestellte Fragen Besuchen Sie die folgende Seite: über Nike + iPod www.apple.com/de/ipod/nike/faq.html. Service & Support für den Besuchen Sie die folgende Seite: Nike + iPod Sensor und Empfänger www.apple.com/de/support/nikeplus. Service & Support für Nike+ kompatible Besuchen Sie die folgende Seite: Schuhe bzw. die nikeplus.com Web-Site www.nikeplus.com. Verwenden von iTunes Öffnen Sie iTunes und wählen Sie „Hilfe“ > „iTunes Hilfe“. Verwenden des iPod Besuchen Sie die folgende Seite: www.apple.com/de/support/ipod. 69 0Z034-3940_DUG.qx 9/11/06 12:22 PM Page 6970 FCC Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the television or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the television or radio.  Move the computer farther away from the television or radio.  Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple-authorized service provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Changes or modifications to this product not authorized by Apple Computer, Inc., could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product was tested for EMC compliance under conditions that included the use of Apple peripheral devices and Apple shielded cables and connectors between system components. It is important that you use Apple peripheral devices and shielded cables and connectors between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. You can obtain Apple peripheral devices and the proper shielded cables and connectors through an Apple-authorized dealer. For nonApple peripheral devices, contact the manufacturer or dealer for assistance. Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Computer, Inc. Product Compliance, 1 Infinite Loop M/S 26-A, Cupertino, CA 95014-2084 Regulatory Compliance Information 0Z034-3940_FCC.qx 9/11/06 12:22 PM Page 70Wireless Information FCC Wireless Compliance for the Nike + iPod Sensor. The antenna used with this transmitter must not be colocated or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant. Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la Class B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. European Wireless EU Declaration of Conformity This wireless device complies with the specifications EN 300 328, EN 301-489, EN 50371, and EN 60950 following the provisions of the R&TTE Directive. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B, RSS 200 specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 RSS 210 du Canada. European Community Complies with European Directives 72/23/EEC, 89/336/EEC, and 99/5/EEC. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the included devices is far below the FCC radio frequency exposure limits. Disposal and Recycling Information The Nike + iPod Sensor contains a battery. Dispose of your Nike + iPod Sensor according to local environmental laws and guidelines. When discarding shoes, remove the Nike + iPod Sensor and dispose of it properly. For information about Apple’s recycling program, go to www.apple.com/environment. California: The coin cell battery in your sensor contains perchlorates. Special handling and disposal may apply. Refer to www.dts.ca.gov/hazardouswaste/perchlorate. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerät am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Taiwan: 71 0Z034-3940_FCC.qx 9/11/06 12:22 PM Page 71European Union—Disposal Information: The symbol above means that according to local laws and regulations your product should be disposed of separately from household waste. When this product reaches its end of life, take it to a collection point designated by local authorities. Some collection points accept products for free. The separate collection and recycling of your product at the time of disposal will help conserve natural resources and ensure that it is recycled in a manner that protects human health and the environment. Union Européenne : informations sur l’élimination Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portezle dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. Europäische Union – Informationen zur Entsorgung Das Symbol oben bedeutet, dass dieses Produkt entsprechend den geltenden gesetzlichen Vorschriften und getrennt vom Hausmüll entsorgt werden muss. Geben Sie dieses Produkt zur Entsorgung bei einer offiziellen Sammelstelle ab. Bei einigen Sammelstellen können Produkte zur Entsorgung unentgeltlich abgegeben werden. Durch das separate Sammeln und Recycling werden die natürlichen Ressourcen geschont und es ist sichergestellt, dass beim Recycling des Produkts alle Bestimmungen zum Schutz von Gesundheit und Umwelt beachtet werden. Unione Europea: informazioni per l’eliminazione Questo simbolo significa che, in base alle leggi e alle norme locali, il prodotto dovrebbe essere eliminato separatamente dai rifiuti casalinghi. Quando il prodotto diventa inutilizzabile, portarlo nel punto di raccolta stabilito dalle autorità locali. Alcuni punti di raccolta accettano i prodotti gratuitamente. La raccolta separata e il riciclaggio del prodotto al momento dell’eliminazione aiutano a conservare le risorse naturali e assicurano che venga riciclato in maniera tale da salvaguardare la salute umana e l’ambiente. Europeiska unionen – uttjänta produkter Symbolen ovan betyder att produkten enligt lokala lagar och bestämmelser inte får kastas tillsammans med hushållsavfallet. När produkten har tjänat ut måste den tas till en återvinningsstation som utsetts av lokala myndigheter. Vissa återvinningsstationer tar kostnadsfritt hand om uttjänta produkter. Genom att låta den uttjänta produkten tas om hand för återvinning hjälper du till att spara naturresurser och skydda hälsa och miljö. Apple and the Environment At Apple, we recognize our responsibility to minimize the environmental impacts of our operations and products. For more information, go to www.apple.com/environment. www.apple.com/ipod/nike www.apple.com/support/nikeplus 0Z034-3940-A Printed in XXXX 0Z034-3940_FCC.qx 9/11/06 12:22 PM Page 72 Mac mini Guide de l’utilisateur Ce document comprend des informations relatives à la configuration et au dépannage de votre ordinateur Mac mini F3734M40.book Page 1 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMK Apple Computer, Inc. © 2006 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. En application des lois et conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer, Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tout a été mis en œuvre pour que les informations pré- sentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AirPort, Final Cut, FireWire, iCal, iDVD, iLife, iMovie, iPhoto, iPod, iTunes, Mac, le logo Mac, Mac OS, Macintosh et QuickTime sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. AirPort Express, Exposé, Finder, le logo FireWire, iSight, Safari, Spotlight, SuperDrive et Tiger sont des marques d’Apple Computer Inc. AppleCare, Apple Store et iTunes Music Store sont des marques de service d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. .Mac est une marque de service d’Apple Computer, Inc. La marque et les logos Bluetooth® sont la propriété de Bluetooth SIG, Inc. et sont utilisés sous licence par Apple Computer, Inc. Intel et Intel Core sont des marques d’Intel Corp. aux États-Unis et dans d’autres pays. F3734M40.book Page 2 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMPowerPC™ et le logo PowerPC logo™ sont des marques d’International Business Machines Corporation, utilisées sous licences de ladite société. ENERGY STAR® est une marque déposée aux États-Unis. Les autres noms de produits et de sociétés sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Le produit décrit dans ce manuel intègre des technologies de protection des droits d’auteur elles-mêmes protégées par divers brevets des États-Unis ainsi que par d’autres droits de propriété intellectuelle appartenant à Macrovision Corporation et à d’autres détenteurs. L’utilisation de ces technologies de protection des droits d’auteur doit être autorisée par Macrovision Corporation et est destinée à un cadre privé ou restreint, sauf consentement de Macrovision Corporation. Tout démontage ou ingénierie inverse est interdit. Réclamations concernant l’appareillage aux États-Unis. Brevets nº 4,631,603, 4,577,216, 4,819,098 et 4,907,093 sous licence à des fins de visualisation limitée uniquement. F3734M40.book Page 3 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMF3734M40.book Page 4 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM5 Table des matières 9 Chapitre 1 : Premiers contacts 10 Contenu de la boîte 11 Configuration de votre Mac mini 17 Étapes suivantes 19 Extinction ou suspension d’activité de votre Mac mini 21 Chapitre 2 : Prise en main de votre Mac mini 22 Description de la face avant de votre Mac mini 24 Description de la face arrière avant de votre Mac mini 26 À propos de Mac OS X 27 Obtention de réponses grâce à l’Aide Mac 28 Personnalisation du bureau et réglage des préférences 29 Connexion d’une imprimante 30 Maintien à jour de votre logiciel 31 Connexion à un réseau 31 Utilisation d’Internet 32 Transfert de fichiers vers un autre ordinateur 33 Utilisation des applications F3734M40.book Page 5 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM6 Table des matières 33 Lorsqu’une application ne répond plus 35 Chapitre 3 : Utilisation de votre Mac mini 36 Connexion d’un moniteur ou d’un périphérique vidéo 37 Utilisation de la télécommande Apple Remote et de Front Row 42 Utilisation de la technologie USB 44 Connexion via FireWire 47 Mise en réseau sans fil AirPort Extreme 48 Utilisation de la technologie sans fil Bluetooth 50 Connexion à un réseau Ethernet 51 Branchement de périphériques audio 54 Utilisation de votre lecteur optique 58 Protection de votre Mac mini 59 Chapitre 4 : Dépannage 60 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur 62 Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur 63 Autres problèmes 66 Utilisation de la fonction Apple Hardware Test 67 Localisation du numéro de série de votre produit 69 Annexe A : Caractéristiques 71 Annexe B : Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien F3734M40.book Page 6 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMTable des matières 7 71 Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de votre ordinateur 73 Utilisation de connecteurs et de ports 74 Utilisation de l’adaptateur secteur 75 Informations se rapportant au laser 76 Avertissement relatif aux activités à haut risque 77 Nettoyage de votre Mac mini 77 Déplacement de votre Mac mini 77 Protection de votre système auditif 78 À propos d’Apple et de l’environnement 78 Comprendre l’ergonomie 81 Annexe C : Connexion à Internet 83 Rassembler les informations requises 85 Utilisation de l’Assistant réglages de réseau pour se connecter 86 Dépannage de votre connexion 89 Communications Regulation Information F3734M40.book Page 7 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMF3734M40.book Page 8 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM9 1 1 Premiers contacts Votre Mac mini est conçu pour être configuré facilement et utilisé immédiatement. Si vous n’avez jamais utilisé de Mac mini ou n’êtes pas familiarisé avec les ordinateurs Macintosh, vous trouverez dans ce chapitre des instructions pour débuter. Si vous êtes un utilisateur expérimenté, peut-être êtes-vous déjà en mesure d’utiliser votre nouvel ordinateur. Veillez néanmoins à consulter les informations du chapitre 2, « Prise en main de votre Mac mini », pour découvrir les nouvelles fonctionnalités de votre ordinateur Mac mini. Important : lisez toutes les instructions d’installation et les consignes de sécurité (voir page 71) avant de brancher votre ordinateur à une prise électrique. F3734M40.book Page 9 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM10 Chapitre 1 Premiers contacts Contenu de la boîte Votre Mac mini est fourni avec les composants suivants : Avant de configurer votre Mac mini, enlevez le film protecteur situé à l’extérieur de votre ordinateur et de son adaptateur secteur. Adaptateur DVI-VGA Adaptateur secteur Câble CA Télécommande Apple Remote MENU F3734M40.book Page 10 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 1 Premiers contacts 11 Configuration de votre Mac mini Placez votre Mac mini à l’endroit ou sur une face latérale, mais pas sur sa face supérieure. Utilisez uniquement l’adaptateur secteur fourni avec votre Mac mini. Les autres adaptateurs secteur ne sont pas prévus pour fonctionner avec ce Mac mini. Suivez la procédure décrites dans les pages suivantes pour le configurer. Étape 1 : branchez fermement le câble d’alimentation à l’adaptateur secteur puis branchez le cordon de l’adptateur à votre ordinateur. Branchez le câble d’alimentation à une prise de courant avec mise à la terre. , F3734M40.book Page 11 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM12 Chapitre 1 Premiers contacts Étape 2 : pour accéder à Internet, connectez un câble Ethernet. Vous pouvez également utiliser un modem USB externe pour accéder à Internet. Les modems USB Apple externes sont disponibles dans les magasins Apple Store et l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/francestore/. Si vous configurez un réseau sans fil ou que vous vous y connectez, consultez l’annexe C, « Connexion à Internet », à la page 81. , F3734M40.book Page 12 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 1 Premiers contacts 13 Étape 3 : connectez le câble USB de votre clavier et de votre souris Votre Mac mini n’est pas livré avec un clavier ou une souris, mais vous pouvez utiliser pratiquement n’importe quel clavier USB et n’importe quelle souris USB avec votre ordinateur. Si votre clavier dispose d’un port USB (d), vous pouvez connecter votre souris à ce dernier. Dans le cas contraire, vous pouvez connecter votre souris à un des ports USB (d) situés à l’arrière de votre ordinateur. , F3734M40.book Page 13 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM14 Chapitre 1 Premiers contacts Si vous utilisez un clavier USB qui n’est pas spécialement conçu pour Mac OS, il se peut qu’il ne soit pas doté d’une touche Commande (x) ou Option, touches standard sur les claviers Apple. La touche Commande (x) d’un clavier Apple correspond à la touche Windows d’un clavier d’autre fabricant (l’icône sur la touche ressemble au logo Windows) La touche Option d’un clavier Apple correspond à la touche Alt d’un clavier d’un autre fabricant. Vous pouvez utiliser les préférences Clavier et souris pour modifier les raccourcis clavier. Pour ouvrir les préférences Clavier et souris, choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, cliquez sur Clavier et souris puis sur Touches de modification et suivez les instructions à l’écran. Si vous utilisez une souris ou un clavier USB provenant d’un autre fabricant, des gestionnaires logiciels seront sans doute requis. Visitez le site Internet du fabricant pour trouver les gestionnaires les plus récents. Pour configurer un clavier sans fil Apple Wireless et une souris sans fil Apple Wireless sur votre Mac mini, suivez les instructions qui accompagnent le clavier et la souris. F3734M40.book Page 14 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 1 Premiers contacts 15 Étape 4 : connectez le câble DVI de votre moniteur au port vidéo. Connectez un moniteur DVI au port de sortie vidéo (£) situé à l’arrière de votre Mac mini. Pour connecter un moniteur VGA, utilisez l’adaptateur Apple DVI vers VGA fourni avec votre ordinateur. Pour en savoir plus sur le branchement d’un moniteur, reportez-vous aux instructions dans le chapitre chapitre 2, « Prise en main de votre Mac mini ». Remarque : votre Mac mini n’est pas fourni avec un moniteur. Important : ne placez jamais d’objet sur votre Mac mini, car cela pourrait provoquer des interférences avec le lecteur optique ou les signaux sans fil AirPort ou Bluetooth® . , F3734M40.book Page 15 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM16 Chapitre 1 Premiers contacts Étape 5 : allumez votre Mac mini en appuyant sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière. , ® F3734M40.book Page 16 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 1 Premiers contacts 17 Étapes suivantes La première fois que vous démarrez votre Mac mini, l’Assistant réglages s’ouvre. Il vous aide à saisir les informations concernant la configuration Internet et le courrier électronique et à configurer un compte d’utilisateur sur votre Mac mini. Si vous possédez déjà un ordinateur Macintosh, l’Assistant réglages peut vous aider à transférer automatiquement les fichiers, les applications et d’autres informations depuis votre ancien ordinateur vers votre nouveau Mac mini. Transfert d’informations sur votre Mac mini L’Assistant réglages facilite la copie de vos réglages, fichiers et dossiers enregistrés depuis votre ancien Mac. Il vous indique la procédure exacte à suivre pour connecter votre ancien Mac à votre nouveau Mac afin de transférer vos réglages de réseau, comptes d’utilisateur, documents, photos, applications et plus encore. L’Assistant réglages utilise FireWire pour transférer rapidement et facilement vos fichiers sur votre nouveau Mac : il suffit de suivre les instructions à l’écran. Les éléments suivants sont requis pour transférer vos données :  Vous devez disposer d’un câble FireWire standard.  Mac OS X version 10.1 ou ultérieure doit être installé sur votre ancien Mac.  Votre ancien Mac doit être doté d’un port FireWire intégré et gérer le mode disque cible FireWire. L’Assistant réglages vous guide tout au long du processus de transfert des vos données ; les informations se trouvant sur votre autre Mac ne sont pas affectées. L’Assistant réglages peut transférer :  les comptes d’utilisateur, y compris les préférences et le courrier électronique ;  les réglages de réseau ; F3734M40.book Page 17 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM18 Chapitre 1 Premiers contacts  le dossier Applications ;  les fichiers et dossiers de votre disque dur principal et de vos autres disques durs. Si vous n’utilisez pas l’Assistant réglages pour transférer vos informations lors du démarrage initial de votre Mac mini, vous pouvez le faire ultérieurement. Pour cela, ouvrez le dossier Applications, ouvrez le dossier Utilitaires, puis double-cliquez sur l’icône Assistant migration. Remarque : si vous effectuez votre transfert d’informations ultérieurement à l’aide de l’Assistant migration, veillez à ce que FileVault soit désactivé sur votre ancien ordinateur. Pour désactiver FileVault, choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, cliquez sur Sécurité puis suivez les instructions à l’écran. Configuration de votre Mac mini pour Internet Si vous n’avez pas transféré vos réglages réseau, l’Assistant réglages peut également vous guider tout au long de la configuration de votre Mac mini en vue de sa connexion à Internet. Pour les particuliers, l’accès à Internet requiert généralement l’ouverture d’un compte auprès d’un fournisseur d’accès Internet (éventuellement payant). Si vous disposez déjà d’un compte Internet, consultez l’annexe C, « Connexion à Internet », à la page 81 pour savoir quelles sont les informations à saisir. F3734M40.book Page 18 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 1 Premiers contacts 19 Extinction ou suspension d’activité de votre Mac mini Lorsque vous avez fini d’utiliser votre Mac mini, vous pouvez suspendre son activité ou l’éteindre. Suspension de l’activité de votre Mac mini Si vous envisagez de ne pas utiliser votre Mac mini pendant une période inférieure à quelques jours, suspendez-en l’activité. Lorsque l’activité de votre Mac mini est suspendue, son écran est noir. Vous avez la possibilité de le réactiver rapidement sans passer par la procédure de démarrage. Pour suspendre l’activité de votre Mac mini, procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez le menu Pomme () > Suspendre l’activité.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière du Mac mini.  Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système, cliquez sur Économiseur d’énergie et définissez un délai pour la minuterie de mise en veille.  Maintenez enfoncé le bouton Lecture/Pause (’) de la télécommande Apple Remote pendant 3 secondes. Pour réactiver votre Mac mini, appuyez sur une touche du clavier ou un bouton de la télécommande Apple Remote. À la réactivation de votre Mac mini, vos applications, documents et réglages d’ordinateur réapparaissent exactement tels que vous les aviez laissés. F3734M40.book Page 19 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM20 Chapitre 1 Premiers contacts Extinction de votre Mac mini Si vous ne comptez pas utiliser votre Mac mini pendant plusieurs jours, éteignez-le. Choisissez le menu Pomme () > Éteindre. Avertissement : éteignez votre Mac mini avant de le déplacer. Tout déplacement de votre Mac mini lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager ce dernier et d’entraîner une perte de données ou une impossibilité de démarrer à partir du disque dur. F3734M40.book Page 20 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM21 2 2 Prise en main de votre Mac mini Dans ce chapitre, vous trouverez des informations élémentaires concernant votre Mac mini. Il vous offre une vue d’ensemble des différents éléments de votre Mac mini et des caractéristiques de Mac OS X, notamment des informations sur les tâches habituelles, (par exemple obtenir des réponses lorsque vous avez besoin d’aide, personnaliser l’apparence du bureau, se connecter à une imprimante ou utiliser Internet). Pour obtenir les informations les plus récentes Du fait qu’Apple publie fréquemment des nouvelles versions et mises à jour de ses logiciels système, il est possible que les images de ce manuel soient légèrement diffé- rentes de ce que vous voyez à l’écran. Le site web d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr, vous donne accès aux informations, aux téléchargements gratuits et aux catalogues en ligne des logiciels et matériels Apple les plus récents destinés à votre Mac mini. Vous trouverez également les manuels de nombreux produits Apple, ainsi que l’assistance technique pour tous les produits Apple, sur le site web de service après-vente Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support/. F3734M40.book Page 21 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM22 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini Description de la face avant de votre Mac mini Témoin lumineux d’alimentation Récepteur infrarouge intégré Antenne AirPort Lecteur optique à chargement par fente F3734M40.book Page 22 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 23 Récepteur à infrarouge intégré Utilisez la télécommande Apple Remote et le récepteur à infrarouge intégré pour travailler encore plus facilement avec votre Mac mini. Témoin d’alimentation Un témoin lumineux blanc indique que votre Mac mini est allumé ; un témoin clignotant indique que son activité est suspendue. Lecteur de disque optique à chargement par fente Votre Mac mini est doté d’un lecteur Combo DVD-ROM/CD-RW ou d’un lecteur SuperDrive DVD+R DL/DVD±RW/CD-RW. Chaque lecteur peut lire des CD-ROM, des disques audio standard et d’autres types de support. Le lecteur Combo peut également lire des DVD et des films ainsi que graver de la musique, des documents et autres fichiers numériques sur des disques CD-R et CD-RW. Outre ces types de disques, le lecteur SuperDrive peut lire et graver sur des disques DVD±R, DVD±RW et DVD+R double couche (ou DVD+R DL). Z Technologie sans fil AirPort Extreme (interne) Connectez-vous à un réseau san fil grâce à la technologie AirPort Extreme. Afin d’éviter toute interférence, veillez à libérer la zone entourant l’antenne AirPort. ◊ Technologie sans fil Bluetooth® (interne) Connectez des périphériques sans fil tels que les téléphones portables, organiseurs et imprimantes Bluetooth, ainsi que le clavier sans fil Apple Wireless Keyboard et la souris sans fil Apple Wireless Mouse (tous deux en vente sur le site www.apple.com/francestore/). F3734M40.book Page 23 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM24 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini Description de la face arrière avant de votre Mac mini , , f H £ d Bouton d’alimentation Logement de sécurité Port secteur ® ¯ G Port de sortie casque/audio numérique optique Port Ethernet (10/100/1000 Base-T) Port FireWire 400 Port de sortie vidéo Ports USB 2.0 (4) Porte d’entrée de ligne audio/ audio numérique optique F3734M40.book Page 24 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 25 Logement de sécurité Vous pouvez y attacher un cadenas et un câble pour empêcher le vol (disponible sur www.apple.com/francestore/). f Port de sortie casque/audio numérique optique Il permet de connecter un casque, des haut-parleurs actifs externes ou des appareils audio numériques. , Port d’entrée de ligne audio/audio numérique optique Il permet de connecter un micro ou un appareil audio numérique à votre Mac mini. d Quatre ports USB 2.0 Ils permettent en particulier de connecter une souris, un clavier, une imprimante, un iPod ou un modem USB externe. £ Port de sortie vidéo Il permet de connecter des moniteurs utilisant un connecteur DVI. Vous pouvez également connecter des moniteurs utilisant un connecteur VGA grâce à l’adaptateur DVI vers VGA livré avec votre ordinateur. Vous pouvez également utiliser un adaptateur DVI vers vidéo (disponible sur l’Apple Store en ligne à www.apple.com/francestore/) pour connecter un téléviseur, un magnétoscope ou tout autre appareil vidéo. G Port Ethernet Il permet de se connecter à un réseau Ethernet 10/100/1000Base-T ou à un modem câble ou DSL. ¯ Port d’alimentation Il permet de connecter le câble d’alimentation relié à l’adaptateur secteur. ® Bouton d’alimentation Il permet d’allumer votre Mac mini ou de suspendre son activité. Maintenez ce bouton enfoncé pour réinitialiser l’ordinateur lors des procédures de dépannage. H Port FireWire 400 Il permet de connecter des périphériques à haute vitesse, par exemple une caméra vidéo iSight ou un disque dur. F3734M40.book Page 25 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM26 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini À propos de Mac OS X Votre Mac mini est fourni avec Mac OS X Tiger et la suite d’applications iLife. Vous pouvez en apprendre plus sur Mac OS X et iLife dans le fascicule Bienvenue sur Tiger fourni avec votre Mac mini. Vous pouvez également ouvrir l’Aide Mac (consultez la page 27) et parcourir les informations qu’elle contient. Vous trouverez un grand volume d’informations pour les utilisateurs novices et expérimentés, ainsi que pour ceux qui passent au Mac. Si vous rencontrez des problèmes lors de l’utilisation de Mac OS X, reportez-vous aux informations de dépannage au dos de ce manuel ou allez dans la barre des menus en haut de l’écran et sélectionnez Aide > Aide Mac. Mac OS X comprend :  Spotlight, un moteur de recherche puissant qui indexe automatiquement l’ensemble de vos fichiers ;  Dashboard, une interface qui permet d’accéder rapidement à des « widgets » ou mini-applications pratiques ;  Exposé, qui dispose en mosaïque et organise de façon claire toutes vos applications ouvertes. Pour obtenir des informations sur les applications que vous pouvez utiliser avec Mac OS X ou pour en savoir plus sur Mac OS X en général, consultez le site web consacré à Mac OS X à l’adresse www.apple.com/fr/macosx/. F3734M40.book Page 26 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 27 Obtention de réponses grâce à l’Aide Mac Vous trouverez la plupart des informations concernant l’utilisation de votre Mac dans l’Aide Mac. Pour ouvrir l’Aide Mac : 1 Cliquez sur l’icône Finder dans le Dock (le groupe d’icônes situé au bord de l’écran). 2 Choisissez Aide > Aide Mac (cliquez sur le menu Aide dans la barre des menus puis sélectionnez Aide Mac). 3 Cliquez dans le champ Rechercher, tapez votre question puis appuyez sur la touche Retour du clavier. F3734M40.book Page 27 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM28 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini Personnalisation du bureau et réglage des préférences Grâce aux Préférences Système, vous pouvez donner à votre bureau l’apparence souhaitée sans perdre de temps. Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système dans la barre des menus. Préférences Système constitue le poste de commande qui vous permet d’effectuer la plupart des réglages de votre Mac mini. Tout en vous familiarisant avec votre Mac mini, découvrez progressivement les autres Préférences Système. Pour en savoir plus, choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez « Préférences Système » ou le nom de préférences spécifiques. F3734M40.book Page 28 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 29 Connexion d’une imprimante Vous pouvez connecter la plupart des imprimantes au moyen d’un câble USB ; d’autres peuvent requérir une connexion en réseau comme Ethernet. Si vous possédez une borne d’accès AirPort Express ou AirPort Extreme, vous pouvez connecter une imprimante USB à la borne d’accès (plutôt qu’à l’ordinateur) pour effectuer des tâches d’impression sans fil. Suivez les instructions fournies avec votre imprimante pour installer les logiciels requis et connecter l’imprimante. La plupart des gestionnaires d’imprimantes sont intégrés à Mac OS X . En général, lorsque vous connectez une imprimante, votre Mac mini la détecte automatiquement et l’ajoute à la liste des imprimantes disponibles. Il est possible que vous ayez besoin du nom de réseau ou de l’adresse d’une imprimante connectée à un réseau pour pouvoir y imprimer. Pour configurer une imprimante : 1 Ouvrez Préférences Système et cliquez sur l’icône Imprimantes et fax. 2 Cliquez sur Impression puis sur le bouton Ajouter (+) pour ajouter une imprimante. 3 Sélectionnez l’imprimante que vous souhaitez utiliser, puis cliquez sur Ajouter. 4 Utilisez les boutons Ajouter (+) et Supprimer (–) pour choisir les imprimantes que vous souhaitez voir apparaître dans la liste des imprimantes. Contrôle de l’impression Après avoir envoyé un document à une imprimante, vous pouvez contrôler l’impression, notamment interrompre votre tâche d’impression ou la placer temporairement en attente. Pour contrôler l’impression, cliquez sur l’icône Imprimante dans le Dock pour ouvrir la fenêtre de l’imprimante. Vous voyez alors la liste des travaux d’impression et la file d’attente, sur lesquelles vous pouvez intervenir. Pour obtenir plus d’informations, ouvrez l’Aide Mac et recherchez « impression ». F3734M40.book Page 29 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM30 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini Maintien à jour de votre logiciel Vous pouvez vous connecter à Internet pour télécharger et installer automatiquement les dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple. Chaque fois que vous vous connectez à Internet, « Mise à jour de logiciels » consulte les serveurs Internet d’Apple pour rechercher les mises à jour disponibles pour votre ordinateur. Par défaut, votre Mac mini recherche automatiquement les mises à jour une fois par semaine, mais vous pouvez le configurer pour qu’il recherche une fois par jour ou une fois par mois. Vous pouvez également à tout moment rechercher vous-même les mises a jour. Pour rechercher des logiciels mis à jour : 1 Ouvrez les Préférences Système. 2 Cliquez sur l’icône « Mise à jour de logiciels » et suivez les instructions à l’écran. F3734M40.book Page 30 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 31  Pour plus d’informations, recherchez « Mise à jour de logiciels » dans l’Aide Mac.  Pour obtenir les toutes dernières informations concernant Mac OS X, consultez le site web Mac OS X à l’adresse www.apple.com/fr/macosx/. Connexion à un réseau Si vous souhaitez connecter votre Mac mini à un réseau Ethernet, un modem câble, un modem DSL ou un réseau sans fil, consultez « Connexion à un réseau Ethernet » à la page 50 et « Mise en réseau sans fil AirPort Extreme » à la page 47 pour en savoir plus sur la configuration d’une connexion Ethernet ou AirPort. Vous pouvez également ouvrir l’Aide Mac et rechercher « Ethernet » ou « AirPort ». Utilisation d’Internet Lors de la configuration initiale de votre Mac mini, Assistant réglages vous a aidé à vous connecter à Internet. Pour utiliser une connexion de type différent, telle que modem DSL, modem câble, réseau local (LAN) Ethernet, réseau AirPort Extreme ou autre type de réseau sans fil, consultez l’annexe C, « Connexion à Internet », à la page 81. F3734M40.book Page 31 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM32 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini Transfert de fichiers vers un autre ordinateur Plusieurs solutions vous sont offertes pour transférer des fichiers ou des documents depuis ou vers votre Mac mini.  Vous pouvez facilement transférer des fichiers à l’aide d’Assistant réglages. Pour plus d’informations, consultez la section « Transfert d’informations sur votre Mac mini » à la page 17.  Vous pouvez transférer des fichiers via Internet en utilisant .Mac ou d’autres comptes Internet. Pour plus d’informations, consultez le site www.mac.com/fr.  Si votre Mac mini est connecté à un réseau Ethernet, vous pouvez transférer des fichiers vers un autre ordinateur sur ce même réseau. Pour accéder à un autre ordinateur ou serveur, ouvrez une fenêtre du Finder puis cliquez sur Réseau. Si vous connaissez le nom ou l’adresse réseau de l’ordinateur, choisissez Aller > Se connecter au serveur dans la barre des menus du Finder.  Vous pouvez créer un réseau Ethernet de petite taille en reliant votre Mac mini au port Ethernet (G) d’un autre ordinateur à l’aide d’un câble Ethernet. Pour obtenir plus d’informations, ouvrez l’Aide Mac et recherchez « connexion de deux ordinateurs ».  Vous pouvez vous connecter à un autre Mac au moyen d’un câble FireWire. Votre Mac mini apparaît comme un lecteur de disque sur l’autre ordinateur (ou vice-versa). Vous pouvez alors transférer les fichiers. Pour plus d’informations sur l’utilisation de FireWire pour le transfert de fichiers, ouvrez l’Aide Mac et recherchez « transfert de fichiers avec FireWire ».  Vous pouvez vous connecter à un réseau sans fil AirPort. Pour plus d’informations, consultez la section « Mise en réseau sans fil AirPort Extreme » à la page 47. Pour plus d’informations sur le transfert de fichiers et de documents, ouvrez l’Aide Mac et recherchez « transfert de fichiers » ou le type de connexion dont vous avez besoin. F3734M40.book Page 32 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 33 Utilisation des applications Votre Mac mini est accompagné des applications iLife et d’autres applications logicielles, qui vous permettront d’envoyer des messages électroniques, de naviguer sur Internet, de dialoguer en ligne, d’organiser vos morceaux de musique et vos photos numériques, de créer des films et bien plus encore. Pour plus d’informations, ouvrez une application puis ouvrez son Aide Mac. Lorsqu’une application ne répond plus Il peut arriver, très rarement, qu’une application se « fige » à l’écran. Mac OS X permet de quitter une application qui ne répond plus sans devoir redémarrer votre Mac mini, ce qui permet d’enregistrer le travail effectué dans d’autres applications ouvertes. F3734M40.book Page 33 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM34 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini Pour forcer une application à quitter : 1 Choisissez Pomme () > Forcer à quitter ou appuyez sur les touches Commande (x) + Option + Échap d’un clavier Apple. La boîte de dialogue Forcer à quitter des applications apparaît avec l’application sélectionnée. 2 Cliquez sur Forcer à quitter. L’application se ferme, en laissant toutes les autres applications ouvertes. F3734M40.book Page 34 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM35 3 3 Utilisation de votre Mac mini De nombreuses fonctionnalités intégrées à votre Mac mini vous permettent de le personnaliser selon vos besoins. Votre ordinateur comprend les fonctionnalités et possibilités suivantes :  ports USB 2.0 haut débit (d) pour connecter entre autres iPod, imprimante, scanneur, clavier, appareil photo numérique, disque dur, modem USB externe (voir « Utilisation de la technologie USB » à la page 42) ;  un port FireWire (H) pour connecter des périphériques à haut débit tels que caméra numérique ou disque dur externe (voir « Connexion via FireWire » à la page 44) ;  technologie Bluetooth® (◊) pour vous connecter sans fil à de périphériques tels que clavier ou souris Apple Wireless (voir « Utilisation de la technologie sans fil Bluetooth » à la page 48) ;  technologies de communication sans fil, notamment Ethernet 10/100/1000Base-T (G) et AirPort Extreme (Z) (voir les informations exposées à partir de la page 47) ;  port de sortie casque/audio numérique (f) pour connecter casque, enceintes actives ou équipement audio numérique (reportez-vous à la section « Branchement de périphériques audio » à la page 51) ; F3734M40.book Page 35 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM36 Chapitre 3 Utilisation de votre Mac mini  port d’entrée de ligne audio/audio numérique optique (,) pour connecter l’équipement audio numérique ou microphone (reportez-vous à la section « Branchement de périphériques audio » à la page 51). Pour en savoir plus sur les possibilité de votre Mac mini, commencez par lire ce chapitre. Vous trouverez plus d’informations dans l’Aide Mac et sur le site web d’Apple consacré au Mac mini, à l’adresse www.apple.com/fr/support/macmini/. Connexion d’un moniteur ou d’un périphérique vidéo Vous pouvez directement connecter un moniteur doté d’un connecteur DVI au port de sortie vidéo (£) de votre Mac mini. À l’aide de l’un des adaptateurs décrits ci-dessous, vous pouvez également connecter un périphérique vidéo ou un moniteur doté d’un connecteur VGA. Adaptateur DVI vers VGA Pour connecter un moniteur avec connecteur VGA, utilisez l’adaptateur Apple DVI vers VGA qui est fourni avec votre ordinateur. Adaptateur DVI-VGA Connecteur VGA sur le câble du moniteur Port de sortie vidéo Port de sortie vidéo Adaptateur DVI-Vidéo Ports de sortie vidéo et de sortie S-vidéo composite F3734M40.book Page 36 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 3 Utilisation de votre Mac mini 37 Adaptateur DVI vers Vidéo Vous pouvez également connecter à votre ordinateur téléviseur, magnétoscope ou autre périphérique vidéo externe grâce à l’adaptateur Apple DVI vers Vidéo, disponible auprès des revendeurs agréés Apple, des magasins Apple Store et de l’Apple Store en ligne, à l’adresse www.apple.com/francestore/. Pour obtenir des informations sur la compatibilité avec les écrans d’autres fabricants, consultez la documentation fournie avec l’écran ou contactez le fabricant de cet écran. Utilisation de la télécommande Apple Remote et de Front Row La télécommande Apple Remote livrée avec votre Mac mini fonctionne avec l’application Front Row et le récepteur infrarouge intégré, qui se trouve sur la face avant de votre Mac mini, à droit du lecteur optique. La télécommande Apple Remote ouvre Front Row et vous pouvez alors, à distance, lire la musique de votre bibliothèque musicale iTunes, regarder des diaporamas de photos et des bandes-annonces QuickTime, lire un DVD dans Lecteur DVD et plus encore. Votre télécommande Apple Remote peut :  ouvrir Front Row ;  parcourir les menus Musique, Photos, Clips vidéo et DVD de Front Row ;  explorer iTunes, iPhoto et Lecteur DVD ;  suspendre l’activité de votre Mac mini ou le réactiver. F3734M40.book Page 37 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM38 Chapitre 3 Utilisation de votre Mac mini Vous pouvez également contrôler Front Row à partir de votre clavier. Les touches suivantes correspondent aux boutons de la télécommande Apple Remote. Pour quitter Front Row, appuyez sur n’importe quelle lettre de l’alphabet. Pour utiliser votre télécommande Apple Remote, orientez-la vers l’avant du Mac mini et :  appuyez sur le bouton Menu (») pour ouvrir ou fermer Front Row, ou pour revenir au menu précédent lorsque vous explorez Front Row ;  appuyez sur le bouton Suivant/Avance rapide (‘) ou sur le bouton Précédent/Retour rapide (]) pour passer d’une application à l’autre dans Front Row ;  appuyez sur les boutons Augmenter le volume (∂) et Diminuer le volume (D) pour passer d’une option de menu Front Row à l’autre ou pour régler le volume ;  appuyez sur le bouton Sélection/Lecture/Pause (’) pour sélectionner un élément de menu, ou pour lire ou mettre en pause un morceau, un diaporama ou un DVD ; Équivalent clavier Bouton de la télécommande Apple Remote Commande (x) - Échap Ouvrir menu (») Échap Quitter menu (») Espace ou Retour Sélection/Lecture/Pause (’) Flèche vers le haut (Ò) Volume/Élément menu suivant (∂) Flèche vers la bas (¬) Volume/Élément menu précédent (D) Flèche vers la droite (˚) Suivant/avance rapide (‘) Flèche vers la gauche (k) Précédent/Retour rapide (]) F3734M40.book Page 38 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 3 Utilisation de votre Mac mini 39  appuyez sur le bouton Suivant/Avance rapide (‘) ou sur le bouton Précédent/Retour rapide (]) pour explorer votre contenu multimédia (maintenez les boutons enfoncés pour accélérer le défilement). Jumelage de votre télécommande Apple Remote Si vous possédez, dans une même pièce, plusieurs ordinateurs ou autres appareils dotés de récepteurs à infrarouge intégrés (par exemple, plus d’un Mac mini dans un bureau personnel ou un laboratoire), vous avez la possibilité de « jumeler » votre télé- commande Apple Remote avec un ordinateur ou un appareil donné. Le jumelage permet de configurer l’ordinateur ou l’appareil récepteur de façon à ce qu’il soit contrôlé par une seule télécommande. Pour jumeler votre télécommande Apple Remote avec votre Mac mini : 1 Placez-vous à proximité de votre Mac mini (de 8 à 10 centimètres environ). Bouton Suivant/Avance Rapide Bouton Sélection/Lecture/Pause Logement de la pile Bouton Augmenter le volume/Élément menu suivant Émetteur infrarouge Bouton Diminuer le volume/Élément menu précédent Bouton Précédent/Retour Rapide Bouton Menu F3734M40.book Page 39 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM40 Chapitre 3 Utilisation de votre Mac mini 2 Orientez la télécommande Apple Remote vers l’avant de votre Mac mini. 3 Maintenez enfoncés les boutons Suivant/Avance rapide (‘) et Menu (») de votre télécommande Apple Remote pendant 5 secondes. Lorsque vous avez correctement jumelé votre télécommande Apple Remote avec votre Mac mini, le symbole d’un maillon de chaîne ( ) apparaît à l’écran. Pour annuler le jumelage de la télécommande Apple Remote et du Mac mini : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système dans la barre des menus. 2 Cliquez sur Sécurité puis sur Désactiver le jumelage. Désactivation de la réception infrarouge Utilisez les préférences Sécurité pour activer ou désactiver la réception infrarouge. Pour désactiver la réception infrarouge :  Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système dans la barre des menus et cliquez sur Sécurité.  Cochez la case « Désactiver le récepteur à infrarouge de la télécommande ». F3734M40.book Page 40 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 3 Utilisation de votre Mac mini 41 Remplacement de la pile de la télécommande Apple Remote La télécommande Apple Remote est fournie avec une pile CR 2032, que vous pouvez remplacer lorsque cela s’avère nécessaire. Pour remettre la pile en place : 1 Ouvrez le compartiment de la pile en appuyant sur le bouton à l’aide d’un petit objet, tel qu’il est décrit sur l’illustration ci-dessus. 2 Ôtez le compartiment de la pile et retirez-la. 3 Insérez la nouvelle pile, son côté positif (+) tourné vers le haut. Utilisez une pile du même type que celle d’origine. 4 Refermez le logement de la pile. 5 Jetez la pile usagée en respectant les lois et les consignes environnementales locales. Pour toute information supplémentaire, consultez la page 91. Appuyez sur ce bouton à l’aide d’un petit objet arrondi pour éjecter partiellement le logement de la pile. Face positive (+) vers le haut. Tirez afin de libérer le logement de la pile. MENU F3734M40.book Page 41 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM42 Chapitre 3 Utilisation de votre Mac mini En savoir plus sur la télécommande Apple Remote L’Aide Mac fournit des informations supplémentaires sur la télécommande Apple Remote. Choisissez Aide > Aide Mac et recherchez « télécommande ». Utilisation de la technologie USB Votre Mac mini est fourni avec quatre ports USB 2.0 (d), auxquels vous pouvez connecter de nombreux types de périphériques externes, tels que baladeur numérique iPod, clavier, souris, imprimante, scanneur, modem USB externe, appareil photo numérique, pavé numérique, manette de jeu ou lecteur de disquette. La technologie USB facilite la connexion de périphériques. Vous pouvez dans la plupart des cas connecter et déconnecter un périphérique USB pendant que votre ordinateur est en cours de fonctionnement. Vous pouvez utiliser les périphériques dès leur branchement. Utilisation de périphériques USB Pour utiliser un périphérique USB, il suffit de le connecter à votre ordinateur. L’ordinateur charge le logiciel adéquat chaque fois que vous connectez un périphérique. , Ports USB 2.0 F3734M40.book Page 42 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 3 Utilisation de votre Mac mini 43 Vous pouvez connecter des périphériques USB 1.1 et des périphériques USB 2.0 haut débit, mais les périphériques USB 1.1 ne tireront pas parti de la vitesse de transfert plus élevée de la norme USB 2.0. Remarque : Apple fournit des logiciels compatibles avec de nombreux périphériques USB. Si votre Mac mini ne trouve pas le logiciel adéquat pour un périphérique USB connecté, installez le logiciel fourni avec celui-ci ou recherchez les dernières versions sur le site web du fabricant. Utilisation simultanée de plusieurs périphériques USB Si tous vos ports USB sont occupés et que vous souhaitez connecter davantage de périphériques USB, vous pouvez vous procurer un concentrateur USB. Le concentrateur se connecte à un port USB disponible de votre ordinateur et vous permet de disposer de ports USB supplémentaires (en général quatre ou sept). La plupart des concentrateurs USB disposent d’un adaptateur secteur et doivent être branchés sur une prise électrique. Remarque : si vous utilisez une chaîne de périphériques et de concentrateurs USB, certains d’entre eux risquent de ne pas fonctionner s’ils sont connectés via une combinaison de concentrateurs USB 2.0 à haut débit et de concentrateurs USB 1.1 à débit normal ou faible. Il se peut, par exemple, qu’un disque dur externe USB n’apparaisse pas sur votre bureau. Pour éviter ce problème, ne connectez pas ensemble des périphériques USB présentant des vitesses différentes. Connectez directement votre concentrateur à haut débit à votre ordinateur, puis connectez-y des périphériques à haut débit. Connectez les concentrateurs à vitesse normale ou faible directement à votre ordinateur, puis connectez-y les périphériques de vitesse similaire. F3734M40.book Page 43 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM44 Chapitre 3 Utilisation de votre Mac mini Pour en savoir plus sur la technologie USB L’Aide Mac fournit des informations supplémentaires sur la technologie USB. Choisissez Aide > Aide Mac et recherchez « USB ». Vous trouverez d’autres informations sur le site web USB d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/usb/. Pour obtenir des informations sur les périphériques USB disponibles pour votre ordinateur, consultez le Guide des Produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/fr/guide/. Connexion via FireWire Votre ordinateur est doté d’un port FireWire 400 (H), qui vous permet de connecter et déconnecter facilement des périphériques externes à haut débit, notamment caméra iSight, caméra vidéo numérique, scanneur ou disque dur, sans devoir redémarrer votre ordinateur. La technologie FireWire vous permet notamment de :  connecter une caméra iSight Apple et utiliser l’application iChat AV fournie pour participer à une vidéoconférence avec vos amis ou votre famille via une connexion Internet à haut débit ; , Port FireWire 400 H F3734M40.book Page 44 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 3 Utilisation de votre Mac mini 45  connecter une caméra vidéo numérique pour capturer, transférer ou monter de la vidéo de grande qualité directement sur votre ordinateur grâce à l’utilisation de logiciels de montage vidéo comme iMovie ou Final Cut Express ;  connecter un disque dur FireWire externe sur le port FireWire et l’utiliser pour sauvegarder des données ou transférer des fichiers ;  connecter un disque FireWire externe (où Mac OS X est installé) et démarrer à partir de celui-ci (ouvrez les préférences Démarrage, cliquez sur le disque FireWire et redé- marrez votre ordinateur). Utilisation de périphériques FireWire Pour utiliser un périphérique FireWire avec votre ordinateur, connectez-les ensemble. Apple fournit des logiciels compatibles avec de nombreux périphériques FireWire. Si votre Mac mini ne trouve pas le logiciel adéquat pour un périphérique FireWire connecté, installez le logiciel fourni avec celui-ci ou recherchez les dernières versions sur le site web du fabricant. Remarque : le port FireWire (H) est conçu pour alimenter les périphériques FireWire (8 watts maximum). Il est possible de connecter plusieurs périphériques entre eux puis de connecter les périphériques « en chaîne » au port FireWire de votre ordinateur. En général, seuls un ou deux périphériques devraient dépendre de votre ordinateur pour leur alimentation. Les périphériques FireWire ne fonctionneront pas s’ils ont besoin d’une alimentation supérieure à celle que peut leur fournir votre Mac mini. Connectez certains de ces périphériques à leur propre adaptateur secteur ou ajoutez un concentrateur FireWire disposant d’un adaptateur secteur et redémarrez votre ordinateur. F3734M40.book Page 45 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM46 Chapitre 3 Utilisation de votre Mac mini Mode disque cible FireWire Si vous souhaitez transférer des fichiers de votre Mac mini à un autre ordinateur Macintosh équipé de la technologie FireWire ou que vous êtes confronté à un problème qui empê- che le démarrage de votre ordinateur, utilisez le mode disque cible FireWire pour vous connecter à l’autre ordinateur. Pour connecter votre Mac mini en mode disque cible FireWire, procédez comme suit : 1 Assurez-vous que votre Mac mini est éteint. 2 Utilisez un câble FireWire pour connecter votre Mac mini à un autre ordinateur équipé de FireWire. 3 Démarrez votre Mac mini, puis maintenez immédiatement la touche T enfoncée. L’écran de votre Mac mini affiche le logo FireWire (H). L’écran de l’autre ordinateur affiche l’icône du disque dur interne du Mac mini et celle de tout CD ou DVD se trouvant dans le lecteur optique. 4 Une fois le transfert des fichiers terminé, faites glisser vers la Corbeille l’icône du disque dur du Mac mini et celle du CD ou du DVD. 5 Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) du Mac mini pour l’éteindre, puis débranchez le câble FireWire. Pour en savoir plus sur FireWire L’Aide Mac fournit des informations supplémentaires sur FireWire. Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez « FireWire ». Vous trouverez d’autres informations sur le site web FireWire d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/firewire/. F3734M40.book Page 46 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 3 Utilisation de votre Mac mini 47 Mise en réseau sans fil AirPort Extreme La technologie AirPort Extreme (également nommée WiFi et 802.11b/g) est intégrée à votre Mac mini. AirPort offre un moyen facile et peu coûteux de proposer un accès Internet sans fil. AirPort utilise une technologie de réseau local (LAN) sans fil pour gérer des communications sans fil entre plusieurs ordinateurs. Vous pouvez en particulier accéder à Internet, transférer des fichiers ou participer à des jeux. Fonctionnement de l’accès sans fil à Internet via AirPort Grâce à la technologie AirPort Extreme, votre Mac mini établit une connexion sans fil à une borne d’accès AirPort Express ou AirPort Extreme, elle-même connectée à Internet via une ligne téléphonique, un modem DSL ou un modem câble. AirPort Express Prise CA Connexion à Internet Modem câble ou DSL F3734M40.book Page 47 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM48 Chapitre 3 Utilisation de votre Mac mini Remarque : vous aurez besoin d’une borne d’accès AirPort Express ou AirPort Extreme et d’un accès Internet (éventuellement payant). Certains fournisseurs d’accès Internet ne sont pas compatibles avec AirPort. La portée varie en fonction des conditions d’emplacement. En savoir plus sur AirPort Pour acheter une borne d’accès AirPort Express ou AirPort Extreme, adressez-vous à un revendeur agréé Apple, rendez-vous dans un magasin Apple Store ou visitez l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/francestore/. Des informations supplémentaires sur AirPort sont disponibles dans l’Aide AirPort. Sélectionnez Aide > Aide Mac, puis Centre d’aide > Aide AirPort. Vous pouvez également trouver des informations sur le site web AirPort d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr/airport/. Utilisation de la technologie sans fil Bluetooth La technologie sans fil Bluetooth est intégrée à votre Mac mini. Elle vous permet de créer des connexions sans fil de faible portée entre ordinateurs, organiseurs, télé- phones portables, téléphones appareils photo, imprimantes, appareils photo numériques et périphériques d’entrée sans fil tels que le clavier Apple Wireless Keyboard ou la souris sans fil Apple Wireless Mouse (disponibles à la vente sur le site www.apple.com/francestore/). La technologie sans fil Bluetooth permet d’éliminer les câbles reliant normalement les périphériques. Les périphériques équipés de la technologie Bluetooth peuvent se connecter l’un à l’autre sans besoin de liaison physique, dans la mesure où ils sont séparés d’une distance égale ou inférieure à 10 mètres. F3734M40.book Page 48 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 3 Utilisation de votre Mac mini 49 Grâce à la technologie sans fil Bluetooth, vous pouvez :  échanger des fichiers entre ordinateurs et périphériques équipés de la technologie Bluetooth, même entre Mac et PC ;  synchroniser des données entre votre Mac mini et un organiseur équipé de la technologie Bluetooth (à l’aide d’iSync, vous pouvez exécuter une opération HotSync sans fil ou transmettre directement votre carte de visite ou des événements de calendrier à l’organiseur ou au téléphone mobile d’un collègue) ;  utiliser une imprimante, un clavier, une souris ou un casque d’écoute sans fil Bluetooth. Configuration d’un périphérique Bluetooth Avant de pouvoir partager des fichiers avec d’autres périphériques ou utiliser un clavier ou une souris Bluetooth, vous devez configurer le périphérique en question pour qu’il fonctionne avec votre Mac mini. Une fois le périphérique configuré, il est « jumelé » avec votre Mac mini et apparaît dans la fenêtre Périphériques des Préférences Bluetooth. Vous n’avez à jumeler le Mac mini et le périphérique qu’une seule fois ; ils restent alors jumelés jusqu’à ce que vous en décidiez autrement. Pour configurer un périphérique Bluetooth : 1 Choisissez « Configurer un appareil Bluetooth » dans le menu d’état Bluetooth (◊) situé dans la barre des menus. 2 Suivez les instructions affichées à l’écran pour le type de périphérique que vous souhaitez configurer. Important : si le menu d’état Bluetooth (◊) n’apparaît pas dans la barre des menus, ouvrez Préférences Système et cliquez sur Bluetooth. Cliquez sur Réglages, puis sélectionnez « Afficher l’état Bluetooth dans la barre des menus ». F3734M40.book Page 49 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM50 Chapitre 3 Utilisation de votre Mac mini Pour supprimer un jumelage avec un autre périphérique : 1 Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Bluetooth. 2 Cliquez sur Périphériques et choisissez le périphérique dans la liste. 3 Cliquez alors sur Supprimer le jumelage. En savoir plus sur la technologie sans fil Bluetooth Pour accéder à l’aide Bluetooth, ouvrez l’utilitaire Échange de fichiers Bluetooth (dans le dossier Utilitaires du dossier Applications) et sélectionnez Aide > Aide Bluetooth. Vous pouvez également consulter le site web d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/bluetooth/. Connexion à un réseau Ethernet Votre Mac mini est doté de la technologie de mise en réseau Ethernet 10/100/1000 mégabits par seconde (Mbps) Base-T (paire torsadée), qui permet de vous connecter à un réseau ou à un modem câble ou DSL. , Port Ethernet (10/100/1000Base-T) F3734M40.book Page 50 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 3 Utilisation de votre Mac mini 51 La connexion à un réseau permet d’accéder à d’autres ordinateurs sur le réseau. Elle vous permet de stocker et de récupérer des informations, d’utiliser les imprimantes, les modems et la messagerie électronique d’un réseau ou encore de vous connecter à Internet. Vous pouvez également partager des fichiers entre deux ordinateurs ou établir un petit réseau. Utilisez un câble Ethernet de catégorie 5 blindé (Cat 5 blindé) à deux paires pour vous connecter à un réseau Ethernet 10 Base-T, 100 Base-T ou 1000 Base-T. Le port Ethernet (G) de votre Mac mini détecte automatiquement les autres périphériques Ethernet. Pour en savoir plus sur l’utilisation d’Ethernet De plus amples informations, notamment sur le réglage d’un réseau Ethernet et le transfert de fichiers via Ethernet, sont disponibles dans l’Aide Mac. Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez « Ethernet » ou « réseau ». Pour obtenir des informations sur les produits de mise en réseau que vous pouvez utiliser avec votre Mac mini, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/fr/guide/. Remarque : vous pouvez également vous connecter à un autre Mac en utilisant IP via FireWire, au lieu d’Ethernet. FireWire 400 peut être jusqu’à quatre fois plus rapide qu’Ethernet 100Base-T. Pour obtenir plus d’informations, choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez « réseau FireWire ». Branchement de périphériques audio Votre Mac mini est fourni avec un port de sortie casque/audio numérique optique (f) et un port d’entrée de ligne audio/audio numérique optique (,). F3734M40.book Page 51 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM52 Chapitre 3 Utilisation de votre Mac mini Port de sortie casque/audio numérique optique Vous pouvez connecter enceintes externes actives, casques, systèmes Surround 5.1 ou autres périphériques de sortie audio au port de sortie casque/audio numérique optique (f). Ce port de sortie constitue également une prise mini-phono stéréo S/PDIF de 3,5 mm. Lorsque vous branchez un casque audio ou tout autre appareil à la prise mini-phono, le son provient de l’appareil et non du Mac mini speaker. Vous pouvez également diffuser de la musique en continu vers votre chaîne stéréo à l’aide d’iTunes et d’une borne AirPort Express. , Port de sortie casque/ audio numérique optique F3734M40.book Page 52 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 3 Utilisation de votre Mac mini 53 Port d’entrée de ligne audio/audio numérique optique Vous pouvez connecter un microphone externe ou tout autre périphérique audio au port d’entrée de ligne audio/audio numérique optique (,). Ce port d’entrée constitue également une prise mini-phono stéréo S/PDIF de 3,5 mm. Étant donné que le port d’entrée de ligne audio ne permet pas d’alimenter les périphériques connectés, ces derniers doivent être auto-alimentés. Vous pouvez utiliser un câble Toslink et un adaptateur Toslink prise vers mini-jack pour connecter un lecteur Digital Audio Tape (DAT) ou des instruments numériques afin de transférer et de mixer votre propre musique. Pour en savoir plus sur l’utilisation de l’audio L’Aide Mac fournit des informations supplémentaires sur l’utilisation d’audio. Choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez « audio » ou « musique. » Pour obtenir des informations sur les produits audio et de production musicale que vous pouvez utiliser avec votre Mac mini, consultez le Guide des produits Macintosh à l’adresse www.apple.com/fr/guide/. , Port d’entrée de ligne audio/audio numérique optique , F3734M40.book Page 53 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM54 Chapitre 3 Utilisation de votre Mac mini Utilisation de votre lecteur optique Votre lecteur optique permet d’installer ou d’exécuter des applications à partir de CD et de DVD. Vous pouvez écouter de la musique à partir d’un CD audio et regarder des films sur DVD. Vous pouvez également graver des CD de musique lisibles sur la plupart des lecteurs de CD et enregistrer des documents et autres fichiers sur des CD-R et CD-RW. Si votre Mac mini possède un lecteur SuperDrive, vous pouvez également graver vos propres films afin de réaliser des DVD qui pourront être lus sur la plupart des lecteurs de DVD domestiques. Vous pouvez aussi graver des CD audio pouvant être lus sur la plupart des lecteurs de CD et enregistrer des documents ou d’autres fichiers sur des disques vierges CD-R, CD-RW, DVD±R, DVD±RW et DVD+R DL (double couche) à l’aide du Finder. Vous pouvez placer près de deux fois plus de données (8,54 Go) sur un disque DVD+R DL (double couche). Remarque : si vous possédez des données sur disquette, utilisez un lecteur de disquette externe USB pour les transférer sur votre Mac mini. Vous pouvez vous procurer un lecteur de disquette externe USB chez un revendeur agréé Apple, dans un magasin Apple Store ou sur l’Apple Store en ligne à l’adresse www.apple.com/francestore/. Avertissement : le lecteur optique de votre Mac mini gère les disques standard circulaires de 12 cm de diamètre. Les disques de forme irrégulière et les disques de moins de 12 cm ne peuvent pas être lus. Les disques non circulaires ou plus petits risquent de se coincer dans le lecteur. En cas de disque coincé, reportez-vous aux informations de dépannage à la page 65. F3734M40.book Page 54 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 3 Utilisation de votre Mac mini 55 Insertion d’un CD ou DVD Pour installer ou utiliser des logiciels à partir d’un disque CD-ROM ou DVD-ROM, procédez comme suit : 1 Insérez le disque dans le lecteur optique, en plaçant l’étiquette vers le haut. 2 Dès que son icône apparaît sur le bureau, le disque peut être utilisé. Remarque : certains disques DVD ont deux faces gravées et certains n’ont pas d’étiquette. Éjection d’un disque Pour éjecter un disque, faites glisser l’icône du disque vers la Corbeille. Si vous possédez un clavier Apple, vous pouvez également appuyer sur la touche d’éjection de disque (C). La touche F12 effectue cette opération sur d’autre claviers. Si vous ne parvenez pas à éjecter le disque, fermez toutes les applications susceptibles d’utiliser le disque et réessayez. Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez votre ordinateur tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris. Important : ne placez jamais d’objet sur votre ordinateur, cela pourrait empêcher l’éjection du disque. F3734M40.book Page 55 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM56 Chapitre 3 Utilisation de votre Mac mini Lecture de DVD Insérez le DVD que vous voulez lire. L’application Lecteur DVD s’ouvre automatiquement et lance la lecture du disque. Enregistrement de disques CD-R et CD-RW Vous pouvez directement enregistrer des disques CD-R ou CD-RW à partir de votre bibliothèque iTunes. Pour graver de la musique sur un CD-R ou CD-RW via iTunes : 1 Cliquez sur l’icône iTunes dans le Dock. 2 Sélectionnez la liste de lecture ou les morceaux à enregistrer. 3 Insérez un disque vierge CD-R ou CD-RW. (pour une compatibilité optimale avec les lecteurs CD, utilisez un CD-R). 4 En haut de la fenêtre iTunes, cliquez sur l’option Graver le CD. Pour graver des fichiers et des dossiers sur un disque CD-R ou CD-RW à l’aide du Finder : 1 Insérez un disque vierge dans le lecteur optique. 2 Dans la zone de dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque. Une icône correspondant au CD apparaît sur le bureau. 3 Glissez des fichiers et dossiers sur l’icône du disque. 4 Choisissez Fichier > Graver le disque ou sélectionnez le disque sur le bureau, puis glissez-le sur l’icône « Graver le disque » située dans le Dock. F3734M40.book Page 56 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 3 Utilisation de votre Mac mini 57 Enregistrement d’informations sur un DVD Grâce au lecteur SuperDrive de votre Mac mini, vous pouvez enregistrer vos propres films sur un disque vierge DVD+R, DVD±RW ou DVD±R DL. Vous pouvez également enregistrer d’autres types de données numériques (vous pouvez sauvegarder vos fichiers par exemple). Pour graver des données sur un DVD-R à l’aide du Finder : 1 Insérez un DVD+R, un DVD±RW ou un DVD±R (double-couche) vierge dans le lecteur. 2 Dans la zone du dialogue qui apparaît, attribuez un nom au disque et sélectionnez le format. 3 Double-cliquez sur l’icône du DVD qui apparaît sur le bureau, puis faites-y glisser des fichiers et des dossiers. 4 Choisissez Fichier > Graver le disque ou sélectionnez le disque sur le bureau, puis glissez-le sur l’icône « Graver le disque » située dans le Dock. Vous pouvez également utiliser iDVD pour créer vos propres DVD personnalisés. Pour en savoir plus sur la manière d’utiliser iDVD, ouvrez iDVD et choisissez Aide > Aide iDVD. Pour plus d’informations Pour obtenir des informations sur l’enregistrement de fichiers de musique sur un CD-R à l’aide d’iTunes, ouvrez iTunes et choisissez Aide > Aide iTunes et Music Store. Pour plus d’informations sur l’utilisation de l’application Lecteur DVD, ouvrez Lecteur DVD et choisissez Aide > Aide Lecteur DVD. F3734M40.book Page 57 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM58 Chapitre 3 Utilisation de votre Mac mini Protection de votre Mac mini Vous pouvez utiliser un câble de sécurité (disponible sur www.apple.com/francestore/) et le logement de sécurité intégré pour attacher votre Mac mini à un objet fixe. L’Aide Mac contient des informations supplémentaires concernant les fonctions de sécurité logicielles de votre Mac mini, y compris les mots de passe pour plusieurs utilisateurs et le chiffrement de fichiers. Choisissez Aide > Aide Mac, puis effectuez une recherche sur les termes « sécurité » ou « utilisateurs multiples ». , Logement de sécurité F3734M40.book Page 58 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM59 4 4 Dépannage Si vous rencontrez des difficultés lors de l’utilisation de votre Mac mini, vous trouverez dans ce chapitre des solutions possibles. Ce chapitre décrit des solutions aux problèmes qui peuvent vous empêcher de travailler avec votre Mac mini, tels que le blocage du système ou l’impossibilité de le démarrer. Vous trouverez des informations supplémentaires concernant le dépannage dans l’Aide Mac ou sur le site web de service après-vente Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support/. Il existe généralement une solution simple et rapide aux problèmes que vous pourriez rencontrer au cours de l’utilisation de votre ordinateur. Dans un tel cas, essayez de noter les opérations que vous avez effectuées avant que le problème ne survienne. Cela permet de restreindre les causes possibles du problème et trouver ainsi la solution. Les éléments à noter comprennent :  les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu (les problèmes qui n’apparaissent qu’avec une application spécifique peuvent indiquer que celle-ci n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur votre ordinateur) ;  tout logiciel installé récemment ;  tout matériel que vous avez connecté. F3734M40.book Page 59 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM60 Chapitre 4 Dépannage Problèmes vous empêchant d’utiliser votre ordinateur Si votre ordinateur ne répond plus ou que le pointeur se fige  Assurez-vous tout d’abord que la souris et le clavier sont connectés. Débranchez puis rebranchez les connecteurs et vérifiez qu’ils sont correctement mis en place.  Si le problème persiste, essayer de forcer les applications posant problème à quitter. Sur un clavier Apple keyboard, maintenez les touches Option and Commande (x) enfoncées puis appuyez sur la touche Échap. Sur les autres claviers, maintenez les touches Windows et Alt enfoncées puis appuyez sur la touche Échap. Si une zone de dialogue apparaît, sélectionnez l’application figée et cliquez sur Forcer à quitter. Enregistrez alors le travail de toute application ouverte, puis redémarrez l’ordinateur afin de vous assurer que le problème est entièrement réglé.  Si vous ne parvenez pas à forcer la fermeture de l’application, maintenez le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière de votre ordinateur enfoncé pendant cinq secondes pour éteindre ce dernier.  Si cela reste sans effets, débranchez le câble d’alimentation de votre ordinateur. Rebranchez le câble, puis appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour rallumer votre ordinateur. Si le problème se reproduit lorsque vous utilisez une application particulière, consultez le fabricant de cette application pour vérifier si elle est compatible avec votre ordinateur. Pour toute information sur le service après-vente relatif aux logiciels fournis avec votre ordinateur, consultez le site www.apple.com/fr/guide/. Si le problème a fréquemment lieu, essayer de réinstaller votre logiciel système (voir « Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur » à la page 62). F3734M40.book Page 60 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 4 Dépannage 61 Si votre ordinateur se bloque au démarrage ou si un point d’interrogation clignote à l’écran  Patientez quelques secondes. Si votre ordinateur ne démarre pas après un certain temps, éteignez-le en maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant environ 5 secondes, jusqu’à ce qu’il s’éteigne complètement. Maintenez ensuite la touche Option enfoncée puis appuyez à nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour démarrer votre ordinateur. Maintenez la touche Option enfoncée jusqu’au démarrage de votre ordinateur, puis cliquez sur la flèche située sous l’icône du disque dur que vous souhaitez utiliser comme disque de démarrage.  Une fois que votre ordinateur a démarré, ouvrez Préférences Système et cliquez sur Démarrage. Sélectionnez un dossier Système Mac OS X.  Si le problème se reproduit fréquemment, réinstallez éventuellement votre logiciel système (voir « Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur » à la page 62). Si votre ordinateur ne s’allume ou ne démarre pas  Assurez-vous que le câble d’alimentation est branché à votre ordinateur et à une prise électrique en état de fonctionnement.  Si votre ordinateur ne démarre toujours pas et que vous disposez d’un clavier Apple, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et maintenez immédiatement enfoncées les touches Commande (x), Option, P et R jusqu’à entendre une deuxième fois le signal sonore de démarrage. Sur d’autres claviers, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et maintenez immédiatement enfoncées les touches Windows, Alt, P et R.  Si cela reste sans effet, débranchez le câble d’alimentation et attendez au moins 30 secondes. Rebranchez le câble, puis appuyez à nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre ordinateur.  Si vous ne parvenez toujours pas à démarrer votre ordinateur, consultez les informations sur service après-vente fournies avec votre Mac mini pour savoir comment contacter Apple. F3734M40.book Page 61 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM62 Chapitre 4 Dépannage Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur Les disques d’installation de logiciels fournis avec votre ordinateur permettent de réinstaller Mac OS X et les applications livrées avec votre ordinateur. Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données de votre disque dur avant de procéder à la restauration du logiciel. Apple décline toute responsabilité en cas de perte de données. Installation de Mac OS X Pour installer Mac OS X : 1 Sauvegardez vos fichiers importants si cela est possible. 2 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur. 3 Double-cliquez sur « Install Mac OS X and Bundled Software ». 4 Suivez les instructions à l’écran. 5 Sélectionnez le disque de destination pour l’installation, puis continuez de suivre les instructions à l’écran. Il se peut que votre ordinateur redémarre et vous demande d’insérer le prochain disque d’installation de Mac OS X. Important : l’option « Effacer et installer » efface l’intégralité du disque de destination. Il est conseillé d’effectuer une copie de sauvegarde de vos fichiers importants avant d’installer Mac OS X. F3734M40.book Page 62 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 4 Dépannage 63 Installation des applications Votre ordinateur doit être déjà équipé de Mac OS X pour pouvoir installer les applications livrées avec votre ordinateur. Pour réinstaller les applications livrées avec votre ordinateur : 1 Sauvegardez vos fichiers importants si cela est possible. 2 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre ordinateur. 3 Double-cliquez sur « Install Bundled Software Only ». 4 Suivez les instructions à l’écran. 5 Sélectionnez le disque de destination pour l’installation, puis continuez de suivre les instructions à l’écran. Pour installer iCal, iChat AV, iSync, iTunes et Safari, suivez les instructions de la section Installation de Mac OS X. Autres problèmes En cas de problèmes avec l’ouverture d’une application Pour déterminer le type de l’application, sélectionnez son icône et choisissez Lire les informations dans le menu Fichier.  Vous pouvez utiliser les applications Universal, Intel ou PowerPC sur votre ordinateur. F3734M40.book Page 63 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM64 Chapitre 4 Dépannage  Les applications Classic (ou Mac OS 9) ne sont pas compatibles avec votre ordinateur et ne s’ouvrent pas. En cas de problème avec une application Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur concerné. Les éditeurs de logiciels proposent souvent des mises à jour de leurs produits sur leurs sites web. Vous pouvez configurer votre Mac mini pour qu’il cherche et installe automatiquement les dernières mises à jour Apple via la fenêtre Mise à jour de logiciels des Préférences Système. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez « mise à jour de logiciels ». En cas de problèmes avec les communications sans fil AirPort  Vérifiez que vous avez correctement configuré le logiciel en respectant les instructions fournies avec la borne d’accès AirPort Express ou AirPort Extreme.  Vérifiez que votre ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé et dispose d’un point d’accès sans fil.  Assurez-vous que l’autre ordinateur ou le point d’accès au réseau se trouve dans la zone de couverture de l’antenne de votre ordinateur. Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en réorientant votre ordinateur.  Vérifiez la puissance du signal AirPort. L’icône d’état AirPort de la barre des menus affiche jusqu’à quatre barres.  Assurez-vous qu’aucun objet n’est placé sur votre ordinateur, car il pourrait provoquer des interférences avec les signaux AirPort. F3734M40.book Page 64 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 4 Dépannage 65  Des problèmes de fonctionnement de réseau peuvent survenir si votre borne d’accès est utilisée à proximité d’un four micro-ondes, d’un téléphone sans fil ou autres sources d’interférences. Pour minimiser les interférences, placez votre borne d’accès loin de ces appareils.  Pour en savoir plus sur l’utilisation et le dépannage d’AirPort, choisissez Aide > Aide Mac, puis Bibliothèque > Aide AirPort. En cas de problème à l’éjection d’un disque  Assurez-vous qu’aucun objet n’est placé sur votre ordinateur, cela pourrait empêcher l’éjection du disque.  Si vous utilisez un clavier Apple, quittez toutes les applications susceptibles d’utiliser le disque, puis appuyez sur la touche d’éjection de disque (C). Sur certains autres claviers, la touche F12 permet d’éjecter des disques. Consultez le manuel d’utilisation livré avec votre clavier.  Si cela ne fonctionne pas, ouvrez une fenêtre du Finder et cliquez sur le bouton d’éjection (C) à côté de celui du disque dans la barre latérale ou faites glisser l’icône du disque vers la Corbeille.  Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez votre ordinateur tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris. En cas de problèmes de connexion à Internet  Assurez-vous que votre ligne téléphonique ou que votre câble réseau est connecté et qu’il fonctionne correctement.  Si vous utilisez un modem USB externe et une connexion à Internet par ligne commutée, veillez à brancher votre câble téléphonique au modem externe et non au port Ethernet (G). F3734M40.book Page 65 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM66 Chapitre 4 Dépannage  Consultez « Connexion à Internet » à la page 81 pour en savoir plus sur la configuration de votre ordinateur en vue d’une connexion à Internet. Vous y découvrirez comment localiser vos réglages Internet ainsi que les coordonnées de votre fournisseur d’accès Internet (si vous avez utilisé l’Assistant réglages pour établir votre compte Internet).  Consultez « Dépannage de votre connexion » à la page 86 en cas de problème de connexion à Internet. En cas de problèmes de fonctionnement de votre ordinateur ou de Mac OS  Si les réponses à vos questions ne figurent pas dans ce manuel, recherchez des instructions et des informations de dépannage dans l’Aide Mac. Sélectionnez Aide > Aide Mac.  Pour obtenir les dernières informations de dépannage et des mises à jour de logiciels, consultez le site web de service après-vente d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/support/. Si vos réglages de date et heure disparaissent régulièrement  La pile de secours interne de votre ordinateur a peut-être besoin d’être remplacée. Pour plus de renseignements, consultez les informations sur le service après-vente fournies avec votre Mac mini. Utilisation de la fonction Apple Hardware Test Apple Hardware Test vous aide à déterminer s’il existe un problème matériel sur votre Mac mini. Pour utiliser Apple Hardware Test : 1 Déconnectez tous les périphériques connectés à votre Mac mini à l’exception du clavier et de la souris. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le. F3734M40.book Page 66 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMChapitre 4 Dépannage 67 2 Insérez le disque 1 d’installation de Mac OS X livré avec votre Mac mini. 3 Redémarrez ensuite votre Mac mini en maintenant la touche D enfoncée lors du démarrage. 4 Lorsque le sélecteur de langues d’Apple Hardware Test apparaît à l’écran, sélectionnez la langue qui vous convient. 5 Appuyez sur la touche Retour ou sur le bouton Continuer. 6 Lorsque l’écran principal Apple Hardware Test apparaît (environ 45 secondes plus tard), suivez les instructions affichées à l’écran. 7 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test ne détecte pas de panne matérielle, il est probable que le problème soit lié aux logiciels. Pour en savoir plus sur Apple Hardware Test, consultez le fichier « À propos d’AHT » sur le disque « Mac OS X Install Disc 1 ». Localisation du numéro de série de votre produit Le numéro de série est inscrit sous votre Mac mini. Vous le trouverez également dans les Informations Système. Choisissez le menu Pomme () > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos. Cliquez sur le triangle d’affichage Matériel pour afficher le numéro de série. F3734M40.book Page 67 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMF3734M40.book Page 68 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM69 A Annexe A Caractéristiques Vous pouvez utiliser Informations Système pour afficher des informations détaillées à propos de votre Mac mini, telles que la taille de la mémoire intégrée, la taille du disque dur, les périphériques connectés et le numéro de série du produit. Pour accéder au contenu d’Informations Système, choisissez le menu Pomme () > « À propos de ce Mac » dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos. F3734M40.book Page 69 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM70 Annexe A Caractéristiques Des informations supplémentaires sont disponibles sur les sites Internet www.apple.com/fr et www.apple.com/fr/support/. Cliquez sur les triangles d’expansion pour afficher ou cacher le contenu des différentes catégories. F3734M40.book Page 70 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM71 B Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien Afin d’assurer votre propre sécurité et de préserver votre matériel, veillez à observer les consignes exposées dans cette annexe pour le nettoyage et la manipulation de votre ordinateur, ainsi que l’aménagement d’un espace de travail confortable. Les produits Apple sont conçus et évalués selon les standards de sécurité les plus récents des technologies de l’information et de l’équipement d’audio-vidéo. Cependant, il est important de suivre les consignes de sécurité qui se trouvent sur le produit et dans la documentation. Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de votre ordinateur Pour votre propre sécurité et celle de votre matériel, veillez à toujours prendre les précautions ci-après. Débranchez le câble d’alimentation (en tirant sur la fiche plutôt que sur le câble) et le câble téléphonique si l’un des cas suivants se présente :  le câble ou la fiche d’alimentation est usé(e) ou endommagé(e) ; F3734M40.book Page 71 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM72 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien  vous avez renversé quelque chose dans le boîtier de l’ordinateur ;  votre ordinateur est exposé à la pluie ou à une humidité excessive ;  votre ordinateur est tombé ou son boîtier a été endommagé de quelque autre façon ;  votre ordinateur doit être inspecté ou réparé ;  vous souhaitez nettoyer le boîtier (pour ce faire, suivez à la lettre les instructions fournies à la page 77). Important : la seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur consiste à débrancher le câble d’alimentation et tous les périphériques USB et FireWire, et de retirer le câble Ethernet. Assurez-vous qu’au moins une extrémité du câble d’alimentation se trouve à portée de main afin de pouvoir débrancher votre ordinateur si nécessaire. Observez toujours les consignes ci-dessous :  Évitez de placer votre ordinateur à proximité d’un évier, d’un lavabo, d’une baignoire, d’une douche, etc.  Protégez votre ordinateur de l’humidité et des intempéries (neige, pluie…).  Lisez attentivement les instructions d’installation avant de brancher votre ordinateur à une prise d’alimentation. Avertissement : votre câble CA est livré avec une fiche de terre à trois broches (c’est-à-dire une fiche équipée d’une troisième broche de mise à la terre). Cette fiche ne peut être branchée que sur une prise CA reliée à la terre. Si vous ne pouvez pas brancher la fiche car la prise n’est pas reliée à la terre, contactez un électricien agréé pour qu’il remplace cette prise par une prise correctement reliée à la terre. Ne dérogez en aucun cas à cette consigne. F3734M40.book Page 72 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMAnnexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 73  Gardez ces instructions dans un endroit facile d’accès pour vous et les utilisateurs éventuels.  Respectez toutes les consignes et tous les avertissements relatifs à votre ordinateur. Important : le matériel électrique peut s’avérer dangereux s’il n’est pas utilisé correctement. L’utilisation de ce produit ou de tout produit similaire doit toujours être supervisée par un adulte. Évitez que des enfants ne manipulent les composants internes ou les câbles de ces appareils. Ne procédez à aucune réparation par vous-même Votre Mac mini ne contient aucune pièce réparable par l’utilisateur. N’essayez pas d’ouvrir votre Mac mini. S’il a besoin d’être réparé, consultez les informations sur le service aprèsvente fournies avec votre ordinateur pour savoir comment contacter un Centre de Maintenance Agréé Apple ou Apple à cet effet. Si vous ouvrez votre Mac mini ou installez des éléments, vous risque d’endommager votre matériel, et ce type de dommage n’est pas couvert par la garantie limitée de votre Mac mini. Utilisation de connecteurs et de ports Ne forcez jamais l’insertion d’un connecteur dans un port. Si le connecteur ne se raccorde pas facilement au port, c’est qu’ils sont probablement incompatibles. Assurez-vous que le connecteur correspond bien au port et que vous l’avez correctement positionné par rapport à ce dernier. Avertissement : n’introduisez jamais d’objet d’aucune sorte dans les ouvertures de ventilation du boîtier. Cela pourrait être dangereux et endommager votre ordinateur. F3734M40.book Page 73 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM74 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien Utilisation de l’adaptateur secteur Suivez ces instructions pour utiliser l’adaptateur secteur :  Veillez à engager fermement les fiches dans l’adaptateur secteur, l’ordinateur et la prise secteur.  Laissez toujours de l’espace autour de l’adaptateur secteur et assurez-vous que celui-ci est placé dans un endroit permettant la circulation d’air.  Utilisez uniquement l’adaptateur secteur fourni avec votre ordinateur. Votre Mac mini utilise emploie un adaptateur secteur de 110 watts.  la seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur consiste à débrancher le câble d’alimentation. Veillez à tirer sur la prise et non pas sur le câble. Avertissement : il est normal que l’adaptateur secteur chauffe lorsqu’il est utilisé. Veillez à toujours prévoir une ventilation adéquate et à éviter tout contact prolongé avec l’appareil. F3734M40.book Page 74 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMAnnexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 75 Important : l’adaptateur secteur de votre ordinateur est un composant haute tension et ne doit en aucun cas être ouvert, même lorsqu’il est débranché. Évitez que des enfants ne manipulent les composants internes ou les câbles de ces appareils. Si l’adaptateur secteur nécessite une réparation, consultez les informations sur le service après-vente fournies avec votre Mac mini pour plus de renseignements. Informations se rapportant au laser Avertissement : utilisez exclusivement l’adaptateur secteur et le câble d’alimentation secteur qui vous ont été fournis lors de l’achat de votre ordinateur. Les adaptateurs secteur et les câbles d’alimentation d’autres appareils électroniques peuvent vous sembler similaires ; cependant, leur utilisation peut modifier les performances de votre ordinateur ou l’endommager. Votre câble d’alimentation secteur est livré avec une fiche de terre à trois broches (c’est-à-dire une fiche équipée d’une troisième broche de mise à la terre). Cette fiche ne peut être branchée que sur une prise secteur reliée à la terre. Si vous ne pouvez pas brancher la fiche car la prise n’est pas reliée à la terre, contactez un électricien agréé pour qu’il remplace cette prise par une prise correctement reliée à la terre. Avertissement : l’exécution de réglages ou d’opérations qui ne sont pas indiqués dans le manuel de votre équipement risque de vous exposer à des rayonnements dangereux. F3734M40.book Page 75 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM76 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien N’essayez pas de démonter le boîtier qui contient le laser. Le faisceau laser utilisé dans ce produit est nocif pour les yeux. L’utilisation d’instruments optiques, tels que les loupes grossissantes, avec ce produit augmente les risques potentiels pour vos yeux. Afin d’assurer votre sécurité, cet équipement ne doit être réparé que par un Centre de Maintenance Agréé Apple. Votre ordinateur est classé comme produit laser de Catégorie 1 à cause de son lecteur optique. L’étiquette « Catégorie 1 », située dans un emplacement accessible à l’utilisateur, indique que le lecteur obéit aux exigences minimales de sécurité. Une étiquette de mise en garde destinée au réparateur est située dans un emplacement qui lui est accessible. Les étiquettes placées sur votre produit peuvent être légèrement différentes de celles qui sont illustrées ici. Avertissement relatif aux activités à haut risque Cet ordinateur n’est pas conçu pour être utilisé dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, pour le contrôle du trafic aérien, ni dans aucune autre situation où une panne de votre système informatique pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques. Étiquette « Catégorie 1 » Étiquette de mise en garde destinée au réparateur F3734M40.book Page 76 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMAnnexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 77 Nettoyage de votre Mac mini Respectez les règles suivantes lors du nettoyage de votre ordinateur et de ses accessoires :  Éteignez votre Mac mini et débranchez tous les câbles.  Pour nettoyer le boîtier de votre ordinateur, utilisez un chiffon doux, humide et non pelucheux. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur votre ordinateur.  N’utilisez ni aérosol, ni dissolvant, ni abrasif. Déplacement de votre Mac mini Avant de soulever ou de repositionner votre ordinateur, éteignez-le et débranchez tous les câbles qui y sont connectés. Protection de votre système auditif Avertissement : l’utilisation d’écouteurs ou d’un casque d’écoute à un niveau de volume trop élevé peut provoquer une perte d’acuité auditive permanente. Il est possible de supporter petit à petit des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent sembler normaux à la longue, mais qui risquent néanmoins d’endommager votre ouïe. Réglez le volume de votre Mac mini à un niveau sûr avant que cela ne se produise. En cas de bourdonnements dans les oreilles, baissez le volume ou cessez d’utiliser les écouteurs ou le casque d’écoute avec votre Mac mini. F3734M40.book Page 77 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM78 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien À propos d’Apple et de l’environnement Apple Computer, Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact de ses produits et de ses activités sur l’environnement. Pour en savoir plus, consultez la page www.apple.com/environment/summary.html (en anglais). Comprendre l’ergonomie Écran Placez le moniteur de manière à ce que le haut de l’écran se trouve légèrement en dessous du niveau de vos yeux lorsque vous êtes assis au clavier. Il vous appartient de juger de la meilleure distance entre vos yeux et l’écran. Elle se situe en général entre 45 et 70 cm. Orientez l’écran de manière à ce qu’il reflète le moins possible la lumière provenant de l’éclairage et des fenêtres. F3734M40.book Page 78 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMAnnexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien 79 Siège Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de telle sorte que vos cuisses reposent à l’horizontale et vos pieds à plat sur le sol. Le dossier du siège doit sout enir votre région lombaire, c’est-à-dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant afin que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie. Vous devrez peut-être utiliser un bureau dont le plateau du clavier est situé plus bas que la surface de travail ou réhausser votre chaise afin que vos avant-bras et vos mains se trouvent dans un angle correct par rapport au clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Vous pouvez également abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Cuisses légèrement inclinées Épaules détendues Écran positionné de manière à éviter les reflets Avants-bras et mains alignés Avants-bras à plat ou légèrement inclinés Bas du dos maintenu Pieds à plat sur le sol ou sur un respose-pied Partie supérieure de l’écran au niveau des yeux ou légèrement en dessous (vous devrez éventuellement régler la hauteur de votre moniteur en surélevant ou en abaissant votre surface de travail). Espace dégagé sous la surface de travail 45–70 cm F3734M40.book Page 79 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM80 Annexe B Consignes de sécurité, d’utilisation et d’entretien Souris Veillez à ce que la souris se trouve à hauteur du clavier. Ménagez un espace suffisant pour la manipuler avec aisance. Clavier Veillez à maintenir vos épaules relâchées lorsque vous utilisez le clavier. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle droit, la main étant placée dans le prolongement du poignet. Adoptez une frappe légère avec les mains et les doigts détendus. Évitez de replier les pouces à l’intérieur des paumes. Modifiez fréquemment la position de vos mains pour éviter la fatigue. Après un effort continu et intensif, certains utilisateurs d’ordinateur ressentent des douleurs aux mains, aux poignets ou aux bras. Si ces douleurs persistent, consultez un spécialiste. Pour plus d’informations Consultez la page www.apple.com/about/ergonomics/ (en anglais). F3734M40.book Page 80 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM81 C Annexe C Connexion à Internet Votre Mac mini vous permet de naviguer sur le Web, d’échanger du courrier électronique avec vos amis et votre famille ou de dialoguer en temps réel via Internet. Utilisez les informations suivantes pour vous connecter à Internet. Lors du premier démarrage de Mac OS X, l’Assistant réglages vous aide à saisir les informations concernant votre configuration Internet. Si vous n’utilisez pas l’Assistant réglages pour configurer votre connexion à Internet, vous pouvez utiliser l’Assistant réglages de réseau plus tard (consultez « Utilisation de l’Assistant réglages de réseau pour se connecter » à la page 85). Vous pouvez vous connecter à Internet de quatre façons :  connexion DSL haut débit ou modem câble : votre ordinateur est connecté via un modem spécial (utilisant un câble Ethernet) que vous obtenez d’un fournisseur d’accès Internet ;  connexion sans fil AirPort Extreme : votre ordinateur est connecté à Internet sans fil via une borne d’accès AirPort Express ou AirPort Extreme, ou un autre réseau sans fil ; F3734M40.book Page 81 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM82 Annexe C Connexion à Internet  réseau local (LAN) : votre ordinateur est connecté à un réseau local via un câble Ethernet (c’est le type de connexion habituellement utilisé dans les entreprises) ;  connexion commutée : un modem externe est branché sur un port USB (d) de votre ordinateur et un câble téléphonique connecte ce modem à une prise téléphonique. Avant de vous connecter à Internet, vous devez effectuer les étapes suivantes : 1 Procurez-vous un compte auprès d’un fournisseur d’accès Internet si vous n’en possé- dez pas encore. Vous en trouverez une liste dans les pages jaunes de votre annuaire. Consultez les rubriques « accès Internet », « services Internet » ou « en ligne ». 2 Procurez-vous les informations concernant la connexion auprès de votre fournisseur d’accès Internet ou de votre administrateur réseau. La section suivante, « Rassembler les informations requises » à la page 83, énumère les informations dont vous avez besoin pour chaque type de connexion. Vous pouvez les noter directement sur les pages suivantes, puis les saisir dans l’Assistant réglages. Si un autre ordinateur se trouvant au même emplacement est déjà connecté à Internet, vous pouvez probablement utiliser ses réglages. Pour accéder aux réglages d’un ordinateur Mac OS X :  Ouvrez la sous-fenêtre Réseau des Préférences Système.  Dans le menu local Afficher, sélectionnez votre mode de connexion.  Copiez les informations concernant votre connexion. Pour accéder aux réglages d’un PC Windows : Les informations d’un PC Windows concernant la connexion se trouvent à deux endroits.  Pour trouver l’adresse IP et le masque de sous-réseau, ouvrez le tableau de bord « Connexions réseau et Internet ». F3734M40.book Page 82 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMAnnexe C Connexion à Internet 83  Pour accéder aux informations relatives aux comptes d’utilisateurs, ouvrez le tableau de bord Comptes d’utilisateurs. 3 Si vous utilisez un modem externe, branchez-le sur un port USB (d) de votre ordinateur et connectez un câble téléphonique au port du modem et à une prise téléphonique. Si vous disposez d’un modem DSL ou câble, connectez-le à votre ordinateur en suivant les instructions incluses. 4 Allumez votre ordinateur et saisissez les informations dans l’Assistant réglages pour configurer votre connexion à Internet. Si vous n’avez pas utilisé l’Assistant réglages pour configurer votre connexion Internet lors du premier démarrage de votre Mac mini, consultez « Utilisation de l’Assistant réglages de réseau pour se connecter » à la page 85. Rassembler les informations requises Vous pouvez noter sur ces pages les informations obtenues auprès de votre fournisseur d’accès Internet, de votre administrateur réseau ou de votre autre ordinateur, puis les saisir dans l’Assistant réglages de réseau. Pour configurer une connexion téléphonique commutée, procurez-vous les informations suivantes :  Nom du fournisseur d’accès  Nom d’utilisateur ou de compte  Mot de passe  Numéro de téléphone du FAI  Autre numéro de téléphone  Préfixe pour obtenir une ligne externe F3734M40.book Page 83 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM84 Annexe C Connexion à Internet Pour configurer une connexion par modem DSL, modem câble ou réseau local ou une connexion sans fil AirPort Extreme : Choisissez d’abord votre type de connexion (renseignez-vous auprès de votre administrateur système ou de votre fournisseur d’accès Internet si vous ne savez pas) :  Manuellement  Via DHCP avec une adresse manuelle  Via DHCP  Via BootP  PPP Si vous n’êtes pas certain de la méthode à utiliser, « Via DHCP » est l’option conseillée, car la plupart des informations requises sont fournies automatiquement par le réseau. Si vous avez sélectionné « Manuellement » ou « Via DHCP avec une adresse manuelle », rassemblez les informations suivantes :  Adresse IP  Masque de sous-réseau*  Adresse du routeur* *Si vous avez sélectionné « Via DHCP avec une adresse manuelle », il n’est pas nécessaire de saisir un masque de réseau ou une adresse de routeur. Si vous avez sélectionné « Via DHCP », demandez à votre fournisseur d’accès Internet si les informations facultatives suivantes sont requises :  Numéro de client DHCP  Serveurs DNS F3734M40.book Page 84 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMAnnexe C Connexion à Internet 85 Si vous avez sélectionné « PPP » (pour les connexions PPPoE), rassemblez les informations suivantes :  Fournisseur d’accès  Nom de compte  Mot de passe  Nom de service PPPoE Il est possible que les informations ci-dessous soient facultatives. Demandez à votre fournisseur d’accès Internet ou à votre administrateur système si elles sont requises.  Serveurs DNS  Nom de domaine  Serveur proxy Utilisation de l’Assistant réglages de réseau pour se connecter Si vous n’avez pas utilisé l’Assistant réglages pour configurer vos réglages Internet au premier démarrage de votre Mac mini, vous pouvez utiliser l’Assistant réglages de réseau à tout moment pour configurer votre connexion à Internet ou pour modifier vos réglages. Pour utiliser l’Assistant réglages de réseau : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau puis cliquez sur « Assistant ». 3 Cliquez sur Assistant pour lancer l’Assistant réglages de réseau. 4 Suivez les instructions à l’écran. Pour plus d’informations sur la configuration d’une connexion à Internet, consultez l’Aide Mac. Choisissez Aide > Aide Mac puis recherchez « connexion à Internet ». F3734M40.book Page 85 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM86 Annexe C Connexion à Internet Dépannage de votre connexion Si vous rencontrez des difficultés avec votre connexion Internet, essayez la procédure décrite dans cette section. Diagnostic réseau Si vous ne parvenez pas à vous connecter à Internet, utilisez Diagnostic réseau pour découvrir vos réglages réseau. Pour utiliser Diagnostic réseau : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau puis sur Assistant. 3 Cliquez sur Diagnostic pour lancer Diagnostic réseau. 4 Suivez les instructions à l’écran. Si Diagnostic réseau n’est pas en mesure de résoudre le problème, celui-ci se situe peut-être au niveau du fournisseur d’accès Internet auquel vous essayez de vous connecter, du périphérique externe utilisé pour la connexion au fournisseur d’accès Internet ou du serveur auquel vous essayez d’accéder. Vous pouvez également essayer les méthodes suivantes. Connexions à Internet par modem câble, ligne DSL et réseau local (LAN) Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés, y compris le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à votre ordinateur et le câble raccordant le modem à la prise de téléphone. Vérifiez les câbles et l’alimentation des routeurs et des concentrateurs Ethernet. F3734M40.book Page 86 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AMAnnexe C Connexion à Internet 87 Allumez et éteignez le modem puis réinitialisez-le. Éteignez votre modem câble ou DSL, puis rallumez-le après quelques minutes. Certains fournisseurs d’accès Internet conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem. Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant ou après avoir éteint puis rallumé le modem. Connexions PPPoE Si vous ne parvenez pas à vous connecter à votre fournisseur d’accès Internet via PPPoE, assurez-vous que les informations correctes ont été saisies dans les préférences Réseau. Vérifiez les réglages des Préférences Système : 1 Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Configurations de ports réseau. 4 Sélectionnez Ethernet intégré, puis faites glisser cette configuration en haut de la liste des configurations de ports. 5 Dans le menu local Afficher, sélectionnez Ethernet intégré. 6 Cliquez sur PPPoE. 7 Sélectionnez Se connecter via PPPoE. 8 Vérifiez le champ Nom de compte pour vous assurer d’avoir tapé correctement les informations fournies par votre fournisseur d’accès Internet. 9 Si vous avez choisi d’enregistrer votre mot de passe, tapez-le à nouveau afin d’être sûr qu’il est correct. 10 Cliquez sur TCP/IP. Assurez-vous d’avoir correctement saisi dans cette sous-fenêtre les informations fournies par votre fournisseur d’accès Internet. 11 Cliquez sur Appliquer. F3734M40.book Page 87 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM88 Annexe C Connexion à Internet Connexions au réseau Assurez-vous que le câble Ethernet est branché à votre ordinateur et au réseau. Vérifiez les câbles et l’alimentation de vos routeurs et concentrateurs Ethernet. Si vous disposez de plusieurs ordinateurs tentant de partager une connexion à Internet, assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre fournisseur d’accès Internet fournit une seule ou plusieurs adresses IP (une pour chaque ordinateur). Si une seule adresse IP est utilisée, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion (on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP). Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. Vous pouvez utilisez la borne d’accès AirPort Extreme pour que plusieurs ordinateurs partagent une adresse IP. Pour plus d’informations sur l’utilisation de la borne d’accès AirPort Extreme, consultez l’Aide Mac ou consultez le site web AirPort, à l’adresse www.apple.com/fr/airportextreme/. Si ces méthodes s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés, contactez votre fournisseur d’accès Internet ou votre administrateur réseau. F3734M40.book Page 88 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM89 Communications Regulation Information Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. L’utilisation de ce dispositif est autorisée seulement aux conditions suivantes : (1) il ne doit pas produire de brouillage et (2) l’utilisateur du dispositif doit étre prêt à accepter tout brouillage radioélectrique reçu, même si ce brouillage est susceptible de compromettre le fonctionnement du dispositif. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the television or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the television or radio.  Move the computer farther away from the television or radio.  Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or, consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Changes or modifications to this product not authorized by Apple Computer, Inc., could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product has demonstrated EMC compliance under conditions that included the use of compliant peripheral devices and shielded cables between system components. It is important that you use compliant peripheral devices and shielded cables (including Ethernet network cables) between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices. F3734M40.book Page 89 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM90 Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Computer, Inc. Product Compliance 1 Infinite Loop M/S 26-A Cupertino, CA 95014-2084 Wireless Radio Use This device is restricted to indoor use due to its operation in the 5.15 to 5.25 GHz frequency range to reduce the potential for harmful interference to cochannel Mobile Satellite systems. Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the AirPort Extreme Card in this device is below the FCC radio frequency exposure limits for uncontrolled equipment. This device should be operated with a minimum distance of at least 20 cm between the AirPort Extreme Card antennas and a person’s body and must not be co-located or operated with any other antenna or transmitter. FCC Bluetooth Wireless Compliance The antenna used with this transmitter must not be colocated or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant. Bluetooth Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de Classe B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. This device complies with RSS 210 of Industry Canada. Bluetooth Europe - Déclaration de conformité UE Ce périphérique sans fil est conforme aux normes EN 300 328, EN 301-489 et EN 60950 d’après les dispositions de la directive R&TTE. Communauté Européenne Complies with European Directives 72/23/EEC, 89/336/EEC, and 99/5/EC. See www.apple.com/euro/compliance/. Europe–EU Declaration of Conformity The equipment complies with the RF Exposure Requirement 1999/519/EC, Council Recommendation of 12 July 1999 on the limitation of exposure of the general public to electromagnetic fields (0 Hz to 300 GHz). This equipment meets the following conformance standards: EN300 328, EN301 893, EN301 489-17, EN60950. Par la présente, Apple Computer, Inc. déclare que l’appareil 802.11a/b/g Mini-PCIe card est conforme aux exigences essentielles et aux autres dispositions pertinentes de la directive 1999/5/EC. Korea Wireless Statement Korea Class B Statement F3734M40.book Page 90 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM91 Singapore Wireless Certification Taiwan Wireless Statements Taiwan Class B Statement VCCI Class B Statement External USB Modem Information Si vous connectez votre Mac mini à une ligne téléphonique par le biais d’un modem USB externe, veuillez vous reporter aux informations fournies par l’agence de télécommunications mentionnées dans la documentation livrée avec votre modem. ENERGY STAR® Compliance As an ENERGY STAR® partner, Apple has determined that standard configurations of this product meet the ENERGY STAR guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR program is a partnership with office product equipment manufacturers to promote energyefficiency. Reducing energy consumption of office products saves money and reduces pollution by eliminating wasted energy. Disposal and Recycling Information Pour vous informer sur le programme de recyclage d’Apple, rendez-vous sur le site www.apple.com/environment/summary.html (en anglais). Union européenne Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portezle dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains. F3734M40.book Page 91 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM92 Élimination de la batterie La batterie de secours intégrée à votre Mac mini permet de conserver certains réglages, comme l’heure et la date, quand l’ordinateur est éteint. N’essayez pas de changer cette batterie. Seul un technicien certifié Apple peut le faire. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, veuillez vous en débarrasser selon les normes et la législation environnementales de votre pays. La télécommande Apple Remote est fournie avec une pile remplaçable par l’utilisateur. Veuillez jeter vos batteries usagées en respectant les lois et les consignes environnementales locales. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Taïwan: F3734M40.book Page 92 Tuesday, March 14, 2006 11:02 AM iDVD Premiers contacts Familiarisez-vous avec la fenêtre et les commandes d’iDVD et apprenez à créer vos propres DVD.2 1 Table des matières Chapitre 1 3 Bienvenue dans iDVD 3 Ce que vous allez apprendre 4 Avant de commencer 4 Ce dont vous avez besoin 5 Interface iDVD Chapitre 2 6 Découvrez iDVD 6 Étape 1 :localiser des films, photos et fichiers audio à utiliser dans cette initiation 8 Étape 2 :créer un projet 8 Réglage de la qualité d’encodage 10 Étape 3 :choisir un thème pour votre DVD 11 Étape 4 :ajouter un film 13 Modification du titre du menu 14 Étape 5 :ajouter un diaporama 15 Ajout d’une transition entre les images 17 Ajout d’une piste audio 18 Étape 6 :ajouter des données multimédias aux zones de dépôt 21 Étape 7 :ajouter du texte au menu et changer son apparence 22 Étape 8 :modifier l’apparence des boutons 23 Modification du texte d’un bouton 24 Modification de la forme des boutons 25 Modification de l’image du bouton 27 Étape 9 :ajouter des transitions aux boutons 28 Étape 10 :organiser votre projet à l’aide de la présentation par plan 29 Modification de la disposition de la présentation par plan 29 Ajout d’un film en lecture automatique 30 Étape 11 :graver votre DVD 30 Vérification de la fenêtre « Infos sur le projet » 32 Vérification des fichiers du projet 32 Vérification de la présence d’erreurs dans votre projet 33 Gravure de votre projet sur DVD 34 Continuez à explorer iDVD 35 Ressources d’aide supplémentaires1 3 1 Bienvenue dans iDVD iDVD met à votre disposition les outils nécessaires pour créer des DVD dignes d’Hollywood à partir de vos propres films, photos et musiques. Partager vos souvenirs n’aura jamais été aussi facile. Les disques gravés à l’aide d’iDVD peuvent être lus sur la plupart des lecteurs DVD, notamment les lecteurs DVD d’ordinateur. Pour apprendre à utiliser iDVD et créer votre premier DVD simple à partir de votre film et de vos photos, suivez ce petit guide d’initiation. Ce que vous allez apprendre Les étapes de ce guide d’initiation vous permettront de créer un projet iDVD comprenant un film, un menu principal, un sous-menu d’accès à des scènes spécifiques et un diaporama créé à partir de vos photos numériques. Vous allez découvrir comment travailler conjointement avec iMovie et iDVD, mais également comment apprendre à :  Importer des données multimédias provenant d’autres applications iLife dans un projet iDVD.  Personnaliser les menus iDVD.  Réaliser et personnaliser des diaporamas.  Utiliser la présentation par plan pour un montage efficace.  Graver un DVD.  Lire un DVD.4 Chapitre 1Bienvenue dans iDVD Avant de commencer Pour que l’initiation soit plus aisée, imprimez ce document avant de commencer. De nombreuses tâches illustrées dans ce guide d’initiation et dans l’Aide iDVD requiè- rent la sélection de commandes de menu présentées de la façon suivante : Choisissez Édition > Copier. Le premier terme après Choisissez correspond au nom d’un menu dans la barre des menus iDVD. Le ou les termes suivants correspondent aux éléments que vous choisissez dans ce menu. Il n’est pas nécessaire de suivre le guide d’initiation d’une traite. Vous pouvez enregistrer votre travail à n’importe quel moment pour y revenir plus tard. Pour enregistrer votre travail, choisissez Fichier > Enregistrer. Ce dont vous avez besoin Pour réaliser toutes les parties de cette initiation, vous avez besoin des éléments suivants :  Un film iMovie que vous avez partagé (dans iMovie, choisissez Partager > « Partager avec d’autres applications ») afin qu’il soit accessible dans iDVD. Vous pouvez utiliser n’importe quel format iMovie, notamment les films HDV, MPEG-4, iSight et même des films écran large 16:9.  Des images provenant de votre photothèque iPhoto et destinées au diaporama.  Des fichiers audio provenant de votre bibliothèque iTunes  Un ordinateur équipé d’un lecteur SuperDrive ou connecté à un graveur DVD de tierce partie (cela n’est pas nécessaire si vous ne gravez pas votre projet sur un DVD). Vous pouvez utiliser ce guide même si vous disposez exclusivement de données vidéo ou de données photos. Les résultats seront différents, mais vous obtiendrez toujours un projet que vous pourrez graver sur disque. Faites quelques essais et amusez-vous.Chapitre 1 Bienvenue dans iDVD 5 Interface iDVD En avançant dans l’initiation, vous allez découvrir les divers menus et commandes d’iDVD. La fenêtre principale représentée ci-dessous est la console de création de DVD. Elle vous donne accès à pratiquement toutes les fonctionnalités permettant la création et la modification des menus et l’ajout de films, de photos et de musique pour créer un DVD étonnant. Zone de dépôt Faites glisser des extraits vidéo, des diaporamas ou encore des photos sur chaque zone de dépôt afin de personnaliser votre menu. Bouton Ajouter Cliquez dessus pour ajouter des boutons destinés à naviguer à travers le contenu (film, sous-menu ou diaporama) vers lequel vous souhaitez établir un lien à partir du menu iDVD. Curseur Volume et bouton Aperçu Contrôlez le volume de l’ordinateur lorsque vous travaillez dans iDVD. Cliquez sur le bouton Aperçu pour avoir un aperçu du projet. Bouton Graver Cliquez sur ce bouton pour graver votre DVD lorsque le projet est terminé. Boutons Affichage du plan, Animation et de Zone de dépôt Utilisez-les pour afficher le plan, voir l’animation de menu et accéder à l’éditeur de zone de dépôt.2 6 2 Découvrez iDVD Commencez dès maintenant à créer un projet DVD étonnant avec vos propres films, photos et musiques. Lorsque vous aurez terminé cette initiation, vous obtiendrez un projet complet que vous pourrez soit continuer à modifier à votre guise, soit graver sur un DVD. Vous aurez également eu un avant-goût de toutes les possibilités créatives offertes par iDVD pour que le partage de films et de photos soit meilleur que jamais. Étape 1 :localiser des films, photos et fichiers audio à utiliser dans cette initiation Avant de commencer votre projet, veillez à repérer les films, photos et fichiers audio à utiliser dans votre projet et assurez-vous que leur format est adapté à iDVD. Pour cette initiation, il est recommandé d’avoir accès à un film, plusieurs photos et quelques fichiers audio. Les éléments suivants ont automatiquement un format approprié à leur utilisation dans iDVD :  Films créés dans iMovie. Pour utiliser un iMovie dans iDVD, vous devez d’abord choisir Partager > « Partager avec d’autres applications » dans iMovie. Le film partagé est alors disponible automatiquement dans la sous-fenêtre Séquences d’iDVD. Important :les séquences vidéo doivent être enregistrées en audio 16 bits pour qu’iDVD puisse les graver correctement sur un disque. Consultez le manuel de votre caméra pour savoir comment régler le débit audio et la profondeur de bits.  Fichiers de musique provenant de votre bibliothèque iTunes.  Photos provenant de votre photothèque iPhoto. Si vous possédez d’autres fichiers dont vous n’êtes pas sûr de la compatibilité du format, recherchez « formats de fichier » dans l’Aide iDVD afin d’obtenir plus d’informations.Chapitre 2 Découvrez iDVD 7 Vous pouvez accéder aux morceaux et photos de vos bibliothèques iTunes et iPhoto via la sous-fenêtre Multimédia d’iDVD, représentée ci-dessous. Si vous possédez des fichiers audio et d’images situés dans d’autres dossiers qu’iTunes ou iPhoto, vous pouvez les faire glisser dans la liste de la sous-fenêtre Multimédia après avoir ouvert un projet dans iDVD. Les films stockés dans le dossier Séquences de votre disque dur apparaissent automatiquement dans la sous-fenêtre Multimédia. Vous pouvez également faire glisser des films d’autres dossiers de votre disque dur dans la liste de films. Dans les Préférences iDVD, vous pouvez spécifier d’autres dossiers dont vous souhaitez que le contenu s’affiche automatiquement dans la sous-fenêtre Multimédia de iDVD. Les films qui y sont stockés sont automatiquement ajoutés à la liste de films de la sousfenêtre Multimédia. Pour obtenir des instructions sur la manière de procéder, recherchez « ajout de données multimédia » dans l’Aide iDVD. Cliquez sur ces boutons pour accéder à des fichiers multimé- dia spécifiques. Cliquez sur le bouton Multimédia pour accé- der à vos films, photos et musiques.8 Chapitre 2Découvrez iDVD Étape 2 :créer un projet Une fois que votre musique, vos films et vos photos ont le format adéquat et sont dans des emplacements facilement accessibles, il ne vous reste plus qu’à vous mettre au travail. Pour démarrer un nouveau projet iDVD :  Si iDVD n’est pas ouvert, cliquez sur l’icône de l’application iDVD installée dans le Dock. Cliquez sur le bouton « Créer un projet » dans la zone de dialogue représentée ci-dessous.  Si la zone de dialogue d’ouverture n’apparaît pas, choisissez Fichier > Nouveau. Sélectionnez un emplacement pour stocker votre nouveau projet, pluis cliquez sur Créer. Si vous avez déjà créé un projet, la fenêtre iDVD s’ouvre avec un menu animé et de la musique. Cliquez simplement sur le bouton Animation représenté ci-dessous pour arrêter l’animation et le son. Réglage de la qualité d’encodage iDVD « encode » les informations de votre projet avant de les graver sur disque. Il est judicieux de choisir un réglage d’encodage avant de commencer votre projet. Trois réglages sont possibles. Celui que vous choisissez aura une incidence sur la qualité finale de votre projet et sur la durée que nécessitera le processus d’encodage. Pour utiliser la fonction Magic iDVD, sélectionnez un thème ainsi que les films et photos à inclure. iDVD se charge du reste. OneStep DVD vous permet de copier directement des séquences de votre caméra sur un DVD. Bouton AnimationChapitre 2 Découvrez iDVD 9 Pour régler la qualité d’encodage : m Choisissez iDVD > Préférences, puis cliquez sur Projets. Choisissez ensuite l’un des réglages d’encodage. Lorsque vous sélectionnez Performances optimales, iDVD encode votre vidéo en arrièreplan, afin que vous puissiez travailler simultanément sur votre projet au lieu de devoir attendre la fin de la gravure. Cela peut réduire de manière significative la durée nécessaire à créer un DVD fini. C’est le choix adéquat si votre projet dure jusqu’à une heure (pour les disques simple couche).Votre projet sera terminé plus rapidement et la qualité de l’encodage sera excellente par rapport à la quantité de vidéos dont vous disposez. Haute qualité est l’option à privilégier pour des projets plus longs, qui durent d’une à deux heures (pour les disques simple couche). Avec ce réglage, iDVD choisit le meilleur débit possible en fonction de la quantité de données à faire tenir sur le disque. Cette option « comprime » toutes vos données sur un disque en utilisant un débit binaire assurant une bonne qualité vidéo finale. La gravure de votre disque prend plus de temps, car iDVD n’effectue pas l’encodage en arrière-plan. Le processus d’encodage commence lorsque vous gravez le DVD et non pas lorsque vous commencez à travailler sur votre projet. L’encodage de qualité professionnelle utilise une technologie avancée pour encoder vos vidéos avec la meilleure qualité possible sur votre DVD gravé. Avec l’option Haute qualité, l’utilisation de l’encodage de qualité professionnelle restreint la durée votre projet à environ deux heures, sur un disque simple couche. Cette option nécessite environ deux fois plus de temps pour encoder un projet que l’option Haute qualité. Utilisezla si vous n’êtes pas pressé par le temps. La qualité de votre DVD dépend en fin de compte de la qualité de vos données source. Les résultats obtenus avec des films de faible résolution, comme les séquences QuickTime téléchargées sur Internet ou les vidéos VHS,sont de qualité inférieure à ceux obtenus avec des vidéos enregistrées à l’aide d’une caméra vidéo numérique ou HDV, puis montées à l’aide d’un logiciel de montage vidéo comme iMovie, Final Cut Express ou Final Cut Pro. Par défaut, iDVD est réglé sur le mode correspondant à votre situation géographique. En Amérique du Nord, c’est le format NTSC qui est utilisé. Choisissez un réglage d’encodage avant d’ajouter un film à votre projet.10 Chapitre 2Découvrez iDVD Étape 3 :choisir un thème pour votre DVD L’aspect général d’un menu de DVD et de ses boutons est appelé thème. Le thème est défini, entre autres, par les couleurs et les éléments graphiques utilisés dans le menu, par le style de police et la taille du texte et par la forme des boutons. Une famille de thèmes est un ensemble de modèles de menus destinés à fonctionner ensemble, afin de fournir un aspect cohérent à tous les sous-menus. Vous pouvez utiliser un des thèmes de qualité professionnelle fournis avec iDVD. Sinon, en partant des thèmes iDVD comme base, vous pouvez personnaliser le thème, l’enregistrer et en faire un favori à réutiliser dans d’autres projets. Dans cette initiation, vous apprendrez comment démarrer avec un thème iDVD existant pour en personnaliser certains aspects. Remarque :utilisez le thème Sobre Principal, mentionné dans les étapes ci-dessous, pour pouvoir suivre aisément cette initiation. Une fois l’initiation terminée, vous pourrez utiliser vos nouvelles connaissances pour choisir un thème différent et procéder à d’autres modifications avant de graver votre DVD. Pour choisir le thème de votre menu DVD : 1 Cliquez sur le bouton Thèmes situé en bas de la fenêtre iDVD. La sous-fenêtre Thèmes s’ouvre sur le côté droit de la fenêtre iDVD. 2 Faites-la défiler vers le haut et vers le bas pour visualiser les thèmes. 3 Cliquez sur le menu local, choisissez Thèmes 7.0, puis faites défiler la liste vers le bas jusqu’à Sobre Principal. 4 Cliquez sur le triangle d’affichage à côté du thème pour afficher tous les modèles de menu de la famille Sobre Principal. 5 Cliquez sur Principal pour sélectionner une famille de thèmes pour votre projet. Après une courte pause, le menu passe au thème que vous avez choisi. Le titre du menu prend le nom du thème sélectionné.Chapitre 2 Découvrez iDVD 11 Comme de nombreux thèmes d’iDVD, le thème Sobre Principal applique par défaut le format écran large (16:9). Pour activer le format standard (4:3), choisissez Projet > « Activer le format standard (4:3) ». Remarque :après avoir modifié un menu vous pouvez l’enregistrer comme thème personnalisé. Les thèmes personnalisés sont affichés dans la sous-fenêtre Thèmes, dans la liste des Favoris. Ce thème personnalisé peut-être utilisé pour des projets futurs, comme n’importe quel autre thème. Pour plus d’informations sur la personnalisation de thèmes, recherchez « thème » dans l’Aide iDVD. Étape 4 :ajouter un film Après avoir choisi votre thème, vous pouvez ajouter un ou plusieurs films et d’autres types de contenu à votre projet iDVD. Lors de cette étape, vous ajouterez un film. Lorsque vous faites glisser un film dans un menu, iDVD ajoute automatiquement au menu un bouton sur lequel l’utilisateur peut cliquer pour lire le film. L’étiquette du bouton correspond au nom du film que vous avez ajouté, mais elle peut toujours être modifiée. Choisissez un ensemble de thèmes à l’aide de ce menu local. Cliquez sur le triangle d’affichage pour visualiser tous les modèles de menu d’une famille de thèmes.12 Chapitre 2Découvrez iDVD Pour ajouter un film : 1 Cliquez sur le bouton Multimédia. 2 Cliquez sur le bouton Séquences en haut de la sous-fenêtre Multimédia (voir ci-dessous). 3 Sélectionnez le dossier Films ou un autre dossier contenant des films. Les vignettes des films qui se trouvent dans le dossier apparaissent dans la partie inférieure de la sous-fenêtre. 4 Faites glisser une vignette de film et déposez-la sur l’arrière-plan du menu, dans la partie gauche de la fenêtre iDVD. Un cercle vert portant un signe plus vous indique que vous pouvez déposer le film. Dans le menu principal Sobre Principal, l’arrière-plan dans lequel vous pouvez faire glisser votre film comprend toutes les options à l’exception de la zone de dépôt et de l’emplacement réservé au titre. Une fois que vous avez déposé le film, un bouton portant le même nom que le film que vous avez créé apparaît dans le menu. Vous apprendrez comment changer le nom du bouton dans la section « Modification du texte d’un bouton » à la page 23. Remarque :si des lignes en pointillés apparaissent sur le menu lorsque vous faites glisser votre film, déplacez le pointeur jusqu’à ce qu’elles disparaissent, puis déposez le film. Des lignes en pointillés indiquent une zone de dépôt, c’est-à-dire une zone du menu où vous pouvez ajouter des extraits vidéo et des photos. Les extraits vidéo ajoutés à une zone de dépôt sont intégrés à l’arrière-plan du menu et non au DVD lui-même.Chapitre 2 Découvrez iDVD 13 Si vous n’avez pas enregistré les changements de votre projet, vous pouvez supprimer un film ajouté en choisissant Édition > « Annuler Ajouter fichier ». Si vous avez déjà enregistré votre projet, cliquez sur le bouton de lien vers le film que vous voulez supprimer, puis choisissez Édition > Couper. Dans iDVD, il est possible de créer, comme dans les DVD commerciaux, un menu de sélection de scènes qui permet aux spectateurs d’accéder à des scènes spécifiques du film. Vous devez d’abord créer des marqueurs de chapitres pour votre film, ce qui génère automatiquement un menu de sélection de scènes. Pour en savoir plus, recherchez « marqueurs de chapitres » dans l’Aide iDVD. Modification du titre du menu Lorsque vous créez un nouveau projet dans iDVD, le menu principal de votre projet a un titre par défaut qui correspond au nom du thème du menu. Il est facile de changer le titre de votre projet iDVD. Pour modifier le texte du titre : 1 Double-cliquez sur le titre pour sélectionner le texte. Un éditeur local (représenté ci-dessous) apparaît en dessous du titre. 2 Remplacez le titre en saisissant « Vacances ». 3 Si vous le souhaitez, utilisez les commandes de l’éditeur local pour modifier la police, le style et la taille du titre. Vous en apprendrez plus sur la modification du texte à l’écran à l’ « Étape 7 :ajouter du texte au menu et changer son apparence » à la page 21.14 Chapitre 2Découvrez iDVD Étape 5 :ajouter un diaporama L’ajout d’un diaporama à votre projet iDVD est un bon moyen de l’améliorer et de montrer vos photographies. Vous pouvez utiliser un diaporama déjà créé dans iPhoto ou utiliser iDVD pour en créer un à partir d’un groupe d’images. Vous pouvez même créer un DVD ne contenant pas de film, mais conçu pour mettre en valeur vos photos dans un ou plusieurs diaporamas. Suivant la quantité de contenu autre que les photos et la taille de ces dernières, votre DVD peut contenir jusqu’à 9 801 images. Au cours de cette étape, vous allez créer un diaporama de films et de photos dans iDVD et lui ajouter une bande son. Pour créer un diaporama dans iDVD : 1 Si le menu principal n’est pas affiché, cliquez sur le bouton Précédent dans le menu de sélection de scènes pour revenir au menu principal. 2 Cliquez sur le bouton Ajouter, en bas de la fenêtre iDVD, puis choisissez « Ajouter un diaporama dans le menu local ». Un bouton intitulé « Mon diaporama » apparaît sur le menu. Il se peut que le bouton apparaisse trop loin du bouton de film. Laissez-le tel quel pour l’instant.Vous apprendrez comment repositionner les boutons dans la section « Modification de la forme des boutons » à la page 24. Double-cliquez lentement sur Mon diaporama pour sélectionner le texte, puis tapez « Mes photos ». Si vous le souhaitez, utilisez les commandes de l’éditeur local pour modifier le texte à votre guise. 3 Cliquez en dehors de la zone de texte pour désélectionner le texte, puis double-cliquez sur le bouton Mes photos pour ouvrir l’éditeur de diaporamas. La fenêtre iDVD change immédiatement et affiche la sous-fenêtre Photos.Chapitre 2 Découvrez iDVD 15 L’éditeur de diaporamas, affiché ci-dessous, est constitué d’un écran vierge contenant la phrase « Faites glisser les images ici ». 4 Faites glisser les photos une à une ou par groupes, depuis la sous-fenêtre Photos vers l’éditeur de diaporamas. Vous pouvez même faire glisser un album entier dans l’éditeur de diaporamas. Aucune photo n’apparaît dans cette liste si vous n’avez pas importé de photos dans iPhoto. Vous pouvez ouvrir iPhoto quand vous le souhaitez et importer des photos ou les faire glisser directement dans l’éditeur de diaporamas à partir d’autres emplacements de votre disque dur. 5 Disposez les images dans l’ordre d’apparition qui vous convient. Faites-les glisser dans l’éditeur de diaporamas pour les réorganiser. Pour supprimer des images, sélectionnez-les, puis appuyez sur la touche « Suppr » de votre clavier. Ajout d’une transition entre les images iDVD propose un certain nombre de styles de transition à appliquer à vos diaporamas, afin d’assurer un passage en douceur entre les photos. Pour ajouter une transition : 1 Cliquez sur le menu local Transition et faites quelques essais avec les transitions proposées, jusqu’à ce que vous trouviez celle qui vous convient. Accédez à la sousfenêtre Photos pour ajouter des photos à votre diaporama.16 Chapitre 2Découvrez iDVD Si une des flèches à droite du menu local Transition est mise en surbrillance lorsque vous faites une sélection, vous pouvez choisir une direction pour la transition. Cliquez sur l’une de ces flèches pour sélectionner la direction correspondante. Pour prévisualiser la transition, cliquez sur le bouton Aperçu représenté ci-dessous. La télécommande iDVD apparaît alors. Elle fonctionne tout comme une télécommande normale et vous permet de cliquer sur les boutons et de parcourir tous les menus de votre projet. 2 Cliquez sur le bouton Réglages, puis apportez les modifications souhaitées à l’aide des autres réglages de l’éditeur de diaporamas :  Pour activer la répétition continue du diaporama,sélectionnez « Diaporama en boucle ».  Pour afficher les boutons de navigation dans le diaporama, sélectionnez « Afficher les flèches de navigation ». Ces flèches ne sont pas fonctionnelles, mais servent à rappeler à l’utilisateur qu’il peut utiliser sa télécommande pour progresser dans le diaporama.  Pour ajouter des copies des photos originales à la partie DVD-ROM du disque, sélectionnez « Ajouter les fichiers d’images au DVD-ROM ». Cela permet au spectateur de télécharger des copies de vos photos sur son ordinateur à partir du DVD. Remarque :notez qu’en ajoutant des fichiers sur la partie DVD-ROM du disque, il est probable que vous occupiez de l’espace dont vous pourriez avoir besoin pour votre projet. Pour gérer la taille de votre projet pendant votre travail, choisissez Projet > « Infos du projet ». Vous pouvez voir l’espace utilisé à côté de la capacité.  Pour afficher le titre et les commentaires en dessous des images, sélectionnez « Afficher les titres et les commentaires ». Pour ajouter des titres et commentaires, cliquez sur le texte situé sous la vignette dans l’éditeur de diaporamas et saisissez votre texte dans le champ affiché. Cliquez sur le menu local Transition pour choisir un style de transition. Cliquez sur le bouton Aperçu pour visionner les différentes transitions.Chapitre 2 Découvrez iDVD 17 Ajout d’une piste audio Vous pouvez rendre vos diaporamas plus captivants en y ajoutant un fond sonore. Pour ajouter une piste audio à un diaporama : 1 Cliquez sur le bouton Audio en haut de la sous-fenêtre Multimédia. Le contenu de votre bibliothèque iTunes et toute musique composée dans GarageBand apparaissent dans la liste audio. Si aucun élément n’est visible dans la liste Audio, assurez-vous que vous avez importé de la musique dans iTunes. 2 Cliquez sur le bouton de lecture situé en bas de la sous-fenêtre Multimédia pour écouter un morceau avant de l’ajouter à votre DVD. Pour localiser rapidement un morceau particulier, vous pouvez saisir son nom dans le champ de recherche. 3 Si vous trouvez un morceau que vous souhaitez utiliser, faites-le glisser depuis la liste des morceaux jusque dans le cadre Audio de l’éditeur de diaporamas, illustré ci-dessus. Cadre Audio Accédez à la sous-fenêtre Audio pour ajouter une piste audio à votre diaporama. Bouton Aperçu Curseur Volume18 Chapitre 2Découvrez iDVD Après avoir déposé le morceau dans le cadre Audio, vous remarquerez que le menu local « Durée de la diapositive » se transforme automatiquement en « Adapter à l’audio ». Cela garantit que votre diaporama et votre musique démarrent et terminent en même temps. Vous pouvez en outre utiliser ce menu local pour modifier la durée d’apparition de chaque diapositive avant l’arrivée de la suivante. La durée que vous précisez ne s’applique qu’aux photos. La durée des diapositives n’a pas d’incidence sur la durée de lecture d’un film. 4 Cliquez sur le bouton Aperçu, pour voir à quoi ressemble votre diaporama. Pour revenir à l’éditeur de diaporamas, cliquez sur Quitter sur votre télécommande. Vous pouvez continuer à modifier le diaporama jusqu’à ce que vous soyez satisfait du résultat. Pour régler le volume de la piste audio, faites glisser le curseur « Volume du diaporama » vers la droite ou la gauche. 5 Cliquez sur le bouton Retour pour quitter l’éditeur de diaporamas et revenir au menu principal. 6 Pour enregistrer votre travail, choisissez Fichier > Enregistrer. Étape 6 :ajouter des données multimédias aux zones de dépôt Les thèmes iDVD peuvent contenir plusieurs zones de dépôt, et même des zones de dépôt dynamiques se déplaçant à l’arrière-plan d’un menu, ou ne pas en contenir du tout. Une zone de dépôt n’est pas un bouton. Il s’agit d’une zone dans laquelle vous pouvez placer des données multimédias pour égayer l’arrière-plan du menu. Vous pouvez y placer une simple image, un diaporama ou même un film. Vous pouvez ajouter n’importe quelle combinaison d’images, d’extraits vidéo et de diaporamas aux zones de dépôt de votre projet. Vous pouvez également cacher les zones de dépôt sur n’importe quel menu pour qu’elles n’apparaissent pas dans le projet final. Placez le pointeur sur le menu (sans qu’aucun bouton ou objet texte ne soient sélectionnés), puis appuyez sur Commande (x)+ I pour ouvrir la fenêtre « Infos du menu ». Vous pouvez alors décocher la case « Afficher les zones de dépôt et les graphismes liés ». Les zones de dépôt du menu disparaissent immédiatement. Le menu principal Sobre Principal contient trois zones de dépôt qui sont « lues » dans l’ordre. C’est pourquoi l’on ne voit qu’une seule zone de dépôt à la fois dans le menu principal. Le meilleur moyen de déterminer le nombre de zones de dépôt d’un menu est de cliquer sur le bouton « Zone de dépôt ». L’éditeur de zones de dépôt s’ouvre alors en représentant chaque zone du menu par un cadre. Pour retourner au menu principal, cliquez de nouveau sur le bouton « Zone de dépôt ». Lors de cette étape, vous pouvez remplir les trois zones de dépôt du menu principal à l’aide de l’éditeur de zones de dépôt. L’ajout d’un diaporama à l’une des zones de dépôt est similaire au processus de création de diaporama décrit à l’ « Étape 5 :ajouter un diaporama » à la page 14.Chapitre 2 Découvrez iDVD 19 Pour ajouter des données multimédia aux zones de dépôt : 1 Cliquez sur le bouton « Zone de dépôt ». L’éditeur correspondant, représenté ci-dessous, apparaît alors. 2 Cliquez sur le bouton Multimédia, puis sur Séquences en haut de la sous-fenêtre Multimédia. 3 Faites glisser un extrait vidéo depuis la sous-fenêtre et déposez-le dans la première zone de dépôt de l’éditeur. Contrairement aux photos, l’extrait vidéo n’est pas redimensionné pour s’adapter à la zone de dépôt, il se peut donc qu’une partie soit coupée dans cet emplacement. Remarque :il n’est pas conseillé d’ajouter un long film à une zone de dépôt parce qu’un film peut occuper beaucoup d’espace. Il est également peu probable qu’un spectateur reste suffisamment longtemps sur un menu pour visualiser un long film. 4 Pour retourner au menu principal, cliquez de nouveau sur le bouton « Zone de dépôt ». Remarquez la première image de l’extrait vidéo qui s’affiche dans la zone de dépôt. 5 Cliquez sur la zone de dépôt. Une sous-fenêtre de film, avec un curseur permettant de définir le début et la fin du clip dans la zone de dépôt, est alors affichée. Déplacez les curseurs pour modifier les parties du clip à lire. C’est une manière de raccourcir facilement un extrait vidéo dans une zone de dépôt. Lorsque vous travaillez dans l’éditeur de zone de dépôt, le menu de votre projet est affiché dans la fenêtre iDVD. L’éditeur comprend trois cadres de zone de dépôt, ce qui indique que le menu principal de ce thème comporte trois Bouton Zone zones de dépôt. de dépôt20 Chapitre 2Découvrez iDVD 6 Pour retourner à l’éditeur de zones de dépôt, cliquez de nouveau sur le bouton « Zone de dépôt ». 7 Cliquez sur le bouton Photos en haut de la sous-fenêtre Multimédia. 8 Faites glisser une image dans le deuxième cadre de zone de dépôt de l’éditeur. 9 Faites glisser un album photo ou un dossier d’images de la liste des photos vers le troisième cadre de la zone de dépôt. La première image du dossier ou de l’album s’affiche. 10 Double-cliquez sur le troisième cadre de zone de dépôt. Cela ouvre l’éditeur de diaporamas de la zone de dépôt, qui ressemble beaucoup à l’éditeur de diaporamas dans lequel vous avez créé vos extraits vidéo à l’ « Étape 5 : ajouter un diaporama ». Les vignettes de toutes les images que vous avez ajoutées sont affichées. 11 Faites glisser les images dans l’ordre d’apparition souhaité et supprimez celles que vous ne voulez pas conserver. Vous pouvez également faire glisser les autres images de la sous-fenêtre Photos ou d’un autre emplacement de votre ordinateur dans l’éditeur de photos de la zone de dépôt. Lorsque vous avez fini de travailler sur les images, cliquez sur le bouton Retour pour revenir à l’éditeur de zones de dépôt. 12 Pour retourner au menu principal, cliquez sur le bouton « Zone de dépôt ». 13 Cliquez sur le bouton Animation pour voir comment les zones de dépôt défilent ou sont « lues » dans le menu principal. Les images tournent en boucle. Appuyez de nouveau sur le bouton Play lorsque vous en avez vu suffisamment. 14 Pour enregistrer votre travail, choisissez Fichier > Enregistrer.Chapitre 2 Découvrez iDVD 21 Étape 7 :ajouter du texte au menu et changer son apparence Maintenant que vous avez ajouté du contenu supplémentaire à votre projet de DVD, il est peut-être nécessaire de modifier le texte du menu principal. Vous pouvez ajouter du texte au menu et changer sa police, sa taille ou sa couleur et lui ajouter une ombre. Vous pouvez également repositionner le texte afin qu’il s’adapte au mieux au menu. Le texte du menu, également appelé « objet texte » n’est pas un élément sur lequel on peut cliquer. Il ne s’agit donc pas du même type de texte que celui des boutons, car vous pouvez cliquer sur ces derniers. Au cours de cette étape, vous allez ajouter un sous-titre, modifier l’apparence du texte et le repositionner dans le menu. N’oubliez pas que le texte que vous ajoutez doit rester court pour obtenir des titres et sous-titres lisibles. Vous pouvez par exemple ajouter des blocs de texte pour les crédits ou autre contenu. Pour personnaliser le texte : 1 Assurez-vous que le menu principal du projet est ouvert, puis choisissez Projet > « Ajouter du texte ». Le texte temporaire « Cliquez pour modifier » est affiché sur le menu. 2 Faites glisser le texte pour le placer sous le titre. Si vous devez repositionner le titre principal pour le placer en fonction du sous-titre, cliquez dessus et faites-le glisser vers l’emplacement souhaité. Vous pouvez sélectionner et faire glisser n’importe quel objet texte du menu pour le repositionner. 3 Cliquez sur le texte pour le mettre en surbrillance, puis saisissez « Une année d’amusement » comme sous-titre. Remarquez que lorsque vous cliquez dessus, l’éditeur local apparaît en dessous. Vous pouvez utiliser les commandes de ce dernier pour changer la police, le style et la taille du texte. Mais pour l’instant, ignorez l’éditeur local. 4 Lorsque le texte est sélectionné, appuyez sur Commande (x)+ I pour ouvrir la fenêtre « Infos du texte » représentée ci-dessous. La fenêtre « Infos du texte » propose des commandes permettant de changer tous les aspects du texte, notamment la couleur et l’ombre. Vous pouvez la faire glisser pour la déposer à n’importe quel endroit du Bureau. 5 Cliquez sur le menu local de police et choisissez-en une nouvelle. 6 Utilisez le curseur de taille pour réduire les lettres afin que le sous-titre tienne sous le titre principal.22 Chapitre 2Découvrez iDVD 7 Cliquez dans le champ Couleur pour ouvrir la fenêtre Couleurs. Testez ses différentes possibilités. Chaque fois que vous cliquez sur une couleur, le texte du menu adopte la couleur sélectionnée. Une fois que vous avez trouvé celle qui vous convient, fermez la fenêtre Couleurs. 8 Cochez la case Ombre pour ajouter une ombre au texte. 9 Fermez la fenêtre « Infos du texte ». 10 Pour enregistrer votre travail, choisissez Fichier > Enregistrer. Le menu ci-dessous montre le nouveau titre et le sous-titre. Certains écrans de télévision risquent de ne pas pouvoir afficher la totalité de votre menu. Vous pouvez superposer au menu un contour indiquant la portion d’image visible sur ces écrans. Cette portion est appelée zone couverte par les TV. Pour de plus amples informations, recherchez « zone couverte par les TV » dans l’Aide iDVD. Étape 8 :modifier l’apparence des boutons Les styles de boutons sont conçus pour correspondre au thème, mais vous pouvez les modifier pour les adapter au contenu ou à vos idées. Les boutons peuvent être constitués exclusivement de texte ou de formes diverses dotées de texte, d’une image fixe, d’un diaporama ou d’une vidéo. Les boutons de votre menu principal, par exemple, sont des boutons de texte seulement. Dans cette étape vous allez modifier le texte d’étiquette d’un bouton, modifier la forme des boutons et choisir une image pour l’un d’eux.Chapitre 2 Découvrez iDVD 23 Modification du texte d’un bouton Ce genre de modification est semblable au changement de texte à l’écran. Pour modifier le texte d’un bouton : 1 Dans le menu principal, cliquez une première fois, puis une deuxième fois sur le bouton de votre film pour mettre le texte en surbrillance. Vous constatez qu’un éditeur local, représenté ci-dessous, apparaît en dessous du texte, comme lors de la modification du titre du DVD. 2 Saisissez un nouveau nom. 3 Vous pouvez utiliser ses commandes pour changer la police, le style et la taille de l’étiquette du bouton. 4 Pour changer la couleur du texte, appuyez sur Commande (x)+ I lorsque le bouton est sélectionné. Cela ouvre la fenêtre « Infos sur le bouton », représentée ci-dessous. Il propose des commandes supplémentaires par rapport à l’éditeur local. 5 Cliquez sur la commande de couleurs (sa couleur par défaut est le blanc) pour ouvrir la fenêtre Couleurs, puis essayez différentes sélections de couleur dans la fenêtre Couleurs. Lorsque vous cliquez sur les couleurs, l’étiquette de bouton adopte la couleur sélectionnée. Une fois que vous avez trouvé celle qui vous convient, fermez la fenêtre Couleurs. Pour modifier l’apparence de toutes les étiquettes de bouton à la fois, sélectionnez un bouton, puis choisissez Édition > « Sélectionner tous les boutons ». Appuyez ensuite sur Commande (x)+ I pour ouvrir la fenêtre « Infos sur le bouton ». Toutes les sélections effectuées s’appliquent à toutes les étiquettes de bouton. 6 Pour enregistrer votre travail, choisissez Fichier > Enregistrer. Cliquez sur la commande de couleurs pour choisir une nouvelle couleur pour le texte sélectionné.24 Chapitre 2Découvrez iDVD Modification de la forme des boutons Vous pouvez transformer n’importe quel bouton texte en un bouton de forme (ou d’image). Les boutons d’image consistent en une étiquette de texte et une vignette de forme. Vous pouvez ajouter des photos ou des extraits vidéo à la vignette des boutons d’image pour ajouter un intérêt visuel à vos menus. Les boutons d’image d’un menu peuvent avoir tous la même forme, mais vous pouvez également mélanger les styles. Pour modifier la forme d’un bouton : 1 À partir du menu principal, sélectionnez un des boutons en cliquant dessus, puis choisissez Édition > « Sélectionner tous les boutons ». Si vous voulez que chaque bouton soit différent, vous pouvez les sélectionner et les modifier l’un après l’autre. 2 Cliquez sur Boutons pour ouvrir la sous-fenêtre du même nom, représentée ci-dessous. 3 À partir du menu local situé en haut de la sous-fenêtre, choisissez Formes par défaut. Les trois options de boutons disponibles en haut du menu local (Texte, Puces et Formes) ajoutent à vos boutons un élément graphique n’apparaissant généralement que lorsque le bouton est sélectionné. Les cinq options de bouton disponibles en haut du menu local créent des boutons avec une étiquette et une forme auxquelles vous pouvez ajouter une image ou un plan de film. 4 Cliquez sur l’une des formes de bouton. Essayez différentes formes de bouton jusqu’à ce que vous trouviez celle qui convient à votre menu. Il est très probable que les boutons de votre menu se chevauchent lorsque vous appliquez une forme. Vous remédierez à cela à l’étape 6. Sélectionnez une catégorie de formes de bouton en utilisant ce menu local.Chapitre 2 Découvrez iDVD 25 5 Appuyez sur Commande (x)+ l avec vos boutons toujours sélectionnés pour ouvrir la fenêtre « Infos sur le bouton ». Utilisez les commandes de la fenêtre « Infos sur le bouton » pour exprimer votre créativité :  Utilisez le curseur Vignette pour modifier la taille du bouton.  Utilisez le menu local dédié aux étiquettes pour changer l’endroit où apparaît l’étiquette du bouton en fonction de sa forme. 6 Si les boutons se chevauchent toujours, cliquez sur le menu, mais par sur une zone de dépôt ou un objet texte. La fenêtre « Infos du menu », représentée ci-dessous, est alors affichée. 7 Sélectionnez « Positionnement libre » dans la rubrique Boutons de la fenêtre. Cela vous permet de déplacer les boutons dans le menu. 8 Fermez la fenêtre, puis faites glisser vos boutons pour les déposer à l’endroit voulu dans le menu. Des guides d’alignement jaunes apparaissent lorsque vous faites glisser vos boutons afin de vous aider à les placer. 9 Pour enregistrer votre travail, choisissez Fichier > Enregistrer. Modification de l’image du bouton Vous pouvez facilement changer l’image de n’importe quel bouton pour mieux contrô- ler l’apparence de vos menus. Pour modifier l’image d’un bouton de diaporama : 1 Cliquez deux fois de suite sur la forme du bouton de diaporama.26 Chapitre 2Découvrez iDVD Une sous-fenêtre Vignette, représentée ci-dessous, s’affiche au dessus du bouton. 2 Déplacez le curseur vers la gauche ou la droite pour faire défiler les images dans votre diaporama. Faites-les défiler jusqu’à ce que vous voyez l’image que vous souhaitez faire apparaître sur le bouton. 3 Cliquez à l’extérieur du bouton lorsque vous avez fini. Le curseur d’image disparaît. Pour modifier l’image d’un bouton de film : 1 Double-cliquez lentement sur la forme du bouton de film. Une sous-fenêtre Séquence, représentée ci-dessous, s’affiche au dessus du bouton. 2 Déplacez votre curseur vers la gauche ou la droite pour sélectionner l’image de votre film à afficher sur le bouton. Si vous voulez que les boutons n’affichent que l’image sélectionnée plutôt qu’une vidéo, cochez la case Image fixe.Chapitre 2 Découvrez iDVD 27 Votre menu devrait désormais ressembler à celui représenté ci-dessous : 3 Pour enregistrer votre travail, choisissez Fichier > Enregistrer. Étape 9 :ajouter des transitions aux boutons Votre DVD dispose désormais d’un menu attrayant avec des boutons personnalisés. Vous pouvez encore l’améliorer en utilisant des transitions pour atténuer les changements entre le menu principal du DVD et un film, le menu de sélection de scènes ou un diaporama. Pour définir des transitions pour le menu principal : 1 Cliquez sur un bouton du menu principal, puis choisissez Édition > « Sélectionner tous les boutons ». Vous pouvez appliquer une transition différente à chaque bouton en sélectionnant un bouton à la fois, puis en choisissant sa transition. 2 Appuyez sur Commande (x)+ I pour ouvrir la fenêtre « Infos sur le bouton ». 3 Sélectionnez Défilement dans le menu local Transition, représenté ci-dessous. Vous constatez que le deuxième menu local devient « De droite à gauche ». Cela indique que vous pouvez définir la direction du mouvement de transition. 4 Sélectionnez une autre direction dans le deuxième menu local, si vous le souhaitez. 5 Cliquez sur le bouton Aperçu et utilisez la télécommande DVD pour sélectionner les boutons de menu un par un afin de visualiser le résultat. Une fois terminé, cliquez sur le bouton Quitter de la télécommande DVD. 6 Pour enregistrer votre travail, choisissez Fichier > Enregistrer.28 Chapitre 2Découvrez iDVD Étape 10 :organiser votre projet à l’aide de la présentation par plan Elle vous donne un aperçu visuel de votre projet, ce qui s’avère particulièrement utile dans les projets complexes. Elle permet également d’effectuer des modifications par lot et d’ajouter un film en lecture automatique à votre DVD. Au cours de cette étape, vous apprendrez à utiliser la présentation par plan pour ajouter un film en lecture automatique à votre projet et visualiser l’organisation de votre DVD. Pour activer la présentation par plan : m Cliquez sur le bouton Plan, illustré ci-dessous. En présentation par plan, comme illustré ci-dessous, vous pouvez masquer (réduire) des parties du plan pour simplifier la présentation. Vous pouvez également effectuer un zoom avant pour voir plus de détails ou choisir le zoom arrière pour voir l’intégralité du projet dans une seule fenêtre. Remarque :l’image de la présentation par plan ci-dessous ne reflète pas l’apparence de la présentation par plan de votre projet en cours. L’image ci-dessous représente un projet différent, afin de vous donner une idée de l’apparence d’une présentation par plan pour des projets plus complexes. Bouton Plan Boutons de présentation Triangle d’affichage du menu de sélection de scènes Curseur ZoomChapitre 2 Découvrez iDVD 29 Modification de la disposition de la présentation par plan Vous pouvez, en un clic, adopter une orientation verticale ou horizontale de la présentation par plan. Pour changer de disposition de présentation par plan : 1 Cliquez sur un bouton de présentation, dans le coin inférieur gauche de la fenêtre, pour passer de la présentation par plan verticale à la présentation par plan horizontale (et inversement). 2 Cliquez sur le triangle d’affichage de l’icône du menu principal. Le menu se réduit afin de simplifier le plan. 3 Cliquez à nouveau sur le triangle d’affichage pour développer le plan. 4 Faites glisser le curseur Zoom situé en bas de la fenêtre vers la gauche ou vers la droite pour modifier la quantité de détails visibles dans le plan. Vous pouvez également utiliser les barres de défilement horizontale et verticale qui apparaissent lorsque le plan entier ne tient pas dans la fenêtre DVD ; elles vous permettent de vous déplacer dans le plan. Ajout d’un film en lecture automatique Vous pouvez également utiliser la présentation par plan pour ajouter un film en lecture automatique à un projet. Ces films sont lus dès l’insertion du DVD dans le lecteur, avant l’apparition du menu principal. Un film en lecture automatique peut être constitué à partir d’une vidéo ou d’un diaporama. Vous pouvez, par exemple, créer des diapositives comportant un texte introductif ou un générique présenté avant l’affichage du menu DVD. Pour un film en lecture automatique, un diaporama peut consister en une seule image. Icône de projet Triangle d’affichage30 Chapitre 2Découvrez iDVD Pour ajouter un film en lecture automatique : 1 Repérez l’icône grise du projet dans le coin supérieur gauche du plan. 2 Cliquez sur le bouton Multimédia, puis sur Photos ou Séquences, afin de sélectionner le contenu à ajouter. N’oubliez pas que le film que vous ajoutez est lu dans son intégralité avant l’apparition du menu ; il est donc préférable qu’il soit court. 3 Faites glisser le film ou les images sur l’icône du projet. Si vous ajoutez un album photo, il se transforme en diaporama. Double-cliquez sur l’icône du projet pour ouvrir l’éditeur Lecture automatique du diaporama (qui est le même que l’éditeur de diaporamas) et définir une durée de diapositive, une transition et d’autres réglages, et même ajouter une bande son. 4 Cliquez sur le bouton Aperçu pour voir la lecture automatique du film ajouté. Une fois terminé, cliquez sur le bouton Quitter de la télécommande DVD. 5 Pour enregistrer votre travail, choisissez Fichier > Enregistrer. Pour supprimer un film en lecture automatique : m Faites glisser le film hors de l’icône de projet ou cliquez sur l’icône du projet, puis appuyez sur la touche Supprimer du clavier. . Lorsque vous supprimez un film en lecture automatique, l’icône du projet n’est pas supprimée, de sorte que vous pouvez faire glisser un autre film ou un autre album photo dessus pour créer un film en lecture automatique. La présentation par plan vous permet de procéder à de nombreuses modifications sur votre projet. Pour en savoir plus, recherchez « Modification en présentation par plan » dans l’Aide iDVD. Étape 11 :graver votre DVD Maintenant que votre projet iDVD est terminé, vous êtes pratiquement prêt pour l’étape finale qui consiste à le graver sur un disque DVD. Il reste néanmoins quelques étapes à suivre pour vous garantir un bon résultat. Au cours de cette étape, vous allez contrôler la taille du projet dans la fenêtre « Infos sur le projet », vérifier la présence d’erreurs en utilisant le plan du DVD et contrôler la qualité et l’état de l’encodage. Vérification de la fenêtre « Infos sur le projet » Les projets DVD peuvent occuper un espace très important sur votre disque dur et il est donc préférable de prévoir les besoins en espace de votre projet. Les disques DVD possè- dent en outre une capacité de stockage maximale. Lorsque vous travaillez sur votre projet, le contrôle de sa taille vous permet de garantir que tout tiendra sur le DVD.Chapitre 2 Découvrez iDVD 31 La fenêtre « Infos sur le projet », illustrée ci-dessous, fournit toutes ces informations, entre autres. Pour contrôler la taille de votre projet : m Choisissez Projet > « Infos sur le projet ».  Le volume total de votre projet, à savoir sa durée de projection (en minutes) et sa taille (en gigaoctets), est affiché sous l’indicateur Capacité situé complètement à droite.  L’indicateur de capacité affiche la proportion du volume total du projet utilisée par chaque élément du projet. Les bandes de couleur indiquent la proportion du projet à laquelle chaque élément correspond.  Les chiffres affichés sous DVD-ROM, Diaporamas, Menus et Films indiquent l’espace (en gigaoctets) utilisé par chacun des éléments. En cliquant sur ces chiffres, vous affichez le total des éléments présents dans le projet et le nombre de pistes qu’ils utilisent. Un projet iDVD peut contenir jusqu’à 99 pistes. DVD-ROM correspond au contenu que vous avez choisi d’ajouter à la partie DVD-ROM de votre DVD gravé. Les figures de durée de projection et de volume qui apparaissent sous Menus correspondent à la durée totale de l’ensemble des menus du projet. Vous disposez d’un total de 15 minutes d’animation sous la forme de vidéo sur les boutons ou en arrière-plan, dans tous les menus. Un projet peut contenir jusqu’à 99 menus. La quantité de contenu de votre projet iDVD correspond généralement à la qualité de votre DVD gravé, en fonction du réglage d’encodage choisi. La qualité de votre DVD gravé s’affiche à côté de la flèche blanche de l’indicateur Capacité. La qualité est plus élevée vers la gauche (en vert) de l’indicateur Qualité..32 Chapitre 2Découvrez iDVD Vérification des fichiers du projet Tous les éléments que vous avez ajoutés à votre projet apparaissent dans la partie Multimédia de la fenêtre, avec le chemin d’accès à l’emplacement qu’ils occupent sur le disque dur ou ailleurs. Si vous ne voyez pas le tableau « Multimédia » ci-dessous, cliquez sur le triangle pour l’afficher. La colonne Type indique s’il s’agit d’un fichier d’image, d’un fichier audio ou d’un fichier vidéo. Une coche dans la colonne État indique si l’élément est présent et donc accessible pour iDVD. En cas de déplacement du fichier original de son emplacement, il est facile de repérer en un coup d’œil l’élément manquant, car la coche correspondante aura également disparu. Cela signifie qu’iDVD ne peut pas accéder au fichier. Si vous constatez qu’un élément n’est pas présent dans son emplacement habituel, vous pouvez procéder de l’une des manières suivantes :  Localisez cet élément sur votre disque dur ou votre serveur et remettez-le à son emplacement d’origine.  Supprimez le bouton qui donne accès à l’élément.  Localisez le fichier lorsqu’on vous y invite à la prochaine ouverture du projet. Vérification de la présence d’erreurs dans votre projet Si vous commencez à graver votre projet sans le vérifier, une zone de dialogue s’affiche et vous indique s’il existe des erreurs dans votre projet. Cela vous empêche de créer un DVD qui ne pourra pas être lu. Il est toutefois recommandé de vérifier la présence d’erreurs avant de lancer la gravure du disque. La manière la plus complète de vous assurez que votre projet fonctionne correctement est de cliquer sur le bouton Aperçu et d’utiliser la télécommande iDVD pour cliquer sur tous les boutons, afficher tous les menus, toutes les vidéos et tous les diaporamas. Cela risque de prendre du temps s’il s’agit d’un projet de taille importante. Vous pouvez gagner du temps en contrôlant votre projet par sondage à l’aide de la présentation par plan. Pour vérifier la présence d’erreurs : 1 Cliquez sur le bouton Plan pour visualiser votre projet en mode de présentation par plan. 2 Recherchez des symboles d’avertissement, comme celui ci-dessous (ils ont la forme de panneaux jaunes), qui indiquent la présence d’un problème sur un menu ou un support que vous avez ajouté au projet. 3 Placez le pointeur sur le symbole pour afficher une explication de l’erreur.Chapitre 2 Découvrez iDVD 33 4 Effectuez les corrections nécessaires, puis revenez à la présentation par plan pour vérifier si le symbole a disparu. 5 Pour enregistrer votre travail, choisissez Fichier > Enregistrer. Gravure de votre projet sur DVD Une fois que votre projet iDVD est terminé, vous pouvez le graver sur un DVD afin de pouvoir le lire sur un téléviseur ou un ordinateur équipé d’un lecteur de DVD. Soyez sûr d’avoir terminé votre projet avant de lancer la gravure de votre disque. iDVD vous permet de graver votre DVD sur les types de support suivants :  DVD-R :utilisable une seule fois C’est le type de support recommandé pour iDVD, car il est compatible avec la plupart des lecteurs de DVD et des ordinateurs. Ce type de disque peut contenir environ 4,38 Go de données.  DVD+R :utilisable une seule fois Ce type de disque peut contenir environ 4,38 Go de données.  DVD-RW :utilisable plusieurs fois RW est le sigle du mot anglais « rewritable », c’est-à-dire réinscriptible. Ce type de disque peut contenir environ 4,38 Go de données.  DVD+RW :utilisable plusieurs fois Ce type de disque peut contenir environ 4,38 Go de données. Ils ne sont pas lisibles sur tous les lecteurs de DVD.  DVD+R DL (double couche) :ce type de disque est capable de stocker près de deux fois plus de données que les disques simple couche, mais il est incompatible avec les anciens lecteurs DVD. Pour graver votre DVD : m Cliquez sur le bouton Graver, illustré ci-dessous. À l’invite, insérez un disque vierge dans le lecteur SuperDrive ou le graveur externe de votre ordinateur. iDVD grave votre disque. La durée de création du disque dépend de la quantité de vidéo et de la vitesse de l’ordinateur. En fonction de la taille et de la complexité de votre projet, cette durée peut varier de quelques heures à beaucoup plus. Pendant la gravure de votre projet iDVD, une zone de dialogue de progression s’affiche et indique exactement ce qui se passe durant les cinq étapes du processus de gravure : préparation, traitement des menus, traitement des diaporamas, traitement des films et gravure.34 Chapitre 2Découvrez iDVD Si vous n’êtes pas en mesure de graver votre disque immédiatement ou que vous souhaitez transférer ou sauvegarder votre projet terminé sur un autre ordinateur, il est possible de l’archiver ou de l’enregistrer en tant qu’image disque. Pour de plus amples informations, recherchez « Archiver un projet » et « Enregistrer un projet en tant qu’image disque » dans l’Aide iDVD. Continuez à explorer iDVD Félicitations, vous avez terminé cette initiation ! Vous avez ainsi pu vous familiariser avec les outils et fonctionnalités élémentaires d’iDVD. Vous pouvez continuer à modifier votre film et en créer de nouveaux. Voici d’autres idées pour rendre vos projets encore plus amusants : Ajouter des films supplémentaires à votre projet : Comme un DVD peut contenir une grande quantité de données, il vous reste probablement de la place pour inclure plusieurs films. En ajoutant des films, vous pouvez ajouter des menus avec boutons personnalisés et du texte à l’écran. Personnaliser un thème et l’enregistrer comme favori : Après avoir changé le style d’un bouton, l’apparence et la position du texte à l’écran et d’autres aspects modifiables du thème, vous pouvez enregistrer le résultat en tant que thème personnalisé pour pouvoir le réutiliser dans d’autres projets. Pour plus d’informations sur la personnalisation des thèmes, recherchez « thèmes » dans l’Aide iDVD. Expérimentez avec le son :  Vous pouvez ajouter un fond sonore à un menu. Il peut s’agir d’un ou de deux morceaux ou d’une liste de lecture iTunes. Pour plus d’informations, recherchez « Ajouter du son à un menu » dans l’Aide iDVD.  Pour parfaire votre DVD, vous pouvez appliquer un fondu en sortie à la bande son d’un diaporama ou d’une séquence d’arrière-plan. Pour plus d’informations, recherchez « Fondu en sortie de bande son » dans l’Aide iDVD. Ajoutez du contenu à la partie DVD-ROM du disque :  Vous pouvez ajouter du contenu à la partie DVD-ROM de votre disque ; les utilisateurs pourront y accéder en visionnant votre disque sur un ordinateur (pas sur un téléviseur). Vous pouvez par exemple ajouter des images provenant de diaporamas que vous avez créés, afin que les spectateurs puissent les télécharger sur leur ordinateur et les imprimer. Pour en savoir plus, recherchez « Contenus de DVD-ROM » dans l’Aide iDVD.Chapitre 2 Découvrez iDVD 35 Ressources d’aide supplémentaires Vous pouvez consulter plusieurs autres ressources pour trouver de l’aide supplémentaire sur iDVD.  Aide à l’écran :iDVD possède un système d’aide intégré. Lorsque l’application est ouverte, choisissez Aide > Aide iDVD. Saisissez ensuite un mot ou une phrase dans le champ de recherche situé en haut de la page ou cliquez sur l’une des zones de rubrique pour retrouver les informations concernant des tâches spécifiques.  Vidéos d’initiation :ces courtes initiations vidéo vous montrent comment réaliser une tâche élémentaire dans iDVD. Pour y accéder, choisissez Aide > Initiations vidéo. (Ces initiations ne sont pas disponibles dans toutes les langues.)  Site web d’assistance (www.apple.com/fr/support/idvd) : visitez ce site pour accé- der à des forums de discussion très utiles et pour obtenir des informations détaillées de dépannage, ainsi que des mises à jour de logiciels.www.apple.com/ilife/idvd © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, Final Cut, Final Cut Pro, iDVD, iLife, iMovie HD, iPhoto, iSight, iTunes, QuickTime et SuperDrive sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. GarageBand est une marque d’Apple Inc. F019-084806/2007 Logic Express 8 Prise en charge des surfaces de contrôle Apple Inc. © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. En vertu des lois sur le copyright, il est interdit de copier le présent manuel en tout ou partie sans l’autorisation écrite d’Apple. Vos droits sur le logiciel sont régis par le contrat de licence du logiciel annexé. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc. déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. L’utilisation du logo Apple « clavier » (Option + 1) à des fins commerciales sans l’autorisation écrite préalable d’Apple peut constituer une contrefaçon de marque et une concurrence déloyale en violation des lois fédérales et nationales. Tous les efforts ont été mis en œuvre pour garantir l’exactitude des informations contenues dans le présent manuel. Apple Inc. ne saurait être tenu pour responsable des coquilles, ni des erreurs d’écriture. Note :Apple mettant fréquemment à disposition de nouvelles versions et des mises à jour de son logiciel système, de ses applications et de ses sites Internet, les illustrations présentes dans ce manuel peuvent présenter de légères différences avec ce qui apparaît sur votre écran. Apple Inc. 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, FireWire, iPod, Logic, Mac, Macintosh et Mac OS sont des marques d’Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. GarageBand est une marque d’Apple Inc. Intel, Intel Core et Xeon sont des marques d’Intel Corp. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Tout autre nom de société et de produit mentionné dans le présent manuel est une marque de son détenteur respectif. La mention de produits tiers n’est proposée que dans un souci d’information et ne constitue en rien un cautionnement ou une recommandation. Apple n’assume aucune responsabilité en ce qui concerne les performances ou l’utilisation de ces produits. 3 1 Table des matières Préface 7 Introduction 7 Surfaces de contrôle - Description 8 Utilisation de surfaces de contrôle avec Logic Express 9 Surfaces de contrôle prises en charge par Logic Express 13 Modules de surface de contrôle 13 À propos des logiciels et programmes internes 14 À propos du présent guide Chapitre 1 15 Réglage des surfaces de contrôle de base 15 Mise en route 16 Connexion de surfaces de contrôle 18 Ajout de surfaces de contrôle à Logic Express 20 Création de groupes de surfaces de contrôle 23 Réglage de votre installation de surfaces de contrôle 30 Réglage des préférences des surfaces de contrôle 34 Affichage de messages 35 Astuces d’utilisation Chapitre 2 37 Personnalisation des assignations de contrôleur 37 Assignation de contrôleurs aux paramètres Logic Express 38 Utilisation de la présentation simple 40 Utilisation de la présentation expert 59 Assignation de boutons à des raccourcis clavier 60 Stockage des assignations de contrôleur Chapitre 3 61 Mackie Control 61 Réglage de votre Mackie Control 61 Utilisation de la Mackie Control avec Logic Express 62 Zone d’affichage 65 Contrôles des tranches de console 68 Curseur Master 68 Zone Assignment 83 Zone Fader Bank 85 Zone des touches de fonction4 Table des matières 86 Zone Global View 87 Boutons de modification 87 Boutons d’automation 89 Boutons Utilities 91 Zone Transport 99 Zone des touches de curseur 100 Zone du jog/scrub wheel 101 Modes utilisateur programmables 101 Connexion de switch au pied 101 Aperçu des assignations Chapitre 4 113 M-Audio iControl 113 Réglage de votre iControl 113 Modification des paramètres de module 114 Boutons d’assignation 116 Boutons Flèche haut et Flèche bas 117 Contrôles des tranches de console 118 Présentations Table de mixage et Canal 118 Le jog wheel (molette) 118 Commandes de lecture 120 Curseur Master 120 Aperçu des assignations Chapitre 5 123 CM Labs Motormix 123 Configuration de votre CM Labs Motormix 124 Aperçu des assignations Chapitre 6 131 Frontier Design TranzPort 131 Réglage de votre Frontier Design TranzPort 131 Écran à cristaux liquides 132 Aperçu des assignations Chapitre 7 135 MiniDesk CS-32 JLCooper 135 Configuration de votre MiniDesk CS-32 JL Cooper 136 Aperçu des assignations Chapitre 8 141 JLCooper FaderMaster 4/100 141 Ce dont vous avez besoin 141 Réglage de votre JLCooper FaderMaster 4/100 142 Aperçu des assignations Chapitre 9 143 Korg microKONTROL et KONTROL49 143 Réglage de votre Korg microKONTROL et KONTROL49 144 Aperçu des assignationsTable des matières 5 Chapitre 10 149 Mackie Baby HUI 149 Configuration de votre Mackie Baby HUI 150 Aperçu des assignations Chapitre 11 153 Mackie C4 153 Réglage de votre Mackie C4 153 V-Pot, V-Select 160 Boutons situés en bas 163 Incrustation de marqueur 163 Incrustation de piste 164 Incrustation de la tranche de console 164 Incrustation de fonction Chapitre 12 167 Mackie HUI 167 Réglage de votre Mackie HUI 168 Vue d’ensemble des assignations Chapitre 13 179 Radikal Technologies SAC-2K 179 Réglage de votre Radikal Technologies SAC-2K 180 Aperçu des assignations 185 Dépannage Chapitre 14 187 Roland SI-24 187 Réglage de votre Roland SI-24 188 Aperçu des assignations Chapitre 15 193 Tascam FW-1884 193 Introduction 193 Réglage de votre Tascam FW-1884 194 Aperçu des assignations Chapitre 16 201 Tascam US-2400 201 Réglage de votre Tascam US-2400 202 Aperçu des assignations Chapitre 17 209 Tascam US-428 et US-224 209 Réglage des surfaces de contrôle Tascam US-428 et US-224 209 Aperçu des assignations Chapitre 18 213 Yamaha 01V96 213 Réglage de votre Yamaha 01V96 214 Aperçu des assignations 216 Section SELECTED CHANNEL 216 Section relative à l’entrée de données 217 Tranches de console6 Table des matières 217 Section relative aux tranches de console stéréo 217 Section User Defined Keys Chapitre 19 221 Yamaha 02R96 221 Réglage de votre Yamaha 02R96 222 Aperçu des assignations Chapitre 20 227 Yamaha DM1000 227 Réglage de votre Yamaha DM1000 228 Aperçu des assignations Chapitre 21 235 Yamaha DM2000 235 Réglage de votre Yamaha DM2000 236 Aperçu des assignations 7 Préface Introduction Vous pouvez utiliser des surfaces de contrôle de matériel afin de contrôler et d’automatiser le transport, le mixage, l’enregistrement et d’autres tâches dans Logic Express. Toutes les fonctions de Logic Express qui correspondent à des commandes de table de mixage, telles que le réglage du volume et la position du panoramique, peuvent être exécutées à l’écran, à l’aide de la souris et du clavier de l’ordinateur. Cette situation n’est pas idéale pour un contrôle précis en temps réel, car il n’est possible d’ajuster qu’un seul paramètre à la fois. Vous pouvez élargir vos horizons créatifs et gagner en souplesse et en précision de travail en reliant une surface de contrôle matérielle à votre ordinateur pour l’utiliser avec Logic Express. Lorsque vous déplacez un curseur sur la surface de contrôle, le curseur correspondant de Logic Express se déplace également. De même, lorsque vous réglez une commande à l’écran, la commande correspondante de la surface de contrôle est actualisée. Vous pouvez régler l’EQ ou d’autres paramètres en faisant tourner les potentiomètres rotatifs de la surface de contrôle :les paramètres correspondants sont alors mis à jour instantanément dans Logic Express. Surfaces de contrôle - Description Les surfaces de contrôle sont des périphériques équipés de diverses commandes, dont des curseurs, des sélecteurs rotatifs, des commutateurs et des écrans. Ces commandes peuvent être mises en correspondance avec des fonctions de Logic Express, ce qui permet de modifier des paramètres, tels que le volume ou la balance, plus précisément et plus rapidement que ne le permettent la souris et le clavier de l’ordinateur. Vous pouvez également contrôler simultanément plusieurs paramètres, selon les possibilités de la surface de contrôle.8 PréfaceIntroduction Les surfaces de contrôle disposent généralement de boutons permettant soit de sélectionner des paramètres afin de les modifier,soit de sélectionner des pistes/canaux particuliers ou des banques de canaux. Nombre d’entre elles comportent également une molette de défilement pour un déplacement précis de la tête de lecture, des boutons de transport (lecture, rembobinage, etc.) et d’autres contrôles. Lorsque vous utilisez une surface de contrôle prise en charge par Logic Express, certaines commandes sont prédéfinies sur les fonctions standard. Vous avez la possibilité de mettre en correspondance les commandes non assignées à d’autres commandes et fonctions Logic Express (reportez-vous à la rubrique « Assignation de contrôleurs aux paramètres Logic Express » à la page 37). Certaines surfaces de contrôle simples sont exclusivement dotées de potentiomètres et de boutons (non motorisés). D’autres appareils plus perfectionnés comprennent des curseurs motorisés, des encodeurs rotatifs, des voyants DEL et des écrans programmables. Le retour d’informations supplémentaire qu’offrent ces surfaces de contrôle les rend plus conviviales. Inutile désormais de se reporter constamment à l’écran de l’ordinateur pour connaître le mode du périphérique ou les valeurs actuelles des paramètres. Utilisation de surfaces de contrôle avec Logic Express Pour utiliser une surface de contrôle avec Logic Express, vous devez la connecter à votre ordinateur via MIDI, USB, un port réseau ou FireWire. Vous devez ensuite l’ajouter à Logic Express (cette opération s’effectue de manière automatique pour de nombreux périphériques pris en charge), mettre en correspondance les commandes à utiliser avec les commandes Logic Express (là encore, la plupart de ces opérations sont exécutées automatiquement si vous utilisez un périphérique pris en charge), puis utiliser la surface de contrôle pour la lecture et l’enregistrement. L’automation de la surface de contrôle enregistrée apparaît dans la fenêtre Arrangement, lorsqu’elle est activée, et dans l’éditeur du clavier. Le chapitre 1, « Réglage des surfaces de contrôle de base », à la page 15 contient des informations détaillées sur la connexion et l’ajout de surfaces de contrôle. Veuillez lire attentivement ce chapitre avant de passer au chapitre concernant votre surface de contrôle particulière. Vous trouverez ci-dessous certaines des opérations à réaliser lorsque vous utilisez des surfaces de contrôle avec Logic Express :  Contrôle des fonctions de transport, y compris le réglage des locators et l’activation des modes d’enregistrement Cycle ou Punch.  Réglage des niveaux de volume et de panoramique des canaux audio, instruments, aux., Master.  Sélection et contrôle de tous les paramètres d’effets et d’instruments.  Sélection, Solo, Muet et activation de l’enregistrement des pistes/canaux.  Réglage et ajustement des paramètres d’envoi.  Navigation à distance parmi les screensets.Préface Introduction 9  Scrubbing MIDI et audio (dans la fenêtre Arrangement).  Zoom avant sur les différentes pistes ou sur la fenêtre active.  Création, suppression et déplacement de la tête de lecture entre les marqueurs. Les surfaces de contrôle favorisent les performances live dynamiques lorsqu’elles sont utilisées conjointement avec un ordinateur portable Macintosh, un clavier musical et des interfaces audio et MIDI. Certains périphériques intègrent un clavier musical, des interfaces audio et MIDI, ainsi qu’une surface de contrôle tout-en-un. Les fonctions d’automation des pistes de Logic Express peuvent être actives même si l’application n’est pas en mode d’enregistrement, vous permettant ainsi de capturer vos modifications live en temps réel pour les lire ultérieurement. Vous ne risquez plus de perdre de performances « exceptionnelles », sur scène ou en studio. Comme nous l’avons indiqué plus haut, Logic Express prend directement en charge une grande variété de surfaces de contrôle, mais permet également de remettre en correspondance des assignations existantes pour des surfaces de contrôle prises en charge ou de programmer de nouvelles assignations pour des surfaces de contrôle non prises en charge. Ceci vous permet d’élargir le champ d’utilisation des curseurs, potentiomètres et commutateurs, directement ou par le biais des boutons de modification. Vous pouvez utiliser n’importe quelle combinaison de surfaces de contrôle avec Logic Express. Associez-les dans un groupe de surfaces de contrôle pour les exploiter au mieux. Vous trouverez une présentation détaillée du groupe, de l’installation et d’autres paramètres de réglage des surfaces de contrôle dans la rubrique « Création de groupes de surfaces de contrôle » à la page 20. Pour vous familiariser avec l’utilisation des surfaces de contrôle, rien de tel que l’approche pratique. Déplacez les curseurs, faites tourner les boutons et utilisez les différentes commandes de votre périphérique au fur et à mesure que vous parcourez le manuel. Vous aurez ainsi un aperçu précis du mode de fonctionnement de votre surface de contrôle, ainsi que de la manière dont les différentes parties de la surface de contrôle interagissent avec Logic Express. Surfaces de contrôle prises en charge par Logic Express Vous trouverez ci-après la liste alphabétique des surfaces de contrôle directement prises en charge par Logic Express. Cette liste contient des références croisées aux sections propres aux périphériques concernés.10 PréfaceIntroduction Remarque :il est possible que votre périphérique soit directement pris en charge dans Logic Express par le biais de fichiers de prise en charge téléchargeables. Il s’agit généralement d’un gestionnaire ou d’un module (consultez « Modules de surface de contrôle » à la page 13) fourni par le fabricant. Consultez la documentation/les disques livrés avec le périphérique, ainsi que le site web du fabricant. Suivez toutes les instructions fournies dans les fichiers, le cas échéant. Périphériques pris en charge Fabricant Remarques 01V96 Yamaha La Yamaha 01V96 émule deux unités HUI au moyen de deux connexions virtuelles d’entrée et sortie MIDI sur un câble USB. Reportez-vous à la rubrique « Yamaha 01V96 » à la page 213. 01X Yamaha La Yamaha 01X émule une surface de contrôle Mackie Control. Elle ne propose toutefois pas toutes les commandes disponibles sur les unités Mackie. Pour plus de détails, reportez-vous à la documentation 01X. Logic Express reconnaît la 01X comme une 01X et affiche une icône personnalisée, mais la communication s’effectue comme s’il s’agissait d’une surface de contrôle Mackie Control. Reportez-vous à la rubrique « Mackie Control » à la page 61. 02R96 Yamaha La Yamaha 02R96 émule trois unités HUI au moyen de trois connexions virtuelles d’entrée et de sortie MIDI sur un câble USB. Reportez-vous à la rubrique « Yamaha 02R96 » à la page 221. Baby HUI Mackie Le Baby HUI est une version compacte du HUI d’origine. Reportez-vous à la rubrique « Mackie Baby HUI » à la page 149. C4 Mackie La surface de contrôle Mackie C4 est directement prise en charge. Reportez-vous à la rubrique « Mackie C4 » à la page 153. CS-32 MiniDesk JLCooper Reportez-vous à la rubrique « MiniDesk CS-32 JLCooper » à la page 135. DM1000 Yamaha La console Yamaha DM1000 émule deux unités HUI en utilisant deux connexions virtuelles d’entrée et de sortie MIDI à travers un câble USB. Reportez-vous à la rubrique « Yamaha DM1000 » à la page 227.Préface Introduction 11 DM2000 Yamaha La Yamaha DM2000 émule trois unités HUI au moyen de trois connexions virtuelles d’entrée et de sortie MIDI sur un câble USB. Reportez-vous à la rubrique « Yamaha DM2000 » à la page 235. FaderMaster 4/100 JLCooper Reportez-vous à la rubrique « JLCooper FaderMaster 4/100 » à la page 141. FE-8 Tascam Extension de la FW-1884. Reportez-vous à la rubrique « Tascam FW-1884 » à la page 193. FW-1082 Tascam Version compacte de la FW-1884. Reportez-vous à la rubrique « Tascam FW-1884 » à la page 193. FW-1884 Tascam Reportez-vous à la rubrique « Tascam FW-1884 » à la page 193. HUI Mackie Important :la compatibilité HUI a été testée avec l’interface HUI Mackie d’origine. Il existe un certain nombre de surfaces de contrôle (non mentionnées ici) capables d’émuler le HUI. Les périphériques prenant en charge l’émulation HUI n’ont pas tous été testés. Ils ne sont pas pris en charge dans Apple et leur fonctionnement avec Logic Express en mode d’émulation HUI n’est pas non plus garanti. Reportez-vous à la rubrique « Mackie HUI » à la page 167. iControl M-Audio Reportez-vous à la rubrique « M-Audio iControl » à la page 113. KONTROL49 Korg Version plus avancée de microKONTROL. Reportez-vous à la rubrique « Korg microKONTROL et KONTROL49 » à la page 143. Logic Control XT Mackie/Emagic Extension de Logic Control. Elle offre uniquement la section de tranches de console, ce qui la rend moins utile sans surface Logic Control (ou Mackie Control). Reportez-vous à la rubrique « Mackie Control » à la page 61. Pour plus de détails, reportez-vous également à l’annexe. Logic/Mackie Control Mackie/Emagic Reportez-vous à la rubrique « Mackie Control » à la page 61. Pour plus de détails, reportez-vous également à l’annexe. Périphériques pris en charge Fabricant Remarques12 PréfaceIntroduction Mackie Control Mackie Le matériel d’origine Mackie Control est identique à celui du Logic Control. La légende du panneau avant est différente. Procurez-vous une planche de paramètres dédiée Logic Control (Lexan overlay) auprès de Mackie. Étant donné que Logic Express reconnaît également le protocole Mackie Control, vous pouvez utiliser n’importe quelle version de programme interne. Si la version du programme interne installé sur votre unité est la version 1.02 ou supérieure, vous pouvez utiliser le mode Logic Control ou Mackie Control indifféremment. Reportez-vous à la rubrique « Mackie Control » à la page 61. Mackie Control Extender Mackie Version de Logic Control XT signée Mackie. Étant donné que Logic Express reconnaît également le protocole Mackie Control, vous pouvez utiliser n’importe quelle version de programme interne. Si vous disposez de la version 1.02 ou supérieure, vous pouvez utiliser le mode Logic Control ou Mackie Control indifféremment. Reportez-vous à la rubrique « Mackie Control » à la page 61. Mackie Control Universal Mackie Mackie Control avec sérigraphie (légende) Logic Control et version 2.0 ou supérieure du programme interne (comprenant l’émulation HUI). Comme Logic Express reconnaît également le protocole Mackie Control, vous êtes libre d’utiliser le mode Logic Control ou Mackie Control. Reportez-vous à la rubrique « Mackie Control » à la page 61. microKONTROL Korg Reportez-vous à la rubrique « Korg microKONTROL et KONTROL49 » à la page 143. Motormix CM Labs Reportez-vous à la rubrique « CM Labs Motormix » à la page 123. Radikal Technologies SAC-2.2 Le mode natif de la surface de contrôle SAC-2.2/ 2k est directement pris en charge, mais il peut également émuler une Mackie Control. Vous devez utiliser le mode natif. Reportez-vous à la rubrique « Radikal Technologies SAC-2K » à la page 179. Radikal Technologies SAC-2k Reportez-vous à la rubrique « Radikal Technologies SAC-2K » à la page 179. SI-24 Roland Reportez-vous à la rubrique « Roland SI-24 » à la page 187. TranzPort Frontier Design Group Reportez-vous à la rubrique « Frontier Design TranzPort » à la page 131. Périphériques pris en charge Fabricant RemarquesPréface Introduction 13 Modules de surface de contrôle Les surfaces de contrôle prises en charge communiquent avec Logic Express par le biais de fichiers de module spéciaux installés en même temps que Logic Express. Les fichiers de module se trouvent dans le sous-dossier /Table des matières/MIDI Device Plug-ins de l’application Logic Express. Pour voir le contenu du progiciel, cliquez sur l’icône de l’application Logic Express tout en maintenant la touche Contrôle enfoncée, puis sélectionnez l’option d’affichage du contenu du paquet dans le menu. Logic Express recherche également les modules (facultatifs) de surface de contrôle installés dans les dossiers /Bibliothèque/Application Support/Logic/MIDI Device Plug-ins et ~/Bibliothèque/Application Support/Logic/MIDI Device Plug-ins (« ~ » indique votre répertoire de départ). Si de nouveaux modules de surface de contrôle sont commercialisés indépendamment des mises à jour de Logic Express (ou fournis directement par le fabricant du périphérique), placez-les dans les dossiers mentionnés ci-dessus (ou suivez les instructions incluses avec le module). À propos des logiciels et programmes internes La plupart des fonctionnalités des surfaces de contrôle dépendent de Logic Express et ne peuvent pas être utilisées si Logic Express n’est pas exécuté. Il ne s’agit pas de fonctionnalités supplémentaires non disponibles dans Logic Express. L’un des avantages de cette approche réside dans le fait que lorsque de nouvelles fonctions sont ajoutées à Logic Express, ou lorsque vous créez de nouvelles assignations, votre surface de contrôle est en mesure d’y accéder et de les contrôler. La plupart des surfaces de contrôle sont dotées d’un type de logiciel appelé programme interne. Le programme interne correspond à un logiciel de démarrage de bas niveau que l’on trouve dans les ordinateurs, les téléphones portables, les iPod, etc. US-224 Tascam Version compacte de l’US-428. Reportez-vous à la rubrique « Tascam US-428 et US-224 » à la page 209. US-2400 Tascam Logic Express prend en charge le mode natif de l’US-2400. Contrairement à son mode Mackie Control, toutes les commandes, y compris la manette de jeu, sont prises en charge. Reportez-vous à la rubrique « Tascam US-2400 » à la page 201. US-428 Tascam Reportez-vous à la rubrique « Tascam US-428 et US-224 » à la page 209. Périphériques pris en charge Fabricant Remarques14 PréfaceIntroduction De nouveaux comportements, comme un meilleur contrôle des curseurs motorisés et des modifications à l’écran, peuvent être proposés par les mises à jour des programmes internes. Consultez régulièrement le site Internet du fabricant de votre périphérique, afin de rechercher les mises à jour susceptibles d’améliorer son utilisation ou ses performances. Le programme interne est généralement stocké sur une puce EEPROM (Electronically Erasable Programmable Read-Only Memory). Il est souvent mis à jour en suivant une simple procédure de vidage MIDI, se présentant sous forme d’un fichier MIDI. Dès qu’un nouveau programme interne est disponible, vous avez la possibilité de télécharger le fichier MIDI approprié et de le lire (à partir de Logic Express) sur vos surfaces de contrôle qui sont alors mises à jour en conséquence. La procédure de mise à jour d’un programme interne est décrite dans la documentation livrée avec le fichier MIDI. Lisez-la attentivement avant de procéder à la mise à jour. Remarque :certaines surfaces de contrôle peuvent exiger le remplacement de la puce pour les mises à jour du programme interne. Pour plus de détails, contactez le fabricant de votre périphérique. À propos du présent guide Le présent document suppose que vous connaissez l’utilisation et la terminologie de base de Logic Express. Les fonctionnalités et utilisations de chaque paramètre Logic Express n’y sont pas traitées. Veuillez consulter le Manuel de l’utilisateur Logic Express 8 pour obtenir des informations complémentaires. Le chapitre suivant intitulé « Réglage des surfaces de contrôle de base, » décrit les procédures de réglage générales communes à toutes les surfaces de contrôle. Les chapitres suivants fournissent des informations sur le réglage et l’utilisation de périphériques spécifiques. Notez que ces chapitres se limitent à la description des fonctions propres à Logic et ne remplacent nullement la documentation fournie par le fabricant de votre périphérique.1 15 1 Réglage des surfaces de contrôle de base Quel que soit le périphérique, vous devez d’abord connecter, ajouter et régler votre surface de contrôle pour pouvoir l’utiliser avec Logic Express. Ce chapitre décrit les différents aspects de la procédure de réglage, ainsi que les préfé- rences communes à toutes les surfaces de contrôle. Les informations de réglage relatives à des périphériques spécifiques sont abordées dans les chapitres suivants. Important :lisez d’abord le présent chapitre avant de parcourir celui qui traite de votre périphérique. Mise en route Pour utiliser une ou plusieurs surfaces de contrôle avec Logic Express, vous aurez besoin :  D’une copie autorisée de Logic Express installée.  Pour les périphériques USB ou équipés du FireWire (tels que le périphérique Yamaha 01X), d’un port USB ou FireWire libre. Idéalement, il doit s’agir d’une connexion USB/ FireWire directe à l’ordinateur plutôt que d’un concentrateur USB/FireWire. Reportezvous à la documentation fournie par le fabricant de votre surface de contrôle.  Pour les périphériques uniquement équipés de ports MIDI (comme la Mackie Control), d’une interface MIDI avec des ports d’entrée et de sortie MIDI libres pour chaque périphérique. Par exemple,si vous utilisez une interface MIDI avec 8 ports d’entrée MIDI et 8 ports de sortie MIDI avec une Mackie Control et une Mackie Control XT, vous devrez utiliser deux des entrées MIDI de l’interface et deux de ses ports de sortie MIDI.  D’un gestionnaire installé (s’il est requis par votre surface de contrôle) pris en charge par la version du système d’exploitation que vous utilisez. Important :votre interface MIDI doit comprendre des gestionnaires prenant en charge la communication SysEx. Consultez la documentation fournie avec votre interface MIDI (ou les gestionnaires de l’interface MIDI).16 Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base Le nombre de périphériques pouvant être utilisés simultanément varie en fonction du nombre de ports libres du type approprié (USB, FireWire ou autre) disponibles sur votre système. Lors d’une installation standard, vous pouvez utiliser une surface de contrôle simple ou une surface de contrôle accompagnée d’un ou de plusieurs périphériques d’expansion. Vous pouvez également créer des groupes de surfaces de contrôle, comme nous l’avons mentionné dans « Création de groupes de surfaces de contrôle » à la page 20. L’utilisation de plusieurs surfaces de contrôle vous permet de contrôler un plus grand nombre de pistes/canaux, effets et d’autres paramètres simultanément. Par exemple, les périphériques Mackie Control XT sont à la base identiques à la section des tranches de console (curseur, V-Pot et écran LCD) de l’unité Mackie Control principale. La surface de contrôle Mackie C4 est équipée de plusieurs V-Pots mais d’aucun curseur. Vous pouvez ajouter autant de XT, C4 ou autres surfaces de contrôle que vous souhaitez à votre système, à condition de disposer d’un nombre suffisant de ports d’entrée et de sortie MIDI libres (ou USB ou autre port approprié). Connexion de surfaces de contrôle Logic Express prend en charge une grande variété de surfaces de contrôle que vous pouvez connecter à votre ordinateur via FireWire, USB et autres protocoles de connexion. Assurez-vous de bien vérifier le type de connexion de votre périphérique mais aussi qu’il est bien pris en charge par votre ordinateur. Avant de connecter le périphérique, lisez les instructions d’installation fournies et installez la dernière version de l’éventuel programme interne ou gestionnaire approprié, si nécessaire. Pour de plus amples informations, reportez-vous à la documentation fournie avec le périphérique. Connexion des surfaces de contrôle FireWire et USB Si votre surface de contrôle est équipée d’un port FireWire ou USB, vous pouvez la connecter directement à votre ordinateur, à l’aide d’un câble doté des connecteurs appropriés. Les périphériques FireWire et USB transmettent et reçoivent des données via un seul câble, si le périphérique prend en charge la communication bidirectionnelle. Le schéma suivant illustre une installation classique réalisée à l’aide d’un câble FireWire ou USB : Ordinateur Câble USB/FireWire Surface de contrôleChapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base 17 Il est recommandé de connecter les périphériques FireWire et USB directement à votre ordinateur plutôt que via un concentrateur. Les périphériques connectés en guirlande peuvent provoquer des erreurs et d’autres problèmes en raison de la quantité des données transmises en temps réel. Connexion des surfaces de contrôle via des ports de mise en réseau De nombreux périphériques sont connectés via les ports réseau (LAN) de votre Macintosh à l’aide d’un câble de mise en réseau simple et standard (CAT5). La plupart des appareils connectés de cette manière intègrent également des entrées/sorties audio, des convertisseurs audio numérique, ainsi que des ports MIDI intégrés, simplifiant ainsi de l’ajout de ces appareils (et des gestionnaires) et ne nécessitant qu’un seul câble. Il est recommandé de connecter les périphériques Firewire et USB directement à l’ordinateur plutôt que via un concentrateur ou un commutateur réseau. Connexion de surfaces de contrôle MIDI Si votre surface de contrôle est équipée de ports d’entrée et de sortie MIDI, vous pouvez la connecter à une interface MIDI et connecter l’interface MIDI à votre ordinateur. Les interfaces MIDI sont généralement connectées à votre ordinateur via les protocoles de connexion USB ou FireWire. Le système MIDI utilise des ports séparés pour l’entrée et la sortie et vous devez connecter à la fois l’entrée et la sortie MIDI pour utiliser une surface de contrôle MIDI avec Logic Express. Le schéma suivant illustre une installation classique utilisant l’entrée et la sortie MIDI : Il est recommandé de ne pas connecter en « guirlande » d’autres périphériques MIDI via les ports d’entrée ou de sortie MIDI utilisés par les surfaces de contrôle. La connexion en guirlande peut provoquer des erreurs et d’autres problèmes en raison de la quantité de données transmises en temps réel. Ordinateur Interface MIDI Port de sortie Port d’entrée Port de sortie Port d’entrée Surface de contrôle18 Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base Pédales et switch au pied en option Certaines surfaces de contrôle vous permettent de connecter des interrupteurs à pied ou des pédales en tant que contrôleurs supplémentaires. Si votre surface de contrôle est dotée de connecteurs appropriés, vous pouvez connecter des switches au pied optionnels pour contrôler à distance la lecture et d’autres fonctions. Ceci vous libère les mains pour d’autres contrôles et peut également s’avérer utile lorsque vous utilisez des guitares ou d’autres instruments qui nécessitent les deux mains. Mise sous tension Une fois la connexion effectuée, appuyez sur l’interrupteur d’alimentation de votre surface de contrôle. Une fois l’appareil mis sous tension, les écrans (écran LCD si votre périphérique en possède un) ou les voyants DEL s’allument. Certains écrans LCD affichent un message de bienvenue indiquant le numéro de version du programme interne, au moment de la mise sous tension. Sur la plupart des surfaces de contrôle équipées de curseurs motorisés, chaque curseur glisse vers la position supérieure, puis se replace dans la position inférieure ou centrale. Cette procédure de mise sous tension à autodiagnostic indique que vos appareils fonctionnent correctement. Généralement, vous pouvez allumer votre ordinateur (et l’interface MIDI, le cas échéant) avant ou après avoir mis la surface de contrôle sous tension, puis lancer Logic Express avant ou après la mise sous tension. Certains périphériques peuvent toutefois nécessiter que l’ordinateur soit allumé avant/après l’initialisation du périphérique. Consultez la documentation du périphérique ainsi que le site Web du fabricant. Ajout de surfaces de contrôle à Logic Express Certaines surfaces de contrôle (telles que la Mackie Control) sont automatiquement détectées lorsque vous lancez Logic Express. Vous pouvez ajouter d’autres périphériques qui ne sont pas détectés automatiquement dans la fenêtre Réglage. Il existe deux façons d’ajouter un périphérique :en parcourant l’ordinateur pour trouver le périphérique ou en l’ajoutant manuellement. L’installation est facile (elle est en outre expliquée dans la section Installation du chapitre portant sur votre périphérique). Certains périphériques peuvent nécessiter des étapes différentes ou supplémentaires mais généralement tout ce que vous devrez faire est de sélectionner les périphériques que vous souhaiter utiliser avec Logic Express, en suivant l’une des procédures suivantes : Pour ajouter une surface de contrôle en parcourant l’ordinateur : 1 Ouvrez la fenêtre de réglage Surfaces de contrôle en choisissant Logic Express > Préfé- rences > Surfaces de contrôle > Réglage. 2 Dans la fenêtre Réglage, choisissez Nouvelle > Installation, puis sélectionnez le périphé- rique désiré dans la liste.Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base 19 Remarque :vous pouvez sélectionner plusieurs modèles en cliquant sur plusieurs entrées de la liste tout en maintenant la touche Commande enfoncée. Si vous sélectionnez plusieurs modèles, Logic Express effectue l’opération souhaitée pour chaque modèle, l’un après l’autre. 3 Cliquez sur le bouton Parcourir. Vous pouvez également appuyer sur Entrée ou doublecliquer sur le nom du périphérique pour lancer la recherche. Logic Express analyse alors votre système pour rechercher les périphériques connectés et installe automatiquement (puis connecte) ceux qu’il trouve. 4 Lorsque vous avez terminé, fermez la fenêtre. Si vous ne souhaitez pas sélectionner les modèles à rechercher, vous pouvez simplement choisir Nouveau > Rechercher tous dans la fenêtre Réglage :Logic Express recherche toutes les surfaces de contrôle prises en charge sur tous les ports MIDI. Notez que ceci peut prendre un certain temps. Certaines surfaces de contrôle ne prennent pas en charge la recherche automatique. Ces périphériques doivent alors être ajoutés manuellement à votre installation. Lorsque vous ajoutez un périphérique manuellement, vous devez également assigner les paramètres des ports d’entrée et de sortie MIDI appropriés. Remarque :il est préférable d’installer des périphériques par recherche automatique, dans la mesure du possible. Logic Express est capable de recueillir plus d’informations sur les périphériques par une recherche automatique que par le biais d’une installation manuelle. Pour ajouter une surface de contrôle manuellement : 1 Ouvrez la fenêtre de réglage Surfaces de contrôle en choisissant Logic Express > Préfé- rences > Surfaces de contrôle > Réglage. 2 Dans la fenêtre Réglage, choisissez Nouvelle > Installation, puis sélectionnez le périphé- rique souhaité dans la liste. 3 Cliquez sur le bouton Ajouter. 4 Fermez la fenêtre Installation une fois que vous avez terminé. Si une autre surface de contrôle du type sélectionné existe déjà dans votre réglage, une zone de dialogue d’avertissement vous demandera de confirmer l’ajout du nouveau périphérique. Vous devez modifier manuellement les valeurs des ports d’entrée et de sortie MIDI dans la case des paramètres du périphérique de la fenêtre Réglage afin qu’elles correspondent à celles du périphérique connecté. Réglages par défaut Vous pouvez réinitialiser la prise en charge de toutes les surfaces de contrôle connectées en choisissant Logic Express > Préférences > Surfaces de contrôle > Réglages par défaut.20 Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base Création de groupes de surfaces de contrôle Si votre système comporte plusieurs surfaces de contrôle, vous pouvez définir la manière dont ils sont reliés les uns aux autres et créer des groupes de surfaces de contrôle. Un groupe de surfaces de contrôle comprend plusieurs périphériques que vous combinez pour créer une surface de contrôle virtuelle unifiée unique. Vous pouvez créer jusqu’à 20 groupes de surfaces de contrôle. Chaque groupe comprend un nombre défini de périphériques physiques. Le seul facteur de limitation est le nombre de ports d’entrée et de sortie MIDI disponibles (ou ports « MIDI » USB/FireWire si vous utilisez une surface de contrôle USB ou FireWire). Vous pouvez déterminer de manière indépendante le comportement par défaut de chaque périphérique d’un groupe. Pour de plus amples informations, reportez-vous à la section intitulée Paramètres des périphériques (p. 23). Pour créer un groupe de surfaces de contrôle : 1 Ouvrez la fenêtre de réglage Surfaces de contrôle en choisissant Logic Express > Préfé- rences > Surfaces de contrôle > Réglage. 2 Dans la fenêtre Réglage, faites glisser les icônes des surfaces de contrôle que vous souhaitez regrouper de manière à ce qu’elles forment une ligne horizontale unique. L’ordre des icônes de gauche à droite définit l’ordre dans lequel les pistes et les paramètres sont arrangés sur les périphériques.Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base 21 Pour utiliser deux surfaces de contrôle de manière indépendante : 1 Ouvrez la fenêtre de réglage Surfaces de contrôle en choisissant Logic Express > Préfé- rences > Surfaces de contrôle > Réglage. 2 Dans la fenêtre Réglage, arrangez les icônes des surfaces de contrôle sur des lignes séparées, à savoir l’une au-dessus de l’autre. Le schéma ci-dessous est un exemple avec deux surfaces de contrôle Mackie Control, trois surfaces de contrôles Mackie Control XT et une surface de contrôle HUI : La ligne supérieure, qui comprend la surface de contrôle Mackie Control n˚ 1, la surface de contrôle Mackie Control XT n˚ 1 et la surface de contrôle Mackie Control XT n˚ 2, forme un groupe de surfaces de contrôle unique de 24 canaux. La surface de contrôle Mackie Control n˚ 1 contrôle les canaux 1 à 8, la XT n˚ 1 contrôle les canaux 9 à 16 et la XT n˚ 2 gère les canaux 17 à 24. Sur la seconde ligne, la surface de contrôle Mackie Control n˚ 2 et la Mackie Control XT n˚ 3 forment un second groupe de surfaces de contrôle contrôlant les instruments (des canaux 1 à 8) et les auxiliaires (des canaux 9 à 16). Sur la troisième ligne, la surface de contrôle HUI forme un groupe de surfaces de contrôles unique. Chaque groupe possède des paramètres individuels, tels que le mode Flip, le mode d’affichage, le décalage de banque de paramètres de module et autres. Ceci vous permet d’accéder, d’éditer et d’automatiser différentes sections de la table de mixage Logic Express.22 Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base Dans notre exemple, les trois appareils de la ligne supérieure pourraient être utilisés pour contrôler les pistes audio et les canaux MIDI. Sur la seconde ligne, la surface de contrôle Mackie Control n˚ 2 pourrait être utilisée pour les canaux d’instrument 1 à 8 et la XT n˚ 3 pourrait être utilisée pour les canaux auxiliaires. Le HUI pourrait être utilisé pour éditer les définitions de groupes. Le placement physique des appareils et la façon dont vous les utilisez sont complètement flexibles. Remarque :dans la plupart des situations, le placement de vos surfaces de contrôle les unes par rapport aux autres doit être le même à l’écran que dans la réalité. Positionnez simplement les icônes dans votre groupe de surfaces de contrôle en conséquence. Une fois que vous avez créé un groupe de surfaces de contrôle, vous pouvez le régler dans la fenêtre Réglage. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Paramètres des groupes de surfaces de contrôle » à la page 24. Suivre un groupe de surfaces de contrôle Le menu Afficher de la fenêtre Table de mixage contient une option de suivi du groupe de surfaces de contrôle. Lorsqu’elle est activée, elle permet de mettre à jour la fenêtre Table de mixage afin qu’elle reflète le groupe de surfaces de contrôle actives. En suivant l’exemple ci-dessus, appuyez sur le bouton de sélection 2 de la piste/du canal de la surface de contrôle Mackie Control n˚ 2 (figurant sur la seconde ligne/ groupe de surfaces de contrôle) pour mettre à jour la table de mixage Logic Express afin d’afficher les canaux d’instrument 1 à 8 et les huit canaux auxiliaires. Appuyez sur un bouton Select figurant sur n’importe quel appareil de la ligne/du groupe supé- rieur(e) pour mettre à jour la table de mixage afin d’afficher les canaux audio 1 à 24.Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base 23 Réglage de votre installation de surfaces de contrôle Le côté gauche de la fenêtre Réglage contient deux ou trois zones de paramètres : Paramètres des périphériques, Paramètres spéciaux (si votre périphérique connecté les prend en charge) et Paramètres des groupes de surface de contrôle. Vous pouvez régler l’installation de vos surfaces de contrôle pour qu’elle réponde à vos besoins en éditant les paramètres dans ces cases. Paramètres des périphériques La case Paramètres des périphériques contient les paramètres suivants :  Sortie :choisissez le port de sortie MIDI dans le menu local.  Entrée :choisissez le port d’entrée MIDI dans le menu local.  Module :affiche le nom de la surface de contrôle.  Modèle :affiche le nom du modèle de la surface de contrôle.  Version :affiche la version du programme interne de certaines surfaces de contrôle.  Couleur :cliquez pour choisir la couleur qui indique quelles sont les pistes contrôlées par cette surface de contrôle. Dans la fenêtre Arrangement, les pistes contrôlées par ce périphérique sont colorées le long du bord gauche de la liste des pistes (si les barres de contrôle des pistes sont affichées).24 Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base Chaque surface de contrôle doit être connectée à un port d’entrée et de sortie MIDI indépendant (ou à un port USB/FireWire correspondant désigné comme étant un port MIDI par le gestionnaire de périphériques). Lorsque le périphérique est ajouté, la procédure d’installation ou de recherche automatique règle les paramètres d’entrée et de sortie MIDI appropriés du périphérique. Si les paramètres du port MIDI sont incorrects, vous pouvez les choisir manuellement dans les menus locaux des ports d’entrée et de sortie. Paramètres spéciaux Certaines surfaces de contrôles (telles que la surface de contrôle Mackie Control) vous permettent de définir des paramètres « spéciaux » tels que la sensibilité tactile des curseurs. Lorsqu’un périphérique offrant des paramètres spéciaux est connecté, la case Paramètres spéciaux s’affiche à gauche de la fenêtre Réglage. Pour de plus amples informations sur les paramètres spéciaux pris en charge, reportez-vous à la documentation du périphérique spécifique. Paramètres des groupes de surfaces de contrôle Si vous avez créé un ou plusieurs groupes de surfaces de contrôle, vous pouvez régler les paramètres de ces groupes dans la case des paramètres des groupes de surfaces de contrôle. Ces paramètres s’appliquent au groupe associé au périphérique sélectionné et vous permettent de régler chaque groupe afin qu’il réponde à vos besoins. Ceci s’avère particulièrement utile lorsque vous disposez de plusieurs groupes de surfaces de contrôle. Pratiquement tous les paramètres des groupes de surfaces de contrôle peuvent être modifiés directement dans la surface de contrôle, ainsi que dans la fenêtre Réglage. Si vous avez créé plusieurs groupes de surfaces de contrôle la case des paramètres des groupes de surfaces de contrôle affiche les paramètres du groupe actuellement sélectionné dans la fenêtre Réglage. La case des paramètres des groupes de surfaces de contrôle contient les paramètres suivants : Paramètres d’affichage Les paramètres situés en haut de la case vous permettent de contrôler les aspects des écrans des périphériques.  Mode Flip :choisissez les fonctions des curseurs et des boutons rotatifs d’encodeurs des tranches de console sur le périphérique. Pour les surfaces de contrôle qui contiennent un curseur et un bouton rotatif d’encodeur pour chaque tranche de console, le mode Flip vous permet d’assigner ces deux contrôles au même paramètre ou d’échanger leurs assignations. Les choix possibles sont les suivants :  Désactivé :mode standard avec le curseur jouant le rôle de réglage du volume.  Dupliquer :assigne le curseur et l’encodeur au paramètre de l’encodeur actuellement sélectionné.Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base 25  Échange :active les assignations du curseur et de l’encodeur, faisant ainsi du curseur un réglage du panoramique et de l’encodeur, un réglage du volume des canaux, par exemple.  Muet :désactive le curseur. Ceci s’avère utile lors d’un enregistrement effectué dans la même pièce que la surface de contrôle et si vous souhaitez éviter le bruit mécanique des curseurs. Les automations en cours continueront à fonctionner normalement.  Mode d’affichage :cliquez pour limiter uniquement l’affichage des périphériques au nom ou à la valeur du paramètre actuel. Ceci s’avère utile en cas d’espace dédié à l’affichage du nom et de la valeur des paramètres insuffisant.  Affichage d’horloge :si votre surface de contrôle est dotée d’un affichage de position, ce paramètre vous permet de déterminer la façon dont la position de la tête de lecture est représentée :cliquez pour basculer entre les battements (valeurs musicales) ou SMPTE (valeurs de temps absolu). Remarque :les éléments (et les positions) affichés dépendent de l’option d’affichage SMPTE ou mesure/battement définie dans les préférences de Logic Express.  Mode de présentation des tranches de console :  Arrangement :les tranches de console du périphérique correspondent aux tranches de console de Logic Express telles qu’elles apparaissent dans la fenêtre Table de mixage. La disposition des tranches de console correspond à la manière dont les pistes sont présentées dans la fenêtre Arrangement. La tranche de console 1 de la fenêtre Table de mixage équivaut au canal 1 de la surface de contrôle, la tranche de console 2 de la table de mixage équivaut au canal 2 et ainsi de suite. Les instruments/canaux utilisés par plusieurs pistes sont fusionnés en un seul canal. Il s’agit du mode par défaut de la plupart des périphériques, et notamment celui de la surface de contrôle Mackie Control.  Tout :les tranches de console du périphérique correspondent aux tranches de console Logic Express d’un certain type, tels que les canaux MIDI ou les tranches de console auxiliaires, indépendamment de leur utilisation sur des pistes. Les surfaces de contrôle qui prennent en charge ce mode d’affichage vous permettent généralement de définir quels types de canal vous souhaitez afficher. Le contenu de la fenêtre Table de mixage suit automatiquement l’état de la surface de contrôle, à condition que l’option Afficher > Suivre Surface de Contrôle soit activée dans la fenêtre Table de mixage).  Pistes :semblable au mode d’affichage Arrangement, mais les tranches de console individuelles sont affichées lorsque plusieurs pistes Arrangement se rapportent au même canal. Généralement, un canal d’instrument comportant plusieurs pistes y est relié.  Simple :ce mode affiche un canal unique (et son acheminement vers les appareils auxiliaires et autres). Vous pouvez déterminer quels paramètres les contrôleurs des tranches de console (de la surface de contrôle) éditeront.26 Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base Remarque :gardez à l’esprit que le mode d’affichage est une propriété du groupe de surfaces de contrôle, et non un paramètre global. Un groupe peut afficher des bus tandis que l’autre affiche des pistes, par exemple.  Banque de curseurs pour la présentation des pistes :faites glisser verticalement ou entrez un nombre entier pour décaler les pistes qui seront contrôlées par les tranches de console du périphérique dans l’affichage de pistes. Par exemple, si votre périphérique possède huit tranches de console, elles sont normalement assignées aux tranches de console audio 1 à 8 dans Logic Express. Si vous réglez ce paramètre sur 2, les tranches de console du périphérique contrôleraient les tranches de console 3 à 10 (1 + 2 = 3) de la table de mixage Logic Express.  Banque de curseurs pour toutes les présentations :Logic ExpressFaites glisser verticalement ou entrez un nombre entier pour décaler les pistes qui seront contrôlées par les tranches de console du périphérique dans la présentation Tout. Ce paramètre est uniquement disponible lorsque plusieurs types de tranche de console sont affichés dans la table de mixage. Lorsque des types de tranche de console uniques sont affichés, il existe des paramètres de banque de curseurs séparés (non affichés dans la liste des paramètres).  Paramètres des tranches de console :choisissez quelle fonction est contrôlée par les encodeurs des tranches de console du périphérique. Les choix possibles sont les suivants :  Volume :les encodeurs règlent le volume des canaux.  Pan :les encodeurs règlent la position du panoramique des canaux.  Format :les encodeurs règlent/sélectionnent le format des canaux.  Entrée :les encodeurs règlent/sélectionnent la source d’entrée des canaux.  Sortie :les encodeurs règlent/sélectionnent la sortie des canaux (sorties principales/auxiliaires).  Automation :les encodeurs règlent/sélectionnent le mode d’automation des canaux.  Groupe :les encodeurs règlent l’adhésion à un groupe de la piste. L’édition du paramètre vous permet de régler « aucun groupe » ou un groupe unique. L’activation de l’adhésion à plusieurs groupes n’est pas possible (ceci peut uniquement être effectué directement dans la table de mixage Logic Express).  Paramètre d’affichage :les encodeurs règlent le paramètre d’automation sélectionné dans la fenêtre Arrangement. Ceci s’avère particulièrement utile si vous réglez la surface de contrôle sur le mode de présentation Arrangement et que votre fenêtre Arrangement affiche plusieurs sous-pistes avec divers paramètres.  Bande EQ :règle la bande EQ actuelle de manière à ce que vous puissiez modifier un paramètre Channel EQ particulier pour toutes les pistes de la présentation Multicanal EQ.  Menu local des paramètres EQ :choisissez quel paramètre de la bande EQ sélectionnée est contrôlé par les encodeurs de la présentation Multicanal EQ. Les choix possibles sont les suivants :Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base 27  Fréquence :les encodeurs règlent la fréquence de la bande sélectionnée.  Gain :les encodeurs règlent le gain de la bande sélectionnée. Pour les bandes Low Cut (bande 1) et High Cut (bande 8) du Channel EQ, ce paramètre contrôle la courbe.  Q :les encodeurs règlent le facteur Q de la bande sélectionnée.  On/Off :les encodeurs ignorent la bande EQ sélectionnée.  Page des paramètres EQ :règle le paramètre EQ affiché dans la présentation Tranche de console EQ. Le Channel EQ comprend 8 bandes par canal audio, chaque bande proposant quatre paramètres. Tous ces paramètres sont accessibles depuis votre surface de contrôle. Si votre surface de contrôle n’affiche pas tous les paramètres EQ simultanément, vous pouvez les visualiser en parcourant une à une les « pages » de paramètre. Par exemple, si votre surface de contrôle comporte huit tranches de console, vous pouvez contrôler directement les paramètres 1 à 8 au moyen des potentiomètres ou des curseurs 1 à 8 lorsque vous basculez vers la présentation Édition des tranches de console EQ. Vous devez alors basculer d’une page pour accéder aux paramètres 9 à 16. Paramètres d’envoi et de module Les paramètres figurant au centre de la case des paramètres des groupes des surfaces de contrôle vous permettent de contrôler différents aspects opérationnels lorsque vous utilisez des paramètres d’envoi et de module.  Envoyer slot :règle le slot d’envoi actuellement sélectionné. La valeur par défaut est 1, ce qui règle le premier envoi (supérieur) de chaque canal comme logement d’envoi. Une valeur égale à 2 règle le deuxième envoi comme logement d’envoi, une valeur de 3, le troisième logement d’envoi, etc.  Menu local Envoyer paramètre :choisissez le paramètre d’envoi contrôlé par les encodeurs lorsque vous vous trouvez dans la présentation Multicanal d’envoi. Les choix possibles sont les suivants :  Destination :l’encodeur est utilisé pour déterminer le nombre de canaux bus pour le logement d’envoi.  Niveau :l’encodeur est utilisé pour régler le niveau d’envoi.  Position :les encodeurs règlent les modes Pré, Post ou Post-balance.  Muet :les encodeurs activent/désactivent le son du logement d’envoi sélectionné.  Page des paramètres d’envoi :règle la page actuelle des paramètres d’envoi. Jusqu’à 32 paramètres sont proposés dans la présentation Tranches de console d’envoi pour un canal donné (Huit logements d’envoi multipliés par les quatre paramètres mentionnés ci-dessus).  Split :nombre de paramètres supérieurs :règle le nombre d’encodeurs appartenant au Split supérieur pour les contrôles de surface prenant en charge le mode Split. Les encodeurs restants appartiennent au Split inférieur. Une valeur 0 signifie que le mode Split est désactivé. Tous les encodeurs sont assignés à la zone Split supérieure.28 Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base Les surfaces de contrôle qui prennent en charge le mode Split permettent l’affichage de deux sections de paramètres séparés dans un module (voire différents modules). Ils sont appelés « Split supérieur » et « Split inférieur ».  Page des paramètres d’instrument :détermine quel paramètre est assigné à l’encodeur situé le plus à gauche lors de l’édition d’un instrument logiciel. Le paramètre d’instrument suivant est assigné à l’encodeur 2, et ainsi de suite. Ceci s’applique au split supérieur lorsque le mode Split est activé.  Page des paramètres d’instrument (Split inférieur) :règle le paramètre assigné à l’encodeur situé le plus à gauche du Split inférieur lors de l’édition d’un instrument logiciel (lorsque le mode Split est activé). Le paramètre d’instrument suivant est assigné à l’encodeur 2, et ainsi de suite.  Insérer slot :définit le nombre de logements d’insertion, à la fois pour la sélection d’un module (dans la présentation des tranches de console du module) et pour la modification des paramètres du module. La valeur par défaut est 1, ce qui règle le premier logement de module (supérieur) de chaque canal comme logement d’insertion. Une valeur de 2 règle le second logement de module comme logement d’insertion, et ainsi de suite. Lorsque le mode Split est activé, ceci s’applique au split supérieur.  Insérer Slot (Split inférieur) :définit le nombre de logements d’insertion pour le mode Split Lower lors de la sélection ou de la modification d’un module (si le mode Split est activé).  Page des paramètres de module :définit quel paramètre est assigné à l’encodeur situé le plus à gauche lors de l’édition d’un module. Le paramètre de module suivant est assigné à l’encodeur 2, et ainsi de suite. Ceci s’applique au split supérieur lorsque le mode Split est activé. Remarque :les paramètres de page d’instrument et de module sont séparés pour vous permettre de passer rapidement de la modification d’un instrument à celle d’un module d’effet sur un canal, sans devoir à chaque fois ajuster la page de paramètres.  Page des paramètres de module (Split inférieur) :définit quel paramètre est assigné à l’encodeur situé le plus à gauche du split inférieur lorsque vous éditez un module (le mode Split activé). Le paramètre de module suivant est assigné à l’encodeur 2, et ainsi de suite.  Piste (Split inférieur) :définit quelle piste est affichée pour les présentations Tranches de console. Lorsque le mode Split est activé, ceci s’applique au split supérieur.  Piste (Split inférieur) :définit quelle piste est affichée (dans la section Split Lower de la surface de contrôle) pour les présentations Tranches de console, lorsque le mode Split est activé.Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base 29  Verrouillage de la piste :détermine comment la surface de contrôle répond lorsqu’une piste est sélectionnée dans Logic Express (par définition, ceci affecte à distance la piste et ses paramètres (split inférieur). Lorsqu’il est réglé sur On, le groupe de surfaces de contrôle continue à afficher la même piste, indépendamment de la piste sélectionnée dans Logic Express. Lorsqu’il est réglé sur Off, le groupe de surfaces de contrôle passe automatiquement à la piste sélectionnée, chaque fois qu’une piste est sélectionnée dans Logic Express. Autres paramètres Les paramètres figurant en bas de la case des paramètres du groupe des surfaces de contrôle vous permet de régler les paramètres du format du nom de piste, du mode Shift de la page des paramètres, du mode de changement relatif, du groupe Mix, et de la page des paramètres du groupe.  Format du nom de piste :détermine si l’affichage du nom de piste indique uniquement le nom de la piste ou le nom et le numéro de la piste.  Mode Shift la page des paramètres :détermine si le paramètre est décalé d’une page ou d’un paramètre.  Menu local Mode de changement relatif :permet de choisir le mode des assignations du contrôleur qui prennent en charge un mode de changement de valeur relatif (boutons rotatifs d’encodeurs, par exemple). Les choix possibles sont les suivants :  Brut :le paramètre est réglé par étapes brutes.  Plein :tournez l’encodeur vers la droite pour régler la valeur maximale. Si vous le tournez vers la gauche, vous réglerez la valeur minimale. L’encodeur s’arrête également sur sa valeur par défaut. Par exemple, lorsque le potentiomètre Pan est laissé au centre, le fait de tourner l’encodeur vers la droite règle initialement le paramè- tre du panoramique au centre (sa valeur par défaut). Un tour supplémentaire à droite règle le panoramique sur la position totalement à droite (sa valeur maximale).  Fin :le paramètre est incrémenté ou décrémenté en plusieurs étapes, d’un tick ou autre unité. Dans ce mode, la résolution la plus élevée possible est utilisée. Par exemple, lors de l’édition du paramètre Délai du module de délai de l’échantillon : chaque tick de l’encodeur augmente ou diminue la valeur d’1 échantillon, quelle que soit la valeur de la résolution.  Valeur du groupe Mix :détermine quel groupe est édité lorsque vous vous trouvez dans le mode Édition de groupe.  Page des paramètres du groupe :définit quel paramètre du groupe édité est assigné à l’encodeur situé le plus à gauche. Comment les paramètres des groupes de surfaces de contrôle sont enregistrés Toutes les modifications de réglages (dans la fenêtre Réglage ou sur le périphérique) sont enregistrées dans un fichier de préférences nommé « com.apple.logic.express.cs » situé dans ~/Bibliothèque/Preferences/Logic. Ce fichier est enregistré indépendamment du fichier des préférences de Logic Express.30 Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base Réglage des préférences des surfaces de contrôle Différents réglages affectant l’apparence à l’écran ainsi que les performances des surfaces de contrôle peuvent être effectués dans les onglets Logic Express > Préférences > Surfaces de contrôle. Pour ouvrir les préférences des surfaces de contrôle : m Choisissez Logic Express > Préférences > Surfaces de contrôle > Préférences (ou utilisez le raccourci clavier Ouvrir les Préférences Surfaces de contrôle). Pour désactiver temporairement vos surfaces de contrôle : m Choisissez Logic Express > Préférences > Surfaces de contrôle > Ignorer toutes les surfaces de contrôle. Cette commande s’avère utile pour mettre en sourdine les curseurs motorisés des surfaces de contrôle lorsque vous effectuez un enregistrement dans la même pièce. Elle est également pratique lorsque vous procédez à un dépannage des erreurs de données MIDI ou réduisez le réglage requis de la bande passante MIDI. Préférences générales Les préférences générales des surfaces de contrôle comprennent la résolution des contrôles relatifs, la bande passante MIDI maximale et d’autres fonctions.  Curseur de résolution des contrôles relatifs :règle la résolution des contrôles qui modifient les valeurs de manière relative. La résolution par défaut est de 128 points. Choisissez une valeur de résolution supérieure pour diviser la plage de valeurs en incréments plus petits.  Curseur de bande passante MIDI maximum :faites-le glisser pour régler la quantité maximale de la bande passante MIDI que votre surface de contrôle peut utiliser. Il est réglé sur une valeur par défaut de 50 % qui devrait se révéler appropriée dans la plupart des cas. Vous pouvez modifier cette valeur si vous trouvez que votre lecture MIDI ou d’automation est affectée.Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base 31  Case Cliquer sur le curseur sélectionne la piste :si cette case est sélectionnée, toucher un curseur sur la surface de contrôle permet de sélectionner la piste correspondant à ce curseur. Le périphérique doit disposer pour cela de curseurs tactiles.  Surface de contrôle suivant la sélection de piste :si cette option est activée, la sélection d’une piste dans la fenêtre Arrangement sélectionne automatiquement la piste ou le canal correspondant sur la surface de contrôle.  Case Résolution du Jog dépendante du zoom horizontal :lorsque cette fonction est active, la précision du scrubbing (utilisant le jog wheel (molette)/shuttle de votre surface de contrôle) est déterminée par le niveau de zoom horizontal de Logic Express. Votre surface de contrôle doit être équipée d’un jog wheel (molette)/shuttle (ou d’un contrôle similaire) afin qu’elle puisse être active. Pour conserver une résolution cohé- rente, quels que soient les niveaux de zoom de la fenêtre de Logic Express, désactivez cette case.  Case Mode Pickup :si cette case est sélectionnée, la surface de contrôle passe en mode Pickup (si ce mode est disponible). Certaines surfaces de contrôle, généralement celles non dotées de curseurs motorisés ou de potentiomètres, n’affichent pas les modifications de paramètres pour cause de lecture des données d’automation existantes sur leur interface. Ces surfaces de contrôle proposent généralement un mode Pickup. En mode Pickup, le contrôleur doit atteindre (« pick up ») la valeur actuelle avant que cette dernière ne puisse être modifiée. Ceci évite des sauts soudains des valeurs de paramètres causés par la lecture d’automation. Votre périphérique peut être équipé d’un écran (généralement deux voyants DEL fléchés) qui indique la direction ou la distance que vous devez respecter pour déplacer le contrôleur afin de correspondre aux paramètres affichés dans Logic Express (également connu sous le nom de NULL). Une fois que vous avez obtenu la valeur NULLE à l’écran, désactivez le mode Pickup et démarrez l’automation. Lorsque le mode Pickup est désactivé, le réglage d’un curseur modifie le paramètre immédiatement (ce qui peut provoquer des sauts dans les valeurs des paramètres).  Menu local Contrôles multiples par paramètre :choisissez le nombre maximum d’encodeurs utilisés pour chaque paramètre, lorsque vous éditez des modules ou des instruments audio. Les choix possibles sont les suivants :  1 :les paramètres sont toujours affichés en utilisant un encodeur par paramètre avec le moins d’espace possible disponible pour le nom et la valeur du paramètre sur l’écran LCD.  2 :sur chaque appareil, les encodeurs 1 et 2 sont utilisés pour le premier paramètre, les encodeurs 3 et 4 pour le second, et ainsi de suite.  4 :sur chaque appareil, les encodeurs 1 à 4 sont utilisés pour le premier paramètre, les encodeurs 5 à 8 pour le second, et ainsi de suite.  8 :sur chaque appareil, les encodeurs 1 à 8 sont utilisés pour le premier paramètre, les encodeurs 9 à 16 pour le second et ainsi de suite.32 Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base Lorsque plusieurs encodeurs sont utilisés par paramètre, ils sont divisés en groupes (1/2, 3/4, 5/6, 7/8, par exemple). Le premier encodeur de chaque groupe contrôle le paramètre affiché à l’écran. Les encodeurs restants sont inactifs. L’utilisation de plusieurs encodeurs par paramètre affiche moins de paramètres à n’importe quel moment donné, mais vous gagnez de l’espace sur l’écran LCD pour afficher des noms et valeurs de paramètres plus longs. Plus vous possédez de surfaces de contrôle au sein d’un groupe de surfaces de contrôle et plus vous bénéficiez de cette fonctionnalité.  Uniquement lorsque tous les paramètres s’ajustent sur une page :si cette option est activée, le nombre d’encodeurs défini n’est utilisé que s’il y a assez d’encodeurs pour afficher tous les paramètres (sans devoir changer de page). Exemple :si vous disposez d’une Mackie Control et de deux XT Mackie Control (pour un total de 24 encodeurs), un module comportant 13 paramètres sera affiché avec un encodeur par paramètre. Onze encodeurs demeureront inutilisés. Un module comportant 11 paramètres s’affichera avec deux encodeurs par paramètre. Deux encodeurs demeureront inutilisés (comme le seront également les encodeurs inactifs des sous-divisions mentionnées ci-dessus). Lorsque cette fonction est désactivée, plusieurs encodeurs sont utilisés pour chaque paramètre, ce qui peut nécessiter un défilement. Cela ne serait pas le cas si un seul encodeur était utilisé pour chaque paramètre.  Afficher les unités de valeurs pour :les deux cases de cette section vous permettent de définir si les valeurs des paramètres sont ajoutées ou non par l’unité de mesure, à savoir « Hz » ou « % », par exemple. Vous pouvez régler cette option séparément pour les paramètres d’instrument/module, de volume et d’autres paramètres de tranches de console. Si cette option est activée, les valeurs des paramètres sont ajoutées avec l’unité appropriée (si applicable). Désactivez cette fonction si vous voyez que les unités rendent l’affichage trop confus.  Bouton Assignation de contrôleur :cliquez pour ouvrir la fenêtre Assignations du contrôleur.  Bouton Réglage :cliquez pour ouvrir la fenêtre de réglage Surfaces de contrôle.Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base 33 Préférences des tags d’aide Pour les surfaces de contrôle qui sont équipées d’écrans librement programmables proposant plus de six caractères par ligne (ou segment) d’affichage, vous pouvez modifier le mode d’affichage des tags d’aide. Les tags d’aide des surfaces de contrôle sont semblables aux tags d’aide de Logic Express car ils affichent des informations complémentaires pendant l’utilisation.  Lors de l’édition, afficher les noms longs pour :ces deux cases déterminent la manière dont les noms et les valeurs des paramètres sont affichées sur l’écran LCD de la surface de contrôle.  Case Nom du paramètre :lorsque cette fonction est activée, la ligne supérieure de l’écran LCD affiche le nom complet du paramètre plutôt que sa forme abrégée, lorsque vous éditez un paramètre,  Case Valeur du paramètre :lorsque cette fonction est activée, la ligne inférieure de l’écran LCD affiche la valeur complète du paramètre quand vous l’éditez. Si les cases « Afficher les unités de valeurs pour » (voir ci-dessous) sont cochées, elles seront ajoutées à l’unité de mesure, le cas échéant (exemples :« dB », « Hz », ou « % »). Remarque :les options suivantes fonctionnent uniquement si au moins l’un des deux paramètres décrits ci-dessus est actif.  Curseur Durée de l’affichage :faites-le glisser pour régler la durée pendant laquelle les noms et valeurs d’un paramètre demeureront affichés sur l’écran LCD, suivant leur sélection/réglage.  Case Afficher les infos pour plusieurs paramètres :lorsque cette fonction est activée : les informations sur le nom long apparaissent à l’écran tant que le délai imparti au temps d’affichage du paramètre édité ne s’est pas écoulé. Ceci peut provoquer un chevauchement de texte. Lorsqu’elle est désactivée :le nom complet n’est affiché que pour le dernier paramètre édité, ce qui peut provoquer un scintillement de l’écran (LCD).34 Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base  Case Afficher les infos lors des sélections de pistes :si cette case est activée, la mention « Selected » (Sélectionné) apparaît sur la ligne supérieure de l’écran LCD et le nom de la piste sélectionnée est affiché sur la ligne inférieure, si vous sélectionnez une piste.  Case Afficher lesinfo lors de l’édition du volume :si cette case est activée, le mot « Volume » apparaît sur la ligne supérieure de l’écran LCD et la valeur éditée est visible sur la ligne inférieure, si vous éditez le volume d’une piste.  Cases Afficher les unités de valeurs pour :lorsque cette fonction est activée, les valeurs des paramètres sont ajoutées à l’unité de mesure appropriée (« Hz » ou « % » par exemple). Vous pouvez régler cette option séparément pour les“paramètres d’instrument/de module”, de “ Volume et d’autres paramètres”. Si vous n’avez pas besoin des valeurs d’unité, l’affichage sera moins confus. Remarque :ce paramètre s’applique uniquement pendant que vous éditez les valeurs appropriées. Affichage de messages Toutes les zones de dialogue modales (à l’exception des zones de dialogue d’ouverture de fichiers) sont affichées sur l’écran LCD des surfaces de contrôle capables d’afficher du texte. Exemples de zone de dialogue modales :avertissements d’autorisation, confirmations d’édition ou messages d’erreur. Lorsqu’un message est visible, vous ne pouvez pas exécuter d’action sur une autre fenêtre. Le texte du message apparaît sur la ligne supérieure de l’écran LCD. Si le texte du message ne tient pas sur la ligne supérieure de l’écran LCD, il commence à défiler au bout de trois secondes. Vous pouvez faire défiler manuellement le texte de la zone de dialogue à l’aide de la commande appropriée (voir tables d’assignation dans le chapitre correspondant à votre périphérique). Une fois que vous avez commencé à faire défiler le texte manuellement, le défilement automatique est désactivé.  Si la surface de contrôle est dotée d’un bouton Enter ou OK, elle déclenche le bouton par défaut de la zone de dialogue, le cas échéant.  Si la surface de contrôle est dotée d’un bouton Cancel ou Exit, elle active le bouton Annuler ou Interrompre, le cas échéant.  Tous les boutons (boutons poussoirs, notamment Entrée/par défaut et Annuler, ainsi que les cases à cocher et boutons radio, mais pas les menus locaux) sont affichés sur la ligne inférieure de l’écran. Appuyer sur un bouton de surface de contrôle sous l’affichage déclenche la fonction appropriée dans la zone de dialogue, le cas échéant. Une fois que vous avez appuyé sur un bouton Enter/Cancel figurant sur la surface de contrôle ou que vous cliquez sur la commande correspondante à l’écran, la zone de dialogue disparaît et tous les contrô- les et écrans reviennent à leur état précédent.Chapitre 1 Réglage des surfaces de contrôle de base 35 Lorsqu’une zone de dialogue d’ouverture de fichiers apparaît à l’écran, le message Il y a un sélecteur de fichier à l’écran s’affiche sur l’écran de la surface de contrôle (si votre unité en possède un). Astuces d’utilisation L’utilisation des surfaces de contrôle peut modifier votre façon d’utiliser Logic Express, et vous pouvez en tirer le meilleur parti si vous modifiez légèrement vos méthodes de travail. La liste d’astuces suivante peut vous aider à alléger et à simplifier le processus de votre surface de contrôle dans Logic Express. Personnaliser vos modèles  Réglez les screensets 1 à 7 comme vos screensets les plus fréquemment utilisés. Vous pouvez y accéder directement sur certaines surfaces de contrôle (sur la surface de contrôle Mackie Control, par exemple, vous pouvez y accéder à l’aide des touches de fonction F1 à F7, tandis que la touche de fonction 8 (F8) ferme la fenêtre la plus en haut).  Vous devez assigner une fenêtre Arrangement plein écran à une présentation Automation de piste réglée sur On (pour toutes les pistes) comme l’un de vos screensets.  Une fenêtre Table de mixage plein écran est également recommandée comme un autre screenset. Utilisation des marqueurs Les marqueurs vous permettent de naviguer rapidement d’un emplacement à un autre dans un projet. La plupart des surfaces de contrôle disposent d’un certain nombre de raccourcis permettant de naviguer rapidement entre les marqueurs, ce qui constitue un moyen très rapide de se déplacer dans des projets. Les marqueurs s’avèrent également utiles pour la création ou la sélection de zones de lecture en boucle et un certain nombre d’autres tâches, telles que punch et remplacer l’enregistrement. Si vous avez tendance à suivre une structure de morceau particulière ou si vous aimez travailler avec un nombre particulier de mesures (4, 8, 16 mesures, etc.) pour les sections couplet et refrain, vous devez régler un certain nombre de marqueurs à des emplacements appropriés de vos modèles de projet.2 37 2 Personnalisation des assignations de contrôleur Vous pouvez assigner des contrôleurs aux paramètres Logic Express et éditer les assignations de contrôleur pour les adapter à votre processus. Ce chapitre décrit comment assigner des contrôleurs aux paramètres Logic Express, modifier les assignations de contrôleur et utiliser les zones et les modes pour naviguer entre les groupes d’assignations. Assignation de contrôleurs aux paramètres Logic Express Vous pouvez assigner n’importe quel contrôleur capable de générer un message MIDI à un paramètre dans Logic Express. L’assignation de contrôleurs aux paramètres Logic Express vous permet d’utiliser des curseurs, potentiomètres, commutateurs et autres contrôleurs pour contrôler à distance les fonctions Logic Express. Vous pouvez les utiliser « tels quels » ou combinés à des touches de modification. La plupart des surfaces de contrôle prises en charge incluent des assignations de contrôleur préréglées (qui deviennent actives dès lors que vous ajoutez le périphérique à votre système). Vous pouvez modifier les assignations existantes pour les surfaces de contrôle prises en charge et créer de nouvelles assignations pour les périphériques pris en charge ou non. Par exemple :les assignations par défaut des boutons F1 à F7 de la surface de contrôle Mackie permettent d’ouvrir les screensets 1 à 7 dans Logic Express. Vous pouvez réassigner ces touches de fonction à d’autres commandes, soit individuellement,soit conjointement avec les touches Commande, Majuscule, Option ou Contrôle, selon n’importe quelle combinaison. Vous pouvez assigner des contrôleurs aux paramètres dans la fenêtre Assignation de contrôleur, à l’aide du processus d’apprentissage. Cette fenêtre comporte deux présentations : une présentation simple compacte, dans laquelle vous pouvez assigner des paramètres de tranche de console et de module. La présentation expert, plus étendue, vous permet de créer et d’éditer n’importe quel type d’assignation de contrôleur, y compris les assignations globales, d’automation et de groupe de surfaces de contrôle.38 Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur Utilisation de la présentation simple La présentation simple vous permet de consulter les assignations, d’assigner des contrôleurs aux paramètres de tranche de console et de module et de modifier la piste à laquelle s’appliquent ces assignations. L’assignation de contrôleurs aux paramètres de tranche de console et de module est obtenue avec le processus Apprendre. La Vue simple de la fenêtre Assignation de Contrôleurs contient les champs et les boutons suivants :  Bouton Vue expert :cliquez sur ce bouton pour ouvrir la Vue expert de la fenêtre Assignation de Contrôleurs.  Boutons Suivant/Précédent :cliquez sur ces boutons pour passer aux assignations suivantes ou précédentes.  Bouton Lien :lorsque ce bouton est actif, l’assignation correspondant au dernier message MIDI reçu est automatiquement sélectionnée.  Champ Paramètre :affiche le nom du paramètre sélectionné.  Menu Tranche de console :permet de choisir si l’assignation s’applique à la piste sélectionnée ou si elle correspond au numéro de tranche de console saisi dans le champ en regard du menu (comme illustré dans la présentation Tout de la table de mixage).  Champ Message en entrée :affiche les données du message MIDI entrant du contrô- leur assigné à une fonction. Remarque :la Vue simple ne permet d’afficher qu’un seul ensemble de paramètres d’assignation à la fois. Pour assigner un contrôleur dans la présentation simple : 1 Dans la table de mixage ou dans n’importe quelle fenêtre de module, cliquez sur le paramètre que Logic Express doit apprendre en tant qu’assignation de contrôleur. 2 Sélectionnez Logic Express > Préférences > Surfaces de contrôle > Apprendre l’assignation pour . Vous pouvez également utiliser le raccourci clavier Apprendre une nouvelle assignation de contrôleur (par défaut, Command-L) pour ouvrir la fenêtre Assignation de contrôleur et activer le mode d’apprentissage. La fenêtre Assignation de contrôleur apparaît dans la présentation simple, le bouton Mode d’apprentissage étant activé. Dans la plupart des cas, le nom du paramètre sélectionné est affiché dans le champ Paramètre.Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur 39 Remarque :le mode de présentation de la fenêtre Assignation de contrôleur est mémorisé. Si la présentation expert est active lors de la fermeture de la fenêtre, cette dernière est présentée dans la même présentation lors de sa réouverture. 3 Déplacez le contrôleur à assigner au paramètre sélectionné. Le déplacement du contrôleur entraîne l’envoi à Logic Express d’un message MIDI qui apparaît dans le champ Message en entrée. Le bouton Mode d’apprentissage reste actif, vous permettant ainsi de réaliser d’autres assignations. 4 Pour réaliser une autre assignation, sélectionnez le paramètre à assigner dans Logic Express, puis déplacez le contrôleur souhaité sur la surface de contrôle. 5 Une fois que vous avez terminé, cliquez sur le bouton Mode d’apprentissage (ou appuyez sur Command-L) pour terminer le processus d’apprentissage, puis quittez ce mode. Autre méthode d’apprentissage : 1 Appuyez sur Command-L pour ouvrir la fenêtre Assignation de contrôleur. 2 Maintenez la touche de modification souhaitée (Commande, par exemple) enfoncée pendant que vous cliquez sur le paramètre à assigner, tout en déplaçant le contrôle. 3 Cliquez sur le bouton Mode d’apprentissage pour terminer le processus d’apprentissage. Si Logic Express reçoit un message MIDI du périphérique pendant que vous maintenez la touche de modification enfoncée, le relâchement de cette touche désactive le bouton Mode d’apprentissage et termine le processus d’apprentissage. Si vous relâchez la touche de modification avant que Logic Express reçoive un message MIDI, le bouton Mode d’apprentissage reste actif, de sorte que vous puissiez encore déplacer un contrôleur afin d’envoyer un message MIDI. Dans ce cas, veillez à cliquer sur le bouton Mode d’apprentissage une fois que vous avez terminé afin de mettre fin au processus d’apprentissage. Pour supprimer une assignation de contrôleur dans la présentation simple : m Choisissez l’assignation à supprimer dans la fenêtre Assignation de contrôleur (présentation simple), puis cliquez sur le bouton Supprimer. Assignation d’une série de contrôleurs Logic Express inclut un raccourci facilitant l’assignation d’une série de contrôleurs à une série de paramètres similaires. Vous pouvez utiliser ce raccourci pour assigner une série de curseurs au volume ou une série de potentiomètres à d’autres paramètres de tranche de console tels que Pan, Solo ou Muet. Vous pouvez même assigner une série de contrôleurs à un ensemble de paramètres de modules. Pour assigner une série de contrôleurs à une série de paramètres : 1 Selon la procédure d’assignation standard, assignez le premier contrôleur de la série au premier paramètre (par exemple, assignez le curseur 1 au contrôle du volume pour la tranche de console 1).40 Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur 2 Assignez le dernier contrôleur de la série au dernier paramètre (par exemple, assignez le curseur 16 au contrôle du volume pour la tranche de console 16). Le nombre de contrôleurs entre le premier et le dernier de la série doit correspondre au nombre de paramètres entre le premier et le dernier paramètre. La zone de dialogue « Voulez-vous compléter les éléments intermédiaires ? » apparaît. Elle apparaît lorsque la distance entre les deux derniers contrôleurs correspond à la distance entre les pistes (ou le nombre de paramètres entre les deux derniers contrôleurs assignés s’il s’agit de paramètres de module). Dans les exemples ci-dessus, la distance entre 1 et 16 est égale à 15. 3 Cliquez sur OK pour compléter automatiquement les contrôleurs entre le premier et le dernier avec les assignations correspondantes. La numérotation des assignations de paramètre (pour les modules) est illustrée dans la présentation Contrôle de la fenêtre Plug-in. Remarque :vous ne pouvez utiliser des raccourcis que pour les potentiomètres qui envoient un message de canal unique, où le premier octet de données correspond au numéro de contrôleur et le second à la valeur. Le numéro de contrôleur peut également être encodé dans le canal MIDI, avec un premier octet de données fixe. Consultez la documentation fournie avec votre périphérique pour obtenir des informations sur sa structure de données. Utilisation de la présentation expert Vous pouvez utiliser la présentation expert pour réaliser des assignations de contrôleur avancées. Ceci inclut les paramètres Logic Express autres que les paramètres de tranche de console et de module. Par exemple, vous pouvez assigner des contrôleurs aux paramètres globaux, d’automation et de groupe de surfaces de contrôle dans la pré- sentation expert. Vous pouvez également éditer les assignations de contrôleur dans la présentation expert et définir des zones et des modes qui vous permettent de passer d’un groupe de contrôleurs à un autre. Le processus d’apprentissage ouvre la fenêtre Assignation de contrôleur dans la pré- sentation simple, qui affiche les paramètres de base pour l’assignation en cours. Pour réaliser des assignations autres que des assignations de tranche de console ou de module (ou pour éditer d’autres paramètres d’assignation), vous devez passer en pré- sentation expert. ∏ Conseil :vous ne pouvez revenir à la présentation simple que si un paramètre de piste ou de module est sélectionné.Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur 41 Pour ouvrir la fenêtre Assignation de contrôleur dans la présentation expert : m Cliquez sur le bouton Vue expert. Dans la présentation expert, la fenêtre Assignation de contrôleur contient les champs, menus et boutons suivants utilisés pour éditer les paramètres d’assignation, et pour définir des zones et des modes.  Liste Zone :affiche les zones disponibles pour le périphérique. La première entrée (Aucune Zone) est destinée aux assignations sans zone (assignations qui sont toujours actives, quelle que soit la zone active). Cliquez sur une zone de la liste pour voir ses modes (dans la liste Mode) et ses assignations en cours (dans la liste Contrôle/ Paramètre). Vous pouvez également double-cliquer sur une zone pour la renommer.  Liste Mode :affiche les modes pour la zone sélectionnée. La première entrée « (Aucun Mode) » est destinée aux assignations sans mode. Cliquez sur un mode de la liste pour voir ses assignations dans la liste Contrôle/Paramètre et en faire le mode actif de la zone sélectionnée. Vous pouvez également double-cliquer sur un mode pour le renommer.  Liste Contrôle/Paramètre :sélectionnez l’assignation à éditer. La colonne de gauche affiche le nom du contrôle et celle de droite, le nom du paramètre contrôlé (sous forme abrégée). Les paramètres de l’assignation sélectionnée apparaissent dans les champs à droite de la liste. Reportez-vous à la section « Paramètres d’assignation de contrôleur », à la page 42. Remarque :vous pouvez sélectionner plusieurs assignations dans la liste, mais seuls les paramètres de la première assignation sélectionnée sont affichés. Lorsque plusieurs assignations sont sélectionnées :les opérations réalisées dans le menu Édition peuvent être appliquées à toutes les assignations sélectionnées. Toutes les autres opérations s’appliquent uniquement à la première assignation.  Paramètres des assignations du contrôleur :tous les aspects du paramètre d’assignation de contrôleur sélectionné sont affichés (et peuvent être modifiés) dans cette zone.42 Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur  Message en entrée :le port et le message en entrée MIDI peuvent être modifiés directement. Certains champs de cette section apparaissent rarement et ne peuvent pas être modifiés.  Valeur :la plage de valeurs et la réponse de l’assignation de contrôleur aux messages entrants sont déterminés dans cette zone. Le retour vers l’affichage des surfaces de contrôle peut également être déterminé ici. Paramètres d’assignation de contrôleur Cette section décrit chaque paramètre affiché dans les champs de droite de la présentation expert. Une description détaillée de chaque paramètre est disponible dans « Édition des assignations de contrôleur dans la présentation expert » à la page 46. Section Paramètres des assignations du contrôleur  Champ Nom de Control :affiche le nom du contrôleur pour les périphériques pris en charge. Pour les périphériques non pris en charge, le message « Appris » est affiché.  Champ Label :affiche des caractères représentant l’étiquette de l’assignation sur l’affichage de la surface de contrôle. Vous pouvez voir ceci comme un afficheur alphanumérique sur une table de mixage.  Champ Flip Groupe :saisissez un entier pour définir un flip groupe pour l’assignation.  Flipmenu Classe :choisissez la classe du paramètre (type de paramètre) à assigner. Remarque :selon la classe que vous choisissez, différents champs et menus apparaissent pour cette classe sous le flipmenu Classe. Voir ci-dessous :  Flipmenu/champ Paramètre/Mode :selon votre sélection dans le flipmenu Classe, vous avez le choix entre des dizaines de paramètres/modes différents. Les options disponibles changent selon la classe sélectionnée.  Champ/menu Groupe/Piste/Commande/Touche :ces options changent également en fonction des options de menu Classe sélectionnées.  Flipmenu Type de banque :ce menu détermine le lien de banque du paramètre assigné. Comme pour le réglage Groupe, ceci peut être Par un ou Par banque. Section Message en entrée  Flipmenu Entrée MIDI :choisissez une source d’entrée MIDI (Port MIDI ou Clavier avec verrouillage majuscules). Ceci peut être modifié par les messages MIDI entrants (affichés dans le champ Changement de Valeur).  Champ Changement de Valeur :affiche les messages MIDI entrants entraînant un changement de valeur.  Champ Touch/Relâchement :saisissez une valeur d’entier pour forcer les messages MIDI entrants à changer le statut touch/relâchement du paramètre sélectionné. Ceci s’applique uniquement aux surfaces de contrôle offrant des contrôles tactiles, où par exemple le fait de toucher ou de relâcher un curseur active ou désactive la réception de données de la surface de contrôle.Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur 43 Section Valeur  Champs Min et Max :saisissez des valeurs d’entier pour définir la plage de valeurs MIDI entrantes.  Flipmenu Format :choisissez le format utilisé pour encoder les valeurs négatives.  Champ Multiply :saisissez la valeur qui ajustera les valeurs MIDI entrantes.  Flipmenu Mode :choisissez le mode utilisé par les valeurs entrantes pour modifier la valeur de paramètre actuelle.  Flipmenu et cases Retour :choisissez le format d’affichage de la valeur de paramètre (sur l’affichage de la surface de contrôle, le cas échéant). Remarque :pour obtenir des informations détaillées sur chaque paramètre, reportez-vous à « Édition des assignations de contrôleur dans la présentation expert » à la page 46. Assignation de contrôleurs dans la présentation expert La présentation expert vous permet d’assigner des contrôleurs comme dans la présentation simple, à l’aide du processus d’apprentissage. Vous pouvez également assigner (manuellement) des contrôleurs aux catégories de paramètres Logic Express qui ne sont pas accessibles dans la Vue simple. Pour assigner un contrôleur à un paramètre autre qu’un paramètre de tranche de console ou de module : 1 Ouvrez la fenêtre Assignation de contrôleur dans la présentation expert. 2 Choisissez la zone et/ou le mode souhaité (sauf si vous souhaitez réaliser une assignation sans mode), puis cliquez sur le bouton plus dans le coin inférieur gauche de la liste Contrôle/Paramètre. Une nouvelle assignation vide apparaît dans la liste Contrôle/Paramètre. 3 Cliquez sur le bouton Mode d’apprentissage pour lancer le processus d’apprentissage. 4 Déplacez le contrôleur à assigner (au paramètre sélectionné). Le déplacement du contrôleur entraîne l’envoi d’un message MIDI à Logic Express (« apprenant » ainsi à Logic Express quel contrôleur vous êtes en train d’assigner). Le message MIDI apparaît dans le champ Message en entrée. Le bouton Mode d’apprentissage reste actif, vous permettant ainsi de réaliser d’autres assignations. 5 Une fois que Logic Express a reçu le message, choisissez la classe de paramètre à assigner dans le flipmenu Classe. 6 Assignez le paramètre en effectuant les choix appropriés dans les menus et les champs qui apparaissent sous le menu Classe. Remarque :une explication détaillée des classes et autres paramètres d’assignation est disponible dans « Édition des assignations de contrôleur dans la présentation expert » à la page 46.44 Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur 7 Une fois que vous avez terminé, cliquez sur le bouton Mode d’apprentissage (ou appuyez sur Command-L) pour terminer le processus d’apprentissage. Vous pouvez utiliser le raccourci (décrit dans « Assignation d’une série de contrôleurs » à la page 39) pour assigner une série de contrôleurs à une série de paramètres similaires. Pour supprimer une assignation dans la présentation expert : 1 Sélectionnez l’assignation à supprimer dans la liste Contrôle/Paramètre. 2 Sélectionnez Édition > Supprimer dans la barre des menus principale (ou appuyez sur la touche Retour). À propos des zones et des modes Vous pouvez définir un groupe de contrôleurs en tant que zone dans la présentation expert et assigner tous les contrôles d’une zone à différents paramètres, en une seule opération. Prenez l’exemple d’une surface de contrôle Mackie Control :vous pouvez définir les huit boutons rotatifs d’encodeurs en tant que zone, et les assigner tour à tour aux paramètres de panoramique, de niveau d’envoi et de module. Vous pouvez définir plusieurs zones pour une surface de contrôle :par exemple, une pour les encodeurs et une deuxième qui assigne successivement différentes commandes ou actions aux touches de fonction (F1 à F8). Chaque ensemble de paramètres de zone est appelé mode. Une zone peut contenir un ou plusieurs modes. Un seul mode peut être actif à la fois. Une zone peut également contenir des assignations qui sont toujours actives, quel que soit le mode actif (on parle alors d’assignations sans mode). L’utilisation simultanée d’assignations avec et sans mode vous permet de réaliser des opérations telles que :  Définir une zone permettant de basculer entre deux modes (ou fonctions) par pression/ relâchement du bouton Option tout en utilisant une touche de fonction particulière.  Définir une zone vous permettant d’utiliser des assignations sans mode pour des tâches telles que la mise à jour de l’affichage, les fonctions de transport et les opérations d’enregistrement ou d’annulation. La même zone peut contenir une assignation avec mode pour tous les contrôles de volume et de panoramique. Le passage à un autre mode permet d’accéder aux paramètres ÉG. Dans les deux situations avec mode, l’affichage et les fonctions de transport et d’enregistrement/d’annulation sont disponibles. Un mode peut contenir un nombre illimité d’assignations. Seules les assignations correspondant au mode actif sont traitées par Logic Express. Les assignations correspondant aux modes inactifs sont ignorées. Vous pouvez utiliser des alignements spéciaux pour changer le mode actif d’une zone (voir ci-dessous).Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur 45 Des zones et des modes peuvent être définis sur plusieurs surfaces de contrôle afin de prendre en charge l’utilisation de groupes de surfaces de contrôle. La liste suivante illustre un arrangement possible de zones et de modes, qui indique comment vous pouvez les définir, de façon hiérarchique : Définition de zones et de modes Seule la Vue expert permet de définir des zones et des modes. Pour définir une zone : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter dans l’angle inférieur gauche de la liste Zone. Une nouvelle zone vide apparaît dans la liste Zone. Elle est mise en surbrillance, ce qui vous permet de la renommer immédiatement. 2 Saisissez un nom pour cette zone. Si vous souhaitez ajouter des contrôleurs à une zone, reportez-vous à « Assignation de contrôleurs dans la présentation expert » à la page 43. Pour définir un mode : 1 Cliquez sur le bouton Ajouter dans l’angle inférieur gauche de la liste Mode. Un nouveau mode vide apparaît dans la liste Mode. Il est mis en surbrillance, ce qui vous permet de la renommer immédiatement. 2 Saisissez un nom pour ce mode. Si vous souhaitez ajouter des contrôleurs à un mode, reportez-vous à « Assignation de contrôleurs dans la présentation expert » à la page 43. Assignation A avec mode Assignation B avec mode Mode 1 (inactif) Mode 2 (actif) Assignation A avec mode Assignation B avec mode Assignation C avec mode Assignation A avec mode Mode 3 (inactif) Assignation A avec mode Mode 4 (actif) Mode 5 (inactif) Assignation A avec mode Assignation B avec mode Assignation C avec mode Assignation D avec mode Zone 1 Zone 2 Assignation A sans mode Assignation B sans mode 46 Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur Réassignation d’un contrôleur La procédure de réassignation d’un contrôleur actif (un contrôleur assigné dans le mode actif) diffère de celle concernant un contrôleur inactif (un contrôleur avec une assignation dans un mode non actif). Réassignation d’un contrôleur actif Lorsque vous utilisez le processus d’apprentissage pour assigner un contrôleur actif (un contrôleur avec une assignation dans le mode actif), une zone de dialogue apparaît :  Annuler :supprime la nouvelle assignation, en conservant l’assignation existante.  Garder les deux :conserve la nouvelle et l’ancienne assignation. Utilisation courante :un potentiomètre contrôle plusieurs paramètres, en tant que macro.  Réassigner :supprime toutes les assignations actives existantes pour ce paramètre. Utilisation courante :réassignation d’une touche de fonction (F1 à F8, par exemple) à un nouveau raccourci clavier. Réassignation d’un contrôleur inactif Lorsque vous utilisez le processus d’apprentissage pour assigner un contrôleur dans un mode inactif, la nouvelle assignation devient partie intégrante du mode actif, dans la zone qui contenait l’assignation inactive précédente. Ceci est généralement utilisé comme suit :les surfaces de contrôle prises en charge comportent généralement des pages utilisateur vides disponibles, permettant ainsi de nouvelles assignations d’encodeur. Vous sélectionnez donc un mode de page utilisateur particulier (page 3, par exemple), puis apprenez une assignation pour l’encodeur. Édition des assignations de contrôleur dans la présentation expert Vous pouvez éditer les paramètres suivants pour l’assignation sélectionnée, dans les champs à droite de la fenêtre Assignation de contrôleur. Champ Nom de Control Indique le nom du contrôle. Pour les périphériques pris en charge, le nom de la surface de contrôle est utilisé. Pour les assignations créées avec le processus d’apprentissage sur des surfaces de contrôle non prises en charge, le nom de contrôle par défaut est « Appris ». Vous pouvez saisir un nouveau nom dans le champ. Le nom du contrôle est destiné uniquement à l’affichage et n’a aucun effet sur la fonctionnalité.Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur 47 Champ Label Pour les surfaces de contrôle prises en charge, indique des caractères représentant l’étiquette pour l’assignation qui apparaît sur l’affichage de la surface de contrôle. Les surfaces de contrôle non prises en charge peuvent uniquement envoyer des informations, et non en recevoir, et ne peuvent pas afficher une étiquette d’assignation. Si le champ contient du texte constant, il peut contenir un nombre illimité de caractères. Toutefois, utilisé comme paramètre fictif pour du texte créé de façon dynamique, le champ contient trois caractères représentant l’étiquette. Le premier caractère est toujours @, suivi de deux caractères supplémentaires. Les tableaux suivants indiquent les significations possibles des deuxième et troisième caractères. Deuxième caractère Troisième caractère Par exemple, « Envoi@s# » signifie « Envoi1 », « Envoi2 », etc. Caractère Signification t Piste S Logement d’envoi (Send) S Nombre d’envois Mi Bande de l’égaliseur Mi Nombre d’EQ p Logement d’insertion i Instrument Caractère Signification # Numéro de dessus (numéro de piste, logement d’envoi, bande de l’égaliseur, logement d’insertion). n Nom de dessus. p Nom du paramètre concerné par l’assignation. P Nom du premier paramètre. o Décalage de paramètre, décompté à partir de 1. O Décalage de paramètre maximal, décompté à partir de 1. b Banque de paramètres (= décalage de paramètre/taille de banque), décomptée à partir de 1. Si Nombre total de banques (= décalage de paramètre/taille de banque), décompté à partir de 1.48 Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur Champ Flip Groupe Saisissez la même valeur d’entier pour deux assignations, afin de définir un homologue pour le mode Flip (pour les surfaces de contrôle prises en charge offrant le mode Flip). Par exemple, si vous définissez un curseur et un encodeur pour le même Flip Groupe, ils sont couplés. Pour définir « aucun », saisissez la valeur 0. Pour les périphériques non pris en charge :vous devez régler deux assignations actives, qui utilisent toutes deux le même Flip Groupe ; une assignation doit être absolue (par exemple à l’aide d’un curseur), l’autre relative (encodeur, par exemple). Case Exclusif Si cette case est cochée, l’assignation désactivera toutes les autres assignations dont la case Exclusif est désactivée pour le même contrôle (sur les surfaces de contrôle prises en charge). Cela limite les assignations sans mode à certains modes uniquement. Par exemple :les curseurs contrôlent normalement le volume. Pour créer un mode où les curseurs contrôlent le niveau d’envoi, cochez la case Exclusif. Menu Classe Choisissez la classe d’assignation (le type de paramètre de destination contrôlé) dans le menu. Différentes options apparaissent sous le flipmenu Classe lorsque vous choisissez une classe. La section suivante décrit les différentes classes, ainsi que les options correspondant à chacune d’elles. Changement de mode La sélection de la classe Changement de mode vous permet d’utiliser une assignation pour passer d’un mode à un autre. Un flipmenu Mode supplémentaire apparaît sous le menu Classe, vous permettant de choisir parmi les modes disponibles. Exemple :les boutons d’assignation sur une surface de contrôle Mackie Control peuvent être utilisés pour choisir différents modes pour les encodeurs. Remarque :le mode choisi dans le menu Mode n’est activé que lorsque le menu Mode de la section Valeur est réglé sur Directe. Si n’importe laquelle des autres options du menu Mode de la section Valeur est choisie, voici ce qui s’applique :  Toggle :l’assignation bascule entre le premier mode de la zone et le mode choisi. L’assignation de changement de mode doit être située dans la même zone.  Relatif :utile pour parcourir les modes vers le haut et vers le bas dans une zone (à l’aide de deux boutons) ou pour choisir un mode avec un encodeur. Le paramètre de destination minimal représente le premier mode de cette zone et le maximal, le dernier mode. L’assignation de changement de mode doit être située dans la même zone.Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur 49  Rotation :utile pour naviguer au sein de tous les modes avec un seul bouton. Un jog wheel (molette), par exemple :Off → Scrub → Retour arrière Shuttle → Off. Le paramètre de destination minimal représente le premier mode de cette zone et le maximal, le dernier mode. L’assignation de changement de mode doit être située dans la même zone. Global La sélection de la classe Global vous permet d’utiliser une assignation pour contrôler des paramètres globaux. Un flipmenu Paramètre apparaît sous le menu Classe, proposant les paramètres répertoriés dans le tableau suivant. Remarque :toutes les options figurant dans le tableau ci-dessus ne fonctionnent qu’en mode relatif (où les modifications sont effectuées relativement par rapport à la valeur ou la position de départ). Reportez-vous au sous-paramètre « Partie d’horloge ». Options de la classe Global Explication Tête de lecture Cette assignation contrôle la position de la tête de lecture ; un retour est envoyé au format choisi dans le paramètre Affichage d’horloge du groupe de surfaces de contrôle. Tête de lecture (battements) Comme ci-dessus, mais le retour est envoyé au format battements. Tête de lecture (timecode) Comme ci-dessus, mais le retour est envoyé au format timecode SMPTE. Tête de lecture (battements, Scrub) Le déplacement du contrôleur ne définit pas la position de la tête de lecture, mais lance un Scrubbing. Le format est défini par le paramètre de format du groupe de surfaces de contrôle. La valeur du contrôleur définit la vitesse de scrubbing. Déplacer Locators Déplace les locators gauche et droit. Locator gauche Définit le locator gauche. Locator droit Définit le locator droit. Déplacer les locators du punch Déplace les locators de punch In et de punch Out. Locator de punch In Définit le locator de punch In. Locator de punch Out Définit le locator de punch Out. Position du marqueur Édite la position du marqueur en cours. Marqueurdurée Édite la longueur du marqueur en cours. Options de la classe Global Explication Pousser régions/évè- nements sélectionnés Pousse les régions ou événements sélectionnés selon la valeur de déplacement choisie (voir ci-dessous). Tout Solo Retour uniquement. Activé si n’importe quel bouton Solo (piste ou région) est actif.50 Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur Valeur de déplacement Contrôle la valeur de déplacement utilisée pour Pousser régions/évènements sélectionnés. Bascule entre tick, division, battement, mesure, image, 1/2 image. État du Scrub Définit le statut de Scrubbing pour le paramètre Tête de lecture (battements, Scrubbing). Les valeurs possibles sont :définir l’horloge, défilement audio, retour arrière Shuttle. Automation de toutes les pistes Fait basculer le statut d’automation de toutes les pistes entre les valeurs suivantes :off, read, touch, latch, write. Texte, bouton et icône d’alerte Utilisés par les modules pour définir un mode d’alerte spécial. Ceci est principalement utile aux développeurs de surfaces de contrôle. Test Utilisé pour désactiver temporairement une assignation sans mode, à l’aide de la case Exclusif. Reportez-vous à la section « Case Exclusif », à la page 48. Cycle Active et désactive la fonction Cycle. Autopunch Active et désactive la fonction Autopunch. Aller au marqueur Vous permet de déplacer la tête de lecture vers un numéro de marqueur. Un champ numérique supplémentaire sous le menu Paramètre est utilisé pour déterminer le numéro de marqueur de destination. Saisie du groupe Définit la saisie des groupes d’automation ; ces groupes sont désactivés lorsque la saisie est activée. Pour les boutons, attribue à la saisie de groupe la valeur 1 lorsque le bouton est activé et la valeur 0 lorsqu’il est relâché. Sensibilité Utilisée par certaines surfaces de contrôle (telles que l’HUI) pour traiter les messages de sensibilité entrants MIDI. Vitesse de la Shuttle Définit directement la vitesse de Shuttle (vers l’avant et vers l’arrière). Utilisez cet élément pour les contrôleurs (généralement des potentiomètres) qui envoient une valeur absolue (non relative). Zoom de forme d’onde Définit le niveau de zoom de forme d’onde dans la zone Arrangement (au premier plan). Valeur de quantification Définit la valeur de quantification dans la fenêtre ayant le focus (si ce paramètre est disponible). Division Définit la valeur Division dans la fenêtre ayant le focus (si ce paramètre est disponible). Zoom horizontal Définit le zoom horizontal dans la fenêtre ayant le focus (si ce paramètre est disponible). Zoom vertical Définit le zoom vertical dans la fenêtre ayant le focus (si ce paramètre est disponible). Options de la classe Global ExplicationChapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur 51 Tranche de console La sélection de la classe Tranche de console vous permet d’utiliser une assignation pour régler un paramètre de tranche de console. Un flipmenu Tranche de console apparaît sous le menu Classe, offrant les paramètres suivants. Si vous choisissez le réglage Banque curseur, Index, Audio, Instrument logiciel, Bus, Auxiliaire, Sortie ou Master dans le flipmenu Tranche de console, les deux paramètres suivants deviennent disponibles :  Champ Numéro :décalage basé sur 0 qui est ajouté au numéro de tranche de console. Ce champ est généralement utilisé pour les contrôles séquentiels :le curseur 1 utilise le décalage 0, le curseur 2 utilise le décalage 1, etc.  Champ Paramètre :description textuelle du paramètre concerné. Réglage possible uniquement par sélection de l’élément de menu Logic Express > Préférences > Apprendre l’assignation pour . Remarque :les décalages de page de paramètres s’appliquent aux paramètres d’instrument et de module, ce qui vous permet de décaler par « pages » vers le haut ou vers le bas l’adressage de paramètres. Type de tranche de console Explication Piste sélectionnée Ceci correspond normalement à la piste d’arrangement sélectionnée. Exception :si le paramètre Verrouillage de la piste du groupe de surfaces de contrôle est activé, la piste sélectionnée est celle sélectionnée lorsque le paramètre Verrouillage de la piste a été activé. Banque curseur Ceci concerne une tranche de console dans le mode de présentation actuel du groupe de surfaces de contrôle (Arrangement, Tout, Pistes, Simple). Ceci dépend de la valeur Banque curseur en cours pour ce mode (voir ci-dessous). Exemple :le mode de présentation est Tout, la banque curseur de cette pré- sentation a pour valeur cinq et le nombre en regard de ce paramètre est deux. Par conséquent, la huitième tranche de console de la présentation Tout est concernée (Banque curseur et No. sont basés sur 0, ajoutez donc 1). Index Identique au réglage Banque curseur, mais ne dépend pas de la valeur Banque curseur en cours. Audio Canal audio. La valeur numérique (No.) détermine quel canal audio est concerné (ici encore, base 0 ; pour signaler le canal audio 2, utilisez la valeur 1). Instrument logiciel Identique au réglage Audio, pour les tranches de console d’instruments logiciels. Bus Identique au réglage Audio, pour les tranches de console de bus. Auxiliaire Identique au réglage Audio, pour les tranches de console auxiliaires. Sortie Identique au réglage Audio, mais pour les tranches de console de sortie. Principal Tranche de console principale ; si elle n’existe pas dans le projet, la première tranche de console de sortie est concernée.52 Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur Clé La sélection de la classe Clé vous permet d’utiliser des assignations afin d’émuler les frappes sur le clavier de votre ordinateur. Vous pouvez définir la touche à émuler dans le champ Clé qui apparaît sous le menu Classe. Ce champ n’est pas sensible à la casse. Raccourci clavier La sélection de la classe Raccourci clavier vous permet d’utiliser une assignation pour réaliser un raccourci clavier. Vous devez définir le raccourci clavier souhaité dans le champ Commande, visible sous le menu Classe. Certains raccourcis clavier offrent un retour on/off ou activé/désactivé. Si vous souhaitez que votre assignation de raccourci clavier soit exécutée de façon répétée, cochez la case Répétition de touches aux bas de la fenêtre Assignation de contrôleur. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Case Répétition de touches » à la page 57. Cliquez sur le bouton Afficher pour ouvrir la fenêtre Raccourcis clavier. Le raccourci clavier affiché dans le champ Commande est automatiquement sélectionné/affiché dans la fenêtre Raccourcis clavier. Groupe de surfaces de contrôle La sélection de la classe Groupe de surfaces de contrôle vous permet de définir une propriété pour le groupe de surfaces de contrôle (auquel appartient l’assignation). Lorsque vous choisissez cette classe, le menu Paramètre apparaît sous le menu Classe. Ce menu vous permet de choisir l’une des options décrites dans « Paramètres des groupes de surfaces de contrôle » à la page 24 ou l’une de celles répertoriées dans le tableau suivant.Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur 53 Remarque :les assignations pour les surfaces de contrôle non prises en charge appartiennent toujours au premier groupe de surfaces de contrôle. Si vous choisissez l’un des réglages de banque de curseurs ou de page de paramètre dans le menu Paramètre, les options de type de banque suivantes apparaissent sous le menu.  Par un :la banque de curseurs ou la page de paramètres est décalée d’une tranche de console ou d’un paramètre.  Par banque :la banque de curseurs ou la page de paramètres est décalée du nombre de tranches de console ou de paramètres affichés.  SC Réglage groupe :la banque de curseurs ou la page de paramètres est décalée en fonction de la valeur du paramètre de groupe de surface de contrôle Page de paramètre mode Shift. Groupe d’automation Le choix de la classe Groupe d’automation vous permet d’utiliser une assignation pour définir un paramètre de groupe d’automation. Lorsque cette classe est sélectionnée, un champ Groupe apparaît sous le menu Classe. Vous pouvez déterminer le groupe édité en saisissant un chiffre dans le champ. Si vous saisissez « 0 », ce paramètre est réglé sur le groupe sélectionné pour le paramètre Groupe d’automation (dans les paramètres de groupe de surfaces de contrôle). Option de paramètre Informations supplémentaires Banque de curseurs pour la présentation active Mappages sur la banque de curseurs pour le mode de présentation actuellement utilisé (Table de mixage). Ainsi, vous n’avez besoin que d’une assignation par bouton gauche/droit pour tous les modes de présentation. Filtre pour toutes les présentations Lorsque ce paramètre est sélectionné et que le mode de présentation est Tout, huit cases supplémentaires (pour les huit types de tranche de console) apparaissent. Selon le mode de valeur, ces commutateurs définissent quelles tranches de console sont affichées (à l’aide du mode Directe) ou lesquelles sont basculées (à l’aide du mode X-OR). Banque de curseurs pour : Tranches de console MIDI Tranches de console d’entrée Tranches de console audio Tranches de console d’instruments Tranches de console auxiliaires Tranches de console de bus Tranches de console de sortie Ces paramètres de banque de curseurs sont utilisés dans le mode de pré- sentation Tout, lorsqu’un seul type de tranche de console est affiché. Ceci vous permet de basculer entre plusieurs types de tranche de console, tout en conservant la banque de curseurs en cours pour chaque type.54 Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur Un menu Paramètre apparaît également sous le champ Groupe, vous permettant de sélectionner le paramètre de groupe d’automation pour l’assignation. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section Réglages de Groupe du Manuel de l’utilisateur Logic Express 8. Section Message en entrée Les paramètres de cette section vous permettent de contrôler différents aspects des entrées MIDI. Flipmenu Entrée MIDI Lorsque vous choisissez une entrée (un port) MIDI dans le menu, toutes les assignations qui utilisent la même entrée sont modifiées en conséquence. Si l’assignation appartient à une surface de contrôle prise en charge, l’entrée MIDI du périphérique change également dans la fenêtre Réglage. Ceci vous facilite la création d’assignations par défaut pour une nouvelle surface de contrôle. Ces nouvelles assignations peuvent être déplacées vers d’autres systèmes Logic en copiant votre fichier de préférences com.apple.Logic.cs. Collez simplement ce fichier de préférences dans le dossier Préférences d’un autre ordinateur Macintosh, ouvrez la fenêtre Assignation de contrôleur dans la Vue expert, puis modifiez le paramètre Entrée MIDI d’une assignation (applicable au réglage MIDI sur l’autre ordinateur). Champ Changement de Valeur Affiche les messages MIDI entrants entraînant un changement de valeur dans le paramètre de destination, et vous permet d’éditer ces messages MIDI. Le champ Changement de Valeur affiche le message sous la forme d’une séquence d’octets hexadécimaux. La signification en langage clair apparaît sous le champ. Les paramètres fictifs pour la partie variable du message sont :  Lo7 :7 octets inférieurs de la valeur (LSB ou Least Significant Bits - bits les moins significatifs).  Hi7 :7 octets supérieurs de la valeur (MSB ou Most Significant Bits - bits les plus significatifs). Pour les messages ne contenant qu’un paramètre fictif Lo7, la valeur est traitée en 7 bits. Pour les messages contenant un paramètre fictif Lo7 et Hi7, la valeur est traitée en tant que 14 octets. L’ordre de Lo7 et Hi7 est respecté et il peut y avoir des octets constants entre les deux. Ceci vous permet de définir les parties LSB et MSB Changement de commande. Exemple :B0 08 Hi7 B0 28 Lo7 indique un message 14 octets. Remarque :lorsque vous saisissez plusieurs messages MIDI, saisissez toujours chaque message entièrement, en veillant à répéter l’octet de statut, même s’il s’agit du même. Ceci peut aider à composer le message afin de s’assurer que l’octet correct fonctionne, puisque vous ne pouvez pas connaître le statut du message précédemment envoyé.Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur 55 Pour les messages ne contenant aucun des paramètres fictifs Lo7 et Hi7, Logic Express suppose une valeur entrante de 1. C’est généralement le cas pour les boutons enfoncés ou relâchés. Voir également la section Champ Multiply (p. 56) ci-dessous. Champ Touch/Relâchement Saisissez une valeur d’entier afin d’utiliser le message MIDI entrant pour les changements de statut du paramètre de destination (de Touch vers Relâchement ou inversement). Une valeur non nulle signifie Touch ; la valeur 0 signifie Relâchement. Les messages sont affichés et édités de la même manière que le champ Changement de Valeur (voir la section Changement de Valeur ci-dessus). Remarque :ceci s’applique uniquement à la classe d’assignation Tranche de console et aux paramètres pouvant être automatisés. Section Valeur Les paramètres de cette section vous permettent de contrôler différents aspects des valeurs des messages MIDI entrants. Champs Min et Max Saisissez une valeur d’entier pour régler la plage minimale et maximale pour les valeurs entrantes représentées par Lo7 et Hi7. En général, la valeur minimale par défaut est 0 et la valeur maximale par défaut, 127. Certaines surfaces de contrôle (telles que la CM Labs Motor Mix) peuvent utiliser le même message (avec différentes plages de valeurs) pour différents contrôles. Pour obtenir des informations plus spécifiques, reportez-vous à la documentation de votre périphérique. Flipmenu Format Choisissez le format d’encodage des valeurs négatives dans les parties 7 bits envoyées via MIDI. Les choix possibles sont les suivants :  Non signé :aucune valeur négative n’est possible. La plage 7 ou 14 octets complète est traitée en tant que nombre positif. La plage de valeurs s’étend de 0 à 127 (7 octets) ou de 0 à 16383 (14 octets).  2ème complément :si l’octet le plus significatif est réglé, la valeur est négative. Pour obtenir la valeur absolue, inversez tous les octets et ajoutez 1. La plage de valeurs s’étend de –128 à 127 (7 octets) ou de –8192 à 8191 (14 octets).  1er Complément :si l’octet le plus significatif est réglé, la valeur est négative. Pour définir la valeur absolue, inversez tous les octets. Notez que ceci permet deux valeurs d’encodage possibles pour zéro. La plage de valeurs s’étend de –127 à 127 (7 octets) ou de –8191 à 8191 (14 octets).  Magnitude de signe :si l’octet le plus significatif est réglé, la valeur est négative. Pour régler la valeur absolue, effacez l’octet le plus significatif. Notez que ceci permet deux valeurs d’encodage possibles pour zéro. Ceci donne une plage de valeurs de –127 à 127 (7 octets) ou de –8191 à 8191 (14 octets).56 Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur Le format approprié pour un périphérique est généralement spécifié dans sa documentation. S’il n’est pas disponible, consultez le site web du fabricant de la surface de contrôle ou adressez-vous au fabricant du périphérique pour plus d’informations. Champ Multiply Saisissez une valeur de mise à l’échelle pour les valeurs entrantes. Cette opération est particulièrement utile pour l’activation de boutons ayant pour valeur 1. Par exemple :  Pour régler le mode d’automation sur Write, réglez Multiply sur 4.00 et Mode sur Directe.  Pour décrémenter un paramètre de 1 à chaque activation du bouton, réglez Multiply sur –1.00 et Mode sur Relative. Flipmenu Mode Choisissez le mode utilisé par les valeurs entrantes pour modifier la valeur de paramètre actuelle. Les choix possibles sont les suivants :  Directe :la valeur entrante est utilisée comme valeur de paramètre.  Toggle :si la valeur actuelle du paramètre est 0, elle est réglée sur la valeur entrante. Toutes les autres valeurs règlent la valeur de paramètre sur 0. Cette option est utile pour les boutons permettant de basculer entre différentes valeurs :Muet, Solo, etc.  Mesuré :la valeur entrante est mesurée de sa plage de valeurs vers celle du paramètre de destination. Utile pour les curseurs et les boutons rotatifs d’encodeurs.  Relatif :la valeur entrante est ajoutée à la valeur en cours du paramètre. Utilisée par les encodeurs, mais également pour les boutons permettant d’augmenter ou de diminuer la valeur en fonction d’une quantité donnée (définie par le paramètre Multiply).  Rotation :la valeur entrante est ajoutée à la valeur en cours du paramètre (en passant des valeurs maximales aux valeurs minimales). C’est utile pour les activations de bouton permettant de basculer entre les modes :mode d’automation, par exemple.  X-OR :la valeur définit un masque d’octets (en d’autres termes, un filtre), qui est appliqué à la valeur en cours du paramètre avec l’opération booléenne « exclusive or ». Utile pour l’activation/la désactivation des tranches de console de type Simple dans la présentation Tout. Pour les paramètres d’activation/de désactivation des surfaces de contrôle prises en charge, le mode est réglé par défaut sur Toggle. Il est réglé (par défaut) sur Mesuré pour les contrô- les absolus (curseurs et potentiomètres, par exemple) ou sur Relative pour les encodeurs. Flipmenu Retour Choisissez le format d’affichage pour la valeur en cours du paramètre (sur l’affichage de la surface de contrôle). Les choix possibles sont les suivants :  Aucun :aucun retour n’est envoyé.  Point/ligne simple :anneaux de voyants DEL :un seul voyant DEL ; affichages LCD : une seule ligne verticale.  Gauche vers mesure droite :une mesure de la valeur minimale vers la valeur en cours.  Mesure du centre :une mesure de la position centrale vers la valeur en cours.Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur 57  Droit vers mesure gauche :une mesure depuis la valeur actuelle jusqu’à la valeur maximale.  Q/Diffusion :deux mesures égales du centre vers la valeur en cours.  Mesure croissante :une mesure du bas vers la valeur en cours.  Mesure décroissante :une mesure du sommet vers la valeur en cours.  Texte seulement :anneaux de voyants DEL :aucun retour ; affichages LCD :aucun retour en tant qu’élément graphique.  Automatique :dépend du paramètre actuellement assigné ; le mode de retour le plus approprié est utilisé :les paramètres intégrés de module et d’instrument contiennent ces informations. Pan utilise Point/ligne simple, tous les autres paramètres utilisent Gauche vers mesure droite. Remarque :le retour fonctionne uniquement pour les surfaces de contrôle prises en charge ; les réglages ne sont pas tous disponibles pour tous les contrôles. Case Retour de texte Lorsque cette case est sélectionnée, une représentation textuelle de la valeur actuelle est envoyée à l’affichage de la surface de contrôle. Cette dernière détermine le positionnement et le nombre de caractères utilisés. Case Retour Local (Curseur/Potentiomètre) Lorsque cette case est sélectionnée, aucun retour n’est envoyé tant que le paramètre est en mode Touch. Ceci empêche toute « résistance » des curseurs motorisés lorsque vous les déplacez. Case Répétition de touches Lorsque cette case est sélectionnée, l’assignation est exécutée de façon répétée. Le curseur Répétition des touches (réglé dans les préférences Clavier et souris de Mac OS X) détermine la vitesse à laquelle Logic Express répète l’assignation. La durée pendant laquelle le bouton/contrôleur doit être maintenu avant répétition de l’assignation est définie avec le curseur Retard avant répétition des préférences Clavier & souris. Exemple :cette possibilité est particulièrement utile pour la fonction zoom :si vous assignez une commande de répétition des touches aux boutons de zoom de la surface de contrôle Mackie Control, vous pouvez simplement maintenir le bouton Zoom avant enfoncé. Logic Express effectuera un zoom avant jusqu’au relâchement du bouton Zoom avant. Le comportement est similaire à celui des commandes de touche Zoom. Il est également possible d’appuyer de façon répétée sur les boutons de zoom (de la surface de contrôle Mackie Control) afin d’effectuer un zoom avant/arrière de plus d’un niveau. Remarque :la case Répétition de touches est disponible uniquement pour les raccourcis clavier, les pressions de touche et les changements de valeur relatifs. Si une autre classe d’assignation est sélectionnée, la case est grisée.58 Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur Les assignations de raccourci clavier par défaut prennent en charge la fonction Répétition de touches (si utile et/ou applicable à la surface de contrôle/au périphérique) ; il est donc inutile d’effectuer des changements pour utiliser cette fonctionnalité. Si vous souhaitez activer la fonction Répétition de touche pour vos propres assignations, vous pouvez avoir besoin d’utiliser l’option de réapprentissage pour le message assigné. Les messages Répétition de touche doivent inclure l’octet Lo7, qui fournit des informations sur l’état relâché ou appuyé du bouton assigné. Logic Express vous guide tout au long du processus de réapprentissage :le message MIDI actuel est automatiquement effacé, le mode Apprentissage est activé et une balise d’aide vous invite à envoyer le message MIDI souhaité. Le relâchement du bouton assigné (après apprentissage du message MIDI) entraîne la création automatique de l’octet Lo7 et l’assignation de la valeur Lo7 (pour le message Bouton relâché) au paramètre Min. La valeur Lo7 pour le message Bouton enfoncé est automatiquement assignée au paramètre Max. En général, la plage de valeurs de 1 à 127 est utilisée pour le message Bouton enfoncé. La valeur zéro (0) est généralement utilisée pour le message Bouton relâché. Remarque :certaines surfaces de contrôle peuvent utiliser des plages de valeurs diffé- rentes (CM Labs MotorMix, par exemple). L’assignation de valeurs Min et Max appropriées garantit le fonctionnement de la répétition de touches avec les périphériques de ce type. Toutefois, cela signifie que vous devez faire attention lors du changement manuel de la valeur Min ou Max pour un raccourci clavier (si les valeurs Min et Max ne correspondent pas aux états Bouton enfoncé (marche) et Bouton relâché (arrêt), l’assignation entière ne fonctionnera pas). Veuillez consulter le manuel de votre surface de contrôle pour plus d’informations sur les valeurs que celle-ci utilise.Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur 59 Assignation de boutons à des raccourcis clavier Vous pouvez non seulement assigner des contrôleurs à des paramètres, mais également assigner des boutons de surface de contrôle (et des messages de relâchement de bouton ou de touche) à des raccourcis clavier. Pour assigner un bouton de surface de contrôle à un raccourci clavier : 1 Sélectionnez Logic Express > Préférences > Raccourcis clavier pour ouvrir la fenêtre Raccourcis clavier. 2 Dans la liste des commandes, cliquez sur le triangle d’affichage correspondant à la catégorie souhaitée. Cela a pour effet d’afficher les commandes figurant dans cette catégorie, ce qui vous permet de sélectionner le raccourci clavier à assigner. Vous pouvez également rechercher le raccourci clavier souhaité en l’indiquant dans le champ Rechercher. 3 Cliquez sur le bouton « Apprendre nouvelle assignation ». 4 Appuyez sur le bouton (de surface de contrôle) à assigner au raccourci clavier. Un message MIDI est envoyé à Logic Express. Le nom du contrôleur apparaît dans le champ Assignations. 5 Si vous le souhaitez, vous pouvez répéter les étapes 2 à 4 afin d’effectuer des assignations supplémentaires. 6 Une fois que vous avez terminé, cliquez sur le bouton Fermer pour quitter la fenêtre.60 Chapitre 2 Personnalisation des assignations de contrôleur Pour assigner un message de relâchement de bouton ou de touche à un raccourci clavier : 1 Sélectionnez Logic Express > Préférences > Raccourcis clavier pour ouvrir la fenêtre Raccourcis clavier. 2 Dans la liste Commande, cliquez sur le triangle d’expansion afin d’afficher les commandes correspondant à une catégorie, puis sélectionnez le raccourci clavier à assigner (ou utilisez le champ Rechercher). 3 Appuyez sur le bouton ou la touche (de surface de contrôle) à affecter au raccourci clavier (et maintenez-le ou la enfoncé(e). 4 Cliquez sur le bouton « Apprendre nouvelle assignation ». 5 Relâchez le bouton ou la touche. Le nom du bouton ou de la touche apparaît dans le champ Assignations. 6 Une fois que vous avez terminé, cliquez sur le bouton Fermer pour quitter la fenêtre. Pour supprimer une assignation de raccourci clavier : 1 Dans la fenêtre Raccourcis clavier, sélectionnez le raccourci clavier (avec une assignation à supprimer) dans la liste Commande. 2 Sélectionnez l’assignation pour le raccourci clavier dans le champ Assignations. 3 Appuyez sur la touche Retour arrière. Stockage des assignations de contrôleur Les assignations de contrôleur en cours et l’ensemble des Préférences Surfaces de contrôle sont stockées dans le fichier ~/Bibliothèque/Preferences/com.apple.Logic.express.cs. Vous n’avez pas besoin d’enregistrer particulièrement les assignations de contrôleur, ou les préférences et réglages associés. Ceux-ci sont automatiquement stockés (à l’emplacement indiqué ci-dessus) lorsque vous quittez Logic Express.3 61 3 Mackie Control Vous pouvez contrôler intégralement Logic Express à l’aide d’une surface de contrôle Mackie Control et étendre ses fonctionnalités à l’aide de plusieurs périphériques d’expansion. Les informations contenues dans le présent chapitre concernent la Mackie Control Universal, la Mackie Control originale, la Logic Control et la Mackie (ou Logic) Control Extender (XT). Le terme « Mackie Control » est utilisé pour désigner ces périphériques tout au long du chapitre. Les contrôles de la Mackie Control sont physiquement regroupés en différentes sections, appelées zones. Chaque zone est clairement étiquetée et se distingue par des nuances de gris sur l’appareil. Les descriptions ci-après des fonctionnalités et fonctions de la Mackie Control sont classées en fonction de ces zones. Réglage de votre Mackie Control Lorsque vous ouvrez Logic Express, il détecte automatiquement la Mackie Control reliée à votre système. Vous pouvez utiliser la Mackie Control immédiatement (avec ses réglages par défaut) ou personnaliser ses réglages, conformément aux instructions des chapitres « Réglage des surfaces de contrôle de base » à la page 15 et « Personnalisation des assignations de contrôleur » à la page 37. Utilisation de la Mackie Control avec Logic Express Il existe plusieurs manières d’utiliser la Mackie Control dans Logic Express. Un exemple de processus simple implique les étapes suivantes : 1 Une fois votre projet ouvert dans la fenêtre Arrangement,sélectionnez les tranches de console à contrôler en appuyant sur les boutons Banque curseur situés sur la Mackie Control. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Zone Fader Bank » à la page 83.62 Chapitre 3 Mackie Control 2 Sélectionnez les paramètres à modifier et indiquez si vous souhaitez éditer plusieurs canaux (présentation Table de mixage) ou un seul (présentation Canal) à l’aide des boutons Assignation. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Zone Assignment » à la page 68. 3 Démarrez la lecture et déplacez la tête de lecture jusqu’à la position où vous souhaitez travailler, à l’aide des boutons de transport et de la molette Mackie Control. Pour en savoir plus, reportez-vous aux rubriques « Zone Transport » à la page 91 et « Zone du jog/scrub wheel » à la page 100. 4 Éditez le projet à l’aide des contrôles des tranches de console. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Contrôles des tranches de console » à la page 65. Zone d’affichage La zone d’affichage située en haut de la Mackie Control se compose de quatre écrans. Chacun d’eux affiche un certain type d’informations :  Écran principal à cristaux liquides  Écran Assignation  Affichage du temps  Voyant DEL Solo Écran principal à cristaux liquides L’écran à cristaux liquides principal se divise en huit sections (ou colonnes) comportant chacune deux lignes de texte. Chaque section affiche des informations relatives aux contrôles des tranches de console directement en dessous. Les informations qui apparaissent sur cet écran à cristaux liquides changent en fonction des paramètres que vous modifiez et de la présentation active (Table de mixage ou Canal). En général, la première ligne de chaque section affiche le nom (abrégé) de la piste ou du canal. La deuxième ligne affiche le nom du paramètre (également abrégé) et/ou sa valeur. Dans certains modes, un nom de paramètre long (ou un autre texte) s’affiche brièvement à l’écran pendant que vous déplacez le contrôle correspondant. Vous pouvez régler l’affichage et la durée des noms de paramètres longs dans les préférences des surfaces de contrôle. Pour obtenir des informations sur les préférences des réglages, reportez-vous au chapitre intitulé « Réglage des surfaces de contrôle de base » à la page 15. Remarque :sur l’écran à cristaux liquides, les caractères ASCII 8 bits, tels que les guillemets ou les trémas, sont remplacés par les meilleurs équivalents ASCII 7 bits possibles. Écran Assignment (assignations) L’écran du voyant DEL des assignations (également désigné sous le nom d’écran de mode), situé à droite de l’écran à cristaux liquides principal, affiche une abréviation à deux chiffres de l’état actuel des assignations. Un point (.) apparaît en bas à droite de l’écran lorsque la présentation Canal est active.Chapitre 3 Mackie Control 63 Affichage du temps L’affichage du temps, à droite de l’écran Assignment, affiche la position actuelle de la tête de lecture,soit en divisions du temps musical (BATTEMENTS),soit au format de code temporel SMPTE. Un petit voyant DEL à gauche de l’écran indique son format actuel.  Lorsque le format est réglé sur Battements, les quatre segments de l’affichage du temps indiquent la position actuelle de la tête de lecture en mesures, battements, sous-divisions de battements et en ticks.  Lorsque le format est réglé sur SMPTE, les quatre segments de l’affichage du temps indiquent la position actuelle de la tête de lecture en heures, minutes,secondes et images. Vous pouvez basculer d’un format à l’autre en appuyant sur le bouton SMPTE/BEATS situé directement sous l’écran. Vous avez également la possibilité de définir le format par défaut à l’aide du paramètre Affichage d’horloge situé dans la fenêtre de réglage des surfaces de contrôle. Vous trouverez des informations à ce sujet (et sur les autres options de réglage) dans le chapitre intitulé « Réglage de votre installation de surfaces de contrôle » à la page 23. Voyant DEL Solo Le voyant DEL Solo (« Rude Solo » sur la Mackie Control), situé à droite de la zone d’affichage, s’allume lorsqu’une tranche de console quelconque est définie en mode Solo ou lorsque ce mode est activé. C’est un rappel utile, par exemple, si vous avez mis en solo une tranche de console, puis activé la banque de curseurs, ce qui a pour effet de masquer le voyant DEL Solo (de la tranche de console en question) sur la surface de contrôle. Boutons Display (affichage) Ces boutons, situés juste sous la partie gauche de l’affichage du temps, concernent les éléments apparaissant sur l’écran à cristaux liquides principal et l’affichage du temps. Name/Value Appuyez sur le bouton NAME/VALUE pour basculer entre les deux formats d’affichage des paramètres (à savoir le nom ou la valeur du paramètre) sur l’écran à cristaux liquides principal. Appuyer sur le bouton NAME/VALUE tout en maintenant le bouton SHIFT enfoncé permet de passer d’un mode à l’autre parmi les trois modes de level meter sur l’écran à cristaux liquides principal :  Vertical :dans ce mode, une barre verticale indiquant le volume du canal vient se superposer au dernier caractère de chaque canal (figurant sur les deux lignes de l’écran à cristaux liquides). Le texte réapparaît lorsque le level meter n’est pas visible.64 Chapitre 3 Mackie Control  Horizontal avec maintien du pic :dans ce mode, la deuxième ligne de l’écran à cristaux liquides est remplacée par les barres horizontales du volume du canal. Le maintien du pic apparaît sous la forme d’une case vide qui disparaît au bout de quelques secondes. Les surcharges de signaux (écrêtage) sont indiquées par un astérisque qui reste à l’écran jusqu’à l’effacement des surcharges (voir ci-dessous).  Désactivé :dans ce mode, aucune barre de level meter ne s’affiche sur l’écran à cristaux liquides principal. Dans ces trois modes, les voyants DEL de SIGNAL des tranches de console fonctionnent comme d’habitude, indiquant la présence d’un signal. Appuyer sur le bouton NAME/VALUE tout en maintenant le bouton CONTROL enfoncé permet d’effacer les indicateurs de surcharge (écrêtage) de la table de mixage Logic Express et sur l’écran à cristaux liquides de la Mackie Control (si le mode Horizontal avec maintien du pic est actif). Appuyer sur le bouton NAME/VALUE tout en maintenant les boutons x/ALT ou OPTION enfoncés permet d’accéder au mode de réglage du groupe de surfaces de contrôle. Ce mode permet de modifier les réglages du groupe de surfaces de contrôle suivants, dont certains ne sont pas accessibles qu’à l’aide d’un seul bouton : Contrôle Action V-Pot 5 Définit le format d’affichage du nom des pistes.  Nom :affiche le nom de la piste uniquement.  No :Nom :affiche le numéro et le nom de la piste. V-Pot 6 Fait basculer la présentation Canal en mode Verrouillage.  Désactivé :mode standard où sélectionner une tranche de console revient à l’activer (éditer).  Activé :verrouille la tranche de console active. La sélection d’une autre tranche de console n’a aucun impact sur la tranche de console en cours d’édition. Lorsque vous passez du mode Activé à Désactivé, la tranche de console est également mise à jour. V-Pot 7 Définit le format d’affichage de l’écran à cristaux liquides.  Nom :la première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche des informations globales et la deuxième ligne, le nom des paramètres.  Valeur :la première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom des paramètres et la deuxième ligne, leur valeur. Sur le plan fonctionnel, cela revient à appuyer sur le bouton NAME/VALUE. V-Pot 8 Définit le format d’affichage de l’horloge.  Battements :l’horloge s’affiche en mesures, battements, sous-divisions de battements et ticks.  SMPTE :l’horloge s’affiche sous forme de code SMPTE. Sur le plan fonctionnel, cela revient à appuyer sur le bouton SMPTE/BEATS.Chapitre 3 Mackie Control 65 Vous pouvez quitter le mode de réglage du groupe des surfaces de contrôle en appuyant sur le bouton NAME/VALUE ou en accédant à l’un des modes Marqueur ou Déplacement. SMPTE/Beats Appuyez sur le bouton SMPTE/BEATS situé juste sous les voyants DEL correspondants pour basculer entre les deux formats temporels (temps ou battements SMPTE). Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Affichage du temps » à la page 63. Contrôles des tranches de console Directement sous l’écran à cristaux liquides principal se trouvent huit jeux de contrôles de tranches de console. Utilisez-les pour contrôler les paramètres des tranches de console et des modules Logic Express, ainsi que les autres fonctions Logic Express. Chaque tranche de console se compose des contrôles suivants, décrits dans les sections ci-après :  Encodeur rotatif V-Pot avec bouton  Bouton Rec/Ready et voyant DEL  Voyant DEL de signal  Bouton Solo et voyant DEL Bouton Muet et voyant DEL  Bouton Select et voyant DEL  Curseur motorisé tactile Chaque tranche de console des unités Mackie Control et Mackie Control XT est identique. Les descriptions suivantes s’appliquent à ces deux appareils. V-Pot Le V-Pot est un encodeur rotatif doté d’un bouton intégré (sur lequel il faut appuyer, sur l’encodeur).Vous pouvez utiliser le V-Pot pour régler le niveau d’envoi et le panoramique/la balance du canal (présentation Canal) ou pour régler les paramètres des modules d’effet ou d’instrument. Le V-Pot sert également à faire défiler et à sélectionner des éléments tels que modules, instruments logiciels et autres à partir des menus. Il permet également de déterminer les destinations d’envoi. Plus vous faites tourner le V-Pot rapidement, et plus il change rapidement de valeurs, fait défiler rapidement les menus, etc. Chaque V-Pot est dotée d’un bouton intégré sur sa partie supérieure. Lorsque vous appuyez dessus, vous définissez la valeur par défaut d’un paramètre (s’il peut avoir deux valeurs) ou vous naviguez parmi deux valeurs de paramètre (activé/désactivé). Ce bouton permet également d’activer une fonction sélectionnée au moyen du V-Pot. Par exemple, vous pouvez faire tourner le V-Pot pour parcourir la liste des modules d’effet de l’un des logements d’insertion de canal. Une fois l’effet souhaité affiché sur l’écran à cristaux liquides principal, appuyez sur le V-Pot pour sélectionner et insérer l’effet, et ouvrir la fenêtre du module. Ce bouton est parfois utilisé pour accéder à un mode d’assignation spécial.66 Chapitre 3 Mackie Control Lorsqu’une valeur ou un nom (comme un module) est présélectionné, mais ni confirmé ni instancié, cette valeur (ou ce nom) clignote sur l’écran à cristaux liquides principal jusqu’à ce que vous appuyiez sur le V-Pot. La valeur du paramètre que vous réglez à l’aide du V-Pot s’affiche sur l’écran à cristaux liquides principal (en fonction du réglage Name/Value). Elle est également indiquée par le cercle de voyants DEL autour du V-Pot. Le mode d’affichage des valeurs des paramètres sur l’anneau lumineux varie en fonction du type de paramètre affiché. Maintenez le bouton x/ALT enfoncé pour définir les V-Pot sur un mode de haute résolution (fine) pour les paramètres auxquels ce mode s’applique. Maintenez le bouton OPTION enfoncé et faites tourner les V-Pot pour basculer entre les valeurs minimale, par défaut et maximale du paramètre. Bouton Rec/Rdy (Record/Ready) Appuyer sur le bouton Rec/Rdy arme la tranche de console en vue de l’enregistrement. Si le canal est actuellement armé, Appuyer sur ce bouton le désarme. Chaque bouton Rec/Rdy est doté d’un voyant DEL rouge qui s’allume lorsque le canal est armé pour l’enregistrement. Maintenez le bouton OPTION enfoncé tout en appuyant sur le bouton REC/RDY de n’importe quel canal pour désarmer toutes les tranches de console. Voyant DEL Signal Le voyant DEL Signal indique la présence d’un signal MIDI ou audio sortant. Pendant l’enregistrement, il indique la présence d’un signal entrant. Bouton SOLO Appuyer sur le bouton Solo permet de mettre en solo la tranche de console, ce qui revient à désactiver le son de tous les canaux non mis en solo. Chaque bouton Solo est doté d’un voyant DEL orange qui s’allume lorsque la tranche de console est mise en solo. Le voyant DEL Rude Solo (situé à droite de la zone d’affichage) est également allumé dès qu’un canal, quel qu’il soit, est mis en solo. Maintenez le bouton OPTION enfoncé tout en appuyant sur n’importe quel bouton SOLO de canal pour désactiver le solo de toutes les tranches de console. Dans la présentation Destination/Niveau de l’envoi (reportez-vous à la rubrique « Bouton Send » à la page 75), le bouton SOLO contrôle la sélection du mode Pré/Post des pré- sentations Table de mixage et Canal. Bouton Désactiver l’audio Appuyez sur ce bouton pour désactiver le son du canal. Chaque bouton Muet est doté d’un voyant DEL rouge qui s’allume lorsque le son du canal a été désactivé.Chapitre 3 Mackie Control 67 Maintenez le bouton OPTION enfoncé tout en appuyant sur le bouton MUET de n’importe quelle tranche de console pour activer le son de toutes les tranches de console. Dans les présentations Fréquence/Gain EQ et Destination/Niveau de l’envoi, le bouton MUET contrôle la fonction EQ bypass ou Send Muet. Ceci affecte les présentations Table de mixage et Canal. Bouton SELECT Appuyez sur le bouton Select pour choisir (activer) le canal en vue d’une édition basée sur les canaux ou pour accéder aux commandes d’assignation. Chaque bouton Select est doté d’un voyant DEL vert qui s’allume lorsque le canal est sélectionné. Maintenez le bouton SHIFT enfoncé tout en appuyant sur le bouton SELECT d’un canal pour définir le volume du canal sur le volume de l’unité (0 dB). Remarque :lorsque vous maintenez le bouton SHIFT enfoncé, le voyant DEL du bouton SELECT indique si le volume du canal est réglé sur 0 dB. Maintenez le bouton OPTION enfoncé tout en appuyant sur le bouton SELECT de n’importe quel canal pour créer une piste assignée à la même tranche de console que la piste sélectionnée et accéder à la présentation Arrangement. Maintenez les boutons SHIFT et OPTION enfoncés tout en appuyant sur le bouton SELECT d’un canal pour créer une piste avec la tranche de console suivante (celle suivant la piste sélectionnée) et accéder à la présentation Arrangement. Curseur motorisé tactile Le curseur motorisé de chaque tranche de console est généralement utilisé pour contrô- ler le niveau des canaux, tout comme un curseur de volume sur une console de mixage. Vous pouvez toutefois également assigner ce curseur pour contrôler d’autres paramètres. Utilisation du mode Flip Le mode Flip est activé en appuyant sur le bouton FLIP situé juste au-dessus du curseur MASTER. Lorsque le mode Flip est activé, vous pouvez contrôler le paramètre actuellement assigné au V-Pot du canal avec le curseur. Cela vous permet de contrôler plus facilement les pans, les retours auxiliaires, les options de piste MIDI, les égaliseurs, les effets, les instruments logiciels ou d’autres paramètres de canal. Vous pouvez naviguer parmi les canaux contrôlés avec les huit curseurs en appuyant sur l’un des boutons CHANNEL ou BANK (voir plus bas). Comportement du curseur dans d’autres modes  En mode Flip :duplique ou échange les paramètres avec le V-Pot sur le même canal.  Dans la présentation Fréquence/Gain EQ :règle le gain de la bande EQ sélectionnée.  Dans la présentation Table de mixage de la destination/du niveau de l’envoi :ajuste la quantité d’envoi de l’envoi sélectionné.68 Chapitre 3 Mackie Control  Dans la présentation Canal de la destination/du niveau de l’envoi :ajuste la quantité d’envoi de l’envoi (sur la tranche de console sélectionnée). Curseur Master Contrôle le niveau de la tranche de console principale dans la table de mixage Logic Express. Ceci permet d’augmenter ou de réduire le niveau de toutes les tranches de console de sortie sans modifier leurs niveaux relatifs. Lorsque le projet ne contient aucune tranche de console principale, le curseur Master de la Mackie Control est mis en correspondance avec la tranche de console de sortie 1-2. Si vous utilisez simultanément plusieurs systèmes audio, le curseur Master ne contrôle que la tranche de console master du premier périphérique (en respectant l’ordre affiché dans les préférences Audio). Zone Assignment Six boutons ASSIGNMENT sont situés directement sous le voyant DEL du même nom. Appuyez sur l’un des boutons ASSIGNMENT pour sélectionner le type de paramètre à contrôler ou à modifier à l’aide des commutateurs, des curseurs et des V-Pot de la tranche de console. Le voyant DEL correspondant s’allume pour indiquer l’assignation active et l’écran Assignment fait apparaître l’abréviation à deux chiffres du type d’assignation. Les boutons ASSIGNMENT fonctionnent aussi bien dans la présentation Simple que dans la présentation Tout. Le chapitre « Paramètres des groupes de surfaces de contrôle » à la page 24 traite des modes de présentation. Modes d’assignation Chaque bouton ASSIGNMENT comporte deux présentations :une présentation Table de mixage et une présentation Canal. Ces présentations offrent deux possibilités pour modifier les paramètres de votre projet.  Présentation Table de mixage :affiche et permet de modifier un seul paramètre dans plusieurs canaux.  Présentation Canal :affiche et permet de modifier plusieurs paramètres d’un seul canal. L’écran du mode affiche un point en bas à droite lorsque la présentation Canal est active. Appuyez sur un bouton ASSIGNMENT pour le sélectionner et passer en présentation Table de mixage, sauf lorsque vous basculez entre la présentation Édition d’instrument et la présentation Édition de module. Dans ce cas, le mode reste en présentation Canal.Chapitre 3 Mackie Control 69 Remarque :pour chacun des boutons ASSIGNMENT :les paramètres que vous pouvez modifier varient en fonction du mode d’affichage actif. Reportez-vous aux sections suivantes pour obtenir des informations spécifiques sur les types de paramètre affichés pour chaque assignation. Le bouton NAME/VALUE affecte également les éléments affichés sur l’écran à cristaux liquides lorsque vous êtes dans les présentations Table de mixage et Canal. Pour plus d’informations, consultez le chapitre intitulé « Zone des touches de fonction » à la page 85. Bouton Track Appuyez sur le bouton TRACK pour sélectionner la présentation Canal et assigner les contrôles des tranches de console afin de modifier leurs paramètres.  Appuyez une fois sur le bouton TRACK pour modifier un seul paramètre dans plusieurs tranches de console et activer la présentation Table de mixage.  Appuyez à nouveau sur le bouton TRACK pour modifier plusieurs paramètres pour une seule tranche de console et passer en présentation Canal. Présentation Table de mixage La présentation Table de mixage permet de modifier un seul paramètre pour plusieurs tranches de console :volume, panoramique, format d’entrée, assignation de l’entrée, assignation de la sortie ou mode d’automation. Lorsque vous passez en présentation Table de mixage, le paramètre modifié s’affiche brièvement à droite de l’écran principal à cristaux liquides. L’écran du mode affiche tr (pour track, c’est-à-dire piste), et la première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom des pistes. Appuyez sur NAME/VALUE pour afficher les valeurs des paramètres sur la deuxième ligne de l’écran à cristaux liquides. Celles-ci s’affichent lorsque vous faites tourner un V-Pot ou que vous appuyez sur son bouton. Vous pouvez utiliser les contrôles suivants pour apporter des modifications en présentation Table de mixage.  Faire tourner les V-Pot permet de modifier le paramètre de la tranche de console associé.  Appuyer sur le bouton d’un V-Pot permet de définir la valeur par défaut du paramètre.  Les touches de curseur gauche/droit permettent de passer au paramètre suivant ou précédent de la tranche de console. Le paramètre sélectionné s’affiche brièvement sur la première ligne de l’écran à cristaux liquides. Remarque :assurez-vous que le bouton ZOOM n’est pas actif lorsque vous utilisez les touches de curseur.70 Chapitre 3 Mackie Control Présentation Canal Cette présentation vous permet d’éditer les paramètres les plus importants d’une tranche de console individuelle :volume, panoramique, instrument, assignation du logement d’insertion 1 et 2, niveaux d’envoi 1, 2 et 3. Lorsque vous activez la présentation Canal, l’écran du mode affiche « tr. » et la première ligne de l’écran à cristaux liquides reprend le nom de la tranche de console. Appuyez sur NAME/VALUE pour afficher le nom des paramètres sur la première ligne et leur valeur sur la deuxième ligne : Le tableau suivant répertorie les modifications possibles par chaque V-Pot en mode Canal : Maintenez le bouton SHIFT enfoncé tout en appuyant sur l’un des boutons MUET ou V-Pot pour basculer entre les modes Muet et Bypass : Contrôle Action V-Pot 1 Modifie le volume. La valeur s’affiche sur la deuxième ligne de l’écran à cristaux liquides. V-Pot 2 Modifie le panoramique. La valeur s’affiche sur la deuxième ligne de l’écran à cristaux liquides. V-Pot 3 En ce qui concerne les pistes d’instruments logiciels, faites tourner ce V-Pot pour choisir l’instrument souhaité. Appuyez sur le bouton V-Pot 3 pour confirmer votre choix/insérer l’instrument et ouvrir la fenêtre de module. V-Pot 4 En ce qui concerne les pistes audio et d’instruments logiciels, faites tourner ce V-Pot pour choisir le module utilisé sur le logement d’insertion 1. Appuyez sur le V-Pot 4 pour confirmer votre choix/ insérer l’effet et ouvrir la fenêtre de module. V-Pot 5 Pour les pistes d’instruments logiciels et les pistes audio, faites tourner ce V-Pot pour choisir le module utilisé dans le logement d’insertion 2. Appuyez sur le V-Pot 4 pour confirmer votre choix (insérer et ouvrir, comme ci-dessus). V-Pot 6 Modifie la quantité d’envoi 1. V-Pot 7 Même chose pour l’envoi 2. V-Pot 8 Même chose pour l’envoi 3. Contrôle Action V-Pot 1 ou Muet 1 Active (ou désactive) le son de la tranche de console. V-Pot 2 ou Muet 2 Active (ou désactive) le son de la tranche de console. V-Pot 3 ou Muet 3 En ce qui concerne les pistes d’instruments logiciels, active (ou désactive) le son de l’instrument logiciel utilisé sur la tranche de console. V-Pot 4 ou Muet 4 En ce qui concerne les pistes audio et d’instruments logiciels, contourne le module d’effet utilisé dans le logement d’insertion 1. V-Pot 5 ou Muet 5 En ce qui concerne les pistes audio et d’instruments logiciels, contourne le module d’effet utilisé dans le logement d’insertion 2.Chapitre 3 Mackie Control 71 Menu contextuel Maintenez le bouton TRACK enfoncé pour afficher le sous-menu contextuel des pistes sur l’écran à cristaux liquides. Lorsque ce menu est actif, l’écran du mode affiche « t_ » (pour « Track shortcuts », soit « raccourcis des pistes »). Appuyez sur l’un des boutons V-Pot ou l’une des touches de fonction pour effectuer les modifications suivantes : Présentation Configuration de la tranche de console Comme décrit précédemment, vous accédez à la présentation Canal de réglage des tranches de console à partir du menu contextuel en appuyant sur le V-Pot 8 ou sur la touche F8. Dans ce mode, vous pouvez modifier les paramètres suivants (les moins souvent utilisés) pour la tranche de console sélectionnée. V-Pot 6 ou Muet 6 Active (ou désactive) le son de l’envoi 1. V-Pot 7 ou Muet 7 Active (ou désactive) le son de l’envoi 2. V-Pot 8 ou Muet 8 Active (ou désactive) le son de l’envoi 3. Contrôle Action Contrôle Action V-Pot 1 ou F1 Passe en présentation Table de mixage et sélectionne le volume comme paramètre modifié par le V-Pot. V-Pot 2 ou F2 Passe en présentation Table de mixage et sélectionne le panoramique comme paramètre modifié par le V-Pot. V-Pot 3 ou F3 Passe en présentation Table de mixage et sélectionne le format d’entrée comme paramètre modifié par le V-Pot. V-Pot 4 ou F4 Passe en présentation Table de mixage et sélectionne l’assignation d’entrée comme paramètre modifié par le V-Pot. V-Pot 5 ou F5 Passe en présentation Table de mixage et sélectionne l’assignation de sortie comme paramètre modifié par le V-Pot. V-Pot 6 ou F6 Passe en présentation Table de mixage et sélectionne le mode Automation comme paramètre modifié par le V-Pot. V-Pot 7 ou F7 Passe en présentation Table de mixage, mais aussi Logic Express en présentation Arrangement et sélectionne le paramètre d’automation sélectionné dans la fenêtre Arrangement. V-Pot 8 ou F8 Passe en présentation Configuration de la tranche de console (décrite ci-dessous). Contrôle Action V-Pot 1 Modifie le format de la tranche de console (mono, stéréo, gauche, droite). V-Pot 3 Sélectionne l’assignation de l’entrée de la tranche de console. Confirmez votre sélection en appuyant sur V-Pot 6. V-Pot 4 Sélectionne l’assignation de sortie de la tranche de console. Confirmez votre sélection en appuyant sur V-Pot 7.72 Chapitre 3 Mackie Control Bouton Pan Appuyer sur le bouton PAN/SURROUND permet d’activer la présentation Table de mixage Pan. Appuyer plusieurs fois de suite sur ce bouton permet de passer de la pré- sentation Canal Pan à la présentation Table de mixage Pan et vice versa. Présentation Table de mixage Pan La présentation Table de mixage Pan vous permet de modifier le paramètre Pan de toutes les tranches de console.  L’écran du mode affiche « Pn » (pour Pan).  La première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom des tranches de console.  Faire tourner les V-Pot modifie le paramètre Pan.  Appuyer sur le bouton d’un V-Pot rétablit la valeur par défaut du paramètre Pan. Présentation Canal Pan La présentation Canal Pan vous permet de modifier le paramètre Pan de la tranche de console sélectionnée.  L’écran du mode affiche « Pn. » (pour Pan).  La ligne supérieure sur l’écran à cristaux liquides indique le nom de la tranche de console et « Pan ». Bouton EQ Appuyez sur le bouton EQ pour activer la présentation Table de mixage EQ. Appuyez plusieurs fois sur ce bouton pour basculer entre les présentations Canal EQ et Table de mixage EQ. Remarque :si aucun égaliseur de canal n’est présent sur la tranche de console sélectionnée, un égaliseur est automatiquement inséré lorsque vous passez en présentation de canal EQ. Présentation Table de mixage EQ La présentation Table de mixage EQ permet de modifier un paramètre d’égalisation pour toutes les tranches de console :Fréquence, Gain, Q ou Bypass EQ. Le numéro de la bande EQ ainsi que le paramètre modifié s’affichent brièvement lorsque vous accédez à ce mode. V-Pot 5 Modifie le mode d’automation. V-Pot 6 Modiofie l’adhésion à un groupe. Vous pouvez uniquement choisir un groupe ou désactiver cette fonction. Pour qu’une tranche de console devienne membre de plusieurs groupes, utilisez le mode Édition de groupe (voir ci-dessous). Contrôle Action Contrôle Action V-Pot 1 Modifie le Pan.Chapitre 3 Mackie Control 73  L’écran du mode affiche E1 à E8, indiquant la bande EQ sélectionnée.  La première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom des tranches de console.  Faire tourner les V-Pot modifie le paramètre EQ actuel.  Appuyer sur le bouton d’un V-Pot permet de régler le paramètre sur sa valeur par défaut.  Le curseur vers le haut/bas permet de basculer vers la bande EQ précédente ou suivante.  Le curseur vers la gauche/droite permet de passer au paramètre EQ précédent ou suivant. Le paramètre sélectionné s’affiche brièvement sur la première ligne de l’écran à cristaux liquides.  Appuyez sur un bouton MUET tout en maintenant le bouton SHIFT enfoncé pour accéder au contournement de la bande EQ active.  En mode Flip, les boutons MUET affichent et activent l’état de contournement de la bande d’égalisation active. Remarque :assurez-vous que le bouton ZOOM n’est pas actif lorsque vous utilisez les touches de curseur. Présentation Canal EQ La présentation Canal EQ vous permet de modifier tous les paramètres EQ (de toutes les bandes) pour la tranche de console sélectionnée.  L’écran du mode affiche EQ (tranche de console EQ).  La première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom de la tranche de console, les égaliseurs, le numéro de page et le nombre total de pages (par exemple : « Page 1/2 »). Les curseurs vers la gauche et la droite permettent d’accéder à la bande EQ précédente ou suivante. L’écran à cristaux liquides affiche deux bandes d’égalisation. Si un ou plusieurs appareils Mackie Control (XT) sont connectés, chaque XT peut afficher deux bandes EQ (huit au maximum). Remarque :assurez-vous que le bouton ZOOM n’est pas actif lorsque vous utilisez les touches de curseur. Contrôle Action V-Pot 1 Modifie la fréquence des bandes EQ impaires. V-Pot 2 Modifie le gain des bandes EQ impaires. V-Pot 3 Modifie le facteur Q des bandes EQ impaires. V-Pot 4 Accède à l’état de contournement des bandes EQ impaires. V-Pot 5 Modifie la fréquence des bandes EQ paires. V-Pot 6 Modifie le gain des bandes EQ paires. V-Pot 7 Modifie le facteur Q des bandes EQ paires. V-Pot 8 Accède à l’état de contournement des bandes EQ paires.74 Chapitre 3 Mackie Control Autres options du mode d’édition EQ Maintenez le bouton EQ enfoncé pour accéder à un autre sous-menu de l’écran à cristaux liquides. L’écran du mode affiche E_ ou E_., selon que vous êtes en présentation Table de mixage EQ ou Canal EQ. Remarque :les curseurs forment une courbe de réponse en fréquence dans ce mode si les bandes EQ présentent des valeurs de fréquence croissantes. ∏ Conseil :vous pouvez modifier l’égalisation d’une autre tranche de console sans quitter cette présentation, en sélectionnant simplement la tranche de console dans Logic Express ou en appuyant sur le bouton Select de la Mackie. Contrôle Action V-Pot 1 ou F1 Bascule en présentation Table de mixage EQ et sélectionne la fré- quence. V-Pot 2 ou F2 Bascule en présentation Table de mixage EQ et sélectionne le gain. V-Pot 3 ou F3 Bascule en présentation Table de mixage EQ et sélectionne le facteur Q. V-Pot 4 ou F4 Bascule en présentation Table de mixage EQ et active le contournement. V-Pot 6 ou F6 Bascule en présentation Canal EQ. V-Pot 7 ou F7 Bascule vers la table de mixage Fréquence/gain. Dans ce mode, vous pouvez modifier les paramètres de fréquence et de gain d’une bande EQ spécifique (1 à 8) pour toutes les tranches de console.  L’écran du mode affiche F1 à F8, indiquant la bande EQ sélectionnée.  La première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom des tranches de console.  La deuxième ligne de l’écran à cristaux liquides affiche la fréquence de la bande EQ sélectionnée.  Faire tourner un V-Pot permet de modifier la fréquence EQ.  Appuyer sur un V-Pot permet de régler la fréquence EQ sur sa valeur par défaut.  Utilisez les boutons Muet pour contourner l’EQ.  Utilisez les curseurs pour régler le gain de l’EQ. V-Pot 8 ou F8 Bascule vers la présentation de canal Fréquence/gain. Dans ce mode, vous pouvez modifier les paramètres de fréquence et de gain de toutes les bandes EQ de la tranche de console sélectionnée. Chaque paire de tranches de console correspond à une bande EQ.  L’écran du mode affiche FG.  Les V-Pot 1 à 8 contrôlent la fréquence des bandes EQ 1 à 8.  Les boutons Muet 1 à 8 contrôlent le contournement des bandes EQ 1 à 8.  Les curseurs 1 à 8 contrôlent le gain des bandes EQ 1 à 8.Chapitre 3 Mackie Control 75 Bouton Send Appuyez sur le bouton SEND pour activer la présentation Table de mixage de l’envoi. Appuyez plusieurs fois sur ce bouton pour basculer entre les présentations de table de mixage et de canal de l’envoi. Présentation Table de mixage de l’envoi La présentation Table de mixage de l’envoi permet de modifier un paramètre d’envoi pour toutes les tranches de console :Destination, Niveau, Position ou Muet. Le numéro du logement d’insertion ainsi que le paramètre modifié s’affichent brièvement sur l’écran à cristaux liquides lorsque vous activez ce mode.  L’écran indique S1 à S8, correspondant au logement d’envoi sélectionné.  La première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom des tranches de console.  Faire tourner les V-Pot modifie le paramètre d’envoi actuel.  Appuyer sur un V-Pot permet de confirmer la destination d’envoi présélectionnée et de régler les autres paramètres d’envoi sur leur valeur par défaut.  Le curseur vers le haut/bas permet de passer au logement d’envoi précédent ou suivant.  Le curseur vers la gauche/droite permet de passer au paramètre d’envoi précédent ou suivant. Le paramètre sélectionné s’affiche brièvement sur la première ligne de l’écran à cristaux liquides.  Appuyez sur un bouton MUET tout en maintenant SHIFT enfoncé pour faire basculer l’état Muet de l’envoi.  En mode Flip, les boutons MUET permettent d’afficher et de modifier l’état de muet de l’envoi actif. Remarque :assurez-vous que le bouton ZOOM n’est pas actif lorsque vous utilisez les touches de curseur.76 Chapitre 3 Mackie Control Présentation Canal de l’envoi La présentation Canal d’envoi vous permet de modifier tous les paramètres d’envoi de la tranche de console sélectionnée. L’écran du mode affiche « SE. » (pour « send channel strip », soit « tranche de console d’envoi »). La première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom de la tranche de console, le terme « Sends » (envois), le numéro de la page et le nombre total de pages (Page 1/4, par exemple). Les touches de curseur vers la gauche/droite permettent de naviguer entre les pages. Le nombre d’envois pouvant être affichés simultanément varie en fonction du nombre d’unités Mackie Control XT que vous possédez. Remarque :assurez-vous que le bouton ZOOM n’est pas actif lorsque vous utilisez les touches de curseur. Autres options du mode d’édition des envois Maintenez le bouton SEND enfoncé pour accéder à un autre sous-menu de l’écran à cristaux liquides :l’écran du mode affiche « S_ » ou « S_. », selon que vous êtes en pré- sentation Table de mixage ou Canal de l’envoi. Contrôle Action V-Pot 1 Modifie la destination des envois impairs. V-Pot 2 Modifie le niveau (quantité d’envoi) des envois impairs. V-Pot 3 Modifie la position (pré/post) des envois impairs. V-Pot 4 Règle l’état Muet des envois impairs. V-Pot 5 Modifie la destination des envois pairs. V-Pot 6 Modifie le niveau (quantité d’envoi) des envois pairs. V-Pot 7 Modifie la position (pré/post) des envois pairs. V-Pot 8 Règle l’état de muet des envois pairs. Contrôle Action V-Pot 1 ou F1 Bascule vers la présentation Table de mixage de l’envoi et sélectionne la destination. V-Pot 2 ou F2 Bascule vers la présentation Table de mixage de l’envoi et sélectionne le niveau d’envoi. V-Pot 3 ou F3 Bascule vers la présentation Table de mixage de l’envoi et sélectionne la position. V-Pot 4 ou F4 Bascule vers la présentation Table de mixage de l’envoi et sélectionne l’état Muet. V-Pot 5 ou F5 Bascule vers la présentation Canal de l’envoi.Chapitre 3 Mackie Control 77 Si un ou plusieurs envois sont activés sur plusieurs canaux, vous pouvez vous déplacer entre eux lorsque vous êtes dans les modes de présentation Canal en appuyant tout simplement sur le bouton Select du canal voulu. V-Pot 6 ou F6 Bascule vers la présentation Tranche de console de l’envoi 2 : ce mode est identique à la présentation Canal de l’envoi, mais ses paramètres sont légèrement réorganisés. Vous pouvez contrôler un paramètre pour tous les logements d’envoi utilisés dans la tranche de console sélectionnée.  L’écran du mode affiche « SE. » (pour « Send channel strip », soit « tranche de console de l’envoi»).  La première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom de la tranche de console, le terme « Sends » (envois), le numéro de la page et le nombre total de pages.  Les V-Pot 1 à 8 modifient le paramètre affiché.  Les touches du curseur horizontal permettent de naviguer entre les pages. Le nombre de paramètres pouvant être affichés simultanément varie en fonction du nombre d’unités Mackie Control XT que vous possédez. V-Pot 7 ou F7 Accède à la présentation Table de mixage Destination/Niveau : Dans ce mode, vous pouvez commander un logement d’envoi pour toutes les tranches de console. Chaque tranche de console correspond au nom de la tranche de console affichée sur la première ligne de l’écran à cristaux liquides.  L’écran du mode affiche d1 à d8, indiquant l’envoi sélectionné.  La première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom des tranches de console.  La deuxième ligne de l’écran à cristaux liquides affiche la destination de l’envoi sélectionné.  Faire tourner un V-Pot présélectionne la destination d’envoi.  Appuyer sur un V-Pot confirme la destination d’envoi présélectionnée.  Les boutons SOLO modifient la position d’envoi et un voyant DEL SOLO allumé indique le mode Pré-curseur.  Les boutons MUET règlent l’état Muet de l’envoi.  Les curseurs modifient le niveau d’envoi. V-Pot 8 ou F8 Accède à la présentation Canal Destination/Niveau : Vous pouvez commander tous les logements d’envoi de la tranche de console sélectionnée dans ce mode. Chaque tranche de console correspond au numéro d’envoi gravé sous l’écran à cristaux liquides.  L’écran du mode affiche « dL ».  Faire tourner un V-Pot présélectionne la destination d’envoi correspondante.  Appuyer sur un V-Pot confirme une destination d’envoi présélectionnée.  Les boutons SOLO modifient la position d’envoi et un voyant DEL SOLO allumé indique le mode Pré-curseur.  Les boutons MUET règlent l’état Muet de l’envoi.  Les curseurs modifient le gain d’envoi. Contrôle Action78 Chapitre 3 Mackie Control Bouton Plug-in Appuyez sur le bouton PLUG-IN pour activer la présentation Table de mixage de module. Appuyez plusieurs fois sur ce bouton pour basculer entre les présentations Canal et Table de mixage de module. Remarque :notez toutefois qu’il existe une exception :si vous êtes dans la présentation Édition d’instrument, ce bouton permet de passer à la présentation Édition de module. Pour plus d’informations, reportez-vous au chapitre intitulé « Présentation Édition d’instrument » à la page 82. Présentation Table de mixage de module Dans ce mode, vous pouvez afficher et éditer les modules associés à un logement d’insertion particulier, et ce, pour tous les canaux.  L’écran indique P1 à P9 ou 10 à 16, correspondant au numéro du logement d’insertion sélectionné. Remarque :si un canal d’instrument logiciel est sélectionné, l’écran affiche P1 à P9 et 10 à 15.  La première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom des tranches de console.  La deuxième ligne de l’écran à cristaux liquides mentionne le module sélectionné pour le logement d’insertion actif. Les modules muets sont identifiés par un astérisque (*) placé devant leur nom.  Faire tourner les V-Pot présélectionne un nouveau module. Le nom du module clignote jusqu’à ce que vous le confirmiez en appuyant sur le V-Pot.  Faire tourner le V-Pot d’un autre canal annule toute présélection antérieure et démarre une présélection sur la base de la dernière tranche de console sélectionnée.  Appuyer sur le bouton d’un V-Pot :  Confirme ou active le module présélectionné (en supposant que vous ayez effectué votre présélection en faisant tourner le V-Pot).  Ouvre la fenêtre d’un module, si aucune fenêtre n’est ouverte. Si la fenêtre d’un module est ouverte et que le mode Lien est activé, la sélection d’un autre module remplace la fenêtre du module existant.  Bascule vers la présentation Édition de module.  Les boutons de curseur vers le haut/bas modifient le logement d’insertion de module affiché (1 à 15/16).  Appuyer sur un bouton V-Pot ou MUET, tout en maintenant le bouton SHIFT enfoncé, permet d’activer ou de désactiver le son du module. Remarque :assurez-vous que le bouton ZOOM n’est pas actif lorsque vous utilisez les touches de curseur.Chapitre 3 Mackie Control 79 Pour retirer un module : m Présélectionnez la valeur « -- » (en faisant tourner complètement le V-Pot dans le sens contraire inverse des aiguilles d’une montre), puis appuyez sur le V-Pot du logement d’insertion approprié. La Mackie Control ne bascule pas vers la présentation Édition de module et aucune fenêtre de module n’est lancée lorsque vous choisissez la valeur « -- ». Si la fenêtre d’un module est ouverte, elle se ferme (si le mode Lien est inactif). Présentation Canal de module Ce mode affiche les modules associés à tous les logements d’insertion du canal sélectionné.  L’écran du mode affiche le texte « PL » .  La première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche Ins1Pl à Ins8Pl.  La ligne inférieure de l’écran à cristaux liquides mentionne le module sélectionné pour ce logement d’insertion. Les modules muets sont identifiés par un astérisque (*) placé devant leur nom.  Faire tourner les V-Pot présélectionne un nouveau module. Le nom du module clignote jusqu’à ce que vous l’activiez.  Faire tourner le V-Pot d’un autre canal annule toute présélection antérieure et démarre une présélection sur la base de la dernière tranche de console choisie.  Appuyer sur le bouton d’un V-Pot :  Active le module présélectionné (en supposant que vous ayez effectué votre pré- sélection en faisant tourner le V-Pot).  Ouvre la fenêtre d’un module si aucune fenêtre n’est ouverte (si la fenêtre d’un module est ouverte et que le mode Lien est activé, la sélection d’un autre module remplace le module existant).  Bascule vers la présentation Édition de module.  Appuyer sur le bouton d’un V-Pot tout en maintenant SHIFT enfoncé permet d’activer ou de couper le son du module. Pour retirer un module : m Présélectionnez la valeur « -- » (en faisant tourner complètement le V-Pot dans le sens contraire inverse des aiguilles d’une montre), puis appuyez sur le V-Pot rattaché au logement d’insertion approprié. La Mackie Control ne bascule pas vers la présentation Édition de module et aucune fenêtre de module n’est lancée. Si une fenêtre a été ouverte précédemment, elle se ferme (si le mode Lien est inactif). Présentation Édition de module Vous pouvez afficher et modifier les paramètres de module dans ce mode.  L’écran indique P1 à P8, correspondant au numéro du logement d’insertion sélectionné du module.80 Chapitre 3 Mackie Control  En fonction du réglage du bouton Name/Value, l’écran à cristaux liquides bascule entre les deux modes comme suit :  Nom :la première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom de la tranche de console, le numéro d’insertion, le nom du module, la page des paramètres active et le nombre total de pages de paramètres. La deuxième ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom du paramètre que vous pouvez modifier à travers le V-Pot correspondant (situé en dessous du nom du paramètre).  Valeur :la ligne supérieure de l’écran à cristaux liquides affiche le nom du paramètre en cours de modification via le V-Pot correspondant. La deuxième ligne de l’écran à cristaux liquides affiche la valeur active du paramètre. Si l’espace à l’écran le permet, le type d’unité est ajouté (par exemple, Hz ou dB).  Faire tourner les V-Pot modifie les valeurs des paramètres.  Appuyez sur le bouton d’un V-Pot pour définir la valeur par défaut du paramètre,sauf si celui-ci ne comporte que deux valeurs (Activé/Désactivé, par exemple). Dans ce cas, appuyez sur le bouton du V-Pot pour basculer entre ces valeurs.  Les touches de curseur vers la gauche/droite permettent de passer à la page de paramètres suivante ou précédente. Remarque :assurez-vous que le bouton ZOOM n’est pas actif lorsque vous utilisez les touches de curseur. Lorsque vous utilisez ces touches pour basculer entre les paramètres, ceux-ci sont modifiés par groupes de huit (sauf si les paramètres de la dernière page ne forment pas un groupe complet de huit éléments). Par exemple,si un module comporte 19 paramètres et que la Mackie Control contrôle les paramètres 1 à 8 :  Appuyez sur la touche du curseur droit pour accéder aux paramètres 9 à 16.  Appuyez à nouveau sur cette touche pour accéder aux paramètres 12 à 19.  Appuyez sur la touche du curseur gauche pour revenir aux paramètres 9 à 16 et non 4 à 11. De cette façon, vous revenez toujours aux positions de page que vous vous attendez à trouver et qui vous sont familières.  Pour faire défiler un par un les paramètres plutôt que les pages, maintenez la touche x/ALT enfoncée tout en appuyant sur la touche du curseur gauche/droit.  Les boutons de curseur vers le haut/bas modifient le logement d’insertion affiché (1 à 15/16). Si vous possédez un groupe de surfaces de contrôle composé de plusieurs appareils Mackie Control et XT, les paramètres sont alors répartis sur les différents écrans. Le nombre de paramètres affiché varie en fonction des réglages Contrôles multiples par paramètre accessibles dans Logic Express > Préférences > Surfaces de contrôle > Préférences (reportez-vous au chapitre sur le réglage des surfaces de contrôle).Chapitre 3 Mackie Control 81 Remarque :lorsque vous quittez la présentation Édition de module, la fenêtre du module se ferme. Compatibilité La Mackie Control est capable de modifier tous les modules pouvant être automatisés. Le type de module (natif Logic Express, Audio Units) n’a aucune incidence. Certains modules de fabricants tiers n’offrent malheureusement pas de noms et/ou de valeurs de paramètres sous forme de texte. Dans ce cas, les paramètres sont nommés/ énumérés comme « Contrôle 1 », « Contrôle 2 », etc., avec des valeurs affichées sous forme de nombres compris entre 0 et 1 000. Contactez le fabricant du module pour obtenir une version prenant en charge cette fonctionnalité. Bouton Instrument Appuyez sur le bouton INSTRUMENT pour activer présentation Table de mixage d’instrument, sauf si la Mackie Control est actuellement en présentation Édition de module. Dans ce cas, appuyez sur le bouton INSTRUMENT pour accéder à la présentation Édition d’instrument. Si vous ne voyez pas les tranches de console d’instrument logiciel, utilisez les boutons BANK ou CHANNEL de la zone FADER BANKS, ou activez la présentation Tout en appuyant sur le bouton INSTRUMENT. (Cela suppose que vous ayez créé au moins une piste d’instrument logiciel). Présentation Table de mixage d’instrument Ce mode vous permet de visualiser et de modifier les logements d’instruments de tous les canaux d’instruments.  L’écran du mode affiche « In » (pour instrument).  La première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom des tranches de console.  La ligne inférieure de l’écran à cristaux liquides affiche le nom de l’instrument sélectionné. Le nom des instruments muets est précédé d’un astérisque (*).  Faire tourner les V-Pot présélectionne un nouvel instrument. Le nom de l’instrument présélectionné clignote jusqu’à ce que vous l’activiez.  Faire tourner le V-Pot d’un autre canal annule toute présélection antérieure et démarre une présélection sur la base de la dernière tranche de console choisie.  Appuyer sur le bouton d’un V-Pot :  Active le module d’instrument présélectionné (en supposant que vous ayez effectué votre présélection en faisant tourner le V-Pot).  Ouvre la fenêtre d’un module, si aucune fenêtre n’est ouverte. Si la fenêtre d’un module est ouverte et que le mode Lien est activé, la sélection du module d’un autre instrument remplace le module existant.82 Chapitre 3 Mackie Control  Bascule vers la présentation Édition d’instrument.  Appuyer sur un V-Pot ou sur un bouton MUET tout en maintenant SHIFT enfoncé permet d’activer ou couper le son de l’instrument. Pour retirer un instrument : 1 Présélectionnez la valeur « -- » (en faisant tourner complètement le V-Pot dans le sens inverse des aiguilles d’une montre). 2 Appuyez sur le V-Pot. La Mackie Control ne bascule pas vers la présentation Édition d’instrument et aucune fenêtre de module n’est lancée. Si la fenêtre d’un module est ouverte, elle se ferme. Présentation Édition d’instrument Vous pouvez afficher et modifier les paramètres d’instrument dans ce mode.  L’écran du mode affiche « In ».  En fonction du réglage du bouton NAME/VALUE, l’écran à cristaux liquides change comme suit :  Nom :la première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom de la tranche de console, le nom de l’instrument, la page des paramètres active et le nombre total de pages de paramètres. La ligne inférieure de l’écran à cristaux liquides affiche le nom du paramètre que vous pouvez modifier à travers le V-Pot situé juste en dessous.  Valeur :la ligne supérieure de l’écran à cristaux liquides affiche le nom du paramè- tre que vous pouvez modifier à travers le V-Pot situé en dessous. La deuxième ligne de l’écran à cristaux liquides affiche la valeur du paramètre faisant l’objet d’une modification. Si l’espace sur la ligne de l’écran à cristaux liquides le permet, le type d’unité s’affiche après la valeur Exemple :Hz ou dB).  Faites tourner un V-Pot pour modifier le paramètre correspondant.  Appuyez sur le bouton d’un V-Pot pour définir la valeur par défaut du paramètre,sauf si celui-ci ne comporte que deux valeurs (Activé/Désactivé, par exemple). Dans ce cas, appuyez sur le bouton du V-Pot pour basculer entre ces valeurs. Compatibilité La Mackie Control permet d’éditer tous les instruments pouvant être automatisés, quel que soit le type de module utilisé (Logic Express natif, Audio Units). Les instruments de certains fabricants tiers n’offrent pas de noms et/ou de valeurs de paramètres sous forme de texte. Dans ce cas, les paramètres sont nommés/énumérés comme « Contrôle 1 », « Contrôle 2 », etc., avec des valeurs affichées sous forme de nombres compris entre 0 et 1 000. Contactez le fabricant du module pour obtenir une version prenant en charge cette fonctionnalité.Chapitre 3 Mackie Control 83 Zone Fader Bank Cette zone de la Mackie Control contient deux jeux de boutons vers la gauche et la droite, permettant de basculer entre les canaux un par un ou par groupes, ainsi que les boutons FLIP et GLOBAL VIEW. Boutons Bank gauche et droit La Mackie Control propose 8 jeux de contrôles de tranche de console pour vous permettre d’éditer les huit canaux correspondants. Les boutons Bank gauche et droit vous permettent de vous déplacer/de naviguer entre des « banques » de huit tranches de console. Ainsi, si vous éditez les tranches de console 1 à 8, appuyez sur le bouton Bank droit pour accéder aux tranches de console 9 à 16. Appuyez à nouveau sur ce bouton pour vous déplacer vers les tranches de console 17 à 24. Appuyez sur le bouton Bank gauche pour revenir aux tranches de console 9 à 16, puis 1 à 8 en appuyant une nouvelle fois sur ce bouton. Si vous utilisez un groupe de surfaces de contrôle, les boutons Bank gauche et droit permettent de décaler les tranches de console actives du nombre total de canaux compris dans le groupe des surfaces de contrôle. Par exemple, si vous possédez une Mackie Control et deux Mackie Control XT, la présentation se décale de 24 canaux, soit le nombre total de canaux du groupe des surfaces de contrôle. L’utilisation des boutons Bank modifie toujours les tranches de console par groupes de huit, sauf si les dernières tranches de console ne forment pas un groupe complet de huit éléments. Par exemple,si un projet comporte 19 tranches de console, la Mackie Control contrôle les tranches de console 1 à 8 :  Appuyez sur le bouton Bank droit pour accéder aux tranches de console 9 à 16.  Appuyez à nouveau sur ce bouton pour accéder aux tranches de console 12 à 19.  Appuyez sur le bouton Bank gauche pour revenir aux tranches de console 9 à 16 et non 4 à 11. De cette façon, vous revenez toujours aux tranches de console que vous vous attendez à trouver et qui vous sont familières. Boutons Channel gauche et droit L’utilisation des boutons gauche et droit du canal vous permet de vous déplacer vers le haut ou vers le bas d’une seule tranche de console. Appuyez sur le bouton Channel droit pour décaler les tranches de console actives vers le haut une à une, tandis que si vous appuyez sur le bouton Channel gauche, vous les décalez vers le bas. Par exemple, si vous affichez les tranches de console 1 à 8, appuyez sur le bouton Channel droit pour afficher les tranches de console 2 à 9.84 Chapitre 3 Mackie Control Remarques sur l’utilisation des boutons Fader Bank En maintenant le bouton OPTION enfoncé et en appuyant sur le bouton BANK ou CHANNEL gauche, vous accédez directement au premier ensemble de tranches de console du projet. En appuyant sur le bouton BANK ou CHANNEL droite (tout en maintenant OPTION enfoncé), vous accédez directement au dernier ensemble de tranches de console du projet. En guise d’exemple :si votre projet possède 64 tranches de console, appuyer sur OPTION + BANK ou CHANNEL gauche permet d’accéder directement aux tranches de console 1 à 8, tandis qu’appuyer sur OPTION + BANK ou CHANNEL droite permet d’accéder aux tranches de console 57 à 64. Pour les présentations dans lesquelles une seule tranche de console est affichée (audio, instruments ou auxiliaires), Logic Express mémorise le dernier groupe de huit tranches de console affiché dans la présentation et y revient dès que vous passez à une autre présentation. Par exemple, si vous démarrez dans une présentation où les tranches de console audio 4 à 11 sont visibles, basculez vers la présentation d’instrument, faites défiler les instruments 6 à 13, puis repassez en présentation de canaux audio, vous revenez aux tranches de console audio 4 à 11 (et non 6 à 13). Revenir à la présentation de canal d’instruments permet d’afficher les instruments 6 à 13. Bouton FLIP Appuyez sur le bouton FLIP (seul ou simultanément avec un bouton de modification) pour activer et désactiver l’un des trois modes suivants :Flip, Swap ou Zero. Mode Flip Appuyez sur le bouton FLIP pour activer le mode correspondant. En mode Flip, les assignations actuelles des huit V-Pot sont reflétées par les huit curseurs de canaux, de manière à ce qu’ils contrôlent le même paramètre. Faire tourner l’un de ces V-Pot a pour effet de modifier la valeur de curseur correspondante et vice versa. Le voyant DEL situé en regard du bouton FLIP s’allume lorsque vous activez le mode Flip. Appuyer une deuxième fois sur le bouton FLIP désactive le mode Flip. Le mode Flip présente un certain nombre d’avantages :  Les curseurs permettent une modification plus fine de n’importe quel type de paramètre.  Contrairement aux V-Pot, les curseurs sont tactiles. Vous avez donc la possibilité de remplacer les mouvements d’automation existants du contrôleur par une valeur constante. Mode Swap Maintenir le bouton SHIFT enfoncé tout en appuyant sur le bouton FLIP active le mode Swap. En mode Swap, les assignations des encodeurs sont échangées avec celles des curseurs,si bien que les curseurs contrôlent le paramètre assigné jusque-là aux V-Pot, et vice versa. Le voyant DEL situé à côté du bouton FLIP clignote lorsque le mode Swap est actif.Chapitre 3 Mackie Control 85 Lorsque le mode Swap est activé, appuyer sur le bouton FLIP permet de revenir au mode Flip. Maintenir le bouton SHIFT enfoncé en appuyant sur FLIP désactive le mode Swap et ramène les assignations de V-Pot et de curseurs dans l’état précédant le mode Flip (ou Swap). Mode Zero Maintenez le bouton CONTROL enfoncé tout en appuyant sur le bouton FLIP pour activer le mode Zero. En mode Zero, les curseurs sont définis sur la position zéro et ne bougent pas. Cette option est utile notamment lorsque la Mackie Control se trouve à proximité de micros et que vous ne souhaitez pas capturer le bruit mécanique lié au déplacement des curseurs. Lorsque le mode Zero est activé, appuyer sur le bouton FLIP permet de revenir au mode Flip. Maintenez le bouton CONTROL enfoncé tout en appuyant sur le bouton FLIP pour désactiver le mode Zero et réactiver les curseurs. Bouton Global View Le bouton GLOBAL VIEW est utilisé conjointement avec les boutons de la zone Global View (voir la rubrique « Zone Global View » à la page 86). Zone des touches de fonction La zone des touches de fonction, située sous l’affichage du temps et/ou les boutons Display, comporte huit boutons de fonction (F1 à F8). Ces touches sont assignées comme suit : Maintenez le bouton SHIFT enfoncé tout en appuyant sur l’une de touches de fonction pour ouvrir l’une des fenêtres suivantes (ou la fermer, si elle est ouverte) : Touche de fonction Action F1 à F8 Rappelle les screensets 1 à 8. Touche de fonction Action F1 Fenêtre Arrangement F2 Table de mixage F3 Liste des événements F4 Éditeur de partition F5 Hyper Editor F6 Éditeur Clavier F7 Fenêtre Transport F8 Chutier audio86 Chapitre 3 Mackie Control Maintenez la touche x/ALT enfoncée tout en appuyant sur l’une des touches de fonction pour activer un raccourci clavier standard : Dans les messages, appuyer sur l’une des touches de fonction revient à utiliser les touches numériques du clavier de l’ordinateur : Dans d’autres modes, les touches de fonction exécutent d’autres tâches telles que des raccourcis pour marqueurs. Reportez-vous au chapitre intitulé « Marqueur » à la page 93. Consultez également les tableaux du chapitre « Aperçu des assignations » à la page 101. Zone Global View Vous pouvez utiliser les huit boutons de la zone Global View pour afficher et éditer des types précis de tranche de console. Appuyez sur n’importe quel bouton de la zone Global View pour activer le mode de toutes les présentations. Lorsque ce mode est actif, le voyant DEL vert situé à droite du bouton GLOBAL VIEW est allumé. Touche de fonction Action F1 Couper F2 Copier F3 Coller F4 Efface les valeurs F5 Tout sélectionner F6 Sélectionne tous les éléments suivants F7 Sélectionner régions/événements similaires F8 Sélectionner entre les locators Touche de fonction Action F1 1 F2 2 F3 3 F4 4 F5 5 F6 6 F7 7 F8 8 Les boutons situés directement sous les touches de fonction remplissent les fonctions d’entrée numérique : Bouton MIDI Tracks 9 Bouton Inputs 0Chapitre 3 Mackie Control 87 Lorsque vous appuyez sur l’un des boutons de la zone Global View, le type correspondant de tranche de console s’affiche sur l’écran à cristaux liquides principal. Vous pouvez éditer chaque tranche de console à l’aide des contrôles de tranche de console correspondants. Appuyez sur plusieurs boutons (Audio Tracks, Instruments et Aux, par exemple) pour afficher tous les canaux appartenant aux types sélectionnés, comme décrit ci-dessous : Pour afficher et éditer plusieurs tranches de console Toutes les présentations : m Maintenez enfoncé n’importe quel bouton de la zone Global View tout en appuyant sur un autre bouton pour ajouter ce type de tranche de console à ceux actuellement affichés. Si un type de tranche de console est déjà affiché, appuyez sur son bouton pour le faire disparaître de l’écran. Par exemple,pour afficher les tranches de console audio et de sortie, maintenez le bouton Audio Tracks enfoncé et appuyez sur le bouton Outputs. Boutons de modification Les quatre boutons de modification correspondent aux touches du clavier de votre ordinateur, mais fonctionnent indépendamment. Vous pouvez utiliser ces boutons, ainsi que la touche appropriée du clavier de l’ordinateur (ou la souris), plutôt que la touche de modification correspondante. Cela concerne également les commandes Mackie Control (évoquées à chaque description de fonction). Vous trouverez ci-après une description générale de chaque bouton de modification :  SHIFT :propose une autre fonction ou un autre rôle d’un bouton.  OPTION :la fonction s’applique à toutes les tranches de console. Pour des modifications de valeur relatives, réglez le paramètre sur sa valeur minimale, sa valeur par défaut ou sa valeur maximale, selon que vous souhaitez augmenter ou diminuer.  Contrôle :lorsque vous maintenez ce bouton enfoncé, la saisie du groupe est activée et les groupes de tranches de console sont temporairement désactivés.  x/ALT :permet de régler plus précisément une fonction ou d’effectuer une autre variation. Boutons d’automation Les boutons d’automation activent les modes d’automation correspondants dans Logic Express :Read/Off (lire/désactivé), Touch (toucher), Latch (verrouiller) et Write (écrire). Utilisez les boutons d’automation de pair avec les boutons SELECT des canaux, comme suit : Pour définir le mode d’automation d’un canal : 1 Sélectionnez le canal à automatiser. 2 Appuyez sur le bouton d’automation souhaité pour assigner le mode à utiliser.88 Chapitre 3 Mackie Control 3 Déplacez le curseur correspondant. Les modes d’automation sont décrits ci-dessous :  READ/OFF :si aucun mode d’automation n’est actif, appuyez sur ce bouton pour basculer entre le mode Read et la fonction Off.  Lire :le curseur lit (suit) toutes les données d’automation existantes, mais n’enregistre pas de nouvelles données.  Désactivé :l’automation est désactivée. Le curseur n’envoie ni ne reçoit de données d’automation. Les données d’automation existantes ne sont pas modifiées. Si vous le déplacez, le curseur règle toujours le volume ou le panoramique, comme d’habitude.  TOUCH :écrit de nouvelles données lorsque vous touchez le curseur ou que vous faites tourner le V-Pot pendant la lecture. Toutes les données d’automation existantes (du type de curseur actuel) sont remplacées par de nouvelles données, tant que le contrôle est actif (c’est-à-dire pendant que vous touchez le curseur ou que vous faites tourner le V-Pot).  Verrou :identique au mode Touch, mais le contrôle reste actif même lorsque vous ne touchez pas le curseur ou que vous ne faites pas tourner le V-Pot. Lorsque vous relâ- chez le curseur, sa valeur actuelle remplace toutes les données d’automation existantes, tant que Logic Express se trouve en mode de lecture (ou d’enregistrement). Appuyez sur STOP pour empêcher l’écrasement des données d’automation existantes.  WRITE :écrase toutes les données d’automation existantes ou crée de nouvelles données d’automation s’il n’en existe pas. Utilisez cette option uniquement si vous souhaitez détruire toutes les données d’automation existantes. Le fait d’appuyer sur l’un des boutons AUTOMATION, tout en maintenant la touche OPTION enfoncée, assigne le mode d’automation sélectionné à tous les canaux. Dès qu’un mode d’automation a été assigné à tous les canaux, le voyant DEL correspondant s’éclaire à chaque fois que vous maintenez la touche OPTION enfoncée. Important :ce comportement est légèrement différent pour le mode d’automation Off. Lorsque vous maintenez le bouton OPTION enfoncé et que vous appuyez sur Read/Off, les voyants DEL des autres boutons d’automation sont éteints. Cela ne signifie pas nécessairement que toutes les tranches de console sont effectivement désactivées. Elles peuvent parfaitement toujours être définies sur d’autres modes. Pour vous assurer que vous avez réglé toutes les tranches de console sur le mode Off, appuyez deux fois sur Read/Off tout en maintenant la touche OPTION enfoncée. Le voyant DEL Read/off s’allume, puis s’éteint. Groupe Appuyer sur le bouton GROUP permet d’accéder au mode Édition de groupe et de modifier différents paramètres applicables aux groupes de la table de mixage.Chapitre 3 Mackie Control 89 En mode Édition de groupe :  La première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom des tranches de console.  La deuxième ligne affiche les paramètres de groupe.  L’écran Assignment désigne le groupe affiché, G1 par exemple.  L’affichage du temps indique le nom du groupe (s’il comporte plus de dix caractères, seuls les dix derniers s’affichent).  Vous pouvez basculer entre les paramètres de groupe à l’aide des boutons de V-Pot.  Les boutons Curseur vers le haut/bas permettent de sélectionner le groupe précé- dent ou suivant.  Les boutons du curseur gauche/droit permettent de décaler l’affichage des paramè- tres du groupe.  Les boutons Select déterminent l’adhésion au groupe. Appuyez sur un bouton Select pour ajouter la tranche de console au groupe (ou la supprimer du groupe si elle fait déjà partie d’un groupe). Le voyant DEL du bouton Select indique l’adhésion active à un groupe.  Le voyant DEL situé à côté du bouton GROUP est allumé. Remarque :assurez-vous que le bouton ZOOM n’est pas actif lorsque vous utilisez les touches de curseur. Si le mode Édition de groupe est désactivé, maintenez le bouton GROUP enfoncé et appuyez sur un ou plusieurs boutons Select pour créer un groupe. Appuyez sur le bouton GROUP tout en maintenant SHIFT enfoncé pour créer un groupe, ouvrir la fenêtre du groupe et accéder au mode Édition de groupe. Appuyez sur le bouton GROUP tout en maintenant le bouton TRACK enfoncé pour passer à la présentation Table de mixage avec le paramètre du groupe de tranches de console affiché. Cela permet d’afficher le groupe auquel appartient la tranche de console sélectionnée. L’adhésion à plusieurs groupes s’affiche comme dans la fenêtre Table de mixage. Faire tourner un V-Pot modifie l’adhésion à un groupe. Remarque :vous pouvez uniquement sélectionner un groupe (ou le désactiver) à travers cette fonction. Boutons Utilities Les quatre boutons Utilities activent les fonctions courantes de Logic Express :Save (enregistrer), Undo (annuler la dernière opération), Cancel (annuler) et Enter (entrée).90 Chapitre 3 Mackie Control Save Appuyez sur ce bouton pour enregistrer le fichier du projet en cours. La première fois que vous enregistrez un projet, une zone de dialogue d’enregistrement apparaît sur l’écran de votre ordinateur. Entrez le nom et l’emplacement du fichier, puis cliquez sur le bouton Enregistrer de la zone de dialogue. L’écran à cristaux liquides principal affiche ce message :Il y a un sélecteur de fichier à l’écran et l’affichage de la position/du temps indique ALERT. Tous les voyants DEL sont éteints. Une fois l’enregistrement du fichier confirmé dans Logic Express, la Mackie Control rétablit l’état précédent de tous les contrôles (c’est-à-dire celui qu’ils avaient avant que vous appuyiez sur le bouton SAVE). Dès que vous avez donné un nom à un projet et que vous l’avez enregistré une fois, appuyez à nouveau sur SAVE pour mémoriser l’état du projet. Ni la zone de dialogue d’enregistrement, ni l’alerte ne s’affiche à nouveau sur l’écran à cristaux liquides. Cela vous permet d’enregistrer rapidement des modifications incrémentielles au fur et à mesure du développement de votre projet. Le voyant DEL SAVE s’éclaire dès que vous apportez des modifications (enregistrables) à votre projet. Maintenez le bouton OPTION enfoncé tout en appuyant sur le bouton SAVE pour ouvrir la zone de dialogue d’enregistrement sur l’écran de l’ordinateur. Ceci vous permet de renommer un projet ou de l’enregistrer dans un autre répertoire. Undo Appuyez sur le bouton UNDO pour annuler la dernière opération effectuée. Étant donné que Logic Express prend en charge un nombre quasiment illimité d’étapes d’annulation/ de rétablissement, le voyant vert UNDO s’allume dès qu’il est possible de rétablir une opération et non pour indiquer une étape annulable. L’écran à cristaux liquides avertit l’utilisateur que le fait d’exécuter une étape d’édition réversible rend toutes les étapes de rétablissement indisponibles. Maintenez le bouton SHIFT enfoncé tout en appuyant sur UNDO pour rétablir l’opération précédente. Maintenez le bouton OPTION enfoncé tout en appuyant sur le bouton UNDO pour ouvrir la fenêtre de l’historique des annulations. Cancel Lorsqu’une alerte s’affiche sur l’écran de votre ordinateur, vous pouvez annuler ou l’interrompre en appuyant sur le bouton Cancel. Pour plus d’informations sur les alertes, reportez-vous à la rubrique « Affichage de messages » à la page 34.Chapitre 3 Mackie Control 91 Appuyer sur le bouton CANCEL alors qu’aucune alerte et visible à l’écran provoque ce qui suit :  L’ouverture de la boîte à outils sur la position actuelle à l’écran du pointeur de la souris.  Sinon, cette opération exécute toute fonction assignée à la touche Échap du clavier de l’ordinateur.  Si la Mackie Control affiche actuellement le contenu d’une piste d’un dossier, appuyez sur le bouton Annuler pour quitter le dossier.  Le bouton Cancel permet également d’annuler la présélection de valeur d’un paramètre (clignotant). Enter Lorsqu’une alerte s’affiche sur l’écran de votre ordinateur, appuyez sur le bouton ENTER pour déclencher la fonction du bouton par défaut de l’alerte. Pour plus d’informations sur les alertes, reportez-vous à la rubrique « Affichage de messages » à la page 34. En l’absence d’alerte à l’écran et si la piste sélectionnée est une piste Dossier, appuyez sur ENTER pour ouvrir le dossier. Zone Transport La zone Transport comprend cinq boutons correspondant aux fonctions de transport standard (rembobinage, avance rapide, arrêt, lecture et enregistrement) et sept petits boutons ronds correspondant aux différents modes d’enregistrement et de lecture. Chaque bouton est doté d’un voyant DEL dédié qui indique son état actuel. Vous pouvez utiliser ces boutons séparément ou ensemble, afin de naviguer dans les projets et de les éditer. Rewind Rembobine (effectue un retour arrière Shuttle) le projet. Appuyez sur REWIND à plusieurs reprises tout en rembobinant pour accélérer la vitesse de rembobinage. Appuyez plusieurs fois sur le bouton FAST FWD au cours du rembobinage pour ralentir, arrêter et finalement inverser la direction de la shuttle. Appuyez sur le bouton STOP pour arrêter le rembobinage sur la position actuelle de la tête de lecture. Faites tourner le jog wheel (molette)/scrub pour quitter le mode de retour arrière Shuttle. Lorsque l’un des modes de marqueur est activé, appuyez sur le bouton REWIND pour déplacer la tête de lecture sur le marqueur précédent. Lorsque l’un des modes de déplacement est activé, le bouton REWIND permet de déplacer les régions ou les événements sélectionnés vers l’arrière d’après la valeur définie dans le mode de grand déplacement.92 Chapitre 3 Mackie Control Fast Fwd Effectue une avance rapide (avance rapide Shuttle) dans le projet. Appuyez plusieurs fois sur FAST FWD tout en effectuant une avance rapide pour accélérer la vitesse de la shuttle. Appuyez plusieurs fois sur le bouton REWIND au cours de l’avance rapide pour ralentir, arrêter et finalement inverser la direction de la shuttle. Appuyez sur le bouton STOP pour arrêter l’avance rapide. Faites tourner le jog wheel (molette)/scrub pour quitter le mode d’avance rapide Shuttle. Lorsque l’un des modes de marqueur est actif, appuyez sur le bouton FAST FWD pour placer la tête de lecture sur le marqueur suivant. Lorsque l’un des modes de déplacement est activé, le bouton FAST FWD permet de déplacer les régions ou les événements sélectionnés vers l’avant d’après la valeur définie dans le mode de grand déplacement. ∏ Conseil :vous pouvez combiner des marqueurs avec des zones de lecture en boucle en appuyant sur les boutons correspondants de la Mackie Control. Ceci, conjointement avec une navigation entre les marqueurs (à l’aide des boutons REWIND et FAST FWD), déplace la tête de lecture et définit automatiquement une zone de lecture en boucle entre des marqueurs adjacents. Essayez cette opération, ainsi que d’autres options avec différentes combinaisons de boutons. Arrêt Appuyer sur le bouton STOP interrompt la lecture du projet (ou son enregistrement, le cas échéant) et arrête toutes autres fonctions de déplacement. Appuyez sur le bouton STOP une seconde fois pour faire revenir la tête de lecture au point de départ du projet ou au début de la zone de lecture en boucle la plus proche, si le mode Cycle est actif. Appuyez plusieurs fois sur STOP pour basculer entre ces deux fonctions. Lecture Appuyez sur PLAY pour démarrer la lecture à partir de la position actuelle de la tête de lecture. Appuyez plusieurs fois sur PLAY pour passer directement à la zone de lecture en boucle la plus proche si le mode Cycle est actif. Appuyer simultanément sur les boutons MAJ et PLAY revient à activer la commande Pause. Enregistrer Appuyez sur RECORD pour activer l’enregistrement sur la tranche de console MIDI, audio ou d’instrument logiciel (si elle est armée pour l’enregistrement).Chapitre 3 Mackie Control 93 Il est possible que lors du premier armement d’une tranche de console audio, en appuyant sur le bouton REC/RDY du canal voulu, une zone de dialogue Save apparaisse sur l’écran de l’ordinateur. Entrez le nom du fichier (et un emplacement d’enregistrement) dans la zone de dialogue, puis appuyez sur Save. L’écran à cristaux liquides principal de la Mackie Control affiche ce message :There is a file select dialog on the screen (Il y a un sélecteur de fichier à l’écran). Quant à l’affichage de la position/du temps, il indique ALERT. Tous les voyants DEL sont éteints. Une fois que vous avez entré le nom du fichier (et appuyé sur Save), l’état précédent de tous les contrôles de la Mackie Control est rétabli. Une fois que le nom du fichier audio par défaut a été saisi, vous pouvez librement sélectionner et armer n’importe quelle tranche de console audio, puis appuyer sur le bouton RECORD. Cela se produit sans qu’aucun message d’alerte et zone de dialogue d’enregistrement de fichiers n’apparaisse. ∏ Afin d’éviter cette situation, enregistrez votre projets avec l’option Ressources. Vous éviterez ainsi de devoir définir des noms de fichiers, et la gestion en sera facilitée et accé- lérée, tout particulièrement lorsque vous utilisez Logic Express avec la Mackie Control. Marqueur Appuyez sur le bouton MARKER pour activer l’un des trois modes de marqueur, et créer ou supprimer des marqueurs et y accéder directement dans votre projet. Les trois modes de marqueur, Small Marker (petit marqueur), Large Marker (grand marqueur) et Temporary Marker (marqueur temporaire) sont expliqués dans les sections suivantes. Remarque :les modes de marqueur et de déplacement sont mutuellement exclusifs ; l’activation de l’un d’eux désactive l’autre. Mode Small Marker Appuyez sur le bouton MARKER pour activer le mode Small Marker.Dans ce mode, appuyez sur les boutons FAST FWD ou REWIND pour placer la tête de lecture sur le marqueur suivant ou précédent. Appuyez une nouvelle fois sur ce bouton pour revenir au comportement par défaut des boutons FAST FWD et REWIND (reportez-vous aux rubriques « Rewind » à la page 91 et « Fast Fwd » à la page 92). Le mode Small Marker s’avère utile si vous souhaitez accéder directement aux marqueurs lorsque vous utilisez les V-Pot à d’autres fins. Mode Large Marker Appuyez sur le bouton MARKER en maintenant le bouton SHIFT enfoncé pour créer sur l’écran à cristaux liquides trois options assignées aux trois boutons V-Pot les plus à droite.94 Chapitre 3 Mackie Control Une fois les marqueurs créés, appuyez sur le bouton du V-Pot répertorié ci-dessous pour créer ou supprimer un marqueur sur la position actuelle de la tête de lecture. L’utilisation du jog/scrub wheel est recommandée pour créer ou supprimer des marqueurs. Faites-les tourner pour placer la tête de lecture dans la position du projet voulue et appuyez sur le V-Pot approprié pour créer ou supprimer un marqueur.  Pour un placement brut, utilisez simplement la molette pour déplacer la tête de lecture.  Pour un placement fin, appuyez sur le bouton SCRUB, puis utilisez la molette pour positionner la tête de lecture avec précision (valable uniquement si vous créez ou supprimez un marqueur non ajusté). Pour plus d’informations sur l’utilisation du jog/scrub wheel, reportez-vous au chapitre intitulé « Zone du jog/scrub wheel » à la page 100. Pour sortir du mode Large Marker, appuyez une deuxième fois sur le bouton MARKER. Mode Temporary Marker Si vous souhaitez activer temporairement le mode Marker (pour exécuter rapidement quelques fonctions de marqueur), maintenez le bouton Marker enfoncé et appuyez sur un bouton (au moins) de V-Pot :vous exécutez ainsi la fonction du marqueur et quittez ce mode dès que vous relâchez le bouton MARKER.  Lorsque vous êtes dans ce mode, avec le bouton MARKER maintenu enfoncé, appuyez sur les touches de fonction F1 à F8 pour accéder directement aux huit premiers marqueurs (s’ils ont été créés). Par exemple, pour naviguer jusqu’au marqueur 3, appuyez sur le bouton MARKER, maintenez-le enfoncé et appuyez sur F3.  Pour accéder directement d’un marqueur à un autre, sans nécessairement maintenir le bouton MARKER enfoncé, il vous suffit d’appuyer sur les boutons FAST FWD ou REWIND. Nudge Le bouton NUDGE permet de déplacer (nudge) les régions (ou événements) audio ou MIDI sélectionnés dans les modes Small, Large ou Temporary Nudge (petit déplacement, grand déplacement et déplacement temporaire. Chaque mode est expliqué ci-dessous : Contrôle Action V-Pot 1 à 5 Affiche les cinq premiers marqueurs par leur nom. Appuyez sur un V-Pot pour placer la tête de lecture sur le marqueur correspondant. Lorsque la position de la tête de lecture se trouve à l’intérieur d’une plage de marqueurs, la deuxième ligne affiche INSIDE et l’anneau lumineux du V-Pot est éclairé. V-Pot 6 Cr w/o :crée un marqueur sans ajustement à la mesure la plus proche. V-Pot 7 Create :crée un marqueur ajusté à la mesure la plus proche. V-Pot 8 Delete :supprime le marqueur situé au-dessus de la position actuelle de la tête de lecture.Chapitre 3 Mackie Control 95 Remarque :les modes de marqueur et de déplacement sont mutuellement exclusifs ; l’activation de l’un d’eux désactive l’autre. Mode Small Nudge Appuyez sur le bouton NUDGE pour réassigner le comportement des boutons FAST FWD et REWIND. Appuyez sur les boutons FAST FWD ou REWIND pour déplacer les séquences ou événements sélectionnés de la valeur définie dans le mode Large Nudge (voir ci-dessous). Appuyez à nouveau sur le bouton NUDGE pour rétablir le comportement par défaut des boutons FAST FWD et REWIND (consultez les rubriques « Rewind » à la page 91 et « Fast Fwd » à la page 92). Le mode Small Nudge s’avère utile si vous souhaitez déplacer des régions ou des évé- nements, mais que vous continuez à utiliser les V-Pot à d’autres fins. Mode Large Nudge Appuyez sur le bouton NUDGE tout en maintenant le bouton SHIFT enfoncé pour afficher huit fonctions sur l’écran à cristaux liquides et les assigner aux boutons V-Pot correspondants. Ces fonctions vous permettent de déplacer la région ou les évé- nements sélectionnés selon différentes valeurs ou les placer plus précisément. La position de la première région ou du premier événement sélectionné s’affiche audessus des V-Pot 3 et 4. Si ce n’est pas le cas, cela signifie qu’une fenêtre ne permettant pas de sélectionner des régions ou des événements est ouverte, ou encore qu’aucune région ou qu’aucun événement n’est sélectionné. Les fonctions sont les suivantes : Les touches fléchées émulent celles du clavier de l’ordinateur, vous permettant ainsi de sélectionner facilement une région ou un événement. Contrôle Étiquette Action V-Pot 1 Déplacement Sélectionne la valeur de déplacement utilisée par les boutons REWIND et F.FWD. Ces boutons permettent de déplacer les objets sélectionnés vers l’avant/l’arrière de la valeur définie. V-Pot 2 Pickup Place l’objet à la position actuelle de la tête de lecture. V-Pot 3 Mesure Déplace l’objet d’une mesure. V-Pot 4 Battement Déplace l’objet de la valeur de dénominateur actuelle du projet (battements). V-Pot 5 Division Déplace l’objet de la valeur de division actuelle du projet. V-Pot 6 Ticks Déplace l’objet de simples ticks. V-Pot 7 Images Déplace l’objet d’une image SMPTE. V-Pot 8 Image/2 Déplace l’objet de la moitié d’une image SMPTE.96 Chapitre 3 Mackie Control Remarque :assurez-vous que le bouton ZOOM n’est pas actif lorsque vous utilisez les touches de curseur. Appuyez à nouveau sur le bouton NUDGE pour désactiver le mode Large Nudge. Mode Temporary Nudge Pour utiliser temporairement la fonction de déplacement (pendant un ou deux petits déplacements), maintenez la touche NUDGE enfoncée et utilisez un ou plusieurs V-Pot : vous exécutez ainsi la fonction sélectionnée et quittez le mode Temporary Nudge dès que vous relâchez le bouton NUDGE. En mode Temporary Nudge, les touches fléchées émulent celles du clavier de l’ordinateur, ce qui vous permet de sélectionner facilement une région ou un événement. La valeur Nudge des boutons REWIND et F.FWD peut également être définie à l’aide des touches de fonction : Cycle Active/désactive le mode Cycle. La zone de cycle s’inscrit par défaut entre les deux premiers marqueurs. Les marqueurs suivants peuvent agir comme limites gauche/droite pour d’autres zones de lecture en boucle. Pour naviguer entre les zones de cycle (définies par les marqueurs) : 1 Appuyez sur le bouton MARKER. 2 Appuyez sur le bouton CYCLE. Une fois le mode actif, appuyez sur les boutons REWIND ou FAST FWD. Pour régler le locator gauche ou droit sur la position actuelle de la tête de lecture : m Maintenez le bouton CYCLE enfoncé et appuyez sur REWIND ou FAST FWD. Ceci active également le mode Cycle. Pour définir une nouvelle zone de lecture en boucle le plus rapidement possible : 1 Naviguez jusqu’à la position voulue pour le locator gauche à l’aide du jog/scrub wheel. 2 Appuyez sur CYCLE et REWIND. Touche de fonction Action F1 Définit les ticks. F2 Définit la division. F3 Définit le battement. F4 Définit la mesure. F5 Définit les images. F6 Définit les demi-images.Chapitre 3 Mackie Control 97 3 Naviguez jusqu’à la position voulue pour le locator droit à l’aide du jog/scrub wheel. 4 Appuyez sur CYCLE et FAST FWD. Présentation Cycle Appuyez sur les boutons SHIFT et CYCLE pour activer la présentation Cycle :  L’écran du mode affiche « Cy ».  V-Pot 1 :affiche et permet de modifier l’état de mise en boucle (désactivée ou activée) ; vous pouvez également utiliser le bouton CYCLE.  V-Pot 2 - BySel :permet de régler la zone active de lecture en boucle par le biais de la sélection effectuée dans la fenêtre Arrangement (région audio ou MIDI sélectionnée).  V-Pot 3 - Move :déplace le cycle en cours d’une mesure à chaque clic, lorsque vous faites tourner le V-Pot.  L’écran affiche les locators gauche et droit au-dessus des V-Pot 5 et 7.  Appuyez sur le V-Pot 5 pour capter la position actuelle de la tête de lecture pour le locator gauche.  Faites tourner le V-Pot 5 pour modifier le locator gauche en mesures.  Faites tourner le V-Pot 6 pour modifier le locator gauche en battements (étapes du dénominateur).  Appuyez sur le V-Pot 7 pour capter la position actuelle de la tête de lecture pour le locator droit.  Faites tourner le V-Pot 7 pour modifier le locator droit en mesures.  Faites tourner le V-Pot 8 pour modifier le locator droit en battements (étapes du dénominateur). Pour revenir à un mode Assignment standard, appuyez sur l’un des boutons Assignment. Drop Active/désactive le mode Autopunch. Pour naviguer entre les zones de punch In : 1 Appuyez sur le bouton MARKER. 2 Appuyez sur le bouton DROP et une fois le mode actif, appuyez sur les boutons FAST FWD ou REWIND. Pour définir le locator punch In ou de punch Out sur la position actuelle de la tête de lecture : m Maintenez le bouton DROP enfoncé et appuyez sur FAST FWD ou REWIND. Ceci a également pour effet d’activer le mode Autopunch. Pour définir une nouvelle zone de punch In le plus rapidement possible : 1 Naviguez jusqu’à la position voulue du locator de punch In à l’aide du jog/scrub wheel. 2 Appuyez sur DROP et REWIND.98 Chapitre 3 Mackie Control 3 Naviguez jusqu’à la position voulue du locator de punch Out à l’aide du jog/scrub wheel. 4 Appuyez sur DROP et FAST FWD. Présentation Punch Appuyez sur les boutons SHIFT et DROP pour activer la présentation Punch :  L’écran du mode affiche Pu.  V-Pot 1 :affiche et permet de modifier l’état de l’Autopunch (désactivé ou activé) ; vous pouvez également utiliser le bouton DROP.  Le V-Pot 3 (Move) déplace la zone punch en cours d’une mesure à chaque clic, lorsque vous faites tourner le V-Pot.  L’écran affiche les locators de punch In et de punch Out, au-dessus des V-Pot 5 et 7.  Appuyez sur le V-Pot 5 pour capter la position actuelle de la tête de lecture pour le locator de punch In.  Faites tourner le V-Pot 5 pour modifier le locator de punch In en mesures.  Faites tourner le V-Pot 6 pour modifier le locator gauche en battements (étapes du dénominateur).  Appuyez sur le V-Pot 7 pour capter la position actuelle de la tête de lecture pour le locator de punch Out.  Faites tourner le V-Pot 7 pour modifier le locator de punch Out en mesures.  Faites tourner le V-Pot 8 pour modifier le locator droit en battements (étapes du dénominateur). Modifier un locator de punch à l’aide de la Mackie Control permet d’activer le mode Autopunch. Pour revenir à un mode Assignment standard, appuyez sur l’un des boutons Assignment. Replace Active/désactive le mode de remplacement. Clic Active/désactive le clic du métronome (MIDI ou Klopfgeist). Il existe des réglages de clic indépendants pour la lecture et l’enregistrement. Les réglages de clic sont déterminés dans Fichier > Réglages Projet > Métronome. Appuyez sur les boutons SHIFT et CLICK pour Active/désactive le mode de synchronisation externe et la transmission MMC.Chapitre 3 Mackie Control 99 Solo Le bouton SOLO se comporte comme le raccourci clavier Solo. Les différents canaux peuvent être mis en solo à l’aide du bouton SOLO de chaque tranche de console. Les régions MIDI ou audio peuvent être sélectionnées et mises en solo, ainsi que les canaux sélectionnés. Chaque canal est doté d’un VOYANT DEL distinct qui s’allume lorsqu’une tranche de console est mise en solo. Le voyant DEL RUDE SOLO, immédiatement à droite de l’affichage de position/temps, s’éclaire également à chaque fois qu’une tranche de console, quelle qu’elle soit, est mise en solo. Appuyez sur les boutons SHIFT et SOLO pour activer le verrouillage du mode Solo. Zone des touches de curseur Ces cinq boutons, situés à gauche du jog/Shuttle wheel, offrent de nombreuses fonctions. Les quatre touches de curseur, Haut, Bas, Gauche et Droite, entourent le bouton ZOOM central. Fonctionnement normal Lorsque le bouton ZOOM n’est pas activé (son voyant DEL est éteint), les quatre touches de curseur sélectionnent le paramètre actif, décalent la page des paramètres ou le logement d’envoi/EQ/d’insertion, en fonction de l’assignation en place des V-Pot. Lorsque vous maintenez le bouton OPTION enfoncé, les touches de curseur gauche/ droit permettent d’accéder à la première/dernière page et les touches de curseur haut/ bas, au premier/dernier logement. Lorsque vous maintenez le bouton x/Alt enfoncé, les touches de curseur gauche/droit décalent l’affichage des paramètres d’un paramètre, plutôt que d’une page. Dans les modes de présentation qui ne nécessitent aucun changement de page ou de logement, les touches de curseur émulent les touches fléchées du clavier de l’ordinateur. Exemple :présentation Table de mixage. En mode Large et Temporary Nudge, les boutons de curseur gauche/droite émulent les touches de curseur du clavier pour vous permettre de sélectionner facilement des régions ou des événements. Mode Zoom Appuyez sur le bouton ZOOM pour activer ce mode. Les touches de curseur sont ensuite utilisées pour modifier le facteur de zoom vertical ou horizontal de la fenêtre active. Dans la fenêtre Arrangement :  La touche OPTION et le curseur haut/bas permettent de modifier le facteur de zoom de la piste sélectionnée.100 Chapitre 3 Mackie Control  La touche OPTION et le curseur gauche permettent de réinitialiser le facteur de zoom de la piste sélectionnée.  La touche OPTION et le curseur droit permettent de réinitialiser le facteur de zoom de toutes les pistes de la même catégorie (audio, MIDI, etc.) en tant que piste sélectionnée. Émulation des touches fléchées de l’ordinateur Pour utiliser les touches de curseur en remplacement des touches fléchées du clavier de l’ordinateur, maintenez la touche SHIFT enfoncée. Lorsque vous appuyez sur les boutons SHIFT et ZOOM, les touches de curseur permettent d’activer le mode Permanent Cursor Key. Elles reproduisent les touches fléchées de l’ordinateur sans vous obliger à maintenir le bouton SHIFT enfoncé. Le voyant DEL du bouton ZOOM clignote lorsque vous êtes dans ce mode. Vous pouvez désactiver ce mode en appuyant sur le bouton ZOOM. Zone du jog/scrub wheel Le jog/scrub wheel et le bouton SCRUB permettent de naviguer dans le projet, ce qui s’avère utile pour un certain nombre de tâches de transport. Il vous suffit simplement de faire tourner la molette pour l’utiliser. Les modes Scrub suivants modifient le comportement du jog/scrub wheel.  Mode Scrub désactivé :le jog/scrub wheel déplace la tête de lecture.  Mode Scrub activé :le jog/scrub wheel effectue un scrubbing, ce qui vous permet d’écouter les données des pistes sélectionnées (ou mises en solo) tout en faisant défiler/naviguant dans le projet. La lecture des pistes audio s’effectue généralement en respectant leur vitesse d’origine. Si vous préférez les écouter en doublant leur vitesse, choisissez Logic Express > Préférences > Audio > Périphériques, puis réglez Vitesse de Scrub Maximum sur Double dans le menu local. Remarque :vous pouvez également utiliser le bouton SCRUB pour activer la fonction Pause.  Mode SHUTTLE (le voyant DEL du bouton Scrub clignote) :la molette Jog/Scrub permet de déplacer la tête de lecture (faites-la tourner pour augmenter ou diminuer la vitesse des mouvements de la tête de lecture).Chapitre 3 Mackie Control 101 Modes utilisateur programmables La Mackie Control offre six modes utilisateur programmables pouvant être utilisés pour vos propres assignations. Vous pouvez activer chacun de ces modes en maintenant le bouton SHIFT enfoncé tout en appuyant sur l’un des boutons Assignment, comme suit :  TRACK + SHIFT = Mode utilisateur 1.  PAN/SURROUND + SHIFT = Mode utilisateur 2.  EQ + SHIFT = Mode utilisateur 3.  SEND + SHIFT = Mode utilisateur 4.  PLUG-IN + SHIFT = Mode utilisateur 5.  INSTRUMENT + SHIFT = Mode utilisateur 6. L’écran Assignment affiche les modes utilisateur sous la forme u1, u2, etc. Pour créer une assignation dans l’un des modes utilisateur : 1 Activez le mot utilisateur souhaité en maintenant le bouton SHIFT enfoncé et en appuyant sur l’un des boutons d’assignation présentés ci-dessus. 2 Dans Logic Express, utilisez le processus d’apprentissage pour créer une ou plusieurs assignations, conformément aux instructions de la rubrique « Assignation de contrôleurs aux paramètres Logic Express » à la page 37. Connexion de switch au pied Vous pouvez connecter une pédale provisoire, de polarité positive ou négative, aux prises des switches au pied. Par défaut, ces switches commandent les fonctions suivantes :  LE SWITCH UTILISATEUR A est assigné à la fonction de marche/arrêt.  LE SWITCH UTILISATEUR B est assigné à la fonction d’enregistrement (notez qu’une piste doit être sélectionnée et armée pour que l’enregistrement puisse avoir lieu).  Un CONTRÔLE EXTERNE est assigné au niveau du curseur MASTER. Utilisez uniquement une pédale d’expression avec cette prise. La polarité des switches au pied est déterminée par la Mackie Control au moment de la mise sous tension. Vous devez d’abord connecter les switches au pied, puis allumer la Mackie Control. Aperçu des assignations Les tableaux d’assignation ci-après sont divisés en fonction des zones de la Mackie Control.102 Chapitre 3 Mackie Control Boutons DISPLAY Contrôles des tranches de console (1 à 8) Bouton Option de modification Fonction/Commentaires NAME/VALUE — Permet de basculer entre l’affichage du nom des paramètres et de leur valeur. Maj Permet de naviguer parmi les écrans des level meter :vertical, horizontal et désactivé. Option Permet de naviguer entre l’affichage du nom et l’affichage du numéro et du nom des pistes. Contrôle Permet d’effacer les témoins des clips/surcharges. x/ALT Permet d’accéder au mode des réglages du groupe des surfaces de contrôle. SMPTE/BEATS — Permet de basculer entre le format SMPTE et le format de battements sur l’affichage d’horloge. Contrôle Option de modification Fonction/Commentaires Rotation du V-Pot — Modifie le paramètre affiché sur l’écran à cristaux liquides. Option Définit le paramètre sur sa valeur minimale, par défaut ou maximale. x/ALT Modifie le paramètre en haute résolution. Pression sur le bouton du V-Pot — Rétablit la valeur par défaut du paramètre affiché sur l’écran à cristaux liquides ou bascule entre deux valeurs possibles. Clignotement de la présélection : — Active la valeur présélectionnée. Options de menu : — Active l’option visible à l’écran. Si la piste est un dossier : — Active le dossier. Bouton REC/RDY — Active/désactive le bouton Record Enable de la piste. Option Désactive le bouton Record Enable de toutes les pistes. Bouton Solo — Active/désactive le bouton Solo de la tranche de console d’une piste. Option Désactive le bouton Solo de toutes les tranches de console. Dans la présentation Table de mixage Destination/Niveau de l’envoi : — Active l’état pré/post de l’envoi sélectionné. Dans la présentation Canal Destination/Niveau de l’envoi : — Bascule entre l’état pré/post de l’envoi sur la tranche de console sélectionnée.Chapitre 3 Mackie Control 103 Bouton Désactiver l’audio — Active/désactive le bouton Muet de la tranche de console d’une piste. Option Désactive le bouton Muet de toutes les tranches de console. Dans la présentation Table de mixage : Maj Active/désactive la fonction Muet/Bypass du paramètre affiché. Dans la présentation Table de mixage EQ : Maj Active/désactive le contournement de la bande EQ actuelle. Dans la présentation Fréquence/Gain EQ : — Active/désactive le contournement de la bande EQ sélectionnée. Dans la présentation Table de mixage de l’envoi : Maj Active/désactive le contournement de l’envoi sélectionné. Dans la présentation Table de mixage Destination/Niveau de l’envoi : — Active/désactive le contournement de l’envoi sélectionné. Dans la présentation Canal Destination/Niveau de l’envoi : — Active/désactive l’état Muet de l’envoi sur la tranche de console sélectionnée. Dans présentation Table de mixage de module : Maj Active/désactive le contournement du module. Dans la présentation Table de mixage d’instrument : Maj Active/désactive le contournement de l’instrument. Bouton SELECT — Sélectionne une tranche de console. Maj Règle le volume de la tranche de console sur le niveau de l’unité (0 dB). Option Crée une piste avec la même assignation que la piste sélectionnée et bascule vers la présentation Arrangement. SHIFT+ OPTION Crée une piste avec la tranche de console suivante (suivant la piste sélectionnée) et bascule vers la présentation Arrangement. Contrôle Option de modification Fonction/Commentaires104 Chapitre 3 Mackie Control Boutons ASSIGNMENT Maintenez ces boutons enfoncés pour afficher le menu des boutons programmables ; relâchez-les pour faire basculer les V-Pot en présentation Multicanal ou Canal pour : Curseur — Règle le volume. En mode Flip dupliqué : — Même fonction que le V-Pot du même canal. En mode Flip d’échange : — Fonction d’échange avec un V-Pot du même canal. Dans la présentation Fréquence/Gain EQ : — Règle le gain de la bande EQ sélectionnée. Dans la présentation Table de mixage Destination/Niveau de l’envoi : — Règle le niveau de l’envoi sélectionné. Dans la présentation Canal Destination/Niveau de l’envoi : — Règle le niveau de l’envoi sur la tranche de console sélectionnée. Contrôle Option de modification Fonction/Commentaires Bouton Option de modification Fonction/Commentaires Piste — Paramètres des tranches de console. Piste Maj Mode utilisateur 1. PAN/SURROUND — Paramètres Pan. PAN/SURROUND Maj Mode utilisateur 2. Égaliseur — Paramètres EQ. Égaliseur Maj Mode utilisateur 3. Effet d’envoi — Paramètres d’envoi. Effet d’envoi Maj Mode utilisateur 4. Module — Sélection de module ou mode d’édition de module. Module Maj Mode utilisateur 5. Instrument — Sélection d’instrument ou mode d’édition d’instrument. Instrument Maj Mode utilisateur 6.Chapitre 3 Mackie Control 105 Boutons de fonction BANK <> — Décale la banque de curseurs vers la gauche/droite du nombre de tranches de console. Option Décale la banque de curseurs au début ou à la fin. CHANNEL<> — Décale la banque de curseurs vers la gauche/droite d’un canal. Option Décale la banque de curseurs au début ou à la fin. FLIP — Fait basculer le mode Flip entre Off et Duplicate. Maj Fait basculer le mode Flip entre Off et Swap. Contrôle Fait basculer le mode Flip entre Off et Zéro (désactive la motorisation des curseurs). GLOBAL VIEW — Bascule entre la présentation Arrangement et la présentation Tout. Maj Bascule entre la présentation Arrangement et la présentation Pistes. Bouton Option de modification Fonction/Commentaires Bouton Option de modification Fonction/Commentaires F1 — Rappelle le screenset 1. Maj Ouvre ou ferme la fenêtre Arrangement. x/ALT Couper. Piste Bascule vers la vue Volume de la présentation Table de mixage. PAN/SURROUND Bascule vers la présentation Table de mixage—Pan. Égaliseur Active la présentation Table de mixage—Contournement. Effet d’envoi Bascule vers la présentation Table de mixage—Destination. MARKER Crée un marqueur sans ajustement. NUDGE Valeur du déplacement :tick. Dans un message : La touche F1 équivaut à la touche 1 du clavier de l’ordinateur. F2 — Rappelle le screenset 2. Maj Ouvre ou ferme la fenêtre Table de mixage. x/ALT Copier. Piste Bascule vers la présentation Table de mixage—Pan. Égaliseur Bascule vers la présentation Table de mixage—Type EQ. Effet d’envoi Bascule vers la présentation Table de mixage—Niveau. MARKER Crée un marqueur avec ajustement. NUDGE Dans un message : La touche F2 équivaut à la touche 2 du clavier de l’ordinateur.106 Chapitre 3 Mackie Control F3 — Rappelle le screenset 3. Maj Ouvre ou ferme l’éditeur d’événements. x/ALT Coller. Piste Bascule vers la présentation Table de mixage—Mode Tranche de console. Égaliseur Bascule vers la présentation Table de mixage—Fréquence. Effet d’envoi Bascule vers la présentation Table de mixage—Position. MARKER Supprime un marqueur. NUDGE Valeur du déplacement :battement. Dans un message : La touche F3 équivaut à la touche 3 du clavier de l’ordinateur. F4 — Rappelle le screenset 4. Maj Ouvre ou ferme l’éditeur de partition. x/ALT Efface les valeurs. Piste Bascule vers la présentation Table de mixage—Entrée. Égaliseur Bascule vers la présentation Table de mixage—Gain. Effet d’envoi Bascule vers la présentation Table de mixage—Muet. NUDGE Valeur du déplacement :mesure. Dans un message : La touche F4 équivaut à la touche 4 du clavier de l’ordinateur. F5 — Rappelle le screenset 5. Maj Ouvre ou ferme Hyper Editor. x/ALT Sélectionne tout. Piste Bascule vers la présentation Table de mixage—Sortie. PAN/SURROUND Bascule vers la présentation Canal. Égaliseur Bascule vers la présentation Table de mixage—Facteur Q. Effet d’envoi Bascule vers la présentation Canal. NUDGE Valeur du déplacement :image. Dans un message : La touche F5 équivaut à la touche 5 du clavier de l’ordinateur. F6 — Rappelle le screenset 6. Maj Ouvre ou ferme l’éditeur du clavier. x/ALT Sélectionne tous les éléments suivants. Piste Bascule vers la présentation Table de mixage—Automation. Égaliseur Bascule vers la présentation Canal. Effet d’envoi Bascule vers la présentation Tranche de console 2. NUDGE Valeur du déplacement :1/2 image. Dans un message : La touche F6 équivaut à la touche 6 du clavier de l’ordinateur. Bouton Option de modification Fonction/CommentairesChapitre 3 Mackie Control 107 Boutons GLOBAL VIEW F7 — Rappelle le screenset 7. Maj Ouvre/ferme la fenêtre Transport. x/ALT Sélectionne des régions/événements similaires. Piste Bascule vers la présentation Table de mixage—Paramètre affiché. Égaliseur Bascule vers la présentation Table de mixage-Fréquence/Gain. Effet d’envoi Bascule vers la présentation Table de mixage-Destination/Niveau. Dans un message : La touche F7 équivaut à la touche 7 du clavier de l’ordinateur. F8 — Ferme la fenêtre flottante située tout en haut. Maj Ouvre ou ferme le chutier Audio. x/ALT Effectue la sélection entre les locators. Piste Bascule vers la présentation Tranche de console-Réglages. Égaliseur Bascule vers la présentation Tranche de console-Fréquence/Gain. Effet d’envoi Bascule vers la présentation Tranche de console-Destination/ Niveau. Dans un message : La touche F8 équivaut à la touche 8 du clavier de l’ordinateur. Bouton Option de modification Fonction/Commentaires Bouton Option de modification Fonction/Commentaires MIDI TRACKS — Bascule vers la présentation Tout et affiche les pistes MIDI. Maj Défini sur la banque de curseurs n˚1 (tranches de console 1 à 8, par exemple). Dans un message : Le bouton MIDI TRACKS équivaut à la touche 9 du clavier de l’ordinateur. INPUTS — Bascule vers la présentation Tout et affiche les tranches de console d’entrée. Maj Défini sur la banque de curseurs n˚2 (tranches de console 9 à 16, par exemple). Dans un message : Le bouton INPUTS équivaut à la touche 0 du clavier de l’ordinateur. Pistes audio — Bascule vers la présentation Tout et affiche les tranches de console audio. Maj Défini sur la banque de curseurs n˚3 (tranches de console 17 à 24, par exemple). Dans un message : Le bouton AUDIO TRACKS équivaut à la virgule sur le clavier de l’ordinateur.108 Chapitre 3 Mackie Control Boutons de modification (maintenus enfoncés) AUDIO INSTRUMENTS — Bascule vers la présentation Tout et affiche les tranches de console d’instrument logiciel. Maj Défini sur la banque de curseurs n˚4 (tranches de console 25 à 32, par exemple). Dans un message : Le bouton AUDIO INSTRUMENTS est équivalent à la touche du clavier. Aux — Bascule vers la présentation Tout et affiche les tranches de console aux. Maj Défini sur la banque de curseurs n˚5 (tranches de console 33 à 40, par exemple). Dans un message : Le bouton AUX équivaut à l’astérisque (*) du clavier de l’ordinateur. Bus — Bascule vers la présentation Tout et affiche les tranches de console de bus. Maj Défini sur la banque de curseurs n˚6 (tranches de console 41 à 48, par exemple). Dans un message : Le bouton BUSSES équivaut au signe moins (–) du clavier de l’ordinateur. Sorties — Bascule vers la présentation Tout et affiche les tranches de console de sortie et principal. Maj Défini sur la banque de curseurs n˚7 (tranches de console 49 à 56, par exemple). Dans un message : Le bouton OUTPUTS équivaut au signe plus (+) du clavier de l’ordinateur. Utilisateur — Non assigné pour l’instant. Maj Défini sur la banque de curseurs n˚8 (tranches de console 57 à 64, par exemple). Bouton Option de modification Fonction/Commentaires Bouton Fonction/Commentaires Maj Bascule vers la seconde fonction. Option Applique la fonction à toutes les tranches de console ou définit un paramètre sur sa valeur minimale, par défaut ou maximale. Contrôle Désactive les fonctions de groupe lorsque vous maintenez ce bouton enfoncé. x/ALT Active le mode fin ; décale la page des paramètres d’un paramètre au lieu d’une page.Chapitre 3 Mackie Control 109 Boutons AUTOMATION Boutons UTILITAIRES Mackie Control Option de modification Fonction/Commentaires READ/OFF — Règle l’automation de la piste sélectionnée sur Read (lecture) ou Off (désactivée). Option Règle l’automation de toutes les pistes sur Read (lecture) ou Off (désactivée). Touch (Toucher) — Règle l’automation de la piste sélectionnée sur Touch. Option Règle l’automation de toutes les pistes sur Touch. Latch (Verrouiller) — Règle l’automation de la piste sélectionnée sur Latch. Option Règle l’automation de toutes les pistes sur Latch. Write (Écrire) — Règle l’automation de la piste sélectionnée sur Write. Option Règle l’automation de toutes les pistes sur Write. TRIM Non assigné pour l’instant. Groupe — Active le mode d’édition de groupe. Maj Crée un groupe, ouvre la fenêtre Groupe et active le mode Édition de groupe. Piste Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche les paramè- tres de groupe. Option Bascule vers la présentation Simple. Bouton Option de modification Fonction/Commentaires SAVE — Enregistre le projet. Option Enregistre le projet sous un nom défini. UNDO — Annule la dernière opération effectuée. Maj Rétablit la dernière opération effectuée. Option Ouvrir l’historique d’annulation. CANCEL — Quitte le dossier. Clignotement de la présélection : — Annule la présélection. Dans les alertes : — Exécute le bouton Cancel. ENTER — Accède au dossier de la piste sélectionnée. Dans les alertes : — Exécute le bouton par défaut.110 Chapitre 3 Mackie Control Boutons TRANSPORT Bouton Option de modification Fonction/Commentaires MARKER — Active/désactive le mode Small Marker. Maj Active/désactive le mode Large Marker. NUDGE — Active/désactive le mode Small Nudge. Maj Active/désactive le mode Large Nudge. MARKER Créer un marqueur. Ceci permet de créer un marqueur très facilement sans accéder au mode Large Marker. CYCLE — Active/désactive le mode Cycle. Maj Bascule vers la présentation Cycle. DROP — Active/désactive le mode Autopunch. Maj Bascule vers la présentation Punch. REPLACE — Active/désactive le mode de remplacement. Clic — Active/désactive le clic du métronome (séparément pour la lecture et l’enregistrement). Maj Active/désactive la synchronisation interne/externe et MMC. Solo — Active/désactive la fonction de verrouillage Solo. Maj Active la fonction de verrouillage du mode Solo. REWIND << — Retour arrière Shuttle. MARKER Accède au marqueur précédent. NUDGE Déplacement vers la gauche de la valeur choisie. CYCLE Active le mode Cycle et règle le locator gauche sur la tête de lecture. DROP Active le mode Autopunch et règle le locator de punch In. En mode Marker : — Accède au marqueur précédent. En mode Nudge : — Déplacement vers la gauche de la valeur choisie. F.FWD >> — Avance rapide Shuttle. MARKER Accède au marqueur suivant. NUDGE Déplacement vers la droite de la valeur choisie. CYCLE Active le mode Cycle et règle le locator droit sur la tête de lecture. DROP Active le mode Autopunch et règle le locator de punch Out. En mode Marker : — Accède au marqueur précédent. En mode Nudge : — Déplacement vers la droite de la valeur choisie.Chapitre 3 Mackie Control 111 Touches du curseur Arrêt — Arrêt. Lecture — Lecture. Maj Pause. Enregistrer — Enregistrer. Bouton Option de modification Fonction/Commentaires Mackie Control Option de modification Fonction/Commentaires Curseur gauche/droit Si vous êtes dans la présentation Table de mixage : — Sélectionne le paramètre précédent/suivant de la présentation en cours. Zoom Fait défiler la fenêtre horizontalement sur la page. Si vous êtes dans la présentation EQ de tranche de console, Envoi ou Édition de module/d’instrument : — Décaler la page de l’éditeur en cours d’une page. x/ALT Décaler la page de l’éditeur en cours d’un paramètre. Zoom Fait défiler la fenêtre horizontalement sur la page. Autres cas (toujours en mode Nudge) : — Reproduit les touches fléchées vers la gauche/droite du clavier de l’ordinateur. Zoom Fait défiler la fenêtre horizontalement sur la page. En mode Zoom : — Modifie le niveau de zoom horizontal. Maj Réinitialise le zoom de la piste actuelle (curseur gauche) ou toutes les pistes du même type (curseur droit). Curseur haut/bas Dans la présentation EQ de tranche de console, Envoi ou Éditeur de module/ d’instrument : — Sélectionne la bande EQ, l’envoi ou le logement d’insertion précé- dent/suivant. Zoom Fait défiler la fenêtre verticalement sur la page. Autres cas (toujours en mode Nudge) : — Reproduit les touches fléchées vers le haut/bas du clavier de l’ordinateur. Zoom Fait défiler la fenêtre verticalement sur la page. En mode Zoom : — Modifie le niveau de zoom vertical. Maj Modifie le zoom de la piste actuelle.112 Chapitre 3 Mackie Control Jog/scrub wheel (molette) Sorties externes Zoom — Bascule entre le comportement de la touche du curseur par défaut (voir ci-dessus) et le mode Zoom. Maj Bascule entre le comportement de la touche du curseur par défaut et la reproduction permanente des touches fléchées du clavier de l’ordinateur. Mackie Control Option de modification Fonction/Commentaires Contrôle Option de modification Fonction Manette — Déplacer la tête de lecture vers l’avant ou l’arrière. CYCLE Règle le locator gauche sur la position actuelle de la tête de lecture, avance la tête de lecture normalement, puis règle le locator droit sur la position de la tête de lecture. Continuer à faire tourner la molette tout en maintenant le bouton CYCLE enfoncé permet d’avancer la tête de lecture et de redéfinir le locator droit. Conseil :faire tourner la molette dans le sens inverse des aiguilles d’une montre tout en maintenant le bouton CYCLE enfoncé permet de définir une plage de cycles à ignorer. DROP Règle le locator de punch In sur la position actuelle de la tête de lecture, avance la tête de lecture normalement, puis règle le locator de punch Out sur la position de la tête de lecture. Continuer à tourner la molette tout en maintenant le bouton DROP enfoncé permet d’avancer la tête de lecture et de redéfinir le locator de punch Out. Bouton SCRUB — Active/désactive le mode Scrub. Maj Active le mode Shuttle sur la molette (le voyant DEL du bouton SCRUB clignote). Entrée Option de modification Fonction USER SWITCH A — Lecture/Arrêt. USER SWITCH B — Enregistrer. EXTERNAL CONTROL — Volume principal.4 113 4 M-Audio iControl Ce chapitre présente l’utilisation de M-Audio iControl avec Logic Express. L’utilisation d’iControl dans Logic Express permet une compatibilité totale avec les projets GarageBand. Lorsque vous ouvrez un projet GarageBand dans Logic Express, vous pouvez l’éditer (à l’aide du contrôleur iControl) exactement comme dans GarageBand. Vous bénéficiez également de toute la puissance de contrôle, d’édition et de traitement offerte par Logic Express. Les fonctionnalités de Logic Express étant considérablement étendues par rapport à GarageBand, certains boutons iControl risquent de ne pas être assignés comme prévu. Toutefois, vous pouvez facilement réassigner les boutons iControl dans la fenêtre Assignation de contrôleur. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Personnalisation des assignations de contrôleur » à la page 37. Réglage de votre iControl Lorsque vous connectez iControl à l’un des ports USB de votre ordinateur, Logic Express détecte automatiquement ce périphérique. Si des canaux sont en mode Muet, Solo ou Enregistrement activé dans le projet en cours, le voyant DEL du contrôle de tranche de console correspondant est allumé (pour refléter l’état de la bande). Si le mode Cycle est actif, un voyant DEL allumé l’indique également. Modification des paramètres de module Outre le volume, le panoramique et d’autres fonctions de tranches de console, iControl permet de modifier tout module pouvant être automatisé dans Logic Express. De nombreux modules d’effet et d’instrument Logic Express, ainsi que ceux des fabricants tiers, comportent des dizaines de paramètres. Chacun d’eux est accessible avec iControl. Si vous vous rendez compte qu’un module tiers ne prend pas en charge la modification à distance ou d’autres fonctions mentionnées dans ce document, contactez le fabricant du module pour obtenir une version mise à jour.114 Chapitre 4 M-Audio iControl Boutons d’assignation Vous pouvez utiliser les boutons situés le long du côté gauche d’iControl (dans la zone Toutes les pistes et Piste sélectionnée) pour sélectionner différentes fonctions pour les boutons rotatifs des encodeurs (situés le long du bord droit, dans la zone des tranches de console). Dans certains cas, les contrôles de la zone des tranches de console modifient les fonctions des boutons de sélection. Bouton Volume Le bouton Volume assigne aux boutons rotatifs des encodeurs (dans la zone des tranches de console) le contrôle du volume des huit canaux actifs. Les boutons des tranches de console (Sel, Record Enable, Muet et Solo) fonctionnent comme décrit dans la rubrique « Contrôles des tranches de console » à la page 117. Bouton Pan Le bouton Pan assigne aux boutons rotatifs des encodeurs le contrôle du panoramique/ de la balance des huit canaux actifs. Les fonctions assignées aux boutons des tranches de console sont celles par défaut. Bouton Track Info (Infos de piste) Le bouton Track Info active la présentation Tranche de console. Ce mode vous permet d’utiliser les boutons de sélection (Sel) et les boutons rotatifs des encodeurs pour éditer les paramètres généraux de la tranche de console sélectionnée. Les boutons Record Enable, Muet et Solo conservent leurs fonctions par défaut.  Boutons Sel 1 à 5 :activent/désactivent l’état de contournement des cinq premiers logements d’insertion.  Boutons Sel 6 et 7 :activent/désactivent l’état de contournement des premier et deuxième logements d’insertion.  Bouton Sel 8 :aucune assignation Dans la présentation Tranche de console, chacun des boutons de sélection est allumé lorsque le logement d’insertion ou d’envoi correspondant est activé, et éteint lorsque le logement est contourné.  Encodeur 1 :si le canal sélectionné est une tranche de console audio avec un effet Porte de bruit, contrôle le paramètre Seuil de la porte de bruit (en cas d’insertion dans la tranche de console sélectionnée).  Encodeur 2 :si le canal sélectionné est une tranche de console audio avec un effet Compressor, contrôle le taux de compression. Remarque :les assignations des encodeurs 1 et 2 sont optimisées pour les pistes d’instruments réels de GarageBand, où sont insérés des effets Porte de bruit et Compresseur par défaut.  Les encodeurs 3 et 4 ne sont pas assignés.  L’encodeur 5 contrôle le potentiomètre Pan du canal.Chapitre 4 M-Audio iControl 115  L’encodeur 6 contrôle le niveau (quantité) Envoyer pour le premier envoi au canal.  L’encodeur 7 contrôle le niveau (quantité) Envoyer pour le deuxième envoi au canal.  L’encodeur 8 contrôle le curseur de volume du canal. Generator (générateur) Si la tranche de console sélectionnée correspond à un instrument, le bouton du géné- rateur assigne aux boutons rotatifs des encodeurs la modification des paramètres de génération du son de l’instrument. Ces assignations se présentent par groupes de huit paramètres. Les boutons Flèche haut et Flèche bas permettent d’accéder à la page pré- cédente ou suivante de huit paramètres. Remarque :l’activation du bouton Generator n’a aucun effet si la tranche de console sélectionnée n’est pas de type instrument logiciel. Effect 1 et Effect 2 Une pression sur Effect 1 assigne les boutons rotatifs des encodeurs à l’édition des paramètres du troisième logement d’insertion (de la tranche de console sélectionnée). L’activation d’Effect 2 assigne les boutons rotatifs des encodeurs à l’édition des paramè- tres du quatrième logement d’insertion (si un quatrième logement d’insertion est utilisé). Les boutons Flèche haut et Flèche bas permettent d’accéder à la page de paramètres précédente ou suivante. Appuyer sur le bouton Effect 1 ou Effect 2 tout en maintenant le bouton Option enfoncé active ou désactive l’état de contournement des logements d’insertion 3 et 4, respectivement. Lorsque vous utilisez les boutons fléchés pour passer d’une page de paramètres à l’autre (à l’aide des boutons Generator, Effect 1 ou Effect 2), les paramètres changent par groupes de huit (sauf si les paramètres de la dernière page ne constituent pas un groupe complet de huit éléments). Par exemple, si un module comporte 19 paramètres et que iControl contrôle les paramètres 1 à 8 :  Le bouton Flèche haut permet d’accéder aux paramètres 9 à 16.  Une deuxième pression sur le bouton Flèche haut permet d’accéder aux paramètres 12 à 19.  Une pression sur le bouton Flèche bas permet de revenir aux paramètres 9 à 16, et non 4 à 11.116 Chapitre 4 M-Audio iControl De cette façon, vous revenez toujours aux positions de page que vous vous attendez à trouver et qui vous sont familières. Égaliseur Le bouton EQ vous permet de modifier les paramètres d’égalisation de la tranche de console sélectionnée. Si la tranche de console sélectionnée comporte un égalisateur de canal, le bouton EQ ouvre la fenêtre du module EQ. Si la tranche de console sélectionnée ne comporte aucun égalisateur de canal, il est automatiquement inséré. Les boutons Flèche haut et Flèche bas permettent d’accéder à la page de paramètres EQ suivante ou précédente. Chaque bouton d’assignation comporte deux modes :la présentation Table de mixage et la présentation Canal, qui déterminent si les boutons rotatifs d’encodeur (et dans certains cas, les boutons de sélection) modifient des canaux distincts ou le même canal. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Présentations Table de mixage et Canal » à la page 118. Boutons Flèche haut et Flèche bas Le contrôleur iControl comporte des contrôles pour huit tranches de console, à savoir les tranches 1 à 8 par défaut. Pour accéder à d’autres tranches de console, appuyez sur le bouton Flèche haut. Vous accédez ainsi aux tranches de console 9 à 16. Appuyez à nouveau sur le bouton Flèche haut pour accéder aux tranches de console 17 à 24 ou sur le bouton Flèche bas pour revenir aux tranches de console 1 à 8. Lorsque vous utilisez les boutons fléchés pour naviguer entre les groupes de tranches de console, les tranches sont regroupées par huit (en commençant par la tranche de console 1), sauf si les dernières tranches ne constituent pas un groupe complet de huit éléments. Par exemple, si un projet comporte 19 tranches de console et que iControl contrôle les tranches 1 à 8 :  Le bouton Flèche haut permet d’accéder aux tranches de console 9 à 16.  Une nouvelle pression sur le bouton Flèche haut permet d’accéder aux tranches de console 12 à 19.  Une pression sur le bouton Flèche bas permet de revenir aux tranches de console 9 à 16 plutôt que 4 à 11. Appuyer sur le bouton Flèche haut tout en maintenant le bouton Option enfoncé permet d’accéder aux huit premières tranches de console du projet.De même, le fait d’appuyer sur les boutons Option et Flèche bas permet d’accéder directement aux huit dernière tranches de console du projet. Par exemple,si un projet comporte 64 tranches de console, la combinaison Option-Flèche haut permet d’accéder aux tranches de console 57 à 64, tandis que Option-Flèche bas permet d’accéder aux tranches de console 1 à 8.Chapitre 4 M-Audio iControl 117 Remarque :si le bouton Generator, EQ, Effect 1 ou Effect 2 est allumé, les fonctions des boutons Flèche haut et Flèche bas sont celles décrites dans les sections Generator, Effect 1 et Effect 2. Pour plus d’informations, reportez-vous aux pages précédentes. Contrôles des tranches de console Le côté droit du contrôleur iControl est doté de huit lignes de contrôles destinés à la modification des tranches de console. Chaque rangée comprend des boutons Sélectionner, Enregistrement activé, Muet et Solo, ainsi qu’un bouton rotatif d’encodeur. Les contrôles des tranches de console sont décrits dans les sections suivantes : Bouton de sélection (Sel) Le bouton Sel d’un canal permet de sélectionner le canal en question pour activer l’édition ou les commandes d’assignation correspondantes. Lorsqu’un canal est sélectionné, le bouton Sel s’allume. Remarque :si le bouton Track Info est allumé, les boutons de sélection se comportent différemment. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Bouton Track Info (Infos de piste) » à la page 114. Bouton Record Enable (enregistrement activé) Le bouton Record Enable d’un canal (bouton avec un point blanc) prépare à l’enregistrement la tranche de console associée. Lorsqu’un canal est prêt pour l’enregistrement, le point blanc est allumé. Une deuxième pression sur le bouton Record Enable désactive l’enregistrement pour le canal. Pour désarmer toutes les tranches de console, maintenez le bouton Option enfoncé tout en appuyant sur le bouton Enregistrement activé de n’importe quel canal. Bouton Désactiver l’audio Le bouton Muet d’un canal (sur lequel est représenté un haut-parleur) permet de désactiver le son du canal. Lorsque le son de la tranche de console est désactivé, l’icône correspondante est allumée. Une deuxième pression sur le bouton Muet réactive le son de la tranche de console. Pour activer le son de toutes les tranches de console, maintenez le bouton Option enfoncé tout en appuyant sur le bouton Muet de n’importe quel canal. Bouton Solo Le bouton Solo d’un canal (icône représentant un casque) permet d’activer le mode Solo du canal. Lorsque la tranche de console est en mode Solo, cette icône est allumée. Une deuxième pression sur le bouton Solo désactive le mode Solo de la tranche de console. Pour entendre (désactiver le mode Solo) toutes les tranches de console, maintenez le bouton Option enfoncé et appuyez sur le bouton Solo de n’importe quel canal.118 Chapitre 4 M-Audio iControl Bouton rotatif de l’encodeur Chaque canal est doté d’un bouton rotatif d’encodeur, situé à droite du bouton Solo. La fonction assignée aux encodeurs change selon les boutons d’assignation choisis. Reportez-vous à la rubrique « Boutons d’assignation » à la page 114. Appuyez sur le bouton Option tout en actionnant un bouton rotatif d’encodeur (quel que soit le mode d’assignation actif) pour naviguer entre les valeurs minimale, par défaut et maximale du paramètre. Présentations Table de mixage et Canal Les boutons rotatifs d’encodeur fonctionnent dans deux présentations :la présentation Table de mixage et la présentation Canal. Le passage d’une de ces présentations à l’autre détermine si les boutons rotatifs (et dans certains cas, les boutons de sélection) éditent des canaux distincts ou un seul canal.  Présentation Table de mixage :permet d’accéder au même paramètre pour huit tranches de console, comme le panoramique ou le volume (généralement une section de la fenêtre Table de mixage).  Présentation Canal :permet d’accéder aux huit paramètres de la tranche de console sélectionnée. L’accès à une présentation Table de mixage ou Canal se fait à l’aide d’un des boutons d’assignation. Pour plus d’informations sur l’utilisation des boutons d’assignation, consultez la rubrique « Boutons d’assignation » à la page 120. Le jog wheel (molette) Vous pouvez naviguer au sein des projets à l’aide du jog wheel situé en bas à gauche du contrôleur iControl, juste au-dessus des contrôles de transport. Faites tourner la molette dans le sens des aiguilles d’une montre pour déplacer la tête de lecture vers l’avant. Faites-la tourner vers la gauche pour déplacer la tête de lecture vers l’arrière. Commandes de lecture Les contrôles de transport, en bas à gauche de l’iControl, se présentent sous la forme de six gros boutons :Enregistrement, Retour au début, Rembobinage, Lecture, Avance rapide et Cycle. Vous pouvez utiliser ces boutons pour vous déplacer dans vos projets et pour effectuer différentes tâches d’enregistrement et d’édition. Bouton Enregistrer Appuyez sur le bouton Enregistrement (celui représenté par un gros point blanc) pour activer l’enregistrement sur les tranches de console actuellement prêtes pour l’enregistrement (consultez « Bouton Record Enable (enregistrement activé) » à la page 117).Chapitre 4 M-Audio iControl 119 Bouton Retour au début Appuyez sur le bouton Retour au début (représenté par une ligne verticale et une flè- che gauche) pour déplacer la tête de lecture vers le début du projet. Bouton Rembobinage Appuyez brièvement sur le bouton Rembobinage (deux flèches vers la gauche) pour déplacer la tête de lecture d’une mesure vers l’arrière. Si vous maintenez le bouton Rembobinage enfoncé, vous déplacez la tête de lecture de façon continue vers l’arrière, par incréments d’une mesure. Vous avez également la possibilité d’appuyer simultanément sur les boutons Rembobinage et Cycle (pour activer le mode Cycle), et régler le bord gauche de la boucle (locator gauche) sur la tête de lecture. Lecture/Arrêt Appuyez sur le bouton Lecture (flèche vers la droite) pour démarrer la lecture à partir de la position actuelle de la tête de lecture ou pour l’arrêter si le projet est en cours de lecture. Bouton Avance rapide Appuyez brièvement sur le bouton Avance rapide (deux flèches vers la droite) pour déplacer la tête de lecture d’une mesure vers l’avant. Si vous maintenez le bouton Avance rapide enfoncé, vous déplacez la tête de lecture de façon continue vers l’avant, par incréments d’une mesure. Vous avez également la possibilité d’appuyer simultanément sur les boutons Fast Forward et Cycle (pour activer le mode Cycle), et régler le bord droit de la boucle (locator droit) sur la tête de lecture. Bouton Cycle Appuyez sur le bouton Cycle (deux flèches formant un cercle) pour activer le mode Cycle. Si le mode Cycle est actif, ce bouton permet de le désactiver. Vous pouvez activer le mode Cycle (et régler respectivement les locators droit et gauche de la boucle) à l’aide des boutons Rembobinage ou Avance rapide et Cycle. Pour régler les locators gauche et droit, et activer le mode Cycle : 1 Utilisez le jog wheel pour placer la tête de lecture sur le locator gauche de votre choix, puis appuyez simultanément sur les boutons Cycle et Rembobinage. 2 Effectuez l’une des opérations suivantes :  Accédez à la position de locator droit de votre choix à l’aide du jog wheel, puis appuyez simultanément sur les boutons Cycle et Avance rapide.  Maintenez le bouton Cycle enfoncé, accédez à la position où vous souhaitez placer le locator droit à l’aide du jog wheel, puis relâchez le bouton Cycle.120 Chapitre 4 M-Audio iControl Curseur Master Le déplacement du curseur Master sur le contrôleur iControl règle le niveau du curseur Master dans la fenêtre Table de mixage de Logic Express. Le curseur Master modifie le niveau de tous les canaux de sortie, mais n’affecte pas les niveaux relatifs de ces canaux (qui précèdent le curseur Master sur le chemin du signal). Déplacez le curseur vers la gauche pour atténuer le niveau du master ou vers la droite pour l’augmenter. Aperçu des assignations Les tableaux d’assignation suivants présentent toutes les assignations de chaque contrôle, avec et sans le bouton Option (pour les boutons d’assignation et les contrôles de tranche de console) ou le bouton Cycle (pour le jog wheel et les boutons de transport). Boutons d’assignation Les boutons d’assignation figurant dans la zone All Tracks et Selected Track définissent le comportement des contrôles de tranches de console. Bouton iControl Option de modification Fonction/Commentaires Volume — Les encodeurs contrôlent le curseur de niveau du canal. Pan — Les encodeurs contrôlent le panoramique/la balance du canal. Generator (générateur) — Les encodeurs contrôlent les paramètres d’instrument du logiciel. Track Info (Infos de piste) — Les encodeurs contrôlent les paramètres des tranches de console. Égaliseur — Les encodeurs contrôlent les paramètres EQ. Effect 1 — Les encodeurs contrôlent les paramètres d’insertion 3. Effect 2 — Les encodeurs contrôlent les paramètres d’insertion 4. Option — Bouton de modification des autres contrôles ; lorsqu’il est maintenu enfoncé, le contrôle modifié :applique la fonction à toutes les tranches de console, ou règle le paramètre sur sa valeur minimale, maximale ou sur sa valeur par défaut. Flèche haut/bas — Décale la banque de curseurs vers la gauche/droite du nombre de tranches de console. Option Décale la banque de curseurs vers le premier ou le dernier groupe de canaux du projet.Chapitre 4 M-Audio iControl 121 Contrôles de tranches de console (x8) Manette iControl Option de modification Fonction/Commentaires Encodeur — Modifie le paramètre sélectionné. Option Attribue au paramètre sa valeur minimale, par défaut ou maximale. Record Enable (enregistrement activé) — Active/désactive le bouton Record Enable de la tranche de console. Option Désactive les boutons Record Enable de toutes les tranches de console. Solo — Active/désactive le bouton Solo de la tranche de console. Option Désactive les boutons Solo de toutes les tranches de console. Muet — Active/désactive le bouton Muet de la tranche de console. Option Désactive les boutons Muet de toutes les tranches de console. Sel — Sélectionne la tranche de console, sauf dans la présentation Canal. iControl Option de modification Fonction/Commentaires Jog Wheel (molette) — Déplace la tête de lecture. Cycle Règle le locator gauche sur la position actuelle de la tête de lecture, avance la tête de lecture comme d’habitude, puis règle le locator droit sur la nouvelle position de la tête de lecture. Faites à nouveau tourner le jog wheel (vers la droite) tout en maintenant le bouton Cycle enfoncé pour faire avancer la tête de lecture et réinitialiser la position du locator droit. Conseil :la rotation du jog wheel dans le sens inverse des aiguilles d’une montre (vers la gauche) tout en maintenant le bouton Cycle enfoncé, définit une plageboucle à ignorer.122 Chapitre 4 M-Audio iControl Boutons de transport iControl Option de modification Fonction/Commentaires Enregistrer — Enregistrer. Retour au début — Accède au début du projet. Rembobinage — Déplace la tête de lecture d’une mesure vers l’arrière. Lorsque ce bouton est maintenu enfoncé, le glissement vers l’arrière se poursuit. Cycle Active la fonction Cycle et règle le locator gauche sur la position de la tête de lecture. Lecture — Lecture ou arrêt. Avance rapide — Déplace la tête de lecture d’une mesure vers l’avant. Lorsque ce bouton est maintenu enfoncé, le glissement vers l’avant se poursuit. Cycle Active la fonction Cycle et règle le locator droit sur la position de la tête de lecture. Cycle — Active ou désactive le mode Cycle.5 123 5 CM Labs Motormix Configuration de votre CM Labs Motormix Pour utiliser votre surface de contrôle CM Labs Motormix avec Logic Express, suivez les étapes décrites ci-dessous. Pour configurer votre surface de contrôle CM Labs Motormix dans Logic Express : 1 Vérifiez que votre unité Motormix partage une connexion bidirectionnelle avec l’interface MIDI. 2 Sélectionnez Logic Express > Préférences > Surfaces de Contrôle > Réglage. 3 Sélectionnez Nouveau > Installer à partir du menu de la fenêtre Réglage. 4 Dans la fenêtre d’installation, sélectionnez Motormix, cliquez sur Ajouter, puis réglez les ports d’entrée et de sortie MIDI appropriés dans la fenêtre Réglage.124 Chapitre 5 CM Labs Motormix Aperçu des assignations La présence d’un bouton de modification (SHIFT, par exemple) indiqué par une description sous le bouton d’une fonction donnée, entraîne l’action décrite si vous maintenez simultanément ce bouton et le bouton de modification enfoncés. Boutons de sélection Les boutons de sélection,situés immédiatement sous l’écran à cristaux liquides, permettent différentes actions, selon le mode actif. Mode Assignation Normal Sélectionne le canal affiché sur la première ligne de l’écran à cristaux liquides. Il est possible de décaler les canaux vers la gauche et la droite à l’aide des boutons Présentation correspondants. Voyant DEL du bouton Bank clignotant Mode Présentation du canal :les boutons de sélection permettent de basculer entre les tranches de console affichées :  1 :active la présentation Simple  2 :active la présentation Arrangement  3 :toutes les présentations, canaux MIDI  4 :toutes les présentations, canaux d’entrée  5 :toutes les présentations, canaux audio  6 :toutes les présentations, canaux d’instruments  7 :toutes les présentations, canaux auxiliaires et de bus  8 :toutes les présentations, canaux de sortie et master Voyant DEL du bouton WINDOW/ tool allumé Mode de sélection de la fenêtre :les boutons de sélection permettent d’ouvrir ou de fermer un type de fenêtre particulier, ou de l’activer à l’aide d’une touche. Voyant DEL éteint :si la fenêtre est fermée, ce bouton permet de l’ouvrir. Voyant DEL allumé :si la fenêtre est ouverte, mais qu’elle n’est pas active, ce bouton permet de l’activer. Voyant DEL clignotant :si la fenêtre est active, ce bouton permet de la fermer.  1 :fenêtre Arrangement  2 :table de mixage  3 :liste des événements  4 :éditeur de partition  5 :hyper Editor  6 :éditeur Clavier  7 :fenêtre du transport  8 :chutier audio Bouton WINDOW/tool clignotant Mode de sélection de l’outil :les boutons de sélection permettent de choisir un outil.  1 :pointeur  2 :crayon  3 :gomme  4 :outile texte  5 :ciseaux  6 :outile colle  7 :outile solo  8 :outile silenceChapitre 5 CM Labs Motormix 125 Remarque :dans les messages, les boutons de sélection génèrent les caractères du clavier d’ordinateur représentés sur la face des boutons. Bouton PLAY/transport clignotant Mode de la section du transport  1 :enregistrer  2 :pause  3 :arrêt  4 :lecture  5 :rembobinage  6 :avance rapide  La première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche la position de la tête de lecture. Bouton STOP/de localisation clignotant Mode de localisation  1 :accède au locator gauche  2 :accède au locator droit  3 :active ou désactive le mode Cycle  4 :active ou désactive le mode Autopunch  5 :active le mode Marqueur (voir ci-dessous)  6 :ouvre la liste des marqueurs  La première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche la position de la tête de lecture. Mode Marqueur  1 à 6 :sélection d’un marqueur, allant de 1 à 6. Son nom apparaît sur la première ligne de l’écran à cristaux liquides.  7 :crée un marqueur.  8 :supprime le marqueur sélectionné. Mode d’édition de groupe Bascule entre les paramètres de regroupement. Il est possible de passer d’un groupe de paramètres à l’autre en appuyant sur les boutons Présentation gauche et droite tout en maintenant le bouton SHIFT enfoncé. Mode Assignation d’effet Active le mode Édition d’effet pour le canal sélectionné. Mode Édition d’effet Active/désactive le paramètre sélectionné ou rétablit sa valeur par défaut. Mode Assignation d’instrument Active le mode Édition d’instrument pour le canal (instrument) sélectionné. Mode Édition d’instrument Active/désactive le paramètre sélectionné ou rétablit sa valeur par défaut. Mode Assignation126 Chapitre 5 CM Labs Motormix Potentiomètres rotatifs Contrôle Assignation Potentiomè- tres rotatifs 1 à 8 Contrôlent le paramètre choisi avec le sélecteur rotatif, comme illustré dans l’affichage à 7 segments (voir ci-dessous). Affichage à 7 segments Affiche la sélection en cours des potentiomètres rotatifs : Édition d’envoi/égalisation (voyant DEL S-MUET ou PRE/PST allumé) :  S1 à S8 = niveaux Send 1 à 8  F1 à F8 = fréquences 1 à 8 de la bande de l’égaliseur  G1 à G8 = gains 1 à 8 de la bande de l’égaliseur  q1 à q8 = facteurs Q 1 à 8 de la bande de l’égaliseur Édition Pan (voyant DEL de sélection allumé) :  Pn = Pan Édition des paramètres de canal (voyant DEL eff-4 allumé) :  VL = Volume  Pn = Pan  FM = Format d’entrée de canal  In = Assignation d’entrée de canal  Ou = Assignation de sortie de canal  Au = Mode Automation  Gr = Adhésion au groupe Assignation :  d1 à d8 = assignation de la destination Send 1 à 8 Édition d’effet (voyant DEL DSP/compare allumé) :  P1 à 15 = assignation des logements d’insertion 1 à 15 à l’effet  P1. à 15. = édition des paramètres d’effet Édition d’instrument (voyant DEL DSP/compare allumé) :  IA = assignation d’un instrument à un logement  IE. = modification des paramètres d’instrument Modification des propriétés de groupe (voyant DEL de groupe allumé) :  G1 à 32 = numéro de groupe Sélecteur rotatif Sélectionne un logement ou un paramètre pour les boutons rotatifs d’encodeur en fonction des types de paramètres qu’ils permettent de modifier :  Logement d’envoi lors de la modification du volume d’envoi ou de l’assignation de la destination d’envoi.  Égalisation lors de la modification d’un paramètre EQ.  Logement d’effet/d’instrument lors de l’assignation d’un effet ou d’un instrument.  Pan.  Paramètre de canal lors de la modification d’un paramètre de canal.  Page des paramètres d’effet/d’instrument lors de la modification d’un module d’effet ou d’instrument. Boutonpoussoir Sélecteur rotatif Bascule entre les modes Flip Désactivé et Dupliquer (les curseurs reflètent les assignations des boutons rotatifs de l’encodeur). Maj Bascule entre les modes d’affichage des tranches de console :  Infos de page sur la première ligne, nom du paramètre sur la dernière ligne.  Nom du paramètre sur la première ligne, valeur du paramètre sur la dernière ligne.Chapitre 5 CM Labs Motormix 127 Boutons multi-usage Ces boutons (A à H) ont plusieurs usages selon le mode actuel, comme l’indiquent les voyants DEL vert et jaune à droite. Remarque :dans les messages, les boutons multi-usage génèrent les caractères du clavier d’ordinateur représentés sur la face des boutons. Boutons de gravure Ces boutons (I à P) ont plusieurs usages selon le mode en cours, comme l’indiquent les voyants DEL rouges à gauche. Mode Assignation Fx bypass Active/désactive le contournement de l’effet d’insertion sélectionné. SHIFT (effet 1) Active/désactive le contournement de la bande sélectionnée de l’égaliseur et bascule les boutons rotatifs de l’encodeur en mode d’édition de fréquence pour l’égalisation. S-Muet Active/désactive le contournement de l’envoi en cours d’édition et bascule les boutons rotatifs de l’encodeur en mode d’édition d’envoi. SHIFT (effet 2) Active/désactive le contournement de la bande sélectionnée de l’égaliseur et bascule les boutons rotatifs de l’encodeur en mode d’édition de gain pour l’égalisation. Pre/post Bascule entre les modes Pré-curseur et Post-curseur de l’envoi en cours d’édition, et bascule les boutons rotatifs de l’encodeur en mode d’édition d’envoi. Le mode Post-curseur est identifié par un voyant DEL allumé. SHIFT (effet 3) Active/désactive le contournement de la bande sélectionnée de l’égaliseur et bascule les boutons rotatifs de l’encodeur en mode d’édition du facteur Q (égalisation). Sélection Bascule les boutons rotatifs de l’encodeur en mode d’édition Pan. Le paramètre est choisi à l’aide du sélecteur rotatif. SHIFT (effet 4) Bascule les boutons rotatifs de l’encodeur en mode d’édition des paramètres de canal. Mode Assignation Enregistrer Active/désactive le statut Enregistrement activé du canal. SHIFT (fnctA) Bascule le mode d’automation sur Latch. ALL + SHIFT (fnctA) Bascule le mode d’automation de tous les canaux sur Latch. Write (Écrire) Bascule le mode d’automation sur Write. Tout Bascule le mode d’automation de tous les canaux sur Write. SHIFT (fnctB) Bascule le mode d’automation sur Lire. ALL + SHIFT (fnctA) Bascule le mode d’automation de tous les canaux sur Lire. Burn Bascule le mode d’automation sur Touch. Tout Bascule le mode d’automation de tous les canaux sur Touch. SHIFT (fnctC) Bascule le mode d’automation sur Désactivé. ALL + SHIFT (fnctA) Bascule le mode d’automation de tous les canaux sur Désactivé.128 Chapitre 5 CM Labs Motormix Remarque :dans les messages, les boutons de gravure génèrent les caractères du clavier d’ordinateur représentés sur la face des boutons. Boutons SOLO Ces boutons activent le statut Solo du canal affiché. Remarque :dans les messages, les boutons Solo génèrent les caractères du clavier d’ordinateur représentés sur la face des boutons. Boutons MUET Ces boutons activent le statut Muet du canal affiché. Remarque :dans les messages, les boutons Muet génèrent les caractères du clavier d’ordinateur représentés sur la face des boutons. Section VIEW (Présentation) Boutons de fonction (gauche) Contrôle Assignation Boutons gauche/droit Dans les modes d’édition de module d’effet et d’instrument :décale la banque de paramètres. Dans les autres modes :  Si le voyant DEL BANK est éteint :décale la banque de curseurs d’un canal.  Si le voyant DEL BANK est allumé :décale la banque de curseurs d’une banque (groupe de 8 canaux). Maj Dans les modes d’édition de module d’effet et d’instrument :décale la banque de paramètres d’un paramètre. En mode d’édition de groupe, la banque de paramètres du groupe est décalée. Banque Modifie le mode des boutons gauche/droit (voir ci-dessus). Maj Règle les boutons de sélection sur le mode Présentation du canal. Groupe Attribue aux boutons de sélection, aux boutons rotatifs de l’encodeur et aux boutons « multi » le mode d’édition de groupe. Maj Affiche les assignations de groupe de canaux sur l’écran à cristaux liquides. Les boutons rotatifs de l’encodeur permettent de modifier ces assignations. Contrôle Assignation AUTO ENBL/mode Non assigné pour l’instant. Maj Bascule les boutons rotatifs de l’encodeur en mode Activation de l’automation. SUSPEND/create Lorsque ce bouton est maintenu enfoncé, les groupes sont temporairement désactivés. Maj Crée un groupe et passe en mode d’édition de groupe.Chapitre 5 CM Labs Motormix 129 Curseurs Les curseurs contrôlent généralement le volume, sauf en mode Flip, où ils dupliquent les assignations des boutons rotatifs des encodeurs. Boutons de fonction droits PLUG-IN/compare Bascule les boutons rotatifs de l’encodeur et les boutons multi-usage en mode Assignation d’effet. Utilisez le potentiomètre de sélection pour choisir le logement d’insertion à éditer. En mode Assignation d’effet ou d’instrument, bascule en mode Pan. En mode Édition d’effet, bascule en mode Assignation d’effet. En mode Édition d’instrument, bascule en mode Assignation d’instrument. Maj Bascule les boutons rotatifs de l’encodeur et les boutons multi-usage en mode Assignation d’instrument. WINDOW/tools Bascule les boutons de sélection en mode de sélection de fenêtre. Maj Bascule les boutons de sélection en mode de sélection d’outil. ALL/ALT/FINE Lorsque le bouton ALL/ALT/FIN est maintenu enfoncé, les boutons rotatifs de l’encodeur sont en mode Total :une rotation dans le sens inverse des aiguilles d’une montre règle le paramètre sur la valeur minimale, une rotation dans l’autre sens règle le paramètre sur la valeur maximale. Maj Lorsque les boutons SHIFT et ALL/ALT/FIN sont maintenus enfoncés, les boutons rotatifs de l’encodeur sont en mode Fin. Les modifications de paramètre sont apportées en valeurs unitaires (ou plus petites). DEFAULT/bypass Non assigné pour l’instant. Maj En mode Édition d’instrument :modifie l’état de contournement de l’instrument. En mode Édition d’effet :modifie l’état de contournement de l’effet en cours d’édition. UNDO/save Réalise une étape d’annulation. Le voyant DEL est allumé si une étape de rétablissement est disponible. Maj Enregistre le projet. Le voyant DEL est allumé si le projet contient des modifications non enregistrées. Maj Bascule en mode Shift (où les fonctions indiquées par les étiquettes (inversées) sous les boutons s’appliquent). Contrôle Assignation Contrôle Assignation PLAY/transport Raccourci clavier de lecture. Maj Bascule les boutons de sélection en mode de la section Transport. STOP/locate Raccourci clavier d’arrêt. Maj Bascule les boutons de sélection en mode de localisation. FFWD/monitor Raccourci clavier d’avance rapide Shuttle. REWIND/status Raccourci clavier de retour arrière Shuttle.130 Chapitre 5 CM Labs Motormix Maj Ouvre la fenêtre de synchronisation des réglages du projet. NEXT/configure Déplace la tête de lecture vers le marqueur suivant. LAST/assign Lorsque les boutons rotatifs de l’encodeur affichent des destinations d’envoi, l’utilisation de ce contrôle rétablit l’affichage des niveaux d’envoi. Sinon :déplace la tête de lecture vers le marqueur précédent. Maj Lorsque les boutons rotatifs de l’encodeur affichent des niveaux d’envoi, l’utilisation de ce contrôle bascule vers l’affichage des destinations d’envoi. Lorsque les encodeurs rotatifs sont en mode Édition d’effet, l’utilisation de LAST/assign les bascule vers le mode Assignation d’effet. Lorsque les boutons rotatifs de l’encodeur sont en mode Édition d’instrument, l’utilisation de ce contrôle les bascule vers le mode Assignation d’instrument. ENTER/utility Identique à la touche Entrée sur le clavier de l’ordinateur. Maj Ouvre la fenêtre d’automation des réglages du projet. ESCAPE Lorsque le voyant DEL est allumé, sort du mode « spécial » (indiqué par un voyant DEL clignotant). Le reste du temps :identique à la touche Échap du clavier de l’ordinateur. Contrôle Assignation6 131 6 Frontier Design TranzPort Réglage de votre Frontier Design TranzPort La section suivante décrit les étapes nécessaires pour utiliser votre surface de contrôle Frontier Design TranzPort avec Logic Express. Pour régler votre périphérique Frontier Design TranzPort dans Logic Express : 1 Vérifiez que le logiciel fourni avec le périphérique TranzPort est installé. 2 Vérifiez que la passerelle Tranz (émetteur sans fil) est connectée à l’ordinateur via USB. Lors de son lancement, Logic Express installe automatiquement la TranzPort et la règle sur le mode natif. Écran à cristaux liquides L’affichage LCD présente les informations suivantes :  Ligne supérieure gauche :nom du canal actuellement affiché  Ligne supérieure médiane :volume du canal actuellement affiché  Ligne supérieure droite :panoramique du canal actuellement affiché  Ligne inférieure gauche :level meter du canal affiché  Ligne inférieure droite :position actuelle de la tête de lecture132 Chapitre 6 Frontier Design TranzPort Aperçu des assignations La présence d’un bouton SHIFT (ou de tout autre bouton de modification) indiqué par une description sous le bouton d’une fonction donnée, entraîne l’action décrite si vous maintenez simultanément ce bouton et le bouton de modification enfoncés. Tranche de console Master Section Contrôle Assignation Préférences > Surfaces de Contrôle > Réglage. 5 Sélectionnez Nouveau > Installer à partir du menu de la fenêtre Réglage. 6 Sélectionnez la CS-32 dans la liste de la fenêtre d’installation. 7 Cliquez sur le bouton Détecter.136 Chapitre 7 MiniDesk CS-32 JLCooper Aperçu des assignations Un bouton de modification (SHIFT, par exemple) indiqué par une description sous le bouton d’une fonction donnée, entraîne l’action modifiée si vous maintenez simultané- ment ce bouton et le bouton de modification enfoncés. Affichage L’affichage fait apparaître des informations sur le mode actif et le paramètre en cours de modification : Potentiomètres (pot) Les potentiomètres n’étant pas motorisés, le mode Pickup est utilisé (s’il est activé dans les préférences Surfaces de contrôle). En mode Pickup, le contrôleur doit atteindre (collecter) la valeur actuelle pour que celle-ci commence à changer. Ceci empêche les sauts brusques des valeurs des paramètres, causés par l’automation de la lecture. La valeur active d’un potentiomètre est indiquée par les voyants DEL fléchés NULL.  La flèche supérieure est allumée si la valeur du potentiomètre est supérieure à la valeur active. Texte affiché Signification -- Un paramètre à bascule (Solo, Muet, Rec/Rdy) a été désactivé. AE Configuration d’activation de l’automation :les boutons Muet de 1 à 6 affichent/ règlent différents paramètres d’automation. AS Les potentiomètres (boutons) sont en mode d’assignation Pan/Send. b1–b9 Les potentiomètres sont en mode Sélection de banque de modules ou Sélection de banque d’instruments. In Les potentiomètres sont en mode Édition d’instrument. Lt Les boutons Muet affichent/règlent le mode d’automation Latch. Mu Le mode Muet a été activé. P1–P9 Les potentiomètres sont en mode Édition d’effet. Pa Les potentiomètres sont en mode Pan/Send. Rd Les boutons Muet affichent/règlent le mode d’automation Lire. Re Le mode Enregistrement prêt a été activé. So Le mode Solo a été activé. Tc Les boutons Muet affichent/règlent le mode d’automation Touch. Wr Les boutons Muet affichent/règlent le mode d’automation Write. Autre texte Lorsqu’un canal est sélectionné, les deux premiers caractères de son nom apparaissent brièvement. Nombres Lorsque vous modifiez une valeur numérique à l’aide d’un curseur ou d’un potentiomètre, la valeur active s’affiche. Si elle comporte plus de deux chiffres, les deux derniers sont affichés. Les signes plus/moins (+/–) apparaissent si un seul chiffre est affiché.Chapitre 7 MiniDesk CS-32 JLCooper 137  La flèche inférieure est allumée si la valeur du potentiomètre est inférieure à la valeur active.  Les deux voyants DEL fléchés sont allumés lorsque le potentiomètre a atteint la valeur active. Les potentiomètres peuvent fonctionner dans trois modes, chacun comportant un sous-mode. Mode Pan/Send Appuyez sur F7 pour activer le mode Pan/Send (l’affichage indique « PA »). Dans ce mode, les potentiomètres contrôlent les paramètres de canal suivants : Si vous maintenez le bouton SHIFT enfoncée (l’affichage indique « AS »), les potentiomètres vous permettent d’opérer les assignations suivantes : Mode Édition d’instrument Appuyez sur F8 pour passer en mode Édition d’instrument (l’affichage indique « In »). Les potentiomètres contrôlent les paramètres d’instrument (logiciels). En maintenant le bouton SHIFT enfoncé (l’affichage indique b1–b9), vous pouvez passer d’une banque (ou page) de paramètres à l’autre (voir « Section Curseur » à la page 139). Mode Édition d’effet Appuyez sur F9 pour passer en mode Édition d’effet (l’affichage indique P1–P9). Les potentiomètres contrôlent les paramètres de l’effet dans le logement d’insertion sélectionné. Contrôle Assignation SEND A/P1 Contrôle le niveau Send 1 du canal sélectionné. SEND B/P2 Contrôle le niveau Send 2 du canal sélectionné. PAN/P3 Contrôle le panoramique du canal sélectionné. SEND C/P4 Contrôle le niveau Send 3 du canal sélectionné. SEND D/P5 Contrôle le niveau Send 4 du canal sélectionné. SEND E/P6 Contrôle le niveau Send 5 du canal sélectionné. Contrôle Assignation SEND A/P1 Assigne la destination Send 1 (bus) du canal sélectionné. SEND B/P2 Assigne la destination Send 2 du canal sélectionné. PAN/P3 Assigne le format d’entrée du canal sélectionné. SEND C/P4 Assigne la destination Send 3 du canal sélectionné. SEND D/P5 Assigne la destination Send 4 du canal sélectionné. SEND E/P6 Assigne la destination Send 5 du canal sélectionné.138 Chapitre 7 MiniDesk CS-32 JLCooper En maintenant le bouton SHIFT enfoncé (l’affichage indique alors b1–b9), vous pouvez passer d’un logement d’insertion à l’autre et d’une banque (page) de paramètres à l’autre (voir « Section Curseur » à la page 139). Tranches de console Bouton Banque Contrôle Assignation PAN SELECT/ TRACK SELECT Sélectionne la tranche de console (destination de la piste sélectionnée). Solo Active/désactive le mode Solo. LOCATE Déplace la tête de lecture vers les marqueurs 1 à 32. Maj LOCATE 17 :crée un marqueur. LOCATE 18 :crée un marqueur sans arrondi. LOCATE 19 :supprime le marqueur à la tête de lecture. LOCATE 25 :ouvre la liste des marqueurs. LOCATE 26 :ouvre la fenêtre Texte des marqueurs. LOCATE 28 :règle des locators par rapport au marqueur précédent. LOCATE 29 :règle des locators par rapport au marqueur actif. LOCATE 30 :règle des locators par rapport au marqueur suivant. LOCATE 31 :place la tête de lecture sur le marqueur précédent. LOCATE 32 :place la tête de lecture sur le marqueur suivant. Muet Active ou désactive le mode Muet. F1 Configuration du mode d’activation de l’automation (l’affichage indique AE). MUET 1 :active/désactive l’automation du volume. MUET 2 :active/désactive l’automation du du panoramique. MUET 3 :active/désactive l’automation du mode Muet. MUET 4 :active/désactive l’automation du mode Solo. MUET 5 :active/désactive l’automation de l’envoi (niveau). MUET 6 :active/désactive l’automation des paramètres des modules. F2 Bascule entre les modes d’automation Lire et Off (l’affichage indique Td). F3 Bascule entre les modes d’automation Touch et Off (l’affichage indique Tc). F4 Bascule entre les modes d’automation Latch et Off (l’affichage indique Lt). F5 Bascule entre les modes d’automation Write et Off (l’affichage indique Wr). ARM Active/désactive le bouton Record Enable. Curseurs Contrôlent le volume. Les curseurs n’offrant aucun retour, le mode Pickup est utilisé, comme pour les potentiomètres. Pour plus d’informations sur le mode Pickup, reportez-vous à la Potentiomètres (pot) section on page 136. Contrôle Assignation (Petit bouton rouge avec voyant DEL vert) Voyant DEL éteint :les étiquettes noires des boutons de tranches de console s’appliquent (TRK/LOC/ARM). Voyant DEL allumé :les étiquettes blanches des boutons de tranches de console s’appliquent (PAN/SOLO/MUET).Chapitre 7 MiniDesk CS-32 JLCooper 139 Section Touche F Section Curseur Contrôle Assignation Maj Bouton de modification de la fonction des autres contrôles. Reportez-vous aux entrées SHIFT dans la colonne de gauche. F1 Si vous maintenez ce bouton enfoncé, les boutons MUET 1 à 6 activent/désactivent l’automation de certains paramètres (voir MUET). Maj Active/désactive le mode Cycle. F2 Si vous maintenez ce bouton enfoncé, les boutons MUET règlent le mode d’automation sur Lire. Maj Active/désactive le mode Autopunch. F3 Si vous maintenez ce bouton enfoncé, les boutons MUET règlent le mode d’automation sur Touch. Maj Règle le locator gauche sur la position actuelle de la tête de lecture. F4 Si vous maintenez ce bouton enfoncé, les boutons MUET règlent le mode d’automation sur Latch. Maj Règle le locator droit sur la position actuelle de la tête de lecture. F5 Si vous maintenez ce bouton enfoncé, les boutons MUET règlent le mode d’automation sur Write. Maj Règle le locator de punch In sur la position actuelle de la tête de lecture. F6 Maj Règle le locator de punch Out sur la position actuelle de la tête de lecture. F7 Attribue aux potentiomètres le mode Pan/Send (l’affichage indique PA). Maj Active/désactive le clic du métronome. F8 Attribue aux potentiomètres le mode Édition d’instrument (l’affichage indique P1–P9). F9 Attribue aux potentiomètres le mode Édition d’effet (l’affichage indique P1–P9). Contrôle Assignation Haut Effectue un zoom arrière vertical. Maj En mode Édition d’effet :se déplace d’un logement d’insertion vers le haut (sauf si le premier logement est sélectionné). Bas Effectue un zoom avant vertical. Maj En mode Édition d’effet :se déplace d’un logement d’insertion vers le bas (sauf si le dernier logement est sélectionné). Gauche Effectue un zoom arrière horizontal. Maj Dans les modes Édition d’instrument et Édition d’effet :décrémente la banque de paramètres active (descend d’une banque, ou d’une page, de paramètres).140 Chapitre 7 MiniDesk CS-32 JLCooper Section Transport Section Jog wheel (molette) Droit Effectue un zoom avant horizontal. Maj Dans les modes Édition d’instrument et Édition d’effet :incrémente la banque de paramètres active (remonte d’une banque, ou d’une page, de paramètres). Contrôle Assignation Contrôle Assignation Enregistrer Enregistrer. Arrêt Arrêt. REW Déplace la tête de lecture d’une mesure vers l’arrière. Lecture Lecture. F FWD Déplace la tête de lecture d’une barre vers l’avant. Contrôle Assignation Jog Wheel (molette) SCRUB désactivé :déplace la tête de lecture (de mesure en mesure). SCRUB activé :le scrubbing audio (et MIDI) est possible. SHUTTLE activé :mode Shuttle SCRUB Bascule le jog wheel entre les modes de déplacement de tête de lecture (par mesures) et Scrubbing. SHUTTLE Bascule le jog wheel entre les modes de déplacement de tête de lecture (par mesures) et Shuttle.8 141 8 JLCooper FaderMaster 4/100 Ce dont vous avez besoin Vous avez besoin d’une ou de plusieurs unités FaderMaster 4/100 (version MIDI ou USB) avec la version de programme interne 1.03 ou supérieure. Important :si vous disposez d’un programme interne antérieur (voir l’autocollant à l’arrière de l’unité), contactez JLCooper. Réglage de votre JLCooper FaderMaster 4/100 Pour pouvoir utiliser votre surface de contrôle Faster Master 4/100 avec Logic Express, suivez les étapes ci-dessous.  Modèle USB uniquement :Installez le logiciel fourni avec la FaderMaster 4/100.  Vérifiez que vos unités FaderMaster 4/100 sont connectées à l’ordinateur via USB ou MIDI. Remarque :les unités USB sont installées automatiquement. Pour installer des unités connectées via MIDI : 1 Sélectionnez Logic Express > Préférences > Surfaces de Contrôle > Réglage. 2 Sélectionnez Nouveau > Installer à partir du menu de la fenêtre Réglage. 3 Sélectionnez la FaderMaster 4/100 dans la liste de la fenêtre Installer. 4 Cliquez sur le bouton Détecter. Remarque :vous pouvez combiner plusieurs unités FaderMaster 4/100 afin de former une grande surface de contrôle virtuelle. Toutefois, la signification/les fonctionnalités des boutons Piste sont commandées individuellement pour chaque unité.142 Chapitre 8 JLCooper FaderMaster 4/100 Aperçu des assignations Les tableaux d’assignation suivants sont divisés selon les zones de la FaderMaster 4/100. Boutons globaux Tranche de console Contrôle Assignation Select Attribue aux boutons Piste les opérations de sélection de piste. Aux Attribue aux boutons Piste l’émulation des boutons Enregistrement activé. Solo Attribue aux boutons Piste l’émulation des boutons Solo. Muet Attribue aux boutons Piste l’émulation des boutons Muet. Inc Augmente l’affichage de banque de curseurs pour afficher les quatre canaux suivants. Dec Réduit l’affichage de banque de curseurs pour afficher les quatre canaux précé- dents. Contrôle Assignation Bouton piste Réalise la fonction sélectionnée (Sélection, Enregistrement activé, Solo, Muet). Curseur Contrôle le volume (tactile et automatisé).9 143 9 Korg microKONTROL et KONTROL49 Réglage de votre Korg microKONTROL et KONTROL49 La section ci-dessous décrit les étapes nécessaires pour utiliser votre surface de contrôle avec Logic Express. Pour régler votre surface de contrôle avec Logic Express : 1 Vérifiez que vos unités sont reliées à l’ordinateur par le port USB. 2 Ouvrez Logic Express. Les unités sont détectées et installées automatiquement. Le microKONTROL/KONTROL49 est automatiquement configuré en mode natif (les paramètres de scène internes sont ignorés). Remarque :si l’installation et l’identification échouent, le temps de réponse du microKONTROL/KONTROL49 est peut-être trop long, en raison de problèmes de puissance liés au bus USB. Dans ce cas, connectez l’adaptateur secteur fourni, puis mettez le commutateur d’alimentation en position DC. Lorsque vous quittez Logic Express (ou supprimez l’icône de surface de contrôle dans la fenêtre de réglage des surfaces de contrôle), le microKONTROL/KONTROL49 repasse en fonctionnement normal (non natif).144 Chapitre 9 Korg microKONTROL et KONTROL49 Aperçu des assignations La présence d’un bouton de modification (SHIFT, par exemple) indiqué par une description sous le bouton d’une fonction donnée, entraîne l’action décrite si vous maintenez simultanément ce bouton et le bouton de modification enfoncés. Pads (manettes) Les pads peuvent fonctionner en huit modes et trois incrustations. Appuyez simultané- ment sur le bouton SCENE tout en actionnant les pads pour sélectionner le mode des pads et des tranches de console. Si vous relâchez le bouton SCENE sans appuyer sur un pad, la présentation Pad ou Canal active n’est pas affectée. Mode Transport Pour activer ce mode, appuyez simultanément sur le bouton SCENE et le pad 1. Pad (manette) Assignation 1 Attribue aux pads le mode Transport. 2 Attribue aux pads le mode Solo/Muet. 3 Attribue aux pads le mode Rec/Select (enregistrement/sélection). 4–8 Attribue aux pads les modes User (utilisateur) 4 à 8. Ces modes ne sont assignés à aucun pad.Vous pouvez les assigner à des raccourcis clavier avec la fonction Apprendre. 9 Attribue aux tranches de console le mode Pan. 10 Attribue aux tranches de console le mode Send (envoi). 11 Attribue aux tranches de console le mode Automation (automation). 12 Attribue aux tranches de console le mode Édition d’instrument. 13 Attribue aux tranches de console le mode Édition d’effet. 14–16 Attribue aux tranches de console les modes User (utilisateur) 6 à 8. Ces modes ne sont assignés à aucun encodeur. Vous pouvez les assigner à l’aide de la fonction Apprendre de Logic Express. Pad (manette) Assignation 1 Attribue à l’encodeur principal le mode Transport. 2 Attribue à l’encodeur principal le mode Scrub. 3 Attribue à l’encodeur principal le mode Shuttle. 7 Bascule entre synchronisation interne et externe. 8 Active/désactive le clic du métronome (séparément pour la lecture et l’enregistrement). 9 Active/désactive le mode Cycle. 10 Active/désactive le mode Autopunch. 11 Active/désactive le mode de remplacement. 12 Active/désactive le mode Solo. 13 Enregistrer.Chapitre 9 Korg microKONTROL et KONTROL49 145 Mode Solo/Muet Pour activer ce mode, appuyez simultanément sur le bouton SCENE et le pad 2. Mode Rec/Select (enregistrement/sélection) Pour activer ce mode, appuyez simultanément sur le bouton SCENE et le pad 3. Modes User (utilisateur) 4 à 8 Pour activer ces modes, appuyez simultanément sur le bouton SCENE et les pads 4 à 8. Dans ces modes, les pads ne sont pas assignés. Utilisez la fonction Apprendre (Logic Express > Préférences > Surfaces de contrôle > Apprendre l’assignation pour xxx) pour les assigner à des raccourcis clavier, par exemple. Remarque :en mode d’apprentissage :si un pad est activé et relâché immédiatement, l’assignation apprise ne fonctionne pas comme prévu. Pour assigner correctement un raccourci clavier : 1 Activez le bouton Apprendre nouvelle assignation dans la fenêtre Raccourcis clavier. 2 Choisissez le raccourci clavier souhaité, puis maintenez le pad enfoncé jusqu’à ce que l’état du bouton Apprendre nouvelle assignation soit activé. Cette approche légèrement différente est due aux messages envoyés par les périphériques Korg :lorsque le pad est immédiatement relâché, une plage de valeurs est apprise. Si le pad est maintenu enfoncé jusqu’à désactivation du mode d’apprentissage, une valeur fixe est mémorisée. 14 Pause. 15 Lecture. 16 Arrêt. Pad (manette) Assignation Pad (manette) Assignation 1–8 Active/désactive le mode Solo pour les huit canaux contrôlés avec les huit tranches de console. 9–16 Active/désactive le mode Muet pour les huit canaux contrôlés avec les huit tranches de console. Pad (manette) Assignation 1–8 Active/désactive le bouton Record Enable (enregistrement activé) des huit canaux contrôlés avec les huit tranches de console. 9–16 Sélectionne l’un des huit canaux contrôlés avec les huit tranches de console.146 Chapitre 9 Korg microKONTROL et KONTROL49 Mode Send (envoi) Pour activer ce mode, appuyez simultanément sur le bouton SCENE et le pad 10. En mode d’envoi, les encodeurs des tranches de console contrôlent le niveau (quantité) de l’envoi sélectionné. Les pads restent dans le mode sélectionné. Incrustation de l’envoi Appuyer sur le bouton SETTING, alors que les encodeurs sont en mode d’envoi, modifie l’action des pads dans ce mode. Mode Édition d’effet Pour activer ce mode, appuyez simultanément sur le bouton SCENE et le pad 13. En mode Édition d’effet, les encodeurs de tranches de console contrôlent les paramètres de l’effet sélectionné. Les pads restent dans le mode sélectionné. Incrustation de l’édition d’effet Appuyer sur le bouton SETTING alors que les encodeurs sont en mode Édition d’effet modifie l’action des pads dans ce mode. Section principale L’écran à cristaux liquides principal présente des informations sur le mode actif des encodeurs. Pad (manette) Assignation 1–8 Active/désactive l’état de contournement des envois (de l’envoi sélectionné) pour les huit tranches de console. 9–16 Active/désactive la position d’envoi (curseur pre/post) de l’envoi sélectionné, pour les huit tranches de console. Pad (manette) Assignation 1–8 Active/désactive l’état de contournement des effets (du logement d’insertion sélectionné) pour les huit tranches de console. Texte affiché Signification Les encodeurs éditent les paramètres d’instrument. Les encodeurs éditent les paramètres d’effet (xx indique le logement d’insertion sélectionné). Automatn Les encodeurs règlent le mode Automation. Ins. x (avec le bouton SETTING) L’encodeur principal choisit le numéro de logement d’insertion. ModePad ? Affiché lorsque le bouton SCENE est maintenu enfoncé. Pan Les encodeurs contrôlent le panoramique. Send x Les encodeurs contrôlent le niveau de l’envoi x. User 6 Mode User 6 de tranche de console. Les encodeurs ne sont initialement pas assignés.Chapitre 9 Korg microKONTROL et KONTROL49 147 Le rétro-éclairage de l’écran à cristaux liquides est rouge en mode enregistrement et vert le reste du temps. Voici le rôle des contrôles situés dans la section principale : User 7 Mode User 7 de tranche de console. Les encodeurs ne sont initialement pas assignés. User 8 Mode User 8 de tranche de console. Les encodeurs ne sont initialement pas assignés. Texte affiché Signification Contrôle Assignation Encodeur principal Contrôle la tête de lecture dans trois modes (voir les pads 1 à 3 dans la rubrique « Mode Transport » à la page 144). Réglage Bouton maintenu enfoncé en mode d’envoi :  L’encodeur principal choisit l’envoi actuel.  Les pads ont une signification spéciale (voir « Mode Send (envoi) » à la page 146).  Les écrans à cristaux liquides affichent les destinations d’envoi.  Les encodeurs choisissent les destinations d’envoi. Bouton maintenu enfoncé en mode Édition d’effet :  L’encodeur principal choisit le logement d’insertion actif.  Les pads ont une signification spéciale (voir « Mode Édition d’effet » à la page 146).  Les écrans à cristaux liquides affichent le nom des effets (pour les huit canaux). MESSAGE Active/désactive le mode Flip dupliqué. Lorsqu’il est activé, les curseurs et les encodeurs contrôlent le paramètre affiché sur l’écran à cristaux liquides. SCENE Lorsque ce bouton est maintenu enfoncé, les pads permettent de naviguer entre les fonctions de pad et les présentations de canal. Reportez-vous à la rubrique « Pads (manettes) » à la page 144. EXIT — HEX LOCK Décale la banque de curseurs vers les huit canaux précédents (le voyant DEL est allumé s’il existe des canaux précédents). Décale la banque de curseurs vers les huit paramètres précédents dans les pré- sentations Édition d’effet ou Édition d’instrument. ENTER Décale la banque de curseurs vers les huit canaux suivants (le voyant DEL est allumé s’il existe des canaux suivants). Décale la banque de curseurs vers les huit paramètres suivants dans les présentations Édition d’effet ou Édition d’instrument. < Décalage d’une octave vers le bas. > Décalage d’une octave vers le haut.148 Chapitre 9 Korg microKONTROL et KONTROL49 Tranches de console Il existe plusieurs modes pour les encodeurs, activables à l’aide du bouton SCENE et des pads 9 à 16. Entrée externe Contrôle Assignation Écran à cristaux liquides Affiche le paramètre contrôlé par l’encodeur. La paire nom/valeur en cours est affichée pendant quelques secondes lorsque vous déplacez un encodeur ou un curseur. Lorsque les encodeurs sont dans une présentation Table de mixage (Pan, Send, Send Setup), la couleur de l’arrière-plan indique le mode d’automation des canaux :  Vert :désactivé ou Lire  Jaune :touch ou Latch  Rouge :write (Écrire) Encodeur Contrôle le paramètre affiché directement au-dessus de l’encodeur sur l’écran à cristaux liquides. Curseur Contrôle le volume. Les curseurs n’offrant aucun retour, le mode Pickup est utilisé (s’il est activé dans les préférences des surfaces de contrôle). Cela signifie que le curseur doit atteindre (« collecter ») la valeur de paramètre actuelle pour que la valeur commence à changer. Contrôle Assignation Commutateur au pied Démarre et arrête la lecture. Pédale Contrôle le curseur principal.10 149 10 Mackie Baby HUI Configuration de votre Mackie Baby HUI Les unités Baby HUI ne prennent pas en charge l’analyse automatique. Vous devez ajouter manuellement ces périphériques à votre configuration. En ajoutant un périphérique de cette manière, vous devez alors spécifier les paramètres d’entrée et de sortie MIDI. Pour configurer des unités Mackie Baby HUI : 1 Vérifiez que vos unités Baby HUI partagent une connexion bidirectionnelle avec l’ordinateur à travers une interface MIDI. 2 Sélectionnez Logic Express > Préférences > Surfaces de Contrôle > Réglage. 3 Sélectionnez Nouveau > Installer dans la fenêtre Réglage. 4 Sélectionnez l’unité Baby HUI dans la fenêtre d’installation. 5 Cliquez sur le bouton Ajouter. 6 Sélectionnez le périphérique ajouté dans la fenêtre Réglage, puis assignez les paramètres d’entrée et de sortie MIDI comme il convient.150 Chapitre 10 Mackie Baby HUI Aperçu des assignations Si la mention SHIFT figure sous la description d’un bouton, ce dernier permet une autre action lorsque vous maintenez enfoncée le bouton de modification. Tranches de console Section Assignation d’encodeur Section Automation Contrôle Assignation Bouton rotatif de l’encodeur Ajuste le paramètre sélectionné dans la section Assignation d’encodeur. Bouton-poussoir de l’encodeur Sélectionne une tranche de console. MAJ Active/désactive le bouton d’activation pour l’enregistrement du canal sélectionné. Indicateur de signal S’allume en présence d’un signal transmis sur le canal. Indique également la sélection d’un canal. SOLO Active ou désactive le mode Solo. MUET Active ou désactive le mode Muet. Curseur Ajuste le volume. Contrôle Assignation PAN Assigne la fonction de panoramique aux boutons rotatifs de l’encodeur. SEND 1 Assigne le niveau Send 1 aux boutons rotatifs de l’encodeur. SEND 2 Assigne le niveau Send 2 aux boutons rotatifs de l’encodeur. SEND 3 Assigne le niveau Send 3 aux boutons rotatifs de l’encodeur. SEND 4 Assigne le niveau Send 4 aux boutons rotatifs de l’encodeur. Contrôle Assignation BYPASS/OFF Attribue au canal sélectionné le mode d’automation Off. MAJ Active ou désactive la lecture et l’enregistrement de l’automation du niveau (volume). READ (LIRE) Attribue au canal sélectionné le mode d’automation Lire. MAJ Active ou désactive la lecture et l’enregistrement de l’automation du mode Muet. WRITE (ÉCRIRE) Attribue au canal sélectionné le mode d’automation Write. MAJ Active ou désactive la lecture et l’enregistrement de l’automation de panoramique. TOUCH (TOUCHER) Attribue au canal sélectionné le mode d’automation Touch. MAJ Active ou désactive la lecture et l’enregistrement de l’automation d’envoi.Chapitre 10 Mackie Baby HUI 151 Section d’affichage Section Utilitaire Section Navigation Section Transport Contrôle Assignation TRANSPORT Ouvre ou ferme la fenêtre des mesures de transport. MEM–LOC Ouvre ou ferme la liste des marqueurs. TABLE DE MIXAGE Ouvre ou ferme la table de mixage. EDIT Ouvre ou ferme la fenêtre Arrangement. Contrôle Assignation UNDO Annule la dernière opération d’édition. MAJ Permet d’activer l’autre fonction proposée pour certains boutons (voir ci-dessous). Contrôle Assignation RTZ Accède au locator gauche. MAJ Règle le locator de punch In (sur la position actuelle de la tête de lecture). END Accède au locator droit. MAJ Règle le locator de punch Out (sur la position actuelle de la tête de lecture). BANK SELECT (gauche) Décale les tranches de console d’une banque vers la gauche. MAJ Décale les tranches de console d’un canal vers la gauche. BANK SELECT (droite) Décale les tranches de console d’une banque vers la droite. MAJ Décale les tranches de console d’un canal vers la droite. Contrôle Assignation REWIND Retour arrière Shuttle. FAST FWD Avance rapide Shuttle. ARRÊT Arrêt. LECTURE Lecture. ENREGISTRER Enregistrer.11 153 11 Mackie C4 Réglage de votre Mackie C4 Une unité Mackie C4 connectée et sous tension est automatiquement détectée lorsque vous ouvrez Logic Express. Vous pouvez utiliser la surface de contrôle C4 dans un groupe de surfaces de contrôle indépendant (avec d’autres icônes de surface de contrôle placées au-dessus/en dessous de l’icône C4), ou combinée à une ou plusieurs surfaces de contrôle (comme Mackie Control - placez l’icône à droite ou à gauche des icônes existantes). La surface de contrôle C4 peut être utilisée de manière indépendante, mais s’avère plus utile lorsqu’elle est combinée à d’autres surfaces de contrôle, et tout particulièrement le Mackie Control. Dans ce cas, la C4 ajoute huit canaux dans la présentation Table de mixage. L’utilisation de la C4 dans son propre groupe de surfaces de contrôle vous permet d’éditer des instruments et des effets de manière distincte, tout en procédant au mixage et en exécutant d’autres tâches sur le Mackie Control ou une autre surface de contrôle. V-Pot, V-Select Le fonctionnement dépend du mode de présentation actuel et de l’incrustation choisie (voir ci-dessous). Chaque encodeur rotatif V-Pot intègre un bouton-poussoir V-Select.  La première ligne comprend les V-Pot 1 à 8.  La deuxième ligne comprend les V-Pot 9 à 16.  La troisième ligne comprend les V-Pot 17 à 24.  La dernière ligne comprend les V-Pot 25 à 32. V-Pot/V-Select 1 à 8 Si aucune incrustation n’est active, les V-Pot de 1 à 8 (ceux de la première ligne) fonctionnent généralement de la même manière que leurs homologues sur un Mackie Control ou un Mackie Control XT. Reportez-vous à la rubrique « Zone Assignment » à la page 68. V-Pot/V-Select 9 à 32 Ces V-Pot présentent des fonctionnalités supplémentaires selon les différents modes de présentation.154 Chapitre 11 Mackie C4 Dans les présentations Table de mixage (multicanal), les V-Pot des lignes 2, 3 et 4 modifient généralement le paramètre suivant celui modifié de la ligne 1. Dans la présentation Canal, les quatre lignes représentent un groupe de 32 paramètres modifiables. Dans les présentations des effets et instruments, elles peuvent être scindées en deux groupes (paramètres 8/24, 16/16 ou 24/8). Reportez-vous à la rubrique « SPLIT » à la page 160. Présentation Table de mixagePan Dans la présentation Table de mixage Pan :  La ligne 1 modifie le Pan. Pour accéder à la présentation Table de mixage Pan : 1 Maintenez le bouton CHAN STRIP enfoncé. Les étiquettes de l’incrustation de tranche de console s’affichent sur les écrans de la C4. 2 Appuyez sur le bouton V-Select 18 (Surrnd Mixer). Présentation Canal Pan Le V-Pot 1 modifie le paramètre Pan (ou Balance) du canal sélectionné. Pour accéder à la présentation Canal Pan : 1 Maintenez le bouton CHAN STRIP enfoncé. Les étiquettes de l’incrustation de tranche de console s’affichent sur les écrans de la C4. 2 Appuyez sur le bouton V-Select 26 (Surrnd). Présentation de table de mixage - Tranche de console Dans la présentation de table de mixage Tranche de console, l’ordre des lignes est inversé, si bien que la dernière ligne permet de modifier le paramètre 1. La quatrième ligne d’encodeurs V-Pot (dernière ligne) modifie le paramètre du canal sélectionné. La troisième ligne modifie le paramètre du canal 2, la ligne 2 le paramètre du canal 4 et la ligne 1 (première ligne), le paramètre du canal 4. Les V-Pot modifient les paramètres des canaux dans l’ordre suivant :volume, pan, format d’entrée, assignation d’entrée, assignation de sortie, mode d’automation, groupe, paramètre d’automation affiché. Pour modifier des paramètres non visibles : m Appuyez sur les boutons fléchés BANK ou SINGLE (vers la gauche/droite) pour modifier le paramètre affiché et édité à la ligne 4. Les paramètres figurant sur les lignes 1 à 3 seront ajustés en conséquence. Pour accéder à la présentation de Tranche de console : 1 Maintenez le bouton CHAN STRIP enfoncé.Chapitre 11 Mackie C4 155 Les étiquettes de l’incrustation de tranche de console s’affichent sur les écrans de la C4. 2 Appuyez sur le bouton V-Select 17. Présentation Table de mixage EQ Dans la présentation Table de mixage EQ :  La première ligne définit le contournement de la bande sélectionnée de l’égaliseur.  La deuxième ligne modifie la fréquence de la bande sélectionnée de l’égaliseur.  La troisième ligne modifie le gain/la courbe de la bande sélectionnée de l’égaliseur.  La quatrième ligne modifie le facteur Q de la bande sélectionnée de l’égaliseur.  Les boutons SLOT UP et SLOT DOWN permettent de sélectionner la bande de l’égaliseur. Remarque :cela ne fonctionne que si un Channel EQ est inséré dans la tranche de console sélectionnée. Pour accéder à la présentation de table de mixage EQ : 1 Maintenez le bouton CHAN STRIP enfoncé. Les étiquettes de l’incrustation de tranche de console s’affichent sur les écrans de la C4. 2 Appuyez sur le bouton V-Select 19 (EQ Mixer). Présentation Canal EQ Dans la présentation Channel EQ :  La première ligne modifie la fréquence des huit bandes.  La deuxième ligne modifie le gain/l’inclinaison des huit bandes.  La troisième ligne modifie le facteur Q des huit bandes.  La quatrième ligne règle l’état de contournement des huit bandes. Si aucun Channel EQ ne figure dans le canal sélectionné, un Channel EQ est automatiquement inséré lorsque vous passez en présentation EQ Channel. Les boutons TRACK L et TRACK R permettent de passer au canal précédent ou suivant. Si vous passez à un canal sans Channel EQ inséré, l’écran de la C4 indique « – » et les V-Pot restent sans effet. Pour accéder à la présentation du canal EQ : 1 Maintenez le bouton CHAN STRIP enfoncé. Les étiquettes de l’incrustation de tranche de console s’affichent sur les écrans de la C4. 2 Appuyez sur le bouton V-Select 27 (EQ). Présentation Table de mixage de l’envoi Dans la présentation Table de mixage de l’envoi :  La première ligne modifie la destination d’envoi du logement d’envoi sélectionné (sur le canal sélectionné).  La deuxième ligne modifie le volume de l’envoi.156 Chapitre 11 Mackie C4  La troisième ligne modifie la position d’envoi (pré-curseur/post-curseur).  La quatrième ligne active/désactive le son de l’envoi.  Les boutons SLOT UP et SLOT DOWN sélectionnent le logement de l’envoi.  Les boutons TRACK L et TRACK R décalent la banque de curseurs (vers la gauche ou la droite) du nombre de tranches de console du groupe de surfaces de contrôle. Pour accéder à la présentation de table de mixage d’envoi : 1 Maintenez le bouton CHAN STRIP enfoncé. Les étiquettes de l’incrustation de tranche de console s’affichent sur les écrans de la C4. 2 Appuyez sur le bouton V-Select 20 (Sends Mixer). Présentation du canal d’envoi Dans la présentation du canal d’envoi :  La première ligne modifie les huit (premières) destinations d’envoi de la tranche de console sélectionnée.  La deuxième ligne modifie le volume des envois 1 à 8.  La troisième ligne modifie les positions d’envoi 1 à 8 (pré/post-curseur).  La quatrième ligne active/désactive les envois 1 à 8.  Les boutons TRACK L et TRACK R permettent d’activer le canal précédent ou suivant. Pour accéder à la présentation du canal d’envoi : 1 Maintenez le bouton CHAN STRIP enfoncé. Les étiquettes d’incrustation de la tranche de console s’affichent sur les écrans de la C4. 2 Appuyez sur le bouton V-Select 28 (Sends). Présentation de table de mixage pour assignation d’effets Dans la présentation de la table de mixage pour l’assignation d’effets, la surface de contrôle C4 affiche les quatre premiers logements d’insertion des huit canaux sélectionnés.  Faites tourner un V-Pot pour passer d’un effet à l’autre (à travers le menu Effet affiché dans les canaux de table de mixage Logic Express).  Appuyez sur le bouton V-Select correspondant pour insérer l’effet choisi. Vous accé- dez ainsi à la présentation Édition d’effet où vous pouvez directement modifier les paramètres des effets. Reportez-vous à la rubrique ci-dessous pour plus d’informations.  Les boutons SLOT UP et SLOT DOWN permettent de passer d’un logement d’insertion à l’autre.  Les boutons TRACK L et TRACK R permettent de décaler la banque de curseurs du nombre de tranches de console du groupe de surfaces de contrôle.  Maintenir le bouton SHIFT enfoncé tout en appuyant sur un bouton V-Select permet d’activer l’état de contournement du logement d’insertion correspondant. Les effets contournés sont désignés par un astérisque situé devant le nom de l’effet.Chapitre 11 Mackie C4 157 Pour accéder à la présentation de table de mixage pour assignation d’effets : 1 Maintenez le bouton CHAN STRIP enfoncé. Les étiquettes d’incrustation de la tranche de console s’affichent sur les écrans de la C4. 2 Appuyez sur le bouton V-Select 21 (PlugIn Mixer). Présentation d’édition des effets Dans la présentation d’édition des effets :  Les V-Pot 1 à 32 constituent un groupe de 32 paramètres. Il est possible de les séparer (voir ci-dessous).  Les boutons SLOT UP et SLOT DOWN permettent de sélectionner le logement d’insertion voulu.  Les boutons fléchés BANK (vers la gauche/droite) permettent de décaler d’une page les paramètres modifiés.  En mode d’affichage séparé, ceci s’applique à la fonction Split Upper (scission supérieure).  Lorsque vous maintenez le bouton SHIFT enfoncé, ceci s’applique à la fonction Split Lower (scission inférieure).  Les boutons fléchés SINGLE (vers la gauche/droite) permettent de décaler d’une position les paramètres modifiés.  En mode d’affichage séparé, ceci s’applique à la fonction Split Upper (scission supérieure).  Lorsque vous maintenez le bouton SHIFT enfoncé, ceci s’applique à la fonction Split Lower (scission inférieure). Pour accéder à la présentation d’édition des effets : m Accédez à la présentation de table de mixage pour assignation d’effets, puis insérez ou sélectionnez un effet (reportez-vous à la rubrique ci-dessus pour obtenir des détails). Ceci active automatiquement la présentation d’édition des effets. Présentation de table de mixage pour assignation d’instruments Dans la présentation de la table de mixage pour l’assignation d’instruments, la surface de contrôle C4 affiche les logements d’instruments des canaux d’instruments sélectionnés.  Faites tourner un V-Pot pour sélectionner un instrument (cela permet de parcourir la liste des instruments logiciels dans le menu des modules d’instruments).  Appuyez sur le bouton V-Select correspondant pour insérer l’instrument choisi. Vous accédez ainsi à la présentation d’édition des instruments où vous pouvez modifier les paramètres des instruments. Reportez-vous à la rubrique ci-dessous pour plus d’informations.  Les boutons TRACK L et TRACK R permettent de décaler la banque de curseurs du nombre de tranches de console du groupe de surfaces de contrôle.158 Chapitre 11 Mackie C4  Maintenir le bouton SHIFT enfoncé tout en appuyant sur un bouton V-Select permet d’activer l’état de contournement du logement d’instrument correspondant. Un asté- risque précède le nom des instruments contournés. Pour accéder à la présentation de table de mixage pour assignation d’instruments : 1 Maintenez le bouton CHAN STRIP enfoncé. Les étiquettes d’incrustation de la tranche de console s’affichent sur les écrans de la C4. 2 Appuyez sur le bouton V-Select 22 (Instru Mixer). Présentation de l’édition des instruments Dans la présentation de l’édition des instruments :  Les V-Pot 1 à 32 constituent un groupe de 32 paramètres. Il est possible de les séparer.  Les boutons fléchés BANK (vers la gauche/droite) permettent de décaler d’une page les paramètres modifiés.  En mode d’affichage séparé, ceci s’applique à la fonction Split Upper (scission supérieure).  Lorsque vous maintenez le bouton SHIFT enfoncé, ceci s’applique à la fonction Split Lower (scission inférieure).  Les boutons fléchés SINGLE (vers la gauche/droite) permettent de décaler d’une position les paramètres modifiés.  En mode d’affichage séparé, ceci s’applique à la fonction Split Upper (scission supérieure).  Lorsque vous maintenez le bouton SHIFT enfoncé, ceci s’applique à la fonction Split Lower (scission inférieure). Pour accéder à la présentation d’édition des instruments : m Accédez à la présentation de table de mixage pour assignation des instruments, puis insérez ou sélectionnez un instrument (reportez-vous à la rubrique ci-dessus pour obtenir des détails). Vous activez ainsi automatiquement la présentation d’édition des instruments. Présentation Cycle Maintenez le bouton CHAN STRIP enfoncé tout en appuyant sur V-Select 31 pour activer la présentation Cycle. Dans ce mode, les encodeurs V-Pot et les boutons V-Select se comportent comme suit :  V-Pot/V-Select 1 (Cycle) :permet d’afficher et de modifier l’état de mise en boucle (activé ou désactivé).  V-Select 2 (BySet) :fait correspondre la zone de la boucle avec les sélections effectuées dans la fenêtre Arrangement (régions audio ou MIDI sélectionnées).  V-Pot 3 (Move) :déplace la zone de cycle active d’une mesure lorsque vous faites tourner le V-Pot d’un cran.Chapitre 11 Mackie C4 159  V-Pot 4 :déplace la zone de cycle active d’un battement lorsque vous faites tourner le V-Pot d’un cran.  L’écran affiche les locators gauche et droit au-dessus des V-Pot 5 et 7.  Appuyez sur le bouton V-Select 5 pour capter (utiliser) la position actuelle de la tête de lecture pour le locator gauche.  Faites tourner le V-Pot 5 pour changer la position du locator gauche de quelques mesures.  Faites tourner le V-Pot 6 pour modifier la position du locator gauche de quelques battements (étapes du dénominateur).  Appuyez sur le bouton V-Select 7 pour capter (utiliser) la position actuelle de la tête de lecture pour le locator droit.  Faites tourner l’encodeur V-Pot 7 pour modifier la position du locator droit de quelques mesures.  Faites tourner l’encodeur V-Pot 8 pour modifier la position du locator droit de quelques battements (étapes du dénominateur). Présentation Punch Maintenez le bouton CHAN STRIP enfoncé tout en appuyant sur V-Select 32 pour activer la présentation Punch. Dans ce mode, les encodeurs V-Pot et les boutons V-Select se comportent comme suit :  La commande V-Pot/V-Select 1 permet d’afficher et de modifier l’état de l’Autopunch (activé ou désactivé).  V-Pot 3 (Move) :déplace le locator de punch In actif d’une mesure lorsque vous faites tourner le V-Pot d’un cran.  V-Pot 4 :déplace le locator de punch In actif d’un battement lorsque vous faites tourner le V-Pot d’un cran.  L’écran affiche les locators de punch In et de punch Out, au-dessus des V-Pot 5 et 7.  Appuyez sur le bouton V-Select 5 pour capter (utiliser) la position actuelle de la tête de lecture pour le locator de punch In.  Faites tourner le V-Pot 5 pour changer la position du locator du punch In de quelques mesures.  Faites tourner le V-Pot 6 pour changer la position du locator du punch In de quelques battements (étapes du dénominateur).  Appuyez sur le bouton V-Select 7 pour capter (utiliser) la position actuelle de la tête de lecture pour le locator de punch Out.  Faites tourner le V-Pot 7 pour changer la position du locator du punch Out de quelques mesures.  Faites tourner le V-Pot 8 pour changer la position du locator de punch Out de quelques battements (étapes du dénominateur).160 Chapitre 11 Mackie C4 Remarque :modifier la position d’un locator de punch avec la surface de contrôle C4 active automatiquement le mode Autopunch. Boutons situés en bas La rubrique suivante décrit le fonctionnement des boutons situés au bas de la surface de contrôle C4. SPLIT Permet d’activer l’édition séparée entre les lignes 4/0, 1/3, 2/2 et 3/1. L’édition séparée vous permet de modifier simultanément deux sections distinctes d’un module, voire deux modules différents. L’édition séparée est également possible sur plusieurs unités C4. Dans le cas de deux unités, par exemple, appuyer sur le bouton SPLIT offre les modes de séparation suivants :  1/7 (La fonction Split Upper représente la première ligne de la première unité, Split Lower les 3 dernières lignes de la première unité et toutes les lignes de la seconde unité. Le voyant DEL 1/3 est allumé.)  2/6 (La fonction Split Upper représente les deux premières lignes de la première unité, Split Lower les deux dernières lignes de la première unité et toutes les lignes de la seconde unité. Le voyant DEL 2/1 est allumé.)  3/5 (Le voyant DEL 3/1 est allumé.)  4/4 (Les trois voyants DEL sont allumés.)  5/3 (Les trois voyants DEL sont allumés.)  6/2 (Les trois voyants DEL sont allumés.)  7/1 (Les trois voyants DEL sont allumés.) LOCK Active/désactive le verrouillage des pistes. Lorsque cette fonction est activée, la sélection d’une autre piste dans la fenêtre Arrangement n’active pas la sélection de la piste/ du canal actuels sur la C4. SPOT ERASE Non assigné pour l’instant. MARKER Permet de naviguer entre les modes de présentation d’incrustation du marqueur (voir « Incrustation de marqueur » à la page 163) et normal. TRACK Permet de naviguer entre les modes de présentation d’incrustation de la piste (voir « Incrustation de piste » à la page 163) et normal.Chapitre 11 Mackie C4 161 Autres options de la présentation de table de mixage Maintenir le bouton TRACK enfoncé permet d’accéder à un autre sous-menu dans la partie inférieure de l’écran à cristaux liquides, pour afficher des types de canaux particuliers :  V-Select 25 permet d’activer la présentation du canal MIDI.  V-Select 26 permet d’activer la présentation du canal d’entrée.  V-Select 27 permet d’activer la présentation du canal audio.  V-Select 28 permet d’activer la présentation du canal d’instrument logiciel.  V-Select 29 permet d’activer la présentation du canal auxiliaire.  V-Select 30 permet d’activer la présentation du canal du bus.  V-Select 31 permet d’activer la présentation du canal de sortie.  V-Select 32 permet d’activer la présentation du canal principal. Relâcher le bouton TRACK sans appuyer sur un V-Select permet de revenir à la présentation de table de mixage. CHAN STRIP Permet de naviguer entre les modes de présentation d’incrustation de la tranche de console (voir « Incrustation de la tranche de console » à la page 164) et normal. Autres options de présentation utilisateur Maintenir le bouton CHAN STRIP enfoncé permet d’accéder à un autre sous-menu dans la partie inférieure de l’écran à cristaux liquides :  Les V-Select 9 à 16 permettent d’activer l’un des huit modes utilisateur et d’assigner librement des paramètres aux commandes V-Pot ou V-Select.  V-Select 17 permet d’activer la présentation de table de mixage de tranches de console (voir « Présentation de table de mixage - Tranche de console » à la page 154).  V-Select 18 permet d’activer la présentation de table de mixage Pan (voir « Présentation Table de mixagePan » à la page 154).  V-Select 19 permet d’activer la présentation de table de mixage EQ (voir « Présentation Table de mixage EQ » à la page 155).  V-Select 20 permet d’activer la présentation de table de mixage d’envoi (voir « Présentation Table de mixage de l’envoi » à la page 155).  V-Select 21 permet d’activer la présentation de table de mixage pour assignation d’effets (voir « Présentation de table de mixage pour assignation d’effets » à la page 156).  V-Select 22 permet d’activer la présentation de table de mixage de sélection d’instruments (voir « Présentation de table de mixage pour assignation d’instruments » à la page 157).  V-Select 26 permet d’activer la présentation de canal Pan (voir « Présentation Canal Pan » à la page 154).  V-Select 27 permet d’activer la présentation de canal EQ (voir « Présentation Canal EQ » à la page 155).162 Chapitre 11 Mackie C4  V-Select 28 permet d’activer la présentation du canal d’envoi (voir « Présentation du canal d’envoi » à la page 156).  V-Select 31 active la présentation Cycle (voir « Présentation Cycle » à la page 158).  V-Select 32 active la présentation Drop (voir « Présentation Punch » à la page 159). FUNCTION Permet de naviguer entre les modes de présentation d’incrustation de la fonction (voir « Incrustation de fonction » à la page 164) et normal. Boutons de modification Les quatre boutons de cette zone sont identiques aux touches du clavier de votre ordinateur (mais restent indépendants des touches de modification du clavier). De nombreuses fonctions Logic Express se comportent différemment lorsque vous appuyez sur un ou plusieurs boutons de modification, et que vous appuyez simultanément sur une autre touche ou cliquez avec la souris. Ceci s’applique également à la surface de contrôle C4. Toutes les commandes C4 modifiées sont abordées dans chaque description de fonction. Voici une description générale des fonctions des boutons de modification :  SHIFT :permet d’activer une fonction différente de la fonction habituelle du bouton activé.  OPTION :lorsque vous maintenez ce bouton enfoncé, les paramètres se règlent sur leur valeur minimale, leur valeur par défaut ou leur valeur maximale si vous les modifiez à l’aide d’un V-Pot.  CTRL :désactive la fonction Groupe.  x/ALT :lorsque vous maintenez ce bouton enfoncé, les paramètres sont modifiés en mode fin (haute résolution) si vous faites tourner un encodeur V-Pot. BANK (gauche/droite) Décale l’affichage des paramètres d’une page (un groupe de paramètres) dans des pré- sentations particulières. SINGLE (gauche/droite) Décale l’affichage des paramètres d’un paramètre dans des présentations particulières. TRACK L/TRACK R Dans la présentation de table de mixage, ces boutons décalent la banque de curseurs vers la gauche ou la droite du nombre de tranches de console du groupe de surfaces de contrôle. Par exemple, si un groupe de surfaces de contrôle comprend deux unités C4, la présentation se décale de 16 canaux.Chapitre 11 Mackie C4 163 Appuyer simultanément sur les boutons TRACK L ou TRACK R et OPTION permet d’accé- der au premier ou au dernier groupe de canaux du projet (ou pages de paramètres en mode d’édition). Par exemple, si vous visualisez les huit premiers canaux (sur 64) dans la banque de curseurs, appuyer sur les boutons OPTION et TRACK L ou TRACK R permet d’afficher les huit derniers canaux de la banque de curseurs (canaux 57 à 64). Dans la présentation Canal, le bouton TRACK L/TRACK R permet de sélectionner le canal précédent ou suivant. Si vous maintenez le bouton SHIFT enfoncé :le comportement est le même que ci-dessus, mais seul le groupe Split inférieur est affecté (si le mode Split est activé). SLOT UP/SLOT DOWN Sélectionne l’EQ, le logement d’envoi ou d’insertion souhaité. Incrustation de marqueur L’incrustation de marqueur est active lorsque le voyant du bouton MARKER est allumé.  Les boutons V-Select 1 à 30 sont assignés aux marqueurs 1 à 30. La première ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le nom du marqueur ; la dernière ligne affiche INSIDE lorsque la tête de lecture se trouve dans les limites du marqueur.  V-Select 31 crée un marqueur.  V-Select 32 supprime le marqueur actuel. Incrustation de piste L’incrustation de piste est active lorsque le voyant du bouton TRACK est allumé.  Les boutons V-Select 1 à 32 modifient la piste ou le canal édités. Lorsqu’une piste ou un canal est sélectionnée pour une opération Split Upper, la dernière ligne de l’écran à cristaux liquides affiche le mot UPPER. Si une piste ou un canal est sélectionné pour une opération Split Lower, le mot LOWER s’affiche. Pour sélectionner une piste ou un canal pour une opération Split Upper, appuyez sur le bouton V-Select approprié. Pour sélectionner une piste ou un canal pour une opération Split Lower, appuyez sur le bouton V-Select tout en maintenant le bouton SHIFT enfoncé.  Les touches fléchées BANK (gauche/droite) permettent de décaler la banque de curseurs du nombre de canaux du groupe de surfaces de contrôle.  Les touches fléchées SINGLE (gauche/droite) permettent de décaler la banque de curseurs d’un canal.164 Chapitre 11 Mackie C4 Incrustation de la tranche de console L’incrustation de la tranche de console est active lorsque le voyant du bouton CHAN STRIP est allumé.  La première ligne de V-Pot/V-Select permet de modifier la fréquence et le gain des bandes 3 à 6 d’égalisation (les bandes paramétriques), à condition qu’un effet d’égalisation soit inséré dans la tranche de console active.  La deuxième ligne de V-Pot/V-Select permet d’activer le mode d’édition des effets pour les insertions 1 à 8, à condition qu’un effet soit inséré dans le logement d’insertion correspondant. En l’absence d’effet, faites tourner le V-Pot correspondant pour sélectionner un effet, puis appuyez sur le bouton V-Select pour l’insérer.  La troisième ligne de V-Pot/V-Select permet de modifier les niveaux d’envoi 1 à 8, à condition que le canal choisi ait des envois actifs.  V-Pot/V-Select 25 permet d’activer le mode d’édition des instruments, à condition que le canal sélectionné soit acheminé à travers un canal d’instrument et qu’un module d’instrument soit inséré.  V-Pot/V-Select 26 permet de modifier la destination de sortie des canaux.  V-Pot/V-Select 27 permet de régler le mode d’automation.  V-Pot/V-Select 28 permet de modifier l’adhésion à un groupe.  V-Pot/V-Select 29 permet de modifier un volume.  V-Pot/V-Select 30 permet de modifier le Pan.  V-Pot/V-Select 32 permet de régler le format d’entrée des canaux. Incrustation de fonction L’incrustation des fonctions est active lorsque le voyant du bouton FUNCTION est allumé. Contrôle Assignation 1 (Écran :Inspct) Active/désactive l’inspecteur de la fenêtre en cours. 2 (Channl Strip) Active/désactive l’affichage de la zone des listes dans la fenêtre Arrangement. 2 (Channel Strip)-Option Active/désactive l’affichage de la zone des médias dans la fenêtre Arrangement. 3 (Delay in ms) Active/désactive l’affichage des délais en millisecondes. 4 (Ruler :SMPTE) Active/désactive l’affichage SMPTE de la règle. 5 (Global Track) Active/désactive l’affichage des pistes globales. 6 (Arrang Grid) Active/désactive l’affichage de la grille de la fenêtre Arrangement. 7 (Event Float) Active/désactive l’affichage de la liste des événements. 8 (Name/Value) Permet de basculer le mode d’affichage entre Name et Value (identique au bouton NAME/VALUE du Mackie Control). 9 (Track Autom.) Active/désactive l’affichage de l’automation des pistes dans la fenêtre Arrangement.Chapitre 11 Mackie C4 165 10 (Trk>Rg Autom.) Exécute le raccourci clavier Déplacer les données actives d’automation de la piste vers la région. En maintenant le bouton OPTION enfoncé (écran :Trk>Ob Au All), le raccourci clavier « Déplacer toutes les données d’automation de la piste vers la région » est exécuté. 11 (Rg>Trk Autom.) Exécute la fonction Déplacer les données de la région active dans l’automation de la piste. En maintenant le bouton OPTION enfoncé (écran :Ob>Trk Au All), le raccourci clavier « Déplacer toutes les données de contrôles de région vers l’automation de la piste » est exécuté. 12 (Clear Autom.) Exécute le raccourci clavier Effacer l’automation actuellement visible de la piste courante. En maintenant le bouton OPTION enfoncé (écran :Clear Au All), la fonction « Effacer toutes les données d’automation de la piste courante » est exécutée. 13 (ClrAll Overld) Réinitialise les écrans de surcharge Level Meter. 14 (ClrAll RecRdy) Désactive le bouton d’activation de l’enregistrement de tous les canaux. 15 (ClrAll Solo) Désactive le mode Solo pour tous les canaux. 16 (ClrAll Muet) Désactive le mode Muet pour tous les canaux. 17 (Tool :Pointr) Choisit l’outil Pointeur. 18 (Tool :Pencil) Choisit l’outil Crayon. 19 (Tool :Scissr) Choisit l’outil Ciseaux. 20 (Tool :Glue) Choisit l’outil Colle. 21 (Tool :Text) Choisit l’outil Texte. 22 (Tool :Xfade) Choisit l’outil Fondu enchaîné. 23 (Tool :Marque) Choisit l’outil Sélecteur. 24 (Tool :Autom.) Choisit l’outil Sélection d’automation. V-Pot 25 (WfZoom) Modifie le facteur de zoom des formes d’onde (si la fenêtre Arrangement est active). V-Pot 26 (V.Zoom) Modifie le facteur de zoom vertical de la fenêtre active. V-Pot 27 (H.Zoom) Modifie le facteur de zoom horizontal de la fenêtre active. V-Pot 28 (Move Cycle) Déplace les locators des cycles. V-Pot 29 (Quantz) Choisit la valeur Quantifier. Le bouton V-Select 29 exécute l’option « Quantifier les événements sélectionnés » pour les régions ou les évé- nements sélectionnés. V-Pot 30 (Division) Choisit la valeur de division de l’affichage de l’horloge. V-Select 31 (Prev SetEXS) Exécute le raccourci clavier Réglage de module ou d’instrument EXS suivant. V-Select 32 (Next SetEXS) Exécute le raccourci clavier Réglage de module ou instrument EXS précédent. Contrôle Assignation12 167 12 Mackie HUI Réglage de votre Mackie HUI Les unités HUI ne prennent pas en charge la détection automatique. Vous devez ajouter manuellement ces périphériques à votre configuration. Lorsque vous ajoutez un périphérique de cette manière, vous devez assigner les paramètres de port MIDI In et Out. Pour régler des unités Mackie HUI : 1 Vérifiez que vos unités HUI sont connectées à l’ordinateur de façon bidirectionnelle, à l’aide d’une interface MIDI. 2 Sélectionnez Logic Express > Préférences > Surfaces de Contrôle > Réglage. 3 Sélectionnez Nouveau > Installer dans la fenêtre Réglage. 4 Sélectionnez la surface de contrôle HUI dans la fenêtre Installer. 5 Cliquez sur le bouton Ajouter. 6 Sélectionnez le périphérique ajouté dans la fenêtre Réglage, puis réglez les paramètres MIDI In et Out de façon appropriée. Configuration de vos périphériques compatibles HUI Si l’unité émule une unité HUI, procédez comme si vous utilisiez une HUI. Si vous rencontrez des problèmes dans l’affichage DSP Edit, installez l’unité comme une DM2000. Si l’unité émule plusieurs HUI, ajoutez le nombre requis de périphériques supplémentaires dans la fenêtre Réglage. Si l’unité ne peut prendre en charge qu’une seule section DSP Edit du périphérique HUI, sélectionnez le nom de modèle « HUI Channel Strips only » pour ces unités supplémentaires. La navigation au sein de la section DSP Edit se limite ainsi à quatre paramètres. Pour plus d’informations sur les assignations de bouton, reportez-vous à la section Vue d’ensemble des assignations ci-dessous, ainsi qu’au manuel de l’utilisateur du périphérique.168 Chapitre 12 Mackie HUI Vue d’ensemble des assignations La présence d’un bouton de modification (SHIFT, par exemple) indiqué par une description sous le bouton d’une fonction donnée, entraîne l’action décrite si vous maintenez simultanément ce bouton et le bouton de modification enfoncés. Section ASSIGN Contrôle Assignation SEND A Assigne le niveau Send 1 aux V-Pots, et les niveaux Send 1 à 4 aux V-Pots DSP. Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, les afficheurs alphanumériques affichent la destination Send 1 actuelle (numéro de bus). SHIFT/ADD Comme ci-dessus, pour Send 6 SEND B Comme ci-dessus, pour Send 2 SHIFT/ADD Comme ci-dessus, pour Send 7 SEND C Comme ci-dessus, pour Send 3 SHIFT/ADD Comme ci-dessus, pour Send 8 SEND D Comme ci-dessus, pour Send 4 SEND E Comme ci-dessus, pour Send 5 PAN Assigne la fonction Pan aux V-Pots. Note :vous devez confirmer toute modification apportée avec les V-Pots DSP en appuyant sur le bouton V-Select correspondant. INPUT Assigne l’entrée de tranche de console aux V-Pots. Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, les afficheurs alphanumériques affichent l’assignation d’entrée de tranche de console actuelle. Les quatre ports V DSP contrôlent les paramètres suivants de la tranche de console sélectionnée :format, entrée, sortie et mode d’automation. Note :vous devez confirmer toute modification apportée avec les V-Pots ou les V-Pots DSP en appuyant sur le bouton V-Select correspondant. OUTPUT Assigne la sortie de tranche de console aux V-Pots. Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, les afficheurs alphanumériques affichent l’assignation de sortie de tranche de console actuelle. Les quatre ports V DSP contrôlent les paramètres suivants de la tranche de console sélectionnée :format, entrée, sortie et mode d’automation. Note :vous devez confirmer toute modification apportée avec les V-Pots ou les V-Pots DSP en appuyant sur le bouton V-Select correspondant. REC/RDY ALL Désactive le bouton Record Enable de toutes les tranches de console. IGNORER Fait basculer les boutons INSERT entre les modes Insert Select et Insert Bypass. Voir l’entrée Insert dans le tableau Tranches de console à la page 170. MUET Fait basculer les boutons V-Select entre les modes Send Position et Send Muet. MAJ Active ou désactive le mode Flip. SELECT-ASSIGN Affiche l’assignation de V-Pot comme suit : Pan, Snd1 to Snd8, S1As to S8As, In, Out. SUSPEND —Chapitre 12 Mackie HUI 169 Boutons de banque de curseurs Section WINDOW Section KEYBOARD SHORTCUTS PAR DÉFAUT Maintenez ce bouton enfoncé pour faire basculer les boutons V-Select entre : fonctionnement normal et valeurs par défaut. ASSIGN Lorsque les V-Pots affichent un niveau d’envoi, le bouton ASSIGN leur attribue le mode Send Destination Assignment (en d’autres termes, il sélectionne un bus). Appuyez sur le bouton V-Select pour confirmer l’assignation. Les V-Pots DSP affichent les assignations des logements d’envoi 1 à 4 ou 5 à 8. Confirmez toute modification en appuyant sur le bouton V-Select (sinon, toutes les modifications seront perdues lorsque vous quitterez le mode Send Destination Assignment) ou appuyez une deuxième fois sur le bouton Assignement. Contrôle Assignation Contrôle Assignation Bank Left Décale les tranches de console d’une banque (un groupe de tranches de console ou de paramètres) vers la gauche. Bank Right Décale les tranches de console d’une banque vers la droite. Channel Left Décale les tranches de console d’un canal (ou paramètre) vers la gauche. Channel Right Décale les tranches de console d’un canal vers la droite. Contrôle Assignation TRANSPORT Ouvre ou ferme la fenêtre Barre de transport. EDIT Ouvre ou ferme la fenêtre Arrangement. MIX Ouvre ou ferme la table de mixage. ALT Ouvre ou ferme l’Éditeur d’échantillons. STATUS Ouvre ou ferme le chutier Audio. MEM-LOC Ouvre ou ferme la liste des marqueurs. Contrôle Assignation UNDO Annule la dernière édition. SHIFT/ADD Rétablit la dernière édition. OPTION/ALL Ouvre la fenêtre Historique d’annulation. SAVE Enregistre le projet. OPTION/ALL Effectue une opération Enregistrer sous, vous permettant ainsi d’enregistrer le projet sous un autre nom. EDIT MODE — EDIT TOOL Sélectionne l’outil suivant. Si ce contrôle est maintenu enfoncé, les boutons numériques sélectionnent un outil spécifique. SHIFT/ADD Permet de basculer entre différents modes/différentes actions pour certains boutons. Voir la description des autres boutons.170 Chapitre 12 Mackie HUI Tranches de console OPTION/ALL Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, le mode de changement de valeur est réglé sur relatif :ceci permet de basculer entre une valeur minimale, par défaut ou maximale pour le paramètre modifié. Voir aussi la description des autres boutons. CTRL/CLUTCH Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, la saisie du groupe est lancée (tous les groupes sont désactivés). x/ALT/FINE Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, le mode de changement de valeur est réglé sur fin. Tous les changements de valeur fonctionnent à résolution maximale. Voir aussi la description des autres boutons. Contrôle Assignation Contrôle Assignation VU-mètres Affiche les niveaux fugaces et de crête. REC/RDY Active ou désactive le bouton Record Enable. OPTION/ALL Désactive les boutons Record Enable de toutes les tranches de console. INSERT  Bouton BYPASS OFF (voir le mode Insert Select à la page 168) :sélectionne la tranche de console pour sélection de module.  Bouton BYPASS ON (voir mode Insert Bypass à la page 168) :active/désactive le contournement du logement d’insertion sélectionné. V-SEL  Bouton PAN ON Règle le paramètre Pan sur la position centrale si le bouton DEFAULT est activé.  Send 1 to 8 sélectionné :Édite Send Pre/Post, active/désactive Send Muet, ou règle le niveau d’envoi sur la valeur par défaut.  En mode Send Destination Assignment, Channel Strip Input ou Channel Strip Output Assignment :les boutons V-SEL confirment votre sélection. V-Pot Ajuste le paramètre sélectionné dans la section ASSIGN. AUTO Navigue entre les modes d’automation. Si vous maintenez un bouton de mode d’automation enfoncé, une pression du contrôle AUTO règle ce mode. SOLO Active ou désactive le bouton Solo. OPTION/ALL Désactive les boutons Solo de toutes les tranches de console. MUET Active ou désactive le bouton Muet. OPTION/ALL Désactive les boutons Muet de toutes les tranches de console. Afficheur alphanumérique Affiche le nom de la tranche de console (ou l’assignation d’envoi, d’entrée ou de sortie). SELECT Sélectionne la tranche de console. SHIFT/ADD Règle le volume sur le niveau Unité. PAR DÉFAUT Règle le volume sur le niveau Unité. Curseur Ajuste le volume ou duplique l’assignation de V-Pot, en mode Flip.Chapitre 12 Mackie HUI 171 Section DSP EDIT/ASSIGN Touches de fonction Contrôle Assignation ASSIGN — COMPARE Fait basculer l’affichage DSP entre les modes nom de piste/nom de paramètre et nom de paramètre/valeur de paramètre. Contournement Modifie l’état de contournement du module en cours d’édition. DSP Select 1 to 4 Mode Assignment Pan  Le bouton DSP Select 1 réinitialise le Pan. Mode Assignment Send Active ou désactive les modes Send 1 à 4 ou Muet 5 à 8. Mode Effect Assign Confirme la sélection d’effet d’insertion 1 à 4 ou 5 à 8, sélectionne ce logement d’insertion et passe en mode Effect Edit, montrant les paramètres de l’effet choisi. Mode Effect Edit Règle le paramètre sur la valeur par défaut ou active/désactive les paramètres. V-Pots DSP Mode Assignment Pan  Le bouton V-Pot DSP 1 contrôle le Pan. Mode Assignment Send Contrôle les niveaux d’envoi 1 à 4 ou 5 à 8. Mode Effect Assign Assigne des effets aux logements d’insertion 1 à 4 ou 5 à 8. Mode Effect Edit Contrôle le paramètre d’effet sélectionné. INSERT/PARAM Bascule entre les modes Effect Assign et Effect Edit. SCROLL Mode Effect Edit :décale l’affichage des paramètres selon le nombre de V-pots DSP dans le groupe de surfaces de contrôle (en général quatre). x/ALT/FINE Mode Effect Edit :décale l’affichage de paramètres d’un paramètre. Contrôle Assignation F1 Efface les voyants DEL de saturation. SHIFT/ADD Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche les tranches de console MIDI. x/ALT/FINE Ouvre ou ferme la fenêtre Arrangement. F2 Rappelle le screenset 2. SHIFT/ADD Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche les tranches de console d’entrée. x/ALT/FINE Ouvre ou ferme la table de mixage. F3 Rappelle le screenset 3. SHIFT/ADD Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche les tranches de console audio. x/ALT/FINE Ouvre ou ferme la liste des événements. F4 Rappelle le screenset 4. SHIFT/ADD Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche les tranches de console d’instrument.172 Chapitre 12 Mackie HUI Section AUTO ENABLE Section AUTO MODE x/ALT/FINE Ouvre ou ferme l’éditeur de partition. F5 Rappelle le screenset 5. SHIFT/ADD Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche les tranches de console aux. x/ALT/FINE Ouvre ou ferme Hyper Editor. F6 Rappelle le screenset 6. SHIFT/ADD Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche les tranches de console bus. x/ALT/FINE Ouvre ou ferme l’éditeur de clavier. F7 Fait basculer le format d’affichage du compteur entre SMPTE et mesures/battements/ divisions/ticks. SHIFT/ADD Bascule vers la présentation Table de mixage, et affiche les tranches de console principales et de sortie. x/ALT/FINE Ouvre ou ferme la fenêtre Barre de transport. F8/ESC Par défaut :quitte le dossier. Accès au mode Marqueur :ferme la zone de dialogue. x/ALT/FINE Ouvre ou ferme le chutier Audio. Contrôle Assignation Contrôle Assignation CURSEUR Active ou désactive la lecture et l’enregistrement d’automation de volume. PAN Active ou désactive la lecture et l’enregistrement d’automation de panoramique. PLUG IN Active ou désactive la lecture et l’enregistrement d’automation de paramètre de module. MUET Active ou désactive la lecture et l’enregistrement d’automation de mode Muet. EFFET D’ENVOI Active ou désactive la lecture et l’enregistrement d’automation de niveau d’envoi. SEND MUET — Contrôle Assignation READ (LIRE) Règle le canal sélectionné sur le mode d’automation Read. Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, une pression du bouton de tranche de console AUTO règle le mode d’automation sur Read. OPTION/ALL Règle tous les canaux sur le mode d’automation Read. LATCH (VERROUILLER) Règle le canal sélectionné sur le mode d’automation Latch. Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, une pression du bouton de tranche de console AUTO règle le mode d’automation sur Latch. OPTION/ALL Règle tous les canaux sur le mode d’automation Latch. TRIM — TOUCH (TOUCHER) Règle le canal sélectionné sur le mode d’automation Touch. Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, une pression du bouton de tranche de console AUTO règle le mode d’automation sur Touch.Chapitre 12 Mackie HUI 173 Section STATUS/GROUP Section EDIT OPTION/ALL Règle tous les canaux sur le mode d’automation Touch. WRITE (ÉCRIRE) Règle le canal sélectionné sur le mode d’automation Write. Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, une pression du bouton de tranche de console AUTO règle le mode d’automation sur Write. OPTION/ALL Règle tous les canaux sur le mode d’automation Write. OFF (DÉSACTIVÉ) Règle le canal sélectionné sur le mode d’automation Off. Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, une pression du bouton de tranche de console AUTO règle le mode d’automation sur Off. OPTION/ALL Règle tous les canaux sur le mode d’automation Off. Contrôle Assignation Contrôle Assignation AUTO Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, les afficheurs alphanumériques affichent le mode d’automation de tous les canaux. MONITOR — PHASE—SHIFT Active la présentation Simple. GROUPE Passe en mode Group Edit :  La ligne supérieure (dans la section DSP Edit) affiche le numéro et le nom du groupe modifié.  Les boutons DSP Select 1 à 4 permettent de basculer entre les propriétés du groupe modifié. Le nom du groupe est indiqué sur la ligne inférieure.  Lorsque le bouton INSERT/PARAM est désactivé, les V-Pots DSP permettent de naviguer au sein des propriétés du groupe. Si le bouton INSERT/PARAM est activé, les V-Pots DSP EDIT permettent de sélectionner le groupe à modifier.  Les boutons SELECT activent/désactivent l’adhésion de groupe du canal. SHIFT/ADD Active la présentation Canal. CREATE Crée un nouveau groupe et active le mode Group Edit (voir ci-dessus). SHIFT/ADD Active la présentation Table de mixage. SUSPEND Active ou désactive la saisie du groupe. SHIFT/ADD Active la présentation Pistes. Contrôle Assignation CAPTURE — SEPARATE — COUPER Coupe la sélection (de régions ou d’événements). COPIER Copie la sélection. COLLER Colle le contenu du Presse-papier. SUPPRIMER Supprime la sélection.174 Chapitre 12 Mackie HUI Affichage du temps Section LOCATE/NUMERICS Contrôle Assignation TIMECODE (CODE TEMPOREL) Allumé si le compteur affiche un timecode SMPTE. FEET Non assigné. BATTEMENTS Allumé si le compteur affiche des mesures/battements/divisions/ticks. Affichage du temps Bascule entre un timecode SMPTE et un affichage mesures/battements/divisions/ticks. RUDE SOLO LIGHT Clignote si n’importe quel canal est en mode Solo. Contrôle Assignation CLR Supprime le marqueur en cours. = Crée un marqueur à la position actuelle de la tête de lecture. / Équivaut à la touche de clavier d’ordinateur / (mais en est indépendant). * Équivaut à la touche de clavier d’ordinateur * (mais en est indépendant). – Équivaut à la touche de clavier d’ordinateur – (mais en est indépendant). + Équivaut à la touche de clavier d’ordinateur + (mais en est indépendant). 0 à 9  Normal :1 à 9 rappelle les marqueurs 1 à 9.  Dans la zone de dialogue Aller au Marqueur :équivalent aux touches de clavier d’ordinateur 0 à 9 (mais en sont indépendants. SHIFT/ADD Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche :  1 :tranches de console MIDI  2 :tranches de console d’entrée  3 :tranches de console audio  4 :tranches de console d’instruments  5 :tranches de console aux  6 :tranches de console de bus  7 :tranches de console principales et de sortie EDIT TOOL Sélectionne un outil (si applicable à la fenêtre ayant le focus) :  1 :pointeur  2 :crayon  3 :gomme  4 :outil Texte  5 :ciseaux  6 :colle  7 :outil Solo  8 :outil Muet  9 :outil Zoom 0 Dans la zone de dialogue Aller au Marqueur :équivaut à la touche de clavier d’ordinateur 0.Chapitre 12 Mackie HUI 175 Section Transport .  Ailleurs que dans la zone de dialogue Aller au Marqueur :accède à la zone de dialogue Aller au Marqueur.  Dans la zone de dialogue Aller au marqueur :équivaut à la touche de clavier d’ordinateur point. ENTER  Ailleurs que dans la zone de dialogue Aller au Marqueur :accède au dossier de la piste sélectionnée.  Dans la zone de dialogue Aller au marqueur :confirme le numéro de marqueur saisi. Contrôle Assignation Contrôle Assignation AUDITION — PRE Règle le locator gauche (sur la position actuelle de la tête de lecture). IN Règle le locator de punch In (sur la position actuelle de la tête de lecture). OUT Règle le locator de punch Out (sur la position actuelle de la tête de lecture). POST Règle le locator droit (sur la position actuelle de la tête de lecture). RTZ Place la tête de lecture au niveau du locator gauche. END Place la tête de lecture sur le locator droit. ON LINE Bascule entre une synchronisation interne et externe. BOUCLE Active ou désactive le mode Cycle. QUICK PUNCH Active ou désactive le mode Autopunch. REWIND Procède à un retour arrière Shuttle. FAST FWD Avance rapide Shuttle. ARRÊT Arrête la lecture. LECTURE Démarre la lecture. SHIFT/ADD Met en pause la lecture (ou l’enregistrement). ENREGISTRER Enregistrer.176 Chapitre 12 Mackie HUI Boutons curseur Manette Contrôle Assignation Curseur haut  Mode Curseur :équivaut à la touche fléchée vers le haut du clavier d’ordinateur.  Mode Zoom :zoom arrière vertical (dans la fenêtre ayant le focus). SHIFT/ADD Mode Zoom :zoom individuel sur les pistes (zoom arrière). x/ALT/FINE Page préc. OPTION/ALL + x/ALT/FINE Aller en haut. Curseur bas  Mode Curseur :équivaut à la touche fléchée vers le bas du clavier d’ordinateur.  Mode Zoom :zoom avant vertical (dans la fenêtre ayant le focus). SHIFT/ADD Mode Zoom :zoom sur une piste (zoom avant). x/ALT/FINE Page suiv. OPTION/ALL + x/ALT/FINE Aller en bas (de la fenêtre/liste ayant le focus). Curseur gauche  Mode Curseur :équivaut à la touche fléchée vers la gauche du clavier d’ordinateur.  Mode Zoom :zoom arrière horizontal (dans la fenêtre ayant le focus). SHIFT/ADD Mode Zoom :init Zoom Piste Individuelle (de pistes du même type). x/ALT/FINE Page Gauche. OPTION/ALL + x/ALT/FINE Aller vers le bord gauche (de la fenêtre ayant le focus). Curseur droit  Mode Curseur :équivaut à la touche fléchée vers la droite du clavier d’ordinateur.  Mode Zoom :zoom avant horizontal (dans la fenêtre ayant le focus). SHIFT/ADD Mode Zoom :init Zoom Piste Individuelle (de toutes les pistes, quel que soit le type). x/ALT/FINE Page Droite. OPTION/ALL + x/ALT/FINE Aller vers le bord droit (de la fenêtre ayant le focus). MODE Bascule entre les modes Curseur et Zoom. Contrôle Assignation Manette  Par défaut :déplace la tête de lecture d’une mesure.  Bouton Scrub allumé :mode Scrub.  Bouton Shuttle allumé :mode Shuttle. SCRUB Active ou désactive le mode Scrub. SHUTTLE Active ou désactive le mode Shuttle.Chapitre 12 Mackie HUI 177 Commutateurs au pied Contrôle Assignation Commutateur au pied 1 Lecture ou Stop. Commutateur au pied 2 Enregistrement activé/désactivé.13 179 13 Radikal Technologies SAC-2K Réglage de votre Radikal Technologies SAC-2K Vérifiez que votre surface de contrôle partage une connexion bidirectionnelle avec l’ordinateur à travers :une interface MIDI ou le connecteur USB de l’unité. Si les appareils sont reliés par le biais d’une connexion USB, vérifiez que le gestionnaire MIDI approprié est installé. Visitez le site web du fabricant pour télécharger les gestionnaires mis à jour, le cas échéant. Pour régler les unités SAC-2K : 1 Sélectionnez Logic Express > Préférences > Surfaces de Contrôle > Réglage. 2 Sélectionnez Nouveau > Installer à partir du menu de la fenêtre Réglage. 3 Sélectionnez l’unité SAC-2K dans la fenêtre d’installation. 4 Cliquez sur le bouton Détecter.180 Chapitre 13 Radikal Technologies SAC-2K Aperçu des assignations La présence d’un bouton de modification (SHIFT, par exemple) indiqué par une description sous le bouton d’une fonction donnée, entraîne l’action décrite si vous maintenez simultanément ce bouton et le bouton de modification enfoncés. Écrans à cristaux liquides et encodeurs Tranches de console Contrôle Assignation Écrans à cristaux liquides de gauche et du centre La première ligne affiche le numéro du canal lorsque vous êtes en mode de présentation Table de mixage (multicanal). Le nom du paramètre s’affiche lorsque vous êtes en mode Canal (unique). La deuxième ligne affiche la valeur du paramètre de l’encodeur correspondant (celui situé directement en dessous de l’écran). Les level meter s’affichent à droite. Écran à cristaux liquides de droite La première ligne affiche le nom du paramètre modifié à travers l’encodeur correspondant (situé en dessous). La deuxième ligne affiche la valeur du paramètre (assignée à l’encodeur situé sous l’écran). Le level meter de la sortie du master s’affiche à l’extrémité droite. Encodeurs Modifient le paramètre correspondant affiché sur l’écran à cristaux liquides. Boutons-poussoirs des encodeurs Paramètres dotés de deux valeurs (On/Off) :permettent de basculer entre les deux valeurs. Paramètres permettant d’accéder à des options (sélection de module, par exemple) :confirment la présélection. Dans d’autres situations :permettent de définir la valeur par défaut des paramètres. Contrôle Assignation Muet/Solo Permet de basculer les boutons Muet/Solo 1 à 8 entre ces deux modes. Voyant DEL éteint :les boutons Muet/Solo permettent d’activer/de désactiver l’état Muet. Voyant DEL allumé :les boutons Muet/Solo permettent d’activer/de désactiver l’état Solo. Voyant DEL clignotant :les boutons Muet/Solo permettent d’activer/de désactiver l’état d’enregistrement activé. MAJ Règle le mode Enregistrement activé des boutons Muet/Solo. Muet/Solo 1 à 8 Voyant DEL Muet/Solo éteint :active/désactive l’état Muet ; le voyant DEL affiche l’état correspondant. Voyant DEL Muet/Solo allumé :active/désactive l’état Solo ; le voyant DEL affiche l’état correspondant. Clignotement du voyant DEL Muet/Solo :active/désactive la fonction Enregistrement activé ; le voyant DEL affiche l’état correspondant (armé/désarmé).Chapitre 13 Radikal Technologies SAC-2K 181 Section Mixer View Mode Boutons SELECT 1 à 8 Permettent de sélectionner un canal. Exception :en mode Groupe, ces boutons définissent l’adhésion au groupe du canal. Bouton Master Select Permet de faire basculer le mode Flip entre les états Désactivé et Dupliquer. Curseurs 1 à 8 Contrôlent le volume ou dupliquent le paramètre assigné à l’encodeur situé au-dessus, si le mode Flip est activé. Curseur Master Contrôle le curseur de niveau principal, s’il existe. Dans le cas contraire, contrôle le niveau de sortie 1-2). Bouton EQ Insère un Channel EQ dans le canal si aucun n’est présent. Contrôle Assignation Contrôle Assignation Pan Active le mode de modification de la balance en présentation Table de mixage (multicanal). High, HiMid, LowMid, Low Bascule vers l’édition du gain en présentation Table de mixage (multicanal) d’une bande de l’égaliseur donnée. Les encodeurs 9 à 12 modifient la fréquence, le gain, le facteur Q et l’état Activé/Désactivé du canal sélectionné. Le fait d’appuyer sur le bouton permet de choisir en relâchant le bouton une bande de l’égaliseur.  Low :bande 3 (première bande de paramétrage EQ)  LowMid :bande 4 (seconde bande de paramétrage EQ)  HiMid :bande 5 (troisième bande de paramétrage EQ)  High :bande 6 (quatrième bande de paramétrage EQ) Tout en le maintenant enfoncé, vous pouvez utiliser l’encodeur 9 pour choisir la bande de l’égaliseur à éditer (bandes 1 à 8). Le voyant DEL du bouton est allumé lorsque vous êtes en mode d’édition du gain de la présentation Table de mixage (de la bande de l’égaliseur du canal sélectionné). Snd/Ins Permettent de basculer les quatre boutons Snd/Ins (1 à 4) entre les modes Send et Insert.  Voyant DEL éteint :mode d’envoi  Voyant DEL allumé :mode d’insertion182 Chapitre 13 Radikal Technologies SAC-2K Snd/Ins 1 à 4  Si vous êtes en mode Send, activent l’édition du volume d’envoi en pré- sentation Table de mixage (multicanal) des boutons Send 1 à 4. Les encodeurs 9 à 12 modifient la destination, le volume, le pré/post et la coupure du son du canal sélectionné. Vous devez confirmer la destination d’envoi en appuyant sur le bouton de l’encodeur 9. Tout en le maintenant enfoncé, utilisez l’encodeur 9 pour sélectionner le numéro de l’envoi souhaité (1 à 8). Le voyant DEL du bouton est allumé lorsque vous êtes en mode d’édition du volume d’envoi et en présentation Table de mixage (concernant le logement d’envoi du canal sélectionné).  Si vous êtes en mode d’insertion, vous basculez vers la sélection du module en présentation Table de mixage pour les insertions 1 à 4. La sélection du module est confirmée en appuyant sur le bouton de l’encodeur. Tout en le maintenant enfoncé, utilisez l’encodeur 9 pour choisir le logement d’insertion souhaité (1 à 15). Le voyant DEL du bouton est allumé lorsque vous êtes en mode de sélection du module (concernant le logement d’insertion du canal correspondant). Audio Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche les canaux audio. MAJ Bascule vers la présentation Table de mixage. MIDI Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche les tranches de console MIDI. MAJ Bascule vers la présentation Arrangement (piste) et affiche les tranches de console de toutes les pistes utilisées dans l’arrangement. Entrée Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche les canaux d’entrée. MAJ Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche les canaux principal et de sortie. Inst Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche les canaux d’instrument (logiciel). MAJ Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche les canaux aux. Bus Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche les canaux de bus. MAJ Bascule vers la présentation Simple. Groupe Bascule vers le mode d’édition de groupe :  Les boutons-poussoirs des encodeurs 1 à 10 permettent de modifier les propriétés d’un groupe (la propriété s’affiche sur la deuxième ligne de l’écran à cristaux liquides).  L’encodeur 11 fait défiler les propriétés du groupe.  L’encodeur 12 permet de sélectionner le groupe à éditer. Son nom s’affiche sur la deuxième ligne de l’écran à cristaux liquides, au-dessus de l’encodeur 12.  Sélectionnez les boutons 1 à 8 pour activer/désactiver l’adhésion au groupe du canal. 1 à 8 Permet de décaler la banque de curseurs (groupe de canaux ou de paramè- tres) d’une banque vers la gauche. 9 à 16 Permet de décaler la banque de curseurs d’une banque vers la droite. 17 à 24 Permet de décaler la banque de curseurs d’un canal vers la gauche. 25 à 32 Permet de décaler la banque de curseurs d’un canal vers la droite. Contrôle AssignationChapitre 13 Radikal Technologies SAC-2K 183 Section Software Navigation Remarque :tous les boutons qui correspondent à des touches du clavier de l’ordinateur sont indépendants de ces touches. Ils peuvent tous être réassignés. Section Locator Le locator affiche la position actuelle de la tête de lecture au format mesures/battements, conformément aux réglages du projet. Un point sépare les segments à l’écran car le format en mesures/battements utilise 14 caractères (maximum) dans Logic Express et l’affichage SAC est limité à huit chiffres. Contrôle Assignation 1 Voyant DEL num éteint :— Voyant DEL num allumé :équivalent de la touche 1 sur le clavier de l’ordinateur. 2 Voyant DEL num éteint :équivalent de la flèche gauche sur le clavier de l’ordinateur. Voyant DEL num allumé :équivalent de la touche 2 sur le clavier de l’ordinateur. 3 Voyant DEL num éteint :équivalent de la flèche vers le haut sur le clavier de l’ordinateur. Voyant DEL num allumé :équivalent de la touche 3 sur le clavier de l’ordinateur. 4 Voyant DEL num éteint :équivalent de la flèche droite sur le clavier de l’ordinateur. Voyant DEL num allumé :équivalent de la touche 4 sur le clavier de l’ordinateur. 5 Voyant DEL num éteint :annule la dernière opération d’édition. Voyant DEL num allumé :équivalent de la touche 5 sur le clavier de l’ordinateur. 6 Voyant DEL num éteint :— Voyant DEL num allumé :équivalent de la touche 6 sur le clavier de l’ordinateur. 7 Voyant DEL num éteint :copie la sélection (de régions ou d’événements). Voyant DEL num allumé :équivalent de la touche 7 sur le clavier de l’ordinateur. 8 Voyant DEL num éteint :équivalent de la flèche vers le bas sur le clavier de l’ordinateur. Voyant DEL num allumé :équivalent de la touche 8 sur le clavier de l’ordinateur. 9 Voyant DEL num éteint :colle le contenu du Presse-papiers. Voyant DEL num allumé :équivalent de la touche 9 sur le clavier de l’ordinateur. 0 Voyant DEL num éteint :enregistre le projet. Voyant DEL num allumé :équivalent de la touche 0 sur le clavier de l’ordinateur. Num Bascule entre les fonctions principale et secondaire des boutons numériques (voir ci-dessus). Enter Équivalent de la touche Entrée sur le clavier de l’ordinateur.184 Chapitre 13 Radikal Technologies SAC-2K Section Marker Section Transport Contrôle Assignation MAJ Passe à la fonction secondaire des autres boutons. Scrub Bascule entre trois modes de jog wheel (molette) :  Voyant DEL éteint :déplace la tête de lecture d’une mesure.  Voyant DEL allumé :active le mode Scrub.  Voyant DEL clignotant :active le mode Shuttle. From Règle le locator gauche sur la position actuelle de la tête de lecture. MAJ Déplace la tête de lecture sur la position du locator gauche. Store Marker Crée un marqueur à la position actuelle de la tête de lecture. MAJ Supprime le marqueur de la position actuelle de la tête de lecture. To Règle le locator droit sur la position actuelle de la tête de lecture. MAJ Déplace la tête de lecture sur la position du locator droit. Recall Marker Ouvre la zone de dialogue Aller au marqueur. MAJ Ouvre la liste des marqueurs. Jog Wheel (molette) Déplace la tête de lecture dans l’un des trois modes, en fonction de l’état du bouton Scrub (voir ci-dessus). Contrôle Assignation << Effectue un retour arrière Shuttle. MAJ Accède au marqueur précédent. >> Avance rapide Shuttle. MAJ Accède au marqueur suivant. ARRÊT Arrête la lecture (ou l’enregistrement). LECTURE Démarre la lecture. MAJ Active/désactive le mode Cycle. ENREGISTRER Démarre l’enregistrement (pour enregistrer des pistes activées). MAJ Active/désactive le mode de remplacement.Chapitre 13 Radikal Technologies SAC-2K 185 Section Channel Strips Dépannage Cette rubrique peut vous aider à résoudre quelques problèmes courants.  Le nom des pistes/canaux est plus court que nécessaires et les assignations ne fonctionnent pas correctement :la SAC-2K est en mode d’émulation (Logic Control ou HUI, par exemple). Afin de résoudre ce problème, il suffit d’éteindre la console SAC-2K, puis de la rallumer.  Les curseurs ne fonctionnent pas et l’écran du locator affiche 00000000 :vous avez basculé manuellement la SAC-2K en mode SLAVE. Malheureusement, cette opération ne permet pas d’initialiser certains des réglages nécessaires à une bonne communication. Afin de résoudre ce problème, il suffit d’éteindre la console SAC-2K, puis de la rallumer. Contrôle Assignation EQ Permet d’activer le mode Édition EQ en présentation Canal. Le fait d’appuyer plusieurs fois sur le bouton permet de naviguer parmi les pages des paramè- tres EQ disponibles. Inserts/Sends Permet d’accéder au mode Édition de module en présentation Canal et d’éditer le module d’effet inséré dans le logement d’insertion choisi (du canal sélectionné). Le fait d’appuyer plusieurs fois sur le bouton permet de naviguer parmi les pages de paramètres des modules d’effets disponibles. Dynamique — MIDI — Instrument Permet d’activer le mode Édition d’instrument en présentation Canal et d’éditer le module d’instrument inséré dans le canal (d’instrument) sélectionné. Le fait d’appuyer sur ce bouton à plusieurs reprises permet de naviguer parmi les pages des paramètres des modules d’instruments disponibles.14 187 14 Roland SI-24 Réglage de votre Roland SI-24 Effectuez cette procédure pour pouvoir utiliser votre surface de contrôle avec Logic Express. Pour utiliser les fonctions audio et MIDI de la console SI-24 :  Assurez-vous que vos unités SI-24 sont reliées à la carte RPC à l’aide du câble (fourni). Ce connecteur permet d’obtenir des connexions MIDI et audio numériques.  Vérifiez que le gestionnaire approprié est installé et fonctionne correctement. Remarque :la carte RPC est un périphérique PCI qui n’est pas compatible avec la plupart des G5 ni avec les ordinateurs Macintosh Intel qui ne proposent qu’une interface PCI-X. Pour utiliser la SI-24 comme surface de contrôle : m Raccordez-la tout simplement de manière bidirectionnelle avec deux ports d’interface MIDI libres (non occupés par d’autres périphériques). Lorsqu’elle est utilisée comme surface de contrôle, la SI-24 peut être combinée à tous les systèmes Macintosh compatibles avec Logic Express. Bien entendu, vous aurez besoin d’un autre périphérique d’entrée et de sortie audio. Pour analyser votre unité SI-24 : 1 Sélectionnez Logic Express > Préférences > Surfaces de contrôle > Réglages 2 Sélectionnez Nouveau > Installer à partir du menu de la fenêtre Réglage. 3 Sélectionnez Roland SI-24 dans la fenêtre d’installation. 4 Cliquez sur le bouton Détecter. Logic Express analyse et installe automatiquement votre surface de contrôle.188 Chapitre 14 Roland SI-24 Aperçu des assignations La présence d’un bouton de modification (SHIFT, par exemple) indiqué par une description sous le bouton d’une fonction donnée, entraîne l’action décrite si vous maintenez simultanément ce bouton et le bouton de modification enfoncés. Tranches de console Contrôle Assignation EQ ON/OFF 1 à 4 En mode Pan :  Permet d’activer/de désactiver le contournement des bandes d’égalisation 1 à 4.  Permet d’accéder au mode EQ/Send. Si la tranche de console sélectionnée ne comporte aucun Channel EQ, il est automatiquement inséré. En mode EQ/Send :  Permet d’activer/de désactiver le contournement des bandes d’égalisation 1 à 4. Le voyant DEL du bouton est allumé lorsque l’égaliseur est activé. En mode Module :  Permet de basculer entre les insertions 1 à 4. Un voyant DEL allumé désigne le logement d’insertion sélectionné.  Si la fenêtre d’un module est ouverte, elle s’actualise pour refléter les paramètres du module du logement d’insertion sélectionné. MAJ En mode EQ/Send :active/coupe le son des envois 1 à 4. EQ/SEND Permet de basculer parmi les modes de présentation de canal suivants :  Mode EQ/Send (voyant DEL allumé).  Mode d’édition de panoramique (voyant DEL éteint). Module Permet de basculer parmi les modes de présentation de canal suivants :  Mode Édition module (voyant DEL allumé) (la fenêtre du module s’ouvre).  Mode Édition de panoramique (voyant DEL éteint). La fenêtre du module se ferme lorsque vous quittez le mode Édition de module. MAJ Permet de basculer parmi les modes de présentation de canal suivants :  Mode Édition d’instrument (voyant DEL allumé) (la fenêtre d’instrument s’ouvre).  Mode Édition de panoramique (voyant DEL éteint). La fenêtre de module d’instrument se ferme lorsque vous quittez le mode Édition d’instrument. PAN 1 à 12 En mode Édition de panoramique :  contrôle la tranche de console Pan/Balance. En mode EQ/Send :  1/3/5/7 :contrôle le paramètre de gain des bandes EQ 1 à 4.  2/4/6/8 :contrôle le paramètre de fréquence des bandes EQ 1 à 4.  9–12 :contrôle les niveaux d’envoi 1 à 4. En mode Édition de module :  1–10 :modifie le paramètre du module.  11 :contourne le module.  12 :décale la page des paramètres de module (une page est un ensemble de paramètres). En mode Instrument :  1–10 :modifie le paramètre Instrument.  11 :contourne le module d’instrument.  12 :décale la page des paramètres d’instrument.Chapitre 14 Roland SI-24 189 Section STATUS MODE MAJ En mode EQ/Send :  2/4/6/8 :contrôle le facteur Q des bandes EQ 1 à 4.  9–12 :détermine la destination des envois 1 à 4. CH SELECT 1 à 12 Permet de sélectionner une piste/un canal. STATUS 1 à 12 En mode Automation :fait basculer le mode Automation entre les états suivants :  Off (voyant DEL éteint)  Read (vert)  Latch (orange)  Write (rouge) En mode Enregistrement prêt :active/désactive la fonction d’enregistrement activé. En mode Solo :active/désactive le mode Solo. En mode Muet :active/coupe le son. Curseur 1 à 12 Permet de contrôler le volume. Contrôle Assignation Contrôle Assignation AUTOMIX Règle les boutons STATUS 1 à 12 en mode Automation. MAJ Règle toutes les pistes sur le mode d’automation Off, Read, Latch ou Write. Appuyez plusieurs fois sur cette combinaison de boutons pour passer d’un mode d’automation à un autre. REC/PLAY Règle les boutons STATUS 1 à 12 en mode Enregistrement activé. SOLO Règle les boutons STATUS 1 à 12 en mode Solo. MUET Règle les boutons STATUS 1 à 12 en mode Muet.190 Chapitre 14 Roland SI-24 Contrôles CH ASSIGN Section MASTER Contrôle Assignation ENTRÉE Affiche les 12 premières tranches de console d’entrée audio. MAJ Affiche les 12 premières tranches de console MIDI. SORTIE Affiche les 12 premières tranches de console de sortie audio.  1 :sorties 1–2  2 :sorties 3–4  3 :sortie 5  4 :sortie 6  5 :sorties 7 et 8 (sortie numérique) MAJ Affiche les 12 premiers canaux audio. BUS Affiche les 12 premiers canaux aux. MAJ Affiche les 12 premiers canaux d’instrument. Piste 1 à 12 Bascule sur la présentation Arrangement et affiche les 12 premiers canaux. Piste 13 à 24 Bascule sur la présentation Arrangement et affiche les canaux 13 à 24. Contrôle Assignation Curseur Master Contrôle la tranche de console principale.Chapitre 14 Roland SI-24 191 Section de touches numériques Contrôle Assignation SYSTEM Permet de basculer la SI-24 en mode Système. Reportez-vous au manuel de l’utilisateur de la console SI-24 pour plus de détails. LOCATE Permet de basculer les touches numériques en mode Locate. SHORT CUT Permet de basculer les touches numériques en mode Raccourci. SCREEN SET Permet de basculer les touches numériques en mode Screenset. 0 à 9 Mode Système :reportez-vous au manuel de l’utilisateur de la SI-24. Mode Locate :  1 à 9 :place la tête de lecture sur un des marqueurs de 1 à 9.  0 :crée un marqueur à l’emplacement de la tête de lecture. Mode Raccourci :  1 :enregistre le projet. Le voyant DEL est allumé si le projet a été modifié depuis son dernier enregistrement.  2 :annule la dernière opération d’édition. Le voyant DEL est allumé s’il est possible de rétablir l’opération annulée.  3 :copie la sélection (de régions ou d’événements).  4 :colle le contenu du Presse-papiers.  5 :annule la sélection.  6 :active/désactive le mode Scrub. Le voyant DEL est allumé si le mode Défiler est activé.  7 :active/désactive le mode Cycle. Le voyant DEL est allumé si ce mode est activé.  8 :active/désactive le mode Autopunch. Le voyant DEL est allumé si le mode Autopunch est activé.  9 :permet de faire passer la fenêtre Arrangement en présentation de volume Hyper Draw.  0 :permet de faire passer la fenêtre Arrangement en présentation de panoramique Hyper Draw. Mode Screenset :  1 à 9 :rappelle les screensets 1 à 9.  0 :active/désactive la commande Verrouiller Screenset. MAJ Mode Locate :  1 à 9 :place la tête de lecture sur un des marqueurs de 10 à 18.  0 :supprime un marqueur à l’emplacement de la tête de lecture. Mode Raccourci :  1 :effectue une opération Enregistrer sous.  2 :rétablit la dernière opération annulée.  3 :coupe la sélection.  4 :colle le contenu du Presse-papiers. Mode Screenset :  1 :ouvre/ferme la fenêtre Arrangement.  2 :ouvre/ferme la table de mixage.  3 :ouvre/ferme l’éditeur d’évènements.  4 :ouvre/ferme l’éditeur de partition.  5 :ouvre/ferme Hyper Editor.  6 :ouvre/ferme l’éditeur Clavier.  7 :ouvre/ferme la fenêtre Transport.  8 :ouvre/ferme la fenêtre Chutier audio.  9 :ouvre/ferme l’éditeur des échantillons.192 Chapitre 14 Roland SI-24 Section Transport Contrôle Assignation PAUSE Pause. REW Rembobine la tête de lecture en arrière par incréments d’une mesure. F FWD Avance la tête de lecture d’une mesure. ARRÊT Arrête la lecture. LECTURE Démarre la lecture. ENREGISTRER Démarre l’enregistrement. Jog Wheel (molette) Mode Scrub désactivé :déplace la tête de lecture par incréments d’une mesure. Mode Scrub activé :Scrubs (audio et MIDI).15 193 15 Tascam FW-1884 Introduction Logic Express prend en charge la Tascam FW-1884, l’extension FE-8 et la FW-1082. Les versions 1.10 et ultérieures du gestionnaire prennent en charge l’application SoftLCD qui affiche des informations sur le nom des pistes, les assignations de paramètres et les valeurs utilisées pour l’encodeur. SoftLCD affiche le mode d’automation de piste en cours lorsque l’un des boutons de mode d’automation est maintenu enfoncé. L’encodeur correspondant édite le paramètre. Les alertes sont affichées dans SoftLCD. Les boutons de sélection vous permettent de contrôler à distance les boutons d’alerte. Remarque :le texte suivant, qui fait référence à la FW-1884, s’applique également à l’extension FE-8 et à la FW-1082, sauf lorsque ces périphériques sont mentionnés de façon explicite. Réglage de votre Tascam FW-1884 La section ci-dessous décrit les étapes à suivre pour utiliser votre surface de contrôle avec Logic Express. Pour régler votre surface de contrôle Tascam FW-1884 avec Logic Express : 1 Vérifiez que le gestionnaire FW-1884 approprié (applicable à votre version de Mac OS X) est correctement installé. Pour plus d’informations, reportez-vous à la documentation de la FW-1884. Il peut également s’avérer intéressant de consulter le site web du fabricant. 2 Connectez la FW-1884 à votre ordinateur à l’aide du câble FireWire fourni. 3 Ouvrez Logic Express. La FW-1884 est installée automatiquement.194 Chapitre 15 Tascam FW-1884 Aperçu des assignations La présence d’un bouton de modification (SHIFT, par exemple) indiqué par une description sous le bouton d’une fonction donnée, entraîne l’action décrite si vous maintenez simultanément ce bouton et le bouton de modification enfoncés. Remarque :les unités FE-8 offrent uniquement la section Tranche de console ; d’autres équipements mentionnés dans ce document ne s’appliquent donc pas. Toutefois, la section/ENCODERS de la FW-1884 s’applique aux tranches de console de la FE-8. La FW-1082 ne comporte aucun encodeur de canal et offre une section de tranche de console étendue. Section ENCODERS (FW-1884 uniquement) Section SHORTCUTS (FW-1884 uniquement) Contrôle Assignation FLIP Bascule le mode Flip entre Off et Swap. En mode Swap, le paramètre contrôlé par le curseur et l’encodeur de chaque tranche de console est échangé. PAN Assigne Pan aux encodeurs. AUX 1 Assigne le niveau Send 1 aux encodeurs. AUX 2 Assigne le niveau Send 2 aux encodeurs. AUX 3 Assigne le niveau Send 3 aux encodeurs. AUX 4 Assigne le niveau Send 4 aux encodeurs. AUX 5 Assigne le niveau Send 5 aux encodeurs. AUX 6 Assigne le niveau Send 6 aux encodeurs. AUX 7 Assigne le niveau Send 7 aux encodeurs. AUX 8 Assigne le niveau Send 8 aux encodeurs. Contrôle Assignation SAVE/F1 Enregistre le projet actif. Le voyant DEL est allumé si le projet a été édité depuis le dernier enregistrement. REVERT/F2 Rétablit la version enregistrée la plus récente du projet. ALL SAFE/F3 Désactive les boutons Record Enable de tous les canaux. CLR SOLO/F4 Désactive le mode Solo pour tous les canaux. MAJ Désactive le mode Muet pour tous les canaux. MARKERS/F5 Crée un nouveau marqueur à la position actuelle de la tête de lecture. MAJ Supprime le marqueur à la position de la tête de lecture. LOOP/F6 Active/désactive le mode Cycle. COUPER Coupe la sélection en cours (de régions ou d’événements) et la place dans le Presse-papier. DEL Supprime la sélection en cours.Chapitre 15 Tascam FW-1884 195 Tranches de console Section EQ (FW-1884 uniquement) Les contrôles EQ s’appliquent à une certaine bande EQ du canal sélectionné. L’égaliseur d’un canal est automatiquement inséré dans le canal, si ce n’est pas déjà le cas. COPIER Copie la sélection en cours dans le Presse-papier. COLLER Copie le contenu du Presse-papier vers la position actuelle de la tête de lecture. ALT/CMD Bouton de modification pour d’autres boutons. UNDO Procède à une annulation (de la dernière édition). Le voyant DEL est allumé lorsqu’un rétablissement est possible. MAJ Procède à un rétablissement (rétablit une annulation). MAJ Bouton de modification pour d’autres boutons. CTRL Bouton de modification pour d’autres boutons. Contrôle Assignation Contrôle Assignation Voyants DEL REC Ces voyants DEL sont allumés lorsque la piste/le canal correspondant est en cours d’enregistrement. Ils clignotent lorsque la piste/le canal est en mode Record Enable (armed). SEL Sélectionne la piste/le canal. MAJ Active/désactive le mode Send Muet lorsque des encodeurs contrôlent le volume d’un envoi. READ (LIRE) Règle le mode d’automation de piste sur Read. WRITE (ÉCRIRE) Règle le mode d’automation de piste sur Write. TCH Règle le mode d’automation de piste sur Touch. LATCH (VERROUILLER) Règle le mode d’automation de piste sur Latch. SOLO Active/désactive le statut Solo de la piste/du canal. MAJ Désactive l’état Solo pour toutes les pistes (gestionnaire 1.20 ou ultérieur requis). MUET Active/désactive le statut Muet de la piste/du canal. MAJ Désactive l’état Muet pour toutes les pistes (gestionnaire 1.20 ou ultérieur requis). Encodeur Contrôle le paramètre choisi avec la section ENCODERS. SET Lorsque des encodeurs contrôlent le volume d’un envoi, cette combinaison vous permet de définir la destination d’envoi. Fader Contrôle le volume du canal. Mode Assignation REC Lorsque ce bouton est maintenu enfoncé, les boutons SEL activent/désactivent Record Enable pour la tranche de console correspondante. GAIN Édite le gain de la bande EQ sélectionnée. SET Sélectionne l’entrée de canal.196 Chapitre 15 Tascam FW-1884 Section Encodeurs et Contrôles (FW-1082 uniquement) Les trois boutons figurant au bas de cette section déterminent le mode d’autres contrôles :  Mode EQ/Pan :les contrôlent s’appliquent à une certaine bande EQ du canal sélectionné.  Mode AUX 1–4 :les contrôles s’appliquent aux boutons Send 1 à 4.  Mode AUX 5–8 :les contrôles s’appliquent aux boutons Send 5 à 8. FREQ Modifie le paramètre Fréquence de la bande EQ sélectionnée. SET Sélectionne la sortie de canal. Q Édite le facteur Q de la bande EQ sélectionnée. SET Sélectionne le format d’entrée de canal. AIGUËS Sélectionne la bande EQ 6. MAJ Sélectionne la bande EQ 8. REC Active/désactive le contournement de la bande 6 de l’égaliseur (gestionnaire 1.20 ou ultérieur requis). HI-MID Sélectionne la bande EQ 5. MAJ Sélectionne la bande EQ 7. REC Active/désactive le contournement de la bande 7 de l’égaliseur (gestionnaire 1.20 ou ultérieur requis). LOW-MID Sélectionne la bande EQ 4. MAJ Sélectionne la bande EQ 2. REC Active/désactive le contournement de la bande 4 de l’égaliseur (gestionnaire 1.20 ou ultérieur requis). LOW Sélectionne la bande EQ 3. MAJ Sélectionne la bande EQ 1. REC Active/désactive le contournement de la bande 3 de l’égaliseur (gestionnaire 1.20 ou ultérieur requis). Mode Assignation Mode Assignation REC Lorsque ce bouton est maintenu enfoncé, les boutons SEL activent/désactivent Record Enable pour la tranche de console. EQ GAIN–AUX 1/5 • Mode EQ/PAN :édite le gain de la bande EQ sélectionnée. • Mode AUX 1–4 :contrôle le niveau Send 1. • Mode AUX 5–8 :contrôle le niveau Send 5. SET Sélectionne l’entrée de canal. EQ FREQ–AUX 2/6 • Mode EQ/PAN :édite la fréquence de la bande EQ sélectionnée. • Mode AUX 1–4 :contrôle le niveau Send 2. • Mode AUX 5–8 :contrôle le niveau Send 6. SET Sélectionne la sortie de canal.Chapitre 15 Tascam FW-1884 197 EQ Q–AUX 3/7 • Mode EQ/PAN :édite le facteur Q de la bande EQ sélectionnée. • Mode AUX 1–4 :contrôle le niveau Send 3. • Mode AUX 5–8 :contrôle le niveau Send 7. SET Sélectionne le format d’entrée de canal. PAN–AUX 4/8 • Mode EQ/PAN :édite le panoramique. • Mode AUX 1–4 :contrôle le niveau Send 4. • Mode AUX 5–8 :contrôle le niveau Send 8. EQ HI–AUX 1/5 • Mode EQ/PAN :sélectionne la bande EQ 6. • Mode AUX 1–4 :active/désactive le mode Muet Send 1. • Mode AUX 5–8 :active/désactive le mode Muet Send 5. MAJ • Mode EQ/PAN :sélectionne la bande EQ 8. • Mode AUX 1–4 :bascule la position Send 1 (avant/après.) • Mode AUX 5–8 :bascule la position Send 5 (avant/après). REC Active/désactive le contournement de la bande 6 de l’égaliseur. EQ HI MID–AUX 2/6 • Mode EQ/PAN :sélectionne la bande EQ 5. • Mode AUX 1–4 :active/désactive le mode Muet Send 2. • Mode AUX 5–8 :active/désactive le mode Muet Send 6. MAJ • Mode EQ/PAN :sélectionne la bande EQ 7. • Mode AUX 1–4 :bascule la position Send 2 (avant/après). • Mode AUX 5–8 :bascule la position Send 6 (avant/après). REC Active/désactive le contournement de la bande 5 de l’égaliseur. EQ LO MID–AUX 3/7 • Mode EQ/PAN :sélectionne la bande EQ 4. • Mode AUX 1–4 :active/désactive le mode Muet Send 3. • Mode AUX 5–8 :active/désactive le mode Muet Send 7. MAJ • Mode EQ/PAN :sélectionne la bande EQ 2. • Mode AUX 1–4 :bascule la position de Send 3 (avant/après). • Mode AUX 5–8 :bascule la position Send 7 (avant/après). REC Active/désactive le contournement de la bande 4 de l’égaliseur. EQ LOW–AUX 4/8 • Mode EQ/PAN :sélectionne la bande EQ 3. • Mode AUX 1–4 :active/désactive le mode Muet Send 4. • Mode AUX 5–8 :active/désactive le mode Muet Send 8. MAJ • Mode EQ/PAN :sélectionne la bande EQ 1. • Mode AUX 1–4 :bascule la position Send 4 (avant/après). • Mode AUX 5–8 :bascule la position Send 8 (avant/après). REC Active/désactive le contournement de la bande 3 de l’égaliseur. EQ/PAN Sélectionne le mode EQ/PAN. MAJ Active/désactive le mode Flip. Lorsque le mode Flip est activé, les curseurs contrôlent le panoramique. AUX 1–4 Sélectionne le mode AUX 1 à 4. AUX 5–8 Sélectionne le mode AUX 5 à 8. Mode Assignation198 Chapitre 15 Tascam FW-1884 Curseur MASTER Ce curseur contrôle toujours le volume principal. En l’absence de canal principal, il contrôle la sortie 1/2. Section Automation/Clock Rate (FW-1884 uniquement) Section Contrôles Mode (FW-1082 uniquement) Contrôle Assignation READ (LIRE) Lorsque ce bouton est maintenu enfoncé, les boutons SEL sont allumés si un canal est en mode d’automation Read. Une pression du bouton SELl règle le mode Read. Une rotation de l’encodeur modifie également le mode d’automation. WRITE (ÉCRIRE) Lorsque ce bouton est maintenu enfoncé, les boutons SEL sont allumés si un canal est en mode d’automation Write. Une pression du bouton SEL règle le mode Write. Une rotation de l’encodeur modifie également le mode d’automation. TCH Lorsque ce bouton est maintenu enfoncé, les boutons SEL sont allumés si un canal est en mode d’automation Touch. Une pression du bouton SEL règle le mode Touch. Une rotation de l’encodeur modifie également le mode d’automation. LATCH (VERROUILLER) Lorsque ce bouton est maintenu enfoncé, les boutons SEL sont allumés si un canal est en mode d’automation Latch.Une pression du bouton SEL règle le mode Latch. Une rotation de l’encodeur modifie également le mode d’automation. F7 Bascule les encodeurs en mode d’édition Pan. F8 Bascule les encodeurs en présentation Canal mode EQ Edit pour le canal sélectionné. Pour plus d’informations sur les assignations de paramètre, voir la ligne supérieure de l’application SoftLCD. Le curseur gauche/droit décale la banque de paramètres (une banque est un groupe de canaux ou de paramètres). F9 Bascule les encodeurs en présentation Canal mode Plug-in Edit pour le canal sélectionné. Le curseur gauche/droit décale la banque de paramètres (chaque banque peut être présentée sous la forme d’une page de paramètres de module). Le curseur haut/bas sélectionne le logement d’insertion de canal en vue de son édition. F10 Bascule les encodeurs en présentation Canal,mode Instrument Edit pour le canal sélectionné. Le curseur gauche/droit décale la banque de paramètres. Contrôle Assignation F1 Enregistre le projet actif. Le voyant DEL est allumé si le projet a été modifié depuis le dernier enregistrement. MAJ Ouvre la zone de dialogue Enregistrer sous. F2 Procède à une annulation (de la dernière édition). Le voyant DEL est allumé lorsqu’un rétablissement est possible. MAJ Procède à un rétablissement. F3 Copie la sélection en cours (de régions ou d’événements) vers le Presse-papier. MAJ Coupe la sélection en cours et la place dans le Presse-papier. F4 Colle le contenu du Presse-papier. MAJ Efface la sélection en cours.Chapitre 15 Tascam FW-1884 199 Section MASTER Contrôle Assignation Boutons curseur Identiques aux touches fléchées du clavier d’ordinateur (mais indépendants de ces dernières), sauf lorsque les encodeurs sont en mode EQ Edit, Plug-in Edit ou Instrument Edit (voir ci-dessus). MAJ Zoom avant et arrière horizontal ou vertical (de la fenêtre ayant le focus). SHTL Active le mode Shuttle pour la molette. Molette Mode Shuttle désactivé :déplace la tête de lecture d’une mesure. Mode Shuttle activé :procède à une avance rapide ou à un retour arrière Shuttle de la tête de lecture. Voyants DEL Bank Affichent la banque de curseurs sélectionnée. Si vous disposez uniquement d’une surface de contrôle FW-1884, une banque fait référence à huit canaux. Si vous avez ajouté des extensions FE-8, une banque englobe le nombre total de tranches de console (physiques) :16, 24, etc. Si aucun voyant DEL n’est allumé, la banque 5 ou supérieure est sélectionnée. < BANK Décale la banque de curseurs d’une banque vers le bas. MAJ Décale la banque de curseurs d’un canal vers le bas. SET Active la présentation Table de mixage (multicanal, gestionnaire 1.20 ou ultérieur requis). BANK > Décale la banque de curseurs d’une banque vers le haut. MAJ Décale la banque de curseurs d’un canal vers le haut. SET Active la présentation Table de mixage et affiche tous les canaux auxiliaires et de sortie (multicanal, gestionnaire 1.20 ou ultérieur requis). << LOCATE Accède au marqueur précédent. SET Supprime le marqueur actif (gestionnaire 1.20 ou ultérieur requis). LOCATE >> Accède au marqueur suivant. SET Crée un marqueur au niveau de la tête de lecture (gestionnaire 1.20 ou ultérieur requis). Boutons NUDGE Déplace l’événement/la région sélectionné vers la gauche ou la droite (selon la valeur de déplacement actuelle). SET Sélectionne la valeur de déplacement actuelle :tick, division, dénominateur, mesure, image, 1/2 image. SET Bouton de modification pour d’autres boutons. IN Déplace la tête de lecture vers la position du locator gauche. SET Règle le locator gauche sur la position actuelle de la tête de lecture. MAJ Règle le locator de punch In sur la position actuelle de la tête de lecture. OUT Déplace la tête de lecture vers la position du locator droit. SET Règle le locator droit sur la position actuelle de la tête de lecture. MAJ Règle le locator de punch Out sur la position actuelle de la tête de lecture. REW Identique au raccourci clavier Rewind. FFWD Identique au raccourci clavier Forward.200 Chapitre 15 Tascam FW-1884 ARRÊT Arrête la lecture. LECTURE Démarre la lecture. REC Identique au raccourci clavier Record. Contrôle Assignation16 201 16 Tascam US-2400 Réglage de votre Tascam US-2400 Suivez les procédures détaillées ci-dessous pour utiliser votre Tascam US-2400 avec Logic Express. Pour régler le Tascam US-2400 à utiliser avec Logic Express : 1 Vérifiez que vos unités US-2400 sont reliées à l’ordinateur par le port USB. 2 Vérifiez que l’US-2400 est en mode natif. Reportez-vous au manuel de votre US-2400 pour en savoir plus à ce sujet. 3 Ouvrez Logic Express. Vos surfaces de contrôle sont analysées et installées automatiquement. Note spéciale L’US-2400 peut s’exécuter en mode natif et en mode d’émulation Mackie Control. Si l’unité est réglée en mode d’émulation Mackie Control et que le module de prise en charge natif est installé dans le progiciel Logic Express, Logic Express détecte :une surface de contrôle native US-2400 et une surface Mackie Control plus deux unités Extender (XT). Pour exécuter l’US-2400 en mode Mackie Control, supprimez le module US-2400 du progiciel Logic Express. Logic Express détecte alors une surface Mackie Control plus deux unités Extender (XT) (réglage approprié de l’US-2400 en mode d’émulation Mackie Control) lorsque vous effectuez l’analyse des surfaces de contrôle. La présentation des boutons du mode Mackie Control est différente de celle du Tascam US-2400. Lorsque vous exécutez le Tascam US-2400 en mode Mackie Control, certains contrôleurs, comme la manette de jeu, ne sont pas accessibles. Du fait de ces restrictions, l’utilisation du Tascam US-2400 en mode Mackie Control n’est pas recommandée. Si vous l’utilisez ainsi, reportez-vous à la documentation fournie avec le Tascam US-2400 pour plus de détails.202 Chapitre 16 Tascam US-2400 Aperçu des assignations La présence d’un bouton de modification (SHIFT, par exemple) indiqué par une description sous le bouton d’une fonction donnée, entraîne l’action décrite si vous maintenez simultanément ce bouton et le bouton de modification enfoncés. tranches de console Contrôle Assignation Encodeurs Bouton CHAN activé :reportez-vous à la rubrique « Détails sur les encodeurs » à la page 203. Bouton CHAN clignotant :paramètres des instruments de contrôle des encodeurs, voir aussi « Présentation Édition d’instrument » à la page 205. Bouton PAN clignotant :paramètres des modules de contrôle des encodeurs, voir aussi « Présentation Édition de module » à la page 206. Autres modes :les encodeurs contrôlent les paramètres du mode actif. TOUCHE F  Si vous êtes dans la présentation d’édition d’instrument (le bouton CHAN clignote), appuyer sur la touche F ouvre la présentation d’assignation d’instrument : les encodeurs permettent de choisir un module d’instrument dans la liste des modules d’instruments logiciels disponibles.  Si vous êtes dans la présentation d’édition de module (le bouton PAN clignote), appuyer sur la touche F ouvre la présentation d’assignation de module :les encodeurs permettent de choisir un module d’effet dans la liste des modules d’effets disponibles.  Si vous êtes dans la présentation Send (le voyant DEL du bouton AUX clignote) et que vous appuyez sur la touche F, les encodeurs servent à assigner la destination de l’envoi. Boutons SEL Permettent de sélectionner pistes et canaux. MAJ Dans la présentation Panoramique :définit le volume sur Unité (0 dB). Dans les présentations d’envoi :active/désactive le mode Send (pré/post-envoi). TOUCHE F Active/désactive le bouton Record Enable de chaque canal. Boutons SOLO Activent/désactivent la fonction Solo. Boutons MUET Activent/désactivent le son. Dans les présentations Send avec le mode Flip activé :active/coupe le son de l’envoi sélectionné. MAJ Dans les présentations d’envoi :active/coupe le son de l’envoi sélectionné. Curseurs Contrôlent le volume de chaque canal (sauf si le mode Flip de duplication ou d’échange est actif).Chapitre 16 Tascam US-2400 203 Détails sur les encodeurs En mode CHAN (bouton CHAN activé), les encodeurs contrôlent ces paramètres sur le canal sélectionné : En mode CHAN (bouton SHIFT maintenu enfoncé), les encodeurs contrôlent les paramètres suivants sur le canal sélectionné : Contrôle Assignation Encodeur 1 (AUX 1) Contrôle le niveau Send 1. Encodeur 2 (AUX 2) Contrôle le niveau Send 2. Encodeur 3 (AUX 3) Contrôle le niveau Send 3. Encodeur 4 (AUX 4) Contrôle le niveau Send 4. Encodeur 5 (AUX 5) Contrôle le niveau Send 5. Encodeur 6 (AUX 6) Contrôle le niveau Send 6. Encodeur 7 Contrôle le niveau Send 7. Encodeur 8 Contrôle le niveau Send 8. Encodeur 11 (GAIN 1) Contrôle le paramètre Gain de la bande 3, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 12 (FREQ. 1) Contrôle le paramètre Fréquence de la bande 3, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 13 (Q 1) Contrôle le facteur Q de la bande 3, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 14 (GAIN 2) Contrôle le paramètre Gain de la bande 4, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 15 (FREQ. 2) Contrôle le paramètre Fréquence de la bande 4, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 16 (Q 2) Contrôle le facteur Q de la bande 4, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 17 (GAIN 3) Contrôle le paramètre Gain de la bande 5, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 18 (FREQ. 3) Contrôle le paramètre Fréquence de la bande 5, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 19 (Q 3) Contrôle le facteur Q de la bande 5, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 20 (GAIN 4) Contrôle le paramètre Gain de la bande 6, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 21 (FREQ . 4) Contrôle le paramètre Fréquence de la bande 6, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 22 (Q 4) Contrôle le facteur Q de la bande 6, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 24 (PAN) Contrôle le panoramique. Contrôle Assignation Encodeur 1 (AUX 1) Contrôle le Pan. Encodeur 11 (GAIN 1) Contrôle le paramètre Courbe de la bande 1, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 12 (FREQ. 1) Contrôle le paramètre Fréquence de la bande 1, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 13 (Q 1) Contrôle le facteur Q de la bande 1, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 14 (GAIN 2) Contrôle le paramètre Gain de la bande 2, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 15 (FREQ. 2) Contrôle le paramètre Fréquence de la bande 2, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 16 (Q 2) Contrôle le facteur Q de la bande 2, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 17 (GAIN 3) Contrôle le paramètre Gain de la bande 7, si un Channel EQ est inséré.204 Chapitre 16 Tascam US-2400 Tranche de console principale Section Assignation des encodeurs Il s’agit de l’assignation standard de ces boutons : Encodeur 18 (FREQ. 3) Contrôle le paramètre Fréquence de la bande 7, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 19 (Q 3) Contrôle le facteur Q de la bande 7, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 20 (GAIN 4) Contrôle le paramètre Courbe de la bande 8, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 21 (FREQ . 4) Contrôle le paramètre Fréquence de la bande 8, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 22 (Q 4) Contrôle le facteur Q de la bande 8, si un Channel EQ est inséré. Encodeur 24 (PAN) Contrôle le panoramique/la balance (des canaux mono ou stéréo). Contrôle Assignation Contrôle Assignation SEL Sélectionne la tranche de console de sortie Master, si elle existe. Dans le cas contraire, le canal de sortie 1-2 est sélectionné. CLR SOLO Désactive la fonction Solo pour tous les canaux/pistes. MAJ Désactive la fonction Muet pour tous les canaux/pistes. TOUCHE F Désactive les boutons Record Enable de tous les canaux/pistes. FLIP Bascule le mode Flip entre l’état Désactivé (voyant DEL éteint) et l’état Dupliquer (voyant DEL allumé). Dans ce mode, le curseur de chaque tranche de console reflète la fonction de l’encodeur. MAJ Règle le mode Flip sur Échange (voyant DEL clignotant). Dans ce mode, les paramètres contrôlés par le curseur et l’encodeur sont intervertis. TOUCHE F Règle le mode Flip sur Zéro. Les moteurs des curseurs sont désactivés (voyant DEL clignotant). Contrôle Assignation CHAN Bascule les encodeurs sur la présentation Canal (voir la légende des encodeurs). Le voyant DEL CHAN est allumé. TOUCHE F Bascule les encodeurs sur la présentation Édition d’instrument. Le voyant DEL CHAN clignote. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Présentation Édition d’instrument » à la page 205. PAN Bascule les encodeurs sur la présentation Table de mixage (multicanal) des contrôles de panoramique. Le voyant DEL PAN est allumé. TOUCHE F Bascule les encodeurs sur la présentation Édition de module. Le voyant DEL PAN clignote. Pour plus d’informations, reportez-vous à la rubrique « Présentation Édition de module » à la page 206. AUX 1 Bascule les encodeurs sur la présentation Table de mixage du niveau Send 1 (pour tous les canaux).Chapitre 16 Tascam US-2400 205 Présentation Édition d’instrument Dans la présentation Édition d’instrument, les boutons AUX suivants ont des assignations spéciales : Les voyants DEL AUX affichent la banque de paramètres sélectionnée. Le voyant DEL AUX 2 est allumé si les paramètres 25 à 48 sont affichés sur les encodeurs. TOUCHE F Bascule l’affichage de la fenêtre Arrangement :  Si la fenêtre Arrangement est ouverte, elle se ferme.  Si la fenêtre Arrangement est fermée, elle s’ouvre. AUX 2 Bascule les encodeurs sur la présentation Table de mixage du niveau Send 2. TOUCHE F Bascule l’affichage de la liste d’évènement :  Si la liste d’évènement est ouverte, elle se ferme.  Si la liste d’évènement est fermée, elle s’ouvre. AUX 3 Bascule les encodeurs sur la présentation Table de mixage du niveau Send 3. TOUCHE F Bascule l’affichage de l’éditeur de partition :  Si l’éditeur de partition est ouvert, il se ferme.  Si l’éditeur de partition est fermé, il s’ouvre. AUX 4 Bascule les encodeurs sur la présentation Table de mixage du niveau Send 4. TOUCHE F Bascule l’affichage de la fenêtre Chutier Audio :  Si la fenêtre Chutier Audio est ouverte, elle se ferme.  Si la fenêtre Chutier Audio est fermée, elle s’ouvre. AUX 5 Bascule les encodeurs sur la présentation Table de mixage du niveau Send 5. TOUCHE F Bascule l’affichage de Hyper Editor :  Si Hyper Editor est ouvert, il se ferme.  Si Hyper Editor est fermé, il s’ouvre. AUX 6 Bascule les encodeurs sur la présentation Table de mixage du niveau Send 6. TOUCHE F Bascule l’affichage de l’éditeur Clavier :  Si l’éditeur Clavier est ouvert, il se ferme.  Si l’éditeur Clavier est fermé, il s’ouvre. Contrôle Assignation Contrôle Assignation AUX 1 Fait défiler la banque de curseurs de paramètres vers la gauche, de 24 paramètres. AUX 2 Fait défiler la banque de curseurs de paramètres vers la droite, de 24 paramètres. AUX 4 Active/désactive le bouton Bypass de l’instrument en cours d’édition.206 Chapitre 16 Tascam US-2400 Présentation Édition de module Dans la présentation Édition de module, les boutons AUX suivants ont des assignations spéciales : Les voyants DEL AUX affichent le logement d’insertion sélectionné. Par exemple, le voyant DEL AUX 2 est allumé si le logement d’insertion 2 est en cours d’édition. Section MASTER Contrôle Assignation AUX 1 Fait défiler la banque de curseurs de paramètres vers la gauche, de 24 paramètres. AUX 2 Fait défiler la banque de curseurs de paramètres vers la droite, de 24 paramètres. AUX 3 Incrémente la valeur Insérer slot (choisit un logement comportant un numéro supérieur). AUX 4 Active/désactive le bouton Bypass du module en cours d’édition. AUX 6 Décrémente la valeur Insérer slot (choisit un logement comportant un numéro inférieur). Contrôle Assignation MTR Bascule l’affichage de l’anneau du voyant DEL de l’encodeur entre deux modes :  La valeur du paramètre (voyant DEL éteint).  Level meter/vu-mètre du maintien du pic (voyant DEL allumé). En mode Level meter, le voyant DEL situé au-dessous de l’encodeur indique les surcharges de signal (écrêtage). TOUCHE F Touche de modification, utilisée pour basculer la fonction des autres contrôles (voir les entrées « TOUCHE F » de la colonne de gauche). NULL Régle le Pan du canal sélectionné sur la position centrale (le voyant DEL est activé dès que le Pan est centré). TOUCHE F Réinitialise l’affichage de surcharge des level meter. Jog Wheel (molette) SCRUB désactivé :déplace la tête de lecture par mesures. SCRUB activé :Scrubbing (audio et MIDI). Voyant DEL SCRUB clignotant :mode Shuttle. Manette de jeu Édite le Pan du canal sélectionné. SCRUB Bascule le jog wheel entre les modes Déplacer la tête de lecture d’un certain nombre de mesures (voyant DEL éteint) et Scrubbing (voyant DEL allumé). MAJ Règle le jog wheel sur le mode Shuttle (le voyant DEL clignote). BANK Décale la banque de curseurs vers la gauche, d’une banque. Le voyant DEL est allumé si la banque de curseurs la plus à gauche n’est pas atteinte. TOUCHE F Décale la banque de curseurs d’un canal vers la gauche. BANK + Décale la banque de curseurs d’une banque vers la droite. Le voyant DEL est allumé si la banque de curseurs la plus à droite n’est pas atteinte. TOUCHE F Décale la banque de curseurs d’un canal vers la droite. IN Règle le locator de punch In sur la position actuelle de la tête de lecture. MAJ Déplace la tête de lecture vers la position du locator gauche.Chapitre 16 Tascam US-2400 207 TOUCHE F Règle le locator de lecture gauche sur la position actuelle de la tête de lecture. OUT Règle le locator de punch Out sur la position actuelle de la tête de lecture. MAJ Déplace la tête de lecture vers la position du locator droit. TOUCHE F Règle le locator de lecture droit sur la position actuelle de la tête de lecture. MAJ Touche de modification, utilisée pour basculer la fonction des autres contrôles (voir les entrées mentionnant SHIFT dans la colonne de gauche). REW Effectue un retour arrière Shuttle. MAJ Identique à la touche fléchée vers la gauche du clavier de l’ordinateur (mais indépendante de celle-ci). F FWD Avance rapide Shuttle. MAJ Identique à la touche fléchée vers la droite du clavier de l’ordinateur (mais indépendante de celle-ci). ARRÊT Arrête la lecture. MAJ Identique à la touche fléchée vers le bas du clavier de l’ordinateur (mais indé- pendante de celle-ci). LECTURE Démarre la lecture. MAJ Identique à la touche fléchée vers le haut du clavier de l’ordinateur (mais indé- pendante de celle-ci). ENREGISTRER Active/désactive l’enregistrement. Contrôle Assignation17 209 17 Tascam US-428 et US-224 Réglage des surfaces de contrôle Tascam US-428 et US-224 La rubrique suivante présente les étapes nécessaires à l’utilisation des surfaces de contrôle Tascam US-428 ou US-224 avec Logic Express. Pour régler vos périphériques Tascam US-428 ou US-224 dans Logic Express : 1 Installez la dernière version du gestionnaire nécessaire au US-428 et au US-224. 2 Vérifiez que vos unités US-428 ou US-224 sont reliées à l’ordinateur par le port USB. 3 Ouvrez Logic Express. Les unités sont analysées et installées automatiquement. Aperçu des assignations La présence d’un bouton de modification (NULL, par exemple) indiqué par une description sous le bouton d’une fonction donnée, entraîne l’action décrite si vous maintenez simultanément ce bouton et le bouton de modification enfoncés. Remarque :l’US-224 n’offre que quatre tranches de console et commandes de lecture, et ne comporte pas les sections EQ et Master (à l’exception du bouton NULL et de la molette de données) de l’US-428. De nombreuses opérations répertoriées ci-dessous sont caractéristiques des commandes supplémentaires de l’US-428 et ne peuvent pas être effectuées avec l’US-224.210 Chapitre 17 Tascam US-428 et US-224 Tranches de console Section EQ Contrôle Assignation MUET 1 à 8 Voyant DEL SOLO désactivé :active/coupe le son ; le voyant DEL affiche l’état de la fonction Muet. Voyant DEL SOLO activé :active/désactive la fonction Solo ; le voyant DEL affiche l’état de la fonction Solo. Voyants DEL REC 1 à 8 Affiche l’état d’enregistrement activé. NULL Activé si le curseur est supérieur au volume de canal réel (dans Logic Express). Voyants DEL SELECT 1 à 8 Affichent l’état de sélection (du canal). NULL Activé si le curseur est inférieur au volume de canal réel (dans Logic Express). Boutons SELECT 1 à 8 Permettent de sélectionner un canal. REC Active/désactive l’état d’enregistrement activé. Curseur 1 à 8 Contrôle le volume du canal. NULL Permet de mettre à jour la position du curseur en fonction du volume réel (dans Logic Express). Curseur Master Contrôle le curseur de volume Master (ou les sorties 1 et 2 si le projet ne comporte pas de canal de curseur de ce type). Contrôle Assignation Gain Contrôle le gain de la bande sélectionnée de l’égaliseur (du canal choisi). Freq. Contrôle la fréquence de la bande sélectionnée de l’égaliseur (du canal choisi). Q Contrôle le facteur Q de la bande sélectionnée de l’égaliseur (du canal choisi). AIGUËS Sélectionne la bande 3 de l’égaliseur (permettant d’utiliser les contrôles Gain, Freq. et Q pour cette bande). ASGN Active/désactive le contournement de la bande de l’égaliseur 3. HI-MID Sélectionne la bande 4 de l’égaliseur (permettant d’utiliser les contrôles Gain, Freq. et Q pour cette bande). ASGN Active/désactive le contournement de la bande de l’égaliseur 4. LO-MID Sélectionne la bande 5 de l’égaliseur (permettant d’utiliser les contrôles Gain, Freq. et Q pour cette bande). ASGN Active/désactive le contournement de la bande de l’égaliseur 5. LOW Sélectionne la bande 6 de l’égaliseur (permettant d’utiliser les contrôles Gain, Freq. et Q pour cette bande). ASGN Active/désactive le contournement de la bande de l’égaliseur 6.Chapitre 17 Tascam US-428 et US-224 211 Contrôles de section Master Section LOCATE Contrôle Assignation AUX 1 Bascule la molette de données entre le mode Transport/Scrub et le niveau Send 1. ASGN Active/désactive l’état Muet Send 1. AUX 2 Bascule la molette de données entre le mode Transport/Scrub et le niveau Send 2. ASGN Active/désactive l’état Muet Send 2. AUX 3 Bascule la molette de données entre le mode Transport/Scrub et le niveau Send 3. ASGN Active/désactive l’état Muet Send 3. AUX 4 Bascule la molette de données entre le mode Transport/Scrub et le niveau Send 4. ASGN Active/désactive l’état Muet Send 4. ASGN Bouton de modification de la fonction des contrôles de l’égaliseur, des boutons AUX 1 à 4, du potentiomètre PAN et de la molette de données. F1 Active/désactive le mode Cycle. F2 Active/désactive le mode Autopunch. F3 Active/désactive le mode Scrub. PAN Contrôle le panoramique du canal sélectionné. ASGN Définit l’entrée du canal sélectionné. NULL Bouton de modification du mode NULL. Le mode NULL permet de mettre à jour les positions du curseur en fonction du volume réel (affiché dans Logic Express). Molette de données Voyant DEL AUX 1 activé :contrôle le volume de l’envoi 1 du canal sélectionné. Voyant DEL AUX 2 activé :contrôle le volume de l’envoi 2 du canal sélectionné. Voyant DEL AUX 3 activé :contrôle le volume de l’envoi 3 du canal sélectionné. Voyant DEL AUX 4 activé :contrôle le volume de l’envoi 4 du canal sélectionné. Voyant DEL F3 activé :la molette de données est en mode Scrub. Aucun des voyants DEL ci-dessus n’est allumé :la molette de données est en mode Transport et déplace la tête de lecture d’une mesure à l’autre. ASGN Définit la sortie du canal sélectionné. Contrôle Assignation << LOCATE Déplace la tête de lecture sur la position du marqueur précédent. LOCATE >> Déplace la tête de lecture sur la position du marqueur suivant. SET Crée un nouveau marqueur à la position actuelle de la tête de lecture.212 Chapitre 17 Tascam US-428 et US-224 Section BANK Section Transport Contrôle Assignation < BANK Décale la banque de curseurs d’une banque vers la gauche (une banque est un groupe de canaux). Le voyant DEL est allumé si la banque de curseurs la plus à gauche n’est pas atteinte. BANK> Décale la banque de curseurs d’une banque vers la droite. Le voyant DEL est allumé si la banque de curseurs la plus à droite n’est pas atteinte. Contrôle Assignation REW Déplace la tête de lecture d’une mesure vers l’arrière. F FWD Déplace la tête de lecture d’une mesure vers l’avant. ARRÊT Arrête la lecture. LECTURE Démarre la lecture. ENREGISTRER Commence l’enregistrement.18 213 18 Yamaha 01V96 Réglage de votre Yamaha 01V96 Effectuez cette procédure pour pouvoir utiliser votre surface de contrôle avec Logic Express 8.  Vérifiez que vos unités 01V96 sont reliées à l’ordinateur par le port USB.  Vérifiez que le gestionnaire MIDI fourni avec l’unité est installé. Sur le panneau avant de la console 01V96 : 1 Appuyez plusieurs fois sur le bouton DISPLAY ACCESS [DIO/SETUP] pour faire apparaître la page DIO/Setup/MIDI/Host. 2 Déplacez le curseur sur la première zone de paramètre DAW dans la section des fonctions spéciales, puis faites tourner la molette des paramètres pour sélectionner USB et 1–2. 3 Appuyez plusieurs fois sur le bouton DISPLAY ACCESS [DIO/SETUP] pour afficher la page DIO/Setup/Remote. 4 Faites tourner la molette des paramètres pour sélectionner General DAW comme paramètre CIBLE. 5 Appuyez sur le bouton LAYER [REMOTE]. Dans Logic Express : L’unité est automatiquement installée à l’ouverture de Logic Express. Deux icônes 01V96 (USB 1–2) alignées horizontalement doivent apparaître dans la fenêtre de réglage.214 Chapitre 18 Yamaha 01V96 Aperçu des assignations La présence d’un bouton de modification (SHIFT, par exemple) indiqué par une description sous le bouton d’une fonction donnée, entraîne l’action décrite si vous maintenez simultanément ce bouton et le bouton de modification enfoncés. Section DISPLAY ACCESS Section FADER MODE Contrôle Assignation AUTOMIX Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent le mode d’automation actuel. PAIR/GROUP Active le mode Édition de groupe :  La première ligne de la section DSP Edit (qui apparaît à l’écran de la surface de contrôle) indique le numéro et le nom du groupe en cours d’édition.  Les boutons de contrôle des paramètres F1 à F4 basculent les propriétés du groupe en cours d’édition. Le nom du groupe est indiqué sur la ligne inférieure.  Lorsque le bouton INSERT/PARAM est défini en mode d’insertion, la molette des paramètres fait défiler les propriétés de groupe. Dans les autres cas, elle permet de sélectionner le groupe en cours d’édition.  Les boutons SELECT activent/désactivent l’adhésion au groupe du canal. DAW SHIFT/ADD Bascule vers une présentation des canaux utilisés par les pistes d’arrangement. EFFET Masque ou affiche l’éditeur des échantillons. Contrôle Assignation AUX 1 Assigne le niveau Send 1 aux encodeurs et les niveaux Send 1 à 4 aux encodeurs DSP. Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de destination Send 1 actuelle. DAW SHIFT/ADD Comme ci-dessus, pour Send 6. AUX 2 Assigne le niveau Send 2 aux encodeurs et les niveaux Send 1 à 4 aux encodeurs DSP. Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de destination Send 2 actuelle. DAW SHIFT/ADD Comme ci-dessus, pour Send 7. AUX 3 Assigne le niveau Send 3 aux encodeurs et les niveaux Send 1 à 4 aux encodeurs DSP. Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de destination Send 3 actuelle. DAW SHIFT/ADD Comme ci-dessus, pour Send 8. AUX 4 Assigne le niveau Send 4 aux encodeurs et les niveaux Send 1 à 4 aux encodeurs DSP. Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de destination Send 4 actuelle. AUX 5 Assigne le niveau Send 5 aux encodeurs et les niveaux Send 5 à 8 aux encodeurs DSP. Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de destination Send 5 actuelle. AUX 6 Bascule les boutons de sélection des encodeurs entre le comportement normal et la définition de la valeur par défaut.Chapitre 18 Yamaha 01V96 215 Fonction de l’écran à cristaux liquides Écran à cristaux liquides L’écran à cristaux liquides affiche différentes données en fonction de la page sélectionnée (par les boutons F2, F3 et F4) : Mode Insertion de l’affichage Appuyez sur le bouton [F2] pour sélectionner le mode d’insertion de l’affichage. Dans ce mode, l’écran à cristaux liquides affiche des paramètres, ce qui permet d’éditer les effets. Ce mode permet également de passer d’un logement d’insertion à l’autre, afin de pouvoir éditer chaque module d’effet. AUX 7 Assigne le Pan aux encodeurs, assigne les paramètres de Pan du canal sélectionné aux encodeurs DSP. AUX 8 Détermine le mode des boutons SEL de la tranche de console lorsque le bouton AUTO de cette tranche est désactivé :  Indicateur désactivé :sélection de piste/canal.  Indicateur activé :sélection du mode d’insertion. HOME Active ou désactive le mode Flip. Contrôle Assignation Contrôle Assignation Boutons droit/gauche Mode Effect Edit :décale l’affichage des paramètres du nombre de paramètres affichés dans le groupe de surfaces de contrôle (généralement quatre). DAW ALT/FINE Mode Effect Edit :décale l’affichage des paramètres d’un paramètre. F1 Éteint les voyants DEL de surcharge. DAW SHIFT/ADD Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche les canaux MIDI. DAW ALT/FINE Ouvre ou ferme la fenêtre Arrangement. Écran Assignation Option TIME CODE Actif si le compteur affiche le code temporel SMPTE. FEET Non assigné. Option BEATS Active si le compteur affiche les mesures/battements/divisions/ticks. Affichage du compteur Affiche le code temporel SMPTE ou les mesures/battements/divisions/ticks. SELECT ASSIGN Affiche l’assignation des encodeurs comme suit : Pan, Snd1 to Snd8, S1As to S8As, In, Out. ASSIGN — COMPARE Bascule l’écran entre les modes « nom de piste/nom de paramètre » et « nom de paramètre/valeur de paramètre ». Contournement Modifie l’état de contournement de l’effet en cours d’édition. INSERT/PARAM Bascule entre les modes Effect Assign et Effect Edit.216 Chapitre 18 Yamaha 01V96 Mode d’affichage de canal Section SELECTED CHANNEL Section relative à l’entrée de données Activation des contrôles de rotation 1 à 4 Mode Assignation de panoramique :  Le bouton rotatif 1 permet de centrer le Pan. Mode Assignation d’envoi :  Active/désactive les boutons Send 1 à 4 ou Muet 5 à 8. Mode assignation d’effet :  Confirme la sélection de l’effet pour les logements d’insertion 1 à 4 ou 5 à 8, et active le mode d’édition d’effet pour le logement d’insertion sélectionné. Mode Effect Edit :  Définit le paramètre sur sa valeur par défaut ou bascule les boutons dotés de deux états. Déplacement des contrôles de rotation 1 à 4 Mode Assignation de panoramique :  Le bouton rotatif 1 permet d’éditer le Pan. Mode Assignation d’envoi :  Contrôle le niveau d’envoi des fonctions Send 1 à 4 ou 5 à 8. Mode assignation d’effet :  Sélectionne le logement d’insertion 1 à 4 ou 5 à 8. Mode Effect Edit :  Définit la valeur. Écran Assignation Contrôle Assignation Déplacement des contrôles de paramètre 1 à 16 Ajuste le paramètre sélectionné dans la section FADER MODE. Activation des contrôles de paramètre 1 à 16 Lorsque Send 1 à 8 est sélectionné :modifie la position de pré/post-curseur d’envoi, active ou coupe le son de l’envoi, ou encore rétablit le volume de l’envoi à sa valeur par défaut. Mode d’assignation Send, Input ou Output :confirme la sélection. Contrôle Assignation Contrôle Pan Ajuste le paramètre sélectionné dans la section FADER MODE. Contrôle Assignation Molette de paramètres Par défaut :déplace la tête de lecture d’une mesure. Scrub :scrub (fichier audio ou MIDI). Shuttle :mode Shuttle. Bouton [DEC] Par défaut :sort du dossier. Dans la zone de dialogue Aller au marqueur :annule la zone de dialogue.Chapitre 18 Yamaha 01V96 217 Tranches de console Section relative aux tranches de console stéréo Section User Defined Keys Ces touches définies par l’utilisateur peuvent être assignées aux fonctions suivantes : DAW ALT/FINE Ouvre ou ferme la fenêtre du chutier audio. Bouton [INC] Ouvre le dossier sélectionné. Contrôle Assignation Contrôle Assignation Level Meter Affiche le niveau momentané et le niveau de crête. SEL Si la fonction AUTO est désactivée :  FADER MODE [AUX 8] désactivé :sélectionne le canal.  FADER MODE [AUX 8] activé :sélectionne le canal pour l’assignation d’insertion, ce qui permet d’insérer des effets. Si la fonction AUTO est activée :  Navigue entre les modes d’automation. Définit le mode sélectionné lorsqu’un bouton de mode d’automation est maintenu enfoncé. DAW SHIFT/ADD Règle le volume sur le niveau Unité. SOLO Active ou désactive le bouton Solo. DAW OPTION/ALL Désactive le bouton Solo de tous les canaux. ON Active ou désactive le bouton Muet. DAW OPTION/ALL Active le son pour tous les canaux. Fader Ajuste le volume ou duplique l’encodeur (assigné à la molette de paramètres) en mode Flip. Contrôle Assignation SEL Fait passer les boutons SEL de tranche de console des tâches de sélection de tranche de console aux tâches de sélection d’insertion et vice versa. Contrôle Assignation DAW WIN STATUS Ouvre ou ferme la fenêtre du chutier audio. DAW REC/RDY 1 à 16 Active ou désactive le bouton Record Enable du canal. DAW WIN TRANSPORT Ouvre ou ferme la fenêtre des mesures du Transport. DAW BANK– Décale les tranches de console d’une banque (une banque est un groupe de canaux ou de paramètres) vers la gauche. DAW BANK+ Décale les tranches de console d’une banque vers la droite. DAW SHIFT/ADD Bascule vers la seconde utilisation de certains boutons. Voir la description des autres boutons.218 Chapitre 18 Yamaha 01V96 DAW OPTION/ALL Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, le mode de changement de valeur est défini sur Pleine :faire tourner l’encodeur vers la droite définit la valeur maximale. Si vous le tournez vers la gauche, vous réglerez la valeur minimale. L’encodeur s’arrête également sur sa valeur par défaut. Voir aussi la description des autres boutons. DAW GROUP STATUS Passe en mode Group Edit :  La première ligne de l’écran affiche le nom et le numéro du groupe en cours d’édition.  Les boutons de contrôle des paramètres 1 à 4 basculent entre les propriétés du groupe en cours d’édition. Le nom du groupe est affiché sur la ligne du bas.  Lorsque le bouton INSERT/PARAM est défini sur INSERT, les boutons de défilement d’onglet gauche et droit font défiler les propriétés de groupe. Sinon, il sélectionne le groupe à éditer.  Les boutons SELECT activent/désactivent l’adhésion au groupe du canal. DAW SHIFT/ADD Active la présentation Canal. DAW SUSPEND Active ou désactive la saisie du groupe. DAW SHIFT/ADD Active la présentation de canal étendu. DAW CREATE GROUP Crée un groupe et active le mode Édition de groupe (voir ci-dessus). DAW SHIFT/ADD Active la présentation Table de mixage. DAW WIN MIX/EDIT Bascule entre les fenêtres Arrangement et Table de mixage. DAW CHANNEL – Décale les tranches de console d’un canal vers la gauche. DAW CHANNEL+ Décale les tranches de console d’un canal vers la droite. DAW CTRL/CLUTCH Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, la saisie du groupe est lancée (tous les groupes sont désactivés). DAW ALT/FINE Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, le mode de changement de valeur est défini sur Fin :les changements de valeur se font en résolution maximale. Voir aussi la description des autres boutons. DAW MONI STATUS — DAW UNDO Annule la dernière opération d’édition. DAW SHIFT/ADD Rétablit la dernière opération annulée. DAW OPTION/ALL Ouvre la fenêtre Historique d’annulation. DAW SAVE Enregistre le projet. DAW WIN MEM-LOC Ouvre ou ferme la liste des marqueurs. DAW OPTION/ALL Effectue une opération Enregistrer sous, ce qui permet d’enregistrer le projet sous un autre nom. DAW EDIT TOOL Sélectionne l’outil suivant. Si ce contrôle est maintenu enfoncé, les boutons numériques sélectionnent un outil spécifique. DAW WIN INSERT Ouvre ou ferme l’éditeur des échantillons. DAW REC/RDY ALL Désactive la fonction d’enregistrement activé de tous les canaux. DAW SCRUB Active ou désactive le mode Scrub. Contrôle AssignationChapitre 18 Yamaha 01V96 219 DAW GROUP STATUS Passe en mode Group Edit :  La première ligne de l’écran affiche le nom et le numéro du groupe en cours d’édition.  Les boutons de contrôle des paramètres 1 à 4 basculent entre les propriétés du groupe en cours d’édition. Le nom du groupe est affiché sur la ligne du bas.  Lorsque le bouton INSERT/PARAM est défini sur INSERT, les boutons de défilement d’onglet gauche et droit font défiler les propriétés de groupe. Sinon, il sélectionne le groupe à éditer.  Les boutons SELECT activent/désactivent l’adhésion au groupe du canal. DAW SHIFT/ADD Active la présentation Canal. DAW SUSPEND Active ou désactive la saisie du groupe. DAW SHIFT/ADD Active la présentation de canal étendu. DAW CREATE GROUP Crée un groupe et active le mode Édition de groupe (voir ci-dessus). DAW SHIFT/ADD Active la présentation Table de mixage. DAW WIN MIX/EDIT Bascule entre les fenêtres Arrangement et Table de mixage. DAW CHANNEL – Décale les tranches de console d’un canal vers la gauche. DAW CHANNEL+ Décale les tranches de console d’un canal vers la droite. DAW CTRL/CLUTCH Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, la saisie du groupe est lancée (tous les groupes sont désactivés). DAW ALT/FINE Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, le mode de changement de valeur est défini sur Fin :les changements de valeur se font en résolution maximale. Voir aussi la description des autres boutons. DAW MONI STATUS — DAW UNDO Annule la dernière opération d’édition. DAW SHIFT/ADD Rétablit la dernière opération annulée. DAW OPTION/ALL Ouvre la fenêtre Historique d’annulation. DAW SAVE Enregistre le projet. DAW WIN MEM-LOC Ouvre ou ferme la liste des marqueurs. DAW OPTION/ALL Effectue une opération Enregistrer sous, ce qui permet d’enregistrer le projet sous un autre nom. DAW EDIT TOOL Sélectionne l’outil suivant. Si ce contrôle est maintenu enfoncé, les boutons numériques sélectionnent un outil spécifique. DAW WIN INSERT Ouvre ou ferme l’éditeur des échantillons. DAW REC/RDY ALL Désactive la fonction d’enregistrement activé de tous les canaux. DAW SCRUB Active ou désactive le mode Scrub. Contrôle Assignation220 Chapitre 18 Yamaha 01V96 DAW PLAY Lecture. DAW SHIFT/ADD Pause. DAW REC Enregistrer. DAW PRE Définit le locator gauche sur la position actuelle de la tête de lecture. DAW IN Règle le locator de punch In sur la position actuelle de la tête de lecture. DAW OUT Règle le locator de punch Out sur la position actuelle de la tête de lecture. DAW POST Règle le locator droit sur la position actuelle de la tête de lecture. DAW RTZ Déplace la tête de lecture sur la position du locator gauche. DAW END Déplace la tête de lecture sur la position du locator droit. DAW ONLINE Active/désactive la synchronisation interne/externe. DAW QUICK PUNCH Active/désactive le mode Autopunch. DAW AUTO FADER Active/désactive la lecture et l’enregistrement d’automation de volume. DAW AUTO PAN Active/désactive la lecture et l’enregistrement d’automation de panoramique. DAW AUTO PLUGIN Active/désactive la lecture et l’enregistrement d’automation des paramètres de module. DAW AUTO MUET Active/désactive la lecture et l’enregistrement d’automation en mode Muet. DAW AUTO SEND Active/désactive la lecture et l’enregistrement d’automation de niveau d’envoi. DAW AUTO WRITE Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Write. DAW OPTION/ALL Règle tous les canaux/pistes sur le mode d’automation Write. DAW AUTO TOUCH Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Touch. DAW OPTION/ALL Règle tous les canaux/pistes sur le mode d’automation Touch. DAW AUTO LATCH Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Latch. DAW OPTION/ALL Règle tous les canaux/pistes sur le mode d’automation Latch. DAW AUTO READ Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Read. DAW OPTION/ALL Règle tous les canaux/pistes sur le mode d’automation Read. DAW AUTO OFF Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Off. DAW OPTION/ALL Règle tous les canaux/pistes sur le mode d’automation Off. DAW AUTO STATUS Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent le mode d’automation de la piste/du canal sélectionné. Contrôle Assignation19 221 19 Yamaha 02R96 Réglage de votre Yamaha 02R96 Effectuez cette procédure pour pouvoir utiliser votre surface de contrôle avec Logic Express.  Vérifiez que vos unités 02R96 sont reliées à l’ordinateur par le port USB.  Vérifiez que le gestionnaire MIDI fourni avec l’unité est installé. Sur le panneau avant de la 02R96 : 1 Appuyez plusieurs fois sur le bouton DISPLAY ACCESS [DIO/SETUP] pour faire apparaître la page DIO/Setup/MIDI/Host. 2 Déplacez le curseur sur la première zone de paramètre DAW dans la section des fonctions spéciales, puis faites tourner la molette des paramètres pour sélectionner USB et 1–2. 3 Appuyez plusieurs fois sur le bouton DISPLAY ACCESS [DIO/SETUP] pour afficher la page DIO/Setup/Remote. 4 Faites tourner la molette des paramètres pour sélectionner General DAW comme paramètre CIBLE. 5 Appuyez sur le bouton LAYER [REMOTE]. Dans Logic Express : L’unité est automatiquement installée à l’ouverture de Logic Express. Trois icônes 02R96 (USB 1-3) alignées horizontalement apparaissent normalement dans la fenêtre de réglage.222 Chapitre 19 Yamaha 02R96 Aperçu des assignations La présence d’un bouton de modification (SHIFT, par exemple) indiqué par une description sous le bouton d’une fonction donnée, entraîne l’action décrite si vous maintenez simultanément ce bouton et le bouton de modification enfoncés. Section DISPLAY ACCESS Section AUX SELECT Section ENCODER MODE Section FADER MODE Contrôle Assignation METER Efface les voyants DEL de surcharge. Contrôle Assignation AUX 1 Assigne le niveau Send 1 aux encodeurs et les niveaux Send 1 à 4 aux potentiomètres rotatifs affichés. Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de destination Send 1 actuelle. AUX 2 Assigne le niveau Send 2 aux encodeurs et les niveaux Send 1 à 4 aux potentiomètres rotatifs affichés. Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de destination Send 2 actuelle. AUX 3 Assigne le niveau Send 3 aux encodeurs et les niveaux Send 1 à 4 aux potentiomètres rotatifs affichés. Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de destination Send 3 actuelle. AUX 4 Assigne le niveau Send 4 aux encodeurs et les niveaux Send 1 à 4 aux potentiomètres rotatifs affichés. Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de destination Send 4 actuelle. AUX 5 Assigne le niveau Send 5 aux encodeurs et les niveaux Send 5 à 8 aux potentiomètres rotatifs affichés. Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de destination Send 5 actuelle. Contrôle Assignation PAN Assigne le Pan aux encodeurs, assigne les paramètres de Pan aux encodeurs d’affichage. AUX Assigne le niveau Send 1 aux encodeurs et les niveaux Send 1 à 4 aux encodeurs DSP. Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de destination Send 1 actuelle. Contrôle Assignation FADER Active ou désactive le mode Flip. AUX/MTRX Active ou désactive le mode Flip.Chapitre 19 Yamaha 02R96 223 Section EFFECTS/PLUG-INS Contrôle Assignation Display Ouvre ou ferme la fenêtre de l’éditeur des échantillons. PLUG-INS Bascule les boutons des encodeurs entre le comportement normal et la définition de la valeur par défaut. CHANNEL INSERTS Détermine le mode des boutons SEL des tranches de console :  Indicateur désactivé :sélection du canal.  Indicateur activé :sélection du mode d’insertion. 1 — 2 Bascule l’affichage entre les modes « nom de piste/nom de paramètre » et « nom de paramètre/valeur de paramètre ». 3 Active ou désactive le contournement du logement d’insertion en cours d’édition. 4 Bascule entre les modes Assignation de module et Édition de module. Paramètre vers le haut et vers le bas Mode Édition de module :décale l’affichage des paramètres du nombre de paramè- tres affichés dans le groupe de surfaces de contrôle. Boutons de contrôle des paramètres 1–4 Mode Assignation de panoramique :  Le bouton de contrôle de paramètre 1 permet de centrer le Pan. Mode Assignation d’envoi :  Active/désactive les fonctions Send 1 à 4 ou Muet 5 à 8. Mode assignation de module :  Confirme la sélection du module pour les logements d’insertion 1 à 4 ou 5 à 8, et active le mode d’édition de module pour le logement d’insertion sélectionné. Mode Édition de module :  Définit la valeur sur le paramètre par défaut ou active/désactive le basculement bipolaire. Contrôles de paramètre Mode Assignation de panoramique :  Le contrôle de paramètre 1 modifie le Pan. Mode Assignation d’envoi :  Contrôle le niveau d’envoi des fonctions Send 1 à 4 ou 5 à 8. Mode assignation de module :  Sélectionne le logement d’insertion 1 à 4 ou 5 à 8. Mode Édition de module :  Définit la valeur.224 Chapitre 19 Yamaha 02R96 Écran à cristaux liquides L’écran à cristaux liquides affiche différentes données en fonction de la page sélectionnée (par les boutons F2, F3 et F4) :  Mode INSERT ASSIGN/EDIT :détails des paramètres, sélection d’un module ou paramètres de module. Appuyez sur [F2] pour sélectionner ce mode (pour obtenir des détails sur les assignations, reportez-vous au tableau ci-dessous).  Mode de présentation Canal :affichage des valeurs de l’encodeur et des tranches de console. Appuyez sur [F3] pour sélectionner ce mode.  Mode de présentation Level meters :appuyez sur [F4] pour sélectionner ce mode. Les assignations suivantes sont disponibles dans les trois modes : Section USER DEFINED KEYS Écran Assignation TIMECODE (CODE TEMPOREL) Actif si le compteur affiche le code temporel SMPTE. BATTEMENTS Actif si le compteur affiche les mesures/battements/divisions/ticks. Affichage du compteur Affiche le code temporel SMPTE ou les mesures/battements/divisions/ticks. Sélection de l’assignation Affiche l’assignation des encodeurs comme suit : Pan, Snd1 to Snd8, S1As to S8As, In, Out. Contrôle Assignation Display Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent le mode d’automation des canaux sélectionnés. 1 Bascule entre les fenêtres Arrangement et Table de mixage. 2 Active/désactive la saisie du groupe. 3 Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Write. 4 Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Touch. 5 Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Latch. 6 Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Read. 8 Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Off. 9 Décale les tranches de console d’une banque (une banque est un groupe de canaux ou de paramètres) vers la gauche. 10 Décale les tranches de console d’une banque vers la droite. 11 Active/désactive la lecture et l’enregistrement d’automation de volume. 12 Active/désactive la lecture et l’enregistrement d’automation en mode Muet. 13 Active/désactive la lecture et l’enregistrement d’automation de panoramique. 14 Active/désactive la lecture et l’enregistrement d’automation de niveau d’envoi. 16 Active/désactive la lecture et l’enregistrement d’automation des paramètres de module.Chapitre 19 Yamaha 02R96 225 Tranches de console Section MACHINE CONTROL Contrôle Assignation Encodeur Ajuste le paramètre sélectionné dans la section AUX SELECT. Bouton Encoder Select Panoramique sélectionné :définit le panoramique sur la position centrale. Si le bouton EFFECTS/PLUG-INS [PLUG-INS] est activé, Send 1 à 8 est sélectionné : modifie l’option pré/post de l’envoi, active/coupe le son de l’envoi, ou encore rétablit le volume de l’envoi à sa valeur par défaut. Assignation d’envoi, Input ou Output :confirme la sélection. AUTO Fait défiler les modes d’automation. Lorsqu’un bouton de mode d’automation est maintenu enfoncé, le mode d’automation correspondant est défini. SEL Si EFFECTS/PLUG-INS [CHANNEL INSERTS] est désactivé :sélectionne le canal. Si EFFECTS/PLUG-INS [CHANNEL INSERTS] est activé :choisit le canal pour la sélection/ l’insertion de module. SOLO Active/désactive le bouton Solo. ON Active/désactive le bouton Muet. Fader Ajuste le volume ou duplique l’encodeur en mode Flip. Contrôle Assignation Display Ouvre ou ferme la liste des marqueurs. 1 à 8 Rappelle les marqueurs 1 à 8. REW Procède à un retour arrière Shuttle. FF Avance rapide Shuttle. ARRÊT Arrêt. LECTURE Lecture. REC Enregistrer.226 Chapitre 19 Yamaha 02R96 Section relative à l’entrée de données Contrôle Assignation SCRUB Active/désactive le mode Scrub. SHUTTLE Active/désactive le mode Shuttle. Molette de paramètres Par défaut :déplace la tête de lecture d’une mesure. Scrub :Scrub. Shuttle :mode Shuttle. ENTER Ouvre le dossier sélectionné. DEC Ferme le dossier. INC Bascule entre les modes Curseur et Zoom. Curseur haut Mode Curseur :équivaut à la touche fléchée vers le haut du clavier d’ordinateur. Mode Zoom :effectue un zoom arrière vertical. Curseur bas Mode Curseur :équivaut à la touche fléchée vers le bas du clavier d’ordinateur. Mode Zoom :effectue un zoom avant vertical. Curseur gauche Mode Curseur :équivaut à la touche fléchée vers la gauche du clavier d’ordinateur. Mode Zoom :effectue un zoom arrière horizontal. Curseur droit Mode Curseur :équivaut à la touche fléchée vers la droite du clavier d’ordinateur. Mode Zoom :effectue un zoom avant horizontal.20 227 20 Yamaha DM1000 Réglage de votre Yamaha DM1000 Effectuez cette procédure pour pouvoir utiliser votre surface de contrôle avec Logic Express.  Vérifiez que vos unités DM1000 sont reliées à l’ordinateur par le port USB.  Vérifiez que le gestionnaire MIDI fourni avec l’unité est installé. Sur le panneau avant du DM1000 : 1 Appuyez sur le bouton DISPLAY ACCESS [SETUP] plusieurs fois jusqu’à ce que la page Configuration/MIDI/Hôte apparaisse. 2 Déplacez le curseur sur la première zone de paramètre DAW dans la section Special Functions, puis faites tourner la molette des paramètres pour sélectionner USB et 1–3. 3 Appuyez sur le bouton DISPLAY ACCESS [REMOTE], puis sur la touche [F1]. La page Configuration/Télécommande 1 apparaît. 4 Faites tourner la molette des paramètres pour sélectionner General DAW comme paramètre CIBLE. 5 Appuyez sur le bouton LAYER [REMOTE 1]. Dans Logic Express : Lorsque vous ouvrez Logic Express, l’unité est installée automatiquement. Trois icônes DM1000 (USB 1–3) alignées horizontalement doivent apparaître dans la fenêtre de réglage.228 Chapitre 20 Yamaha DM1000 Aperçu des assignations La présence d’un bouton de modification (SHIFT, par exemple) indiqué par une description sous le bouton d’une fonction donnée, entraîne l’action décrite si vous maintenez simultanément ce bouton et le bouton de modification enfoncés. Section DISPLAY ACCESS Section AUX SELECT Contrôle Assignation DISPLAY Ouvre ou ferme l’éditeur des échantillons. AUTOMIX Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, les affichages de tranches de console indiquent le mode d’automation du canal sélectionné. PAIR/GROUP Active le mode d’édition de groupe :  La première ligne de l’écran affiche le nom et le numéro du groupe en cours d’édition.  Les boutons de contrôle des paramètres 1 à 4 basculent entre les propriétés du groupe en cours d’édition (nom affiché sur la dernière ligne de l’écran).  Lorsque l’option INSERT/PARAM est réglée sur INSERT, les boutons de défilement d’onglet gauche et droit font défiler les propriétés de groupe. Dans le cas contraire, le groupe à éditer est sélectionné.  Les boutons SELECT activent/désactivent l’adhésion au groupe du canal. DAW SHIFT/ADD Bascule vers la présentation Canal. MÈTRE Efface les voyants DEL de Surcharge. DAW SHIFT/ADD Bascule vers la présentation de Table de mixage et affiche les canaux MIDI. DAW ALT/FINE Ouvre ou ferme la fenêtre Arrangement. EFFECT Ouvre ou ferme l’éditeur des échantillons. Contrôle Assignation AUX 1 Assigne le niveau d’envoi 1 aux encodeurs et les niveaux d’envoi 1 à 4 aux encodeurs d’affichage. Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de destination Send 1 actuelle. DAW SHIFT/ADD Comme ci-dessus, pour Send 6. AUX 2 Comme ci-dessus, pour Send 2. DAW SHIFT/ADD Comme ci-dessus, pour Send 7. AUX 3 Comme ci-dessus, pour Send 3. DAW SHIFT/ADD Comme ci-dessus, pour Send 8. AUX 4 Comme ci-dessus, pour Send 4. AUX 5 Comme ci-dessus, pour Send 5.Chapitre 20 Yamaha DM1000 229 Section ENCODER MODE Section FADER MODE Fonction de l’écran à cristaux liquides Écran à cristaux liquides L’écran à cristaux liquides affiche différentes données en fonction de la page sélectionnée (par les boutons F2, F3 et F4) :  Mode INSERT ASSIGN/EDIT :détails sur les paramètres, sélection de module ou paramètres de module. Appuyez sur [F2] pour sélectionner ce mode. AUX 6 Bascule entre le comportement normal et la valeur par défaut des boutons d’encodeur. AUX 8 Détermine le mode des boutons SEL des tranches de console lorsque le bouton AUTO de la tranche de console est désactivé :  Indicateur désactivé :sélection du canal.  Indicateur activé :sélection du mode d’insertion. Contrôle Assignation Contrôle Assignation PAN Assigne le Pan aux encodeurs ; assigne les paramètres Pan du canal sélectionné aux encodeurs d’affichage. AUX Assigne le niveau Send 1 aux encodeurs et les niveaux Send 1 à 4 aux encodeurs d’affichage. Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de destination Send 1 actuelle. Contrôle Assignation FADER MODE Active ou désactive le mode Flip. Contrôle Assignation Left & Right Mode Édition de module :décale l’affichage des paramètres du nombre de contrôles de paramètre dans le groupe de surfaces de contrôle. DAW ALT/FINE Mode Édition de module :décale l’affichage de paramètres d’un paramètre. Écran Assignation Écran à cristaux liquides Affiche des détails sur les paramètres, la sélection de module ou les paramètres de module. TIME CODE (CODE TEMPOREL) Actif si le compteur affiche le code temporel. BATTEMENTS Actif si le compteur affiche les mesures/battements/divisions/ticks. Affichage du temps Affiche le code temporel ou les mesures/battements/divisions/ticks. Sélection de l’assignation Affiche l’assignation des encodeurs comme suit : Pan, Snd1 to Snd8, S1As to S8As, In, Out.230 Chapitre 20 Yamaha DM1000 Page des insertions sur l’écran à cristaux liquides Section relative à l’entrée de données Contrôle Assignation COMPARAISON Bascule l’affichage entre les modes « nom de piste/nom de paramètre » et « nom du paramètre/valeur de paramètre ». CONTOURNEMENT Active ou désactive le contournement de l’insertion du module en cours d’édition. INSERT/PARAM Bascule entre les modes Assignation de module et Édition de module. Boutons de contrôle des paramètres 1–4 Mode Assignation de panoramique :  Le bouton de contrôle de paramètre 1 permet de centrer le Pan. Mode Assignation d’envoi :  Active/désactive les envois 1 à 4 ou les silences 5 à 8. Mode assignation de module :  Confirme la sélection du module pour les logements d’insertion 1 à 4 ou 5 à 8, et active le mode d’édition de module pour le logement d’insertion sélectionné. Mode d’édition de module :  Définit la valeur sur le paramètre par défaut ou active/désactive l’interrupteur bipolaire. Contrôles de paramètre Mode Assignation de panoramique :  Le contrôle de paramètre 1 modifie le Pan. Mode Assignation d’envoi :  Contrôlent les niveaux Send 1 à 4 ou 5 à 8. Mode assignation de module :  Assigne l’insertion 1 à 4 ou 5 à 8. Mode Édition de module :  Opte pour la valeur par défaut. Contrôle Assignation Molette de paramètres Par défaut :déplace la tête de lecture d’une mesure. Scrub :Scrub Shuttle :mode Shuttle (DEC) Par défaut :sort du dossier. Dans la zone de dialogue Aller au marqueur :annule la zone de dialogue. DAW ALT/FINE Ouvre ou ferme le chutier audio. + (INC) Ouvre le dossier sélectionné.Chapitre 20 Yamaha DM1000 231 Tranches de console Tranche de console stéréo Section User Defined Keys Ces touches définies par l’utilisateur peuvent être assignées aux fonctions suivantes : Contrôle Assignation Level Meter Affiche le niveau momentané et le niveau de crête. Encodeur Ajuste le paramètre sélectionné dans la section AUX SELECT. Bouton Encoder Select Panoramique sélectionné :définit le panoramique sur la position centrale si la matrice 1 est activée. Send 1 à 8 sélectionné :modifie la pré/post-position de l’envoi, active/coupe le son de l’envoi, ou encore rétablit le volume de l’envoi à sa valeur par défaut. Mode d’assignation d’envoi, d’entrée ou de sortie sélectionné :confirme la sélection. SEL Si AUTO désactivé :  AUX [AUX 8] désactivé :sélectionne le canal.  AUX [AUX 8] activé :sélectionne le canal pour l’assignation d’insertion. Si AUTO activé :  Navigue entre les modes d’automation. Lorsque vous maintenez le bouton d’un mode d’automation enfoncé, ce mode est défini. DAW SHIFT/ADD Règle le volume sur le niveau Unité. MATRIX SELECT 1 Règle le volume sur le niveau Unité. SOLO Active ou désactive le bouton Solo. DAW OPTION/ALL Désactive le bouton Solo de tous les canaux. ON Active ou désactive le bouton Muet. DAW OPTION/ALL Active le son pour tous les canaux. Fader Ajuste le volume ou duplique l’assignation d’encodeur dans le mode Flip. Contrôle Assignation AUTO Bascule entre les tâches de sélection de canal et d’insertion des boutons SEL de tranche de console. Contrôle Assignation DAW WIN STATUS Ouvre ou ferme le chutier Audio. DAW REC/RDY 1 à 16 Active ou désactive le bouton Record Enable du canal. DAW WIN TRANSPORT Ouvre ou ferme la fenêtre des mesures du Transport. DAW BANK– Décale les tranches de console d’une banque (une banque est un groupe de canaux ou de paramètres) vers la gauche. DAW BANK+ Décale les tranches de console d’une banque vers la droite. DAW SHIFT/ADD Active une seconde fonction/utilisation sur certains boutons.232 Chapitre 20 Yamaha DM1000 DAW OPTION/ALL Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, le mode de changement de valeur est défini sur Pleine :faire tourner l’encodeur vers la droite définit la valeur maximale. Si vous le tournez vers la gauche, vous réglerez la valeur minimale. L’encodeur s’arrête également sur sa valeur par défaut. Voir aussi la description des autres boutons. DAW GROUP STATUS Passe en mode Group Edit :  La première ligne de l’écran affiche le nom et le numéro du groupe en cours d’édition.  Les boutons de contrôle de paramètre 1 à 4 passent d’une propriété du groupe en cours d’édition à l’autre (nom indiqué sur la dernière ligne de l’écran).  Lorsque l’option INSERT/PARAM est réglée sur INSERT, les boutons de défilement d’onglet gauche et droit font défiler les propriétés de groupe. Dans le cas contraire, ils sélectionnent le groupe en cours d’édition.  Les boutons SELECT activent/désactivent l’adhésion au groupe du canal. DAW SHIFT/ADD Active la présentation Canal. DAW SUSPEND Active ou désactive la saisie du groupe. DAW SHIFT/ADD Active la présentation de canal étendu. DAW CREATE GROUP Crée un groupe et active le mode d’édition de groupe (voir ci-dessus). DAW SHIFT/ADD Active la présentation Table de mixage. DAW WIN MIX/EDIT Bascule entre les fenêtres Arrangement et Table de mixage. DAW CHANNEL – Décale les tranches de console d’un canal vers la gauche. DAW CHANNEL+ Décale les tranches de console d’un canal vers la droite. DAW CTRL/CLUTCH Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, la saisie du groupe est lancée (tous les groupes sont désactivés). DAW ALT/FINE Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, le mode de changement de valeur est défini sur Fin :les changements de valeur se font en résolution maximale. Voir aussi la description des autres boutons. DAW MONI STATUS — DAW UNDO Annule la dernière opération d’édition. DAW SHIFT/ADD Rétablit la dernière opération annulée. DAW OPTION/ALL Ouvre la fenêtre Historique d’annulation. DAW SAVE Enregistre le projet. DAW WIN MEM-LOC Ouvre ou ferme la liste des marqueurs. DAW OPTION/ALL Effectue une opération Enregistrer sous, ce qui permet d’enregistrer le projet sous un autre nom. DAW EDIT TOOL Sélectionne l’outil suivant. Si ce contrôle est maintenu enfoncé, les boutons numériques sélectionnent un outil spécifique. DAW WIN INSERT Ouvre ou ferme l’éditeur des échantillons. DAW REC/RDY ALL Désactive les boutons Record Enable de tous les canaux. DAW SCRUB Active ou désactive le mode Scrub. Contrôle AssignationChapitre 20 Yamaha DM1000 233 DAW SHUTTLE Active ou désactive le mode Shuttle. DAW REW Procède à un retour arrière Shuttle. DAW FF Avance rapide Shuttle. DAW STOP Arrêt. DAW PLAY Lecture. DAW SHIFT/ADD Pause. DAW REC Enregistrer. DAW PRE Règle le locator gauche sur l’emplacement de la tête de lecture. DAW IN Règle le locator de Punch In sur l’emplacement de la tête de lecture. DAW OUT Règle le locator de Punch Out sur l’emplacement de la tête de lecture. DAW POST Règle le locator droit sur l’emplacement de la tête de lecture. DAW RTZ Place la tête de lecture sur le locator gauche. DAW END Place la tête de lecture sur le locator droit. DAW ONLINE Active ou désactive la synchronisation interne/externe. DAW QUICK PUNCH Active ou désactive le mode Autopunch. DAW AUTO FADER Active ou désactive la lecture et l’enregistrement d’automation du volume. DAW AUTO PAN Active ou désactive la lecture et l’enregistrement d’automation du panoramique. DAW AUTO PLUGIN Active ou désactive la lecture et l’enregistrement d’automation des paramè- tres de module. DAW AUTO MUET Active ou désactive la lecture et l’enregistrement d’automation du mode muet. DAW AUTO SEND Active ou désactive la lecture et l’enregistrement d’automation du niveau d’envoi. DAW AUTO WRITE Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Write. Si ce contrôle est maintenu enfoncé, les boutons AUTO de la tranche de console définissent le mode d’automation sur Write. DAW OPTION/ALL Règle tous les canaux/pistes sur le mode d’automation Write. DAW AUTO TOUCH Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Touch. Si ce contrôle est maintenu enfoncé, les boutons AUTO de la tranche de console définissent le mode d’automation sur Touch. DAW OPTION/ALL Règle tous les canaux/pistes sur le mode d’automation Touch. DAW AUTO LATCH Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Latch. Si ce contrôle est maintenu enfoncé, les boutons AUTO de la tranche de console définissent le mode d’automation sur Latch. DAW OPTION/ALL Règle tous les canaux/pistes sur le mode d’automation Latch. DAW AUTO READ Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Read. Si ce contrôle est maintenu enfoncé, les boutons AUTO de la tranche de console définissent le mode d’automation sur Lire. DAW OPTION/ALL Règle tous les canaux/pistes sur le mode d’automation Read. DAW AUTO TRIM — Contrôle Assignation234 Chapitre 20 Yamaha DM1000 DAW AUTO OFF Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Off. Si ce contrôle est maintenu enfoncé, les boutons AUTO de la tranche de console définissent le mode d’automation sur Off. DAW OPTION/ALL Règle tous les canaux/pistes sur le mode d’automation Off. DAW AUTO STATUS Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent le mode d’automation de la piste/du canal sélectionné. Contrôle Assignation21 235 21 Yamaha DM2000 Réglage de votre Yamaha DM2000 Effectuez cette procédure pour pouvoir utiliser votre surface de contrôle DM2000 avec Logic Express.  Vérifiez que vos unités DM2000 sont reliées à l’ordinateur par le port USB.  Vérifiez que le gestionnaire MIDI fourni avec l’unité est installé. Sur le panneau avant du DM2000 : 1 Appuyez sur le bouton DISPLAY ACCESS [SETUP] plusieurs fois jusqu’à ce que la page Configuration/MIDI/Hôte apparaisse. 2 Déplacez le curseur sur la première zone de paramètre DAW dans la section Special Functions, puis faites tourner la molette des paramètres pour sélectionner USB et 1–4. 3 Appuyez sur le bouton DISPLAY ACCESS [REMOTE], puis sur la touche [F1]. La page Configuration/Télécommande 1 apparaît. 4 Faites tourner la molette des paramètres pour sélectionner General DAW comme paramètre CIBLE. 5 Appuyez sur le bouton LAYER [REMOTE 1]. Dans Logic Express : Lorsque vous ouvrez Logic Express, l’unité est installée automatiquement. Trois icônes DM2000 (USB 1–3) alignées horizontalement doivent apparaître dans la fenêtre de réglage.236 Chapitre 21 Yamaha DM2000 Aperçu des assignations La présence d’un bouton de modification (SHIFT, par exemple) indiqué par une description sous le bouton d’une fonction donnée, entraîne l’action décrite si vous maintenez simultanément ce bouton et le bouton de modification enfoncés. Section MATRIX SELECT Section AUX SELECT Contrôle Assignation MATRIX 1 Bascule entre le comportement normal et la valeur par défaut des boutons d’encodeur. MATRIX 2 Bascule entre les modes Send Position et Send Muet des boutons d’encodeur. MATRIX 4 Si le bouton ENCODER MODE [ASSIGN 4] est activé, bascule entre les modes Insert Select (indicateur désactivé) et Insert Bypass (indicateur activé) des boutons SEL des tranches de console. Contrôle Assignation AUX 1 Assigne le niveau d’envoi 1 aux encodeurs et les niveaux d’envoi 1 à 4 aux encodeurs d’affichage. Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de destination Send 1 actuelle. USER 4 Comme ci-dessus, pour Send 6. AUX 2 Comme ci-dessus, pour Send 2. USER 4 Comme ci-dessus, pour Send 7. AUX 3 Comme ci-dessus, pour Send 3. USER 4 Comme ci-dessus, pour Send 8. AUX 4 Comme ci-dessus, pour Send 4. AUX 5 Comme ci-dessus, pour Send 5.Chapitre 21 Yamaha DM2000 237 Section ENCODER MODE Section FADER MODE Section DISPLAY ACCESS Contrôle Assignation PAN Assigne le Pan aux encodeurs, assigne les paramètres de Pan aux encodeurs d’affichage. AUX/MTRX Assigne le niveau Send 1 aux encodeurs et les niveaux Send 1 à 4 aux encodeurs d’affichage. Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de destination Send 1 actuelle. ASSIGN 1 Assigne l’assignation d’entrée de la tranche de console aux encodeurs. Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation d’entrée actuelle de la tranche de console. ASSIGN 2 Assigne l’assignation de sortie de la tranche de console aux encodeurs. Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, les affichages des tranches de console indiquent l’assignation de sortie actuelle de la tranche de console. ASSIGN 3 Lorsque les encodeurs affichent un niveau d’envoi, ce contrôle les bascule vers le mode d’assignation de la destination d’envoi. Appuyez sur le bouton Encoder (ou ASSIGN 3 de nouveau) pour confirmer l’assignation. ASSIGN 4 Détermine le mode des boutons SEL des tranches de console :  Indicateur désactivé :sélection du canal.  Indicateur activé :sélection d’insertion ou contournement d’insertion en fonction de MATRIX SELECT [MATRIX 4]. Contrôle Assignation FADER Active ou désactive le mode Flip. AUX/MTRX Active ou désactive le mode Flip. Contrôle Assignation METER Efface les voyants DEL de surcharge. USER 4 Bascule vers la présentation de table de mixage et affiche les canaux MIDI. USER 13 Ouvre ou ferme la fenêtre Arrangement.238 Chapitre 21 Yamaha DM2000 Section EFFECTS/PLUG-INS Écran à cristaux liquides Contrôle Assignation Écran Ouvre ou ferme l’éditeur des échantillons. 6 Bascule l’affichage entre les modes « nom de piste/nom de paramètre » et « nom du paramètre/valeur de paramètre ». 7 Active ou désactive le contournement du logement d’insertion en cours d’édition. 8 Bascule entre les modes d’assignation et d’édition de module. Paramètre vers le haut et vers le bas Mode Édition de module :décale l’affichage des paramètres du nombre de contrô- les de paramètre dans le groupe de surfaces de contrôle. USER 13 Mode Édition de module :décale l’affichage de paramètres d’un paramètre. Boutons de contrôle des paramètres 1–4 Mode Assignation de panoramique :  Le bouton de contrôle de paramètre 1 permet de centrer le Pan. Mode Assignation d’envoi :  Active/désactive les envois 1 à 4 ou les silences 5 à 8. Mode assignation de module :  Confirme la sélection du module pour les logements d’insertion 1 à 4 ou 5 à 8, et active le mode d’édition de module pour le logement d’insertion sélectionné. Mode d’édition de module :  Définit la valeur sur le paramètre par défaut ou active/désactive l’interrupteur bipolaire. Contrôles de paramètre Mode Assignation de panoramique :  Le contrôle de paramètre 1 modifie le Pan. Mode Assignation d’envoi :  Contrôlent les niveaux Send 1 à 4 ou 5 à 8. Mode assignation de module :  Assigne l’insertion 1 à 4 ou 5 à 8. Mode Édition de module :  Opte pour la valeur par défaut. Écran Assignation Écran à cristaux liquides Affiche des détails sur les paramètres, la sélection de module ou les paramètres de module. TIMECODE (CODE TEMPOREL) Actif si le compteur affiche le code temporel SMPTE. BATTEMENTS Actif si le compteur affiche les mesures/battements/divisions/ticks. Compteur Affiche le code temporel SMPTE ou les mesures/battements/divisions/ticks. SELECT ASSIGN Affiche l’assignation des encodeurs comme suit : Pan, Snd1 to Snd8, S1As to S8As, In, Out.Chapitre 21 Yamaha DM2000 239 Section TRACK ARMING Section AUTOMIX Contrôle Assignation 1 à 24 Active/désactive le bouton Record Enable du canal sélectionné. USER 5 Désactive les boutons Record Enable de tous les canaux. Principal Désactive les boutons Record Enable de tous les canaux. Contrôle Assignation Display Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, les affichages de tranches de console indiquent le mode d’automation de la piste/du canal sélectionné. REC Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Write. Si ce contrôle est maintenu enfoncé, les boutons AUTO de la tranche de console définissent le mode d’automation sur Write. USER 5 Règle tous les canaux/pistes sur le mode d’automation Write. ABORT/UNDO Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Touch. Si ce contrôle est maintenu enfoncé, les boutons AUTO de la tranche de console définissent le mode d’automation sur Touch. USER 5 Règle tous les canaux/pistes sur le mode d’automation Touch. AUTOREC Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Latch. Si ce contrôle est maintenu enfoncé, les boutons AUTO de la tranche de console définissent le mode d’automation sur Latch. USER 5 Règle tous les canaux/pistes sur le mode d’automation Latch. RETURN Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Read. Si ce contrôle est maintenu enfoncé, les boutons AUTO de la tranche de console définissent le mode d’automation sur Lire. USER 5 Règle tous les canaux/pistes sur le mode d’automation Read. RELATIVE — TOUCH SENSE Règle la piste/le canal sélectionné sur le mode d’automation Off. Si ce contrôle est maintenu enfoncé, les boutons AUTO de la tranche de console définissent le mode d’automation sur Off. USER 5 Règle tous les canaux/pistes sur le mode d’automation Off. OVERWRITE [FADER] Active/désactive la lecture et l’enregistrement d’automation du volume. OVERWRITE [PAN] Active/désactive la lecture et l’enregistrement d’automation du panoramique. OVERWRITE [EQ] Active/désactive la lecture et l’enregistrement d’automation des paramètres de module. OVERWRITE [ON] Active/désactive la lecture et l’enregistrement d’automation du mode muet. OVERWRITE [AUX] Active/désactive la lecture et l’enregistrement d’automation du niveau d’envoi.240 Chapitre 21 Yamaha DM2000 Section USER DEFINED KEYS Contrôle Assignation Display Ouvre ou ferme la fenêtre du chutier audio. 1 Ouvre ou ferme la fenêtre des mesures du Transport. 2 Décale les tranches de console d’une banque vers la gauche. 3 Décale les tranches de console d’une banque vers la droite. 4 Bascule vers une seconde fonction/utilisation sur certains boutons (voir les descriptions des autres boutons). 5 Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, le mode de changement de valeur est défini sur Pleine :faire tourner l’encodeur vers la droite définit la valeur maximale. Si vous le tournez vers la gauche, vous réglerez la valeur minimale. L’encodeur s’arrête également sur sa valeur par défaut. Voir aussi la description des autres boutons. 6 Passe en mode Group Edit :  La première ligne de l’écran affiche le nom et le numéro du groupe en cours d’édition.  Les boutons de contrôle de paramètre 1 à 4 passent d’une propriété du groupe en cours d’édition à l’autre (nom indiqué sur la dernière ligne de l’écran).  Lorsque l’option INSERT/PARAM est réglée sur INSERT, les boutons de défilement d’onglet gauche et droit font défiler les propriétés de groupe. Dans le cas contraire, ils sélectionnent le groupe en cours d’édition.  Les boutons SELECT activent/désactivent l’adhésion au groupe du canal. USER 4 Bascule vers le mode de présentation Canal. 7 Active ou désactive la saisie du groupe (désactive tous les groupes). USER 4 Active la présentation de canal étendu. 8 Crée un groupe et active le mode d’édition de groupe (voir ci-dessus). USER 4 Bascule vers le mode de présentation Table de mixage. 9 Bascule entre les fenêtres Arrangement et Table de mixage. 10 Décale les tranches de console d’un canal vers la gauche. 11 Décale les tranches de console d’un canal vers la droite. 12 Lorsque ce contrôle est maintenu enfoncé, la saisie du groupe est lancée (tous les groupes sont désactivés). 13 Lorsque vous maintenez ce contrôle enfoncé, le mode de changement de valeur est défini sur Fin :les changements de valeur se font en résolution maximale. Voir aussi la description des autres boutons. 14 — 15 Annule la dernière opération d’édition. USER 4 Rétablit la dernière opération annulée. USER 5 Historique d’annulation. 16 Enregistre le projet. USER 5 Effectue une opération Enregistrer sous, ce qui permet d’enregistrer le projet sous un autre nom.Chapitre 21 Yamaha DM2000 241 Section LOCATOR Contrôle Assignation Display Ouvre ou ferme la liste des marqueurs. 1 à 8 Rappelle les marqueurs 1 à 8. USER 4 Bascule vers la présentation Table de mixage et affiche : 1 :canaux MIDI 2 :canaux d’entrée 3 :canaux audio 4 :canaux instrumentaux 5 :canaux auxiliaires 6 :canaux Bus 7 :canaux de sortie et canal principal DISPLAY HISTORY [FORWARD] Sélectionne l’outil : 1 :flèche 2 :crayon 3 :gomme 4 :outil Texte 5 :ciseaux 6 :outil Colle 7 :outil Solo 8 :outil Muet PRE Règle le locator gauche sur l’emplacement de la tête de lecture. IN Règle le locator de Punch In sur l’emplacement de la tête de lecture. OUT Règle le locator de Punch Out sur l’emplacement de la tête de lecture. POST Règle le locator droit sur l’emplacement de la tête de lecture. RETURN TO ZERO Place la tête de lecture sur le locator gauche. END Place la tête de lecture sur le locator droit. ONLINE Active ou désactive la synchronisation interne/externe. QUICK PUNCH Active/désactive le mode Autopunch.242 Chapitre 21 Yamaha DM2000 Tranches de console Section Transport/Curseur Contrôle Assignation Level Meter Affiche les niveaux fugaces et de crête. Encodeur Ajuste le paramètre sélectionné dans la section AUX SELECT. Bouton Encoder Select Panoramique sélectionné :définit le panoramique sur la position centrale. Si MATRIX 1 sur Send 1 à 8 est sélectionné :modifie la pré/post-position de l’envoi, active/coupe le son de l’envoi, ou encore rétablit le volume de l’envoi à sa valeur par défaut. Mode d’assignation d’envoi, d’entrée ou de sortie sélectionné :confirme la sélection. AUTO Fait défiler les modes d’automation. Lorsque vous maintenez le bouton d’un mode d’automation enfoncé, ce mode est défini. SEL Si ENCODER MODE [ASSIGN 4] désactivé :sélectionne le canal. Si ENCODER MODE [ASSIGN 4] activé :  BYPASS désactivé :sélectionne le canal pour la sélection de module.  BYPASS activé :bascule l’état de contournement du logement d’insertion sélectionné. USER 4 Règle le volume sur le niveau Unité. MATRIX SELECT 1 Règle le volume sur le niveau Unité. SOLO Active ou désactive le bouton Solo. USER 5 Désactive le bouton Solo de tous les canaux. ON Active ou désactive le bouton Muet. USER 5 Active le son pour tous les canaux. Affichage de la tranche de console Affiche le nom du canal ou l’assignation de l’envoi, de l’entrée ou de la sortie. Fader Ajuste le volume ou duplique l’encodeur dans le mode Flip. Contrôle Assignation REW Procède à un retour arrière Shuttle. FF Avance rapide Shuttle. ARRÊTt Arrêt. LECTURE Lecture. USER 4 Pause. REC Enregistrer DISPLAY HISTORY [FORWARD] Sélectionne l’outil suivant. Si ce contrôle est maintenu enfoncé, les boutons numériques sélectionnent un outil spécifique. SCRUB Active ou désactive le mode Scrub. SHUTTLE Active ou désactive le mode Shuttle.Chapitre 21 Yamaha DM2000 243 Molette de paramètres Par défaut :déplace la tête de lecture d’une mesure. Scrub :Scrub. Shuttle :mode Shuttle. DEC Par défaut :sort du dossier. Dans la zone de dialogue Aller au marqueur :annule la zone de dialogue. USER 13 Ouvre ou ferme le chutier audio. INC Bascule entre les modes Curseur et Zoom. Curseur haut Mode Curseur :équivaut à la touche fléchée vers le haut du clavier d’ordinateur. Mode Zoom :effectue un zoom arrière vertical. USER 4 Mode Zoom :zoom arrière sur une piste individuelle. USER 13 Page préc. USER 5 + USER 13 Défilement vers le haut. Curseur bas Mode Curseur :équivaut à la touche fléchée vers le bas du clavier d’ordinateur. Mode Zoom :effectue un zoom avant vertical. USER 4 Mode Zoom :effectue un zoom avant sur une piste spécifique. USER 13 Page suivante. USER 5 + USER 13 Défilement vers le bas. Curseur gauche Mode Curseur :équivaut à la touche fléchée vers la gauche du clavier d’ordinateur. Mode Zoom :effectue un zoom arrière horizontal. USER 4 Mode Zoom :réinitialise le niveau de zoom des pistes du même type. USER 13 Page Gauche. USER 5 + USER 13 Défilement vers la bordure gauche. Curseur droit Mode Curseur :équivaut à la touche fléchée vers la droite du clavier d’ordinateur. Mode Zoom :effectue un zoom avant horizontal. USER 4 Mode Zoom :réinitialise le niveau de zoom de chaque piste. USER 13 Page Droite. USER 5 + USER 13 Défilement vers la bordure droite (de la fenêtre active). ENTER Ouvre le dossier sélectionné. Contrôle Assignation Fondamentaux de l’intégration Mac 10.7 Ajouter un Mac à un environnement Windows ou tout autre environnement normaliséCopyright Apple Inc. © 2012 Apple Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, iCal, iPhone, iPhoto, iPod, iTunes, Keynote, Mac, Macintosh, Mac OS, Numbers, Pages, Safari et Spotlight sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Adobe et PhotoScript sont des marques ou des marques déposées d’Adobe Systems Incorporated aux États-Unis ou dans d’autres pays. Bluetooth est une marque déposée détenue par Bluetooth SIG, Inc. UNIX est une marque déposée de The Open Group aux États-Unis et dans d’autres pays. Les autres noms de produits et de sociétés mentionnés dans ces pages sont des marques de leurs sociétés respectives. Les mentions de produits tiers sont données à titre purement indicatif et ne constituent en aucun cas une recommandation ni une approbation de la part d’Apple. Apple n’assume aucune responsabilité quant aux performances et à l’utilisation de ces produits. Les mentions de produits tiers sont données à titre purement indicatif et ne constituent en aucun cas une recommandation ni une approbation de la part d’Apple. Apple n’assume aucune responsabilité quant aux performances et à l’utilisation de ces produits. Tout accord, garantie ou engagement sont passés le cas échéant directement entre les revendeurs et les utilisateurs potentiels. Une attention particulière a été portée à la rédaction de ce manuel et à l’exactitude de son contenu. Apple ne peut être tenue pour responsable des erreurs typographiques ou de saisie. Une attention particulière a été portée à la rédaction de ce manuel et à l’exactitude de son contenu. Apple ne peut être tenue pour responsable des erreurs typographiques ou de saisie. Apple publie régulièrement de nouvelles versions et des mises à jour de ses logiciels, et les images reproduites dans ce manuel peuvent donc présenter des différences avec ce que vous voyez sur votre écran. 08-26-2011Sommaire Introduction 5 Présentation 5 Connaissances requises 5 Comptes réseau 6 Configuration d’un Mac pour la connexion à un serveur de comptes réseau 6 Utilisation de comptes réseau 11 Récapitulatif 12 Partage de fichiers 13 Connexion aux serveurs de fichiers 13 Partage de fichiers personnels 15 Récapitulatif 16 Courrier électronique, calendriers et contacts 17 Courrier électronique 17 Connexion à un serveur Exchange Courrier électronique avec serveurs POP et IMAP Contacts 20 Calendriers 22 Récapitulatif 25 Sécurité 26 Sécurité du compte utilisateur 26 Choix d’un mot de passe Verrouillage de l’écran d’ordinateur Désactivation de l’ouverture de session automatique Sécurité de l’ordinateur 29 FileVault 2 Mot de passe du programme interne Protection antivirus Sécurité réseau 34 Coupe-feu d’OS X Réseau privé virtuel Récapitulatif 39Impression à partir d’ordinateurs OS X 40 Connexion à une imprimante USB 40 Impression sur une imprimante réseau 41 Utilisation des documents PPD 43 Récapitulatif 43 Messagerie instantanée 44 Configuration d’iChat 45 Comptes me.com, Mac.com et AIM Autres services de messagerie instantanée Récapitulatif 50 Gestion et sauvegarde de données 51 Migration de données de Windows vers un Mac 51 Transfert de vos données à partir d’un PC avec l’Assistant migration Copie de fichiers sur un support de stockage externe Migration des fichiers par e-mail Sauvegarde de données 53 Sauvegarde de données avec Time Machine Autres méthodes de sauvegarde Récapitulatif 57 Compatibilité multiplate-forme 58 Compatibilité multiplate-forme 59 Applications multiplates-formes Types de fichiers multiplates-formes Exécution de Windows sur Mac 59 Boot Camp Virtualisation Récapitulatif 65 Ressources complémentaires 66 Examen Fondamentaux de l’intégration Mac 66 Formation et certification OS X 66 Cours sur OS X Certifications OS X Manuels 67 Assistance 67Introduction Présentation Ce guide s’adresse aux personnes qui souhaitent intégrer un ordinateur Mac au sein d’une PME/PMI utilisant principalement Windows. Ces entreprises sont généralement équipées du serveur Windows Small Business Server. Ce guide s’adresse également aux utilisateurs qui remplacent un ordinateur Windows par un Mac, et peut servir de référence aux administrateurs système de leur entreprise. Au fil de ce guide, vous découvrirez les différentes manières d’intégrer un Mac au sein de l’environnement réseau de votre entreprise, notamment la manière de configurer votre Mac pour exploiter Active Directory, ainsi que les services réseau comme le partage de fichiers, l’impression, la messagerie instantanée, la messagerie électronique, les calendriers et les contacts. Ce document décrit également la sécurité au niveau de l’utilisateur, du réseau local et des réseaux distants. Il présente la gestion des données, notamment la migration à partir d’un ordinateur Windows, ainsi que la sauvegarde des données importantes. Enfin, vous apprendrez comment exécuter les programmes Windows directement sur votre Mac, pour profiter d’une compatibilité et d’une interopérabilité parfaites avec vos collègues utilisateurs de Windows. Connaissances requises Ce document nécessite une connaissance élémentaire d’OS X et de la terminologie associée. Si vous découvrez le Mac, consultez l’une des deux ressources d’assistance Apple en ligne présentant l’utilisation du Mac : Passage à Mac 1 2 3 Conçu pour l’utilisateur PC qui vient de passer au Mac et qui souhaite adapter ses anciennes habitudes de travail à OS X. Passage à Mac 1 2 3 est disponible en ligne sur http://www.apple.com/fr/support/switch101/. Mac 1 2 3 Conçu pour ceux qui achètent leur premier ordinateur ou qui ont simplement besoin d’une remise à niveau pour tirer le meilleur parti du Mac. Mac 1-2-3 est disponible en ligne sur http://www.apple.com/fr/support/mac101/. 5 1Comptes réseau Microsoft Small Business Server et Windows Server s’appuient sur Active Directory pour fournir comptes, authentification et autres services réseau aux utilisateurs. Open Directory est une autre implémentation de serveur d’annuaire qui permet l’exploitation des services d’annuaire LDAP. Quel que soit le protocole de service d’annuaire utilisé par votre structure, les utilisateurs Mac peuvent rejoindre les réseaux existants sans effort, tout en respectant les règles de l’entreprise en matière d’authentification forte et d’accès protégé par mot de passe aux ressources réseau. L’ajout d’un Mac à un réseau qui exploite des services d’annuaire est une procédure très simple, grâce à la prise en charge des comptes réseau intégrée à Mac OS X Lion. Configuration d’un Mac pour la connexion à un serveur de comptes réseau Pour autoriser votre Mac à utiliser un compte réseau, vous devez d’abord configurer son accès à un serveur d’annuaire. Cette procédure de configuration est appelée liaison. La liaison est effectuée dans le volet Utilisateurs et groupes des Préférences Système. Vous devez vous authentifier en tant qu’administrateur pour lancer la procédure. Les étapes suivantes décrivent comment créer une liaison à un serveur Active Directory ou Open Directory/LDAP. Liaison d’un Mac à un serveur Active Directory : Avant de relier un Mac à un serveur Active Directory, vous devez obtenir les informations suivantes auprès de l’administrateur du serveur : • L’adresse du domaine Active Directory • Un nom d’utilisateur administrateur • Un mot de passe d’administrateur Remarque : votre administrateur serveur peut également spécifier l’identifiant que doit utiliser votre ordinateur. 6 21. Choisissez le menu Apple > Préférences Système. 2. Cliquez sur Utilisateurs et groupes. 3. Cliquez sur Options. 4. Si l’icône de cadenas est verrouillée, cliquez sur celui-ci et entrez le nom et le mot de passe d’un compte administrateur. 75. Cliquez sur le bouton Rejoindre. Si vous avez déjà rejoint un serveur d’annuaire, cliquez sur le bouton Modifier au lieu du bouton Rejoindre. Dans la zone de dialogue qui apparaît, cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste des serveurs déjà connus. 6. Entrez l’adresse Active Directory fournie par l’administrateur du serveur. La zone de dialogue révèle alors les champs des réglages Active Directory. 7. Entrez le nom d’utilisateur et mot de passe Active Directory fournis par l’administrateur du serveur. 88. Le cas échéant, modifiez l’identifiant qui sera utilisé par Active Directory pour votre serveur. Par défaut, l’identifiant de l’ordinateur client correspond au nom de l’ordinateur. (Il s’agit du nom utilisé par le Mac dans le volet Partage des préférences.) Vous pouvez le modifier pour suivre les règles établies par votre entreprise pour la dénomination des ordinateurs qui appartiennent au domaine Active Directory. En cas de doute, consultez l’administrateur du serveur. 9. Cliquez sur OK. Votre Mac est alors enregistré dans le domaine Active Directory. Liaison d’un Mac à un serveur Open Directory/LDAP : Pour relier un Mac à un serveur Open Directory, vous devez obtenir les informations suivantes auprès de l’administrateur du serveur : • Le nom ou l’adresse IP du serveur • Le serveur utilise-t-il le protocole SSL (Secure Sockets Layer) ? 1. Ouvrez Préférences Système, soit en cliquant sur son icône dans le Dock, soit en sélectionnant Préférences Système dans le menu Apple. 2. Cliquez sur Utilisateurs et groupes. 93. Cliquez sur Options. 4. Si l’icône de cadenas est verrouillée, cliquez sur celui-ci et entrez le nom et le mot de passe d’un compte administrateur. 5. Cliquez sur le bouton Rejoindre. Si vous avez déjà rejoint un serveur d’annuaire, cliquez sur le bouton Modifier au lieu du bouton Rejoindre. Dans la zone de dialogue qui apparaît, cliquez sur le bouton Ajouter (+) sous la liste des serveurs déjà connus. 6. Vous pouvez choisir un serveur dans le menu contextuel, ou saisir manuellement le nom de domaine (ou l’adresse IP) du serveur. 107. Cliquez sur OK. OS X vous reliera au serveur d’annuaire. Vous serez prévenu si le serveur d’annuaire ne peut pas garantir une connexion sécurisée via SSL et vous aurez la possibilité soit de continuer soit d’annuler la connexion au serveur. 8. Cliquez sur OK pour revenir au volet Utilisateurs et groupes. Votre Mac est alors relié à un serveur LDAP. Utilisation de comptes réseau Maintenant que vous avez configuré votre Mac pour une connexion à un serveur d’annuaire, vous pouvez ouvrir une session sur votre Mac avec votre compte utilisateur réseau. Pour vous connecter, vous devez d’abord obtenir un nom d’utilisateur et mot de passe réseau auprès de l’administrateur du serveur. Pour les comptes Active Directory, le nom d’utilisateur utilise l’un des trois formats suivants : • nomcourt • nomcourt@domaine.fr • DOMAINE\nomcourt Ouverture d’une session avec un compte réseau : 1. Si vous avez ouvert une session sur votre Mac, sélectionnez Fermer la session dans le menu Apple. OS X ferme la session et affiche la fenêtre d’ouverture de session qui présente la liste des comptes utilisateur locaux, suivis par l’option « Autre ». 2. Cliquez sur Autre et saisissez le nom d’utilisateur et le mot de passe réseau fournis par l’administrateur du serveur. 3. Appuyez sur Retour ou cliquez sur le bouton Se connecter (flèche droite). Vous avez alors ouvert une session sur votre Mac en utilisant le compte fourni par le serveur d’annuaire. Votre Mac est entièrement intégré au réseau. 11Récapitulatif Dans ce chapitre, vous avez appris à configurer un Mac pour une connexion à un serveur d’annuaire. Avec les connaissances acquises, vous devez être capable d’exécuter les tâches suivantes : • Obtenir les informations nécessaires auprès de l’administrateur du serveur pour relier un Mac à un serveur d’annuaire. • Relier un Mac à un serveur d’annuaire. • Ouvrir une session sur un Mac avec un compte utilisateur réseau. Une fois ces tâches effectuées, votre Mac peut exploiter l’authentification utilisateur et les ressources réseau fournies par le serveur d’annuaire de votre entreprise. Comme OS X intègre cette prise en charge, le processus est très simple. 12Partage de fichiers Les ordinateurs reliés au réseau d’une entreprise partagent constamment des fichiers et des ressources. OS X Lion prend en charge un vaste éventail de protocoles de serveur de fichiers. Dans le présent chapitre, vous apprendrez comment connecter votre Mac à un serveur de fichiers. Ensuite, vous découvrirez comment configurer le partage de fichiers personnels pour autoriser d’autres utilisateurs du réseau à accéder aux fichiers stockés sur votre Mac. Connexion aux serveurs de fichiers Vous pouvez vous connecter aux ordinateurs Mac et Windows qui ont activé le partage de fichiers, ainsi qu’aux serveurs de fichiers utilisant les protocoles AFP, SMB/ CIFS, NFS, WebDAV et FTP. Pour accéder aux fichiers partagés stockés sur les ordinateurs personnels et les serveurs de fichiers de votre réseau, vous pouvez soit parcourir les noms des postes dans une fenêtre du Finder, soit saisir son adresse IP directement dans la zone de dialogue « Se connecter au serveur ». Connexion à un ordinateur ou à un serveur par navigation : 1. Dans le Finder, sélectionnez Aller > Se connecter au serveur. 2. Cliquez sur Parcourir. Vous pouvez également cliquer sur le triangle d’affichage à côté de l’encart Partagés dans la barre latérale de la fenêtre du Finder. Les ordinateurs de votre réseau qui ont activé le partage s’affichent dans la fenêtre du Finder. 3. Parcourez cette liste pour trouver le nom de l’ordinateur ou du serveur que vous souhaitez. Vous pouvez également avoir besoin de connaître le réseau local ou le groupe de travail auquel l’ordinateur est rattaché. 13 34. Une fois que vous avez repéré l’ordinateur partagé ou le serveur, sélectionnez-le et cliquez sur Se connecter comme. 5. Si nécessaire, saisissez vos nom d’utilisateur et mot de passe et sélectionnez les volumes ou les dossiers partagés sur le serveur. Remarque : pour simplifier les prochaines connexions, cochez « Conserver ce mot de passe dans mon trousseau » pour ajouter le nom d’utilisateur et le mot de passe de l’ordinateur à votre trousseau d’accès. Vos nom d’utilisateur et mot de passe pour accéder au serveur de fichiers sont alors enregistrés dans le trousseau d’accès de votre Mac. Lors de la prochaine connexion à ce serveur de fichiers, vos identifiants mémorisés seront utilisés pour vous y connecter automatiquement. Connexion directe à un serveur de fichiers Windows : 1. Dans le Finder, sélectionnez Aller > Se connecter au serveur. 2. Entrez l’adresse réseau de l’ordinateur ou du serveur dans le champ Adresse du serveur en respectant les formats suivants : smb://nomDNS/nompartage smb://adresseIP/nompartage où nomDNS correspond au nom de domaine du serveur, adresseIP à l’adresse IP du serveur et nompartage au nom du volume partagé à monter. Remarque : SMB (Server Message Block) est un protocole utilisé principalement par les ordinateurs Windows pour partager un accès réseau. SMB est également connu sous l’appellation CIFS (Common Internet File System). Si vous vous êtes récemment connecté au serveur de fichiers, vous pouvez également le sélectionner dans le menu contextuel Serveurs récents (icône de l’horloge). Pour ajouter un ordinateur ou un serveur à la liste Serveurs favoris, cliquez sur le bouton Ajouter (+) une fois que vous avez saisi l’adresse. Si vous avez ajouté un serveur à la liste Serveurs favoris, vous pouvez cliquer deux fois sur son adresse dans la liste. 3. Cliquez sur Se connecter. 4. Sélectionnez Se connecter en tant qu’utilisateur enregistré et saisissez le nom et le mot de passe fournis par l’administrateur du serveur. Vous avez maintenant utilisé votre Mac pour accéder aux fichiers stockés sur des serveurs de fichiers du réseau. Vous pouvez également configurer votre Mac pour autoriser l’accès à vos fichiers par d’autres utilisateurs du réseau en activant le partage de fichiers. La section suivante décrit comment activer le partage de fichiers personnels sur votre Mac. 14Partage de fichiers personnels Pour autoriser d’autres utilisateurs du réseau à se connecter à votre Mac, vous devez activer le partage de fichiers dans les Préférences Système. Songez à créer un compte dédié au partage de fichiers sur votre Mac, afin d’assurer la sécurité des fichiers que vous ne souhaitez pas partager. Vous devrez alors fournir les informations suivantes aux utilisateurs avec qui vous souhaitez partager vos fichiers : • L’adresse IP ou Bonjour (la fonctionnalité de détection réseau automatique d’OS X) de votre Mac • Le nom du compte sur votre Mac sur lequel le partage de fichiers est activé • Le mot de passe du compte de partage de fichiers sur votre Mac Remarque : si vous souhaitez utiliser un compte utilisateur créé avant l’installation de la dernière version d’OS X, vous devrez éventuellement redéfinir le mot de passe du compte concerné dans les préférences Utilisateurs et groupes. Avant de configurer le partage, commencez par choisir les dossiers à partager avec les utilisateurs du réseau, et les autorisations dont ils disposeront. Par défaut, le compte administrateur du Mac dispose d’un accès complet en lecture et en écriture, tandis que tous les autres utilisateurs n’ont qu’un accès en lecture. Sélectionnez des fichiers que vous souhaitez partager : 1. Choisissez le menu Apple > Préférences Système, puis cliquez sur Partage. 2. Sélectionnez Partage de fichiers dans la liste. 3. Cliquez sur le bouton Ajouter (+) en bas de la liste Dossiers partagés, puis naviguez jusqu’au dossier, sélectionnez-le et cliquez sur Ajouter. Par défaut, le dossier Public de chaque utilisateur possédant un compte sur votre ordinateur est partagé. Pour qu’un dossier ne soit pas partagé, sélectionnez-le dans la liste Dossiers partagés et cliquez sur Supprimer (-). 4. Pour que seuls certains utilisateurs soient autorisés à accéder à un dossier, sélectionnez le dossier dans la liste Dossiers partagés et cliquez sur le bouton Ajouter (+) en bas de la liste Utilisateurs. Sélectionnez une catégorie d’utilisateurs, puis sélectionnez l’utilisateur souhaité et cliquez sur Sélectionner. • Pour sélectionner un utilisateur parmi les comptes que vous avez configurés dans les préférences Utilisateurs et groupes, sélectionnez Utilisateurs et groupes. • Pour sélectionner un utilisateur parmi les utilisateurs de votre réseau, sélectionnez Utilisateurs réseau. • Pour sélectionner un utilisateur dans votre carnet d’adresses personnel, sélectionnez Carnet d’adresses. • Pour créer un nouveau compte qui sera uniquement dédié au partage, cliquez sur Nouveau contact, saisissez un nom et un mot de passe et cliquez sur Créer un compte. 5. Sélectionnez l’utilisateur dans la liste Utilisateurs, puis cliquez sur le triangle en regard et choisissez le niveau d’accès souhaité au dossier sélectionné pour l’utilisateur : • Accès interdit : l’utilisateur ne peut ni lire ni copier aucun fichier à partir du dossier. • Lecture et écriture : l’utilisateur peut lire et copier des fichiers vers et à partir du dossier. • Lecture seule : l’utilisateur peut voir le contenu du dossier mais ne peut pas copier de fichiers vers le dossier. • Écriture seulement (boîte de dépôt) : l’utilisateur peut copier des fichiers vers le dossier mais ne peut pas voir le contenu. 156. Donnez aux utilisateurs autorisés l’adresse IP ou Bonjour de votre ordinateur, le nom d’utilisateur et le mot de passe qu’ils devront utiliser pour accéder aux fichiers de votre ordinateur. L’adresse Bonjour de votre ordinateur est affichée dans le volet Partage des préférences. Maintenant que vous avez autorisé l’accès aux utilisateurs et configuré vos autorisations de dossiers, vous pouvez choisir le protocole utilisé par votre ordinateur pour partager les fichiers. Vous pouvez partager des fichiers grâce au protocole AFP (Apple Filing Protocol) ou SMB (Server Message Block). OS X utilise AFP pour le partage de fichiers avec d’autres ordinateurs Mac et SMB pour partager des fichiers avec les utilisateurs Windows. La section suivante explique comment activer le partage de fichiers sur votre Mac. Activation du partage de fichiers avec les utilisateurs Windows : 1. Choisissez le menu Apple > Préférences Système, puis cliquez sur Partage. 2. Cliquez sur Partage de fichiers pour le sélectionner, puis cliquez sur Options. 3. Sélectionnez « Partager les fichiers et dossiers via SMB » ou « Partager les fichiers et dossiers via AFP ». Vous pouvez sélectionner les deux. Si vous partagez des fichiers avec des utilisateurs Windows, assurez-vous de sélectionner l’option SMB, cochez la case à côté du nom de chaque compte devant partager des fichiers à partir d’un ordinateur Windows et saisissez le mot de passe pour ce compte. Pour assurer la sécurité de votre ordinateur, songez à créer un compte dédié pour les utilisateurs Windows dans les préférences Utilisateurs et groupes. Remarque : les mots de passe de certains utilisateurs Windows pouvant être stockés dans des conditions peu sécurisées, il est recommandé de désactiver les comptes utilisateurs Windows lorsqu’ils ne sont pas utilisés. Décochez la case d’activation à côté du compte afin de désactiver le compte. Assurez-vous de désactiver le compte avant de désactiver le partage de fichiers sur votre ordinateur. Sinon, le mot de passe restera actif et stocké dans des conditions de sécurité inférieures. 4. Cliquez sur Terminé. Vous venez d’autoriser le Partage de fichiers personnels sur votre Mac. Les utilisateurs autorisés peuvent désormais accéder aux fichiers et volumes que vous avez choisi de partager. Récapitulatif Dans ce chapitre, vous avez découvert comment partager des fichiers entre un Mac et un serveur de fichiers. Avec les connaissances acquises, vous devez être capable de réaliser les tâches suivantes : • Accéder aux fichiers partagés sur un réseau avec un Mac par navigation et par connexion directe. • Configurer les autorisations au niveau des dossiers et des utilisateurs pour le partage de fichiers. • Activer le partage de fichiers personnels via SMB et AFP sur un Mac. • Fournir aux utilisateurs du réseau un nom d’utilisateur et mot de passe afin qu’ils puissent accéder aux fichiers stockés sur votre Mac. 16Courrier électronique, calendriers et contacts OS X Lion prend directement en charge le courrier électronique, les contacts et les calendriers par le biais de serveurs normalisés, notamment Microsoft Exchange Server, POP et SMTP. OS X Lion vous permet de vous connecter facilement aux services partagés, comme le courrier électronique, les calendriers et les listes d’adresses globales. Il suffit d’utiliser Mail, iCal et Carnet d’adresses pour profiter des fonctionnalités performantes du Mac, comme Spotlight, Coup d’œil, les détecteurs de données, et bien plus. Dans ce chapitre, vous allez apprendre à configurer l’application Mail d’OS X pour envoyer et recevoir du courrier électronique en exploitant différents types de serveurs courants. Vous apprendrez ensuite à configurer Carnet d’adresses pour accéder aux contacts partagés. Enfin, vous découvrirez comment configurer iCal pour accéder aux services de calendriers partagés. Remarque : la prise en charge du format Exchange nécessite l’installation de Microsoft Exchange Server 2007 avec Service Pack 1 Update Rollup 4 ou d’Exchange Server 2010. Courrier électronique Dans ce chapitre, vous allez apprendre à configurer Mail d’OS X pour accéder directement à un serveur Exchange, puis vous verrez comment accéder à des serveurs de messagerie courants qui n’utilisent pas Windows. Connexion à un serveur Exchange Pour relier un Mac à un serveur Exchange, vous devez obtenir les informations suivantes auprès de l’administrateur du serveur : • Le nom de domaine complet du serveur CAS (Client Access Server) de votre entreprise, généralement au format suivant : exchange01.example.com • Le nom d’utilisateur Exchange, créé pour chaque utilisateur par l’administrateur • Le mot de passe Exchange, également créé pour chaque utilisateur Lorsque vous disposez des informations requises, vous pouvez soit configurer manuellement votre Mac pour utiliser Exchange, soit configurer le Mac grâce au service Exchange Autodiscover, s’il est activé. 17 4Connexion à un serveur Exchange lorsque le service Autodiscover est activé : Le moyen le plus simple de configurer l’accès à Exchange depuis Mail, Carnet d’adresses et iCal consiste à utiliser le service Autodiscover. Si cette fonctionnalité est activée sur Exchange, ouvrez simplement le volet Ajouter un compte dans Mail sur votre Mac et saisissez l’adresse e-mail et le mot de passe Exchange. Mail utilise le service Autodiscover d’Exchange pour obtenir les informations pertinentes et vous permet d’utiliser les services Exchange immédiatement. Si Autodiscover n’est pas activé sur Exchange, suivez les étapes ci-après pour configurer manuellement votre compte. Configuration manuelle de Mail afin d’accéder à un compte Exchange : 1. Dans Mail, choisissez Fichier > Ajouter un compte ou cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans le volet Comptes des Préférences de Mail. 2. Saisissez les informations concernant l’utilisateur. Mail recherche les informations dont il a besoin pour finir de configurer le compte. S’il ne peut obtenir ces informations, passez à l’étape suivante. 3. Sélectionnez Exchange dans le menu contextuel Type de compte. 4. Saisissez une description du compte (comme Bureau ou Exchange). 5. Entrez le nom de domaine complet du serveur d’accès au client Exchange de l’entreprise. 6. Veillez à cocher les cases Carnet d’adresses et iCal pour configurer automatiquement ces applications. Si vous n’avez pas pu configurer Carnet d’adresses et iCal automatiquement à ce niveau, reportez-vous aux étapes de configuration manuelle supplémentaires présentées dans les sections suivantes. 187. Cliquez sur Continuer. Remarque : pour accéder à un serveur Exchange avec un Mac en dehors du réseau de l’entreprise, vérifiez auprès de l’administrateur que le port 443 est ouvert et que l’option EWS (Exchange Web Services) est activée. Vous venez de configurer Mail pour une utilisation avec Exchange. Vous pouvez vérifier que la configuration est correcte en essayant d’envoyer et de recevoir un email avec un collègue à partir de votre compte. Courrier électronique avec serveurs POP et IMAP Si votre entreprise n’utilise pas de serveur Windows pour la gestion des services de courrier électronique, vous pouvez facilement configurer l’accès depuis Mail. Les protocoles de serveur de messagerie les plus courants sont POP (Post Office Protocol) et IMAP (Internet Message Access Protocol) qui permettent aux ordinateurs clients d’accéder aux messages sur le serveur de messagerie, et SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) pour l’envoi de messages. OS X Lion propose l’option « Configurer automatiquement le compte ». Cette option configure les réglages pour différents fournisseurs de services de messagerie courants. Remarque : si cette option n’est pas disponible, cela signifie que le fournisseur de service que vous avez indiqué n’est pas reconnu. Vérifiez que le nom de domaine (la partie après le symbole @) est correctement orthographié. Si l’orthographe est exacte, il vous faudra configurer le compte manuellement dans Mail. Configuration de Mail pour la connexion automatique aux services de courrier électronique courant : 1. Ouvrez Mail. 2. Si l’assistant « Bienvenue dans Mail » n’apparaît pas, sélectionnez Ajouter un compte dans le menu Fichier. 3. Saisissez le nom complet, l’adresse électronique et le mot de passe que vous avez dû recevoir de votre fournisseur de service de messagerie. 4. Sélectionnez « Configurer automatiquement le compte ». 5. Cliquez sur « Créer » pour terminer la procédure. Configuration manuelle de Mail pour la connexion aux services courants de courrier électronique : Avant de configurer manuellement votre compte, vous devez disposer du nom d’utilisateur, mot de passe, type de compte, des réglages de sécurité et des serveurs de réception et d’envoi, disponibles auprès de votre fournisseur de service. 1. Ouvrez Mail. 2. Si l’assistant « Bienvenue dans Mail » n’apparaît pas, sélectionnez Fichier > Ajouter un compte. 3. Entrez le nom complet, l’adresse électronique et le mot de passe fournis par votre fournisseur d’accès. 4. Décochez l’option « Configurer automatiquement le compte » si elle est cochée. Cliquez sur Continuer. 5. Sélectionnez le type de compte adéquat. Il s’agit du protocole utilisé par le service de messagerie, comme IMAP, POP, etc. 196. Donnez une description parlante au compte. 7. Saisissez le serveur de réception, le nom d’utilisateur et le mot de passe. Cliquez sur Continuer. 8. Si vous y êtes invité, entrez les réglages de sécurité du courrier reçu. Cliquez sur Continuer. 9. Saisissez une description du serveur d’envoi. 10. Saisissez les paramètres du serveur d’envoi. 11. Le cas échéant, sélectionnez « Activer l’authentification » et entrez votre nom d’utilisateur et votre mot de passe. Cliquez sur Continuer. 12. Si vous y êtes invité, entrez les réglages de sécurité du courrier expédié. Cliquez sur Continuer. 13. Vérifiez les réglages dans le résumé du compte. Cliquez sur « Se connecter à ce compte ». 14. Cliquez sur « Créer » pour terminer la procédure. Félicitations ! Vous avez configuré Mail pour exploiter différents protocoles de messagerie courants. Vous pouvez vérifier que tout fonctionne en relevant votre courrier et en envoyant un message de test à vous-même ou à un collègue. Contacts Les contacts de Carnet d’adresses peuvent être configurés automatiquement pour accéder à Exchange lors des étapes de configuration de Mail décrites dans la section Courrier électronique, mais il se peut que vous souhaitiez les configurer manuellement. Par exemple, si vous n’utilisez pas Mail d’OS X mais que vous souhaitez synchroniser vos contacts avec Exchange, vous devrez effectuer cette opération manuellement. Ajout d’un compte Exchange dans Carnet d’adresses : 1. Ouvrez Carnet d’adresses. 2. Sélectionnez Carnet d’adresses > Préférences, puis cliquez sur Comptes. 203. Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans l’angle inférieur gauche du volet Comptes. 4. Sélectionnez Exchange dans le menu contextuel Type de compte et entrez le nom d’utilisateur et le mot de passe Exchange fournis par l’administrateur du serveur. 5. Lorsque vous avez terminé, cliquez sur Créer. L’assistant de comptes de Carnet d’adresses recherche dans les services d’annuaire les comptes correspondant aux informations que vous avez fournies et utilise les réglages du compte identifié pour créer votre nouveau compte dans Carnet d’adresses. Pour certains comptes, si Carnet d’adresses ne peut finaliser l’opération, il affiche le volet Réglages du compte, dans lequel vous pouvez ainsi entrer des informations plus précises. Pour afficher le volet Réglages du compte, maintenez enfoncée la touche Option tout en plaçant le pointeur sur le bouton Créer et cliquez lorsqu’il indique Continuer. Vous avez configuré Carnet d’adresses pour accéder à Exchange. L’accès à vos contacts existants peut améliorer considérablement votre productivité et simplifier votre passage au Mac. 21Calendriers iCal sur votre Mac permet d’afficher en temps réel la disponibilité de vos collègues et salles de réunions depuis une liste d’adresses globale, et de compléter les noms lorsque vous les invitez à des réunions. Vous pouvez aussi recevoir des invitations à des réunions par e-mail et les gérer, de même que vous pouvez envoyer des invitations à des personnes extérieures à votre entreprise. Dans cette section, vous allez apprendre à configurer un compte Exchange dans iCal. Vous découvrirez ensuite comment configurer iCal pour accéder à d’autres services de calendrier, dont ceux de Google et Yahoo. Ajout d’un compte Exchange dans iCal : iCal peut être configuré automatiquement pour accéder à Exchange lors des étapes de configuration de Mail décrites dans la section Courrier électronique, mais vous pouvez aussi être amené à le faire manuellement. 1. Ouvrez iCal. 2. Sélectionnez iCal > Préférences et cliquez sur Comptes. 3. Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans l’angle inférieur gauche pour ajouter un compte. 224. Sélectionnez Exchange dans le menu contextuel Type de compte et entrez le nom d’utilisateur et le mot de passe Exchange fournis par l’administrateur du serveur. 5. Cliquez sur Créer. iCal identifie tous les comptes de calendrier associés à l’adresse électronique que vous avez fournie. Configuration d’iCal pour Google Calendar : Pour utiliser iCal avec Google Calendar, vous devez d’abord créer un compte Google gratuit. Une fois que vous avez créé un compte et un calendrier Google, vérifiez que le partage est activé dans les réglages de calendrier en ligne avant de continuer. 1. Ouvrez iCal. 2. Sélectionnez iCal > Préférences et cliquez sur Comptes. 3. Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans l’angle inférieur gauche pour ajouter un compte. 4. Sélectionnez le type de compte Google, puis entrez l’adresse électronique et le mot de passe d’accès à votre compte Google. 235. Cliquez sur Créer. iCal identifie tous les comptes de calendrier associés à l’adresse électronique que vous avez fournie. Configuration d’iCal pour Yahoo! Agenda : Pour utiliser iCal avec Yahoo! Agenda, vous devez d’abord créer un compte Yahoo! gratuit. Une fois que vous avez créé un compte et un agenda Yahoo!, vérifiez que le partage est activé dans les réglages en ligne avant de continuer. 1. Ouvrez iCal. 2. Sélectionnez iCal > Préférences et cliquez sur Comptes. 3. Cliquez sur le bouton Ajouter (+) dans le coin inférieur gauche pour ajouter un compte. 4. Sélectionnez le type de compte Yahoo!, puis entrez l’adresse électronique et le mot de passe d’accès à votre compte Yahoo! . 5. Cliquez sur Créer. iCal identifie tous les comptes de calendrier associés à l’adresse électronique que vous avez fournie. Félicitations ! Vous avez configuré iCal pour exploiter différents services de calendrier normalisés. Testez votre configuration en sélectionnant Calendrier > Tout actualiser, pour télécharger la dernière version de tous vos calendriers partagés. 24Récapitulatif Dans ce chapitre, vous avez appris à configurer le Mac pour accéder à des services normalisés de courrier électronique, de calendriers et de contacts. Avec les connaissances acquises, vous devez être capable de réaliser les tâches suivantes : • Configurer l’application Mail d’OS X pour envoyer et recevoir des e-mails avec différents types de serveurs de messagerie. • Configurer l’application Carnet d’adresses pour accéder aux contacts partagés sur un serveur Exchange. • Configurer l’application iCal pour accéder à des services de calendriers partagés, dont Exchange, Google Calendar et Yahoo! agenda. 25Sécurité OS X Lion offre des outils performants et faciles d’utilisation pour tous les aspects principaux de la sécurité informatique et réseau. Il est important de préserver la sécurité à tous les niveaux : la protection de vos données utilisateur, de votre système Mac et de l’intégrité de votre réseau. Dans ce chapitre, vous allez sécuriser vos données en choisissant un mot de passe fiable, en configurant les autorisations de votre dossier de départ et en activant FileVault 2. Ensuite, vous protégerez votre Mac en activant un mot de passe de programme interne et en installant un logiciel antivirus. Enfin, vous renforcerez la sécurité réseau en configurant le coupe-feu d’OS X et les services d’accès par VPN (réseau privé virtuel). Sécurité du compte utilisateur Choix d’un mot de passe Il est essentiel que tous les employés d’une entreprise créent un mot de passe fiable. Un mot de passe faible peut être piraté et permettre un accès illicite à votre Mac, à vos fichiers, à votre compte de messagerie personnel, ainsi qu’aux données confidentielles de l’entreprise. Le mot de passe que vous choisissez est très important pour assurer la sécurité de votre ordinateur, car il sert à installer les logiciels, créer les comptes, accéder à l’utilitaire Trousseau d’accès et ouvrir une session sur votre ordinateur. Les mots de passe les plus sûrs utilisent une combinaison de lettres majuscules, lettres minuscules, de caractères spéciaux (comme $@!#) et de chiffres. Par exemple, p0$teL1quide est un bon mot de passe car il s’agit d’une expression inhabituelle qui est longue mais facile à mémoriser, et dans laquelle certaines lettres sont remplacées par des caractères spéciaux et des chiffres. Lion inclut l’Assistant mot de passe, une application qui analyse la complexité d’un mot de passe et qui peut suggérer un mot de passe complexe. Vous pouvez spécifier la longueur et le type de mot de passe à créer. 26 5Les méthodes suivantes permettent de définir un mot de passe : Manuel  Vous entrez un mot de passe, puis l’Assistant mot de passe indique sa fiabilité sous forme de jauge. Si le mot de passe est faible, l’Assistant mot de passe suggère des manières de le rendre plus complexe. Mémorisable Vous indiquez la longueur souhaitée, puis l’Assistant mot de passe génère une liste de mots de passe mémorisables dans le menu Suggestion. Lettres et chiffres Vous indiquez la longueur souhaitée, puis l’Assistant mot de passe génère une liste de mots de passe composés de chiffres et de lettres. Chiffres seulement Vous indiquez la longueur souhaitée, puis l’Assistant mot de passe génère une liste de mots de passe composés uniquement de chiffres. Aléatoire Vous indiquez la longueur souhaitée, puis l’Assistant mot de passe génère une liste de mots de passe composés de caractères aléatoires. Conforme à FIPS-181 Vous indiquez la longueur souhaitée, puis l’Assistant mot de passe crée un mot de passe conforme à la norme FIPS-181 (qui mélange lettres majuscules et minuscules, ponctuation et chiffres). Vous pouvez, par exemple, créer un mot de passe aléatoire ou conforme à la norme FIPS-181 d’une longueur de 12 caractères. Utilisation de l’Assistant mot de passe pour créer un mot de passe : 1. Choisissez le menu Apple > Préférences Système, cliquez sur Utilisateurs et groupes, puis sur le bouton Modifier le mot de passe. 2. Cliquez sur le bouton Clé ( ) à droite du champ « Nouveau mot de passe ». Cette opération ouvre l’Assistant mot de passe. 3. Dans le menu contextuel Type, sélectionnez Mémorisable, Manuel ou le type de mot de passe le plus conforme aux règles de sécurité de votre entreprise. Vous pouvez également choisir le nombre de caractères souhaité pour les mots de passe créés automatiquement en déplaçant le curseur Longueur vers la droite ou vers la gauche. 274. Cliquez sur le bouton Modifier le mot de passe. En définissant un mot de passe fiable, vous avez protégé vos données personnelles contre des accès non autorisés. Verrouillage de l’écran d’ordinateur Si vous souhaitez conserver la session ouverte lorsque vous vous éloignez de votre ordinateur, tout en empêchant son utilisation par d’autres, vous pouvez verrouiller l’écran. Lorsque vous revenez à votre poste, il suffit de saisir votre nom et mot de passe d’ouverture de session pour reprendre le travail. Authentification pour sortir votre ordinateur de veille : 1. Choisissez le menu Apple > Préférences Système, cliquez sur Sécurité et confidentialité, puis sur Général. 2. Cochez la case « Exiger le mot de passe... après la suspension d’activité ou le lancement de l’économiseur d’écran ». Utilisez le menu contextuel pour régler le délai avant l’entrée en vigueur de la demande de mot de passe. Le verrouillage de l’écran n’empêche pas qu’un autre utilisateur éteigne l’ordinateur et le redémarre, puis ouvre une session avec son propre compte. Si ce scénario est envisageable, veillez à enregistrer votre travail avant de vous éloigner de votre ordinateur. Pour verrouiller rapidement votre écran lorsque le changement rapide d’utilisateur est activé, sélectionnez Fenêtre d’ouverture de session dans le menu qui porte votre nom en haut à droite de l’écran. Vos applications restent ouvertes, mais votre ordinateur est verrouillé. 28Désactivation de l’ouverture de session automatique Si votre ordinateur démarre sans afficher la fenêtre d’ouverture de session, c’est qu’il est configuré pour ouvrir automatiquement une session pour un compte utilisateur particulier. Lorsqu’un ordinateur est partagé par plusieurs utilisateurs, il est conseillé de créer un compte particulier pour chaque utilisateur et de désactiver l’ouverture de session automatique. L’utilisation de comptes distincts protège les données de chaque utilisateur et renforce la sécurité de l’ordinateur. Important : l’ouverture de session automatique permet à n’importe qui d’accéder à votre Mac en le redémarrant. Il convient donc de la désactiver pour sécuriser votre ordinateur. Si l’ouverture de session automatique est activée, vérifiez que votre ordinateur n’ouvre pas une session d’un compte doté de droits d’administrateur. Désactivation de l’ouverture de session automatique : 1. Sélectionnez le menu Apple, puis Préférences Système et cliquez sur Utilisateurs et groupes. 2. Cliquez sur le cadenas pour le déverrouiller, puis entrez un nom et mot de passe d’administrateur. 3. Cliquez sur Options. 4. Sélectionnez Désactivé dans le menu contextuel « Ouverture de session automatique ». Lors du prochain démarrage de votre ordinateur, la fenêtre d’ouverture de session sera affichée, et un nom et un mot de passe seront exigés pour ouvrir une session. Sécurité de l’ordinateur La sécurité ne se limite pas aux mots de passe et au chiffrement des données. OS X prend en charge des méthodes supplémentaires conçues pour sécuriser l’ordinateur lui-même. FileVault 2 chiffre le contenu des volumes. La définition d’un mot de passe au niveau du programme interne empêche le contournement de la sécurité au niveau du système d’exploitation en démarrant sur un appareil non autorisé. La protection antivirus quant à elle empêche les virus provenant d’autres systèmes d’exploitation utilisés sur le réseau de menacer vos données. FileVault 2 Vous pouvez utiliser FileVault 2 pour protéger les fichiers sur votre disque, qui ne pourront être lus ou copiés. Comme FileVault 2 chiffre les données stockées sur votre disque, elles ne peuvent pas être lues sans mot de passe d’ouverture de session. Si vous stockez des informations confidentielles sur votre ordinateur, vous devriez envisager le chiffrement de votre disque grâce à FileVault. Par exemple, si vous stockez l’ensemble des données financières de votre société sur votre ordinateur portable, le vol de ce dernier pourrait permettre à un inconnu d’accéder à ces données, au détriment de votre activité. Si vous fermez votre session et que FileVault est activé, vos données restent inviolables en cas de perte ou de vol de votre ordinateur. FileVault utilise la dernière norme de chiffrement homologuée par l’administration américaine, Advanced Encryption Standard avec clés 128 bits (AES-128). 29Lorsque vous activez FileVault 2, vous obtenez une clé de secours. L’administrateur peut utiliser la clé de secours comme mesure de sécurité pour déverrouiller le disque en cas d’oubli du mot de passe d’ouverture de session. D’autres fonctionnalités de sécurité se mettent en place également lorsque vous activez FileVault 2. Par exemple, un mot de passe est requis pour ouvrir une session ou pour sortir le système de l’état de veille ou d’économie d’écran. À l’issue du démarrage initial, seuls les utilisateurs autorisés dans FileVault pourront ouvrir une session ; les autres utilisateurs devront passer par un administrateur. AVERTISSEMENT : n’oubliez pas votre mot de passe d’administrateur. Si vous oubliez votre mot de passe d’ouverture de session, votre identifiant Apple et votre clé de secours après avoir activé le chiffrement du disque, vous ne pourrez plus accéder à votre compte et vos fichiers et réglages seront définitivement perdus. Configuration de FileVault 2 : 1. Choisissez le menu Apple > Préférences Système, cliquez sur Sécurité et confidentialité, puis sur FileVault. 2. Cliquez sur le cadenas pour déverrouiller le volet, puis entrez un nom et mot de passe d’administrateur. 3. Cliquez sur Activer FileVault. 304. Si plusieurs comptes sont configurés sur l’ordinateur, la liste de ceux-ci apparaît. Vous pouvez autoriser un nouvel utilisateur à se connecter après le démarrage de l’ordinateur. Si l’utilisateur n’est pas autorisé, un administrateur devra se connecter préalablement pour que l’utilisateur puisse ouvrir une session sur son compte. Pour chacun des utilisateurs que vous souhaitez autoriser, cliquez sur Activer l’utilisateur à côté du nom de chaque utilisateur concerné et entrez (ou demandez à l’utilisateur de le faire) le mot de passe d’ouverture de session de l’utilisateur, puis cliquez sur OK. 5. Une zone de dialogue affiche une clé de secours que vous pouvez utiliser pour déverrouiller le disque si vous oubliez votre mot de passe. Si la clé de secours est masquée, cliquez sur le triangle en regard du champ Afficher la clé de secours. 6. Recopiez la clé de secours et conservez-la en lieu sûr, puis cliquez sur Continuer. 317. Vous pouvez faire le choix de bénéficier d’une sécurité supplémentaire en confiant à Apple le stockage de votre clé de secours. Si la clé de secours est conservée par Apple, vous pouvez l’obtenir en contactant l’Assistance Apple et en répondant à une série de trois questions. • Si vous souhaitez qu’Apple conserve votre clé de secours, cliquez sur « Stocker la clé de secours auprès d’Apple » et répondez à la série de trois questions de votre choix. L’Assistance Apple vous posera à nouveau ces questions lorsque vous la contacterez. Les réponses sont exigées pour permettre le déverrouillage de la clé de secours, laquelle est chiffrée et inviolable. Assurez-vous que vous pouvez facilement mémoriser vos réponses. • Si vous ne souhaitez pas qu’Apple conserve la clé de secours, cliquez sur « Ne jamais stocker la clé de secours auprès d’Apple ». 8. Cliquez sur Continuer. 9. Cliquez sur Redémarrer. Le chiffrement commence après le redémarrage. Il est possible que le chiffrement de votre disque prenne du temps en fonction du volume de données présentes sur votre disque. Néanmoins, vous pouvez continuer à utiliser votre ordinateur comme d’habitude pendant le chiffrement du disque. Mot de passe du programme interne Vous pouvez configurer un mot de passe de programme interne pour mettre en place une protection au niveau matériel de votre Mac. Le mot de passe de programme interne empêche tout utilisateur non autorisé de démarrer votre Mac à partir d’un disque externe, d’un disque optique ou d’une clé USB. Définition d’un mot de passe de programme interne : 1. Redémarrez l’ordinateur et maintenez enfoncée la touche Option. 2. Lorsque vous voyez s’afficher une liste de volumes de démarrage, double-cliquez sur le disque dur Recovery HD. 3. Lorsque la fenêtre des Utilitaires de Mac OS X s’affiche, sélectionnez Utilitaires > Utilitaire de mot de passe du programme interne. 4. Cliquez sur Activer le mot de passe du programme interne. 5. Entrez un mot de passe dans les champs Mot de passe et Confirmer. 6. Cliquez sur Définir le mot de passe. 7. Cliquez sur Quitter Utilitaire de mot de passe du programme interne. Vous pouvez tester vos réglages en tentant de démarrer en mode mono-utilisateur. Redémarrez le Mac en maintenant les touches Commande et S enfoncées. Si le Mac 32ne démarre pas en mode mono-utilisateur et affiche la fenêtre d’ouverture de session, cela signifie que les modifications effectuées par l’Utilitaire de mot du passe du programme interne ont été prise en compte. Redéfinition du mot de passe du programme interne : Pour redéfinir le mot de passe du programme interne si vous l’avez perdu ou oublié, vous devez accéder à l’intérieur du Mac (comme sur un PC où vous devez retirer la pile de la carte mère pour redéfinir le mot de passe du BIOS). 1. Éteignez le Mac. 2. Modifiez la configuration de la mémoire en ajoutant ou retirant de la RAM. 3. Démarrez le Mac. Le mot de passe du programme interne est alors effacé. 4. Éteignez à nouveau le Mac. 5. Rétablissez la configuration mémoire d’origine. 6. Démarrez le Mac. Remarque : pour en savoir plus sur la récupération du mot de passe du programme interne en cas d’oubli sur les modèles d’ordinateurs récents, tels que MacBook Air (à partir de fin 2010), MacBook Pro (à partir de début 2011) et iMac (à partir de la mi-2011), consultez les ressources suivantes : http://support.apple.com/kb/TS3554. Protection antivirus Sans que vous n’ayez à intervenir, OS X vous offre un système de défense multicouche contre les virus et autres logiciels malveillants. Ainsi, il empêche le piratage de vos logiciels au moyen d’un « bac à sable », un mécanisme qui restreint les actions que les programmes peuvent effectuer sur votre Mac, les fichiers auxquels ils peuvent accéder et les autres programmes qu’ils peuvent lancer. Parmi les autres fonctions de sécurité automatiques, citons aussi la randomisation des bibliothèques, qui empêche les logiciels malveillants d’atteindre leur cible, et Execute Disable, qui protège la mémoire de votre Mac des attaques les plus diverses. Les virus sont rares sous OS X, mais il convient de rester vigilant, surtout lorsque vous échangez des fichiers avec des ordinateurs qui utilisent d’autres systèmes d’exploitation. L’utilisation de logiciels antivirus du commerce comme Norton Antivirus ou Intego VirusBarrier peut contribuer à freiner la propagation des virus. 33Sécurité réseau En complément de la sécurité des comptes utilisateurs et des ordinateurs, la sécurité réseau est essentielle en entreprise. Le coupe-feu d’OS X protège votre Mac des accès entrants non autorisés provenant d’autres ordinateurs situés sur un réseau local ou sur Internet. Par ailleurs, un service de réseau privé virtuel (VPN) permet à votre ordinateur d’accéder à des réseaux distants de manière sécurisée. Coupe-feu d’OS X Le coupe-feu personnel d’OS X permet de bloquer les connexions entrantes indésirables. Un coupe-feu protège les services exécutés sur votre ordinateur des autres ordinateurs du réseau ou d’Internet. Les services activés dans les préférences de partage apparaissent dans la liste des services accessibles par d’autres ordinateurs. Pour empêcher les connexions entrantes à l’un de ces services, vous devez désactiver les services concernés dans les préférences de partage. Activation du coupe-feu d’OS X : 1. Choisissez le menu Apple > Préférences Système, cliquez sur Sécurité et confidentialité, puis sur Coupe-feu. 2. Cliquez sur le cadenas pour le déverrouiller, puis entrez un nom et mot de passe d’administrateur. 343. Cliquez sur Démarrer pour activer le coupe-feu. Configuration des options avancées du coupe-feu : 1. Dans le volet Coupe-feu des préférences Sécurité et confidentialité, cliquez sur Avancé. 2. Trois options de coupe-feu avancées sont disponibles : Cochez la case « Bloquer toutes les connexions entrantes » pour n’autoriser les connexions entrantes que pour les fonctions Internet de base. Vous pourrez toujours relever votre courrier électronique et naviguer sur le Web, mais ce mode empêche tous les services de partage, comme le partage de fichiers ou d’écran disponibles dans le volet Partage des Préférences Système, d’accepter des connexions entrantes. Si vous souhaitez utiliser ces services, désélectionnez cette option. 35Cochez la case « Autoriser automatiquement les logiciels signés à recevoir des connexions entrantes » pour autoriser l’ajout automatique des applications déjà signées par une autorité de certification reconnue à la liste des applications autorisées, et éviter que vous ne soyez invité à les autoriser. Par exemple, l’application iTunes étant déjà signée par Apple, elle sera automatiquement autorisée à recevoir les connexions entrantes via le coupe-feu. Cochez la case « Activer le mode furtif » pour empêcher votre Mac de répondre aux demandes non autorisées ou inattendues. Votre ordinateur continuera à répondre aux requêtes émises par les applications autorisées, mais les requêtes imprévues, comme les ping réseau provenant d’ordinateurs tiers tentant de détecter votre Mac, ne recevront pas de réponse. 3. Cliquez sur OK lorsque vous avez terminé de paramétrer les réglages avancés. Vous avez configuré le service de coupe-feu intégré et renforcé la sécurité des connexions réseau entrantes. Réseau privé virtuel L’accès par réseau privé virtuel (VPN) vous permet de profiter de services réseau lorsque vous êtes en déplacement, tout en empêchant l’accès par des personnes non autorisées. OS X prend en charge les protocoles normalisés L2TP sur IPSec, PPTP et iPSec de Cisco pour créer des connexions VPN chiffrées grâce au client VPN intégré. Pour vous connecter à un VPN, vous devez obtenir l’adresse du serveur, le type de réseau, le nom de compte VPN et les données d’authentification utilisateur auprès de votre administrateur réseau. Configuration d’une connexion VPN : 1. Choisissez le menu Apple > Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. 362. Cliquez sur le bouton Ajouter (+) au bas de la liste des services de connexion réseau, puis sélectionnez VPN dans le menu contextuel Interface. 3. Sélectionnez le type de connexion VPN que vous souhaitez configurer dans le menu contextuel Type de VPN, puis donnez un nom au service. 4. Entrez l’adresse du serveur et le nom du compte de la connexion VPN. 375. Cliquez sur Réglages d’authentification et entrez les informations d’authentification de l’ordinateur et de l’utilisateur. 6. Cliquez sur OK, puis sur Se connecter. 387. Cochez « Afficher l’état VPN dans la barre des menus » afin d’utiliser l’icône d’état VPN pour vous connecter au réseau et basculer entre différents services VPN. Vous avez configuré votre Mac pour accéder à un VPN, qui vous permet de vous connecter à distance à votre réseau d’entreprise, tout en assurant une sécurité renforcée. Récapitulatif Dans ce chapitre, vous avez appris comment sécuriser un Mac au niveau des données utilisateur, de l’ordinateur et du réseau. Avec les connaissances acquises, vous devez être capable de réaliser les tâches suivantes : • Activer la sécurité d’un compte utilisateur sur votre Mac en utilisant un mot de passe fiable. • Configurer FileVault et empêcher les accès non autorisés aux données stockées sur votre disque. • Définir le mot de passe du programme interne pour une protection au niveau matériel de votre ordinateur. • Configurer le coupe-feu d’OS X pour limiter les accès réseau entrants aux services et données par d’autres ordinateurs. • Configurer votre Mac pour accéder à un réseau distant de manière sécurisée à l’aide d’un service de VPN. 39Impression à partir d’ordinateurs OS X OS X Lion vous permet de vous connecter rapidement à une imprimante locale et de la partager, ainsi que d’utiliser des imprimantes distantes sur le réseau. Les ordinateurs Mac peuvent partager les ressources d’impression avec les ordinateurs Windows de manière relativement facile, afin d’assurer un accès aux imprimantes depuis différentes plates-formes. Dans ce chapitre, vous allez apprendre à configurer votre Mac pour imprimer sur une imprimante connectée en local. Ensuite, vous apprendrez à partager l’imprimante avec les utilisateurs Windows et autres sur le réseau. Enfin, vous verrez comment configurer votre Mac pour accéder aux imprimantes réseau par le biais de différents protocoles d’impression courants, et comment optimiser les imprimantes réseau. Connexion à une imprimante USB Pour imprimer sur une imprimante, vérifiez d’abord qu’elle est reliée à votre ordinateur, puis ajoutez-la à la liste des imprimantes disponibles. La plupart des imprimantes USB sont automatiquement ajoutées à la liste lorsque vous les reliez. Ajout d’une imprimante USB à la liste des imprimantes : 1. Suivez les instructions livrées avec l’imprimante pour la configurer et la relier à votre ordinateur. OS X est compatible avec la plupart des imprimantes courantes. Si l’installation de l’imprimante requiert un logiciel, une zone de dialogue apparaît pendant l’installation et propose alors de prendre en charge le téléchargement et l’installation du logiciel en question. 2. Ouvrez un document à imprimer et sélectionnez Fichier > Imprimer. 3. Sélectionnez votre imprimante dans le menu contextuel Imprimante. 40 6Partage de votre imprimante avec des utilisateurs Windows par SMB : Vous pouvez partager votre imprimante USB avec les utilisateurs Windows du réseau par le biais du même protocole SMB/CIFS qui sert à partager les fichiers. 1. Choisissez le menu Apple > Préférences Système, puis cliquez sur Partage. 2. Cochez la case Partage d’imprimantes. 3. Sélectionnez l’imprimante à partager. 4. Cochez la case Partage de fichiers. 5. Si vous ne souhaitez pas partager un dossier, sélectionnez-le dans la liste des dossiers partagés, puis cliquez sur le bouton Supprimer (-) en dessous de la liste. Vous pouvez supprimer tous les dossiers si vous ne souhaitez partager que votre imprimante. 6. Cliquez sur Options. 7. Sélectionnez « Partager les fichiers et dossiers via SMB ». 8. Sélectionnez le nom du compte qui partagera l’imprimante, puis entrez le mot de passe de ce compte. 9. Cliquez sur le bouton Fermer. Vous avez partagé votre imprimante locale avec des utilisateurs Windows. Pour imprimer sur votre imprimante partagée par SMB/CIFS, les utilisateurs doivent ouvrir une session en tant qu’administrateur sur un ordinateur Windows, puis configurer une imprimante réseau SMB/CIFS utilisant le pilote d’impression PostScript, même si l’imprimante concernée n’est pas une imprimante PostScript. Votre Mac convertira les données PostScript en données compatibles avec l’imprimante. Les utilisateurs Windows peuvent se reporter à la documentation Windows pour en savoir plus sur l’ajout d’une imprimante réseau. Impression sur une imprimante réseau OS X peut non seulement se connecter aux imprimantes locales, mais également à différentes imprimantes réseau courantes. De nombreuses imprimantes réseau prennent en charge le protocole Bonjour (la fonction de détection réseau automatique d’OS X), et vous permettent ainsi d’ajouter automatiquement une imprimante réseau en suivant les mêmes étapes que pour une imprimante locale (voir la section précédente). Pour ajouter une imprimante réseau à votre liste d’imprimantes, vous devez connaître son adresse IP ou son nom DNS. Vous pouvez également saisir d’autres informations utiles sur l’imprimante, comme son emplacement et le nom de sa file d’attente. Dans cette section, vous allez apprendre à accéder à une imprimante partagée en réseau. Puis, vous apprendrez à utiliser les fichiers PPD (PostScript Printer Description) pour tirer le meilleur parti des fonctionnalités des imprimantes partagées en réseau. 41Connexion à une imprimante réseau par LPR : Dans un environnement multiplate-forme, le protocole d’impression en réseau LPR (Line Printer Remote) est couramment utilisé. Pour ajouter une imprimante LPR à la liste des imprimantes de votre ordinateur, vérifiez que vous disposez de son adresse IP ou de son nom DNS. 1. Ouvrez un document à imprimer, puis sélectionnez Fichier > Imprimer. 2. Sélectionnez l’imprimante dans le menu contextuel Imprimante. La nouvelle imprimante peut figurer dans le sous-menu Imprimantes à proximité. 3. Si vous ne voyez pas votre imprimante dans la liste, sélectionner Ajouter une imprimante dans le menu contextuel Imprimante. Dans une zone de dialogue, une liste s’affiche où doivent figurer toutes les imprimantes reliées à votre réseau local, que ce soit via Bonjour, une adresse IP, un partage ou Open Directory. L’opération d’affichage de votre imprimante peut prendre une à deux minutes. 4. Si votre imprimante n’apparaît pas dans la liste, cliquez sur IP dans la barre d’outils, saisissez les informations concernant l’imprimante et cliquez sur Ajouter. Votre ordinateur doit normalement détecter les accessoires d’une imprimante, tels que les bacs d’alimentation supplémentaires, les extensions de mémoire ou unités recto verso. Si cela n’est pas le cas, une zone de dialogue apparaît pour que vous puissiez préciser la nature des accessoires. Assurez-vous que les paramètres dans cette zone de dialogue correspondent exactement aux accessoires installés sur votre imprimante afin que vous puissiez en faire la meilleure utilisation. Impression sur une imprimante partagée par un ordinateur Windows : Vous pouvez imprimer sur une imprimante compatible SMB/CIFS reliée à un ordinateur Windows. Le propriétaire de l’imprimante doit la configurer pour le partage, et n’utiliser que les caractères suivants dans le nom de l’imprimante et de l’ordinateur : A-Z, a-z, 0-9, !, $, *, (, ), _, +, -, ‘, et . (point). Pour ajouter une imprimante SMB/CIFS à votre liste d’imprimantes disponibles, vous avez besoin de connaître le nom du groupe de travail de l’imprimante. Si vous y êtes invité, entrez le nom d’utilisateur et mot de passe de l’imprimante. 1. Ouvrez un document à imprimer, puis sélectionnez Fichier > Imprimer. 2. Ouvrez le menu contextuel Imprimante et choisissez Ajouter une imprimante. Dans une zone de dialogue, une liste s’affiche où doivent figurer toutes les imprimantes reliées à votre réseau local, que ce soit via Bonjour, une adresse IP, un partage ou Open Directory. 3. Cliquez sur Windows dans la barre d’outils. 4. Sélectionnez l’imprimante dans le navigateur. Si vous y êtes invité, entrez le nom d’utilisateur et mot de passe de l’imprimante. 5. Choisissez l’élément correspondant à votre imprimante à partir du menu contextuel Imprimer via. Vérifiez que vous avez choisi le modèle correspondant à l’imprimante que vous ajoutez. Pour en savoir plus, consultez le manuel d’utilisation fourni avec l’imprimante. Si vous possédez une imprimante compatible HP PCL qui ne figure pas dans la liste, sélectionnez le modèle d’imprimante le plus proche de votre imprimante. 6. Cliquez sur Ajouter. 42Utilisation des documents PPD Les fichiers PPD ou PostScript Printer Description contiennent des données techniques sur un modèle d’imprimante particulier. Vous devez disposer du fichier PPD adapté pour profiter de toutes les fonctionnalités d’une imprimante donnée. Par exemple, en l’absence du bon fichier PPD, vous ne pourrez pas accéder aux différents bacs, utiliser différents formats de papier, ou imprimer en recto verso. OS X est livré avec des fichiers PPD préinstallés pour les imprimantes les plus courantes. Lorsque vous ajoutez une imprimante, OS X sélectionne automatiquement un fichier PPD pour celle-ci. Vous pouvez changer de fichier PPD pour en utiliser un qui vous semble mieux correspondre à votre imprimante. Utilisez alors un fichier PPD livré avec OS X, ou téléchargez-en un sur Internet. Pour changer de fichier PPD pour une imprimante que vous avez déjà ajoutée, procédez comme suit : 1. Choisissez le menu Apple > Préférences Système, puis cliquez sur Imprimantes et scanners. 2. Sélectionnez l’imprimante dans la liste de gauche, cliquez sur Options et fournitures, puis cliquez sur Pilote. 3. Dans le menu contextuel Imprimer via, sélectionnez l’une des options suivantes : Pour choisir un fichier PPD que vous avez téléchargé, sélectionnez « Autre ». Pour choisir un fichier PPD livré avec OS X, sélectionnez « Sélectionnez le logiciel de l’imprimante ». 4. Sélectionnez le fichier PPD et cliquez sur OK ou Ouvrir. 5. Vérifiez que les options du menu contextuel Imprimer via correspondent aux fonctionnalités de votre imprimante, puis cliquez sur OK. Récapitulatif Dans ce chapitre, vous avez découvert les différentes manières d’utiliser les imprimantes locales et distantes avec un Mac. OS X prend intégralement en charge la majorité des imprimantes les plus courantes. Il suffit généralement de connecter une imprimante USB à votre Mac pour pouvoir l’utiliser. L’accès aux imprimantes partagées en réseau, dont les imprimantes Windows, est également simple et intuitif. Enfin, les utilisateurs Windows peuvent imprimer sur une imprimante USB partagée en réseau par un Mac en exploitant les fonctions de partage d’imprimantes d’OS X. Avec les connaissances acquises, vous devez pouvoir effectuer les tâches suivantes. • Configurer un Mac pour imprimer sur une imprimante USB. • Partager une imprimante locale avec les utilisateurs du réseau et Windows. • Configurer un Mac pour imprimer sur une imprimante réseau ou Windows. • Configurer un fichier PPD pour une imprimante réseau. 43Messagerie instantanée En entreprise, la messagerie instantanée permet aux membres dispersés d’une équipe de garder le contact. iChat est l’application de messagerie instantanée d’OS X. Elle prend en charge les comptes me.com, Mac.com, AIM, Jabber et Google Talk. Votre message instantané apparaît dans une fenêtre sur l’écran de votre collègue dès que vous l’envoyez, et celui-ci peut vous répondre instantanément. Vous pouvez utiliser iChat pour envoyer des fichiers à vos interlocuteurs sur Internet ou votre réseau local. Vous pouvez aussi mener des conférences audio ou vidéo pour communiquer avec vos collègues aux quatre coins de la planète. iChat prend en charge le protocole XMPP (Extensible Messaging and Presence Protocol) également connu sous le nom de Jabber, ce qui lui permet de communiquer directement avec divers services de messagerie courants. Il prend également en charge le protocole Bonjour pour détecter automatiquement les utilisateurs iChat sur votre réseau d’entreprise. iChat prend en charge le codec vidéo haute qualité H.264/AVC pour la visioconférence. Dans ce chapitre, vous découvrirez comment configurer un Mac pour la messagerie instantanée avec iChat et un compte me.com, Mac.com, AIM, Jabber ou Google Talk. 44 7Configuration d’iChat Avant d’utiliser iChat, vous devez configurer vos comptes de fournisseurs de services. iChat intègre un assistant qui vous guide pour ajouter un nouveau compte de chat. La première fois que vous ouvrez iChat, procédez comme suit lorsque l’écran d’accueil apparaît : Cliquez sur le bouton Continuer pour afficher la fenêtre dans laquelle vous pourrez saisir les informations nécessaire à l’ajout de votre premier compte iChat. Si vous avez déjà ajouté un compte dans iChat, vous pouvez ajouter des comptes supplémentaires dans le volet Comptes des Préférences iChat, en cliquant sur le bouton Ajouter (+). Les deux procédures permettent d’afficher une zone de dialogue similaire pour la saisie des informations de compte. 45Comptes me.com, Mac.com et AIM En utilisant des comptes me.com et Mac.com dans iChat, vous pourrez échanger des messages instantanés avec les utilisateurs de me.com et de Mac.com. Vous pouvez également communiquer avec les utilisateurs d’AIM (America Online Instant Messenger). Ajout d’un compte me.com, Mac.com ou AIM dans iChat : 1. Ouvrez iChat depuis le Dock ou le dossier Applications. 2. Sélectionnez iChat > Préférences et cliquez sur Comptes. 3. Cliquez sur le bouton Ajouter (+). 4. Sélectionnez me.com, Mac.com ou AIM dans le menu Type de compte. 5. Si vous ne disposez pas d’un compte me.com, Mac.com ou AIM, cliquez sur « Ouvrir un compte iChat » pour vous inscrire. 6. Entrez votre pseudonyme et votre mot de passe me.com, Mac.com ou AIM. 7. Cliquez sur Terminé. iChat se connecte alors au service iChat et affiche la liste des contacts de votre Carnet d’adresses qui ont un compte AIM ou iChat. Si aucun de vos contacts ne dispose d’un compte AIM ou iChat, votre liste de contacts reste vide. 46Autres services de messagerie instantanée Dans cette section, vous allez configurer iChat pour d’autres services de messagerie instantanée, comme Jabber et Google Talk. Ajout d’un compte Jabber dans iChat : Un compte Jabber peut être configuré pour communiquer avec des membres d’autres services de messagerie instantanée, comme Yahoo! Messenger, MSN Messenger et ICQ. Pour en savoir plus sur la configuration de votre compte Jabber pour utiliser ces systèmes de messagerie, consultez le site www.jabber.net. Votre entreprise peut également disposer de son propre serveur Jabber. 1. Sélectionnez iChat > Préférences et cliquez sur Comptes. 2. Cliquez sur le bouton Ajouter (+) et sélectionnez Jabber dans le menu contextuel Type de compte. 3. Si vous ne disposez d’aucun compte Jabber, allez sur www.jabber.net pour en créer un. 4. Entrez le nom du compte et le mot de passe Jabber. 475. Le cas échéant, cliquez sur la flèche en regard d’Options du serveur et entrez le serveur et le port obtenus lors de votre inscription (préalable) à Jabber. 6. Cliquez sur Terminé. Ajout d’un compte Google Talk dans iChat : 1. Sélectionnez iChat > Préférences et cliquez sur Comptes. 2. Cliquez sur le bouton Ajouter (+), puis sélectionnez Google Talk dans le menu contextuel Type de compte. 3. Si vous ne disposez d’aucun compte Google Talk, allez sur www.google.com pour en créer un. 484. Entrez le nom du compte et le mot de passe Google. 5. Cliquez sur Terminé. Ajout d’un compte Yahoo! dans iChat : 1. Sélectionnez iChat > Préférences et cliquez sur Comptes. 2. Cliquez sur le bouton Ajouter (+), puis sélectionnez Yahoo! dans le menu contextuel Type de compte. 3. Si vous ne disposez d’aucun compte Yahoo!, allez sur www.yahoo.com pour en créer un. 494. Entrez le nom et le mot de passe de votre compte Yahoo!. 5. Cliquez sur Terminé. Récapitulatif Dans ce chapitre, vous avez appris à utiliser la messagerie instantanée sur votre Mac pour collaborer en temps réel avec vos collègues. iChat prend en charge les principaux services de messagerie instantanée, comme AIM, Google Talk et Jabber. La prise en charge complète de ces messageries par OS X vous permet ainsi de communiquer en temps réel avec vos collègues, indépendamment du système d’exploitation et du service de messagerie qu’ils utilisent. Avec les connaissances acquises, vous devez être capable de réaliser les tâches suivantes : • Configurer la messagerie instantanée me.com, Mac.com et AIM dans iChat. • Configurer iChat pour d’autres services de messagerie comme Jabber et Google Talk. 50Gestion et sauvegarde de données Lorsque vous passez d’un ordinateur Windows à un Mac, vous pouvez transférer la plupart de vos fichiers PC et continuer à les utiliser comme avant. Les formats de fichiers Windows courants, dont les documents au format texte et PDF, les images et les fichiers audio et vidéo, peuvent être facilement ouverts sous OS X. La première étape consiste à faire migrer vos fichiers de l’ordinateur Windows vers votre Mac. En plus de la migration de vos données, il est important de protéger celles-ci. Il est conseillé de procéder à des sauvegardes régulières de votre système et de conserver plusieurs sauvegardes de vos fichiers importants. Votre entreprise vous oblige peut- être à suivre des règles de sauvegarde particulières, mais même si ce n’est pas le cas, rien ne vous empêche d’adopter une stratégie de sauvegarde personnelle. Dans ce chapitre, vous allez apprendre à migrer vos données Windows vers un Mac à l’aide de différentes méthodes de transfert. Vous verrez ensuite comment mettre en œuvre une stratégie de sauvegarde pour protéger vos données importantes contre les risques de perte. Migration de données de Windows vers un Mac Vous avez la possibilité pour cela de relier le Mac et le PC par le biais d’un réseau et d’utiliser l’Assistant migration. Si vous avez peu de fichiers à transférer, vous pouvez les copier de votre PC sur un disque dur ou dispositif de stockage externe, puis utiliser ce même support de stockage sur votre Mac, ou encore envoyer les fichiers Windows vers votre Mac via Internet ou par e-mail. Transfert de vos données à partir d’un PC avec l’Assistant migration Si vous n’avez pas transféré vos données vers votre Mac lorsque vous l’avez initialement configuré, vous pouvez recourir à l’Assistant migration pour les transférer à tout moment. Grâce à l’Assistant migration, vous pouvez par exemple transférer votre compte utilisateur, et ainsi toutes vos photos, votre musique et vos fichiers, depuis un PC vers un Mac. Transfert de vos données Vous pouvez transférer vos données à partir d’un réseau filaire ou sans fil. Assurezvous que vos ordinateurs soient bien reliés au même réseau. 1. Ouvrez Assistant Migration sur votre PC, puis suivez les instructions qui s’affichent à l’écran. 51 8Si vous ne disposez pas de l’Assistant Migration sur votre PC, téléchargez-le sur le site web d’Apple. Après avoir vérifié que les mêmes mots de passe sont affichés sur votre Mac et votre PC, sélectionnez sur votre Mac les données que vous souhaitez transférer. Pour transférer des comptes utilisateurs, comprenant toutes les photos, films, musique, documents, téléchargements, e-mails (comptes POP et IMAP), contacts, calendriers, achats d’apps pour iPhone ou iPod, signets web et réglages, cochez la case en regard du nom de l’utilisateur concerné. • Le fond d’écran, la langue et la localisation géographique de l’utilisateur sont transférées automatiquement lorsque vous cochez la case Réglages (d’un compte utilisateur). Les réglages et mots de passe réseau ne sont pas transférés. • En ce qui concerne les comptes de messagerie POP, l’Assistant Migration peut transférer les e-mails à partir des messageries Microsoft Outlook Express et Outlook sous Windows XP, Outlook sous Windows Vista et Outlook et Windows Live Mail sous Windows 7, uniquement si l’utilisateur a ouvert une session. • L’Assistant Migration peut également transférer les contacts à partir de Microsoft Outlook sous Windows XP, Windows Vista et Windows 7, uniquement à partir du compte de l’utilisateur lorsque celui-ci a ouvert une session. 2. Cliquez sur Continuer pour lancer le transfert. Lorsque vous ouvrez une session avec un compte utilisateur après transfert, vous trouverez les données exactement aux emplacements souhaités. • Si vous possédiez un fond d’écran personnalisé sur votre PC, celui-ci aura été automatiquement installé comme fond d’écran sur votre Mac. Pour changer votre fond d’écran, utilisez les préférences Bureau et économiseur d’écran. • Vos comptes de messagerie, comprenant vos e-mails et pièces jointes, sont configurés dans Mail. • Vos contacts se trouvent dans Carnet d’adresses. • Vos comptes de calendrier, notamment vos réunions et événements, sont paramétrés dans iCal. • Les signets, favoris et page d’accueil de votre navigateur web sont paramétrés dans Safari. • Les apps pour iPhone ou iPod achetées sur iTunes de votre PC sont transférées dans iTunes sur votre Mac. Si votre musique avait été téléchargée via iTunes sur votre PC, votre musique se trouve déjà dans iTunes sur votre Mac. • Les fichiers contenus dans les bibliothèques Mes Documents (Documents), Mes Vidéos (Vidéos), Ma Musique (Musique) ou Mes Images (Images) se trouvent maintenant respectivement dans les dossiers Documents, Vidéos, Musique ou Images du Finder. • Vous trouverez les fichiers du bureau de votre PC sur le bureau de votre Mac. Copie de fichiers sur un support de stockage externe Un disque dur ou support de stockage externe constitue un moyen pratique de faire migrer des quantités importantes de données d’un ordinateur Windows vers un Mac. Si votre ordinateur Windows est équipé d’un lecteur de CD ou DVD ou d’un port USB, sélectionnez l’une des options suivantes : 52Copiez les fichiers du PC sur un disque dur ou dispositif de stockage externe, puis connectez le lecteur en question à votre Mac et transférez les fichiers sur le disque dur de votre Mac. Vérifiez que le disque est formaté sur le PC. En effet, si votre Mac peut lire les disques formatés nativement sur un ordinateur Windows, l’inverse n’est pas possible. Gravez les fichiers sur un CD ou un DVD sur votre PC, puis utilisez ces mêmes disques sur votre Mac pour transférer les fichiers sur le disque dur de votre ordinateur. Migration des fichiers par e-mail Si vous avez moins de 5 Mo de données à transférer depuis votre ordinateur Windows, vous pouvez les envoyer par e-mail. Pour transférer des fichiers par e-mail : Procédez comme suit pour faire migrer les fichiers d’un ordinateur Windows vers votre Mac par e-mail : 1. Créez des fichiers ZIP sur le PC pour regrouper vos fichiers. 2. Envoyez ces fichiers à vous-même par e-mail sous Windows. 3. Récupérez les fichiers envoyés à l’aide de Mail sur le Mac. Sauvegarde de données Les sauvegardes fréquentes constituent le meilleur moyen de prévenir le risque de perte de données suite à une défaillance matérielle, une erreur de manipulation, l’endommagement des données ou même un vol de matériel. OS X Lion inclut Time Machine, une application qui peut automatiquement sauvegarder votre ordinateur et vos fichiers importants et irremplaçables sur un disque dur externe ou un volume réseau. Sauvegarde de données avec Time Machine Time Machine est dotée d’une interface intuitive pour restaurer vos fichiers ou votre ordinateur tout entier. Par défaut, Time Machine conserve une copie à jour des données importantes stockées sur votre Mac : applications, photos numériques, musique, films, documents, etc. Si jamais cela s’avère nécessaire, vous avez la possibilité de facilement « revenir dans le temps » pour restaurer des fichiers. À noter que certains types de fichiers ne sont pas pris en compte par Time Machine, comme les caches Safari et certains fichiers système. La configuration de Time Machine revient tout simplement à relier un disque dur externe USB, FireWire ou Thunderbolt à votre Mac. Vous pouvez également utiliser un deuxième disque interne de votre Mac de bureau (un disque que votre Mac n’utilise pas en tant que disque de démarrage). Pour configurer Time Machine : Pour effectuer la configuration initiale de Time Machine, procédez comme suit : 1. Reliez un disque dur FireWire ou USB à l’ordinateur. Si vous n’avez pas encore spécifié de disque de sauvegarde, Time Machine vous demande si vous souhaitez utiliser le disque que vous venez de connecter en tant que disque de sauvegarde. 532. Cliquez sur « Utiliser comme disque de sauvegarde » pour confirmer que vous souhaitez utiliser le disque pour les sauvegardes Time Machine. Les préférences de Time Machine sont alors affichées, et le disque concerné est sélectionné en tant que dispositif de sauvegarde. Vous n’avez rien d’autre à faire pour que Time Machine sauvegarde automatiquement votre Mac. La première sauvegarde peut durer longtemps. Pensez à configurer Time Machine en fin de journée, afin d’effectuer la sauvegarde initiale pendant la nuit. Par défaut, Time Machine conserve une sauvegarde horaire des 24 dernières heures, une sauvegarde quotidienne pour le mois écoulé, et des sauvegardes hebdomadaires de tout ce qui est antérieur à un mois, jusqu’à ce que le disque de sauvegarde soit saturé. Pour sélectionner manuellement un disque de sauvegarde Time Machine : Vous pouvez sélectionner manuellement un disque de sauvegarde Time Machine en procédant comme suit : 541. Choisissez le menu Apple > Préférences Système, puis cliquez sur Time Machine. 2. Cliquez sur Choisir un disque. Tous les volumes compatibles, à l’exception de votre disque de démarrage, sont affichés. 3. Choisissez le disque sur lequel vous souhaitez stocker vos sauvegardes, puis cliquez sur « Utiliser le disque de sauvegarde ». Autres méthodes de sauvegarde En plus des disques durs, d’autres méthodes sont disponibles pour sauvegarder vos données, dont les sauvegardes sur un serveur réseau ou sur un service dans le nuage. Pour sauvegarder sur un serveur : Pour sauvegarder sur un disque en réseau, le serveur réseau doit utiliser le partage de fichiers AFP (Apple File Protocol) et votre ordinateur ainsi que le disque de sauvegarde en réseau doivent être équipés d’OS X 10.5.6 ou version ultérieure. Pour que le serveur réseau soit disponible dans Time Machine, vérifiez que vous l’avez monté en tant que volume partagé sur votre Mac à l’aide de la commande du Finder Aller > Se connecter au serveur. 55Pour sauvegarder sur un serveur réseau, procédez comme suit : 1. Choisissez le menu Apple > Préférences Système, puis cliquez sur Time Machine. 2. Cliquez sur « Choisir un disque ». 3. Choisissez le serveur réseau sur lequel vous souhaitez stocker vos sauvegardes, puis cliquez sur Utiliser le disque de sauvegarde. Une autre méthode est disponible si vous utilisez un dossier de départ en réseau dans votre entreprise. Tous les fichiers que vous stockez dans votre dossier de départ en réseau seront sauvegardés, puisque votre dossier de départ est stocké sur un serveur, et que tous les fichiers du serveur sont sauvegardés. 56Récapitulatif Dans ce chapitre, vous avez découvert la gestion des données et différentes manières de transférer vos fichiers d’un ordinateur Windows sur votre Mac. Vous avez également appris à sauvegarder vos données avec votre Mac afin de vous protéger des pertes de données et des coûts associés. Avec Time Machine, la procédure est on ne peut plus simple. Avec les connaissances acquises, vous devez être capable de réaliser les tâches suivantes : • Faire migrer des données d’un ordinateur Windows vers votre Mac grâce à l’Assistant migration, en utilisant un disque externe ou par e-mail. • Configurer Time Machine pour une utilisation avec un disque dur externe. • Sauvegarder vos données à intervalles réguliers avec Time Machine. • Sauvegarder vos données sur un serveur ou sur un service dans le nuage. 57Compatibilité multiplate-forme OS X vous permet d’intégrer de manière transparente votre Mac au sein d’environnements Windows ou multiplates-formes en réseau. Vous pouvez utiliser Microsoft Office, connecter la plupart des imprimantes et appareils photo, rejoindre des réseaux PC et même exécuter Windows sur votre Mac. OS X offre une prise en charge intégrée de la dernière version de Microsoft Exchange Server. Ainsi, vous pouvez utiliser votre Mac (et toutes les fonctionnalités et applications que vous aimez) chez vous et au bureau et centraliser tous vos messages, rendez-vous et contacts dans un seul emplacement. Une version native de Microsoft Office est disponible pour OS X. Elle intègre une interface Mac conviviale qui vous permet de créer des documents dans Word, des présentations dans PowerPoint et des feuilles de calcul dans Excel exactement comme sur un PC Windows. Votre Mac est également compatible avec Microsoft Office pour Windows, pour vous permettre d’échanger facilement des documents avec vos amis et collègues. Même si Microsoft Office n’est pas installé sur votre Mac, vous pouvez utiliser la fonctionnalité Coup d’œil pour consulter des documents Office sans ouvrir d’application. OS X prend également en charge les fichiers de type PDF, TXT, JPEG, PNG et même PSD au niveau du système d’exploitation. Tout nouveau Mac vous permet d’installer un système d’exploitation Windows comme Windows 7 et de les exécuter à pleine vitesse, grâce à Boot Camp, un utilitaire intégré. L’installation est simple et sûre pour vos fichiers Mac. Une fois l’installation effectuée, vous pouvez démarrer votre Mac sous OS X ou sous Windows. Si vous souhaitez exécuter des applications Windows et Mac en même temps sans redémarrer, vous pouvez installer Windows au sein d’OS X au moyen des logiciels VMware, Parallels ou VirtualBox. Dans ce chapitre, vous découvrirez les applications disponibles à la fois sous Mac et Windows. Vous découvrirez également des applications Mac qui prennent en charge les fichiers Windows. Puis, vous apprendrez à configurer votre Mac pour exécuter les systèmes d’exploitation Windows en mode natif avec Boot Camp, ou en mode virtuel avec VMware Fusion ou Parallels Desktop. 58 9Compatibilité multiplate-forme Vous pouvez utiliser les fichiers Windows sous OS X à l’aide d’applications disponibles sur les deux plates-formes. Par ailleurs, de nombreuses applications Mac permettent d’importer des fichiers créés aux formats Windows. Applications multiplates-formes Certains éditeurs offrent des versions de leurs applications à la fois pour Windows et OS X, pour prendre en compte les environnements multiplates-formes déployés dans de nombreuses entreprises. Voici quelques exemples d’applications bureautiques multiplates-formes : • Microsoft Office, avec Word, Excel, Entourage, Messenger et PowerPoint • Adobe Acrobat, Photoshop, Illustrator, InDesign, After Effects et Premiere Pro • QuickBooks d’Intuit • FileMaker Types de fichiers multiplates-formes De nombreuses applications Mac natives permettent d’importer des fichiers créés sous Windows. Elles vous permettent également d’afficher les types de fichier les plus courants, comme les documents Office, PDF, les images, fichiers texte, MP3, vidéos, fichiers ZIP, etc. Exemples d’applications Mac qui prennent en charge les fichiers Windows : • Pages peut importer les fichiers Microsoft Word et la plupart des formats texte Windows. • Numbers peut importer les fichiers Excel, les fichiers Open Financial Exchange créés par Quicken, ainsi que les fichiers au format texte séparé par des virgules ou des tabulations. • Keynote peut importer les présentations PowerPoint. • Toutes les applications compatibles QuickTime peuvent importer les fichiers vidéo .AVI et les fichiers audio .WAV. Exécution de Windows sur Mac Les Mac équipés de processeurs Intel utilisent les mêmes processeurs que les ordinateurs sous Windows, et peuvent ainsi exécuter directement les logiciels Windows de différentes manières. Vous pouvez démarrer sous un système d’exploitation Windows en mode natif sur un Mac en installant le logiciel Boot Camp d’Apple, inclus avec OS X. Vous pouvez également exécuter Windows directement sur OS X grâce à une application de virtualisation comme VMware Fusion ou Parallels Desktop, qui créent des machines virtuelles Windows exécutées au sein de votre ordinateur Mac. Dans ce chapitre, vous allez apprendre à configurer Boot Camp, puis découvrir la virtualisation. 59Boot Camp Boot Camp vous permet d’exécuter un système d’exploitation Windows sur votre Mac, dont le disque est partitionné pour permettre l’installation de Microsoft Windows ; vous devez disposer pour cela du disque d’installation. Après l’installation, vous pourrez exécuter soit Windows soit OS X sur votre Mac. Dans Boot Camp, les applications Windows accèdent directement aux processeurs et aux cœurs multiples, aux cartes graphiques 3D avec accélération, aux ports haut débit et aux connexions USB, FireWire, Wi-Fi, AirPort et Ethernet Gigabit, etc. L’installation de Windows sur votre Mac se réalise en trois étapes : Étape 1 : Vérification des mises à jour disponibles Étape 2 : Préparation de votre Mac à l’installation de Windows Étape 3 : Installation de Windows Étape 4 : Installation du programme de prise en charge de Windows Les instructions qui suivent proposent un aperçu des étapes nécessaires à l’installation de Windows sur Mac. Avant de commencer, nous vous recommandons de télécharger, imprimer et prendre connaissance du Guide d’installation et de configuration Boot Camp (PDF), accessible via l’utilitaire Boot Camp. Étape 1 : Vérification des mises à jour disponibles Assurez-vous que vous avez installé toutes les mises à jour d’OS X pour que l’installation de Windows soit optimale. 1. Ouvrez une session administrateur sur votre ordinateur, quittez toutes les applications ouvertes et fermez la session de tout autre utilisateur. 2. Sélectionnez le menu Apple > Mise à jour de logiciels. Installez toutes les mises à jour disponibles. Si votre ordinateur redémarre à l’issue de l’installation d’une mise à jour, sélectionnez le menu Apple > Mise à jour de logiciels de nouveau pour installer toutes les mises à jour éventuelles. 3. Allez sur www.apple.com/fr/support/bootcamp et vérifiez si vous avez besoin de nouvelles mises à jour. 60Étape 2 : Préparation de votre Mac à l’installation de Windows L’Assistant Boot Camp prépare votre Mac préalablement à l’installation de Windows en créant une nouvelle partition pour Windows et en démarrant le programme d’installation de Windows. Avant de lancer l’assistant, assurez-vous que vous disposez d’un CD ou d’un DVD vierge ou encore d’un disque dur externe au format MS-DOS (FAT) vers lequel l’Assistant Boot Camp pourra télécharger le programme de prise en charge de Windows. 1. Ouvrez l’Assistant Boot Camp (dans le dossier Utilitaires). 612. Suivez les instructions à l’écran pour le téléchargement du programme de prise en charge de Windows. 3. Suivez les instructions à l’écran pour enregistrer le programme de prise en charge de Windows sur un CD, DVD ou un disque externe. 624. Suivez les instructions à l’écran pour créer une partition Windows. Étape 3 : Installation de Windows Reportez-vous à la documentation Windows pour en savoir plus sur l’installation et la configuration de Windows. Si vous aviez déjà quitté l’Assistant Boot Camp sans installer Windows, ouvrez de nouveau l’Assistant Boot Camp et reprenez là où vous aviez laissé la procédure d’installation. 631. Insérez votre disque d’installation de Windows 7. 2. Dans l’Assistant Boot Camp, cliquez sur Lancer l’installation. 3. Suivez les instructions à l’écran, jusqu’à ce que vous soyez invité à définir l’emplacement d’installation de Windows. 4. Lorsqu’il vous est demandé l’emplacement d’installation des fichiers système de Windows, sélectionnez « Disk 0 Partition 3 BOOTCAMP ». 5. Cliquez sur « Options de lecteurs (avancées) ». 6. Cliquez sur Formater, puis sur OK. 7. Cliquez sur Suivant pour formater la partition de Windows au format de fichier NTFS. 8. Suivez les instructions à l’écran pour achever l’installation et la configuration de Windows. Étape 4 : Installation du programme de prise en charge de Windows Après avoir installé Windows, vous devez installer des pilotes propres au Mac et d’autres logiciels de prise en charge de Windows. Le logiciel de prise en charge installe les pilotes de Boot Camp qui prennent en charge votre matériel Mac, notamment AirPort, la caméra intégrée, Apple Remote, le trackpad sur un ordinateur portable Mac et les touches de fonction du clavier Apple. Ce programme installe également le panneau de configuration Boot Camp pour Windows et la barre système Apple Boot Camp. 1. Si vous ne retrouvez pas le CD, DVD ou disque externe contenant le logiciel de prise en charge que vous avez téléchargé, ouvrez l’Assistant Boot Camp et téléchargez de nouveau le logiciel. Vous pouvez quitter l’assistant une fois que vous avez sauvegardé le logiciel sans créer une nouvelle partition. 2. Insérez le CD ou le DVD ou reliez le disque externe contenant le logiciel de prise en charge de Windows. Si le programme d’installation ne démarre pas automatiquement, parcourez le CD, le DVD, ou le disque externe à l’aide de Windows Explorer, puis double-cliquez sur le fichier setup.exe dans le répertoire Boot Camp. 3. Suivez les instructions à l’écran. Important : ne jamais cliquer sur le bouton Annuler dans aucune des zones de dialogue d’installation. 4. Une fois que votre ordinateur a redémarré, suivez les instructions à l’écran de tout autre assistant qui apparaît. 5. Recherchez les mises à jour du logiciel de prise en charge de Windows dans l’outil Mise à jour de logiciels d’Apple ou rendez-vous sur www.apple.com/fr/support/ bootcamp. Une fois que vous avez installé Windows et les pilotes Boot Camp, vous pouvez commencer à utiliser Windows sur votre Mac. Boot Camp simplifie la sélection d’OS X ou de Windows au démarrage de votre ordinateur. Vous pouvez définir le système d’exploitation par défaut pour votre ordinateur avec le volet de préférences Disque de démarrage (OS X) ou le panneau de configuration Boot Camp (Windows). Ou sélectionnez un système d’exploitation au démarrage de votre ordinateur. 64Virtualisation Si vous n’utilisez les applications Windows qu’occasionnellement, ou si vous n’avez pas besoin des performances optimales de Boot Camp, la virtualisation offre un accès immédiat à Windows sans quitter OS X. VMware Fusion et Parallels Desktop sont deux solutions de virtualisation Windows tierces très prisées. VMware Fusion Pour acheter et télécharger VMware Fusion, rendez-vous sur le site http://www.vmware.com/fr/products/fusion/. Parallels Desktop Pour acheter et télécharger Parallels Desktop, rendez-vous sur le site http://www.parallels.com/fr/products/desktop/. Remarque : en plus de l’application de virtualisation de votre choix, vous devrez disposer d’un disque d’installation de la version complète de Windows que vous souhaitez utiliser. Récapitulatif Dans ce chapitre, vous avez découvert les options de compatibilité multiplate-forme d’OS X, vous permettant de travailler de manière transparente avec les utilisateurs Windows. De nombreux programmes Windows comme Microsoft Word et Adobe Photoshop sont également disponibles pour Mac. Les applications OS X comme iWork sont compatibles avec des formats de fichiers Windows courants. Vous pouvez exécuter Windows en mode natif sur un Mac avec Boot Camp, ou dans une fenêtre OS X, grâce à une application de virtualisation comme VMware Fusion ou Parallels Desktop. Avec les connaissances acquises, vous devez être capable de réaliser les tâches suivantes : • Indiquer les applications disponibles à la fois sous Windows et OS X. • Indiquer les applications Mac natives compatibles avec les formats de fichiers Windows. • Configurer un Mac pour exécuter Windows en mode natif avec Boot Camp. • Indiquer les options de virtualisation tierces pour exécuter Windows. 65Ressources complémentaires Examen Fondamentaux de l’intégration Mac Optez pour la certification Apple Certified Associate - Intégration Mac 10.7. Consultez les instructions concernant l’examen en ligne sur : http://training.apple.com/itpro/fr/ macinteg/exam. Formation et certification OS X Apple propose des programmes de certification complets pour les professionnels de l’informatique travaillant en entreprise, dans l’éducation ou d’autres secteurs. Consultez les options de formation et de certification ci-dessous pour identifier celles qui correspondent à vos aspirations. Cours sur OS X Les cours sont dispensés par des formateurs certifiés Apple dans un réseau mondial de centres de formation agréés Apple (AATC). OS X Support Essentials 10.7 : formation intensive et approfondie sur le dépannage de l’ensemble des fonctionnalités et systèmes OS X. OS X Server Essentials 10.7 : apporte aux coordinateurs techniques et administrateurs système débutants les connaissances requises pour mettre en œuvre un système sous OS X Server. Certifications OS X Les certifications OS X d’Apple sont conçues pour les professionnels de l’informatique qui : • Fournissent une assistance aux utilisateurs OS X en entreprise ou dans le secteur de l’enseignement • Gèrent des réseaux d’ordinateurs OS X au sein d’une organisation, comme un professeur ou responsable technique qui gère un réseau dans une classe ou une salle informatique • Gèrent des réseaux multiplates-formes complexes, qui intègrent des systèmes OS X 66 10La certification Apple Certified Associate - Intégration Mac valide la maîtrise des différentes manières d’intégrer un Mac au sein d’un réseau Windows ou autre réseau normalisé. La certification ACSP (Apple Certified Support Professional) constitue l’étape de certification suivante et valide les compétences d’assistance et de dépannage de base d’OS X. La certification ACTC (Apple Certified Technical Coordinator) complète la certification ACSP en validant des compétences essentielles en matière d’assistance et de dépannage d’OS X Server. Pour en savoir plus sur les certifications Apple disponibles, rendez-vous sur le site http://training.apple.com. Manuels Les manuels de la série Apple Training Series constituent un élément clé du programme officiel d’Apple concernant OS X et OS X Server. Ces manuels proposent une approche indépendante à la formation et à la certification, en guidant les étudiants pas à pas lors de projets concrets. Ils sont également une excellente référence pour fournir de l’assistance, effectuer certaines tâches ou utiliser des technologies particulières. Deux manuels sont disponibles dans la collection Apple Training Series. Ils s’adressent aux professionnels de l’assistance et de l’administration système : • OS X Support Essentials v10.7 • OS X Server Essentials v10.7 Pour en savoir plus sur ces manuels, consultez le site de Peachpit Press à l’adresse http://www.peachpit.com. Assistance En plus des offres AppleCare Protection Plan, Apple offre une assistance en ligne sur http://www.apple.com/fr/support où vous pouvez consulter des articles techniques, télécharger des manuels et participer aux forums de discussion. Le site d’assistance d’Apple propose également des ressources de formation en ligne pour les utilisateurs qui découvrent OS X : Passage à Mac 1-2-3 : trouvez vos repères et accédez à tout ce qui figure sur votre Mac ; découvrez comment transférer les fichiers de votre ancien PC vers l’environnement Mac OS ; découvrez comment connecter votre imprimante, iPod, appareil photo numérique ou autre appareil ; découvrez comment accomplir les tâches que vous réalisiez sur votre PC sur le Mac ; découvrez comment utiliser les logiciels livrés avec votre Mac ; et découvrez même comment réagir si les choses ne se passent pas comme prévu. Passage à Mac 1 2 3 est disponible en ligne sur http://www.apple.com/fr/support/switch101/. Mac 1-2-3 : découvrez comment explorer le bureau de votre Mac (ou découvrez ce qu’est le Bureau) ; découvrez comment connecter votre imprimante, iPod, appareil photo numérique ou autre appareil ; découvrez la messagerie et Internet ; apprenez à réaliser différentes tâches ; apprenez à utiliser les logiciels livrés avec votre Mac ; et découvrez même comment réagir si les choses ne se passent pas comme prévu. Mac 1-2-3 est disponible en ligne sur http://www.apple.com/fr/support/mac101/. 67 Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 1 Final Cut Pro 7 Niveau 1 Guide de préparation à l'examen Dernière mise à jour en Décembre 2010 Apple Inc. Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen Final Cut Pro Version 7 24 Mars 2010 Créé par le département Apple Training & Certification. Ce programme a été créé et est proposé par des personnes qui travaillent chez Apple. Nous, chez Apple, avons tenté de rendre les informations contenues dans ce livre de cours aussi précises et fiables que possible. Néanmoins, Apple décline toute responsabilité d'aucune sorte, expresse ou implicite, quant à toute question se rapportant à ce manuel, y compris, sans limitation, la qualité marchande ou d'adéquation à un usage particulier. Apple mettra à jour occasionnellement le logiciel décrit dans ce manuel et le manuel lui-même, et se réserve le droit de faire ces changements sans obligation de les notifier à l'acheteur. En aucun cas Apple ne sera responsable des dommages indirects, spéciaux, accessoires ou consécutifs découlant de l'achat ou de l'utilisation de ce manuel ou des informations contenues dans ce document. Ces ressources vous sont prétées, et non vendues. Vous ne pouvez ni les vendre ni les transférer à toute autre personne. Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite, stockée dans un système de récupération, ou transmise sous quelque forme ou par quelque moyen, électronique, mécanique, photocopie, enregistrement ou autre, sans l'autorisation écrite préalable d'Apple. Copyright © 2010 Apple Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, AirMac, AirPort, AirPort Extreme, Apple Cinema Display, AppleScript, AppleScript Studio, Apple Studio Display, AppleTalk, AppleWorks, Aqua, A/UX, Bonjour, Carbon, Cocoa, Color, ColorSync, the ColorSync logo, DVD Studio Pro, Exposé, FairPlay, FileVault, Final Cut Pro, Final Cut Server, Final Cut Studio, FireWire, the FireWire symbol, FontSync, HyperCard, iBook, iCal, iDVD, iLife, iMac, iMovie, Inkwell, iPhoto, iPod, iPod Hi-Fi, iPod Socks, iSight, iTunes, iTunes Music Store, Jam Pack, Keychain, Keynote, LiveType, Logic, Mac, the Mac logo, MacBook, Macintosh, Macintosh Products Guide, Mac OS, MagSafe, Pages, Panther, Pixlet, Quartz, QuickTime, the QuickTime logo, and Soundtrack Pro sont des marques d'Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d'autres pays. Next, Enterprise Objects, NetInfo, the Next Cube Logo, NextStep, Objective-C, OpenStep, and PDO sont des marques de NeXT Software, Inc., déposées aux ÉtatsUnis et dans d'autres pays. Mac OS X contient des logiciels développés par the University of California, Berkeley, FreeBSD, Inc., The NetBSD Foundation, Inc., et leurs contributeurs respectifs. Adobe, le logo Adobe, Acrobat, le logo Acrobat, Distiller, PostScript, et le logo PostScript sont des marques ou des marques déposées d'Adobe Systems Incorporated aux États-Unis et dans d'autres pays. Java et toutes les marques Java ainsi que les logos sont des marques ou des marques déposées de Sun Microsystems, Inc aux États-Unis et dans d'autres pays. Windows est une marque déposée de Microsoft Corporation. Les autres noms de produits et de sociétés mentionnés dans ce document sont des marques appartenant à leurs détenteurs respectifs. Toute mention de produits de tierce partie n’est qu’à titre informatif et ne constitue ni une approbation, ni une recommandation. Apple se dégage de toute responsabilité en ce qui concerne les performances ou l’usage de ces produits. Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 2Table des matières À propos de ce guide ......................................................................................................4 Les avantages de la Certification Apple ..................................................................4 Préparation à l'examen ..................................................................................................5 Objectifs de la Leçon Une .............................................................................................7 Objectifs de la Leçon Deux ...........................................................................................8 Objectifs de la Leçon Trois ............................................................................................10 Objectifs de la Leçon Quatre .......................................................................................12 Objectifs de la Leçon Cinq ............................................................................................14 Objectifs de la Leçon Six ................................................................................................15 Objectifs de la Leçon Sept ............................................................................................17 Objectifs de la Leçon Huit .............................................................................................18 Objectifs de la Leçon Neuf ...........................................................................................20 Objectifs de la Leçon Dix ...............................................................................................22 Objectifs de la Leçon Onze ...........................................................................................24 Objectifs de la Leçon Douze ........................................................................................25 Objectifs de la Leçon Treize ..........................................................................................27 Objectifs de la Leçon Quatorze ..................................................................................29 Passer l'examen de certification Final Cut Pro 7 ..................................................30 Questions fréquemment posées : Examen Prometric .......................................31 Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 3À propos de ce guide Ce guide fournit toutes les informations dont vous avez besoin pour commencer à préparer l'examen End User (Utilisateur Final) Final Cut Pro 7. Les avantages de la Certification Apple Le programme de formation et de certification Apple Pro est élaboré pour vous maintenir à la pointe des technologies numériques d'Apple. La certification est un repère pour évaluer vos compétences avec une application Apple Pro spécifique. En passant et en réussissant un examen, vous devenez un Apple Certified Pro (Professionnel Certifié Apple), qui vous permet de vous distinguer de vos collègues, au yeux de vos employeurs et des clients potentiels en tant qu'utilisateur qualifié de l'application choisie. La certification vous donne un avantage concurrentiel sur un marché de l'emploi en constante évolution. Qu'est-ce qu'un Apple Certified Pro? Un professionnel certifié Apple est un utilisateur certifié, qui a atteint le niveau le plus élevé de compétences dans l'utilisation et l'exploitation des applications professionnelles d'Apple, reconnu en tant que tel par Apple. Comment devenir un Apple Certified Pro? Pour devenir un Apple Certified Pro, vous devez réussir un examen en ligne administré par un centre de formation agréé Apple (Apple Authorized Training Center - AATC). La certification de niveau 1 reconnaît vos connaissances opérationnelles de base d'un logiciel. Les examens de niveau 1 sont passés à la fin de formations spécifiques dans les centres agréés. Si vous préférez apprendre par vous-même ou que vous pensez déjà avoir la compétence requise sur le logiciel de votre choix vous pouvez vous inscrire à passer l'examen de Niveau 1 dans un centre de formation agréé Apple pour un prix forfaitaire. Les certifications Apple Certified Pro de Niveau 2 attestent d'une compréhension plus profonde de l'application. Les examens de Niveau 2 ne peuvent être passés qu'après avoir réussi la certification de Niveau 1. Suivre une formation est recommandé mais pas obligatoire. De plus, la certification Final Cut Pro 7 de niveau 1 compte aussi pour la certification Final Cut Studio Master Pro. La certification Master Pro reconnaît vos compétences avec la suite complète Final Cut Studio. Le workflow étant un élément très important de Final Cut Studio, il est nécessaire que vous obteniez des certifications dans plusieurs applications de la suite. Quels sont les avantages d'être Apple Certified Pro? En tant qu'Apple Certified Pro, vous serez reconnu comme un utilisateur hautement qualifié de l'application choisie. Cela vous permet de vous démarquer auprès de vos employeurs et de vos collègues comme un professionnel certifié afin de promouvoir la croissance de votre carrière. Vous recevrez un diplôme d'Apple vous désignant comme Apple Certified Pro et vous pourrez utiliser le logo Apple Certified Pro sur vos cartes de Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 4visite ou votre site web. Cela vous permettra de tirer parti de la force de la marque Apple. Après avoir réussi à l’examen de certification, vous recevrez un email avec un diplôme au format PDF, ainsi que les instructions vous permettant de commander une version imprimée et/ou encadrée. Le courrier électronique contient des liens vers LinkedIn, Facebook et Twitter afin de vous permettre de communiquer facilement sur vos nouvelles certifications sur ces sites de réseaux sociaux. Le courrier électronique contient également des instructions sur la façon de se connecter sur Apple Certification Records System, où vous pouvez : • Mettre à jour vos informations personnelles et choisir d'afficher vos certifications Apple sur Apple Certified Professionals Registry. • Passer en revue vos certifications en cours. • Télécharger votre/vos logo(s) de certification à utiliser sur vos cartes de visite, curriculum vitae, sites Web... • Donner l'accès à vos employeurs pour vérifier vos certifications. • Accéder à de nombreuses ressources. Préparation à l'examen Les trois points clés de la préparation à un examen de certification sont l'expérience que vous avez avec l'application, l'étude des documents de formation appropriés - dont les livres de la série Apple Pro Training Series en relation avec Final Cut Pro 7 - et l'étude de ce Guide de Préparation aux examens. Voir la section suivante concernant les objectifs du programme. Les ressources suivantes peuvent également vous aider à préparer votre examen de certification, ainsi qu'à élargir vos connaissances générales :  Pour vous aider à préparer l'examen de certification réel, vous pouvez consulter les tutoriels (en anglais) sur www.apple.com/fr/ finalcutstudio/resources/. Plus de cinq heures et 150 sujets de didacticiels gratuits en ligne sont mis à disposition par les principaux créateurs de vidéo de formation, y compris des leçons du livre Apple Pro Training Series.  Passez en revue les sections appropriées des Manuels de l'Utilisateur Final Cut Pro. La documentation complète pour tout le studio est disponible à l'adresse: documentation.apple.com. C'est gratuit, entièrement indexé pour les recherches et les liens. Vous pouvez également lancer la documentation Final Cut Pro en choisissant le menu Aide> Manuel de l'utilisateur Final Cut Pro lorsque Final Cut Pro est lancé. Des informations sur les nouvelles fonctionnalités sont disponibles en choisissant le menu Aide> Nouvelles fonctionnalités lorsque Final Cut Pro est ouvert.  De nombreuses ressources en ligne vous permettent de poser des questions et apprendre des trucs et astuces. Pour accéder à des articles techniques (“white papers”), des forums de discussion, et en apprendre davantage sur les nombreuses autres ressources en ligne, Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 5visitez les ressources d’Apple Training sur www.apple.com/fr/ finalcutstudio/resources/.  Bien que l'examen End User (utilisateur final) ne couvre pas l’article technique Apple ProRes, nous vous suggérons de le consulter sur: www.apple.com/finalcutstudio/fr/finalcutpro/apple-prores.html  Pour plus d'informations sur le programme Apple Pro Training, visitez training.apple.com.  Pour fournir des commentaires et suggestions à Apple à propos de Final Cut Pro, rendez vous sur www.apple.com/feedback/ finalcutpro.html  Pour découvrir Final Cut Pro, visitez www.apple.com/fr/finalcutstudio/ finalcutpro/  Pour lire les nouvelles de dernière minute, allez sur www.apple.com/fr/ support/manuals/  Pour connaître l'actualité des Pro Apps et tout ce qui s'y rapporte, rendez vous sur Final Cut Pro News.  De nombreux fabricants de produits tiers publient des documents de références, de dépannage ainsi que des DVD de tutoriels aussi bien à destination des utilisateurs novices qu’à des utilisateurs confirmés. Une recherche rapide sur Internet vous donnera de nombreuses pistes.  Si vous avez des questions, vous pouvez les poser sur le Final Cut Pro Discussion Forum, qui est hébergé par Apple. Vous pouvez également poser des questions au groupe Yahoo FinalCutPro-L. Vous pouvez adhérer à l'adresse suivante: movies.groups.yahoo.com/group/ FinalCutPro-L/. Vous pouvez aussi poser vos questions sur le forum de la communauté des utilisateurs de Final Cut Studio en français: YakYakYak.fr Étudier le programme Apple Pro Training Series Apple Pro Training Series: Final Cut Pro 7 de Diana Weynand (ISBN 978-2-7440-9296-1) fait partie de la collection officielle de formation et est conçu pour vous préparer à passer l'examen de certification. La lecture approfondie du livre est la première chose à faire pour se préparer à passer l'examen de certification. Toutefois, si vous êtes autodidacte ou que vous avez suivi des cours qui ne couvrent pas le programme Apple Pro Training Series, vous pouvez tout de même vous préparer à l'examen de certification en vérifiant que vous soyez à même d'accomplir toutes les tâches décrites dans les sections suivantes . Vous devez également vous assurer que vous pouvez répondre à toutes les questions de révision de chaque section. Les questions de révision et leurs réponses se trouvent ci-dessous. En outre, si vous n'avez pas lu Apple Pro Training Series : Final Cut Pro 7, vous pouvez lire les chapitres recommandés dans le Manuel de l'Utilisateur Final Cut Pro. Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 6Veuillez noter que bien que ce guide divise les objectifs en leçons, les questions sont présentées de façon aléatoire lors de l'examen. Objectifs de la Leçon Une À la fin de la leçon, "Le montage dans Final Cut Pro" dans Final Cut Pro 7, vous devez être en mesure d'effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Importer des clips (plans) dans un projet • Lire et parcourir des clips dans le Visualiseur • Marquer des clips dans le Visualiseur • Monter des clips dans la Timeline • Lire une séquence dans la Timeline et le Canevas • Organiser les éléments du projet dans le Navigateur • Enregistrer, masquer et quitter Final Cut Pro Leçon Une: Révision Après avoir terminé la Leçon Une, vous devriez être en mesure de répondre aux questions suivantes. 1. Indiquez trois manières de lancer Final Cut Pro. 2. Quelles sont les quatre touches utilisées avec des raccourcis clavier qui permettent d’invoquer des fonctions ou des commandes ? 3. Comment ouvrez-vous un menu contextuel ? 4. Depuis quel menu principal pouvez-vous exécuter la commande Importer ? 5. Indiquez trois manières d’ouvrir un plan dans le Visualiseur ? 6. En plus du bouton Lecture, quelles touches du clavier permettent de lancer la lecture d’un plan ou d’une séquence ? 7. Quelles touches déplacent la tête de lecture vers l’avant ou l’arrière image par image dans le Visualiseur, le Canevas et la Timeline ? 8. Comment créez-vous les points d’entrée et de sortie d’un clip ? 9. Quel bouton du Canevas permet de monter un clip dans la séquence ? 10. Dans le Visualiseur, quelle incrustation permet de savoir que vous affichez la première ou la dernière image d’un clip ? Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 711. Dans le Canevas, quelle incrustation permet de savoir si la tête de lecture se situe sur la première ou sur la dernière image d’un plan monté dans la Timeline ? 12. Lorsque vous affichez la portion audio d’un plan, que voyezvous à la place de l’image vidéo ? 13. Indiquez trois méthodes de création d’un chutier 14. Quels sont les raccourcis qui permettent d’enregistrer, de masquer et de quitter Final Cut Pro ? Réponses 1. Double-cliquer sur l’application dans le dossier Applications ; cliquer sur l’icône du programme dans le Dock ; doublecliquer sur un fichier de projet Final Cut Pro. 2. Maj, Ctrl, Option et Cmd 3. Ctrl+clic (ou un clic droit) sur un élément. 4. Le menu Fichier. 5. Double-cliquer sur le clip dans le Navigateur ; glisser-déposer le plan dans le Visualiseur ; sélectionner le plan et appuyer sur Entrée. 6. La barre d’espacement ou la touche L. 7. Les touches fléchées Gauche et Droite. 8. Avec les boutons Point d’entrée et Point de sortie du Visualiseur, ou avec les touches I et O. 9. Le bouton rouge Écraser. 10. Une pellicule apparaît sur le côté gauche de l’affichage du Visualiseur pour identifier la première image du plan, et sur le côté droit pour identifier la dernière. 11. Un L s’affiche dans la partie inférieure gauche pour identifier la première image du plan, et un L inversé dans la partie inférieure droite pour en identifier la dernière. 12. Une forme d’onde, ou oscilloscope. 13. Cliquer sur Fichier > Nouveau chutier ; appuyer sur Cmd+B ; Ctrl+clic (ou un clic droit) dans la portion grise du navigateur et choisir Nouveau chutier. 14. Cmd+S pour enregistrer les modifications en cours ; Cmd+H pour masquer l’interface ; Cmd+Q pour quitter le programme. Objectifs de la Leçon Deux À la fin de la leçon, "Effectuer le prémontage" dans Final Cut Pro 7, vous devez être en mesure d'effectuer les tâches suivantes. Des éléments de Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 8cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Gérer les éléments d'un projet • Monter par écrasement et par insertion • Gérer les pistes de la Timeline • Monter des clips audio • Déplacer des clips sur la Timeline • Monter avec la technique du glisser-déposer • Régler le volume des clips d'une séquence Leçon Deux: Révision Après avoir terminé la Leçon Deux, vous devriez être en mesure de répondre aux questions suivantes. 1. Comment créez-vous un chutier dans un autre chutier ? 2. Quelles sont les quatre méthodes de création d’un montage par écrasement ou par insertion ? 3. Dans l’onglet audio du Visualiseur, quelle icône devez-vous faire glisser pour effectuer le montage d’un clip audio sur la Timeline ou dans l’incrustation de coupe du Canevas ? 4. Quels raccourcis clavier permettent de zoomer en avant ou en arrière sur une zone de la Timeline? 5. Comment modifiez-vous la hauteur des pistes de la Timeline ? 6. Comment ciblez-vous une piste de la Timeline ? 7. Quels boutons du panneau de contrôle des pistes de la Timeline permettent d’activer ou de désactiver la vidéo et l’audio de chaque piste ? 8. Pour sélectionner un plan de la Timeline, vous cliquez une fois. Indiquez deux manières de le désélectionner. 9. Comment modifiez-vous la position d’un clip dans la Timeline ? 10. Quelles sont les deux manières d’activer et de désactiver le magnétisme ? 11. Lorsque vous faites glisser des plans directement sur la Timeline, la forme du pointeur change en fonction du type de montage que vous souhaitez réaliser. Pour faire un montage par écrasement, quelle forme de flèche doit prendre le pointeur ? Quelle est cette forme pour un montage par insertion ? 12. Lorsque vous ouvrez un plan dans le Visualiseur, que voyezvous dans le panneau de connexion de la Timeline ? Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 9Réponses 1. En cliquant du bouton droit (Ctrl+clic) sur un chutier et en choisissant Nouveau chutier dans le menu contextuel. 2. Cliquer sur un bouton de montage ; utiliser un raccourci clavier ; faire glisser un plan depuis le Visualiseur jusqu’à une option d’incrustation de coupe du Canevas ; glisser-déposer directement le plan sur une piste de la Timeline. 3. L’icône d’une main sur un haut-parleur. 4. Option++ (plus) pour zoomer en avant, et Option+– (moins) pour zoomer en arrière. 5. En cliquant sur un des boutons de contrôle de hauteur de piste de la Timeline, ou en appuyant sur Maj+T jusqu’à avoir sélectionné la hauteur de piste désirée. 6. En connectant un connecteur source à une piste de destination. 7. Les boutons Visible et Audible. 8. Cliquer sur l’espace gris vide situé au-dessus de la piste ou appuyer sur Maj+Cmd+A. 9. En faisant glisser le clip, ou en le sélectionnant puis en tapant directement une valeur de déplacement. 10. Appuyer sur la touche N ou cliquer sur le bouton Magnétisme de la Timeline. 11. Une flèche dirigée vers le bas indique qu’il s’agit d’un montage par écrasement ; une flèche dirigée vers la droite identifie un montage par insertion. 12. Les pistes de source du clip, qui apparaissent sous forme de connecteurs sources. Objectifs de la Leçon Trois À la fin de la leçon, "Finaliser le prémontage" dans Final Cut Pro 7, vous devez être en mesure d'effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Créer des points de montage dans la Timeline • Ajouter des plans de coupe • Monter les pistes de commentaires et de musique • Backtiming des plans • Monter des effets sonores • Copier et coller des plans • Travailler avec des marqueurs • Lire une séquence en plein écran et via iChat Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 10Leçon Trois: Révision Après avoir terminé la Leçon Trois, vous devriez être en mesure de répondre aux questions suivantes. 1. Quels raccourcis clavier permettent de créer des points d’entrée et de sortie sur la Timeline ? 2. Donnez deux façons de marquer la durée d’un plan sur la Timeline ? 3. Quel rôle joue le contrôle Alterner la sélection auto du panneau de connexion de la Timeline ? 4. Quand vous marquez une zone de la Timeline et appuyez sur Retour arrière, laissez-vous un vide dans le montage ? 5. Que se passe-t-il lorsque vous appuyez sur Maj+Retour arrière ou Suppr quand une zone de la Timeline est marquée ? 6. Dans quel menu trouvez-vous la commande Supprimer Ripple ? 7. Quel marqueur est impératif dans le Visualiseur lorsque vous souhaitez monter, dans une zone marquée de la Timeline, un plan en fonction de son image de fin (backtiming ou montage par les pieds) ? 8. Comment connectez-vous les pistes sources sur la Timeline ? 9. Le contenu de quelle piste vidéo voyez-vous quand plusieurs clips sont situés au même endroit sur la Timeline ? 10. Qu’est-ce qu’un montage à trois points ? 11. Quelles marques s’affichent sur les plans de la Timeline quand vous les coupez avec l’outil Lame de rasoir ? 12. Sur quelle touche devez-vous appuyer pour ajouter un marqueur à la position de la tête de lecture? 13. Comment créez-vous des points d’entrée et de sortie selon des marqueurs de la Timeline ? 14. Dans quel menu pouvez-vous invoquer la commande Digital Cinema Desktop Preview ? 15. Quelle application Apple permet de diffuser votre séquence à distance et en temps réel ? Réponses 1. La touche I sert à créer un point d’entrée et la touche O sert à créer un point de sortie. 2. La touche X sert à marquer la durée du clip, une fois que la tête de lecture est placée sur le plan. On peut aussi cliquer sur le bouton Marquer plan du Canevas. Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 113. Quand il est actif pour une piste, les plans situés entre les points de montage de cette piste sont mis en surbrillance et altérés par la prochaine action. 4. Oui. Ce type de suppression s’appelle éliminer. 5. Le plan est supprimé et le vide est comblé par déplacement de tous les autres clips vers la gauche. Ce type de suppression se nomme Supprimer Ripple. 6. Dans le menu Séquence. 7. Vous ne devez pas définir de point d'entrée et seulement le point de sortie du plan source dans le visualiseur pour être en mesure de monter un plan par les pieds (backtiming) entre les points d'entrée et de sortie de la timeline. 8. En faisant glisser un connecteur source jusqu’à la piste de destination. On peut aussi ouvrir le menu contextuel de n’importe quel connecteur source ou de destination et choisir l’option appropriée. 9. On voit toujours le contenu de la piste vidéo située au-dessus des autres. 10. Un montage à trois points détermine l’emplacement, la durée et le contenu du plan monté. 11. Des indicateurs de montage rouges. 12. La touche M. Appuyer de nouveau sur cette touche ouvre la fenêtre Modifier marqueur. 13. En cliquant sur Marquer > Marquer la séquence (Ctrl+A). 14. Dans le menu Présentation. 15. iChat. Objectifs de la Leçon Quatre À la fin de la leçon, "Ajuster la durée d'un plan" dans Final Cut Pro 7, vous devez être en mesure d'effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Comprendre le trimming (trim) • Trim avec l'outil Ripple • Trim de plans dans le Visualiseur • Trim d'un point de montage à la souris • Trim de plans sur la piste V2 • Étendre un point de montage • Trim d’une piste d’un plan lié Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 12Leçon Quatre: Révision Après avoir terminé la Leçon Quatre, vous devriez être en mesure de répondre aux questions suivantes. 1. Que se passe-t-il lorsque vous désactivez le mode Sélection liée dans la Timeline ? 2. Que fait l’outil Ripple quand vous l’utilisez pour le trimming ? 3. Quel raccourci clavier active l’outil Ripple ? 4. Sur quelle touche devez-vous appuyer pour effectuer un Ripple image par image ? 5. Quel est l’avantage d’effectuer un trimming dans le Visualiseur ? 6. Comment désactiver un seul plan de la séquence ? 7. Quels outils permettent de faire glisser un point de montage dans la Timeline ? 8. Quel raccourci clavier permet d’étendre un point de montage ? 9. Comment pouvez-vous déplacer verticalement un plan sur la Timeline sans le décaler horizontalement ? 10. Quel avantage procure le montage sur la piste V2 ? Réponses 1. Cela permet de sélectionner une seule piste du plan lié et de lui appliquer un trim. 2. Il évite qu’un vide soit créé lorsqu’un point de montage est déplacé. 3. La touche R appuyée deux fois permet de sélectionner l'outil Ripple. 4. Sur les touches ? et $ (ou , et :) 5. Cela permet d’afficher le matériel audio et/ou vidéo situé à l’extérieur de la zone marquée. 6. En désactivant l’option Activer le clip dans le menu contextuel du plan. 7. Les outils Sélection et Ripple. 8. La touche E. 9. En maintenant la touche Maj enfoncée pendant le déplacement. 10. Cela permet d’allonger un plan sans être limité par la présence d’un clip limitrophe. Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 13Objectifs de la Leçon Cinq À la fin de la leçon, "Redéfinir des points de montage" dans Final Cut Pro 7, vous devez être en mesure d'effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Appliquer un trim à deux points de montage simultanément • Coulisser des points d'entrée et de sortie • Appliquer un roll à des points de montage • Étendre des points de montage • Faire glisser un plan • Repositionner un clip • Maintenir la synchronisation des plans Leçon Cinq: Révision Après avoir terminé la Leçon Cinq, vous devriez être en mesure de répondre aux questions suivantes. 1. Comment pouvez-vous afficher une liste des marqueurs présents dans une séquence ? 2. Où pouvez-vous modifier les paramètres de la séquence ouverte dans la Timeline ? 3. Quels sont les deux points de montage que l’outil Coulissement peut ajuster ? 4. Quels sont les raccourcis clavier qui permettent d’ajuster des points de montage image par image? 5. Que produit l’outil Roll dans l’ajustement de deux points de montage ? 6. Comment ajustez-vous une seule piste d’un plan lié ? 7. Combien de plans sont affectés par l’application de l’outil Glissement ? 8. L’extension de deux points de montage est identique à l’opération de rolling, de coulissement ou de glissement ? 9. Quelle touche de modification devez-vous utiliser pour repositionner un plan dans une séquence sans écraser un autre clip ? 10. Que se passe-t-il lorsque vous appuyez sur la touche Option tout en déplaçant un plan ? 11. Lorsque vous désynchronisez le contenu audio et vidéo d’un plan, suite à un glissement ou à un déplacement, comment pouvez-vous rétablir la synchronisation ? Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 14Réponses 1. En ouvrant le menu contextuel de la Timeline. La liste des marqueurs y apparaît dans la partie inférieure. 2. Dans la boîte de dialogue Réglages de séquence accessible via Séquence > Réglages. 3. L'outil coulissement permet d'ajuster les points d’entrée et de sortie d’un plan. 4. Les touches , et : . 5. Il ajuste le point de sortie d’un clip et le point d’entrée du clip adjacent. 6. En désactivant la fonction Sélection liée ou en maintenant enfoncée la touche Option avant de cliquer sur la piste. 7. L’outil Glissement affecte trois plans : la position du plan central et la durée des plans adjacents. 8. L’extension d’un point de montage est identique au Roll. 9. La touche Option est utilisée pour intervertir un plan avec un autre et pour déplacer tous les autres plans de la séquence afin de ne laisser aucun vide dans le montage. 10. Appuyer sur la touche Option pendant le déplacement crée une copie du clip dans la séquence. On peut alors repositionner cette copie à un autre emplacement de la séquence, en laissant le plan original à sa place. 11. En appuyant immédiatement sur Cmd+Z ; sinon, en cliquant sur l’indicateur rouge de désynchronisation et en choisissant "synchronisation" ou "Synchro. par coulissement" dans le menu contextuel qui apparaît. Objectifs de la Leçon Six À la fin de la leçon, "Peaufiner le montage" dans Final Cut Pro 7, vous devez être en mesure d'effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Étiqueter et renommer des éléments d’un projet • Créer des sous-plans avec des points d'entrée et de sortie • Créer des sous-plans en utilisant des marqueurs • Utiliser des marqueurs pour synchroniser des plans • Modifier l'affiche d'un plan • Créer un story-board • Remplacer des plans • Faire un montage multiplan Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 15Leçon Six: Révision Après avoir terminé la Leçon 6, vous devriez être en mesure de répondre aux questions suivantes. 1. Comment appliquez-vous une étiquette de couleur à un plan, un chutier ou une séquence ? 2. Comment créez-vous un sous-plan ? 3. Où pouvez-vous placer un marqueur ? 4. Le magnétisme affecte-t-il les marqueurs ? 5. Quelle touche de modification est utilisée pour créer une nouvelle affiche de plan? 6. Que fait la fonction de montage par remplacement ? 7. Comment devez-vous organiser les plans d’un chutier avant de créer un montage par story-board? 8. En quoi consiste le tournage d’un film à plusieurs caméras (multicam) ? 9. Comment créez-vous un multiplan ? 10. Lorsque vous créez un multiplan, quelles sont les trois manières de synchroniser les plans ou les angles ? 11. Quelle touche de modification devez-vous utiliser pour permuter les angles du multiplan dans le Visualiseur ? Réponses 1. En cliquant du bouton droit (Ctrl+clic) sur l’élément concerné dans le Navigateur, puis en choisissant Étiquette et, enfin, en cliquant sur la couleur à assigner. 2. En créant des points d’entrée et de sortie dans le plan, puis en cliquant sur Modifier > Faire sous-plan. 3. Un marqueur peut être placé sur la règle de la Timeline, sur un clip sélectionné dans la Timeline ou être ajouté à un plan affiché dans le Visualiseur. 4. Oui. Lorsque le magnétisme est actif, on peut aligner la tête de lecture sur des marqueurs, mais aussi aligner le marqueur d’un plan sur celui d’une séquence ou d’un autre plan. 5. La touche Ctrl associée à la touche P (Ctrl+P). 6. Elle remplace un plan de la séquence par un plan source avec alignement sur la position de la tête de lecture dans le Visualiseur et la Timeline. 7. Sous forme de rangées. Ensuite, on décale chaque plan légèrement vers le bas l’un par rapport à l’autre afin de respecter leur ordre d’insertion dans le montage par storyboard. Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 168. Cela consiste à tourner une séquence avec plusieurs caméras, c’est-à-dire sous différents angles de prises de vues filmés simultanément. 9. En sélectionnant dans le Navigateur les plans qu’on veut inclure dans le multiplan. Ensuite, on clique sur Modifier > Faire un multiplan. On peut également choisir Faire un multiplan dans le menu contextuel d’un des clips sélectionnés. 10. On peut synchroniser les plans par les points d’entrée, les points de sortie ou le timecode. 11. La touche Cmd. Objectifs de la Leçon Sept À la fin de la leçon, "Personnaliser Final Cut Pro" dans Final Cut Pro 7, vous devez être en mesure d'effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Relier des fichiers multimédias • Lire différents formats • Travailler avec des plans master et la fonction Match Frame • Consigner des notes dans les colonnes du Navigateur • Localiser les éléments du projet • Personnaliser les raccourcis clavier et les barres de boutons • Enregistrer et charger des présentations personnalisées • Optimiser les Préférences d'utilisateur Leçon Sept: Révision Après avoir terminé la Leçon Sept, vous devriez être en mesure de répondre aux questions suivantes. 1. Comment triez-vous une colonne autre que la colonne Nom ? 2. Comment affichez-vous une colonne qui n’est pas dans le Navigateur ? 3. Comment recherchez-vous un plan dans le Navigateur en utilisant un critère particulier ? 4. Qu’est-ce qui détermine qu’un plan est de type master ou non ? 5. Pourquoi un clip peut-il être barré d’une diagonale rouge ? 6. Comment accédez-vous aux informations d’un plan ou d’un élément ? 7. Où pouvez-vous sélectionner de nouveaux boutons pour votre interface ? Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 178. Où sont enregistrées toutes les présentations personnalisées ? 9. Dans quel menu pouvez-vous choisir les Préférences d’utilisateur ? 10. Comment appliquez-vous des modifications à une séquence existante ? 11. Comment retrouvez-vous une image d’un plan d’une séquence ? 12. Qu’est-ce qui est enregistré avec la fonction Enregistrement automatique ? Réponses 1. En cliquant sur son en-tête. 2. En double-cliquant (Ctrl+clic) sur son en-tête et, dans le menu contextuel ,en choisissant Afficher [nom de la colonne]. 3. En activant la fenêtre du Navigateur, puis en ouvrant la fenêtre Rechercher (Cmd+F) et en y définissant un critère de recherche. 4. Un clip est dit master quand il représente la première utilisation de ce plan dans le projet. 5. Parce qu’il est déconnecté du média source dont il provient. On dit qu’il est offline. 6. On sélectionne le plan puis on ouvre la fenêtre Propriétés de l’élément (Cmd+9). On peut aussi choisir Propriétés de l’élément dans son menu contextuel. 7. Dans la fenêtre Liste de boutons ou Modèle de clavier. 8. Elles sont enregistrées dans le disque dur Macintosh HD > Utilisateurs > [Nom d’utilisateur] > Bibliothèque > Préférences > Final Cut Pro User Data. 9. Les Préférences d’utilisateur se trouvent dans le menu Final Cut Pro. 10. D’abord, en activant la séquence dans la Timeline ou en la sélectionnant dans le Navigateur ; ensuite, en ouvrant la fenêtre Réglages de la séquence (Cmd+à). On peut aussi cliquer sur Séquence > Réglages. 11. En plaçant la tête de lecture sur l’image du plan de la séquence et en appuyant sur la touche F. 12. Des copies de sauvegarde du fichier du projet. Objectifs de la Leçon Huit À la fin de la leçon, "Capturer et transférer des vidéos" dans Final Cut Pro 7, vous devez être en mesure d'effectuer les tâches suivantes. Des éléments Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 18de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants: • Connecter la source vidéo à capturer • Visionner et marquer le matériel source • Lister des plans • Définir les paramètres des plans • Choisir des paramètres de capture prédéfinis • Choisir des options de capture • Capture des plans par lot • Importer des vidéos enregistrées sur cartes mémoire Leçon Huit: Révision Après avoir terminé la Leçon Huit, vous devriez être en mesure de répondre aux questions suivantes. 1. Quelle est la première chose à faire avant de capturer le contenu d’une bande-vidéo ? 2. Marquer des plans pour la capture est identique à marquer des plans pendant le montage. Vrai ou faux? 3. Dans l’onglet Stockage, vous pouvez entrer des informations sur vos plans. Donnez un exemple d’informations de stockage qui seront visibles dans des colonnes du Navigateur. 4. Lorsque vous créez un préréglage de capture, avec quels paramètres doit-il être en concordance ? 5. Quels sont les trois modes de capture existants ? 6. Qu’est-ce qu’un disque de travail ? 7. Pourquoi le mode de capture par lot fait-il gagner du temps ? 8. Vous ne pouvez utiliser que le disque dur système comme disque de travail. Vrai ou faux ? 9. Quelle autre fenêtre de réglages contient des informations sur le disque de travail comme celles de l’onglet Réglages de capture ? 10. Quelle autre fenêtre de réglages contient des informations sur le contrôle du périphérique comme celles de l’onglet Réglages de capture ? 11. Quelle commande permet de transférer sur disque dur des médias enregistrés sur cartes mémoire (non enregistrés sur des cassettes vidéo)? Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 19Réponses 1. Connecter le lecteur source à un port FireWire de l’ordinateur ou d’une carte d’acquisition et le mettre sous tension. 2. Vrai. 3. Remarque, Prises cerclées, Scène, Prise, Angle, Nom. 4. Avec les paramètres de la vidéo à capturer. Si on travaille avec des vidéos de divers formats, il faut choisir celui qui correspond à la majorité des plans ou à la meilleure qualité ; tout dépend du projet et du matériel. 5. Plan, Maintenant et Lot. 6. Le disque de travail est la destination de stockage des fichiers médias capturés. 7. Parce que, dans ce cas, on capture tous les plans listés en une seule opération. Cela peut même se faire en notre absence. 8. Faux. On peut parfaitement utiliser un autre disque dur interne ou un disque dur externe FireWire comme disque de travail. 9. La fenêtre Réglages système. 10. La fenêtre Réglages audio/vidéo. 11. Fichier > Lister et transférer. Objectifs de la Leçon Neuf À la fin de la leçon, "Appliquer des transitions" dans Final Cut Pro 7, vous devez être en mesure d'effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants: • Évaluer les besoins du projet • Découvrir les transitions • Appliquer des transitions audio et vidéo • Appliquer des transitions globales • Copier et modifier des transitions • Utiliser l'éditeur de transition • Ajuster les points de montage sous une transition • Sauvegarder les transitions favorites • Modifier les paramètres des transitions • Aperçu et rendu des transitions Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 20Leçon Neuf: Révision Après avoir terminé la Leçon Neuf, vous devriez être en mesure de répondre aux questions suivantes. 1. Nommez deux endroits où vous pouvez sélectionner un effet de transition ? 2. Lorsque vous optez pour l’automatisation de l’application d’une transition, que devez-vous faire en priorité ? 3. Comment déterminez-vous un ou plusieurs plans auxquels vous désirez appliquer le même effet de transition ? 4. Quelles sont les trois méthodes qui permettent de modifier la durée d’une transition dans la Timeline ? 5. Quels sont les trois alignements possibles d’une transition sur un point de montage ? 6. Comment les raccourcis Cmd+C et Cmd+V peuvent-ils être utilisés sur des transitions ? 7. Comment ouvrez-vous l’éditeur de transition ? 8. En quoi les transitions les plus complexes diffèrent-elles des autres ? 9. Quels paramètres TR devez-vous choisir pour prévisualiser le plus d’effets possible en temps réel dans votre séquence ? 10. Quelles sont les trois méthodes de sauvegarde d’une transition favorite ? 11. Comment définissez-vous une nouvelle transition par défaut? Réponses 1. Dans l’onglet Effets du Navigateur ou dans le menu Effets. 2. Avant d’appliquer une transition depuis le menu Effets, il faut cibler le point de montage de destination. 3. On peut : sélectionner un plan ; sélectionner un groupe de plans ; définir des points d’entrée et de sortie ; ou sélectionner tous les plans de la séquence. 4. Faire glisser le bord de l’icône de la transition ; choisir Durée dans le menu contextuel de l’icône de la transition, puis entrer une valeur dans la fenêtre Durée ; ouvrir l’éditeur de transition et modifier la valeur du champ Durée. 5. Les trois alignements possibles sont : Début sur coupe, Centre sur coupe et Fin sur coupe. 6. Il faut d’abord sélectionner une transition, ensuite la copier (Cmd+C), placer la tête de lecture sur le point de montage de destination et enfin coller la transition (Cmd+V). Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 217. Soit en choisissant Ouvrir [type de transition] dans le menu contextuel de la transition, soit en double-cliquant sur un des bords de l’icône de la transition affichée dans la Timeline. 8. Elles disposent de paramètres supplémentaires, comme par exemple la largeur et la couleur d’une bordure, qu’on peut régler dans l’éditeur de transition. 9. Il faut choisir TR illimité et Dynamique. 10. Dans l’éditeur de transition, faire glisser l’icône de la main jusqu’à l’onglet Effets du Navigateur et la déposer sur le chutier Favoris ; cliquer sur Effets > Ajouter aux effets favoris ; appuyer sur Option+F. 11. En choisissant Définir la transition par défaut dans le menu contextuel de la transition, dans l’onglet Effets. Objectifs de la Leçon Dix À la fin de la leçon, "Mixer les pistes audio" dans Final Cut Pro 7, vous devez être en mesure d'effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants: • Monter et organiser des effets audio • Contrôler et régler le niveau audio dans la Timeline • Utiliser l’outil Lame de rasoir pour ajouter des coupes et créer des fondus audio • Utiliser des images clés pour créer des fondus audio • Utiliser l'outil Mélangeur audio • Enregistrer une voix off Leçon Dix: Révision Après avoir terminé la Leçon Dix, vous devriez être en mesure de répondre aux questions suivantes. Révision 1. Sur quel bouton de la Timeline devez-vous cliquer pour afficher les boutons Silence et Solo ? 2. Que se passe-t-il quand vous cliquez sur le bouton Solo d’une piste ? 3. Comment ajouter plusieurs pistes à la Timeline en une seule opération ? 4. Comment afficher l’incrustation de volume sur les clips de la Timeline ? 5. Quand faut-il afficher l’oscilloscope audio dans la Timeline ? Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 226. Quel outil utilisez-vous pour créer des images clés sur l’incrustation de niveau audio ? 7. Comment activer temporairement l’outil Plume ? 8. Comment repositionner une image clé ou modifier son niveau sonore ? 9. Comment coller seulement le niveau audio d’un clip sur un autre ? 10. Quel menu donne accès au Mélangeur audio ? 11. Pour mixer des pistes en temps réel et créer automatiquement des images clés sur un clip, que devezvous faire dans le Mélangeur audio ? 12. Quel outil permet d’enregistrer votre voix off, et comment y accédez-vous ? 13. Quelles sont les deux fonctions du menu Modifier qui facilitent la modification du niveau audio, et de quelle manière ? Réponses 1. Sur le bouton Contrôles audio, situé dans la partie inférieure gauche de la Timeline. 2. Seule cette piste est audible dans la séquence. 3. En cliquant sur Séquence > Insérer pistes. 4. Il faut appuyer sur Option+ W ou cliquer sur le bouton Alterner les incrustations de plans dans la partie inférieure gauche de la Timeline. 5. Lorsqu’on désire une représentation visuelle du signal audio d’un clip afin d’évaluer la variation de son volume et effectuer son montage. 6. L’outil Plume. On peut aussi appuyer sur Option et cliquer avec l’outil Sélection. 7. En appuyant sur Option et en plaçant le pointeur sur l’incrustation de niveau audio d’un clip de la Timeline. L’outil Plume s’affiche sur la ligne. 8. En la faisant glisser vers la droite ou la gauche pour la changer de place. On la fait glisser vers le haut ou le bas pour régler le volume. 9. Il faut copier le clip affichant le niveau audio souhaité. Ensuite, coller seulement cette propriété en exécutant la commande Coller les attributs. 10. Le menu Outils. 11. Dans la barre des boutons du Mélangeur audio, il faut cliquer sur Enregistrer les images clés audio pour activer cette fonction. Ensuite, lancer la lecture de la séquence et ajuster le Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 23volume des clips en faisant glisser les potentiomètres de leurs pistes. 12. L’outil Voix off, qui se trouve dans le menu Outils. 13. Modifier > Niveaux ouvre la fenêtre Réglage du gain où on peut augmenter et diminuer le volume de tous les clips sélectionnés. Modifier > Audio > Appliquer le gain de normalisation ajuste le niveau audio le plus élevé d’un plan sur la valeur entrée dans le champ Normaliser sur. Objectifs de la Leçon Onze À la fin de la leçon, "Titrage" dans Final Cut Pro 7, vous devez être en mesure d'effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants: • Ajouter mire et amorce • Créer et monter du texte • Superposer un texte • Créer un synthé (générateur sous-titre) • Travailler avec du texte Boris • Ajouter des caches couleurs et rendre les effets • Importer des images fixes • Créer un titre composite • Préparer des graphiques pour le montage • Ajouter des modèles master Motion Leçon Onze: Révision Après avoir terminé la Leçon Onze, vous devriez être en mesure de répondre aux questions suivantes. 1. Quelles sont les deux sections de Final Cut Pro où vous pouvez choisir un générateur vidéo comme le "Texte" ? 2. Sur quel onglet du Visualiseur devez-vous cliquer pour effectuer des modifications sur un plan textuel ? 3. Pour superposer un plan sur celui actuellement monté sur la piste V1, où devez-vous placer le connecteur de pistes v1 pour que la superposition s’opère sur la piste V2 ? 4. Quel type de texte créé avec un générateur vidéo permet d’indiquer le nom d’une personne, d’un lieu ou d’une chose ? 5. Dans quel menu trouvez-vous l’option Afficher le titre sécurisé ? 6. Quels générateurs utilisez-vous en début de séquence pour permettre le réglage de la couleur et du son lors de la projection ou de la télédiffusion d’une vidéo ? Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 247. Où pouvez-vous localiser l’attribut Ombre portée ? 8. Quel générateur de texte permet de travailler dans sa propre fenêtre ? 9. Quel générateur de texte permet de créer un générique qui défile automatiquement ? 10. Comment réglez-vous l’opacité d’un plan ? 11. Lorsque vous utilisez un cache couleur, vous pouvez prélever une couleur uniquement dans la fenêtre Couleurs. Vrai ou faux ? 12. Comment se nomme la technique de montage d’une séquence dans une autre ? 13. Quelle catégorie de générateurs utilisez-vous pour appliquer des modèles animés créés avec le programme Motion ? Réponses 1. C’est le chutier Générateurs vidéo, présent dans l’onglet Effets du Navigateur, et le menu local Générateur accessible via l’onglet Vidéo du Visualiseur. 2. Sur l’onglet Contrôles. 3. Sur la piste V1. 4. Un sous-titre. 5. Dans le menu Présentation, et ce même menu local présent dans le Visualiseur et le Canevas. 6. Mire et 1000 Hz. 7. Dans l’onglet Animation du Visualiseur. 8. Le générateur de texte Boris. 9. Le générateur de texte Défilant vertical. 10. En affichant d’abord l’incrustation d’opacité sur un plan vidéo de la Timeline ; ensuite, en faisant glisser la ligne symbolisant l’opacité jusqu’au pourcentage de transparence voulu. On peut également régler l’opacité d’un plan depuis le Visualiseur : il faut cliquer sur son onglet Animation et modifier la valeur de paramètres Opacité. 11. Faux. Grâce à la pipette, on peut prélever une couleur dans n’importe quel plan de n’importe quelle séquence ouverte. 12. L’imbrication. 13. La catégorie Modèles master. Objectifs de la Leçon Douze À la fin de la leçon, "Modifier les attributs d’animation" dans Final Cut Pro 7, vous devez être en mesure d'effectuer les tâches suivantes. Des éléments Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 25de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants: • Modifier la vitesse des plans • Utiliser l’outil Vitesse • Adapter à la zone • Créer des arrêts sur image • Modifier la taille et la position • Recadrer et faire pivoter des images • Copier et coller des attributs d'animation • Animer des effets de déplacement • Suivre une trajectoire Leçon Douze : Révision Après avoir terminé la Leçon Douze, vous devriez être en mesure de répondre aux questions suivantes. 1. Dans quel menu exécutez-vous la commande Vitesse ? 2. Comment pouvez-vous savoir que la vitesse d’un plan a été modifiée ? 3. Quel type de montage peut modifier automatiquement la vitesse d’un plan dans la Timeline ? 4. Où se situe l’outil Vitesse dans la boîte à outils ? 5. Lorsque vous créez un arrêt sur image, est-ce qu’un nouveau plan d’image fixe est automatiquement stocké dans le Navigateur ? 6. Comment affichez-vous la zone de variation de la vitesse dans la Timeline ? 7. Comment créez-vous un segment de variation de la vitesse d’un plan ? 8. Comment accédez-vous aux paramètres d’animation ? 9. Comment modifiez-vous les paramètres d’animation directement dans le Canevas ? 10. Comment les attributs d’animation sont-ils copiés et collés ? 11. Où créez-vous et modifiez-vous les images clés ? 12. Qu’est-ce qu’une trajectoire ? 13. Quel outil permet de masquer les portions inutiles d’une image ? 14. Quelle est l’unité de mesure de la rotation dans l’onglet Animation ? Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 26Réponses 1. Dans le menu Modifier. 2. Un pourcentage s’affiche entre parenthèses à droite du nom du plan. 3. Le montage Adapter à zone. 4. Sous l’outil Coulissement. 5. Non. Pour stocker dans le Navigateur une image fixe provenant d’un arrêt sur image, il faut l’y déposer depuis le Visualiseur. 6. En cliquant sur le bouton Alterner les images clés du plan en bas à gauche de la Timeline. 7. En cliquant dans la zone de variation de la vitesse avec l’outil Vitesse ou Sélection pour définir une image clé de variation de la vitesse. 8. En passant par l’onglet Animation. 9. En allant dans le menu local Présentation du Canevas et en choisissant Image+Fil de fer. 10. Il faut copier le plan puis ouvrir la boîte de dialogue Coller les attributs. 11. Dans la zone d’affichage du graphique des images clés de l’onglet Animation. 12. La trajectoire est le chemin parcouru par un clip entre deux images clés ou plus. 13. L’outil Rognage. 14. Le degré. Objectifs de la Leçon Treize À la fin de la leçon, "Appliquer des filtres" dans Final Cut Pro 7, vous devez être en mesure d'effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Appliquer des filtres audio et vidéo • Afficher et modifier des filtres • Étalonner des images avec des filtres • Appliquer des filtres sur plusieurs plans • Affiner les réglages des filtres • Animer les filtres avec des images clés Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 27Leçon Treize: Révision Après avoir terminé la Leçon Treize, vous devriez être en mesure de répondre aux questions suivantes. 1. Quelles sont les deux manières d’appliquer un filtre vidéo ou audio ? 2. Quelle procédure permet d’afficher et de modifier les filtres des plans d’une séquence ? 3. Comment supprimer un ou plusieurs filtres depuis l’onglet Filtres ? 4. Quel filtre temps réel utilisez-vous pour modifier la teinte, la saturation et la luminance d’une image ? 5. Quel outil permet de comparer une image avant et après l’application d’un filtre dans un split screen (écran partagé)? 6. Où modifiez-vous les paramètres d’un filtre ? 7. Comment appliquez-vous un filtre d’un plan sur un autre ? Comment l’appliquer à plusieurs autres plans ? 8. Comment enregistrez-vous un effet en tant que favori ? 9. Comment ajoutez-vous des images clés aux filtres dans le Visualiseur ? 10. Si un filtre apparaît en haut de la liste des filtres dans l’onglet Filtres, affecte-t-il tous les autres effets situés en dessous ? Réponses 1. La première méthode consiste à faire glisser un filtre depuis l’onglet Effets du Navigateur jusqu’à un plan de la Timeline ; la seconde, à sélectionner le plan dans la Timeline, puis à cliquer sur le menu Effets > Filtres vidéo (ou audio). 2. Placer la tête de lecture sur le plan de la Timeline ; ouvrir le plan dans le Visualiseur et cliquer sur l’onglet Filtres. Pour modifier l’impact des filtres, il suffit de les réorganiser dans cet onglet. Pour cela, on clique sur le nom du filtre et on le fait glisser au-dessus ou en dessous d’un ou plusieurs autres. Pour désactiver un filtre, il faut décocher sa case. 3. En cliquant sur le nom du filtre puis en appuyant sur la touche Suppr. Pour supprimer tous les filtres vidéo, il faut cliquer sur Filtres vidéo de l’onglet Filtres du Visualiseur avant d’appuyer sur la touche Suppr. 4. Le filtre Étalonnage à 3 voies. 5. Le Visualiseur d’images. 6. Dans l’onglet Filtres. 7. On peut faire glisser le nom du filtre depuis l’onglet Filtres du Visualiseur sur un autre plan de la Timeline. Pour copier un filtre sur plusieurs plans en une seule opération, on Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 28sélectionne les clips en question avant de glisser-déposer le filtre. Enfin, on peut utiliser l’option Coller les attributs. 8. On peut : glisser-déposer le filtre depuis le Visualiseur jusqu’au dossier Favoris du Navigateur ; appuyer sur Option +F ; cliquer sur Effets > Ajouter aux effets favoris. 9. On place la tête de lecture où doit commencer ou se terminer la modification d’un filtre dans le temps. Ensuite, on clique sur le bouton de création d’une image clé du paramètre dont on veut faire évoluer la valeur sur une certaine durée. On place la tête de lecture où doit commencer ou se terminer la progression de l’effet, puis on modifie la valeur de ce paramètre. 10. Non, c’est le contraire. Le filtre situé en bas de la liste affecte tous les autres. Objectifs de la Leçon Quatorze À la fin de la leçon, "Finaliser et diffuser" dans Final Cut Pro 7, vous devez être en mesure d'effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants: • Détecter les pics audio • Régler les niveaux vidéo pour une télédiffusion • Partager des plans et des séquences • Exporter un film QuickTime • Exporter via la conversion QuickTime • Exporter une image fixe • Reporter sur bande une séquence sur vidéo • Incruster le timecode dans l’image • Sauvegarder un projet Leçon Quatorze: Révision Après avoir terminé la Leçon 14, vous devriez être en mesure de répondre aux questions suivantes. 1. Quelle est la méthode la plus efficace pour déceler les pics audio d’une séquence ? 2. Sous quelle forme la Timeline identifie-t-elle les pics audio ? 3. Comment pouvez-vous savoir qu’une image respecte les seuils de diffusion (normes) spécifiques à la télédiffusion ? 4. Comment pouvez-vous corriger un plan qui ne répond pas aux exigences de la télédiffusion ou de la vidéo projection ? 5. Quels sont les deux outils qui permettent de préparer l’audio et la vidéo au transfert d’une séquence sur bande ? Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 296. Quelle fonction d’exportation permet de publier rapidement une séquence sur YouTube ? 7. Qu’est-ce qu’un film QuickTime autonome ? 8. Quand utiliserez-vous l’option de conversion QuickTime pour exporter une séquence ? 9. Quelles sont les trois méthodes de transfert d’une séquence sur bande ? 10. Quelle commande d’exportation devez-vous utiliser pour créer une liste d’informations des plans? Réponses 1. Utiliser la fonction Pics audio du menu Marquer. 2. Un marqueur est affiché à chaque emplacement de la règle de la Timeline où se produit un pic audio. 3. En cliquant sur Présentation > Contrôle des niveaux > Excès de luminance, puis en parcourant la séquence pour identifier les plans se situant en dehors du seuil de diffusion. 4. En lui appliquant le filtre Seuil de diffusion. 5. Les outils Mélangeur audio et Instruments vidéo. 6. La fonction Partager, accessible depuis le menu Fichier. 7. Il s’agit d’un film qui reprend les réglages de la séquence montée dans Final Cut Pro. Il peut être lu sur n’importe quel ordinateur car il ne se réfère plus aux fichiers médias qui ont été utilisés pour en monter les différents plans. 8. Au moment del’export d’uneséquenceavec des paramètres différents de ceux utilisés pendant le montage. (Des réglages autres que ceux du projet d’origine.) 9. Il s’agit des méthodes Manuel, Transfert sur bande et Montage sur bande. 10. Liste de lot. Passer l'examen de certification Final Cut Pro 7 L'examen de certification doit être passé dans un Centre de formation agréé Apple (Apple Authorized Training Center - AATC) dans un environnement surveillé. Pour trouver l'AATC le plus proche, visitez training.apple.com/aatc. Beaucoup d'AATCs planifient des "Sessions de certification" (Exam Day) visibles sur training.apple.com/schedule. Quoi qu'il en soit, si vous ne trouvez pas de session programmée, vous pouvez contacter l'AATC qui dans la plupart des cas pourra en planifier une pour vous. Veuillez noter que tous les AATCs peuvent proposer tous les examens Mac OS X et Pro Apps même s'ils ne proposent pas les cours correspondants. L'examen de certification Final Cut Pro 7 est aussi proposé par les centres de test agréés Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 30Prometric (Prometric Testing Centers). Prometric ayant plus de 3000 sites dans le monde entier, cela vous permet d'avoir accès au test dans les meilleures conditions possibles et notamment dans les zones reculées. Questions fréquemment posées : Examen Prometric Visitez training.apple.com/certification/faq pour avoir accès à une liste des questions fréquemment posées. Si vous ne trouvez pas la réponse à votre question, envoyez-nous un email. Vous recevrez une réponse dans les deux jours ouvrés. Final Cut Pro 7 Niveau 1 : Guide de préparation à l'examen 31 Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 1 Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen Mis à jour en Mars 2010 Apple Inc. Logic Pro 9 Niveau 1 : Guide de préparation d'examen et pratique de l’examen Logic Pro Version 9 24 Mars 2010 Créé par le département Apple Training & Certification. Ce programme a été créé et est proposé par des personnes qui travaillent chez Apple. Nous, chez Apple, avons tenté de rendre les informations contenues dans ce livre de cours aussi précises et fiables que possible. Néanmoins, Apple décline toute responsabilité d'aucune sorte, expresse ou implicite, quant à toute question se rapportant à ce manuel, y compris, sans limitation, la qualité marchande ou d'adéquation à un usage particulier. Apple mettra à jour occasionnellement le logiciel décrit dans ce manuel et le manuel lui-même, et se réserve le droit de faire ces changements sans obligation de les notifier à l'acheteur. En aucun cas Apple ne sera responsable des dommages indirects, spéciaux, accessoires ou consécutifs découlant de l'achat ou de l'utilisation de ce manuel ou des informations contenues dans ce document. Ces ressources vous sont prêtées, et non vendues. Vous ne pouvez ni les vendre ni les transférer à toute autre personne. Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite, stockée dans un système de récupération, ou transmise sous quelque forme ou par quelque moyen, électronique, mécanique, photocopie, enregistrement ou autre, sans l'autorisation écrite préalable d'Apple. Copyright © 2010 Apple Inc. Tous droits réservés. Apple, le logo Apple, AirMac, AirPort, AirPort Extreme, Apple Cinema Display, AppleScript, AppleScript Studio, Apple Studio Display, AppleTalk, AppleWorks, Aqua, A/UX, Bonjour, Carbon, Cocoa, Color, ColorSync, the ColorSync logo, DVD Studio Pro, Exposé, FairPlay, FileVault, Final Cut Pro, Final Cut Server, Final Cut Studio, FireWire, the FireWire symbol, FontSync, HyperCard, iBook, iCal, iDVD, iLife, iMac, iMovie, Inkwell, iPhoto, iPod, iPod Hi-Fi, iPod Socks, iSight, iTunes, iTunes Music Store, Jam Pack, Keychain, Keynote, LiveType, Logic, Mac, the Mac logo, MacBook, Macintosh, Macintosh Products Guide, Mac OS, MagSafe, Pages, Panther, Pixlet, Quartz, QuickTime, the QuickTime logo, and Soundtrack Pro sont des marques d'Apple Inc., déposées aux États-Unis et dans d'autres pays. Next, Enterprise Objects, NetInfo, the Next Cube Logo, NextStep, Objective-C, OpenStep, and PDO sont des marques de NeXT Software, Inc., déposées aux ÉtatsUnis et dans d'autres pays. Mac OS X contient des logiciels développés par the University of California, Berkeley, FreeBSD, Inc., The NetBSD Foundation, Inc., et leurs contributeurs respectifs. Adobe, le logo Adobe, Acrobat, le logo Acrobat, Distiller, PostScript, et le logo PostScript sont des marques ou des marques déposées d'Adobe Systems Incorporated aux États-Unis et dans d'autres pays. Java et toutes les marques Java ainsi que les logos sont des marques ou des marques déposées de Sun Microsystems, Inc aux États-Unis et dans d'autres pays. Windows est une marque déposée de Microsoft Corporation. Les autres noms de produits et de sociétés mentionnés dans ce document sont des marques appartenant à leurs détenteurs respectifs. Toute mention de produits de tierce partie n’est qu’à titre informatif et ne constitue ni une approbation, ni une recommandation. Apple se dégage de toute responsabilité en ce qui concerne les performances ou l’usage de ces produits. Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 2Sommaire À propos de ce guide ......................................................................................................4 Les avantages de la certification Apple ...................................................................4 Préparation à l'examen ..................................................................................................5 Objectifs de la Leçon Une .............................................................................................7 Objectifs de la Leçon Deux ...........................................................................................8 Objectifs de la Leçon Trois ............................................................................................10 Objectifs de la Leçon Quatre .......................................................................................11 Objectifs de la Leçon Cinq ............................................................................................13 Objectifs de la Leçon Six ................................................................................................14 Objectifs de la Leçon Sept ............................................................................................16 Objectifs de la Leçon Huit .............................................................................................17 Objectifs de la Leçon Neuf ...........................................................................................18 Objectifs de la Leçon Dix ...............................................................................................20 Objectifs de la Leçon Onze ...........................................................................................21 Annexe A et B .....................................................................................................................22 Passer l’examen de certification Logic Pro 9 .........................................................22 Questions fréquemment posées: Examen Prometric .........................................22 Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 3À propos de ce guide Ce guide fournit toutes les informations dont vous avez besoin pour préparer l’examen Logic Pro 9 pour obtenir la certification pro Apple de niveau 1. La certification vous permet de vous distinguer comme un utilisateur qualifié de la suite logicielle Logic Studio. L’examen Logic Pro 9 (Examen Prometric no. 9L0-837) est un test assisté par ordinateur réservé aux centres de formation agréés Apple (AATCs) et en ligne aux individus éligibles qui ont un code promotionnel. Vous avez une heure et demie pour réaliser l'examen, qui consiste en 63 questions, à choix simple, à choix multiple, et avec des médias interactifs. Les questions sont basées sur les objectifs inscrits dans ce guide. Le score exigé pour réussir est de 80 %. Pour vous préparer à l'examen, parcourez les objectifs contenus dans ce guide pour déterminer les sections que vous devez réviser. La première source de référence pour l’examen est le manuel de la série Apple Pro Training Series “Logic Pro 9 et Logic Express 9” de David Nahmani (ISBN 978-2-7440-9304-3) traduit en français. Vous n’aurez accès à aucune ressource, manuels ou références pendant l'examen et vous ne pouvez pas avoir le logiciel ouvert pendant l'examen. Notez s'il vous plaît que bien que ce guide divise les objectifs en secteurs de connaissance, les questions sont présentées aléatoirement pendant l'examen. Les avantages de la certification Apple Les programmes de formation et de certification Apple sont conçus pour vous maintenir à la pointe de la technologie des médias numériques d’Apple. La certification crée un point de référence pour évaluer votre compétence dans une application pro Apple spécifique. En passant et réussissant l’examen vous obtenez le statut Apple Certified Pro (Professionnel Certifié Apple), qui vous permet de vous distinguer des collègues, des employeurs et des clients éventuels comme un utilisateur qualifié de l'application choisie. La certification vous donne un avantage concurrentiel dans le marché de l'emploi toujours en évolution. Qu'est-ce qu’un Apple Certified Pro? Un Apple Certified Pro est un utilisateur certifié qui a atteint le niveau de compétence le plus haut dans l'utilisation et l’exploitation des Applications Pro Apple et reconnu en tant que tel par Apple. Comment devenir un Apple Certified Pro ? Pour devenir Apple Certified Pro, vous devez réussir un examen en ligne administré par un centre de formation agréé Apple (Apple Authorized Training Center - AATC). La certification de niveau 1 reconnaît vos connaissances opérationnelles de base d'un logiciel. Les examens de niveau 1 sont administrés à la fin d’un cours spécifique dans les centres. Si vous préférez apprendre tout seul ou vous croyez avoir déjà la compétence nécessaire dans l’application de votre choix, vous pouvez vous enregistrer Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 4pour l’examen de niveau 1 dans un centre de formation agréé Apple pour un prix forfaitaire. La certification Apple Certified Pro Niveau 2 atteste d’une connaissance approfondie de l’application. Les examens de niveau 2 peuvent être passés seulement après avoir réussi la certification niveau 1. La participation a une formation est recommandée, mais pas obligatoire. La certification Logic Pro 9 Niveau 1 compte aussi pour la certification Logic Master Pro. La Certification Master reconnait vos compétences avec la suite entière du produit. Puisque le flux de travail est un composant important de Logic Studio, il est important que vous obteniez des certifications dans plusieurs applications de la suite logicielle. Quels sont les avantages d’être Apple Certified Pro ? En tant que Apple Certified Pro, vous serez identifié en tant qu'utilisateur compétent pour l'application choisie. Ceci vous permet de vous différencier des employeurs et de vos collègues, en tant que professionnel certifié pour favoriser la croissance de votre carrière. Vous recevrez un certificat d’Apple vous distinguant comme Apple Certified Pro et vous aurez le droit d'utiliser le logo Apple Certified Pro sur vos cartes de visite ou site Web professionnel. Cela vous permettra de tirer parti de la force de la marque Apple. Après avoir réussi à l’examen de certification, vous recevrez un email avec un certificat au format PDF, ainsi que les instructions vous permettant de commander une version imprimée et/ou encadrée. L’email contient des liens vers LinkedIn, Facebook et Twitter afin de vous permettre de communiquer facilement sur vos nouvelles certifications sur ces sites de réseaux sociaux. Vous recevrez aussi les instructions pour vous enregistrer dans l’Apple Certification Records System, ou vous pourrez: • Mettre à jour votre profile et choisir d’afficher vos certifications Apple sur l’Apple Certified Professionals Registry. • Revoir la progression de vos certifications. • Télécharger vos logos de certifications pour utiliser sur vos cartes de visite, sites web, etc. • Fournir l'accès aux employeurs pour vérifier vos certifications. • Accéder à une multitude de ressources. Préparation à l'examen Les trois points clés de la préparation à l’examen de certification sont l’expérience avec l’application, la révision des supports de cours appropriés — incluant le manuel Apple Pro Training Series et, l’étude de ce Guide de Préparation à l’Examen. Regardez dans les sections suivantes les objectifs du programme d'études. Les ressources suivantes peuvent aussi vous aider à vous préparer à votre examen de certification, ainsi qu’élargir vos connaissances générales : Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 5 Pour vous aider à vous préparer à l'examen réel de certification, vous pouvez passer en revue les tutoriels.  Passez en revue les sections appropriées du Manuel de l'utilisateur Logic Pro. La documentation complète pour Logic Studio est disponible sur documentation.apple.com. C’est gratuit et entièrement consultable. Vous pouvez aussi démarrer la documentation de Logic Pro en choisissant Aide > Aide Logic Pro quand Logic Pro est lancé. Les informations sur les nouvelles fonctionnalités sont disponibles en choisissant Aide > Nouvelles fonctionnalités quand Logic Pro est lancé.  Beaucoup de ressources en ligne vous permettent de poser des questions et d’apprendre des trucs et astuces. Pour avoir accès à ces documents, laux forums de discussion et autres matériels en ligne, visitez http://www.apple.com/fr/logicstudio/resources/.  Pour plus d’information sur le programme Apple Pro Training, visitez training.apple.com/.  Pour fournir des commentaires et des retours d'information à Apple à propos de Logic Pro, visitez http://www.apple.com/feedback/ logicpro.html.  Lisez les toutes dernières nouvelles à www.apple.com/fr/support/ manuals/.  Beaucoup de fabricants tiers créent la référence, intervenant pour régler un problème et/ou des DVDs de travaux dirigés allant du novice à l'utilisateur chevronné. Une recherche Internet rapide vous fournira des douzaines d'options.  Si vous avez des questions, vous pouvez les poster à Logic Pro Discussion Forum, qui est hébergé par Apple. Réviser le programme Apple Pro Training Series Le manuel Apple Pro Training Series “Logic Pro 9 et Logic Express 9” de David Nahmani (ISBN 978-2-7440-9304-3) traduit en français, fait partie de la collection officielle de formation et est conçu pour vous préparer à passer l'examen de certification. La lecture du manuel est la première chose à faire pour vous préparer à passer l'examen de certification. Cependant, si vous êtes autodidactes ou avez suivi des cours qui n'utilisent pas le programme Apple Pro Training Series, vous pouvez toujours vous préparer à l'examen de certification en vérifiant que vous soyez à même d'accomplir toutes les tâches qui sont décrites dans les sections suivantes. Vous devez aussi vous assurer que vous pouvez répondre à toutes les questions de révision de chaque section. Les questions de révision et les réponses sont présentées ci-dessous. De plus, si vous n'avez pas lu “Logic Pro 9 et Logic Express 9”, nous vous suggérons de lire les chapitres correspondants dans le Manuel de l'utilisateur Logic Pro 9. Notez s'il vous plaît que bien que ce guide divise les objectifs en leçons ou sections de connaissance, les questions sont présentées aléatoirement pendant l'examen. Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 6Objectifs de la Leçon Une A la fin de la Leçon Une, « Construire une chanson » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Naviguer, préécouter et utiliser une boucle • Éditer des régions et créer un arrangement • Naviguer et zoomer dans la zone d’arrangement • Utiliser des effets et des instruments logiciels • Mixer et exporter au format MP3 Leçon Une : Révision Après avoir terminé la Leçon Une, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Combien de zones y a-t-il dans la fenêtre Arrangement, et quels sont leurs noms ? 2. Lorsque le même raccourci clavier peut être utilisé dans différentes zones, comment reconnaissez-vous celle qui répondra au raccourci clavier ? 3. Quelles sont les deux façons de régler un paramètre (comme le tempo) dans Logic ? 4. Quels types de régions vont sur les pistes d’instruments logiciels et les pistes audio ? 5. Quelles sont les unités affichées dans l’étiquette d’information indiquant une longueur ou une position dans le projet ? 6. Comment pouvez-vous déplacer ou copier une région dans la zone d’arrangement ? 7. Dans quel ordre les tranches de console sont-elles affichées dans la table de mixage ? 8. Qu’est-ce qu’un réglage de tranche de console ? 9. Quelles sont les étapes à suivre pour exporter les mix ? Réponses 1. Il existe six zones dans la fenêtre Arrangement : zone d’arrangement, zone d’édition, zone Média ou Listes, l’inspecteur, la barre d’outils et la barre de transport. 2. C’est le secteur qui a la cible de saisie (ou key focus), matérialisée par un cadre blanc. 3. Soit faire glisser une valeur de haut en bas pour augmenter ou diminuer, soit double-cliquer dessus pour accéder à un Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 7champ de données dans lequel on entre directement une nouvelle valeur. 4. Les régions MIDI vont sur les pistes d’instruments logiciels ; les régions audio vont sur les pistes audio. 5. Des mesures, des temps, des frames et des subframes. 6. On déplace une région en la faisant glisser ; on la copie en la faisant glisser tout en appuyant sur Alt. 7. L’ordre d’affichage des tranches de console, de gauche à droite, est le même que celui dans lequel elles apparaissent de haut en bas dans la zone d’arrangement. 8. La collection de tous les modules sur une tranche de console, y compris chaque réglage de module. 9. Ajuster la longueur du projet, décocher toutes les régions, désactiver le mode Cycle, choisir Fichier > Bounce, puis un nom et une destination, et enfin cliquer sur Bounce. Objectifs de la Leçon Deux A la fin de la Leçon Deux, « Enregistrement Audio » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Choisir les réglages audio numériques • Enregistrer des pistes audio seules et en multipiste • Enregistrer des prises additionnelles • Enregistrer en mode Cycle • Enregistrer en mode Punch à la volée et automatiquement • Ajuster le précompte, le métronome et d’autres paramètres Leçon Deux : Révision Après avoir terminé la Leçon Deux, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Quels paramètres influent sur la qualité d’un enregistrement audio numérique ? 2. Où pouvez-vous ajuster ces réglages ? 3. Comment pouvez-vous enregistrer sur une ou plusieurs pistes ? 4. Comment pouvez-vous enregistrer des prises additionnelles ? 5. Qu’est-ce qui se passe lorsque vous enregistrez en mode Cycle ? 6. Comment utiliser Enregistrement à la volée ? 7. Comment utiliser la fonction Autopunch ? Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 88. Où pouvez-vous régler la taille Buffer E/S ? 9. Comment choisissez-vous les meilleures tailles de buffer E/S ? 10. Où pouvez-vous régler le type de fichier enregistré ? 11. Où pouvez-vous régler le décompte ? 12. Où pouvez-vous régler les réglages du métronome ? 13. Comment pouvez-vous rapidement avoir accès aux réglages de l’enregistrement et du métronome ? 14. Comment peut-on cacher des pistes ? Réponses 1. La fréquence d’échantillonnage et la profondeur de bit. 2. On peut ajuster la fréquence d’échantillonnage dans Fichier > Réglages projet > Audio et la profondeur de bits dans Préférences > Audio > Appareils > Core Audio. 3. En armant une ou plusieurs pistes et en cliquant sur le bouton Enregistrer dans la barre de transport. 4. En enregistrant par-dessus une région audio existante. 5. De nouvelles prises sont enregistrées pour chaque passage de cycle, et toutes les prises sont placées dans un dossier de prises. 6. Il faut activer cette option (Options > Audio > Enregistrement à la volée), lancer la lecture et appuyer sur la touche de commande bascule à l’enregistrement (Maj+*) pour faire un punch in et out. 7. Dans la barre de transport, on clique sur le bouton Autopunch, puis on ajuste la longueur d’Auto-punch dans la règle de mesure avant de cliquer sur le bouton Enregistrer. 8. Dans Préférences > Audio > Appareils > Core Audio. 9. On choisit une taille de buffer E/S basse lors de l’enregistrement (pour moins de latence), et une taille haute lors du mixage (pour plus de puissance de traitement CPU). 10. Dans l’onglet Général des Préférences Audio. 11. Dans la barre d’outils, en cliquant sur le bouton Réglages puis en choisissant Enregistrer. 12. Dans la barre d’outils, en cliquant sur le bouton Réglages, puis en choisissant Métronome. 13. En cliquant et maintenant sur les boutons Enregistrement ou Métronome dans la barre de transport ou en cliquant dessus tout en appuyant sur Ctrl. 14. En haut à gauche de la zone Arrangement, on clique sur le bouton Masquer à la vue, puis on clique sur le bouton Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 9Masquer de l’en-tête de chaque piste à cacher, avant de cliquer de nouveau sur le bouton Masquer à la vue. Objectifs de la Leçon Trois A la fin de la Leçon Trois, « Montage Audio » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Créer une composite à partir de prises multiples • Attribuer les outils Clic gauche et Command-clic • Éditer des régions dans la zone d’arrangement • Appliquer des fondus et des fondus enchaînés • Importer des fichiers audio • Quantifier des régions audio • Déplacer des notes individuelles à l’intérieur d’une région à l’aide de l’outil Flex • Éditer l’audio de manière destructive dans l’éditeur d’échantillon • Positionner des régions audio dans la zone d’arrangement Leçon Trois : Révision Après avoir terminé la Leçon Trois, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Comment pouvez-vous ouvrir un dossier de prises ? 2. Comment préécoutez-vous une prise ? 3. Comment faites-vous une composite de prises ? 4. Comment pouvez-vous voir le résultat de votre composite sous la forme d’une région ? 5. Comment peut-on attribuer l’outil Clic gauche ? 6. Comment peut-on attribuer l’outil Command-clic ? 7. Comment pouvez-vous ajouter un fondu entrant ou un fondu de sortie à une région ? 8. Comment faites-vous des fondus enchaînés entre deux régions ? 9. Comment peut-on importer un fichier audio dans un projet ? 10. Comment pouvez-vous sélectionner une partie d’une région audio ? 11. Lorsque vous choisissez dans le chutier audio Édition > Sélectionner inutilisés, quels fichiers sont sélectionnés ? 12. Qu’est-ce que vous devez faire avant de quantifier une région audio ? Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 1013. Quel outil permet de déplacer une note individuelle à l’intérieur d’une région audio, sans modifier la région ? 14. De quelle nature est l’édition audio que vous pouvez faire dans l’éditeur d’échantillons ? 15. Qu’est-ce que l’ancre ? Réponses 1. En double-cliquant dessus. 2. On clique sur la prise : elle est mise en valeur et jouée tandis que les autres sont rendues muettes. 3. Il faut ouvrir le dossier de prises et glisser sur chaque prise pour mettre en valeur les sections souhaitées. Le dossier de prises assemble une composite comprenant l’ensemble des prises mises en valeur. 4. À partir du menu du dossier de prises, en choisissant Mettre sur un seul niveau. 5. À partir du menu d’outils Clic gauche, on choisit un outil ou on appuie sur Esc pour choisir. 6. Dans le menu d’outils Command-clic, on choisit un outil ou on appuie sur Esc puis on clique sur l’outil en appuyant sur Cmd. 7. En faisant glisser l’outil Fondu sur les extrémités d’une région (ou en appuyant sur Maj+Ctrl et en faisant glisser l’outil Pointeur). 8. En faisant glisser l’outil Fondu au-dessus de la jonction des deux régions (ou en appuyant sur Maj+Ctrl et en faisant glisser l’outil Pointeur). 9. On peut le rechercher et le visualiser dans le navigateur de fichier puis le faire glisser dans la zone d’arrangement. 10. Avec l’outil Sélection. 11. Il s’agit de tous les fichiers audio et des régions qui ne sont pas actuellement utilisés dans la zone d’arrangement. 12. Il faut d’abord sélectionner un mode Flex dans la boîte des paramètres de piste. 13. L’outil Flex. 14. Destructive. 15. L’ancre est un point dans une région audio, utilisé pour la positionner sur la grille dans la zone d’arrangement. Objectifs de la Leçon Quatre A la fin de la Leçon Quatre, « Enregistrement Midi » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 11le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Enregistrer en MIDI • Quantifier des enregistrements MIDI • Fusionner un enregistrement MIDI avec une région existante MIDI • Enregistrer en MIDI en dossiers de prises • Enregistrer en mode Punch un enregistrement MIDI • Capturer un jeu comme un enregistrement • Enregistrer en MIDI en utilisant le mode d’entrée pas à pas • Filtrer les événements MIDI entrants Leçon Quatre : Révision Après avoir terminé la Leçon Quatre, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Comment Logic route les événements MIDI entrants ? 2. Comment pouvez-vous corriger le calage dans le temps d’une région MIDI ? 3. Comment choisissez-vous la quantification des paramètres par défaut pour de nouveaux enregistrements MIDI ? 4. Comment pouvez-vous enregistrer des prises MIDI ? 5. Qu’est-ce que vous devez faire avant de faire un punch sur une piste MIDI afin de remplacer une partie d’une région MIDI ? 6. Comment pouvez-vous activer le mode Entrée pas à pas ? 7. Identifiez deux façons qui permettent d’ajuster la longueur de pas lors de l’enregistrement en mode Entrée pas à pas. Réponses 1. Tous les événements MIDI entrants sont routés vers la piste d’enregistrement activée. 2. Dans la boîte des paramètres de l’inspecteur Régions, il faut sélectionner une valeur de résolution de la grille du menu Quantification. Les notes MIDI dans la région seront ramenées à la position la plus proche sur la grille choisie. 3. En désélectionnant toutes les régions puis en définissant les paramètres de la région MIDI Thru. 4. Il faut ouvrir les paramètres du projet d’enregistrement et dans la zone MIDI, dans le menu Enregistrements se superposant, choisir Créer des dossiers de prises avant d’enregistrer sur un enregistrement existant ou d’enregistrer en mode Cycle. 5. Activer le mode Remplacer. Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 126. En cliquant sur le bouton MIDI dans l’éditeur Clavier, sur l’éditeur de partitions ou sur la liste des événements. 7. Dans la barre des Transports, régler le paramètre de division, ou ouvrir le clavier d’entrée pas à pas et cliquer sur le bouton Tenir la note (s) insérée. Objectifs de la Leçon Cinq A la fin de la Leçon Cinq, « Programmation et Edition Midi » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Importer un fichier MIDI dans un projet • Insérer et éditer des notes MIDI dans l’éditeur Clavier et l’éditeur Partition • Quantifier des notes individuellement et les rendre muettes • Modifier la vélocité et la hauteur d’une note à partir d’un clavier MIDI • Dessiner et modifier avec les contrôleurs continus MIDI d’automation à l’aide d’Hyper Draw et d’Hyper Editor • Nettoyer des régions MIDI sur la liste d’événements Leçon Cinq : Révision Après avoir terminé la Leçon Cinq, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Dans l’éditeur Clavier, que pouvez-vous faire avec l’outil Crayon ? 2. Que fait le bouton MIDI de sortie ? 3. Pouvez-vous quantifier les notes individuelles ? Comment ? 4. Comment peut-on modifier les notes avec un clavier MIDI ? 5. Comment peut-on modifier les événements de contrôleur continu MIDI dans l’éditeur Clavier ou l’éditeur Partition ? 6. Comment pouvez-vous ajouter des nœuds dans l’Hyper Draw ? 7. Comment faites-vous une courbe de ligne dans l’Hyper Draw ? 8. Comment pouvez-vous utiliser l’outil Ligne dans l’Hyper Draw (lors de l’édition des vélocités) ou dans l’Hyper Editor ? 9. Comment sélectionnez-vous l’automation dans l’Hyper Draw ? 10. Comment pouvez-vous changer la résolution de la grille d’une définition d’événement ? 11. Comment pouvez-vous dessiner l’automation dans l’Hyper Editor ? Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 1312. Comment pouvez-vous masquer un type d’événement de la liste d’événements ? Réponses 1. L’outil Crayon sert à insérer, redimensionner, supprimer, déplacer et copier des notes. 2. Lorsque le bouton MIDI de sortie est activé, les notes MIDI sont déclenchées lorsqu’on les modifie. 3. Oui. Il faut cliquer sur la note avec l’outil Quantification et choisir un réglage dans le menu déroulant. 4. En double-cliquant sur le bouton MIDI d’entrée en haut de l’éditeur MIDI, puis en sélectionnant la note à modifier et, enfin, en jouant une note sur le clavier MIDI. 5. En cliquant sur le bouton Hyper Draw en bas à gauche des éditeurs. 6. On peut : cliquer dans la zone Hyper Draw ; maintenir le bouton de la souris afin d’afficher une étiquette d’information, puis faire glisser le nœud à sa position tout en vérifiant les données dans l’étiquette. 7. Appuyer sur Ctrl+Maj tout en faisant glisser la ligne. 8. Il faut cliquer et faire glisser pour trouver la position du départ de la ligne, relâcher, trouver la position de la fin de la ligne et cliquer pour terminer la ligne. 9. On appuie sur Maj tout en faisant glisser vers les nœuds souhaités. 10. Dans l’inspecteur, dans la boîte de définition des paramètres, en réglant les paramètres de la grille. 11. Avec l’outil Crayon ou l’outil Ligne. 12. Quand le bouton de filtre est activé, cliquer sur un bouton de type événement filtre les événements correspondants. Objectifs de la Leçon Six A la fin de la Leçon Six, « Programmation de batterie » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Programmer un motif de batterie dans Ultrabeat • Ajouter des accents rythmiques • Créer des roulements de tambour • Convertir une boucle audio de batterie en instrument échantillonneur Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 14Leçon Six : Révision Après avoir terminé la Leçon Six, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Nommez les trois principales sections de l’interface d’Ultrabeat. 2. Quels sons, dans Ultrabeat, sont déclenchés par des notes MIDI et lesquelles ? 3. Comment pouvez-vous insérer une note sur chaque temps fort ? 4. Comment pouvez-vous ajouter des accents à un motif ? 5. Comment pouvez-vous ajouter des accents à des positions différentes pour les différents sons de batterie ? 6. Dans Ultrabeat, comment pouvez-vous randomiser les vélocités des notes d’un son ? 7. Comment pouvez-vous afficher un pattern Ultrabeat comme une région MIDI dans la zone d’arrangement ? 8. Dans l’éditeur Clavier, comment pouvez-vous désélectionner une seule note d’une sélection multiple ? 9. Quel est le meilleur éditeur pour la création d’un roulement de caisse claire ? 10. Comment pouvez-vous créer un Hyper Set personnalisé contenant les définitions d’événements seulement pour les notes existantes dans la région ? 11. Comment pouvez-vous convertir une région audio en un instrument échantillonneur ? Réponses 1. Les sections d’assignation et de synthèse, et le séquenceur pas-à-pas. 2. Les notes C1-B2 jouent les 24 sons de batterie ; C3 et audessus jouent le son de basse chromatiquement. 3. Cliquer sur la grille en appuyant sur Ctrl, en mode Full View, et choisir à partir du menu déroulant Add Every Downbeat. 4. En sélectionnant les pas dans la rangée d’accents. 5. On ne le peut pas. Les positions des accents sont les mêmes pour tous les sons. On peut activer/ désactiver les accents sur des sons individuels en utilisant le bouton Accent. 6. En cliquant sur le séquenceur pas à pas tout en appuyant sur Ctrl et, dans le menu déroulant, en choisissant Alter Vel. 7. En faisant glisser le bouton Pattern dans la zone d’arrangement. 8. En cliquant sur la note tout en appuyant sur Maj. Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 159. L’Hyper Editor. 10. Il faut s’assurer que toutes les notes sont désélectionnées dans la région et depuis le menu Hyper Set, choisir Créer un Hyper Set pour les événements actifs. 11. Sélection de la région audio et puis choisir Audio > Convertir les régions en une nouvelle piste échantillonneur. Objectifs de la Leçon Sept A la fin de la Leçon Sept, « Manipulation du tempo et étirement temporel » vous devriez pouvoir terminer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Faire correspondre le tempo du projet à celui d’une région audio • Utiliser le navigateur de boucles • Créer des boucles Apple Loops • Créer une région audio suivant le tempo du projet • Insérer des changements et des courbes de tempo • Étirer temporellement une région audio pour la faire correspondre au tempo du projet • Utiliser les effets Varispeed • Appliquer des effets d’accélération ou de ralentissement de platine vinyle ou de bande magnétique • Étirer une seule note sur la forme d’onde avec l’outil Flex Leçon Sept : Révision Après avoir terminé la Leçon Sept, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Comment pouvez-vous changer de tonalité dans un projet ? 2. Comment pouvez-vous faire correspondre le tempo du projet à celui d’un fichier audio ? 3. Comment pouvez-vous faire correspondre une région audio au tempo du projet ? 4. Comment pouvez-vous insérer des changements de tempo ? 5. Quels types de régions suivront toujours la carte de tempo du projet ? 6. Comment pouvez-vous créer un fichier de boucles Apple Loops à partir d’une région ? 7. Que sont les boucles Apple Loops ? Décrire les différences entre les boucles bleues et les boucles vertes. 8. Comment appliquez-vous un fondu de vitesse sur une région audio ? Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 16Réponses 1. Il faut ouvrir Pistes globales et double-cliquer sur la clé de la rubrique Altération avant de choisir une nouvelle tonalité dans la fenêtre Armature. 2. En sélectionnant la région et en choisissant Options > Tempo > Ajuster le tempo par détection des battements. 3. Dans la boîte des paramètres de l’inspecteur de piste, on sélectionne un mode Flex. 4. Dans la piste Tempo globale, en double-cliquant sur ou en dessous du seuil de tempo. 5. Les régions MIDI, les boucles Apple Loops, les régions audio avec un mode Flex sélectionné. 6. En faisant glisser la région depuis le navigateur de boucles. 7. Les boucles Apple Loops sont des fichiers audio AIFF ou CAF qui s’adaptent automatiquement au tempo du projet et à la clé. Contrairement aux boucles Apple Loops bleues, les boucles Apple Loops vertes contiennent également la région MIDI et les réglages de la tranche de console de l’instrument virtuel utilisé pour les créer. Elles peuvent être utilisées sur les pistes d’instruments logiciels. 8. On applique un fondu entrant ou un fondu sortant et, dans les paramètres de région, on définit l’accélération (fondu entrant) ou le ralentissement (fondu sortant). Objectifs de la Leçon Huit A la fin de la Leçon Huit, « Arranger et préparer pour le mixage » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Expérimenter l’ordre des régions en mode Shuffle • Compacter des régions dans un dossier • Couper et insérer des sections dans un projet • Diviser une région en plusieurs tranches • Nettoyer les enregistrements bruyants avec Logic et Soundtrack Pro Leçon 8 : Révision Après avoir terminé la Leçon 8, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Comment activez-vous le mode Solo ? 2. Comment échangez-vous les positions des régions ? 3. Comment compactez-vous des régions dans un dossier ? 4. Comment ouvrez-vous et fermez-vous un dossier ? Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 175. Comment faites-vous une tranche de région dans les régions de même longueur ? 6. Comment insérez-vous une nouvelle section dans un projet ? 7. Comment sautez-vous une section lors de la lecture d’un projet ? 8. Comment supprimez-vous les bruits de fond sur une piste ? Réponses 1. En cliquant sur le bouton Solo dans la barre de transport (ou en appuyant sur la touche S), puis en sélectionnant une région. 2. En haut à droite de la zone d’arrangement, en choisissant dans le menu Glissement l’un des modes de lecture aléatoire, puis en faisant glisser une région sur une autre. 3. Il faut sélectionner les régions à compacter puis aller dans Région > Dossier > Compacter un dossier (Cmd+Maj+F). 4. D’un double-clic dessus pour l’ouvrir ; d’un double-clic sur le fond de la zone d’arrangement, ou d’un clic sur le bouton Conserver le dossier, pour le fermer. 5. Il suffit d’appuyer sur la touche Alt lorsqu’on coupe la première tranche avec l’outil Ciseaux. 6. Il faut ajuster la zone de cycle afin d’identifier la longueur et la position de la section à insérer puis, depuis le menu local de la zone d’arrangement, choisir Édition > Couper / Insérer temps > Insérer un silence entre les locators. 7. On crée un saut de zone de cycle en faisant glisser la moitié supérieure de la règle de mesure de la droite vers la gauche. 8. Avec l’éliminateur de silence, pour supprimer toutes les portions d’une région qui tombent en dessous du seuil de volume spécifique ; avec le module Denoiser, pour réduire le niveau de bruit d’une piste. Objectifs de la Leçon Neuf A la fin de la Leçon Neuf, « Le mixage » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Naviguer dans la table de mixage et utiliser des modules d’effets • Régler les niveaux de volume et utiliser des groupes • Ajuster les positions des panoramiques • Filtrer les fréquences avec le module Channel EQ • Utiliser les envois auxiliaires et les auxiliaires des tranches de console • Ajouter de la profondeur avec des modules Delay et Reverb Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 18Leçon Neuf : Révision Après avoir terminé la Leçon Neuf, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Identifiez les quatre principales composantes d’instruments sonores à régler pour donner à chaque instrument sa place dans un mix. 2. Dans quel but utilise-t-on un départ auxiliaire ? 3. Comment faire pour relier temporairement les paramètres de plusieurs tranches de console ? 4. Comment faire pour relier en permanence les paramètres de plusieurs tranches de console ? 5. Comment pouvez-vous régler le niveau d’une tranche de console individuelle attribuée à un groupe ? 6. Où est positionné un départ auxiliaire dans le traitement du signal d’une tranche de console ? 7. Que fait un compresseur ? 8. Que fait un limiteur ? 9. Comment pouvez-vous choisir la tranche de console affichée dans la tranche de console sur la droite de la zone d’arrangement ? 10. Comment pouvez-vous changer le statut Mono ou Stéréo d’une tranche de console ? Réponses 1. Les niveaux de Volume et de Panoramique, le spectre de fréquence et la profondeur. 2. Afin d’acheminer une partie du signal à partir d’une tranche de console vers une autre tranche de console, généralement pour qu’elle soit traitée par des modules. 3. Il faut sélectionner plusieurs tranches de console dans la table de mixage pour lier temporairement leurs paramètres. 4. En utilisant les groupes : on clique sur l’emplacement de groupe sur une tranche de console pour choisir le groupe à assigner. 5. Il suffit de choisir Options > Saisie groupe pour activer/ désactiver les groupes. 6. Par défaut, un départ auxiliaire est placé après le potentiomètre Volume, mais avant Panoramique. 7. Il atténue le niveau d’un signal qui est passé par le Treshold, ce qui lui donne un niveau plus homogène. Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 198. Il fonctionne de façon analogue à un compresseur, mais il s’assure que le signal est atténué, qu’il ne va jamais au-dessus d’un certain niveau de sortie. 9. Sur la tranche de console de gauche, il faut cliquer sur un logement d’insertion ou le logement d’insertion sortie pour afficher sur la droite la tranche de console correspondante. 10. Cliquez sur le bouton Format en dessous du compteur. Objectifs de la Leçon Dix A la fin de la Leçon Dix, « Automation du mixage et utilisation des surfaces de contrôle » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Modifier une automation offline • Enregistrer une automation en direct • Enregistrer une automation en direct en utilisant une surface de contrôle • Exporter le mixage final Leçon Dix : Révision Après avoir terminé la Leçon 10, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Comment pouvez-vous afficher seulement la piste d’automation sur la piste en cours ? 2. Décrire les étapes nécessaires pour enregistrer l’automation en direct. 3. Comparer les similitudes et les différences des modes Touch et Latch. 4. Lorsque vous utilisez l’automation par accès rapide, combien de paramètres pouvez-vous contrôler, et combien de boutons de contrôle pouvez-vous utiliser ? Réponses 1. Dans la barre d’outils, on clique sur Zoom automatique, pour agrandir automatiquement la piste sélectionnée à la verticale, puis sur Automation, pour afficher la piste d’automation sélectionnée. 2. Il faut choisir le mode d’automation désiré (Touch, Latch ou Write) puis lancer la lecture et ajuster les paramètres. 3. Dans les deux modes, l’enregistrement d’automation commence lorsqu’on touche d’abord un potentiomètre de contrôle ou un bouton (ou si on clique et maintient sur un potentiomètre ou un bouton de l’interface). Lorsqu’on relâche le bouton du contrôleur (ou de la souris), le mode Touch Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 20retourne l’automation à la valeur d’origine du paramètre ou de l’automation existante sur la piste, tandis que le mode Latch continue d’enregistrer au niveau des paramètres actuels. 4. On ne peut utiliser qu’un seul bouton de commande et ne contrôler qu’un seul paramètre à la fois, mais on choisit facilement le paramètre en affichant les pistes d’automation sélectionnées. Objectifs de la Leçon Onze A la fin de la Leçon Onze, « Dépannage et optimisation » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Apprendre de bonnes pratiques de sauvegarde • Comprendre les principes de dépannage • Découvrir les étapes du dépannage de base Leçon Onze : Révision Après avoir terminé la Leçon Onze, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Quand les sauvegardes automatiques sont-elles créées et où sont-elles sauvegardées ? 2. Comment faire pour que Logic produise un signal audio, lors de problème avec la sortie audio ? 3. Lorsque vous avez atteint les limites du CPU, comment pouvez-vous réduire rapidement sa charge ? 4. Comment pouvez-vous éviter d’atteindre les limites de la bande passante de votre disque dur ? 5. Quand un fichier de projet ne reçoit pas les événements MIDI entrants, alors qu’ils sont reçus dans d’autres fichiers de projet, que devez-vous faire ? 6. Comment pouvez-vous déterminer si votre interface audio est à l’origine d’un problème de lecture ? Réponses 1. Chaque fois qu’un fichier de projet est enregistré, Logic déplace le fichier précédemment enregistré dans un dossier de sauvegarde à l’intérieur du dossier du projet. 2. Faire un aperçu d’un fichier à partir de boucles Apple Loops depuis le navigateur de boucles. 3. En bloquant les pistes qui ont une consommation CPU importante. Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 214. En débloquant les pistes, en “sous mixant” plusieurs pistes ensemble ou en chargeant des régions audio dans la RAM en utilisant Suivre le tempo. 5. Ouvrir la fenêtre Environnement de ce fichier de projet et vérifier les paramètres de câblage par défaut dans le calque Click & Ports. 6. Il faut désactiver l’interface audio externe en jouant un projet par le biais de l’interface audio intégrée du Mac. Si le projet est lu correctement, le problème réside probablement dans l’interface audio externe. Annexe A et B “Logic Pro 9 et Logic Express 9” inclut 11 leçons plus 2 annexes. Cependant, seulement les leçons 1 à 11 sont incluses dans l'examen de niveau 1. Veuillez noter que si vous êtes formateur certifié Apple, toutes les leçons sont incluses dans l'examen de formateur. Passer l’examen de certification Logic Pro 9 L’examen de certification Logic Pro 9 Niveau 1 doit être passé dans un centre de formation agréé Apple (AATC) dans une configuration surveillée. Pour trouver l'AATC le plus proche, regardez sur training.apple.com/aatc. Beaucoup d’AATCs planifient des Sessions d’Examen sur training.apple.com/schedule. Si vous ne voyez pas une session programmée, vous pouvez entrer en contact avec l'AATC concerné et ils en planifieront une pour vous. Veuillez noter que tous les AATCS peuvent offrir tous les examens Mac OS X et Pro Apps, même s’ils n'offrent pas le cours correspondant. Questions fréquemment posées: Examen Prometric Visitez training.apple.com/certification/faq pour obtenir une liste des questions fréquemment posées. Si vous ne trouvez pas la réponse à votre question, envoyez-nous un email. Veuillez accorder au moins un délai de deux jours travaillé pour une réponse. Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 22 Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 1 Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen Mis à jour en Mars 2010 Apple Inc. Logic Pro 9 Niveau 1 : Guide de préparation d'examen et pratique de l’examen Logic Pro Version 9 24 Mars 2010 Créé par le département Apple Training & Certification. Ce programme a été créé et est proposé par des personnes qui travaillent chez Apple. Nous, chez Apple, avons tenté de rendre les informations contenues dans ce livre de cours aussi précises et fiables que possible. Néanmoins, Apple décline toute responsabilité d'aucune sorte, expresse ou implicite, quant à toute question se rapportant à ce manuel, y compris, sans limitation, la qualité marchande ou d'adéquation à un usage particulier. Apple mettra à jour occasionnellement le logiciel décrit dans ce manuel et le manuel lui-même, et se réserve le droit de faire ces changements sans obligation de les notifier à l'acheteur. En aucun cas Apple ne sera responsable des dommages indirects, spéciaux, accessoires ou consécutifs découlant de l'achat ou de l'utilisation de ce manuel ou des informations contenues dans ce document. Ces ressources vous sont prêtées, et non vendues. Vous ne pouvez ni les vendre ni les transférer à toute autre personne. 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Mac OS X contient des logiciels développés par the University of California, Berkeley, FreeBSD, Inc., The NetBSD Foundation, Inc., et leurs contributeurs respectifs. Adobe, le logo Adobe, Acrobat, le logo Acrobat, Distiller, PostScript, et le logo PostScript sont des marques ou des marques déposées d'Adobe Systems Incorporated aux États-Unis et dans d'autres pays. Java et toutes les marques Java ainsi que les logos sont des marques ou des marques déposées de Sun Microsystems, Inc aux États-Unis et dans d'autres pays. Windows est une marque déposée de Microsoft Corporation. Les autres noms de produits et de sociétés mentionnés dans ce document sont des marques appartenant à leurs détenteurs respectifs. Toute mention de produits de tierce partie n’est qu’à titre informatif et ne constitue ni une approbation, ni une recommandation. Apple se dégage de toute responsabilité en ce qui concerne les performances ou l’usage de ces produits. Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 2Sommaire À propos de ce guide ......................................................................................................4 Les avantages de la certification Apple ...................................................................4 Préparation à l'examen ..................................................................................................5 Objectifs de la Leçon Une .............................................................................................7 Objectifs de la Leçon Deux ...........................................................................................8 Objectifs de la Leçon Trois ............................................................................................10 Objectifs de la Leçon Quatre .......................................................................................11 Objectifs de la Leçon Cinq ............................................................................................13 Objectifs de la Leçon Six ................................................................................................14 Objectifs de la Leçon Sept ............................................................................................16 Objectifs de la Leçon Huit .............................................................................................17 Objectifs de la Leçon Neuf ...........................................................................................18 Objectifs de la Leçon Dix ...............................................................................................20 Objectifs de la Leçon Onze ...........................................................................................21 Annexe A et B .....................................................................................................................22 Passer l’examen de certification Logic Pro 9 .........................................................22 Questions fréquemment posées: Examen Prometric .........................................22 Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 3À propos de ce guide Ce guide fournit toutes les informations dont vous avez besoin pour préparer l’examen Logic Pro 9 pour obtenir la certification pro Apple de niveau 1. La certification vous permet de vous distinguer comme un utilisateur qualifié de la suite logicielle Logic Studio. L’examen Logic Pro 9 (Examen Prometric no. 9L0-837) est un test assisté par ordinateur réservé aux centres de formation agréés Apple (AATCs) et en ligne aux individus éligibles qui ont un code promotionnel. Vous avez une heure et demie pour réaliser l'examen, qui consiste en 63 questions, à choix simple, à choix multiple, et avec des médias interactifs. Les questions sont basées sur les objectifs inscrits dans ce guide. Le score exigé pour réussir est de 80 %. Pour vous préparer à l'examen, parcourez les objectifs contenus dans ce guide pour déterminer les sections que vous devez réviser. La première source de référence pour l’examen est le manuel de la série Apple Pro Training Series “Logic Pro 9 et Logic Express 9” de David Nahmani (ISBN 978-2-7440-9304-3) traduit en français. Vous n’aurez accès à aucune ressource, manuels ou références pendant l'examen et vous ne pouvez pas avoir le logiciel ouvert pendant l'examen. Notez s'il vous plaît que bien que ce guide divise les objectifs en secteurs de connaissance, les questions sont présentées aléatoirement pendant l'examen. Les avantages de la certification Apple Les programmes de formation et de certification Apple sont conçus pour vous maintenir à la pointe de la technologie des médias numériques d’Apple. La certification crée un point de référence pour évaluer votre compétence dans une application pro Apple spécifique. En passant et réussissant l’examen vous obtenez le statut Apple Certified Pro (Professionnel Certifié Apple), qui vous permet de vous distinguer des collègues, des employeurs et des clients éventuels comme un utilisateur qualifié de l'application choisie. La certification vous donne un avantage concurrentiel dans le marché de l'emploi toujours en évolution. Qu'est-ce qu’un Apple Certified Pro? Un Apple Certified Pro est un utilisateur certifié qui a atteint le niveau de compétence le plus haut dans l'utilisation et l’exploitation des Applications Pro Apple et reconnu en tant que tel par Apple. Comment devenir un Apple Certified Pro ? Pour devenir Apple Certified Pro, vous devez réussir un examen en ligne administré par un centre de formation agréé Apple (Apple Authorized Training Center - AATC). La certification de niveau 1 reconnaît vos connaissances opérationnelles de base d'un logiciel. Les examens de niveau 1 sont administrés à la fin d’un cours spécifique dans les centres. Si vous préférez apprendre tout seul ou vous croyez avoir déjà la compétence nécessaire dans l’application de votre choix, vous pouvez vous enregistrer Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 4pour l’examen de niveau 1 dans un centre de formation agréé Apple pour un prix forfaitaire. La certification Apple Certified Pro Niveau 2 atteste d’une connaissance approfondie de l’application. Les examens de niveau 2 peuvent être passés seulement après avoir réussi la certification niveau 1. La participation a une formation est recommandée, mais pas obligatoire. La certification Logic Pro 9 Niveau 1 compte aussi pour la certification Logic Master Pro. La Certification Master reconnait vos compétences avec la suite entière du produit. Puisque le flux de travail est un composant important de Logic Studio, il est important que vous obteniez des certifications dans plusieurs applications de la suite logicielle. Quels sont les avantages d’être Apple Certified Pro ? En tant que Apple Certified Pro, vous serez identifié en tant qu'utilisateur compétent pour l'application choisie. Ceci vous permet de vous différencier des employeurs et de vos collègues, en tant que professionnel certifié pour favoriser la croissance de votre carrière. Vous recevrez un certificat d’Apple vous distinguant comme Apple Certified Pro et vous aurez le droit d'utiliser le logo Apple Certified Pro sur vos cartes de visite ou site Web professionnel. Cela vous permettra de tirer parti de la force de la marque Apple. Après avoir réussi à l’examen de certification, vous recevrez un email avec un certificat au format PDF, ainsi que les instructions vous permettant de commander une version imprimée et/ou encadrée. L’email contient des liens vers LinkedIn, Facebook et Twitter afin de vous permettre de communiquer facilement sur vos nouvelles certifications sur ces sites de réseaux sociaux. Vous recevrez aussi les instructions pour vous enregistrer dans l’Apple Certification Records System, ou vous pourrez: • Mettre à jour votre profile et choisir d’afficher vos certifications Apple sur l’Apple Certified Professionals Registry. • Revoir la progression de vos certifications. • Télécharger vos logos de certifications pour utiliser sur vos cartes de visite, sites web, etc. • Fournir l'accès aux employeurs pour vérifier vos certifications. • Accéder à une multitude de ressources. Préparation à l'examen Les trois points clés de la préparation à l’examen de certification sont l’expérience avec l’application, la révision des supports de cours appropriés — incluant le manuel Apple Pro Training Series et, l’étude de ce Guide de Préparation à l’Examen. Regardez dans les sections suivantes les objectifs du programme d'études. Les ressources suivantes peuvent aussi vous aider à vous préparer à votre examen de certification, ainsi qu’élargir vos connaissances générales : Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 5 Pour vous aider à vous préparer à l'examen réel de certification, vous pouvez passer en revue les tutoriels.  Passez en revue les sections appropriées du Manuel de l'utilisateur Logic Pro. La documentation complète pour Logic Studio est disponible sur documentation.apple.com. C’est gratuit et entièrement consultable. Vous pouvez aussi démarrer la documentation de Logic Pro en choisissant Aide > Aide Logic Pro quand Logic Pro est lancé. Les informations sur les nouvelles fonctionnalités sont disponibles en choisissant Aide > Nouvelles fonctionnalités quand Logic Pro est lancé.  Beaucoup de ressources en ligne vous permettent de poser des questions et d’apprendre des trucs et astuces. Pour avoir accès à ces documents, laux forums de discussion et autres matériels en ligne, visitez http://www.apple.com/fr/logicstudio/resources/.  Pour plus d’information sur le programme Apple Pro Training, visitez training.apple.com/.  Pour fournir des commentaires et des retours d'information à Apple à propos de Logic Pro, visitez http://www.apple.com/feedback/ logicpro.html.  Lisez les toutes dernières nouvelles à www.apple.com/fr/support/ manuals/.  Beaucoup de fabricants tiers créent la référence, intervenant pour régler un problème et/ou des DVDs de travaux dirigés allant du novice à l'utilisateur chevronné. Une recherche Internet rapide vous fournira des douzaines d'options.  Si vous avez des questions, vous pouvez les poster à Logic Pro Discussion Forum, qui est hébergé par Apple. Réviser le programme Apple Pro Training Series Le manuel Apple Pro Training Series “Logic Pro 9 et Logic Express 9” de David Nahmani (ISBN 978-2-7440-9304-3) traduit en français, fait partie de la collection officielle de formation et est conçu pour vous préparer à passer l'examen de certification. La lecture du manuel est la première chose à faire pour vous préparer à passer l'examen de certification. Cependant, si vous êtes autodidactes ou avez suivi des cours qui n'utilisent pas le programme Apple Pro Training Series, vous pouvez toujours vous préparer à l'examen de certification en vérifiant que vous soyez à même d'accomplir toutes les tâches qui sont décrites dans les sections suivantes. Vous devez aussi vous assurer que vous pouvez répondre à toutes les questions de révision de chaque section. Les questions de révision et les réponses sont présentées ci-dessous. De plus, si vous n'avez pas lu “Logic Pro 9 et Logic Express 9”, nous vous suggérons de lire les chapitres correspondants dans le Manuel de l'utilisateur Logic Pro 9. Notez s'il vous plaît que bien que ce guide divise les objectifs en leçons ou sections de connaissance, les questions sont présentées aléatoirement pendant l'examen. Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 6Objectifs de la Leçon Une A la fin de la Leçon Une, « Construire une chanson » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Naviguer, préécouter et utiliser une boucle • Éditer des régions et créer un arrangement • Naviguer et zoomer dans la zone d’arrangement • Utiliser des effets et des instruments logiciels • Mixer et exporter au format MP3 Leçon Une : Révision Après avoir terminé la Leçon Une, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Combien de zones y a-t-il dans la fenêtre Arrangement, et quels sont leurs noms ? 2. Lorsque le même raccourci clavier peut être utilisé dans différentes zones, comment reconnaissez-vous celle qui répondra au raccourci clavier ? 3. Quelles sont les deux façons de régler un paramètre (comme le tempo) dans Logic ? 4. Quels types de régions vont sur les pistes d’instruments logiciels et les pistes audio ? 5. Quelles sont les unités affichées dans l’étiquette d’information indiquant une longueur ou une position dans le projet ? 6. Comment pouvez-vous déplacer ou copier une région dans la zone d’arrangement ? 7. Dans quel ordre les tranches de console sont-elles affichées dans la table de mixage ? 8. Qu’est-ce qu’un réglage de tranche de console ? 9. Quelles sont les étapes à suivre pour exporter les mix ? Réponses 1. Il existe six zones dans la fenêtre Arrangement : zone d’arrangement, zone d’édition, zone Média ou Listes, l’inspecteur, la barre d’outils et la barre de transport. 2. C’est le secteur qui a la cible de saisie (ou key focus), matérialisée par un cadre blanc. 3. Soit faire glisser une valeur de haut en bas pour augmenter ou diminuer, soit double-cliquer dessus pour accéder à un Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 7champ de données dans lequel on entre directement une nouvelle valeur. 4. Les régions MIDI vont sur les pistes d’instruments logiciels ; les régions audio vont sur les pistes audio. 5. Des mesures, des temps, des frames et des subframes. 6. On déplace une région en la faisant glisser ; on la copie en la faisant glisser tout en appuyant sur Alt. 7. L’ordre d’affichage des tranches de console, de gauche à droite, est le même que celui dans lequel elles apparaissent de haut en bas dans la zone d’arrangement. 8. La collection de tous les modules sur une tranche de console, y compris chaque réglage de module. 9. Ajuster la longueur du projet, décocher toutes les régions, désactiver le mode Cycle, choisir Fichier > Bounce, puis un nom et une destination, et enfin cliquer sur Bounce. Objectifs de la Leçon Deux A la fin de la Leçon Deux, « Enregistrement Audio » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l'examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Choisir les réglages audio numériques • Enregistrer des pistes audio seules et en multipiste • Enregistrer des prises additionnelles • Enregistrer en mode Cycle • Enregistrer en mode Punch à la volée et automatiquement • Ajuster le précompte, le métronome et d’autres paramètres Leçon Deux : Révision Après avoir terminé la Leçon Deux, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Quels paramètres influent sur la qualité d’un enregistrement audio numérique ? 2. Où pouvez-vous ajuster ces réglages ? 3. Comment pouvez-vous enregistrer sur une ou plusieurs pistes ? 4. Comment pouvez-vous enregistrer des prises additionnelles ? 5. Qu’est-ce qui se passe lorsque vous enregistrez en mode Cycle ? 6. Comment utiliser Enregistrement à la volée ? 7. Comment utiliser la fonction Autopunch ? Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 88. Où pouvez-vous régler la taille Buffer E/S ? 9. Comment choisissez-vous les meilleures tailles de buffer E/S ? 10. Où pouvez-vous régler le type de fichier enregistré ? 11. Où pouvez-vous régler le décompte ? 12. Où pouvez-vous régler les réglages du métronome ? 13. Comment pouvez-vous rapidement avoir accès aux réglages de l’enregistrement et du métronome ? 14. Comment peut-on cacher des pistes ? Réponses 1. La fréquence d’échantillonnage et la profondeur de bit. 2. On peut ajuster la fréquence d’échantillonnage dans Fichier > Réglages projet > Audio et la profondeur de bits dans Préférences > Audio > Appareils > Core Audio. 3. En armant une ou plusieurs pistes et en cliquant sur le bouton Enregistrer dans la barre de transport. 4. En enregistrant par-dessus une région audio existante. 5. De nouvelles prises sont enregistrées pour chaque passage de cycle, et toutes les prises sont placées dans un dossier de prises. 6. Il faut activer cette option (Options > Audio > Enregistrement à la volée), lancer la lecture et appuyer sur la touche de commande bascule à l’enregistrement (Maj+*) pour faire un punch in et out. 7. Dans la barre de transport, on clique sur le bouton Autopunch, puis on ajuste la longueur d’Auto-punch dans la règle de mesure avant de cliquer sur le bouton Enregistrer. 8. Dans Préférences > Audio > Appareils > Core Audio. 9. On choisit une taille de buffer E/S basse lors de l’enregistrement (pour moins de latence), et une taille haute lors du mixage (pour plus de puissance de traitement CPU). 10. Dans l’onglet Général des Préférences Audio. 11. Dans la barre d’outils, en cliquant sur le bouton Réglages puis en choisissant Enregistrer. 12. Dans la barre d’outils, en cliquant sur le bouton Réglages, puis en choisissant Métronome. 13. En cliquant et maintenant sur les boutons Enregistrement ou Métronome dans la barre de transport ou en cliquant dessus tout en appuyant sur Ctrl. 14. En haut à gauche de la zone Arrangement, on clique sur le bouton Masquer à la vue, puis on clique sur le bouton Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 9Masquer de l’en-tête de chaque piste à cacher, avant de cliquer de nouveau sur le bouton Masquer à la vue. Objectifs de la Leçon Trois A la fin de la Leçon Trois, « Montage Audio » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Créer une composite à partir de prises multiples • Attribuer les outils Clic gauche et Command-clic • Éditer des régions dans la zone d’arrangement • Appliquer des fondus et des fondus enchaînés • Importer des fichiers audio • Quantifier des régions audio • Déplacer des notes individuelles à l’intérieur d’une région à l’aide de l’outil Flex • Éditer l’audio de manière destructive dans l’éditeur d’échantillon • Positionner des régions audio dans la zone d’arrangement Leçon Trois : Révision Après avoir terminé la Leçon Trois, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Comment pouvez-vous ouvrir un dossier de prises ? 2. Comment préécoutez-vous une prise ? 3. Comment faites-vous une composite de prises ? 4. Comment pouvez-vous voir le résultat de votre composite sous la forme d’une région ? 5. Comment peut-on attribuer l’outil Clic gauche ? 6. Comment peut-on attribuer l’outil Command-clic ? 7. Comment pouvez-vous ajouter un fondu entrant ou un fondu de sortie à une région ? 8. Comment faites-vous des fondus enchaînés entre deux régions ? 9. Comment peut-on importer un fichier audio dans un projet ? 10. Comment pouvez-vous sélectionner une partie d’une région audio ? 11. Lorsque vous choisissez dans le chutier audio Édition > Sélectionner inutilisés, quels fichiers sont sélectionnés ? 12. Qu’est-ce que vous devez faire avant de quantifier une région audio ? Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 1013. Quel outil permet de déplacer une note individuelle à l’intérieur d’une région audio, sans modifier la région ? 14. De quelle nature est l’édition audio que vous pouvez faire dans l’éditeur d’échantillons ? 15. Qu’est-ce que l’ancre ? Réponses 1. En double-cliquant dessus. 2. On clique sur la prise : elle est mise en valeur et jouée tandis que les autres sont rendues muettes. 3. Il faut ouvrir le dossier de prises et glisser sur chaque prise pour mettre en valeur les sections souhaitées. Le dossier de prises assemble une composite comprenant l’ensemble des prises mises en valeur. 4. À partir du menu du dossier de prises, en choisissant Mettre sur un seul niveau. 5. À partir du menu d’outils Clic gauche, on choisit un outil ou on appuie sur Esc pour choisir. 6. Dans le menu d’outils Command-clic, on choisit un outil ou on appuie sur Esc puis on clique sur l’outil en appuyant sur Cmd. 7. En faisant glisser l’outil Fondu sur les extrémités d’une région (ou en appuyant sur Maj+Ctrl et en faisant glisser l’outil Pointeur). 8. En faisant glisser l’outil Fondu au-dessus de la jonction des deux régions (ou en appuyant sur Maj+Ctrl et en faisant glisser l’outil Pointeur). 9. On peut le rechercher et le visualiser dans le navigateur de fichier puis le faire glisser dans la zone d’arrangement. 10. Avec l’outil Sélection. 11. Il s’agit de tous les fichiers audio et des régions qui ne sont pas actuellement utilisés dans la zone d’arrangement. 12. Il faut d’abord sélectionner un mode Flex dans la boîte des paramètres de piste. 13. L’outil Flex. 14. Destructive. 15. L’ancre est un point dans une région audio, utilisé pour la positionner sur la grille dans la zone d’arrangement. Objectifs de la Leçon Quatre A la fin de la Leçon Quatre, « Enregistrement Midi » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 11le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Enregistrer en MIDI • Quantifier des enregistrements MIDI • Fusionner un enregistrement MIDI avec une région existante MIDI • Enregistrer en MIDI en dossiers de prises • Enregistrer en mode Punch un enregistrement MIDI • Capturer un jeu comme un enregistrement • Enregistrer en MIDI en utilisant le mode d’entrée pas à pas • Filtrer les événements MIDI entrants Leçon Quatre : Révision Après avoir terminé la Leçon Quatre, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Comment Logic route les événements MIDI entrants ? 2. Comment pouvez-vous corriger le calage dans le temps d’une région MIDI ? 3. Comment choisissez-vous la quantification des paramètres par défaut pour de nouveaux enregistrements MIDI ? 4. Comment pouvez-vous enregistrer des prises MIDI ? 5. Qu’est-ce que vous devez faire avant de faire un punch sur une piste MIDI afin de remplacer une partie d’une région MIDI ? 6. Comment pouvez-vous activer le mode Entrée pas à pas ? 7. Identifiez deux façons qui permettent d’ajuster la longueur de pas lors de l’enregistrement en mode Entrée pas à pas. Réponses 1. Tous les événements MIDI entrants sont routés vers la piste d’enregistrement activée. 2. Dans la boîte des paramètres de l’inspecteur Régions, il faut sélectionner une valeur de résolution de la grille du menu Quantification. Les notes MIDI dans la région seront ramenées à la position la plus proche sur la grille choisie. 3. En désélectionnant toutes les régions puis en définissant les paramètres de la région MIDI Thru. 4. Il faut ouvrir les paramètres du projet d’enregistrement et dans la zone MIDI, dans le menu Enregistrements se superposant, choisir Créer des dossiers de prises avant d’enregistrer sur un enregistrement existant ou d’enregistrer en mode Cycle. 5. Activer le mode Remplacer. Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 126. En cliquant sur le bouton MIDI dans l’éditeur Clavier, sur l’éditeur de partitions ou sur la liste des événements. 7. Dans la barre des Transports, régler le paramètre de division, ou ouvrir le clavier d’entrée pas à pas et cliquer sur le bouton Tenir la note (s) insérée. Objectifs de la Leçon Cinq A la fin de la Leçon Cinq, « Programmation et Edition Midi » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Importer un fichier MIDI dans un projet • Insérer et éditer des notes MIDI dans l’éditeur Clavier et l’éditeur Partition • Quantifier des notes individuellement et les rendre muettes • Modifier la vélocité et la hauteur d’une note à partir d’un clavier MIDI • Dessiner et modifier avec les contrôleurs continus MIDI d’automation à l’aide d’Hyper Draw et d’Hyper Editor • Nettoyer des régions MIDI sur la liste d’événements Leçon Cinq : Révision Après avoir terminé la Leçon Cinq, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Dans l’éditeur Clavier, que pouvez-vous faire avec l’outil Crayon ? 2. Que fait le bouton MIDI de sortie ? 3. Pouvez-vous quantifier les notes individuelles ? Comment ? 4. Comment peut-on modifier les notes avec un clavier MIDI ? 5. Comment peut-on modifier les événements de contrôleur continu MIDI dans l’éditeur Clavier ou l’éditeur Partition ? 6. Comment pouvez-vous ajouter des nœuds dans l’Hyper Draw ? 7. Comment faites-vous une courbe de ligne dans l’Hyper Draw ? 8. Comment pouvez-vous utiliser l’outil Ligne dans l’Hyper Draw (lors de l’édition des vélocités) ou dans l’Hyper Editor ? 9. Comment sélectionnez-vous l’automation dans l’Hyper Draw ? 10. Comment pouvez-vous changer la résolution de la grille d’une définition d’événement ? 11. Comment pouvez-vous dessiner l’automation dans l’Hyper Editor ? Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 1312. Comment pouvez-vous masquer un type d’événement de la liste d’événements ? Réponses 1. L’outil Crayon sert à insérer, redimensionner, supprimer, déplacer et copier des notes. 2. Lorsque le bouton MIDI de sortie est activé, les notes MIDI sont déclenchées lorsqu’on les modifie. 3. Oui. Il faut cliquer sur la note avec l’outil Quantification et choisir un réglage dans le menu déroulant. 4. En double-cliquant sur le bouton MIDI d’entrée en haut de l’éditeur MIDI, puis en sélectionnant la note à modifier et, enfin, en jouant une note sur le clavier MIDI. 5. En cliquant sur le bouton Hyper Draw en bas à gauche des éditeurs. 6. On peut : cliquer dans la zone Hyper Draw ; maintenir le bouton de la souris afin d’afficher une étiquette d’information, puis faire glisser le nœud à sa position tout en vérifiant les données dans l’étiquette. 7. Appuyer sur Ctrl+Maj tout en faisant glisser la ligne. 8. Il faut cliquer et faire glisser pour trouver la position du départ de la ligne, relâcher, trouver la position de la fin de la ligne et cliquer pour terminer la ligne. 9. On appuie sur Maj tout en faisant glisser vers les nœuds souhaités. 10. Dans l’inspecteur, dans la boîte de définition des paramètres, en réglant les paramètres de la grille. 11. Avec l’outil Crayon ou l’outil Ligne. 12. Quand le bouton de filtre est activé, cliquer sur un bouton de type événement filtre les événements correspondants. Objectifs de la Leçon Six A la fin de la Leçon Six, « Programmation de batterie » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Programmer un motif de batterie dans Ultrabeat • Ajouter des accents rythmiques • Créer des roulements de tambour • Convertir une boucle audio de batterie en instrument échantillonneur Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 14Leçon Six : Révision Après avoir terminé la Leçon Six, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Nommez les trois principales sections de l’interface d’Ultrabeat. 2. Quels sons, dans Ultrabeat, sont déclenchés par des notes MIDI et lesquelles ? 3. Comment pouvez-vous insérer une note sur chaque temps fort ? 4. Comment pouvez-vous ajouter des accents à un motif ? 5. Comment pouvez-vous ajouter des accents à des positions différentes pour les différents sons de batterie ? 6. Dans Ultrabeat, comment pouvez-vous randomiser les vélocités des notes d’un son ? 7. Comment pouvez-vous afficher un pattern Ultrabeat comme une région MIDI dans la zone d’arrangement ? 8. Dans l’éditeur Clavier, comment pouvez-vous désélectionner une seule note d’une sélection multiple ? 9. Quel est le meilleur éditeur pour la création d’un roulement de caisse claire ? 10. Comment pouvez-vous créer un Hyper Set personnalisé contenant les définitions d’événements seulement pour les notes existantes dans la région ? 11. Comment pouvez-vous convertir une région audio en un instrument échantillonneur ? Réponses 1. Les sections d’assignation et de synthèse, et le séquenceur pas-à-pas. 2. Les notes C1-B2 jouent les 24 sons de batterie ; C3 et audessus jouent le son de basse chromatiquement. 3. Cliquer sur la grille en appuyant sur Ctrl, en mode Full View, et choisir à partir du menu déroulant Add Every Downbeat. 4. En sélectionnant les pas dans la rangée d’accents. 5. On ne le peut pas. Les positions des accents sont les mêmes pour tous les sons. On peut activer/ désactiver les accents sur des sons individuels en utilisant le bouton Accent. 6. En cliquant sur le séquenceur pas à pas tout en appuyant sur Ctrl et, dans le menu déroulant, en choisissant Alter Vel. 7. En faisant glisser le bouton Pattern dans la zone d’arrangement. 8. En cliquant sur la note tout en appuyant sur Maj. Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 159. L’Hyper Editor. 10. Il faut s’assurer que toutes les notes sont désélectionnées dans la région et depuis le menu Hyper Set, choisir Créer un Hyper Set pour les événements actifs. 11. Sélection de la région audio et puis choisir Audio > Convertir les régions en une nouvelle piste échantillonneur. Objectifs de la Leçon Sept A la fin de la Leçon Sept, « Manipulation du tempo et étirement temporel » vous devriez pouvoir terminer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Faire correspondre le tempo du projet à celui d’une région audio • Utiliser le navigateur de boucles • Créer des boucles Apple Loops • Créer une région audio suivant le tempo du projet • Insérer des changements et des courbes de tempo • Étirer temporellement une région audio pour la faire correspondre au tempo du projet • Utiliser les effets Varispeed • Appliquer des effets d’accélération ou de ralentissement de platine vinyle ou de bande magnétique • Étirer une seule note sur la forme d’onde avec l’outil Flex Leçon Sept : Révision Après avoir terminé la Leçon Sept, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Comment pouvez-vous changer de tonalité dans un projet ? 2. Comment pouvez-vous faire correspondre le tempo du projet à celui d’un fichier audio ? 3. Comment pouvez-vous faire correspondre une région audio au tempo du projet ? 4. Comment pouvez-vous insérer des changements de tempo ? 5. Quels types de régions suivront toujours la carte de tempo du projet ? 6. Comment pouvez-vous créer un fichier de boucles Apple Loops à partir d’une région ? 7. Que sont les boucles Apple Loops ? Décrire les différences entre les boucles bleues et les boucles vertes. 8. Comment appliquez-vous un fondu de vitesse sur une région audio ? Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 16Réponses 1. Il faut ouvrir Pistes globales et double-cliquer sur la clé de la rubrique Altération avant de choisir une nouvelle tonalité dans la fenêtre Armature. 2. En sélectionnant la région et en choisissant Options > Tempo > Ajuster le tempo par détection des battements. 3. Dans la boîte des paramètres de l’inspecteur de piste, on sélectionne un mode Flex. 4. Dans la piste Tempo globale, en double-cliquant sur ou en dessous du seuil de tempo. 5. Les régions MIDI, les boucles Apple Loops, les régions audio avec un mode Flex sélectionné. 6. En faisant glisser la région depuis le navigateur de boucles. 7. Les boucles Apple Loops sont des fichiers audio AIFF ou CAF qui s’adaptent automatiquement au tempo du projet et à la clé. Contrairement aux boucles Apple Loops bleues, les boucles Apple Loops vertes contiennent également la région MIDI et les réglages de la tranche de console de l’instrument virtuel utilisé pour les créer. Elles peuvent être utilisées sur les pistes d’instruments logiciels. 8. On applique un fondu entrant ou un fondu sortant et, dans les paramètres de région, on définit l’accélération (fondu entrant) ou le ralentissement (fondu sortant). Objectifs de la Leçon Huit A la fin de la Leçon Huit, « Arranger et préparer pour le mixage » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Expérimenter l’ordre des régions en mode Shuffle • Compacter des régions dans un dossier • Couper et insérer des sections dans un projet • Diviser une région en plusieurs tranches • Nettoyer les enregistrements bruyants avec Logic et Soundtrack Pro Leçon 8 : Révision Après avoir terminé la Leçon 8, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Comment activez-vous le mode Solo ? 2. Comment échangez-vous les positions des régions ? 3. Comment compactez-vous des régions dans un dossier ? 4. Comment ouvrez-vous et fermez-vous un dossier ? Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 175. Comment faites-vous une tranche de région dans les régions de même longueur ? 6. Comment insérez-vous une nouvelle section dans un projet ? 7. Comment sautez-vous une section lors de la lecture d’un projet ? 8. Comment supprimez-vous les bruits de fond sur une piste ? Réponses 1. En cliquant sur le bouton Solo dans la barre de transport (ou en appuyant sur la touche S), puis en sélectionnant une région. 2. En haut à droite de la zone d’arrangement, en choisissant dans le menu Glissement l’un des modes de lecture aléatoire, puis en faisant glisser une région sur une autre. 3. Il faut sélectionner les régions à compacter puis aller dans Région > Dossier > Compacter un dossier (Cmd+Maj+F). 4. D’un double-clic dessus pour l’ouvrir ; d’un double-clic sur le fond de la zone d’arrangement, ou d’un clic sur le bouton Conserver le dossier, pour le fermer. 5. Il suffit d’appuyer sur la touche Alt lorsqu’on coupe la première tranche avec l’outil Ciseaux. 6. Il faut ajuster la zone de cycle afin d’identifier la longueur et la position de la section à insérer puis, depuis le menu local de la zone d’arrangement, choisir Édition > Couper / Insérer temps > Insérer un silence entre les locators. 7. On crée un saut de zone de cycle en faisant glisser la moitié supérieure de la règle de mesure de la droite vers la gauche. 8. Avec l’éliminateur de silence, pour supprimer toutes les portions d’une région qui tombent en dessous du seuil de volume spécifique ; avec le module Denoiser, pour réduire le niveau de bruit d’une piste. Objectifs de la Leçon Neuf A la fin de la Leçon Neuf, « Le mixage » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Naviguer dans la table de mixage et utiliser des modules d’effets • Régler les niveaux de volume et utiliser des groupes • Ajuster les positions des panoramiques • Filtrer les fréquences avec le module Channel EQ • Utiliser les envois auxiliaires et les auxiliaires des tranches de console • Ajouter de la profondeur avec des modules Delay et Reverb Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 18Leçon Neuf : Révision Après avoir terminé la Leçon Neuf, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Identifiez les quatre principales composantes d’instruments sonores à régler pour donner à chaque instrument sa place dans un mix. 2. Dans quel but utilise-t-on un départ auxiliaire ? 3. Comment faire pour relier temporairement les paramètres de plusieurs tranches de console ? 4. Comment faire pour relier en permanence les paramètres de plusieurs tranches de console ? 5. Comment pouvez-vous régler le niveau d’une tranche de console individuelle attribuée à un groupe ? 6. Où est positionné un départ auxiliaire dans le traitement du signal d’une tranche de console ? 7. Que fait un compresseur ? 8. Que fait un limiteur ? 9. Comment pouvez-vous choisir la tranche de console affichée dans la tranche de console sur la droite de la zone d’arrangement ? 10. Comment pouvez-vous changer le statut Mono ou Stéréo d’une tranche de console ? Réponses 1. Les niveaux de Volume et de Panoramique, le spectre de fréquence et la profondeur. 2. Afin d’acheminer une partie du signal à partir d’une tranche de console vers une autre tranche de console, généralement pour qu’elle soit traitée par des modules. 3. Il faut sélectionner plusieurs tranches de console dans la table de mixage pour lier temporairement leurs paramètres. 4. En utilisant les groupes : on clique sur l’emplacement de groupe sur une tranche de console pour choisir le groupe à assigner. 5. Il suffit de choisir Options > Saisie groupe pour activer/ désactiver les groupes. 6. Par défaut, un départ auxiliaire est placé après le potentiomètre Volume, mais avant Panoramique. 7. Il atténue le niveau d’un signal qui est passé par le Treshold, ce qui lui donne un niveau plus homogène. Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 198. Il fonctionne de façon analogue à un compresseur, mais il s’assure que le signal est atténué, qu’il ne va jamais au-dessus d’un certain niveau de sortie. 9. Sur la tranche de console de gauche, il faut cliquer sur un logement d’insertion ou le logement d’insertion sortie pour afficher sur la droite la tranche de console correspondante. 10. Cliquez sur le bouton Format en dessous du compteur. Objectifs de la Leçon Dix A la fin de la Leçon Dix, « Automation du mixage et utilisation des surfaces de contrôle » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Modifier une automation offline • Enregistrer une automation en direct • Enregistrer une automation en direct en utilisant une surface de contrôle • Exporter le mixage final Leçon Dix : Révision Après avoir terminé la Leçon 10, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Comment pouvez-vous afficher seulement la piste d’automation sur la piste en cours ? 2. Décrire les étapes nécessaires pour enregistrer l’automation en direct. 3. Comparer les similitudes et les différences des modes Touch et Latch. 4. Lorsque vous utilisez l’automation par accès rapide, combien de paramètres pouvez-vous contrôler, et combien de boutons de contrôle pouvez-vous utiliser ? Réponses 1. Dans la barre d’outils, on clique sur Zoom automatique, pour agrandir automatiquement la piste sélectionnée à la verticale, puis sur Automation, pour afficher la piste d’automation sélectionnée. 2. Il faut choisir le mode d’automation désiré (Touch, Latch ou Write) puis lancer la lecture et ajuster les paramètres. 3. Dans les deux modes, l’enregistrement d’automation commence lorsqu’on touche d’abord un potentiomètre de contrôle ou un bouton (ou si on clique et maintient sur un potentiomètre ou un bouton de l’interface). Lorsqu’on relâche le bouton du contrôleur (ou de la souris), le mode Touch Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 20retourne l’automation à la valeur d’origine du paramètre ou de l’automation existante sur la piste, tandis que le mode Latch continue d’enregistrer au niveau des paramètres actuels. 4. On ne peut utiliser qu’un seul bouton de commande et ne contrôler qu’un seul paramètre à la fois, mais on choisit facilement le paramètre en affichant les pistes d’automation sélectionnées. Objectifs de la Leçon Onze A la fin de la Leçon Onze, « Dépannage et optimisation » vous devriez pouvoir effectuer les tâches suivantes. Des éléments de cette leçon sont inclus dans le lot des questions de l’examen, tirés au hasard parmi les objectifs suivants : • Apprendre de bonnes pratiques de sauvegarde • Comprendre les principes de dépannage • Découvrir les étapes du dépannage de base Leçon Onze : Révision Après avoir terminé la Leçon Onze, vous devriez pouvoir répondre aux questions suivantes. 1. Quand les sauvegardes automatiques sont-elles créées et où sont-elles sauvegardées ? 2. Comment faire pour que Logic produise un signal audio, lors de problème avec la sortie audio ? 3. Lorsque vous avez atteint les limites du CPU, comment pouvez-vous réduire rapidement sa charge ? 4. Comment pouvez-vous éviter d’atteindre les limites de la bande passante de votre disque dur ? 5. Quand un fichier de projet ne reçoit pas les événements MIDI entrants, alors qu’ils sont reçus dans d’autres fichiers de projet, que devez-vous faire ? 6. Comment pouvez-vous déterminer si votre interface audio est à l’origine d’un problème de lecture ? Réponses 1. Chaque fois qu’un fichier de projet est enregistré, Logic déplace le fichier précédemment enregistré dans un dossier de sauvegarde à l’intérieur du dossier du projet. 2. Faire un aperçu d’un fichier à partir de boucles Apple Loops depuis le navigateur de boucles. 3. En bloquant les pistes qui ont une consommation CPU importante. Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 214. En débloquant les pistes, en “sous mixant” plusieurs pistes ensemble ou en chargeant des régions audio dans la RAM en utilisant Suivre le tempo. 5. Ouvrir la fenêtre Environnement de ce fichier de projet et vérifier les paramètres de câblage par défaut dans le calque Click & Ports. 6. Il faut désactiver l’interface audio externe en jouant un projet par le biais de l’interface audio intégrée du Mac. Si le projet est lu correctement, le problème réside probablement dans l’interface audio externe. Annexe A et B “Logic Pro 9 et Logic Express 9” inclut 11 leçons plus 2 annexes. Cependant, seulement les leçons 1 à 11 sont incluses dans l'examen de niveau 1. Veuillez noter que si vous êtes formateur certifié Apple, toutes les leçons sont incluses dans l'examen de formateur. Passer l’examen de certification Logic Pro 9 L’examen de certification Logic Pro 9 Niveau 1 doit être passé dans un centre de formation agréé Apple (AATC) dans une configuration surveillée. Pour trouver l'AATC le plus proche, regardez sur training.apple.com/aatc. Beaucoup d’AATCs planifient des Sessions d’Examen sur training.apple.com/schedule. Si vous ne voyez pas une session programmée, vous pouvez entrer en contact avec l'AATC concerné et ils en planifieront une pour vous. Veuillez noter que tous les AATCS peuvent offrir tous les examens Mac OS X et Pro Apps, même s’ils n'offrent pas le cours correspondant. Questions fréquemment posées: Examen Prometric Visitez training.apple.com/certification/faq pour obtenir une liste des questions fréquemment posées. Si vous ne trouvez pas la réponse à votre question, envoyez-nous un email. Veuillez accorder au moins un délai de deux jours travaillé pour une réponse. Logic Pro 9 Niveau 1 Guide de préparation à l’examen 22 Aperture Principes fondamentaux de la photographie numériqueK Apple Computer, Inc. © 2005 Apple Computer, Inc. Tous droits réservés. Aucun passage de la présente publication ne peut être reproduite ni transmise à des fins commerciales telles que la vente de copies de la présente publication ou la fourniture de services d’assistance payants. Tout a été mis en œuvre pour que les informations présentées dans ce manuel soient exactes. Apple Computer, Inc. n’est pas responsable des coquilles ni des erreurs d’écriture. Le logo Apple est une marque d’Apple Computer Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Apple, le logo Apple et Apple Cinema Display sont des marques d’Apple Computer, Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Aperture est une marque d’Apple Computer, Inc. 3 1 Table des matières Préface 5 Introduction aux principes fondamentaux de la photographie numérique Chapitre 1 7 Comment les appareils photo numériques capturent les images 7 Types d’appareils photo numériques 8 Reflex numériques 9 Appareils à visée télémétrique numériques 11 Composants et concepts de l’appareil photo 11 Objectif 12 Les facteurs de multiplication des objectifs avec les reflex numériques 14 Le zoom numérique 15 Diaphragme 16 La vitesse de l’objectif 18 Obturateur 18 Utilisation de la loi de réciprocité pour ajuster une image 19 Capteur d’image numérique 21 Carte mémoire 22 Flash externe 22 Les formats RAW, JPEG et TIFF 22 RAW 23 Pourquoi prendre des photos au format RAW ? 24 JPEG 24 TIFF 24 Astuces en matière de prise de vue 24 Réduction du tremblement de l’appareil photo 25 Suppression de l’effet yeux rouges dans vos photos 27 Réduction du bruit numérique Chapitre 2 29 Comment sont affichées les images numériques 29 La perception subjective de la couleur par l’œil humain 31 Comment l’œil perçoit la lumière et la couleur 32 Sources de lumière 32 La température de couleur de la lumière 33 Comment la balance des blancs détermine la température de couleur4 Table des matières 34 Mesure de l’intensité de la lumière 35 Prises de vue en rafale pour obtenir la bonne exposition 35 L’affichage d’une photo numérique 36 Comparaison entre synthèse additive et synthèse soustractive des couleurs 37 La gamme de couleurs 37 Affichage d’images à l’écran 38 Importance de l’étalonnage de votre écran 38 Les moniteurs Apple Cinema Display sont parfaits pour l’épreuvage 39 Impression d’images 39 Types d’imprimantes Chapitre 3 41 Réduction du bruit numérique 41 Quelques éclaircissements concernant la résolution 41 À propos des pixels 42 À propos de la profondeur de bits 44 Comment la mesure de la résolution change d’un appareil à l’autre 45 Représentation de la résolution des différents appareils 45 Résolution des appareils photo 46 Résolution des écrans 46 À propos des différences entre la résolution des écrans CRT et celle des écrans plats 46 Résolution des imprimantes 47 Calcul des couleurs et virgule flottante 47 À propos de la profondeur de bits et de la quantification 48 À propos de la relation entre virgule flottante et profondeur de bits 49 Comment Aperture utilise la virgule flottante Annexe 51 Références 5 Préface Introduction aux principes fondamentaux de la photographie numérique Le présent document explique la terminologie destinée au photographe professionnel qui débute en informatique et en photographie numérique. Aperture est une application de photographie numérique puissante conçue pour vous aider à produire les meilleures images possibles. Toutefois, de nombreux facteurs exté- rieurs à Aperture peuvent avoir une incidence sur la qualité de vos photos. Garder constamment ces facteurs à l’esprit permet d’éviter des résultats indésirables. Les chapitres qui suivent expliquent comment un appareil photo capture une image numérique, comment les images sont affichées à l’écran et imprimées, et comment les appareils photo, les écrans et les imprimantes mesurent la résolution de l’image.1 7 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images Si, jusqu’à présent, vous avez toujours fait vos photos sur pellicule classique (ou argentique) et êtes un débutant en matière de photographie numérique, ce chapitre vous est destiné. Vous y trouverez en effet des informations élémentaires sur les différents types d’appareils photo,sur les composants de ces appareils photo et les concepts relatifs à la photo numérique, ainsi que des conseils sur la prise de vue. Les gens font des photos pour différentes raisons. Certains font des photos à des fins scientifiques, d’autres pour représenter le monde dans la presse, d’autres encore pour illustrer des publicités, quand ce n’est pas simplement pour le plaisir ou à des fins purement artistiques. Une chose est sûre, quelle que soit la raison pour laquelle vous prenez des photos, connaître le fonctionnement des appareils photo vous aidera à améliorer la qualité de vos photos. Ce chapitre traite des sujets suivants :  Types d’appareils photo numériques (p. 7)  Composants et concepts de l’appareil photo (p. 11)  Les formats RAW, JPEG et TIFF (p. 22)  Astuces en matière de prise de vue (p. 24) Types d’appareils photo numériques Dans sa forme la plus élémentaire, un appareil photo numérique est un dispositif photographique composé d’une boîte hermétique à la lumière pourvue d’un objectif d’un côté et d’un capteur d’images (à la place de la traditionnelle pellicule) de l’autre. Les progrès dans le domaine de la photographie numérique sont très rapides, et fournissent une grande variété de fonctionnalités et d’options qui peuvent s’avérer difficiles à maîtriser pour un débutant. Il existe deux types d’appareils photo numériques : les reflex numériques et les appareils à visée télémétrique numériques.8 Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images Reflex numériques Ce type d’appareil photo tient son nom du miroir réfléchissant qui permet de cadrer l’image au travers de l’objectif avant de la capturer. La lumière qui passe par l’objectif d’un appareil photo reflex numérique est réfléchie par le miroir dans le viseur au travers d’un prisme. L’image affichée dans le viseur est donc identique à l’image visée. Lors de la prise de vue proprement dite, le miroir peut soit réfléchir la lumière dans le viseur, soit s’esquiver afin de permettre à l’obturateur ouvert de « dévoiler » le capteur d’image numérique qui capture l’image. La plupart des fonctionnalités d’un reflex numérique sont réglables, ce qui offre un meilleur contrôle sur l’image capturée. La plupart des appareils photo reflex numériques permettent aussi d’utiliser des objectifs interchangeables, donc de monter des objectifs de longueurs focales différentes sur le même boîtier. Objectif Processeur Miroir Viseur (affiche le cadre réel de l’image) Prisme Capteur d’image numérique Miroir réfléchissant (pivotant)Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images 9 Appareils à visée télémétrique numériques Il existe deux classes d’appareils à visée télémétrique numériques : les appareils à coïncidence d’image et les appareils automatiques (ou « point-and-shoot »). Appareils photo à coïncidence d’image Contrairement aux reflex numériques, les appareils à coïncidence d’image ne permettent pas au photographe de regarder l’élément à photographier à travers l’objectif. Ils utilisent un miroir ou un prisme qui utilise la triangulation pour relier les images vues au travers du viseur et une fenêtre secondaire pour la mise au point sur l’élément. Le photographe voit donc deux images superposées dans le viseur ; l’image est correctement mise au point une fois qu’il n’y a plus qu’une seule image. Comme pour les reflex numériques, la plupart des fonctionnalités des appareils à coïncidence d’image sont réglables, ce qui offre un maximum de contrôle sur l’image capturée. L’avantage des appareils à coïncidence d’image par rapport aux reflex numériques est l’absence de miroir réfléchissant, ce qui réduit nettement les tremblements. Ces derniers sont provoqués par les mouvements de la main ou les vibrations du miroir réfléchissant des reflex numériques et peuvent rendre les photos floues. Miroir/prisme rotatif Capteur d’image Récepteur de lumière Miroir semi-transparent Viseur Lame de miroir semi-transparente Source de lumière Lumière réfléchie Mise au point incorrecte (les images superposées ne sont pas alignées) Mise au point correcte (les images superposées sont alignées)10 Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images Appareils photo numériques automatiques (ou « point-and-shoot ») Il s’agit d’appareils photo numériques compacts dont le nom anglais provient des deux seules étapes requises pour prendre une photo. En effet, les appareils photo numériques automatiques permettent de prendre des photos simplement en cadrant (« point ») et en prenant la photo (« shoot »),sans devoir ajuster de réglages tels que l’ouverture, la vitesse d’obturation, la mise au point et d’autres réglages que les photographes professionnels définissent souvent sur des appareils photo plus sophistiqués. Bien entendu, certains appareils photo numérique automatiques permettent tout de même de régler l’ouverture et la vitesse d’obturation. Les appareils photo numériques automatiques sont géné- ralement petits et légers,sont équipés d’un flash automatique intégré, ne nécessitent pas de mise au point et disposent souvent d’un écran à cristaux liquides qui permet de voir l’image au travers de l’objectif en temps réel via le capteur d’image numérique. La plupart des fabricants d’appareils photo numériques automatiques séparent le viseur du groupe de l’objectif pour rendre la fabrication plus simple et obtenir une taille compacte. L’objectif, le diaphragme et l’obturateur forment un groupe ne pouvant pas être séparé de l’appareil photo proprement dit. Étant donné que les appareils à visée télémétrique numériques subdivisent le chemin optique entre le viseur et le groupe de l’objectif, la compression optique et des indicateurs de cadrage (guides) sont utilisés pour représenter approximativement le cadre de l’image. Cette approximation provoque souvent de légères différences entre ce que le photographe voit dans le viseur et ce qui est finalement capturé. Cela se remarque surtout lorsque l’élément à photographier est proche de l’appareil photo. Capteur d’image numérique Objectif Viseur (affiche une approximation du cadre de l’image) Écran à cristaux liquides Lumière réfléchie Source de lumièreChapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images 11 Composants et concepts de l’appareil photo Voici les principaux composants d’un reflex numérique. (La plupart des composants des appareils à visée télémétrique sont les mêmes que ceux du reflex numérique).  Objectif  Diaphragme  Obturateur  Capteur d’image numérique  Carte mémoire  Flash externe Objectif Un objectif est composé d’une série d’éléments sophistiqués, généralement en verre, conçus pour réfracter et mettre au point la lumière réfléchie provenant d’une scène vers un point déterminé, en l’occurrence le capteur d’image numérique. À part le cadrage, la première interaction avec la lumière réfléchie provenant de l’élément à photographier se fait par l’objectif. Source de lumière Capteur d’image numérique Objectif Écran à cristaux liquides Lumière réfléchie Viseur 12 Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images Longueur focale Une des principales caractéristiques d’un objectif, outre la qualité, est sa longueur focale. D’un point de vue technique, la longueur focale se définit comme la distance entre le point, sur le chemin optique, où les rayons de lumière convergent et le point où les rayons de lumière qui traversent l’objectif sont mis au point sur le plan de l’image (ou le capteur d’image numérique). Cette distance se mesure généralement en millimètres. D’un point de vue pratique, vous pouvez considérer la longueur focale comme la capacité de grossissement de l’objectif. Plus la longueur focale est grande, plus l’objectif sera en mesure de grossir la scène. Outre le grossissement, la longueur focale détermine aussi la perspective et la compression de la scène. Les facteurs de multiplication des objectifs avec les reflex numériques La plupart des objectifs interchangeables furent créés et calibrés pour la pellicule de 35 mm des reflex argentiques traditionnels. Si vous comparez la surface d’une pellicule de 35 mm à la surface de la plupart des capteurs d’image numériques, vous constaterez que la surface de ces derniers est légèrement plus petite. La longueur focale d’un objectif change donc lorsque ce dernier est monté sur un reflex numérique équipé d’un capteur d’image numérique inférieur à 35 mm. Le fait que la surface de l’image soit plus petite augmente la longueur focale de l’objectif parce qu’une plus grande partie du cercle d’image provenant de l’objectif est rognée. Par exemple,si vous montez un objectif de 100 mm sur un reflex numérique équipé d’un capteur d’image numérique de 24 mm, la longueur focale de l’objectif est multipliée par un facteur d’environ 1,6. Un objectif de 100 mm avec un facteur de multiplication de 1,3 correspond donc à un objectif de 130 mm (100 mm multiplié par 1,3). Une autre bonne raison de prendre en compte le facteur de multiplication de l’objectif est la suivante : la prise de vue à grand angle devient nettement plus difficile lorsque l’on utilise des appareils photo équipés d’un capteur d’image numérique de petite taille. Par exemple,si votre capteur d’image numérique mesure 24 mm, vous devez disposer d’un objectif possédant une longueur focale inférieure à 24 mm pour pouvoir prendre une photo à grand angle. Vérifiez les dimensions de votre capteur d’image numérique dans les spécifications de l’appareil photo. Corps de l’appareil photo (vu de côté) Objectif Capteur d’image numérique Longueur focale LumièreChapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images 13 Types d’objectifs Bien qu’il existe un grand nombre de types d’objectifs différents, les plus courants sont les téléobjectifs, les objectifs grand-angles, les zooms (objectifs à focale variable) et les objectifs à focale fixe. Tous ont la même fonction de base : ils capturent la lumière réfléchie par l’élément à photographier et la mettent au point sur le capteur d’image. Les façons dont ils transmettent la lumière, par contre, diffèrent. Remarque : bien qu’il existe plusieurs sous-catégories et versions hybrides de ces types d’objectifs, ce sont là les plus courants. Téléobjectif Un téléobjectif est un objectif possédant une longueur focale longue qui grossit l’élé- ment à photographier. Les téléobjectifs sont généralement utilisés par les photographes sportifs ou du milieu naturel afin de pouvoir photographier des éléments à grande distance. Ils sont aussi utilisés par les photographes qui veulent avoir plus de contrôle sur la limitation de la profondeur de champ (la surface d’une image mise au point). L’ouverture plus grande, combinée aux grandes longueurs focales des téléobjectifs, permet de limiter la profondeur de champ à une petite surface (le premier plan, le plan intermédiaire ou l’arrière-plan de l’image). Une ouverture plus petite combinée à de grandes longueurs focales donne l’impression que les objets du premier plan et de l’arrière-plan sont plus proches les uns des autres. Objectif grand-angle Un objectif grand-angle possède une longueur focale courte, ce qui permet des prise des vues plus larges. Les objectifs grand-angle sont généralement utilisés lorsque l’élément à photographier se trouve au tout premier plan et que le photographe souhaite que l’arrière-plan soit clair lui aussi. En théorie, la longueur focale d’un objectif grand-angle est plus courte que le plan de l’image. Cependant, à l’ère de la photographie numérique, les dimensions des capteurs d’image varient et les facteurs de multiplication de la plupart des reflex numériques augmentent la longueur focale. Vérifiez les dimensions de votre capteur d’image numérique dans les spécifications de votre appareil photo. Si votre capteur d’image numérique mesure 28 mm, vous devez disposer d’un objectif possédant une longueur focale inférieure à 28 mm pour pouvoir prendre une photo à grand angle.14 Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images Zoom Les zooms connus aussi sous le nom d’objectifs à focale variable,sont capables de modifier leur longueur focale. Un zoom s’avère souvent très pratique car la plupart peuvent modifier leur longueur focale de grand angle à normal et de normal à zoom. Cela permet d’éviter de devoir emporter plusieurs objectifs et de changer ces derniers au cours d’une séance de prise de vue. Toutefois, à cause du mouvement entre les différentes longueurs focales, les valeurs d’ouverture du diaphragme ne sont pas toujours très précises. Pour obtenir plus de précision en matière d’ouverture du diaphragme, de nombreux fabricants disposent de plusieurs valeurs d’ouverture minimum pendant que l’objectif passe d’une longueur focale courte à une longueur focale longue. Cela rend l’objectif plus lent lorsque les longueurs focales sont longues. (Voir « La vitesse de l’objectif » à la page 16 pour obtenir une explication concernant la vitesse de l’objectif). En outre, un zoom nécessite des éléments en verre supplémentaires pour pouvoir faire une mise au point correcte aux différentes longueurs focales. Il est préférable que la lumière passe par le moins de lentilles possible pour obtenir des photos de haute qualité. Objectif à focale fixe Les objectifs à focale fixe ont une longueur focale fixe que l’on ne peut pas modifier. Les objectifs à focale fixe ont souvent des ouvertures maximum plus grandes, ce qui les rend plus rapides. Pour en savoir plus sur la vitesse de l’objectif, consultez la section « La vitesse de l’objectif » à la page 16. Des ouvertures plus grandes permettent des photos plus lumineuses (au cas où les conditions n’offriraient pas cette lumière) et offrent plus de contrôle sur la profondeur de champ. Les objectifs à focale fixe sont surtout utilisées par les photographes portraitistes. Pour en savoir plus sur la profondeur de champ, consultez la section « Profondeur de champ » à la page 17. Le zoom numérique Le zoom numérique offert par certains modèles d’appareils photo ne fait pas réellement de zoom avant sur l’élément à photographier. Le zoom numérique effectue un rognage tout autour de la zone centrale du cadre capturé, ce qui a pour effet d’agrandir les pixels. Cela donne une photo dont la qualité globale est moins bonne. Si vous ne disposez pas d’un téléobjectif ni d’un zoom et souhaitez faire un gros plan, rapprochez-vous physiquement de l’élément à photographier,si cela est possible.Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images 15 Diaphragme Le diaphragme est l’ouverture dans l’objectif (créé par un iris ou diaphragme ajustable) qui permet le passage de la lumière. L’exposition de la photo est déterminée par la combinaison de la vitesse d’obturation et de l’ouverture du diaphragme. Plus l’ouverture est grande, plus la lumière est autorisée à passer au travers de l’objectif. L’ouverture se mesure en valeurs d’ouverture du diaphragme, chaque valeur représentant un facteur sur deux de la quantité de lumière autorisée. La valeur d’ouverture du diaphragme, combinée à la longueur focale de l’objectif, détermine la profondeur de champ d’une image. Pour en savoir plus sur la profondeur de champ, consultez la section « Profondeur de champ » à la page 17.16 Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images Valeur d’ouverture de diaphragme Le photographe règle l’ouverture en définissant la valeur d’ouverture du diaphragme (en anglais, « f-stop » ou « f-stop number »). La valeur d’ouverture du diaphragme est la proportion entre la longueur focale de l’objectif et le diamètre de l’ouverture du diaphragme. Par exemple, un objectif de 50 mm dont l’ouverture est d’un diamètre de 12,5 mm donne une valeur d’ouverture de diaphragme de f4 (50 ÷ 12,5 = 4). Par conséquent, plus la valeur d’ouverture du diaphragme est grande, plus le diamètre de l’ouverture du diaphragme est petit. La vitesse de l’objectif est déterminée par sa plus grande valeur d’ouverture de diaphragme (le nombre le plus petit). Par consé- quent, plus l’ouverture est grande, plus l’objectif est rapide. La vitesse de l’objectif La vitesse d’un objectif est déterminée par la quantité maximum de lumière que l’objectif est capable de transmettre, c’est-à-dire par sa plus grande valeur d’ouverture de diaphragme. Lorsqu’un objectif est capable de transmettre plus de lumière que d’autres ayant la même longueur focale, on dit que cet objectif est rapide. Les objectifs rapides permettent aux photographes de prendre des clichés à des vitesses d’obturation plus élevées dans des conditions peu lumineuses. Par exemple, les objectifs dont la valeur d’ouverture de diaphragme maximale est comprise entre 1,0 et 2,8 sont considérés comme rapides. f2 f2.8 f4 f5.6 f8 f11 f16 f22Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images 17 Profondeur de champ La profondeur de champ est la zone de l’image qui est mise au point depuis le premier plan jusqu’à l’arrière-plan et est déterminée par une combinaison de l’ouverture du diaphragme et de la longueur focale de l’objectif. Plus l’ouverture est petite, plus la profondeur de champ est grande. Contrôler la profondeur de champ est une des façons les plus simples pour un photographe de mettre au point la photo. En limitant la profondeur de champ d’une photo, le photographe peut attirer l’attention du spectateur sur l’élément présent dans l’objectif. Souvent, limiter la profondeur de champ d’une photo peut servir à éliminer un éventuel flou dans l’arrière-plan. Par contre, lorsque l’on photographie un paysage, la photo doit avoir une grande profondeur de champ. Limiter la profondeur de champ au premier plan n’a pas de sens. Les téléobjectifs (avec de grandes longueurs focales) ont tendance à avoir une mise au point peu profonde lorsque le diaphragme est ouvert tout au long du processus, ce qui limite la profondeur de champ de la photo. Les objectifs grand-angle (avec des longueurs focales courtes) ont, quant à eux, tendance à créer des photos ayant une grande profondeur de champ, quelle que soit l’ouverture. Petite profondeur de champ Seul le premier plan est mis au point. Grande profondeur de champ La photo est mise au point depuis le premier plan jusqu’à l’arrière-plan.18 Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images Obturateur L’obturateur est un mécanisme complexe qui contrôle de façon précise le temps que la lumière qui passe par l’objectif reste en contact avec le capteur d’image numérique. L’obturateur de l’appareil photo est activé par le bouton d’ouverture de l’obturateur. Avant l’ère numérique, l’obturateur restait fermé pour empêcher que la pellicule ne soit exposée à la lumière. Avec certains types de capteurs d’image numériques, l’obturateur mécanique n’est plus nécessaire. Alors que les obturateurs mécaniques laissent passer une certaine quantité de lumière pour provoquer une réaction chimique sur la pellicule, les capteurs d’image numériques peuvent être simplement activés ou désactivés. Vitesse d’obturation La vitesse d’obturation désigne la durée d’ouverture de l’obturateur ou de l’activation du capteur d’image numérique. L’exposition de la photo est déterminée par la combinaison de la vitesse d’obturation et de l’ouverture du diaphragme. Les vitesses d’obturation sont affichées sous la forme de fractions de seconde, comme, par exemple, 1/8 ou 1/250. Les incréments de la vitesse d’obturation sont similaires aux valeurs d’ouverture du diaphragme, car chaque incrément est toujours la moitié ou le double de l’incrément précédent. Par exemple, 1/60 de seconde est la moitié du temps d’exposition de 1/30 de seconde, mais environ le double de 1/125 de seconde. Les photographes utilisent souvent la vitesse d’obturation pour donner du mouvement ou capter un mouvement. Un objet en mouvement rapide, comme par exemple une voiture, a tendance à devenir flou lorsqu’on le photographie avec une vitesse d’obturation faible, telle que 1/8. À l’inverse, une vitesse d’obturation élevée, telle que 1/1000, permet de « figer » les hélices d’un hélicoptère en vol et de capter son mouvement. Utilisation de la loi de réciprocité pour ajuster une image Vous pouvez régler l’ouverture du diaphragme et la vitesse d’obturation pour créer des photos différentes mais exposées correctement. La relation entre l’ouverture et la vitesse d’obturation est appelée réciprocité. La réciprocité permet au photographe de contrôler la profondeur de champ de l’image, c’est-à-dire la zone de l’image qui reste dans l’objectif. C’est la façon la plus simple de déterminer la partie de l’image que vous souhaitez mettre en avant. Par exemple, augmenter l’ouverture de l’objectif d’un cran et diminuer la vitesse d’obturation d’un cran donne la même exposition. De la même façon, réduire l’ouverture d’un cran et augmenter la vitesse d’obturation d’un cran donne la même exposition. C’est la raison pour laquelle f4 à 1/90 de seconde est égal à f5.6 à 1/45 de seconde. L’ouverture et la vitesse d’obturation d’un appareil photo se combinent en effet pour donner une exposition correcte à une photo.Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images 19 Capteur d’image numérique Lorsque la lumière réfléchie par l’élément à photographier passe au travers de l’objectif et du diaphragme, l’image est capturée par le capteur d’image numérique. Le capteur d’image numérique est une puce électronique qui se trouve dans l’appareil photo et qui est composée de millions d’éléments capables de capturer la lumière. Ces éléments sensibles à la lumière transforment cette dernière en valeurs de tension à partir de l’intensité de la lumière. Ces valeurs de tension sont ensuite converties en données numériques par un convertisseur analogique-numérique (CAN). On appelle ce processus la conversion analogique-numérique. Les nombres qui correspondent aux valeurs de tension des différents élé- ments se combinent pour former les valeurs des diverses tonalités et couleurs de l’image. Sur un capteur d’image numérique, chaque élément sensible à la lumière est pourvu d’un filtre rouge, vert ou bleu correspondant à un canal de couleur dans un pixel de l’image qui est capturée. Il y a environ trois fois plus de filtres verts que de filtres rouges et bleus pour compenser la façon dont l’œil perçoit les couleurs. Cet arrangement de couleurs est aussi connu sous le nom de matrice de filtre de Bayer. (Pour en savoir plus sur la façon dont l’œil perçoit les couleurs, consultez la section « Comment l’œil perçoit la lumière et la couleur » à la page 31). Un processus appelé interpolation des couleurs est utilisé pour déterminer les valeurs de couleur supplémentaires de chaque élément. Types de capteurs d’image numériques les plus courants On utilise généralement deux types de capteurs d’image numériques : le dispositif à couplage de charges (ou DCC) et le semi-conducteur à oxyde de métal complémentaire (ou CMOS). Matrice de filtre de Bayer20 Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images DCC Les capteurs DCC furent développés à l’origine pour les caméras vidéo. Les capteurs DCC enregistrent l’image pixel par pixel et ligne par ligne. Les informations de tension de tous les éléments d’une ligne sont transmises avant de descendre à la ligne suivante. Une seule ligne est active à la fois. Le DCC ne convertit pas lui-même les informations de tension en données numériques. Des circuits supplémentaires sont ajoutés à l’appareil photo pour numériser les informations de tension avant de transférer les données au dispositif de stockage. CMOS Les capteurs CMOS sont capables d’enregistrer l’image entière fournie par les éléments sensibles à la lumière en parallèle (tous à la fois, en principe), ce qui donne un débit de données plus élevé pour le transfert vers le dispositif de stockage. Des circuits supplé- mentaires sont ajoutés à chaque élément pour convertir les informations de tension en données numériques. Une lentille colorée minuscule est fixée sur chaque élément pour améliorer sa capacité à interpréter la couleur de la lumière. De gros progrès ont été accomplis ces dernières années en matière de sensibilité et de vitesse des capteurs CMOS, faisant d’eux le type de capteur d’image numérique le plus couramment utilisé pour les reflex numériques professionnels. Mégapixels La résolution d’un appareil photo numérique se mesure en mégapixels. Cette mesure indique le nombre de millions de pixels que les éléments sensibles à la lumière peuvent capturer sur le capteur d’image numérique. Un appareil photo à 15 mégapixels est donc capable de capturer 15 millions de pixels. Matrice de filtre de Bayer RVB sur un capteur DCC Les valeurs de tension sont enregistrées ligne par ligne. Chaque élément enregistre une seule couleur. Matrice de filtre de Bayer RVB sur un capteur CMOS Les valeurs de tension de chaque élément sont créées de manière simultanée.Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images 21 ISO Autrefois, l’ISO (International Standards Organization) définit une norme pour mesurer la sensibilité relative des pellicules. Plus le classement ISO est élevé, plus une pellicule est sensible à la lumière. Les pellicules dont le classement ISO est élevé nécessitent en effet moins de lumière pour enregistrer une image. Le classement ISO a été redéfini pour les appareils photo numériques de façon à indiquer la sensibilité du capteur à la lumière. La plupart des reflex numériques disposent de réglages ISO allant de 100 à 3200 ISO. Malheureusement, lorsque les réglages ISO sont élevés (400 ISO et plus), certains appareils photo ont des difficultés à maintenir une exposition constante pour tous les pixels de l’image. Dans ces cas-là. pour augmenter la sensibilité du capteur d’image numérique, l’appareil photo amplifie la tension reçue de chaque élément du capteur d’image avant de convertir le signal en valeur numérique. Si les signaux de tension provenant des différents éléments sont amplifiés, les anomalies dans les couleurs foncées unies le sont aussi. Cela provoque des pixels irréguliers avec des valeurs de couleur claires incorrectes, connus aussi sous le nom de bruit numérique. Pour en savoir plus sur le bruit numérique, consultez la section « Réduction du bruit numérique » à la page 27. Carte mémoire Une fois que le capteur d’image numérique a capturé l’image, l’appareil photo emploie une série de processus pour optimiser la photo. Un grand nombre de ces processus sont basés sur les réglages d’appareil photo définis par le photographe avant la prise de vue, comme par exemple le réglage ISO. Après avoir traité l’image, l’appareil photo stocke les informations numériques dans un fichier. Le type de fichier numérique créé dépend du fabricant de l’appareil photo. Toutefois, les fichiers RAW contiennent les données de l’image numérique avant sa conversion en un type de fichier normalisé, comme par exemple JPEG ou TIFF. Tous les fichiers RAW ne sont pas semblables, mais les données d’image produites par le capteur d’image numérique et le processeur de votre appareil photo sont stockées bit après bit dans ce fichier. Pour en savoir plus sur ces types de fichier, consultez la section « Les formats RAW, JPEG et TIFF » à la page 22. Une fois que le fichier est prêt pour le stockage, l’appareil photo transfère le fichier de son processeur vers la carte mémoire. Il existe plusieurs types de cartes mémoire, mais les processus utilisés pour la réception des informations sont identiques.22 Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images Flash externe Dans certains cas, la lumière supplémentaire fournie par le flash externe est nécessaire. De nombreux modèles de reflex numériques semi-professionnels sont équipés d’un flash intégré ou à fixer sur l’appareil photo, mais la proximité de l’objectif et le manque de contrôle de l’exposition du flash rendent leur utilisation difficile pour un travail professionnel. Les flashes externes offrent un contrôle plus professionnel sur l’exposition du flash. Cela inclut les flash forcés à réglage précis (flash à basse intensité qui illumine l’élément sur un arrière-plan clair afin qu’il n’apparaisse pas à contre-jour) et permet d’éviter la surexposition des éléments en intérieur. Les flashes externes ou à fixer sur l’appareil photo sont mis en correspondance avec l’ouverture de l’obturateur via la griffe porte-flash ou le terminal PC de l’appareil. Les formats RAW, JPEG et TIFF Il est important de comprendre les différences entre les différents types de fichiers image. Les types de fichiers RAW, JPEG et TIFF sont décrits ci-après. RAW Le fichier RAW d’un appareil photo est une image numérique bit par bit non interpré- tée, enregistrée par l’appareil photo lors de la capture de l’image. En plus des pixels qui composent l’image, le fichier RAW contient aussi des données sur la façon dont la photo a été prise, comme par exemple la date et l’heure de la prise de vue, les réglages relatifs à l’exposition, le type d’appareil photo et le type d’objectif. Ces informations sont aussi appelées métadonnées. Le nom RAW (« brut » en anglais) fait référence à l’état du fichier image avant sa conversion dans un format courant, comme le format JPEG ou TIFF. Comme, dans le passé, la plupart des applications photo n’étaient pas en mesure de traiter les fichiers RAW, ces derniers devaient être convertis pour pouvoir être utilisés dans un logiciel de traitement d’images. Griffe porte-flash Terminal PCChapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images 23 Pourquoi prendre des photos au format RAW ? Il y a de nombreuses bonnes raisons de capturer les images sous la forme de fichiers RAW plutôt que sous la forme de fichiers JPEG. Mais les fichiers RAW nécessitent un traitement supplémentaire pour obtenir la balance des couleurs souhaitée, alors que la balance des fichiers JPEG est réalisée par l’appareil photo. Les fichiers JPEG sont aussi moins lourds que les fichiers RAW ; ils occupent donc moins d’espace de stockage. Les avantages de la prise de photos au format RAW sont les suivants :  La profondeur de bits supérieure offre une marge plus importante pour la correction des couleurs. Le format JPEG est limité à 8 bits par canal de couleur. Les images au format RAW disposent de 16 bits par canal, avec 12 à 14 bits par canal d’informations de couleur. Bien que cela puisse paraître compliqué, cela signifie que vous pouvez faire beaucoup plus de correction de couleurs sans dégrader l’image et sans introduire de bruit dans les couleurs. (Pour en savoir plus sur la profondeur de bits, consultez la section « À propos de la profondeur de bits » à la page 42).  Une fois que le fichier RAW est décodé, vous travaillez sur les données les plus précises et les plus élémentaires de l’image.  Vous contrôlez la balance des blancs, l’interpolation des couleurs et à la correction gamma de l’image au cours de la postproduction plutôt que lors de la prise de vue.  Le fichier image n’est pas compressé, comme le sont les fichiers JPEG, ce qui signifie qu’il n’y a aucune perte de données.  La plupart des appareils photo capturent des couleurs qui se situent en dehors de la gamme des couleurs des fichiers JPEG (tant les formats Adobe RGB 1998 que sRGB), ce qui signifie qu’il y a un certain écrêtage des couleurs lorsque vous enregistrez des photos sous la forme de fichiers JPEG. Les fichiers RAW préservent la gamme des couleurs d’origine de l’appareil photo, ce qui permet à Aperture de procéder à des ajustements qui tirent profit de l’ensemble de la gamme des couleurs capturées.  Les fichiers RAW vous permettent de contrôler la réduction du bruit (luminance et séparation des couleurs) et d’augmenter la netteté de l’image après la capture. Dans les fichiers au format JPEG, la réduction du bruit et l’augmentation de la netteté sont appliquées en fonction des réglages de l’appareil photo en permanence.24 Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images JPEG Le format JPEG (de l’anglais « Joint Photographic Experts Group ») est un format de fichier image courant qui permet de créer des fichiers image très compressés. Le niveau de compression utilisé peut varier. Moins de compression donne des images de meilleure qualité. Lorsque vous prenez une photo au format JPEG, votre appareil photo convertit le fichier image RAW en un fichier JPEG à 8 bits (avec 8 bits par canal de couleur) avant de l’enregistrer sur la carte mémoire. Pour ce faire, l’appareil photo doit compresser l’image ; cela provoque une perte de données durant l’opération. Les images JPEG sont généralement utilisées pour un affichage à l’écran. TIFF Le format TIFF (de l’anglais « Tag Image File Format ») est un format de fichier image bitmap très utilisé capable de stocker 8 ou 16 bits par canal de couleur. Tout comme les fichiers JPEG, les fichiers TIFF sont convertis à partir de fichiers RAW. Si votre appareil photo ne vous permet pas de prendre des photos au format TIFF, vous pouvez les prendre au format RAW, puis les convertir au format TIFF à l’aide d’un logiciel. Les fichiers TIFF peuvent avoir une plus grande profondeur de bits que les fichiers JPEG, ce qui leur permet de conserver plus d’informations sur les couleurs. De plus, les fichiers TIFF peuvent utiliser la compression sans perte : dans ce cas, bien que le fichier soit un peu plus petit, aucune information n’est perdue. Le résultat final est une image de meilleure qualité. C’est la raison pour laquelle l’impression se fait souvent à partir de fichiers TIFF. Astuces en matière de prise de vue Voici quelques astuces pour vous aider à solutionner des problèmes courants en photographie. Réduction du tremblement de l’appareil photo Le tremblement de l’appareil photo est provoqué par une combinaison des mouvements de la main du photographe (ou son incapacité à garder l’appareil photo immobile), une vitesse d’obturation basse et une longueur focale élevée. Le tremblement de l’appareil photo donne des photos floues. La longueur focale de l’objectif, combinée à une vitesse d’obturation basse, crée une situation dans laquelle la vitesse d’obturation est trop basse pour figer l’image avant que l’appareil photo ne bouge.Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images 25 Vous pouvez supprimer le tremblement de l’appareil photo en utilisant un trépied ou en augmentant la vitesse d’obturation à une valeur supérieure à la longueur focale. Par exemple, si vous prenez des photos à une longueur focale équivalente à 100 mm, vous devriez régler la vitesse d’obturation sur 1/100 de seconde ou plus rapide. Le capteur d’image numérique capturera l’image avant que le mouvement de l’objectif n’ait le temps d’enregistrer des informations de lumière supplémentaires sur le capteur. Remarque : certains objectifs disposent de fonctionnalités de stabilisation d’image qui permettent au photographe de prendre des vues à une vitesse d’obturation dont la valeur est inférieure à la longueur focale de l’objectif. Suppression de l’effet yeux rouges dans vos photos L’effet yeux rouges est ce phénomène qui donne aux gens des yeux rouges ardents dans les photos. Il est provoqué par la proximité du flash (en particulier du flash inté- gré) et de l’objectif de l’appareil photo, ce qui fait réfléchir la lumière provenant de l’élément à photographier directement vers l’appareil photo. Lors du déclenchement du flash, la lumière se réfléchit sur le sang des capillaires situés au fond de l’œil de la personne et est renvoyée vers l’objectif de l’appareil photo. Les personnes qui ont des yeux bleus sont particulièrement sensibles à ce phénomène car elles disposent de moins de pigments pour absorber la lumière.26 Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images Il y a plusieurs façons de réduire, voire d’éliminer, les yeux rouges dans vos photos. Certains appareils photo disposent d’une fonctionnalité de réduction des yeux rouges, qui émet un petit flash avant le flash proprement dit, forçant ainsi les iris des personnes à photographier à se fermer avant que vous ne preniez la photo. Le principal inconvénient de cette méthode est qu’elle oblige souvent les personnes à fermer involontairement les yeux juste avant que la photo ne soit prise ; de plus, elle n’élimine pas toujours entiè- rement l’effet yeux rouges. Une méthode plus efficace consiste à utiliser un flash externe monté sur la griffe porteflash de l’appareil photo ou, mieux encore, sur un bras d’extension. Un flash externe modifie radicalement l’angle du flash, ce qui empêche l’objectif de capturer le reflet provenant des capillaires situés au fond des yeux. Bien que vous puissiez aussi solutionner le problème des yeux rouges à l’aide d’Aperture, sachez qu’il n’est pas possible de reproduire avec précision la couleur d’origine des yeux de la personne. Empêcher le phénomène de se produire est donc la meilleure solution. La lumière pénètre dans l’œil et est directement renvoyée vers l’appareil photo, provoquant l’effet yeux rouges. Flash intégré Flash externe La lumière pénètre dans l’œil selon des angles différents et est diffusée au moment d’en ressortir.Chapitre 1 Comment les appareils photo numériques capturent les images 27 Réduction du bruit numérique Le bruit numérique est cet effet constitué de petits points qui se produit dans les photos à longue exposition ou dans les photos prises avec un réglage ISO élevé dans des conditions peu lumineuses. Cet effet est plus évident dans les photos prises dans des conditions peu lumineuses. De nombreuses personnes pensent que le bruit numérique est l’équivalent du grain de la pellicule argentique. Bien que les causes soient identiques, les effets sont différents. Certains photographes utilisant des pellicules argentiques prennent intentionnellement des photos avec un grain accentué à des fins artistiques. Le bruit numérique, par contre, porte atteinte à la photo à cause de la présence de pixels clairs irréguliers dans des couleurs unies et ne possède pas les qualités esthétiques du grain de pellicule accentué. Vous pouvez réduire le bruit numérique en prenant vos photos à des réglages ISO compris entre 100 et 400. Le réglage de 400 ISO donne plus de latitude d’exposition, mais même ce réglage peut provoquer un peu de bruit numérique. Si l’élément à photographier n’est pas en mouvement et que vous ne pouvez pas utiliser de flash, l’utilisation d’un trépied vous permet de prendre des photos avec des réglages ISO bas. De nombreux modèles de reflex numériques disposent d’une fonctionnalité de réduction du bruit. Si vous l’activez, elle sera utilisée automatiquement lorsque vous prendrez des photos avec de longues expositions. Les couleurs de l’appareil photo sont corrigées au niveau du pixel, l’image étant traitée dès la prise de vue. Le principal inconvénient de la réduction du bruit numérique sur l’appareil photo est l’important temps mort requis pour le traitement de l’image entre deux prises de vue. Une façon d’éviter ce temps mort consiste à désactiver la fonctionnalité de réduction du bruit désactivée sur l’appareil photo et d’utiliser les contrôles d’ajustement Réduction de bruit d’Aperture après y avoir importé les photos. 100 ISO 200 ISO 400 ISO 800 ISO 1600 ISO 3200 ISO2 29 2 Comment sont affichées les images numériques Avoir une idée de la manière dont la lumière est capturée, stockée, affichée à l’écran et imprimée peut vous aider à créer la photo que vous souhaitez. Il n’est pas nécessaire d’avoir des notions de physique concernant la lumière et la couleur pour pouvoir juger du réalisme des couleurs d’une photo. Comment savez-vous qu’un coucher de soleil est orange, que le ciel est bleu et que l’herbe est verte ? Et quel est exactement l’orange du coucher de soleil ? Quelle sorte d’orange est-ce ? Il est relativement facile de décrire verbalement votre perception des couleurs, mais comment choisissez-vous la balance des blancs qui rend le mieux la couleur orange ? Ce chapitre explique comment reproduire fidèlement la couleur que vous capturez à l’aide de votre appareil photo à l’écran et dans vos impressions. Ce chapitre couvre les sujets suivants :  La perception subjective de la couleur par l’œil humain (p. 29)  Comment l’œil perçoit la lumière et la couleur (p. 31)  Sources de lumière (p. 32)  L’affichage d’une photo numérique (p. 35) La perception subjective de la couleur par l’œil humain Parmi les éléments qui font une bonne photo, il y a la composition, la couleur et la luminosité. En tant que photographe, votre tâche consiste à capturer les couleurs que vous voyez de la façon la plus fidèle possible. Que vous souhaitiez rendre la couleur exactement comme vous la voyez ou améliorer la couleur en ajustant sa température, vous devez comprendre vos choix et composer la photo en conséquence. Malheureusement, l’œil et le cerveau humain ne peuvent pas voir les couleurs de manière objective. À moins de comparer côte à côte votre photo à l’écran, le tirage photographique et l’élément photographié proprement dit, il sera difficile de déterminer la façon dont les couleurs sont altérées d’un support à l’autre. Et même en comparant les différents supports côte à côte, il sera pratiquement impossible de mesurer les différences de manière objective à l’aide de vos yeux uniquement.30 Chapitre 2 Comment sont affichées les images numériques La nature subjective de la perception visuelle ne doit pas nécessairement être considérée comme un handicap. Cela serait même plutôt une bonne chose. Le caractère objectif de la technologie donne bien souvent lieu à des remises en question en photographie. Le problème de la balance des blancs en est un bon exemple. Aussi bien les pellicules que les capteurs d’image numériques sont conçus pour interpréter le blanc dans des conditions bien déterminées. La lumière extérieure (celle du jour) contient bien plus de lumière bleue que la lumière produite par les ampoules et les bougies à l’intérieur. Dans ces différentes conditions d’éclairage, les objets blancs paraissent objectivement plus bleus (lumière du jour), plus rouges (lampes à incandescence) ou plus verts (lampes à fluorescence), mais le cerveau utilise une série d’indices psychologiques pour déduire que les objets blancs sont blancs, même s’ils paraissent être d’une autre couleur. Une voiture blanche sous un coucher de soleil paraît orange, mais si quelqu’un vous demande la couleur de la voiture, vous répondrez sans hésiter qu’elle est blanche. C’est parce que vous savez que la voiture est blanche même si elle semble ne pas l’être à ce moment-là. Le matin, même si la voiture a une teinte bleutée, vous répondrez également qu’elle est blanche. Les capteurs d’image numériques et les pellicules, par contre, n’enregistrent que ce qu’ils reçoivent objectivement ; ils ne l’interprètent pas. La fonctionnalité de balance des blancs automatique qui équipe de nombreux appareils photo numériques mesure la scène dans le viseur et commande à l’appareil photo d’interpréter le point le plus clair comme étant du blanc. Il est important de le savoir lorsque vous passez d’un éclairage à un autre. La lumière et la couleur peuvent être mesurées et caractérisées de façon objective. L’analyse scientifique de la lumière et de la couleur est nécessaire pour fabriquer des outils photographiques fiables et cohérents tels que des pellicules, des capteurs d’image numériques, des écrans et des imprimantes. L’objectif n’est pas nécessairement de faire en sorte que tous ces appareils capturent ou affichent les couleurs de la même façon (bien que cela rendrait les choses nettement plus simples), mais de développer une terminologie et des processus permettant de mesurer objectivement en quoi ces appareils diffèrent et d’ajuster la sortie en conséquence, afin que les résultats correspondent à la perception visuelle.Chapitre 2 Comment sont affichées les images numériques 31 Comment l’œil perçoit la lumière et la couleur Les capteurs d’image numériques et l’œil humain perçoivent la couleur de façon similaire. Une des choses remarquables concernant la vision de l’homme est son incroyable flexibilité. Un œil « sain » peut voir dans la lumière du plus fort des soleils comme dans l’obscurité presque totale. Si vous avez un peu d’expérience en photographie, vous savez que c’est là une flexibilité remarquable. Les pellicules qui fonctionnent en exté- rieur sont pratiquement inutiles en intérieur et inversement. La flexibilité de la vision humaine vient de trois parties différentes de l’œil :  La pupille ou l’iris : la pupille (que l’on appelle aussi l’iris) se dilate et se rétrécit en fonction de la quantité de lumière que l’œil reçoit.  Les bâtonnets rétiniens : un des deux types de cellules sensibles à la lumière. Les bâtonnets rétiniens perçoivent les niveaux de luminosité (mais pas la couleur) et fonctionnent le mieux sous une lumière faible.  Les cônes rétiniens : un des deux types de cellules sensibles à la lumière. Les cônes rétiniens peuvent percevoir la couleur sous une lumière forte. Tout comme les capteurs d’image numériques disposent d’éléments sensibles à la lumière capables de lire la lumière rouge, verte et bleue, l’œil dispose de trois types de cônes rétiniens, chacun sensible à une partie différente du spectre électromagnétique visible :  Les cônes L : perçoivent les couleurs de teintes rouges possédant des longueurs d’onde, dans le spectre visible, comprises environ entre 600 et 700 nanomètres (nm).  Les cônes M : perçoivent les couleurs de teintes vertes possédant des longueurs d’onde, dans le spectre visible, comprises environ entre 500 et 600 nm.  Les cônes S : perçoivent les couleurs de teintes bleues possédant des longueurs d’onde, dans le spectre visible, comprises environ entre 400 et 500 nm. L’œil humain possède environ deux fois plus de cônes rétiniens sensibles au vert que de cônes rétiniens sensibles au rouge et au bleu. Cette arrangement des couleurs est semblable à celui des éléments de couleur d’un capteur d’image numérique. (Pour en savoir plus sur la façon dont les capteurs d’image numériques capturent les images, consultez la section « Capteur d’image numérique » à la page 19). La couleur que l’œil voit dans une scène dépend des cellules qui sont stimulées. La lumière bleue, par exemple,stimule les cônes sensibles au bleu, ce que le cerveau interprète comme étant du bleu. Le cerveau interprète les combinaisons de réponses provenant de plusieurs cônes à la fois comme des couleurs secondaires. Par exemple, la lumière rouge et la lumière bleue stimulent en même temps les cônes sensibles au rouge et ceux sensibles au bleu, et le cerveau interprète cette combinaison comme étant du magenta (rouge + bleu). Si les trois types de cônes rétiniens sont stimulés par la même quantité de lumière, l’œil voit du blanc ou une nuance neutre de gris.32 Chapitre 2 Comment sont affichées les images numériques Les cônes sont plus étalés dans l’oeil que les bâtonnets. De plus, ils sont nettement moins sensibles à la lumière de sorte qu’ils ne sont activés que lorsque la luminosité d’une scène ou d’un objet franchit un certain seuil. C’est pourquoi les scènes à faible luminosité ont tendance à être monochromatiques (comme le noir ou le blanc), alors que les scènes à forte luminosité sont détectées par les cônes et donc perçues en couleur. Sources de lumière Avant l’invention de l’éclairage électrique, l’énergie électromagnétique ne provenait que de quelques sources. Le soleil reste la principale source de lumière. Le feu et les bougies ont fourni une lumière aux heures du soir pendant des milliers d’années, même si celle-ci est nettement plus faible que celle des lampes électriques. Parmi les nouvelles sources de lumière, il y a les lampes à lumière incandescente, les tubes à lumière fluorescente, les tubes cathodiques (les écrans CRT), les écrans à cristaux liquides, les diodes électroluminescentes (voyants DEL) et quelques matériaux phosphorescents. Ces sources de lumière influencent directement les photos que vous prenez en tant que photographe. La température de couleur de la lumière Le terme température de couleur est utilisé pour décrire la couleur de la lumière. Toute source de lumière a une température de couleur. La température de couleur fait toutefois référence à la valeur de couleur de la lumière plutôt qu’à sa valeur calorifique. La température de couleur de la lumière se mesure en unités appelées kelvins (K). Cette échelle des températures mesure l’intensité relative de la lumière allant du rouge au bleu. La lumière chaude, celle qui a tendance à jeter une teinte rouge-orange sur la photo, possède une température moins élevée. La lumière neutre ou équilibrée se situe dans la moyenne et n’a pas d’incidence sur les valeurs de couleur de la photo à cause de ses qualités de blanc. La lumière froide, celle qui paraît bleue, possède une température plus élevée. Source de lumière Température de couleur approximative Bougie 1930 K Lumière du soleil à l’aube 2000 K Lampe à incandescence (d’intérieur) 2400 K Lampe fluorescente d’intérieur traditionnelle 3000 K Lampe photographique 3200 K Lampe « photoflood » 3400 K Lampe flash transparente 3800 K Lumière du soleil à midi 5400–5500 K Lampe flash bleue 6000 K Lampe flash électronique 6000 K Lumière du jour (en moyenne) 6500 K Ciel bleu 12000–18000 KChapitre 2 Comment sont affichées les images numériques 33 Avec l’invention de la photo couleur, une série de nouveaux problèmes sont apparus. En plus de devoir exposer correctement la photo, les photographes devaient dorénavant aussi prendre en compte les diverses teintes de couleur que les différentes sources de lumière jetaient sur leur émulsion. Les fabricants de pellicules améliorèrent la situation en développant des émulsions différentes pour les plages des températures de couleur de la lumière du jour et des lampes à incandescence. Les fabricants d’appareils photo s’en mêlèrent aussi en développant des filtres de couleur à fixer sur l’objectif de l’appareil photo pour aider les photographes à prendre des photos dans une plage de tempé- ratures différente de celle de la pellicule. Ces diverses solutions n’éliminèrent toutefois pas entièrement le problème parce que les photos prises dans des conditions d’éclairage imprévues et difficiles restaient irréparables au cours de la phase d’impression. Comment la balance des blancs détermine la température de couleur Lorsque vous prenez une photo à l’aide d’une appareil photo numérique, la température de couleur de la scène n’est prise en compte qu’une fois que l’image est traitée par le processeur de l’appareil photo. L’appareil photo se réfère à son réglage de la balance des blancs lorsqu’il traite l’image. Lorsque la balance des blancs de l’appareil photo est réglée sur automatique, l’appareil photo assume que la valeur la plus claire est du blanc et ajuste toutes les autres couleurs de la photo en conséquence. Si la valeur la plus claire est réellement du blanc, les couleurs de la photo sont rendues correctement. Par contre, si la couleur la plus claire est du jaune, l’appareil photo assume toujours que cette valeur est du blanc et déséquilibre toutes les autres couleurs. Il est toutefois possible de régler la température de couleur d’une image numérique. La balance des blancs est un processus mathématique qui calcule la température de couleur d’une image et applique les effets aux valeurs de couleur de l’image une fois que le fichier RAW est stocké. Les données relatives à la température de couleur sont stockées sous forme de métadonnées. Les données numériques qui composent le fichier RAW original ne sont pas modifiées. De cette façon, quel que soit le réglage de balance des blancs ou de température de couleur qui a été appliqué lors de la prise de vue, la température de couleur de l’image peut toujours être corrigée après coup. Les fichiers RAW des appareils photo numériques solutionnent le problème de la flexibilité de la température de couleur, alors que les pellicules n’ont jamais réussi à le faire.34 Chapitre 2 Comment sont affichées les images numériques Mesure de l’intensité de la lumière Pour pouvoir prendre une photo avec une exposition correcte, vous devez connaître la valeur exacte de l’intensité de la lumière. Les photographes utilisent des posemètres pour mesurer l’intensité de la lumière réfléchie dans une scène. Les appareils photo numériques disposent de posemètres intégrés très sophistiqués et extrêmement pré- cis. Malheureusement, cette précision est subjective. L’ouverture du diaphragme et les vitesses d’obturation recommandées sont déterminées par la façon dont la lumière éclaire la scène et le réglage du posemètre. Le posemètre de l’appareil photo peut « conseiller » au photographe une combinaison entre ouverture et vitesse d’obturation offrant une exposition correcte. Mais il ne vous donnera probablement pas l’exposition parfaite, parce qu’il ne sait pas ce que vous êtes en train de photographier. Les posemètres ne peuvent en effet pas évaluer les couleurs ni le contraste. Il ne voient que la luminance, c’est-à-dire la luminosité de la lumière réfléchie dans une scène. Les appareils photo équipés de posemètres sophistiqués peuvent être réglés pour mesurer ou tester des zones déterminées de la scène. La plupart des reflex numériques permettent de choisir la zone du viseur à mesurer. Voici les principaux réglages de mesure de la luminosité :  Mesure évaluative : la mesure évaluative divise le cadre en plusieurs petites zones, prend une mesure par zone, puis calcule la moyenne de toutes les zones pour recommander la meilleure valeur d’exposition pour l’ensemble de la photo.  Mesure sélective : la mesure sélective mesure la lumière dans une petite zone cible (située généralement au centre du cadre). La mesure sélective est particulièrement utile lorsque l’élément à photographier se trouve sur un arrière-plan relativement clair ou sombre. La mesure sélective vous permet d’exposer correctement l’élément à photographier. L’inconvénient est qu’il est possible que l’arrière-plan soit fortement sous-exposé ou surexposé. C’est pourquoi il est recommandé de prendre plusieurs vues en rafale lorsque vous vous trouvez dans une situation qui nécessite l’utilisation du posemètre. Pour en savoir plus sur la prise de vue en rafale, consultez la section suivante « Prises de vue en rafale pour obtenir la bonne exposition ».  Mesure intégrale à prédominance centrale : lorsque le posemètre de l’appareil photo est réglé sur la mesure intégrale à prédominance centrale, l’appareil photo mesure la lumière dans l’ensemble du viseur, mais donne la prédominance au centre du cadre. Ce réglage est généralement utilisé par les photographes portraitistes, car l’élément à photographier est généralement centré alors que l’arrière-plan ne peut pas être ignoré. Si l’élément n’est pas au centre du cadre, le posemètre assume que l’arrièreplan est l’exposition correcte et laisse l’élément exposé de façon incorrecte.Chapitre 2 Comment sont affichées les images numériques 35 Il est important de noter que les posemètres ne font que conseiller. Si vous tenez surtout à faire ressortir les détails des parties éclairées de la scène, vous pouvez opter pour une exposition plus courte que celle recommandée par le posemètre. De la même façon,si vous tenez surtout à faire ressortir les détails des parties sombres de la scène, vous pouvez opter pour une exposition plus longue que celle recommandée par le posemètre. C’est à vous, en tant que photographe, d’utiliser le posemètre pour obtenir la meilleure exposition de la scène dans votre photo. L’affichage d’une photo numérique Les photographes affichent leurs photos numériques de deux façons : à l’écran et sur papier. Les méthodes d’affichage d’une photo à l’écran et sur une impression affichée au mur sont tout à fait différentes. Les ordinateurs, les téléviseurs, les caméras et les appareils photo créent des photo couleur en combinant les couleurs primaires rouge, vert et bleu (RVB) émises par une source de lumière. Cette approche est basée sur la théorie de la synthèse additive des couleurs. Les photos imprimées, elles, nécessitent une source de lumière externe à partir de laquelle réfléchir la lumière. La technologie d’impression utilise la théorie de la synthèse soustractive des couleurs, en général, avec quatre couleurs primaires : le cyan, le magenta, le jaune et le noir (CMJN). Prises de vue en rafale pour obtenir la bonne exposition Même une mesure soignée de la lumière donne parfois des photos sous-exposées ou surexposées. C’est pourquoi les photographes professionnels prennent leurs photos en rafales chaque fois que c’est possible pour être sûrs d’obtenir une photo exposée correctement. La prise de vue en rafale consiste à prendre trois photos consécutives du même sujet avec l’ouverture et la vitesse d’obturation recommandées par le posemètre : une photo sous-exposée d’un cran, une photo à l’exposition recommandée et une photo surexposée d’un cran. Photographier le même sujet avec trois expositions différentes est la meilleure façon de s’assurer une photo correctement exposée. Remarque : la plupart des modèles de reflex numériques disposent d’une fonctionnalité de prise de vue en rafale automatique intégrée. Consultez le manuel d’utilisation pour apprendre comment l’utiliser.36 Chapitre 2 Comment sont affichées les images numériques Comparaison entre synthèse additive et synthèse soustractive des couleurs On dit que les photos dont les éléments de couleur sont dérivés de la source de lumière proprement dite utilisent la synthèse additive, alors que les photos qui soustraient ou absorbent certaines longueurs d’onde de la lumière et qui réfléchissent donc certaines couleurs vers l’observateur utilisent la synthèse soustractive. À cause de ces différences, une photo affichée avec des couleurs obtenues par synthèse additive (par exemple, sur un écran) sera toujours différente de la même photo affichée avec des couleurs obtenues par synthèse soustractive (par exemple, sur la couverture d’un magazine). Cela est dû au fait que les appareils numériques tels que les écrans à cristaux liquides combinent les lumières rouge, verte et bleue dans différentes combinaisons pour produire la couleur souhaitée. Toutes les couleurs combinées à leur intensité maximale donnent du blanc, tandis que l’absence de couleur donne du noir. Par contre, un document imprimé, comme une couverture de magazine, associe différentes combinaisons de cyan (C), de magenta (M), de jaune (J) et de noir (N) pour créer une couleur qui réfléchit la lumière de la bonne couleur. L’encre noire (N) est ajoutée en dernier à la photo pour produire du noir pur. L’ajout d’encre donne une couleur plus foncée, alors que l’absence d’encre donne une couleur plus claire. Ce modèle de couleurs est aussi connu sous le nom de CMJN ou quadrichromie. Rouge Jaune Bleu Synthèse additive Blanc Magenta Cyan Vert Synthèse soustractive Rouge Jaune Bleu Noir Cyan Magenta Vert B R V J C M NChapitre 2 Comment sont affichées les images numériques 37 La gamme de couleurs En 1931, un groupe de scientifiques et d’intellectuels qui se donnaient pour nom la Commission Internationale de l’Éclairage (CIE) s’était fixé pour objectif de définir des normes pour la couleur. Avec la plus grande objectivité possible sur un sujet aussi subjectif, ils mirent au point un système de coordonnées destiné à catégoriser le monde des couleurs. D’après ce système, toutes les teintes que l’œil perçoit peuvent être décrites à l’aide de coordonnées x et y. Nous pouvons donc dire qu’il est possible de convertir les couleurs primaires RVB de tout appareil qui reproduit des couleurs en valeurs x et y de la CIE. Cette affirmation constitue le point de départ des systèmes de gestion des couleurs comme ColorSync. L’ensemble des couleurs décrites par le diagramme bidimensionnel de ces coordonnées x et y est souvent appelé la gamme de couleurs de l’appareil. En d’autres termes, la gamme de couleurs d’un système fait référence à l’ensemble des différentes couleurs que ce système est capable d’afficher. En plus de cette description des couleurs bidimensionnelle, la gamme de couleurs possède une troisième dimension : la luminosité. Malheureusement, la gamme de couleurs des écrans ne correspond pas exactement aux couleurs obtenues par synthèse soustractive de l’impression. Par exemple, certaines couleurs qui apparaissent à l’écran ne peuvent pas être reproduites à l’identique à l’impression et inversement. Affichage d’images à l’écran Comme il est dit plus haut, lorsque vous affichez avec des photos sur l’écran de votre ordinateur, vous travaillez avec de la lumière additive. L’écran convertit l’électricité en lumière et les pixels de l’écran produisent une image en utilisant un modèle d’espace colorimétrique RVB. (Le terme espace colorimétrique fait référence aux limites, ou paramètres, d’un spectre visible donné. Les espaces colorimétriques les plus courants sont sRGB et Apple RGB). Ce processus commence lorsque le fichier image sur le disque dur de l’ordinateur est traité, puis envoyé à la carte graphique pour d’autres traitements et pour stockage temporaire dans la mémoire. La carte graphique traite la photo, se pré- parant à l’afficher dans la résolution et dans le profil colorimétrique de l’écran ou des écrans connectés à l’ordinateur. (Un profil colorimétrique correspond à la compilation des informations colorimétriques relatives à un appareil déterminé, comme par exemple sa gamme de couleurs, son espace colorimétrique et ses modes de fonctionnement). Le traitement de la photo peut prendre du temps, en fonction de la taille et de la profondeur de bits du fichier image, de la taille et du nombre d’écrans dans le système, et de la résolution de ces derniers. Que la photo ait été numérisée ou téléchargée directement à partir d’un appareil photo, elle a été enregistrée numériquement dans un espace colorimétrique RVB. Le principe du RVB est la combinaison des couleurs rouge, vert et bleu émises par une source de lumière pour former une grand variété de couleurs supplémentaires. Sur les écrans en couleurs, trois éléments de couleur (un rouge, un vert et un bleu) sont combinés pour former un pixel. Lorsque le rouge, le vert et le bleu sont combinés à leur intensité maximale, on obtient du blanc. En cas d’absence de lumière dans les trois élé- ments de couleur, on obtient du noir.38 Chapitre 2 Comment sont affichées les images numériques Importance de l’étalonnage de votre écran Il est extrêmement important d’étalonner (ou de calibrer) votre ou de vos écrans pour vous assurer que les couleurs affichées à l’écran correspondent bien aux couleurs que vous souhaitez produire sur papier ou sur le Web. Votre flux de production numérique dépend d’un bon étalonnage des couleurs, depuis la capture jusqu’à l’affichage et l’impression. Les retouches que vous apportez à vos photos numériques ne seront pas reproduites fidèlement à l’impression si votre écran n’est pas étalonné. Elles auront aussi un aspect différent lorsqu’elles seront affichées sur d’autres écrans. L’étalonnage de votre écran permet à ColorSync d’ajuster votre photo afin qu’elle puisse être affichée de façon cohérente. L’étalonnage consiste connecter à votre écran un appareil optique qui analyse sa luminance et sa température de couleur. Il existe plusieurs fabricants d’étalonneurs. Ces outils peuvent être assez chers et leur qualité varie grandement ; faites donc suffisamment de recherches avant de prendre votre décision d’achat. Pour obtenir une liste des étalonneurs disponibles, consultez le Guide des Produits Macintosh à l’adresse http://guide.apple.com/fr/. Les moniteurs Apple Cinema Display sont parfaits pour l’épreuvage Les moniteurs Apple Cinema Display sont tellement performants dans l’affichage des couleurs que vous pouvez les utiliser dans un flux de production d’épreuvage logiciel certifié SWOP. Les systèmes d’épreuvage basés sur écran Remote Director 2.0 d’Integrated Color Solutions, Inc. et Matchprint Virtual Proofing System-LCD de Kodak Polychrome Graphics ont tous deux obtenu la certification SWOP (Specifications for Web Offset Publications). La prestigieuse certification SWOP signifie que vous pouvez utiliser Remote Director 2.0 pour approuver des travaux destinés à la presse directement à l’écran, sans besoin d’épreuves papier, ce qui permet aux professionnels de l’impression d’effectuer d’importants gains de temps et d’argent. Les systèmes certifiés sont capables de produire des épreuves en tout point similaires à l’épreuve photographique certifiée SWOP comme défini dans la norme ANSI CGATS TR 001, Graphic Technology. Integrated Color Solutions, Inc. et Kodak Polychrome Graphics ont choisi les écrans plats d’Apple parce qu’ils sont capables de fournir la luminance et la gamme de couleurs nécessaires à la création d’une épreuve à l’écran de même luminosité et même aspect que l’épreuve sur papier. Remarque : il est nécessaire que vos moniteurs Apple Cinema Display soient étalonnés pour obtenir des résultats précis lors de l’épreuvage logiciel de vos photos.Chapitre 2 Comment sont affichées les images numériques 39 Impression d’images L’impression d’images requiert la conversion des couleurs de l’espace colorimétrique RVB aux couleurs de l’espace colorimétrique CMJN. Cela est dû au fait que les photos imprimées doivent réfléchir la lumière d’une source externe pour être vues. Les photos sont généralement imprimées sur du papier blanc ; il n’y a donc pas besoin d’encre blanche. Les couleurs foncées sont produites en ajoutant des couleurs, tandis que les couleurs claires sont produites en réduisant le mélange de couleurs. Pour en savoir plus sur la qualité des photos imprimées, consultez le chapitre 3 « Réduction du bruit numérique » à la page 41. Types d’imprimantes Les imprimantes se répartissent en deux groupes : les imprimantes à usage personnel et les imprimantes à usage professionnel. Imprimantes à usage personnel Il existe deux types d’imprimantes à usage personnel abordables pour tous les photographes.  Imprimantes à jet d’encre : les imprimantes à jet d’encre produisent des photos en pulvérisant de minuscules gouttelettes d’encre sur le papier. Elles sont capables de placer les gouttelettes microscopiques sur le papier avec une très grande précision, ce qui donne des photos de haute résolution. Il existe deux méthodes pour appliquer l’encre sur le papier. La première consiste à réchauffer l’encre à une température suffisante pour lui permettre de goutter. La seconde consiste à faire vibrer une minuscule soupape remplie d’encre afin de la forcer à propulser une gouttelette sur le papier.  Imprimantes à sublimation : les imprimantes à sublimation produisent les photos en chauffant un ruban coloré jusqu’à l’état gazeux afin de transmettre l’encre au papier. Le ruban est une matière plastique qui rend l’impression pratiquement résistante à l’eau et difficile à enlever. L’incroyable durabilité des impressions par sublimation leur confère une longévité jusqu’à présent inégalée. La qualité des imprimantes à jet d’encre s’est améliorée de façon remarquable ces dernières années, rendant leur résolution et leur gamme de couleurs meilleures que celles des imprimantes à sublimation.40 Chapitre 2 Comment sont affichées les images numériques Imprimantes à usage professionnel Il existe deux types d’imprimantes à usage professionnel. Contrairement aux imprimantes à usage personnel, elles sont relativement chères.  Presses offset : les presses offset sont utilisées pour l’impression d’énormes quantités de documents, comme les magazines et les prospectus. Les presses offset déposent de l’encre en lignes de points de simili pour produire des images sur le papier. L’imprimante utilise un tambour fixe pour transférer l’image sur le papier.  Imprimantes RA-4 : les imprimantes RA-4 peuvent imprimer des fichiers numériques sur du papier photo traditionnel. Elles utilisent une série de lumières colorées pour insoler le papier qui fusionne les couleurs pour produire des tons continus. Comme elles sont très chères et assez volumineuses, la plupart des imprimantes à impression directe ne sont disponibles que dans les laboratoires photo professionnels.3 41 3 Réduction du bruit numérique Le concept de résolution est souvent un peu confus pour beaucoup de personnes. En effet, la résolution se mesure différemment selon qu’il s’agit d’appareils photo, d’écrans ou d’imprimantes. La résolution décrit la quantité de détails qu’une photo peut contenir. Cette section explique en quoi consiste la résolution des photos et montre comment le fait de comprendre ce concept peut vous aider à créer des photos numériques de meilleure qualité. Ce chapitre couvre les sujets suivants :  Quelques éclaircissements concernant la résolution (p. 41)  Comment la mesure de la résolution change d’un appareil à l’autre (p. 44)  Représentation de la résolution des différents appareils (p. 45)  Calcul des couleurs et virgule flottante (p. 47) Quelques éclaircissements concernant la résolution La résolution d’une image est déterminée par le nombre de pixels que l’image comporte et par la profondeur de bits de chaque pixel. À propos des pixels Un pixel est le plus petit élément discernable sur une image. Chaque pixel s’affiche dans une couleur déterminée. La couleur et la luminosité d’un pixel sont déterminées par la profondeur de bits. Pour en savoir plus, consultez la section « À propos de la profondeur de bits » à la page 42. Les pixels sont regroupés pour donner l’illusion d’une image. Lors de l’affichage des couleurs, trois éléments de couleur (un rouge, un vert et un bleu) sont combinés pour former un pixel. Plus il y a de pixels dans une image, plus les détails de l’image sont nets et plus l’élément photographié original est représenté avec clarté. C’est pourquoi, plus il y a de pixels, plus l’image affichée ressemblera à l’élément original.42 Chapitre 3 Réduction du bruit numérique Comme même une petite photo peut contenir énormément de pixels, le nombre de pixels est souvent exprimé en mégapixels (millions de pixels). Par exemple, 1 500 000 pixels correspond à 1,5 mégapixels. À propos de la profondeur de bits La profondeur de bits décrit le nombre de valeurs tonales ou nuances de couleur que chaque canal d’un pixel est capable d’afficher. Augmenter la profondeur de bits des canaux de couleur des pixels d’une image augmente le nombre de couleurs que chaque pixel est capable de représenter de façon exponentielle. La profondeur de bits initiale d’une photo est contrôlée par votre appareil photo. De nombreux appareils photo offrent plusieurs réglages de fichier. Par exemple, les appareils photo reflex numériques ont généralement deux réglages, ce qui permet au photographe d’enregistrer les photos qu’il prend dans un fichier JPEG à 8 bits (avec 8 bits par canal de couleur) ou dans un fichier RAW à 16 bits (avec 12 à 14 bits par canal de couleur). Les types de fichiers image utilisent des profondeurs de bits statiques. Les types de fichier JPEG, RAW et TIFF ont tous des profondeurs de bits différentes. Comme vous pouvez le constater dans le tableau ci-après, le type de fichier dans lequel vous enregistrez vos prises de vue a une très grande incidence sur les tons visibles sur la photo. Remarque : la profondeur de bits d’un fichier image est uniforme (chaque pixel de la photo a le même nombre de bits) et est tout d’abord déterminée par la façon dont la photo est prise. Profondeur de bits par canal de couleur Nombre de valeurs tonales possibles par canal de couleur Type de fichier équivalent le plus proche 2 4 4 16 8 256 JPEG, certains TIFF 12 4096 La plupart des RAW 14 16 384 Certains RAW 16 65 536 Certains TIFFChapitre 3 Réduction du bruit numérique 43 Voici un exemple pratique de profondeur de bits. Pour comprendre l’incidence de la profondeur de bits sur une photo, regardez la photo de la fille ci-après. Il s’agit d’une image en niveaux de gris à 8 bits. Un agrandissement de son œil est utilisé pour illustrer les effets des faibles profondeurs de bits sur la résolution de la photo. Les formats tel que le format JPEG utilisent 24 bits par pixel : 8 bits pour le canal rouge, 8 bits pour le canal vert et 8 bits pour le canal bleu. Un canal de couleur de 8 bits peut représenter 256 valeurs possibles (28 ), tandis que trois canaux de couleur de 8 bits chacun peuvent représenter 16 777 216 valeurs (224 ). Les fichiers image RAW utilisent aussi trois canaux de couleur. Étant donné que la plupart des fichiers RAW peuvent capturer entre 12 et 14 bits par canal de couleur, leur gamme de couleurs est nettement plus grande. 1 bit 2 valeurs possibles 2 bits 4 valeurs possibles 4 bits 16 valeurs possibles 8 bits 256 valeurs possibles44 Chapitre 3 Réduction du bruit numérique L’exemple suivant illustre le fait qu’augmenter la profondeur de bits d’un pixel permet d’augmenter le nombre de valeurs de couleur que ce dernier peut représenter. Augmenter la profondeur de bits d’un bit permet de doubler le nombre de valeurs de couleur possibles. Comment la mesure de la résolution change d’un appareil à l’autre Vous comprenez maintenant que la résolution en soi n’est pas compliquée ; elle mesure simplement la quantité de détails qu’une image peut contenir. Cependant, lorsque l’on décrit la résolution pour différents appareils numériques, comme par exemple des appareils photo, des moniteurs et des imprimantes, les différentes unités de mesure peuvent prêter à confusion. La résolution d’un appareil photo est le nombre de mégapixels (millions de pixels) que son capteur d’image numérique est capable de capturer. La résolution d’un moniteur est exprimée en pixels par pouce ou sous la forme d’une dimension maximale, comme par exemple 1920 x 1280 pixels. La résolution maximale d’une imprimante est exprimée en points par pouce, c’est-à-dire, le nombre de points qu’elle peut placer dans un carré d’un pouce de côté de papier. Ces différentes unités de mesure rendent difficile le suivi de la résolution d’une photo numérique lorsqu’elle passe d’un appareil à l’autre. Non seulement les unités de mesure changent, mais les valeurs numériques changent aussi ! Canal de couleur à 1 bit 2 valeurs possibles Canal de couleur à 2 bits 4 valeurs possibles Canal de couleur à 4 bits 16 valeurs possibles Canal de couleur à 8 bits 256 valeurs possibles Appareil photo de 8 mégapixels Image de 3500 x 2300 pixels Imprimante de 1400 points par pouce Impression de 300 points par pouce à 11.66" x 7.66"Chapitre 3 Réduction du bruit numérique 45 Représentation de la résolution des différents appareils Faire le suivi des unités de mesure changeantes entre un appareil photo, un écran et une imprimante n’est pas chose facile. Mais sans comprendre de quelle manière la résolution change entre ces appareils, vous pourriez par inadvertance nuire à la qualité de vos photos. Résolution des appareils photo La résolution potentielle d’un appareil photo est mesurée en mégapixels (le nombre de millions de pixels utilisés pour enregistrer la photo). Plus le nombre de mégapixels est élevé, plus la photo est capable de stocker des informations. La raison pour laquelle la résolution d’un appareil photo est potentielle vient du fait que la qualité de l’objectif, le réglage ISO et le réglage de compression peuvent avoir une incidence sur la qualité de l’image. Pour en savoir plus sur le fonctionnement d’un appareil photo, consultez le chapitre 1 « Comment les appareils photo numériques capturent les images » à la page 7. Le nombre de mégapixels qu’un appareil photo est capable de capturer peut être utilisé pour déterminer approximativement la meilleure qualité d’impression que l’appareil photo pourra finalement produire. Mégapixels Dimensions de l’impression à 200 points par pouce Taille approximative du fichier non compressé 1 4’’ x 3’’ (10 x 8 cm) 1 Mo 1 4’’ x 3,5’’ (10 x 9 cm) 2 Mo 2 6’’ x 4’’ (15 x 10 cm) 3 Mo 2,5 10’’ x 6’’ (25 x 15 cm) 7 Mo 4 12’’ x 8’’ (30 x 20 cm) 12 Mo 5 14’’ x 9’’ (35 x 23 cm) 15 Mo 7 16’’ x 11’’ (40 x 28 cm) 21 Mo46 Chapitre 3 Réduction du bruit numérique Résolution des écrans Le nombre maximal de pixels qu’un moniteur peut afficher détermine sa résolution maximale. La plupart des moniteurs disposent de plusieurs réglages de la résolution possibles. Par exemple, le moniteur Apple Cinema HD Display de 23 pouces dispose de réglages de la résolution allant de 640 x 480 à 1920 x 1200 pixels. En tant que photographe, il est préférable d’utiliser le moniteur à sa résolution maximale. De cette manière, vous serez sûr de visualiser tous les éléments de l’image à l’écran. Résolution des imprimantes En fin de compte, c’est la qualité de l’impression qui compte. Elle est déterminée par la combinaison de deux facteurs :  La résolution du fichier image : la résolution du fichier image est déterminée par le nombre de pixels dans la photo et par la profondeur de bits des pixels eux-mêmes. Plus le fichier image contient de pixels, plus il est capable d’afficher des informations. En plus du nombre de pixels, la profondeur de bits joue aussi un rôle important. Plus la profondeur de bits est élevée, plus le nombre de couleurs qu’un pixel est capable d’afficher est grand. Pour en savoir plus sur la profondeur de bits, consultez la section « À propos de la profondeur de bits » à la page 42.  La résolution de l’imprimante : la résolution d’une imprimante est déterminée par le nombre de points qu’elle est capable d’imprimer dans un carré d’un pouce de côté, mesurée en points par pouce. Le nombre de points par pouce maximal d’une imprimante détermine la qualité d’image qu’elle est capable de produire. À propos des différences entre la résolution des écrans CRT et celle des écrans plats Les écrans CRT (à tube cathodique) et les écrans plats n’ont pas les mêmes caractéristiques en matière de résolution. Les écrans CRT sont capables de changer de résolution, de sorte que la résolution que vous sélectionnez est affichée dans la résolution réelle et que les pixels sont dessinés correctement et nettement quelles que soient les résolutions prises en charge. Pour les écrans plats, par contre, une seule résolution apparaît de façon nette et fidèle à l’image : la résolution maximale. Sélectionner une autre résolution provoque l’adaptation de l’ensemble de la photo à l’écran à cette dimension, ce qui fait que la photo est de moindre qualité ou légèrement floue. Appareil photo de 8 mégapixels Image de 1920 x 1280 pixels Imprimante de 2400 points par pouceChapitre 3 Réduction du bruit numérique 47 Calcul des couleurs et virgule flottante Comme vous venez de le voir, les appareils numérique traduisent les couleurs en nombres. Aperture calcule les couleurs à l’aide de la virgule flottante, un type de calcul qui permet une très haute résolution et des marges d’erreur infimes dans les calculs. À propos de la profondeur de bits et de la quantification Lorsque vous capturez une image à l’aide d’un capteur d’image numérique, les valeurs de tension analogiques doivent être converties en valeurs numériques pouvant être traitées et stockées. Pour en savoir plus, consultez la section « Capteur d’image numérique » à la page 19. Le processus de conversion d’une valeur de tension analogique en une valeur numérique est appelé numérisation. Dans le processus de conversion d’une valeur de tension analogique en une représentation numérique, une quantification doit être effectuée pour convertir les valeurs en valeurs numériques discrètes. La précision de la valeur de chaque pixel est déterminée par la longueur du mot binaire, ou profondeur de bits. Par exemple, un mot binaire de 1 bit ne peut représenter que deux états possibles : 0 ou 1. Un système 1 bit ne peut pas capturer la moindre finesse car, quelle que soit la valeur tonale, un système à 1 bit ne peut la représenter que sous la forme d’un 0 ou d’un 1 (désactivé ou activé). Un mot binaire de 2 bits peut représenter quatre états : 00, 01, 10 ou 11. Et ainsi de suite. La plupart des fichiers image RAW capturent un minimum de 12 bits par canal de couleur (4096 états possibles), ce qui permet une grande finesse dans les valeurs tonales à représenter. Plus il y a de bits disponibles pour chaque échantillon, plus la valeur tonale de chaque canal de couleur peut représenter de manière précise la valeur de tension analogique originale. Par exemple, supposons que vous utilisiez 128 nombres pour représenter les valeurs tonales des canaux de couleur des différents pixels d’une photo dans une plage de 1 volt. Cela signifie que le convertisseur analogique-numérique de votre appareil photo a une précision de 1/128 de volt. Toute légère variation de la valeur tonale de moins de 1/128 de volt ne peut pas être représentée et est arrondie au 1/128 de volt le plus proche. Ces erreurs d’arrondi sont appelées erreurs de quantification. Plus le signal est arrondi, plus la qualité de la photo est moindre.48 Chapitre 3 Réduction du bruit numérique À propos de la relation entre virgule flottante et profondeur de bits Lorsque vous faites plusieurs ajustements à une photo numérique, ces ajustements sont calculés de manière mathématique pour créer le résultat. De même que pour les conversions analogique-numérique, des erreurs de quantification peuvent survenir lors du calcul des ajustements. Prenons, par exemple, le calcul suivant : 3 ÷ 2 = 1,5. Notez que, pour que la réponse soit exacte, il a fallu ajouter une virgule décimale pour accé- der à un niveau de précision supplémentaire. Cependant, si la profondeur de bits de vos pixels ne vous permet pas d’atteindre ce niveau de précision, la réponse devra être arrondie à 2 ou à 1. Dans les deux sens, cela provoque des erreurs de quantification. Cela est tout particulièrement perceptible lorsque vous tentez de revenir à la valeur de départ. Sans la précision de la virgule flottante, vous obtenez 1 x 2 = 2 ou 2 x 2 = 4. Aucun des deux calculs ne permet de revenir à la valeur de départ de 3. Cela peut donc poser des problèmes si les ajustements nécessitent une série de calculs et que les valeurs obtenues de ces calculs sont imprécises. Étant donné qu’il faut un grand nombre de calculs pour réaliser des ajustements compliqués sur une photo, il est important que ces derniers soient calculés à une résolution nettement plus haute que la résolution d’entrée ou de sortie afin que les nombres arrondis finaux soient plus précis. Dans l’exemple ci-après, le canal vert d’un pixel de 24 bits (avec 8 bits par canal de couleur) est capable d’afficher 256 nuances de vert. En cas d’ajustement entre la 167ème et la 168ème valeur de couleur, sans virgule flottante, l’application devrait arrondir vers l’une ou l’autre de ces valeurs. Le calcul final donnerait une couleur proche, mais pas exacte. Des informations seraient perdues. 255 239 0 127 63 31 15 47 95 79 111 191 159 143 175 167,5 Bien qu’un canal de couleur de 8 bits ne soit pas en mesure d’afficher la valeur de couleur représentée par 167,5, les calculs en virgule flottante peuvent utiliser cette valeur pour créer une couleur finale plus précise. 233 207Chapitre 3 Réduction du bruit numérique 49 Comment Aperture utilise la virgule flottante Aperture utilise des calculs en virgule flottante pour minimiser les erreurs de quantification lors du traitement des ajustements d’image. Les calculs en virgule flottante peuvent représenter une plage de valeurs énorme et de très grande précision, de sorte que, quand des ajustements sont effectués sur une photo, les valeurs de pixel résultantes sont aussi précises que possible. Souvent, les ajustements successifs apportés à une photo créent des couleurs qui se trouvent en dehors de la gamme des couleurs de l’espace colorimétrique de travail en cours. En fait, certains ajustements sont calculés dans des espaces colorimétriques différents. La virgule flottante permet d’effectuer des calculs de couleurs qui préservent, dans un espace colorimétrique intermédiaire, les couleurs qui, à défaut,seraient perdues. Au moment de l’impression de la photo, le fichier de sortie doit se trouver dans la gamme de couleurs de l’imprimante. Les valeurs tonales d’un pixel peuvent être traitées avec une précision extrême, puis arrondies à la profondeur de bits de sortie, qu’il s’agisse d’un écran ou d’une imprimante. La précision est perceptible en particulier lors du rendu des nuances et des ombres les plus foncées de la photo. En conclusion, le traitement d’images à l’aide de calculs en virgule flottante permet de produire des images de très haute qualité. Pour en savoir plus sur la gamme de couleurs, consultez la section « La gamme de couleurs » à la page 37. 51 Annex Références e Photographies de Norbert Wu (pages 44 et 46) Copyright 2005 Norbert Wu http://www.norbertwu.com Photographies de Matthew Birdsell (pages 9 et 17) Copyright 2005 Matthew Birdsell http://www.matthewbirdsell.com Félicitations, vous et votre Mac mini êtes faits l’un pour l’autre.Dites bonjour à votre Mac mini. www.apple.com/fr/macmini finder Finder Parcourez vos fichiers de la même manière que vous naviguez parmi vos morceaux de musique avec Cover Flow. Aide Mac Mail Gérez tous vos comptes de messagerie d'un même point Aide Mac mail iCal et Carnet d’adresses Votre emploi du temps et vos contacts toujours synchronisés. Aide Mac isyncMac OS X Leopard www.apple.com/fr/macosx iLife ’08 www.apple.com/fr/ilife iPhoto Partagez vos photos sur le web ou créez des livres, des cartes et des calendriers. Aide iPhoto GarageBand Créez votre propre morceau avec des musiciens sur une scène virtuelle. Aide GarageBand iWeb Construisez des sites web avec des photos, des films, des blogs et des podcasts. Aide iWeb iMovie Réalisez un film et partagez-le facilement sur le web. Aide iMovie Time Machine Sauvegardez et restaurez automatiquement vos fichiers. Aide Mac Spotlight Trouvez tout ce que vous recherchez sur votre Mac immédiatement. Aide Mac photos film enregistrement site web time machine spotlight Safari Profitez pleinement du web grâce au navigateur le plus rapide du monde. Aide Mac safari Coup d’œil Prévisualisez vos fichiers en un clin d’œil. Aide Mac coup d’œilTable des matières 5 Table des matières Chapitre 1: Configurez, utilisez 10 Contenu de la boîte 11 Configuration de votre Mac mini 18 Extinction ou suspension d’activité de votre Mac mini Chapitre 2: Prise en main de votre Mac mini 24 Description de la face avant de votre Mac mini 26 Description de la face arrière de votre Mac mini 29 Informations complètes Chapitre 3: Une solution à chaque problème 36 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre Mac mini 38 Réinstallation des logiciels fournis avec votre Mac mini 40 Autres problèmes 41 Utilisation de la fonction Apple Hardware Test 42 En cas de problème de connexion à Internet 46 Problèmes de communications sans fil AirPort Extreme 47 Maintien à jour de votre logiciel 47 En savoir plus, service et assistance 50 Localisation du numéro de série de votre produit6 Table des matières Chapitre 4: Dernières recommandations 53 Informations importantes sur la sécurité 57 Informations importantes sur la manipulation 58 Principes ergonomiques 61 Apple et l’environnement 63 Regulatory Compliance Information1 1 Configurez, utilisez www.apple.com/fr/macmini Aide Mac Assistant MigrationChapitre 1 Configurez, utilisez 9 Votre Mac mini est conçu pour être configuré facilement et utilisé immédiatement. Si vous n’avez jamais utilisé de Mac mini ou n’êtes pas familiarisé avec les ordinateurs Macintosh, vous trouverez dans ce chapitre des instructions pour débuter. Important : lisez toutes les instructions d’installation et les consignes de sécurité à partir de la page 53 avant de brancher votre Mac mini à une prise électrique. Si vous êtes un utilisateur expérimenté, peut-être êtes-vous déjà en mesure d’utiliser votre nouvel ordinateur. Veillez néanmoins à consulter les informations du chapitre 2, « Prise en main de votre Mac mini, » pour découvrir les nouvelles fonctionnalités de votre Mac mini. De nombreuses réponses se trouvent dans l’Aide Mac de votre Mac mini. Pour en savoir plus sur l’Aide Mac, reportez-vous à la rubrique « Informations complètes » à la page 29.10 Chapitre 1 Configurez, utilisez Contenu de la boîte Votre Mac mini est fourni avec les composants suivants : Avant de configurer votre Mac mini, enlevez le film protecteur situé à l’extérieur de votre ordinateur et de son adaptateur secteur. Suivez la procédure décrite dans les pages suivantes pour le configurer. Important : ne placez jamais d’objet sur votre Mac mini, car cela pourrait provoquer des interférences avec le lecteur optique ou les signaux sans fil AirPort ou Bluetooth® . Adaptateur Mini-DVI vers DVI Câble secteur Adaptateur secteurChapitre 1 Configurez, utilisez 11 Configuration de votre Mac mini Placez votre Mac mini à l’endroit ou sur une face latérale, mais pas sur sa face supé- rieure. Utilisez l’adaptateur secteur fourni avec votre Mac mini, à l’exclusion de tous les autres. Étape 1: Branchez le câble d’alimentation de l’adaptateur secteur à votre Mac mini, puis branchez le cordon de l’adaptateur à une prise de terre. ®12 Chapitre 1 Configurez, utilisez Étape 2: Pour accéder à Internet ou à un réseau, connectez une extrémité du câble Ethernet à votre Mac mini et l’autre à un modem câble, à un modem DSL ou à un réseau. La technologie AirPort Extreme de gestion sans fil réseau est intégrée à votre Mac mini. Pour en savoir plus sur la configuration d’une connexion sans fil, choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez le terme « AirPort ». ®Chapitre 1 Configurez, utilisez 13 Pour établir une connexion commutée, utilisez le modem Apple USB Modem disponible sur l’Apple Store en ligne, à l’adresse www.apple.com/fr/store, ou auprès d’un revendeur agréé Apple. Branchez le modem Apple USB Modem sur un port USB de votre Mac mini et utilisez un câble standard (non fourni) pour connecter le modem à une prise téléphonique. Étape 3: Connectez le câble USB de votre clavier et de votre souris. ®14 Chapitre 1 Configurez, utilisez Votre Mac mini n’est pas livré avec un clavier ou une souris, mais vous pouvez utiliser pratiquement n’importe quel clavier USB et n’importe quelle souris USB avec votre ordinateur. Si votre clavier dispose d’un port USB (d), vous pouvez connecter votre souris à ce dernier. Dans le cas contraire, vous pouvez connecter la souris à un des ports USB (d) situés à l’arrière de votre Mac mini. Si vous utilisez un clavier USB qui n’est pas spécialement conçu pour Mac OS, il se peut qu’il ne soit pas doté d’une touche Commande (x) ou Option, touches standard sur les claviers Apple. La touche Commande (x ) d’un clavier Apple correspond à la touche Windows d’un clavier d’autre fabricant (l’icône sur la touche ressemble au logo Windows). La touche Option d’un clavier Apple correspond à la touche Alt d’un clavier d’un autre fabricant. Vous pouvez utiliser les préférences Clavier et souris pour modifier les raccourcis clavier. Pour ouvrir les préférences Clavier et souris, choisissez le menu Pomme () > Préférences système, cliquez sur Clavier et souris, puis sur les Touches de modification et suivez les instructions à l’écran. Si vous utilisez une souris ou un clavier USB provenant d’un fabricant, des gestionnaires logiciels seront sans doute requis. Visitez le site Internet du fabricant pour trouver les gestionnaires les plus récents. Utilisation d’un clavier ou d’une souris sans fil Si vous avez acheté un clavier ou une souris Apple sans fil avec votre Mac mini, suivez les instructions qui accompagnent ces périphériques pour les configurer avec le Mac mini.Chapitre 1 Configurez, utilisez 15 Étape 4: Branchez un câble vidéo sur le port mini-DVI ou Mini DisplayPort. votre Mac mini est livré sans moniteur. Vous pouvez brancher un écran doté d’un :  Port Mini DisplayPort. Connectez-le directement au port Mini DisplayPort.  Connecteur DVI. Utilisez l’adaptateur Mini-DVI vers DVI fourni avec votre Mac mini pour le brancher sur le port mini-DVI.  Connecteur VGA. Utilisez l’adaptateur Mini-DVI vers VGA pour le brancher sur le port Mini-DVI ou l’adaptateur port Mini DisplayPort vers VGA pour le brancher sur le port Mini DisplayPort. Les adaptateurs sont disponibles à l’adresse www.apple.com/fr/store. ® Port Mini-DVI Port Mini DisplayPort16 Chapitre 1 Configurez, utilisez Étape 5: Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) à l’arrière du Mac mini pour l’allumer. Étape 6: Configuration de votre Mac mini à l’aide de l’Assistant réglages. La première fois que vous démarrez votre Mac mini, l’Assistant Réglages se met en marche. Il vous aide à saisir les informations concernant la configuration Internet et le courrier électronique et à configurer un compte d’utilisateur sur votre Mac mini. Si vous possédez déjà un ordinateur Macintosh, l’Assistant réglages peut vous aider à transférer automatiquement les comptes utilisateur, les fichiers, les applications et d’autres informations de votre ancien ordinateur par le biais d’une connexion Ethernet, Firewire ou sans fil. ® ®Chapitre 1 Configurez, utilisez 17 Si vous n’envisagez pas de conserver ou d’utiliser votre autre Mac, il est préférable de retirer l’autorisation d’accès aux médias pour empêcher la lecture des morceaux, vidéos et livres audio achetés à l’iTunes Store. Le retrait d’autorisation d’accès d’un ordinateur empêche qu’un autre utilisateur lise les morceaux, vidéos et livres audio que vous avez achetés et libère l’autorisation pour permettre son utilisation. Pour plus d’informations sur le retrait d’autorisation d’accès, choisissez Aide iTunes dans le menu Aide d’iTunes. Si vous n’utilisez pas l’Assistant Réglages pour transférer vos informations lors du démarrage initial, vous pouvez le faire ultérieurement en utilisant l’Assistant Migration. Pour cela, accédez le dossier Applications, ouvrez le dossier Utilitaires, puis double-cliquez sur l’icône Assistant migration. Étape 7: Personnalisez le bureau et réglez vos préférences Grâce aux Préférences système, vous pouvez en toute simplicité donner à votre bureau l’apparence souhaitée. Choisissez le menu Pomme () > Préférences Système dans la barre des menus ou cliquez sur l’icône Préférences Système située dans le Dock. Les Préférences Système constituent le centre des commandes pour la plupart des réglages de votre Mac mini. Pour en savoir plus, choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez « Préférences Système » ou le nom de préférences spécifiques à modifier.18 Chapitre 1 Configurez, utilisez Extinction ou suspension d’activité de votre Mac mini Lorsque vous avez fini d’utiliser votre Mac mini, vous pouvez suspendre son activité ou l’éteindre. Suspension de l’activité de votre Mac mini Si vous envisagez de ne pas utiliser votre Mac mini pendant une période inférieure à quelques jours, suspendez-en l’activité. Lorsque l’activité de votre Mac mini est suspendue, son écran est noir. Vous avez la possibilité de réactiver rapidement votre Mac mini sans passer par la procédure de démarrage. Pour suspendre l’activité de votre Mac mini, procédez de l’une des manières suivantes :  Choisissez Pomme () > Suspendre dans la barre de menus.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) situé à l’arrière de votre Mac mini.  Choisissez Pomme () > Préférences Système, cliquez sur Économiseur d’énergie et définissez un délai pour la minuterie de mise en veille.  Maintenez enfoncé le bouton Lecture/Pause (’) de la télécommande Apple Remote (vendue en option) pendant 3 secondes. Pour réactiver votre Mac mini, appuyez sur une touche du clavier ou un bouton de la télécommande Apple Remote. À la réactivation de votre Mac mini, vos applications, documents et réglages d’ordinateur réapparaissent exactement tels que vous les aviez laissés. Chapitre 1 Configurez, utilisez 19 Extinction de votre Mac mini Si vous ne comptez pas utiliser votre Mac mini pendant plusieurs jours, éteignez-le. Choisissez Pomme () > Éteindre. Pour le rallumer, appuyez sur le bouton d’alimentation (®). AVIS : éteignez votre Mac mini avant de le déplacer. Tout déplacement de votre Mac mini lorsque le disque dur est en train de tourner risque d’endommager ce dernier et d’entraîner une perte de données ou une impossibilité de démarrer à partir du disque dur.2 2 Prise en main de votre Mac mini www.apple.com/fr/macosx Aide Mac iLifeChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 23 Veuillez lire la présentation des fonctions et des ports de votre Mac mini. Le site web d’Apple, à l’adresse www.apple.com/fr, vous donne accès aux informations, aux téléchargements gratuits et aux catalogues en ligne des logiciels et matériels Apple les plus récents destinés à votre Mac mini. Vous trouverez également les manuels de nombreux produits Apple, ainsi que l’assistance technique pour tous les produits Apple sur le site web d’assistance Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/support.24 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini Description de la face avant de votre Mac mini Témoin lumineux d’alimentation Récepteur à infrarouge intégré Lecteur SuperDrive à chargement par fente Antenne Bluetooth Antennes AirPortChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 25 Z Technologie sans fil AirPort Extreme (interne) Connectez-vous à un réseau sans fil grâce à la technologie AirPort Extreme. Afin d’éviter toute interférence, veillez à libérer la zone entourant les antennes AirPort. Récepteur à infrarouge intégré Utilisez une télécommande Apple Remote facultative (disponible séparément) avec le récepteur infrarouge afin de contrôler Front Row et Keynote de votre Mac mini d’une distance maximale de 9,1 mètres. Témoin lumineux d’alimentation Un témoin lumineux blanc indique que votre Mac mini est allumé ; un témoin clignotant indique que son activité est suspendue. Lecteur SuperDrive à chargement par fente Ce lecteur optique à chargement par fente reproduit et grave les CD et les DVD, notamment les disques DVD±R, DVD±RW et DVD±R double couche (DL). ◊ Technologie sans fil Bluetooth (interne) Connectez des périphériques sans fil tels qu’un téléphone portable, un organiseur et une imprimante Bluetooth, ainsi que le clavier et la souris Apple sans fil (tous deux en vente sur le site www.apple.com/fr/store).26 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini Description de la face arrière de votre Mac mini , f H Bouton d’alimentation Logement de sécurité Port secteur ® ¯ G Port de sortie casque/audio numérique optique Port Ethernet (10/100/1000 Base-T) Port FireWire 800 £ Port Mini-DVI £ Port Mini DisplayPort d Ports USB 2.0 (5) Porte d’entrée de ligne audio/ audio ®Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 27 £ Port mini-DVI Utilisez l’adaptateur mini-DVI vers DVI inclus pour brancher un écran DVI ou une TV. £ Port Mini DisplayPort Branchez un écran sur le port Mini DisplayPort. Logements de sécurité Attachez un verrou et un câble (disponible séparément) afin de dissuader les tentatives de vol. , Port d’entrée de ligne audio/audio numérique optique Connectez un micro ou un appareil audio numérique de niveau ligne. f Port de sortie casque/audio numérique optique Il permet de connecter un casque, des haut-parleurs actifs externes ou des appareils audio numériques. d Cinq ports USB (Universal Serial Bus) 2.0 à haut-débit Branchez un iPod, un iPhone, une souris, un clavier, une imprimante, un disque dur, un appareil photo numérique, une manette de jeu, un modem externe USB, etc. Vous pouvez aussi brancher des périphériques USB 1.1.28 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini H Port FireWire 800 Branchez des appareils externes à haut-débit, tels que les caméras vidéo numériques et les appareils de stockage. G Port Ethernet Branchez un modem DSL ou un modem câble ou connectez-vous à un réseau Ethernet à haut-débit 10/100/1000Base-T ou un autre ordinateur à travers ce port. Le port Ethernet détecte automatiquement les dispositifs Ethernet et ne requiert pas de câble de connexion. ¯ Port d’alimentation Il permet de connecter le câble d’alimentation relié à l’adaptateur secteur. ® Bouton d’alimentation Allumez ou éteignez votre Mac mini ou suspendez l’activité. Maintenez ce bouton enfoncé pour réinitialiser l’ordinateur lors des procédures de dépannage.Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 29 Informations complètes Vous trouverez une multitude d’informations concernant l’utilisation de votre Mac mini dans l’Aide Mac de votre ordinateur et sur Internet, à l’adresse www.apple.com/fr/support. Pour ouvrir l’Aide Mac : 1 Cliquez sur l’icône Finder dans le Dock (la barre d’icônes situé au bord de l’écran). 2 Cliquez sur menu Aide dans la barre des menus et effectuez l’une des opérations suivantes : a Tapez une question ou indiquez le terme voulu dans le champ Recherche et sélectionnez une rubrique dans la liste des résultats ou sélectionnez « Afficher tous les résultats » pour retrouver toutes les rubriques. b Sélectionnez Aide Mac pour ouvrir la fenêtre Aide Mac dans laquelle vous pouvez parcourir les rubriques ou saisir une question de recherche. Pour plus d’informations Pour plus d’informations sur l’utilisation de votre Mac mini, reportez-vous aux rubriques suivantes : Sujet traité Voir Dépannage du Mac mini en cas de problème Il chapitre 3, « Une solution à chaque problème, » à la page 33. Service et assistance pour votre Mac mini « En savoir plus, service et assistance » à la page 47 ou rendezvous sur la page d’assistance du Mac mini à l’adresse www.apple.com/fr/support/macmini.30 Chapitre 2 Prise en main de votre Mac mini Utilisation de Mac OS X Site de Mac OS X, à l’adresse www.apple.com/fr/macosx. Recherche de « Mac OS X » dans l’Aide Mac. Migration d’un PC vers un Mac « Pourquoi vous allez adorer un Mac » disponible sur www.apple.com/fr/getamac/whymac. Utilisation d’applications iLife Le site web iLife, à l’adresse www.apple.com/fr/ilife. Vous pouvez également ouvrir une application iLife, puis ouvrir l’aide de l’application et saisir une question dans le champ de recherche. Modification des préférences système Ouvrez les Préférences système en choisissant le menu Pomme (K) > Préférences système. Ou recherchez « préférences système » dans l’Aide Mac. Utilisation de la technologie sans fil AirPort Extreme Page d’assistance AirPort, à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport. Ou bien ouvrez l’Aide Mac et recherchez « Airport ». Utilisation de la technologie sans fil Bluetooth Page d’assistance Bluetooth, à l’adresse www.apple.com/fr/support/bluetooth. Vous pouvez aussi ouvrir l’Aide Mac et recherchez « Bluetooth ». Connexion d’une imprimante Ouvrez l’Aide Mac et recherchez « impression ». Connexions FireWire et USB Ouvrez l’Aide Mac et recherchez « FireWire » ou « USB ». Connexion à Internet Ouvrez l’Aide Mac et recherchez « Internet ». Utilisation d’un moniteur Ouvrez l’Aide Mac et recherchez « écran ». Connexion d’un téléviseur Site web du Mac mini, à l’adresse www.apple.com/fr/macmini/accessories.html Télécommande Ouvrez l’Aide Mac et recherchez « télécommande ». Face avant Ouvrez l’Aide Mac et recherchez « Front Row ». Sujet traité VoirChapitre 2 Prise en main de votre Mac mini 31 Gravure d’un CD ou DVD Ouvrez l’Aide Mac et recherchez « graver un disque ». Caractéristiques Page Caractéristiques, à l’adresse www.apple.com/fr/support/specs. Vous pouvez également ouvrir les Informations système en choisissant Pomme (K ) > À propos de ce Mac dans la barre des menus, puis en cliquant sur Plus d’infos. Actualités Apple, téléchargements gratuits et catalogues en ligne de logiciels et de matériel Site Apple à l’adresse www.apple.com/fr. Instructions, assistance technique et manuels des produits Apple Site du service d’assistance d’Apple à l’adresse www.apple.com/fr/support. Sujet traité Voir3 3 Une solution à chaque problème www.apple.com/fr/support Aide Mac aideChapitre 3 Une solution à chaque problème 35 Il se peut que vous rencontriez des problèmes lors de l’utilisation de votre Mac mini. Lisez plus loin la présente documentation pour des astuces de dépannage. Vous trouverez également des informations supplémentaires dans l’Aide Mac ou sur le site web de service après-vente et d’assistance du Mac mini, à l’adresse www.apple.com/fr/support/macmini. II existe généralement une solution simple et rapide à tout problème rencontré avec le Mac mini. Dans un tel cas, essayez de noter les opérations effectuées avant que le problème ne survienne. Cela permet de restreindre les causes possibles du problème et trouver ainsi la solution. Les éléments à noter comprennent :  les applications que vous étiez en train d’utiliser quand le problème est apparu (les problèmes qui n’apparaissent qu’avec une application spécifique peuvent indiquer que celle-ci n’est pas compatible avec la version de Mac OS installée sur votre ordinateur) ;  tout logiciel installé récemment ;  tout nouveau matériel (tel qu’un périphérique) que vous aurez branché. AVERTISSEMENT : n’essayez pas d’ouvrir votre Mac mini. Si votre Mac mini doit être réparé, consultez « En savoir plus, service et assistance » à la page 47 pour en savoir plus sur la façon de contacter un fournisseur de services agréé Apple ou Apple pour un dépannage. Votre Mac mini ne contient aucune pièce manipulable par l’utilisateur.36 Chapitre 3 Une solution à chaque problème Problèmes vous empêchant d’utiliser votre Mac mini Si votre ordinateur ne répond plus ou que le pointeur se fige  Assurez-vous que la souris et le clavier sont connectés. Débranchez puis rebranchez les connecteurs et vérifiez qu’ils sont correctement mis en place.  Si le problème persiste, essayer de forcer les applications posant problème à quitter. Sur un clavier Apple Keyboard, maintenez les touches Option et Commande (x) enfoncées puis appuyez sur la touche Échap. Sur les autres claviers, maintenez les touches Windows et Alt enfoncées puis appuyez sur la touche Échap. Si une zone de dialogue apparaît, sélectionnez l’application figée et cliquez sur Forcer à quitter. Enregistrez le travail de toute application ouverte, puis redémarrez votre Mac mini afin de vous assurer que le problème est entièrement réglé.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) à l’arrière de votre Mac mini et maintenezle enfoncé cinq secondes pour arrêter l’ordinateur.  Débranchez le câble d’alimentation de votre Mac mini. Rebranchez le câble, puis appuyez sur le bouton d’alimentation (®) pour rallumer votre Mac mini. Si le problème se reproduit lorsque vous utilisez une application particulière, consultez le fabricant de cette application pour vérifier si elle est compatible avec votre ordinateur. Pour toute information sur le service après-vente relatif aux logiciels fournis avec votre ordinateur, consultez la page à l’adresse www.apple.com/fr/guide ou accédez au site web du fabricant. Si le problème a fréquemment lieu, essayer de réinstaller votre logiciel système (voir « Réinstallation des logiciels fournis avec votre Mac mini » à la page 38).Chapitre 3 Une solution à chaque problème 37 Si votre Mac mini se bloque au démarrage ou si un point d’interrogation clignote à l’écran  Patientez quelques secondes. Si votre Mac mini ne démarre pas après un certain temps, éteignez votre Mac mini en maintenant le bouton d’alimentation (®) enfoncé pendant environ cinq secondes, jusqu’à ce qu’il s’éteigne complètement. Maintenez ensuite la touche Option enfoncée puis appuyez à nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour démarrer votre ordinateur. Maintenez la touche Option enfoncée jusqu’au démarrage de votre Mac mini, puis cliquez sur la flèche située sous l’icône du disque dur que vous souhaitez utiliser comme disque de démarrage.  Une fois que votre Mac mini a démarré, ouvrez Préférences Système et cliquez sur Démarrage. Sélectionnez un dossier Système Mac OS X.  Si le problème se reproduit fréquemment, réinstallez éventuellement votre logiciel système (voir « Réinstallation des logiciels fournis avec votre Mac mini » à la page 38). Si votre Mac mini ne s’allume pas ou ne démarre pas  Assurez-vous que le câble d’alimentation est branché sur votre Mac mini et dans l’adaptateur secteur mais aussi une prise de courant qui fonctionne.  Appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et maintenez immédiatement enfoncées les touches Commande (x), Option, P et R du clavier Apple jusqu’à entendre une deuxième fois le signal sonore de démarrage. L’opération permet de réinitialiser la RAM de paramétrage (PRAM). Sur d’autres claviers, appuyez sur le bouton d’alimentation (®) et maintenez immédiatement enfoncées les touches Windows, Alt, P et R.  Débranchez le câble d’alimentation et attendez au moins 30 secondes. Rebranchez le câble, puis appuyez à nouveau sur le bouton d’alimentation (®) pour allumer votre Mac mini. 38 Chapitre 3 Une solution à chaque problème  Si vous ne pouvez toujours pas démarrer votre Mac mini, reportez-vous à la rubrique « En savoir plus, service et assistance » à la page 47 pour savoir comment prendre contact avec Apple en vue d’une réparation. Réinstallation des logiciels fournis avec votre Mac mini Les disques d’installation de logiciels fournis avec votre Mac mini permettent de réinstaller Mac OS X et les applications livrées avec votre ordinateur. Vous avez le choix entre « Archiver et installer » permettant d’enregistrer vos fichiers et réglages, et « Effacer et installer » pour effacer au préalable toutes vos données. Important : Apple vous recommande de sauvegarder les données de votre disque dur avant de procéder à la restauration du logiciel. L’option Effacer et installer entraînant la suppression de l’intégralité de votre disque dur, vous devez sauvegarder tous vos fichiers importants avant d’installer Mac OS X et les autres applications. Apple décline toute responsabilité en cas de perte de données. Installation de Mac OS X Pour installer Mac OS X : 1 Sauvegardez vos fichiers importants. 2 Insérez le DVD Mac OS X Install DVD fourni avec votre ordinateur. 3 Double-cliquez sur « Installation Mac OS X ». 4 Suivez les instructions à l’écran.Chapitre 3 Une solution à chaque problème 39 Remarque : pour restaurer Mac OS X sur votre ordinateur avec les réglages d’origine, à partir du programme d’installation, cliquez sur la sous-fenêtre Sélectionner une destination, sur Options, puis sélectionnez Effacer et installer. Si vous choisissez Effacer et installer, un message vous rappelle alors d’utiliser le DVD Applications Install DVD pour réinstaller les applications livrées avec votre ordinateur. 5 Une fois l’installation terminée, cliquez sur Redémarrer pour relancer votre ordinateur. 6 Suivez les messages de l’Assistant réglages pour configurer votre compte utilisateur. Installation d’applications Si vous réinstallez Mac OS X sur votre ordinateur et sélectionnez l’option Effacer et installer, vous devez également réinstaller les applications d’origine, par exemple les applications iLife. Pour réinstaller les applications livrées avec votre ordinateur : 1 Sauvegardez vos fichiers importants. 2 Insérez le DVD Applications Install DVD fourni avec votre ordinateur. 3 Double-cliquez sur « Install Bundled Software ». 4 Suivez les instructions à l’écran. 5 Une fois l’installation terminée, cliquez sur Fermer.40 Chapitre 3 Une solution à chaque problème Autres problèmes En cas de problème avec une application Pour les problèmes liés aux logiciels provenant d’éditeurs tiers, contactez l’éditeur concerné. Les éditeurs de logiciels proposent souvent des mises à jour de leurs produits sur leurs sites web. Vous pouvez configurer votre Mac mini pour qu’il cherche et installe automatiquement les dernières mises à jour Apple via la sous-fenêtre Mise à jour de logiciels des Préférences Système. Pour plus d’informations, choisissez Aide > Aide Mac et recherchez « mise à jour de logiciels ». En cas de problème à l’éjection d’un disque  Assurez-vous qu’aucun objet n’est placé sur votre ordinateur, cela pourrait empêcher l’éjection du disque.  Si vous utilisez un clavier Apple, quittez toutes les applications susceptibles d’utiliser le disque, puis appuyez sur la touche d’éjection de disque (C). Sur certains autres claviers, la touche F12 permet d’éjecter le disque. Consultez le manuel d’utilisation livré avec votre clavier.  Ouvrez une fenêtre du Finder et cliquez sur le bouton d’éjection (C) à côté de l’icône du disque dans la barre latérale ou faites glisser l’icône du disque vers la Corbeille.  Si cela ne donne pas de résultats, redémarrez votre ordinateur tout en maintenant enfoncé le bouton de la souris.Chapitre 3 Une solution à chaque problème 41 En cas de problème de fonctionnement de votre Mac mini ou de Mac OS  Si les réponses à vos questions ne figurent pas dans ce manuel, recherchez des instructions et des informations de dépannage dans l’Aide Mac. Sélectionnez Aide > Aide Mac.  Consultez le site web d’assistance Apple, à l’adresse www.apple.com/fr/support pour obtenir les dernières informations de dépannage et des mises à jour de logiciels. Si vos réglages de date et heure disparaissent régulièrement  La pile de secours interne de votre ordinateur a peut-être besoin d’être remplacée. Reportez-vous à « En savoir plus, service et assistance » à la page 47 pour savoir comment contacter le service après-vente d’Apple. Utilisation de la fonction Apple Hardware Test Si vous pensez que votre matériel Mac mini présente un problème, utilisez l’application Apple Hardware Test pour vous aider à déterminer s’il s’agit d’un problème avec l’un des composants de l’ordinateur. Pour utiliser Apple Hardware Test : 1 Déconnectez tous les périphériques connectés à votre Mac mini à l’exception du clavier et de la souris. Si un câble Ethernet est connecté, déconnectez-le. 2 Redémarrez votre Mac mini tout en maintenant la touche D enfoncée. 3 Lorsque l’écran de sélection d’Apple Hardware Test apparaît, sélectionnez la langue qui vous convient. 4 Appuyez sur la touche Retour ou sur le bouton Continuer. 42 Chapitre 3 Une solution à chaque problème 5 Lorsque l’écran principal Apple Hardware Test apparaît (environ 45 secondes plus tard), suivez les instructions affichées à l’écran. 6 En cas de détection d’un problème, Apple Hardware Test affiche un code d’erreur. Notez le code d’erreur avant d’entreprendre les démarches d’assistance. Si Apple Hardware Test ne détecte pas de panne matérielle, il est probable que le problème soit lié aux logiciels. Si cette procédure ne fonctionne pas, vous pouvez insérer le DVD Applications Install DVD fourni avec votre Mac mini pour utiliser l’Apple Hardware Test. Pour en savoir plus, consultez le fichier Ouvrez-moi de l’Apple Hardware Test, sur le DVD Applications Install DVD. En cas de problème de connexion à Internet Votre Mac mini comprend l’application Assistant de configuration qui vous aide à configurer une connexion Internet. Ouvrez Préférences Système, puis cliquez sur Réseau. Cliquez sur Assistant pour lancer l’Assistant réglages de réseau. En cas de problème avec votre connexion Internet, vous pouvez effectuer les opérations de cette section pour le type de connexion ou utiliser Diagnostic réseau. Pour utiliser Diagnostic réseau : 1 Choisissez Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau puis sur Assistant. 3 Cliquez sur Diagnostic pour lancer Diagnostic réseau. 4 Suivez les instructions à l’écran.Chapitre 3 Une solution à chaque problème 43 Si Diagnostic réseau n’est pas en mesure de résoudre le problème, celui-ci provient peut-être du fournisseur d’accès Internet auquel vous essayez de vous connecter, du périphérique externe utilisé pour la connexion au fournisseur d’accès Internet ou du serveur auquel vous essayez d’accéder. Vous pouvez essayer les méthodes proposées dans les sections suivantes. Connexions à Internet par modem câble, modem DSL et réseau local (LAN) Assurez-vous que tous les câbles du modem sont correctement branchés, y compris le câble d’alimentation du modem, le câble reliant le modem à votre ordinateur et le câble raccordant le modem à la prise murale. Vérifiez également les câbles et l’alimentation de vos concentrateurs Ethernet et routeurs. Allumez et éteignez le modem puis réinitialisez-le. Éteignez votre modem câble ou DSL, puis rallumez-le après quelques minutes. Certains fournisseurs d’accès Internet conseillent de débrancher le câble d’alimentation du modem. Si votre modem dispose d’un bouton de réinitialisation, vous pouvez l’actionner avant ou après avoir éteint puis rallumé le modem. Important : les instructions relatives aux modems ne s’appliquent pas aux utilisateurs réseau. À la différence des utilisateurs de modem DSL, les utilisateurs réseau peuvent posséder des concentrateurs, commutateurs, routeurs ou points de connexion. Les utilisateurs réseau doivent contacter leur administrateur réseau et non pas un FAI.44 Chapitre 3 Une solution à chaque problème Connexions PPPoE Si vous ne parvenez pas à vous connecter à votre fournisseur d’accès Internet via PPPoE (Point to Point Protocol over Ethernet), assurez-vous que les bonnes informations ont été saisies dans les préférences Réseau. Pour saisir les réglages PPPoE : 1 Choisissez Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur Réseau. 3 Cliquez sur Ajouter (+) situé en bas de la liste des services de connexion réseau, puis choisissez PPPoE dans le menu local Interface. 4 Dans le menu local Ethernet, indiquez une interface pour le service PPPoE. Sélectionnez Ethernet si vous vous connectez à un réseau câblé ou sur AirPort si vous vous connectez à un réseau sans fil. 5 Saisissez les informations que vous avez reçues de votre fournisseur de service, telles que le nom du compte, le mot de passe et le nom du service PPPoE (si votre fournisseur de service vous l’impose). 6 Cliquez sur Appliquer pour que les réglages s’appliquent.Chapitre 3 Une solution à chaque problème 45 Connexions au réseau Assurez-vous que le câble Ethernet est branché à votre Mac mini et au réseau. Vérifiez les câbles et l’alimentation de vos routeurs et concentrateurs Ethernet. Si vous disposez de plusieurs ordinateurs partageant une connexion à Internet, assurez-vous que votre réseau est correctement configuré. Vous devez savoir si votre fournisseur d’accès Internet fournit une seule ou plusieurs adresses IP (une pour chaque ordinateur). Si une seule adresse IP est utilisée, vous devez disposer d’un routeur capable de partager la connexion (on parle alors de conversion d’adresse réseau (NAT) ou de masquage d’adresses IP). Pour obtenir des informations sur la configuration, consultez la documentation fournie avec votre routeur ou contactez la personne qui a configuré votre réseau. La borne d’accès AirPort permet de partager une adresse IP entre plusieurs ordinateurs. Pour plus d’informations sur l’utilisation de la borne d’accès AirPort, consultez l’Aide Mac ou consultez le site web AirPort Extreme, à l’adresse www.apple.com/fr/support/airport. Si ces méthodes s’avèrent insuffisantes pour résoudre les problèmes rencontrés, contactez votre fournisseur d’accès Internet ou votre administrateur réseau.46 Chapitre 3 Une solution à chaque problème Problèmes de communications sans fil AirPort Extreme En cas de problème avec les communications sans fil AirPort Extreme :  Vérifiez que l’ordinateur ou le réseau auquel vous souhaitez vous connecter est activé et dispose d’un point d’accès sans fil.  Vérifiez que vous avez correctement configuré le logiciel en respectant les instructions fournies avec la borne d’accès ou le point d’accès.  Assurez-vous que l’autre ordinateur ou le point d’accès au réseau se trouve dans la zone de couverture de l’antenne de votre ordinateur. Des appareils électroniques ou des structures métalliques se trouvant à proximité peuvent interférer avec les communications sans fil et réduire la portée de votre antenne. Vous pouvez éventuellement améliorer la réception en réorientant votre ordinateur.  Consultez le menu d’état AirPort (Z) dans la barre de menus. La puissance du signal est représentée par quatre barres au maximum. Si le signal s’avère faible, tentez après avoir changé d’endroit.  Consultez l’Aide AirPort (choisissez Aide > Aide Mac, puis Bibliothèque > Aide AirPort dans la barre de menus). Pour plus d’informations, consultez également les instructions du périphérique sans fil.Chapitre 3 Une solution à chaque problème 47 Maintien à jour de votre logiciel Vous pouvez vous connecter à Internet pour télécharger et installer automatiquement les dernières versions de logiciels, gestionnaires et autres améliorations fournies par Apple. Chaque fois que vous vous connectez à Internet, Mise à jour de logiciels recherche la présence de mises à jour pour votre ordinateur. Vous pouvez régler votre Mac mini pour vérifier régulièrement la présence de mises à jour de logiciels, et éventuellement les télécharger et les installer. Pour rechercher des logiciels mis à jour : 1 Choisissez Pomme () > Préférences Système. 2 Cliquez sur l’icône Mise à jour de logiciels et suivez les instructions à l’écran.  Pour plus d’informations, recherchez « Mise à jour de logiciels » dans l’Aide Mac.  Pour obtenir les toutes dernières informations concernant Mac OS X, rendez-vous à l’adresse www.apple.com/fr/macosx. En savoir plus, service et assistance Votre Mac mini ne contient aucune pièce manipulable par l’utilisateur. Si vous avez besoin d’assistance, apportez votre Mac mini à un fournisseur de services agréé Apple ou contactez Apple pour un dépannage. Vous pouvez trouver plus d’informations sur votre Mac mini via des ressources en ligne, l’aide à l’écran, les Informations Système ou Apple Hardware Test. Si vous souhaitez étendre la mémoire du système, contactez un fournisseur de services agréé Apple ou un magasin Apple Store.48 Chapitre 3 Une solution à chaque problème Ressources en ligne Pour obtenir des informations sur le service et l’assistance en ligne, rendez-vous à l’adresse www.apple.com/fr/support/. Choisissez votre pays dans le menu local. Vous pouvez rechercher les informations dans la base de connaissance AppleCare, consulter les mises à jour de logiciels ou obtenir de l’aide dans les forums de discussion Apple. Aide à l’écran Vous trouverez souvent des réponses à vos questions ainsi que des instructions et informations sur le dépannage dans l’Aide Mac. Sélectionnez Aide > Aide Mac. Informations Système Pour obtenir des informations sur votre Mac mini, utilisez les Informations Système. Les Informations Système vous indiquent quel matériel et quels logiciels sont installés, le numéro de série et la version du système d’exploitation, la quantité de mémoire installée, etc. Pour ouvrir les Informations Système, choisissez Pomme () > À propos de ce Mac dans la barre des menus, puis cliquez sur Plus d’infos. Service et assistance AppleCare Votre Mac mini vous est fourni avec une garantie de 90 jours d’assistance technique et d’un an de réparations matérielles dans un centre de réparation agréé par Apple (comme par exemple un fournisseur de services agréé Apple ou un magasin Apple Store). Vous pouvez étendre cette garantie en souscrivant au contrat AppleCare Protection Plan. Pour en savoir plus, rendez-vous à l’adresse www.apple.com/fr/support/products ou bien visitez le site web de votre pays (voir tableau).Chapitre 3 Une solution à chaque problème 49 Si vous avez besoin d’une assistance complémentaire, les techniciens du centre téléphonique AppleCare peuvent vous aider à installer et ouvrir des applications et à résoudre certains problèmes élémentaires. Appelez le centre d’appel le plus près de chez vous (pendant les 90 premiers jours, ce service est gratuit). Au moment de votre appel, il vous faudra connaître la date d’achat de votre Mac mini et son numéro de série. Remarque : la période de 90 jours d’assistance téléphonique gratuite démarre le jour de l’achat ; des coûts de communication téléphoniques peuvent être facturés. Les numéros de téléphone sont susceptibles de changer et des coûts téléphoniques locaux ou nationaux peuvent s’appliquer. La liste complète est disponible sur le web : Pays Téléphone Site web Allemagne (49) 01805 009 433 www.apple.com/de/support Autriche (43) 0810 300 427 www.apple.com/at/support Belgique (flamand) (français) (32) 070 700 772 (32) 070 700 773 www.apple.com/benl/support www.apple.com/befr/support France (33) 0805 540 003 www.apple.com/fr/support Luxembourg (352) 800 24550 www.apple.com/befr/support Suisse (français) (allemand) (41) 0848 000 132 (41) 0848 000 132 www.apple.com/chfr/support www.apple.com/chde/support www.apple.com/contact/phone_contacts.html50 Chapitre 3 Une solution à chaque problème Localisation du numéro de série de votre produit Optez pour l’une des méthodes suivantes pour trouver le numéro de série de votre Mac mini :  Choisissez Pomme () dans la barre de menus, puis choisissez À propos de ce Mac. Cliquez sur le numéro de version sous les mots « Mac OS X » pour parcourir le numéro de version Mac OS X, le numéro de compilation et le numéro de série.  Ouvrez Informations système (accessible dans le dossier /Applications/Utilitaires/), puis cliquez sur Matériel.  Regardez dans le bas de votre Mac mini.4 4 Dernières recommandations www.apple.com/fr/environment Aide Mac ergonomieChapitre 4 Dernières recommandations 53 Afin d’éviter toute blessure et de préserver votre matériel, veillez à observer les consignes exposées ici pour le nettoyage et la manipulation de votre Mac mini ainsi que l’aménagement d’un espace de travail confortable. Gardez ces instructions pour que vous et tout autre utilisateur puissiez vous y reporter facilement. Informations importantes sur la sécurité Manipulation appropriée Mettez-en place votre Mac mini sur une surface de travail stable permettant une bonne ventilation sous et autour de l’ordinateur. Ne faites pas fonctionner votre Mac mini sur un coussin ou tout autre matériau mou, celui-ci pouvant bloquer la circulation de l’air. N’introduisez jamais d’objet dans les orifices de ventilation. Plans d’eau et endroits humides Évitez de placer votre Mac mini à proximité d’un évier, d’un lavabo, d’une baignoire, d’une douche, etc. Protégez votre Mac mini de l’humidité et des intempéries (neige, pluie ou brouillard). Adaptateur secteur Suivez ces indications au moment d’utiliser l’adaptateur secteur:  Veillez à engager fermement les fiches dans l’adaptateur secteur, l’ordinateur et la prise secteur. AVIS : un stockage ou un usage incorrect de votre ordinateur peut entraîner l’invalidation de la garantie du fabricant. AVERTISSEMENT : ne pas suivre les présentes instructions peut entraîner le départ d’un feu, une électrocution ou toute autre blessure ou détérioration.54 Chapitre 4 Dernières recommandations  Laissez toujours de l’espace autour de l’adaptateur secteur et placez votre Mac mini dans un endroit permettant la circulation d’air.  Utilisez uniquement l’adaptateur secteur fourni avec votre ordinateur. Votre Mac mini utilise emploie un adaptateur secteur de 110 watts.  la seule manière de couper complètement l’alimentation de l’ordinateur consiste à débrancher le câble d’alimentation. Veillez à tirer sur la prise et non pas sur le câble. Débranchez l’adaptateur secteur et tout autre câble si l’un des cas suivants se présente :  vous comptez nettoyer votre Mac mini (suivez obligatoirement les conseils décrits en la page 58) ;  la prise ou le câble d’alimentation est usé ou endommagé ;  votre Mac mini ou son adaptateur secteur est exposé à la pluie, à une humidité excessive ou du liquide est accidentellement versé dans le boîtier ;  votre Mac mini ou son adaptateur secteur est tombé ou est détérioré, ou vous soup- çonnez que son entretien ou sa réparation devient obligatoire. Caractéristiques électriques :  Fréquence : 50 à 60 Hz  Tension de ligne : 100 à 240 V CA AVERTISSEMENT : il est normal que l’adaptateur secteur chauffe lorsqu’il est utilisé. Veillez à toujours prévoir une ventilation adéquate et à éviter tout contact prolongé avec l’appareil.Chapitre 4 Dernières recommandations 55 Détérioration de l’audition L’utilisation d’écouteurs ou d’un casque d’écoute à un niveau de volume trop élevé peut provoquer une perte d’acuité auditive permanente. Il est possible de supporter petit à petit des volumes sonores de plus en plus élevés qui peuvent sembler normaux à la longue, mais qui risquent néanmoins d’endommager votre ouïe. En cas de bourdonnements dans les oreilles ou d’un affaiblissement de l’audition, cessez l’écoute et consultez un médecin. Plus le volume sonore est élevé, plus les atteintes à l’audition sont rapides. Les experts de l’audition recommandent les mesures de précaution suivantes :  Limitez la durée d’utilisation d’écouteurs ou d’un casque à volume sonore élevé.  Évitez de monter le volume pour couvrir les bruits ambiants.  Baissez le son si vous n’entendez pas les personnes parler autour de vous. Activités à risque Cet ordinateur n’est pas conçu pour être exploité dans des installations nucléaires, pour la navigation ou la communication aérienne, dans le contrôle aérien ou pour aucun autre usage où une panne de votre système informatique pourrait entraîner la mort, des blessures ou de graves dommages écologiques. Informations sur le laser des lecteurs de disque optique Le lecteur de disque optique de votre Mac mini contient un laser apte à un usage normal mais pouvant s’avérer dangereux pour les yeux s’il venait à être démonté. Afin d’assurer votre sécurité, cet équipement ne doit être réparé que par un fournisseur de services agréé Apple. AVERTISSEMENT : apporter des modifications ou ne pas se conformer aux procédures indiquées dans le manuel livré avec votre équipement peut vous exposer à des radiations dangereuses. 56 Chapitre 4 Dernières recommandations Important : le matériel électrique peut s’avérer dangereux s’il n’est pas utilisé correctement. L’utilisation de ce produit ou de tout produit similaire doit toujours être supervisée par un adulte. Évitez que des enfants ne manipulent les composants internes ou les câbles de ces appareils. Ne procédez à aucune réparation par vous-même Votre Mac mini ne contient aucune pièce manipulable par l’utilisateur. N’essayez pas d’ouvrir votre Mac mini. Mac miniS’il a besoin d’être réparé, consultez les informations sur le service après-vente fournies avec votre ordinateur pour savoir comment contacter Apple ou un fournisseur de services agréé Apple à cet effet. Si vous ouvrez votre Mac mini ou installez des éléments, vous risquez d’endommager votre matériel ; ce type de dommage n’est pas couvert par la garantie limitée de votre Mac mini. AVERTISSEMENT : n’introduisez jamais d’objet d’aucune sorte dans les ouvertures de ventilation du boîtier. Cela pourrait être dangereux et endommager votre ordinateur.Chapitre 4 Dernières recommandations 57 Informations importantes sur la manipulation Environnement de fonctionnement Faire fonctionner votre Mac mini sans respecter les limites indiquées peut influer sur les performances :  Températures de fonctionnement : 10° à 35° C  Températures pour le stockage : - 40° à 47° C  Humidité relative : 5 % à 95 % (sans condensation)  Altitude de fonctionnement maximale : 3 048 mètres Mise sous tension de votre Mac mini N’allumez jamais votre Mac mini sans vous assurer que ses composants internes et ses périphériques externes sont en place. Faire fonctionner l’ordinateur lorsque des éléments manquent peut s’avérer dangereux et endommager votre ordinateur. Transport de votre Mac mini Avant de soulever ou de repositionner votre Mac mini, éteignez-le et débranchez tous les câbles qui y sont connectés. Si vous transportez votre Mac mini dans un sac ou une mallette, assurez-vous qu’aucun objet libre (tels que des trombones ou des pièces de monnaie) peut s’introduire accidentellement à l’intérieur de l’ordinateur par les orifices de ventilation ou le logement du lecteur optique ou se bloquer dans un des ports. AVIS : ne pas suivre les présentes instructions de manipulation peut entraîner la détérioration de votre Mac mini ou de la propriété d’autrui.58 Chapitre 4 Dernières recommandations Utilisation de connecteurs et de ports Ne forcez jamais au moment d’enficher un connecteur dans un port. Pour brancher un périphérique, assurez-vous que le port n’est pas obstrué, que le connecteur correspond bien au port et que vous l’avez positionné correctement. Utilisation du lecteur optique Le lecteur SuperDrive de votre Mac mini accepte les disques standard de 12 cm. Les disques de forme irrégulière ou plus petits ne sont pas acceptés. Rangement de votre Mac mini Si vous rangez votre Mac mini pour une période longue, placez-le dans un endroit à température ambiante non excessive (de préférence autour de 22° C). Nettoyage de votre Mac mini Pour nettoyer le boîtier de votre Mac mini et ses composants, éteignez d’abord votre Mac mini et débranchez-le du secteur. Servez-vous alors d’un chiffon doux, humide et non pelucheux pour nettoyer l’extérieur de l’ordinateur. Évitez les infiltrations d’humidité par quelque ouverture que ce soit. Ne vaporisez jamais de liquide directement sur l’ordinateur. N’utilisez pas d’aérosols, de solvants ou d’abrasifs pouvant détériorer les finitions. Principes ergonomiques Voici quelques astuces pour l’installation d’un environnement de travail sain. Clavier Veillez à maintenir vos épaules relâchées lorsque vous utilisez le clavier. Le bras et l’avant-bras doivent former un angle quasiment droit, la main étant placée dans le prolongement du poignet. Chapitre 4 Dernières recommandations 59 Changez souvent la position des mains pour éviter la fatigue musculaire. Certains utilisateurs risquent de ressentir une certaine incommodité dans les mains, les poignets ou les bras après des durées de travail intensif sans pause. Si vous commencez à ressentir une douleur ou une certaine incommodité chronique au niveau des mains, des poignets ou des bras, consultez un professionnel de la santé qualifié. Souris Positionnez la souris à la même hauteur que le clavier et vous permettant de l’atteindre confortablement. Siège Optez pour un siège de bureau réglable et offrant un dossier et une assise confortables. Réglez la hauteur du siège de sorte que vos cuisses soient horizontales et que vos pieds reposent à plat sur le sol. Le dossier du siège doit soutenir votre région lombaire, c’est-à-dire la partie inférieure de votre dos. Suivez les instructions du fabricant afin que le réglage du dossier soit parfaitement adapté à votre morphologie. Si nécessaire, relevez votre siège pour que la position de vos avant-bras et vos mains forme un angle approprié avec le clavier. Si, dans ce cas, vos pieds ne reposent plus à plat sur le sol, utilisez un repose-pied inclinable et réglable en hauteur. Vous pouvez également abaisser le niveau du plan de travail pour éviter l’emploi d’un repose-pied. Une autre solution consiste à utiliser un bureau doté d’un support à clavier situé plus bas que la surface de travail.60 Chapitre 4 Dernières recommandations Moniteur Placez le moniteur de manière à ce que le haut de l’écran se trouve légèrement en dessous du niveau des yeux lorsque vous êtes assis au clavier. Il vous appartient de juger de la meilleure distance entre vos yeux et l’écran. Elle se situe en général entre 45 et 70 cm. Orientez l’écran de manière à ce qu’il reflète le moins possible la lumière provenant de l’éclairage et des fenêtres. Si possible, utilisez un support inclinable pour l’écran. Le support permet de définir le meilleur angle de vue et de contribuer à réduire ou à éliminer l’éblouissement provoqué par les sources lumineuses fixes. Cuisses légèrement inclinées Épaules détendues Écran positionné de manière à éviter les reflets Avants-bras et mains alignés Avants-bras à plat ou légèrement inclinés Bas du dos maintenu Pieds à plat sur le sol ou sur un respose-pied Partie supérieure de l’écran au niveau des yeux ou légè- rement en dessous (vous devrez éventuellement ré- gler la hauteur de votre moniteur en surélevant ou en abaissant votre surface de travail). Espace dégagé sous la surface de travail 45–70 cmChapitre 4 Dernières recommandations 61 Pour plus d’informations sur l’ergonomie, rendez-vous le web : Apple et l’environnement Apple Inc. reconnaît sa responsabilité en matière de réduction de l’impact de ses produits et de ses activités sur l’environnement. Pour plus d’informations, rendez-vous à l’adresse : www.apple.com/about/ergonomics www.apple.com/fr/environment63 Regulatory Compliance Information Compliance Statement This device complies with part 15 of the FCC rules. Operation is subject to the following two conditions: (1) This device may not cause harmful interference, and (2) this device must accept any interference received, including interference that may cause undesired operation. See instructions if interference to radio or television reception is suspected. L‘utilisation de ce dispositif est autorisée seulement aux conditions suivantes: (1) il ne doit pas produire de brouillage et (2) l’utilisateur du dispositif doit étre prêt à accepter tout brouillage radioélectrique reçu, même si ce brouillage est susceptible de compromettre le fonctionnement du dispositif. Radio and Television Interference This computer equipment generates, uses, and can radiate radio-frequency energy. If it is not installed and used properly—that is, in strict accordance with Apple’s instructions—it may cause interference with radio and television reception. This equipment has been tested and found to comply with the limits for a Class B digital device in accordance with the specifications in Part 15 of FCC rules. These specifications are designed to provide reasonable protection against such interference in a residential installation. However, there is no guarantee that interference will not occur in a particular installation. You can determine whether your computer system is causing interference by turning it off. If the interference stops, it was probably caused by the computer or one of the peripheral devices. If your computer system does cause interference to radio or television reception, try to correct the interference by using one or more of the following measures:  Turn the television or radio antenna until the interference stops.  Move the computer to one side or the other of the television or radio.  Move the computer farther away from the television or radio.  Plug the computer into an outlet that is on a different circuit from the television or radio. (That is, make certain the computer and the television or radio are on circuits controlled by different circuit breakers or fuses.) If necessary, consult an Apple Authorized Service Provider or Apple. See the service and support information that came with your Apple product. Or consult an experienced radio/television technician for additional suggestions. Important: Changes or modifications to this product not authorized by Apple Inc. could void the EMC compliance and negate your authority to operate the product. This product has demonstrated EMC compliance under conditions that included the use of compliant peripheral devices and shielded cables (including Ethernet network cables) between system components. It is important that you use compliant peripheral devices and shielded cables between system components to reduce the possibility of causing interference to radios, television sets, and other electronic devices.64 Responsible party (contact for FCC matters only): Apple Inc. Corporate Compliance 1 Infinite Loop, MS 26-A Cupertino, CA 95014-2084 Wireless Radio Use This device is restricted to indoor use when operating in the 5.15 to 5.25 GHz frequency band. Cet appareil doit être utilisé à l’intérieur. Exposure to Radio Frequency Energy The radiated output power of the AirPort Extreme technology is below the FCC and EU radio frequency exposure limits. Nevertheless, it is advised to use the wireless equipment in such a manner that the potential for human contact during normal operation is minimized. FCC Bluetooth Wireless Compliance The antenna used with this transmitter must not be colocated or operated in conjunction with any other antenna or transmitter subject to the conditions of the FCC Grant. Bluetooth Industry Canada Statement This Class B device meets all requirements of the Canadian interference-causing equipment regulations. Cet appareil numérique de la Class B respecte toutes les exigences du Règlement sur le matériel brouilleur du Canada. Industry Canada Statement Complies with the Canadian ICES-003 Class B specifications. Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada. This device complies with RSS 210 of Industry Canada. Bluetooth Europe—Déclaration de conformité UE Cet appareil sans fil est conforme à la directive R&TTE. Europe—Déclaration de conformité UE See www.apple.com/euro/compliance. Korea Warning Statements Singapore Wireless Certification Taiwan Wireless Statements65 Taiwan Class B Statement VCCI Class B Statement External USB Modem Information Lorsque vous connectez votre Mac mini à une ligne téléphonique par le biais d’un modem USB externe, veuillez vous reporter aux informations fournies par l’agence de télécommunications mentionnées dans la documentation livrée avec votre modem. ENERGY STAR® Compliance As an ENERGY STAR® partner, Apple has determined that standard configurations of this product meet the ENERGY STAR® guidelines for energy efficiency. The ENERGY STAR® program is a partnership with electronic equipment manufacturers to promote energy-efficient products. La réduction de la consommation électrique permet de réaliser des économies et de contribuer à la préservation de ressources précieuses. La gestion électrique intégrée met l’ordinateur en veille au bout de 10 minutes d’inactivité de l’utilisateur. Pour réactiver votre ordinateur, cliquez sur le bouton de la souris ou du trackpad ou appuyez sur une touche quelconque du clavier. Pour plus d’informations sur ENERGY STAR®, rendezvous à l’adresse : www.energystar.gov66 Informations sur l’élimination et le recyclage Ce symbole indique que la mise au rebut de votre produit doit obéir aux lois et réglementations locales. Quand vous souhaitez mettre au rebut votre produit, contactez Apple ou les autorités locales pour en savoir plus sur les modalités de son recyclage. Pour en savoir plus sur le programme de recyclage d’Apple, rendez-vous sur l’adresse www.apple.com/fr/environment/recycling. Informations sur l’élimination des batteries Débarrassez-vous des batteries en respectant les lois et les consignes environnementales locales. California: The coin cell battery in the optional Apple Remote contains perchlorates. Special handling and disposal may apply. Refer to: www.dtsc.ca.gov/hazardouswaste/perchlorate Deutschland: Dieses Gerät enthält Batterien. Bitte nicht in den Hausmüll werfen. Entsorgen Sie dieses Gerätes am Ende seines Lebenszyklus entsprechend der maßgeblichen gesetzlichen Regelungen. Nederlands: Gebruikte batterijen kunnen worden ingeleverd bij de chemokar of in een speciale batterijcontainer voor klein chemisch afval (kca) worden gedeponeerd. Taïwan: Union européenne—Informations sur l’élimination Le symbole ci-dessus signifie que vous devez vous débarrasser de votre produit sans le mélanger avec les ordures ménagères, selon les normes et la législation de votre pays. Lorsque ce produit n’est plus utilisable, portez-le dans un centre de traitement des déchets agréé par les autorités locales. Certains centres acceptent les produits gratuitement. Le traitement et le recyclage séparé de votre produit lors de son élimination aideront à préserver les ressources naturelles et à protéger l’environnement et la santé des êtres humains.K Apple Inc. © 2009 Apple Inc. Tous droits réservés. En application des lois et conventions en vigueur, aucune reproduction totale ni partielle du manuel n’est autorisée, sauf consentement écrit préalable d’Apple. Le logo Apple est une marque d’Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d’autres pays. En l’absence du consentement écrit d’Apple, l’utilisation à des fins commerciales de ce logo via le clavier (Option + 1) pourra constituer un acte de contrefaçon et/ou de concurrence déloyale. Tout a été mis en œuvre pour que les informations pré- sentées dans ce manuel soient exactes. Apple n’est pas responsable des erreurs de reproduction ou d’impression. Apple 1 Infinite Loop Cupertino, CA 95014-2084 408-996-1010 www.apple.com Apple, le logo Apple, AirPort, AirPort Extreme, Cover Flow, Exposé, FireWire, GarageBand, iCal, iChat, iLife, iMovie, iPhoto, iPod, iTunes, Keynote, Mac, Mac OS, Photo Booth, Safari et SuperDrive sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. Finder, le logo FireWire, iPhone, iWeb, Spotlight, et Time Machine sont des marques d’Apple Inc. AppleCare, Apple Store et iTunes Store sont des marques de service d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et dans d’autres pays. ENERGY STAR® est une marque déposée aux États-Unis. La marque et les logos Bluetooth® sont des marques déposées par Bluetooth SIG, Inc. et sont utilisés sous licence par Apple. Les autres noms de produits et de sociétés sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. Les produits commercialisés par des entreprises tierces ne sont mentionnés que pour information, sans aucune intention de préconisation ni de recommandation. Apple décline toute responsabilité quant à l’utilisation et au fonctionnement de ces produits. Fabriqués sous licence par Dolby Laboratories. « Dolby », « Pro Logic » et le symbole double D sont des marques de Dolby Laboratories. Ouvrages confidentiels inédits, © 1992–1997 Dolby Laboratories, Inc. Tous droits réservés. Le produit décrit dans ce manuel intègre des technologies de protection des droits d’auteur elles-mêmes protégées par divers brevets des États-Unis ainsi que par d’autres droits de propriété intellectuelle appartenant à Macrovision Corporation et à d’autres détenteurs. L’utilisation de ces technologies de protection des droits d’auteur doit être autorisée par Macrovision Corporation et est destinée à un cadre privé ou restreint, sauf consentement de Macrovision Corporation. Tout démontage ou ingénierie inverse est interdit. L’appareil est couvert par les brevets des États-Unis portant les numéros 4,631,603, 4,577,216, 4,819,098 et 4,907,093 sous licence à des fins de visualisation limitée uniquement. Publié simultanément aux États-Unis et au Canada. 1 Manuel de l’utilisateur de Batch Monitor Vous pouvez utiliser Batch Monitor pour afficher ou ajuster l’état des lots et des tâches traités par Compressor ou Apple Qmaster. Vous pouvez aussi utiliser Batch Monitor pour afficher l’historique détaillé des tâches et des lots récemment achevés. Batch Monitor permet de suivre l’avancement du transcodage des tâches et des lots. Il est possible de suspendre, de reprendre, d’annuler et d’obtenir l’état de tout lot envoyé et/ou de toute tâche, cible ou segment de cible. De la même manière que Configuration d’imprimante permet d’afficher les tâches d’impression transmises à une imprimante, Batch Monitor permet d’afficher l’état des lots envoyés en vue de leur traitement. Par exemple, Batch Monitor affiche le nom de chaque lot, les détails sur son origine, le pourcentage réalisé et le temps restant estimé avant la fin de son traitement. Les lots qui ne sont pas encore traités s’affichent comme étant en attente. Chaque lot, tâche, cible et segment de cible comprend des informations sur l’état, une barre de progression, ainsi que des boutons utilisables pour suspendre, reprendre, annuler ou obtenir l’état d’un transcodage en cours. Ce document traite des sujets suivants :  À propos de Batch Monitor (p. 2)  Affichage ou modification de l’état d’un lot soumis (p. 5)  Batch Monitor et le traitement distribué (p. 7)  Configuration des Préférences de Batch Monitor (p. 9)2 À propos de Batch Monitor Batch Monitor contient les éléments suivants :  Affichage des lots :affichage hiérarchique des informations relatives aux lots, tâches, cibles et segments pour les lots en cours et les lots achevés. Sont également indiquées les commandes permettant de suspendre, reprendre, annuler ou obtenir l’état d’un lot, d’une tâche, d’une cible ou d’un segment.  Barre d’outils :elle vous permet d’ajuster l’affichage des éléments contrôlés. Pour plus d’informations, consultez la section « Boutons de la barre d’outils, » ci-après.  Liste des grappes de serveurs :elle affiche la liste des ordinateurs disponibles pour le traitement des lots, y compris « Cet ordinateur » (celui sur lequel Batch Monitor fonctionne) et toutes les grappes de serveurs Apple Qmaster activées sur votre réseau. Sélectionnez une grappe de la liste pour en contrôler l’activité.  Boutons de l’utilisateur :cliquez sur le bouton Moi pour afficher les lots que vous avez envoyés et sur Tous pour afficher tous les lots de la grappe sélectionnée. (Consultez le guide Configuration du traitement distribué pour obtenir des informations sur les autorisations et la protection par mot de passe.)  Boutons d’état :cliquez sur le bouton Actifs pour afficher les lots que la grappe de serveurs sélectionnée est en train de traiter, sur Achevés pour afficher les lots dont le traitement est terminé, et sur Tous pour afficher tous les lots de la grappe sélectionnée. Liste des grappes de serveurs Affichage des lots Boutons de la barre d’outils Boutons de l’utilisateur Boutons d’état3 Boutons de la barre d’outils Batch Monitor comporte une barre d’outils dont les boutons (ci-dessous) vous permettent d’ajuster l’affichage des informations relatives à l’état des lots.  Actualiser :cliquez sur ce bouton pour mettre à jour immédiatement l’état de la grappe de serveurs sélectionnée. Cela vous évite d’attendre la mise à jour suivante.  Tout montrer :affiche les informations relatives aux tâches, cibles et segments de chaque lot.  Tout condenser :affiche uniquement les informations concernant les lots.  Ordre de tri :affiche la liste des lots dans l’ordre croissant ou décroissant. Remarque :si la barre d’outils n’est pas visible lorsque vous ouvrez Batch Monitor, cliquez sur le bouton dans l’angle supérieur droit de la fenêtre Lot afin de l’ouvrir. Affichage des lots Les lots, tâches, cibles et segments apparaissent sur des écrans imbriqués et hiérarchisés. Chaque écran de cette hiérarchie comporte un triangle d’affichage. Cliquez dessus pour afficher le niveau suivant de l’arborescence. Par exemple, cliquez sur le triangle d’affichage d’un écran de lot pour faire apparaître les tâches que contient ce lot, puis sur le triangle d’affichage d’un écran de tâche pour afficher les cibles que contient la tâche en question. Affichage des lots Affichage d’une tâche Affichage des cibles Affichage des segments4  Affichage d’un lot :il laisse apparaître le nom du lot, le nombre de tâches et de cibles qu’il contient, la date et l’heure à laquelle le lot a été envoyé, le nom de l’utilisateur qui l’a soumis, et l’état.  Affichage d’une tâche : il laisse apparaître le nom de la tâche, le nombre de cibles et de segments contenus, le type du fichier d’entrée (sous forme d’icône), ainsi que l’état de la tâche.  Affichage d’une cible :il laisse apparaître le type de la cible (sous forme d’icône), son nom, le nombre de segments dans lesquels elle a été divisée et l’état de la cible.  Affichage d’un segment : il laisse apparaître une description (basée sur le temps ou les images de la partie de cible traitée), le nom de la machine (le nœud de service sur lequel le segment est traité), l’état, ainsi que le type de la machine (sous forme d’icône). Les informations relatives au segment ne sont disponibles que lorsque le lot concerné est en cours de traitement. Remarque :les tâches achevées apparaissent dans la même zone d’affichage. Fenêtre Inspecteur Pour tout savoir d’un lot, d’une tâche, d’une cible ou d’un segment qui a été soumis, cliquez sur le bouton Afficher les infos afin d’ouvrir l’Inspecteur de l’élément en question. L’Inspecteur comporte deux onglets :État et Journal. Onglet État L’onglet État affiche le texte complet des messages sur l’état des lots, tâches, cibles ou segments (nom, date d’envoi, propriétaire, temps écoulé, temps restant, % d’achè- vement et état).5 Onglet Journal L’onglet Historique laisse apparaître des informations détaillées sur les lots, tâches, cibles ou segments. Ces informations, utiles au dépannage des problèmes liés au traitement distribué, peuvent être enregistrées sur un fichier et traitées au moyen d’outils XML et de scripts UNIX. Étiquettes des journaux et des notifications Le tableau ci-dessous répertorie les étiquettes de service utilisées dans les journaux et les notifications par e-mail. Affichage ou modification de l’état d’un lot soumis Pour afficher l’état d’un lot et de toutes les tâches qu’il contient, ouvrez Batch Monitor. Comme il s’agit d’une application autonome, vous pouvez afficher la fenêtre de Batch Monitor que Compressor ou Apple Qmaster soient ouverts ou non et que vous ayez soumis quelque chose ou non. Remarque :par défaut, Batch Monitor se lance automatiquement lorsque vous soumettez un lot à l’aide d’Apple Qmaster. Vous pouvez activer le même automatisme pour Compressor en cochant la case « Lancement auto Batch Monitor » via les préférences de Compressor. Traitement Notification Service Compressor local servicecontroller:com.apple.stomp.transcoder Service Compressor distribué servicecontroller:com.apple.stomp.transcoderx Service Apple Qmaster distribué servicecontroller:com.apple.qmaster.executor6 Pour afficher l’état d’un lot : 1 Pour ouvrir Batch Monitor manuellement, effectuez l’une des opérations suivantes :  Double-cliquez sur l’icône Batch Monitor dans le dossier Utilitaires.  Cliquez sur le bouton Batch Monitor de la fenêtre Compressor ou de la fenêtre Apple Qmaster. Batch Monitor s’ouvre alors. Si vous venez de soumettre un lot, son traitement devrait s’afficher. Si vous n’avez pas soumis de lot récemment, le tableau est vide. 2 Prenez connaissance des détails relatifs au traitement du lot et effectuez toute action qui s’avère nécessaire :  Cliquez sur le triangle d’affichage situé à côté du nom du lot, de la tâche ou de la cible pour faire apparaître les informations relatives aux composants de l’élément en question.  Pour suspendre une tâche, un lot ou une cible, cliquez sur le bouton Pause correspondant. Le bouton Pause devient le bouton Reprendre.  Pour poursuivre le traitement d’un élément, cliquez sur le bouton Reprendre.  Pour annuler une tâche, un lot ou une cible, cliquez sur le bouton Annuler correspondant. Lorsque la barre de progression atteint 100 pour cent, cela signifie que votre fichier multimédia a bien été transcodé et enregistré dans le dossier de destination indiqué. Les éléments de lot et de tâche achevés sont marqués comme « Réussis » et restent dans l’affichage du lot. Ceux qui échouent sont notés « Échec » et demeurent également dans l’affichage du lot. 3 Cliquez sur le bouton Afficher les infos d’un élément de l’affichage de lot pour visualiser les informations relatives à cet élément. Dans la fenêtre Inspecteur qui apparaît, cliquez sur l’onglet État ou sur l’onglet Journal pour en afficher les informations. 4 Ouvrez le dossier de destination pour voir le fichier multimédia nouvellement transcodé. Pause Reprendre Afficher les infos Cliquez sur le triangle d’affichage situé à côté d’un élément pour en afficher les informations. Annuler7 Batch Monitor et le traitement distribué Si vous avez configuré un système de traitement distribué Apple Qmaster pour traiter les tâches Compressor ou Apple Qmaster, Batch Monitor vous propose alors des fonctionnalités supplémentaires. Par exemple, tant les administrateurs que les utilisateurs de clients peuvent utiliser Batch Monitor pour contrôler le traitement de tâches soumises. Les administrateurs peuvent arrêter ou annuler tout lot s’ils disposent du mot de passe administrateur de la grappe de serveurs qui traite le lot. Les utilisateurs peuvent, eux, arrêter ou annuler leurs propres lots. Batch Monitor et les mots de passe Plusieurs types de mots de passe peuvent avoir une incidence sur la façon dont vous utilisez Batch Monitor. Pour en savoir plus, consultez le guide Configuration du traitement distribué. Mot de passe administrateur Si vous créez ce mot de passe, les administrateurs en auront besoin pour pouvoir modifier cette grappe de serveurs et visualiser les lots sélectionnés dans Batch Monitor. Pour créer un mot de passe administrateur, cliquez sur l’onglet Sécurité d’Apple Qadministrator. Mot de passe utilisateur Si vous créez ce mot de passe, les utilisateurs devront le connaître pour soumettre des lots à la grappe sélectionnée et pour afficher ces lots dans Batch Monitor. Pour créer un mot de passe utilisateur, cliquez sur l’onglet Sécurité d’Apple Qadministrator. Mot de passe de nœud de service Si vous configurez un QuickCluster, les autres utilisateurs doivent saisir ce mot de passe pour être autorisés à soumettre des demandes à distance à l’ordinateur. Si vous configurez une grappe de serveurs dans le but d’une utilisation avec Apple Qadministrator, un administrateur doit alors saisir ce mot de passe pour être autorisé à ajouter l’ordinateur à une grappe. Pour créer un mot de passe de nœud de service, sélectionnez la case « Mot de passe requis » dans la sous-fenêtre Apple Qmaster des Préférences Système.8 Affichage ou modification de l’état de lot pour le traitement distribué Pour afficher ou modifier l’état d’un lot : 1 Ouvrez Batch Monitor d’une des façons suivantes :  Administrateurs qui souhaitent afficher ou modifier l’état de lots :choisissez Grappe de serveurs > Afficher Batch Monitor lorsqu’Apple Qadministrator est ouvert.  Utilisateurs qui souhaitent afficher l’état de lots et modifier l’état de leurs propres lots :utilisez la fenêtre Batch Monitor qui s’ouvre lorsque vous effectuez l’une des opérations suivantes :  Double-cliquez sur l’icône Batch Monitor dans le dossier Utilitaires.  Cliquez sur le bouton Batch Monitor de la fenêtre Compressor ou de la fenêtre Apple Qmaster.  Soumettez un lot depuis Apple Qmaster ou Compressor (les préférences ayant été réglées de façon à ce que Batch Monitor s’ouvre automatiquement). 2 Choisissez dans la liste des grappes de serveurs celle dont vous voulez visualiser l’activité. 3 Prenez connaissance des détails relatifs au traitement du lot et effectuez toute action qui s’avère nécessaire : Remarque :les utilisateurs clients ne peuvent pas modifier les lots des autres utilisateurs. Lorsqu’ils sélectionnent un lot ou une tâche soumise par un autre utilisateur, les boutons Annuler et Pause/Reprendre ne sont pas disponibles. Pour obtenir plus de détails, consultez les sections « Configuration des Préférences de Batch Monitor, » et « Affichage ou modification de l’état d’un lot soumis » à la page 5.9 Configuration des Préférences de Batch Monitor La fenêtre Préférences de Batch Monitor permet de configurer plusieurs aspects de Batch Monitor. La plupart des informations affichées dans Batch Monitor peuvent être affichées ou masquées à l’aide de réglages de la fenêtre Préférences de Batch Monitor. Pour définir les Préférences de Batch Monitor, effectuez l’une des opérations suivantes : m Sélectionnez les Préférences de Batch Monitor > Préférences. m Appuyez sur les touches Commande + virgule. La fenêtre Préférences de Batch Monitor s’ouvre. Pour contrôler ce qui apparaît dans l’affichage de lot de Batch Monitor, cochez ou non la case située à côté des éléments suivants, sous l’en-tête Options de présentation : m Afficher les tâches :cochez cette case pour afficher les écrans de tâches (mais aussi de cibles et de segments). m Afficher les cibles :cochez cette case pour afficher les écrans de cibles (et de segments). m Afficher les segments :cochez cette case pour afficher les écrans de segments. Pour contrôler la fréquence de mise à jour des informations de Batch Monitor : m Dans le champ « Mettre à jour toutes les », tapez le nombre de secondes s’écoulant entre deux mises à jour des ordinateurs de traitement. Vous pouvez définir le nombre de secondes qui doit s’écouler avant que Batch Monitor ne mette à jour les informations envoyées par l’ordinateur qui effectue le traitement.Pour contrôler si Batch Monitor peut parcourir les grappes de serveurs d’un réseau étendu, effectuez l’une des opérations suivantes : m Sélectionnez « Parcourir le réseau WAN » pour que Compressor utilise les ordinateurs au-delà du sous-réseau local et indique un domaine DNS dans le champ Domaine DNS. m Désélectionnez « Parcourir le réseau WAN » pour que Compressor se limite aux ordinateurs du sous-réseau local. Remarque :toute modification apportée aux préférences de Batch Monitor ne prend effet que lorsque vous cliquez sur Appliquer. Si vous apportez des modifications, mais que vous décidez finalement de ne pas les utiliser, cliquez sur Annuler. Le réglage Intervalle d’état de la fenêtre « Préférences de grappe de serveurs » dans Apple Qadministrator prime sur le réglage « Mettre à jour chaque » de la fenêtre Préférences de Batch Monitor. Batch Monitor ne peut pas fournir de nouvelles informations d’état plus souvent qu’il n’en reçoit du contrôleur de grappes, tel que défini dans le champ Intervalle d’état de la zone de dialogue Préférences de grappe de serveurs » dans Apple Qadministrator. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Réglage des préférences des grappes de serveurs » du guide Configuration du traitement distribué. Copyright © 2007 Apple Inc. Tous droits réservés. Apple et le logo Apple sont des marques d’Apple Inc. déposées aux États-Unis et d’autres pays. UNIX est une marque déposée de The Open Group. Félicitations, vous et votre Mac mini êtes faits l’un pour l’autre.Table des matières 3 Table des matières Chapitre 1: Configurez, utilisez 8 Contenu de la boîte 9 Configuration de votre Mac mini 16 Extinction ou suspension d’activité de votre Mac mini Chapitre 2: Prise en main de votre Mac mini 22 Description de la face avant de votre Mac mini 24 Description de la face arrière de votre Mac mini Chapitre 3: Une solution à chaque problème 32 Problèmes vous empêchant d’utiliser votre Mac mini 34 Réinstallation des logiciels fournis avec votre ordinateur 35 Autres problèmes 37 Utilisation de la fonction Apple Hardware Test 38 En cas de problème de connexion à Internet 41 Problèmes de communications sans fil AirPort Extreme 42 Maintien à jour de votre logiciel 43 En savoir plus, service et assistance 45 Localisation du numéro de série de votre produit4 Table des matières Chapitre 4: Dernières recommandations 49 Consignes de sécurité pour la configuration et l’utilisation de votre Mac mini 51 Utilisation de connecteurs et de ports 52 Utilisation de l’adaptateur secteur 53 Informations se rapportant au laser 54 Avertissement relatif aux activités à haut risque 54 Nettoyage de votre Mac mini 55 Protection de votre système auditif 55 Informations importantes relatives à l’ergonomie et à la santé 58 Transport de votre Mac mini 58 Apple et l’environnement 59 Regulatory Compliance Information1 1Configurez, utilisez www.apple.com/fr/macmini Aide Mac Assistant MigrationChapitre 1 Configurez, utilisez 7 Votre Mac mini est conçu pour être configuré facilement et utilisé immédiatement. Si vous n’avez jamais utilisé de Mac mini ou n’êtes pas familiarisé avec les ordinateurs Macintosh, vous trouverez dans ce chapitre des instructions pour débuter. Important : lisez toutes les instructions d’installation et les consignes de sécurité à partir de la page 47 avant de brancher votre Mac mini à une prise électrique. Si vous êtes un utilisateur expérimenté, peut-être êtes-vous déjà en mesure d’utiliser votre nouvel ordinateur. Veillez néanmoins à consulter les informations du chapitre 2, « Prise en main de votre Mac mini », pour découvrir les nouvelles fonctionnalités de votre Mac mini. 8 Chapitre 1 Configurez, utilisez Contenu de la boîte Votre Mac mini est fourni avec les composants suivants : Avant de configurer votre Mac mini, enlevez le film protecteur situé à l’extérieur de votre ordinateur et de son adaptateur secteur. Suivez la procédure décrite dans les pages suivantes pour le configurer. Adaptateur DVI-VGA Adaptateur secteur Câble CA Télécommande Apple Remote MENUChapitre 1 Configurez, utilisez 9 Configuration de votre Mac mini Placez votre Mac mini à l’endroit ou sur une face latérale, mais pas sur sa face supérieure. Utilisez l’adaptateur secteur fourni avec votre Mac mini, à l’exclusion de tous les autres. Étape 1 : branchez le câble d’alimentation de l’adaptateur secteur à votre Mac mini, puis branchez le cordon de l’adaptateur à une prise de terre. ,10 Chapitre 1 Configurez, utilisez Étape 2 : pour accéder à Internet ou à un réseau, connectez une extrémité du câble Ethernet à votre Mac mini et l’autre à un modem câble, DSL ou à un réseau. Remarque : la technologie AirPort Extreme de gestion sans fil réseau est intégrée à votre Mac mini. Pour en savoir plus sur la configuration d’une connexion sans fil, choisissez Aide > Aide Mac, puis Bibliothèque > Aide AirPort dans la barre de menus. Reportez-vous également à « Informations complètes » à la page 26. Pour établir une connexion commutée, utilisez un modem USB externe, disponible sur l’Apple Store, à l’adresse www.apple.com/fr/store. ,Chapitre 1 Configurez, utilisez 11 Étape 3 : connectez le câble USB de votre clavier et de votre souris. Votre Mac mini n’est pas livré avec un clavier ou une souris, mais vous pouvez utiliser pratiquement n’importe quel clavier USB et n’importe quelle souris USB avec votre ordinateur. Si votre clavier dispose d’un port USB (d), vous pouvez connecter votre souris à ce dernier. Dans le cas contraire, vous pouvez connecter la souris à un des ports USB (d) situés à l’arrière de votre Mac mini. ,12 Chapitre 1 Configurez, utilisez Si vous utilisez un clavier USB qui n’est pas spécialement conçu pour Mac OS, il se peut qu’il ne soit pas doté d’une touche Commande (x) ou Option, touches standard sur les claviers Apple. La touche Commande (x) d’un clavier Apple correspond à la touche Windows d’un clavier d’autre fabricant (l’icône sur la touche ressemble au logo Windows). La touche Option d’un clavier Apple correspond à la touche Alt d’un clavier d’un autre fabricant. Vous pouvez utiliser les préférences Clavier et souris pour modifier les raccourcis clavier. Pour ouvrir les préférences Clavier et souris, choisissez le menu Pomme () > Préférences système, cliquez sur Clavier et souris, puis sur les Touches de modification et suivez les instructions à l’écran. Si vous utilisez une souris ou un clavier USB provenant d’un fabricant, des gestionnaires logiciels seront sans doute requis. Visitez le site Internet du fabricant pour trouver les gestionnaires les plus récents. Utilisation d’un clavier ou d’une souris sans fil Si vous avez acheté un clavier Apple Wireless Keyboard ou une souris Mighty Mouse sans fil avec votre Mac mini, suivez les instructions qui accompagnent ces périphériques pour les configurer avec le Mac mini.Chapitre 1 Configurez, utilisez 13 Étape 4 : connectez le câble DVI de votre moniteur au port vidéo. Connectez un moniteur DVI au port de sortie vidéo (£) situé à l’arrière de votre Mac mini. Pour connecter un moniteur VGA, utilisez l’adaptateur Apple DVI vers VGA fourni avec votre ordinateur. Remarque : votre Mac mini n’est pas fourni avec un moniteur. Important : ne placez jamais d’objet sur votre Mac mini, car cela pourrait provoquer des interférences avec le lecteur optique ou les signaux sans fil AirPort ou Bluetooth® . ,14 Chapitre 1 Configurez, utilisez Étape 5 : appuyez sur le bouton d’alimentation (®) à l’arrière du Mac mini pour l’allumer. Étape 6 : l’Assistant Réglages permet de configurer le Mac mini. La première fois que vous démarrez votre Mac mini, l’Assistant Réglages se met en marche. Il vous aide à saisir les informations concernant la configuration Internet et le courrier électronique et à configurer un compte d’utilisateur sur votre Mac mini. Si vous possédez déjà un ordinateur Macintosh, l’Assistant réglages peut vous aider à transférer automatiquement les fichiers, les applications et d’autres informations depuis votre ancien ordinateur vers votre nouveau Mac mini. , ®Chapitre 1 Configurez, utilisez 15 Si vous n’envisagez pas de conserver ou d’utiliser votre autre Mac, il est préférable de retirer l’autorisation d’accès aux médias pour empêcher la lecture des morceaux, vidéos et livres audio achetés à l’iTunes Store. Le retrait d’autorisation d’accès d’un ordinateur empêche qu’un autre utilisateur lise les morceaux, vidéos et livres audio que vous avez achetés et libère l’autorisation pour permettre son utilisation. Pour plus d’informations sur le retrait d’autorisation d’accès, choisissez Aide iTunes dans le menu Aide d’iTunes. Si vous n’utilisez pas l’Assistant Réglages pour transférer vos informations lors du démarrage initial, vous pouvez le faire ultérieurement en utilisant l’Assistant Migration. Pour cela, accédez le dossier Applications, ouvrez le dossier Utilitaires, puis double-cliquez sur l’icône Assistant migration. Étape 7 : personnalisez le bureau et réglez vos préférences Grâce aux Préférences système, vous pouvez donner à votre bureau l’apparence souhaitée sans perdre de temps. Choisissez le menu Pomme (), puis Préférences Système dans la barre des menus. Lorsque vous vous familiarisez avec votre ordinateur, explorez les Préfé- rences Système, votre centre de commandes pour la plupart des réglages du Mac mini. Pour en savoir plus, choisissez Aide > Aide Mac, puis recherchez « Préférences Système » ou le nom de préférences spécifiques à modifier.16 Chapitre 1 Configurez, utilisez Extinction ou suspension d’activité de votre Mac mini Lorsque vous avez fini d’utiliser votre Mac mini, vous pouvez suspendre son activité